Le rendez-vous duo marilyn/hamilcar

Je n’ose y croire ! Elle est venue au rendez-vous !
Elle comble tous mes espoirs, mes rêves les plus fous !
Magnifique en robe du soir, simple mais de bon goût
Vêtement fourreau noir avec un beau grand dos nu
Broche avec fermoir et un joli cœur en argent suspendu
Le mien joue la fanfare...J’espère qu’on ne l’a entendu .....Hami

Il est là, bien réel, en chair et en os, qui m’attend
Sourire radieux aux lèvres et des yeux pétillants
Beau dans ce costume noir, chemise blanche
Cravate écarlate, sans doute sa tenue du dimanche
Il est attendrissant avec sa belle rose rouge vermillon
Attendre, par ce froid, je crains qu’il ne soit grognon
Oh, il est adorable ! J’ai plus d’une heure de retard
Et il est juste content de me voir : Bonsoir ! ..........Marilyn

Elle est si belle ! Pres qu’irréelle ! Si douce et naturelle...
Je dépose une bise sur la joue, son parfum m’interpelle
Je dois me retenir pour ne pas la prendre dans mes bras
J’inspire cette essence et j’ai tout le corps en émoi
Ces cheveux, ce visage, ce corps, Elle est merveilleuse !
Je reste figé tel un piquet, subjugué, je lui tends la rose
Elle me fait un sourire timide, je la sens un peu nerveuse
Je connais son inquiétude car je ressens la même chose
Dix minutes qu’on se regarde et je n’ai encore dit un mot
C’est sûr qu’à ce train-là, elle va me prendre pour un idiot....Hami

Je sens son bisou sur la joue et son souffle dans le cou
Le dos qui frissonne et aucun son ne sort de ma bouche
Étrange cette sensation alors même qu’il ne me touche
J’en tremble toute d’émotion alors qu’il est là, debout,
Sans mot dire, immobile, à me regarder d’un air candide.
Il me dévore des yeux. C’est atroce, je me sens désarmée
Je suis gênée. Je bredouille. Je me trouve stupide
Un sursaut de volonté pour lancer : Bonsoir, enchantée !
J’ai le cœur qui cogne si fort, j’ai soudain des vapeurs
Faisons semblant de rien et sortons un sourire charmeur
Il n’a pas remarqué mon embarras, j’en suis soulagée
Mais je commence à avoir froid ! Alors cette soirée ?......Marilyn

Quelle beauté ! Je rêve ! Pourvu que je ne me réveille !
Ces yeux, cette bouche et cette peau de velours
Ces courbes et cette silhouette, quelle merveille !
C’est Elle que j’attendais ! Maintenant j’en suis sûr !
Son "Bonsoir" me secoue et sa voix me transporte
Dans mon beau rêve éveillé, je lui ouvre la porte
L’invite à rentrer, s’asseoir, se mettre à l’aise
J’apporte les apéros et lui présente une chaise
Une table en aparté avec nappe en dentelle
À la lueur des chandelles, lumière tamisée
Dans ce halo mitigé Elle est encore plus belle.
Mon esprit se rebelle, ma langue est tétanisée
Mon cœur joue du tambour, mon corps frissonne
Je suis déjà fou d’amour pour cette jolie personne........Hami

Que c’est beau ! Il a mis les petits plats dans les grands !
Tout cela est vraiment magnifique et il est très charmant !
Quelle galanterie ! Voilà qu’il m’avance la chaise...
Il s’en donne du mal pour que je me sente à l’aise !
Toute cette prévenance et cette sollicitude m’ont touchée
Mais j’ai faim ! Et je n’arrive à avaler la moindre bouchée
Un étau serré d’émoi m’empêche de pouvoir déguster
Cette délicieuse nourriture qu’il a gentiment commandée
Je vais boire un petit verre de vin pour décompresser
Je suis sincèrement éblouie, complètement envoûtée
Jamais je ne l’aurai cru si l’on me l’avait dit ce matin !
Je m’enivre de sa voix, subjuguée par son jeu de main
Des mains si belles que j’en suis tombée raide dingue

Au menu, juste après une succulente mise en bouche,
On nous apporte un millésime qu’aussitôt il débouche
Comme plat de résistance, une belle grosse dinde
Repas qu’il est de tradition de servir en fin d’Automne
Et qu’il se fait un devoir de découper en personne.
Il pose délicatement, tout en me dévorant des yeux,
Un morceau royal au beau milieu de mon assiette
Il ne saurait vraiment pas cacher qu’il est amoureux
Mais s’il continue à me fixer ainsi, avec l’amour en tête
Je crains que cette louche de crème de pommes de terre
Ne risque de rater son but et d’atterrir, au hasard
Tant nos yeux se noient avec délice dans nos regards
S’il continue, je crois bien qu’il va en mettre dans un verre
Car nos yeux ne peuvent plus se quitter...
Qu’est-ce qu’il va encore m’inventer ?
Que signifie cet étrange petit signe qui se veut discret ?
Qu’est-ce que c’est ?!?

J’entends, derrière moi, un bruit de pas qui se rapproche
Qu’est-ce qu’il fait ? Il sort de l’argent de sa poche ?
Mon Dieu ! Ce n’est pas vrai ! Des bouquets de violettes !
Belle tactique de séduction ! Mais je jouerai les coquettes
Pour faire ma conquête, il devra se montrer plus innovant
Et rendre ce rendez-vous un moment vraiment enivrant !
Mais ??.. J’entends une lointaine musique ?
Des violonistes tziganes s’approchent de notre table
Jouant tout doucement une petite mélodie romantique.
Que cette attention est charmante et adorable !
C’est décidement un véritable gentleman, un amour !
J’ai le cœur qui bat comme un tambour...
Mes yeux brillent. C’est magnifique ! Je suis émue
Dans ma tête, mon cœur, mon corps c’est la cohue
Je ne peux retenir les perles qui coulent au coin des yeux
Je cherche son regard, anxieuse, la bouche close...
Saura-t-il voir dans le mien que je suis heureuse ? ......Marilyn

Je profite de la musique tzigane pour L’inviter à danser
Un clin d’œil convenu nous accorde une danse alanguie
Je La prends dans mes bras et sur la piste, on s’élance
Je me sens gauche mais Ses yeux La disent réjouie
La chaleur de Son corps réveille des souvenirs oubliés,
En profond sommeil depuis de nombreuses années,
Un ensemble de sensations se bousculent dans mon être
Un petit frémissement glacé descend le long du dos
Tandis qu’une marque d’excitation met en éveil la libido
Le corps réagissant aussitôt, je crains l’incident stupide
En même temps une ondée de fièvre monte à la tête
J’appréhende l’instant où elle va empourprer mes joues
Ou celui où l’émotion va d’un coup me couper les genoux
Un tourbillon de passion ardente me chavire le cœur
Un tumulte de sentiments s’agite dans mon esprit
Mettant sens dessus dessous mes moindres pensées...

Je sens monter la forte pulsion d’un désir pressant :
Le rubis de Sa bouche m’attire comme un aimant
Telle une idée fixe, de coller mes lèvres aux Siennes
Cédant à l’invite, je me penche et hardiment, L’embrasse
M’attendant à ce que, scandalisée par mon audace,
Elle me gifle violemment me laissant sitôt sur place.
Mais, comme si Elle attendait cela depuis longtemps,
Répond à mon transport par un délicieux baiser ardent.
Le temps, la musique, le monde arrêtent leur mouvement
Plus rien ne compte que la douce chaleur de Ses lèvres
Que Ses bras me serrant fortement contr’Elle sans effort
Ne comptent que nos langues se cherchant sans trêve
En une suite de va-et-vient de langoureux titillements
Une explosion de sensations irradie de la bouche
Se propage dans les membres, envahissant tout le corps
Lui insufflant une ivresse qui joignant le cœur me touche
Et me transporte au nirvana en compagnie d’un ange
Surtout qu’on ne me réveille, si c’est un songe !!........Hami

En musique, on continue, en s’embrassant, à danser
Son baiser est un feu qui semble vouloir me consumer
Les personnes autour disparaissent, le décor s’efface,
Il ne reste que nous deux dans ce baiser qui nous enlace
Qui est si enivrant que je voudrais qu’il ne s’arrête jamais
J’ai le cœur en transe et des rêves plein la tête
Le dîner, danser, le vin, ce baiser, je suis en apesanteur !
Je me sens transportée. Je nous vois sortir à l’extérieur
Je devine cocher et calèche, il m’installe dans la trotteuse
Me couvre entièrement d’une chaude fourrure moelleuse
Me recouvre d’ardents baisers. Mon cœur est aux étoiles
J’ai chaud au corps, au cœur. Je suis comblée, heureuse
Que cette soirée ne finisse plus tant elle est merveilleuse
Je m’accroche à lui de peur qu’il ne mette les voiles
Mais j’ai tort de m’en faire, à la façon qu’il serre ma taille
Je crois que, comme moi, il craint aussi que je m’en aille
Il ajuste la peau fourrée pour que je n’aie pas froid
C’est la première fois qu’on prend autant soin de moi !

Ses baisers, le bercement du tilbury, voilà, je m’endors
Ultime image : nue dans la baignoire la tête sur le rebord
Je contemple encore ce beau sourire qui orne ses lèvres
Il s’installe et s’apprête à être le gardien de mes rêves
Je peux dormir tranquille ! Il sera encore là à mon réveil
Je n’ai jamais ressenti un sentiment de bien-être pareil :
L’envie de sentir sa bouche et d’y laisser mon empreinte
Le désir d’un corps-à-corps, d’une brûlante étreinte
L’avidité des sens, l’appétence d’un corps à gémir
Être si excitée......Et avoir tellement envie de dormir... !
Lui en demande pardon, me serrant davantage à lui
Il ne semble m’en tenir rigueur, me regarde et sourit
Il caresse mes cheveux en récitant une poésie
Je nage en plein bonheur et m’endors paisiblement
Sur le rêve enchanteur d’un merveilleux moment
Je n’ai connu meilleur ! Je suis au paradis
Jeu 14 Nov 2013, 11:07 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

L'amour est-il un crime ? chapitre 7

Eh bien bonjour tout le monde désolé de ce petit retard, mais le chapitre bien qu’il soit moyennement long à prit un peut plus de temps. Donc le voici bonne lecture ^^

ps : il y a un lemon donc + 14 pour ce chapitre âmes sensible à s’abstenir merci !

Chapitre 7 : Noël approche

Point de vue Haruka.

Depuis la demande en mariage, deux semaines venais de s’écouler, et les vacances d’hiver furent enfin arrivé. Il est au alentours de 21 heures, et je me retrouvait dans le salon regardant un peut la télévision. Michi prenait sa douche, et je l’attendais. Ah … Et dire que nous allons passer notre premier noël ensemble, sa me rendait heureuse et nostalgique à la fois.

Michiru – ah … Quoi de mieux qu’une bonne douche.

Elle se dirige vers moi, et vint prendre place à ma droite. Passant son bras gauche derrière mon dos, et lovant sa tête au creux de mon cou, sa main droite se posant sur ma poitrine. Je sourit, je vint allonger mon bras droit sur ses épaules, et de ma main gauche je vint tendrement lui caresser l’épaule. Mh elle sent vraiment bon, et elle est très jolie ainsi. Elle porte un petit short blanc accompagné d’un long polo beige à manche longue, elle a des petite lunettes noire sur les yeux, et ses cheveux son tiré vers la gauche. Elle est vraiment jolie comme un cœur.

Michiru – dis Haru, je peux te poser une question ?
Moi – bien sur mon ange. Qui y’a t-il ?

Je vint couper la télévision et vint mettre Michi sur mes genoux. Entourant son dos, et le caressant.

Michiru – es ce que tu pourrais venir avec moi demain, chercher mes affaires dans mon ancienne maison, même si mon père n’y est plus elle est encore ouverte.
Moi – oui pourquoi pas !
Michiru – merci ma chérie, je t’aime.
Moi – moi aussi mon trésor je t’aime et plus que tout.

Elle me sourit et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Je souris et répond à son baiser en l’allongeant sur le canapé. Ses bras s’enroulent autour de ma nuque, et ses doigts allèrent caresser ma cheveulure. Cela me rendait si heureuse de me retrouver comme sa avec elle, sans que personne ne se mettent en travers de notre petit nid d’amour.

Je laisse ma main droite monter à sa cheveulure et mes doigts s’emmêlent à l’intérieur, et de mon pouce caresse ses cheveux. Alors que je laissa ma main gauche allait gentiment caresser sa cuisse.

Nos langues se trouvent et se caressent tendrement entres elles. Je remonte doucement afin d’être à sa hauteur, et vint la serrer dans mes bras.


Michiru – hm …

Mon cœur se mit à tanguer dans ma poitrine, une monté d’adrénaline se répend dans mon corps. Notre baiser s’approfondit, et d’un geste doux, je lui caresse la joue, bougeant doucement la tête pour mieux apprécier ce bonheur qui m’enivre de plus en plus. Nos lèvres se séparent, et je vint coller mon front contre le sien, la regardant avec amour. Son nez se mit à caresser le mien, et cela m’adoucie un peut plus.

Moi – dis moi … Que veux tu que l’ont face, pour notre premier noël ensemble ?
Michiru – plein de choses, mais la première c’est de passer du temps avec toi ma jolie blonde !
Moi – ma chérie … Je t’aime tu sais.
Michiru – moi aussi Haru, et vraiment très fort !

Je lui sourit, caresse sa joue, et la regarde avec douceur. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, elle est tout ce qu’un homme et une femme puisse rêver d’avoir.

Moi – au faite …
Michiru – oui, qui y’a t-il ?
Moi – à propos de notre mariage, tu aimerais porter mon nom, et ou que moi je porte le tiens ma chérie ?

Pour simple réponse, elle ma sourit de toute ses dents, sa main se pose sur ma joue, et me la caresse.

Michiru – eh bien … En y réfléchissant, j’aimerais beaucoup porter ton nom, Michiru Tenoh. Ah … Sa fait rêver !

Je me suis mise à sourire, je lui embrasse le nez, et caresse sa chevelure.

Moi – dans ce cas … Es ce que la futur madame Tenoh m’accompagnerais demain pour allait essayer sa bague ?
Michiru – oui. Oh Haruka, si tu savait à quel point je suis heureuse.
Moi – moi aussi je suis heureuse, heureuse de pouvoir enfin t’aimer librement. Je t’aime mon trésor !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore mon amour.

On se sourit, et dans un geste doux, nos lèvres vinrent se goûter amoureusement. Je laisse tendrement mes bras la serrer contre moi, tout en prenant soin de fermer son cœur à l’intérieur du miens. Ah … Je ne sais plus quoi dire, hormis que je n’aurais jamais crue que l’amour puisse prendre une grande parti de notre vie.

Je retire doucement mes lèvres, et la dévisage avec tendresse, et remarque avec un sourire qu’elle venais de s’endormir. Je me retire doucement, et vint la prendre dans mes bras, j’étteins la petite lampe qui se trouve à côté du meuble ou réside la télévision. Et me dirige vers l’étage. Une fois dans notre chambre, je ferme la porte et vint déposer mon ange sous les draps, lui retirant les lunettes au passage et la couvrit, je caresse doucement sa joue, et parti me dévêtir. J’enfile simplement un pantalon blanc et un tee-shirt de même couleur, et parti ensuite me lover sous la couette. Je vint doucement la prendre dans mes bras, entour son dos, et murmure avant de sombrer dans le sommeil :


Moi – bonne nuit mon cœur.

Je lui embrasse le front, et m’endormis serrer contre ma douce.

Point de vue Narrateur.

Cette nuit là, Haruka tout comme Michiru laissèrent leur esprit vagabonder, mais chacune d’entre elles penser à la même chose : leur mariage ! Un événement important dans la vie d’un couple, cela ne fait peut être que quatre petit mois qu’elles son ensemble, mais chacune d’entre elle avaient ce désir d’assouvir ce dont elles rêve chaque jour depuis leur rencontre, le rêve de fonder une vrai famille, elles voulaient se sentirent plus proche l’une de l’autre, malgré leur statu Haruka et Michiru s’aiment d’un amour profond et véritable, voulant chaque jour tomber dans ce bonheur qui enlace mélodieusement leur cœur.

Point de vue Michiru.

Rah, c’est pas vrai, pourquoi sa passe pas, j’ai un de ses mal de crâne c’est horrible. Je me trouve assise sur une chaise dans la cuisine une tasse de lait chaud à la main, je viens juste de prendre de quoi calmer mon mal de crâne et espère qu’il va vite partir.

Malgré sa, je n’arrête pas de penser à Haruka, et à tout ses évènements qui se sont produit ces derniers mois. J’étais très heureuse d’avoir eu le courage de lui faire ma demande, bien que sa soit tôt j’avais cette envie de me rapprocher d’elle, et de faire partie d’elle, c’est dingue toutes mes peurs se sont envolées, j’ai même réussi a unir mon cœur au sien pendant une nuit … Une nuit magique et inoubliable pour moi, chaque jours, chaque heures ou chaque secondes, j’ai envie de me sentir encore plus prêt d’elle, et sa, il va bien falloir que je réusisse à surmonter cette peur qui me ronge depuis bien trop longtemps à cose de ce monstre. Si je veux pouvoir rester avec elle, il faut que j’y arrive. Et je me donnerais les moyens pour y arriver.

Je laisse mon regard balayer la pièce, et ce dernier tombe nez à nez sur la pendule, cette dernière affiche neuf heure, je vais donc préparer son petit déjeuner, sa m’occupera et m’aidera à penser à autre chose que ce foutu mal de tête.

J’allume la machine à café, et sorti du placard un filtre à café, que je place dans la machine, je prend une petite boîte ou il y avait d’écrit « cofee » et commence à verser un peu de cette substance marron parfumé dans le filtre, branche la machine et appuya sur open.

En attendant que son café soit prêt, je prend un plateau, et y dépose une sous tasse avec quelque tartines que je beurra légèrement. Quand le petit clique de la machine retentit, j’arrête cette dernière, prend le manche du réservoir, et alla verser le liquide noir dans la tasse. Je mit un demi sucre dans ce dernier, le remue doucement, et avec un doux sourire sur le visage, monta à l’étage. Je longe le couloir, et vint doucement entrer dans notre chambre, ou je prit soin de fermer la porte. Je pose le plateau sur la table de nuit, et met mes lunette, j’avais un peut mal aux yeux. Je sens mon téléphone vibrer, je me demande qui cela peut être à une heure si tôt, je déverrouille l’appareille, et remarque que c’est un message, avec un numéro que je ne connais pas, intriguer, j’appui sur lecture et me mit à lire le message :


« Michiru, si tu as ce message, cela veux dire que je ne me suis pas trompé de numéro, j’espère que tu vas bien, et que tu mène la vie dont tu as toujours rêver, celle d’une vie de princesse, je pense fort à toi, et sa chaque jour depuis ma séparation avec toi, je ne vais pas brusquer les choses, car je sais que pour toi sa a étaient très dure, si tu veux de plus ample informations rend toi à cette adresse, la bas ils te dirons se que tu as besoin de savoir, sache que je t’aime ma petite princesse, et espère te revoir très bientôt. »

mais … Qui c’est ? Je fut grandement surprise de ce message, relisant chaque ligne. Aucune idée, et cette adresse ? Je suis perdu d’un coup, il va falloir que j’en parle à Haruka.

Je pose mon cellulaire sur l’oreiller, et me dirige avec le sourire vers ma petite femme, avec douceur, je vint m’allonger sur elle, et la contemple. Elle est tellement belle quand elle dors, et pas que en dormant, elle est belle naturellement. Je caresse doucement sa joue, et écarte quelques mèches de ses yeux sa respiration est douce et régulière, j’ai encore du mal à croire que je me retrouve dans ce genre de situation avec elle.

Doucement ses yeux s’ouvre, et je lui sourit tendrement.


Moi – bonjour ma jolie blonde, bien dormis.
Haruka – bonjour à toi ma chérie, oui très bien, mais dis moi c’est bien la première fois que tu est levé la première.
Moi – ah ah … Il y a une première fois à tout comme on dit, et puis je me suis réveiller avec un mal de crâne atroce.
Haruka – ah … Et sa va mieux ?
Moi – bah j’ai prie de quoi calmer la douleur … Tu sais que tu est belle quand tu dors.

Elle ma sourit, sa main c’est posé sur ma joue, et avec tendresse,
je vint déposer mes lèvres sur les siennes. Mêlant mes doigts dans ses cheveux, mon corps caresse tendrement le sien, ses mains caresse mon dos, et sa langue parti jouer avec la mienne qui était d’humeur câline et sauvage. Mon cœur s’accellaire au rythme de notre baiser qui deviens de plus en plus tendre et long.


Je me sens tellement bien là comme sa, allongé sur elle, goûtant avec douceur, ce plaisir dont je ne me lace pas. Un vrai bonheur. On se détachent doucement, et nos yeux se happent, s’attachent et se dévorent, sa main se pose sur ma joue et ses doigts caressent ma peau.


Haruka – mh … J’aime beaucoup ce côté là de toi !
Moi – lequel mon ange, celui qui se sent timide ou alors celui qui prend les devant ?
Haruka – celui qui prend les devant.
Moi – dans ce cas, je vais tout faire pour ne pas décevoir ma petite femme chérie.

Elle eu un grand sourire, sourire ou sous entendue se montrer, je lui caresse les lèvres la dévisageant avec intensité. Mon dieu c’est … C’est impressionnant à quel point mon cœur bat vite, je sens ses mains passer sous mon polo et ses main caressent mon dos.

Ses mains son si douce, c’est vraiment agréable d’être caressé par elle. Je vint lui embrasser le front, et descend doucement laissant mes lèvres glisser le long de son nez. Arrivé à ses lèvres que j’aime embêter, je la regarde dans les yeux, les siens me caresse, et l’un deux me fait un clin d’oeil, oh Haruka c’est dingue cette envie que j’ai de pousser les limites, ton nez caresse le mien, et tendrement je vint lui mordre ses lèvres, sortant ma langue pour laisser une trace de mon passage sur sa bouche, je voie sa langue sortir et s’emparer de la mienne. Nos lèvres ne se touchent pas, juste nos langue qui se découvre s’enlacent et se caresse, enflamment chaque minutes le désir que je ressent. Je me penche et alla lui embrasser longuement le cou, laissant mes mains baladeuse se faufiler sous son tee-shirt blanc. Mes doigts caresse sa peau, jusqu’à monter à sa poitrine et titiller un de ses mamelons. Ses bras me serre, et me caresse, sa voix lâche des petits gémissement, se qui provoque une décharge à mon cœur, je lui faisait donc de l’effet et s’en est tout à fait plaisant. Je remonte doucement et nos lèvres s’unir dans un tendre et langoureux baiser.

Je pose ma tête sur son épaule droite et monta ma main droite à son visage caressant sa joue et mêlant mes doigts dans sa chevelure, j’avais chaud, mais je n’eu le temps de redire ce mot que ma jolie blonde retira mon polo, et de même je lui retire son tee-shirt. Nos corps étaient préssé l’un contre l’autre, sa main gauche est venue jouer tendrement sur mon visage, et nos langues s’enflammées à chaque caresse. Une étrange mais agréable sensation se fait sentir au niveau de mon bas ventre, un désir brûlent parcour mon corps, je me rapproche d’avantage d’elle, et continue de l’embrasser le plus tendrement possible, laissant libre court à mes émotions et sentiments.

Doucement ont se détachent, mais voulant encore garder cette avidité nos lèvres se tapotes entre elles, créant ainsi de doux petit claquements. Sa main remet en place quelques unes de mes mèches, son sourire ne la pas quitté, et ses yeux son doux et amoureux.


Haruka – tu m’impressionne de jour en jour.
Moi – et ce n’est pas pour me déplaire …
Haruka – chuut … Et si, ont resté là ? Je me sent bien tout contre toi, ma petite femme à moi.

Je sourit, je retire mes lunettes, et lui sourit tendrement caressant sa joue, descendant doucement à ses lèvres. Je m’approche de son visage, et lui embrasse le nez, j’étais heureuse d’avoir réussi à vaincre ma peur, j’ai réussi à dépasser un cap, et me sent encore plus proche d’elle maintenant.

Moi – je ne pourrais te dire non, car tout contre toi je me sent bien et en sécurité. Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon trésor !

Nous nous sommes sourit, et nos lèvres se son caressés délicatement. Je lui caresse la joue, et laissa mon cœur s’exprimer. Quelques petites minutes après, j’avais remi mon polo et Haru son tee-shirt, je me trouver entre ses jambes, toujours dans notre lit, et je lui faisait un câlin pendant qu’elle déjeuner.

Moi – au faite ma chérie !
Haruka – oui qui y’a t-il ?
Moi – tout à l’heure, j’ai reçu sa comme message, je suis censé faire quoi maintenant ?

Je montre le message à ma jolie blonde, et elle le lue. Tout comme moi elle fut surprise, je la regarde attendant une réponse.

Haruka – mais … Je connais cette adresse, c’est à quelques minute d’ici et c’est un orphelinat.
Moi – un … Orphelinat ?

Mes yeux fixe le mur, j’essaie de comprendre le sens de ses mots, ma gorge se serre, et mon cœur s’arrête de battre pendant quelques minutes, pour je ne sais quel raison, j’avais peur de connaître une seconde vérité, car cette fois ci je sais que je ne pourrais pas le surmonter toute seule. Je sent mon menton se soulever, et mes yeux qui son vide croisent ceux de la femme que j’aime. Elle me caresse la joue, son regard et doux et son sourire chaleureux.


Haruka – tu veux qu’ont aille faire un tour cet après-midi ?
Moi – je … Je n’aie pas envie de t’embêter avec sa.

Tout se mélange dans ma tête, et je ne comprend plus rien, pour je ne sais quelle raison j’avais envie d’exploser de colère, je lève mes yeux vers elle, toujours aussi perturber par cette nouvelle, je lui caresse la joue et dit :

Moi – et si … On m’avait encore mentit.
Haruka – dans ce cas, je serait la pour te soutenir mon amour, je ne pourrais pas te laisser dans un tel état.
Moi – ma chérie … Je … Même si j’ai peur de connaître une seconde vérité, il va falloir que j’y aille. Et puis je … j’aie pas envie de t’embêter avec s …
Haruka – chuut … Tu ne m’embête pas, et puis au moins je pourrais être la si tu en a besoin.
Moi – merci … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon cœur !

Je lui sourit, et l’embrassa doucement. Un baiser tout doux et regorgé de tendresse. Je m’appui contre elle, laissant mon portable valser sur le lit, je monte ma main à son visage et lui caresse du bout des doigts. Je me sent bien avec elle, et quelques fois je me pose cette question.

« que ferais-je à cet heure ci, si je ne l’avait jamais connue. »

je me le demande bien. Je me détache doucement, et vint la serrer contre moi. Un petit moment bien agréable. Ou je pouvais entendre mon cœur se soulever.

Les minutes venaient de s’écouler, et je me trouver assise sur le canapé, et m’amuser à me faire des petites tresses. Ma jolie blonde était parti chercher le courier. Tiens beh quand ont parle du loup, la voilà qui se dirige vers moi, avec un colis.


Moi – qu’es ce que c’est ?
Haruka – je ne sais pas, mais c’est pour toi.
Moi – pour moi ??

Je fut surprise, et prend le colis qu’elle me tendais. Elle prend place à mes côtés, et je vint m’appuyer contre elle. Son bras passe derrière mon dos et à son tour, elle se mis à me serrer dans ses bras.

Je commence à ouvrir le carton, et sorti parmit tout ses polistyrènes des photos. Sur l’une d’elle on voyais une petite fille au cheveux bleu écum comme moi, cette petite fille au sourire angélique est au côté de deux adultes sûrement ses parents, la seconde était la même petite fille en train de sourire, sur cette photo elle avait les cheveux plus court un petit carré qui la rendais très mignonne.


Mais pourquoi avais-je reçu ses photos ? Qui me les a envoyé, mais surtout comment cette personne sais que j’habite ici, sa m’intrigue de plus en plus. Bon aller stop il suffit de se torturer l’esprit, après tout je suis Michiru Kaio, et j’ai surmonter bien plus douloureux que sa. Je me tapote les joues comme pour me réveiller.

Moi – bon aller, je vais arrêter de me torturer, et profiter de ce que la vie m’offre plutot que de pleurer.
Haruka – bien parler !

Début du lemon :

Je me tourne et lui sourit. Je pose le carton sur le canapé et alla me lover dans ses bras, je m’assoie sur ses jambes, et vint délicatement prendre son visage dans mes mains. Je sent ses bras s’enrouler autour de mon dos, et doucement, je lui caresse les joues avec mes pouces.

Moi – oui, il faut savoir profiter de ce que la vie nous offre, et arrêter de voir tout noir comme tu me la dit.

Je voie ses lèvres s’étirer en un doux sourire, je lui embrasse le nez, et continue de la regarder avec tendresse.

Haruka – et … Que comptes tu faire ?
Moi – eh bien … Déjà passer du temps avec la femme que j’aime.
Haruka – ah oui ? Eh … Qu’aimerais tu faire ?
Moi – tout … Lui faire des câlins, lui dire sans gêne se que je ressent et ce qu’elle est pour moi, et l’embrasser le plus tendrement possible.

Elle ma sourit, son front c’est collé contre le mien, et elle a doucement caresser ma joue.

Haruka – hm … Tu sais que tu m’intéresse là, alors es ce que … Je pourrais avoir un doux baiser de ma petite femme chérie ?
Moi – je t’aime Haruka !
Haruka – mais moi aussi je t’aime ma douce et ravissant Michiru.

Je lui sourit, et déposa tendrement mes lèvres sur les sienne afin de crée un doux moment. Je me rapproche doucement et laissa mes bras s’enrouler autour de ses épaules. Ses mains parcour mon dos, et le sien se pose sur le siège du canapé. Ses mains me rapproche d’elle, et passe sous mon polo car j’étais toujours en pijama contrairement à ma jolie blonde qui était déjà habillé, et qui sentait bon au passage. L’eau de cologne qu’elle c’est mise sent vraiment bon, et c’est très agréable de l’embrasser dans ses conditions. Je laisse doucement ma langue aller valser avec la sienne, mon cœur battait tellement vite, et je me sentait vraiment bien.

En manque d’aire, on se séparent, mais nos yeux continuent de se caresser. Elle écarte une petite mèche de mes yeux et sa voix qui est si belle à mes oreilles résonne.

Haruka – tu sais que j’aime ce petit côté la de toi, celui qui a beaucoup plus d’assurance, je l’aime beaucoup.
Moi – ah oui … Eh bien j’en suis ravie que cela plaise à mon professeur.
Haruka – quand vas tu arrêter de m’appeller comme sa ?
Moi – hm … Attend laisse moi deux minutes, jamais !!
Haruka – dans ce cas mademoiselle Kaio sa change tout.
Moi – comment sa tout ? Vous m’intriguer fortement professeur !

Je la voyais sourire de plus en plus, ses mains s’aventure sous mon polo, et fini par me le retirer.

Haruka – te rappelle tu de la dernière leçon ?
Moi – hm … Non, malheureusement, mais de quelle leçon parlez-vous professeur, mais surtout, quel est ce cour est t-il normal ou particulier ?
Haruka – hm … Vous ne retenez pas grand chose mademoiselle, je vais devoir vous punir, c’est un cour particulier.
Moi – s’il vous plait, ne soyez pas sévère avec moi … Et expliquez moi votre leçon particulière professeur !

On se souriait, elle me fit un petit clin d’oeil, et dit en faisant rouler l’une de mes bretelle de soutien-gorge sur mon bras.

Haruka – hm … Je vais réfléchir à votre punition, en attendant mademoiselle Kaio je vais vous demander une faveur ?
Moi – une faveur ? Et laquelle professeur Tenoh.
Haruka – si vous arrivé à me séduire, alors peut être que je levrer la punition.
Moi – mh … Vous séduire ? Mais comment dois-je m’y prendre ?

Lui demandais-je d’une voix sensuelle et mielleuse tout en déboutant sa chemise.

Haruka – pour sa mademoiselle je vous laisse carte blanche !
Moi – dans ce cas, je n’échouerais pas à ma tache.

Je monte à son oreille et lui susurre langoureusement :

Moi – pro.fe.ss.eur.

Je lui mordille délicatement lobe de l’oreille, et longe son visage la couvrant de baiser. Ses mains venaient de dégrafer mon soutien-gorge, et ce dernier tomba sur le sol. Je lui soulève le menton du bout de mon index, la dévisage d’un regard coquin et malicieux à la fois.

Moi – vous êtes … Vraiment sexy professeur.

Un sourire tendre se dessine sur ses lèvres, elle me caresse la joue, et elle me répond de la même manière :

Haruka – hm … Et vous mademoiselle vous êtes à croquer.
Moi – mais, je ne suis pas à manger vous savez !
Haruka – hm, je n’en suis pas si sur que sa. Votre jolie minoie me donne horriblement faim mademoiselle Kaio.
Moi – hm … Et dites moi, par quoi voulez-vous commencer ?

Je me suis sentit à se moment la valser vers la droite et me retrouve allongé sur le canapé. Haruka se trouvant au dessus de moi, je sourit, et la regarde malicieusement, un sourire pervers sur le visage.

Haruka – mh … Je ne sais pas beaucoup de chose s’offre à moi, mais pourquoi ne pas s’attaquer à la partie la plus délicieuse ?
Moi – professeur vous êtes perverse !
Haruka – et vous mademoiselle vous êtes délicieuse.

Je lui offre une petite moue dont j’avais le secret, je la regarde le sourire au lèvres, me frottant le menton du bout du doigt.

Moi – s’il vous plais professeur Tenoh, soyez gentil avec moi !
Haruka – je serait aussi douce qu’un agnau mademoiselle.

Je sourit, notre petit jeu m’amuser beaucoup, et me permetter de me liberer de cette peur, mais dieu que cela fait du bien. Je sent les lèvres de ma jolie blonde prêt de mon oreille gauche, son souffle chaud au creux de mon ouïe, et sa langue qui se met à lécher le bas de mon oreille, mon cœur faillit exploser, ses lèvres descende le long de mon visage, mordant tendrement mes lèvres, elle descend un peut plus et vint m’embrasser le cou. Laissant mes mains prendre soin de retirer sa chemise, et mes doigts les faisant rouler prêt de sa bretelle.

Moi – ah … Mh, oh professeur vous … Vous êtes si douce et vous … M’exciter tellement.

Sa y’es j’ai osé lui dire, je sent ses lèvres longer vers ma poitrine et ses baisers continuent sensuellement leur chemin, que c’est bon, je me sent de plus en plus enivrer par ses caresse et ses baisers qui se sont maintenant attaquer à mes mamelons. Je … J’ai l’impression d’avoir détremper mon linge intime tant l’excitation me prend.


Je dirige mes mains vers son pantalon, et lui défait le bouton et le fait glisser le long de ses jambes, mama cet effet qu’elle me fait c’est dingue, j’ai envie d’elle, j’ai envie de connaître l’extase de cette excitation sauvage.

Point de vue Haruka.

Dans peut de temps je sent que je vais craquer, je ne contrôle plus mes gestes ainsi que mes lèvres qui l’embrasse sensuellement. Je descend jusqu’à son nombril et vint lui embrasser lui lécher, montant ma main droite à son sein et de mon index et mon pouce lui titille tendrement le mamelon, diable cet effet qu’elle me procurer, même notre première fois n’avais pas était aussi intense. Elle m’exiter terriblement, et me sentait de plus en plus serrer dans mon linge.

Je remonte à son oreille et murmure :

Moi – mademoiselle Kaio, si vous saviez à quel point j’ai envie de vous.
Michiru – moi aussi professeur j’ai envie de vous, vous m’exiter tellement, je n’arrive plus à contenir ce désir en moi.
Moi – mh … L’envie de vous faire tendrement l’amour me tient.
Michiru – oh oui … Faite moi l’amour professeur, je ne tient plus.

Je sourit, heureuse qu’elle est pue dépasser ce cap … Je me lève et vint la prendre dans mes bras, la conduisant dans notre chambre.

Michiru – ou m’emenez-vous professeur Tenoh ?
Moi – dans un endroit ou nous seront à l’abrit des regards mademoiselle.

Une fois dans la pièce, je ferme la porte, et allongea Michi sur le lit, me mettant au dessus d’elle, nous couvrant avec la couette.

Moi – maintenant mademoiselle Kaio je vais vous faire tendrement l’amour, ainsi vous n’oublierais plus vos leçons.
Michiru – allez y professeur je suis entièrement à vous.

Je sourit, et le cœur prêt à frôler la crise cardiaque, je vint l’embrasser langoureusement. Laissant mon cœur s’exprimer.

Fin du lemon

Point de vue Narrateur.

Dans cet appartement, enfermer dans leur chambre, Haruka et Michiru vienne de découvrir se que sont les plaisir de la jouissance, emporter dans leur petit jeu de séduction, elles se sont livrées à elles même, goûtant au véritable plaisir de l’amour. Ce petit jeu les aura bien rapprochées, et chacunes d’entre elles aurons finalement réussi à dépasser leur peur, celle de Michiru, de ne plus pouvoir désirer par les attouchements de son père, et Haruka par peur et de manque de confiance. Mais à présent les voilà encore plus unis enlacé dans les bras de la femme qu’elles désirent, elles firent l’amour sans gêne et avec beaucoup mais beaucoup de tendresse et d’amour.

Point de vue Michiru.

Ah … Que sa fait du bien une douche, je coupe l’eau, et vint m’enrouler dans une serviette ainsi je ne pourrait attraper froid. Je me place devant le miroir, et me regarde. Je voyais un sourire … Un sourire heureux un sourire d’une femme comblé. Depuis se qui c’est passé entre elle et moi, j’ai l’impression d’avoir prit plus d’assurance, et me sent femme, oui c’est sa, depuis que j’ai dépasser ma peur, je me sentait un peut plus femme, et cela n’est pas pour me déplaire.

Une fois que je fut sèche, je commence à m’habiller, d’un jean bleu foncer, un petit chemisier noir, et un pull gris à col bateau. Je prend pas la suite le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement. C’est … C’est incroyable comme je peux me sentir bien. Quand j’eue terminé, je débranche le sèche cheveux, et à l’aide d’une bombe de laque, je m’en mit mettant toute ma chevelure sur le côté gauche. Par la suite, je met les boucle que ma jolie blonde m’a offert, ainsi que la petite chaîne en argent.

Je prit du laïner et me fit le contour de l’œil doucement, et répéta mon geste avec l’autre. Je me passe un peut de gloss sur mes lèvres, car bon, c’est pas que je n’aime pas le rouge à lèvres mais je c’est que beaucoup d’animaux meurt pour faire ce genre de produit cosmétique, je trouve sa abjecte et répugnant, j’en met juste quand c’est pour une occasion. Je prit un flacon de parfum « Intime » me mit trois petit pchites, et enfin sortie de la salle de bain, me dirigeant vers la cuisine ou Haru se trouvé.

Je me mit derrière elle entour son ventre et dis le sourire aux lèvres.

Moi – hm sa sent bon … Que fais ma petite femme chérie de bon à manger.

Elle se tourne, et sourit en me voyant, je m’approche, et lui arrange un peut le col de sa chemise. Pour ensuite venir caresser sa joue.

Haruka – tu est vraiment ravissante ma chérie !
Moi – merci mon ange, mais que nous fais tu à manger ?
Haruka – des nouilles japonaise.
Moi – hm, sa va être bon tout sa.

Je la voie mettre le couvercle sur la marmite elle mis le minuteur, retire le tablier qu’elle porter, et vint me prendre la main. Sans rien dire, je la suis, et je la voie prendre place sur la rebord du canapé, et ses mains prend les miennes.

Haruka – je suis vraiment heureuse !
Moi – ah oui ? Pourquoi ?

Je m’approche, me mettant entre ses jambes, et prenant tendrement son visage dans mes mains, lui caressant à l’aide de mes pouces. Je sent ses bras, entourer mon dos, et son sourire s’agrandit.

Haruka – car grâce à une personne si particulière, j’ai réussi à vaincre ma peur.

Je sourit, comprenant ou elle voulais en venir. Je lui sourit tendrement, et vint caresser son front avec le mien. Jouant avec son nez.

Moi – je suis aussi très heureuse d’avoir vaincu ma peur, car à présent … Je me sent encore plus proche de toi, et je me sent … Un peut plus femme.

Elle ma sourit, ses lèvres tapotent doucement les miennes, et sa voix résonne.

Haruka – mais tu est déjà un petit bout de femme, tu est belle et même à 18 ans tu est déjà une jolie jeune femme … Ma petite femme à moi.

Je sourit, je lui caresse la joue, écartant quelques mèches de ses yeux, un regard que je ne cessairait de regader et d’admirer.

Moi – tu sais … Par moment, j’ai l’impression de rêver.
Haruka – pourquoi ?
Moi – car je n’aurais jamais crue rencontrer le grand amour au lycée, et je n’aurais jamais crue tomber éperdument amoureuse de l’un de mes professeurs.
Haruka – mais moi, je ne regrette rien … Je suis très heureuse d’avoir fait ta rencontre mon trésor.
Moi – moi non plus je ne regrette pas, d’avoir trouvé la moitié de mon cœur … Je t’aime Haruka, c’est dingue à quel point jee peux t’aimer.
Haruka – moi aussi je t’aime chaton, et je t’aime sincèrement !

On se sourit et ses lèvres attrapèrent amoureusement les miennes. Je sourit, et me laisse faire avec bonheur, caressant ses joue, et l’embrassant tendrement. Décidément ce petit jeu nous avait grandement rapproché l’une de l’autre, et c’était vraiment un délice. On se détachent doucement, ses doigts remette quelques mèches sur le côté, et moi je continue de la dévorer du regard.

Moi – il me tarde le jour ou je serait devenue véritablement ta femme.
Haruka – mais tu l’est déjà … Tu est ma femme celle que j’aime et désir plus que tout.
Moi – Haru …
Haruka – chuut …

Et tendrement nos lèvres s’unir de nouveau dans un long et doux baiser. Haruka, quand arrêteras-tu de me rendre ainsi ? De me rendre si amoureuse et heureuse, tu as un don, ou alors c’est que vraiment je suis folle. Oui folle de toi de tes bras tes mots et tes lèvres. La magie prit doucement fin, et je lui dit en enroulant sa nuque et en la serrant dans mes bras.

Moi – je ferais tout pour te garder avec moi, sa fait longtemps que je rêve de rencontrer le grand amour, et maintenant que je les trouvais, je ne compte pas le laisser filer dans les bras de quelqu’un d’autre. Tu est devenue si importante à mes yeux que je n’ose plus imaginer ma vie sans toi … Ma si jolie blonde, ma femme!
Haruka – moi non plus je ne veux pas te perdre, et te laisser partir dans les bras d’une autre personne, tu est celle qui donne enfin un sens à ma vie, celle qui me comprend … Ma douce et tendre Michiru, tu es devenue indispensable à ma vie, tu est mon oxygène ma raison de vivre tu est … La femme de ma vie.

Je sourit, et la serre contre moi, lui embrassant tendrement la nuque. Ses mains me caresse, et je me sent bien avec elle. Je laisse mon regard s’encrer dans le sien, et caresse doucement sa joue.

Moi – Haruka … Ma douce et jolie blonde toi seule emflamme mon cœur, je t’aime.
Haruka – moi aussi ma chérie et je t’aime bien plus que sa encore !

On se sourit, et un petit câlin s’installe entre nous. Je pose ma tête sur son épaule droit et lui caresse le dos, lui déposant un doux baiser sur sa nuque. Ses mains caresse le mien, et je me laisse prendre dans cette douce étreinte.

Haruka – dis moi … Où es ce que tu veux manger ?
Moi – n’importe où tant que je suis avec toi.
Haruka – hm … Ma chérie !

Elle caresse mon dos, allant mêler ses doigts dans mes cheveux et posant ses lèvres sur mon cou. Je n’aurais jamais crue que notre petit jeu puisse nous rapprocher autant.

Après ce petit câlin bien agréable, c’est avec le sourire que je partit mettre le couvert sur le balcon, il faisait bon, et un peut d’air frais ne ferait pas de mal. Soudain j’entend mon téléphone sonnait, surprise je décroche et dis :


Moi – oui allo ?
Cléo – salut Michi !
Moi – teh Cléo ça va ?
Cléo – bah tout rool, et toi ?

Je met mes écouteurs, rangeant mon cellulaire dans ma poche.

Moi – bah écoute tout va pour le mieux.
Cléo – ouh … Sa sent l’amour, sa se passe bien avec ton professeur ?
Moi – très bien, c’est le pure bonheur.
Cléo – ah ouais pourquoi sa ?

Je sent des bras entourer ma taille, je sourit, et répond en appuyant mon dos contre elle.

Moi – eh bien … Je vais avoir le bonheur de l’épouser.
Cléo – quoi ?? C’est pas vrai.
Moi – si si, lorsque je suis revenue de mon stage nous avons fêté son anniversaire, et je lui est demandé sa main.
Cléo – mais enfin c’est supère sa !! oh Michi je suis si heureuse pour vous.
Moi – merci Cléo sa me touche que tu soit heureuse !
Cléo – heureuse ? Non mais attend ma meilleure amie va se marier bien sûr que je suis heureuse même supère heureuse.
Moi – merci tes vraiment génial, je t’adore !!
Cléo – moi aussi et très fort.

Je sourit, heureuse que Cléo l’aie bien prit, je prend sa main droite et lui dépose un baiser.

Cléo – tu pourrais m’envoyer une photo de toute les deux s’il te plais ?
Moi – oui bien sur, mais pour sa faut que je raccroche !
Cléo – ok.

Et notre communication se coupa. Je pose ma tête juste à côté de la sienne, ses lèvres son contre ma joue gauche, ses mains caressant mon ventre, et une fois que je trouva le bouton pour l’appareil photo je nous cadre, et appuya sur le bouton.

Heureuse je cherche le numéro de Cléo, et une fois trouvais je lui envoie la photo. Je sourit, et me tourne afin de croiser son regard.


Moi – je suis heureuse, Cléo la vraiment très bien prit.
Haruka – tant mieux alors … Allé vien on va manger trésor !
Moi – ok dans ce cas …

Je lui soulève le menton et déposa mes lèvres sur les sienne. Oui depuis ce qui c’est passé, je me sentait beaucoup femme et j’avais prit beaucoup plus d’assurance. Elle me sourit, et doucement elle répond à mes baiser.

Haruka – allé ma petite femme à table.
Moi – c’est que ma jolie blonde me donne des ordres maintenant.

Elle ma sourit, m’embrasse le front, et nous prîmes place l’une en face de l’autre. Je pose ma main sur la sienne, et c’est en souriant que nous commencions à manger. Mon téléphone se met à sonner mais je ne répond pas, car de un nous étions à table et que c’est très impolie pour la personne qui est en face de nous.

Moi – quand même … Cette histoire de message avec une adresse d’un orphelina me perturbe.
Haruka – c’est vrai que c’est louche, mais je pense qu’il va falloir y’aller faire un tour.
Moi – oui, bien que sa me face peur !
Haruka – je serait là moi.
Moi – merci mon amour !

Je lui sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je prend les couverts, et alla mettre ses dernier dans le lave vaisselle, puis mon portable ce met à sonner, surprise, je prend ce dernier et dit :

Moi – oui allo ?
? - Michiru ?
Moi – euh … Oui c’est moi, qui est à l’apareil ?

Je regarde Haru, qui m’observe avec un doux sourire.

? - Ah Michiru je suis bien heureux de t’entendre, je suis le directeur de l’orphelina. Comment vas tu ?

Je m’arrête et pose ma main sur le plan de travail et aval difficilement. Mes yeux se ferment, et je me tourne vers ma jolie blonde, je regarde mon téléphone et raccroche, impuissante face à sa.

Haruka – que ce passe t-il mon trésor ?

Elle ma relever le visage et d’un geste doux ma caresser la joue, j’essaie de resister, mais les larmes se font de plus en plus prenante.

Moi – c’e … C’était l’orphelina … Je … Je ne sais plus quoi faire, j’ai l’impression de vivre dans un menssonge.

Puis mon portable se met de nouveau à sonner, je regarde ce dernier et voie que c’est le même numéro, je vint me lover dans les bras de ma douce, et épuisé me laisse tomber.

Moi – c’est encore … Le même numéro, je fais quoi ?
Haruka – tu as confiance en moi ?
Moi – bien sur quel question.
Haruka – alors laisse moi faire ok !

Elle me prend le visage et me posa un délicat baiser sur les lèvres, caressant mon visage. C’est une chance que je l’aie à mes côtés. J’entour son dos, et me laisse bercer par son câlin et ses mains qui me caresse agréablement.

On se décollent doucement, et doucement, je caresse sa joue en soufflant.


Haruka – laisse moi faire trésor, d’accord ?
Moi – d’accord.

Elle me sourit, me tapote doucement le nez, me fit un clin d’oeil, et répondit à l’appel.

Point de vue Haruka.

Je me dirige vers le balcon et dis en m’accoudant contre ce dernier.

Moi – oui allo ?
? - Michiru ? Pourquoi as tu raccroché !
Moi – excusez moi, mais ce n’est pas Michiru au téléphone.
? - ah ? Et à qui ai-je à faire dans ce cas ?
Moi – je me présente Haruka Tehoh, je suis sa femme. Et vous ?
? - bonjour madame Tenoh , en faite je suis le directeur de l’orphelina « Tout petit »
Moi – bonjour monsieur, je suis désolé, mais Michiru, n’est pas en état de répondre, donc que lui voulez vous ?
? - je comprend, eh bien j’aurais aimais savoir comment elle allait, si depuis qu’elle est parti de chez nous, si elle mène une vie normal ?

Je rester là à écouter ce directeur, si j’arrive à bien comprendre, Michi a était adopté, ce qui veux dire que ses parents doicvent se trouver quelque part dans ce monde. J’étais heureuse et mélancolique à la fois, heureuse car elle avait peut être une chance de revoir ses véritable parent, et mélancolique dans le sens ou je ne pourrais peut être plus la voir si elle s’en va avec eux. Je regarde l’horizon et retiens mon chagrin du mieux que je peux.

Moi – eh bien oui elle va très bien, mais puis-je vous poser une question ?
? - oui bien sur.
Moi – comment avez vous eu son numéro ?
? - eh bien, j’ai d’abord fait des recherche sur internet, et comme je ne trouvait rien, j’ai consulté le botin, et au niveau des page blanche en allant à la lettre K j’ai trouvé son non et son prénom ainsi que son numéro !
Moi – je comprend mieux, mais serait t-il possible que l’ont puisse vous voir pour mettre toute cette histoire au clair ?
? - oui oui bien sur madame, la petite Michiru nous manques beaucoup, donc que deriez vous de nous voir vers 13 heure ?
Moi – très bien, dans ce cas je vous dit à tout à l’heure.

Et sans que je ne puisse continuer, la communication se coupa. Je regarde le ciel perdu, mon cœur me fait mal, dans un sens j’ai envie de la voir heureuse mais dans l’autre je n’aie pas envie qu’elle s’en aille loin de moi, loin de notre histoire, car pour moi, sa compte. Je me retourne et me dirige vers le salon, ou Michi se trouvais assise sur le canapé, à regarder les photos qu’elle a reçu ce matin.

Je m’approche d’elle, enroule son cou, et ses yeux qui son vide son humide. Je lui caresse les épaules, et lui murmure :

Moi – sa va aller Michi, je suis là !
Michiru – merci, mais dis moi qu’es ce que l’ont va faire ?
Moi – le directeur de l’orphelina veux nous rencontrer.
Michiru – et cas tu dis ?
Moi – j’ai accepter pour mettre au moins cette histoire au clair.
Michiru – mais je … Imagine si je dois à tout hasard rencontrer mes véritable parents ? Imagine si ils me demande de les suivrent ? Je n’aie pas envie, parce ce que … Parce qu’ici j’ai ma vie, et j’ai surtout ma vie privé qui compte beaucoup pour moi, je n’ose pas imaginer une minute ma vie sans toi.

Je sourit, au moins je ne suis pas la seule à être contre cette idée. Je lui caresse la joue, et lui murmure :

Moi – écoute, pour moi aussi il est hors de question que je te laisse partir, mais j’aimerais au moins en savoir plus sur ce qui tes arrivé, pour ainsi t’aider du mieux que je peut pour te soutenir ma chérie … Je ne pourrais jamais, te laisser partir loin de moi.
Michiru – oh Haruka …

et sans que je ne dise quoique se soit d’autre, ses lèvres s’emparent des miennes. Je lui soulève le visage, caressant ses joues de mes pouces, et répond avec tendresse à sa douceur. Mon cœur bat tellement fort, avec tout se qui c’est passé etre nous je ne cesse de penser à elle, à nous, à notre histoire qui est devenue importante à mes yeux au fil des mois.

Ont se décollent doucement, je lui fit un doux sourire, et lui embrasse le nez.


Moi – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi Michi !
Michiru – pareil, tu pourras toujours compter sur moi !

Nos yeux se caressent, et je continue mon geste avec douceur sur ses joues. Les minutes s’écoulent, et lorsque une heures sonna, je commence à fermer le store du salon et attend Michi qui est parti à l’étage. Elle redescend quelques minutes après, je lui sourit, et tout en lui prenant la main, nous quitons la maison. Je ferme la porte à clés, et longe le couloir.

Sa tête se pose sur mon épaule droite, et je l’entend soupirer, je caresse sa main pour la détendre. Une fois dans le parking souterrain, je déverrouille l’alarme, monte et une fois que nous fûmes toutes les deux prête, je démarre, fit une marche arrière, et partit direction l’orphelina.

Pendant le trajet Michi était silencieuse, elle avait mis sa main sur ma jambes, je n’aime pas la voir dans cet état, arriver à un feu rouge, je m’arrête, et pue prendre sa main dans la mienne.


Point de vue Michiru.

Je tourne mes yeux et voie Haruka qui me regarder l’air inquiète. Je lui sourit doucement, et serre sa main dans la mienne.

Moi – désolé de te faire du souci mon amour.
Haruka – ce n’est rien, ne t’inquiète pas mon trésor.

On se sourit, je m’approche et lui posa un doux baiser qu’elle me rendit avec bonheur. Tant qu’elle est à mes côtés, je n’est pas à avoir peur, la seule chose que j’espère, et que personne ne me l’enlève. Je ne pourrais pas supporter la séparation.

Quand ont fut arrivé, ma jolie blonde se gare, et c’est le cœur battant à la chamade que je sorti de la voiture. Haru enclanche l’alarme, elle me prit la main et me guida vers le bâtiment. J’avais une boule au ventre, comment allais-je réagir ? Quel genre de vérité allais-je connaître. Tout cela me fait peur, mais je n’aie pas pour autant envie de baisser les bras, je voulais enfin en avoir le cœur net.


Une fois devant la porte, je souffle un bon coup, Haru vint m’embrasser la joue en me serrant la main. Et nous entrâmes dans l’orphelina. L’intérieur du bâtiment est sombre, des poutres noire trônaient dans la maison, le sol recouvert d’une moquette grise. Je passe en revue le bâtiment, et aucuns souvenirs me reviens se que je trouve assez bizarre.

Je caresse doucement sa main, et lui sourit comme pour lui dire que j’allais bien. Elle me fit un clin d’oeil, et je continue à avancer. Puis une petite fille au long cheveux blond comme Haru apparue, elle nous regardée.


Moi – bonjour toi …

Je vint m’accroupir, et lui sourit gentiment. Je la voie se diriger vers moi, elle pose sa petite main sur ma joue et me regarde. Elle devait avoir 3 ans tout au plus, elle possède de jolie yeux caramel, et elle se mit dans mes bras. Je sourit et me relève.


Petite fille – bon … Zour madame !
Moi – bonjour petit cœur, comment tu t’appelle ?
Petite fille – Anastasia, et vous ?
Moi – c’est très jolie, moi c’est Michiru.

Elle me sourit, et je lui rendit chaleureusement. Ses petit yeux marron se tourne et Anastasia se mit à parler.

Anastasia – bonzour madame.
Haruka – bonjour poussin, tu vas bien ?
Anastasia – oui.

On se sourit tendrement, ma jolie blonde met sa main sur mon dos et nous continuons d’avancer vers le couloir essayant de trouver le bureau du directeur. Au loin je voie une porte avec une pancarte ou il y avait d’inscrit « Monsieur Petit » sa doit être là, je me baisse et repose Anastasia qui affiche une petite moue.

Anastasia – vous viendrais me dire au revoir ?
Moi – promis.

Elle me tend son petit doigt, se qui m’attendrit un peut plus, j’aime beaucoup les enfants, et j’ai le désir d’en avoir plus tard. Je lui tend mon petit doigt, et le serre.

Moi - croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer.

Elle avait dit en même tant que moi, et cela me fit sourire. Je me redresse et affiche un doux sourire à ma cher et tendre, qui remet quelques mèches bleu derrière mon oreille. Je lui prend la main et souffle un bon coup.

Moi – aller, j’ai déjà surmonter plus dur que sa !
Haruka – et puis moi je suis là.
Moi – oui je sais, et c’est bien sa qui me rend heureuse ma chérie !

On se sourit, ses lèvres caressent les miennes pendant une fraction de seconde, je lui rendit avec tendresse, et enfin toqua à la porte.

? - oui entré.

Je souffle un dernier coup, et abaisse la poignet poussant la porte pour entrer dans le bureau. L’homme qui était derrière ce dernier ce lève les yeux grand ouvert comme si il était étonné. Il s’approche de nous et s’exclame d’une voix grave mais douce.

? - Michiru c’est bien toi … C’est bien toi mon enfant ?
Moi – bonjour monsieur.
? - Oh Michiru, tu as tellement grandit, tu est devenue une belle jeune femme, mais viens donc t’asseoir. Bonjour madame Tenoh.
Haruka – bonjour monsieur !

J’allai prendre prendre place devant le bureau, à la gauche de ma jolie blonde qui serra ma main dans la sienne. Une femme de taille moyenne et d’âge ancien fait son apparition et se poste à la droite du vieux monsieur qui me regarde depuis tout à l’heure. Elle est habillée d’une robe noire surmonté d’un petit tablier blanc.

Directeur – Michiru, je suis vraiment très heureux de te revoir, mais que fais tu maintenant ? Et sa se passe bien avec tes parents ?

Michi respire et inspire, ce n’est pas le moment de se montrer faible, je serre la main d’Haruka, et dis :

Moi – eh bien … Comment dire, cela va faire un peut plus de trois ans que je ne côtoie plus mes parents et que je ne vis plus avec eux. Je ne sais pas se qui c’est passé réellement mais …

Mon cœur se serre et j’ai du mal à articuler.

Moi – ma mère est morte des mains de mon père qui voulais récuperer ses biens ainsi que ma garde, durant des années j’ai vécu un enfer, quand je rentrer de la primaire, mère m’enfermer dans un placard, et dès qu’elle partais, père en profité pour me battre, j’ai eu droit au coup de ceintures à la règle, et aux écrasement de ses cigarette, je lui server de coussin, il m’obliger à me mettre à quatre pattes et il allongé ses jambes sur moi, il me surnomé de guenond, de petite traîner que j’étais bonne à faire les trottoire, il m’avait même dis un jour qu’il m’apprendrais le chemin des prostituers et je …

C’est dure de raconter tout sa, et je n’aie pas pue retenir mes larme qui se mette à caresser mes joues.

Moi – il me forcer à me dénuder devant lui, si je refuser de lui obéir je finissait dans son lit, et il … Il … Il a osé me violer en me droguant.

Je ne relève pas la tête, mais continuer de deverser mon chagrin, sa fait trop longtemps que je garde sa en moi, je serrer la main d’Haruka dans la mienne, et n’oser plus rien dire.

Directeur – non … Sa, sa ne peux pas être vrai, ils étaient si gentilent pourtant lorsqu’ils sont venuent t’adopter, et sa na pas était facile !
Moi – j’ai du mal à croire que j’ai était adopter, qui je suis réellement ? Qui son mes véritable parents, je veux savoir, j’en est assez de vivre dans le mensonge.
Directeur – Je suis profondément désolé Michiru pour se qui tes arrivé vraiment, je n’aurais jamais crue qu’ils puissent être d’une cruauté effroyable. Avant de tout te raconter, je vais te présenter une personne, c’est elle qui c’est occupé de toi lorsque tu est venu ici. Martine approche s’il te plais.

La femme qui était à ses côté s’approche et me regarde peiné, elle a du entendre mes propos. Elle ma relever le menton et mes larmes valsent sur mes joues.

Martine – Michiru, ma toute petite, si tu savait comme je regrette de t’avoir confier à des monstre pareil, pendant des années je me suis occupé de toi, toi qui était si seule, si solitaire. Tu resté devant la fenêtre de ta chambre espérant que ta mère et ton père vienne te chercher. Quand tu voyais tes camarade partir avec le sourire au bras d’un couple tu t’enfermer à clés et tu joué du violon en pleurant. Pendant longtemps j’ai veiller sur toi, et je voie que tu as beaucoup grandit, tu est devenue si belle.

Je la regarde, ses mots avait apaisé mes pleurs, mais je continue d’avoir mal au cœur comme si un poignard m’avais transpercer. Je m’approche d’Haruka, et cala ma tête dans son cou, posant ma main gauche sur son épaule. Ses main m’enroulent et me serre contre elle.

Martine – bonjour madame excuser je ne vous avez pas vue, qui êtes vous ?
Haruka – ce n’est rien, je suis Haruka Tenoh et suis la femme de Michiru.
Martine – oh … Je voie !
Directeur – Michiru, tiens regarde.

Je lève mes yeux et remarque un gros dossier, je m’approche doucement de ce dernier, reniffle un peut et m’essuie les yeux. J’ouvre le dossier et voie plein de dessin le premier représenter une famille une petite fille tenais les main d’un homme et d’une femme, tout les trois aborder un magnifique sourire, la petite fille avait le cheveux écume comme moi. Le second représenter un cœur avec deux princesses, je continue de feuilleter le dossier, et au bout d’u moment je voie une enveloppe, je prend cette dernière, et l’ouvre, déplie la feuille, et mettant mon dos contre le dossier du siège, je commence à la lire.

« Michiru ma chérie, si tu lis cette lettre sa veux dire que tu as grandit et que tu est en état de comprendre ce qui c’est passé. Tu est née un 21 octobre à Venise, la plus belle ville que je n’aie jamais visité. Ton père et moi sommes très heureux de tavoir mis au monde, tu est tout pour nous, mais voilà à l’époque ou tu as fait notre bonheur, nous étions très pauvre, et n’avais de quoi que de nourrir deux personnes, tu doit trouver sa égoiste de notre part, mais nous avons d’abord penser à toi, et je désirer plus que tout te voir heureuse, alors ton père et moi avions décidé de te confier à un orphelinat et que des adultes puisse t’aimer et s’occuper de toi comme il se doit. J’espère que tu est herureuse et que tu ne m’en voudra pas d’avoir prit cette dessision. Ta maman et ton papa qui t’aime plus que tout »

je ne bouge plus, le papier deviens transparant et l’écriture s’éfface, je plaque ma main sur ma bouche, et mon corps se met à trempbler, alors … Ma mère et mon père mon mit ici non parce ce qu’ils ne m’aimer pas mais l’argent manqué cruellement, je ne sais pas quoi dire ou même penser, je replie la lettre, la remet dans l’enveloppe, et pose cette dernière sur les dessins.

Moi – que … Que sont t-il devenus ?
Directeur – eh bien à ce que j’ai pue comprendre, ta mère est dirige un restaurant cinq étoile, et ton père est chef d’une entreprise pour fabriquer le papier. Après t’avoir confire à notre orphelina ils ont tout fait pour remonter la pente, malheureusement ils …
Moi – ils quoi ?

Je le regarde la peur au ventre. Je n’arrive pas à contrôler mes larmes, et mon corps continue de trembler.


Directeur – malheureusement ils on décidé de ne plus te voir, depuis qu’ils ont bâtient leur entreprise ils on cessaient de prendre des nouvelles, et veulent continuer à vivre ainsi.
Haruka – mais enfin c’est impossible, des parents ne peuvent pas avoir de tes propos surtout si il s’agit de leurs enfants.
Directeur – je le sais bien madame, mais que voulez vous, ils ont préféré mettre en œuvre se qu’ils avaient échoué.
Moi – je vous remercie pour toutes ses informations, mais pourrais-je prendre le dossier ,
Directeur – bien entendue Michiru, et je suis vraiment désolé pour se que tu as appris.
Moi – ce n’est rien ne vous inquiétez pas.

Je commence à me lever, je ne voulais pas rester une seconde de plus ici, je sert la main du directeur, sourit à la vieille femme, et sortie le cœur meurtri.

Anastasia – ah vous êtes revenu.

Je sourit faiblement, et me baisse pour prendre la petite dans mes bras.

Moi – je te dis à bientôt.
Anastasia – oui et merci !
Moi – de quoi ma puce ?
Anastasia – parce que vous êtes la première à me serrer dans vos bras.
Moi – et je le referais autant de fois que je te reverer !

Je lui embrasse le front, et Haruka aussi, et enfin nous sortîmes de l’orphelina.

Haruka – Michi …

Je ne répond pas, mes larmes avaient de nouveau envahie mon visage. Je monte dans la voiture et m’attache, et Haru vint démarrer en posant sa main sur la mienne.

Moi – pourquoi … Pourquoi sa doit se passer comme sa, qu’es ce que j’ai fait pour mériter sa, je me suis plier j’ai fait tout se que l’ont me disait de faire jusqu’à me retrouver dans un lit nue face à un homme qui ma torturer violer et droguer à plusieurs reprise, pourquoi ne veullent t-ils pas me voirent, j’en est assez, assez que l’on me piétine ?

Je ne me retenais plus, je fondit littéralement en larmes cachant mes yeux de ma main droite. Je sent la voiture s’arrêter, et me sentit soulever. Surprise je retire ma main et remarque que nous étions arriver dans la parking, et que Haru m’avait prise dans ses bras. Jenroule son dos, et love ma tête dans son cou coté gauche et hurle intérieurement de douleur.

Moi – pourquoi mes propre parents ne veulent pas de moi ? Pourquoi préfèrent t-ils se couvrir de gloire et de paillette plutôt que de voir leur fille grandir. Ce n’est pas juste, alors que j’étais persuadé que ma mère était morte et mon père en prison.

Je me serrer contre la femme que j’aime pleurant à chaude larme, blessé et peiné.

Point de vue Haruka.

J’ai mal de la voir comme sa, c’est … Moi même je n’en reviens pas que des parents puisse renier leur propre fille à leur travail, je vint la serrer aussi fort que je le pouvais.

Moi – Chuut … Calme toi mon ange, je … Je suis profondément désolé pour se que tu as appris, mais moi je suis là, et je le serait toujours, mais ne te retiens pas si tu as envie de pleurer ou hurler fait le, mais je t’en supplit ne te détruit pas.

Elle remonte ses yeux qui son inonder de larmes, et me regarde, je lui essui les goûte d’eau salé, et lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire.

Michiru – Haru si tu savait comme je …
Moi – chuut …

Et poussé par une infini tendresse, je l’embrassa le plus tendrement possible. Ses mains me serre, et l’une d’elles se pose sur ma joue et me la caresse. Malgré la tendresse que je lui transmettait à travers ce baiser moi même j’avais mal au cœur d’avoir appris cette nouvelle, je ne voulais pas la voir dans cet état de souffrance, sa me déchirer plus qu’autre chose, et l’envie de verser des larmes de compassion me tient.

Apparemment je ne suis pas assez résistante car une petite larme solitaire dévale ma joue gauche. On se détachent doucement, je lui caresse la joue en lui souriant. Sa main vint chasser la larme, et elle me dis :


Michiru – Haru …
Moi – ce n’est rien, je suis juste peiné de se qui t’arrive trésor.

Je lui embrasse le front, et me détache. Je sort de la voiture, enclanche l’alarme, et longea le parking jusqu’à la sortie. Michi se serrer contre moi, et sa main caresser ma peau. Je lui sourit, et monte les quatre étages. Une fois devant la porte, Michi prit les clés et les insère dans la serrure et tourna deux fois vers la droite.

Je rentre à l’intérieur, et monte à l’étage. Pénètre dans la salle de bain et ferme la porte. Je dépose ma douce sur le sol devant le lavabo, prit un coton le mouille et vint lui démaquiller les yeux. Mon cœur battait si vite, mais m’occuper d’elle me procurer un bien fou. Quelques larmes roulent le long de ses joues, et doucement je lui essui stopant unes d’elle avec un baiser.

Je commence par lui retirer le pull, et vint débouter son chemisier. Retirant son jean, puis son soutien-gorge, et sa lingerie intime. Je m’approche de la baignoire, et fait couller l’eau, cherchant la bonne température. Quand cette dernière fut prête, je mit un bouchon sur l’évacution, et me tourne vers Michi, je la prend dans mes bras, et la pose doucement dans la baignoire. Je m’accroupie, m’appui sur le rebord, je lui caresse la joue, et lui murmure d’un ton doux :

Moi – maintenant tu vas te détendre dans ce bain d’accord ? Je ne veux plus te voir comme sa, si tu as le moindre souci je suis là ma chérie, et je le serait toujours … Je t’aime mon amour, et quoiqu’il arrive je serait là.
Michiru – je t’aime tant Haruka … Pour moi, tu est comme ma deuxième famille.

Je sourit, lui soulève le menton et lui posa un baiser. De nombreuse minutes nous restons comme sa, je pense que savoir que l’ont peut toujours compter l’une sur l’autre nous renforce, et cela depuis notre rencontres. La magie prit douement fin, je lui caresse sa lèvres inférieur, et lui fit un petit clin d’oeil.

Moi – allé, détend toi maintenant, tu en a besoin, si tu as un souci je serait en-bas.
Michiru – merci … Ma chérie !
Moi – ce n’est rien, c’est normal.

Je l’embrasse sur le front, lui tapote le nez, et sortie de la salle de bain la laissant se détendre. Je descend et me dirige vers le canapé, met des petites lunettes, et sort de mon sac qui se trouver à côté du meuble des copies et à l’aide d’un stylo rouge commence à corriger.

Sa me fait penser, que les bulletins ne devrait plus tarder, le directeur m’ayant expliquer qu’il y avait eu un souci au niveau de l’informatique, les bulletins des élèves auraient un peut de retard.


Après quelques minutes, je pose mon stylo ayant tout terminé, et monte à l’étage pour aller voir comment allait Michi. Pour ma plus grande surprise, je ne la trouva pas dans la salle de bain, d’ailleurs, celle-ci était rangé et sentait bon. Inquiète je ferme la porte, et me dirige vers la pièce du fond qui était notre chambre, j’ouvre doucement la porte, et eu un tendre sourire, elle était couchée. Je m’approche, et la couvre, allant fermer les volets par la suite. Je lui pose un doux baiser sur la joue, et parti la laissant dormir. Avec toutes ces nouvelles pas très joyeuse qu’elle a appris je la comprend. Donc je croix que je vais faire un peut de rangement, puis après je ferait un peut de repassage de nos affaires.

Au alentours de 19 heures, alors que je me trouve assise sur le canapé en train de lire, j’entends du bruit, surprise je me tourne et sourit en voyant que c’était Michi qui descendait les escaliers. Elle se dirige vers le canapé, et d’un geste tout à fait naturelle, elle c’est lové dans mes bras.

Moi – bien dormis ? Je lui caresse les cheveux
Michiru – oui, sa ma fait du bien !
Moi – je veux bien te croire dormir 7 heures d’affilé, sa ne peux être que reposant.

Elle remonte sa tête, elle est encore endormis derrière ses petite lunette noire, je sourit, et caresse son visage. Ses mains se mettent sur les miennes et ses doigts efleure ma peau.

Moi – tu vas mieux ?
Michiru – un peut oui, merci Haru pour se que tu as fais !
Moi – ce n’est rien voyons ma chérie.

Je lui sourit, et nos lèvres s’unir dans un doux baiser. Je me laisse basculer sur le dossier du canapé la serrant contre moi et allant carreser son dos passant mes main sous son polo. Je sent ses mains se posées sur mes joues eet ses pouce me caresse.

Mon cœur se met à me brûler dans ma poitrine, nos langue se trouve et se câline sauvagement.


Michiru – hm …

Mon cœur s’enflamme, et je la serre de plus en plus fort contre moi. On se décollent doucement et nos fronts se caressent, et les battements de mon cœur s’accelaire.


Michiru – je t’aime !
Moi – moi aussi mon trésor.

On se sourit, et nos mains caressent le corps de l’autre. Nos yeux son encrés l’un dans l’autre, je lui embrasse le nez, et fait durer le plaisir. Je descend doucement ferme les yeux et caresse son nez avec le mien, attrapant sa lèvre, et la caresse. Je lui caresse le dos, c’est impressionnant à quel point je peut la désirer, à quel point je suis attiré par elle. Je sent ses lèvres répondre à mon petit jeu, et elle fait pareille.

Moi – si tu savais ( l’embrasse ) à quel point je te ( l’embrasse de nouveau ) désir ma tendre Michiru.

Je sent sa langue s’enrouler dans la mienne, elle s’approche et vint se coller à moi, en manque d’oxygène on se décollent, je lui sourit, lui tapote le bout du nez, et sa voix me murmure :

Michiru – moi aussi, je te désir plus que tout … Ma jolie blonde.

Je sourit, et caresse sa joue. Notre petit câlin dura un petit moment, et sans faire attention, nous nous étions endormies sur le canapé. Michi dans mes bras.

Eh voila la fin de ce chapitre, en espérant ne pas
Mer 23 Oct 2013, 14:54 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 4

Kikou, je remercie grandement inlove pour ses commentaires qui me font vraiment plaisir, donc sans plus attendre voici le chapitre 4.

Chapitre 4 : Exposé et humiliation

Point de vue Haruka.

Quelques jours plus tard avant la date butoir de l’exposer de la classe B-5 c’est à dire la mienne, je me retrouve à la maison dans la cuisine, en train de préparer le repas de ce soir. Au menu spécialité japonaise onigiris porc au caramel et sushi. Michiru se trouvait dans le salon en train de terminer son travail. Je met le riz à cuir 5 à 10 minutes pas plus, et un torchon à la main je me dirige vers ma douce.

Il est vrai que depuis que je lui avait délivré mes sentiments se que je ne fait pas tout les jours nous étions beaucoup plus proche, et cela me rendait très heureuse. Je m’avance vers ellle et enroule son cou lui posant un doux baiser sur sa joue.

Moi – Qu’es ce que tu fais ?
Michiru – je termine l’exposé pour demain, et je dois t’avouer Haru que sa me fait légèrement peur de devoir le réciter devant tout le monde.

Mon sourire s’agrandit un peu plus, j’aimer particulièrement quand elle me trouvait des petit surnom comme celui-là, sa me rendait si heureuse. Je pose le torchon sur la table, et vint m’avancer un peu plus, caressant tendrement ses épaules.

Moi – et de quoi aurais tu peur ?
Michiru – bin on doit réciter l’exposer devant toute la classe. Et le regard des autre me fait douter de mes capacités.
Moi – eh … Il n’y aura que les élèves de notre classe, et je serait la seule pro.fe.ss.eur présente ici !
Michiru – n’empêche sa me fait peur !
Moi – tu veux me le réciter pour t’entrainer un peu ?
Michiru – oui pourquoi pas, de toute manière je les terminé, mais promis tu rigole pas !
Moi – tututu … Pourquoi rigolerais-je de ton travail chaton, je sais que tu en est capable, aller va te mettre derrière la table basse je t’écoute et répond si il y a des questions.
Michiru – merci Haru.

Elle a tendrement posé ses lèvres sur les miennes, m’embrassant avec douceur. Je répond délicatement à son baiser, et la libera afin qu’elle puisse commencer.

Michiru * aller ta déjà surmonter bien plus que sa *

je la voie respirer un grand coup et sa douce voix résonne :

Michiru - le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour toi c’est quoi « l’amour »
Moi – eh bien c’est ressentir de l’amour et de la tendresse pour une personne, c’est se sentir attirer par cette dernière.
Michiru - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.

Je sourit de plus belle, c’est vraiment très bien en plus sa voix est claire et elle articule parfaitement entre chaque mots, et je ne dis pas sa parce ce que j’en suis éperdument amoureuse.

Michiru - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.

Je ne sais pas quoi dire, c’est … Extraordinaire ce vocabulaire qu’elle détien à a peine 17 ans. Je la dévisage en souriant, buvant encore ses paroles que je trouve juste et belle.

Moi – chapeau … Alors là je m’incline, c’était parfait Michiru, tu n’as vraiment pas à avoir peur, c’est … Vraiment je ne trouve pas mes mots tu as un vocabulaire très enrichi et s’est vraiment agréable de t’écouter.
Michiru – c’est vrai ? Merci.

Elle c’est dirigé vers moi, et je la prit tendrement dans mes bras afin de la câliner. La mettant sur mes jambes, j’enroule son dos et de ma main droite j’écarte quelques mèches bleutée de ses yeux et descend à sa joue en une caresse.

Moi – c’était parfait, je suis fière de toi !
Michiru – merci Haru …

Ont se sourit, et tout en allongeant ses bras sur mes épaules nos lèvres s’unirent dans un doux et tendre baiser. Je monte ma main à son visage et lui caresse la joue, la serrant aussi fort que je le pouvais contre moi. Bien qu’elle soit de caractère timide j’étais heureuse de savoir qu’elle partagé le même sentiment que moi.

Je sent une de ses mains se poser sur mon visage et ses doigts s’amusent sur ma paumette. Je l’aime c’est dingue tout se que l’ont peut ressentir quand l’amour nous frappe. Soudain je senti quelque chose de doux et chaud à la fois se qui eu pour effet de provoquer un grand huit à mon cœur.


C’est sa langue qui s’amuse avec la mienne, et je vint jouer amoureusement avec sa partenaire. En fin de compte je suis bien heureuse d’avoir accepter ce poste de professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géographie, car j’ai pue avoir ce bonheur de la rencontrer, et d’éprouver de nouvelles émotions.

On se décolent doucement, mais on dirais que ses lèvres ne son pas du même avis, elle continue de m’embrasser, et cela me rend encore plus heureuse. Je vint caresser son front avec le mien, caressant tendrement sa joue. Nos yeux se son rencontrés et ne se détache plus.


Moi – quand cessera tu … De me rendre folle ?
Michiru – jamais … Je … Oh Haruka.
Moi – chuut … Je sais !
Michiru – dis moi, et si … Et si tu me parler de toi ?
Moi – de moi ? Et que voudrais tu savoir ?
Michiru -se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu fais de tes journées ou tes soirées, tes goût.

Je sourit, je caresse sa joue, et lui dépose un légé baiser sur ses lèvres.

Moi – dans ce cas … Je vais recommencer depuis le début alors !
Michiru – oui …

Mes doigts descendent à ses lèvres, et je lui caresse la dévisageant avec amour.

Moi – eh bien … Je m’appelle Haruka Tenoh j’ai 23 ans, et suis née un 2 novembre 1990, je suis passionné de dessin et lorsque je m’ennui je peint. J’aime cuisiner et regarder un bon film d’horreur. Depuis que je suis petite, mes parents ne me fournissait aucunes tendresse, bien qu’ils ne voulais pas se séparer ils passé leur temps à se disputer. A cause de se manque, je suis très vite devenu garçon manquer, je rester avec les garçons à jouer au foot ou au tennis. Bien que ma masculinité ne m’est pas quittée au file des années, ma couleur favorite est le bleu ainsi que le violet. Malgré les apparences, je suis quelqu’un de très attachante, de nature câline et rêveuse, quand j’aime quelque chose ou même quelqu’un, je fait tout pour la garder auprès de moi.

Je la voie me sourire, sa main caresse la mienne, et ses yeux azur caresse les miens qui pétille de bonheur. Mon cœur ne cesser de cogner violemment contre ma poitrine, j’étais atiré par elle, et j’avais le désir de pouvoir commencer une histoire avec elle sérieuse et sincère.

Michiru – tu est tellement belle … Merci d’avoir était sincère !
Moi – ce n’est rien voyons … Et toi alors, parle moi de toi.
Michiru – tu connais déjà tout.
Moi – non, j’ignore se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu attends maintenant !
Michiru – eh bien, je suis Michiru Kaio j’ai 17 ans et suis née un 21 octobre 1996 à Venise. J’ai deux passions dans la vie, la musique et l’écriture, j’écris depuis 11 ans maintenant, et je fait du violon depuis l’âge de 10 ans. Je deteste les personnes qui se moque d’autrui, et qui ne prenne pas une relation au sérieuse. Je fait attention sur qui je tombe car une fois que je connais la personne, j’ai tendance à m’y attacher un peut trop vite et à me faire de faux espoires. J’adore les films d’amour et je rêve de traverser le grand tapis rouge en robe blanche. Mes couleurs préférés sont le rouge le vert et le bleu, se que j’attends maintenant ? C’est que malgré mon jeune âge, je cherche à batir une relation sincère et durable avec la personne que j’aime plus que tout.

Tout au long de son monologue, le petit sourire que j’avais au coin des lèvres c’était agrandit au file que je buvait avidement ses paroles, je lui caresse la joue, et étant de nature curieuse, je lui demande d’une voix tendre :

Moi – et … Cette personne que tu aimes, à quoi ressemble t-elle ?
Michiru – eh bien … C’est une très jolie jeune femme de grande taille et aux cheveux blond court. Ses petit yeux en amande de couleur émeraude, sa voix douce mais masculine à la fois me fait frissonner de plaisir. Depuis que je la connais elle envahie tout mon univers et mon cœur, il y a un mois de sa lorsque j’ai eu mon accident, je lui est donné mon premier baiser, et même si nous avons un statue assez éloigné l’une de l’autre, je l’aime et en suis éperdument amoureuse !

Mon rythme cardiaque deviens plus rapide et violent, sans qu’elle ne sent rende compte, elle venais de me dire qu’elle m’aimer, et qu’elle est éperdument amoureuse de moi. Je me sent tellement bien, je lui embrasse le nez, et écarte quelques mèches de ses yeux, je l’aime, j’en suis eperdument amoureuse et je ne peux pas me mentir. Je lui soulève le menton et caresse ses lèvres, et d’une voix douce je lui murmure :

Moi – alors je vais te demander une chose … Et une seule.
Michiru – je t’écoute !
Moi – cette relation que tu veux batir … Accepterais tu de la construir avec moi ? Car je n’attend que sa … Construir et vivre une belle histoire d’amour avec la personne que j’aime !
Michiru – oui … C’est avec grand bonheur que j’accepte … Haruka je t’aime.

Sa y’est elle me la dit, je suis vraiment très heureuse, je lui caresse la joue, et m’approche de ses lèvres un peut plus.

Moi – moi aussi je t’aime, et il n’y a que toi qui détiens les clés de mon cœur !
Michiru – alors je vais de suite fermer à double tour et jeter les clés dans l’eau comme sa, tu ne sera plus jamais loin de moi !

Je sourit de nouveau, et posa mes lèvres sur les siennes. A cet instant je ne sais pas se qui se passer, mais ce que je c’est en revanche, c’est que je ne la laisserais plus s’enfuir. Mes bras la serre d’avantage et mes lèvres l’embrassent le plus tendrement possible.

On se détachent doucement, et je lui murmure à douce voix :


Moi – je ne te laisserais plus partir … Oh Michi je t’aime !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore.

On se sourit, je l’embrasse de nouveau, et après ce petit moment tendre, nous allons manger. Michi parti mettre la table, et moi je me dirige ver le cuiseur rêveuse, et oui même les professeurs ont le droit de rêver. Je m’installe face à elle et commence à nous servirent. Une fois fait, je la regarde avec douceur, lui prend la main et lui dis :

Moi – J’espère de tout mon cœur que sa durera !
Michiru – oui, ne t’inquiète pas … Et puis, de toute manière, je ne suis pas prête à te laisser partir.

Je t’aime … C’est dingue çà quel point je t’aime. C’est donc avec le sourire aux lèvres et le cœur rempli de bonheur que je mangea avec Michi.

Michiru – dis une question !
Moi – oui quoi donc ?
Michiru – l’exposé, il compte pour la moyenne général de ce semestre ?
Moi – oui, c’est une note global que je vous atribuerais en fin de semaine.
Michiru – ouais du coup faut pas que je me plante pour l’exposé et le contrôle d’italien.
Moi – bah, j’ai confiance, et tu est italienne non ?
Michiru – oui oui !
Moi – dans ce cas tu n’auras aucun mal à faire ce devoir.
Michiru – un vrai professeur, mais quand on ne parle plus sa langue maternelle, parfois sa savère être difficile de se remettre dans le bain.
Moi – c’est bien vrai !

Ont se sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je me lève, et alors que ma douce mettait le sal dans le lave vaisselle, je me dirige à l’étagez pour prendre une bonne douche.

Avec toutes ses émotions ressenti au cour de ce mois ci je ne sais plus tellement ou me donner de la tête. Je ferme la salle de bain à clé, et commence à me dévêtir, allumant l’eau chaude au passage. Je me glisse à l’intérieur de la baignoire, et laissa mon corsps se détendre sous l’eau.


Mes yeux se ferment et mon visage laisse place à un petit sourire, je laisse mes doigts glisser le long de mes lèvres, sentant encore le délice de sa bouche contre moi.

Dire qu’elle était avec moi, que je pouvais la prendre dans mes bras et la câliner comme bon me semble. Sa me rendait si heureuse mais sa me faisait peur à la fois, peur de devoir souffrir, et de ne pas pouvoir supporter la séparation. Mais bon à quoi je pense moi, bien sûr que je ne la quitterais pas, je fairait tout pour pouvoir la garder entre mes bras. Quand je fut entièrement propre et détendut, je coupe l’arrivée d’eau, et m’enroule dans une serviette sentant le froid me gagner.


Je sort de la baignoire et commence à me sécher de toute part. J’enfile par la suite un bas de pyjama blanc, ainsi qu’un tee-shirt de même couleur. Je saisit le sèche cheveux branche la machine et active le soufflement. Vraiment je ne sais pas quoi penser, je n’arrête pas de sourire bêtement comme si un enfant venais de reçevoir une sucette.

Avec l’aide de mes doigts je met en place quelques mèche de mes cheveux fait ma toilette, et quand j’ouvrit la porte la plus jolie des pierres précieuse se dressa devant moi.

Moi – tu vas à la douche ?
Michiru – oui.

Elle me sourit m’embrasse délicatement les lèvres et vint s’enfermer dans la salle de bain, alors que moi, je me suis diriger l’air rêveur vers ma chambre. Je commencce à fermer les volet, met au pied d’une chaise mon habil pour demain, et règle mon réveille, demain nous ne commençions cas 11 heures, il est donc inutile de se lever tôt.

Je m’installe sous mes draps, et mettant mes bras derrière ma tête, je contemple le plafond qui na rien d’extraordinaire en soie, mais mes pensé étaient toute relier à Michiru.

J’entend ma porte s’ouvrir, et tourne automatiquement la tête vers la gauche, et surprise je vit Michi en petite robe de nuit noir qui mettait dois-je l’avouer ses jolie forme en valeurs, elle a posé ses affaires dans un coin plié, et c’est dirigé vers moi avec un sourire.



Je fut surprise mais heureuse de voir qu’elle se mettait sous les draps, car d’habitude c’est dans la chambre d’ami qu’elle réside.


Michiru – tu dois trouver sa étrange, mais avec se qui c’est passé entre nous ce mois ci j’ai envi de me rapprocher encore plus de toi.

Je sourit, et vint enrouler son dos de mes bras, montant une de mes main à sa chevelure. Sa tête se met face à la mienne posé sur l’oreiller, nous étions très prêt l’une de l’autre, elle glissa sa main gauche à mon dos, et son corps se rapproche du mien.

Je lui caresse la joue et la dévisage avec tendresse.


Moi – ne t’inquiète pas, sa ne me dérange absolument pas !
Michiru – tu est tellement belle. Ses lèvres se pose sur mon nez.

Elle est vraiment adorable, j’approfondit un peu plus ma caresse sur sa joue, et lui murmure en lui offrant un doux sourire :

Moi – et toi, tu est vraiment très jolie et adorable qui plus est.

Elle me sourit, et ne pouvant resister à la tentation je vint sceller mes lèvres aux siennes. Ses bras se son allonger sur mes épaule, alors que ma tête se pose sur son bras je l’approche un peu plus de moi et vint la serrer tendrement contre moi et lui caresse le dos. Nos langues se trouvent et se caresse, nos jambes s’emêlent l’une dans l’autre, nos corps se frictionnent et se caresse.

Michiru – mh …

Mon cœur bondit dans ma poitrine en entendant ce son si sensuelle venant d’elle, je lui faisait dont de l’effet. Cela m’adouci encore plus et je vint approfondir notre baiser, celui-ci devint plus tendre et langoureux. C’est un vrai délice, et je me sent si bien comme sa, j’ai envie que le temps s’arrête, et nous emprisonnent.

On se détachent doucement, j’emmène ma main à son menton et le lui soulève afin de croiser ses yeux qui son vraiment magnifique. Sa main se met à caresser ma joue, et elle me sourit, un sourire que j’aimer.

Michiru – oui, de tout mon cœur j’espère que sa va fonctionner entre nous … Car, je t’aime vraiment beaucoup Haru.
Moi – mais moi aussi, je t’aime vraiment très fort, et ne souhaite qu’une chose pouvoir te rendre heureuse et te voir sourire mon ange.
Michiru – Haruka …
Moi – chuut.

Je lui caresse la lèvres, et vint lui poser un second baiser avant d’éteindre complètement les lumières. Je lui caresse doucement sa cheveulure et lui murmure tendrement.

Moi – bonne nuit chaton à demain.
Michiru – à demain Haru !

Ses lèvres se sont déposés sur mon cou, se qui me fit sourire, je lui embrasse le front et m’endormie serrer contre la femme que j’aime.

Le lendemain, au alentours de sept heure, mon portable se mit à sonner, et encore endormie, j’essaie de l’atteindre, mais quelque chose m’en empêche. Je baisse mon regard encore embué, et remarque avec douceur que c’était Michi qui dormais contre moi. J’éteins mon téléphone que j’eu réussi à attraper, et vint reposer ma tête sur l’oreiller, mêlant au passage mes doigts dans la chevelure bleutée de ma douce.

Un petit bruit se fit entendre, sa provenais du téléphone de Michi. Je voie cette dernière tendre son bras et tater le meuble afin de localiser l’objet. Une fois en main, elle appuie sur décrocher, et porte le cellulaire à son oreille
.

Michiru – oui …
Cléo – ou mais c’est que tes encore dans le cirage ma pauvre !
Michiru – hm … T’abuse Cléo, il est que sept heure du mat.

Je sourit et la voie se redresser, elle se frotte les yeux et vint par la suite s’étirer. Qu’elle est belle. Je continue de l’observer tenant ma tête avec ma main gauche un sourire aux lèvres.

Michiru – je t’aime mais s’teu plais laisse moi dormir !
Cléo – mais moi aussi je t’aime. Au faite comment vas ton professeur ?
Michiru – pourquoi cette question ? Elle doit dormir.
Cléo – mais tu est bien chez elle non ?
Michiru – oui mais moi je suis dans le salon !
Cléo – le salon ?
Michiru – je te rappel que je ne peux pas monter les escaliers avec ma hanche !
Cléo – ah oui c’est vrai, sa te fait encore mal ?
Michiru – oui, et j’ai l’impression que le traitement que je suis n’a aucun effet, j’ai toujours aussi mal.
Cléo – bah va falloir retournr chez le médecin !
Michiru – je croix aussi oui, sa serait pas une mauvaise idée !

Elle vint s’allonger de nouveau, et ses yeux croisèrent les miens. Je lui sourit, emène ma main à sa joue et la caresse doucement. Je la voie qui s’approche de moi, et sa main alla se poser sur ma joue. On se sourit, et je vint lui déposer un légé baiser.

Cléo – dis, je peux te poser une question !
Michiru – oui vas y.
Cléo – tu compte lui dire quand ?
Michiru – de quoi ? Et à qui ?
Cléo – ben à ton professeur, et lui dire que tu l’aimes.
Michiru – oh mais arrête de dire que c’est mon professeur, et je c’est pas moi.

Ah, on dirais que sa parle de moi, je lui caresse la joue et lui sourit.


Michiru – bon, Cléo on se parle au lycée.
Cléo – bon … Ok !
Michiru – à plus.

Et sa comunication se coupa. Je lui écarte quelques mèches, et sa voix se met à résonner dans la pièce.

Michiru – elle me tuera un jour moi je vous le dis … J’aurais préféré un réveil beaucoup plus doux que sa voix qui me hurle dessus.
Moi – ah … Et quel genre de réveil voudrais tu ?
Michiru – ben … Me réveiller dans les bras de celle que j’aime par un câlin là c’est parfait.
Moi – dans ce cas … Bonjour mon amour, bien dormis ?
Michiru – oui, merveilleusement bien contre toi !

Je lui sourit tendrement, lui tapote le bout du nez, et c’est en riant que nos lèvres s’unirent dans un doux et délicat baiser. Je vint la prendre dans mes bras, et laisse ses dernier entourer son dos. Ses bras s’allongent sur mes épaules, et son corps se presse tendrement contre le mien. Nos langues se trouvent et se caresse, créant une danse endiablé mais délicieuse.

Je me sent tellement bien avec elle, j’ai envie de la protéger et la chérir tendrement. Je l’aime et me sent vraiment libre, je lui caresse la joue, et monte un peut plus pour être à sa hauteur, et approfondit notre baiser en allant lui morde amoureusement sa lèvres inférieur, mon cœur bat si vite, le désir que je ressent pour elle devient de plus en plus fort, mes gestes se font plus tendre, ainsi que mes lèvres qui deviennent avide de sa peau et amoureuse.

En manque d’oxygène, on se détachent doucement l’une de l’autre, mon front caresse le sien et mes yeux la dévisage avec tendresse.

Michiru – sa … C’est un réveil qui me plais !

Je me met un sourire, je lui caresse la joue, et embrasse son nez.

Moi – dans ce cas, réveillons nous comme sa tout les matins.
Michiru – avec grand plaisir !

On se fixent longuement, et Michi vint se lover dans mes bras, sa tête reposant sur mon cou. Je lui caresse les cheveux et la serre contre moi, il nous resté encore pas mal de temps avant de décoler. Et puis … Cette tendresse qu’elle m’offre à chaque fois qu’elle m’embrasse ou me regarde elle est vraiment agréable j’ai l’impression de revivre.

Michiru – je t’aime.
Moi – moi aussi mon cœur !

Je lui soulève le menton et la dévisage avec douceur, caressant sa joue avec mon pouce.

Moi – je suis tellement heureuse !
Michiru – pourquoi ?
Moi – car j’ai enfin trouvé celle qui qui fait battre mon cœur.

Elle ma sourit, et je vint l’embrasser avec tendresse. Je laisse mon cœur s’exprimer au grès de ses envie maintenant que je pouvais être heureuse.

Quelques heures plus tard, Michi s’habiller dans la salle de bain, alors que moi je préparé le petit déjeuner. Du bruit se fait entendre à l’étage, et surprise je passe ma tête à côté le mur et regarde. Je voie Michiru elle est vraiment très jolie habillé comme sa. Elle porte une longue jupe noire un petit chemiser blanc surmonter d’un petit chale noir. Ses cheveux son retenue par une queue de cheval, elle est vraiment très belle comme sa.

Michiru – Haruka !
Moi – oui ?
Michiru – tu peux venir m’aider à descendre s’il te plais !
Moi – j’arrive.

Je pose la tasse que j’avais en main, et me dirige vers l’étage. Je monte les quelques marches tout en la regardant avec un petit sourire en coin. Une fois à sa hauteur, je vint délicatement la prendre dans mes bras et dis en souriant :

Moi – prête à vous faire escorter princesse ?
Michiru – oui !

Je lui fit un petit clin d’oeil, et descend les escaliers doucement, et une fois arrivé en-bas, je la dépose sur le sol.

Michiru – merci ma chérie !

Je me suis mise à sourire à l’entente de ce petit surnom affectif qu’elle me porte, je lui tapote le bout de nez, et lui dépose un légé baiser sur le front. Je l’aime sa s’en est certain maintenant.

Moi – aller viens déjeuner, sa va bientôt être l’heure de partir !
Michiru – à vos ordre professeur !

Toi alors tu n’en rate pas une quand l’occasion se présente. Je la suit du regard, et saisit ses béquilles, et se dirige vers le comptoir de la cuisine.

Michiru – je suis vraiment obliger de prendre cette horeur ?
Moi – si tu veux vite être remie sur pied oui.
Michiru – c’est infecte !

Je la voie tirer la grimmace et cela me fait rire, prenant place sur une chaise, elle se met à sourire, elle lève ses yeux et me regarde.

Michiru – merci … Sa me fait plaisir de voir que tu est retenue se que j’aime !
Moi – ce n’est rien voyons.

On se regardent et s’échangent un doux sourire. Notre petit jeu dura encore quelques minutes nos yeux se défiaient qui allait avoir le dessus sur l’autre, et cela me fait bien rire intérieurement.

Quand fut l’heure de partir, Michi vint tout mettre dans le lave vaisselle et mit se dernier en route, passant un coup d’éponge sur la table et remetant les chaises à leur place. Je sourit, elle c’est bien intégrer à l’environnement. Prenant son sac qu’elle ajuste sur son épaule, elle se dirige vers moi.


Moi – aller en route ma petite fée du logie.

Elle c’est mise à rire, un son bien délicieux à mes oreilles, je prend mon sac, les clés, et sortie de l’appartement. Je ferme à clés, et nous nous dirigions vers les escaliers. Comme il n’y avait pas d’ascensseur, je dû la prendre dans mes bras, et descendre les quatre étages. Depuis ce matin mon cœur n’arrête pas de faire le grand huit, j’ai cette impression qu’il va bondir hors de ma poitrine.

Une fois en-bas, je me dirige vers le parking toujours avec Michi dans mes bras. Je n’avais pas très envie de la lâcher et ceux depuis les événement d’hier après-midi. Je lui demande gentiment de prendre les clés de ma voiture dans la poche de ma veste, et d’appuyer sur le dévérouillage.


Moi – merci mon petit cœur !

Elle me sourit, et une fois qu’elle fut attaché, je vint me placer à mon tour dans le bolide. J’allume le conteur, tourne une bonne fois vers la droite, fit une marche arrière, et parti direction le lycée.

Michiru – bon … J’espère vraiment que cet exposé va bien se passer !
Moi – mais oui, ne t’inquiète pas … Et puis je serait le seul professeur.
Michiru – c’est bien sa le souci !
Moi – comment sa.
Michiru – disons que à chaque fois que je croise tes yeux je suis comme … Hypnotisé, plus rien n’existe autour de moi quand je te regarde.

Je sourit, je m’arrête à un feu rouge, et vint poser ma main droite sur la sienne.

Moi – dans ce cas, j’essairer de ne pas trop te distraire !
Michiru - ce n’est pas ma faute si mon professeur se trouve être une belle et ravissante femme.

A votre avis qu’est ce que je dois faire ? Plusieurs solutions me vienne, mais comme je suis en voiture je ne peut rien faire.


Moi – dans ce cas … Voila un baiser d’encouragement pour la plus adorable des petes amie !

Et c’est avec le sourire que je lui prit le menton et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Un baiser rendu avec bonheur et sincérité. Je me décolle doucement colle mon front sur le sien, et fait pivoter mon nez négativement contre le sien. Ses yeux son doux pourtant je peux y apercevoir de la peur, sûrement dû à l’exposé de tout à l’heure.

Moi – tout va bien se passer, j’ai confiance en toi Michi !
Michiru – je …
Moi – chuut …

Je lui embrasse le front, descend le long de son nez et enfin à ses lèvres. Je lui caresse la joue, et nous sortâmes ensuite de la voiture. J’enclanche l’alarme, et m’exclame :

Moi – aller courage princesse.

Elle me sourit, je lui fit un signe de la main et je parti direction la salle des professeurs.

PDV Michiru.

Je la regarde partir, le sourire aux lèvres, j’avais encore du mal à croire tout se qui m’arriver, d’une part que je soit avec elle en plus que se soit mon professeur, et la seconde que je loge chez elle aussi. Tout sa était si … Prématuré, mais dieu que je suis heureuse. Je commence à m’avancer vers le portail, et je prit peur en voyant Cléo.

Moi – tu m’as fais peur !
Cléo – je suis si moche que sa ?
Moi – j’ai pas dis sa.

Elle me sourit, et ensemble, nous nous dirigions vers notre salle de cour car dans quelques minutes ce dernier allait commencer.

Cléo – alors ?
Moi – alors quoi ?
Cléo – ne fait pas celle qui ignore de quoi je parle Michi.
Moi – hehe … Bah pour le moment je préfère me poser, bien que j’ai cette envie de lui dire !
Cléo – tu voie que tu sais de quoi je parle !

Je lui fait un clin d’oeil et un petit sourire. Puis une fois dans le grand couloir, ont vîmes cette peste d’Emma et sa clique, j’essaie de rester calme car la seule envie que j’ai et celle de lui donner une bonne gifle en plus de savoir qu’elle aime ma jolie blonde me mettait dans tout mes états.


Emma – tiens mes regarder qui voilà, ce ne serait pas cette petite trainer, je croyais que tu devais rejoindre ta mère ? Dommage que le camion ne t’ai pas fait trop de dégâts, sa m’aurais fait une belle jambe de te savoir morte … Comme ta pouriture de mère.
Cléo – mais tu vas arrêter espèce de salope !
Emma – ou attention la petite Cléo emploie de vilain mots, bouh comme c’est navrant. Pff vous me faite franchement pitié.
Moi – c’est bon tu as terminé ? Tu t’sens mieux … Car j’en aie tout à ton service, tu c’est quoi je vais te dire une chose … Oui c’est bien dommage que je ne soit pas parti rejoindre ma mère, au moins sa m’aurais évité d’entendre de grands mots venant d’une gamine de 5 ans qui ne sais même pas ce que c’est d’aimer.
? - que ce passe t-il ?

Je me tourne et voie Haruka, non ce n’est pas le moment, je remet mon sac sur l’épaule, et dis :

Moi – ce n’est rien professeur …
Cléo – Michi … Non ce n’ai pas rien, tu n’en a pas marre de te faire discriminer et rabaisser à chaque fois !

Je regarde Haruka dans les yeux, je me retien de pleurer, et je dis la voix un peut larmoyante :

Moi – il … Il faut savoir encaisser, et ne pas répondre, et savoir avancer les pied droit devant.

Trop tard, une larme venais de s’échapper de mon œil droit.

Cléo – Michi non …

Et sans rien dire je me retourne et parti vers la salle de cour peiné et blessé des propos de cette peste.

Cléo – professeur Tenoh !
Haruka – oui ?
Cléo – s’il vous plait, faite quelques chose, sa ne peut plus durer Michiru a assez souffert comme sa.
Haruka – très bien, je vais aller la voir et lui parler, nous n’avons cours que dans 40 minutes, donc aller au foyer je viendrais vous cherchez.
Cléo – merci professeur !

Tu est si belle, bien que cruelle, je t’ai tellement aimer … Mais tu hantes toujours mon cœur et mes penser. J’entends du bruit mais je n’y prête pas attention, je me tiens debout face à la baie vitrée, les mains dans le dos.


Moi – maman … J’ai tellement de chose à te dire, sans toi je dépérie à vue d’oeil, même si tu ne ma pas aimé, moi je t’aime toujours, tu sais beaucoup de chose se son produite deuis ton départ …

Des larmes commence à couler le long de mes joues.

Moi – je viens de rentrer au lycée, et j’ai pour ambition de réaliser ton rêve celui de devenir professeur de mathématique, en parlant de professeur de mathématique, je ne t’ai pas dit, mais j’ai enfin trouvé la moitié de mon cœur, comme tu dois t’en douter c’est une femme, elle a 23 ans et elle s’appelle Haruka Tenoh, elle est tellement belle, avec ses cheveux blond court ses yeux fin de couleur émeraude, son côté masculin qui la rend vraiment sublime à mes yeux. Tu sais j’ai réussi à lui dire se que je ressent, et pour mon plus grand bonheur elle éprouve la même chose que moi … Je l’aime et en suis éperdument amoureuse, bien que je ne montre pas se que je ressent je tiens à elle et l’aime plus que tout. Un jour je viendrais me recueillir sur ta tombe et je te montrerais à quoi elle ressemble, elle est ma perle rare, ma moitié et si le temps le veux je veux finir avec elle. Parce ce qu’elle est la femme que j’aime et désir plus que quiconque.

Je ne me retiens plus et cache mon visage laissant libre court à ma peine et mon désaroie. Soudain je sent des bras entourer mon cou, et un souffle chaud caresse ma peau. Je ne me retourne pas je laisse juste mon corps se poser sur celui qui se situer derrière moi.

Je savait parfaitement que c’était Haruka, l’odeur qu’émane sa cheveulure m’enivre. Et je me laisse bercer par les battements rapide de mon cœur.


Haruka – je suis sûr que si elle était la, elle serait fière de toi … Même si nous ne marchons plus à leurs côtés, ils demeur dans nos cœurs, il ne faut pas voir le noir, il faut continuer de vivre et de continuer à avancer pour eux, et cela ne nous empêche pas de leur parler de se confier, j’ai moi aussi perdu ma mère et si j’en suis là aujourd’hui c’est grâce à elle car je voulais qu’elle soit fière de sa fille alors … Maman j’espère que tu te porte bien là où tu te trouve et que tu est heureuse, pour moi tout se passe bien, et j’ai quelques chose à t’avouer tu voies cette jolie jeune fille que je tiens dans mes bras ? Eh bien c’est elle … J’ai enfin trouver mon bout de bonheur, comme tu me le répeter souvent, j’ai trouvé chaussure à mon pied. Je l’aime énormément et suis fortement amoureuse, si le temps est d’accord je compte construir un futur à ses côtés, et j’ai beaucoup de projet en tête pour elle et moi … Voila je voulais que tu sache que ta fille est heureuse que se soit dans sa vie professionnelle que dans sa vie privé, je t’aime maman je ne t’oublierais jamais.
Moi – je t’aime, ne l’oublie pas maman.

Je me tourne doucement, et à la minutes ou mes yeux croisa les siens, j’eue envie de fondre en larme car j’aperçut une petite larme solitaire rouler sur sa joue. Je m’approche et vint lui effacer la goutte d’eau, et vint lui prendre les mains et je sentit les siennes me caresser.

Moi – je serait toujours la pour toi et je … Je ne cesserait jamais de t’aimer.
Haruka – moi non plus … Quoiqu’il arrive je serait la pour te rattraper.
Moi – je t’aime Haruka ne l’oublie jamais !
Haruka – moi aussi Michi, et je ne le cesserait jamais.

Elle a doucement prit mon visage entre ses mains, et ma essuyer les joues. Je m’approche, et voulant lui prouver que je suis sincère envers elle, je posa tendrement mes lèvres sur les siennes. J’enroule son dos et me collle doucement à son corps. Ses doigts se mettent à caresser mes joues, et ses lèvres réponde timidement à mon baiser. Je l’aime et je ne le cesserait jamais.

Sachant que nous étions dans le lycée, on se détachent avec regret l’une de l’autre. Nos yeux se caresse, et sa voix se met à résonner dans la pièce :

Haruka – je ne veux pas te perdre … J’en est perdu assez comme sa !
Moi – je ne pourrais jamais te laisser, c’est même mission impossible.

Elle c’est mise à rire, je suis heureuse de lui avoir redonner sourire, je lui saisit le menton, le soulève doucement, et lui dis de ma voix la plus douce.

Moi – car pour moi … Tu es ce que j’ai de plus cher … Mon amour !
Haruka – je suis heureuse de t’avoir rencontré, car je peux enfin être heureuse.

On se sourit, s’embrassent une dernière fois, et nos corps se séparent, ses lèvres touche une dernière fois mon front, elle me fit un clin d’oeil et parti vers son bureau, ou d’un tiroir elle sortie une espèce d’interphone.

Haruka – les élèves de la classe B-5 son prié de se présenter en cour !

Je sourit, souffle un bon coup, essuie mes yeux, et prend place à mon bureau mettant mes lunettes sur mon nez, je commence à sortir mes affaires, et attend que tout le monde arrive. Je lève mes yeux et remarque Haruka en train d’écrire sur le tableau, sûrement la leçon que nous devions faire.

Puis les élèves commence à pénétrer dans la salle, je voie Cléo me sourire, et cette peste d’Emma me lancer un regard noir.

Haruka – bien bonjour à tous, nous n’allons pas commencer de nouvelle leçon, comme l’exposer et cet après midi, je vais vous demander de me faire une page de couverture concernant le sujet que vous avez choisi.

Je lève la main, attendant de me faire intéroger.


Haruka – oui Michiru ?
Moi – professeur ce que vous voulez que l’ont face c’est dessiner c’est sa ?
Haruka – c’est exact, mais attention, je ne veux rien d’injurieux ou rasiste, alors maintant au travaille.

Elle me lance un petit sourire, je lui rendit, et me mit au travail. Je sort mon exposer que je mis dans mon casier sous la table, sort de ma trousse un crayon à papier une gomme et une règle.

Sortant par la suite une feuille blanche moyennement grande, je plie cette dernière en deux, et à l’aide de mon crayon hb je commence à caresser légèrement le papier. Je savait exactement se que je voulais faire.


Quand j’eue terminé de tracer les formes et traits, à l’aide de crayon de couleurs, je vint crayonné tout le haut de la feuille en noir, en respectant les lignes que j’avais tracées. Sa c’est bien un de mes cours favoris, j’aime le dessin sa me libère de toute pression tout comme l’écriture.

Une fois la feuille colorié, je prend un feutre fin argenté et repasse les écritures que j’avais faite, tout en haut de la feuille, j’avais inscrit en lettre majuscule « Liberté d’expression » par la suite je repasse avec cette même couleur les sigles que j’avais fait. A gauche représenté deux sigles féminin d’écrivant l’amour entre femmes, à droite deux sigles masculin pour l’amour entre homme et juste en bas un sigle masculin et féminin pour montrer l’amour entre un homme et une femme.


Je prend mon temps pour bien le faire. Et à l’aide d’un feutre couleur or, je fait le contour du cœur que j’avais relier avec ses cigles. Je sent une préscence dans mon dos, se devait être Haruka qui vérifié notre travaille. Je colorie l’intérieur des cigles en argenter, et l’intérieur du cœur je le fit au rose pâle.

Enfin fini, je rajoute quelques derniers détails, marque mon nom et prénom en bas à droite de la feuille.


Haruka – c’est parfait.

Elle passe à mes côté et sa main frôle mon bras. Je sourit, la regarde quelques instant, et vint continuer mon travaille. Cette fois c’est l’autre côté de la feuille que je fit exactement pareil sauf que j’inversa les cigles pour qu’ils se retrouvent oposé, comme si ont tourné une page d’une couverture, on voie le dessin original devant et on peut parfois voir la suite derrière mais inverser. Quand ce fut terminé, je prend mon exposer, classe les feuilles dans l’ordre et les posent sur la couverture. Avec l’aide précieuse de mon compas je trace trois petit cercles sur la tranche de ma couverture. Après avec un cuter je vint découper soigneusement les cercles, et à l’aide d’un ruban fin argenter que Cléo m’avait passer pour que je m’attache les cheveux avec je passa ce ruban dans les troues de mon dossier avec les cercles de la couverture. Quand je réussi ma tâche, je met maintenant ce que l’ont pouvais appeler un livre entre mes jambes et vint faire un nœud pour fixer le tout, je coupe les ficelles trop longue, et posa enfin mon dossier sur la table, rangeant mes outils dans ma trousse, et retirant les épluchures de gomme les mettant dans une poubelle qui se situer derrière moi.

Quand enfin midi sonna, chaque élèves se lèvent, et remet le dossier à Haruka, se que je fit aussi. Je me dirige vers un tableau ou un tableau était dessiné, le titre « Délégué principal » afficher en haut. Je prend un stylo, et vint marquer mon nom dans l’une des cases.


Moi – bonne appétit professeur.

Elle ma tendrement sourit, et je suis parti direction le self. Arrivé au réfectoir, Cléo m’aida pour mon plateau, et ont se prit une table pour deux.

Cléo – alors sa va mieux ?
Moi – oui un peut, merci, et j’ai quelques chose à te dire !
Cléo – oui quoi donc ?
Moi – tu est ma meilleure amie, et je ne vais pas te le cacher plus longtemps mais … Nous sommes ensemble !
Cléo – le professeur et toi ?
Moi – oui.
Cléo – mais c’est supère sa, et depuis quand ?
Moi – sa va faire tout juste deux semaines.
Cléo – je suis supère contente pour toi, que sa dure !
Moi – merci Cléo.

On se sourit, et nous continuâmes à manger. Quand 12h55 arriva, avec l’aide de Cléo j’allai débarasser mon plateau, mais au moment ou je passa prêt de la table d’Emma cette dernière me fit un croche patte et je tombe sur le sol.

Emma – ah ah bien fait espèce de salope.
? - eh mais sa va pas, tes conne toi pff.
Moi – merci !

Le garçon qui ma gentiment aidé à me relever me rend les béquilles, je lui sourit, et reprit mon chemin vers Cléio qui poussé des jurons à cette tâche.

Cléo – pff, elle commence vraiment à m’enerver !!
Moi – laisse tomber sa sert à rien.

Je lui sourit, et me frotte le menton car j’ai quand même eu mal quand je suis tombé. Puis 13 heures sonna et c’est avec une boule au ventre que je rejoint ma salle de cour, car je devais parler de mon exposer, et déjà que sa me stresser assez comme sa.

Une fois arrivé en salle de cour, je me dirige vers le bureau d’Haruka et voie que toute la classe à changé, beaucoup de chaises qui se trouvés devant se retrouve à l’arrière. Je lève mes yeux et remarque ma jolie blonde assise sur l’une de ses chaises, je lui sourit tendrement et demande :


Moi – professeur ?
Haruka – oui Michiru ?
Moi – on peut reprendre nos dossiers ?
Haruka - oui allez-y.
Cléo – merci !

Je prend mon dossier et alla à ma table chercher mes lunettes, mon dieu j’ai hâte de quitter ses béquilles. Puis enfin tout le monde entra en classe, je prend place sur ma chaise, et Haruka se dirige vers son bureau.

Haruka – bien puisque tout le monde est là, nous allons pouvoir passer au chose sérieuse, je vais annoncer vos noms pour votre exposé alors … Le premier à passer sera Chardon, puis Tran Guilard Umbrunl, Jolie …

Quel chance je suis la dernière. Haruka remonte et reprend place sur sa chaise, elle tourne sa tête vers moi, et me lance un petit sourire, je lui rendit doucement, et enfin les présentations pour les exposers pue commencer. Mélanie a parler de la crise économique, Dilan des voie de disparition des animaux, cette peste à parler des vêtements se que je trouve ridicule au passage. Cléo a pour sujet la maltraitance des enfants, celui-ci ma particulièrement touché.

Puis enfin ce fut mon tour, j’avale ma salive, et me dirige vers le centre de la pièce juste devant le bureau d’Haruka. Je place mes lunette sur mon nez et cale mes béquilles contre le bureau.


Haruka – très bien nous t’écoutons Michiru !

Je lui sourit, et vint ouvrir mon dossier, j’apercoit un petit mot sur la couverture « courage ma chérie je c’est que tu peux le faire » je lève mes yeux surprise mais heureuse, et Haruka me fit un petit clin d’oeil.

Moi – pour cette exposé j’ai décidé de parler de la liberter d’expression, le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour vous c’est quoi « l’amour »
Haruka – Mélanie !
Mélanie – c’est des sentiments fort que l’ont éprouve pour une personne.
Haruka – Dilan !
Dilan – c’est éprouver de la tendresse et du désir.
Moi - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.

Je voie Haruka me sourire, je continue de lire mon texte en articulant et argumentant.

Moi - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.

Il n’y avait aucun bruit, tous me regarder, et cela me gênais beaucoup.

Emma – pff tes pitoyable ma pauvre fille, comment oses tu parler de ce genre de chose, c’est immonde, tu devrait avoir honte de tes propos, tes répugnante il faut vraiment que les gens face attention à toi, tes une mauvaise fréquentation, et une femme est faite pour aller avec un homme et pas autrement, les gens qui son comme sa sont dégoutant, ils devrait être puni pour ce crime. Va en enfer tu n’apporte que le malheur.
Haruka – sa suffit !!!!!!

Je voie Haruka se diriger vers Emma que je maudissait à ce moment, elle lui prend le bras et la poussa jusqu’en bas.

Haruka – j’en est vraiment plus qsu’assez de toi et de tes propos, ne peut tu pas laisser les autres tranquille ? Je ne te veux plus en cour, et je préviendrait tes parents pour un conseil de disipline.
Emma – mais non alors professeur, c’est dégoutant !!
Haruka – se qui est dégoutant ici c’est les propos que tu tiens à tes camarades et à ton professeur. Donc mademoiselle Umbrunl accompagné cette jeune éfronté chez le directeur.
Cléo – bien professeur.

Et elles partirent toutes deux. Puis un claquement se fit entendre, je me tourne et me reconnecte à la planette terre, et aperçu Dilan en train d’applaudir.

Dilan – je ne sais pas vous, mais moi je trouve que c’était un bel exposer et très intéressant.
Mélanie – bravo Michiru ta était supère !!
Quentin – c’était génial, tu viens de nous démontrer d’une belle façon que l’homme est libre de ses choix.
Moi – merci c’est … c’est gentil.
Haruka – c’était parfait Michiru, tu as bien travaillé.

Tous me complimenter, mais seul ses compliments à elle me fait le plus plaisir. La journée c’est suivit tranquillement, et j’ai réussi à me faire intégrer par la bande de Mélanie. Et pour combler ce bonheur Haruka m’avait féliciter à plusieurs reprise, vraiment je suis très heureuse.


Eh voila le chapitre 4, qui est très long je l’avoue, mais sa me fait tellement plaisir d’écrire cette histoire que j’ai du mal à m’arrêter ^^ et merci à inlove pour ses commentaires :)
Sam 19 Oct 2013, 16:07 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ?

Bon eh bien, bonjour à tous, je suis nouvelle sur ce forum, et j’espère m’y plaire :) par contre faut t-il se présenter avant de poster ? dites le moi s’il vous plais. En attendant voici une fiction basé sur l’amour féminin entre un professeur de mathématique et son élève, je m’excuse d’avance pour les fautes je ne suis pas très doué pour sa :/ donc voici le premier chapitre bonne lecture ^^


Chapitre 1 : La rentrée et une rencontre bouleversante


Point de vue Haruka.

Le matin commence à ce lever, et je me hâte à quitter mes draps afin d’aller me rafraîchir. Encore une fois cette nuit j’ai fait ce rêve où je me retrouve devant ce pont debout sur la rem bard les bras allongés horizontalement, je ne comprend pas pourquoi ce rêve me hante, pourquoi me provoque t-il des sueurs froide dans le dos.

Quand j’arrive dans la salle de bain, je ferme la porte, et commence à me dénuder j’avais tellement chaud, j’enclenche l’eau, eau froide, je laisse mon corps se détendre, mes yeux se ferme, ma tête se pose lourdement sur le mur blanc. Ma respiration est saccadée, j’ai l’impression d’étouffer, vraiment que m’arrive t-il ?

Alors que les minutes s’écoulés unes à unes, je vint sortir de la douche et m’enroule dans une serviette afin de m’essuyer et de ne pas attraper froid. J’observe pendant quelques minutes mon reflet dans le miroir, un teint pâle cerner de cernes plus voyante les unes que les autre, ah ... Il faut vraiment que j’arrête de me torturer, je retourne dans la pièce ou je résidait quelques minutes plus tôt, et alla m’habiller de mon costume blanc et noir avec une cravate noire. Je rentre mon chemisier blanc dans mon pantalon.

Une fois que je fut prête, je prend mon sac, ou disposé plusieurs tats de feuilles que je distribuerais à chaque élèves de ma classe. Je descend, et vint enfiler une paire de chaussure noire avec un fin talon carré avec un lacet. Je prend les clés de ma voiture, et parti de chez moi, n’oubliant pas de fermer à clés.

Je descend quatre étages, et sort de l’établissement et me dirige vers ma Porsche noire. Je pose mon sac à l’arrière, m’attache, allume le contacte, et parti direction le lycée. Je me demande tout de même comment aller se passer ma première journée de travail, sachant que ce lycée, c’est celui d’où j’ai étudié pendant 3 années consécutive. Donc je me demande si se sont les même professeurs.

Quand je fut arrivé, je vint garer ma voiture, éteins le moteur, et sort. J’enclenche l’alarme, et mettant les clés de ma voiture dans mon sac, je me dirige vers l’entrée.

Un petit sourire naquis mes lèvres, c’est toujours pareil, rien a changer, à part quelques banc de plus mais sinon rien na bougé. Je croise plusieurs élèves qui me salue. Et au loin, je voie une jeune fille au long cheveux bleu, une couleur assez particulière, tout en m’avançant, je voie qu’elle est en train de lire.

Je sourit, je l’observe quelques minutes, et décide de rompre se silence :


Moi - bonjour !
? - bonjour professeur.

Houa, elle est vraiment très belle, de grand yeux bleu comme ses cheveux, un nez fin et droit, un visage ovale sans imperfection, je lui sourit, et poursuit mon chemin jusqu’à là salle des professeurs.

Moi - bonjour à tous !
Mme Clife - Haruka c’est ... C’est bien toi ?
Moi - ravi de vous revoir madame Clife !
Mme Clife - tu as bien changer, mais que fais tu ici ?
Moi - eh bien je suis ici pour montrer et apprendre mon savoir aux élèves !
Mme Clife - alors tu vas travailler avec nous, et tu sais dans quel matière ?
Moi - oui je serait professeur de mathématique et de langue vivante. Et vous ?
Mme Clife - enfin tu peux me tutoyer nous sommes collègue, appelle moi Betty ! moi je suis chargé de la section physique chimie !
Moi : très bien.

Après cette brève retrouvaille, la sonnerie du premier cour retentit, je prend donc mon sac, et sort de la salle des professeurs. Je me dirige vers une porte, ouvre cette dernière et longe le grand couloir menant à ma salle de cour. Une fois prêt de celle-ci, je glisse une petite clé et tourne deux fois vers la droite, et entra.

Ah, que de souvenirs dans cette salle, à l’époque c’était monsieur Torbin qui nous faisait cour de français. Je pose mon sac à côté du bureau, me tourne vers le tableau blanc, et avec un crayon fais exprès, je me met à écrire « Bienvenue à tous » rebouche l’objet, et sort les feuilles et cahiers de liaisons que je distribuerais quand ils seront tous présent. J’allai monter les stores afin d’avoir un peut plus de clairettes.


Ah... Les voilà qui arrivent, j’entends des paroles inaudible venant du couloir, puis ils entrèrent tous un à un allant s’installer à une table. Je remarque avec un petit sourire, la jeune fille de tout à l’heure, alors je vais l’avoir en classe, intéressant, je la voie qui prend place au fond de la pièce prêt de la baie vitrée au dernier rang. Cela me surpris, alors que tous le monde venais de s’installer j’allai fermer la porte et alla prendre place à mon bureau.


Moi - bonjour et bienvenue à tous, je m’appelle Haruka Tenoh et serait votre professeur de mathématique et de langue vivante et pour certains je serait leur tutrice. Bon avant de commencer nous allons mettre au point quelques petite chose au clair, et chacun d’entre vous se présentera quand je l’appellerais c’est compris ?
Tous - oui !!!
Moi - très bien, alors commençons avec ... Tran !
Elève - bonjour, je m’appelle Mélanie Tran, je suis d’origine japonaise, et j’arrive tout droit d’Osaka. Je cherche à persévérer dans l’art et d’atteindre la studieuse université Todaï !
Moi - c’est parfait Mélanie, tu peut t’asseoir.

Et dans le silence la jeune brune prit place, ajustant ses lunettes sur ses yeux.

Moi - ensuite Guilard !
Elève - euh... Je.... Je m’appelle Pierre Guilard, j’aime jouer au foot, je suis d’origine canadien, et tout comme la dis Mélanie, je veux réaliser uns de mes plus grand rêve et entrer à Todaï !
Moi - très bien... Hm Kaio !

Un silence s’installe, surprise je lève mes yeux et voie la jeune fille de tout à l’heure se lever, alors c’est elle. Elle ne dis rien, son regard est encrer dans le mien, et delà ou je me trouve, je peux apercevoir une lueur de tristesse.

Moi - allais présente toi !
Michiru - eh bien, bon... Bonjour je m’appelle Michiru Kaio j’ai 17 ans, et suis d’origine italienne venant tout droit de Venise. Euh... J’aime étudier et j’aimerais acquérir tout au long de ses trois ans du savoir afin de poursuivre mon rêve qui est de devenir professeur de mathématique.
Élève - pff, arrête de délirer, toi, tout ce que tes bonne à faire c’est les trottoirs, et de rejoindre ta mère !
Moi - SILENCE !!!!

je voie Michiru baisser la tête, ainsi qu’une petite larme rouler sur sa joue. Je fut prit d’une colère noir, et je vint prendre la parole :

Moi - toi au fond au deuxième rang quel est ton nom ?
Élève - moi, ben Jolie !
Moi - dans ce cas mademoiselle Jolie vous me copierais cent fois le règlement concernant les propos injurieux de ce lycée !
Jolie - quoi ?? mais c’est pas juste !
Moi - il n’y a pas de mais qui tienne les propos que tu as eu son disproportionné et injurieux.
Jolie - pff sa commence bien !

Je ne répond pas, et les présentations continuèrent. A la fin, je vint passer à toute les tables et donne quelques feuilles ainsi que le cahier de liaison. Quand je fut à la hauteur de Michiru, je lui pose un dossier et son cahier de liaison, ses yeux remonte et me regarde. Ils étaient embués par les larmes, je vint sortir de ma poche un morceau de tissue et lui tend avec un sourire tendre.

Moi - allais c’est fini !

Elle me sourit timidement, et je vint retourner à mon bureau. Je prend un stylo, et effaçant ce que j’avais écrit quelques minutes au paravent, je retire le bouchon et vint écrire.

Moi - maintenant que chacun prenne un cahier et recopier ce que je note au tableau. Pour ce premier cour, je vais seulement évaluer vos connaissances afin de voir quel niveau vous avez.

Je pose le stylo, et vint prendre place à mon bureau. Alors que tous se mettait au travail, je trie plusieurs papiers, et au bout de quelques seconde une voix retenti... Celle de Michiru que je trouvais très douce au passage.

Moi - oui Michiru ?
Michiru - j’ai terminé !
Moi - déjà ? Très bien j’arrive.

Eh bien, c’est une petite rapide, je sourit, me muni d’un stylo rouge et alla jusqu’au fond de la classe. Une fois prêt d’elle, je me penche et observe son travaille.

Je comprend pourquoi elle a l’ambition de devenir professeur de mathématique, aucune faute de calcul, alors que je ne voyais aucune calculatrice à ses côtés. Je me baisse, m’appui sur mon bras droit, et vint lui écrire un exercice.

Moi - c’est parfait, maintenant tu vas me remplir ce tableau de proportionnalité, d’accord !
Michiru - oui, j’ai compris, je ferait de mon mieux professeur Tenoh !

Je sourit, vraiment elle est adorable, je retourne à mon bureau et voie une copie.

Moi : A qui appartient ce torchon !

Aucun bruit ne sort. Ce qui eu le dont de m’irriter.

Moi - si dans la minutes qui suis je n’aie pas le nom du propriétaire de cette copie, je prive toute la classe de récréation es ce clair ?
Jolie - mais...
Moi - il n’y a pas de mais mademoiselle Jolie !
Jolie - c’est à moi !
Moi - en plus, ne t’avons nous pas déjà appris à écrire proprement ? Ton écriture n’est pas lisible, donc refait moi sa !
Jolie - mais...
Moi - je t’ai donner un ordre, alors exécute !

Je l’entend ronchonner, puis je reprend place et observe tour à tour chaque élève, et mon regard s’arrête sur Michiru que je voyais compter avec ses doigts, j’esquive un mince sourire, en y repensant quand j’étais prêt d’elle mon cœur c’était accélérais, une bouffé de chaleur avait enivrait mon corps, plus je la dévisage, moins je comprend ce sentiment qui se diffuse dans mon être.

Puis quelques minutes après la sonnerie de la pause retenti, chaque élèves me remet son cahier et parti en récréation. Seul Michiru resté en retrait, assise sur sa chaise, elle regardais le paysage l’air monotone. Je ferme le cahier que je consulter, et alla à sa rencontre.

Je prend la chaise de devant et la place face à son bureau. Je prend place et lui dit :


Moi - Michiru, tu ne sort pas ?
Michiru - non, je ne préfère pas !
Moi - pourquoi sa ?
Michiru - je... C’est compliqué !
Moi - tu veux m’en parler ? Pour ses trois année je serait ta tutrice donc si tu veux te confier n’hésite pas, je t’écouterais !
Michiru - merci, c’est très gentil à vous... Mais je ne suis pas sûr de...
Moi - bon, ce n’est pas grave, prend ton temps, mais tu dois sortir !
Michiru - bon... D’accord, mais, restez avec moi !
Moi - très bien.

Je me lève, et replace l’objet à sa place et me dirige vers la sortie. Je longe le couloir avec Michiru qui ne disait rien.

Moi - alors comme sa, tu veux devenir professeur ?
Michiru - oui, c’est l’uns de mes plus grand rêve !
Moi - tu c’est que tu m’as impressionné, c’était parfait ce que tu m’as rendu !
Michiru - merci, mais on va dire que c’est assez simple pour moi, donc ...
Moi - je comprend, allait moi je vais en salle des professeurs ! On se voient après ?
Michiru - oui, moi je vais allais au toilette !
Moi - ok.

Je lui sourit, lui fit un signe de la main et entre dans la salle. Je fut surprise de voir tout les anciens professeurs me regarder avec un sourire, même le directeur était là.

Moi - euh... Que se passe t-il ?
Betty - tu as était tout simplement...
Clément - génial, nous t’avons observé depuis cette écran, et pour ton premier cour Haruka tu as était impressionnante.
Moi - merci.
Directeur - content de vous revoir parmi nous mademoiselle Tenoh, j’espère que vous trouverais vite votre place avec nous !
Moi - ne vous inquiétez dont pas, ce lycée... Il ne ma jamais quittée !

Tous me sourit, et c’est dans la bonne humeur que plusieurs discutions commencent. Moi je vint prendre place au cotés de Betty qui corrigé des copies.

Moi - au faite Betty !
Betty - ravi de voir que tu y prend goût ! Oui qui y’a t-il ?
Moi - j’aimerais te poser une question !
Betty - oui vas y !
Moi - c’est à propos de Michiru Kaio !
Betty - oh cette petite... La pauvre, elle en a vécu des choses !
Moi - oui c’est ce que j’ai pue voir, elle a était victime de discrimination par mademoiselle Jolie, et comme je suis sa tutrice, j’aurais aimé en savoir un peut plus.

Je voie la jeune femme se pencher, et elle remonte avec un assez gros dossier, qu’elle me tendit. Je le prend et le met face à moi, beaucoup de chose était inscrit sur la première page.

Betty - tiens, c’est son dossier depuis la maternelle, il y a toute les informations que tu veux savoir.
Moi - merci, c’est très gentil à toi !
Betty - mais voyons ce n’est rien.

Je lui sourit et continue de discuter. La journée était passé bien vite et quand fut l’heure de rentrer, je voie Michiru se diriger avec précipitation vers la sortie, je la suivit quelques minutes en voiture, et pour ma plus grande surprise, je la voie se mettre sous un pont ! Mais que fait t-elle là ? J’ai envie d’aller la voir, mais j’ai peur de crée un fossé entre elle et moi, c’est donc à contre cœur que je parti direction mon appartement. Une fois rentrée, j’alla prendre une bonne douche, et parti directement me coucher, en pensant à Michiru seule sous ce pont. C’est inhumain de ma part de la laisser là, c’est même cruel sans cœur.

Demain, il faut à tout prix que j’arrive à lui parler.

Voila ce qui est du premier chapitre, si cela vous plais faite moi un signe il y a déjà 4 chapitres de terminé, donc vooila :)
Mar 15 Oct 2013, 14:05 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Voyage en terre brûlée

Dans cette contrée mystérieuse et sinistrée, seule une forteresse imprenable se présente, faite de pierres sombres et froides. Ses portes, avec le temps, se referment peu à peu. Autrefois, passé ces portes, on y trouvait les plus belles demoiselles , des amantes les plus farouches, aux amours les plus sincères. Désormais, personne n’y entre plus et plus
personne n’y entrera... Le cœur de cet édifice a été noirci par le feu qui y brulait, le feu de la passion s’était avivé en brasier de haine incendiant le peu de vie qu’il y restait. Mais il n’en est plus rien, il s’est éteint, même la flamme d’espoir, gardée secrètement recluse dans le jardin secret, ne jaillira plus. La chaleur de la vie a laissé place à la froideur de la solitude. L’amour, le bonheur, la joie ont déserté, depuis longtemps, ces immenses remparts de tristesse.
Lun 06 Fév 2012, 17:42 par Mysticaall sur La séduction

Aime-moi

Je n’ai de ciel que l’horizon parfait
de ton regard, là où tu expires, je me présente et m’offre nu,
loin de ma volonté, j’inspire ton Nom…
là où tu accouches d’un mot, je me soumets, soucieux de recevoir le cristal clair de ton désir...
Aime-moi, aime-moi encore, je n’ai d’autres rêves que les tiens, les miens se sont envolés dès l’aube où je t’ai aimée !!
Mar 25 Oct 2011, 12:25 par Mc Gregor sur La déclaration d'amour

Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i

Le mythe amoureux

Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.

Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,

Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.

Voici un extrait de cette lettre :

Juin 2004

"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.

"Loin des yeux, près du cœur"

Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !

Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.

Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.

Ovide était son Maître.

Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.

Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.

Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.

Première copine

A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.

Masturbation

Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.

Lycée

La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.

CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.

Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.

La colonie

Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.

Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.

Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.


Rapport avec le sexe opposé.

Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large

Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.

De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.

Son style.

Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.

Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.

Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !



Conclusion de la première partie

Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.

Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.

Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Mar 17 Mai 2011, 14:32 par Jeaneck sur La vie à deux

Petite soirée entre amis

Cette fois, tout est prêt ! Ce soir quand il viendra,
De sa charmante robe, elle le séduira
Petite femme-enfant, chipie et très coquine
Il ne pourra longtemps rester indifférent
Et même s’il résiste et qu’il fait semblant
Elle a son petit plus qui la rendra divine

Il craquera bien vite au timbre de sa voix,
À sa douce façon de lui prendre le bras
Marrante et boute-en-train, espiègle et mutine
Mélange de lutin, femme d’intérieur
Pilote navigant et jeune fille en fleur
Il sera sous son charme avant qu’il le devine

La conversation, commençant par des vers,
Il faudra, tout d’abord, et sans en avoir l’air
Amener le sujet qui tant la passionne
Elle devra trouver un motif évident
L’amener à parler de tout ce qu’il ressent
Ce qu’il pense vraiment de cette sauvageonne

Le dîner est fin prêt, les cheveux à coiffer
Tout doux mon joli cœur, il ne faut pas gaffer
Dans un petit moment sonnera à la porte
Celui qui te fait battre à rompre le tympan
Je t’en prie, calme-toi ! L’instant est important !
Il ne faut surtout pas que ton souhait t’emporte.

Des pas dans l’escalier, il va bientôt sonner
Miroir mon beau miroir, dis-moi qu’il va m’aimer
Ma coiffure est jolie et je suis ravissante
J’ai fait attention, j’ai tout ce qui lui plaît
J’espère qu’il ressemble au portrait que j’ai fait
J’ai hâte de le voir, j’en suis toute tremblante

Tinte le carillon. Il n’est pas en retard !
Oh ! Je ne le crois pas ! Il a mis un costard !
Il est beau comme un dieu ! J’en suis toute contente !
La preuve que, pour lui, ce rendez-vous galant
N’est pas un petit jeu mais un pas important
Il comble les espoirs de cette longue attente

J’avais fait un pari pour bâtir mon futur
Et c’est le premier pas, à faire, le plus dur
Au salon, en rimant, il raconte sa vie
Je l’écoute en pensant que ce rêve est trop beau
Tout se présente tel un beau roman photo
Il a l’air tout content et j’en suis bien ravie

Sa sensibilité, et sa grande douceur
Transpirent doucement du fin fond de son cœur
Il m’invite à danser, dit des idioties
Et je ris de bon cœur, à tous ses jeux de mots
Que c’est bon d’oublier, pour un soir, les sanglots
Les tracas, les soucis et leurs péripéties

Il est très chaleureux et discute gaiement
Mais il ne peut cacher son questionnement
Il admet m’aimer bien. Qu’il me trouve très belle
Et voudrait donc savoir quel est mon jugement
S’il peut garder l’espoir qu’une femme l’attend
Qu’il existe parfois, qu’il compte aussi pour elle

C’est une réussite, à notre étonnement
Il m’a bien sûr séduite, avec son entregent
J’ai quelque sentiment mais ne suis amoureuse
Pourtant, main dans la main, nous ferons du chemin
Nous prenant par la taille en dépit du destin……..
Il est drôle et charmant et j’en suis très heureuse

caressedesyeux
Mar 08 Mars 2011, 11:18 par caressedesyeux sur Mille choses

Se noyer dans un champs de violette


Les effluves, en deviennent si fortes
Que je respire à pleins poumons.
Je relis ta lettre encore et encore
Et nous voilà projetés dans la plus belle des journées.
Mes cheveux étaient pleins de violettes,
Et nous étions couchés, à regarder ce soleil si brulant.
Je me suis endormie
Mais pas tout à fait.
Te voir m’observer valait bien la peine de "tricher"
Et je me "régalais" du spectacle" de tes yeux posés sur moi.
A travers mes longs cils
A me dire ce que tu allais encore inventer.
Tu as commencé, à me chatouiller dans l’échancrure de mon décolleté,
Et j’ai aimé cet instant.
Puis tu as ouvert un à un mes boutons
Et tu as posé tes lèvres si délicatement
Que j’en ai eu des frissons.
Mon gentil "polisson"
Ta tête a plongé soudain dans mon cou
Et tu n’avais plus envies de le quitter.
Tu en respirais l’odeur de mes cheveux
Odeur de la violette si présente finalement.
Noie toi encore dans ce champs de violettes, de ta jolie violette.


caressedesyeux
Ven 01 Oct 2010, 19:39 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

De vous à toi…

D’une voix chaude et caressante,
vous vous êtes présenté.
Et déjà, j’étais intriguée…
D’où veniez-vous bel étranger ?
Je vous ai imaginé évoluer dans
des ambiances très contrastées.
Tantôt, près d’une forêt, éclairée
par une aurore boréale, tantôt,
au cœur d’une cité palatiale.
Puis, je vous ai rencontré…
Ensuite, je vous ai côtoyé…
Un jour, vous avez prononcé :
« Vous m’avez manqué… »
A qui vous adressiez-vous?
La formulation était équivoque…
Plus tard, j’ai entendu :
« J’ai hâte de te retrouver… »
Alors, j’ai osé me rapprocher de toi…
Mais, où irons-nous ?
Lun 27 Sep 2010, 12:58 par évènement sur Parler d'amour

Une douce torpeur


Cette envie de plonger,
Dans un breuvage au goût exquis me ravie
Et me met les papilles en ébullition
De sentir cette douce torpeur m’envahir les neurones.
Et dont mon palais en raffole et m’affole
Belle couleur,dont ses effluves viennent m’enivrer.
Belle saveur d’un mélange de baies sucrées au goût de cassis, fruit des bois
Et dont je prends plaisir à tremper le bout de mes lèvres
Puis de ma langue, je me mets à rêver.
Sauter dans une mare rouge dont l’odeur du raisin est bien présente.
M’en recouvrir le corps, et s’immerger avec modération d’une tentation, et " macération."
Viens donc me rejoindre au pays de l’ivresse
Où je serai une déesse qui t’accompagnera et en ferai de délicieux dégâts . CARESSEDESYEUX
Mar 24 Août 2010, 17:45 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Plus l'habitude de me mettre en péril...

Plus l’habitude de me mettre en péril... Et pourtant j’ai pris le risque et la joie était là, le bonheur, la douce folie de se donner, de recevoir en retour, d’avoir l’impression d’exister, d’en vouloir plus. La vie prend de surprenants tournants, comme cela sans prévenir quand on s’en donne les possibilités... De laisser son coeur respirer !
Mais voilà, le coeur n’a pas ses raisons mais a de la mémoire... Et voilà qu’une phrase maladroite me rend malade. Le cerveau tente de venir à la rescousse pour une fois dans le bon sens, mais rien n’y fait, mon coeur bat stupidement trop vite, bat de peur ! Pour une maladresse j’en conviens, pour une mauvaise interprétation c’est sûr, mais pourquoi part-il à cette vitesse pour si peu? Douleur passée qui fait écho à une situation présente, imagination torturée de scènes absurdes, peur d’avoir donné pour rien, de tout perdre...

Ou alors tout simplement je tiens à toi...
Mer 17 Fév 2010, 21:48 par Loyd sur Mille choses

Pas de calais - fiction amoureuse 1 à 5

1 – La mer

La mer est une mère qui accueuille dans ses bras qu’importe le nom, la race, l’origine ethnique. La mer ouvre ses bras et accueuille les cœurs désamparés et blessés. La mer est généreuse et donne son amour inconditionnel, qu’importe qui la demande et comment.

Je me suis jettée de plein fouet dans ls bras accueuillants de la mer du nord de la Bretagne, espérant et souhaitant que les eaux froides rafraichiraient les brûlures de mon cœur.

Les vagues roulaient comme pour mieux m’accueuillir, elles grondaient un genre de bienvenue rauque et à demi étouffé, mais mon cœur lui, comprenait le doux chant des sirènes.

« Viens, viens à nous cœur éplorée et déplorée, viens que nous te berçions dans nos bras. Nous te ferons oublier tes soucis et tes chagrins. Nous sommes tes sœurs, ta mère, ta confidente. Nous sommes là pour toi, pour appaiser ta peine. »

J’écoutai ces paroles enchanteresses et mes pas, comme guidés par une force indépendante de ma volonté, dirigeaient bon gré malgré le reste de mon corps vers les vagues qui écumaient de passion dévorante. Elles aussi ont aimé. Elles aussi ont un éternel amour déçu.

L’eau était froide. Presque glaciale contre la chaleur intime de mon corps, mais plus j’avançai, plus un bien être indescriptible me prenait et plus l’envie d’avancer plus loin devenait intensément forte.

Il me sembla que la première vague voulait me repousser vers la plage, mais c’était une petite vague immature, et la seconde, plus grande, plus autoritaire et beaucoup plus forte m’attira avec une telle puissance qu’il me fut impossible à ce moment là de reculer, de faire demi tour. La vague suivante confirma les efforts de la seconde et m’entraîna encore plus loin dans la mer houleuse. Soudain, la plage était loin, et la réalisation des efforts qu’il me faudrait pour nager vers la terre sainte et ferme de mes anciens espoirs me fit paniquer. J’étais en enfer et je ne le réalisai qu’à moitié.

Or, la seule et unique chose à ne pas faire en mer est bel et bien de ne pas paniquer. Le corps reprend le contrôle sur les désespérances du cœur et s’agite comme un poisson dans un fillet … ou plutôt comme un triste poulet jetté à la mer. La peur sauvage s’empare des sens, les bras gesticulent, les yeux se ferment, ils refusent de regarder la triste réalitée en face. Les pieds, comme dans un espace aérien liquide, perdent de leur utilité, habitude de milliers d’années acquises chèrement à marchant sur la terre solide gouvernée par une loie gravitationnelle très différente de celle de la mer.

La bouche s’ouvre, avale de l’eau salée, la recrache aussitôt, trop salée, trop froide. Trop.

Là haut, dans le ciel azur, le soleil brille et aveugle, témoin silencieux, caméraman sans équipe de plateau.

Là en bas, l’actrice principale se noie, les éléments sont contre elle, les vagues l’avalent tout rond et elle est presque foutue.

« Est-ce que tu es folle ? »

Il avait hurlé ça à qulques reprises avant que je ne l’entende.

Au début, il y avait à peine la voix lointaine, à demi étouffé par le grondement des vagues. Puis la voix devint de plus en plus présente et claire.

Contact visuel : c’était un homme, un jeune homme, blond, avec des soupçons de rouille tons pastel, délavé. Tout devient délavé après un contact aussi passioné avec la mer. Il nageait vers moi, comme s’il fonçait sur moi. Il répétait sa question, mais je ne répondais pas. De toute façon c’était clairement une évidence : oui j’étais folle. Est-ce qu’une personne saine d’esprit irait s’offrir une petite trempette dans les eaux furieuses et glaciales de la mer ?

2 – L’homme

Un bras solide et déterminé, pour ne pas dire socialement archarné, s’enroula autour de ma poitrine et une force tout aussi déterminée m’attira contre son corps. Une main d’homme solide trouva position sur ma gorge, sous mon menton et comme d’instinc ou d’expérience, poussa mon visage pour le haut – pour m’empêcher d’avaler trop d’eau salée, ce qui par le fait même me força a recracher la dernière gorgée.

Une jolie quinte de toux digne d’une bonne pneumonie me prit et sur le coup je pensais que mon bon Sammaritain avait fait sa part, féliciations, mais que peut-être il était trop tard de toute façon.

« Respire, gamine! Respire ! »

Gamine ? C’était moi qu’il appelait gamine ? Et de quel droit, Monsieur ? Je n’ai eue qu’une dizaine de seconde pour le regarder mais il n’était pas si vieux, pas plus de quelques années de plus que moi … ou plus jeune avec une maturité et une force tranquille ancienne ancrée dans son être, comme un héritage très ancien et très solide.

Son autre bras, celui qui ne s’archarnait pas à me maintenir à la surface de l’eau, faisait des mouvements rotatifs pour aider le reste de son corps à nager vers la plage. Je pouvais sentir la puissance de ses jambes qui poussaient son corps et un poids presque mort à contre courant, contre les vagues déchaînées, furieuses, froides, pour nous ramener à la terre ferme. Je me sentais totalement idiote.

Le grondement des vagues devint de plus en plus lointain, distant, presque comme un souvenir qu’on perd, qu’importent les efforts pour le garder vif. Et mon corps redevint d’une lourdeur insuportable quand mon sauveur me déposa sur le sable humide et frais, mais bien moins froid quel’eau.

Il s’était penché sur moi, son ombre me protégeait du soleil et sans le dire, j’en étais reconnaissante.

Une main derrière ma nuque me fit lever le menton, et pendant que deux doigts me pinçaient sans ménagement le nez, deux autres doigts tout aussi forts me pinceaient la bouche pour forcer mes lèvres à s’ouvrir.

Mes yeux s’ouvrirent d’un coup, comme sous une impulse électrique.

« Je vais bien. J’en ai pas besoin. »

Une quinte de toux me vint encore et il m’aida à me tourner sur le côté pour recracher le restant d’eau salée que j’avais au fond de la gorge.

« Tu n’en as pas besoin, mais tu ne vas pas bien non plus ! »
Il avait ce genre de voix mi profonde, mi tendre, très rassurant pour un homme, dont les subtilités de la variation dépendaient uniquement du ton et du contenu. Et à ce moment là, je n’étais pas en position de marchander ou de remettre son autorité en question.

Et quand on ne peut remettre en question les paroles d’un homme, on peut encore moins remettre en question ses actions.

Il se releva comme si de rien n’était et me prit avec la même souplesse et force que si je n’étais qu’une enfant en bas age et commença à marcher.


3 – L’eau brûlante

Après les aux froides de la mer, la tropicalité quasi brûlante de sa douche coulait sur ma peau comme une onction bénite. Sa voix résonnait agréablement dans ma tête; « Ne me force à venir te rejoindre. » Sur le coup j’en souris comme une adolescente qui se serait fait draguer par un garçon plus âgé, mais je savais que c’était une menace plaisantine sans fondement, ce n’était pas le genre d’homme à abuser de son statut, de l’autorité et des points d’avance juste parceque l’occasion était lui était donné sur un plateau d’argent.

Le fait qu’il cogna pour s’enquérir de l’eau, de mon état moral et physique ne me surprit donc pas.

« Je t’ai apportée des serviettes et des fringues. Je n’ai que des chemises et des pantalons d’homme … »

Je glissai la porte de verre pour le regarder, mais il me tournait le dos, regardant la porte avec une dévotion digne d’une apparition de la Sainte Vierge. Les vêtements en question étaient posés sur le couvercle descendu de la cuvette de toilette : une chemise à carraux bleu, un pantalon bleu marine sombre, des chaussettes. Pas de sous vêtements.

« Je peux te prêter un de mes caleçons si tu y tiens. »

« J’apprécirais … beaucoup. »

Petit bruit discret de la porte qui s’ouvre et se referme.

L’eau qui coulait sur ma nuque et mon dos, glissait sur les courbes de ma féminité et me fit soudain réaliser, comme une épiphanie : c’était un homme et il était beau.

Je le revoyais dans la mer, sous le soleil, les cheveux qui brillaient, même s’ils étaient mouillés, sa barbe de deux semaines … je me demandais comment ça aurait été de ne pas refuser le bouche à bouche ?

Je me laissai aller contre les tuilles de la douche. Non, c’était idiot tout ça. De toute façon, folie passagère passée, l’embassade me trouvera un hôtel confortable, mes problèmes seront vite reglés et je partirai et je l’oublierai.

C’est fou comme la vie peut vous donner des claques sur la gueule quand on se laisse aller.

4 – L’eau réconfortante

« Je me suis presque suicidée et tu me donnes du sirop contre la toux ? »

« Avec la quantité d’eau froide que tu as avalée, ca ne peut pas te faire de tort. »

Une voix posée, calme, mais autoritaire et bienveillante.

J’ouvrai la bouche, pris le contenu de la cuillière et sitôt la bouche refermée, je sentais la force de sa main contre ma bouche. Le goût était fort, atroce, dégoûtant, piquant, mais avec cette main qui pressait avec une telle fermeté, impossible de recracher. Et ses yeux me regardaient si tendrement … pourquoi ? Pourquoi ses yeux m’encourageaient-ils à aller de l’avant, même si dans le présent très concret c’était vraiment difficile pour ne pas dire épouvantable.

J’avalai finalement, pris une grande respiration par le nez et serrai l’édredon du lit comme si forcer les muscles de mes mains allaient me faire oublier ce goût de rat alcolisé dans ma bouche.
Une autre respiration. Les yeux me piquaient et j’avais envie de pleurer. Il retira doucement sa main mais ne me quitta pas des yeux quand j’eus la grande idée de prendre une goulée d’air frais qui me fait tousser d’avantage. J’avalais encore, ma salive était pourtant plus que teintée de ce goût huileux et pestinentiel.

« C’est quoi cette vacherie que tu m’as donné ? »

« Syrop contre la toux de marin. Tu auras envie de courir un marathon demain. »

Je me laissais aller contre l’oreiller. Demain, c’est demain.

Aujourd’hui j’ai envie de mourir.

« Je vais aller te faire du café ou du thé, ça va alléger le goût. »

Mais il ne bougea pas d’un pouce.

« Thé, s’il te plaît. »

Il sourit et se leva.

La chambre était typiquement cette chambre qui hantait ma mémoire et mon imaginaire depuis toujours : la fenêtre à ma gauche, la porte à quelques pas au bout du pied du lit, le mur de droite couvert comme une mosaique tout en relief de textures et de matériaux différents.

La fenêtre en bois, style ancien, avec des rideaux sombres et lourds en velours bleu fond de mer, presque noir, et les rideaux blancs légers, en dentelle travaillée – sûrement faite par des mains patientes et entrainées. J’aurais voulue savoir comment c’était de se réveiller dans ce lit, et regarder vers la fenêtre, comment ce serait d’entendre l’orage au travers de cette fenêtre, comment ce serait d’ouvrir la fenêtre en été pour laisser l’air marin rentrer dans la pièce ?

Une petite porte discrète, presque cachée par le peignoire accroché en soin coin, et que l’œil ne repérait qu’après s’être longuement perdue à regarder par la fenêtre, donnait sur une petite salle de bains privée mais pratique. Presque collé à la porte de cette fameuse salle de bains, la commode, en bois sombre et verni, d’allure officiellement européenne et ancienne, peut-être même un rescapé du siècle dernier, se tenait devant moi, l’allure fière et austère. Sur le sommet de sa tête, une petite télé moderne, à écran plat, lecteur DVD et une chaîne stéréo, les hauts parleurs se dressaient fièrement sur le sol, de chaque côté de la commode, comme des guardes encores plus fiers. Je souris à la vue d’une cravate cloué aux deux extremités du second tiroir et qui servait de corde à linge pour hameçons de différentes tailles et couleurs.

Le mur, de l’autre coté de la porte qui donnait sur le corridor, qui ensuite donnait sur le salon ou la cuisine, était le plus chargé, pour ne pas dire surchargé de décorations. Un énorme poisson verni et empaillé tenait dans sa gueule une chainette en avec un pendentif de croix en fleur de lys, tandis qu’à son aileron dorsale était accrochée une autre chaîne dont le pendentif représentait un petit petit bateau de pêcheur.

« Moi je suis pêcheur d’hommes »

L’homme qui m’avait sauvé de moi même l’était aussi.
Il revenait avec un plateau sur lequel deux tasses à thé et un pot formaient comme la petite communauté du social.
Il s’installa en face de moi, comme pour mieux me garder à l’oeil d’une nouvelle éventuelle bêtise et me tendit l’une des tasses.

5 – Mon Histoire

Il prit une grande cuillière du contenu du pot et la glissa dans ma tasse – du miel. Ohhh, comme la douceur de cet onctueux délice me donnait envie !

Il s’adossa contre la pièce de bois qui formait la tête du lit, se croisa les jambes et demande, de la même manière qu’un HR vous demanderait de lui résumer les points forts de votre carrière, il me demanda les circonstances qui m’ont pour ainsi dire, jetté dans les filets de ses bras.

« Ça va être long. Et ennuyant et très touristique.»

« J’ai pas entendue une bonne histoire depuis la mort de mon père. Éblouis-moi. »

Une première gorgée de thé, comme tout bon conteur se le doit de faire, et j’essayai de trouver le bon moment où commencer mes mésaventures.

Soupir.

« Eh bien, ça a commencé par un voyage de groupe. Nous partageons la photographie comme point commun, et sur un des nombreux forums sur lequel je m’étais éparpillée, un des membres a proposé de faire un voyage en Europe.

L’Europe en tant que tel … est bien merveilleux mais immense et ca m’a pas follement tentée. Et puis une autre femme a proposée de faire plusieurs voyages, par pays. Le processus a commencé par un vote : quelle région de l’Europe, puis quel pays. Le premier voyage était évidement en Italie. Vingt personnes ont formé le premier groupe. Succès total et incontestable. Trois mois plus tard, la Pologne a conquis un second groupe.

Et finalement, au septième tour, la Bretagne. »

« Old Lucky Seven. Et tu crois que ça t’a portée chance ? »

Un professeur d’université n’aurait pas mieux formulé la phrase, mieux modulé sa voix que lui, entre deux gorgées silencieuses.

Je souris avant de reprendre.

« J’ai assistée à un concert d’un groupe local dans un pub, j’ai mangée plus de poisson en une semaine que durant la totalité de ma vie – et ça c’est un miracle en soi – j’ai vue la mer ! »

Ton extatique malgré moi, les vagues, le bruit, la force de l’eau en mouvement, le ciel, les oiseaux. Je fermai les yeux pour mieux savourer le souvenir de cette première rencontre. C’est comme rencontrer une idole, on se sent en pamoîson, prêt à déclarer n’importe quelle imbécibilité romantique mais soudain, là, devant l’idole, on est à bout de mots. Rien ne sort. Que l’air salin qui rentre à plein régime par les narines, la bouche, par tous les pores de la peau.

Il but plus de thé. Je me demandai s’il avait envie de rajouter un commentaire, mais il ne dit rien. Pas la peine de tourner le couteau dans la plaie.

« Et puis vendredi après-midi est venu, comme un traître. La fin du rêve. Le voyage du retour. L’adieu. L’avion partait … il est parti ce matin, vers les 6 heures. Et je n’y étais pas.

« Et ton groupe ? »

« La majorité, si. Il y avait un groupuscule de moutons noirs dans le groupe. Deux autres Québecois, un Berbère, et moi. »
Commentaire tue, j’en étais certaine. Il but trois longues gorgées de thé.

« Nous avons décidé de passer la soirée dans un pub du coin, pour ne pas gâcher ces quelques heures dans notre hôtel. Nous voulions profiter au maximum de cette opportunité. »

À mon tour de prendre une longue gorgée de thé, pour mieux revivre les évenements


à suivre ;)
Dim 31 Jan 2010, 00:32 par Ailime sur La vie à deux

Pas de retour.

Chapitre 1

En sueur et essoufflé, Arthur n’en avait pas moins le sourire.

Un sourire franc et lumineux, qui ne manquait jamais d’étonner. Si Patrick Brun le connaissait bien, ce sourire, jamais il ne s’en lassait. « Décidément - pensait-il en regardant son élève - ce gosse a tout pour lui : talentueux, intelligent, gentil comme tout, beau gosse et jamais la grosse tête. Comme j’aimerais qu’ils soient tous comme lui… »

Patrick Brun était instructeur de taekwondo depuis une quinzaine d’années, déjà. Il avait la chance d’exercer son métier par passion et non pas, uniquement, pour recevoir son chèque en fin de mois. A l’âge de 20 ans, désœuvré comme la plupart de ses acolytes de la cité, il a découvert le taekwondo par pur hasard, dans un minuscule dojang (nom donné aux centres d’entraînement dédiés) de sa ville, Bagnolet. Le maître des lieux était un Coréen, ne payant pas de mine, sachant au plus 10 mots de français mais qui excellait pour communiquer la technique et la philosophie de cet art martial. Dès sa première session, Patrick sut que le taekwondo ferait partie intégrante de sa vie, comme la drogue, l’alcool ou la violence gratuite formaient le lot quotidien d’une grande majorité des jeunes de son âge. Il avait trouvé sa voie et avait investi sa vie dans la pratique de cet art qui commençait a peine à se développer, à l’époque. Il participait aux tournois organisés en France et en Europe et gagnait très souvent. Il a même eu l’occasion de séjourner en Corée du Sud pendant un mois et de se mesurer aux champions du coin. Il avait été loin d’être ridicule et son Maître - qui l’avait accompagné pour le voyage - même s’il ne disait rien était fier de son disciple et du fait d’avoir reçu les félicitations des grands pontes de la World Taekwondo Federation pour le travail accompli hors des frontières. A 25 ans, Patrick Brun a décidé d’arrêter la compétition pour se consacrer à l’instruction. Il avait repris le dojang de son Maître - reparti dans son pays - et l’avait développé, avec le succès grandissant du taekwondo en Occident.

Par le biais de son Club, Patrick avait éduqué des centaines d’enfants, leur évitant ainsi de tomber dans les dérives trop faciles des cites ouvrières, et sorti certains d’entre eux pour alimenter son département « Elites », dédié spécifiquement à la compétition. Le nombre de médailles gagnées dans les différentes catégories de jeunes l’avait définitivement aidé à recruter de plus en plus d’élèves. A 40 ans, il vivait plutôt bien de son activité et pouvait dédier 80% de son temps au suivi des « Elites », laissant la formation de base aux mains expertes de ses différents instructeurs.

Arthur était la vedette de ce groupe d’élites, composé d’une vingtaine de pratiquants de haut niveau, âgés de 10 à 20 ans. Il pratiquait depuis l’âge de 5 ans, poussé par ses parents qui croyaient dans les vertus des arts martiaux. Très tôt, Arthur avait montré des dispositions physiques exceptionnelles pour le Taekwondo : souplesse, puissance, rapidité et coordination. A cela s’ajoutait un mental très fort, malgré son très jeune âge. Fait exceptionnel, il n’avait jamais perdu un tournoi auquel il avait participé, aussi bien en France que dans les autres pays d’Europe. Depuis l’âge de 10 ans, il avait récolté 50 médailles d’or !

Bien entendu, ce parcours ne s’est pas réalisé sans sacrifices. Encore aujourd’hui, à 15 ans, il s’entraîne deux heures, après l’école ; sans compter sa participation à l’instruction des plus jeunes que Patrick impose a toutes les ceintures noires. « Les arts martiaux vous ont apporté, entre autres, une philosophie de la vie. Maintenant, c’est à vous de redonner un peu au taekwondo. Et cela passe par l’instruction », aimait-il à répéter. Mais Arthur ne se plaignait pas de cette discipline. Il adorait les compétitions et découvrait, depuis 2 ans, les joies et bienfaits personnels de l’instruction.

La salle d’entraînement était lumineuse et spacieuse. Quatre tatamis bleus de 9mètres carrés divisaient l’espace. Des punching bags pendaient à différents endroits et l’on pouvait entendre le bruit mat de chaque coup de pied lancé par les autres élites, en plein effort. Des appareils de musculation tout neufs trônaient dans le fond, à gauche, à côté du bureau de Patrick. Les murs blancs recevaient des cadres montrant toute une série de personnages, dont le créateur coréen des lieux, Grand Maître Park Chung-hee et certains jeunes champions du Club – dont Arthur. A droite de l’espace, vers la zone de sparring, les murs présentaient 5 cadres rapprochés, chacun définissant (en hangul – alphabet coréen – et en français) une des 5 vertus du taekwondo : respect, maîtrise de soi, esprit indomptable, humilité et persévérance. Patrick insistait énormément sur ces concepts, à chacune de ses sessions d’entraînement. « Je ne veux pas donner des armes à un futur criminel », répétait-il. « Si vous ne respectez pas et n’implémentez pas ces vertus, ici et dans la vie en général, vous pouvez partir » clamait-il à tous ses étudiants et il soulignait plus particulièrement la notion de « respect », qu’il estimait comme étant la base d’un homme honnête. La salle bénéficiait de plafonds très hauts, amplifiant cette impression de grandeur.

- Alors, c’est bien vrai, coach ? Je pars pour Singapour ?
Patrick sourit, content de son effet.
- Oui, mon petit gars. Tu pars avec trois autres combattants et, bien sûr, moi. Et, je te l’ai déjà dit : arrête de m’appeler « Coach ».
- Oui, co… Euh… Patrick… C’est vraiment génial !
- Le tournoi débute dans quinze jours. Comme d’habitude, j’ai concocté un programme spécifique pour vous quatre. On commence demain.
- Pas de problème. Je serai prêt ! Au fait, qui sont les trois autres ?
- La Fédération a retenu notre club pour ce tournoi international et j’ai choisi Victor, Ali et… Mathilde…
Patrick avait fait exprès de temporiser avant d’annoncer la participation de Mathilde. Il savait bien qu’Arthur avait plus qu’un faible pour cette jeune fille qui, de son côté, ne semblait pas indifférente. Mais, à 15 ans, on ne sait pas trop comment exprimer ce genre de sentiments, tellement nouveaux…

Le visage d’Arthur s’était illuminé à l’évocation du nom de Mathilde, ce qui ne faisait que confirmer l’observation de Patrick.

Chapitre 2

Michael Ong observait l’effervescence qui régnait au siège de la STF (Fédération Singapourienne de Taekwondo). Il savait que le tournoi international débuterait dans quinze jours mais, en tant que membre de la commission d’organisation chargé de la sécurité, il n’avait aucune inquiétude à avoir : son pays était l’un des plus sûrs du monde et tout était déjà mis en place. Cela n’avait présenté aucune difficulté. En effet, sa qualité d’inspecteur du département des investigations criminelles lui permettait de faire bouger ses relations internes plus vite que n’importe qui d’autre…

Michael faisait aussi partie de la fédération en tant que détenteur d’une ceinture noire 4eme dan et instructeur au sein des forces de police. A l’occasion, plus jeune, il avait représenté son pays dans quelques tournois militaires et intra forces de police mais cela ne l’avait jamais vraiment intéressé. Ce qui le passionnait, dans le taekwondo, c’était l’aspect art martial plutôt que le côté sportif. Et, à bientôt 40 ans, il était toujours aussi engagé dans sa quête perpétuelle.

Il vit arriver vers lui Lee Boon Tat, le responsable des inscriptions. Michael perçut tout de suite son anxiété.

- Michael, je peux te parler un instant ?
- Bien sûr. Tu m’as l’air soucieux… Des problèmes avec les participations ?
Boon Tat avait le regard fuyant et Michael n’aimait décidément pas ça…
- Oui, il y a quelque chose qui me perturbe avec les inscrits…
- Quoi ? Un pays indésirable a fait une demande de participation ?
- Non, le problème vient plutôt d’ici…
Michael ne manqua pas de marquer son étonnement.
- Ici ? Dis m’en plus... Je ne vois pas, là…
- 3 athlètes du club de Geylang se sont inscrits.
- Comment ? Mais qui a permis à ces voyous de participer au tournoi ?, s’emporta Michael.
- Ils sont affiliés à la fédération et les combattants sont licenciés. Personne ne peut leur interdire de participer.
Pendant que Boon Tat parlait, Michael repensa au Geylang Fighting Team. Il se remémora les différents problèmes occasionnés par la plupart des membres de ce club, non seulement lors de tournois locaux mais, aussi et surtout, dans la rue. Le Geylang Fighting Team était notoire pour les activités illégales de ses membres : racket, prêts usuriers, contrôle de la prostitution (Geylang est LE quartier abritant la prostitution, à Singapour), trafic de cigarettes, etc… En clair, il s’agissait d’un gang bien connu des services de police. Michael les a connus lorsqu’ils ont participé à leurs premiers tournois, démontrant leur mépris des règles de fair play et n’hésitant pas à s’en prendre aux arbitres, juges ou adversaires quand les décisions ou l’issue des combats leur étaient défavorables.

Bien entendu, très vite, la fédération avait pris la décision officieuse de bannir le club mais la police lui avait demandé de n’en rien faire, arguant du fait que tant qu’ils participaient aux divers tournois organisés à Singapour, il serait plus facile de les observer. A partir de cette intervention du gouvernement, la fédération n’avait plus son mot à dire sur le sujet… De leur côté, les policiers, dont Michael Ong, avaient pris le problème à bras le corps et avaient opéré un nombre impressionnant d’arrestations mais cette activité n’avait jamais eu pour effet de désorganiser le gang qui continuait à sévir grâce au recrutement permanent de nouveaux membres, tous adeptes de taekwondo.
- Bon ! fit Michael. Je vais en parler au président de la fédération.
Boon Tat ne put réprimer un sourire de dépit.
- Je l’ai déjà vu, Michael. Il ne peut rien faire. C’est lui qui m’a demandé de voir ça avec toi… Apres tout, c’est bien vous qui avez refusé de les bannir, non ?
Boon Tat avait raison et Michael ne pouvait que l’admettre, même s’il avait été contre cette intervention de ses supérieurs.
- OK, Boon Tat. Je vais en référer à mes chefs. Je vais voir si on peut faire quelque chose. Entre-temps, as-tu la possibilité de retarder leur inscription ?
- Tu plaisantes ? La clôture a lieu ce soir !
Michael pestait intérieurement. Il pensait pouvoir regarder tranquillement le tournoi et le voilà, maintenant, à devoir gérer une situation potentiellement dangereuse…
- Qui sont les athlètes inscrits ? demanda-t-il.
Boon Tat se décida, finalement, à regarder Michael droit dans les yeux.
- Min Yi Er, Gopal Sanchin et… Azhar…
« Ben, voyons ! » réagit Michael en entendant le dernier nom. Azhar était le bras droit du chef de gang, l’exécuteur des basses œuvres. Il n’avait que 19 ans ! Un fou furieux, violent et, qui plus est, champion national de taekwondo. Ni Michael, ni ses collègues n’avaient encore réussi à l’appréhender. Il était assez malin pour faire porter le chapeau par un de ses hommes, à chaque intervention de la police. Cela ne les empêchait pas de savoir à qui ils avaient à faire… Mais, le pire pour Michael et beaucoup d’autres membres de la fédération, était qu’à cause de lui, Singapour détenait un triste record ; celui du premier pays au monde - depuis que le taekwondo est devenu sport olympique - à déplorer un mort pendant un tournoi dûment encadré par les règles de sécurité édictées par la WTF. Un incident qui a fait le tour du monde, au grand dam du gouvernement singapourien. « Un meurtre » corrigea Michael. Il y était. Il a vu Azhar s’acharner sur son adversaire pendant que l’arbitre, stupéfait devant tant de violence concentrée, ne savait comment réagir. Il a senti, avant qu’il ne se produise, le coup de pied circulaire qui visait la tempe de sa pauvre cible, tenant à peine sur ses jambes. Il a prévu l’issue fatale de ce dernier coup porté avec une énergie surnaturelle, avant que l’arbitre n’intervienne. Un frisson d’horreur l’a secoué avant que l’adversaire d’Azhar ne se relève pour s’écrouler, deux secondes plus tard, et ne jamais sortir d’un coma stade 4… Un sentiment de haine, fulgurant, est apparu lorsqu’il a regardé Azhar lever les bras en signe de victoire et faire un clin d’œil vers les membres de son gang qui applaudissaient à tout rompre et criaient son nom… Six mois ! Six mois que cet « assassinat » a eu lieu ! Personne n’a pu faire quoi que ce soit. Ni la fédération, ni le gouvernement. Après tout, le cadre du combat était tout ce qu’il y avait de plus légal ; les fameux formulaires de dégagement de responsabilité étaient proprement remplis et signés ; et, surtout, les associés d’Azhar avaient été très clairs auprès de la famille du défunt âgé d’à peine 17 ans… « Et, maintenant, le revoilà… », gambergea Michael. « Dans un tournoi international ! Et sil tue un adversaire étranger ? Qu’est ce qui va se passer ? Il faut que je trouve un moyen d’empêcher sa participation ! »

(A suivre...)
Lun 09 Nov 2009, 09:32 par Arthis sur Mille choses

Nouvelle (1er essai...)

Bonjour à tous et à toutes, voici le premier récit que je poste, je ne sais pas s’il a sa place ici mais pour ceux qui prendront le temps de le lire, j’espère avoir quelques commentaires positifs ou négatifs avant de mettre éventuellement la suite.
Merci d’avance et bonne lecture

Le pêché original: vendredi 6 novembre 2009

Le vieux port de Dunkerque ressemblait toujours à une zone sinistrée quand arrivait le mois de novembre.
Quand la brume le recouvrant le rendait si triste et déprimant.
Il n’y avait qu’en été qu’on pouvait en se forçant un peu, imaginer un beau paysage estival, quand les cafés sortaient leurs tables en terrasses et les ménagères leurs trois géraniums sur les balcons.
Non, Dunkerque n’avait rien de la Côte d’Azur… même sa mer n’était plus bleue.
S’il y avait des touristes, ils venaient en automne pour les fêtes traditionnelles… et encore.
Maxence était né là, dans cette petite bourgade à côté de la ville. Malo les bains. Malo pour ceux qui y vivent. Sans doute le quartier de Dunkerque le plus…, le moins… bref. Malo les Bains.
Tous les matins, il enfourchait son vélo pour aller étudier au lycée, le samedi, il rangeait les rayons liquides du supermarché près de chez lui et trois fois par semaine, il allait s’entraîner au foot dans le club du village.

Si vous demandiez à un habitant du village comment il qualifierait Maxence Galbert, un seul adjectif lui viendrait à l’esprit : seul.
Maxence n’avait ni frère ni sœurs, discutait et déconnait avec les autres à l’école sans vraiment s’en faire des amis et on ne l’avait vu qu’une ou deux fois en compagnie d’une demoiselle.
Pourtant, tout en lui imposait sa présence de sorte qu’il ne passait jamais inaperçu.
Une carrure de sportif, une voix rauque modelée par la cigarette, et de beaux yeux bleus. Si profonds. Et pourtant tellement vides.
Tout le monde au village de Malo, vous dirait que Maxence était un garçon simple et sans histoire, et même que ses parents avaient de quoi être fiers, que c’était sûr, il deviendrait quelqu’un ce petit gars.
Le petit gars aimait étudier, il aimait le vélo et le football et s’accommodait de sa vie.
Comment dit on déjà dans les histoires ? Vous savez… une fois que l’auteur a situé le cadre, présenté son premier personnage, l’intrigue arrive. Comment fait-on la transition ? « Jusqu’au jour ou »…, mais était ce bien un jour précis ? « Quand tout à coup » non. Il faut se souvenir du contexte. Rien n’a de sens sans lui. Bon aller, transitionnons, va pour le « Et un jour ».

Un jour son entraineur lui téléphona.
-Je suis désolé Maxence, je ne peux pas te laisser en équipe deux si tu n’es même pas présent aux matchs de la saison.
-Mais coach, je viens tous les lundis et mercredis…
-Je sais que tu suis les entraînements, mais je sais aussi que tu ne peux pas laisser tomber ton job au magasin… qu’est ce que tu veux que je te dise, Max ça me fait chier moi aussi… mais l’équipe 3 est bonne cette année…, et comme ça tu pourras au moins jouer les dimanches…
Maxence raccrocha sans insister.
Il entendait en bas sa mère pleurer, sans doute à cause de son abruti de père, il y avait cette interro à préparer pour le lendemain et il venait d’être rétrograder au foot.
C’était une mauvaise journée.


Très souvent les joueurs qui avaient été admis en équipe 2 avaient une véritable chance de jouer en équipe 1 un jour dans leur vie.
C’était ce à quoi pensait Maxence en contemplant depuis les gradins l’équipe 3 s’entraîner sur la pelouse.
Les joueurs de l’équipe 3 étaient soit trop nuls et stagnaient à ce niveau, soit plutôt doués mais n’en avait strictement rien à foutre.
Emmanuel faisait parti de cette dernière catégorie.
Trop occupé qu’il était par le conservatoire de musique et ses cours, il aimait venir jouer pour se détendre et avouons le, parce qu’il ne vous le dira pas, pour se muscler un peu.
Il descendait les marches des tribunes, en retard comme à son habitude pour l’entraînement quand Maxence se leva pour rentrer et sans vraiment regarder ou il allait, manqua de le bousculer au passage.
-Désolé, bougonna t’il en continuant son chemin.
Mais l’autre répondit dans un petit rire moqueur :
-Faut ouvrir les yeux !
Alors il les leva, se retourna pour regarder le type et le détailla un instant.
Il n’était pas bien grand, pas bien costaud non plus.
Ses cheveux noirs étaient en bataille et supportaient un énorme casque de mp3.
Il portait un long manteau fourré noir au-dessus d’un jogging bleu marine et un sac en bandoulière vert au lieu du grand sac de sport traditionnel.
Voilà, c’est comme ça qu’il le vit.
La première fois.
-Tu veux t’inscrire dans l’équipe ? demanda l’inconnu.
Maxence pensa que ce petit merdeux se la jouait un peu trop, mais ce n’était pas dans ses habitudes, - du moins il essayait – de s’énerver contre quelqu’un.
Il chercha alors simplement à le remettre à sa place
-Ouais, lança t’il, j’étais en équipe 2 avant.
Mais voilà que l’autre prit un air compatissant.
-Recalé ?
-Non… j’étais pas libre pour les matchs c’est tout… je dois voir Monsieur… Shesko.
-Ouais, c’est not’ coach, il est là en bas.
Emmanuel regarda sa montre, il était plus en retard qu’il ne le croyait.
-L’entraînement se termine dans 20 min, t’ as qu’à l’attendre.
-Non, j’allais rentrer et puis ça presse pas… merci.
-… Salut.
Quand Maxence fut de retour chez lui, il s’allongea en essayant de penser à autre chose qu’à l’interro qu’il avait raté le matin, autre chose qu’au visage de sa mère qui n’avait même pas oser le regarder quand il était entré et autre chose qu’à l’équipe de foot dans lequel il était obligé de jouer…
-Recalé ?
Ouais c’est ça ouais…
Ses journées se ressemblaient toutes et celles ou il ne passait rien étaient toujours meilleures que les autres.
Parce qu’il était très rare que quelque chose de bien ne lui arrive.
Il chercha à occuper son esprit et repensa à ce type au walkman qu’il avait croisé, il ne se souvenait pas de l’avoir déjà vu au lycée ni même de le connaître d’ailleurs
De toute façon, il ne connaissait pas grand monde.

Dans le même village, approximativement au même moment, le garçon au walkman était lui aussi allongé sur son lit et regardait la rediffusion du film M. Le Maudit.
Comme il le connaissait par cœur, son esprit se perdit à repenser à ce type croisé dans les gradins.
S’il jouait en équipe 2 alors c’était normal qu’il ne lui disait rien.
Il avait l’air spécial, pas très causant en tout cas.
Un gars de la campagne avait-il pensé, comme il en croisait tous les jours depuis qu’il habitait ce coin perdu.
Il s’était penché jusque sous son lit ou s’amoncelait une pile de paperasse et y avait extirpé le carnet de l’équipe de Dunkerque.
De petites photos en noir et blanc présentaient aux supporters les joueurs de la saison et il trouva effectivement la photo du jeune homme dans les pages de l’équipe 2.
Il s’appelait Maxence Galbert, et ils avaient le même âge.












Le bruit d’une basket qui donne des coups sur le carrelage d’un lycée résonne jusqu’au fond du couloir.
Si Maxence était pourtant de nature assez patiente d’habitude, il s’énervait un peu que son professeur de français le fasse poireauter ainsi depuis plus d’une demi-heure devant la salle des profs.
Quand enfin celui ci en sortit, transpirant et exténué, Maxence se recomposa un visage de circonstance.
-Ah! Monsieur Galbert, excusez-moi de vous avoir fait attendre… les réunions de rentrée sont toujours longues…
-Aucun problème
Le prof agita sa mallette pour en sortir une feuille aussi soigneusement pliée que lorsque Maxence le lui avait remise.
-Alors j’ai lu votre lettre de motivation pour intégrer l’école en tant qu’intervenant stagiaire pour le mois de juin et si vous voulez, je peux la transmettre moi-même à la directrice…
-Ce serait super.
-Elle est très bien seulement, vous devriez peut-être insister sur le fait que vous souhaiter présenter l’IUFM après votre diplôme, comme ça…
-Oui, d’accord…
-Je dois vous prévenir que compte tenu de votre âge vous aurez sûrement en charge les petites sections… en tout cas pour cette année.
Maxence sourit même si d’avoir en charge des touts petits ne l’enchantait guère.
-Aucun problème.
Maxence n’avait jamais de problème.
-Bien monsieur Galbert, je … oh là là déjà 18h30, le vendredi c’est la folie pour les métros, je dois vous laisser…
Maxence ouvrit des yeux ronds :
-On est vendredi ?
-Jusqu’à demain oui
-Oh… mes horaires ont changé, je… je suis en retard pour l’entraînement …
Maxence s’élança dans les escaliers, il entendait encore la voix de son professeur résonner dans les étages :
-En tout cas continuer comme ça monsieur Galbert, vous faites du bon travail…


Si Maxence était arrivé essoufflé dans les vestiaires du stade et se dépêchait de se changer pour rejoindre les autres sur le terrain, le joueur qui venait d’entrer en laissant tomber son sac dans un casier n’avait pas l’air aussi pressé.
Maxence reconnu le gars au walkman… à son casque de walkman.
-Tiens salut, fit ce dernier, le reconnaissant à son tour.
-Salut…
Les deux jeunes hommes se fixaient, un peu gêné que l’autre ne dise rien dans ce moment de contemplation muette et ridicule.
Emmanuel coupa court rapidement au silence en posant la question à laquelle il connaissait déjà la réponse.
-C’est comment ton nom déjà ?
-Maxence.
-Ravi de te connaître Maxence, moi c’est Emmanuel, mais on m’appelle Manu.
-… moi… on m’appelle Max.
C’était vrai, peu de gens l’appelaient mais quand ils l’appelaient, ils l’appelaient Max.
Emmanuel sourit en retroussant son sweat-shirt :
-Et ben, on est en retard Max.

Une fois l’entraînement terminé et une fois que Maxence avait largement prouvé ses compétences à sa nouvelle équipe, les joueurs retournèrent au vestiaire.
Maxence y trouva une ambiance bon enfant, bien différente de la fierté et du sérieux de l’équipe 2.
-Dis donc le nouveau, je sais pas si t’as ta place dans c’t’équipe… t’es balaise !
En règle générale, Maxence parlait peu, répondant au minimum pour la politesse mais ne se laissait pas faire… loin de là.
Il dévisagea le garçon qui se tenait tout nu devant lui.
Plutôt petit par rapport à lui mais assez grassouillet, il se rendit compte que ce petit caïd ne cherchait pas à le provoquer mais plutôt à l’accueillir de façon maladroite.
Comme tout un chacun dans le vestiaire le scrutait en s’habillant, il ne voulut pas non plus se faire remarquer.
En regardant autour de lui, il vit Emmanuel sortir son visage de dessous de son pull.
Comme les autres il le regardait, comme les autres il attendait une réponse.
Ah, oui une réponse…
- Ouais, je joue depuis longtemps, j’étais en équipe 2 mais je suis redescendu.
- Et bien bienvenue en tout cas… tu verras, on est peut-être pas des flèches mais nos troisièmes mi-temps, au moins elles valent le coup.
Fou rire de l’assistance, Maxence se surprit à sourire.
Il se retourna et entreprit de se rhabiller tandis qu’Emmanuel de l’autre coté, continuait de le regarder.

Un quart d’heure plus tard, alors que tous étaient déjà repartis, Emmanuel était toujours assis sur un banc du stade en face de l’entrée.
Il avait vu Maxence entré dans le bureau du coach probablement pour signer sa nouvelle licence.
Et il n’était pas rentré chez lui tout de suite.
Pourquoi il l’attendait là dans le froid, il ne le savait pas
Il l’avait observé tout au long de l’entraînement, son jeu était parfait, cette rapidité et cette concentration sur le ballon l’avait impressionné.
Mais ce qui l’avait le plus troublé était probablement lorsqu’il avait enlevé son maillot dans les vestiaires, là au milieu de tous les autres.
Des joueurs à poils, il en avait déjà vu à la pelle… mais jamais il n’avait eu cette sensation là.
Au point de ne plus pouvoir décrocher son regard de ce mec.
Il avait secoué la tête pour recouvrer ses esprits et était sortit en trombe.
Pourquoi il l’attendait… non vraiment il ne le savait pas.
Est-ce qu’il l’attendait en fait ?
Etant donné qu’il scrutait la porte du bâtiment… il se pourrait que oui.
Il sentit son cœur bondir quand celle ci s’ouvrit laissant échapper un halo de lumière que le grand corps de Maxence recouvrait d’une zone d’ombre.
Il le sentit tressauter dans sa poitrine quand celui ci se mit à avancer dans sa direction.
Emmanuel cracha par terre comme pour se vider de tout ce qui se passait en lui et quand Maxence fut à 2 mètres de lui, il engagea le premier la conversation pour se donner une contenance.
-Je croyais que tu ne t’étais pas fait recaler…
Maxence fut surpris une seconde puis finit par sourire… il ne pensait pas qu’il s’en souviendrait.
-C’est pas le cas, mais je pensais qu’il valait mieux leur faire croire…, je voulais pas être mal vu…
Emmanuel ria
-T’inquiètes, je suis une vraie tombe… et puis c’est un petit mensonge.
Le silence s’installait, mais aucun ne se décidait à partir.
-Qu’est ce que tu fais encore là, t’attends ta copine ?
-Ouais… mentit Emmanuel, mais je crois qu’elle m’a posé un lapin.
-Dommage pour toi. répondit Maxence.
-Tu rentres à pieds ?
-Ouais, mon vélo est à plat.
-Je te ramène si tu veux, je suis en voiture.
-… Ok.
Ven 06 Nov 2009, 15:32 par marina sur Histoires d'amour
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