nous pouvons les aimer...

cela ne signifie pas pour autant qu’ils sont LA PERFECTION....

d’ailleurs, dans leurs imperfections, ne sont ce pas les hommes qui en parlent le mieux ?

Francis BLANCHE a écrit:

Plus je connais les hommes, plus j’aime les femmes.
    Extrait du recueil de poèmes Mon oursin et moi


Jean ROSTAND a écrit:

On peut imaginer une humanité composée exclusivement de femmes ; on n’en saurait imaginer une qui ne comptât que des hommes.
    Extrait de Maternité et biologie


Gandhi a écrit:
Appeler les femmes "le sexe faible" est une diffamation ; c’est l’injustice de l’homme envers la femme. Si la non-violence est la loi de l’humanité, l’avenir appartient aux femmes.
    Extrait de Tous les hommes sont frères


La sagesse de la femme est de reconnaître qu’elle ne pourrait pas se passer de l’homme,
celle propre à l’homme est de vouloir se persuader encore que la femme est son fardeau.



Rose qui pétale, garnit ma cagnotte...
Mer 25 Fév 2004, 01:40 par Ri1kedesBêtises sur Citations

Le plus vieux sentiment ...

pyjama a écrit:
Salut...

Le coeur en vrac les idées à l’envers, je reviens vers vous.
Et oui j’y ai encore cru. Ca faisait plusieurs années que je le connaissais et vlan en fait j’ai cru le connaitre.
Enfin bon.
Finalement c’est pas si mal que ça le célibat puisque j’ai l’ impression que l’amour est devenu un produit de consommation, on prend on jette.
Quel dommage!!

Bisous et à bientôt



"Ça fait p’t’être mal au bide, mais c’est bon pour la gueule", disait Renaud.

Comme quoi, il est parfois souhaitable de seulement se promener en amour. Cette phrase "se promener en amour" est celle que l’on propose à ceux qui accordent une bien trop grande importance à la relation qu’ils vivent.

Et pourtant, le coeur déchiré, les yeux noyés, la gorge nouée, tous ses maux mille fois maudits, ne sont-ils pas la preuve que tu es vraiment vivante, que tu as vraiment vécu, et vraiment aimé... L’inerte seul ne semble pas réagir. Aimer, c’est ça. Aimer, c’est risquer de souffrir, comme tu souffres.

Aimer. Il parait que c’est le plus vieux sentiment de l’homme.

Alors, pleure, crie, toi, maudit ce jour ou l’echeveau t’as piqué, jure qu’on ne t’y reprendras jamais ... et demain, quand tu seras à nouveau guérie, aime encore !
Ven 20 Fév 2004, 21:02 par PetitPrince sur Amour internet

Re: le jeu de la verité ... question 3 ??

la marquise de sade a écrit:
....
Quel endroit inattendu a été le théâtre de vos ébats amoureux?

La marquise ... Dupont d’occas ...


- Madame la "Maîtresse" on est obligé d’avoir UN endroit uniquement?
- Il suffit, élève Ri1keneke!!! n’essayez pas de vous rendre interressante plus qu’il ne faut!

- Mais M’dame "Dupond", ca n’est pas ma faute, du moins ça n’était pas ma faute, mais celle de l’occasion qui a fait le larron, comme qui dirait.
- On ne vous demande pas de vous étaler, juste de nous raconter UNE FOIS, celle qui est sur la plus haute marche, celle qui vous fait encore frissonner aujourd’hui lorsque vous y pensez, celle qui vous fait rougir parce que si audacieuse.

- Cela va être dur alors de choisir Marquise, si j’étais aujourd’hui encore toute jeune, ces souvenirs qui s’appelleraient peut être alors fantasmes, me feraient, en bon nombre ROUGIR, tant je ne me serais crue capable... de tant d’audace... mais qui n’a d’audace ne sait ce qu’il ...

Au coeur de ce bouquet d’arbrisseaux, sur ce rond point de centre ville, jamais je n’aurais cru un jour me retrouver, aux heures de pointe, à aller au delà d’un seul baiser...

Nos pas n’auraient pu nous dire qu’ils nous auraient menés ce jour en ce lieu parisien ou aucun indigeant n’aurait idée de s’introduire. Beau quartier et digicode, fous d’amour en errance que nous étions, ce lieu pétillant du 16ème arrondissement nous a vu nous aimer...

Dans les silences de la nuit, sous les ronflements ambiants d’une pièces hébergeant des provinciaux sans lieux d’arrivage, qu’il est difficile de faire faire silence à ses plaisirs...

En ce lieu qui était géole et qui éveilla l’insurrection de notre révolution mère, au rythme infernal des machines d’un bateau lavoir, les murs en retrait donnent de l’audace à l’attente et à l’impatience.

Géole dans le temps, quais d’arrivées et de départs dans d’autres temps, théatre de spectacle que ces lieux sont devenus, d’un opéra dans ses préparatifs nos ébats ont vécus le rythme...

Si haut dans cette montagne, devant ce spectacle "carte postale", bien au dessus du niveau de cette eau, nous nous sommes électrisés...

De navigation nos ébats sont devenus houleux,
de kilomètrages autoroutiers nous aurions pu cumuler les miles,
sur les rails les trains de nuit nous ont inspirés bien plus qu’endormis,
les parking, et les asenceurs, nous n’avons pas oublié de saluer de nos plaisirs,
occupés à nous aimer que nous étions, nous n’avons pas pour autant oubliés les films et les salles obscures qui nous ont acceuillis alors.

...

Audace, jeu, tentation, envie, risque, danger, besoin, désir,
des ingrédients en nombre, qui peuvent alors composer une recette si fine qu’il aurait été stupide de ne pas céder à la tentation d’y gouter.

Passée cette jeunesse où j’aurais pu rougir de tant d’audace,
les ans étant, des doux souvenirs demeureront toujours la force et le bonheur d’avoir vécu ces instant de grands plaisirs.
Mer 28 Jan 2004, 02:34 par Ri1kedesBêtises sur La séduction

Mythe ou réalité ....

La musique emplissait la salle d’une ambiance festive et chaude. Par les fenêtres, on pouvait voir danser les flocons qui recouvraient peu à peu le sol d’une couche blanche et froide. C’est l’hiver. La température avoisine les -5°. Une langueur m’avait envahie et pour ne pas sombrer seule chez moi dans la morosité, j’avais décidé d’aller prendre quelques verres. Il était derrière le bar. Sa peau foncée contrastait avec son tee-shirt d’un blanc immaculé. On pouvait y deviner le dessin de ses pectoraux lorsqu’il s’étirait pour prendre un verre à bière spéciale perchée au dessus du bar. Il avait une coupe à la Bartez. Je l’observais, me demandant si son crâne était doux ou rugueux, si j’apprécierais d’y poser mes lèvres, si sur mon ventre elle laisserait de petites lignes rouges quand son visage s’enfouirait entre mes cuisses, si … je me surpris à sourire devant ces quelques pensées ..
Je ne l’avais jamais vu auparavant dans ce bistrot. Il devait être nouveau. J’étais installée au bar, perchée sur un tabouret, une vodka citron à la main. Des amis à lui se tenaient juste à côté de moi. De temps à autre, il les retrouvait pour quelques déhanchements suggestifs, de temps à autre son regard croisait le mien, de temps à autre un sourire s’esquissait… La musique latino avait envoûté les serveurs du bar. Ils étaient cinq à se déhancher, à frapper dans leurs mains, à lancer bouteilles et verres à la " Tom Cruise ". Ils étaient souriants, enjoués, mon moral était au plus haut. Les voir ainsi s’amuser me donnait envie de faire la fête avec eux, de danser, de rire, de boire, de …. aussi , un peu… la sensualité des musiques latines m’envahissait … Mon verre était vide, je lui touchai l’épaule :
- Tu peux me resservir une vodka ?
Il me sourit, plongea ses yeux dans les miens. Je baissai le regard. Il était grand, plus d’1.85m. Un verre plein se posa devant moi, je lui tendis 5euros, il fit un clin d’œil.
- C’est pour moi. Tu es seule ?
- Oui.
- Toute seule ?
- Oui.
Son sourire s’élargit.
- Je ne t’ai jamais vu ici. C’est la première fois que tu viens ?
- C’est bizarre. Je me suis dit la même chose de toi. Je venais souvent avant… Tu travailles ici depuis longtemps ?
- Depuis 3ans. Mais je viens de partir 1 mois en Martinique. Je suis rentré depuis quelques jours.
Un client l’appela, il partit, ses doigts frôlèrent ma main posée sur le bar…

- Au fait, moi, c’est Luc.
Il avait surgit derrière moi, m’avait glissé ça au creux de l’oreille. Il avait frôlé ma joue de ses lèvres et avait disparu un plateau à la main, sans que j’ai le temps de lui répondre. Mes yeux était fixé sur Luc, je ne regardais plus ce qui se passait autour de moi, je n’entendais plus la musique, il m’avait hypnotisée. Il m’adressait quelques sourires, se rapprochaient de ses amis, ses cuisses frottant contre mes genoux… il aurait suffit que je les bouge un peu et ils auraient glisser le long de sa jambe, se rapprochant de son sexe … Non, je ne pouvais pas l’allumer comme ça… pas en public, pas devant tout le monde… quoique…
Le café était plein à craquer, tout le monde était compressé, qui l’aurait vu… Lentement j’écartai un peu mes jambes, mon genou arriva à quelques centimètres de son sexe… Comme d’un accord tacite, il se rapprocha de moi, continuant sa discussion avec ses amis. Un client lui passa une commande, il avança pour mieux l’entendre, mon genou glissa largement entre ses cuisses, sa main se posa sur ma jambe, il la caressa lentement, remontant un peu. Il partit derrière le bar et revient les mains chargés de verre. Il en déposa un plein pour moi, tendit le reste au jeune homme, encaissa. Je regardais ses longs doigts pianoter sur les touches de la caisse, il me regardait en glissant les billets dans le tiroir, je ne m’en aperçus pas de suite. Quand je croisai son regard, je rougis. Il vint près de moi. Me demanda mon prénom.
Ce petit jeu continua pendant une heure environ. Une heure de sourires, de regards, de mains qui frôlent, de genoux qui touchent, de cuisses qui s’entrouvrent. Finalement, il s’approcha de moi. Ses lèvres déposèrent un baiser sur ma joue, elles étaient tendres, larges, chaudes. Il voulut partir derrière le bar, mais ma main le retint. Son visage s’approcha du mien, je l’embrassai.

Il avait beaucoup de travail, les commandes se succédaient, les garçons continuaient leur danse, les verres s’entrechoquaient, le tout entrecoupé de baisers, de plus en plus profonds, de plus en plus tendres, ses mains peu à peu touchaient ma peau, se glissaient sous mon chemisier, touchaient mes cuisses, mes fesses, ses bras passaient autour de ma taille, ses dents mordaient mes épaules dénudées, sa langue passait dans mon cou, sous mes cheveux…

5h du mat, la musique s’arrête. Le café est toujours aussi bondé, mais il faut fermer. Les garçons ne servent plus, les clients terminent leur verre puis partent peu à peu. Il me rejoint, prend ma main.
- Je fais une petite pause. Viens, on va s’asseoir là-bas.
Je le suis, il prend deux tabourets, m’en offre un, mais je me glisse entre ses jambes et me rapproche de lui. Nous nous embrassons longuement.
- Je dois encore aider les autres. Il faut remplir les frigos, ramasser les verres et les laver et compter la caisse. J’en ai pour une heure. Tu m’attends ?
- Non, il est tard, je vais rentrer. Tu veux me rejoindre quand tu as fini ?
Je lui donne mon adresse, l’embrasse et quitte l’établissement.
Rentrée chez moi, je ne sais pas s’il viendra. Je suis fatiguée, j’ai pas envie de l’attendre, j’ouvre le clic clac, ôte mes souliers, mon jeans et m’endors.
6h … je décroche le parlophone.
- C’est moi. Je peux monter ?
Je suis un peu surprise… nous n’avons pas du partager plus d’une heure de conversation au total sur la soirée, je ne sais que son nom, qu’il est métis et qu’il habite à 100km de chez moi. Pourtant, je lui ai proposé de me rejoindre, je lui ai donné mon adresse, et je me retrouve en chemisier devant lui à 6h du mat… la situation m’étonne et m’excite.

Ses bras sont autour de moi, ses doigts parcourent mon dos, sa langue se entre mes lèvres, son torse comprime mes seins.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Tu as du café ?
- C’est parti ! Assieds-toi.
Nous échangeons quelques mots, il me parle de son travail la semaine. Il ne vient ici que le week-end, autrement il travaille dans un bureau. Il me dit que sa mère est Martiniquaise, son père, Belge. Il est divorcé, deux enfants.
Je dépose une tasse de café brûlant devant lui, m’assieds sur ses genoux, face à lui, ôte ma chemise. Ses doigts dégrafent mon soutien gorge. Il plonge son visage entre mes seins libérés, en lèche le bout, les mordille légèrement, je me penche en arrière sa langue descend sur mon ventre, ses mains enserrent mes hanches, il me soulève et me porte jusque sur le sofa déplié. Il s’allonge sur moi. Son corps est lourd, ferme, musclé. Sa bouche s’attarde sur mon cou, sa langue passe sur les lobes de mes oreilles, m’arrachant un petit gémissement et m’inondant de frissons. Je passe ma main sur son crâne… Je souris… Il se relève, défait les lacets de ses chaussures, ôte son tee-shirt. Son corps est parfaitement dessiné, sa peau café au lait. Il défait sa ceinture. Je m’assieds sur le bord du lit et mes mains prennent la place des siennes. Elles frôlent les boutons fermant son jeans, je peux sentir son excitation, il reste debout devant moi, me regardant, ses doigts passent dans mes cheveux, je dégrafe lentement son pantalon, dégageant son sexe déjà gonflé. Mes mains le parcourent… le mythe du black au sexe énorme… Il n’est pas énorme… pas encore…
Je fais glisser son pantalon sur ses pieds, il est nu devant moi, son sexe à quelques centimètres de mon visage, la pointe de ma langue le parcourt, mes lèvres le caressent, ses doigts se crispent dans mes cheveux. Je le regarde, il ferme les yeux, se mord la lèvre, je l’avale lentement… profondément… savourant chaque centimètre de son anatomie … Mes dents passent doucement sur lui, je le sens frémir, il surveille les opérations, étonné, peut-être même inquiet. Ma bouche se fait plus douce, mes lèvres plus gourmande, ma langue plus précise, mes mains plus actives.
Ce n’est pas qu’un mythe…
Il me renverse sur le lit, ma main continue de le caresser, la sienne joue sur mes seins en éruption. Sa langue passe sur ma bouche puis descend lentement. Je me cambre, j’entrouvre les cuisses, l’invitant à me goûter à son tour. Sa langue est insolente, ses dents aussi dévoreuses que les miennes, sa bouche se repaît de mon intimité avant de revenir près de moi et de glisser entre mes cuisses cet " obscur objet " du désir. Il m’arrache un long et profond soupir. Il est violent, brusque, sauvage. Son corps puissant me déchire, ses coups de rein sont à la limite du supportable, pourtant je le pousse à continuer, plus fort, encore, inlassablement, plus loin… jusqu’à l’épuisement total.
Son corps s’affaisse sur le mien… Ses mains se font plus douces, plus caressantes. Sa langue vient apaiser la violence de ses pénétrations. Ses baisers prolongent mon orgasme, ses doigts calment les soubresauts qui parcourent mon corps.

Il est 8h… il m’a enveloppé dans ma couette, s’est rhabillé, m’embrasse dans le cou …

- Dors bien Isa…

Je lui souris, ferme les yeux. La porte se referme…



La marquise …. Affirmant que ce n’est pas un mythe !!! timide
Mar 20 Jan 2004, 10:44 par la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses

Thèse et antithèse...

Les premières fois, c’est peut être comme ce premier pas sans assurance que nous avons fait lorsque nous étions encore trop petits pour pouvoir nous en souvenir.
Les premières fois, c’est certainement un peu comme une dernière fois puisqu’il n’y a qu’une première fois.
Les premières fois, c’est aller de l’avant mais peut être aussi parfois comme si nous régressions tant nous manquons d’assurance dans nos élans.
Les premières fois, c’est l’inquiétude et la peur qui vous freinent,
Les premières fois, c’est comme gravir les plus hautes montagnes, affronter les colères des océans, lutter contre des tornades.
Mais les premières fois c’est voyager sur les nuages, c’est d’une étoiles à l’autres se promener au gré des firmaments,
Les premières fois se sont les roses qui fleurissent, les oiseaux qui pépient gaiement sous les premiers rayons de soleil du printemps,
Les premières fois, c’est le feu d’artifice qui s’est vêtu de couleurs que l’on n’aurait jamais osé imaginées,
Les premières fois, c’est d’un élan tout entier l’âme qui s’éparpille, qui la tête, de son nord s’en retrouvant au sud.
Jeu 27 Nov 2003, 00:34 par Ri1kedesBêtises sur La première fois

...point zéro...

Alors voilà parce que mon message n’a pas été posté à temps, mon POINT ZERO de son inattendu du coup......
greuuuuu!!!!
Comment t’as fait soleye pour accédé ici à peine ca a été remis en route, bien avant moi???
m’en fiche je mets entre " " mon message qui n’est pas passé à temps avant que Petit Prince transfert d’hébergeur :


"Lancer un jeu, c’est bien, mais ça l’est encore plus si on y participe, n’est-ce pas, alors je vais aussi pour ma part vous parler de mon, mes rendez-vous.

Tout d’abord, il faut que je vous avoue que je suis quelqu’un qui n’aime pas les choses communes. J’aime les choses dénotantes, étonnantes, surprenantes, en conséquence, le rendez-vous de Monsieur tout le monde ça n’est pas vraiment ma tasse de thé, même si des fois je n’y ai pas coupé, ça ne dépend pas que de moi, hé oui !

Tout d’abord, en grande partie, mes rendez-vous sont emprunts d’originalité justement dans le fait que c’est moi qui les fixe, quand l’autre s’y attend le moins. Je ne suis pas un homme et je ne m’accorde pas du tout avec l’idée que c’est à l’homme de fixer le premier rendez-vous. Ce qui surprend les autres, c’est qu’une femme puisse prendre cette initiative.


Alors, le dernier rendez-vous original que j’ai fixé :

Il me proposait un rendez-vous dans un bar quelconque, j’ai prétexté que j’avais déjà un rencard ce soir-là pour y échapper.

Trois jours, après par texto je lui envoie un message lui disant : «Rendez vous SUR LE POINT KILOMETRIQUE ZERO.»

Il me répond : «DE QUOI ? OU CA ?»

Après plusieurs échanges de textos, je lui explique où est le KILOMETRE ZERO.

Comme si mon idée avait éveillé en lui son côté «original», il a alors rajouté : «OK mais si à la dernière sonnerie de 19h l’un ou l’autre n’est pas là, chacun repart chez soi.»

Ca n’était pas facile pour moi finissant mon travail à 18h et ayant plusieurs changements à effectuer dans les transports en commun.

Mais nous sommes arrivés l’un et l’autre avant la dernière sonnerie de 19h.
La soirée qui s’en est suivie a été bercée par la connivence, née d’avant mais accentuée par ce rendez-vous hors du commun. Il nous a éveillés, dévoilés, confirmés, l’un à l’autre, que nous avions ce côté fou et inattendu qui nous habitait communément.

Voilà, un rendez-vous comme je les aime. Ca n’est pourtant pas le meilleur, il y en a bien d’autres, aussi originaux ou plus.
Je ne vais pas vous les raconter, ni vous les dévoiler, j’ai besoin de garder mon jardin secret, un peu encore, beaucoup, pour le respect des souvenirs qui y sont attachés."

Soleye, dans le terme JEU, je ne parle pas de s’en JOUER, mais de se dévoiler dans ce que l’on est séducteur(trice), dans ce que l’on se croit capable de dépasser du commun pour faire craquer l’autre, les autres...
Sam 15 Nov 2003, 15:28 par Ri1kedesBêtises sur La séduction

une histoire exceptionelle... le meme rêve que tant d'autres

Des MP, j’en ai partagé des milliers, avec des gens de tout bord, de tout milieux, de toute profession, de tout âge, de tout pays. Au fil des conversations, des liens se lient, plus ou moins forts, plus ou moins intenses. Si mon humour les domine généralement, arrive souvent un jour ou un soir, où les langues se délient. On est plus nostalgique, on se pose des questions, et on raconte une histoire, une aventure. Combien de fois ai-je entendu cette même histoire. La rencontre de l’être complémentaire! Celui ou celle qui pense comme vous, ressent les mêmes choses, au même moment. La complicité parfaite. Cette histoire on me l’a raconté mille fois, et je l’ai vécue aussi mille fois.
Comment expliquer que chacun notre tour nous avons eu cette impression? La magie du net? Pourquoi pensons-nous tous avoir rencontré à quelques centaines de kilomètres de nous, celui qui nous est destiné? Moi je dirais ...l’imagination...le fantasme... le désir d’y croire.. le rêve... Nous recevons des mots et nous les transcrivons, les adaptons à ce que nous attendons. Nous imaginons sa voix, ses sourires, ses émotions, ses envies... comme nous les aimerions...
Puis arrive l’appel téléphonique tant attendu, le rendez-vous tant désiré ... et là... l’imagination fait place à la réalité... les rêvent deviennent moins intenses, la complicité se , les sourires moins tendres ... le rapprochement nous éloigne... irrémédiablement.
Pierre, Paul, Jacques, Elise ou Carine, tous ont vécu cette histoire qu’ils pensaient unique ... mais il restera une chose... tous ces mails, tous ces mots, tous ces instants de bonheur n’auront pas été vain, ils nous auront fait croire au bonheur, sourire à la vie, ils nous auront fait croire en nos rêves...

La marquise de Sade qui continue de rêver...
Dim 02 Nov 2003, 23:38 par la marquise de sade sur Amour internet

Surprendre...

les premières fois,
il y a un côté magique dans toutes choses,
emprunt d’inattendu,
d’inexpérience,
de surprise,
avec le temps, malheureusement,
le temps reprend le dessus..........
la magie de sa force,
l’inattendu laisse place au quotidien,
inexpérience devient expérience,
la surprise ne sait plus etonner.........
Dim 12 Oct 2003, 07:56 par Ri1kedesBêtises sur La première fois
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