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Sade's girls
Au 69 de la rue des roses, la discussion était animée entre Bridget et ses deux amies, kate et Mary.
- Mais tu n’y penses pas,moi,en club libertin, tu es complétement folle!
- Oh si,j’y pense, et même je fais plus que ça,j’ai déjà commencé les préparatifs avec Kate,et en accord avec ton futur mari,qui soit dit en passant,à trouvé l’idée d’enterrer ta vie de jeune fille au "Sade" excellente!
- Quoi? Ca m’étonnerait fort que Pete accepte que je me rende dans un endroit pareil, rien que le nom me donne la chair de poule!
- Oh tu me fais rire vierge Mary, oui ça s’appelle "Le Sade", en référence au Marquis,précurseur du libertinage,et dont le mot sadique vient de son nom,mais personne ne va être torturé,ni assassiner,tout se passe entre adultes consentants,et nul n’est obligé de faire quoi que ce soit!
- C’ est vrai,je ne vois pas pourquoi tu en fais toute une histoire,tu ne nous connais pas encore aprés toutes ces années,tu crois que l’on t’emmenerait dans un lieu où il y aurait un risque pour ta santé ou pour ta vie,et la nôtre aussi soit dit en passant, la confiance régne!
- Mais non,je ne doute pas de vous deux,mais seulement je suis quelqu’un de très pudique,alors qu’est ce que j’irai faire dans ce lieu de débauche,ce n’est pas pour moi!
- Bon stop mère Thérésa,samedi en huit,nous irons enterrer ta vie de jeune fille au "Sade", un point c’est tout,et on va s’éclater,fin de la discussion!
Sur ces mots,Kate et Bridget se retirèrent en laissant Mary à ses réflexions. Elles avaient encore du pain sur la planche pour faire de cette soirée un moment mémorable.
Le samedi suivant,nos trois amies se mirent en route pour "Le Sade",qui se trouvait à Fallusbourg,un petit village isolé,à 50 kilométres de Petite Pucelle. Elles étaient très excitées à l’idée de connaître enfin ce lieu en vrai,car une brochure peut donner une idée,certes,mais y entrer est une toute autre chose. Même Mary,avec qui ça avait été la croix et la bannière pour lui faire accepter de porter la tenue très sexy que Kate et bridget lui avait choisi. Il faut dire qu’elles s’étaient toutes trois transformées en vamps.
Kate arborait une robe bleue ultra courte,cintrée à la taille,au dos nu vertigineux s’arrêtant à la naissance de ses fesses,des bas résille au bord de dentelle bleue et des escarpins de la même couleur.
Bridget quant à elle,portait une mini robe en latex noire lacée dans le dos,des bas avec une couture à l’arrière, ajoutant une note de charme à ses jambes au galbe parfait. Ses longs cheveux blonds formaient une couronne de tresses autour de son doux visage,cette coiffure sage contrastait avec le côté trash de sa tenue.
Et Mary,avait une robe blanche,transparente aux endroits stratégiques,très courte aussi,des bas blancs avec des flots rouges sur la jarretière,et des chaussures à talons blanches bordées de rouge.
Ses deux amies avaient éclater de rire devant sa mine horrifiée quand elle s’était vue dans le miroir,et avaient lever les yeux au ciel en disant " nonne un jour,nonne toujours".
Elles n’eurent pas de mal à trouver le club qui se trouvait dans une impasse appelée "chemin luxuriant",éclairée par des ampoules rouges plantées sur des lampadaires en forme de fourches.
Il fallait ouvrir la vitre de la voiture pour appuyer sur un bouton,et deux portes sculptées s’ouvraient tel le battement des ailes d’un ange prêt pour l’envol.
Elles pénétrèrent dans l’antre du mâle. Le propriétaire de l’établissement, François Xavier Delamol,les reçut,trop heureux de compter trois superbes créatures parmi sa clientéle,et leur fit visiter son domaine.
Dés l’entrée,le décor était planté,semi obscurité,lampes amovibles aux murs,simulant les bougies des châteaux des temps jadis, en fond sonore,"Sadeness" d’énigma.
Tout le personnel était habillé de la même façon,perruqueblanche coiffée en queue de cheval basse,attachée par un flot noir,frac gris serti d’un liseré bleu à la marquis de Sade.
La partie bar était,elle un peu plus éclairée,il y avait une piste de danse avec au milieu une cage à l’intérieur de laquelle se trouvait une femme en guêpière rouge,qui dansait de façon lascive mais avec classe,elle était d’une grande beauté,un corps parfait,de longs cheveux noirs,mais c’est surtout son visage qui interpellait,car elle avait un regard envoutant dans lequel on plongeait comme dans un abîme de sensualité où on pouvait y lire une promesse d’allégresse.
Au plafond,des miroirs qui donnaient une impression d’être dédoublés quelque peu déroutante,mais excitante après tout.
Au fond de la pièce,un petit escalier menait à un couloir aux multiples portes.
Chaque espace avait sa fonction,et un nom ou une devise écrits sur la porte,il y avait donc,la salle Homo,"les nuits de Sodome", la salle SM,"à l’est de Gomore",équipée de tout ce dont on peut imaginer: Croix de Saint André,carcan,fouets,cravaches,cannes,pinces tétons,menottes,lanières,plumeaux,etc...,la salle entre filles,"love be tender",la salle par douze"plus on est de fous,plus on jouit",et la salle "speed sexting",où des hommes en érection constante étaient à la disposition de ces messieurs,dames,pour assouvir tous leurs désirs.
Il leur présenta les habitués,et parmi eux,Coco Siredi,impuissant depuis qu’il s’était fait suçer par une bombe sexuelle qui s"était avérée être un transexuel,Henry Lenuck,monté à faire palir Rocco Siffredi de jalousie,et contre attente,Jésus Latté,un curé qui venait ici dans le but de sauver les âmes pécheresses des affres de la luxure.
On le laissait entrer car cela amusait les clients et attirait les curieux qui voulaient se rendre compte par eux mêmes,et vérifier si c’était un vrai curé ou un client déguisé,ou un membre du personnel payé pour amuser la galerie. Il y avait aussi une cliente qui aimait se grimer en nonne délurée,et qui se faisait appeler "soeur tebaise.com"
Nos trois amies étaient émerveillées,cet endroit suintait la sensualité et l’érotisme de toutes ses portes,tout était fait pour vous inciter à l’allégresse.
Elles se dirigèrent vers le bar,et s’assirent sur les sièges disposés devant,qui formaient des mains,l’assise étant la paume,et le dossier les doigts,ils étaient très confortable et diffusaient une douce chaleur qui vous détendait instantanément.
Le barman leur présenta la carte des cocktails,et elles choisirent un "sex on the bitch" pour Bridget,un"pine collamoi" pour Kate,et un"virgin moridio" pour Mary.
Après deux verres,il était temps de commencer la fête et elles se dirigèrent vers la piste de danse,dansèrent de façon sensuelle au milieu des habitués qui se délectaient de ce spectacle. Soeur Tebaise.com leur fit son numéro ,exhibant un vibromasseur,disant "Gode n’est jamais loin de moi" en éclatant de rire.
Le curé,quant à lui,tentait toujours de convaincre les libertins de renoncer au vice et de retrouver des comportements plus sains,autant vous dire qu’il prêchait dans le désert.
Bridget tourna la tête et cru être frappée par la foudre quand son regard croisa celui de l’homme qui venait d’arriver,il était très beau,un corps sans défaut dans son pantalon noir,sa chemise blanche et son petit gilet ajusté par dessus,son visage à moitié dissimulé par un masque vénitien qui laissait filtrer ses yeux pénétrants était époustouflant,ses cheveux qui lui tombaient en boucles sur la nuque donnaient envie d’y enfoncer les doigts.Il s’avança sur la piste sans quitter Bridget des yeux,alla droit vers elle,la prit par la taille et ils entamèrent une danse très sensuelle comme s’ils étaient amants depuis longtemps alors qu’ils se voyaient pour la première fois,c’étaité electrique entre eux. Il lui tendit la main,elle y mit la sienne et ils quittèrent la piste pour rejoindre la salle SM.
Il l’attira à lui et ils échangèrent un baiser torride,il embrassa son cou,ses épaules et fit glisser les bretelles de sa robe,lui prit es poignets qu’il attacha avec une lanière de cuir,fit descendre une barre de suspension du plafond et y fixa l’ attache. Bridget se retrouva les bras attachés au dessus de la tête. Il lui banda les yeux,sortit son I pod,lui mit les écouteurs sur les oreilles et la chanson"crazy in love" de Beyoncé se fit entendre.
Il lui ôta sa robe et son string,admira le spectacle de sa silhouette parfaite,mince et ferme,se plaça derrière elle,déposa de petits baisers sur sa nuque,attrapa un plumeauet parcouru tout son corps avec,la faisant frissonner,puis il s’empara d’un fouet aux lanières surmontées de petites perles,il s’amusa à alterner caresses et petits coups de fouet,veillant à garder ce lien ténu entre plaisir et douleur. Bridget n’avait jamais connu de telles sensations auparavant,et tandis que dans ses oreilles résonnait"haunted" de la même beyoncé,son bel inconnu se délectait de ce que sa prisonnière soit aussi réceptive. Il prit son visage entre ses mains et écrasa sa bouche sur la sienne en un baiser sauvage,puis du bout de la langue parcouru son cou,descendit jusqu’à la naissance de ses seins,en suçota alternativement ses tétons,les mordilla,la faisant gémir et se contorsionner. l’excitation étant à son paroxysme,elle émit un râle qui se voulait uns supplique pour qu’il la prenne enfin. Il se recula,saisit une cravache, en cingla ses fesses,puis la fit remonter le long de sa colonne vertébrale,descendit jusqu’à son ventre qu’il frappa doucement,effleura son clitoris,provoquant un soubresaut chez sa soumise qui n’en pouvait plus de désir.Il jeta la cravache à terre,enleva son pantalon et son caleçon,mit un préservatif,la saisit par les cuisses et la pénétra d’un coup sec,lui arrachant un cri de surprise,puis se mit à la pilonner en des mouvements de va et vient de plus en plus rapides jusqu’à ce que l’orgasme la submerge tel un ras de marée emportant tout sur son passage. Bridget était dans un état second tant la jouissance fut intense,il la détacha,la prit dans ses bras,et la porta sur le lit à baldaquin qui se trouvait dans un coin de la pièce,prit un flacon de décontractant musculaire,en appliqua sur ses mains et lui frictionna les épaules et les bras,puis s’en alla.
Quand elle se réveilla,Bridget était sur un nuage de volupté. Elle s’assit sur le lit,se remémorant son torride interlude,et fut déçue de ne pas retrouver son bel inconnu à ses côtés.
Reprenant ses esprits,elle prit ses vêtements,se rhabilla,et trouva une carte où il était écrit "merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond". Elle le mit dans sa pochette et sortit de la pièce.
Pendant ce temps,ses deux amies n’étaient pas en reste,elles s’étaient attaquées au pauvre curé,avec comme objectif de lui faire découvrir les plaisirs du sexe.
Ce n’était pas une mince affaire, mais elles ne manquaient pas de persévérance ni d’arguments. Si bien qu’après plusieurs verres et minauderies,elles l’entraînèrent dans la salle SM,qui décidément attirait les foules ce soir, croisèrent Bridget qui en sortait,et lui lancèrent un regard complice.
Et ainsi,ce bon vieux Jésus Latté se trouva attaché sur la croix de Saint André avec Mary qui lui suçotait les lobes d’oreilles,et Kate qui tentait de lui faire une fellation,mais sur un sexe mou,c’est comme souffler dans un ballon crevé,il reste plat. Ceci leur inspira une chanson:
"un vieux cu, un vieux cu"
"un vieux curé de campagne"
"a retiré sa soutane"
"pour une courtisane"
"ce fut un feu de paille"
"car notre pauvre petit cureton"
"n’ayant jamais ôté son caleçon"
"ne fit pas ripaille"
"car son fusil trop chargé"
"tira avant d’avoir visé"
"dépitée notre séductrice"
"resserrant les cuisses"
"jura de ne plus jamais"
"vouloir dévergonder un curé"
Bien sûr cette ritournelle n’était pas au goût de notre prêcheur du désert,qui parvenant à se détacher,se saisit d’une cravache pour punir ces polissonnes,qui en le voyant s’exclamèrent :
- Punissez moi mon père car j’ai pêcher!
tout en relevant leurs robes,et en se penchant en avant afin d’offrir leurs fessiers à la morsure du cuir du bâton de ce pélerin de la luxure. Le cureton s’en donna à coeur joie,et les flagella à tour de rôle,leur arrachant des râles très érotiques qui le rendirent fou,et,jetant l’objet du désir,il attrapa Kate par les hanches,et la pénétra sauvagement,elle était tellement excitée qu’elle joui en criant comme une damnée pendant qu’il la pilonnait en redoublant de rudesse.
Mary,qui en avait marre de jouer les figurantes,s’écria :
-Eh Jésus,viens voir ma crêche!
en s’allongeant de manière très suggestive sur le lit,alors celui ci s’approcha,attrapa ses jambes qu’il posa de chaque côtéde ses épaules,et l’empala sans autre forme de procés en des mouvements de va et vient très lents,puis de plus en plus rythmés,de nouveau plus lents,puis plus rapides,et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il explose en elle comme l’éruption d’un volcan endormi depuis des années,et qui se réveille soudain.
La sonnerie du téléphone tira Bridget d’un sommeil lourd,elle décrocha :
-Bridget,c’est Kate,ça fait dix minutes que je suis devant ta porte,tu n’as quand même pas oublié qu’on a rendez vous chez le coiffeur,
on enterre la vie de jeune fille de Mary ce soir!
-Mais qu’est ce que tu racontes,c’était hier,on est allées au "Sade"!
-Mais c’est toi qui débloques,tu as du rêver,allez viens m’ouvrir au lieu de raconter des bêtises!
Quand Bridget mit son trench,elle glissa machinalement ses mains dans les poches,et sentit quelque chose dans l’une d’elles,et l’en sortit,c’était une carte avec côté recto"Le Sade" écrit en lettres gothiques rouge sang,et côté verso"Merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond"
- Mais tu n’y penses pas,moi,en club libertin, tu es complétement folle!
- Oh si,j’y pense, et même je fais plus que ça,j’ai déjà commencé les préparatifs avec Kate,et en accord avec ton futur mari,qui soit dit en passant,à trouvé l’idée d’enterrer ta vie de jeune fille au "Sade" excellente!
- Quoi? Ca m’étonnerait fort que Pete accepte que je me rende dans un endroit pareil, rien que le nom me donne la chair de poule!
- Oh tu me fais rire vierge Mary, oui ça s’appelle "Le Sade", en référence au Marquis,précurseur du libertinage,et dont le mot sadique vient de son nom,mais personne ne va être torturé,ni assassiner,tout se passe entre adultes consentants,et nul n’est obligé de faire quoi que ce soit!
- C’ est vrai,je ne vois pas pourquoi tu en fais toute une histoire,tu ne nous connais pas encore aprés toutes ces années,tu crois que l’on t’emmenerait dans un lieu où il y aurait un risque pour ta santé ou pour ta vie,et la nôtre aussi soit dit en passant, la confiance régne!
- Mais non,je ne doute pas de vous deux,mais seulement je suis quelqu’un de très pudique,alors qu’est ce que j’irai faire dans ce lieu de débauche,ce n’est pas pour moi!
- Bon stop mère Thérésa,samedi en huit,nous irons enterrer ta vie de jeune fille au "Sade", un point c’est tout,et on va s’éclater,fin de la discussion!
Sur ces mots,Kate et Bridget se retirèrent en laissant Mary à ses réflexions. Elles avaient encore du pain sur la planche pour faire de cette soirée un moment mémorable.
Le samedi suivant,nos trois amies se mirent en route pour "Le Sade",qui se trouvait à Fallusbourg,un petit village isolé,à 50 kilométres de Petite Pucelle. Elles étaient très excitées à l’idée de connaître enfin ce lieu en vrai,car une brochure peut donner une idée,certes,mais y entrer est une toute autre chose. Même Mary,avec qui ça avait été la croix et la bannière pour lui faire accepter de porter la tenue très sexy que Kate et bridget lui avait choisi. Il faut dire qu’elles s’étaient toutes trois transformées en vamps.
Kate arborait une robe bleue ultra courte,cintrée à la taille,au dos nu vertigineux s’arrêtant à la naissance de ses fesses,des bas résille au bord de dentelle bleue et des escarpins de la même couleur.
Bridget quant à elle,portait une mini robe en latex noire lacée dans le dos,des bas avec une couture à l’arrière, ajoutant une note de charme à ses jambes au galbe parfait. Ses longs cheveux blonds formaient une couronne de tresses autour de son doux visage,cette coiffure sage contrastait avec le côté trash de sa tenue.
Et Mary,avait une robe blanche,transparente aux endroits stratégiques,très courte aussi,des bas blancs avec des flots rouges sur la jarretière,et des chaussures à talons blanches bordées de rouge.
Ses deux amies avaient éclater de rire devant sa mine horrifiée quand elle s’était vue dans le miroir,et avaient lever les yeux au ciel en disant " nonne un jour,nonne toujours".
Elles n’eurent pas de mal à trouver le club qui se trouvait dans une impasse appelée "chemin luxuriant",éclairée par des ampoules rouges plantées sur des lampadaires en forme de fourches.
Il fallait ouvrir la vitre de la voiture pour appuyer sur un bouton,et deux portes sculptées s’ouvraient tel le battement des ailes d’un ange prêt pour l’envol.
Elles pénétrèrent dans l’antre du mâle. Le propriétaire de l’établissement, François Xavier Delamol,les reçut,trop heureux de compter trois superbes créatures parmi sa clientéle,et leur fit visiter son domaine.
Dés l’entrée,le décor était planté,semi obscurité,lampes amovibles aux murs,simulant les bougies des châteaux des temps jadis, en fond sonore,"Sadeness" d’énigma.
Tout le personnel était habillé de la même façon,perruqueblanche coiffée en queue de cheval basse,attachée par un flot noir,frac gris serti d’un liseré bleu à la marquis de Sade.
La partie bar était,elle un peu plus éclairée,il y avait une piste de danse avec au milieu une cage à l’intérieur de laquelle se trouvait une femme en guêpière rouge,qui dansait de façon lascive mais avec classe,elle était d’une grande beauté,un corps parfait,de longs cheveux noirs,mais c’est surtout son visage qui interpellait,car elle avait un regard envoutant dans lequel on plongeait comme dans un abîme de sensualité où on pouvait y lire une promesse d’allégresse.
Au plafond,des miroirs qui donnaient une impression d’être dédoublés quelque peu déroutante,mais excitante après tout.
Au fond de la pièce,un petit escalier menait à un couloir aux multiples portes.
Chaque espace avait sa fonction,et un nom ou une devise écrits sur la porte,il y avait donc,la salle Homo,"les nuits de Sodome", la salle SM,"à l’est de Gomore",équipée de tout ce dont on peut imaginer: Croix de Saint André,carcan,fouets,cravaches,cannes,pinces tétons,menottes,lanières,plumeaux,etc...,la salle entre filles,"love be tender",la salle par douze"plus on est de fous,plus on jouit",et la salle "speed sexting",où des hommes en érection constante étaient à la disposition de ces messieurs,dames,pour assouvir tous leurs désirs.
Il leur présenta les habitués,et parmi eux,Coco Siredi,impuissant depuis qu’il s’était fait suçer par une bombe sexuelle qui s"était avérée être un transexuel,Henry Lenuck,monté à faire palir Rocco Siffredi de jalousie,et contre attente,Jésus Latté,un curé qui venait ici dans le but de sauver les âmes pécheresses des affres de la luxure.
On le laissait entrer car cela amusait les clients et attirait les curieux qui voulaient se rendre compte par eux mêmes,et vérifier si c’était un vrai curé ou un client déguisé,ou un membre du personnel payé pour amuser la galerie. Il y avait aussi une cliente qui aimait se grimer en nonne délurée,et qui se faisait appeler "soeur tebaise.com"
Nos trois amies étaient émerveillées,cet endroit suintait la sensualité et l’érotisme de toutes ses portes,tout était fait pour vous inciter à l’allégresse.
Elles se dirigèrent vers le bar,et s’assirent sur les sièges disposés devant,qui formaient des mains,l’assise étant la paume,et le dossier les doigts,ils étaient très confortable et diffusaient une douce chaleur qui vous détendait instantanément.
Le barman leur présenta la carte des cocktails,et elles choisirent un "sex on the bitch" pour Bridget,un"pine collamoi" pour Kate,et un"virgin moridio" pour Mary.
Après deux verres,il était temps de commencer la fête et elles se dirigèrent vers la piste de danse,dansèrent de façon sensuelle au milieu des habitués qui se délectaient de ce spectacle. Soeur Tebaise.com leur fit son numéro ,exhibant un vibromasseur,disant "Gode n’est jamais loin de moi" en éclatant de rire.
Le curé,quant à lui,tentait toujours de convaincre les libertins de renoncer au vice et de retrouver des comportements plus sains,autant vous dire qu’il prêchait dans le désert.
Bridget tourna la tête et cru être frappée par la foudre quand son regard croisa celui de l’homme qui venait d’arriver,il était très beau,un corps sans défaut dans son pantalon noir,sa chemise blanche et son petit gilet ajusté par dessus,son visage à moitié dissimulé par un masque vénitien qui laissait filtrer ses yeux pénétrants était époustouflant,ses cheveux qui lui tombaient en boucles sur la nuque donnaient envie d’y enfoncer les doigts.Il s’avança sur la piste sans quitter Bridget des yeux,alla droit vers elle,la prit par la taille et ils entamèrent une danse très sensuelle comme s’ils étaient amants depuis longtemps alors qu’ils se voyaient pour la première fois,c’étaité electrique entre eux. Il lui tendit la main,elle y mit la sienne et ils quittèrent la piste pour rejoindre la salle SM.
Il l’attira à lui et ils échangèrent un baiser torride,il embrassa son cou,ses épaules et fit glisser les bretelles de sa robe,lui prit es poignets qu’il attacha avec une lanière de cuir,fit descendre une barre de suspension du plafond et y fixa l’ attache. Bridget se retrouva les bras attachés au dessus de la tête. Il lui banda les yeux,sortit son I pod,lui mit les écouteurs sur les oreilles et la chanson"crazy in love" de Beyoncé se fit entendre.
Il lui ôta sa robe et son string,admira le spectacle de sa silhouette parfaite,mince et ferme,se plaça derrière elle,déposa de petits baisers sur sa nuque,attrapa un plumeauet parcouru tout son corps avec,la faisant frissonner,puis il s’empara d’un fouet aux lanières surmontées de petites perles,il s’amusa à alterner caresses et petits coups de fouet,veillant à garder ce lien ténu entre plaisir et douleur. Bridget n’avait jamais connu de telles sensations auparavant,et tandis que dans ses oreilles résonnait"haunted" de la même beyoncé,son bel inconnu se délectait de ce que sa prisonnière soit aussi réceptive. Il prit son visage entre ses mains et écrasa sa bouche sur la sienne en un baiser sauvage,puis du bout de la langue parcouru son cou,descendit jusqu’à la naissance de ses seins,en suçota alternativement ses tétons,les mordilla,la faisant gémir et se contorsionner. l’excitation étant à son paroxysme,elle émit un râle qui se voulait uns supplique pour qu’il la prenne enfin. Il se recula,saisit une cravache, en cingla ses fesses,puis la fit remonter le long de sa colonne vertébrale,descendit jusqu’à son ventre qu’il frappa doucement,effleura son clitoris,provoquant un soubresaut chez sa soumise qui n’en pouvait plus de désir.Il jeta la cravache à terre,enleva son pantalon et son caleçon,mit un préservatif,la saisit par les cuisses et la pénétra d’un coup sec,lui arrachant un cri de surprise,puis se mit à la pilonner en des mouvements de va et vient de plus en plus rapides jusqu’à ce que l’orgasme la submerge tel un ras de marée emportant tout sur son passage. Bridget était dans un état second tant la jouissance fut intense,il la détacha,la prit dans ses bras,et la porta sur le lit à baldaquin qui se trouvait dans un coin de la pièce,prit un flacon de décontractant musculaire,en appliqua sur ses mains et lui frictionna les épaules et les bras,puis s’en alla.
Quand elle se réveilla,Bridget était sur un nuage de volupté. Elle s’assit sur le lit,se remémorant son torride interlude,et fut déçue de ne pas retrouver son bel inconnu à ses côtés.
Reprenant ses esprits,elle prit ses vêtements,se rhabilla,et trouva une carte où il était écrit "merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond". Elle le mit dans sa pochette et sortit de la pièce.
Pendant ce temps,ses deux amies n’étaient pas en reste,elles s’étaient attaquées au pauvre curé,avec comme objectif de lui faire découvrir les plaisirs du sexe.
Ce n’était pas une mince affaire, mais elles ne manquaient pas de persévérance ni d’arguments. Si bien qu’après plusieurs verres et minauderies,elles l’entraînèrent dans la salle SM,qui décidément attirait les foules ce soir, croisèrent Bridget qui en sortait,et lui lancèrent un regard complice.
Et ainsi,ce bon vieux Jésus Latté se trouva attaché sur la croix de Saint André avec Mary qui lui suçotait les lobes d’oreilles,et Kate qui tentait de lui faire une fellation,mais sur un sexe mou,c’est comme souffler dans un ballon crevé,il reste plat. Ceci leur inspira une chanson:
"un vieux cu, un vieux cu"
"un vieux curé de campagne"
"a retiré sa soutane"
"pour une courtisane"
"ce fut un feu de paille"
"car notre pauvre petit cureton"
"n’ayant jamais ôté son caleçon"
"ne fit pas ripaille"
"car son fusil trop chargé"
"tira avant d’avoir visé"
"dépitée notre séductrice"
"resserrant les cuisses"
"jura de ne plus jamais"
"vouloir dévergonder un curé"
Bien sûr cette ritournelle n’était pas au goût de notre prêcheur du désert,qui parvenant à se détacher,se saisit d’une cravache pour punir ces polissonnes,qui en le voyant s’exclamèrent :
- Punissez moi mon père car j’ai pêcher!
tout en relevant leurs robes,et en se penchant en avant afin d’offrir leurs fessiers à la morsure du cuir du bâton de ce pélerin de la luxure. Le cureton s’en donna à coeur joie,et les flagella à tour de rôle,leur arrachant des râles très érotiques qui le rendirent fou,et,jetant l’objet du désir,il attrapa Kate par les hanches,et la pénétra sauvagement,elle était tellement excitée qu’elle joui en criant comme une damnée pendant qu’il la pilonnait en redoublant de rudesse.
Mary,qui en avait marre de jouer les figurantes,s’écria :
-Eh Jésus,viens voir ma crêche!
en s’allongeant de manière très suggestive sur le lit,alors celui ci s’approcha,attrapa ses jambes qu’il posa de chaque côtéde ses épaules,et l’empala sans autre forme de procés en des mouvements de va et vient très lents,puis de plus en plus rythmés,de nouveau plus lents,puis plus rapides,et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il explose en elle comme l’éruption d’un volcan endormi depuis des années,et qui se réveille soudain.
La sonnerie du téléphone tira Bridget d’un sommeil lourd,elle décrocha :
-Bridget,c’est Kate,ça fait dix minutes que je suis devant ta porte,tu n’as quand même pas oublié qu’on a rendez vous chez le coiffeur,
on enterre la vie de jeune fille de Mary ce soir!
-Mais qu’est ce que tu racontes,c’était hier,on est allées au "Sade"!
-Mais c’est toi qui débloques,tu as du rêver,allez viens m’ouvrir au lieu de raconter des bêtises!
Quand Bridget mit son trench,elle glissa machinalement ses mains dans les poches,et sentit quelque chose dans l’une d’elles,et l’en sortit,c’était une carte avec côté recto"Le Sade" écrit en lettres gothiques rouge sang,et côté verso"Merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond"
Mer 30 Mai 2018, 21:45 par
Bridget sur Les liaisons sulfureuses
1er mars 1947
Et voilà qu’aux alentours du 1er mars 1947 un petit malin… en tout cas, un peu plus malin que les autres arrive le premier à la rencontre de l’ovule et que leur union façonne l’être que je suis …
Me voilà donc en « formation » et je commence par me chercher un nid douillet où je vais pouvoir m’accrocher, car déjà … si tu as l’intention de me déloger … il va falloir t’y prendre de bonne heure ! Non, mais des fois !
Alors, voyons voir … commençons par prévoir la nourriture nécessaire à mon développement aussi, séparons-nous en deux : une partie qui me nourrira et… moi !
Très vite, je commence à m’engourdir, je déteste rester immobile… alors, pardon maman, mais je change un peu de position si cela ne t’embête pas trop… et puis si ça t’embête… après tout, c’est toi qui l’as voulu, n’est-ce pas ? Et puis en plus, j’ai envie de faire pipi… c’est chouette ici, j’y ai tout mon confort !
Ha ! Tiens ? C’est quoi ça ? C’est toi maman ? Quand même, tu te manifestes ! Je commençais à croire que j’étais toute seule, moi ! Hum ! C’est bon cette caresse, je sens que je vais souvent te rappeler à l’ordre pour être sûre que tu ne m’oublies pas ! On essaie ? Et vlan ! Un coup de poing … et vlan ! Un coup de pied ! Tu ne penses pas que tu vas m’oublier aussi vite que ça, non !
Hummmm , elle n’est pas mauvaise cette eau… Hic ! … Hic ! … Hic ! … Voilà que je suis prête à m’étrangler, il va falloir que je m’autodiscipline, surtout ne pas abuser des bonnes choses ! Allons ! Un peu de sérieux ! Tiens, c’est bizarre voilà que je fais des drôles de trucs… c’est cela que les adultes appellent « respirer » ? Il va falloir que je me documente… je n’aime pas ne pas savoir quelque chose ! C’est agaçant à la fin !
Hum ! Merci maman pour cette douce caresse, mais… c’est quoi que tu écoutes ? « Parlez-moi d’amour … redites-moi des choses tendres… »* c’est joli ça maman, tu la chanteras encore ? Dis ? …
C’est quoi tous ces bruits ? Tu sais je préfère de beaucoup quand tu chantes, tes gargouillis, tu veux que je te dise, et bien, ce n’est pas terrible… surtout quand j’ai envie de dormir… Bon, je sais, je suis une râleuse, mais il va falloir que tu t’y fasses, parce que ce n’est qu’un commencement… n’est-ce pas ?
Dis-moi ? il va peut-être falloir que nous fassions connaissance… qu’en penses-tu ? Je me demande quelle tête tu peux avoir et puis, je commence à être un peu à l’étroit ici… Nous allons réfléchir à la meilleure façon de mettre un terme à tout ça…
Me voilà donc en « formation » et je commence par me chercher un nid douillet où je vais pouvoir m’accrocher, car déjà … si tu as l’intention de me déloger … il va falloir t’y prendre de bonne heure ! Non, mais des fois !
Alors, voyons voir … commençons par prévoir la nourriture nécessaire à mon développement aussi, séparons-nous en deux : une partie qui me nourrira et… moi !
Très vite, je commence à m’engourdir, je déteste rester immobile… alors, pardon maman, mais je change un peu de position si cela ne t’embête pas trop… et puis si ça t’embête… après tout, c’est toi qui l’as voulu, n’est-ce pas ? Et puis en plus, j’ai envie de faire pipi… c’est chouette ici, j’y ai tout mon confort !
Ha ! Tiens ? C’est quoi ça ? C’est toi maman ? Quand même, tu te manifestes ! Je commençais à croire que j’étais toute seule, moi ! Hum ! C’est bon cette caresse, je sens que je vais souvent te rappeler à l’ordre pour être sûre que tu ne m’oublies pas ! On essaie ? Et vlan ! Un coup de poing … et vlan ! Un coup de pied ! Tu ne penses pas que tu vas m’oublier aussi vite que ça, non !
Hummmm , elle n’est pas mauvaise cette eau… Hic ! … Hic ! … Hic ! … Voilà que je suis prête à m’étrangler, il va falloir que je m’autodiscipline, surtout ne pas abuser des bonnes choses ! Allons ! Un peu de sérieux ! Tiens, c’est bizarre voilà que je fais des drôles de trucs… c’est cela que les adultes appellent « respirer » ? Il va falloir que je me documente… je n’aime pas ne pas savoir quelque chose ! C’est agaçant à la fin !
Hum ! Merci maman pour cette douce caresse, mais… c’est quoi que tu écoutes ? « Parlez-moi d’amour … redites-moi des choses tendres… »* c’est joli ça maman, tu la chanteras encore ? Dis ? …
C’est quoi tous ces bruits ? Tu sais je préfère de beaucoup quand tu chantes, tes gargouillis, tu veux que je te dise, et bien, ce n’est pas terrible… surtout quand j’ai envie de dormir… Bon, je sais, je suis une râleuse, mais il va falloir que tu t’y fasses, parce que ce n’est qu’un commencement… n’est-ce pas ?
Dis-moi ? il va peut-être falloir que nous fassions connaissance… qu’en penses-tu ? Je me demande quelle tête tu peux avoir et puis, je commence à être un peu à l’étroit ici… Nous allons réfléchir à la meilleure façon de mettre un terme à tout ça…
Mar 02 Fév 2016, 14:07 par
Joa4763 sur Un monde parfait
Faire le deuil
Faire le deuil
Mon corps est la,
Mais pas mon esprit
Je n’arrive toujours pas
À surmonter notre histoire
Notre idylle fut courte
Très courte
Mais a laissé une profonde cicatrice
À jamais ouverte dans mon cœur.
Tous ces mots que j’ai prononcés,
Je les ai dits et pensés,
Avec sincérité.
Qui aurait pu croire que pour nous
Cela aurait l’effet illusoire
D’un monde qui ne serait pas réel
Ou nous pourrions facilement lâcher des mots
Sans les penser finalement
Et se dire que c’est si facile
De les dire comme ça
Pris dans l’ambiance,
En nous procurant cette merveilleuse émotion,
Dont le cœur s’affole à chaque fois
Ne pas trop penser qu’un beau jour
Cela puisse nous tomber dessus
Et en garder des tourments tout le temps;
Mon physique est toujours la
Mais mon mental est ailleurs
Tu as osé pudiquement me dire je t’aime
Et je t’ai appelé mon amour
Mais tu en aimes déjà une autre...
Et je n’arrive pas à faire ce deuil
Mon cœur a trop mal d’y avoir cru.
Mon corps est la,
Mais pas mon esprit
Je n’arrive toujours pas
À surmonter notre histoire
Notre idylle fut courte
Très courte
Mais a laissé une profonde cicatrice
À jamais ouverte dans mon cœur.
Tous ces mots que j’ai prononcés,
Je les ai dits et pensés,
Avec sincérité.
Qui aurait pu croire que pour nous
Cela aurait l’effet illusoire
D’un monde qui ne serait pas réel
Ou nous pourrions facilement lâcher des mots
Sans les penser finalement
Et se dire que c’est si facile
De les dire comme ça
Pris dans l’ambiance,
En nous procurant cette merveilleuse émotion,
Dont le cœur s’affole à chaque fois
Ne pas trop penser qu’un beau jour
Cela puisse nous tomber dessus
Et en garder des tourments tout le temps;
Mon physique est toujours la
Mais mon mental est ailleurs
Tu as osé pudiquement me dire je t’aime
Et je t’ai appelé mon amour
Mais tu en aimes déjà une autre...
Et je n’arrive pas à faire ce deuil
Mon cœur a trop mal d’y avoir cru.
Dim 19 Oct 2014, 18:12 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Texte "d'amour" composé à 15 ans
Pourquoi rester ici alors qu’en faite , je ne fais que subir le reste de mes maux d’autrefois .. J’ai certes attenté à finir ce restant de ma vie tant de fois mais aucune n’a su se concrétiser .. Sais tu pourquoi , toi qui es entrain de lire ceci ? Je ne pourrais t’apporter qu’un fragment de réponse sûrement , mais au moins sache que si je peux encore écrire , c’est qu’une force me maintient , même si elle est infime , je pense qu’il y à une chance qu’elle renaisse de ses cendres.. La vie est dure , mais elle l’est moins quand tu as quelqu’un à tes côtés , quand quelqu’un s’inquiète réellement pour toi. Autant il y en a qui peuvent te faire croire et espérer à tant de choses , bah elle au moins ne te fais rien espèrer. Elle te dit ce qu’elle pense , sur le coup , et c’est ça qui est bien. Car quand tu aimes une personne , tu ne lui caches rien. Que sa lui plaise ou non , elle le saura au bout d’un certain moment .. Elle est extrêmement fine aussi dans ses propos. Elle fait tant de choses qu’aucune autre ne ferait .. Si je l’aime et qu’elle compte plus que des milliers de diaments pour moi , c’est qu’elle , malgré ses problèmes a l’épaule solide. La vie est certes une pute , mais c’est aussi une source d’expériance inépuisable.. La vie te fait part de tonnes de choses .. Si je n’aurais pas été vivant .. Je n’aurais jamais eu l’occasion de rencontrer une fille aussi belle , aussi attachante que toi .. Tu es la lyre d’une déesse , la muse d’un poète et l’inspiration d’un jeune homme , tu es le coeur de tant de convoitise , même si elle n’est partagée que par un seul être , cette dernière fait de toi , la personne la plus importante à ses yeux. Je ne sais pas si je devrais te le répéter encore , mais je t’aime. Et sa , je me le dis chaque seconde passante ... Car c’est grâce à ça que je ne fait pas de bêtises. Je me sens invincible par rapport aux problèmes encontrés , même s’ils sont parfois éprouvants , savoir que tu es la me permet de me reconsolider à chaque instant de peine. Car tu es mon tout , ce qui me fait respirer (en dehors des poumons bien sur) , ce qui me fait penser .. Je n’aurais besoin que de toi pour former mon corps si tout ne serait pas necessaire. Car tu es mon coeur (je suis éperduement amoureux de toi) , mon cerveau (je penses a toi tout le temps et tu es le centre de mes pensées) , mes poumons (je peux respirer car tu es la , à mes côtés) , mes jambes (tu me permet d’avancer..) , mes épaules (Je peux me reposer dessus quand je suis mélancolique) , mes bras (Je peux porter le lourd fardeau de la vie grâce à ta présence) , mes yeux (sans toi , tout serait noir..) , mes oreilles (Entendre le son de ta voix est comme une douce mélodie à mon oreille) .. Tant de mots pour décrire une chose , un sentiment qui ne s’éteindra jamais .. Certes tu ne te considére pas comme une fille parfaite. Mais pour moi , plus parfaite que toi n’existe pas. Tu as toutes les qualités dont je pouvais rêver , et être rêveur , c’est aussi avoir les pieds à la fois sur Terre et à la fois être dans son monde , c’est ce qui fait la beauté de tout les sentiments. La vie est .. Assez complexe. Mais avec toi à mes côtés , je traverserais tout ce dont il me sera donné de traverser...
Dim 29 Avril 2012, 13:17 par
rere24110 sur L'amour en vrac
Pourquoi ?
- Ta présence m’émeut-elle ?
- Suis-je transportée lorsque je te rencontre ?
- Quelque chose d’indicible m’échappe ?
- Ce... que je ne peux te raconter ?
- Si tu penses que notre histoire est impossible,
pourquoi l’entretiens-tu, à ta manière ?
- Suis-je transportée lorsque je te rencontre ?
- Quelque chose d’indicible m’échappe ?
- Ce... que je ne peux te raconter ?
- Si tu penses que notre histoire est impossible,
pourquoi l’entretiens-tu, à ta manière ?
Mar 04 Oct 2011, 14:30 par
évènement sur Mille choses
Parce que les yeux ne savent pas mentir
Pourquoi tu me dis « je t’aime » si tu ne le penses pas. Pourquoi tu me dis « je t’aime » seulement lorsque tu es saoul. Je sais que ça ne vient pas du plus profond de toi.. Mais il y a une partie de moi qui continue de croire que tu ne me dirais pas ça si tu t’en foutais vraiment. J’suis perdue. Pourquoi est ce qu’à chaque fois ça me déchire le cœur.. Je ne te comprends pas. Est-ce que tu le sais au moins ce que c’est que d’aimer quelqu’un ? J’essaie de me convaincre que j’en ai rien à faire de tes belles paroles.. J’essaie de me convaincre que je n’ai pas besoin de toi. Je n’y arrive pas.. Je n’y arrive pas parce que chaque fois que je te vois, j’oublie tout. J’oublie tout le mal, toute la haine, toute la colère, toutes ces fois ou j’avais réussi à me dire que tu n’étais pas essentiel à ma vie. J’oublie tout. J’me perds définitivement dans toi. Non, je ne suis pas en amour. Je ne veux pas l’être parce que je ne veux pas souffrir.
Trop tard ; j’ai mal ...
Il y a des gens comme ça qui entrent dans nos vies et qui nous font ressentir des choses qu’on avait jamais ressenti avant, même s’ils ne devraient pas ..
Trop tard ; j’ai mal ...
Il y a des gens comme ça qui entrent dans nos vies et qui nous font ressentir des choses qu’on avait jamais ressenti avant, même s’ils ne devraient pas ..
Dim 31 Juil 2011, 03:29 par
Eveb1234 sur L'amour en vrac
Futur...
Le coeur en berne
La flèche a traversé
Je pleure en silence
En attendant que tu reviennes vers moi
Est ce que je te manque parfois?
Ce sont des mots durs à attendre
Que tu penses ainsi à me quitter
Même si c’est la réalité
Je ne t’en veux pas
Après les 2 semaines que je t’ai fait endurer
Mais si tu as aimé ce que nous avons vécu
Alors tu vas adorer la suite
Si tu en as le désir
Et c’est là que je n’arrive plus à voir en toi
La flamme d’autrefois
Est ce qui m’effraye ?
Ou bien ta dualité
Ton tout chaud, tout froid
Qui m’enflamme comme me glace
Mais pas de doute de mon côté
Après une année de démarrage
Remplie de folie et de réalité
Il nous faut construire le tout les jours
Si l’on ne peut pas passer a travers
Nous n’irons nul part
Nous en sommes tout deux conscients
Mais la première force qu’il nous faut partager
C’est qu’ensemble, on peut tout réussir
Cette force je l’ai ressentie
Veux tu irréel avec moi?
Veux tu concret avec moi?
Je te propose ainsi
De vivre avec moi
Un conte de fée moderne
Car je t’aime...
La flèche a traversé
Je pleure en silence
En attendant que tu reviennes vers moi
Est ce que je te manque parfois?
Ce sont des mots durs à attendre
Que tu penses ainsi à me quitter
Même si c’est la réalité
Je ne t’en veux pas
Après les 2 semaines que je t’ai fait endurer
Mais si tu as aimé ce que nous avons vécu
Alors tu vas adorer la suite
Si tu en as le désir
Et c’est là que je n’arrive plus à voir en toi
La flamme d’autrefois
Est ce qui m’effraye ?
Ou bien ta dualité
Ton tout chaud, tout froid
Qui m’enflamme comme me glace
Mais pas de doute de mon côté
Après une année de démarrage
Remplie de folie et de réalité
Il nous faut construire le tout les jours
Si l’on ne peut pas passer a travers
Nous n’irons nul part
Nous en sommes tout deux conscients
Mais la première force qu’il nous faut partager
C’est qu’ensemble, on peut tout réussir
Cette force je l’ai ressentie
Veux tu irréel avec moi?
Veux tu concret avec moi?
Je te propose ainsi
De vivre avec moi
Un conte de fée moderne
Car je t’aime...
Mer 08 Déc 2010, 22:32 par
Loyd sur La vie à deux
Est ce que je prends trop soin de toi?
C est une question que je me suis déjà posée
C’est une affirmation déjà exprimée
Moi prendre soin de toi, tu aimes cela
Mais seulement dans certaines mesures
Des mesures que je ne connais pas
Moi qui suis dans la démesure
Qui dépendent de ce que tu vis toi
Et de ce que tu penses toi
Choses sur lesquelles je n ai aucune prise
Je sais qu’il te faut des moment où je suis tranquille
Pour qu’à ton tour tu prennes soin de moi
Je ne sais pas deviner ces moments
Je souhaiterais que tu n’aies pas à les chercher
Mais seulement sans te questionner
Quelque soit l’instant, tu le fasses
Ne te méprend pas, je suis heureux
De ces tendres instants que nous vivons
Ces jours présents, partagés
Juste parfois anxieux de te donner l’occasion
De pouvoir en nous te réaliser complètement
Sans attendre un instant particulier
Et ainsi atteindre ensemble
Des sommets inimaginés....
Loyd, songe d’une nuit d’été...
C’est une affirmation déjà exprimée
Moi prendre soin de toi, tu aimes cela
Mais seulement dans certaines mesures
Des mesures que je ne connais pas
Moi qui suis dans la démesure
Qui dépendent de ce que tu vis toi
Et de ce que tu penses toi
Choses sur lesquelles je n ai aucune prise
Je sais qu’il te faut des moment où je suis tranquille
Pour qu’à ton tour tu prennes soin de moi
Je ne sais pas deviner ces moments
Je souhaiterais que tu n’aies pas à les chercher
Mais seulement sans te questionner
Quelque soit l’instant, tu le fasses
Ne te méprend pas, je suis heureux
De ces tendres instants que nous vivons
Ces jours présents, partagés
Juste parfois anxieux de te donner l’occasion
De pouvoir en nous te réaliser complètement
Sans attendre un instant particulier
Et ainsi atteindre ensemble
Des sommets inimaginés....
Loyd, songe d’une nuit d’été...
Lun 12 Juil 2010, 23:03 par
Loyd sur La vie à deux
Bonne saint valentin à toi
Personne ne te souhaitera de Saint Valentin en ce dimanche de février 2010, c’est ce que tu te dis et tu as le cafard. Pas de coup de téléphone, pas de repas galant, pas de soirée amoureuse, pas de mot et de geste tendre pour toi au programme - ni à donner, ni à recevoir. Alors, les quelques lignes qui vont suivre te sont dédiées...
Tu es une personne unique au monde, ne l’oublie pas, et même si, souvent, tu en doutes et penses que ces paroles sont surfaites, quelque part, un autre être unique au monde te recherche, t’espère, t’aime déjà. Déjà. Votre rencontre ou, peut-être, reconnaissance, n’est qu’une question de jours, d’heures, de minutes.
Est-ce que tu peux fermer les yeux et imaginer son visage qui te sourit ? Sa voix qui murmure ton prénom ? La douceur de ses regards ? Son parfum, son souffle sur ta peau ? Tu vois, déjà, tu n’es plus seul(e) au monde.
Alors, permets-moi, en son nom, de te souhaiter une merveilleuse Saint Valentin.
Tu es une personne unique au monde, ne l’oublie pas, et même si, souvent, tu en doutes et penses que ces paroles sont surfaites, quelque part, un autre être unique au monde te recherche, t’espère, t’aime déjà. Déjà. Votre rencontre ou, peut-être, reconnaissance, n’est qu’une question de jours, d’heures, de minutes.
Est-ce que tu peux fermer les yeux et imaginer son visage qui te sourit ? Sa voix qui murmure ton prénom ? La douceur de ses regards ? Son parfum, son souffle sur ta peau ? Tu vois, déjà, tu n’es plus seul(e) au monde.
Alors, permets-moi, en son nom, de te souhaiter une merveilleuse Saint Valentin.
Dim 14 Fév 2010, 10:22 par
dolce vita sur Mille choses
La vie à deux
"Ne fais pas comme ceci,
Moi, je fais comme cela,
C’est ma manière à moi,
Moi, je dis comme cela,
Mais on dit comme ceci
Et c’est plus juste ainsi,
Ne va pas par ici,
Moi, je vais par là,
Passe ou passera pas,
Selon moi, c’est par là,
Selon lui, c’est pas ça.
Et bien, vas-y sans moi.
Oh mon amour, la vie à deux, tu vois,
C’est pas si simple,
Du moins ce que l’on croit (x2)
Ne mate pas celle-ci,
Mais je matais celle-là,
Et c’est moins grave, tu crois ?
Fais moi un bisou là,
Suis-moi, on va au lit,
Tu ne penses qu’à ça.
Si on partait là-bas,
Rien que nous, you and me,
Je veux rester ici,
Je t’aime moi aussi,
Une chanson tralali, une chanson tralala.
Oh mon amour la vie à deux tu vois,
C’est pas si simple,
Du moins ce que l’on croit.
Oh mon amour quand c’est couci couça,
A deux toujours, c’est bien mieux que sans toi (x2)
Oh mon amour la vie à deux, tu vois
c’est pas si simple, du moins ce que l’on croit
Oh mon amour, quand c’est couci couça
A deux toujours, c’est bien mieux que sans toi
Tralali, iiiii , tralala (x4)"
Chanson de Zaza Fournier
Moi, je fais comme cela,
C’est ma manière à moi,
Moi, je dis comme cela,
Mais on dit comme ceci
Et c’est plus juste ainsi,
Ne va pas par ici,
Moi, je vais par là,
Passe ou passera pas,
Selon moi, c’est par là,
Selon lui, c’est pas ça.
Et bien, vas-y sans moi.
Oh mon amour, la vie à deux, tu vois,
C’est pas si simple,
Du moins ce que l’on croit (x2)
Ne mate pas celle-ci,
Mais je matais celle-là,
Et c’est moins grave, tu crois ?
Fais moi un bisou là,
Suis-moi, on va au lit,
Tu ne penses qu’à ça.
Si on partait là-bas,
Rien que nous, you and me,
Je veux rester ici,
Je t’aime moi aussi,
Une chanson tralali, une chanson tralala.
Oh mon amour la vie à deux tu vois,
C’est pas si simple,
Du moins ce que l’on croit.
Oh mon amour quand c’est couci couça,
A deux toujours, c’est bien mieux que sans toi (x2)
Oh mon amour la vie à deux, tu vois
c’est pas si simple, du moins ce que l’on croit
Oh mon amour, quand c’est couci couça
A deux toujours, c’est bien mieux que sans toi
Tralali, iiiii , tralala (x4)"
Chanson de Zaza Fournier
Ven 04 Déc 2009, 02:52 par
Solina sur La vie à deux
Pas de retour. chapitre 3 (complet)
Chapitre 3
Mathilde regardait Arthur finir sa série de coups de pied directs arrière. Le sac de sable, bien que lourd, oscillait au rythme des impacts puissants. Secrètement, elle aimait Arthur. Elle aimait son sourire permanent, ses yeux d’un bleu azur, ses cheveux blonds coupés courts. Elle rougit en pensant à ses rêves érotiques au cours desquels Arthur, torse nu, musclé et naturellement bronzé, l’enlaçait. Elle qui, à 15 ans, n’avait encore jamais connu l’amour…
- "OK, Arthur ! Tu peux arrêter là. Très bien ! Bravo !"
Patrick Brun était visiblement satisfait de la prestation de son protégé.
- "Tu sais que si tu as le bon timing en utilisant ce coup de pied direct arrière, ton adversaire sera par terre en 2 secondes. Avec ta puissance et ta rapidité, ça ne fait pas un pli ! Allez ! C’est fini pour ce soir… Tu peux aller prendre ta douche".
- "Merci co… Euh… Patrick…"
Mathilde se mêla à l’échange.
- "Patrick ! Et moi ? Pourquoi tu ne me fais pas travailler sur cette série, aussi ?"
Arthur se retourna et prit son air espiègle.
- "Mathilde, voyons ! Tu sais bien que pour utiliser cette technique en tournoi, il faut la maîtriser à 100% ! Ha ! Ha ! Ha !"
Devant la moue qui se dessina sur le visage de Mathilde, Arthur continua :
- "Je plaisante, Mat… C’est pour t’embêter un peu…"
Mathilde lui tira la langue.
- "Allons ! Ce n’est pas un peu fini ces gamineries ?!", intervint Patrick, en riant. Puis, il s’adressa à elle :
- "Mathilde, tu sais bien que ton point fort, c’est la contre-attaque retardée en 45 degrés. Pour le tournoi, c’est là-dessus qu’il faudra compter. Donc, ton entraînement spécifique portera sur cette tactique. Tu comprends ?"
- "D’accord, coach !", fit-elle, en sachant pertinemment qu’il avait horreur qu’on l’appelle ainsi. Et elle courut vers les vestiaires en s’esclaffant.
- "Quelle petite peste !", cria Patrick en faisant semblant de vouloir la rattraper.
[…]
Arthur n’avait d’yeux que pour cette silhouette svelte et agile qui se déplaçait gracieusement ; cette chevelure abondante châtain qui encadrait une petite frimousse malicieuse, parsemée de taches de rousseurs et… cette petite langue toute rose qu’elle continuait à lui tirer, tout en continuant à détaler.
- "Bon !", reprit Patrick à l’adresse d’Arthur. "Alors, tu te prépares pour le voyage ? »
- « Oui, je suis vraiment impatient ! »
- « Tu n’oublies pas l’école, hein ? »
- « Non, bien sûr que non ! Je me suis organisé avec mes profs. Ils m’ont donné une liste de devoirs pour les vacances. Je pense qu’avec une ou deux heures par jour, je devrais m’en sortir. »
Patrick n’avait aucune inquiétude réelle à ce sujet. Il était en relation régulière avec les professeurs du lycée et n’hésitait pas à parler à l’élève faisant partie de son club lorsque ses résultats scolaires étaient en baisse ou que son attitude générale laissait à désirer. En ce qui concernait Arthur, il n’entendait que des louanges de la part de ses professeurs, quelle que soit la matière.
- « C’est bien, Arthur. On part dans une semaine. Et on a encore pas mal de techniques à peaufiner. Je vais tout faire pour que Victor, Ali et Mathilde soient fin prêts. Toi, tu l’es… Donc, tu vas plus travailler le côté endurance, OK ? »
- « D’accord, Patrick… Dites, c’est comment, l’Asie ? »
Patrick repensa à son voyage en Corée du Sud.
- « L’Asie, c’est grand. C’est magique, aussi ; en tous cas, à mes yeux. Tu sais, je ne connais que la Corée mais j’ai entendu dire que Singapour est le pays le plus occidental d’Asie. Il a malgré tout su conserver un caractère particulier, grâce à la diversité des cultures le peuplant : chinoise, malaise ou indienne. Et, d’après ce qu’on m’a dit, toutes les races vivent harmonieusement ; en incluant les expatriés – Européens, Américains et Australiens pour la plupart – qui sont bien intégrés. »
- « Ça doit être vraiment super ! Et le tournoi ? Vous savez qui va participer ? »
- « Le tournoi international de Singapour a lieu tous les 2 ans. Le niveau est très poussé. Plus de 25 pays vont être représentés. Beaucoup d’Asiatiques, bien entendu ; et les Etats-Unis y participent pour la première fois, comme la France. L’Australie aura la plus grosse délégation, avec 15 athlètes de tous âges. Ce sont eux qui ont récolté le plus de médailles d’or lors de la dernière édition. La fédération m’a d’ailleurs averti que l’Australien qui concourra dans la catégorie open - la tienne - représentera son pays aux prochains jeux olympiques. »
- « Wooww ! Ça va pas être simple pour moi ! »
- « Ne t’inquiète pas, Arthur. Je pense que tu as le niveau pour les jeux, aussi. »
- « Mais je n’ai que 15 ans ! »
- « C’est pour cela que tu combats en catégorie « open ». Tu vas te mesurer à des athlètes de 19, 20 ans. »
Patrick marqua une pause. Il observa la réaction d’Arthur. Sans surprise, ce dernier ne manifesta aucune émotion particulière : ni peur, ni même crainte.
- « Bon. Il est temps que je te dévoile un secret… reprit l’entraîneur. Les gens de la fédération m’ont confié que si tu atteignais au moins les demi-finales, tu serais inclus dans l’équipe de France des JO. »
Arthur écarquilla les yeux de surprise.
- « Pour une nouvelle, c’en est une, Patrick ! »
Patrick rit de bon cœur.
- « Tu comprends maintenant, pourquoi je te fais travailler aussi dur ?! »
[…]
Après une douche réparatrice, Arthur sortit du bâtiment, le sac sur l’épaule et la tête dans ses rêves olympiques. Il était tard, il faisait déjà nuit, mais il ne se pressait pas pour autant. Soudain, il perçut un mouvement derrière lui. Il se retourna vivement. Mathilde fut stoppée net dans sa tentative de lui faire une surprise, un peu abasourdie par la vitesse de réaction d’Arthur.
- « Mathilde ! », s’étonna-t-il. « Qu’essayes-tu de faire ? »
- « Bah, je voulais te faire peur… »,répondit-elle, un peu dépitée par son échec.
- « Ha ! Ha ! Ha ! Eh ben, c’est raté ! »
- « Je sais... »
Il reprit son sérieux :
- « Tu veux que je te raccompagne chez toi ? Il est tard et tu pourrais faire une mauvaise rencontre. »
- « Tu penses que je ne peux pas me défendre ? », le défia-t-elle.
- « Tu plaisantes ? Je sais très bien de quoi tu es capable ! »
- « Alors, pourquoi veux-tu m’accompagner ? », rebondit-elle, l’air de rien.
Désespéré, Arthur fuit son regard. Il sut que le moment était venu de lui dire ce qu’il ressentait. Il n’avait jamais osé auparavant. Il était assez courageux pour se défendre contre trois voyous simultanément, mais assez lâche pour ne pas pouvoir la regarder droit dans les yeux et lui dire, tout simplement : « Tu me plais vraiment. Je veux sortir avec toi »… « Quel imbécile je fais !» s’injuria-t-il intérieurement. Il décida de jouer l’esquive. Pour le moment.
- « Allez, viens ! Ne fais pas ton bébé… »
Alors qu’il la poussait gentiment, Mathilde ne put s’empêcher de se sentir déçue et en colère. « Quel idiot, alors ! Il ne comprend rien ! Ou bien, il ne m’aime pas ?! Je vois bien toutes ces sottes qui lui courent après, au lycée… Arthur par ci, Arthur par là… Gnagnagna… Peut être qu’il aime bien l’une de ces pétasses. Bon ! Il faut que j’en aie le cœur net… ».
Arthur marchait à côté d’elle, silencieux. Elle se tourna vers lui :
- « Arthur ? », commença-t-elle, hésitante.
- « Oui ? », répondit-il un peu trop vivement.
- « Tu aimes bien les filles du lycée ? »
Arthur la regarda, l’air benêt.
- « Euh… Bah oui… En général, quoi. Elles sont sympas… »
- « Et qui préfères-tu ? »
Involontairement, il adopta un air encore plus ahuri, complètement pris au dépourvu par les questions de Mathilde.
- « J’sais pas moi… Pourquoi tu me poses ce genre de questions ? »
« Décidément, il le fait exprès ! C’est pas possible ! », se dit-elle. Elle s’arrêta, s’approcha de lui et l’enlaça.
- « Arthur, tu ne vois pas que tu me plais ? »
Sans un mot, il la prit par la taille, l’attira vers lui et l’embrassa tendrement. « Enfin ! » ne put-elle s’empêcher de penser, soulagée et heureuse… Ils restèrent l’un contre l’autre un long moment, profitant de cette harmonie de sentiments qu’ils se découvraient pour la première fois.
Puis, à contrecœur, ils se décidèrent à poursuivre leur retour à la maison. Mais cette fois-ci, ils marchaient main dans la main, les yeux pétillants de bonheur.
- « Arthur, tu m’aimes depuis quand ? », minauda Mathilde.
- « Depuis la première fois que je t’ai vue au dojang. »
- « Mais je n’avais que 9 ans ?! »
- « Et alors ? On peut aussi avoir des sentiments, à cet âge-là, non ?! », rétorqua-t-il, en riant.
- « Qu’est ce que tu peux être bête, quand tu veux ! », le taquina-t-elle.
Et ils rirent de bon cœur, avant de s’embrasser à nouveau.
Alors qu’ils s’approchaient de l’immeuble de Mathilde, Arthur s’arrêta :
- « Mathilde, je dois te dire quelque chose de super ! »
- « Quoi ? Que tu m’aimes ? », fit-elle, pleine de malice.
- « Non... »
- « Comment ça, non ???? », l’interrompit-elle, feignant la colère.
- « Mathilde ! Ecoute-moi, c’est super important.
- J’adore t’asticoter, Arthur ! Tu démarres toujours au quart de tour ! Allez, dis-moi ce qui est super…
- Eh ben, voilà… Avant de quitter le dojang, le coach m’a dit que je pourrais avoir une chance de faire partie de l’équipe de France pour les prochains JO. »
Mathilde le regarda bouche bée. Puis se ressaisit :
- « Tu veux me faire marcher à ton tour ou quoi ?
- Non, non ! C’est vrai…
- Ça alors ! Mais tu n’as que 15 ans !
- Et les prochains jeux ont lieu dans 3 ans…
- Tu as raison ! », admit-elle.
Après un temps de réflexion, elle sauta de joie.
- « C’est génial, Arthur ! Vraiment super ! Je suis tellement contente pour toi !
- Attends, attends ! Ce n’est pas encore fait, hein ?!
- Je sais mais quand même ! Au fait, ça dépend de quoi ? »
Il lui expliqua la teneur du marché. Elle s’enthousiasma :
- « Tu devrais y arriver sans problème !
- Je ne sais pas. Je ne connais pas mes adversaires et il paraît que le niveau est plutôt costaud. Tiens ! Il y a même un Australien qui est déjà intégré à l’équipe olympique…
- Mais tu n’as jamais perdu un tournoi, Arthur ! Ne sois pas modeste !
- Ca ne veut rien dire, tu sais… Enfin, on verra bien ! », conclut-il dans un sourire pour lequel elle craquait à chaque fois.
- « Oh ! Arthur ! Je suis tellement fière de toi ! »
Elle se jeta sur lui et l’embrassa fougueusement. A cet instant précis, Arthur se sentit invincible, fort de cet amour qu’il ressentait pour Mathilde ; porté par les émotions si démonstratives de Mathilde.
Mathilde regardait Arthur finir sa série de coups de pied directs arrière. Le sac de sable, bien que lourd, oscillait au rythme des impacts puissants. Secrètement, elle aimait Arthur. Elle aimait son sourire permanent, ses yeux d’un bleu azur, ses cheveux blonds coupés courts. Elle rougit en pensant à ses rêves érotiques au cours desquels Arthur, torse nu, musclé et naturellement bronzé, l’enlaçait. Elle qui, à 15 ans, n’avait encore jamais connu l’amour…
- "OK, Arthur ! Tu peux arrêter là. Très bien ! Bravo !"
Patrick Brun était visiblement satisfait de la prestation de son protégé.
- "Tu sais que si tu as le bon timing en utilisant ce coup de pied direct arrière, ton adversaire sera par terre en 2 secondes. Avec ta puissance et ta rapidité, ça ne fait pas un pli ! Allez ! C’est fini pour ce soir… Tu peux aller prendre ta douche".
- "Merci co… Euh… Patrick…"
Mathilde se mêla à l’échange.
- "Patrick ! Et moi ? Pourquoi tu ne me fais pas travailler sur cette série, aussi ?"
Arthur se retourna et prit son air espiègle.
- "Mathilde, voyons ! Tu sais bien que pour utiliser cette technique en tournoi, il faut la maîtriser à 100% ! Ha ! Ha ! Ha !"
Devant la moue qui se dessina sur le visage de Mathilde, Arthur continua :
- "Je plaisante, Mat… C’est pour t’embêter un peu…"
Mathilde lui tira la langue.
- "Allons ! Ce n’est pas un peu fini ces gamineries ?!", intervint Patrick, en riant. Puis, il s’adressa à elle :
- "Mathilde, tu sais bien que ton point fort, c’est la contre-attaque retardée en 45 degrés. Pour le tournoi, c’est là-dessus qu’il faudra compter. Donc, ton entraînement spécifique portera sur cette tactique. Tu comprends ?"
- "D’accord, coach !", fit-elle, en sachant pertinemment qu’il avait horreur qu’on l’appelle ainsi. Et elle courut vers les vestiaires en s’esclaffant.
- "Quelle petite peste !", cria Patrick en faisant semblant de vouloir la rattraper.
[…]
Arthur n’avait d’yeux que pour cette silhouette svelte et agile qui se déplaçait gracieusement ; cette chevelure abondante châtain qui encadrait une petite frimousse malicieuse, parsemée de taches de rousseurs et… cette petite langue toute rose qu’elle continuait à lui tirer, tout en continuant à détaler.
- "Bon !", reprit Patrick à l’adresse d’Arthur. "Alors, tu te prépares pour le voyage ? »
- « Oui, je suis vraiment impatient ! »
- « Tu n’oublies pas l’école, hein ? »
- « Non, bien sûr que non ! Je me suis organisé avec mes profs. Ils m’ont donné une liste de devoirs pour les vacances. Je pense qu’avec une ou deux heures par jour, je devrais m’en sortir. »
Patrick n’avait aucune inquiétude réelle à ce sujet. Il était en relation régulière avec les professeurs du lycée et n’hésitait pas à parler à l’élève faisant partie de son club lorsque ses résultats scolaires étaient en baisse ou que son attitude générale laissait à désirer. En ce qui concernait Arthur, il n’entendait que des louanges de la part de ses professeurs, quelle que soit la matière.
- « C’est bien, Arthur. On part dans une semaine. Et on a encore pas mal de techniques à peaufiner. Je vais tout faire pour que Victor, Ali et Mathilde soient fin prêts. Toi, tu l’es… Donc, tu vas plus travailler le côté endurance, OK ? »
- « D’accord, Patrick… Dites, c’est comment, l’Asie ? »
Patrick repensa à son voyage en Corée du Sud.
- « L’Asie, c’est grand. C’est magique, aussi ; en tous cas, à mes yeux. Tu sais, je ne connais que la Corée mais j’ai entendu dire que Singapour est le pays le plus occidental d’Asie. Il a malgré tout su conserver un caractère particulier, grâce à la diversité des cultures le peuplant : chinoise, malaise ou indienne. Et, d’après ce qu’on m’a dit, toutes les races vivent harmonieusement ; en incluant les expatriés – Européens, Américains et Australiens pour la plupart – qui sont bien intégrés. »
- « Ça doit être vraiment super ! Et le tournoi ? Vous savez qui va participer ? »
- « Le tournoi international de Singapour a lieu tous les 2 ans. Le niveau est très poussé. Plus de 25 pays vont être représentés. Beaucoup d’Asiatiques, bien entendu ; et les Etats-Unis y participent pour la première fois, comme la France. L’Australie aura la plus grosse délégation, avec 15 athlètes de tous âges. Ce sont eux qui ont récolté le plus de médailles d’or lors de la dernière édition. La fédération m’a d’ailleurs averti que l’Australien qui concourra dans la catégorie open - la tienne - représentera son pays aux prochains jeux olympiques. »
- « Wooww ! Ça va pas être simple pour moi ! »
- « Ne t’inquiète pas, Arthur. Je pense que tu as le niveau pour les jeux, aussi. »
- « Mais je n’ai que 15 ans ! »
- « C’est pour cela que tu combats en catégorie « open ». Tu vas te mesurer à des athlètes de 19, 20 ans. »
Patrick marqua une pause. Il observa la réaction d’Arthur. Sans surprise, ce dernier ne manifesta aucune émotion particulière : ni peur, ni même crainte.
- « Bon. Il est temps que je te dévoile un secret… reprit l’entraîneur. Les gens de la fédération m’ont confié que si tu atteignais au moins les demi-finales, tu serais inclus dans l’équipe de France des JO. »
Arthur écarquilla les yeux de surprise.
- « Pour une nouvelle, c’en est une, Patrick ! »
Patrick rit de bon cœur.
- « Tu comprends maintenant, pourquoi je te fais travailler aussi dur ?! »
[…]
Après une douche réparatrice, Arthur sortit du bâtiment, le sac sur l’épaule et la tête dans ses rêves olympiques. Il était tard, il faisait déjà nuit, mais il ne se pressait pas pour autant. Soudain, il perçut un mouvement derrière lui. Il se retourna vivement. Mathilde fut stoppée net dans sa tentative de lui faire une surprise, un peu abasourdie par la vitesse de réaction d’Arthur.
- « Mathilde ! », s’étonna-t-il. « Qu’essayes-tu de faire ? »
- « Bah, je voulais te faire peur… »,répondit-elle, un peu dépitée par son échec.
- « Ha ! Ha ! Ha ! Eh ben, c’est raté ! »
- « Je sais... »
Il reprit son sérieux :
- « Tu veux que je te raccompagne chez toi ? Il est tard et tu pourrais faire une mauvaise rencontre. »
- « Tu penses que je ne peux pas me défendre ? », le défia-t-elle.
- « Tu plaisantes ? Je sais très bien de quoi tu es capable ! »
- « Alors, pourquoi veux-tu m’accompagner ? », rebondit-elle, l’air de rien.
Désespéré, Arthur fuit son regard. Il sut que le moment était venu de lui dire ce qu’il ressentait. Il n’avait jamais osé auparavant. Il était assez courageux pour se défendre contre trois voyous simultanément, mais assez lâche pour ne pas pouvoir la regarder droit dans les yeux et lui dire, tout simplement : « Tu me plais vraiment. Je veux sortir avec toi »… « Quel imbécile je fais !» s’injuria-t-il intérieurement. Il décida de jouer l’esquive. Pour le moment.
- « Allez, viens ! Ne fais pas ton bébé… »
Alors qu’il la poussait gentiment, Mathilde ne put s’empêcher de se sentir déçue et en colère. « Quel idiot, alors ! Il ne comprend rien ! Ou bien, il ne m’aime pas ?! Je vois bien toutes ces sottes qui lui courent après, au lycée… Arthur par ci, Arthur par là… Gnagnagna… Peut être qu’il aime bien l’une de ces pétasses. Bon ! Il faut que j’en aie le cœur net… ».
Arthur marchait à côté d’elle, silencieux. Elle se tourna vers lui :
- « Arthur ? », commença-t-elle, hésitante.
- « Oui ? », répondit-il un peu trop vivement.
- « Tu aimes bien les filles du lycée ? »
Arthur la regarda, l’air benêt.
- « Euh… Bah oui… En général, quoi. Elles sont sympas… »
- « Et qui préfères-tu ? »
Involontairement, il adopta un air encore plus ahuri, complètement pris au dépourvu par les questions de Mathilde.
- « J’sais pas moi… Pourquoi tu me poses ce genre de questions ? »
« Décidément, il le fait exprès ! C’est pas possible ! », se dit-elle. Elle s’arrêta, s’approcha de lui et l’enlaça.
- « Arthur, tu ne vois pas que tu me plais ? »
Sans un mot, il la prit par la taille, l’attira vers lui et l’embrassa tendrement. « Enfin ! » ne put-elle s’empêcher de penser, soulagée et heureuse… Ils restèrent l’un contre l’autre un long moment, profitant de cette harmonie de sentiments qu’ils se découvraient pour la première fois.
Puis, à contrecœur, ils se décidèrent à poursuivre leur retour à la maison. Mais cette fois-ci, ils marchaient main dans la main, les yeux pétillants de bonheur.
- « Arthur, tu m’aimes depuis quand ? », minauda Mathilde.
- « Depuis la première fois que je t’ai vue au dojang. »
- « Mais je n’avais que 9 ans ?! »
- « Et alors ? On peut aussi avoir des sentiments, à cet âge-là, non ?! », rétorqua-t-il, en riant.
- « Qu’est ce que tu peux être bête, quand tu veux ! », le taquina-t-elle.
Et ils rirent de bon cœur, avant de s’embrasser à nouveau.
Alors qu’ils s’approchaient de l’immeuble de Mathilde, Arthur s’arrêta :
- « Mathilde, je dois te dire quelque chose de super ! »
- « Quoi ? Que tu m’aimes ? », fit-elle, pleine de malice.
- « Non... »
- « Comment ça, non ???? », l’interrompit-elle, feignant la colère.
- « Mathilde ! Ecoute-moi, c’est super important.
- J’adore t’asticoter, Arthur ! Tu démarres toujours au quart de tour ! Allez, dis-moi ce qui est super…
- Eh ben, voilà… Avant de quitter le dojang, le coach m’a dit que je pourrais avoir une chance de faire partie de l’équipe de France pour les prochains JO. »
Mathilde le regarda bouche bée. Puis se ressaisit :
- « Tu veux me faire marcher à ton tour ou quoi ?
- Non, non ! C’est vrai…
- Ça alors ! Mais tu n’as que 15 ans !
- Et les prochains jeux ont lieu dans 3 ans…
- Tu as raison ! », admit-elle.
Après un temps de réflexion, elle sauta de joie.
- « C’est génial, Arthur ! Vraiment super ! Je suis tellement contente pour toi !
- Attends, attends ! Ce n’est pas encore fait, hein ?!
- Je sais mais quand même ! Au fait, ça dépend de quoi ? »
Il lui expliqua la teneur du marché. Elle s’enthousiasma :
- « Tu devrais y arriver sans problème !
- Je ne sais pas. Je ne connais pas mes adversaires et il paraît que le niveau est plutôt costaud. Tiens ! Il y a même un Australien qui est déjà intégré à l’équipe olympique…
- Mais tu n’as jamais perdu un tournoi, Arthur ! Ne sois pas modeste !
- Ca ne veut rien dire, tu sais… Enfin, on verra bien ! », conclut-il dans un sourire pour lequel elle craquait à chaque fois.
- « Oh ! Arthur ! Je suis tellement fière de toi ! »
Elle se jeta sur lui et l’embrassa fougueusement. A cet instant précis, Arthur se sentit invincible, fort de cet amour qu’il ressentait pour Mathilde ; porté par les émotions si démonstratives de Mathilde.
Mar 10 Nov 2009, 10:45 par
Arthis sur Mille choses
Et pourtant... réponse au sondage sur la peur d'aimer
Et pourtant, il semblerait que des hommes ou des femmes aient peur de prendre le risque d’aimer ou d’aimer tout court. Si tu penses que c’est d’autres choses dont ils se gardent, alors de quelles autres choses, selon toi ?
Moi il me semble que c’est du manque d’amour dont on peut avoir peur parce que c’est cela, me semble-t-il, qui fait mal...
Dans l’attente de ta/votre réponse.
Dolce
Moi il me semble que c’est du manque d’amour dont on peut avoir peur parce que c’est cela, me semble-t-il, qui fait mal...
Dans l’attente de ta/votre réponse.
Dolce
Sam 03 Oct 2009, 05:53 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Amour absolu
Pas besoin de se voir, de se parler,
Unis ou séparés
Eveillés ou endormis
Nous sommes connectés.
A des milliers de kilomètres,
Je sais ce que tu penses
Tu sais ce que je fais
Nous sommes connectés.
Dans tes bras ou loin de toi
Nos corps s’emboîtent
Comme un puzzle parfait
Nous sommes connectés.
Dans nos yeux une petite flamme luit
Eclairant chacune de nos envies
Yeux dans les yeux éveillant nos sens
Nous sommes connectés.
Nous nous sommes trouvés,
Perdus et retrouvés
Dans une course tracée
Nous nous sommes connectés.
Amour absolu
Univers de mes jours
Soleil de mes nuits
Nous sommes connectés
Vivant pour toujours
Sur terre ou déportés
Ici ou ailleurs
Toujours connectés.
Je t’aime pour ce que tu es
Tu m’aimes pour ce que je suis
Unis toi et moi
Nous sommes connectés pour toujours.
Unis ou séparés
Eveillés ou endormis
Nous sommes connectés.
A des milliers de kilomètres,
Je sais ce que tu penses
Tu sais ce que je fais
Nous sommes connectés.
Dans tes bras ou loin de toi
Nos corps s’emboîtent
Comme un puzzle parfait
Nous sommes connectés.
Dans nos yeux une petite flamme luit
Eclairant chacune de nos envies
Yeux dans les yeux éveillant nos sens
Nous sommes connectés.
Nous nous sommes trouvés,
Perdus et retrouvés
Dans une course tracée
Nous nous sommes connectés.
Amour absolu
Univers de mes jours
Soleil de mes nuits
Nous sommes connectés
Vivant pour toujours
Sur terre ou déportés
Ici ou ailleurs
Toujours connectés.
Je t’aime pour ce que tu es
Tu m’aimes pour ce que je suis
Unis toi et moi
Nous sommes connectés pour toujours.
Ven 31 Juil 2009, 14:38 par
Hécate sur Parler d'amour
Sans peur de rien
Je t’en supplie ne t’en va pas mon amour
Je me meurs d’entendre les choses que jamais tu ne m’a dis
Donc je me tais et tu t’en vas
J’ai encore l’esperance d’être capable un de ces jours
De ne pas cacher les blessures qui me font mal
A penser que je t’aime chaque jour un peu plus fort
Combien de temps allons nous attendre encore
Je souhaite tant te serrer et que tu me serres si fort
Je me meurs pour te faire rire
Et que tu m’embrasses quand tu te reveilles
Lové en ton sein jusqu’au levé du soleil
me perdant dans ton parfum
Me perdant sur tes èvres qui s’approchent
Chuchotant des mots qui atteignent
Ce pauvre coeur qu’est le mien
Je smonter le feu en mon intérieur
Je souhaite tant deviner ce que tu penses
Ouvrir toutes portes et vaincre tes tourments
Qui essayent de nous détruire
Fixer mes yeux dans ton regard
Chanter avec toi au soleil levant
Nous baiser jusqu’au bout de nos lèvres
Et voir dans ton visage chaque jour cette etincelle
Grandir; rever, laisser tout surgir laissant la peur s’effrir
Je souhaite tant t’expliquer ce qui passe dans ma tete
Je me meurs pour réussir à t’intriguer
Et continuer d’être capable de te surprendre
Sentir chaque jour cette caacité
De voir que peu importe ce qu’ils disent
Peu importe ce qu’ils pensent
Si je suis fou c’est mon choix
Et maintenant je recommence à voir un monde meilleur
Je recommence à voir briller la lueur du soleil
Je me meurs d’entendre les choses que jamais tu ne m’a dis
Donc je me tais et tu t’en vas
J’ai encore l’esperance d’être capable un de ces jours
De ne pas cacher les blessures qui me font mal
A penser que je t’aime chaque jour un peu plus fort
Combien de temps allons nous attendre encore
Je souhaite tant te serrer et que tu me serres si fort
Je me meurs pour te faire rire
Et que tu m’embrasses quand tu te reveilles
Lové en ton sein jusqu’au levé du soleil
me perdant dans ton parfum
Me perdant sur tes èvres qui s’approchent
Chuchotant des mots qui atteignent
Ce pauvre coeur qu’est le mien
Je smonter le feu en mon intérieur
Je souhaite tant deviner ce que tu penses
Ouvrir toutes portes et vaincre tes tourments
Qui essayent de nous détruire
Fixer mes yeux dans ton regard
Chanter avec toi au soleil levant
Nous baiser jusqu’au bout de nos lèvres
Et voir dans ton visage chaque jour cette etincelle
Grandir; rever, laisser tout surgir laissant la peur s’effrir
Je souhaite tant t’expliquer ce qui passe dans ma tete
Je me meurs pour réussir à t’intriguer
Et continuer d’être capable de te surprendre
Sentir chaque jour cette caacité
De voir que peu importe ce qu’ils disent
Peu importe ce qu’ils pensent
Si je suis fou c’est mon choix
Et maintenant je recommence à voir un monde meilleur
Je recommence à voir briller la lueur du soleil
Ven 03 Oct 2008, 00:54 par
Loyd sur La déclaration d'amour
Une des personnes les plus Importantes (L)
Tu sais un jour tu crois que tout va bien, que tu ne pourrais pas être plus heureuse, que tu as tout pour Toi, que tu as atteint le sommet; mais y’a toujours cette foutu absence. Tu sais, celle que tu causes. J’te jure; tu fous tout en l’air avec ces larmes que tu me fais verser malgré Moi, mais je t’en veux pas, non, je ne pourrai jamais t’en vouloir parce que tu m’as apporté trop de choses.
J’aimerai pouvoir inventer des mots pour te dire ce que je ressens; car ceux qui existent ne sont pas à la hauteur. Ton sourire me donne une force énorme; si tu savais. Cette force de continuer à vivre loin de Toi. Tu m’as montré ce qu’était L’amour; cet amour qui avec Toi, devient un bonheur. Parce que mon énergie, mes joies & peines, je les puise dans cet amour. Demain c’est la St Valentin, la fête des amoureux, la fête de L’amour; mais alors c’est aussi la Nôtre. Tu penses que ce mot, je le sortirai à n’importe quel moment ? Non. Parce que je crois en L’amour & je sais que le Nôtre est indescriptible & Pour toujours, c’est sûrement pour ça que je ne sais plus quels mots utiliser. Merde; j’vais pas tarder à tacher ma copie double. Pourquoi ? Question idiote; faut croire que mes yeux se mettent à piquer. Sans doute des larmes de fatigue. Oui, sans doute. Ou le fait d’avoir encore à supporter le poids de ton absence, après presque deux ans.
Certaines personnes pensent que la distance lasse les gens & L’amour qui les unis. Ces gens sont cons; les gens sont cons, c’est pas nouveau de toute façon. Tu te souviens quand tu m’as appelé & Tu m’as dit « Bonne fête »; quand je t’ai répondu que ma fête était en novembre & alors tu m’as dit « Mais c’est la fête des meilleurs amis ». C’est fou comme cette phrase a pu me faire plaisir & comme elle continue. Je souris parmi mes larmes en y repensant.
Tu sais bien que tu es une des seules à toujours avoir été franche avec Moi, quand tu me dis de ne pas pleurer; que sinon je vais commencer à chialer pour un rien mais j’ai BESOIN de pleurer, c’Est-ce qui me prouve que je ne t’oublies pas, que tu restes là & que le vide s’agrandit de jour en jour mais que malgré ça, Tu ne m’oublies pas; & que moi non plus. Parce que tu sais, si un jour, j’arrêterai de T’aimer, alors je tomberai mais tu ne seras plus là pour me relever. Parce que tu sais que T’aimer est sûrement une des plus belles choses au monde, que j’ai besoin de T’aimer. Mais que je me rassure, ce jour n’arrivera jamais; je le sais car rien de ce que tu pourrais faire n’arrêtera l’amour que j’ai pour Toi. Tu dois penser que je suis bizarre; la plupart des personnes ont peur que l’autre cesse de l’aimer & Moi, j’ai peur de l’inverse.
Mais je m’en veux déjà d’avoir pensé & écrit ça; c’est juste que ces mots que je cherche pour t’expliquer, mon Cœur, tout ce que j’ai au fond de moi & les choses à te dire n’existent pas encore. Et non, je n’ai pas peur que tu ne m’aimes plus; du moins PLUS peur car je sais que Tu m’aimes, car tu me le prouves & que si un jour, il t’arriverait de ne plus m’aimer ou de m’aimer moins, tu me le dirai & ça j’en ai la certitude parce que tu ne cache jamais les choses à dire, que tu trouves toujours les mots & que s’il y a bien une chose que tu ne fais pas, c’est vivre dans le mensonge. Donc NON; je n’ai pas peur; OUI, c’est dur de vivre loin de Toi mais notre amitié a L’amour que tu m’offres est si beau que je pourrai qu’être heureuse. Et puis les promesses qui se font entre amitié sont si rarement tenues que ça finit par décourager; c’est pour ça qu’avec Toi, je vis au jour le jour, même en ayant des rêves & des projets plein la tête.
Encore une fois un texte qui sert à rien; pour te dire quoi au final ? Que tu me rend heureuse comme personne, mon Cœur. & que c’est pas pour rien que je t’apelle comme ça mais car toutes les épreuves & émotions que je traverse, tu les ressens aussi; comme si tu étais à l’intérieur de mon cœur, à l’intérieur de Moi, en Moi. En fait, Tu es Moi.
& Tu es mon Bonheur.
J’aimerai pouvoir inventer des mots pour te dire ce que je ressens; car ceux qui existent ne sont pas à la hauteur. Ton sourire me donne une force énorme; si tu savais. Cette force de continuer à vivre loin de Toi. Tu m’as montré ce qu’était L’amour; cet amour qui avec Toi, devient un bonheur. Parce que mon énergie, mes joies & peines, je les puise dans cet amour. Demain c’est la St Valentin, la fête des amoureux, la fête de L’amour; mais alors c’est aussi la Nôtre. Tu penses que ce mot, je le sortirai à n’importe quel moment ? Non. Parce que je crois en L’amour & je sais que le Nôtre est indescriptible & Pour toujours, c’est sûrement pour ça que je ne sais plus quels mots utiliser. Merde; j’vais pas tarder à tacher ma copie double. Pourquoi ? Question idiote; faut croire que mes yeux se mettent à piquer. Sans doute des larmes de fatigue. Oui, sans doute. Ou le fait d’avoir encore à supporter le poids de ton absence, après presque deux ans.
Certaines personnes pensent que la distance lasse les gens & L’amour qui les unis. Ces gens sont cons; les gens sont cons, c’est pas nouveau de toute façon. Tu te souviens quand tu m’as appelé & Tu m’as dit « Bonne fête »; quand je t’ai répondu que ma fête était en novembre & alors tu m’as dit « Mais c’est la fête des meilleurs amis ». C’est fou comme cette phrase a pu me faire plaisir & comme elle continue. Je souris parmi mes larmes en y repensant.
Tu sais bien que tu es une des seules à toujours avoir été franche avec Moi, quand tu me dis de ne pas pleurer; que sinon je vais commencer à chialer pour un rien mais j’ai BESOIN de pleurer, c’Est-ce qui me prouve que je ne t’oublies pas, que tu restes là & que le vide s’agrandit de jour en jour mais que malgré ça, Tu ne m’oublies pas; & que moi non plus. Parce que tu sais, si un jour, j’arrêterai de T’aimer, alors je tomberai mais tu ne seras plus là pour me relever. Parce que tu sais que T’aimer est sûrement une des plus belles choses au monde, que j’ai besoin de T’aimer. Mais que je me rassure, ce jour n’arrivera jamais; je le sais car rien de ce que tu pourrais faire n’arrêtera l’amour que j’ai pour Toi. Tu dois penser que je suis bizarre; la plupart des personnes ont peur que l’autre cesse de l’aimer & Moi, j’ai peur de l’inverse.
Mais je m’en veux déjà d’avoir pensé & écrit ça; c’est juste que ces mots que je cherche pour t’expliquer, mon Cœur, tout ce que j’ai au fond de moi & les choses à te dire n’existent pas encore. Et non, je n’ai pas peur que tu ne m’aimes plus; du moins PLUS peur car je sais que Tu m’aimes, car tu me le prouves & que si un jour, il t’arriverait de ne plus m’aimer ou de m’aimer moins, tu me le dirai & ça j’en ai la certitude parce que tu ne cache jamais les choses à dire, que tu trouves toujours les mots & que s’il y a bien une chose que tu ne fais pas, c’est vivre dans le mensonge. Donc NON; je n’ai pas peur; OUI, c’est dur de vivre loin de Toi mais notre amitié a L’amour que tu m’offres est si beau que je pourrai qu’être heureuse. Et puis les promesses qui se font entre amitié sont si rarement tenues que ça finit par décourager; c’est pour ça qu’avec Toi, je vis au jour le jour, même en ayant des rêves & des projets plein la tête.
Encore une fois un texte qui sert à rien; pour te dire quoi au final ? Que tu me rend heureuse comme personne, mon Cœur. & que c’est pas pour rien que je t’apelle comme ça mais car toutes les épreuves & émotions que je traverse, tu les ressens aussi; comme si tu étais à l’intérieur de mon cœur, à l’intérieur de Moi, en Moi. En fait, Tu es Moi.
& Tu es mon Bonheur.
Jeu 21 Fév 2008, 20:24 par
true72 sur Mille choses
Ecrire sur penses
Sade's girls, 1er mars 1947, Faire le deuil, Texte "d'amour" composé à 15 ans, Pourquoi ?, Parce que les yeux ne savent pas mentir, Futur..., Est ce que je prends trop soin de toi?, Bonne saint valentin à toi, La vie à deux, Pas de retour. chapitre 3 (complet), Et pourtant... réponse au sondage sur la peur d'aimer, Amour absolu, Sans peur de rien, Une des personnes les plus Importantes (L),Il y a 33 textes utilisant le mot penses. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
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