Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur pendant - Page 8 sur 10
Autour de l'Amour
A Anne, ma muse.
De tout ce que j’ai écrit sur les âmes tendres, ce texte sera peut être la conclusion d’un long cheminement à la fois sentimental et philosophique. Ce n’est ni une recette, ni un petit manuel à l’usage des gens qui aiment, même si je le range dans la rubrique du grimoire d’Amour.
Après des années d’errance, j’ai revécu la révélation amoureuse. Quelque chose de grand, de beau avec une personne que je désirais vraiment. Cette histoire, pour des raisons complètement inexplicables s’est terminée de la même façon qu’elle avait commencer : passionnément et d’un commun accord. Les chaudes larmes et les sanglots étouffés n’ont pas eu ce goût amer et triste qui les accompagne d’ordinaire et je fus surpris de constater que ma petite boule d’amour était toujours là, malgré la séparation avec cette personne. J’ai aimé, dans ce sens absolu que nous recherchons tous. Certains éprouvent leur foi en interrogeant Dieu, imaginez ce qui leur arrivent quand ils ont cette conviction intime et inaliénable de l’avoir rencontré …
Cette révélation me conduit à désirer vous entretenir de choses que j’estime importantes sur l’Amour. Je désire ardemment que mon expérience permettent à d’autres de trouver la félicité amoureuse, à tout le moins d’avoir des éléments de recherche. Non pas que je détienne la vérité, elle est propre à chacun, mais j’aime à croire que des observations que l’on sent comme justes et profondes doivent être offertes de bon cœur. Je souhaite vraiment que ces observations pourront être utilisées à bon escient pour qui cherche aussi sa Voie dans celle du cœur.
Je voudrais vous assurer de ma bonne foi et du plaisir sincère que je prend à vous donner simplement ce que j’ai de plus précieux. Acceptez ces lignes comme vous accepteriez le sourire de quelqu’un qui ne vous déplait pas. Je crois que pour puiser une inspiration, il faut être ouvert et souriant, et mettre de coté du moins pendant la lecture, ce naturel fermé qui nous conduit au désaccord et à l’obturation de l’esprit.
C’est ce matin lors d’une pause café, que me vint l’envie de tout vous dire en répondant à ma mesure par ces lignes : on nous apprend depuis le plus jeune age, des tas de choses utiles à la vie, mais on ne nous apprend pas à aimer. On ne nous explique pas comment comprendre ce que l’on ressent, ni ou chercher, ni pourquoi. Les sciences, l’économie, l’histoire, les lettres sont certes utiles à notre évolution dans la société, mais contribuent elles à notre épanouissement amoureux : non, enfin, pas directement appliquées. En cherchant à la source supposée de l’amour, peut on aussi considérer que notre modèle est celui de nos parents que l’on cherche à reproduire ? Oui, en partie. Je pense qu’il faut le savoir, l’accepter et le dépasser. Il en va de même pour les autres lieux communs amoureux classiques : l’homme cherche l’image de sa mère en sa compagne, et la femme cherche l’image de son père dans son compagnon, etc. Ca ne coûte rien d’accepter ces assertions, aussi sûrement que les refuser ne peut qu’apporter une lutte intérieure stérile, nuisant de façon certaine à l’épanouissement amoureux. Je le répète : il faut le savoir, l’accepter et le dépasser. Pourtant, cela ne suffit pas pour naviguer assurément dans les tourments des sens, je veux dire par là vivre l’amour et se voir le vivre jusque dans son paroxysme : le comprendre.
Ne pas chercher une personne, mais chercher l’Amour est une nuance fondamentale dont il faut être intimement imprégné. Par là, il faudra peut être multiplier les aventures, du moment qu’elles sont vécues avec sincérité et en pleine connaissance de cause de leur objet : est ce toi ? La quête commence alors, tel le vol erratique d’une guêpe qui cherche la source dégageant ces effluves qui l’attire. Mais alors, comment voler juste, comment voler droit ?
Ce n’est que bon sens que de lire des ouvrages nous permettant d’acquérir la connaissance sur un sujet précis qui nous intéresse et l’Amour n’échappe pas non plus à ce conseil. Ici, je distinguerai les ouvrages dans lesquels il faut se pencher, et ceux qu’il vaut mieux éviter, de la même façon qu’ une mauvaise fréquentation peut laisser de mauvaises habitudes, et que la rencontre d’une grande âme nous communique de la lumière. Parmi les livres que j’estime intéressant pour la réalisation de l’Amour il en est pour nourrir l’âme et la polir tel que Le tao te king de lao tseu ou Le Petit Prince de Saint Exupery. Ces livres révèlent des choses qui ont cet immense avantage d’être à la fois justes et jolies. Je considère pour ma part le Petit Prince comme la Bible du cœur, et le tao te king comme la Bible de la sagesse.
« Mon individualisme » de Soseki, m’a séduit pour son approche saine de l’épanouissement personnel, résumé en ces propos : « il faut s’essayer, n’avoir de cesse de vivre les situations. Lorsqu’on aura trouvé quelque chose qui nous convient, on s’arrêtera naturellement. » Vous voyez déjà en ces lignes comment un tel ouvrage peut contribuer à l’équilibre personnel dans la Voie de l’Amour.
Le choc amoureux de Francesco Alberoni, révèle des chose intéressantes, mais je ne suis pas certains que la systématisation apportée soit la bonne approche pour quelqu’un qui cherche à faire ses pas par soit même. Je ne l’ai d’ailleurs pas fini, m’étant arrêté au point de vue intéressant qu’un couple était une société qui se construit à deux.
Eloge de la fuite de Henri Laborit, possède l’immense faculté de bien remettre les choses à leur place. L’homme, cette machine chimique, voilà quelque chose qui fait froid, qui peut même emplir de profonde tristesse. Et pourtant. Lorsqu’on connaît la vérité nue on peut alors choisir de rêver, ce qui est nettement moins dommageable que de se bercer d’illusions par simple manque de connaissances.
Je finis ici la liste des livres dans lesquels chercher des bons repères pour son âme. Je ne les vois pas comme des manuels de bonne conduite, mais des outils de mesure. Il me semble que ce qui sera le plus important pour une relation de qualité, c’est une bonne connaissance de soi dépassant les simples faits de savoir ce qu’on aime ou qu’on aime pas. Comment réagissons nous, quelles sont nos faiblesses, nos peurs, nos envies, nos valeurs. Alors même sans avoir la prétention de pouvoir déceler tout ça avec précision, la seule démarche de se poser ces questions est déjà un gage de beauté.
« Connais toi toi même » l’un des préceptes des colonnes delphiques trouve aussi son pendant dans les courants de pensés asiatiques, il doit bien y avoir du vrai. Et je suis a peu prés sur , compte tenu sa teneur, que ce principe se retrouve dans d’autres philosophies. Par extension, savoir ce que l’on veut, savoir écouter son ressenti, bien se connaître et s’aimer sont des valeurs à éprouver pour forger son âme.
Ceci pour clore le chapitre des valeurs, je finirais par quelque chose de sacré à mes yeux : ne pas se complaire dans la tristesse, ne pas confondre le beau et le triste. Le sentiment éprouvé par la mélancolie, par la nostalgie est si rapidement et facilement ressenti que cette faiblesse en devient délicieuse, addicitive. Mais qu’apporte-t-elle ? Rien, si ce n’est qu’à ce moment notre ego se sent vivre, peut être parce que éprouver de la joie et du plaisir est moins évident. Les chansons tristes, les drames, les visites dans les histoires passées ne sont pas à éviter, mais ce sont des fleurs dont le parfum enivre et paralyse. Je sais des fleurs dont le parfum vous grise, elles sont simplement plus difficiles à voir.
La formidable histoire que j’ai citée plus haut, et qui je dois bien l’avouer possède tellement de force qu’elle me guide dans ces lignes pose une équation qui arrive bien souvent mais que l’on n’entrevoit pas forcément. Attirance ou sentiments ?
Il est aussi utile de les distinguer sémantiquement que de ne pas confondre émotionnellement. On commence nécessairement par se plaire, quelles que soient les raisons. Si la première raison de se plaire est physique et comportementale, la plus forte, la plus durable, est l’esprit. Sur la base de ce constat là, on comprend aisément le ressort d’Internet dans la concrétisation de relations amoureuses. Je dois dire que ce sont d’ailleurs les plus belles et les plus fortes relations que je n’ai jamais vécu. Mais alors, les sentiments, comment sait on qu’ils sont là ? Quand dépouillé de tout désir tu regardes l’autre et que cela apparaît comme une évidence. Le temps requis pour éprouver les sentiments au delà de l’attirance est dévolu à chacun. Certains aiment intensément et immédiatement, d’autres ont besoin de plus de temps. Là encore, se connaître soi même permet d’éviter bien des erreurs …
Enfin construire à deux, voilà la dernière idée que je veux partager avec vous. Le couple stagne s’il ne se nourrit que du plaisir d’être ensemble, les sensations s’émoussent, la relation est en péril. Que ce soit un enfant, une entreprise, l’aménagement d’un appartement, ou l’organisation de voyage, il me semble important que le fruit de l’alliance amoureuse soit présent. Ce n’est pas tant un objectif à se fixer, mais quelque chose à observer. Je veux dire par là que constater que les deux ont envie de faire des choses, que ces choses sont un plaisir commun et partageable et que ces choses se font concrètement, alors on doit être sur le bon chemin.
Voilà pour les fondations les plus importantes de l’Amour qui me viennent à l’esprit. Je ne pense pas qu’il me faille rajouter grand chose en plus de ces lignes dans un désir vain et prétentieux d’exhaustivité. Je souhaite que mes réflexions nourrissent les votres aussi sûrement que les personnes que j’ai aimé, les livres dans lesquels je me suis plongé, et les discussions que j’ai pu partager, dont certaines avec vous qui me lisez, ont pu nourrir les miennes.
PetitPrince.
De tout ce que j’ai écrit sur les âmes tendres, ce texte sera peut être la conclusion d’un long cheminement à la fois sentimental et philosophique. Ce n’est ni une recette, ni un petit manuel à l’usage des gens qui aiment, même si je le range dans la rubrique du grimoire d’Amour.
Après des années d’errance, j’ai revécu la révélation amoureuse. Quelque chose de grand, de beau avec une personne que je désirais vraiment. Cette histoire, pour des raisons complètement inexplicables s’est terminée de la même façon qu’elle avait commencer : passionnément et d’un commun accord. Les chaudes larmes et les sanglots étouffés n’ont pas eu ce goût amer et triste qui les accompagne d’ordinaire et je fus surpris de constater que ma petite boule d’amour était toujours là, malgré la séparation avec cette personne. J’ai aimé, dans ce sens absolu que nous recherchons tous. Certains éprouvent leur foi en interrogeant Dieu, imaginez ce qui leur arrivent quand ils ont cette conviction intime et inaliénable de l’avoir rencontré …
Cette révélation me conduit à désirer vous entretenir de choses que j’estime importantes sur l’Amour. Je désire ardemment que mon expérience permettent à d’autres de trouver la félicité amoureuse, à tout le moins d’avoir des éléments de recherche. Non pas que je détienne la vérité, elle est propre à chacun, mais j’aime à croire que des observations que l’on sent comme justes et profondes doivent être offertes de bon cœur. Je souhaite vraiment que ces observations pourront être utilisées à bon escient pour qui cherche aussi sa Voie dans celle du cœur.
Je voudrais vous assurer de ma bonne foi et du plaisir sincère que je prend à vous donner simplement ce que j’ai de plus précieux. Acceptez ces lignes comme vous accepteriez le sourire de quelqu’un qui ne vous déplait pas. Je crois que pour puiser une inspiration, il faut être ouvert et souriant, et mettre de coté du moins pendant la lecture, ce naturel fermé qui nous conduit au désaccord et à l’obturation de l’esprit.
C’est ce matin lors d’une pause café, que me vint l’envie de tout vous dire en répondant à ma mesure par ces lignes : on nous apprend depuis le plus jeune age, des tas de choses utiles à la vie, mais on ne nous apprend pas à aimer. On ne nous explique pas comment comprendre ce que l’on ressent, ni ou chercher, ni pourquoi. Les sciences, l’économie, l’histoire, les lettres sont certes utiles à notre évolution dans la société, mais contribuent elles à notre épanouissement amoureux : non, enfin, pas directement appliquées. En cherchant à la source supposée de l’amour, peut on aussi considérer que notre modèle est celui de nos parents que l’on cherche à reproduire ? Oui, en partie. Je pense qu’il faut le savoir, l’accepter et le dépasser. Il en va de même pour les autres lieux communs amoureux classiques : l’homme cherche l’image de sa mère en sa compagne, et la femme cherche l’image de son père dans son compagnon, etc. Ca ne coûte rien d’accepter ces assertions, aussi sûrement que les refuser ne peut qu’apporter une lutte intérieure stérile, nuisant de façon certaine à l’épanouissement amoureux. Je le répète : il faut le savoir, l’accepter et le dépasser. Pourtant, cela ne suffit pas pour naviguer assurément dans les tourments des sens, je veux dire par là vivre l’amour et se voir le vivre jusque dans son paroxysme : le comprendre.
Ne pas chercher une personne, mais chercher l’Amour est une nuance fondamentale dont il faut être intimement imprégné. Par là, il faudra peut être multiplier les aventures, du moment qu’elles sont vécues avec sincérité et en pleine connaissance de cause de leur objet : est ce toi ? La quête commence alors, tel le vol erratique d’une guêpe qui cherche la source dégageant ces effluves qui l’attire. Mais alors, comment voler juste, comment voler droit ?
Ce n’est que bon sens que de lire des ouvrages nous permettant d’acquérir la connaissance sur un sujet précis qui nous intéresse et l’Amour n’échappe pas non plus à ce conseil. Ici, je distinguerai les ouvrages dans lesquels il faut se pencher, et ceux qu’il vaut mieux éviter, de la même façon qu’ une mauvaise fréquentation peut laisser de mauvaises habitudes, et que la rencontre d’une grande âme nous communique de la lumière. Parmi les livres que j’estime intéressant pour la réalisation de l’Amour il en est pour nourrir l’âme et la polir tel que Le tao te king de lao tseu ou Le Petit Prince de Saint Exupery. Ces livres révèlent des choses qui ont cet immense avantage d’être à la fois justes et jolies. Je considère pour ma part le Petit Prince comme la Bible du cœur, et le tao te king comme la Bible de la sagesse.
« Mon individualisme » de Soseki, m’a séduit pour son approche saine de l’épanouissement personnel, résumé en ces propos : « il faut s’essayer, n’avoir de cesse de vivre les situations. Lorsqu’on aura trouvé quelque chose qui nous convient, on s’arrêtera naturellement. » Vous voyez déjà en ces lignes comment un tel ouvrage peut contribuer à l’équilibre personnel dans la Voie de l’Amour.
Le choc amoureux de Francesco Alberoni, révèle des chose intéressantes, mais je ne suis pas certains que la systématisation apportée soit la bonne approche pour quelqu’un qui cherche à faire ses pas par soit même. Je ne l’ai d’ailleurs pas fini, m’étant arrêté au point de vue intéressant qu’un couple était une société qui se construit à deux.
Eloge de la fuite de Henri Laborit, possède l’immense faculté de bien remettre les choses à leur place. L’homme, cette machine chimique, voilà quelque chose qui fait froid, qui peut même emplir de profonde tristesse. Et pourtant. Lorsqu’on connaît la vérité nue on peut alors choisir de rêver, ce qui est nettement moins dommageable que de se bercer d’illusions par simple manque de connaissances.
Je finis ici la liste des livres dans lesquels chercher des bons repères pour son âme. Je ne les vois pas comme des manuels de bonne conduite, mais des outils de mesure. Il me semble que ce qui sera le plus important pour une relation de qualité, c’est une bonne connaissance de soi dépassant les simples faits de savoir ce qu’on aime ou qu’on aime pas. Comment réagissons nous, quelles sont nos faiblesses, nos peurs, nos envies, nos valeurs. Alors même sans avoir la prétention de pouvoir déceler tout ça avec précision, la seule démarche de se poser ces questions est déjà un gage de beauté.
« Connais toi toi même » l’un des préceptes des colonnes delphiques trouve aussi son pendant dans les courants de pensés asiatiques, il doit bien y avoir du vrai. Et je suis a peu prés sur , compte tenu sa teneur, que ce principe se retrouve dans d’autres philosophies. Par extension, savoir ce que l’on veut, savoir écouter son ressenti, bien se connaître et s’aimer sont des valeurs à éprouver pour forger son âme.
Ceci pour clore le chapitre des valeurs, je finirais par quelque chose de sacré à mes yeux : ne pas se complaire dans la tristesse, ne pas confondre le beau et le triste. Le sentiment éprouvé par la mélancolie, par la nostalgie est si rapidement et facilement ressenti que cette faiblesse en devient délicieuse, addicitive. Mais qu’apporte-t-elle ? Rien, si ce n’est qu’à ce moment notre ego se sent vivre, peut être parce que éprouver de la joie et du plaisir est moins évident. Les chansons tristes, les drames, les visites dans les histoires passées ne sont pas à éviter, mais ce sont des fleurs dont le parfum enivre et paralyse. Je sais des fleurs dont le parfum vous grise, elles sont simplement plus difficiles à voir.
La formidable histoire que j’ai citée plus haut, et qui je dois bien l’avouer possède tellement de force qu’elle me guide dans ces lignes pose une équation qui arrive bien souvent mais que l’on n’entrevoit pas forcément. Attirance ou sentiments ?
Il est aussi utile de les distinguer sémantiquement que de ne pas confondre émotionnellement. On commence nécessairement par se plaire, quelles que soient les raisons. Si la première raison de se plaire est physique et comportementale, la plus forte, la plus durable, est l’esprit. Sur la base de ce constat là, on comprend aisément le ressort d’Internet dans la concrétisation de relations amoureuses. Je dois dire que ce sont d’ailleurs les plus belles et les plus fortes relations que je n’ai jamais vécu. Mais alors, les sentiments, comment sait on qu’ils sont là ? Quand dépouillé de tout désir tu regardes l’autre et que cela apparaît comme une évidence. Le temps requis pour éprouver les sentiments au delà de l’attirance est dévolu à chacun. Certains aiment intensément et immédiatement, d’autres ont besoin de plus de temps. Là encore, se connaître soi même permet d’éviter bien des erreurs …
Enfin construire à deux, voilà la dernière idée que je veux partager avec vous. Le couple stagne s’il ne se nourrit que du plaisir d’être ensemble, les sensations s’émoussent, la relation est en péril. Que ce soit un enfant, une entreprise, l’aménagement d’un appartement, ou l’organisation de voyage, il me semble important que le fruit de l’alliance amoureuse soit présent. Ce n’est pas tant un objectif à se fixer, mais quelque chose à observer. Je veux dire par là que constater que les deux ont envie de faire des choses, que ces choses sont un plaisir commun et partageable et que ces choses se font concrètement, alors on doit être sur le bon chemin.
Voilà pour les fondations les plus importantes de l’Amour qui me viennent à l’esprit. Je ne pense pas qu’il me faille rajouter grand chose en plus de ces lignes dans un désir vain et prétentieux d’exhaustivité. Je souhaite que mes réflexions nourrissent les votres aussi sûrement que les personnes que j’ai aimé, les livres dans lesquels je me suis plongé, et les discussions que j’ai pu partager, dont certaines avec vous qui me lisez, ont pu nourrir les miennes.
PetitPrince.
Jeu 05 Jan 2006, 14:23 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
Et ce sera la première fois...
Quelque part il y a quelqu’un qui m’aimera.
Si ce n’est pas le jour ni le lieu, ça viendra :
Ici ou là, un jour, je veux croire à cela.
Pendant longtemps j’ai cru que je n’aimerais plus,
Que tout amour sur terre était vraiment exclu.
Je peux encore aimer, je peux encore souffrir,
Je peux encore une fois éprouver du désir.
Je ne sais ni son nom ni rien de ce qu’il fait,
Mais je sais qu’un beau jour je le rencontrerai,
Dans un hall de gare, ou bien dans un café,
Peut-être bien encore au détour d’un musée.
Mais qu’importe le jour, qu’importe la souffrance,
Allumant chaque jour le feu de l’espérance,
Et si cela est vain, qu’importe après tout,
Seule sur le chemin, j’aimerai jusqu’au bout...
Si ce n’est pas le jour ni le lieu, ça viendra :
Ici ou là, un jour, je veux croire à cela.
Pendant longtemps j’ai cru que je n’aimerais plus,
Que tout amour sur terre était vraiment exclu.
Je peux encore aimer, je peux encore souffrir,
Je peux encore une fois éprouver du désir.
Je ne sais ni son nom ni rien de ce qu’il fait,
Mais je sais qu’un beau jour je le rencontrerai,
Dans un hall de gare, ou bien dans un café,
Peut-être bien encore au détour d’un musée.
Mais qu’importe le jour, qu’importe la souffrance,
Allumant chaque jour le feu de l’espérance,
Et si cela est vain, qu’importe après tout,
Seule sur le chemin, j’aimerai jusqu’au bout...
Sam 10 Déc 2005, 20:03 par
dolce vita sur La première fois
En amour
Lors d’une histoire d’amour, on ne dort pas.
Ni avant, ni pendant, ni aprés.
Ni avant, ni pendant, ni aprés.
Lun 05 Déc 2005, 23:28 par
PetitPrince sur Edito
Mon aventure
Comme je vous l’ai dit, les matins qui suivirent furent beaucoup moins difficiles à supporter que les précédents, et tout particulièrement celui de ce mercredi, où je décidais donc de mettre en pratique tout ce que j’avais imaginé la veille. Une fois les tâches du matin accomplies (avec un entrain qui m’était inhabituel !), je pris donc le chemin de la gare. En réalité, je me questionnais encore, cherchant à savoir si je trouverais assez de courage pour livrer bataille à la morosité des habitants du train. Et c’est un fait qu’il me fallut attendre deux stations avant de pouvoir me lever et leur dire :
« Je vous souhaite le bonjour gentes gens ». La plupart des personnes qui n’avaient pas de walkman levèrent la tête, mais à voir leur visage où se mêlaient la curiosité, la peur et déjà quelques traces de pitié, je me sentis obligé de les rassurer rapidement :
« Ne craignez rien, mon père n’est pas parti, ma mère n’est pas malade, et je n’ai pas huit frères et six sœurs ! Non madame, laissez ce porte-monnaie dans votre sac. Je vous promets de ne pas vous demander d’argent, ce qui ne veut pas dire que je ne vous demanderai rien... Mais tout d’abord, laissez-moi me présenter : je m’appelle Renaud ; mais faites comme tout le monde, appelez-moi "No". J’ai dix-huit ans, je suis en bonne santé, merci, et tous les matins je vous croise sur le chemin de l’université. Je suis sûr que vous ne l’aviez jamais remarqué, mais ça fait déjà trois ans que je voyage chaque matin à vos côtés ! A partir de là on pourrait presque dire qu’on est de vieilles connaissances, non ? ».
Ceux qui n’avaient pas encore relevé la tête l’avaient fait à présent, ainsi que certaines personnes qui venaient d’éteindre leur walkman. Désormais, tout le wagon me regardait d’un oeil interrogateur, ne sachant pas s’il devait se débarrasser de son sentiment craintif envers mon humble personne. De toutes façons, dans la situation qui était mienne, je n’aurais pu leur faire bien mal. En effet, si j’avais relâché mon attention ne serait ce qu’une petite seconde, je ne pense pas que ma petite nature, d’habitude si timide (si ! si !), aurait pu encaisser le fait de voir tous ces visages tournés vers moi. Je serais vite aller me planquer sous un siège, ou j’aurais bien trouvé une fenêtre ouverte afin de m’éjecter. Au lieu de tout cela, emporté par mon élan et mon culot spontanés, je continuais mon improvisation (car j’avais bien sûr tout oublié de mes plans de la veille !) :
« Figurez-vous que pendant ces trois ans, je n’ai pas cessé de vous observer, et croyez-moi, si vous étiez à ma place, vous seriez arrivés à la même conclusion que moi ! Faut les sortir de là !! que j’me suis dit hier matin. Je m’explique. Ah, attendez, il y a de nouvelles personnes qui montent. Bonjour ! Entrez, je vous en prie, je n’ai encore détroussé personne ! Non, non je rigole, je ne vous emprunterai que quelques instants et quelques paroles (on peut toujours rêver) ».
Les quelques sourires (cinq ou six, mais c’est toujours un bon début !) que je vis en écho à mes plaisanteries eurent un effet double : tout d’abord, ils rassurèrent les passagers qui n’osaient toujours pas rentrer dans le wagon, et d’autre part… Ben, je dois avouer, ça m’a fait vachement plaisir quand même !
J’enchaînais donc :
- « J’étais justement en train d’expliquer à tous ces gens pourquoi je suis debout, à parler comme un détraqué, au lieu d’être assis et d’attendre patiemment que je sois arrivé. Où j’en étais d’ailleurs ? ... Ah, ouais ! Je disais que ça faisait trois ans que je vous observais et que ce que je vois tous les jours, c’est une somme d’individualités, au sein de laquelle aucune communication n’existe. C’est vrai quoi, à vous regarder, on vous croirait tous sous hypnose ! Au fait, je dis vous, mais avant ce matin j’étais encore sous le même effet hypnotique ! Enfin, en gros, voilà les raisons qui m’ont poussé à vous parler ce matin. En fait, ... Oups, bonjour messieurs dames, entrez donc vous asseoir au chaud avec nous, on était justement en train de parler de vous ! Non, je vous fais marcher, excusez-moi. Mais c’est vrai qu’on discute un peu et si vous écoutez ce que je raconte, vous verrez que je ne mentais pas totalement quand je disais que vous faisiez partie de la conversation ; on en fait tous un peu partie en réalité. En fait donc, mon but est que le matin lorsque vous prendrez le train, vous ne ressentiez plus cette étrange impression que tout le monde autour de vous représente un ennemi potentiel. Ce que je veux dire, c’est qu’on sent souvent dans les transports en commun une certaine gêne. On se retrouve entouré d’inconnus et le malaise s’installe immédiatement. Alors, en réfléchissant, vous comprendrez que pour éliminer cette gêne, il suffit que toutes ces mêmes personnes cessent d’être des inconnus. On est d’accord jusque là ? »
(aucune réponse, faut pas pousser non plus)
« Et pour ça, il suffit d’un petit bonjour, d’une poignée de main pour commencer, et puis au fur et mesure, les discussions commenceront peut-être, non ? Enfin vous me direz, je rêve sûrement un peu trop, mais si la situation n’était si désespérée, croyez bien que je ne vous aurais pas interpellé ce matin ».
Mon petit monologue avait réduit au silence quatre-vingt-dix-neuf pourcents des passagers. Sachant que j’étais le petit pourcent qui restait, autant dire que tout le monde se taisait. J’étais même persuadé que la plupart des gens m’écoutaient avec attention. Bien entendu, j’avais remarqué que quelques personnes avaient quitté le train avant leur arrêt habituel, mais la plupart des passagers était encore là, et m’écoutait patiemment, me faisant redoubler d’ardeur :
« Et comme je suis tout de même un minimum réaliste, j’avais prévu que les discussions ne seraient pas très très vives aujourd’hui. Ce qui m’oblige donc à parler tout seul. Mais ne vous inquiétez pas, je suis persuadé que dès demain matin, vous aurez plein de sujets de conversation à offrir à tous vos voisins ! Ah ouais, j’avais oublié de vous prévenir, dorénavant, si vous choisissez ce wagon, préparez vos répliques, parce qu’ici, on va discuter un brin. Enfin moi, je vous oblige pas hein ?! Si vous voulez continuer de garder le masque de cire que je viens de vous décrire, libre à vous ! ».
C’est alors qu’un vieux monsieur se leva, l’air furibond, se dirigeant vers l’autre wagon en marmonnant une phrase dont l’intonation me laissait supposer qu’il n’était pas forcément en accord avec ma manière d’agir. De cette phrase, je ne retins que la dernière partie :
- ... cet espèce de clown ! ».
« Exactement monsieur, vous n’avez qu’à me considérer comme un clown qui se donne pour mission de rendre vos voyages matinaux plus agréables. Ainsi que les miens, je vous assure ! ».
Et ben, c’est triste à dire, mais il n’était pas convaincu !
« Je vous souhaite le bonjour gentes gens ». La plupart des personnes qui n’avaient pas de walkman levèrent la tête, mais à voir leur visage où se mêlaient la curiosité, la peur et déjà quelques traces de pitié, je me sentis obligé de les rassurer rapidement :
« Ne craignez rien, mon père n’est pas parti, ma mère n’est pas malade, et je n’ai pas huit frères et six sœurs ! Non madame, laissez ce porte-monnaie dans votre sac. Je vous promets de ne pas vous demander d’argent, ce qui ne veut pas dire que je ne vous demanderai rien... Mais tout d’abord, laissez-moi me présenter : je m’appelle Renaud ; mais faites comme tout le monde, appelez-moi "No". J’ai dix-huit ans, je suis en bonne santé, merci, et tous les matins je vous croise sur le chemin de l’université. Je suis sûr que vous ne l’aviez jamais remarqué, mais ça fait déjà trois ans que je voyage chaque matin à vos côtés ! A partir de là on pourrait presque dire qu’on est de vieilles connaissances, non ? ».
Ceux qui n’avaient pas encore relevé la tête l’avaient fait à présent, ainsi que certaines personnes qui venaient d’éteindre leur walkman. Désormais, tout le wagon me regardait d’un oeil interrogateur, ne sachant pas s’il devait se débarrasser de son sentiment craintif envers mon humble personne. De toutes façons, dans la situation qui était mienne, je n’aurais pu leur faire bien mal. En effet, si j’avais relâché mon attention ne serait ce qu’une petite seconde, je ne pense pas que ma petite nature, d’habitude si timide (si ! si !), aurait pu encaisser le fait de voir tous ces visages tournés vers moi. Je serais vite aller me planquer sous un siège, ou j’aurais bien trouvé une fenêtre ouverte afin de m’éjecter. Au lieu de tout cela, emporté par mon élan et mon culot spontanés, je continuais mon improvisation (car j’avais bien sûr tout oublié de mes plans de la veille !) :
« Figurez-vous que pendant ces trois ans, je n’ai pas cessé de vous observer, et croyez-moi, si vous étiez à ma place, vous seriez arrivés à la même conclusion que moi ! Faut les sortir de là !! que j’me suis dit hier matin. Je m’explique. Ah, attendez, il y a de nouvelles personnes qui montent. Bonjour ! Entrez, je vous en prie, je n’ai encore détroussé personne ! Non, non je rigole, je ne vous emprunterai que quelques instants et quelques paroles (on peut toujours rêver) ».
Les quelques sourires (cinq ou six, mais c’est toujours un bon début !) que je vis en écho à mes plaisanteries eurent un effet double : tout d’abord, ils rassurèrent les passagers qui n’osaient toujours pas rentrer dans le wagon, et d’autre part… Ben, je dois avouer, ça m’a fait vachement plaisir quand même !
J’enchaînais donc :
- « J’étais justement en train d’expliquer à tous ces gens pourquoi je suis debout, à parler comme un détraqué, au lieu d’être assis et d’attendre patiemment que je sois arrivé. Où j’en étais d’ailleurs ? ... Ah, ouais ! Je disais que ça faisait trois ans que je vous observais et que ce que je vois tous les jours, c’est une somme d’individualités, au sein de laquelle aucune communication n’existe. C’est vrai quoi, à vous regarder, on vous croirait tous sous hypnose ! Au fait, je dis vous, mais avant ce matin j’étais encore sous le même effet hypnotique ! Enfin, en gros, voilà les raisons qui m’ont poussé à vous parler ce matin. En fait, ... Oups, bonjour messieurs dames, entrez donc vous asseoir au chaud avec nous, on était justement en train de parler de vous ! Non, je vous fais marcher, excusez-moi. Mais c’est vrai qu’on discute un peu et si vous écoutez ce que je raconte, vous verrez que je ne mentais pas totalement quand je disais que vous faisiez partie de la conversation ; on en fait tous un peu partie en réalité. En fait donc, mon but est que le matin lorsque vous prendrez le train, vous ne ressentiez plus cette étrange impression que tout le monde autour de vous représente un ennemi potentiel. Ce que je veux dire, c’est qu’on sent souvent dans les transports en commun une certaine gêne. On se retrouve entouré d’inconnus et le malaise s’installe immédiatement. Alors, en réfléchissant, vous comprendrez que pour éliminer cette gêne, il suffit que toutes ces mêmes personnes cessent d’être des inconnus. On est d’accord jusque là ? »
(aucune réponse, faut pas pousser non plus)
« Et pour ça, il suffit d’un petit bonjour, d’une poignée de main pour commencer, et puis au fur et mesure, les discussions commenceront peut-être, non ? Enfin vous me direz, je rêve sûrement un peu trop, mais si la situation n’était si désespérée, croyez bien que je ne vous aurais pas interpellé ce matin ».
Mon petit monologue avait réduit au silence quatre-vingt-dix-neuf pourcents des passagers. Sachant que j’étais le petit pourcent qui restait, autant dire que tout le monde se taisait. J’étais même persuadé que la plupart des gens m’écoutaient avec attention. Bien entendu, j’avais remarqué que quelques personnes avaient quitté le train avant leur arrêt habituel, mais la plupart des passagers était encore là, et m’écoutait patiemment, me faisant redoubler d’ardeur :
« Et comme je suis tout de même un minimum réaliste, j’avais prévu que les discussions ne seraient pas très très vives aujourd’hui. Ce qui m’oblige donc à parler tout seul. Mais ne vous inquiétez pas, je suis persuadé que dès demain matin, vous aurez plein de sujets de conversation à offrir à tous vos voisins ! Ah ouais, j’avais oublié de vous prévenir, dorénavant, si vous choisissez ce wagon, préparez vos répliques, parce qu’ici, on va discuter un brin. Enfin moi, je vous oblige pas hein ?! Si vous voulez continuer de garder le masque de cire que je viens de vous décrire, libre à vous ! ».
C’est alors qu’un vieux monsieur se leva, l’air furibond, se dirigeant vers l’autre wagon en marmonnant une phrase dont l’intonation me laissait supposer qu’il n’était pas forcément en accord avec ma manière d’agir. De cette phrase, je ne retins que la dernière partie :
- ... cet espèce de clown ! ».
« Exactement monsieur, vous n’avez qu’à me considérer comme un clown qui se donne pour mission de rendre vos voyages matinaux plus agréables. Ainsi que les miens, je vous assure ! ».
Et ben, c’est triste à dire, mais il n’était pas convaincu !
Ven 02 Déc 2005, 15:34 par
l'homme de sable sur Un monde parfait
sur l'autoroute, ce dimanche là ..
18 heures et quelques … l’autoroute du Sud vers le Sud ..
Moi je tiens le volant dans mes mains et les rétros dans mes yeux,
j’écoute « debout sur le zinc » ce CD que je t’ai recopié pour que tu écoutes ses consonances à la fois d’Europe de l’Est et Irlandaises entourée de mots …
Quelques violons et clarinettes plus tard, j’abandonne la station essence, le ventre de ma voiture plein et le mien bientôt par des barres chocolatées...
Quelques moments plus tôt...c’était nous sur ce lit défait...
Oui, c’était nous pendant trois jours, ce soupçon de vie ensemble...
Oui, c’est ça s’aimer ..
Oui, je me suis livrée à toi au bout d’un "tu me manques déjà..." et tu as osé ces mots que tu ne voulais pas avant moi... Mais que tu savais .. oui, tu savais …
Et tu veux, et je veux comprendre, nous apprendre... aller toujours l’une vers l’autre... Vraiment...
Devant mon volant, je dépasse les camions et je repense à nous deux .. Mes émotions pour eux, pour toi... ta tête au creux de mon épaule, tes regards, tes baisers, tes émotions à toi aussi .. nos sentiments..
Et tu prends et je t’offres mon amour ..
Je veux voir ta fleur s’épanouir, s’ouvrir, m’enivrer, m’amourer en douceur tendre et nous apprendre, réapprendre ce que c’est qu’aimer et être aimée...
19h et des peufs, me voilà à la barrière de péage, ton croissant et Vénus m’ont accompagnée tout au long de ma route … C’est toute la nuit, c’est toutes les nuits qu’ils m’accompagneront .. mon antilope …
Moi je tiens le volant dans mes mains et les rétros dans mes yeux,
j’écoute « debout sur le zinc » ce CD que je t’ai recopié pour que tu écoutes ses consonances à la fois d’Europe de l’Est et Irlandaises entourée de mots …
Quelques violons et clarinettes plus tard, j’abandonne la station essence, le ventre de ma voiture plein et le mien bientôt par des barres chocolatées...
Quelques moments plus tôt...c’était nous sur ce lit défait...
Oui, c’était nous pendant trois jours, ce soupçon de vie ensemble...
Oui, c’est ça s’aimer ..
Oui, je me suis livrée à toi au bout d’un "tu me manques déjà..." et tu as osé ces mots que tu ne voulais pas avant moi... Mais que tu savais .. oui, tu savais …
Et tu veux, et je veux comprendre, nous apprendre... aller toujours l’une vers l’autre... Vraiment...
Devant mon volant, je dépasse les camions et je repense à nous deux .. Mes émotions pour eux, pour toi... ta tête au creux de mon épaule, tes regards, tes baisers, tes émotions à toi aussi .. nos sentiments..
Et tu prends et je t’offres mon amour ..
Je veux voir ta fleur s’épanouir, s’ouvrir, m’enivrer, m’amourer en douceur tendre et nous apprendre, réapprendre ce que c’est qu’aimer et être aimée...
19h et des peufs, me voilà à la barrière de péage, ton croissant et Vénus m’ont accompagnée tout au long de ma route … C’est toute la nuit, c’est toutes les nuits qu’ils m’accompagneront .. mon antilope …
Mer 09 Nov 2005, 16:24 par
treets sur La vie à deux
dans le TGV, ce dimanche là....
Place 63 dans le TGV Marseille Nantes...17h56...
moi, j’entame le chapitre 42 de "la joueuse de go" de Shan Sa,
j’écoute le concerto n° 23 de Mozart...
quelques mesures plus tard, j’abandonne le héros aux mains d’une jeune chinoise, Orchidée...
quelques moments plus tôt...c’était nous sur un lit défait...
c’était nous pendant trois jours: nos échanges, nos partages sur tout, sur rien, sur tout ce qui fait la vie...sur nous,
c’était simple...un soupçon de vie ensemble...
je n’avais pas à te chercher, et toi, tu savais où me trouver...c’est ça s’aimer?
oui, c’est ça aussi...c’est ça surtout,
c’est toi qui plongeant au fond de mon regard, te livres au bout d’un "tu me manques déjà..." ce sont ces mots qui restaient en toi...tu apprends à les dire, parce que...
c’est moi qui ose dans un souffle, au bord du bégaiement, "oui, avec toi je n’ai pas envie de me sauver, je n’ai pas envie de te quitter, je veux rester..." ce sont ces mots que je ne savais pas avant toi...des mots que je ne voulais pas avant toi...
c’est pour un moment oublier ce qui n’est pas "nous deux", savoir que le temps passe et faire avec de toute façon...
c’est en peu de temps, faire le plein de notre amour, combler ce manque qui s’installe et ne nous lâche plus...
c’est comprendre, c’est apprendre...c’est ne pas relâcher ces efforts que nous faisons pour aller l’une vers l’autre...vraiment...
Place 63 dans le TGV Marseille Nantes...
il y a longtemps qu’Orchidée a conquis le corps du héros...
le deuxième mouvement du concerto 23, via les écouteurs de mon discman, ne me laisse aucun répit...
il me ramène à toi et c’est doux et je le veux ce mouvement lent, cet adagio que je connais si bien...
c’est toi submergée par tes émotions, tes sentiments...pour eux, pour moi...
c’est moi planquée au creux de ton épaule...pour ne pas voir, pour ne pas être vue...
c’est prendre ce que tu m’offres, ton amour, sans peur d’en être dépossédée...
ton amour, je le veux, je le prends...vraiment...voilà ce que je veux pour moi...
tu me l’as demandé, maintenant tu le sais...
je veux trouver un équilibre, poser mon amour, le laisser s’ouvrir, ne pas mettre de freins à mes élans...d’amour, de tendresse, de douceur...j’ai besoin de ton amour, de ta tendresse, de ta douceur, de toi pour m’apprendre ce que c’est qu’aimer et être aimée...
20h15…le TGV arrive en gare…il fait nuit mon amour
et rien qu’un morceau de lune là-haut…claire, la lune…
posé dans ce coin du ciel, juste au dessus de mon nez…un croissant souriant…
il fait nuit…voilà, j’ai toute la nuit devant moi pour t’écrire, ma brune…
moi, j’entame le chapitre 42 de "la joueuse de go" de Shan Sa,
j’écoute le concerto n° 23 de Mozart...
quelques mesures plus tard, j’abandonne le héros aux mains d’une jeune chinoise, Orchidée...
quelques moments plus tôt...c’était nous sur un lit défait...
c’était nous pendant trois jours: nos échanges, nos partages sur tout, sur rien, sur tout ce qui fait la vie...sur nous,
c’était simple...un soupçon de vie ensemble...
je n’avais pas à te chercher, et toi, tu savais où me trouver...c’est ça s’aimer?
oui, c’est ça aussi...c’est ça surtout,
c’est toi qui plongeant au fond de mon regard, te livres au bout d’un "tu me manques déjà..." ce sont ces mots qui restaient en toi...tu apprends à les dire, parce que...
c’est moi qui ose dans un souffle, au bord du bégaiement, "oui, avec toi je n’ai pas envie de me sauver, je n’ai pas envie de te quitter, je veux rester..." ce sont ces mots que je ne savais pas avant toi...des mots que je ne voulais pas avant toi...
c’est pour un moment oublier ce qui n’est pas "nous deux", savoir que le temps passe et faire avec de toute façon...
c’est en peu de temps, faire le plein de notre amour, combler ce manque qui s’installe et ne nous lâche plus...
c’est comprendre, c’est apprendre...c’est ne pas relâcher ces efforts que nous faisons pour aller l’une vers l’autre...vraiment...
Place 63 dans le TGV Marseille Nantes...
il y a longtemps qu’Orchidée a conquis le corps du héros...
le deuxième mouvement du concerto 23, via les écouteurs de mon discman, ne me laisse aucun répit...
il me ramène à toi et c’est doux et je le veux ce mouvement lent, cet adagio que je connais si bien...
c’est toi submergée par tes émotions, tes sentiments...pour eux, pour moi...
c’est moi planquée au creux de ton épaule...pour ne pas voir, pour ne pas être vue...
c’est prendre ce que tu m’offres, ton amour, sans peur d’en être dépossédée...
ton amour, je le veux, je le prends...vraiment...voilà ce que je veux pour moi...
tu me l’as demandé, maintenant tu le sais...
je veux trouver un équilibre, poser mon amour, le laisser s’ouvrir, ne pas mettre de freins à mes élans...d’amour, de tendresse, de douceur...j’ai besoin de ton amour, de ta tendresse, de ta douceur, de toi pour m’apprendre ce que c’est qu’aimer et être aimée...
20h15…le TGV arrive en gare…il fait nuit mon amour
et rien qu’un morceau de lune là-haut…claire, la lune…
posé dans ce coin du ciel, juste au dessus de mon nez…un croissant souriant…
il fait nuit…voilà, j’ai toute la nuit devant moi pour t’écrire, ma brune…
Mer 09 Nov 2005, 15:51 par
danslalune sur La vie à deux
Mon unique!
Toi mon unique, où es tu ?
C’est dans ces moments de solitude que je ne pense qu’à toi… Qui es tu ? Comment te reconnaître ? Grande ou petite, blonde, brune ou rousse (j’avoue avoir un faible pour les rousses), yeux… Je n’en sais rien ... Elle est là quelque part et me tombera dessus sans que n’aie le temps de le réaliser. L’aspect physique sera sûrement agréable, mais nous savons toi, mon unique, la femme de mes jours et de mes nuits, et moi, ton serviteur, que nous irons au-delà des nuages.
Nous partagerons tout et plus…
Amis, amants, amoureux, tout à la fois
Intimes, complices, peut être trop
Un signe, un regard, nous nous comprendrons
Orgueilleux et fier l’un de l’autre
Passion brûlante qui nous dévore
Existence et respect de l’individu
Confiance évidente
Un équilibre, tantôt eau, tantôt feu
Donner et recevoir juste pour le plaisir
Force du sexe ou le plaisir de l’amour
Une fusion inégalée suivant tes courbes
Envie permanente de nos caresses
Abandon dans nos moments de tendresse
Espérance dans de nos retrouvailles
Désolation de nos séparations
Intense en tout moments
Enfants, adultes
Serrons nous fort
Gardes ma main au creux de la tienne
Pendant que je te déclare une fois encore mon amour
Pour que tous les jours soient une éternité
En fait tu es quelqu’un que je ne connais pas, qui ne seras peut être rien de tout ça mais ce sera toi! Celle que j’aime...
C’est dans ces moments de solitude que je ne pense qu’à toi… Qui es tu ? Comment te reconnaître ? Grande ou petite, blonde, brune ou rousse (j’avoue avoir un faible pour les rousses), yeux… Je n’en sais rien ... Elle est là quelque part et me tombera dessus sans que n’aie le temps de le réaliser. L’aspect physique sera sûrement agréable, mais nous savons toi, mon unique, la femme de mes jours et de mes nuits, et moi, ton serviteur, que nous irons au-delà des nuages.
Nous partagerons tout et plus…
Amis, amants, amoureux, tout à la fois
Intimes, complices, peut être trop
Un signe, un regard, nous nous comprendrons
Orgueilleux et fier l’un de l’autre
Passion brûlante qui nous dévore
Existence et respect de l’individu
Confiance évidente
Un équilibre, tantôt eau, tantôt feu
Donner et recevoir juste pour le plaisir
Force du sexe ou le plaisir de l’amour
Une fusion inégalée suivant tes courbes
Envie permanente de nos caresses
Abandon dans nos moments de tendresse
Espérance dans de nos retrouvailles
Désolation de nos séparations
Intense en tout moments
Enfants, adultes
Serrons nous fort
Gardes ma main au creux de la tienne
Pendant que je te déclare une fois encore mon amour
Pour que tous les jours soient une éternité
En fait tu es quelqu’un que je ne connais pas, qui ne seras peut être rien de tout ça mais ce sera toi! Celle que j’aime...
Sam 05 Nov 2005, 23:30 par
Loyd sur Un monde parfait
c'était en février....
Que j’étais dans mes petits souliers ce jour-là...le jour où tu es arrivée vraiment dans ma vie…avec tout ce que je n’avais jamais vu de toi mais que j’avais deviné..
Et le T G V s’est arrêté…
Je guettais sans en avoir l’air l’ouverture de la porte de ton compartiment, te voir…oui, te voir…je n’ai vu que ton sourire et mes yeux se sont baissés, perdus sur le quai : mes yeux je leur avais dit de ne pas trop en faire, ou plutôt de faire bonne impression !
Ta peau était fraîche ; j’étais glacée et mon cœur, qui s’était mis à battre un peu plus vite à ta descente du train, ne s’est pas calmé...je crois bien qu’il a gardé ce rythme tout au long de ce week-end…
«deux bises ? –non, ici c’est quatre…-alors, va pour quatre… »
Oui, ta peau était fraîche et tes lèvres tièdes sur mes joues…
Pas très animé, le trajet en voiture… Nous avons dû parler, de tout, de rien…il fallait ne pas laisser le silence s’installer, alors je t’ai écoutée…je répondais comme je pouvais, entre deux pensées contraires qui me projetaient déjà entre tes bras...faut-il déjà ?...ne faut-il pas? Un délice, ta voix…un enfer, mes doutes!
« la maison est là…nous y sommes… » et tu es entrée chez moi…J’étais dans la tourmente, au beau milieu de mes interrogations, incapable de me résoudre à….à passer mes bras autour de toi… à juste prendre ta main…à seulement te regarder…
J’étais chez moi, en terrain connu mais voilà, j’avais perdu tous mes repères…choisir le fauteuil et mettre un peu de distance entre nous, m’installer sur le canapé à côté de toi ?
Tu as pris l’initiative et d’un mot accompagnant ton sourire tu m’as invitée à m’asseoir près de toi sur le canapé…
Ta main s’est appropriée la mienne, nos doigts se sont trouvés. Naturellement ta tête s’est posée sur mon épaule…mon autre main s’est trouvée bête au bout de mon bras, bête à ne pas savoir où se poser : ton bras ? ta cuisse ? ton visage ? La tienne s’en est prise à ma chemise...déjà, il te fallait t’accrocher…nous en étions là lorsque le téléphone a sonné.
Sans le savoir, mon frère venait de sauver mon autre main du naufrage…tes doigts jouaient avec le pli de mon jean’s, le parcouraient, défaisaient, refaisaient…et mon frère me parlait, il ne se doutait pas. La conversation n’en finissait pas, mais moi pendant ce temps, je refaisais surface…petit à petit, je me suis retrouvée.
Après…après, ma main a suivi le chemin de ton bras, s’y est promenée, est allée découvrir ta peau douce et tiède sous la manche de ton pull…
Voilà…c’est toi que je caressais, toi qui me donnais chaud soudainement, toi qui me faisais frissonner et trembler…ma main s’est faite un peu plus insistante, je crois pour cacher ce tremblement…un baiser sur ma joue, la coin de ma bouche, tes lèvres sur les miennes...enfin…
Là…ce premier baiser et ton premier soupir lorsque nos langues se sont mêlées, quand ma main s’est glissée sous ton pull…mon désir et mon doute mélangés. Ton corps, je l’ai senti se tendre…mes mains, ma bouche je les savais faites pour lui…
Tu t’es allongée et tu m’as guidée… je ressentais ton envie et tu savais la mienne : tes yeux me le disaient. Les miens ont suivi la montée de ton plaisir. Je t’ai apprise…j’ai appris tes frémissements, tes attentes, tes mots, les parties de ton corps sensibles, si réactives…tu m’as laissée te faire l’amour…je suis devenue ton amante…
A cet instant, celui de ton abandon, celui où pour la première fois je t’ai vue faible au creux de mes bras, mon regard s’est un peu troublé; j’ai mis ma tête tout près de ton cou…c’était chaud ce qui coulait sur ma joue…ça aussi, c’était la première fois…
Et le T G V s’est arrêté…
Je guettais sans en avoir l’air l’ouverture de la porte de ton compartiment, te voir…oui, te voir…je n’ai vu que ton sourire et mes yeux se sont baissés, perdus sur le quai : mes yeux je leur avais dit de ne pas trop en faire, ou plutôt de faire bonne impression !
Ta peau était fraîche ; j’étais glacée et mon cœur, qui s’était mis à battre un peu plus vite à ta descente du train, ne s’est pas calmé...je crois bien qu’il a gardé ce rythme tout au long de ce week-end…
«deux bises ? –non, ici c’est quatre…-alors, va pour quatre… »
Oui, ta peau était fraîche et tes lèvres tièdes sur mes joues…
Pas très animé, le trajet en voiture… Nous avons dû parler, de tout, de rien…il fallait ne pas laisser le silence s’installer, alors je t’ai écoutée…je répondais comme je pouvais, entre deux pensées contraires qui me projetaient déjà entre tes bras...faut-il déjà ?...ne faut-il pas? Un délice, ta voix…un enfer, mes doutes!
« la maison est là…nous y sommes… » et tu es entrée chez moi…J’étais dans la tourmente, au beau milieu de mes interrogations, incapable de me résoudre à….à passer mes bras autour de toi… à juste prendre ta main…à seulement te regarder…
J’étais chez moi, en terrain connu mais voilà, j’avais perdu tous mes repères…choisir le fauteuil et mettre un peu de distance entre nous, m’installer sur le canapé à côté de toi ?
Tu as pris l’initiative et d’un mot accompagnant ton sourire tu m’as invitée à m’asseoir près de toi sur le canapé…
Ta main s’est appropriée la mienne, nos doigts se sont trouvés. Naturellement ta tête s’est posée sur mon épaule…mon autre main s’est trouvée bête au bout de mon bras, bête à ne pas savoir où se poser : ton bras ? ta cuisse ? ton visage ? La tienne s’en est prise à ma chemise...déjà, il te fallait t’accrocher…nous en étions là lorsque le téléphone a sonné.
Sans le savoir, mon frère venait de sauver mon autre main du naufrage…tes doigts jouaient avec le pli de mon jean’s, le parcouraient, défaisaient, refaisaient…et mon frère me parlait, il ne se doutait pas. La conversation n’en finissait pas, mais moi pendant ce temps, je refaisais surface…petit à petit, je me suis retrouvée.
Après…après, ma main a suivi le chemin de ton bras, s’y est promenée, est allée découvrir ta peau douce et tiède sous la manche de ton pull…
Voilà…c’est toi que je caressais, toi qui me donnais chaud soudainement, toi qui me faisais frissonner et trembler…ma main s’est faite un peu plus insistante, je crois pour cacher ce tremblement…un baiser sur ma joue, la coin de ma bouche, tes lèvres sur les miennes...enfin…
Là…ce premier baiser et ton premier soupir lorsque nos langues se sont mêlées, quand ma main s’est glissée sous ton pull…mon désir et mon doute mélangés. Ton corps, je l’ai senti se tendre…mes mains, ma bouche je les savais faites pour lui…
Tu t’es allongée et tu m’as guidée… je ressentais ton envie et tu savais la mienne : tes yeux me le disaient. Les miens ont suivi la montée de ton plaisir. Je t’ai apprise…j’ai appris tes frémissements, tes attentes, tes mots, les parties de ton corps sensibles, si réactives…tu m’as laissée te faire l’amour…je suis devenue ton amante…
A cet instant, celui de ton abandon, celui où pour la première fois je t’ai vue faible au creux de mes bras, mon regard s’est un peu troublé; j’ai mis ma tête tout près de ton cou…c’était chaud ce qui coulait sur ma joue…ça aussi, c’était la première fois…
Mar 04 Oct 2005, 21:06 par
danslalune sur La première fois
baladeuses mes mains?
Tout est prétexte à la balade pour mes mains.
Elles ne manquent pas une occasion pour partir à la découverte...c’est chaque fois une découverte...du corps de mon amoureuse: la sortie de la douche ou du bain:« attention monange…viens dans mes bras sinon tu vas prendre froid… », et surtout, c’est un véritable régal, la chasse aux miettes.
Gourmande comme elle est, elle ne dit jamais non à un gâteau et qui dit gâteau dit miettes.
Pour elle le gâteau, pour moi les miettes…mais pas que...lisez ce qui suit : vous saurez…
Mon amoureuse vient d’avaler la dernière bouchée de gâteau et...
-Oh ! et bien oui, dis-moi…Que de miettes, que de miettes : c’est une hécatombe que je vois là, sur le haut de ton tricot, et elles semblent toutes bien accro à toi…remarque, je les comprends : c’est une place de choix !
Bon, allez...ouste ! mais seulement pour la forme le"ouste"…mes yeux constatent l’étendue des dégâts, ils en profitent pour s’attarder sur tes rondeurs si tentantes.
Mes mains viennent constater qu’il ne s’agit pas d’un mirage, d’une hallucination visuelle…sait-on jamais…je vérifie en relevant le tricot…mes mains se posent à même la peau…tiède et douce…non, je n’hallucine pas…
« …tu respires vite, mon amour…je te trouve fiévreuse, tout à coup…»
Fluteuuuuuu ! en relevant le pull, j’ai fait tomber les miettes sur ton entrecuisse : l’affaire se corserait-elle ? Que non, monange, je m’applique et mes yeux scrutent, partent à la chasse aux miettes ! Mes mains les suivent comme…des mains peuvent suivre des yeux…de près, de très près….
Si j’ai bien fait le compte, je ne t’ai pas débarrassée de toutes ces fâcheuses, je souffle…un peu…rien n’y fait !
Tu le sais, je n’aime pas gâcher la nourriture…j’attrape presque tout le contingent avec ma bouche…quelques-unes se sont introduites par une petite ouverture, là, en haut de ta braguette légèrement baissée…l’ouverture n’est pas assez importante : je te débraguette..non pas débraguette..je déboutonne le haut de ton jean’s et…tiens ! hop ! pendant que j’y suis, je fais glisser le long de tes cuisses, puis de tes jambes, pantalons et culotte.
Mes lèvres recueillent une, deux miettes, mais où se cache la petite dernière…une rebelle, la petite dernière…c’est pour ça que je l’aime…
Ahhhhhhh ! La voiloù…juste là, sur ton bouton…faudrait pas qu’elle l’égratigne…délicatement ma langue s’y pose.
« ...tu souffres, mon amour ? » alors je redouble de douceur et mes lèvres l’embrassent…tes soupirs et tes mots s’emmêlent un peu…je ne saisis pas tout, c’est confus :
« …oui….mon dieu… », je te laisse à ta prière, je continue mon exploration…
Avec un infini de tendresse, j’emprisonne ce"rose ermite"entre mes lèvres, ma langue lui conte fleurette, le cajole...c’est un timide…peu à peu, il se laisse apprivoiser, sort de son repaire…ma langue le caresse amoureusement, voluptueusement...voilà…il s’épanouit…et du bout de ma langue, je cueille ton plaisir…
Elles ne manquent pas une occasion pour partir à la découverte...c’est chaque fois une découverte...du corps de mon amoureuse: la sortie de la douche ou du bain:« attention monange…viens dans mes bras sinon tu vas prendre froid… », et surtout, c’est un véritable régal, la chasse aux miettes.
Gourmande comme elle est, elle ne dit jamais non à un gâteau et qui dit gâteau dit miettes.
Pour elle le gâteau, pour moi les miettes…mais pas que...lisez ce qui suit : vous saurez…
Mon amoureuse vient d’avaler la dernière bouchée de gâteau et...
-Oh ! et bien oui, dis-moi…Que de miettes, que de miettes : c’est une hécatombe que je vois là, sur le haut de ton tricot, et elles semblent toutes bien accro à toi…remarque, je les comprends : c’est une place de choix !
Bon, allez...ouste ! mais seulement pour la forme le"ouste"…mes yeux constatent l’étendue des dégâts, ils en profitent pour s’attarder sur tes rondeurs si tentantes.
Mes mains viennent constater qu’il ne s’agit pas d’un mirage, d’une hallucination visuelle…sait-on jamais…je vérifie en relevant le tricot…mes mains se posent à même la peau…tiède et douce…non, je n’hallucine pas…
« …tu respires vite, mon amour…je te trouve fiévreuse, tout à coup…»
Fluteuuuuuu ! en relevant le pull, j’ai fait tomber les miettes sur ton entrecuisse : l’affaire se corserait-elle ? Que non, monange, je m’applique et mes yeux scrutent, partent à la chasse aux miettes ! Mes mains les suivent comme…des mains peuvent suivre des yeux…de près, de très près….
Si j’ai bien fait le compte, je ne t’ai pas débarrassée de toutes ces fâcheuses, je souffle…un peu…rien n’y fait !
Tu le sais, je n’aime pas gâcher la nourriture…j’attrape presque tout le contingent avec ma bouche…quelques-unes se sont introduites par une petite ouverture, là, en haut de ta braguette légèrement baissée…l’ouverture n’est pas assez importante : je te débraguette..non pas débraguette..je déboutonne le haut de ton jean’s et…tiens ! hop ! pendant que j’y suis, je fais glisser le long de tes cuisses, puis de tes jambes, pantalons et culotte.
Mes lèvres recueillent une, deux miettes, mais où se cache la petite dernière…une rebelle, la petite dernière…c’est pour ça que je l’aime…
Ahhhhhhh ! La voiloù…juste là, sur ton bouton…faudrait pas qu’elle l’égratigne…délicatement ma langue s’y pose.
« ...tu souffres, mon amour ? » alors je redouble de douceur et mes lèvres l’embrassent…tes soupirs et tes mots s’emmêlent un peu…je ne saisis pas tout, c’est confus :
« …oui….mon dieu… », je te laisse à ta prière, je continue mon exploration…
Avec un infini de tendresse, j’emprisonne ce"rose ermite"entre mes lèvres, ma langue lui conte fleurette, le cajole...c’est un timide…peu à peu, il se laisse apprivoiser, sort de son repaire…ma langue le caresse amoureusement, voluptueusement...voilà…il s’épanouit…et du bout de ma langue, je cueille ton plaisir…
Ven 30 Sep 2005, 21:52 par
danslalune sur Mille choses
Histoire d'un Amour perdu......
J’ai connu l’Amour avec un grand A ....Nous étions si jeunes et nous avons appris à grandir ensemble.
Tu as été mon Dieu....tu as fait vibré mon coeur si fort.....
Tu a été ma raison de vivre pendant de si longues années.....je t’ai tant aimé......
Puis le temps a passé.
Les difficultés de la Vie sont venues.....les incompréhensions.....les quiproquos.....les malentendus...
Nous n’avons pas su évoluer ensemble.
Les chagrins de la Vie sont venus....avec leurs conséquences.....
La Vie nous a éloignés l’un de l’autre.....nous avons pris des chemins différents....
Nous nous sommes perdus sur le Chemin de La Vie.
L’Amour s’en est allé...
Mes joies se transformées en souffrances et mes sourires en larmes....
Tu as été mon Dieu....tu as fait vibré mon coeur si fort.....
Tu a été ma raison de vivre pendant de si longues années.....je t’ai tant aimé......
Puis le temps a passé.
Les difficultés de la Vie sont venues.....les incompréhensions.....les quiproquos.....les malentendus...
Nous n’avons pas su évoluer ensemble.
Les chagrins de la Vie sont venus....avec leurs conséquences.....
La Vie nous a éloignés l’un de l’autre.....nous avons pris des chemins différents....
Nous nous sommes perdus sur le Chemin de La Vie.
L’Amour s’en est allé...
Mes joies se transformées en souffrances et mes sourires en larmes....
Jeu 25 Août 2005, 17:38 par
Satine sur Parler d'amour
Une histoire d'amour
Martin ferma la porte de sa boutique. La journée avait été longue et chaude. Il s’appuya le dos sur la porte. Il n’avait pas envie d’entrer chez lui. Depuis quelques mois, ça n’allait pas bien entre lui et sa femme. Elle était froide et distante envers lui. Il avait essayé de lui parlé mais elle lui répondait qu’il se trompait, elle l aimait tout comme avant. Qu’il s’en faisait pour rien. "Peut-être que c’est moi qui ne tourne pas rond ?" "Qu’est ce que je ressens envers elle ?" "Suis-je encore amoureux d’elle" "Peut-être ai-je peur de répondre a mes propres questions".
Les voitures passaient dans la rue soulevant la poussière. Des papiers virevoltaient ici et là. Il se sentait bien seul. Il n’arrêtait pas de chercher pourquoi il n’était plus heureux. Une petite voix au fond de lui savait pourquoi. Mais il refusait de l’écouter. Il finit par faire quelques pas. Il passa devant les autres boutiques qui fermaient. Le soleil déclinait à l’horizon. Même ce spectacle merveilleux ne réussissait a lui donner un sourire. Les gens passaient autour de lui si pressés d’entrer chez eux. Il vit un café au coin de la rue. Il décida d’y entrer.
Le café était sombre et enfumé. Les toiles avaient été tirées pour empêcher le soleil d’y entrer. Des ventilateurs projetaient avec peine une fraîcheur. Quelques clients étaient assit aux tables. Ils semblaient tous fatigués. Une chanson de Joe Dassin roulait dans le juke-box. Il reconnu le titre ! Et si tu n’existait pas" Il s’approcha du comptoir service pour commander.
Quand il leva les yeux et rencontra des yeux si verts et profond que son coeur se mit a battre.
- Que puis-je pour vous ?
Il était suspendu, comme si il était dans un autre monde. Incapable de répondre. Il elle regardait, ses cheveux châtain descendant sur ses épaules entourant son visage ovale. Sa petite bouche semblait attendre de nombreux baisers. Il la dévisageait comme un adolescent. Des frissons électriques lui parcouraient le corps. Il n’avait pas ressentit chose de pareil depuis, depuis....si longtemps qu’il ne savait quoi en faire sauf qu il ne pouvait détacher son regard de cette inconnue......
-Monsieur ? Elle lui tendit une tasse de café.
-Oui ? finit-il par dire.
Pendant qu’elle lui versait le breuvage. Il se mit à rêver qu’il lui demandait à quelle heure elle finissait son travail et s’il elle pourrait envisagé d’aller marché avec lui ou prendre un verre quelque part.
-Dans 30 minutes monsieur et ca me ferait plaisir fit elle avec sourire.
-Quoi ? fit-il ne sachant de quoi elle parlait.
-Vous ne semblez pas être dans votre assiette. Je m appelle Sandra fit le jeune femme.
-Martin fit-il en attendant la main. Heu vous disiez ?
-Vous venez de me demandez si je voulais aller marcher avec vous et oui ça me plairait pourquoi pas !
***************************************************************
Il attendait à la sortie des employés se demandant qu’es qu il faisait là.
"Mais a quoi je pensais bordel " Il s’apprêtait a partir quand la porte s’ouvrit. Elle était la. Belle comme un lever de soleil. Son coeur battait à la folie. Il pouvait sentir son parfum qui lui enivrait le corps.
-Bonsoir fit-elle de sa voix chaude.
Il murmura un bonsoir. Il regardait ses lèvres avec un envie folle des les couvrir. Puis leva lentement les yeux pour se perdre dans l océan vert.
Elle fit un mouvement de tête ce qui le tira de sa stupeur.
-Un café où nous marchons fit il d’une voix mal assurée.
-Marchons un peu, ça va me faire du bien après une journée dans ce bar.
Ils marchèrent cote à cote. Dans un silence chacun dans ses pensées. "Elle est tellement belle Je me demande qui est-elle "
-Vous faites quoi dans la vie demande t-elle
Martin ce tourna vers elle
-Conseillé en orientation de la clientèle. "je ne peux quand même pas lui dire vendeur"
-Vous êtes marié ?
Martin détourna la tête et répondit
-Non et vous
-Non, j’ai pas rencontré celui qui fera battre mon coeur.
"Tant mieux" se dit-il
-Cela m’étonne vous êtes fort jolie Sandra. J’ai du mal a concevoir que vous n’ayez pas de petit ami.
-Les gens de mon age ne m intéresse pas. Il ne pense qu’à vous sauter en premier. Et vous Martin ?
-Moi, c’est une longue histoire qui n’est pas intéressante.
Ils arrivent à la marina. Quelques vagues remuaient sur le lac poussé par une brise chaude. Il regarda Sandra dont les cheveux volaient au vent. Elle avait fermé les yeux et semblait être presque en transe. Il n’osait faire de geste. Une pulsation lui montait à l’esprit. Il voulait l’embrasser. Il s approcha quand son téléphone cellulaire sonna. Tous les deux faillir mourir.
-Allo fit il avec une certaine rage.
**************************************
La soupe mijotait. Il préparait un boeuf a l ancien. Une recette qui venait de sa mère. La table était mise. Une jolie nappe de dentelle, des bougies. Il avait mise de la musique douce. Tout, lui paraissait parfait il ne manquait plus qu’elle.
"19h45 dans quelques minutes elle sera la. Juste le temps de prendre une douche." Il se dirigea vers la salle de bain quand le téléphone sonna. Une appréhension lui vint a l’esprit. Il secoua la tête en se disant qu’il devenait parano.
-Oui ? fit-il
-Chéri ! Je vais entrer tard, Nancy et moi, avons des petits problèmes à régler au bureau. Alors ne m’attend pas.
"Salope" pensa t-il
-Tu es là ? demanda t-elle
-Oui oui ok je vais lire un peu et me coucher fit-il
-Bye et elle raccrocha sans dire un seul mot d’amour ou autre chose.
"Putain de salope j’en ai rien a faire moi de ton crisss de bureau à la con, je t’emmerde puis tiens ton souper de merde" Il tira le boeuf et la soupe dans l’évier. Eteignit les chandelles et les foutu à la poubelle, prit la nappe la déchira. Quand il fut calmé il regarde la désastre.
"Qu’est qui m’arrive suis-je en train de devenir fou ?"
Il s’écrasa sur la chaise et pleura....
***********************************************
Sandra prit son service à 20h00 comme d’habitude le café était bondé à cette heure la. Les filles étaient sur les genoux. Il avait fait très encore aujourd’hui. L’intérieur du café était confortable. Elle travaillait depuis 2 ans dans ce café enfin de payé ses études. Elle rêvait de devenir enseigne au primaire et de voyager a travers le monde. Les gens qui la côtoyait disait d’elle que c’était une bonne personne, aimable toujours prête a aider.
Depuis quelques jours Sandra avait l’esprit tourmenté par sa rencontre avec cet inconnu. Si bref fut-elle, avait éveillé une émotion en elle. Elle guettait chaque client qui entrait espérant secrètement que ce serait lui. Elle regarde par la grande vitrine qui donnait sur la rue principale. Des travailleurs étaient à finir l installation du terrain de volley-ball. Bientôt il y aurait une grande foule. Cette année la ville avait décidé de tenir un tournoi sur le boulevard principal de la municipalité. Du sable avait été déposé en grande quantité au centre de la place.
"Je ne connais que son nom. Je suis vraiment idiote d’attendre comme ça. Et j’attends quoi et qui ?"La petite clochette d’entrée la ramena de ses pensées. Elle se retourna pour voir qui venant d’entrer. Hélas, la déception ce n’est pas celui qu’elle attendait. Elle ragea un peu contre elle-même et reprit son travail avec plus de vigueur.
La clochette raisonna encore. Sandra leva la tête ne pouvant résisté. "Grrr" fit-elle dans un murmure.
Une femme venait d’entrer. En faits, on aurait pu dire des yeux venait d entrée tant le bleu était pur azur. Ses cheveux noirs et longs semblaient voler autour de son visage rond. Un petit nez retroussé deux petites pommettes et une bouche tout a fait exacte avec des lèvres pulpeuses. Cette femme devait faire des ravages sur son passage.
Elle se dirigea vers le coin le plus sombre du café. Sa démarche montrait une certain classe. Elle faisait contraste avec les clients habituels. Si elle voulait passer inaperçu, elle avait très mal choisis l’endroit. Ce genre de femme sophistiquée n’était pas coutume. Elle s’assit et d un mouvement de la main nettoya la table. Déjà Sandra ne l aimait pas sans même la connaître. Elle s approcha d’elle.
-Vous désirez ! lui demanda Sandra
La femme prit tout son temps pour dévisager Sandra. C’était comme-ci elle la mettais à nue. Avec un haussement d épaule qui signifiait qu elle l avait mesuré pesé et jugé insignifiante.
-J’attends quelqu’un, alors je commanderai qu’a son arrivé. Mais avant serait-elle trop d’avoir un verre d’eau propre dit elle d’une voix sec et perché.
"Pétasse " pensa Sandra
-Bien sur madame fit Sandra en souriant de toutes ses dents.
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Les voitures passaient dans la rue soulevant la poussière. Des papiers virevoltaient ici et là. Il se sentait bien seul. Il n’arrêtait pas de chercher pourquoi il n’était plus heureux. Une petite voix au fond de lui savait pourquoi. Mais il refusait de l’écouter. Il finit par faire quelques pas. Il passa devant les autres boutiques qui fermaient. Le soleil déclinait à l’horizon. Même ce spectacle merveilleux ne réussissait a lui donner un sourire. Les gens passaient autour de lui si pressés d’entrer chez eux. Il vit un café au coin de la rue. Il décida d’y entrer.
Le café était sombre et enfumé. Les toiles avaient été tirées pour empêcher le soleil d’y entrer. Des ventilateurs projetaient avec peine une fraîcheur. Quelques clients étaient assit aux tables. Ils semblaient tous fatigués. Une chanson de Joe Dassin roulait dans le juke-box. Il reconnu le titre ! Et si tu n’existait pas" Il s’approcha du comptoir service pour commander.
Quand il leva les yeux et rencontra des yeux si verts et profond que son coeur se mit a battre.
- Que puis-je pour vous ?
Il était suspendu, comme si il était dans un autre monde. Incapable de répondre. Il elle regardait, ses cheveux châtain descendant sur ses épaules entourant son visage ovale. Sa petite bouche semblait attendre de nombreux baisers. Il la dévisageait comme un adolescent. Des frissons électriques lui parcouraient le corps. Il n’avait pas ressentit chose de pareil depuis, depuis....si longtemps qu’il ne savait quoi en faire sauf qu il ne pouvait détacher son regard de cette inconnue......
-Monsieur ? Elle lui tendit une tasse de café.
-Oui ? finit-il par dire.
Pendant qu’elle lui versait le breuvage. Il se mit à rêver qu’il lui demandait à quelle heure elle finissait son travail et s’il elle pourrait envisagé d’aller marché avec lui ou prendre un verre quelque part.
-Dans 30 minutes monsieur et ca me ferait plaisir fit elle avec sourire.
-Quoi ? fit-il ne sachant de quoi elle parlait.
-Vous ne semblez pas être dans votre assiette. Je m appelle Sandra fit le jeune femme.
-Martin fit-il en attendant la main. Heu vous disiez ?
-Vous venez de me demandez si je voulais aller marcher avec vous et oui ça me plairait pourquoi pas !
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Il attendait à la sortie des employés se demandant qu’es qu il faisait là.
"Mais a quoi je pensais bordel " Il s’apprêtait a partir quand la porte s’ouvrit. Elle était la. Belle comme un lever de soleil. Son coeur battait à la folie. Il pouvait sentir son parfum qui lui enivrait le corps.
-Bonsoir fit-elle de sa voix chaude.
Il murmura un bonsoir. Il regardait ses lèvres avec un envie folle des les couvrir. Puis leva lentement les yeux pour se perdre dans l océan vert.
Elle fit un mouvement de tête ce qui le tira de sa stupeur.
-Un café où nous marchons fit il d’une voix mal assurée.
-Marchons un peu, ça va me faire du bien après une journée dans ce bar.
Ils marchèrent cote à cote. Dans un silence chacun dans ses pensées. "Elle est tellement belle Je me demande qui est-elle "
-Vous faites quoi dans la vie demande t-elle
Martin ce tourna vers elle
-Conseillé en orientation de la clientèle. "je ne peux quand même pas lui dire vendeur"
-Vous êtes marié ?
Martin détourna la tête et répondit
-Non et vous
-Non, j’ai pas rencontré celui qui fera battre mon coeur.
"Tant mieux" se dit-il
-Cela m’étonne vous êtes fort jolie Sandra. J’ai du mal a concevoir que vous n’ayez pas de petit ami.
-Les gens de mon age ne m intéresse pas. Il ne pense qu’à vous sauter en premier. Et vous Martin ?
-Moi, c’est une longue histoire qui n’est pas intéressante.
Ils arrivent à la marina. Quelques vagues remuaient sur le lac poussé par une brise chaude. Il regarda Sandra dont les cheveux volaient au vent. Elle avait fermé les yeux et semblait être presque en transe. Il n’osait faire de geste. Une pulsation lui montait à l’esprit. Il voulait l’embrasser. Il s approcha quand son téléphone cellulaire sonna. Tous les deux faillir mourir.
-Allo fit il avec une certaine rage.
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La soupe mijotait. Il préparait un boeuf a l ancien. Une recette qui venait de sa mère. La table était mise. Une jolie nappe de dentelle, des bougies. Il avait mise de la musique douce. Tout, lui paraissait parfait il ne manquait plus qu’elle.
"19h45 dans quelques minutes elle sera la. Juste le temps de prendre une douche." Il se dirigea vers la salle de bain quand le téléphone sonna. Une appréhension lui vint a l’esprit. Il secoua la tête en se disant qu’il devenait parano.
-Oui ? fit-il
-Chéri ! Je vais entrer tard, Nancy et moi, avons des petits problèmes à régler au bureau. Alors ne m’attend pas.
"Salope" pensa t-il
-Tu es là ? demanda t-elle
-Oui oui ok je vais lire un peu et me coucher fit-il
-Bye et elle raccrocha sans dire un seul mot d’amour ou autre chose.
"Putain de salope j’en ai rien a faire moi de ton crisss de bureau à la con, je t’emmerde puis tiens ton souper de merde" Il tira le boeuf et la soupe dans l’évier. Eteignit les chandelles et les foutu à la poubelle, prit la nappe la déchira. Quand il fut calmé il regarde la désastre.
"Qu’est qui m’arrive suis-je en train de devenir fou ?"
Il s’écrasa sur la chaise et pleura....
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Sandra prit son service à 20h00 comme d’habitude le café était bondé à cette heure la. Les filles étaient sur les genoux. Il avait fait très encore aujourd’hui. L’intérieur du café était confortable. Elle travaillait depuis 2 ans dans ce café enfin de payé ses études. Elle rêvait de devenir enseigne au primaire et de voyager a travers le monde. Les gens qui la côtoyait disait d’elle que c’était une bonne personne, aimable toujours prête a aider.
Depuis quelques jours Sandra avait l’esprit tourmenté par sa rencontre avec cet inconnu. Si bref fut-elle, avait éveillé une émotion en elle. Elle guettait chaque client qui entrait espérant secrètement que ce serait lui. Elle regarde par la grande vitrine qui donnait sur la rue principale. Des travailleurs étaient à finir l installation du terrain de volley-ball. Bientôt il y aurait une grande foule. Cette année la ville avait décidé de tenir un tournoi sur le boulevard principal de la municipalité. Du sable avait été déposé en grande quantité au centre de la place.
"Je ne connais que son nom. Je suis vraiment idiote d’attendre comme ça. Et j’attends quoi et qui ?"La petite clochette d’entrée la ramena de ses pensées. Elle se retourna pour voir qui venant d’entrer. Hélas, la déception ce n’est pas celui qu’elle attendait. Elle ragea un peu contre elle-même et reprit son travail avec plus de vigueur.
La clochette raisonna encore. Sandra leva la tête ne pouvant résisté. "Grrr" fit-elle dans un murmure.
Une femme venait d’entrer. En faits, on aurait pu dire des yeux venait d entrée tant le bleu était pur azur. Ses cheveux noirs et longs semblaient voler autour de son visage rond. Un petit nez retroussé deux petites pommettes et une bouche tout a fait exacte avec des lèvres pulpeuses. Cette femme devait faire des ravages sur son passage.
Elle se dirigea vers le coin le plus sombre du café. Sa démarche montrait une certain classe. Elle faisait contraste avec les clients habituels. Si elle voulait passer inaperçu, elle avait très mal choisis l’endroit. Ce genre de femme sophistiquée n’était pas coutume. Elle s’assit et d un mouvement de la main nettoya la table. Déjà Sandra ne l aimait pas sans même la connaître. Elle s approcha d’elle.
-Vous désirez ! lui demanda Sandra
La femme prit tout son temps pour dévisager Sandra. C’était comme-ci elle la mettais à nue. Avec un haussement d épaule qui signifiait qu elle l avait mesuré pesé et jugé insignifiante.
-J’attends quelqu’un, alors je commanderai qu’a son arrivé. Mais avant serait-elle trop d’avoir un verre d’eau propre dit elle d’une voix sec et perché.
"Pétasse " pensa Sandra
-Bien sur madame fit Sandra en souriant de toutes ses dents.
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Mar 07 Juin 2005, 22:52 par
JonPeters sur Histoires d'amour
Un accord de guitare.
As-tu vu mes doigts se poser sur les cordes de ma guitare? Regarde bien, derrière le cal qui s’est fait à force de les caresser, ils connaissent cette même émotion du premier jour.
Acharné, je souhaitais à tout prix en tirer les sons de ma satisfaction, quelque chose qui sonne bien, un accord. Et plus d’une fois, j’ai versé quelques gouttes de mon sang, dans cette chasse au trésor.
Mes doigts nubiles sur ces cordes encore vierges, fouillant sans vergogne les chemins de leur propre plaisir, voilà la gamme qui s’est jouée dans le brouhaha des premières fois et je le dis sans rougir.
Mes doigts aujourd’hui aguerris d’expérience, mes doigts curieux, mes doigts avides, mes doigts maladroits, mes doigts n’ont pas beaucoup changé lorsque j’étreins pendant quelques mesures ma compagne de bois et d’acier.
Mes doigts, bien que devenus plus savants virevoltent avec tendresse lorsqu’il se fait tard, ils écoutent maintenant quelque chose qu’ils connaissent : un accord de guitare.
Acharné, je souhaitais à tout prix en tirer les sons de ma satisfaction, quelque chose qui sonne bien, un accord. Et plus d’une fois, j’ai versé quelques gouttes de mon sang, dans cette chasse au trésor.
Mes doigts nubiles sur ces cordes encore vierges, fouillant sans vergogne les chemins de leur propre plaisir, voilà la gamme qui s’est jouée dans le brouhaha des premières fois et je le dis sans rougir.
Mes doigts aujourd’hui aguerris d’expérience, mes doigts curieux, mes doigts avides, mes doigts maladroits, mes doigts n’ont pas beaucoup changé lorsque j’étreins pendant quelques mesures ma compagne de bois et d’acier.
Mes doigts, bien que devenus plus savants virevoltent avec tendresse lorsqu’il se fait tard, ils écoutent maintenant quelque chose qu’ils connaissent : un accord de guitare.
Jeu 12 Mai 2005, 11:04 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
L'autre
L’amour, c’est aussi quelque chose qui ne dure qu’une seconde, qui ne se matérialise ni par un baiser, ni par une levrette endiablée. Il se dit sans un mot, ne provoque pas de choc quelconque, euphorisant ou deprimant. Il ressemble aux autres dans la mesure ou il se présente lui aussi quand on ne s’y attend pas et qu’on ne le cherche pas. Mais c’est tout.
Cet amour là, il survient pendant les quelques secondes ou tu croises quelqu’un dans la rue, et que l’évidence de ta plénitude te fait comprendre que tu l’aimes. Lorsque tu ressens ça comme un intime sentiment, cet éveil est une félicitié.
Cet amour là, il survient pendant les quelques secondes ou tu croises quelqu’un dans la rue, et que l’évidence de ta plénitude te fait comprendre que tu l’aimes. Lorsque tu ressens ça comme un intime sentiment, cet éveil est une félicitié.
Mer 06 Avril 2005, 22:14 par
PetitPrince sur Parler d'amour
Ses seins caresserent mes cheveux
Cette nuit ne fut pas la mienne, ni la sienne, mais le notre. Cet amour dévorant, cette sensation de ne plus faire qu’un avec elle, tout était magique, au summum de la perfection. Cependant, ce même amour, n’était pas le Grand Amour, pour moi, pour elle, pourquoi l’avons-nous fait, parce qu’elle en avait envie et que cela aurait pu être sa dernière fois.
Prisonniers de ces murs, nous nous envolâmes plus loin que tous, plus haut qu’au paradis, notre paradis. Pendant cette fusion, elle ne pensait pas à moi, mais à son homme à elle et moi, je ne pensais qu’à elle, qu’à son plaisir. Je ne l’ai fait que pour elle parce que je l’aime. Oui je l’aime. Mais cet amour secret que nous partageâmes cette nuit là était, je le sais, un amour fraternel. Elle était un peu plus grande que moi, elle savait tout de moi à présent. Et lorsque son corps s’enflamma pour de bon, je ne me retins plus, pour que nos deux âmes quittent ces enveloppes charnelles. Enfin elle cria son nom, son nom à lui.
Lorsqu’elle s’endormit, je voyais pour la première fois son corps nue reposé, nos yeux se croisèrent, puis elle m’enveloppa de ses bras telle une grande soeur protectrice embrasse son petit frère. Ses seins caressa mes cheveux et je m’endormis en sûreté loin de tous mes problèmes, près du coeur de la femme parfaite, à qui j’ai toujours voulu apporter le plus de plaisir.
Prisonniers de ces murs, nous nous envolâmes plus loin que tous, plus haut qu’au paradis, notre paradis. Pendant cette fusion, elle ne pensait pas à moi, mais à son homme à elle et moi, je ne pensais qu’à elle, qu’à son plaisir. Je ne l’ai fait que pour elle parce que je l’aime. Oui je l’aime. Mais cet amour secret que nous partageâmes cette nuit là était, je le sais, un amour fraternel. Elle était un peu plus grande que moi, elle savait tout de moi à présent. Et lorsque son corps s’enflamma pour de bon, je ne me retins plus, pour que nos deux âmes quittent ces enveloppes charnelles. Enfin elle cria son nom, son nom à lui.
Lorsqu’elle s’endormit, je voyais pour la première fois son corps nue reposé, nos yeux se croisèrent, puis elle m’enveloppa de ses bras telle une grande soeur protectrice embrasse son petit frère. Ses seins caressa mes cheveux et je m’endormis en sûreté loin de tous mes problèmes, près du coeur de la femme parfaite, à qui j’ai toujours voulu apporter le plus de plaisir.
Mer 06 Avril 2005, 15:46 par
âme en état d'âme sur Les liaisons sulfureuses
Pentes abruptes dans le canal étroit des mots
Pour me hisser à sa hauteur c’est comme s’il me fallait
penser à travers le chas d’une aiguille
et jouer à cache-cache avec le temps
son rire met une pincée de sel au moindre de ses mots
et du poivre dans les miens
par étapes le désir ajoute à sa nudité
un surcroît de souplesse
on dit parfois qu’en amour
tout vient des reins
païen au départ et finalement sacré
alors la courbure de ses reins met des ailes à ses seins
comme s’ils réagissaient en choeur
à l’effet aérien et conjugué
de leur poids dans l’air et de leur couleur blanche
plus vifs qu’au théâtre
les changements de décor
dès qu’elle cesse de parler pendant un court instant
l’expression de ses traits est suspendue
comme trois points de suspension qui vont
de la pointe du nez
à celle du menton
- comme si ses silences accéléraient
la vitesse de l’idée -
puis l’expression de ses lèvres glisse
jusqu’à l’envol de ses narines
et s’échappe au-dehors
comme un voilier fendant les flots
ou une caravelle tendue loin devant nous
avec ça et là piquées dans l’océan
les bouées des cils retroussées en panaches noirs
son charme est un chapelet de tendresses
brodées sur la trame de mes sens
venus incognito
et repartis de même
elle dresse une muraille entre le monde et moi
et le monde plie finalement
combat perdu d’avance
elle mange en causant
je mange en lisant
mais les femmes ont peut-être
plus que les hommes
l’art de faire deux choses à la fois
son pull rouge du jour glisse
en mille chapelets de cerises flambant sur son buste
et tisonne en moi un souffle de forge
suspendu à chaque geste de ses bras
la soie bleue des baisers donne à ces couleurs
des gestes liquides que tendent et détendent
à mesure
les mouvements fuyants de l’étoffe
sur la chair de la soie
nue elle est habillée car son corps
se donne à l’air qui l’enveloppe
le reste vient en post-scriptum lorsque sa langue
glisse très vite des molaires aux incisives
sur le clavier des dents
pour aller sans cesse des tons graves
aux aigus
et inversement
selon le degré d’émotion
cet émail vivant resté éclatant
qui perle et luit dans le désir
et ce soleil qui scintille dans la perle
où la lune s’expose en un brasier unique
son odeur est pour moi associée
à son arme secrète
- cette poignée de couleurs et d’ombres
qui se succèdent
comme des portes battantes
qu’on claque à volonté -
les odeurs de son corps sont tissées
dans l’étoffe douloureuse de sa peau
comme une série de fils inextricables
ses odeurs mises à nu elles aussi
et mêlées à son arme secrète :
jusqu’à l’empalement de mes nerfs
de la pointe des cheveux
aux dernières fibres de ma peau
comme si certaines caresses d’elle
me rendaient femme de mon propre corps d’homme
il n’y a que très peu d’habitudes en elle
elle chez qui chaque geste est neuf
et rend le langage
de certaines choses muettes
un peu plus clair
et constamment renouvelé
si près de moi j’ai trop appris d’elle
pour ne pas me perdre
élégamment
dans les lexiques
je sais désormais lire
dans l’odeur de ses cheveux
la nuit
et dormir avec elle
rend mes nuits moins pénibles.
penser à travers le chas d’une aiguille
et jouer à cache-cache avec le temps
son rire met une pincée de sel au moindre de ses mots
et du poivre dans les miens
par étapes le désir ajoute à sa nudité
un surcroît de souplesse
on dit parfois qu’en amour
tout vient des reins
païen au départ et finalement sacré
alors la courbure de ses reins met des ailes à ses seins
comme s’ils réagissaient en choeur
à l’effet aérien et conjugué
de leur poids dans l’air et de leur couleur blanche
plus vifs qu’au théâtre
les changements de décor
dès qu’elle cesse de parler pendant un court instant
l’expression de ses traits est suspendue
comme trois points de suspension qui vont
de la pointe du nez
à celle du menton
- comme si ses silences accéléraient
la vitesse de l’idée -
puis l’expression de ses lèvres glisse
jusqu’à l’envol de ses narines
et s’échappe au-dehors
comme un voilier fendant les flots
ou une caravelle tendue loin devant nous
avec ça et là piquées dans l’océan
les bouées des cils retroussées en panaches noirs
son charme est un chapelet de tendresses
brodées sur la trame de mes sens
venus incognito
et repartis de même
elle dresse une muraille entre le monde et moi
et le monde plie finalement
combat perdu d’avance
elle mange en causant
je mange en lisant
mais les femmes ont peut-être
plus que les hommes
l’art de faire deux choses à la fois
son pull rouge du jour glisse
en mille chapelets de cerises flambant sur son buste
et tisonne en moi un souffle de forge
suspendu à chaque geste de ses bras
la soie bleue des baisers donne à ces couleurs
des gestes liquides que tendent et détendent
à mesure
les mouvements fuyants de l’étoffe
sur la chair de la soie
nue elle est habillée car son corps
se donne à l’air qui l’enveloppe
le reste vient en post-scriptum lorsque sa langue
glisse très vite des molaires aux incisives
sur le clavier des dents
pour aller sans cesse des tons graves
aux aigus
et inversement
selon le degré d’émotion
cet émail vivant resté éclatant
qui perle et luit dans le désir
et ce soleil qui scintille dans la perle
où la lune s’expose en un brasier unique
son odeur est pour moi associée
à son arme secrète
- cette poignée de couleurs et d’ombres
qui se succèdent
comme des portes battantes
qu’on claque à volonté -
les odeurs de son corps sont tissées
dans l’étoffe douloureuse de sa peau
comme une série de fils inextricables
ses odeurs mises à nu elles aussi
et mêlées à son arme secrète :
jusqu’à l’empalement de mes nerfs
de la pointe des cheveux
aux dernières fibres de ma peau
comme si certaines caresses d’elle
me rendaient femme de mon propre corps d’homme
il n’y a que très peu d’habitudes en elle
elle chez qui chaque geste est neuf
et rend le langage
de certaines choses muettes
un peu plus clair
et constamment renouvelé
si près de moi j’ai trop appris d’elle
pour ne pas me perdre
élégamment
dans les lexiques
je sais désormais lire
dans l’odeur de ses cheveux
la nuit
et dormir avec elle
rend mes nuits moins pénibles.
Mar 08 Fév 2005, 19:59 par
avedekian sur La séduction
Ecrire sur pendant
Autour de l'Amour, Et ce sera la première fois..., En amour, Mon aventure, sur l'autoroute, ce dimanche là .., dans le TGV, ce dimanche là...., Mon unique!, c'était en février...., baladeuses mes mains?, Histoire d'un Amour perdu......, Une histoire d'amour, Un accord de guitare., L'autre, Ses seins caresserent mes cheveux, Pentes abruptes dans le canal étroit des mots,Il y a 149 textes utilisant le mot pendant. Ces pages présentent les textes correspondant.
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Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
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Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
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- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
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- homme
- jours
- larmes
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- l’autre
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- mains
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- mots
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- plaisir
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- âme
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
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