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Tendrement
[ Chapitre I : Un tendre baiser au clair de lune ]
Il fait nuit, le ciel est d’un noir des plus sinistres. Les étoiles s’étendent à perte de vue dans l’immense galaxie, aucun nuage n’est à l’horizon et ce soir, la lune est pleine. Un spectacle magnifique, un paysage relaxant qui nous permet durant une fraction de seconde de nous évader et penser à autre chose qu’à la chaleur brûlante de notre cœur. En ce mois d’hiver, où les flocons de neige recouvrent d’un épais manteau blanc la ville de Tokyo, je me retrouve accoudée sur la rambarde du balcon, chaudement vêtu d’un peignoir vermillon, mes anglaises virevoltent avec la brise légère du soir.
Mes pensées sont toutes rivées sur la femme que je porte affectueusement dans mon cœur depuis trois ans. Trois longues et tendres années à m’émouvoir avec passion et sincérité à son égard. Je ne cesse de lui porter autant de tendresse et de dévouement depuis que mon cœur s’est amouraché pour le sien. Elle et moi nous nous fréquentons depuis la quatrième avec nos sœurs jumelles et notre meilleure amie. Aujourd’hui âgées de dix-huit et dix-sept ans, nous sommes devenus deux femmes complices et fusionnelles, nous sommes sans cesse en train de faire les quatre cents coups ensemble, nous aimons elle et moi la lecture japonaise, nous sommes toujours présentes lorsque l’une ne va pas bien.
Depuis notre rencontre, elle a fait naître en moi un profond sentiment d’amour et de tendresse, plus les jours passent moins, j’imagine passer ma vie sans elle. Je désire plus que tout lui faire part de mon amour aussi vibrant que les frissons qu’elle afflige à mon être et construire au creux de ses bras un avenir tendre et sécurisant.
Nous formons un groupe de cinq filles. Il y a Michiru alias Michi, nous la considérons comme une petite sœur. Âgée de dix-huit ans, elle est quelqu’un d’affable et d’énergique, elle est sérieuse dans ses études et elle vise des études supérieures après le bac afin de devenir psychologue pour enfants. c’est notre meilleure amie depuis le collège, elle entretient une relation plus qu’élève/professeur avec Haruka, notre enseignante en mathématiques, nous leur avons fait la promesse de garder leur union secrète jusqu’à ce que Michi puisse sortir du cursus scolaire.
Ensuite vient ma meilleure amie, Zane de son vrai nom Zanella est une Italienne de dix-huit ans espiègle et joueuse, elle est la clownesse du groupe toujours le mot pour rire et où détendre une atmosphère. Passionnée de manga et par la cuisine, si elle obtient son bac, elle désire faire des études plus poussées afin de pouvoir un jour bâtir son restaurant. Elle est également la sœur jumelle de la femme dont je suis éperdument éprise.
Par la suite arrive ma précieuse jumelle avec qui je suis très proche et fusionnelle. C’est une femme au tempérament de feu, elle n’est pas du genre à se laisser faire ni à se laisser rabaisser. Passionnée par la photographie et le voyage, Giulia est quelqu’un de sérieux dans ses études, elle désire faire de grandes études et devenir médecin.
Enfin, il y a Tessandra, nous la surnommons toute Tessa. âgée de dix-huit ans, elle est une femme merveilleuse et entreprenante dans tout ce qu’elle entreprend. Elle aime le manga ainsi que le dessin, c’est quelqu’un d’avenant et de généreux, nous pouvons toutes compter sur elle en cas de besoin, elle est un peu comme la " maman " du groupe.
Je laisse échapper un soupir, tout en me laissant enivrer par la fraîcheur du soir et par mes sentiments. Garder de tels émois en mon cœur est devenu insupportable, je n’arrive plus à la regarder sans avoir cette envie indéniable de lui sauter au cou et de l’embrasser. Toutes ses émotions qui brûlent en moi je n’arrive plus à les contenir, il faut que je trouve suffisamment de courage pour lui ouvrir enfin mon cœur.
Demain, nous partirons toutes les six à Venise pour deux semaines consécutives. Nous serons accueillis par ma famille, d’ailleurs plus j’y pense et moins j’ai hâte d’y être. Cela va faire des années que Giulia et moi sommes en discorde avec Mileny, notre sœur jumelle qui après un grave accident de la route a perdu l’usage de ses jambes. Nous n’avons jamais sué pourquoi cette querelle entre nous avait éclaté. Depuis je garde un très mauvais souvenir d’elle.
Exténuée, je finis par entrer à l’intérieur de notre chambre, Giulia et moi nous la partageons depuis notre enfance, nous dormons également dans un grand lit baldaquins n’ayant pas perdu l’habitude de dormir ensemble. J’esquive un tendre sourire en la voyant en train d’écrire. Curieuse, je me dirige vers elle et lui demande :
« - Qu’est-ce que tu écris ?
- Franchement, je n’en sais rien !
- Qu’est-ce qui ne va pas Giu ?
- J’en ai marre de me taire par apport à Zane !
- C’est vrai que ça commence à peser tout sa, moi-même j’en ai assez de garder ce que je ressens au fond de moi !
- Dis et si … on allaient les voir ?
- Il est tard tu sais.
- Lorsqu’il s’agit du cœur rien n’est jamais tard. »
Le sourire que j’arbore devient plus doux, la fin de sa phrase a pour effet de m’attendrir. Je viens tendrement lui embrasser le front puis lui dit souriante.
« - Dans ce cas, couvre toi !
- Nous y allons ??
- Oui, après tout il serait peut-être temps de leur dire !
- Que je t’aime.
- Moi aussi. »
Nous nous échangeons un doux sourire avant de nous changer. J’enfile une longue jupe noire suivie d’un chemisier blanc. Je couvre ce dernier par un pull à col roulé blanc. Je me chausse d’une paire de bottines noire à talon, puis me dirige vers notre salle bain. Je saisis une brosse et arrange mes cheveux, je me fais un demi-chignon laissant mes anglaises caresser mes épaules. Durant une fraction de seconde, je me regarde à travers le miroir et je me mets furieusement à rougir en pensant que j’allais devoir lui ouvrir mon cœur. Je me maquille légèrement, un trait fin de lainer noir vient souligner l’azur de mes prunelles derrière mes lunettes et un rouge à lèvres rouge pour faire ressortir la femme qui est en moi. Je me clipse une paire de Créoles argentés et me parfum légèrement avant de gagner l’intérieur de ma chambre.
« - C’est bon je suis …
- Tu es ?
- Adrina je te trouve très belle comme ça !
- C’est gentille !
- Si Tessa ne tombe pas sous ton charme alors je me résous à faire la cuisine toute la semaine.
- Ah ah ah, ne dit pas de bêtise voyons, allons y.
- Ouiiii ! »
La voir de nouveau requinquer me fait d’avantage sourire, je prends les clefs de la maison, puis nous sortons de notre chambre afin de nous rendre à l’extérieur. Il n’y a pas un bruit, le vent fait tinter nos boucles d’oreilles. Je ferme la maison puis m’élance à droite de ma jumelle sur le trottoir.
« - Dis, comment tu comptes lui avouer ?
- Je ne sais pas, et toi ?
- Je pense que je lui dirais lorsque je l’embrasserais !
- C’est mignon. »
Nous rions dans les rues désertes. Je me demande comment je vais lui avouer ce que je ressens, bien que je rêve de cet instant depuis trois longues années, je deviens subitement nerveuse. Au bout de quelques minutes de trajet à pied, Giulia et moi arrivons devant la maison des Kazama. La lumière de leur chambre est allumée le reflet de deux ombres se voit sur le bitume de leur balcon. J’échange un regard avec ma jumelle, j’inspire profondément puis nous nous dirigeons vers l’entrée de la demeure.
« - Attend je vais envoyer un message à zizou, Lydie doit sûrement dormir ! »
Je ne dis aucun mot et la laisse faire. Le vent joue avec mes anglaises, mon cœur se met à battre la chamade. J’ose espérer avoir assez de courage et lui déclarer ma flamme. Un bruit se fait entendre à l’intérieur, une chaleur agréable nous enveloppe lorsque la porte s’ouvre.
« - Tient salut vous deux, comment ça va ?
- Bien et toi ?
- Bah écoute on vient juste de finir nos valises pour demain.
- Tant mieux, dis Tess est en haut ?
- Oui, tu peut monter.
- Merci la brune, Giu est venue pour te parler. »
Ma meilleure amie nous adresse un sourire, puis nous fait entrer.Je lève discrètement mon pouce en l’air afin d’encourager ma jumelle. En silence, je monte l’escalier principal, mon cœur cogne de plus en plus fort. Lorsque j’arrive devant leur chambre, j’inspire une dernière fois et entre à l’’intérieur. Je peux la voir sur le balcon en peignoir, je retire mes bottes et me dirige rougissante vers l’extérieur de la chambre.
« - Tess ?
- Oui … Tient si je m’attendais à te voir, Giu est ici je suppose ?
- Oui elle est en-bas avec Zane.
- Je suis heureuse de te voir !
- Ah … ah oui ?
- Oui, je pensais justement à toi. »
Sa phrase résonne tendrement au creux de mon oreille, elle réduit la distance entre nous et plonge son regard magnifique dans le mien. Le temps se fige, je m’approche à mon tour et attrape les côtés de son peignoir. Un long frisson me parcourt l’échine lorsque je sens ses mains se poser sur mes reins. Nous nous échangeons un long regard empreint d’une grande tendresse, mon cœur bat extrêmement vite, me retrouver si près d’elle est comme un rêve. Elle m’adresse un sourire sincère, je fais un pas vers elle avant de me retrouver, presser contre son corps. Nos visages qui s’inclinent légèrement laisse nos nez se toucher. Nous entamons, de doux va et vient sans nous lâcher du regard.
« - Moi aussi, à vrai dire je n’arrête pas de penser à toi !
- Te l’entendre dire me rend tellement heureuse.
- Moi, c’est d’être avec toi qui me rend indéniablement heureuse … ma Tessa ! »
Je ferme les yeux me laissant envahir par mes émotions, je me rends bien compte des mots que je lui dis, mais je ne peux pas continuer à me mentir davantage je suis dingue d’elle. Nous resserrons notre étreinte, sans nous soucier du bruit à l’intérieur de sa chambre. Ses mains sur mes reins me caressent, elle est tellement douce et l’embaument parfum qui émane d’elle fait soulever mon cœur de quelques bons. Je monte doucement mes mains venant saisir son visage, une vague de tendresse m’enivre au moment où nos lèvres se frôlent.
Un long frisson caresse ma colonne vertébrale, mon cœur qui bat rudement vite m’abandonne à ses douces pulsions d’amour que nos corps sont en train de s’échanger. Je caresse ses joues de mes pouces, ouvrant doucement mes lèvres ainsi me prêter au jeu des siennes. Je laisse mes doigts se faufiler dans son émail onyx, je m’avance doucement la plaque contre la rambarde du balcon et je l’embrasse cette fois-ci d’un long et langoureux baiser.
Ce moment voilà trois longues années que j’en rêve, trente-six petits mois que je rêve de pouvoir me comporter comme une femme amoureuse. Nos souffles se mélangent, nous laissons nos langues se rencontrer, elles donnent plus de passion et d’intensité à notre baiser, un baiser divinement long tendre est éperdument amoureux. Mon cœur exprime le bonheur qu’elle me fait ressentir à travers notre étreinte. Nous ne sommes plus de simples petites filles, nous sommes deux femmes qui goûtent et profitent pleinement d’un moment de plaisir et de jouissance.
« - Voilà cinq ans que je rêve de ce moment avec toi !
- Je ne t’ai jamais considéré comme une simple amie. »
Elle ne peut s’imaginer qu’à travers ses mots si tendres, elle me comble d’un bonheur intense, savoir que nos cœurs sont à présent unis me fait fondre, une larme roule le long de ma joue. Nos lèvres devenues avides de tendresse se claquent doucement, je laisse mes bras s’allonger sur ses épaules tandis qu’elle me serre dans ses bras, l’une de ses mains me procure un délicieux frisson, ses doigts massent affectueusement mon crâne.
Nos lèvres se séparent à regret, mon front contre le sien, j’ouvre mes yeux qui scintillent tel un diamant et les plongent dans les siens qui à dire vrai me dévisagent amoureusement. Le vent fait voler le bas de ma jupe ainsi que son dégradé, ce qui la rend à cet instant magnifique. Je place ma main droite sous son menton, le soulève et tout en lui offrant un regard rempli de tendresse, je dépose un léger baiser sur son nez.
« - Tu ne peut t’imaginer, à quel point tu viens de me combler.
- Moi … qui été sur le point de laisser le temps faire, je suis tellement heureuse si tu savais ! »
Mon regard devient plus doux et amoureux, le froid nous gagnes, mais aucune ne veut se défaire de ce moment tellement rêvé. Je laisse mon pouce glisser tendrement sur sa joue, avant de lui offrir un second baiser.
« - Je t’aime Tessandra !
- Je t’aime aussi ma tendre Adrina. »
Mon cœur face à ses mots si tendres flanche de nouveau, il me fait comprendre à travers des battements saccadés qu’il est incapable de freiner dans ce bonheur immaculé. Alors que le chant des grillons résonne dans le jardin, nous nous embrassons avec tout l’amour et la tendresse que nous consumons depuis huit longues années. Un nouveau chemin est sur le point de s’ouvrir, je ne manquerais pas de marcher amoureusement à ses côtés sur ce chemin que nous nous apprêtons à emprunter ensemble. [/b]
Il fait nuit, le ciel est d’un noir des plus sinistres. Les étoiles s’étendent à perte de vue dans l’immense galaxie, aucun nuage n’est à l’horizon et ce soir, la lune est pleine. Un spectacle magnifique, un paysage relaxant qui nous permet durant une fraction de seconde de nous évader et penser à autre chose qu’à la chaleur brûlante de notre cœur. En ce mois d’hiver, où les flocons de neige recouvrent d’un épais manteau blanc la ville de Tokyo, je me retrouve accoudée sur la rambarde du balcon, chaudement vêtu d’un peignoir vermillon, mes anglaises virevoltent avec la brise légère du soir.
Mes pensées sont toutes rivées sur la femme que je porte affectueusement dans mon cœur depuis trois ans. Trois longues et tendres années à m’émouvoir avec passion et sincérité à son égard. Je ne cesse de lui porter autant de tendresse et de dévouement depuis que mon cœur s’est amouraché pour le sien. Elle et moi nous nous fréquentons depuis la quatrième avec nos sœurs jumelles et notre meilleure amie. Aujourd’hui âgées de dix-huit et dix-sept ans, nous sommes devenus deux femmes complices et fusionnelles, nous sommes sans cesse en train de faire les quatre cents coups ensemble, nous aimons elle et moi la lecture japonaise, nous sommes toujours présentes lorsque l’une ne va pas bien.
Depuis notre rencontre, elle a fait naître en moi un profond sentiment d’amour et de tendresse, plus les jours passent moins, j’imagine passer ma vie sans elle. Je désire plus que tout lui faire part de mon amour aussi vibrant que les frissons qu’elle afflige à mon être et construire au creux de ses bras un avenir tendre et sécurisant.
Nous formons un groupe de cinq filles. Il y a Michiru alias Michi, nous la considérons comme une petite sœur. Âgée de dix-huit ans, elle est quelqu’un d’affable et d’énergique, elle est sérieuse dans ses études et elle vise des études supérieures après le bac afin de devenir psychologue pour enfants. c’est notre meilleure amie depuis le collège, elle entretient une relation plus qu’élève/professeur avec Haruka, notre enseignante en mathématiques, nous leur avons fait la promesse de garder leur union secrète jusqu’à ce que Michi puisse sortir du cursus scolaire.
Ensuite vient ma meilleure amie, Zane de son vrai nom Zanella est une Italienne de dix-huit ans espiègle et joueuse, elle est la clownesse du groupe toujours le mot pour rire et où détendre une atmosphère. Passionnée de manga et par la cuisine, si elle obtient son bac, elle désire faire des études plus poussées afin de pouvoir un jour bâtir son restaurant. Elle est également la sœur jumelle de la femme dont je suis éperdument éprise.
Par la suite arrive ma précieuse jumelle avec qui je suis très proche et fusionnelle. C’est une femme au tempérament de feu, elle n’est pas du genre à se laisser faire ni à se laisser rabaisser. Passionnée par la photographie et le voyage, Giulia est quelqu’un de sérieux dans ses études, elle désire faire de grandes études et devenir médecin.
Enfin, il y a Tessandra, nous la surnommons toute Tessa. âgée de dix-huit ans, elle est une femme merveilleuse et entreprenante dans tout ce qu’elle entreprend. Elle aime le manga ainsi que le dessin, c’est quelqu’un d’avenant et de généreux, nous pouvons toutes compter sur elle en cas de besoin, elle est un peu comme la " maman " du groupe.
Je laisse échapper un soupir, tout en me laissant enivrer par la fraîcheur du soir et par mes sentiments. Garder de tels émois en mon cœur est devenu insupportable, je n’arrive plus à la regarder sans avoir cette envie indéniable de lui sauter au cou et de l’embrasser. Toutes ses émotions qui brûlent en moi je n’arrive plus à les contenir, il faut que je trouve suffisamment de courage pour lui ouvrir enfin mon cœur.
Demain, nous partirons toutes les six à Venise pour deux semaines consécutives. Nous serons accueillis par ma famille, d’ailleurs plus j’y pense et moins j’ai hâte d’y être. Cela va faire des années que Giulia et moi sommes en discorde avec Mileny, notre sœur jumelle qui après un grave accident de la route a perdu l’usage de ses jambes. Nous n’avons jamais sué pourquoi cette querelle entre nous avait éclaté. Depuis je garde un très mauvais souvenir d’elle.
Exténuée, je finis par entrer à l’intérieur de notre chambre, Giulia et moi nous la partageons depuis notre enfance, nous dormons également dans un grand lit baldaquins n’ayant pas perdu l’habitude de dormir ensemble. J’esquive un tendre sourire en la voyant en train d’écrire. Curieuse, je me dirige vers elle et lui demande :
« - Qu’est-ce que tu écris ?
- Franchement, je n’en sais rien !
- Qu’est-ce qui ne va pas Giu ?
- J’en ai marre de me taire par apport à Zane !
- C’est vrai que ça commence à peser tout sa, moi-même j’en ai assez de garder ce que je ressens au fond de moi !
- Dis et si … on allaient les voir ?
- Il est tard tu sais.
- Lorsqu’il s’agit du cœur rien n’est jamais tard. »
Le sourire que j’arbore devient plus doux, la fin de sa phrase a pour effet de m’attendrir. Je viens tendrement lui embrasser le front puis lui dit souriante.
« - Dans ce cas, couvre toi !
- Nous y allons ??
- Oui, après tout il serait peut-être temps de leur dire !
- Que je t’aime.
- Moi aussi. »
Nous nous échangeons un doux sourire avant de nous changer. J’enfile une longue jupe noire suivie d’un chemisier blanc. Je couvre ce dernier par un pull à col roulé blanc. Je me chausse d’une paire de bottines noire à talon, puis me dirige vers notre salle bain. Je saisis une brosse et arrange mes cheveux, je me fais un demi-chignon laissant mes anglaises caresser mes épaules. Durant une fraction de seconde, je me regarde à travers le miroir et je me mets furieusement à rougir en pensant que j’allais devoir lui ouvrir mon cœur. Je me maquille légèrement, un trait fin de lainer noir vient souligner l’azur de mes prunelles derrière mes lunettes et un rouge à lèvres rouge pour faire ressortir la femme qui est en moi. Je me clipse une paire de Créoles argentés et me parfum légèrement avant de gagner l’intérieur de ma chambre.
« - C’est bon je suis …
- Tu es ?
- Adrina je te trouve très belle comme ça !
- C’est gentille !
- Si Tessa ne tombe pas sous ton charme alors je me résous à faire la cuisine toute la semaine.
- Ah ah ah, ne dit pas de bêtise voyons, allons y.
- Ouiiii ! »
La voir de nouveau requinquer me fait d’avantage sourire, je prends les clefs de la maison, puis nous sortons de notre chambre afin de nous rendre à l’extérieur. Il n’y a pas un bruit, le vent fait tinter nos boucles d’oreilles. Je ferme la maison puis m’élance à droite de ma jumelle sur le trottoir.
« - Dis, comment tu comptes lui avouer ?
- Je ne sais pas, et toi ?
- Je pense que je lui dirais lorsque je l’embrasserais !
- C’est mignon. »
Nous rions dans les rues désertes. Je me demande comment je vais lui avouer ce que je ressens, bien que je rêve de cet instant depuis trois longues années, je deviens subitement nerveuse. Au bout de quelques minutes de trajet à pied, Giulia et moi arrivons devant la maison des Kazama. La lumière de leur chambre est allumée le reflet de deux ombres se voit sur le bitume de leur balcon. J’échange un regard avec ma jumelle, j’inspire profondément puis nous nous dirigeons vers l’entrée de la demeure.
« - Attend je vais envoyer un message à zizou, Lydie doit sûrement dormir ! »
Je ne dis aucun mot et la laisse faire. Le vent joue avec mes anglaises, mon cœur se met à battre la chamade. J’ose espérer avoir assez de courage et lui déclarer ma flamme. Un bruit se fait entendre à l’intérieur, une chaleur agréable nous enveloppe lorsque la porte s’ouvre.
« - Tient salut vous deux, comment ça va ?
- Bien et toi ?
- Bah écoute on vient juste de finir nos valises pour demain.
- Tant mieux, dis Tess est en haut ?
- Oui, tu peut monter.
- Merci la brune, Giu est venue pour te parler. »
Ma meilleure amie nous adresse un sourire, puis nous fait entrer.Je lève discrètement mon pouce en l’air afin d’encourager ma jumelle. En silence, je monte l’escalier principal, mon cœur cogne de plus en plus fort. Lorsque j’arrive devant leur chambre, j’inspire une dernière fois et entre à l’’intérieur. Je peux la voir sur le balcon en peignoir, je retire mes bottes et me dirige rougissante vers l’extérieur de la chambre.
« - Tess ?
- Oui … Tient si je m’attendais à te voir, Giu est ici je suppose ?
- Oui elle est en-bas avec Zane.
- Je suis heureuse de te voir !
- Ah … ah oui ?
- Oui, je pensais justement à toi. »
Sa phrase résonne tendrement au creux de mon oreille, elle réduit la distance entre nous et plonge son regard magnifique dans le mien. Le temps se fige, je m’approche à mon tour et attrape les côtés de son peignoir. Un long frisson me parcourt l’échine lorsque je sens ses mains se poser sur mes reins. Nous nous échangeons un long regard empreint d’une grande tendresse, mon cœur bat extrêmement vite, me retrouver si près d’elle est comme un rêve. Elle m’adresse un sourire sincère, je fais un pas vers elle avant de me retrouver, presser contre son corps. Nos visages qui s’inclinent légèrement laisse nos nez se toucher. Nous entamons, de doux va et vient sans nous lâcher du regard.
« - Moi aussi, à vrai dire je n’arrête pas de penser à toi !
- Te l’entendre dire me rend tellement heureuse.
- Moi, c’est d’être avec toi qui me rend indéniablement heureuse … ma Tessa ! »
Je ferme les yeux me laissant envahir par mes émotions, je me rends bien compte des mots que je lui dis, mais je ne peux pas continuer à me mentir davantage je suis dingue d’elle. Nous resserrons notre étreinte, sans nous soucier du bruit à l’intérieur de sa chambre. Ses mains sur mes reins me caressent, elle est tellement douce et l’embaument parfum qui émane d’elle fait soulever mon cœur de quelques bons. Je monte doucement mes mains venant saisir son visage, une vague de tendresse m’enivre au moment où nos lèvres se frôlent.
Un long frisson caresse ma colonne vertébrale, mon cœur qui bat rudement vite m’abandonne à ses douces pulsions d’amour que nos corps sont en train de s’échanger. Je caresse ses joues de mes pouces, ouvrant doucement mes lèvres ainsi me prêter au jeu des siennes. Je laisse mes doigts se faufiler dans son émail onyx, je m’avance doucement la plaque contre la rambarde du balcon et je l’embrasse cette fois-ci d’un long et langoureux baiser.
Ce moment voilà trois longues années que j’en rêve, trente-six petits mois que je rêve de pouvoir me comporter comme une femme amoureuse. Nos souffles se mélangent, nous laissons nos langues se rencontrer, elles donnent plus de passion et d’intensité à notre baiser, un baiser divinement long tendre est éperdument amoureux. Mon cœur exprime le bonheur qu’elle me fait ressentir à travers notre étreinte. Nous ne sommes plus de simples petites filles, nous sommes deux femmes qui goûtent et profitent pleinement d’un moment de plaisir et de jouissance.
« - Voilà cinq ans que je rêve de ce moment avec toi !
- Je ne t’ai jamais considéré comme une simple amie. »
Elle ne peut s’imaginer qu’à travers ses mots si tendres, elle me comble d’un bonheur intense, savoir que nos cœurs sont à présent unis me fait fondre, une larme roule le long de ma joue. Nos lèvres devenues avides de tendresse se claquent doucement, je laisse mes bras s’allonger sur ses épaules tandis qu’elle me serre dans ses bras, l’une de ses mains me procure un délicieux frisson, ses doigts massent affectueusement mon crâne.
Nos lèvres se séparent à regret, mon front contre le sien, j’ouvre mes yeux qui scintillent tel un diamant et les plongent dans les siens qui à dire vrai me dévisagent amoureusement. Le vent fait voler le bas de ma jupe ainsi que son dégradé, ce qui la rend à cet instant magnifique. Je place ma main droite sous son menton, le soulève et tout en lui offrant un regard rempli de tendresse, je dépose un léger baiser sur son nez.
« - Tu ne peut t’imaginer, à quel point tu viens de me combler.
- Moi … qui été sur le point de laisser le temps faire, je suis tellement heureuse si tu savais ! »
Mon regard devient plus doux et amoureux, le froid nous gagnes, mais aucune ne veut se défaire de ce moment tellement rêvé. Je laisse mon pouce glisser tendrement sur sa joue, avant de lui offrir un second baiser.
« - Je t’aime Tessandra !
- Je t’aime aussi ma tendre Adrina. »
Mon cœur face à ses mots si tendres flanche de nouveau, il me fait comprendre à travers des battements saccadés qu’il est incapable de freiner dans ce bonheur immaculé. Alors que le chant des grillons résonne dans le jardin, nous nous embrassons avec tout l’amour et la tendresse que nous consumons depuis huit longues années. Un nouveau chemin est sur le point de s’ouvrir, je ne manquerais pas de marcher amoureusement à ses côtés sur ce chemin que nous nous apprêtons à emprunter ensemble. [/b]
Mar 10 Jan 2017, 00:58 par
JadeLightnore sur Histoires d'amour
L'amour est-il un crime ? chapitre 5
Eh bien, bonjour à tous, me voila avec le chapitre 5, j’espère que cela vous plaira ^^ et merci à inlove ton dernier commentaire ma beaucoup touché merci :)
Chapitre 5 : Un anniversaire inoubliable
Point de vue Narrateur.
Point de vue Narrateur.
Depuis que le devoir de l’exposé est passé une semaine venais de s’écouler et les vacance de la Toussain est enfin arrivé. Aujourd’hui nous sommes le 21 octobre, jour ou notre petite Michi passe dans la cour des grands. Nous nous retrouvons devant l’appartement d’Haruka, et si nous tendions un peut plus l’oreille, on pouvais entendre du bruit.
Haruka – Michi, tu viens !
Michiru – oui oui j’arive.
Cette dernière après quelques minutes d’attente interminable celon Haruka fit enfin son entré devant les escaliers. La jeune femme blonde eu un tendre sourire en voyant sa cher et tendre habillé ainsi. Elle lui dis alors :
Haruka – je comprend mieux pourquoi tu mettait autant de temps … Alala je vous jure ses filles.
Michiru – dois-je te rappeller que tu en est une aussi !
Haruka – peut être, mais je ne passe pas des heures devant le miroir.
Michiru – c’est un peut normal, puisque toi, tu est belle au naturelle, tu n’as nulle besoin de rajouter des babioles car tu est déjà ravissante.
Haruka touché de ses propos monte les escaliers, et comme Michiru était toujours sous béquilles, elle la porta tel une princesse. Arrivé en-bas elle la dépose sur le sol, et la dévisage avec douceur.
Michiru bien que le temps se soit un peut rafraîchit, avait opté pour une jolie robe bleu vert, il y avait 4 petits boutons bleu marine sur le haut. Ses cheveux qui habituellement son lâchés sont retenue par une couette basse sur le côté gauche. Elle était vraiment très jolie aux yeux d’Haruka qui ne cesser de la dévorer du regard.
Haruka – tu est vraiment très jolie.
Michiru – merci !
Elle lui caresse sa joue, et la jeune femme blonde lui déposa un léger baiser. Un petit instant bien à elles, voilà maintenant 3 semaines qu’elle partagées leurs vies à deux, et elles étaient très épanouie ensemble.
Après ce petit échange, les deux jeunes femmes sortir de l’appartement.
Michiru – ah bonheur, je vais peut être me débarrasser de ses foutue béquilles.
Haruka – ah ah, mais sa dépendra de comment est ta hanche !
Michiru – Haru … Ne casse pas mon rêve !
Cette dernière ce met à rire, et toutes deux entames leur marche dans le long couloir de la résidence. Arrivé au bord de la première marche Haruka prit Michiru dans ses bras, et descend les quatre étages prudemment. Quand elle furent arrivées jusqu’au parking, la jeune blonde déverrouillé l’alarme, et ouvrant la porte passager posa sa jeune protégé sur le siège.
Michiru – merci !
Haruka – de rien chaton.
Elle lui dépose un léger baiser, et à son tour monte dans sa voiture. Allumant le conteur de cette dernière, Haruka fit une marche arrière, et partie enfin direction le médecin.
Point de vue Haruka.
Ah … Je me demande par quoi je vais commencer aujourd’hui, car étant donné que c’est son anniversaire, j’avais quelques surprises en réservation, mais je ne sais pas par laquel commencer.
Michiru – au faite Haru …
Moi – oui qui y’a t-il ?
Michiru – c’est quand que le directeur envoie nos bulletin de premier trimestre ?
Moi – dans la semaine qui va suivre tout au plus.
Michiru – eh bien, j’espère juste de ne pas encore avoir baisser de niveau !
Moi – comment sa baisser de niveau ?
Je fut surprise de ses mots car de toute la classe, elle est la meilleur, c’est elle qui tiens la meilleure moyenne et pas que dans mes cours.
Michiru – bah tu sais je n’aie jamais était supère forte en cour, je me rappelle encore se que sa donné au collège !
Moi – j’ai du mal à te croire, car ce n’aie pas du tout le cas depuis la rentrée.
Michiru – ah mais sa, c’est parce ce que j’ai un supère professeur !
Je me suis mise à sourire, et voulant jouer la curieuse je lui demande :
Moi – ah … Et comment est ce professeur si particulier ?
Je voie un petit sourire apparaître sur son visage, ses yeux fixent l’horizon et sa voix que j’aime tant entendre résonne.
Michiru – eh bien … Par ou commencer, il y a tellement de choses à dire sur ce professeur. Depuis ma rencontre avec elle, je ne sais pas, mais la vie est devenue nettement plus agréable, je l’admir beaucoup, et en plus d’être mon professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géo, elle est avant tout la femme que j’aime. Sans la regarder, je connais les moindre petites chose qui la rende si belle. De magnifique yeux vert émeraude, un regard qui m’envoûte à chaque fois, une chevelure doré, une taille fine et élancé, et puis elle a ce petit quelque chose qui m’attire encore plus que tout ses détails, son côté masculin que je trouve vraiment attirant, sa la rend si belle … Et en fin de compte, cette femme qui fait tant chavirer mon cœur à deux personnalité, en cour, c’est le professeur sur d’elle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, alors qu’à la maison c’est tout autre, j’ai pue découvrir avec joie qu’elle était en fin de compte très douce, gentil, aimable et très câline, se que j’aprécie car étant moi même très câline, j’aime ses câlins, me retrouver dans ses bras tout contre elle et son cœur. Non vraiment ce professeur je l’aime et l’admir !
À plusieurs reprise mon cœur loupe plusieurs battements, je suis heureuse vraiment heureuse de constater qu’elle tiens autant à moi que moi je tiens à elle. Je m’arrête à un feu rouge, et vint lui prendre la main.
Moi – et ce professeur qu’est t-il ?
Michiru – elle est la moitié de mon cœur, et … Elle est ma partenaire, ma petite femme à moi.
Je sourit tendrement, et m’approche de son visage, je lui prend délicatement le menton, et lui caresse la joue.
Moi – je t’aime !
Michiru – moi aussi Haru je t’aime.
On se sourit, et pour quelques secondes nos lèvres s’unirent dans un doux et long baiser. Je sens sa main se poser sur ma cuisse, ses doigts caresse le fin tissu qui sépare ma peau. Sa langue qui se mêle tendrement à la mienne, c’est un véritable bonheur pour moi, c’est la première fois en 23 ans que je me sens véritablement aimé, et en 23 ans c’est la première fois que je suis autant amoureuse.
On se détachent doucement, et je vint faire frotter mon nez tendrement contre le sien. Elle avait le sourire, un sourire magnifique que j’aime et que je ne me lacerais jamais de regarder. Je lui embrasse le nez et lui murmure avant de reprendre la route :
Moi – quand arrêteras tu de me rendre folle ?
Michiru – folle ? Et de quoi ?
Moi – folle et éperdument amoureuse.
Michiru – je ne le fait pas exprès, mais toi aussi, tu me rend folle chaque jours, chaque minutes et chaque seconde … Ma douce et jolie blonde.
Je lui sourit, un sourire prête à m’en décrocher la mâchoire, je l’embrasse avec douceur, et repris la route direction le parking souterrain. Après quelques minutes de recherche, je rentre dans le parking, essayant de trouver une place.
Michiru- Haru, la tu en a une !
Elle me montre du doigt une place effectivement vide, je sourit et partit me garer.
Moi – merci princesse.
J’éteins le moteur, et sortie de la voiture, remetant ma chemise noire en place. Je me dirige vers la porte passager de Michi, ouvre cette dernière, et vint l’aider à sortir.
Michiru – merci.
Je ferme la porte, pose ses béquilles contre la Porshe, et vint l’enlacer tendrement dans mes bras. Ses bras s’allonge sur mes épaules, et ses mains se mettent à caresser ma nuque. Alors que les miennes descendait le long de son dos. Posant de tant à autre mes lèvres sur son cou.
Moi – quoiqu’il arrive promet moi une chose !
Michiru – tout se que tu veux.
Je lui soulève le menton et lui murmure en caressant sa joue :
Moi – promet moi, que … Que quoiqu’il advienne rien ne pourra se mettre entre nous Michi.
Michiru – je ne sais pas se que va nous reserver l’avenir, mais je te fais la promesse de te garder auprès de moi ma chérie et sa quoiqu’il arrive.
Moi – je t’aime.
Michiru – plus que tout !
Je lui sourit tendrement, et ses lèvres prirent possession des miennes. Ses mains se posent sur mes joues, et ses doigts me caresse. Je laisse mes mains crée une sensation de douceur sur son dos m’approchant doucement d’elle afin d’être serrer contre son cœur. A cet instant j’étais vraiment la plus heureuse.
Je me décolle doucement, écarte quelques mèches bleutée de ses yeux, et lui embrasse le nez. Je lui tend ses béquilles, et c’est en discutant que nous nous avançons vers la sortie du parking.
Michiru – rah lala, j’ai hâte de pouvoir quitter ses chose.
Moi – ah ah, tu est bien impatiente dis moi !
Michiru – oh mais tu c’est je peut me montrer très patiente et coopérente quand t-il le faut.
Moi – ah et dans quoi par exemple ?
Michiru – je c’est me montrer patiente lorsqu’il s’agit de construir un avenir à deux.
Je sourit, continuant de marcher, on prit l’assenceur, et une fois en-bas on se dirige vers le cabinet du médecin qui n’était plus très loin.
Moi – au faite Michi, tu as prit ton roman ?
Michiru – oui oui ne t’inquiète pas, bien que je me demande pourquoi !
Moi – tu verra bien.
Je lui fit un clin d’oeil, et une fois arriver au cabinet je pousse la porte et la laisse rentrer. Je passe à mon tour et parti m’asseoir sur une chaise juste à sa droite. Sa tête se pose sur mon épaule, et ma main prit la sienne. Nos doigts s’entrelacent automatiquement, et je vint lui caresser à l’aide de mon pouce.
Médecin – mademoiselle Kaio ?
Michiru – oui c’est moi !
Médecin – bonjour, vous venez ?
Je me lève, et suivit Michi à l’intérieur du bureau, j’allai prendre place sur une chaise à la gauche de ma douce, et le médecin ce mit à parler.
Médecin – alors comment te sent tu ?
Michiru – ben, nettement mieux, même si parfois j’ai des douleurs qui me lance !
Médecin – me permet tu que je jette un œil ?
Michiru – euh … Oui !
Médecin – suis moi alors.
Son regard se pose sur moi, je lui tapote le nez et lui fit un clin d’oeil. Elle parti donc derrière un rideau, et je vint attendre.
Médecin – ou mais c’est que sa c’est grandement améliorer, on ne voie quasiment plus rien. Donc je suggère que nous te retirons les béquilles.
Michiru – oh bonheur … Si vous savait comme je suis contente de me séparer de ses choses.
Médecin – ah ah, aller viens, je vais tout de même te préscrire une pomade qu’il faudra appliquer sur la cicatrice et sa pendant deux semaine tout les soir.
Michiru – d’accord !
Je la voie revenir, et elle reprend place, m’adressant un grand sourire signe qu’elle était heureuse et soulagé de se débarrasser des béquilles et cela me fait bien rire. Après que le médecin m’est remis l’ordonnance, je sort de mon sac mon porte feuille et en sort ma carte vital, ayant mis Michi dessus pour qu’elle soit couverte et qu’elle est droit aux soins depuis son accident. Je met la carte dans la machine et laissa cette dernière faire les manipulations.
Médecin – merci. Aller je vous liber !
Moi – merci docteur, au revoir !
Michiru – merci encore.
Médecin – mais je vous en prie. Passez une bonne journée mesdames !
Ah, je croix que c’est le premier à remarquer que je suis une femme, due à ma masculinité je suis souvent prise pour un homme.
Quand on fut dehors, je me tourne vers Michi qui souriait.
Michiru – ah … Bonheur je vais enfin pouvoir faire ce que j’avais envie de faire sans les béquilles.
Moi – ah, et quoi donc ?
Michiru – bah déjà pouvoir prendre la main de celle que j’aime sans difficulté !
Je sourit, elle est vraiment adorable. Je lui prend sa main, et ses doigts s’emmêlent avec les miens, je mit mes lunettes de soleil sur le nez, et commence à marcher avec elle. Librement comme un vrai couple.
Michiru – dis moi Haru, on pourrais passer à la banque ?
Moi – oui pas de souci trésor.
On se sourit, et parti direction la banque. Une fois arrivé devant cette dernière j’en profite pour sortir un peut de liquide car je compter bien lui faire quelques cadeaux. Bien que les deux premiers soit gros.
Je me dirige vers elle, et me place à ses côtés.
Michiru – excusez moi, j’aimerais savoir combien me reste t-il se ma carte.
Conseiller – oui bien sur mademoiselle, quel est votre nom ?
Michiru – Kaio !
Conseiller – un instant je vous prit.
Pendant que l’homme cherché les informations souhaiter par Michi, nos yeux se croisent, je lui écarte quelques mèches, et lui offre un doux sourire.
Conseiller – mademoiselle Kaio !
Michiru – oui ?
Conseiller – voilà vous disposé d’un total de 20 876 €.
C’est énorme, Michi n’a pas l’air surprise.
Michiru – et vous savez si mon compte est encore en suspension ? Sachant que je viens d’atteindre ma majorité.
Conseiller – non nous avons réussi à vous débloquer !
Michiru – je vous remercie, passé une bonne journée.
Conseiller – mais je vous en prit.
Et après sa, nous sortîmes de la banque. Je remis mes lunettes de soleil, prit sa main dans la mienne, et commence à marcher avec elle.
Michiru – eh bien, je n’aurais jamais crue posséder une tel sommes.
Moi – c’est tout de même énorme … et comment se fait t-il que tu en est accumulé autant ?
Michiru – en faite, ma mère avant sa mort vivez dans un milieu très aisé, c’est pour sa que mon père a tant voulu sa mort pour pouvoir récupérer ses biens pas la suite. Quand je me suis retrouvait en famille d’accueil cette dernière disant que j’étais trop jeune pour avoir une tel sommes à fermé mon compte. Mais bon maintenant que j’ai 18 ans, j’ai le droit d’y toucher !
Moi – je comprend mieux … Aller tu me suis ?
Michiru – où sa ?
Moi – ah ah.
Je lui sourit, et la traina avec moi jusqu’à un bâtiment qu’elle connaissait que trop bien. Arrivé devant ce dernier, Michi fut surprise, elle se tourne vers moi et dit :
Michiru – Haru mais pourquoi on est devant l’édition Tomoé ?
Moi – et si on entré ?
Michiru – d’accord !
Et après ses quelques mots, on entrâmes à l’intérieur de l’édition.
Point de vue Michiru.
Je me demande se qu’elle a en tête. Je m’approche, et voie un homme de vieil âge avec une femme assez grande, un tailleur noir et blanc la couvrait.
Monsieur Tomoé – ah vous devez être mademoiselle Tenoh et mademoiselle Kaio ?
Haruka – c’est exact, bonjour monsieur Tomoé ! Bonjour madame.
Madame Tomoé – bonjour, venez assayez-vous.
Sans que je ne comprenne la tournure des événement qui défilent devant mes yeux, je prend place sur une chaise, à la gauche de ma jolie blonde.
Monsieur T – alors qui est mademoiselle Kaio ?
Moi – euh … C’est moi monsieur.
Monsieur T – bonjour à toi, alors je supose que tu te demande se que tu fait ici !
Moi – oui !
L’homme me passe un calpin avec une feuille dessus. J’observe cette dernière et remarque que c’est un contrat … Un contrat ? Mais bien que je connaisse parfaitement cet édition, je n’aie jamais envoyer mon roman, du moins je n’ose pas l’envoyer de peur que cela ne soit pas à la hauteur de leur attentes. Je regarde Haruka qui me souriait tendrement. Ce pourrait t-il que …
Monsieur T – en fait ton ami nous a contacté il y a quelques semaines et nous a fait comprendre que tu aimer écrire, et que tu avait par la même occasion terminé ton roman …
Madame T – elle nous la envoyée par mail … Et sa nous a beaucoup plus. Donc si tu es d’accord, nous pouvons le publier. Et je serait ton agent.
Je … Je n’arrive pas à y croire. Je retiens mes larmes qui son prête à couler, je suis tellement heureuse, un bonheur immense m’enivre, et je regarde Haruka le sourire aux lèvres.
Moi – euh … Je ne sais pas quoi dire, sa fait longtemps que je rêve du jour ou je pourrais me faire connaître dans ce domaine, mais je suis encore lycéenne.
Monsieur T – oui nous le savons, et comme tout a déjà était réglé, nous avons réfléchit ma femme et moi afin de te construire un emploi du temps adapter à ton statut scolaire. Donc serait tu d’accord pour faire de ton roman une première parution ?
Moi – oui.
Dans peut de temps j’allais exploser de joie, c’est elle qui a fait sa pour moi, car elle c’est que c’est ma passion. Je retiens au maximum mes larmes qui me menace, Haruka ainsi que moi signons, car il ne faut pas oublier que c’est aussi ma tutrice.
Les minutes s’écoulent et après avoir sérieusement parlé de ce futur projet, Haru et moi sortons du bâtiment.
Je me tourne, et sauta littéralement dans ses bras, laissant mes larmes de bonheur couler.
Moi – oh merci … Merci beaucoup pour ce que tu viens de faire. Si tu savais à quel point je suis heureuse !
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
J’arrive pas à le croire, c’est pour mon anniversaire qu’elle a fait sa. C’est le plus beau cadeaux que l’ont puisse me faire.
Moi – merci infiniment mon amour … Tu est vraiment génial.
Et sans me retenir je dépose mes lèvres sur les sienne. Heureuse et décidément éperdument amoureuse.
Point de vue Haruka.
Je suis vraiment heureuse, ma surprise la rendu heureuse, et sa me faisait beaucoup de bien, de la voir ainsi. Je lui caresse la joue et répond à son baiser . Tout se que je voulais c’est la voir heureuse et épanoui.
On se décolent doucement, et je lui écarte une mèche de ses yeux.
Moi – je suis heureuse que cela te plaise !
Michiru – merci beaucoup Haruka, tu viens de me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà !
Moi – contente de l’apprendre … Aller ont continue ?
Michiru – oui.
J’allonge mon bras droit sur ses épaule, alors que son bras gauche se pose sur mon dos. Nous continuons notre chemin, ignorant le regard des autres. Sa tête se pose sur mon épaule, et ses doigts se mirent à caresser ma hanche. On arrivent devant un magasin de vêtements féminin, Michi se tourne vers moi et me demande :
Michiru – dis Haru, on peut y aller ?
Moi – bien sur mon ange, aller je te suis.
Ses lèvres se pose sur ma joue, elle me sourit, et je la suivit à l’intérieur du petit commerce. Je la voie se diriger vers les robes, se qui me fait sourire. Alors qu’elle me fait signe qu’elle allait dans une cabine d’essayage. Je lui fit un clin d’oeil et me dirige vers un petit stand de bijou et fantaisie féminin. Je regarde et aperçut une paire de boucle d’oreille argenter en forme de goûte de pluie, accompagné de petits diamants plus brillant les uns que les autre. Je sourit et vint prendre le bijou en main.
Je sent soudain mon téléphone vibrer, je prend se dernier en main, et le déverrouille et consulte ma messagerie. C’est un message de Michi qui me demande de venir la voir. Je souris, range mon cellulaire dans la poche de mon pantalon noir, et me dirige vers le font, la ou se trouve les cabines.
Moi – je suis la Michi.
Je voie le rideau se tirer vers la gauche, et fut ébloui de la voir aussi jolie. La robe qu’elle portée est de couleur noire, il y avait un petit cœur ou l’ont pouvais voir sa peau, relié par une large ficelle noire au cou. Le contour du cœur est de couleur argenter.
Elle est tellement belle, elle fait plus femme dans cette robe et cela me fait encore plus chavirer.
Moi – tu est vraiment très belle dans cette robe Michi !
Michiru – c’est vrai ? Merci … C’est gentil. Donc allait je la prend.
Elle me sourit, et tire le rideau pour se couvrir afin de se changer. Je ne sais vraiment plus quoi dire … Tant de chose se sont passé depuis notre rencontre, et je voulais à tout prit la garder prêt de moi et pouvoir la chérir tendrement chaque jours.
Quelques petites minutes après, ma douce revint vers moi avec la robe noire, je lui prit, et vint saisir sa main.
Michiru – attend, j’ai vue des chaussures qui vont avec la robe !
Je sourit et la suivit à travers le magasin. Arriver prêt de ses fameuse chaussures, je jette un œil à ses dernière et effectivement elles étaient assortie à la robe, ouverte sur le dessus un fin talon et le contour de l’ouverture en argent.
Moi – quel pointure fais tu ?
Michiru – du 38.
Je me baisse, et chercha la taille 38. J’en trouve une, je vint doucement prendre le carton en faisant attention de ne pas faire tomber les autres. Je me tourne vers Michi, et ouvre le carton, prend une des paire, et vint lui prendre doucement le pied droit. Je lui retire sa ballerine, et lui passa la chaussure noire au pied. Je lève mes yeux vers elle et lui sourit tendrement.
Moi – comment tu te sent ?
Michiru – ça va oui, je ne suis pas sérré dedant !
Moi – dans ce cas.
Je remet la chaussure dans le carton, lui remis la balerine, me lève, prit sa main, et je nous dirige vers la caisse.
Moi – tu m’attend dehors ?
Michiru – mais Haru … Tu, tu en as déjà asse …
Moi – chuut … C’est ton anniversaire non ? Alors laisse moi te faire plaisir ma chérie d’accord ?
Michiru – tu est trop … C’est d’accord, je t’attend dehors.
Je lui tapote le nez, lui pose un délicat baiser, et la laissa filer. Je l’observe pendant quelques minutes, heureuse qu’elle soit devenue mienne qu’elle soit devenue … Ma petite femme à moi.
Quand ce fut mon tour, je passe les articles, et vint payer ce qu’il falait. Puis enfin je sorti avec une poche et les boucles d’oreilles que je garde en main. Arrivé à l’extérieur, je la vit en train de regarder le ciel. Je sourit, et me dirige vers elle.
Moi – c’est bon, je suis là !
Michiru – merci, tu est vraiment gentil, jusque là personne n’en avait fait autant pour moi !
Moi – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que je fait tout sa car …
Je vint la prendre dans mes bras, et dit en caressant sa joue :
Moi – pour toi rien n’est trop beau !
Michiru – je t’aime tu sais … Je t’aime de tout mon cœur.
Moi – moi aussi Michi je t’aime et te désir plus que tout.
Je la regarde dans les yeux et déposa mes lèvres sur les siennes, lui offrant un doux baiser. Ses mains se posent sur mes épaules, et les miennes reste sur ses joues. Mon cœur bat tellement fort … Je suis si heureuse.
Nos lèvres se détachent, et je la dévisage avec tendresse. Je prend les petite boucles, retire le plastique, enlève les attaches et vint doucement lui mettre les boucles. Je met les fermoirs pour ne pas qu’elle les perde. Je lui caresse la joue, et vint la prendre par les épaules. Sa main se place sur ma hanche gauche, et sa tête se pose sur mon épaule.
Michiru – merci …
Moi – ce n’aie rien, sa ma fait plaisir.
On se sourit, et nous continuâmes de marcher dans la rue marchande. Après quelques heures de promenade, nous étions enfin rentrée à la maison. Je me trouver face à ma douce, mes mains dans son dos, et mon front contre le sien. Ses bras s’allongent sur mes épaules et son nez se met à caresser le mien.
Michiru – merci pour cette journée, elle a était magnifique passé à tes côtés.
Moi – mais ce n’est pas fini.
Michiru – alors, si ce n’est pas fini … Haru fait moi goûtter au bonheur !
Moi – tes désirs son des ordre mon amour.
Et d’une manière très amoureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse et mon amour. Je laisse mes mains la serrer contre moi, mes doigts caressant le tissu qui couvrait sa peau si douce. Ses mains attrape le haut de ma chemise, et elle me tire vers elle. Ma jambe gauche se met entre ses jambes, mon corps est préssé contre le sien, et mes mains montent afin de se poser sur ses joues.
Je me sent tellement bien, ce que je ressent est indescriptible, tout mes sens s’affolent, et mon cœur bat de plus en plus vite. Nos langue se trouvent, et se chamaillent tendrement entre elles, je pouvais rester des heures à savourer ce bonheur qui m’est à présent offert. Et je ne suis pas prête à le laisser filer. Nos lèvres se détachent doucement, nos front se caresse, et je vint lui caresser la joue, plongeant mes yeux dans les siens.
Michiru – je n’aurais jamais crue … Que la vie puisse m’offrir ce cadeau, je remercie de tout mon cœur le ciel de m’avoir offert ce bonheur qui m’enivre de plus en plus …
Sa main se met à caresser ma joue, et je continue de l’admirer avec avec douceur un petit sourire au coin des lèvres.
Michiru – malgré mon jeune âge, je ne veux pas faire se que font les filles de mon âge, à se dévêtir pour les plaisirs d’autrui, à ruiner ma santé avec des subtance chimique, parce ce que ce que je désir plus que tout je le tiens dans mes bras, j’ai 18 ans et bien que je pense sérieusement à mes études, j’aimerais de tout mon être construir un futur avec la femme que j’aime et désir plus que tout, je veux pouvoir me réveiller chaque matins dans ses bras, pouvoir partager ma vie mes secrets et rêves avec elle, pouvoir … Me voir vieillir à ses côté, et lui porter tout l’amour que je ressent pour elle. Car là … Maintenant je c’est qu’elle est la femme de ma vie.
Je sourit, l’envie de pleurer de joie me tiens, mon cœur bat tellement fort, je ne contrôle plus les pulsassions de ce dernier, je me sent mourir, ses paroles résonne dans ma tête, et s’enferme à l’intérieur de mon cœur, je lui caresse la joue, et la dévisage avec douceur, je ne voyais rien mais je savait que mes yeux brillait de bonheur, je lui sourit et elle aussi.
Je vint la prendre dans mes bras, et tout en la regardant avec tendresse, monta les escaliers et me dirige vers ma chambre … Enfin je veux dire notre chambre. Arrivé dans cette dernière je ferme la porte, et vint l’allonger sur le lit, me mettant doucement au dessus d’elle. Je plaque tendrement mes mains sur ses oreilles et caresse ses tempes, ses mains caressent mes joues, et mon front caresse le sien.
Moi – alors … Construisons notre futur toute les deux maintenant … Afin de se crée de merveilleux souvenirs mon trésor … Je ne souhaite que pouvoir vivre et t’aimer sincèrement tout au long de notre vie.
Elle ma sourit, et dans un accord harmonieux nos lèvres se scellèrent amoureusement. Partageant avec délice et tendresse notre petit bout de bonheur qui grandissait à chaque instant passer ensemble. Je laisse mes mains prendre soin de son corps, lui offrant diverses caresse plus douce les unes que les autres.
Nos langues, après un petit moment de recherche finissent par se trouver, et une bataille tendre et câline commencent entre ses dernières. Je sent ses mains m’approcher encore plus d’elle, cela me fit sourire laissant mes mains se livrer à son dos, je remonte doucement afin d’être à sa hauteur et continue de l’embrasser avec toute ma passion et ma tendresse.
Je sent un léger courant d’aire sur ma poitrine, et je sent ses mains retirer ma chemise. Laissant mes mains dénuder doucement son corps. Ma chemise ainsi que sa robe se retrouvent sur le sol, et nos lèvres continuent de se goûter avec amour se découvrant un peut plus chaque seconde.
Au bout de quelques minutes entre nos câlins et baisers enflammés nous étions à présent sous la couette, nue et toujours enlacé l’une contre l’autre. Je me trouvais toujours au dessus d’elle, et jouer tendrement avec ses lèvres qui s’amuser à me mordre, se qui me faisait bien rire. Nos yeux se rencontrent et se caressent tendrement, laissant doucement mes lèvres embrasser son nez.
Moi – si tu savais, à quel point je me sent bien avec toi, je n’est pas de mots assez fort pour te dire ce que je ressent, mais se que je peux te dire c’est que tu est la femme de ma vie, que tu est celle qui enflame mon cœur … Que tu es celle avec qui je veux partager ma vie.
Michiru – moi aussi … Ma si jolie blonde, je t’aime d’un amour sincère et véritable.
Moi – moi aussi mon ange, l’amour que j’éprouve à ton égard est sincère.
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un tendre baiser. Ainsi enlacé tendrement dans les bras de l’être aimé nous nous échangions avec amour notre bonheur et quoi de plus doux que de faire passer ce bonheur dans un doux et long baiser suivit d’une longue étreinte amoureuse. Ah … Décidément je suis véritablement [i]la plus heureuse et amoureuse.
Quelques heures plus tard. Après ce moment très agréable passé avec elle, je me trouvait dans la cuisine en train de préparer à manger. Pour ce soir j’ai prévue de faire son plat préféré qui est du riz avec des quenelles. Logeant au quatrième étages donc au dernier, je possède un balcon bien étrange pour un appartement me diriez-vous. Mais tout de même agréable quand j’avais besoin de me vider l’esprit. Je prit les couverts nécessaires, et pendant que le riz cuisez et les quenelles réchauffer, j’allais dresser la table dehors, quoi de beau pour un anniversaire que de le terminer par un dîner en tête à tête. Michi devait sûrement se trouver dans la salle de bain en train de prendre sa douche. J’espère qu’elle verra le petit mot que je lui est laisser sur le lit là ou j’avais prit soin de mettre la robe noire que je lui avait offert il y a quelques heures plus tôt. [/i]
Ah … Si un jour ont m’aurait dit que je serait au petit soin de quelqu’un je ne l’aurais jamais crue.
Point de vue Michiru.
Ah … Sa fait du bien une bonne douche. Je vint rapidement m’enrouler dans une serviette sentant le froid me gagner. Je commence à me sécher de toute part, je met le bout de la serviette entre ma poitrine pour que la serviette puisse tenir. Je prend le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement.
Je regarde mon reflet dans le miroir, et aperçoit un sourire … Un sourire heureux, tout se qui c’est passé aujourd’hui j’ai encore du mal à y croire, surtout au sujet de l’édition, quand je pense que j’allais me faire connaître pour de vrai. Je suis tellement heureuse, et ma relation avec ma jolie blonde me rend encore plus heureuse de savoir que nous désirons la même chose, construire et fonder notre vie ensemble, cette journée avec elle ma permis une bonne fois pour toute de mettre mes sentiments dans l’ordre, car à présent, je sais que je veux terminer ma vie à ses côtés, et sa quelque soit le prix à payer.
Quand j’eu terminé, je sort de la salle de bain et me dirige vers notre petit nid d’amour, et m’enferme à l’intérieur. Je remarque la robe noire sur le lit, il y avait un petit mot dessus, je m’approche et prend ce dernier en main et le lue silencieusement.
« s’il te plait met cette robe ma chérie »
je sourit tendrement, je pose le mot sur la petite table de chevet, et alla chercher ma lingerie dans l’armoire. Sa fait bizarre tout de même de se retrouver dans ce genre de situation, un vrai petit couple sommes nous, car en y repensant, on partage tous, nos rire on mangent ensemble on fait des chose ensemble que se soit en public ou en toute intimité, bien que j’avais une préférence pour nos petit moments intime, tel que tout à l’heure, je n’aurais jamais crue pouvoir dépasser ma peur depuis que père m’est fait des attouchements. Mais sa prouver que je grandissait et que j’avais vraiment l’ambition de ne pas laisser cette perle rare s’échaper.
Quand je fut totalement habiller et maquillé, je me dirige vers le miroir, et me regarde longuement. J’avais du mal à me reconnaître. J’avait enfiler la robe qu’elle ma offerte, des collants noir couvrait mes jambes, les boucles aussi je les aie mise, j’avais laisser mes cheveux détacher, les tirant juste vers le côté gauche, et une rose noir trônait dans ma chevelure. Comme maquillage j’avais choisi simple, du laïner noir et d’un rouge à lèvres rouge. Et m’étais légèrement parfumer avec une eau de parfum portant le nom de « Intime » de Arno Sorel.
Je me demande tout de même pourquoi Haru ma demander de porter la robe. Avant de descendre, j’enfile les chaussures noir qui se marie avec ma robe, et le cœur battant à la chamade je sort de la pièce. Je remarque que tout est éteins, il y a juste de la lumière provenant du balcon, donc doucement je descend les marche.
Hm, sa sent délicieusement bon, je me rend au balcon, et mon cœur se serra en voyant la scène qui s’offrait à moi. Un … Un dîner en tête à tête, au milieu du balcon est dresser une petite table ronde couverte par une soyeuse nappe blanche, sur cette dernière se tient les couverts, il y a deux cloches argentés sur les assiettes gardant les aliments chaud, et au milieu de la table se trouvé un bougeoir avec trois bougies. C’est vraiment magnifique, en plus avec un ciel noir parsemé d’étoiles c’est encore plus magique.
Moi – c’est vraiment magnifique. Dis-je en m’avançant
je voie Haruka se tourner, et elle eu un doux sourire accroché aux lèvres en me voyant. Je m’approche d’elle, et vint caresser ses yeux avec les miens.
Haruka – c’est toi qui est magnifique ce soir mon trésor.
Moi – merci et … Tu est aussi vraiment très belle ce soir Haruka !
Mon cœur battait à mille à l’heures, et je n’arriver pas à contrôler mes pulsions. Sa main c’est posée sur ma joue et ses doigts crée une douce sensation de légèreter. Je m’approche, et pose mes mains sur sa poitrine, plongeant mes yeux azur de le sien, lui souriant avec tendresse.
Haruka – cette robe te va à ravir, et ce maquillage te rend tellement belle.
Je sourit, je m’approche et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Ses mains vinrent me serrer contre elle, allant caresser mon dos, une légère brise se fait sentir, et mes cheveux virevolte donnant à cette instant, un aspect romantique et magique. Nos lèvres se détachent doucement, et sa main monte à ma joue gauche et ce met à la caresser. Je porte ma main droite à son visage et lui écarte quelques mèches blonde de ses yeux descendant mes doigts en une caresse vers sa joue.
Haruka – et si … On allaient manger ?
Moi – d’accord.
Je te pose un petit baiser sur le nez, et alla prendre place sur l’une des chaises face à toi. Mes yeux te fixaient intensément depuis tout à l’heure, n’en revenant toujours pas de se que tu as fait pour moi tout au long de cette journée.
En prenant ma main droite dans la sienne, Haru à soulevé nos cloches, et un tendre sourire apparue sur mes lèvres, elle avait donc déjà tout prévue, cela me remplissait de joie et de bonheur. Je lève mes yeux et lui dis avec un doux sourire :
Moi – tu y a pensé … Merci, merci ma chérie.
Haruka – bien sûr, après tout c’est un jour important.
Je t’aime … Je n’arrête pas de sourire tant le bonheur frappe mon cœur. Je nous serre de l’eau, et tout en la regardant je me suis dit « tu as vraiment de la chance de l’avoir à tes côtés. »
Haruka – bonne appétit mon ange.
Moi – à toi aussi … Ma jolie blonde !
On c’est sourit, et nous avons commencés à manger. Hm que c’est bon, en plus d’être la femme parfaite à mes yeux, c’est un vrai cordon bleu. J’enlace mes doigts avec les siens, et la dévisage avec le sourire, tout sa … J’avais l’impression de vivre un véritable compte de fée comme Cendrillon.
Moi – si un jour on m’aurais dit que je serait heureuse … Je ne l’aurais jamais crue, merci beaucoup pour tout se que tu as fait, c’est … C’est vraiment beaucoup et sa représente tant pour moi.
Haruka – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que j’ai fait tout sa.
Je lui sourit, prête à verser mes larmes qui depuis le début de la soirée me menace de couler. Puis quand ont eu fini, Haru c’est levé et sous mon regard doux et surpris elle c’est dirigé vers moi.
Se mettant derrière moi, je lève mes yeux et lui sourit tendrement. Je voie sa main piocher dans unes de ses poches de pantalon, et elle sortie une petite boîte marron, qu’elle me mit devant les yeux. Je me demande bien se que sa peut être, mon cœur bat tellement vite.
Doucement elle a ouvert la petite boîte, et mon cœur se mit à tanguer fortement dans ma poitrine. A l’intérieur de l’étui se trouvé un petit cœur en argent, sur ce dernier, il y avait des lettres qui formé le mot « Je t’aime » je touche doucement le bijou, me demandant ce que cela pouvais être.
Haruka enlève le bijou de la boîte et je remarque que c’est une petite chaîne argenté, elle est magnifique, vraiment je ne sais quoi dire. Ma jolie blonde me le passe au tour du cou, et sa voix résonne au creux de mon oreille.
Haruka – joyeux anniversaire mon trésor.
J’ai levé mes yeux, et heureuse, j’ai déposé mes lèvres sur les siennes. Lui offrant un long et doux baiser. Caressant sa cheveulure, mêlant tendrement mes doigts à l’intérieur. Ses bras à elle entourés mon cou, et ses mains caresser ce dernier.
Jusqu’à présent personne n’avait fait sa pour moi, jamais on m’avait t’émoigner autant de tendresse et d’amour. Et cela me rendait éperdument heureuse.
Doucement ont se détachent, mais nos yeux continuent de se caresser, chacune habitant un sourire heureux.
Moi – il est magnifique … Merci mon amour.
Haruka – chuut … Pour toi, rien est trop beau !
Elle est vraiment adorable, puis doucement, elle ma prit la main et me conduit jusqu’à sa chaise. Elle prit place sur cette dernière, et me prit dans ses bras. Je me retrouve assise sur ses jambes, mes bras s’allongent sur ses épaules, et les siens s’avanturent dans mon dos. Un vent léger souffle et fait virevolté nos cheveux, elle est tellement belle, j’emène ma main gauche à sa joue et la caresse.
Moi – cette journée … Je ne l’oublierais jamais, merci Haruka !
Haruka – tu sais … Il est évident que pour toi, je serait prête à tout pour te rendre heureuse et te voir sourire tu … Tu compte tellement à mes yeux Michi.
Moi – toi aussi … Tu compte beaucoup pour moi, et pour rien au monde je ne t’échangerais pour voir de simple sourire de satisfaction.
Elle ma sourit et ma doucement embrassé. Je répond délicatement à sa douceur, posant mes mains sur ses joues et caressant sa peau avec mes pouce. Sans que je m’en rende compte Haru me mit des écouteurs aux oreilles, suivit d’un petit mp3, nos lèvres jouaient toujours ensemble, et une voix … Sa voix résonne dans la petite machine.
« Michi, je te souhaite un très joyeux anniversaire. Voila maintenant un mois que je vis un véritable bonheur à tes côtés, depuis que mes yeux ont croisé les tiens, je me suis demandé ce qui se passer pour que je soit autant subjugé. Le simple fait qu’en même pas un mois tu est devenu importante à mes yeux, je vais être honnete, mais je n’aie jamais pue connaître le véritable amour … Avant de tomber sur toi, se que je souhaite plus que tout ma chérie et qu’un jour tu devienne ma femme, quand j’ai appris ce qui tes arrivé, j’ai tout fait pour le cacher, mais voilà je t’aime et suis profondément amoureuse de toi. L’autre jour, tu m’as posé une question, tu m’as posé se dont je rêvé, et bien maintenant je peux te répondre, se que je rêve c’est de construir un futur avec toi, pouvoir un jour fonder notre propre famille ainsi que de te voir en robe blanche. Il n’y a que toi qui me rende ainsi, il n’y a que toi avec qui je veux terminer ma vie. Mon trésor, je t’aime je t’aime et je t’aime, tu est la femme de ma vie, et je ne veux pas te perdre. Je te souhaite un très bon anniversaire et te fait mille gros baisers, je t’aime ma chérie, ne l’oublie jamais. »
Alors que mes yeux la dévisagent, des larmes roule le long de mes joues, je … Je suis si heureuse, je pose le mp3 sur la table, et la regarde en pleurant de joie, mon cœur battait tellement vite, je ferme mes yeux et respire profondément, mordant ma lèvres inférieur et lâchant un petit rire.
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
Je lui prend les mains, tourne ma tête vers la droite et mes yeux encore embués de larmes fixent les étoiles.
Moi – moi aussi … Ce que je souhaite plus que tout et de construir un futur à tes côtés, je rêve chaque jour de ma vie avec toi, je n’aie jamais ressentie de tel émotions avant de te connaître, mais je t’aime d’un amour sincère et profond, je souhaite de tout mon cœur pouvoir un jour devenir ta femme et porter ton nom, je souhaite plus que tout te rendre heureuse, et te chérir tendrement chaque jours de notre vie …
je tourne ma tête, et la regarde les larmes aux yeux, elle me sourit, effaçant de sa main douce mes larmes.
Haruka – alors … Je souhaite plus que tout pouvoir unir mon cœur au tien mon trésor. Je t’aime tu sais.
Moi – moi aussi Haru je t’aime … Je t’aime bien plus qu’il ne le faut !
On c’est sourit, et nos lèvres se sont unies. Je me sentit soulever, mais je ne fait rien pour me débattre, juste à continuer de l’embrasser avec tendresse. J’entends une porte se fermer, et me sentit allonger. Nous étions dans notre chambre, et je sentait son souffle chaud sur ma peau, elle se trouvée au dessus de moi, et malgré la pénombre je pouvais voir ses magnifique yeux pétiller.
Haruka – ma chérie … Pour ce jour si exceptionnelle, me laisserais tu te faire goûter au bonheur ?
Moi – oui … Je suis toute à toi ma jolie blonde.
Elle me sourit, et nos lèvres se scellèrent amoureusement. Je vint doucement la dévêtir, laissant tomber sa chemise sur le sol, je laisse mes main parcourir son corps, sa peau qui est douce et chaude à la fois.
Je me retrouver à présent nue sous les draps mon corps frissonnant de plaisir. Pour la première fois, je me sentait bien, et je n’avais pas peur. Je dirige mes lèvres vers son cou et lui embrasse longuement. Ses mains parcourent mon être, et ses lèvres se perdent dans mon cou. Jusqu’à ma poitrine, le désir prenait de plus en plus d’ampleur, et j’avais irrésistiblement envie d’elle.
Moi – oh Haru … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon ange !
Elle a caresser ma joue, et ses lèvres ont repris les miennes en otage. Cette nuit pour la première fois fut la plus magique de toutes, pour la première fois depuis 18 ans je me laisser envahir par le plaisir que l’ont ressent à deux. Cette nuit, elle ma rendu heureuse, cette nuit elle a prit définitivement prit possession de mon cœur. Cette nuit ou Haruka me fit tendrement l’amour. Cette nuit ou je suis réellement tombé encore plus amoureuse.
Et voila la fin de ce chapitre ^^ à la prochaine :)
Chapitre 5 : Un anniversaire inoubliable
Point de vue Narrateur.
Point de vue Narrateur.
Depuis que le devoir de l’exposé est passé une semaine venais de s’écouler et les vacance de la Toussain est enfin arrivé. Aujourd’hui nous sommes le 21 octobre, jour ou notre petite Michi passe dans la cour des grands. Nous nous retrouvons devant l’appartement d’Haruka, et si nous tendions un peut plus l’oreille, on pouvais entendre du bruit.
Haruka – Michi, tu viens !
Michiru – oui oui j’arive.
Cette dernière après quelques minutes d’attente interminable celon Haruka fit enfin son entré devant les escaliers. La jeune femme blonde eu un tendre sourire en voyant sa cher et tendre habillé ainsi. Elle lui dis alors :
Haruka – je comprend mieux pourquoi tu mettait autant de temps … Alala je vous jure ses filles.
Michiru – dois-je te rappeller que tu en est une aussi !
Haruka – peut être, mais je ne passe pas des heures devant le miroir.
Michiru – c’est un peut normal, puisque toi, tu est belle au naturelle, tu n’as nulle besoin de rajouter des babioles car tu est déjà ravissante.
Haruka touché de ses propos monte les escaliers, et comme Michiru était toujours sous béquilles, elle la porta tel une princesse. Arrivé en-bas elle la dépose sur le sol, et la dévisage avec douceur.
Michiru bien que le temps se soit un peut rafraîchit, avait opté pour une jolie robe bleu vert, il y avait 4 petits boutons bleu marine sur le haut. Ses cheveux qui habituellement son lâchés sont retenue par une couette basse sur le côté gauche. Elle était vraiment très jolie aux yeux d’Haruka qui ne cesser de la dévorer du regard.
Haruka – tu est vraiment très jolie.
Michiru – merci !
Elle lui caresse sa joue, et la jeune femme blonde lui déposa un léger baiser. Un petit instant bien à elles, voilà maintenant 3 semaines qu’elle partagées leurs vies à deux, et elles étaient très épanouie ensemble.
Après ce petit échange, les deux jeunes femmes sortir de l’appartement.
Michiru – ah bonheur, je vais peut être me débarrasser de ses foutue béquilles.
Haruka – ah ah, mais sa dépendra de comment est ta hanche !
Michiru – Haru … Ne casse pas mon rêve !
Cette dernière ce met à rire, et toutes deux entames leur marche dans le long couloir de la résidence. Arrivé au bord de la première marche Haruka prit Michiru dans ses bras, et descend les quatre étages prudemment. Quand elle furent arrivées jusqu’au parking, la jeune blonde déverrouillé l’alarme, et ouvrant la porte passager posa sa jeune protégé sur le siège.
Michiru – merci !
Haruka – de rien chaton.
Elle lui dépose un léger baiser, et à son tour monte dans sa voiture. Allumant le conteur de cette dernière, Haruka fit une marche arrière, et partie enfin direction le médecin.
Point de vue Haruka.
Ah … Je me demande par quoi je vais commencer aujourd’hui, car étant donné que c’est son anniversaire, j’avais quelques surprises en réservation, mais je ne sais pas par laquel commencer.
Michiru – au faite Haru …
Moi – oui qui y’a t-il ?
Michiru – c’est quand que le directeur envoie nos bulletin de premier trimestre ?
Moi – dans la semaine qui va suivre tout au plus.
Michiru – eh bien, j’espère juste de ne pas encore avoir baisser de niveau !
Moi – comment sa baisser de niveau ?
Je fut surprise de ses mots car de toute la classe, elle est la meilleur, c’est elle qui tiens la meilleure moyenne et pas que dans mes cours.
Michiru – bah tu sais je n’aie jamais était supère forte en cour, je me rappelle encore se que sa donné au collège !
Moi – j’ai du mal à te croire, car ce n’aie pas du tout le cas depuis la rentrée.
Michiru – ah mais sa, c’est parce ce que j’ai un supère professeur !
Je me suis mise à sourire, et voulant jouer la curieuse je lui demande :
Moi – ah … Et comment est ce professeur si particulier ?
Je voie un petit sourire apparaître sur son visage, ses yeux fixent l’horizon et sa voix que j’aime tant entendre résonne.
Michiru – eh bien … Par ou commencer, il y a tellement de choses à dire sur ce professeur. Depuis ma rencontre avec elle, je ne sais pas, mais la vie est devenue nettement plus agréable, je l’admir beaucoup, et en plus d’être mon professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géo, elle est avant tout la femme que j’aime. Sans la regarder, je connais les moindre petites chose qui la rende si belle. De magnifique yeux vert émeraude, un regard qui m’envoûte à chaque fois, une chevelure doré, une taille fine et élancé, et puis elle a ce petit quelque chose qui m’attire encore plus que tout ses détails, son côté masculin que je trouve vraiment attirant, sa la rend si belle … Et en fin de compte, cette femme qui fait tant chavirer mon cœur à deux personnalité, en cour, c’est le professeur sur d’elle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, alors qu’à la maison c’est tout autre, j’ai pue découvrir avec joie qu’elle était en fin de compte très douce, gentil, aimable et très câline, se que j’aprécie car étant moi même très câline, j’aime ses câlins, me retrouver dans ses bras tout contre elle et son cœur. Non vraiment ce professeur je l’aime et l’admir !
À plusieurs reprise mon cœur loupe plusieurs battements, je suis heureuse vraiment heureuse de constater qu’elle tiens autant à moi que moi je tiens à elle. Je m’arrête à un feu rouge, et vint lui prendre la main.
Moi – et ce professeur qu’est t-il ?
Michiru – elle est la moitié de mon cœur, et … Elle est ma partenaire, ma petite femme à moi.
Je sourit tendrement, et m’approche de son visage, je lui prend délicatement le menton, et lui caresse la joue.
Moi – je t’aime !
Michiru – moi aussi Haru je t’aime.
On se sourit, et pour quelques secondes nos lèvres s’unirent dans un doux et long baiser. Je sens sa main se poser sur ma cuisse, ses doigts caresse le fin tissu qui sépare ma peau. Sa langue qui se mêle tendrement à la mienne, c’est un véritable bonheur pour moi, c’est la première fois en 23 ans que je me sens véritablement aimé, et en 23 ans c’est la première fois que je suis autant amoureuse.
On se détachent doucement, et je vint faire frotter mon nez tendrement contre le sien. Elle avait le sourire, un sourire magnifique que j’aime et que je ne me lacerais jamais de regarder. Je lui embrasse le nez et lui murmure avant de reprendre la route :
Moi – quand arrêteras tu de me rendre folle ?
Michiru – folle ? Et de quoi ?
Moi – folle et éperdument amoureuse.
Michiru – je ne le fait pas exprès, mais toi aussi, tu me rend folle chaque jours, chaque minutes et chaque seconde … Ma douce et jolie blonde.
Je lui sourit, un sourire prête à m’en décrocher la mâchoire, je l’embrasse avec douceur, et repris la route direction le parking souterrain. Après quelques minutes de recherche, je rentre dans le parking, essayant de trouver une place.
Michiru- Haru, la tu en a une !
Elle me montre du doigt une place effectivement vide, je sourit et partit me garer.
Moi – merci princesse.
J’éteins le moteur, et sortie de la voiture, remetant ma chemise noire en place. Je me dirige vers la porte passager de Michi, ouvre cette dernière, et vint l’aider à sortir.
Michiru – merci.
Je ferme la porte, pose ses béquilles contre la Porshe, et vint l’enlacer tendrement dans mes bras. Ses bras s’allonge sur mes épaules, et ses mains se mettent à caresser ma nuque. Alors que les miennes descendait le long de son dos. Posant de tant à autre mes lèvres sur son cou.
Moi – quoiqu’il arrive promet moi une chose !
Michiru – tout se que tu veux.
Je lui soulève le menton et lui murmure en caressant sa joue :
Moi – promet moi, que … Que quoiqu’il advienne rien ne pourra se mettre entre nous Michi.
Michiru – je ne sais pas se que va nous reserver l’avenir, mais je te fais la promesse de te garder auprès de moi ma chérie et sa quoiqu’il arrive.
Moi – je t’aime.
Michiru – plus que tout !
Je lui sourit tendrement, et ses lèvres prirent possession des miennes. Ses mains se posent sur mes joues, et ses doigts me caresse. Je laisse mes mains crée une sensation de douceur sur son dos m’approchant doucement d’elle afin d’être serrer contre son cœur. A cet instant j’étais vraiment la plus heureuse.
Je me décolle doucement, écarte quelques mèches bleutée de ses yeux, et lui embrasse le nez. Je lui tend ses béquilles, et c’est en discutant que nous nous avançons vers la sortie du parking.
Michiru – rah lala, j’ai hâte de pouvoir quitter ses chose.
Moi – ah ah, tu est bien impatiente dis moi !
Michiru – oh mais tu c’est je peut me montrer très patiente et coopérente quand t-il le faut.
Moi – ah et dans quoi par exemple ?
Michiru – je c’est me montrer patiente lorsqu’il s’agit de construir un avenir à deux.
Je sourit, continuant de marcher, on prit l’assenceur, et une fois en-bas on se dirige vers le cabinet du médecin qui n’était plus très loin.
Moi – au faite Michi, tu as prit ton roman ?
Michiru – oui oui ne t’inquiète pas, bien que je me demande pourquoi !
Moi – tu verra bien.
Je lui fit un clin d’oeil, et une fois arriver au cabinet je pousse la porte et la laisse rentrer. Je passe à mon tour et parti m’asseoir sur une chaise juste à sa droite. Sa tête se pose sur mon épaule, et ma main prit la sienne. Nos doigts s’entrelacent automatiquement, et je vint lui caresser à l’aide de mon pouce.
Médecin – mademoiselle Kaio ?
Michiru – oui c’est moi !
Médecin – bonjour, vous venez ?
Je me lève, et suivit Michi à l’intérieur du bureau, j’allai prendre place sur une chaise à la gauche de ma douce, et le médecin ce mit à parler.
Médecin – alors comment te sent tu ?
Michiru – ben, nettement mieux, même si parfois j’ai des douleurs qui me lance !
Médecin – me permet tu que je jette un œil ?
Michiru – euh … Oui !
Médecin – suis moi alors.
Son regard se pose sur moi, je lui tapote le nez et lui fit un clin d’oeil. Elle parti donc derrière un rideau, et je vint attendre.
Médecin – ou mais c’est que sa c’est grandement améliorer, on ne voie quasiment plus rien. Donc je suggère que nous te retirons les béquilles.
Michiru – oh bonheur … Si vous savait comme je suis contente de me séparer de ses choses.
Médecin – ah ah, aller viens, je vais tout de même te préscrire une pomade qu’il faudra appliquer sur la cicatrice et sa pendant deux semaine tout les soir.
Michiru – d’accord !
Je la voie revenir, et elle reprend place, m’adressant un grand sourire signe qu’elle était heureuse et soulagé de se débarrasser des béquilles et cela me fait bien rire. Après que le médecin m’est remis l’ordonnance, je sort de mon sac mon porte feuille et en sort ma carte vital, ayant mis Michi dessus pour qu’elle soit couverte et qu’elle est droit aux soins depuis son accident. Je met la carte dans la machine et laissa cette dernière faire les manipulations.
Médecin – merci. Aller je vous liber !
Moi – merci docteur, au revoir !
Michiru – merci encore.
Médecin – mais je vous en prie. Passez une bonne journée mesdames !
Ah, je croix que c’est le premier à remarquer que je suis une femme, due à ma masculinité je suis souvent prise pour un homme.
Quand on fut dehors, je me tourne vers Michi qui souriait.
Michiru – ah … Bonheur je vais enfin pouvoir faire ce que j’avais envie de faire sans les béquilles.
Moi – ah, et quoi donc ?
Michiru – bah déjà pouvoir prendre la main de celle que j’aime sans difficulté !
Je sourit, elle est vraiment adorable. Je lui prend sa main, et ses doigts s’emmêlent avec les miens, je mit mes lunettes de soleil sur le nez, et commence à marcher avec elle. Librement comme un vrai couple.
Michiru – dis moi Haru, on pourrais passer à la banque ?
Moi – oui pas de souci trésor.
On se sourit, et parti direction la banque. Une fois arrivé devant cette dernière j’en profite pour sortir un peut de liquide car je compter bien lui faire quelques cadeaux. Bien que les deux premiers soit gros.
Je me dirige vers elle, et me place à ses côtés.
Michiru – excusez moi, j’aimerais savoir combien me reste t-il se ma carte.
Conseiller – oui bien sur mademoiselle, quel est votre nom ?
Michiru – Kaio !
Conseiller – un instant je vous prit.
Pendant que l’homme cherché les informations souhaiter par Michi, nos yeux se croisent, je lui écarte quelques mèches, et lui offre un doux sourire.
Conseiller – mademoiselle Kaio !
Michiru – oui ?
Conseiller – voilà vous disposé d’un total de 20 876 €.
C’est énorme, Michi n’a pas l’air surprise.
Michiru – et vous savez si mon compte est encore en suspension ? Sachant que je viens d’atteindre ma majorité.
Conseiller – non nous avons réussi à vous débloquer !
Michiru – je vous remercie, passé une bonne journée.
Conseiller – mais je vous en prit.
Et après sa, nous sortîmes de la banque. Je remis mes lunettes de soleil, prit sa main dans la mienne, et commence à marcher avec elle.
Michiru – eh bien, je n’aurais jamais crue posséder une tel sommes.
Moi – c’est tout de même énorme … et comment se fait t-il que tu en est accumulé autant ?
Michiru – en faite, ma mère avant sa mort vivez dans un milieu très aisé, c’est pour sa que mon père a tant voulu sa mort pour pouvoir récupérer ses biens pas la suite. Quand je me suis retrouvait en famille d’accueil cette dernière disant que j’étais trop jeune pour avoir une tel sommes à fermé mon compte. Mais bon maintenant que j’ai 18 ans, j’ai le droit d’y toucher !
Moi – je comprend mieux … Aller tu me suis ?
Michiru – où sa ?
Moi – ah ah.
Je lui sourit, et la traina avec moi jusqu’à un bâtiment qu’elle connaissait que trop bien. Arrivé devant ce dernier, Michi fut surprise, elle se tourne vers moi et dit :
Michiru – Haru mais pourquoi on est devant l’édition Tomoé ?
Moi – et si on entré ?
Michiru – d’accord !
Et après ses quelques mots, on entrâmes à l’intérieur de l’édition.
Point de vue Michiru.
Je me demande se qu’elle a en tête. Je m’approche, et voie un homme de vieil âge avec une femme assez grande, un tailleur noir et blanc la couvrait.
Monsieur Tomoé – ah vous devez être mademoiselle Tenoh et mademoiselle Kaio ?
Haruka – c’est exact, bonjour monsieur Tomoé ! Bonjour madame.
Madame Tomoé – bonjour, venez assayez-vous.
Sans que je ne comprenne la tournure des événement qui défilent devant mes yeux, je prend place sur une chaise, à la gauche de ma jolie blonde.
Monsieur T – alors qui est mademoiselle Kaio ?
Moi – euh … C’est moi monsieur.
Monsieur T – bonjour à toi, alors je supose que tu te demande se que tu fait ici !
Moi – oui !
L’homme me passe un calpin avec une feuille dessus. J’observe cette dernière et remarque que c’est un contrat … Un contrat ? Mais bien que je connaisse parfaitement cet édition, je n’aie jamais envoyer mon roman, du moins je n’ose pas l’envoyer de peur que cela ne soit pas à la hauteur de leur attentes. Je regarde Haruka qui me souriait tendrement. Ce pourrait t-il que …
Monsieur T – en fait ton ami nous a contacté il y a quelques semaines et nous a fait comprendre que tu aimer écrire, et que tu avait par la même occasion terminé ton roman …
Madame T – elle nous la envoyée par mail … Et sa nous a beaucoup plus. Donc si tu es d’accord, nous pouvons le publier. Et je serait ton agent.
Je … Je n’arrive pas à y croire. Je retiens mes larmes qui son prête à couler, je suis tellement heureuse, un bonheur immense m’enivre, et je regarde Haruka le sourire aux lèvres.
Moi – euh … Je ne sais pas quoi dire, sa fait longtemps que je rêve du jour ou je pourrais me faire connaître dans ce domaine, mais je suis encore lycéenne.
Monsieur T – oui nous le savons, et comme tout a déjà était réglé, nous avons réfléchit ma femme et moi afin de te construire un emploi du temps adapter à ton statut scolaire. Donc serait tu d’accord pour faire de ton roman une première parution ?
Moi – oui.
Dans peut de temps j’allais exploser de joie, c’est elle qui a fait sa pour moi, car elle c’est que c’est ma passion. Je retiens au maximum mes larmes qui me menace, Haruka ainsi que moi signons, car il ne faut pas oublier que c’est aussi ma tutrice.
Les minutes s’écoulent et après avoir sérieusement parlé de ce futur projet, Haru et moi sortons du bâtiment.
Je me tourne, et sauta littéralement dans ses bras, laissant mes larmes de bonheur couler.
Moi – oh merci … Merci beaucoup pour ce que tu viens de faire. Si tu savais à quel point je suis heureuse !
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
J’arrive pas à le croire, c’est pour mon anniversaire qu’elle a fait sa. C’est le plus beau cadeaux que l’ont puisse me faire.
Moi – merci infiniment mon amour … Tu est vraiment génial.
Et sans me retenir je dépose mes lèvres sur les sienne. Heureuse et décidément éperdument amoureuse.
Point de vue Haruka.
Je suis vraiment heureuse, ma surprise la rendu heureuse, et sa me faisait beaucoup de bien, de la voir ainsi. Je lui caresse la joue et répond à son baiser . Tout se que je voulais c’est la voir heureuse et épanoui.
On se décolent doucement, et je lui écarte une mèche de ses yeux.
Moi – je suis heureuse que cela te plaise !
Michiru – merci beaucoup Haruka, tu viens de me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà !
Moi – contente de l’apprendre … Aller ont continue ?
Michiru – oui.
J’allonge mon bras droit sur ses épaule, alors que son bras gauche se pose sur mon dos. Nous continuons notre chemin, ignorant le regard des autres. Sa tête se pose sur mon épaule, et ses doigts se mirent à caresser ma hanche. On arrivent devant un magasin de vêtements féminin, Michi se tourne vers moi et me demande :
Michiru – dis Haru, on peut y aller ?
Moi – bien sur mon ange, aller je te suis.
Ses lèvres se pose sur ma joue, elle me sourit, et je la suivit à l’intérieur du petit commerce. Je la voie se diriger vers les robes, se qui me fait sourire. Alors qu’elle me fait signe qu’elle allait dans une cabine d’essayage. Je lui fit un clin d’oeil et me dirige vers un petit stand de bijou et fantaisie féminin. Je regarde et aperçut une paire de boucle d’oreille argenter en forme de goûte de pluie, accompagné de petits diamants plus brillant les uns que les autre. Je sourit et vint prendre le bijou en main.
Je sent soudain mon téléphone vibrer, je prend se dernier en main, et le déverrouille et consulte ma messagerie. C’est un message de Michi qui me demande de venir la voir. Je souris, range mon cellulaire dans la poche de mon pantalon noir, et me dirige vers le font, la ou se trouve les cabines.
Moi – je suis la Michi.
Je voie le rideau se tirer vers la gauche, et fut ébloui de la voir aussi jolie. La robe qu’elle portée est de couleur noire, il y avait un petit cœur ou l’ont pouvais voir sa peau, relié par une large ficelle noire au cou. Le contour du cœur est de couleur argenter.
Elle est tellement belle, elle fait plus femme dans cette robe et cela me fait encore plus chavirer.
Moi – tu est vraiment très belle dans cette robe Michi !
Michiru – c’est vrai ? Merci … C’est gentil. Donc allait je la prend.
Elle me sourit, et tire le rideau pour se couvrir afin de se changer. Je ne sais vraiment plus quoi dire … Tant de chose se sont passé depuis notre rencontre, et je voulais à tout prit la garder prêt de moi et pouvoir la chérir tendrement chaque jours.
Quelques petites minutes après, ma douce revint vers moi avec la robe noire, je lui prit, et vint saisir sa main.
Michiru – attend, j’ai vue des chaussures qui vont avec la robe !
Je sourit et la suivit à travers le magasin. Arriver prêt de ses fameuse chaussures, je jette un œil à ses dernière et effectivement elles étaient assortie à la robe, ouverte sur le dessus un fin talon et le contour de l’ouverture en argent.
Moi – quel pointure fais tu ?
Michiru – du 38.
Je me baisse, et chercha la taille 38. J’en trouve une, je vint doucement prendre le carton en faisant attention de ne pas faire tomber les autres. Je me tourne vers Michi, et ouvre le carton, prend une des paire, et vint lui prendre doucement le pied droit. Je lui retire sa ballerine, et lui passa la chaussure noire au pied. Je lève mes yeux vers elle et lui sourit tendrement.
Moi – comment tu te sent ?
Michiru – ça va oui, je ne suis pas sérré dedant !
Moi – dans ce cas.
Je remet la chaussure dans le carton, lui remis la balerine, me lève, prit sa main, et je nous dirige vers la caisse.
Moi – tu m’attend dehors ?
Michiru – mais Haru … Tu, tu en as déjà asse …
Moi – chuut … C’est ton anniversaire non ? Alors laisse moi te faire plaisir ma chérie d’accord ?
Michiru – tu est trop … C’est d’accord, je t’attend dehors.
Je lui tapote le nez, lui pose un délicat baiser, et la laissa filer. Je l’observe pendant quelques minutes, heureuse qu’elle soit devenue mienne qu’elle soit devenue … Ma petite femme à moi.
Quand ce fut mon tour, je passe les articles, et vint payer ce qu’il falait. Puis enfin je sorti avec une poche et les boucles d’oreilles que je garde en main. Arrivé à l’extérieur, je la vit en train de regarder le ciel. Je sourit, et me dirige vers elle.
Moi – c’est bon, je suis là !
Michiru – merci, tu est vraiment gentil, jusque là personne n’en avait fait autant pour moi !
Moi – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que je fait tout sa car …
Je vint la prendre dans mes bras, et dit en caressant sa joue :
Moi – pour toi rien n’est trop beau !
Michiru – je t’aime tu sais … Je t’aime de tout mon cœur.
Moi – moi aussi Michi je t’aime et te désir plus que tout.
Je la regarde dans les yeux et déposa mes lèvres sur les siennes, lui offrant un doux baiser. Ses mains se posent sur mes épaules, et les miennes reste sur ses joues. Mon cœur bat tellement fort … Je suis si heureuse.
Nos lèvres se détachent, et je la dévisage avec tendresse. Je prend les petite boucles, retire le plastique, enlève les attaches et vint doucement lui mettre les boucles. Je met les fermoirs pour ne pas qu’elle les perde. Je lui caresse la joue, et vint la prendre par les épaules. Sa main se place sur ma hanche gauche, et sa tête se pose sur mon épaule.
Michiru – merci …
Moi – ce n’aie rien, sa ma fait plaisir.
On se sourit, et nous continuâmes de marcher dans la rue marchande. Après quelques heures de promenade, nous étions enfin rentrée à la maison. Je me trouver face à ma douce, mes mains dans son dos, et mon front contre le sien. Ses bras s’allongent sur mes épaules et son nez se met à caresser le mien.
Michiru – merci pour cette journée, elle a était magnifique passé à tes côtés.
Moi – mais ce n’est pas fini.
Michiru – alors, si ce n’est pas fini … Haru fait moi goûtter au bonheur !
Moi – tes désirs son des ordre mon amour.
Et d’une manière très amoureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse et mon amour. Je laisse mes mains la serrer contre moi, mes doigts caressant le tissu qui couvrait sa peau si douce. Ses mains attrape le haut de ma chemise, et elle me tire vers elle. Ma jambe gauche se met entre ses jambes, mon corps est préssé contre le sien, et mes mains montent afin de se poser sur ses joues.
Je me sent tellement bien, ce que je ressent est indescriptible, tout mes sens s’affolent, et mon cœur bat de plus en plus vite. Nos langue se trouvent, et se chamaillent tendrement entre elles, je pouvais rester des heures à savourer ce bonheur qui m’est à présent offert. Et je ne suis pas prête à le laisser filer. Nos lèvres se détachent doucement, nos front se caresse, et je vint lui caresser la joue, plongeant mes yeux dans les siens.
Michiru – je n’aurais jamais crue … Que la vie puisse m’offrir ce cadeau, je remercie de tout mon cœur le ciel de m’avoir offert ce bonheur qui m’enivre de plus en plus …
Sa main se met à caresser ma joue, et je continue de l’admirer avec avec douceur un petit sourire au coin des lèvres.
Michiru – malgré mon jeune âge, je ne veux pas faire se que font les filles de mon âge, à se dévêtir pour les plaisirs d’autrui, à ruiner ma santé avec des subtance chimique, parce ce que ce que je désir plus que tout je le tiens dans mes bras, j’ai 18 ans et bien que je pense sérieusement à mes études, j’aimerais de tout mon être construir un futur avec la femme que j’aime et désir plus que tout, je veux pouvoir me réveiller chaque matins dans ses bras, pouvoir partager ma vie mes secrets et rêves avec elle, pouvoir … Me voir vieillir à ses côté, et lui porter tout l’amour que je ressent pour elle. Car là … Maintenant je c’est qu’elle est la femme de ma vie.
Je sourit, l’envie de pleurer de joie me tiens, mon cœur bat tellement fort, je ne contrôle plus les pulsassions de ce dernier, je me sent mourir, ses paroles résonne dans ma tête, et s’enferme à l’intérieur de mon cœur, je lui caresse la joue, et la dévisage avec douceur, je ne voyais rien mais je savait que mes yeux brillait de bonheur, je lui sourit et elle aussi.
Je vint la prendre dans mes bras, et tout en la regardant avec tendresse, monta les escaliers et me dirige vers ma chambre … Enfin je veux dire notre chambre. Arrivé dans cette dernière je ferme la porte, et vint l’allonger sur le lit, me mettant doucement au dessus d’elle. Je plaque tendrement mes mains sur ses oreilles et caresse ses tempes, ses mains caressent mes joues, et mon front caresse le sien.
Moi – alors … Construisons notre futur toute les deux maintenant … Afin de se crée de merveilleux souvenirs mon trésor … Je ne souhaite que pouvoir vivre et t’aimer sincèrement tout au long de notre vie.
Elle ma sourit, et dans un accord harmonieux nos lèvres se scellèrent amoureusement. Partageant avec délice et tendresse notre petit bout de bonheur qui grandissait à chaque instant passer ensemble. Je laisse mes mains prendre soin de son corps, lui offrant diverses caresse plus douce les unes que les autres.
Nos langues, après un petit moment de recherche finissent par se trouver, et une bataille tendre et câline commencent entre ses dernières. Je sent ses mains m’approcher encore plus d’elle, cela me fit sourire laissant mes mains se livrer à son dos, je remonte doucement afin d’être à sa hauteur et continue de l’embrasser avec toute ma passion et ma tendresse.
Je sent un léger courant d’aire sur ma poitrine, et je sent ses mains retirer ma chemise. Laissant mes mains dénuder doucement son corps. Ma chemise ainsi que sa robe se retrouvent sur le sol, et nos lèvres continuent de se goûter avec amour se découvrant un peut plus chaque seconde.
Au bout de quelques minutes entre nos câlins et baisers enflammés nous étions à présent sous la couette, nue et toujours enlacé l’une contre l’autre. Je me trouvais toujours au dessus d’elle, et jouer tendrement avec ses lèvres qui s’amuser à me mordre, se qui me faisait bien rire. Nos yeux se rencontrent et se caressent tendrement, laissant doucement mes lèvres embrasser son nez.
Moi – si tu savais, à quel point je me sent bien avec toi, je n’est pas de mots assez fort pour te dire ce que je ressent, mais se que je peux te dire c’est que tu est la femme de ma vie, que tu est celle qui enflame mon cœur … Que tu es celle avec qui je veux partager ma vie.
Michiru – moi aussi … Ma si jolie blonde, je t’aime d’un amour sincère et véritable.
Moi – moi aussi mon ange, l’amour que j’éprouve à ton égard est sincère.
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un tendre baiser. Ainsi enlacé tendrement dans les bras de l’être aimé nous nous échangions avec amour notre bonheur et quoi de plus doux que de faire passer ce bonheur dans un doux et long baiser suivit d’une longue étreinte amoureuse. Ah … Décidément je suis véritablement [i]la plus heureuse et amoureuse.
Quelques heures plus tard. Après ce moment très agréable passé avec elle, je me trouvait dans la cuisine en train de préparer à manger. Pour ce soir j’ai prévue de faire son plat préféré qui est du riz avec des quenelles. Logeant au quatrième étages donc au dernier, je possède un balcon bien étrange pour un appartement me diriez-vous. Mais tout de même agréable quand j’avais besoin de me vider l’esprit. Je prit les couverts nécessaires, et pendant que le riz cuisez et les quenelles réchauffer, j’allais dresser la table dehors, quoi de beau pour un anniversaire que de le terminer par un dîner en tête à tête. Michi devait sûrement se trouver dans la salle de bain en train de prendre sa douche. J’espère qu’elle verra le petit mot que je lui est laisser sur le lit là ou j’avais prit soin de mettre la robe noire que je lui avait offert il y a quelques heures plus tôt. [/i]
Ah … Si un jour ont m’aurait dit que je serait au petit soin de quelqu’un je ne l’aurais jamais crue.
Point de vue Michiru.
Ah … Sa fait du bien une bonne douche. Je vint rapidement m’enrouler dans une serviette sentant le froid me gagner. Je commence à me sécher de toute part, je met le bout de la serviette entre ma poitrine pour que la serviette puisse tenir. Je prend le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement.
Je regarde mon reflet dans le miroir, et aperçoit un sourire … Un sourire heureux, tout se qui c’est passé aujourd’hui j’ai encore du mal à y croire, surtout au sujet de l’édition, quand je pense que j’allais me faire connaître pour de vrai. Je suis tellement heureuse, et ma relation avec ma jolie blonde me rend encore plus heureuse de savoir que nous désirons la même chose, construire et fonder notre vie ensemble, cette journée avec elle ma permis une bonne fois pour toute de mettre mes sentiments dans l’ordre, car à présent, je sais que je veux terminer ma vie à ses côtés, et sa quelque soit le prix à payer.
Quand j’eu terminé, je sort de la salle de bain et me dirige vers notre petit nid d’amour, et m’enferme à l’intérieur. Je remarque la robe noire sur le lit, il y avait un petit mot dessus, je m’approche et prend ce dernier en main et le lue silencieusement.
« s’il te plait met cette robe ma chérie »
je sourit tendrement, je pose le mot sur la petite table de chevet, et alla chercher ma lingerie dans l’armoire. Sa fait bizarre tout de même de se retrouver dans ce genre de situation, un vrai petit couple sommes nous, car en y repensant, on partage tous, nos rire on mangent ensemble on fait des chose ensemble que se soit en public ou en toute intimité, bien que j’avais une préférence pour nos petit moments intime, tel que tout à l’heure, je n’aurais jamais crue pouvoir dépasser ma peur depuis que père m’est fait des attouchements. Mais sa prouver que je grandissait et que j’avais vraiment l’ambition de ne pas laisser cette perle rare s’échaper.
Quand je fut totalement habiller et maquillé, je me dirige vers le miroir, et me regarde longuement. J’avais du mal à me reconnaître. J’avait enfiler la robe qu’elle ma offerte, des collants noir couvrait mes jambes, les boucles aussi je les aie mise, j’avais laisser mes cheveux détacher, les tirant juste vers le côté gauche, et une rose noir trônait dans ma chevelure. Comme maquillage j’avais choisi simple, du laïner noir et d’un rouge à lèvres rouge. Et m’étais légèrement parfumer avec une eau de parfum portant le nom de « Intime » de Arno Sorel.
Je me demande tout de même pourquoi Haru ma demander de porter la robe. Avant de descendre, j’enfile les chaussures noir qui se marie avec ma robe, et le cœur battant à la chamade je sort de la pièce. Je remarque que tout est éteins, il y a juste de la lumière provenant du balcon, donc doucement je descend les marche.
Hm, sa sent délicieusement bon, je me rend au balcon, et mon cœur se serra en voyant la scène qui s’offrait à moi. Un … Un dîner en tête à tête, au milieu du balcon est dresser une petite table ronde couverte par une soyeuse nappe blanche, sur cette dernière se tient les couverts, il y a deux cloches argentés sur les assiettes gardant les aliments chaud, et au milieu de la table se trouvé un bougeoir avec trois bougies. C’est vraiment magnifique, en plus avec un ciel noir parsemé d’étoiles c’est encore plus magique.
Moi – c’est vraiment magnifique. Dis-je en m’avançant
je voie Haruka se tourner, et elle eu un doux sourire accroché aux lèvres en me voyant. Je m’approche d’elle, et vint caresser ses yeux avec les miens.
Haruka – c’est toi qui est magnifique ce soir mon trésor.
Moi – merci et … Tu est aussi vraiment très belle ce soir Haruka !
Mon cœur battait à mille à l’heures, et je n’arriver pas à contrôler mes pulsions. Sa main c’est posée sur ma joue et ses doigts crée une douce sensation de légèreter. Je m’approche, et pose mes mains sur sa poitrine, plongeant mes yeux azur de le sien, lui souriant avec tendresse.
Haruka – cette robe te va à ravir, et ce maquillage te rend tellement belle.
Je sourit, je m’approche et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Ses mains vinrent me serrer contre elle, allant caresser mon dos, une légère brise se fait sentir, et mes cheveux virevolte donnant à cette instant, un aspect romantique et magique. Nos lèvres se détachent doucement, et sa main monte à ma joue gauche et ce met à la caresser. Je porte ma main droite à son visage et lui écarte quelques mèches blonde de ses yeux descendant mes doigts en une caresse vers sa joue.
Haruka – et si … On allaient manger ?
Moi – d’accord.
Je te pose un petit baiser sur le nez, et alla prendre place sur l’une des chaises face à toi. Mes yeux te fixaient intensément depuis tout à l’heure, n’en revenant toujours pas de se que tu as fait pour moi tout au long de cette journée.
En prenant ma main droite dans la sienne, Haru à soulevé nos cloches, et un tendre sourire apparue sur mes lèvres, elle avait donc déjà tout prévue, cela me remplissait de joie et de bonheur. Je lève mes yeux et lui dis avec un doux sourire :
Moi – tu y a pensé … Merci, merci ma chérie.
Haruka – bien sûr, après tout c’est un jour important.
Je t’aime … Je n’arrête pas de sourire tant le bonheur frappe mon cœur. Je nous serre de l’eau, et tout en la regardant je me suis dit « tu as vraiment de la chance de l’avoir à tes côtés. »
Haruka – bonne appétit mon ange.
Moi – à toi aussi … Ma jolie blonde !
On c’est sourit, et nous avons commencés à manger. Hm que c’est bon, en plus d’être la femme parfaite à mes yeux, c’est un vrai cordon bleu. J’enlace mes doigts avec les siens, et la dévisage avec le sourire, tout sa … J’avais l’impression de vivre un véritable compte de fée comme Cendrillon.
Moi – si un jour on m’aurais dit que je serait heureuse … Je ne l’aurais jamais crue, merci beaucoup pour tout se que tu as fait, c’est … C’est vraiment beaucoup et sa représente tant pour moi.
Haruka – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que j’ai fait tout sa.
Je lui sourit, prête à verser mes larmes qui depuis le début de la soirée me menace de couler. Puis quand ont eu fini, Haru c’est levé et sous mon regard doux et surpris elle c’est dirigé vers moi.
Se mettant derrière moi, je lève mes yeux et lui sourit tendrement. Je voie sa main piocher dans unes de ses poches de pantalon, et elle sortie une petite boîte marron, qu’elle me mit devant les yeux. Je me demande bien se que sa peut être, mon cœur bat tellement vite.
Doucement elle a ouvert la petite boîte, et mon cœur se mit à tanguer fortement dans ma poitrine. A l’intérieur de l’étui se trouvé un petit cœur en argent, sur ce dernier, il y avait des lettres qui formé le mot « Je t’aime » je touche doucement le bijou, me demandant ce que cela pouvais être.
Haruka enlève le bijou de la boîte et je remarque que c’est une petite chaîne argenté, elle est magnifique, vraiment je ne sais quoi dire. Ma jolie blonde me le passe au tour du cou, et sa voix résonne au creux de mon oreille.
Haruka – joyeux anniversaire mon trésor.
J’ai levé mes yeux, et heureuse, j’ai déposé mes lèvres sur les siennes. Lui offrant un long et doux baiser. Caressant sa cheveulure, mêlant tendrement mes doigts à l’intérieur. Ses bras à elle entourés mon cou, et ses mains caresser ce dernier.
Jusqu’à présent personne n’avait fait sa pour moi, jamais on m’avait t’émoigner autant de tendresse et d’amour. Et cela me rendait éperdument heureuse.
Doucement ont se détachent, mais nos yeux continuent de se caresser, chacune habitant un sourire heureux.
Moi – il est magnifique … Merci mon amour.
Haruka – chuut … Pour toi, rien est trop beau !
Elle est vraiment adorable, puis doucement, elle ma prit la main et me conduit jusqu’à sa chaise. Elle prit place sur cette dernière, et me prit dans ses bras. Je me retrouve assise sur ses jambes, mes bras s’allongent sur ses épaules, et les siens s’avanturent dans mon dos. Un vent léger souffle et fait virevolté nos cheveux, elle est tellement belle, j’emène ma main gauche à sa joue et la caresse.
Moi – cette journée … Je ne l’oublierais jamais, merci Haruka !
Haruka – tu sais … Il est évident que pour toi, je serait prête à tout pour te rendre heureuse et te voir sourire tu … Tu compte tellement à mes yeux Michi.
Moi – toi aussi … Tu compte beaucoup pour moi, et pour rien au monde je ne t’échangerais pour voir de simple sourire de satisfaction.
Elle ma sourit et ma doucement embrassé. Je répond délicatement à sa douceur, posant mes mains sur ses joues et caressant sa peau avec mes pouce. Sans que je m’en rende compte Haru me mit des écouteurs aux oreilles, suivit d’un petit mp3, nos lèvres jouaient toujours ensemble, et une voix … Sa voix résonne dans la petite machine.
« Michi, je te souhaite un très joyeux anniversaire. Voila maintenant un mois que je vis un véritable bonheur à tes côtés, depuis que mes yeux ont croisé les tiens, je me suis demandé ce qui se passer pour que je soit autant subjugé. Le simple fait qu’en même pas un mois tu est devenu importante à mes yeux, je vais être honnete, mais je n’aie jamais pue connaître le véritable amour … Avant de tomber sur toi, se que je souhaite plus que tout ma chérie et qu’un jour tu devienne ma femme, quand j’ai appris ce qui tes arrivé, j’ai tout fait pour le cacher, mais voilà je t’aime et suis profondément amoureuse de toi. L’autre jour, tu m’as posé une question, tu m’as posé se dont je rêvé, et bien maintenant je peux te répondre, se que je rêve c’est de construir un futur avec toi, pouvoir un jour fonder notre propre famille ainsi que de te voir en robe blanche. Il n’y a que toi qui me rende ainsi, il n’y a que toi avec qui je veux terminer ma vie. Mon trésor, je t’aime je t’aime et je t’aime, tu est la femme de ma vie, et je ne veux pas te perdre. Je te souhaite un très bon anniversaire et te fait mille gros baisers, je t’aime ma chérie, ne l’oublie jamais. »
Alors que mes yeux la dévisagent, des larmes roule le long de mes joues, je … Je suis si heureuse, je pose le mp3 sur la table, et la regarde en pleurant de joie, mon cœur battait tellement vite, je ferme mes yeux et respire profondément, mordant ma lèvres inférieur et lâchant un petit rire.
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
Je lui prend les mains, tourne ma tête vers la droite et mes yeux encore embués de larmes fixent les étoiles.
Moi – moi aussi … Ce que je souhaite plus que tout et de construir un futur à tes côtés, je rêve chaque jour de ma vie avec toi, je n’aie jamais ressentie de tel émotions avant de te connaître, mais je t’aime d’un amour sincère et profond, je souhaite de tout mon cœur pouvoir un jour devenir ta femme et porter ton nom, je souhaite plus que tout te rendre heureuse, et te chérir tendrement chaque jours de notre vie …
je tourne ma tête, et la regarde les larmes aux yeux, elle me sourit, effaçant de sa main douce mes larmes.
Haruka – alors … Je souhaite plus que tout pouvoir unir mon cœur au tien mon trésor. Je t’aime tu sais.
Moi – moi aussi Haru je t’aime … Je t’aime bien plus qu’il ne le faut !
On c’est sourit, et nos lèvres se sont unies. Je me sentit soulever, mais je ne fait rien pour me débattre, juste à continuer de l’embrasser avec tendresse. J’entends une porte se fermer, et me sentit allonger. Nous étions dans notre chambre, et je sentait son souffle chaud sur ma peau, elle se trouvée au dessus de moi, et malgré la pénombre je pouvais voir ses magnifique yeux pétiller.
Haruka – ma chérie … Pour ce jour si exceptionnelle, me laisserais tu te faire goûter au bonheur ?
Moi – oui … Je suis toute à toi ma jolie blonde.
Elle me sourit, et nos lèvres se scellèrent amoureusement. Je vint doucement la dévêtir, laissant tomber sa chemise sur le sol, je laisse mes main parcourir son corps, sa peau qui est douce et chaude à la fois.
Je me retrouver à présent nue sous les draps mon corps frissonnant de plaisir. Pour la première fois, je me sentait bien, et je n’avais pas peur. Je dirige mes lèvres vers son cou et lui embrasse longuement. Ses mains parcourent mon être, et ses lèvres se perdent dans mon cou. Jusqu’à ma poitrine, le désir prenait de plus en plus d’ampleur, et j’avais irrésistiblement envie d’elle.
Moi – oh Haru … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon ange !
Elle a caresser ma joue, et ses lèvres ont repris les miennes en otage. Cette nuit pour la première fois fut la plus magique de toutes, pour la première fois depuis 18 ans je me laisser envahir par le plaisir que l’ont ressent à deux. Cette nuit, elle ma rendu heureuse, cette nuit elle a prit définitivement prit possession de mon cœur. Cette nuit ou Haruka me fit tendrement l’amour. Cette nuit ou je suis réellement tombé encore plus amoureuse.
Et voila la fin de ce chapitre ^^ à la prochaine :)
Dim 20 Oct 2013, 13:50 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
La mer...
Je t’aime parce que j’aime ta façon de m’aborder
tu es un bateau à l’abordage
un cœur de pirate...
Tu te transformes au fil du temps, au gré du vent,
comme pour nous dire de mettre les voiles,
de prendre le large,
vers une île déserte.
Tu te dresses, fier et beau,
fier de mener ta barque,
beau comme tu flottes sur l’eau...
Tu attends le premier qui te ferait face,
sachant qu’il est mort noyé d’avance.
Tu files droit, devant, tu me surprends,
un peu plus à chaque instant,
où je t’attends impatiemment...
Chaque seconde d’horizon avec toi
compte plus que jamais pour moi...
Tu es dur comme de la pierre
de deux coups, tu es un Homme
tu gères la mer...
La mer te prend, c’est bien connu,
et son soleil comble ta vue...
Le ciel se tend vers tes lèvres
dans le cœur de ton lit
et non dans le lit de ton cœur...
Tes mots tendres sont plus meurtriers
que l’enfer et ses dégénérés...
Tu n’as nul besoin de chevaucher
tu esquisses l’océan
tu inondes des rivières
rien qu’en ouvrant ta bouche
à mon oreille....
tu es un bateau à l’abordage
un cœur de pirate...
Tu te transformes au fil du temps, au gré du vent,
comme pour nous dire de mettre les voiles,
de prendre le large,
vers une île déserte.
Tu te dresses, fier et beau,
fier de mener ta barque,
beau comme tu flottes sur l’eau...
Tu attends le premier qui te ferait face,
sachant qu’il est mort noyé d’avance.
Tu files droit, devant, tu me surprends,
un peu plus à chaque instant,
où je t’attends impatiemment...
Chaque seconde d’horizon avec toi
compte plus que jamais pour moi...
Tu es dur comme de la pierre
de deux coups, tu es un Homme
tu gères la mer...
La mer te prend, c’est bien connu,
et son soleil comble ta vue...
Le ciel se tend vers tes lèvres
dans le cœur de ton lit
et non dans le lit de ton cœur...
Tes mots tendres sont plus meurtriers
que l’enfer et ses dégénérés...
Tu n’as nul besoin de chevaucher
tu esquisses l’océan
tu inondes des rivières
rien qu’en ouvrant ta bouche
à mon oreille....
Dim 14 Avril 2013, 20:51 par
inlove sur La déclaration d'amour
La directrice d'école
« Asseyez vous Monsieur je vous en prie
Vous devinez pourquoi je crois vous êtes ici »
Votre enfant turbulent au demeurant charmant
Perturbe la quiétude de notre établissement.
J’écoutais sans broncher la liste des reproches
Les yeux rivés sur elle, les deux mains dans les poches.
Plutôt pas mal cette directrice d’école
Sur un malentendu je tenterais bien la batifole.
Une coiffure au carrée, un maquillage discret
Une silhouette bien taillée, tout bien proportionné
Vraiment elle me plaisait, bien que pour le moment
J’étais dans son bureau à cause du garnement.
Je tentais les sourires et la décontraction
Lui montrant mon accord à trouver solution
Et que je concevais s’il y avait punition
Que j’aiderais le gamin pour apprendre ses leçons.
Elle me parue d’un coup un peu plus accessible
Un déclic dans ma tête, lui dire l’indicible.
Dans un geste un peu fou je me levais d’un bond
Lui avouant mon trouble au fond du pantalon
Qu’elle causait tout en moi depuis notre entretien
Et que si elle me giflait je comprendrais très bien.
Elle fut interloquée mais pas désarçonnée
Elle alla vers la porte pour la fermer à clé.
Je compris dès l’instant, j’avais bien fait d’oser.
Elle s’approcha de moi comme une lionne en chasse
« Depuis que je rêvais d’amour dans cette place »
Confessa-t-elle tremblante ouvrant son chemisier
Oh pour le reste laissez dis-je je vais m’en occuper.
Dans la fougue qui suivit je soulevais son tailleur
Lui tomba la culotte de son beau postérieur
Je découvris des doigts une fente accueillante
A laquelle j’octroyais quelques caresses lentes.
Elle ouvrit ma braguette pour sortir l’animal
Auquel elle pratiqua de longues câlines buccales
Puis elle se releva, s’accouda au bureau
Attendant par derrière l’emprise de mes assauts.
Je pris sa possession d’une besogne acharnée
Coulissant dans le lieu afin de la combler.
Elle couinait ardemment son plaisir qui venait
Quand je ne sais pourquoi il me vint cette idée
De prendre un gros stylo de son pot à crayon
Pour lui planter, surprise, dans son tout petit fion.
Cela la fit bondir et hurler de plaisir
Nous jouîmes à l’unisson de ce petit délire.
Nous nous dimes satisfaits le calme revenu,
Convenant de ce fait d’une prochaine entrevue.
« A l’avenir quand même surveillez votre garçon,
Mais il a de qui tenir d’un père si polisson »
Vous devinez pourquoi je crois vous êtes ici »
Votre enfant turbulent au demeurant charmant
Perturbe la quiétude de notre établissement.
J’écoutais sans broncher la liste des reproches
Les yeux rivés sur elle, les deux mains dans les poches.
Plutôt pas mal cette directrice d’école
Sur un malentendu je tenterais bien la batifole.
Une coiffure au carrée, un maquillage discret
Une silhouette bien taillée, tout bien proportionné
Vraiment elle me plaisait, bien que pour le moment
J’étais dans son bureau à cause du garnement.
Je tentais les sourires et la décontraction
Lui montrant mon accord à trouver solution
Et que je concevais s’il y avait punition
Que j’aiderais le gamin pour apprendre ses leçons.
Elle me parue d’un coup un peu plus accessible
Un déclic dans ma tête, lui dire l’indicible.
Dans un geste un peu fou je me levais d’un bond
Lui avouant mon trouble au fond du pantalon
Qu’elle causait tout en moi depuis notre entretien
Et que si elle me giflait je comprendrais très bien.
Elle fut interloquée mais pas désarçonnée
Elle alla vers la porte pour la fermer à clé.
Je compris dès l’instant, j’avais bien fait d’oser.
Elle s’approcha de moi comme une lionne en chasse
« Depuis que je rêvais d’amour dans cette place »
Confessa-t-elle tremblante ouvrant son chemisier
Oh pour le reste laissez dis-je je vais m’en occuper.
Dans la fougue qui suivit je soulevais son tailleur
Lui tomba la culotte de son beau postérieur
Je découvris des doigts une fente accueillante
A laquelle j’octroyais quelques caresses lentes.
Elle ouvrit ma braguette pour sortir l’animal
Auquel elle pratiqua de longues câlines buccales
Puis elle se releva, s’accouda au bureau
Attendant par derrière l’emprise de mes assauts.
Je pris sa possession d’une besogne acharnée
Coulissant dans le lieu afin de la combler.
Elle couinait ardemment son plaisir qui venait
Quand je ne sais pourquoi il me vint cette idée
De prendre un gros stylo de son pot à crayon
Pour lui planter, surprise, dans son tout petit fion.
Cela la fit bondir et hurler de plaisir
Nous jouîmes à l’unisson de ce petit délire.
Nous nous dimes satisfaits le calme revenu,
Convenant de ce fait d’une prochaine entrevue.
« A l’avenir quand même surveillez votre garçon,
Mais il a de qui tenir d’un père si polisson »
Mer 14 Nov 2012, 16:41 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
La directrice d'école
« Asseyez Monsieur je vous en prie
Vous devinez pourquoi je crois vous êtes ici »
Votre enfant turbulent au demeurant charmant
Perturbe la quiétude de notre établissement.
J’écoutais sans broncher la liste des reproches
Les yeux rivés sur elle, les deux mains dans les poches.
Plutôt pas mal cette directrice d’école
Sur un malentendu je tenterais bien la batifole.
Une coiffure au carrée, un maquillage discret
Une silhouette bien taillée, tout bien proportionné.
Vraiment elle me plaisait, bien que pour le moment
J’étais dans son bureau à cause du garnement.
Je tentais les sourires et la décontraction
Lui montrant mon accord à trouver solution
Et que je concevais s’il y avait punition
Que j’aiderais le gamin pour apprendre ses leçons.
Elle me parue d’un coup un peu plus accessible
Un déclic dans ma tête, lui dire l’indicible.
Dans un geste un peu fou je me levais d’un bond
Lui avouant mon trouble au fond du pantalon
Qu’elle causait tout en moi depuis notre entretien
Et que si elle me giflait je comprendrais très bien.
Elle fut interloquée mais pas désarçonnée
Elle alla vers la porte pour la fermer à clé.
Je compris dès l’instant, j’avais bien fait d’oser.
Elle s’approcha de moi comme une lionne en chasse
« Depuis que je rêvais d’amour dans cette place »
Confessa-t-elle tremblante ouvrant son chemisier
Oh pour le reste laissez dis-je je vais m’en occuper.
Dans la fougue qui suivit je soulevais son tailleur
Lui tomba la culotte de son beau postérieur
Je découvris des doigts une fente accueillante
A laquelle j’octroyais quelques caresses lentes.
Elle ouvrit ma braguette pour sortir l’animal
Auquel elle pratiqua de longues câlines buccales
Puis elle se releva, s’accouda au bureau
Attendant par derrière l’emprise de mes assauts.
Je pris sa possession d’une besogne acharnée
Coulissant dans le lieu afin de la combler.
Elle couinait ardemment son plaisir qui venait
Quand je ne sais pourquoi il me vint cette idée
De prendre un gros stylo de son pot à crayon
Pour lui planter, surprise, dans son tout petit fion.
Cela la fit bondir et hurler de plaisir
Nous jouîmes à l’unisson de ce petit délire.
Nous nous dimes satisfaits le calme revenu,
Convenant de ce fait d’une prochaine entrevue.
« A l’avenir quand même surveillez votre garçon,
Mais il a de qui tenir d’un père si polisson »
Jime
Vous devinez pourquoi je crois vous êtes ici »
Votre enfant turbulent au demeurant charmant
Perturbe la quiétude de notre établissement.
J’écoutais sans broncher la liste des reproches
Les yeux rivés sur elle, les deux mains dans les poches.
Plutôt pas mal cette directrice d’école
Sur un malentendu je tenterais bien la batifole.
Une coiffure au carrée, un maquillage discret
Une silhouette bien taillée, tout bien proportionné.
Vraiment elle me plaisait, bien que pour le moment
J’étais dans son bureau à cause du garnement.
Je tentais les sourires et la décontraction
Lui montrant mon accord à trouver solution
Et que je concevais s’il y avait punition
Que j’aiderais le gamin pour apprendre ses leçons.
Elle me parue d’un coup un peu plus accessible
Un déclic dans ma tête, lui dire l’indicible.
Dans un geste un peu fou je me levais d’un bond
Lui avouant mon trouble au fond du pantalon
Qu’elle causait tout en moi depuis notre entretien
Et que si elle me giflait je comprendrais très bien.
Elle fut interloquée mais pas désarçonnée
Elle alla vers la porte pour la fermer à clé.
Je compris dès l’instant, j’avais bien fait d’oser.
Elle s’approcha de moi comme une lionne en chasse
« Depuis que je rêvais d’amour dans cette place »
Confessa-t-elle tremblante ouvrant son chemisier
Oh pour le reste laissez dis-je je vais m’en occuper.
Dans la fougue qui suivit je soulevais son tailleur
Lui tomba la culotte de son beau postérieur
Je découvris des doigts une fente accueillante
A laquelle j’octroyais quelques caresses lentes.
Elle ouvrit ma braguette pour sortir l’animal
Auquel elle pratiqua de longues câlines buccales
Puis elle se releva, s’accouda au bureau
Attendant par derrière l’emprise de mes assauts.
Je pris sa possession d’une besogne acharnée
Coulissant dans le lieu afin de la combler.
Elle couinait ardemment son plaisir qui venait
Quand je ne sais pourquoi il me vint cette idée
De prendre un gros stylo de son pot à crayon
Pour lui planter, surprise, dans son tout petit fion.
Cela la fit bondir et hurler de plaisir
Nous jouîmes à l’unisson de ce petit délire.
Nous nous dimes satisfaits le calme revenu,
Convenant de ce fait d’une prochaine entrevue.
« A l’avenir quand même surveillez votre garçon,
Mais il a de qui tenir d’un père si polisson »
Jime
Mer 14 Nov 2012, 13:50 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
Si bien chez soi
[size=18]Deux petits "calissons"
Trop mignons,
Se redressent péniblement
Tout en étant très fiers,
De s’amuser vraiment
À contempler dehors
En ouvrant grand leurs mirettes
Ils n’avaient encore jamais vu,
Cette jolie neige poudrée
Se déposer de son beau manteau blanc
Et en recouvrir tout le sol.
Ils jubilaient, impatients,
Dans l’attente que Mathilde,
Se rapproche davantage de la vitre
Celle –ci, malicieuse à souhait,
En profitera pour les dévisager.
"Approchez vous d’un peu plus près!"
Beaux calices pleins de délice
Petits boutons roses qui grelottent...
Sous l’effet du vent glacé,
Ils se mettent à se reculer
Puis prennent peur,
Et veulent retrouver la chaleur
Du feu qui les attend
Près de la cheminée..[/size]
Trop mignons,
Se redressent péniblement
Tout en étant très fiers,
De s’amuser vraiment
À contempler dehors
En ouvrant grand leurs mirettes
Ils n’avaient encore jamais vu,
Cette jolie neige poudrée
Se déposer de son beau manteau blanc
Et en recouvrir tout le sol.
Ils jubilaient, impatients,
Dans l’attente que Mathilde,
Se rapproche davantage de la vitre
Celle –ci, malicieuse à souhait,
En profitera pour les dévisager.
"Approchez vous d’un peu plus près!"
Beaux calices pleins de délice
Petits boutons roses qui grelottent...
Sous l’effet du vent glacé,
Ils se mettent à se reculer
Puis prennent peur,
Et veulent retrouver la chaleur
Du feu qui les attend
Près de la cheminée..[/size]
Jeu 03 Mars 2011, 10:50 par
caressedesyeux sur Mille choses
Ma jeunesse
Avant propos d’un de mes projets littéraires.
Enfance troublée par la peur d’un baiser
Ce fut des années sans personne à aimer.
L’amour illusoire me berna…
Mes prétendantes se firent connaître à mes yeux,
Mais toutes repartirent sans un mot de moi.
Même celles dont je rêvais,
Finirent sur l’autel du sacrifice de mes peurs.
Ma jeunesse bascula dans un tourbillon de doutes.
L’age multipliant les expériences,
Sinuant entre les lignes de chances,
Frôla régulièrement celles des regrets.
Des chemins ratés, aux embûches qui se dressèrent à moi,
Chaque jour se construisit avec le passé.
« Il faut savoir faire des erreurs pour être meilleur
J’ai fait tant d’erreurs… »
Face aux troubles de l‘adolescence,
La vie vint marquer en plus mon visage de cratères sans fin.
Les lignes juvéniles périrent sous les assauts des traitements médicaux
Déformant l’attrait de mon visage d’enfant.
Une longue chevelure vint entraver mon regard,
Et me cacher du monde et de moi-même.
Ma vie prit la tournure d’un homme qui se cache pour aimer.
« C’est dans la solitude que les mots les plus tendres prennent naissance »
Replié sur soi même, l’expression prit un autre sens,
Chaque moment était prétexte à l’écriture,
La douceur éclosant de mes mains,
L’attention séduisant la patience.
Tout à fleur de peau, une grande part de féminité s’installa
Bercé du cruel manque d’une moitié à soi.
Les années passèrent, la confusion des « non-sens » regarda naître l’ignorance face aux rêves, avant de succomber aux sombres promesses de l’enfer. Le métal lourd et noir fut la dernière pièce à l’édifice de mes influences. Il faut de tout pour faire un monde.
Le mien en était bien remplit à présent…
Bienvenue dans un monde où le romantisme prend un nouveau visage.
Poésie et Métaphores s’unissent aux cours d’histoires d’aujourd’hui,
Ré ouvrant le cercle des poètes disparus …
Témoignage de mes relations amoureuses,
Certains écrits sont restés,
D’autres sont romancés
Pour le plaisir des yeux et des mots.
Les histoires d’amour finissent toujours…
Comment !!! La vie nous le dira…
Enfance troublée par la peur d’un baiser
Ce fut des années sans personne à aimer.
L’amour illusoire me berna…
Mes prétendantes se firent connaître à mes yeux,
Mais toutes repartirent sans un mot de moi.
Même celles dont je rêvais,
Finirent sur l’autel du sacrifice de mes peurs.
Ma jeunesse bascula dans un tourbillon de doutes.
L’age multipliant les expériences,
Sinuant entre les lignes de chances,
Frôla régulièrement celles des regrets.
Des chemins ratés, aux embûches qui se dressèrent à moi,
Chaque jour se construisit avec le passé.
« Il faut savoir faire des erreurs pour être meilleur
J’ai fait tant d’erreurs… »
Face aux troubles de l‘adolescence,
La vie vint marquer en plus mon visage de cratères sans fin.
Les lignes juvéniles périrent sous les assauts des traitements médicaux
Déformant l’attrait de mon visage d’enfant.
Une longue chevelure vint entraver mon regard,
Et me cacher du monde et de moi-même.
Ma vie prit la tournure d’un homme qui se cache pour aimer.
« C’est dans la solitude que les mots les plus tendres prennent naissance »
Replié sur soi même, l’expression prit un autre sens,
Chaque moment était prétexte à l’écriture,
La douceur éclosant de mes mains,
L’attention séduisant la patience.
Tout à fleur de peau, une grande part de féminité s’installa
Bercé du cruel manque d’une moitié à soi.
Les années passèrent, la confusion des « non-sens » regarda naître l’ignorance face aux rêves, avant de succomber aux sombres promesses de l’enfer. Le métal lourd et noir fut la dernière pièce à l’édifice de mes influences. Il faut de tout pour faire un monde.
Le mien en était bien remplit à présent…
Bienvenue dans un monde où le romantisme prend un nouveau visage.
Poésie et Métaphores s’unissent aux cours d’histoires d’aujourd’hui,
Ré ouvrant le cercle des poètes disparus …
Témoignage de mes relations amoureuses,
Certains écrits sont restés,
D’autres sont romancés
Pour le plaisir des yeux et des mots.
Les histoires d’amour finissent toujours…
Comment !!! La vie nous le dira…
Dim 31 Jan 2010, 17:41 par
fantasy-x sur Mille choses
Choisir sa route
J’ ai ouvert la porte
Y’avait des sourires,
des mains fortes
en buvant à notre santé
j’ai vu de la souffrance
Les gens ’guérissent par l’errance
et chut pour les autres substances
Vivre, apprendre , partir
Choisir sa route
Poser le pied sur la pédale,
choisir son arme, son idéal
J’ai ouvert la porte
Y’avait du vin chaud et de la zik.
zen attitude, ambiance ethnique,
plus quelques guitares classiques.
En ouvrant les yeux,
en ouvrant la porte,
j’ai vu de la débrouille
et d’autres gentilles magouilles.
Nomades de la route,
société qui doute
On a choisi l’camion
pour vivre a notre facon.
Pas insérés, pas adhérents.
On vit pas isolés, juste différemment
Dérouler le temps à coups de bierre
Raconter nos reves, antidotes puissants.
Nomades du doute
Esprits tordus mais conscients
On roule coute que coute
vers ce doux mouvement[/list]
Y’avait des sourires,
des mains fortes
en buvant à notre santé
j’ai vu de la souffrance
Les gens ’guérissent par l’errance
et chut pour les autres substances
Vivre, apprendre , partir
Choisir sa route
Poser le pied sur la pédale,
choisir son arme, son idéal
J’ai ouvert la porte
Y’avait du vin chaud et de la zik.
zen attitude, ambiance ethnique,
plus quelques guitares classiques.
En ouvrant les yeux,
en ouvrant la porte,
j’ai vu de la débrouille
et d’autres gentilles magouilles.
Nomades de la route,
société qui doute
On a choisi l’camion
pour vivre a notre facon.
Pas insérés, pas adhérents.
On vit pas isolés, juste différemment
Dérouler le temps à coups de bierre
Raconter nos reves, antidotes puissants.
Nomades du doute
Esprits tordus mais conscients
On roule coute que coute
vers ce doux mouvement[/list]
Ven 21 Mars 2008, 02:11 par
fifi B sur Mille choses
Un rêve parfumé (poème érotique)
Un rêve parfumé
Après une folle soirée
De stupre et de luxure
Passée à vive allure,
C’est divinement fatigué
Que nous nous sommes assoupis
Dans le théâtre de nos ébats : le lit...
J’ai fermé les yeux
Entre tes seins chaleureux
Et, doucement, venant chatouiller mes sens,
J’ai senti la volupteuse et paresseuse essence
Du parfum de tes douces mamelles,
Du souffle de ma bouche sur elles,
Raviver en mes inconscientes narines
Un ressac d’ardeurs sous-marines
Ouvrant la voie de rêves aphrodisiaques
En des rivages paradisiaques...
Sous mes yeux fermés et frémissants
Des songes allument des feux d’illusions
Qui se consument lentement
Telle une fumée de tison,
Son corps surgit alors du brouillard
Gonflé d’un désir charnel
Qui fait s’élever au ciel
Mon phallus fier étandard !
Mes envies laissent libres leur cours
Elle m’enlace - Je la possède
Je me prélasse - Elle m’obsède
Maintes fois nous faisons l’amour
Sexes ou bouches - Enchevêtrés
Sueurs et frissons - Embaumés
Au solstice de la nuit
Dans l’odeur chaude des ombres
Où toujours plus je sombre,
M’agitant dans le lit
Savourant cet échange,
Se produit soudain un évènement étrange...
Dans la moiteur de mes rêves
Je sens monter un vent de fièvres
Jusqu’au bord de mes lèvres
Mon membre semble proche d’exploser
Telle une bouteille de champagne
Trop agitée avant de servir
Et de mon gland vient couler
Sur la cuisse de ma compagne
Quelques gouttes de plaisir...
La fragance poivrée
Animale
De ce précieux miel
Parvient jusqu’au nez
De ma belle
Et distille moultes phéromones mâles
En ces sens qui bientôt s’éveillent !
L’essence masculine et virile
Se difuse en elle avec force
La rendant soudain si fébrile
Qu’elle se redresse,
Bombe le torse
Cambre les fesses
Et vient s’empâler dans un râle
Sur mon sexe boréal !
Tandis que l’aurore soudain illumine
Mon rêve qui se termine...
© Cyr
Continuez sur le thème du parfum et de l’érotisme sur www.poesie-erotique.net
Après une folle soirée
De stupre et de luxure
Passée à vive allure,
C’est divinement fatigué
Que nous nous sommes assoupis
Dans le théâtre de nos ébats : le lit...
J’ai fermé les yeux
Entre tes seins chaleureux
Et, doucement, venant chatouiller mes sens,
J’ai senti la volupteuse et paresseuse essence
Du parfum de tes douces mamelles,
Du souffle de ma bouche sur elles,
Raviver en mes inconscientes narines
Un ressac d’ardeurs sous-marines
Ouvrant la voie de rêves aphrodisiaques
En des rivages paradisiaques...
Sous mes yeux fermés et frémissants
Des songes allument des feux d’illusions
Qui se consument lentement
Telle une fumée de tison,
Son corps surgit alors du brouillard
Gonflé d’un désir charnel
Qui fait s’élever au ciel
Mon phallus fier étandard !
Mes envies laissent libres leur cours
Elle m’enlace - Je la possède
Je me prélasse - Elle m’obsède
Maintes fois nous faisons l’amour
Sexes ou bouches - Enchevêtrés
Sueurs et frissons - Embaumés
Au solstice de la nuit
Dans l’odeur chaude des ombres
Où toujours plus je sombre,
M’agitant dans le lit
Savourant cet échange,
Se produit soudain un évènement étrange...
Dans la moiteur de mes rêves
Je sens monter un vent de fièvres
Jusqu’au bord de mes lèvres
Mon membre semble proche d’exploser
Telle une bouteille de champagne
Trop agitée avant de servir
Et de mon gland vient couler
Sur la cuisse de ma compagne
Quelques gouttes de plaisir...
La fragance poivrée
Animale
De ce précieux miel
Parvient jusqu’au nez
De ma belle
Et distille moultes phéromones mâles
En ces sens qui bientôt s’éveillent !
L’essence masculine et virile
Se difuse en elle avec force
La rendant soudain si fébrile
Qu’elle se redresse,
Bombe le torse
Cambre les fesses
Et vient s’empâler dans un râle
Sur mon sexe boréal !
Tandis que l’aurore soudain illumine
Mon rêve qui se termine...
© Cyr
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Lun 07 Mai 2007, 18:24 par
cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
Pour l'amour
Pour l’amour de la rose qui pleure
Ouvrant au ciel son cœur blessé
Pour l’amour des plaisirs qui se meurent
Dans nos regards quand s’efface la nuit
Gardons au bout des lèvres la saveur amère
De nos cheveux mêlés, de nos cœurs meurtris et de nos larmes
Pour l’amour de tes yeux pleins de rêves
Quand va s’ouvrir la fleur de mai
Pour l’amour de tes mots qui me prennent
Quand on se donne et que l’on s’abandonne
Cueillons l’espoir tremblant du printemps qui passe
Laissons l’oiseau des bois bercer notre paix dans la nuit calme
Pour l’amour du soleil qui se lève sur le jardin de nos 20 ans
Prends la fleur qui enchante mes rêves
Offre-la-moi au matin de ce jour
Au matin de l’amour et donne moi la main
Cosma & Pimper
Ouvrant au ciel son cœur blessé
Pour l’amour des plaisirs qui se meurent
Dans nos regards quand s’efface la nuit
Gardons au bout des lèvres la saveur amère
De nos cheveux mêlés, de nos cœurs meurtris et de nos larmes
Pour l’amour de tes yeux pleins de rêves
Quand va s’ouvrir la fleur de mai
Pour l’amour de tes mots qui me prennent
Quand on se donne et que l’on s’abandonne
Cueillons l’espoir tremblant du printemps qui passe
Laissons l’oiseau des bois bercer notre paix dans la nuit calme
Pour l’amour du soleil qui se lève sur le jardin de nos 20 ans
Prends la fleur qui enchante mes rêves
Offre-la-moi au matin de ce jour
Au matin de l’amour et donne moi la main
Cosma & Pimper
Sam 13 Mai 2006, 11:52 par
dolce vita sur Citations
Revivre
Tu as pris dans tes mains ma tête avec tendresse
Et dans mes yeux plongé les tiens baignés d’ivresse
Je me suis laissée faire tremblant sous tes caresses
Et mon cœur et le tien se rejoignant sans cesse.
Pourquoi ce doux émoi qui nous ravit tous deux
Qui vient de toi à moi, de nos êtres, amoureux.
Longtemps je t’ai cherché n’y croyant plus enfin
Renonçant à la quête qui marquait mon destin.
Oui, j’ai baissé les bras, ayant perdu la foi
Refusant d’insister ; ne croyant plus en toi.
C’est alors qu’en ce jour, jour béni entre tous,
C’est toi qui es venu dont l’amour éclabousse !
Au début, je l’avoue, je ne te voyais pas
Et je te disais « vous » quand tu me tutoyas.
C’est alors que ravie, ouvrant enfin les yeux,
Et du corps et du cœur, dès lors nous étions deux.
Non, non, je n’ai pas peur ; avec toi je suis bien
Tu m’as livré ton cœur, sans qu’il y ait de bataille,
Je t’ai laissé le mien. Et couchés dans la paille
Ou dans le lit d’un roi, il ne nous manque rien.
Et dans mes yeux plongé les tiens baignés d’ivresse
Je me suis laissée faire tremblant sous tes caresses
Et mon cœur et le tien se rejoignant sans cesse.
Pourquoi ce doux émoi qui nous ravit tous deux
Qui vient de toi à moi, de nos êtres, amoureux.
Longtemps je t’ai cherché n’y croyant plus enfin
Renonçant à la quête qui marquait mon destin.
Oui, j’ai baissé les bras, ayant perdu la foi
Refusant d’insister ; ne croyant plus en toi.
C’est alors qu’en ce jour, jour béni entre tous,
C’est toi qui es venu dont l’amour éclabousse !
Au début, je l’avoue, je ne te voyais pas
Et je te disais « vous » quand tu me tutoyas.
C’est alors que ravie, ouvrant enfin les yeux,
Et du corps et du cœur, dès lors nous étions deux.
Non, non, je n’ai pas peur ; avec toi je suis bien
Tu m’as livré ton cœur, sans qu’il y ait de bataille,
Je t’ai laissé le mien. Et couchés dans la paille
Ou dans le lit d’un roi, il ne nous manque rien.
Jeu 09 Fév 2006, 18:37 par
dolce vita sur L'amour en vrac
L'enveloppeur ....
L’enveloppeur rouge et parfumé …
Depuis quelques jours, je reçois de curieux messages mais je n’y prêtais aucune attention. Cela dit, je me questionnais : qui pouvait ainsi m’écrire? J’étais quelque peu intriguée et à force d’y penser, la réflexion me menait à la conclusion d’une farce.
Ce matin là, j’ouvrais une enveloppe papier rouge, parfumée d’une odeur typiquement masculine. Un mot m’indiquait le nom d’un bar, son adresse et une heure. C’était un rendez-vous. Je rangeai négligemment le courrier dans mon panier et partis pour accomplir ma journée.
Assise dans un métro direction boulot, au milieu d’un magma d’anonymes, je sortis la lettre singulière afin de l’observer et tenter de deviner l’expéditeur à travers son écriture. Mais n’étant ni graphologue, ni profiler, je devais renoncer très vite à cette pseudo enquête et j’insérais l’enveloppe parfumée dans un livre.
Vint l’heure du déjeuner. Comme chaque midi, je me rendais dans un jardin public. Constituée de bons réflexes , j’ouvrais le livre qui portait désormais, l’odeur attirante de l’enveloppe rouge. J’approchais l’ouvrage de mes narines pour en humer les pages marquées de quelque chose de masculin. Je me sentais pénétrée par l’odeur singulière, attirante et enivrante. Pour la troisième fois de la journée, je me mettais en face à face avec une énigme, en face à face avec un mystère, ce dernier évoluant au fil de la journée en une véritable intrigue.
Et si c’était un homme ? Cette idée me faisait rougir du même rouge que l’enveloppe. Et si c’était sérieux ? Je tentais de me plonger dans la lecture du roman, mais la ténacité de l’odeur me perdait dans une étrange rêverie : celui de l’inconnu qui pourrait se révéler plus tard.
Je repris mon travail sans y être véritablement car j’étais perturbée par la simplicité du bout de papier.
Après la sortie du travail, je repris le métro direction dodo. A bien y réfléchir, pourquoi ne pas me rendre au rendez-vous ? Qu’ai-je à y perdre ? La raison, mais je ne suis pas raisonnable. Alors après quelques changements de rame, j’arrivai Place des Laitiers, au Café de la Bourse avec quelques minutes de retard conséquence de mon indécision !
J’entrai dans ce bar, je ne vis personne, en tout cas personne ne retint mon regard, si ce n’est le barman auquel je commandai un café et un verre d’eau. Je ressortis pour m’installer sur la terrasse. La nuit tomba rapidement en cette saison et la fraîcheur hivernale se fit vite ressentir. Emmitouflée dans un manteau de laine, les gants à la main, je pris place. Les jambes croisées, j’attendais avec patience... un café. Je ne repèrais toujours personne dans l’horizon immédiat et urbain. Le bras accoudé sur la table, je retenais mon visage observant dans cette posture les allers et venues des passants pressés. Personne ne se manifesta. L’enveloppe pourrait être un signe de reconnaissance mais il n’y fait rien. Je m’impatientais, un peu beaucoup et beaucoup trop! Je me lèvai pour repartir, contrariée, il me faut l’avouer car ma venue n’était en aucun cas désespérée. J’ajustai mon béret décidant d’abandonner l’enveloppe sur la table , y jetant un ultime regard gorgé de mépris féminin. D’un pas pressé, je regagnai le métropolitain, direction DODO. Au milieu des badauds , je me retenais à la barre métallique quand soudainement, j’entendis une voix suave. La voix d’un homme à l’élocution parfaite. " Ne vous retournez pas" me dit-il. C’est exactement ce que je tentais de ne pas faire. Les yeux écarquillés , je tentai de retourner la situation. Mais l’homme n’etait pas dupe et posa ses mains sur les deux cotés de mon visage pour m’empêcher de le regarder. Surprise, j’eus un peu peur et les battements de mon cœur se multiplierent sous l’effet du stress soudain. Mes narines étaient titillées par un parfum que je reconnaissais, l’odeur enivrante de l’enveloppe. Je me rassurai et tentai une seconde fois de tourner la tête mais l’homme mystérieux s’obstina dans le refus d’être vu et exerça une pression plus forte de ses mains cammouflées dans des gants de cuir. J’en perdis mon béret...
..le temps de ramasser mon béret , le métro s’arrêtait sur une station, les portes s’ouvraient, les gens sortaient et entraient et l’inconnu parfumé n’était plus là.
Je me retournais tentant de m’approcher des portes qui fermement devaient se refermer après un bruit de sirène désagréable.
Je regardais à travers les vitres mais au grand désespoir, je ne pus voir qui avait été derrière moi ! Le béret à la main, collée contre la vitre, je devais afficher une triste mine.
L’auteur de mots étranges était une réalité qui m’échappait et je n’aimais pas du tout cela.
Rentrant bredouille, je regardais ma boite aux lettres remplies de factures et rien d’autre que des factures qu’il me faudra appréhender plus certainement que "l’enveloppeur rouge et parfumé". Il ne s’était rien passer et ce rien me laissait la pesanteur d’un tout insaisissable, invisible. Qui pouvait-il être?
L’enveloppeur rouge et parfumé m’intéressait sans que je ne le connaisse, sans que je ne lui donne l’intérêt qu’on porte au gens, gentilhomme ou autre.
Qui était-il ? Le saurais-je seulement ? Remplie de doute, j’allais passer une soirée à m’interroger sur cette curieuse mésaventure. Etait-il possible que ce soit un voisin ? ou encore un collaborateur ou que sais-je ? J’avais une certitude, l’enveloppeur rouge et parfumé me connaissait !
Durant quelques jours, tous aussi ressemblants aux autres dans le cycle infernal du métro/boulot/dodo mon comportement devait apparaître comme étrange auprès de ceux que je fréquentais. Observant les gens dans le métro, soupçonnant tout à chacun et à tour de rôle. Chaque personne que je saluais était humée afin de percer leur parfum. Mais personne n’avait l’odeur dont j’étais imprégnée de l’enveloppeur rouge.
Le temps passait et ce souvenir aussi quand un matin à l’identique des autres matins, je trouvais une autre enveloppe rouge et parfumée déposée sur le tapis de mon entrée !
Une autre farce sans doute ! Mais l’effet fut incontestable et radical, mon cœur battait d’impatience de lire et de sentir. Je déchirai sauvagement l’enveloppe pour y trouver…..
..une feuille rouge avec l’inscription : " Regarde sous ton paillasson". Réflexe presque conditionné, je pose le papier sous mon nez et l’odeur épicé de ce parfum m’envahie une nouvelle fois.
Effervescence, mon esprit est en effervescence et mon corps aussi. Je regarde dans la cage d’escalier si quelqu’un ne se serait pas dissimulé mais personne.
Disciplinée , je soulève ma paillasse pour y découvrir une petite clef ! et rien d’autre. Métro/bouleau/dodo. Je m’attends à chaque instant à trouver un indice supplémentaire mais rien, ni personne et c’est ainsi que ma journée se solde avec rien et personne. Encore et plus intriguée qu’auparavant, je m’empresse d’aller questionner le petit cordonnier du coin. Qui ne me donne comme indication "la clef d’un verrou, pour sûr mais duquel, j’sais pas, j’peux pas vous dire!". Je ne suis guère plus avancée.
Quel est donc ce fou? Suis-je en danger? Non parce qu’il y a un je ne sais quoi de rassurant.
Le lendemain, je me réveille un peu plus tard et trainasse au lit. J’observe mon précieux trésor déposé la veille sur la table nuit. En déposant, le papier sous mes narines je titille mes neurones et décide de laisser l’enveloppeur rouge et parfumé venir à moi mais un tantinet de provocation viendra pimenter et accélérer le processus….
Je me lève d’un pied très décidé, attrape un papier quelconque, le parfume pour lui attribuer une signature personnelle et y écrit de ma plus belle plume : " Enveloppeur rouge et parfumé, le courage est d’aller jusqu’au bout, sans hésitation, vous avez effleuré mon visage, mon âme et ma curiosité. Le respect vous impose maintenant de vous présentez, n’en faite rien et je vous nierai !!! bien à vous mais plus pour longtemps. Je vous impose donc un compte à rebours…". Je lèche du bout de la langue l’enveloppe, y indique " à l’attention de …???", et l’accroche sur ma porte.
Je me prépare pour faire mon marcher, le panier à la main, j’ouvre mon entré pour sortir. Le mot n’est plus là, mais une rose m’attendait. Je la prends et je parts…..faire mon marcher.
Et histoire, que l’enveloppeur rouge et parfumé comprenne que je suis sérieuse, je dépose la fleur sur les poubelles de l’immeuble. Mais en revenant, la rose n’y était plus. Détail insignifiant, sans doute et pourtant, j’imagine que l’enveloppeur rouge et parfumé serait passé la ramasser. Le week-end passe comme il se doit de passer. Rien sur la porte, ni dans la boite aux lettres. Je pense avoir mis un terme au mystère à jamais mystère. Et en partant dans un programme redondant je lâche un grand soupir ….
Ce matin là, le métro est plein à craquer, nous sommes les uns contre les autres trop rapprocher à mon goût . Je sentis bien quelqu’un derrière moi dont l’odeur ressemble étrangement à celle des mots avec quelque chose en plus….Une molécule de lui. Malgré des tentatives pour retourner la situation, il m’est impossible de me déplacer et de regarder le porteur du parfum…Dans la cohue d’un métro bondé, une voix chuchote à mon oreille " c’est un bien joli béret , ne vous y trompez pas, viendra l’heure des présentations, acceptez cette fleur comme maigre consolation". Ces mots interviennent au moment précis ou le métro s’arrête et bien que me retournant avec violence, il avait disparu. Les mécontents de la bousculades me font savoir leur mécontentement auquel je réponds d’un regard coléreux. Il avait cependant déposé une autre rose que je me résignais à conserver.
J’accomplissais le rituel du déjeuner dans le même jardin public et en fouillant dans mon panier, je trouvais une autre enveloppe rouge et parfumée. Je l’ouvre et y découvre une adresse, un étage, un numéro de porte, une date et une heure……..et la même odeur.
….Cette odeur qui avait la capacité d’enivrer tout mes sens et déjouer ma raison. Je n’allais pas me réfugier dans la lecture de mon Disque Monde, j’allais , au contraire penser, divaguer dans cette aventure au combien mystérieuse et envoûtante car envoûtée, je l’étais certainement. Je me précipitais dans mon bureau pour rechercher un plan et situer le lieu. J’avais une idée dans laquelle je m’obstinée car, si en effet, l’enveloppeur rouge et parfumé était un prince peut-être était-il un assassin et moi sa victime dans quelques jours.
Le soir venu, je rentrais à mon domicile, une autre rose m’attendait sur le pallier. Je savais que l’enveloppeur rouge et parfumée déposerait un encouragement à le retrouver.
Le jour du rendez-vous venu, je me préparais mais prise entre la crainte et le désir, je décidais de ne pas me laisser emporter par un plaisir incertain. Je décidais de ne pas me rendre directement dans le piège supposé et présumé. Cependant, je fis un effort de coquetterie . Je descendais les marche une à une avec un enthousiasme réservé. Ouvrant ma boite aux lettres, de manière systématique, une autre enveloppe rouge et parfumée se fit découvrir. Un mot tout simple y était inscrit " les instants deviennent des siècles à vous attendre". J’étais flattée, comme, sans doute, toutes les femmes l’auraient été en pareil circonstance.
Je pris le métro en direction de l’inconnu. Mes mains étaient moites, j’avais le bouche sèche, l’estomac noué…J’étais indécise, allais-je, voulais-je démasquer le mystère ?
Après quelques rues et maison, j’étais face à l’immeuble désigné par l’enveloppeur rouge et parfumé. Il me fallait pousser une énorme porte de bois et de ferraille pour apercevoir un étrange et long couloir qui de plus était obscure. Aucun bruit ne se laisser entendre. J’entrais tout de même. La porte devait se refermé sur un claquement qui me fit sursautée. Je posais une main sur mon cœur battant. L’excitation était de plus en plus forte. Sur la droite, se dressait une série de boites aux lettres susceptibles de me donner des indications sur le nom de mon enveloppeur rouge et parfumé. Mais rien , juste des nom sans précision des étages et numéros d’appartement. Il me fallait soit monter , soit partir. Il me fallait de toutes les façon, prendre une décision rapide……
….où était passée ma raison ? Pourquoi ne me dictait-elle pas plus de prudence, ne m’indiquait-elle pas d’être, en outre d’une extrême vigilance ? Ma curiosité avait pris en autage ma raison mais la méfiance pointait le bout de son nez.
Ainsi, je parcourais pas à pas le long couloir qui s’assombrissait dans mon avancée. Le sol était fait de parquait qui me dénonçais par ses craquements successifs. Il me fallait donc avancer d’un pas plus léger, sur la pointe des pieds.
Je devais monter un gigantesque escalier en colimaçon. Je le fis mais dans une lenteur intrigante. Les étages n’en finissait pas, et j’arrivais presque sous les toits. La porte de l’appartement 13 était face à moi. Je me sentais essoufflée non pas par l’effort des escaliers mais par l’émotion. C’est à ce moment précis que la lumière éclairait cette étrange décore. Je me penchais discrètement sur la rampe d’escalier et je pus observer le panier très rempli d’une vielle dame. Une occupante de l’immeuble, à l’évidence. Ces instants détournaient r mon attention du mystère et ma raison faisait son apparition. Ainsi, elle me suggérais de tendre l’oreille à la porte visée. Je vis, en outre, la serrure du verrou car la porte ne tenait, apparemment qu’avec un verrou.
Je décidais de faire marche arrière et je descendis les escaliers à toute vitesse. Je m’enfuyais, ouvrant la lourde porte d’un geste déterminé à décamper….
….J’allais me réfugier dans un bistrot en face de l’immeuble. Je m’installais face à la porte pour regarder les occupants sortir et entrer. Mais rien ni personne ne ressemblait à l’image inconsciemment construite de mon enveloppeur rouge et parfumé. Je me donnais raison d’être partie, car il pouvait être " l’étrangleur rouge et parfumé". Je me donnais aussi tord d’être en fuite parce que je me souvenais alors de ses mains gantées sur mon visage, de sa voix suave, de ses roses et ses mots et surtout de son odeur.
Je me dirigeais vers ma demeure quand prise de réels remords, je repartais en direction de l’appartement 13 de l’enveloppeur rouge et parfumé.
Il était tard, certainement minuit quand j’ouvris la lourde porte. Je grimpais l’escalier d’un pas vif et déterminé. Je sortis la clef du verrou que je glissais dans le serrure du verrou. Je retenais mes mouvement un instant car une voix de chanteuse lyrique émanait de l’appartement. Assez d’hésitation ,j’y vais, j’ouvre doucement cette porte grinçante .
Il s’agissait d’une garçonnière aménagée d’un lit , d’un fauteuil et d’un bureau. La pièce était éclairée d’une lampe de chevet recouverte d’un tissu pour tamiser la lumière La voix lyrique était celle d’une chanteuse d’opéra
Un homme gisait sur le lit. Il était profondément endormi. Certainement que les vapeurs d’alcool n’étaient pas innocentes à son état comatique. Sa veste était négligemment posée sur le fauteuil en velours vert. C’était une veste rapiécée au niveau des coudes.
Lui était beau dans son sommeil forcé. Les cheveux ébouriffés, il était allongé sur le ventre. Habillé d’un pantalon noir et d’une chemise blanche dont il avait retroussé les manches.
Il ressemblait à un étudiant mais son âge laissait supposer qu’il ne devait plus être sur les bancs d’une faculté depuis quelques années. Je déposais, sans un bruit, le rose à coté de son visage. Dans une extrême discrétion, je refermais la porte et glissais la clef du verrou dans le bâillement de celle-ci.
Je repartis dans une course folle afin de ne par manquer le dernier métro…Je me sentais comme libérée du mystère. L’enveloppeur rouge et parfumé devait me connaître. Ce soir là, je l’avais reconnu mon ancien amant disparu et que je n’attendais plus. J’aurais pu venir en temps et en heure suivant mon instinct et pensant que je n’avais rien à craindre. Nous nous serions retrouvés, je l’aurais certainement encore aimé et il est certains que nous aurions étaient pris d’une irrésistible envie de faire l’amour comme nous le faisions avant ….A l’ époque où j’avais été sa muse car il était un écrivain déchu des maison d’édition et déçu de ne pas être édité. J’étais sa seule et unique lectrice….mais un jour, il s’en est allé, il a disparu me laissant une amère incompréhension. Au fil des mois, mon chagrin s’atténuait pour être oublié. Mais lui, jamais, je n’aurais pu l’oublié.Et, dans le fond, je n’ignorais pas son prochain retour …
Il n’avait pas changé, seulement pris des années. Si, il avait changé de parfum
Sur ce délicat souvenir, je me suis endormie…
Au matin, en retournant dans mon interminable quotidien, je regardais le contenu de ma boite aux lettres, il n’y avait rien. J’ouvrais la porte de mon immeuble, je le découvrais, se reposant sur le luminaire, les mains dans les poches, les cheveux ébouriffés, la barbe de la veille, les cernes du lendemain , un journal sous le bras. Je plongeais mon regard dans les yeux de cet homme ..Il me sourit. J’étais prise d’un immense sentiment, le plaisir des retrouvailles . Je m’approchais de sa personne et déposais une main sur son visage. Il sortit les main de ses poches pour me prendre dans ses bras. J’avais une larmes au coin d’un œil . Nous nous sommes embrassés comme autrefois, et à tout jamais.
L’enveloppeur rouge et parfumé était mon envoûteur tant aimé. Le détenteur de mon cœur….Je glissais mon bras autour du sien et nous sommes partis sans rien se dire…Je l’aimé comme au dernier jour car ce jour devenais le premier
Depuis quelques jours, je reçois de curieux messages mais je n’y prêtais aucune attention. Cela dit, je me questionnais : qui pouvait ainsi m’écrire? J’étais quelque peu intriguée et à force d’y penser, la réflexion me menait à la conclusion d’une farce.
Ce matin là, j’ouvrais une enveloppe papier rouge, parfumée d’une odeur typiquement masculine. Un mot m’indiquait le nom d’un bar, son adresse et une heure. C’était un rendez-vous. Je rangeai négligemment le courrier dans mon panier et partis pour accomplir ma journée.
Assise dans un métro direction boulot, au milieu d’un magma d’anonymes, je sortis la lettre singulière afin de l’observer et tenter de deviner l’expéditeur à travers son écriture. Mais n’étant ni graphologue, ni profiler, je devais renoncer très vite à cette pseudo enquête et j’insérais l’enveloppe parfumée dans un livre.
Vint l’heure du déjeuner. Comme chaque midi, je me rendais dans un jardin public. Constituée de bons réflexes , j’ouvrais le livre qui portait désormais, l’odeur attirante de l’enveloppe rouge. J’approchais l’ouvrage de mes narines pour en humer les pages marquées de quelque chose de masculin. Je me sentais pénétrée par l’odeur singulière, attirante et enivrante. Pour la troisième fois de la journée, je me mettais en face à face avec une énigme, en face à face avec un mystère, ce dernier évoluant au fil de la journée en une véritable intrigue.
Et si c’était un homme ? Cette idée me faisait rougir du même rouge que l’enveloppe. Et si c’était sérieux ? Je tentais de me plonger dans la lecture du roman, mais la ténacité de l’odeur me perdait dans une étrange rêverie : celui de l’inconnu qui pourrait se révéler plus tard.
Je repris mon travail sans y être véritablement car j’étais perturbée par la simplicité du bout de papier.
Après la sortie du travail, je repris le métro direction dodo. A bien y réfléchir, pourquoi ne pas me rendre au rendez-vous ? Qu’ai-je à y perdre ? La raison, mais je ne suis pas raisonnable. Alors après quelques changements de rame, j’arrivai Place des Laitiers, au Café de la Bourse avec quelques minutes de retard conséquence de mon indécision !
J’entrai dans ce bar, je ne vis personne, en tout cas personne ne retint mon regard, si ce n’est le barman auquel je commandai un café et un verre d’eau. Je ressortis pour m’installer sur la terrasse. La nuit tomba rapidement en cette saison et la fraîcheur hivernale se fit vite ressentir. Emmitouflée dans un manteau de laine, les gants à la main, je pris place. Les jambes croisées, j’attendais avec patience... un café. Je ne repèrais toujours personne dans l’horizon immédiat et urbain. Le bras accoudé sur la table, je retenais mon visage observant dans cette posture les allers et venues des passants pressés. Personne ne se manifesta. L’enveloppe pourrait être un signe de reconnaissance mais il n’y fait rien. Je m’impatientais, un peu beaucoup et beaucoup trop! Je me lèvai pour repartir, contrariée, il me faut l’avouer car ma venue n’était en aucun cas désespérée. J’ajustai mon béret décidant d’abandonner l’enveloppe sur la table , y jetant un ultime regard gorgé de mépris féminin. D’un pas pressé, je regagnai le métropolitain, direction DODO. Au milieu des badauds , je me retenais à la barre métallique quand soudainement, j’entendis une voix suave. La voix d’un homme à l’élocution parfaite. " Ne vous retournez pas" me dit-il. C’est exactement ce que je tentais de ne pas faire. Les yeux écarquillés , je tentai de retourner la situation. Mais l’homme n’etait pas dupe et posa ses mains sur les deux cotés de mon visage pour m’empêcher de le regarder. Surprise, j’eus un peu peur et les battements de mon cœur se multiplierent sous l’effet du stress soudain. Mes narines étaient titillées par un parfum que je reconnaissais, l’odeur enivrante de l’enveloppe. Je me rassurai et tentai une seconde fois de tourner la tête mais l’homme mystérieux s’obstina dans le refus d’être vu et exerça une pression plus forte de ses mains cammouflées dans des gants de cuir. J’en perdis mon béret...
..le temps de ramasser mon béret , le métro s’arrêtait sur une station, les portes s’ouvraient, les gens sortaient et entraient et l’inconnu parfumé n’était plus là.
Je me retournais tentant de m’approcher des portes qui fermement devaient se refermer après un bruit de sirène désagréable.
Je regardais à travers les vitres mais au grand désespoir, je ne pus voir qui avait été derrière moi ! Le béret à la main, collée contre la vitre, je devais afficher une triste mine.
L’auteur de mots étranges était une réalité qui m’échappait et je n’aimais pas du tout cela.
Rentrant bredouille, je regardais ma boite aux lettres remplies de factures et rien d’autre que des factures qu’il me faudra appréhender plus certainement que "l’enveloppeur rouge et parfumé". Il ne s’était rien passer et ce rien me laissait la pesanteur d’un tout insaisissable, invisible. Qui pouvait-il être?
L’enveloppeur rouge et parfumé m’intéressait sans que je ne le connaisse, sans que je ne lui donne l’intérêt qu’on porte au gens, gentilhomme ou autre.
Qui était-il ? Le saurais-je seulement ? Remplie de doute, j’allais passer une soirée à m’interroger sur cette curieuse mésaventure. Etait-il possible que ce soit un voisin ? ou encore un collaborateur ou que sais-je ? J’avais une certitude, l’enveloppeur rouge et parfumé me connaissait !
Durant quelques jours, tous aussi ressemblants aux autres dans le cycle infernal du métro/boulot/dodo mon comportement devait apparaître comme étrange auprès de ceux que je fréquentais. Observant les gens dans le métro, soupçonnant tout à chacun et à tour de rôle. Chaque personne que je saluais était humée afin de percer leur parfum. Mais personne n’avait l’odeur dont j’étais imprégnée de l’enveloppeur rouge.
Le temps passait et ce souvenir aussi quand un matin à l’identique des autres matins, je trouvais une autre enveloppe rouge et parfumée déposée sur le tapis de mon entrée !
Une autre farce sans doute ! Mais l’effet fut incontestable et radical, mon cœur battait d’impatience de lire et de sentir. Je déchirai sauvagement l’enveloppe pour y trouver…..
..une feuille rouge avec l’inscription : " Regarde sous ton paillasson". Réflexe presque conditionné, je pose le papier sous mon nez et l’odeur épicé de ce parfum m’envahie une nouvelle fois.
Effervescence, mon esprit est en effervescence et mon corps aussi. Je regarde dans la cage d’escalier si quelqu’un ne se serait pas dissimulé mais personne.
Disciplinée , je soulève ma paillasse pour y découvrir une petite clef ! et rien d’autre. Métro/bouleau/dodo. Je m’attends à chaque instant à trouver un indice supplémentaire mais rien, ni personne et c’est ainsi que ma journée se solde avec rien et personne. Encore et plus intriguée qu’auparavant, je m’empresse d’aller questionner le petit cordonnier du coin. Qui ne me donne comme indication "la clef d’un verrou, pour sûr mais duquel, j’sais pas, j’peux pas vous dire!". Je ne suis guère plus avancée.
Quel est donc ce fou? Suis-je en danger? Non parce qu’il y a un je ne sais quoi de rassurant.
Le lendemain, je me réveille un peu plus tard et trainasse au lit. J’observe mon précieux trésor déposé la veille sur la table nuit. En déposant, le papier sous mes narines je titille mes neurones et décide de laisser l’enveloppeur rouge et parfumé venir à moi mais un tantinet de provocation viendra pimenter et accélérer le processus….
Je me lève d’un pied très décidé, attrape un papier quelconque, le parfume pour lui attribuer une signature personnelle et y écrit de ma plus belle plume : " Enveloppeur rouge et parfumé, le courage est d’aller jusqu’au bout, sans hésitation, vous avez effleuré mon visage, mon âme et ma curiosité. Le respect vous impose maintenant de vous présentez, n’en faite rien et je vous nierai !!! bien à vous mais plus pour longtemps. Je vous impose donc un compte à rebours…". Je lèche du bout de la langue l’enveloppe, y indique " à l’attention de …???", et l’accroche sur ma porte.
Je me prépare pour faire mon marcher, le panier à la main, j’ouvre mon entré pour sortir. Le mot n’est plus là, mais une rose m’attendait. Je la prends et je parts…..faire mon marcher.
Et histoire, que l’enveloppeur rouge et parfumé comprenne que je suis sérieuse, je dépose la fleur sur les poubelles de l’immeuble. Mais en revenant, la rose n’y était plus. Détail insignifiant, sans doute et pourtant, j’imagine que l’enveloppeur rouge et parfumé serait passé la ramasser. Le week-end passe comme il se doit de passer. Rien sur la porte, ni dans la boite aux lettres. Je pense avoir mis un terme au mystère à jamais mystère. Et en partant dans un programme redondant je lâche un grand soupir ….
Ce matin là, le métro est plein à craquer, nous sommes les uns contre les autres trop rapprocher à mon goût . Je sentis bien quelqu’un derrière moi dont l’odeur ressemble étrangement à celle des mots avec quelque chose en plus….Une molécule de lui. Malgré des tentatives pour retourner la situation, il m’est impossible de me déplacer et de regarder le porteur du parfum…Dans la cohue d’un métro bondé, une voix chuchote à mon oreille " c’est un bien joli béret , ne vous y trompez pas, viendra l’heure des présentations, acceptez cette fleur comme maigre consolation". Ces mots interviennent au moment précis ou le métro s’arrête et bien que me retournant avec violence, il avait disparu. Les mécontents de la bousculades me font savoir leur mécontentement auquel je réponds d’un regard coléreux. Il avait cependant déposé une autre rose que je me résignais à conserver.
J’accomplissais le rituel du déjeuner dans le même jardin public et en fouillant dans mon panier, je trouvais une autre enveloppe rouge et parfumée. Je l’ouvre et y découvre une adresse, un étage, un numéro de porte, une date et une heure……..et la même odeur.
….Cette odeur qui avait la capacité d’enivrer tout mes sens et déjouer ma raison. Je n’allais pas me réfugier dans la lecture de mon Disque Monde, j’allais , au contraire penser, divaguer dans cette aventure au combien mystérieuse et envoûtante car envoûtée, je l’étais certainement. Je me précipitais dans mon bureau pour rechercher un plan et situer le lieu. J’avais une idée dans laquelle je m’obstinée car, si en effet, l’enveloppeur rouge et parfumé était un prince peut-être était-il un assassin et moi sa victime dans quelques jours.
Le soir venu, je rentrais à mon domicile, une autre rose m’attendait sur le pallier. Je savais que l’enveloppeur rouge et parfumée déposerait un encouragement à le retrouver.
Le jour du rendez-vous venu, je me préparais mais prise entre la crainte et le désir, je décidais de ne pas me laisser emporter par un plaisir incertain. Je décidais de ne pas me rendre directement dans le piège supposé et présumé. Cependant, je fis un effort de coquetterie . Je descendais les marche une à une avec un enthousiasme réservé. Ouvrant ma boite aux lettres, de manière systématique, une autre enveloppe rouge et parfumée se fit découvrir. Un mot tout simple y était inscrit " les instants deviennent des siècles à vous attendre". J’étais flattée, comme, sans doute, toutes les femmes l’auraient été en pareil circonstance.
Je pris le métro en direction de l’inconnu. Mes mains étaient moites, j’avais le bouche sèche, l’estomac noué…J’étais indécise, allais-je, voulais-je démasquer le mystère ?
Après quelques rues et maison, j’étais face à l’immeuble désigné par l’enveloppeur rouge et parfumé. Il me fallait pousser une énorme porte de bois et de ferraille pour apercevoir un étrange et long couloir qui de plus était obscure. Aucun bruit ne se laisser entendre. J’entrais tout de même. La porte devait se refermé sur un claquement qui me fit sursautée. Je posais une main sur mon cœur battant. L’excitation était de plus en plus forte. Sur la droite, se dressait une série de boites aux lettres susceptibles de me donner des indications sur le nom de mon enveloppeur rouge et parfumé. Mais rien , juste des nom sans précision des étages et numéros d’appartement. Il me fallait soit monter , soit partir. Il me fallait de toutes les façon, prendre une décision rapide……
….où était passée ma raison ? Pourquoi ne me dictait-elle pas plus de prudence, ne m’indiquait-elle pas d’être, en outre d’une extrême vigilance ? Ma curiosité avait pris en autage ma raison mais la méfiance pointait le bout de son nez.
Ainsi, je parcourais pas à pas le long couloir qui s’assombrissait dans mon avancée. Le sol était fait de parquait qui me dénonçais par ses craquements successifs. Il me fallait donc avancer d’un pas plus léger, sur la pointe des pieds.
Je devais monter un gigantesque escalier en colimaçon. Je le fis mais dans une lenteur intrigante. Les étages n’en finissait pas, et j’arrivais presque sous les toits. La porte de l’appartement 13 était face à moi. Je me sentais essoufflée non pas par l’effort des escaliers mais par l’émotion. C’est à ce moment précis que la lumière éclairait cette étrange décore. Je me penchais discrètement sur la rampe d’escalier et je pus observer le panier très rempli d’une vielle dame. Une occupante de l’immeuble, à l’évidence. Ces instants détournaient r mon attention du mystère et ma raison faisait son apparition. Ainsi, elle me suggérais de tendre l’oreille à la porte visée. Je vis, en outre, la serrure du verrou car la porte ne tenait, apparemment qu’avec un verrou.
Je décidais de faire marche arrière et je descendis les escaliers à toute vitesse. Je m’enfuyais, ouvrant la lourde porte d’un geste déterminé à décamper….
….J’allais me réfugier dans un bistrot en face de l’immeuble. Je m’installais face à la porte pour regarder les occupants sortir et entrer. Mais rien ni personne ne ressemblait à l’image inconsciemment construite de mon enveloppeur rouge et parfumé. Je me donnais raison d’être partie, car il pouvait être " l’étrangleur rouge et parfumé". Je me donnais aussi tord d’être en fuite parce que je me souvenais alors de ses mains gantées sur mon visage, de sa voix suave, de ses roses et ses mots et surtout de son odeur.
Je me dirigeais vers ma demeure quand prise de réels remords, je repartais en direction de l’appartement 13 de l’enveloppeur rouge et parfumé.
Il était tard, certainement minuit quand j’ouvris la lourde porte. Je grimpais l’escalier d’un pas vif et déterminé. Je sortis la clef du verrou que je glissais dans le serrure du verrou. Je retenais mes mouvement un instant car une voix de chanteuse lyrique émanait de l’appartement. Assez d’hésitation ,j’y vais, j’ouvre doucement cette porte grinçante .
Il s’agissait d’une garçonnière aménagée d’un lit , d’un fauteuil et d’un bureau. La pièce était éclairée d’une lampe de chevet recouverte d’un tissu pour tamiser la lumière La voix lyrique était celle d’une chanteuse d’opéra
Un homme gisait sur le lit. Il était profondément endormi. Certainement que les vapeurs d’alcool n’étaient pas innocentes à son état comatique. Sa veste était négligemment posée sur le fauteuil en velours vert. C’était une veste rapiécée au niveau des coudes.
Lui était beau dans son sommeil forcé. Les cheveux ébouriffés, il était allongé sur le ventre. Habillé d’un pantalon noir et d’une chemise blanche dont il avait retroussé les manches.
Il ressemblait à un étudiant mais son âge laissait supposer qu’il ne devait plus être sur les bancs d’une faculté depuis quelques années. Je déposais, sans un bruit, le rose à coté de son visage. Dans une extrême discrétion, je refermais la porte et glissais la clef du verrou dans le bâillement de celle-ci.
Je repartis dans une course folle afin de ne par manquer le dernier métro…Je me sentais comme libérée du mystère. L’enveloppeur rouge et parfumé devait me connaître. Ce soir là, je l’avais reconnu mon ancien amant disparu et que je n’attendais plus. J’aurais pu venir en temps et en heure suivant mon instinct et pensant que je n’avais rien à craindre. Nous nous serions retrouvés, je l’aurais certainement encore aimé et il est certains que nous aurions étaient pris d’une irrésistible envie de faire l’amour comme nous le faisions avant ….A l’ époque où j’avais été sa muse car il était un écrivain déchu des maison d’édition et déçu de ne pas être édité. J’étais sa seule et unique lectrice….mais un jour, il s’en est allé, il a disparu me laissant une amère incompréhension. Au fil des mois, mon chagrin s’atténuait pour être oublié. Mais lui, jamais, je n’aurais pu l’oublié.Et, dans le fond, je n’ignorais pas son prochain retour …
Il n’avait pas changé, seulement pris des années. Si, il avait changé de parfum
Sur ce délicat souvenir, je me suis endormie…
Au matin, en retournant dans mon interminable quotidien, je regardais le contenu de ma boite aux lettres, il n’y avait rien. J’ouvrais la porte de mon immeuble, je le découvrais, se reposant sur le luminaire, les mains dans les poches, les cheveux ébouriffés, la barbe de la veille, les cernes du lendemain , un journal sous le bras. Je plongeais mon regard dans les yeux de cet homme ..Il me sourit. J’étais prise d’un immense sentiment, le plaisir des retrouvailles . Je m’approchais de sa personne et déposais une main sur son visage. Il sortit les main de ses poches pour me prendre dans ses bras. J’avais une larmes au coin d’un œil . Nous nous sommes embrassés comme autrefois, et à tout jamais.
L’enveloppeur rouge et parfumé était mon envoûteur tant aimé. Le détenteur de mon cœur….Je glissais mon bras autour du sien et nous sommes partis sans rien se dire…Je l’aimé comme au dernier jour car ce jour devenais le premier
Lun 10 Mai 2004, 14:50 par
Imaginative sur Un monde parfait
Ouvrir sa vie à l'Amour
En ouvrant mon coeur et mon esprit à l’amour, j’ouvre ma vie aux autres.
Je cherche à créer un climat d’entraide, de communication
et de tendresse avec tous ceux qui désirent me connaître et partager ma vie.
Évidemment, lorsque j’ouvre mon coeur à l’amour,
je prends le risque d’être blessée
et même peut-être de vivre le rejet ou la déception.
Mais les récompenses de l’amour véritable sont beaucoup plus tendres et enrichissantes et je dois prendre le risque.
Aujourd’hui j’ouvre ma vie à l’amour.
Sans pour autant négliger mon sens développé de l’amitié.
Ainsi donc, une carapace n’est pas une bonne manière de protection finalement...
Elle m’étouffe, me ralenti, m’empêche d’évoluer...
Le feeling reste donc d’actualité, je ne cherche plus à lutter.
Je cherche à créer un climat d’entraide, de communication
et de tendresse avec tous ceux qui désirent me connaître et partager ma vie.
Évidemment, lorsque j’ouvre mon coeur à l’amour,
je prends le risque d’être blessée
et même peut-être de vivre le rejet ou la déception.
Mais les récompenses de l’amour véritable sont beaucoup plus tendres et enrichissantes et je dois prendre le risque.
Aujourd’hui j’ouvre ma vie à l’amour.
Sans pour autant négliger mon sens développé de l’amitié.
Ainsi donc, une carapace n’est pas une bonne manière de protection finalement...
Elle m’étouffe, me ralenti, m’empêche d’évoluer...
Le feeling reste donc d’actualité, je ne cherche plus à lutter.
Jeu 22 Avril 2004, 08:11 par
Mout sur Un monde parfait
L'amante de Tom
A 16h42, Tom n’avait qu’une seule envie... Ca le taraudait depuis une semaine, mais au lieu d’y succomber, il laissait grandir son désir. D’ordinaire, à la moindre pulsion érotique, il trouvait toujours une copine à appeler ou une prostituée à choisir. C’était selon son humeur. Tantôt amant, tantôt canaille.
Mais là, il avait envie d’exploser. De se sentir crever d’envie, presque à en devenir dingue, et de déguster l’étreinte qu’il aurait pour assouvir son manque. Vingt fois, il avait commencé à se soulager à la main, tant son ventre hurlait à l’attaque. Vingt fois, il avait arrêté en souriant un sage "Plus tard, plus tard".
Tom, c’était pour Thomas, son vrai prénom. Petite frimousse sur un corps honorable, "Tom" adoucissait ses traits assez charismatiques. Un homme à femmes, qu’on appellait avec malice Tom le manchot. Le manchot, ce n’était pas parce qu’il avait perdu un bras, ou qu’il était maladroit. Non. La nature l’avait gratifié d’un pénis fabuleux, que toutes les femmes qui le connaissaient considéraient comme son troisième bras.
Pour se tempérer, Tom passait mentalement en revue l’amante qui lui fallait pour assouvir son formidable désir. Hors de question de choisir une pute, ça gâcherait toute cette semaine d’attente en un coup vite bâclé, mal balancé. Il opta alors pour examiner les maîtresses qu’il affectionnait le plus.
Laure était une superbe femme. Elle posait pour les affiches que l’on voit dans les pharmacies. Les jambes pour la crème amincissante, la poitrine pour des traitements raffermissant, sans compter son ventre qui servait aussi à montrer les stupéfiants résultats du denier truc à la mode pour avoir la silhouette de rêve. Une silhouette de rêve, mais une libido plutôt moyenne. En tout cas, absolument pas adaptée à l’actuel tempérament carnassier de Tom.
Christelle. Mère de famille, en mal de sexe. Toujours avide, à le coller, à le lécher, le manger et l’étreindre. Une insatiable. Probablement mal "entretenue" par son mari, elle se payait de temps en temps des pics de sexe avec Tom, et profitait à fond des peu de moment qu’elle avait avec lui. Quand il partait de chez elle, en général le Dimanche après midi, il était à plat, lessivé, calmé pour au moins deux semaines tant son corps était fatigué et son sexe irrité. Mais Christelle, ce n’était pas une esthète du sexe. Plutôt directe, elle ne jouait pas trop avec l’autre et avait un peu des manières de paysannes finalement. Et lui, là, il avait envie de beauté aussi.
Marie. Ce serait Marie qu’il dégusterai ce soir. Ca lui avait tout d’un coup semblé évident. Evident que ce serait ce soir qu’il mettrai un terme à son attente et évident que ce serait Marie. Ah Marie. Son corps d’ébène n’était pas des plus parfait, mais possédait son charme propre. Des seins pleins, tombant légèrement, un petit ventre qu’elle entretenait par des séries d’abdominaux quotidiens, des belles hanches pleines et enfin des cuisses galbées par ses petits footing réguliers. Une fille qui prend soin d’elle, sans être une bombe.
Mais ce qui était le plus excitant chez elle, c’était la langueur avec laquelle elle s’abandonnait. Elle prenait son temps. Avec elle, les préliminaires duraient des heures. Ca commençait gentiment, en parlant dans la cuisine ou dans la rue. Un petit baiser, une caresse sur son bras. Jamais de geste très directs. Elle posait son regard sur lui, avec une douce sincérité, dans laquelle ne transparaissait jamais l’envie ni la concupiscence. Et pourtant. C’était le début d’une interminable danse de séduction, qui l’entraînait chaque fois au paroxysme, au bord de l’extrême, tout au bord ...
Elle restait belle et sereine, tandis que lui commençait à sentir le diable lui prendre le corps.Et lorsqu’elle s’en rendait compte, elle le regardait en riant chaudement, comme une complice avec laquelle on prend plaisir à partager sans rien dire. Tiraillé entre le désir et la plénitude du moment passé avec elle, il lui abandonnait toujours la conduite de la barque de leurs amours.
Une fois, alors qu’il dégustait du thé glacé sur la terrasse de Marie, il s’était tout d’un coup rendu compte que tout l’après midi passé avec elle n’avait été qu’une lente et hypnotique parade de séduction. Sentir son parfum sucré, apercevoir les bouts de son corps serrés dans son paréo, et parfois les sentir contre lui lorsqu’elle se levait pour chercher derrière son épaule du sucre de canne ou des gâteaux. Tout ceci semblait pourtant si naturel. Aussi naturel que son envie d’elle.
C’est en revenant de sa réflexion qu’il l’avait alors vue le regarder, avec un petit sourire amusé.
- Toi, tu es parti très loin hein ?
- Euh, oui concéda-t-il en riant.
Elle s’était alors levée comme en regardant a l’intérieur d’elle même, contournant la table pour venir à son niveau. Calmement elle avait jeté un regard au noeud de son paréo, puis avait rivé son regard dans le sien, tandis que son paréo tombait par terre dans un feulement discret. La plupart des femmes, comme Christelle, se serait contentée de l’enfourcher sur son fauteuil, et de l’embrasser avec une fougue grandissante. D’autres comme Laure, aurait simplement déboutonné le pantalon de Tom pour l’avaler timidement.
Pas Marie. Marie elle, elle le regarda droit dans les yeux, lui mit la main sous le menton, et dans un baiser doux et pulpeux, elle lui avait murmuré "Viens", l’avait encore une fois regardé avant de se retourner pour s’appuyer contre la table et lui offrir par la même sa croupe généreuse et féline.
Lentement, ils s’étaient aimés. Sans brutalité, ni quête de performance. Dés lors ou il l’avait pénétrée, il n’avait eu de cesse de chercher et maintenir une sorte de contact suave dans l’intimité du corps de Marie. Une lente danse pleine de douceur et de sensualité, mais aussi terriblement impudique. Dans la recherche de ce contact profond, les corps se cambraient pour s’épouser, se courbait pour se retenir, pour s’approfondir.
La terrasse fut leur seul univers pendant ces heures ou ils s’abandonnèrent à l’étreinte. Lorsque vacillants ils entrevoyaient venir le paroxysme, Marie se transformait en véritable lionne, l’entraînant avec fougue dans le mouvement souple et puissant de ces reins. Sa tête roulait dans son dos, sur ses épaules, puis tombait en avant. Ses yeux fermés ne regardaient plus le monde, ils écoutaient plutôt son corps. Dans cette frénésie, alors que l’ultime moment semblait inéluctable, elle ralentissait subitement le rythme, ouvrant ses yeux pétillants sur le visage crispé de Tom. Et lentement, elle revenait à une ondulation souple et sereine de ses hanches, désamorçant en douceur l’explosion qui aurait du se produire dans leurs corps en flamme.
Ce manége commença à l’heure ou l’après-midi décline, et ne cessa qu’une fois la nuit tombée. Sans discontinuer, la fabuleuse maîtresse de Tom alterna ses vagues frénétiques aux moments d’accalmie. Leur quête leur avait fait parcourir toute la terrasse, et leurs corps gardaient les traces des murs et des sols qu’ils avaient rendu complice de leurs ébats. Quand la septième et ultime danse se termina, c’est une Marie épuisée qui chevaucha un Tom complètement défait. Sur le fauteuil de jardin, elle lui imprima de lents mouvements de va et viens, simples, sans chichis. Réglés comme des montres suisses par leurs ébats de l’après midi, ils sentirent tout les deux monter du fonds de leurs ventres un véritable tsunami. En souriant, ils firent face à ce qu’ils voyaient venir, sachant que leur corps éreintés ne supporteraient peut être pas la puissance du plaisir qui s’annonçait.
Dans un choc de titan, leurs corps se courbèrent et se raidirent brutalement, comme transpercé par une décharge électrique foudroyante. Leurs bouches ouvertes démesurément criaient sans laisser sortir aucun son. Marie se mit à pleurer, prenant sa tête dans ses mains, comme atteinte de démence, et Tom, crispé sur les bras du fauteuils de jardin ne pouvait plus faire aucun mouvement tant la frontière entre le plaisir et la douleur était floue.
Tom repensait à cet après-midi. Chaque détail, chaque odeur lui revenait et rendait ses pensées si réalistes que ses mains commençaient déjà à se crisper sur le fauteuil de son bureau. De retour de son excursion dans ses souvenirs, il se détendit, attendit que son coeur retrouve sa contenance et but une grande rasade d’eau minérale à la bouteille.
Il décrocha alors le téléphone, et composa le numéro de Marie.
Mais là, il avait envie d’exploser. De se sentir crever d’envie, presque à en devenir dingue, et de déguster l’étreinte qu’il aurait pour assouvir son manque. Vingt fois, il avait commencé à se soulager à la main, tant son ventre hurlait à l’attaque. Vingt fois, il avait arrêté en souriant un sage "Plus tard, plus tard".
Tom, c’était pour Thomas, son vrai prénom. Petite frimousse sur un corps honorable, "Tom" adoucissait ses traits assez charismatiques. Un homme à femmes, qu’on appellait avec malice Tom le manchot. Le manchot, ce n’était pas parce qu’il avait perdu un bras, ou qu’il était maladroit. Non. La nature l’avait gratifié d’un pénis fabuleux, que toutes les femmes qui le connaissaient considéraient comme son troisième bras.
Pour se tempérer, Tom passait mentalement en revue l’amante qui lui fallait pour assouvir son formidable désir. Hors de question de choisir une pute, ça gâcherait toute cette semaine d’attente en un coup vite bâclé, mal balancé. Il opta alors pour examiner les maîtresses qu’il affectionnait le plus.
Laure était une superbe femme. Elle posait pour les affiches que l’on voit dans les pharmacies. Les jambes pour la crème amincissante, la poitrine pour des traitements raffermissant, sans compter son ventre qui servait aussi à montrer les stupéfiants résultats du denier truc à la mode pour avoir la silhouette de rêve. Une silhouette de rêve, mais une libido plutôt moyenne. En tout cas, absolument pas adaptée à l’actuel tempérament carnassier de Tom.
Christelle. Mère de famille, en mal de sexe. Toujours avide, à le coller, à le lécher, le manger et l’étreindre. Une insatiable. Probablement mal "entretenue" par son mari, elle se payait de temps en temps des pics de sexe avec Tom, et profitait à fond des peu de moment qu’elle avait avec lui. Quand il partait de chez elle, en général le Dimanche après midi, il était à plat, lessivé, calmé pour au moins deux semaines tant son corps était fatigué et son sexe irrité. Mais Christelle, ce n’était pas une esthète du sexe. Plutôt directe, elle ne jouait pas trop avec l’autre et avait un peu des manières de paysannes finalement. Et lui, là, il avait envie de beauté aussi.
Marie. Ce serait Marie qu’il dégusterai ce soir. Ca lui avait tout d’un coup semblé évident. Evident que ce serait ce soir qu’il mettrai un terme à son attente et évident que ce serait Marie. Ah Marie. Son corps d’ébène n’était pas des plus parfait, mais possédait son charme propre. Des seins pleins, tombant légèrement, un petit ventre qu’elle entretenait par des séries d’abdominaux quotidiens, des belles hanches pleines et enfin des cuisses galbées par ses petits footing réguliers. Une fille qui prend soin d’elle, sans être une bombe.
Mais ce qui était le plus excitant chez elle, c’était la langueur avec laquelle elle s’abandonnait. Elle prenait son temps. Avec elle, les préliminaires duraient des heures. Ca commençait gentiment, en parlant dans la cuisine ou dans la rue. Un petit baiser, une caresse sur son bras. Jamais de geste très directs. Elle posait son regard sur lui, avec une douce sincérité, dans laquelle ne transparaissait jamais l’envie ni la concupiscence. Et pourtant. C’était le début d’une interminable danse de séduction, qui l’entraînait chaque fois au paroxysme, au bord de l’extrême, tout au bord ...
Elle restait belle et sereine, tandis que lui commençait à sentir le diable lui prendre le corps.Et lorsqu’elle s’en rendait compte, elle le regardait en riant chaudement, comme une complice avec laquelle on prend plaisir à partager sans rien dire. Tiraillé entre le désir et la plénitude du moment passé avec elle, il lui abandonnait toujours la conduite de la barque de leurs amours.
Une fois, alors qu’il dégustait du thé glacé sur la terrasse de Marie, il s’était tout d’un coup rendu compte que tout l’après midi passé avec elle n’avait été qu’une lente et hypnotique parade de séduction. Sentir son parfum sucré, apercevoir les bouts de son corps serrés dans son paréo, et parfois les sentir contre lui lorsqu’elle se levait pour chercher derrière son épaule du sucre de canne ou des gâteaux. Tout ceci semblait pourtant si naturel. Aussi naturel que son envie d’elle.
C’est en revenant de sa réflexion qu’il l’avait alors vue le regarder, avec un petit sourire amusé.
- Toi, tu es parti très loin hein ?
- Euh, oui concéda-t-il en riant.
Elle s’était alors levée comme en regardant a l’intérieur d’elle même, contournant la table pour venir à son niveau. Calmement elle avait jeté un regard au noeud de son paréo, puis avait rivé son regard dans le sien, tandis que son paréo tombait par terre dans un feulement discret. La plupart des femmes, comme Christelle, se serait contentée de l’enfourcher sur son fauteuil, et de l’embrasser avec une fougue grandissante. D’autres comme Laure, aurait simplement déboutonné le pantalon de Tom pour l’avaler timidement.
Pas Marie. Marie elle, elle le regarda droit dans les yeux, lui mit la main sous le menton, et dans un baiser doux et pulpeux, elle lui avait murmuré "Viens", l’avait encore une fois regardé avant de se retourner pour s’appuyer contre la table et lui offrir par la même sa croupe généreuse et féline.
Lentement, ils s’étaient aimés. Sans brutalité, ni quête de performance. Dés lors ou il l’avait pénétrée, il n’avait eu de cesse de chercher et maintenir une sorte de contact suave dans l’intimité du corps de Marie. Une lente danse pleine de douceur et de sensualité, mais aussi terriblement impudique. Dans la recherche de ce contact profond, les corps se cambraient pour s’épouser, se courbait pour se retenir, pour s’approfondir.
La terrasse fut leur seul univers pendant ces heures ou ils s’abandonnèrent à l’étreinte. Lorsque vacillants ils entrevoyaient venir le paroxysme, Marie se transformait en véritable lionne, l’entraînant avec fougue dans le mouvement souple et puissant de ces reins. Sa tête roulait dans son dos, sur ses épaules, puis tombait en avant. Ses yeux fermés ne regardaient plus le monde, ils écoutaient plutôt son corps. Dans cette frénésie, alors que l’ultime moment semblait inéluctable, elle ralentissait subitement le rythme, ouvrant ses yeux pétillants sur le visage crispé de Tom. Et lentement, elle revenait à une ondulation souple et sereine de ses hanches, désamorçant en douceur l’explosion qui aurait du se produire dans leurs corps en flamme.
Ce manége commença à l’heure ou l’après-midi décline, et ne cessa qu’une fois la nuit tombée. Sans discontinuer, la fabuleuse maîtresse de Tom alterna ses vagues frénétiques aux moments d’accalmie. Leur quête leur avait fait parcourir toute la terrasse, et leurs corps gardaient les traces des murs et des sols qu’ils avaient rendu complice de leurs ébats. Quand la septième et ultime danse se termina, c’est une Marie épuisée qui chevaucha un Tom complètement défait. Sur le fauteuil de jardin, elle lui imprima de lents mouvements de va et viens, simples, sans chichis. Réglés comme des montres suisses par leurs ébats de l’après midi, ils sentirent tout les deux monter du fonds de leurs ventres un véritable tsunami. En souriant, ils firent face à ce qu’ils voyaient venir, sachant que leur corps éreintés ne supporteraient peut être pas la puissance du plaisir qui s’annonçait.
Dans un choc de titan, leurs corps se courbèrent et se raidirent brutalement, comme transpercé par une décharge électrique foudroyante. Leurs bouches ouvertes démesurément criaient sans laisser sortir aucun son. Marie se mit à pleurer, prenant sa tête dans ses mains, comme atteinte de démence, et Tom, crispé sur les bras du fauteuils de jardin ne pouvait plus faire aucun mouvement tant la frontière entre le plaisir et la douleur était floue.
Tom repensait à cet après-midi. Chaque détail, chaque odeur lui revenait et rendait ses pensées si réalistes que ses mains commençaient déjà à se crisper sur le fauteuil de son bureau. De retour de son excursion dans ses souvenirs, il se détendit, attendit que son coeur retrouve sa contenance et but une grande rasade d’eau minérale à la bouteille.
Il décrocha alors le téléphone, et composa le numéro de Marie.
Lun 05 Avril 2004, 08:40 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Houlaaaa
C’est vrai qu’en ouvrant cette rubrique, nous prenons un risque de sombrer dans la vulgarité, la grossiéreté gratuite, l’obscénité malsaine . Ca serait complètement décalé par rapport à l’ambiance générale du site, qui est fondée sur l’évocation, l’élégance, la poesie.
Ainsi marquise, tes posts sur la pipe à dent, ainsi que sur les massages culinaires sont à mon sens dans le ton exact de ce qu’il faut écrire dans les liaisons sulfureuses. Rappelons qu’il faut séduire, donner envie, et que comme chacun sait, une femme nue est bien moins attirante que celle qui est encore habillée ne fusse qu’un tout petit peu. Il en va de meme avec les posts je pense.
Mais alors, comment décrire cette scéne de nain qui chevauche le dogue allemand de Soeur Marie Therese pendant que cette derniere flatte le fabuleux gourdin de son voisin aux cheveux rouges et bleus ? Et surtout, où es-tu toi, dans cette fantastique allégorie ? Dessus ? Dessous ? Sans dessus dessous ? Sans dessous ?
Le mot d’ordre : restez beaux dans ce que vous faites, beaux dans ce que vous dites. Distillez avec art les mots qui offusquent, et mettez encore plus de talent à évoquer ceux que la grossièreté pourrait rendre laids.
Ainsi marquise, tes posts sur la pipe à dent, ainsi que sur les massages culinaires sont à mon sens dans le ton exact de ce qu’il faut écrire dans les liaisons sulfureuses. Rappelons qu’il faut séduire, donner envie, et que comme chacun sait, une femme nue est bien moins attirante que celle qui est encore habillée ne fusse qu’un tout petit peu. Il en va de meme avec les posts je pense.
Mais alors, comment décrire cette scéne de nain qui chevauche le dogue allemand de Soeur Marie Therese pendant que cette derniere flatte le fabuleux gourdin de son voisin aux cheveux rouges et bleus ? Et surtout, où es-tu toi, dans cette fantastique allégorie ? Dessus ? Dessous ? Sans dessus dessous ? Sans dessous ?
Le mot d’ordre : restez beaux dans ce que vous faites, beaux dans ce que vous dites. Distillez avec art les mots qui offusquent, et mettez encore plus de talent à évoquer ceux que la grossièreté pourrait rendre laids.
Mar 13 Jan 2004, 12:33 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
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Tendrement, L'amour est-il un crime ? chapitre 5, La mer..., La directrice d'école, La directrice d'école, Si bien chez soi, Ma jeunesse, Choisir sa route, Un rêve parfumé (poème érotique), Pour l'amour, Revivre, L'enveloppeur ...., Ouvrir sa vie à l'Amour, L'amante de Tom, Houlaaaa,Il y a 16 textes utilisant le mot ouvrant. Ces pages présentent les textes correspondant.
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