Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur orteils
Je suis là
5 heures du matin, je ne dors plus. Tout est calme, dans mon lit je pense et je repense. Et ce n’est pas une petite envie qui ne demande qu’à s’épanouir, mais bien une grosse envie qui est déjà bien épanouie. Plus possible de dormir, mon corps se rappelle et tremble de désir. Tu es loin...
Alors je tente l’impossible, l’espace et le temps ne sont plus des obstacles, je vais venir, là maintenant. Je ferme les yeux , je me concentre, et mon esprit sort de mon corps, je voyage, je vole, aspiré, attiré par les messages invisibles que ton corps envoie dans ma direction.
ET JE SUIS LA
Dans ta chambre, même heure, même obscurité. Je devine ton corps sous tes draps, j’entends ton souffle régulier, apaisée tu rêves des couleurs de l’amour. Ton bras par dessus le drap est comme une invite. Je m’agenouille par terre et je te regarde. Du noir, du gris, des ombres, et ce bras blanc posé comme une offrande. Mes lèvres se rapprochent, et doucement se posent sur cette merveille, là au pli, ce petit creux magique, tout doux, si tendre et qui raffole de la caresse. Milliers de baisers se déposent là, et je les vois partir dans toutes les directions pour porter leur message de tendresse. Un soupir, le message est passé, ton corps est prêt...
Je tire le drap et je découvre ta splendeur. Le jour se lève à peine, mais mes yeux s’habituent à la pénombre et je vois l’essentiel. Sur le dos, chemise de nuit remontée sur les cuisses, un bras vers moi, l’autre qui repose sur ton ventre. Tu profites des dernières heures de la nuit, ton sommeil est profond, tu es bien.
Je m’approche de ton visage, tu souris en dormant, tu es belle, contours flous, tout m’attire et je vole un baiser sur tes lèvres entre-ouvertes. Papillons qui se posent sur tes joues, ton front, chaque parcelle de ton visage est une fleur où ils viennent délicatement aspirer le nectar de ta peau sucrée...
Doucement et sans te réveiller, je remonte ta chemise, douce au toucher et petit rempart qui ne demande qu’à céder. Petit à petit elle dévoile ton corps tout chaud, tes cuisses, ta culotte que j’imagine violette, ton ventre plat, tes seins, et pour ne pas te bousculer, je la laisse sous ton cou. Vision de rêve, abandon total, tu es là pour moi, ma main peut faire son œuvre...
A plat sur ton ventre, cette main si douce et coquine, descend doucement, légère pression, pour atteindre la limite du tissu qui protège ton intimité. Ma tête repose sur ton épaule, mon autre main vient se poser sur ton sein, qui monte et descend au rythme de ta respiration. Je le sens, tu le permets, mes doigts s’immiscent sous l’élastique et progressent lentement. Toison fine, début de ta fente, j’atteins le paradis...
Ma main englobe ton sexe, il est chaud, il dort encore. Sous la caresse ton corps a bougé, et comme s’il savait il me facilite la tâche. Tes jambes s’écartent, tu pousses un gros soupir, ta tête tourne et s’installe confortablement sur l’oreiller...
Mon doigt long et fin, par petite poussées, entre en toi, grandes lèvres, petites lèvres s’ouvrent pour le laisser passer. Une petite vague de rosée vient arroser cet endroit si secret. Mon doigt peut alors naviguer en douceur et rechercher le petit rocher qui se dresse au milieu, fier et appelant le frisson. L’ayant trouvé, une pression plus forte fait sursauter ton corps. Chaque appui t’envoie une décharge de plaisir qui se propage jusqu’au bout de tes orteils qui se tendent...
Ma main se fait plus envahissante, comme sur un piano, mes doigts, tour à tour, jouent de ton sexe et trouvent un chemin vers le calice de ta fleur. Près de mon oreille, ta bouche libère de petits gémissements, reflets du mélange de tes rêves et de la réalité. Ma main alors insistante te pénètre profondément et parcourt ton intimité la plus secrète. Par des mouvements de va et vient, tout en douceur, mes doigts entrent et sortent pour te donner le plaisir que tu espères...
Et tu te cambres, ma main reçoit l’eau de jouissance, tu vibres, tu laisses échapper un petit cri, bonheur à mon oreille. Ta respiration saccadée soulève tout ton corps, tu planes...
Je t’embrasse tendrement, je replace sur toi ta chemise, je remonte le drap, tu l’agrippes et te tournes en soupirant d’aise. De ma main je t’envoie un dernier baiser, et je ferme les yeux...
Et je reviens dans mon lit, quel merveilleux moment. Le plaisir, je l’ai eu aussi, dans ma tête et c’est très bien ainsi. La journée sera bonne, le jour se lève, bientôt l’heure. Je t’embrasse de loin.
Alors je tente l’impossible, l’espace et le temps ne sont plus des obstacles, je vais venir, là maintenant. Je ferme les yeux , je me concentre, et mon esprit sort de mon corps, je voyage, je vole, aspiré, attiré par les messages invisibles que ton corps envoie dans ma direction.
ET JE SUIS LA
Dans ta chambre, même heure, même obscurité. Je devine ton corps sous tes draps, j’entends ton souffle régulier, apaisée tu rêves des couleurs de l’amour. Ton bras par dessus le drap est comme une invite. Je m’agenouille par terre et je te regarde. Du noir, du gris, des ombres, et ce bras blanc posé comme une offrande. Mes lèvres se rapprochent, et doucement se posent sur cette merveille, là au pli, ce petit creux magique, tout doux, si tendre et qui raffole de la caresse. Milliers de baisers se déposent là, et je les vois partir dans toutes les directions pour porter leur message de tendresse. Un soupir, le message est passé, ton corps est prêt...
Je tire le drap et je découvre ta splendeur. Le jour se lève à peine, mais mes yeux s’habituent à la pénombre et je vois l’essentiel. Sur le dos, chemise de nuit remontée sur les cuisses, un bras vers moi, l’autre qui repose sur ton ventre. Tu profites des dernières heures de la nuit, ton sommeil est profond, tu es bien.
Je m’approche de ton visage, tu souris en dormant, tu es belle, contours flous, tout m’attire et je vole un baiser sur tes lèvres entre-ouvertes. Papillons qui se posent sur tes joues, ton front, chaque parcelle de ton visage est une fleur où ils viennent délicatement aspirer le nectar de ta peau sucrée...
Doucement et sans te réveiller, je remonte ta chemise, douce au toucher et petit rempart qui ne demande qu’à céder. Petit à petit elle dévoile ton corps tout chaud, tes cuisses, ta culotte que j’imagine violette, ton ventre plat, tes seins, et pour ne pas te bousculer, je la laisse sous ton cou. Vision de rêve, abandon total, tu es là pour moi, ma main peut faire son œuvre...
A plat sur ton ventre, cette main si douce et coquine, descend doucement, légère pression, pour atteindre la limite du tissu qui protège ton intimité. Ma tête repose sur ton épaule, mon autre main vient se poser sur ton sein, qui monte et descend au rythme de ta respiration. Je le sens, tu le permets, mes doigts s’immiscent sous l’élastique et progressent lentement. Toison fine, début de ta fente, j’atteins le paradis...
Ma main englobe ton sexe, il est chaud, il dort encore. Sous la caresse ton corps a bougé, et comme s’il savait il me facilite la tâche. Tes jambes s’écartent, tu pousses un gros soupir, ta tête tourne et s’installe confortablement sur l’oreiller...
Mon doigt long et fin, par petite poussées, entre en toi, grandes lèvres, petites lèvres s’ouvrent pour le laisser passer. Une petite vague de rosée vient arroser cet endroit si secret. Mon doigt peut alors naviguer en douceur et rechercher le petit rocher qui se dresse au milieu, fier et appelant le frisson. L’ayant trouvé, une pression plus forte fait sursauter ton corps. Chaque appui t’envoie une décharge de plaisir qui se propage jusqu’au bout de tes orteils qui se tendent...
Ma main se fait plus envahissante, comme sur un piano, mes doigts, tour à tour, jouent de ton sexe et trouvent un chemin vers le calice de ta fleur. Près de mon oreille, ta bouche libère de petits gémissements, reflets du mélange de tes rêves et de la réalité. Ma main alors insistante te pénètre profondément et parcourt ton intimité la plus secrète. Par des mouvements de va et vient, tout en douceur, mes doigts entrent et sortent pour te donner le plaisir que tu espères...
Et tu te cambres, ma main reçoit l’eau de jouissance, tu vibres, tu laisses échapper un petit cri, bonheur à mon oreille. Ta respiration saccadée soulève tout ton corps, tu planes...
Je t’embrasse tendrement, je replace sur toi ta chemise, je remonte le drap, tu l’agrippes et te tournes en soupirant d’aise. De ma main je t’envoie un dernier baiser, et je ferme les yeux...
Et je reviens dans mon lit, quel merveilleux moment. Le plaisir, je l’ai eu aussi, dans ma tête et c’est très bien ainsi. La journée sera bonne, le jour se lève, bientôt l’heure. Je t’embrasse de loin.
Dim 15 Avril 2012, 22:22 par
cocoeur sur Les liaisons sulfureuses
Comme des enfants
Comme si j’avais vécu très longtemps, comme si j’avais 40ans, tu me fais sentir que je suis une enfantJe ressens cette merveilleuse sensation que j’ai oublié depuis mon enfanceJe suis heureuse en ce momentCe soir je m’endors en pensant à toi souriant paisiblementQuand on est ensemble et qu’on s’amuse comme des enfants, nos éclats de rires, nos petits sourires, nos regards qui se croisent, lubriques, pleins de désir et de fantasmes mais innocents, car quand on est ensemble on joue comme des enfants Tu me parles , tu me touches, je frisonne délicieusement et je ressens cette étrange sensation qui commence de mes orteils Remonte, me parcourt pour enfin me piquer le nez légèrement, Alors je souris comme un enfant , tout basPuis je te regard,e je te vois brillant, tu es si lumineuxAlors je me mordille les lèvres et je hoche ma tête comme pour dire nonCar je ne réalise pas ce qui ce passe et je ne prends pas le temps de réfléchir, je me laisse allerJe sais que je ne me lasserai pas car ça ne durera pas Je refléchis, je ne vois pas la vie comme si j’étais une enfantJe n’ai que 20 ans et c’est comme si j’avais vécu très longtempsJe te parle, je te raconte mes craintes, je me plains
Quand il pleut j’ai peur, comme une enfant On s’enlace, tu me prends dans tes brasTu me rassures comme si j’étais une enfant Tu me serres fort contre toi et voilà ce que je ressensCa commence de mes orteils, ça touche mon âme Mon visage s’illumine, je me sens belle comme un soleil et j’ai envie de te dire"Serre plus fort, prends ton temps, reste encore"Je ne suis pas une femme-enfant, mais dans tes bras je suis comme une enfantTes bras c’est l’endroit le plus sûr,Prends ton temps , qu’on s’amuse comme des enfants...
BEAUDLAIRIENNE
Quand il pleut j’ai peur, comme une enfant On s’enlace, tu me prends dans tes brasTu me rassures comme si j’étais une enfant Tu me serres fort contre toi et voilà ce que je ressensCa commence de mes orteils, ça touche mon âme Mon visage s’illumine, je me sens belle comme un soleil et j’ai envie de te dire"Serre plus fort, prends ton temps, reste encore"Je ne suis pas une femme-enfant, mais dans tes bras je suis comme une enfantTes bras c’est l’endroit le plus sûr,Prends ton temps , qu’on s’amuse comme des enfants...
BEAUDLAIRIENNE
Jeu 07 Oct 2010, 20:17 par
assouma23 sur L'amour en vrac
La dame sur le banc, vue par l'écureuil
Je suis l’écureuil. Du haut de mon arbre, j’observe les allées et venues des êtres humains.
Par ce joli jour de printemps, je la vis approcher d’un pas assuré. Le soleil diffusait une lumière coquine laissant apparaître le galbe de ses cuisses sous sa robe légère. Les tâches de rousseur sur son visage ainsi que le cuivré de ses cheveux m’interpellèrent. Mes moustaches frémirent. J’osais descendre sur une branche plus basse. Le parc était vide.
Elle prit place sur le banc, un livre à la main. Ses yeux verts de jade parcouraient les phrases à un rythme soutenu. Je ressentais les battements de son coeur grâce à mes oreilles sensibles. Puis, sa respiration devint plus profonde. Sous son chemisier deux boutons naquirent à la pointe des seins. Sans quitter sa lecture des yeux, elle se déchaussa et posa les pieds dans l’herbe parfumée de l’après-midi. Ses ongles étaient laqués de mauve. Elle posa son livre, puis m’aperçut et m’offrit un sourire en me fixant droit dans les yeux. J’osais descendre au pied de l’arbre.
Elle s’adossa, ferma les yeux, ses mains blanches écartant légèrement le pan de sa robe. Sa main droite caressait sa cuisse, tandis que la gauche s’aventurait plus loin. Sentant le parfum enivrant de sa volupté, je m’approchais doucement et vis ses doigts fins se perdre dans son intimité rousse. Sa bouche était entr’ouverte, sa tête légèrement penchée en arrière, son souffle devenant intense. Arrivé à ses pieds, j’enveloppais de ma queue ses orteils, dont le mauve scintillait. Elle ne sursauta pas, s’agrippant à celle-ci. Je ressentais ainsi une formidable sensation de va-et-vient, lorsque tout-à-coup, une vague formidable se fît ressentir, partant de l’endroit d’où je ne voulais plus repartir, remontant vers ses cuisses, envahissant son bassin. Elle respira profondément pour l’accueillir, retint son souffle. Sa tête partit vers l’arrière. La bouche ouverte, elle laissa échapper un râle muet pendant d’éternelles secondes. Elle se redressa. Ses yeux étaient plus clairs et me transperçaient de part en part.
Elle me caressa, son parfum intime me recouvrît le poil, me faisant perdre mes facultés d’écureuil, je remontais péniblement dans mon nid. Elle remit ses escarpins, sourit, reprit son livre et s’en alla.
Un jour seulement j’aurais aimé ne pas être un écureuil. Mais qui dit que vous, amis lecteurs, n’auriez pas souhaité en être un ?!
Par ce joli jour de printemps, je la vis approcher d’un pas assuré. Le soleil diffusait une lumière coquine laissant apparaître le galbe de ses cuisses sous sa robe légère. Les tâches de rousseur sur son visage ainsi que le cuivré de ses cheveux m’interpellèrent. Mes moustaches frémirent. J’osais descendre sur une branche plus basse. Le parc était vide.
Elle prit place sur le banc, un livre à la main. Ses yeux verts de jade parcouraient les phrases à un rythme soutenu. Je ressentais les battements de son coeur grâce à mes oreilles sensibles. Puis, sa respiration devint plus profonde. Sous son chemisier deux boutons naquirent à la pointe des seins. Sans quitter sa lecture des yeux, elle se déchaussa et posa les pieds dans l’herbe parfumée de l’après-midi. Ses ongles étaient laqués de mauve. Elle posa son livre, puis m’aperçut et m’offrit un sourire en me fixant droit dans les yeux. J’osais descendre au pied de l’arbre.
Elle s’adossa, ferma les yeux, ses mains blanches écartant légèrement le pan de sa robe. Sa main droite caressait sa cuisse, tandis que la gauche s’aventurait plus loin. Sentant le parfum enivrant de sa volupté, je m’approchais doucement et vis ses doigts fins se perdre dans son intimité rousse. Sa bouche était entr’ouverte, sa tête légèrement penchée en arrière, son souffle devenant intense. Arrivé à ses pieds, j’enveloppais de ma queue ses orteils, dont le mauve scintillait. Elle ne sursauta pas, s’agrippant à celle-ci. Je ressentais ainsi une formidable sensation de va-et-vient, lorsque tout-à-coup, une vague formidable se fît ressentir, partant de l’endroit d’où je ne voulais plus repartir, remontant vers ses cuisses, envahissant son bassin. Elle respira profondément pour l’accueillir, retint son souffle. Sa tête partit vers l’arrière. La bouche ouverte, elle laissa échapper un râle muet pendant d’éternelles secondes. Elle se redressa. Ses yeux étaient plus clairs et me transperçaient de part en part.
Elle me caressa, son parfum intime me recouvrît le poil, me faisant perdre mes facultés d’écureuil, je remontais péniblement dans mon nid. Elle remit ses escarpins, sourit, reprit son livre et s’en alla.
Un jour seulement j’aurais aimé ne pas être un écureuil. Mais qui dit que vous, amis lecteurs, n’auriez pas souhaité en être un ?!
Dim 10 Jan 2010, 00:26 par
Ecureuil sur Les liaisons sulfureuses
Le massage de pieds
Paf, ça y est ! J’ai jeté anodinement ce qui fait trembler toutes les nations. Les chefs d’état en ont peur et le considèrent comme le germe du contre pouvoir, je cite : le massage des pieds.
Pour les pauvres malheureux qui restent coits à l’évocation de "massage de pieds", je les renvoie à Pulp Fiction et au désopilant mais néanmoins édifiant dialogue entre John Travolta et Samuel L. Jackson quant à l’importance d’un massage de pieds (un mec en meurt tout de même...).
Le massage de pied, répond à la règle sacro-sainte de tous les massages : il faut avoir ENVIE de le faire. Si tu n’as pas envie, passes ton chemin, Ô mécréant.
Tu commenceras par les orteils, doucement, un à un tu les presseras avec la pulpe de tes doigts, de façon à en éprouver toi-même du plaisir. Et puis, tu passeras pour finir, sans insister surtout, banane, un doigt entre chaque orteil ainsi massé.
Tu remonteras sur la base des orteils et composeras une mélodie plutôt musclée avec cette partie du pied qui supporte ton poids (eh oui) toute la journée. De la base du gros orteil vers la base du petit orteil, c’est pas mal, d’autant que si tu es un fin limier, tu te douteras que la tranche extérieure du pied est dans la droite continuité de ce que tu viens de faire.
Hmmmmm, la suite est un délice, tu es sur la plante. Force légère et pression du pouce seront tes plus fidèles alliés. Ne pas chatouiller, ne pas écraser, tout est dans l’écoute. Au passage, je te signale que à cet endroit-là, tu lui masses probablement les gonades...
Le talon, ah ! le talon, souvent, il/elle se réveille en un brusque "Ohhhhh, c’est trop bon". Tu le prends à pleine main dans l’intention de déloger cette masse de chair que tu sens rouler. Il se peut qu’à ce moment là le massage s’arrête, pour passer à autre chose de plus... intime.
Fainéant(e), ne t’arrête pas en si bon chemin et finit ce que tu as commencé. Le pied, contrairement aux idées reçues, s’arrête en dessous du genou. Il te faut maintenant, t’occuper de la cheville de ton/ta partenaire. A deux mains, tu l’entoures, simules une "brûlure indienne". Cool hein, sois pas violent, juste ferme. Ensuite, tu remontes sur le mollet que tu "écrases". Que du bonheur !
Ca t’a plu ? Elle/il te demande ta main. T’affole pas, faut passer à l’autre pied !
Pour les pauvres malheureux qui restent coits à l’évocation de "massage de pieds", je les renvoie à Pulp Fiction et au désopilant mais néanmoins édifiant dialogue entre John Travolta et Samuel L. Jackson quant à l’importance d’un massage de pieds (un mec en meurt tout de même...).
Le massage de pied, répond à la règle sacro-sainte de tous les massages : il faut avoir ENVIE de le faire. Si tu n’as pas envie, passes ton chemin, Ô mécréant.
Tu commenceras par les orteils, doucement, un à un tu les presseras avec la pulpe de tes doigts, de façon à en éprouver toi-même du plaisir. Et puis, tu passeras pour finir, sans insister surtout, banane, un doigt entre chaque orteil ainsi massé.
Tu remonteras sur la base des orteils et composeras une mélodie plutôt musclée avec cette partie du pied qui supporte ton poids (eh oui) toute la journée. De la base du gros orteil vers la base du petit orteil, c’est pas mal, d’autant que si tu es un fin limier, tu te douteras que la tranche extérieure du pied est dans la droite continuité de ce que tu viens de faire.
Hmmmmm, la suite est un délice, tu es sur la plante. Force légère et pression du pouce seront tes plus fidèles alliés. Ne pas chatouiller, ne pas écraser, tout est dans l’écoute. Au passage, je te signale que à cet endroit-là, tu lui masses probablement les gonades...
Le talon, ah ! le talon, souvent, il/elle se réveille en un brusque "Ohhhhh, c’est trop bon". Tu le prends à pleine main dans l’intention de déloger cette masse de chair que tu sens rouler. Il se peut qu’à ce moment là le massage s’arrête, pour passer à autre chose de plus... intime.
Fainéant(e), ne t’arrête pas en si bon chemin et finit ce que tu as commencé. Le pied, contrairement aux idées reçues, s’arrête en dessous du genou. Il te faut maintenant, t’occuper de la cheville de ton/ta partenaire. A deux mains, tu l’entoures, simules une "brûlure indienne". Cool hein, sois pas violent, juste ferme. Ensuite, tu remontes sur le mollet que tu "écrases". Que du bonheur !
Ca t’a plu ? Elle/il te demande ta main. T’affole pas, faut passer à l’autre pied !
Sam 29 Nov 2003, 19:06 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
Ecrire sur orteils
Je suis là, Comme des enfants, La dame sur le banc, vue par l'écureuil, Le massage de pieds,Il y a 4 textes utilisant le mot orteils. Ces pages présentent les textes correspondant.
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