L'Amour, une ruse de Dame Nature !?

J’écoute, j’écoute en boucle ces chansons, ces chansons de K.M que tu m’as fait connaître...

J’écoute cette voix douce et sensuelle que tu aimes tant !

Elle à des yeux à en mourir, un corps de rêve... Je t’imagine, la regarder...

Je t’imagine, les regarder, ces femmes que tu connais, toutes ces femmes autour de toi, toutes ces femmes, les femmes du Monde... que tu parcours depuis quinze ans...

Que suis-je moi, petite française, comparée à une brésilienne, une cubaine, une thaïlandaise, une fille de l’Est... une peau cannelle, des yeux amande, des cheveux blonds... le charme des langues étrangères, l’exotisme, le dépaysement...

Je n’ai pas envie de me battre ! Je ne me suis jamais battue pour un homme... L’Amour est là ou il n’est pas... Moi, je croyais qu’il était là... Tant pis pour moi !

Pourtant, ces mots, ces demi-mots que tu écrivais...

Les hommes sont forts ! Ils sont très forts ! Ils savent donner sans se donner et puis reprendre sans se faire prendre...

Les femmes ne savent pas faire ça ! Elles se donnent, elles se damnent...

Les femmes sont faites pour aimer... et les hommes !?

Et si l’amour n’était qu’une ruse de la , simplement une ruse de la pour assurer la pérennité de l’espèce !?
Sam 15 Déc 2007, 01:26 par encredelune sur L'amour en vrac

Une réponse en poème

Merci Stéphane de ta réponse et du compliment. Il parait que je suis sympathique!lol

J’ai envie de te répondre en poème improvisé sur le vif au réveil, peu dormi cette nuit...Ma tête agitée en tous sens.
Tes mots je les connais bien, cette solitude qui pèse, ce besoin de partage, de trouver son alter-ego, celui ou celle qui comprendra notre intériorité, même si toujours une partie de nous lui échappe. Celui ou celle qui saura faire avec notre sensibilité.

Cela commençait ainsi :

Peut-on s’entraider?
Oui, pourquoi pas, qui sait?
Peut-être trouverons-nous ensembles
Les clefs de notre future félicité?

J’ai le cœur amoureux
Rapiécé, brisé
En milles morceaux
Je me suis brulée
Au jeu de la passion

L’homme qui m’avait
Dérobé mon cœur
Il y a plus d’un an de cela
A décidé de le laisser choir
Un beau matin d’octobre
Il y a peu...

Le pauvre cœur a bien saigné
S’est senti abandonné...
Des larmes ont été versées,
Des cris de douleur étouffés
Mais je me suis accrochée
Peu à peu j’ai recommencé
A respirer
Je suis remontée à la surface
J’ai recouvré mon espace

Mais l’homme en question
Est venu quémander
Il y a quelques heures
Par message interposé
Puisqu’il vit dans une autre cité
Les restes de mon cœur laminé
Par ses mots remplis de cruauté
Par, après tant d’amour,
Son, sans appel, rejet

Et moi, pauvre de moi
J’ai imaginé, espéré
Mon cœur s’est mis à batifoler
Agiter ses petites ailes désespérées


Mais l’espoir a été de courte durée
Car très vite l’homme s’est avéré
Fidèle à lui-même
Distillant sa haine
Refusant de regarder
Le poids de sa méchanceté
Passée...
Il faut dire que je suis bien mal tombé
C’était un homme intéressé
Pas tant par l’argent,
C’était un peu plus compliqué
Mais je ne vais pas me lancer
Dans les détails de sa cupidité
En tous les cas j’ai tiré le mauvais numéro
Jamais eu de chance à la loterie!
Il a failli me faire devenir Caliméro
Trouver ce monde « trop injuste »
Je me suis sentie si meurtrie...

Pour un homme amoureux
Dit-il...
Voulant me reconquérir
Il ne lui aura fallu qu’une demi-heure
Pour qu’il décide de nouveau de m’abandonner
Non content de surcroit de me culpabiliser!
Tellement de mensonges dans sa bouche
De situations embrouillées, louches
Bref, de lui je veux définitivement me détourner
Car il a l’âme et le cœur vil
Il ne sait que me détruire

Heureusement pour moi
J’ai cette foi en la Vie
Qui fait que je m’accroche aux petits bonheur
Un sourire, un mot gentil
Me remplissent le cœur

Tellement d’amour à donner,
A partager...
Mais je vais m’en garder
Un peu quelques temps
Jalousement, égoïstement
Le temps que mes ailes repoussent
Totalement
Le temps de réapprendre à voler
Le temps d’oser de nouveau s’élancer
Prendre le temps de soigner mes blessures
Parce qu’au prochain amour
Je veux pouvoir aller vers l’Autre
Le cœur débarrassé
De cette douleur, cette déception
Etre plus sûre de moi et des raisons
Qui m’amèneraient à écrire : « nous »

Chez moi, dans mon intériorité
Cesser d’aimer
C’est me demander d’abandonner
Une partie de moi-même
C’est douloureux à chaque fois
Comme un réveil post-opératoire
Où l’on se sent différente, un peu groggy
Endeuillée, mais grandie...
Remplie d’un nouveau savoir

Je voudrais tant distinguer et reconnaitre
Celui par qui je serai liée
Pour l’éternité
Chaque fois j’y crois
Je prépare mon envol
Me déploie
Mais l’atterrissage
Me terrasse sur le carrelage
J’échoue sur un sol
Froid et inaccueillant
Et dans mon cœur : le néant
Fin du voyage...

Mais peu à peu la vie reprend ses droits
Le hasard ou l’héritage? M’a doté
Par chance
D’une bonne vitalité
C’est ma bonne étoile
Ma petite fée
Ce don magnifique d’aimer
La Nature, les Etres Humains
Je l’ai viscéralement vissé
A ma personnalité
C’est ce qui me sauve
Me fait remonter
Et tendre de nouveau la main
Armée d’espérance
Hissant les voiles
Vers un nouveau destin


Trouver cet équilibre fragile
Entre nos espoirs intérieurs
Et cet Autre que l’on rencontre
Avec sa propre histoire
Ses joies, ses peines,
Ses renoncements
Et les nôtres
Réussir, quelle gageüre!
A les faire converger
Avec bonheur
Tout en respectant
Un bout de jardin secret
Tel est pour moi le défi
A relever
Pour ces quelques prochaines années...


Voilà! je n’ai peut-être pas vraiment répondu à tes questions? même si il y a quelques réponses dans ce texte. si tu veux j’essaierai de le faire dans un autre message. Mais j’avais envie de partager mes mots ici ce matin.
au plaisir de te lire et d’échanger avec toi. Bon courage à toi stéphane!

Sophy
Mer 28 Nov 2007, 07:55 par Sophy sur Histoires d'amour

Aide moi de toute ton âme

Ma chère Sophy je crois que tu cannais mieux que quiconque ces mésaventures de coeur et tu voudras bien (svp) m’aider. Comme je peux comprendre cet état de chose est indépendant de notre ferme engagement volontaire et tout le serieux dont on en soigne. Tu sais la réussite de l’amour dont je parle ne doit pas être perçue comme réussir à un examen. Mais beaucoup plus dans le sens de confiance, d’engagement de la vie ou dans la vie de couple.Cela te fera certainement sourire. Sophy je comprends que nous devons en permanance être prêts à reprendre l’envol. Mais en s’armant d’un tel courage, ne devons nous pas moins considérer la bonne relation? et comment est ce que tu analyses cette crainte de repartir ou de reprendre?
Oui Sophy, savoir m’écouter, suivre mon cœur, mes désirs. Savoir reconnaitre mes blessures...., me permet de voir à quel point ces délestages en amour rendent sage. Ceci me pose un problème de ce que l’on veut et cherche, des qualités et les moyens qu’on y dévéloppe, soit plus exactement de la connaissance de soi-même et l’harmonie de notre intérieure avec le monde externe. Chère Sophy je partage ce point de vue de toi. C’est malgré tout celà que la déception se fait pesant, la solitude un lourd fardeau et l’aventure une pire contrainte. Crois moi Sophy je vis et ressens tout ce que je dis.
Aidons-nous à se sortir de cette situation. Je pense qu’ensemble nous nous reprendrons cet envol pour éternellement. Je serai très enchanté d’avoir un contact direct de toi. T’es super sympa ange ange
STEPHANE
Mar 27 Nov 2007, 09:26 par STEPHANE sur Histoires d'amour

Douceur

Nous ne nous connaissions pas, et nous nous sommes trouvés au milieu d’une immensité planétaire. Tout pouvait nous séparer, nous différencier, nous éloigner. Mais très vite, ce fut le contraire. Complicité. Tendre amitié.
Nous rencontrant, j’ai voulut te faire découvrir de nouvelles saveurs marines, de nouveaux lieux (cap près d’une ville, sentier entre mer et vent, fraîche cascade, désert de maquis ) , de nouvelles et fortes odeurs ( lavandin, cistes, lentisque, piquant genévrier oxycèdre, ) et, un soir, juste les senteurs du maquis réveillées par la rosée nocturne, dans un très beau cadre, pleine dominant un panorama de grand golfe ourlé au loin d’une seule rangée de lumières ..
Juste cela.
Nous y avons gouté une voûte étoilée, des constellations que tu me montrais.

Nous échangions, depuis ton arrivée, des petits coups d’épées de petits scorpions qui se cherchent intellectuellement. Et nous y prenions goût.

Là, soudain, sous ces étoiles, dans le noir profond qui gommait nos visages, c’est ton corps qui m’ a défié , qui m’a cherché.
Et ma main , timidement, a trouvé ton cou. N’osant y croire.
A découvert une texture de peau étonnante, là, à la base du cou, entre cheveux et encolure de t-shirt. Puis, vite, une odeur, ton odeur.
Pensant à tout moment interrompre, ou être interromput.
Les cheveux très courts sur la nuque, la forme de la nuque. Cet arrondit si particulier de la nuque encore un peu raide, me forçant à un minuscule baiser.
Le dos interdit, tabou. Alors le creux de l’omoplate …puis les courbes et contre courbes de tes flancs, tes côtes une par une, chaque centimètre découvrant de nouvelles textures de peau, subtilement variées, des concavités, des convexités se succédant.
Chaque fois différentes, chaque fois pouvant, devant être la dernière.
Un temps suspendu, infini, illimité, comme le ciel noir.
Des creux, du tendre, du très ferme, selon les muscles. Et à chaque centimètre, ce sentiment que ce serait le dernier. Jamais envisagé. Jamais imaginé.
Limite entre ceinture et élastique. La dureté des pointes de tes hanches, de tes muscles sur les pointes de tes hanches.
Moi glissant perpendiculairement à toi, pouvant englober l’avant et l’arrière, mais n’englobant pas, ou à peine.
Une main glissant pour découvrir le minuscule nombril, et l’autre le début de tes rotondités , durement défendues par le jean.

Et , soudain, un moment exquis, d’infinité, te tenant entre deux doigts, l’un juste sur la minuscule convexité , petit ventre, l’autre sur l’amorce de ton sillon. La sensation de ne te retenir que par là, toi flottant, t’envolant dans l’air . Un moment exceptionnel, à la fois d’équilibre et de vertige. D’une durée non mesurable. Un point d’équilibre entre deux vibrations .Un moment d’éternité. Difficilement explicable.

Le reste, moi me noyant dans ton dos, sans visage, androgyne, te berçant, sentant et soutenant ton abandon, te serrant doucement de mes deux bras.
Tout, très doucement. Ta nuque renversée sur mon front, plusieurs fois mais brièvement . Mais là aussi pour des durées incommensurables.
Et toujours mon murmure, soulignant nos sensations. Et ta peau si variée, si prenante, et ton odeur, petit félin.
Une longue étreinte dans mes bras, ma bouche contre ta nuque. Une pluie de petits baisers voletants.
Puis notre lente redécouverte des étoiles, de la réalité autour de nous .
Le soir suivant n’en fut que la continuation.
Moi ne cherchant que tes sensations, me fondant dans tes vibrations, perdant la tête dans tes vibrations. Instant frôlant la folie, la perte de son propre control, car me fracassant contre cette limite ultime : ne pas pouvoir tout te donner … car n’étant pas toi, restant inexorablement à l’extérieur de toi.
Intellectualisation extrême , douceur extrême. Obscurité extrême.
Puis atterrir. Pour trouver un immense afflux de tendresse profonde, infinie.

Oublier l’inoubliable, l’effacer ?
Non, impossible, injuste, trop réducteur.

Ce serait nier la qualité extrême de ces moments. Les ravaler au rang de simple égarement des sens. En gommer tout le qualitatif, l’exceptionnel, la totale délicatesse, l’émerveillement qui toujours devait s’arrêter, et ne s’arrêtait pas.
Une sensation de virginité, de découverte et celle de réveiller ta peau, toute ta peau, à une sensualité raffinée, délicate .

Quelque chose doit en subsister. Quelque chose peut en subsister.
Sans jamais empiéter sur tes amours. Passées , futures.
Car hors de contexte, hors normes, hors critères. De l’exceptionnel dans l’exception.

Simplement …..une grande tendresse sensuelle, et non pas sexuelle.
Des douceurs …………………..
Tendre lionceau, petits scorpions.
Lun 10 Sep 2007, 17:08 par BlackCat sur Les liaisons sulfureuses

Ces mots là...

Pourquoi ne pas oser me dire ces mots là
Au delà du dialogue : virtuel toi et moi
Le printemps n’est plus là, la , elle, explose
Et les allées du Parc sont parsemées de roses

Il suffit de les lire, ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers les dernières lignes, à la dernière phrase

Si tu ne peux les dire, ces mots là, je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve

Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Rêver ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire

Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…

Jan
Lun 06 Août 2007, 16:45 par jan goure sur La déclaration d'amour

La femme virtuelle

La femme virtuelle

Elle est du sud. Elle cuisine les plats de mes vacances. J’ai l’impression de la connaître depuis toujours. Je peux tout partager avec elle. C’est ma confidente.

Quand je suis avec elle, le sablier s’écoule lentement, je suis dans un état de confiance, elle me comprend. Elle se retrouve dans la culture que j’affectionne. Elle aime sa danse, sa pictographie, sa musique et ses textes. J’en sais peu sur sa vie. Elle a connu le froid, la faim, la peur, la séparation ainsi que la mort. Elle a expérimenté beaucoup de sentiments humains. Elle est passée par de riches expériences. En échange, je peux lui offrir que mon sourire, mon attention, mon écoute mais elle me laisse parler, alors en guise de roses, je lui offre ma prose. Que je sais qu’elle apprécie.

Elle me comprend, m’explique la complexité de la femme.

Les faits simples qu’aucun créateur ne pourra jamais reproduire, hormis Univers Infini, elle les apprécie. La Nature et les ballades dans celle-ci, accompagné de son canidé dont elle est la maîtresse. Observer, regarder la voute Céleste, à chercher la grande ourse, à comprendre l’astrologie, à faire des vœux lorsqu’une étoile filante passe. Et dormir avec encore plus d’étoiles que les meilleurs hôtels. Elle a deux planètes privilégiées. Il s’agit de Luna et Vénus. Elle ressemble à la lune, elle est à la fois romantique, et peut-être que tirant sa force de la pleine lune, elle se transforme en Tigresse. Mais la lune l’aide à tenir le coup et lui permet de ne pas sombrer dans la folie. C’est une femme forte. Une Vénus avec la beauté des femmes latines, elle a du charme, un magnifique sourire, des cheveux foncés, un visage soigné dans lequel brillent deux étoiles couleur azur.
Elle est aussi maman. Une femme qui a porté et mis au monde une vie. Une vie dont elle donne tout son amour maternel et transmet une saine éducation avec de vraies valeurs.
Certaines valeurs sont transmises par des textes. Nous en avons tous deux faits l’expérience.
Et si elle pouvait, elle ne vivrait que de lectures, d’eau fraiche et d’Amour.
J’ai écrit ce texte en l’honneur de cette femme, qui est la première, à croire en mes talents d’écrivain. Je lui offre ce premier texte.

Jeaneck, Suisse, le sept juin 2007

PS: toute critique bienvenue, je suis un néophyte...merci d’avance...
Dim 10 Juin 2007, 12:13 par Jeaneck sur Amour internet

Le lever du soleil

Avant l’aurore je m’éveille
Pour voir le lever du soleil
Instant d’une rare beauté
Il ne faut jamais le manquer

Dissimulé sous l’horizon
Le soleil décide de sortir
La clarté l’éclat des rayons
Nous illuminent et nous attirent

Mais c’est vraiment un grand mystère
Qui plane autour de cette terre
Qu’est-ce qui rend ce moment magique
Et qu’est-ce qui le rend magnifique

Très simple pour les scientifiques
Mais pour moi il est très complexe
Il restera énigmatique
Tant qu’il existera a Aix

Là-bas j’y emmène mon fils
Pour qu’il puisse goûter ce délice
Subjugués par tant de couleurs
Nous pouvons connaître le bonheur

Des larmes ruissellent de nos yeux
La joie de vivre coule à flot
Nous pouvons rejoindre les cieux
Jamais spectacle ne fut si beau

Rouge orangé jaune brillant
Avec un peu de rose perçant
Une couleur mauve harmonieuse
Donne une recette merveilleuse

Ce moment paraît éphémère
Mais il se grave dans nos mémoires
Et au fil du jour il nous sert
A mieux aborder le soir

Je n’arrive pas à m’expliquer
Ce que fait le soleil caché
Comment d’un coup on peut le voir
Alors qu’avant il faisait noir

La est mystérieuse
Toujours présente autour de nous
Elle sait rester silencieuse
Elle a donc de nombreux atouts

Ô que j’aime ce beau soleil
Cette vraiment vivante
Qui au fil de l’année m’éveille
Et rend ma vie très rayonnante

Si le soleil devait mourir
J’aimerais autant l’être avant
Je ne pourrais pas le voir en sang
L’aurore n’existerait plus
Et donc le monde serait perdu
Je serais obligé de fuir

Jérôme
Mar 08 Mai 2007, 20:39 par jejefofo sur Mille choses

La nature

La est mystérieuse
Elle est présente autour de nous
Elle sait rester silencieuse
Et possède de nombreux attouts

Ô soleil envoie ta lumière
Qu’elle vienne nous illuminer
Et de toi nous rendre plus fier
Nous voulons tous les jours t’aimer
Jeu 26 Avril 2007, 20:33 par jejefofo sur Mille choses

Prime enfance

C’est d’abord la campagne que jouxtait la forêt
Une vieille bâtisse, jardin et poulailler
Animaux familiers mais aussi des sauvages
Enfermés ou bien libres, ce qui les départage

De la vigne alentour, on y voit du raisin
Nécessité de soins avant que cuves au plein
Et plein d’arbres fruitiers, dessert toute l’année
Le jardin potager autarcie assurée

Du haut des grands sapins au loin c’était la mer
Un miroir argenté contraste avec le vert
Une eau tirée du puits avec parcimonie
Le temps des lampes à huile c’était ça notre vie !

Baignant dans la dans la clarté des jours
Dans les nuits étoilées ou noires comme un four
Là mes yeux étonnés s’ouvraient grands sur ce monde
Pour moi illimité, mon entrée dans la ronde…

Jan
Mer 24 Jan 2007, 12:01 par jan goure sur Mille choses

Prime enfance

C’est d’abord la campagne que jouxtait la forêt
Une vieille bâtisse, jardin et poulailler
Animaux familiers mais aussi des sauvages
Enfermés ou bien libres, ce qui les départage

De la vigne alentour, on y voit du raisin
Nécessité de soins avant que cuves au plein
Et plein d’arbres fruitiers, dessert toute l’année
Le jardin potager autarcie assurée

Du haut des grands sapins au loin c’était la mer
Un miroir argenté contraste avec le vert
Une eau tirée du puits avec parcimonie
Le temps des lampes à huile c’était ça notre vie !

Baignant dans la dans la clarté des jours
Dans les nuits étoilées ou noires comme un four
Là mes yeux étonnés s’ouvraient grands sur ce monde
Pour moi illimité, mon entrée dans la ronde…

Jan
Mer 24 Jan 2007, 12:00 par jan goure sur Mille choses

Elle se dessine..

Le rideau tiré
entre elle et moi
et rien que ça...
Une silhouette en contre jour
ciselée ombre chinoise
la sienne...
La lumière pour l’embrasser,
un parfum à la traîne
un air de rien
pour ne pas la toucher
le mien...
Je regarde autre part
de part et d’autre
à travers la porte
entrouverte,
je reste appuyée
contre la faïence
lisse et fraîche...
J’aime l’attente,
les émotions
qui me gagnent
les mots
que je perds...
J’imagine
un paysage
grandeur
en face de moi
sur le mur,
un point de fuite
qui me mène
à l’illusion
le temps de...
mais le temps
est plus volage
que ma rêverie
et l’illusion s’efface
le mur reprend sa place...
Le rideau tiré
et elle de l’autre côté...
Mer 17 Jan 2007, 21:47 par danslalune sur La séduction

Carresse au fil de l' Homme

J’ai fui depuis un jour Paris la belle, par besoin d’air pur et envie de me revoir vibrante au beau et pas au sombre.
Nature sensible passe ses saisons et n’apprend toujours pas à faire cocon, à se protéger du mal des autres qui fait injustement souffrir ceux qui les aiment.

Je suis à ta surface, naviguant enfin sur ton calme plat.
Le soleil vient … chaleur sur la coque de mon kayak, je tends les bras sur la proue et y colle mon profil dans un câlin.

Pas de silence, mélopées oisives car c’est le printemps ; vrombissements d’insectes … l’été est presque là.
Mes yeux sont emplis de la rivière, des arbres, des algues et du ciel qui se reflète,

Mes yeux n’ont jamais été aussi beaux, grands ouverts, béats et en paix ; ils te rendent hommage, Petite rivière.
Jeu 12 Oct 2006, 11:18 par Chogokinette sur Mille choses

L'ouragan change toute la donne

Ce que tu dis n’est pas faux,
mais quand l’ouragan souffle,
il éloigne le grain de poussière que je suis,
le conduit là où je ne veux pas être,
là où la vie est sombre,
loin des autres grains,
loin d’une vie simple et belle,
loin des plaisirs simples,
comme une promenade le long d’un fleuve,
admirer la beauté de la ,
sentir la brise du petit matin,
les milles odeurs de la vie,
regarder un enfant jouer
croiser une femme enceinte
tout ça m’est interdit ou difficile,
alors la vie est peut être belle, mais pas pour tout le monde....


Merci, tes paroles sont douces et sages.
Mer 23 Août 2006, 23:53 par joullia sur Histoires d'amour

Rencontre ( 2 )

Internet... Vaste sujet...
Chacun a son opinion... Mais ce type de rencontre
virtuelle est contre ...

Encore et toujours la même réflexion

Non, Rien ne remplace le trouble d’une première rencontre réelle.

Les mots viennent après....
Mer 23 Août 2006, 16:20 par Satine sur Amour internet

Hâte de te voir

J’ai tellement hâte,
De pouvoir te voir,
Sentir tes lèvres si douces,
Sentir ton être près de moi,
Sentir ton affection et ton amour,
Savoir que tu ne me veux pas de mal...

Je t’attendrais sur un banc du parc du 5 ème ,
Le banc entre le muséum d’histoire lle et les serres,
Ou bien sur les marches du muséum,
J’aime cet endroit,
Où les gens se mélangent pour un instant,
Où la reprend un peu ses droits sur la ville...

Sur ce banc je regarderais les parisiens vivre à mille à l’heure,
Assise sur ce banc
Je regarderais
Quoi ? On me le dira !
Je vois simplement
Le bonheur des gens
Celui qui me fuit
Celui que je ne vis pas.

Assise sur ce banc
Des larmes au bord du coeur
Je vois ce qu’est le bonheur
Je regarde ces amants
Qui s’aiment en riant
Qui regardent leur avenir
Car à deux, pourquoi fuir ?

Assise sur ce banc
Je ferme très fort les yeux
Car leur bonheur est douloureux
Je revois leurs précieux moments
Quand ils riaient de l’avenir
Quand rien ne semblait pire
Que de se quitter quelque instants

Sur ce banc
Je rêve de mon amant
Qui ne devrait plus tarder à venir,
Je t’attends,
Mon doux prince.
Mer 09 Août 2006, 10:09 par joullia sur L'amour en vrac
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