Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur moments
Trash me tender
Je veux...
Des moments délicieux
Approcher les cieux
Je veux...
Vibrer sous tes mains
Frissonner sous tes baisers
Crier du bien
Que tu me fais
Je veux...
Que tu me trash
Sans traces
Que tu me renverses
Avec rudesse et finesse
Je veux...
Un partenaire de jeu
Sans calcul ni enjeu
Pas de dominant dominé
Que du donnant donné
Je veux...
Que le feu
Brûle dans nos yeux
ET nous fasse
Perdre la raison
Sans façon
Des moments délicieux
Approcher les cieux
Je veux...
Vibrer sous tes mains
Frissonner sous tes baisers
Crier du bien
Que tu me fais
Je veux...
Que tu me trash
Sans traces
Que tu me renverses
Avec rudesse et finesse
Je veux...
Un partenaire de jeu
Sans calcul ni enjeu
Pas de dominant dominé
Que du donnant donné
Je veux...
Que le feu
Brûle dans nos yeux
ET nous fasse
Perdre la raison
Sans façon
Dim 25 Sep 2016, 00:10 par
Bridget sur Les liaisons sulfureuses
Panne de coeur
Panne de cœur
Tous les matins je me rends à mon travail et immanquablement,je croise la même voiture avec à son bord,un homme jeune et assez mignon pour ce que j’ai pu en voir en roulant.
Je m’amuse à imaginer où il peut aller,ce qu’il fait dans la vie et parfois je fantasme une rencontre(oui je sais c’est pathétique mais on s’amuse comme on peut).
Or un jour,je me retrouve sur le bas côté avec eu pneu crevé,pestant de tous les diables en cherchant mon cric dans le coffre,quand j’entends une voiture s’arrêter,une portière qui claque,des bruits de pas,et,à ma grande surprise ou plutôt devrais je dire à ma grande stupeur...mon inconnu,là en chair et en os.
Plus beau que tout ce que j’ai pu imaginer... grand,blond,de magnifiques yeux verts,océan de douceur dans lesquels on pourrait se noyer,un corps mince et musclé et un de ces sourires à faire avaler son chapelet à une nonne.
Il s’approche et me lance:
– alors on est en panne!
- non,vous voyez bien que je fais un pique nique!
- Je vois que vous gardez votre humour même dans les moments
critiques,par contre pour la sang froid on repassera
- na,na,na,na!
- Un pneu crevé c’est pas la mort,on va arranger ça!
Il enleva sa veste me laissant admirer son torse et ses bras superbement sculptés,moulés dans un tee shirt blanc qui accentuait le hâle de sa peau et se mit au travail sans se départir de son sourire. Tout cela semblait l’amuser follement.
- Mon dieu! Me dis je, rentre la langue Bridget tu te comportes comme un homme en rut!
- Arrêtez de me reluquer ça devient gênant!
- Je ne vous reluque pas m’indignais je!
- Ah bon,dommage car si les rôles étaient inversés,moi je ne pourrais pas détacher mes yeux de votre charmante personne dit il avec un regard lourd de sous entendus.
La température était montée de dix degrés d’un coup,j’avais les joues en feu et un délicieux frisson me parcourait l’échine.
Tellement troublée,je n’avais pas remarqué qu’il avait fini et s’était approché de moi. Il planta son superbe regard dans le mien,mon cœur battait la chamade. DU bout des doigts il me caressa le visage et de son pouce suivit les contours de ma bouche en un geste sensuel et tendre à la fois,son souffle était rauque,ses lèvres se posèrent sur les miennes et notre baiser fut doux d’abord,puis,se fit plus avide et passionné. Me prenant par la main,il me fit entrer dans sa voiture,se mit au volant et nous entrâmes dans la forêt toute proche.
Nous passâmes à l’arrière et sans nous quitter des yeux,nous fîmes l’amour. C’était un délice,ses mains chaudes qui parcouraient mon corps,sa bouche qui déposait des baisers sur ma peau qui frissonnait. Il se montrait un amant doux et attentionné avec un brin de fougue et nous atteignirent l’extase en même temps.
Nous nous séparâmes dans un état second,pressés par nos obligations professionnelles(je ne peux pas leur faire croire qu’il me faut deux heures pour changer une roue,d’accord je suis blonde mais quand même).
- Au fait tu t’appelles comment ?
Bridget !
- Comme Bridget Fonda !
- Moi je serai plutôt Bridget Jones
- Enchanté,moi c’est Marc dit il en éclatant de rire.
Ce délicieux intermède s’était passé le vendredi et toute la semaine suivante je ne croisais pas la voiture de mon bel inconnu et j’en ressenti un pincement au cœur.
Mais le lundi suivant,je vis un véhicule garé sur le bas côté,c’était le sien et je m’arrêtais pour aller à sa rencontre.
- Alors on est en panne !
- Non je fais un pique nique !
Tous les matins je me rends à mon travail et immanquablement,je croise la même voiture avec à son bord,un homme jeune et assez mignon pour ce que j’ai pu en voir en roulant.
Je m’amuse à imaginer où il peut aller,ce qu’il fait dans la vie et parfois je fantasme une rencontre(oui je sais c’est pathétique mais on s’amuse comme on peut).
Or un jour,je me retrouve sur le bas côté avec eu pneu crevé,pestant de tous les diables en cherchant mon cric dans le coffre,quand j’entends une voiture s’arrêter,une portière qui claque,des bruits de pas,et,à ma grande surprise ou plutôt devrais je dire à ma grande stupeur...mon inconnu,là en chair et en os.
Plus beau que tout ce que j’ai pu imaginer... grand,blond,de magnifiques yeux verts,océan de douceur dans lesquels on pourrait se noyer,un corps mince et musclé et un de ces sourires à faire avaler son chapelet à une nonne.
Il s’approche et me lance:
– alors on est en panne!
- non,vous voyez bien que je fais un pique nique!
- Je vois que vous gardez votre humour même dans les moments
critiques,par contre pour la sang froid on repassera
- na,na,na,na!
- Un pneu crevé c’est pas la mort,on va arranger ça!
Il enleva sa veste me laissant admirer son torse et ses bras superbement sculptés,moulés dans un tee shirt blanc qui accentuait le hâle de sa peau et se mit au travail sans se départir de son sourire. Tout cela semblait l’amuser follement.
- Mon dieu! Me dis je, rentre la langue Bridget tu te comportes comme un homme en rut!
- Arrêtez de me reluquer ça devient gênant!
- Je ne vous reluque pas m’indignais je!
- Ah bon,dommage car si les rôles étaient inversés,moi je ne pourrais pas détacher mes yeux de votre charmante personne dit il avec un regard lourd de sous entendus.
La température était montée de dix degrés d’un coup,j’avais les joues en feu et un délicieux frisson me parcourait l’échine.
Tellement troublée,je n’avais pas remarqué qu’il avait fini et s’était approché de moi. Il planta son superbe regard dans le mien,mon cœur battait la chamade. DU bout des doigts il me caressa le visage et de son pouce suivit les contours de ma bouche en un geste sensuel et tendre à la fois,son souffle était rauque,ses lèvres se posèrent sur les miennes et notre baiser fut doux d’abord,puis,se fit plus avide et passionné. Me prenant par la main,il me fit entrer dans sa voiture,se mit au volant et nous entrâmes dans la forêt toute proche.
Nous passâmes à l’arrière et sans nous quitter des yeux,nous fîmes l’amour. C’était un délice,ses mains chaudes qui parcouraient mon corps,sa bouche qui déposait des baisers sur ma peau qui frissonnait. Il se montrait un amant doux et attentionné avec un brin de fougue et nous atteignirent l’extase en même temps.
Nous nous séparâmes dans un état second,pressés par nos obligations professionnelles(je ne peux pas leur faire croire qu’il me faut deux heures pour changer une roue,d’accord je suis blonde mais quand même).
- Au fait tu t’appelles comment ?
Bridget !
- Comme Bridget Fonda !
- Moi je serai plutôt Bridget Jones
- Enchanté,moi c’est Marc dit il en éclatant de rire.
Ce délicieux intermède s’était passé le vendredi et toute la semaine suivante je ne croisais pas la voiture de mon bel inconnu et j’en ressenti un pincement au cœur.
Mais le lundi suivant,je vis un véhicule garé sur le bas côté,c’était le sien et je m’arrêtais pour aller à sa rencontre.
- Alors on est en panne !
- Non je fais un pique nique !
Mer 11 Mai 2016, 20:32 par
Bridget sur Les liaisons sulfureuses
Feuilles d 'automne
Je ramasserai toutes ces feuilles trainant par terre,
Une à une car, pour moi elles ont chacune,
Une signification personnelle particulière:
Une tendre réminiscence qui perdure,commune
A toutes ces images qui s’accumulent,au fil des jours
Chargées de ces souvenirs qui ne peuvent s’effacer...
Toutes ces merveilleux moments que je ne veux pas oublier
Car ils sont désormais, ma seule raison de vivre...
Je m’en nourris,aujourd’hui bien trop souvent
Quand mon état se languit d’une douce mélancolie
Ils m’aident à redevenir quelque peu euphorique.
La feuille de ton incroyable sourire ravageur
Qui est plus beau que le soleil éclatant du matin
Et qui me laissera encore et toujours,divinement rêveur
La feuille de ton prodigieux regard, pétillant et coquin,
Qui te donne cet air étrange,si charmant et impudique.
Une autre de ta tendresse et douceur à mon égard
Je me surprend à être si fier, lorsque je suis avec toi,
Tu es délicieuse comme la liqueur du sirop d’érable
Que je laisse couler sur tes belles formes généreuses.
Une feuille pour rappeler l’odeur de cette peau cuivrée
Sur laquelle mes doigts jouèrent une tendre mélodie
Et celle de ce petit ticket de toison,couleur charbon,
Où mes lèvres enfiévrées se déposèrent avec passion.
Une feuille pour ces inoubliables baisers torrides,
Que je déposai avec entrain sur tes lèvres humides
Et que nous échangeâmes avec une fougue intrépide,
Que tu accueillis, avec une adorable émotion, timide
Et dont je sens encore la fervente ardeur sur ma bouche.
Une feuille,exauçant ce vœu que je fais matin et soir
De te retrouver,encore une fois, dans ma couche
Pour que je puisse dissiper cette peur que tu as du noir
une feuille pour la clarté de ce splendide crépuscule
Qui viendra nous envelopper tout doucement,
Tel l’immense rideau d’un moment incrédule
Qui nous recouvrira d’étoiles entièrement.
Et j’ornerai ce magnifique grand voile
De la sublime beauté de ton merveilleux minois
En te dessinant délicatement sur ma toile
Belle, ainsi que mon cœur te voit
Afin que tous mes langoureux désirs reprennent vie.
Une feuille sur laquelle j’aimerai écrire cette douce folie,
Pour la vivre,jour et nuit, avec insistance...
L’un contre l’autre,les yeux dans les yeux
Afin de voir resplendir ton regard merveilleux
Jusqu’ à la fin de mon existence .
Sam 22 Nov 2014, 16:09 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Notre amour est t-il un crime ?
Bon eh bien bonjour à tous :) me voici avec une longue histoire sur Zane et Giulia, deux jeunes femmes que j’admire énormément.
Chapitre 1 - Révélation et demande
Point de vue narrateur.
Le soir … Le voilà tombé sur la capitale italienne, par ce soir d’hiver, un soir décembre, nous nous retrouvons devant un lycée qui à cet heure si tardive fut encore ouvert. Ce soir cet établisement était en fête, il y avait le bal de noël, et pour cette occasion tout le monde y avait était convier parents et professeurs.
Non loin du gymnase là ou se déroule la fête, cacher derrière un mur à l’abrit des regards, deux jeunes femmes s’échangent leur amour avec bonheur. Zane une jeune brune aux cheveux mi-long se trouve contre le mur tenant sa petite amie par la taille, et cette dernière qui répond au nom de Giulia qui a une chevelure chocolat et de jolie yeux azur, a ses bras allongés sur les épaules de la jeune brune.
Ses deux jeunes demoiselles partagent leur vies depuis deux ans maintenant. Leurs cœur se sont uni un soir de printemps, lors de l’anniversaire de Giulia qui ce jour là avait reçu le plus beau des cadeaux.
Cette dernière, s’approche de sa douce et approfondit leur baiser, bougeant légèrement sa tête pour ainsi mieux savourer ce moment de tendresse. Zane elle ne cesser de la serrer contre elle, mêlant sa langue à la sienne pour ainsi rendre ce baiser encore doux et brûlent.
En manque d’air, elles se détachent, et leurs yeux se noient l’un dans l’autre. Giulia caresse son front avec le sien, et lui sourit tendrement. La jolie brune emmène sa main à sa joue et lui éffleur doucement, jouant avec son nez. Le vent souffle et fait virevolter leur cheveux, leurs robes qui son toutes les deux noire se plisse avec le vent.
Elles n’avaient pas besoin de parler, chacune d’elles se comprend par un simple regard. Giulia pose sa main gauche sur celle de sa femme et emmêle ses doigts avec les siens. Laissant son cœur se marié au sien.
Giulia – je t’aime ma chérie.
Zane – moi aussi, et plus que tout !
Giulia – Zane …
Zane – chuut …
La jeune brune descend sa main et pose son doigt sur les lèvres de son amour qu’elle caresse doucement, Giulia lui sourit, et vint lover sa tête au creux de son cou côté gauche, et descend ses mains à son dos, lui offrant de douce caresses. Zane se met à sourire, elle commence un geste doux et régulier sur le dos de sa bien aimée, et monte sa main droite à sa chevelure caramel, ou elle prit soin de lui masser tendrement lui déposant un baiser sur sa tempe.
Zane – dis moi … Qu’aimerais tu que l’ont face durant les vacances ?
Giulia – tu sais … L’endroit m’importe peut tant que je suis avec toi.
La jolie brune se met à sourire, et berce tendrement son ange contre elle, son cœur ne cesse de s’emporter, et son ventre la démange, comme si des millions, de papillons caresser son bas-ventre.
Giulia – Ah … Si tu savait à quel point je suis heureuse avec toi, deux ans de bonheur et d’amour.
Zane – oui moi aussi, et j’espère de tout mon cœur que sa durera, car avec toi … Je suis la plus heureuse et comblée des femmes.
Giulia – c’est la plus belle chose que tu m’est dit Zane, je l’espère aussi … Même si il y a quelques tension avec notre groupe, je souhaite rester à tes côtés mon amour.
Zane – et si … On leur disaient ?
Giulia – si tu te sent prête alors je te suis jolie brune !
Zane – hm toi alors … Quand arrêteras tu de me rendre ainsi !
Giulia – comment ça « ainsi » vous m’intriguer mademoiselle Kazama !
Zane élargie son sourire, son bonheur était au summum auprès de la femme qu’elle aime et désir plus que quiconque. Elle lui caresse la joue, et s’approche de son visage.
Zane – de me rendre si amoureuse voyons mademoiselle Celest.
Giulia – dans ce cas, jamais !
Elles s’échangent un tendre sourire, et vinrent de nouveau unir leur cœur dans un long et doux baiser. Giulia colle son corps contre celui de sa douce, et pose ses mains sur ses joues qu’elle caresse. Zane qui ne savait plus ou se donner de la tête, tant son bonheur l’ennivre ressere leur étreinte, et lui caresse son dos, allant sauvagement attaquer sa langue.
Personne n’était là pour briser leur moment de bonheur ou chacune se sentaient de plus en plus ennivrer par leurs émotions les plus profonde, leur désir prit leur cœurs en otage, et leur langues s’enflamment à chaque coup. Un baiser amoureux et langoureux à la fois, une étreinte douce et protectrice, des caresses agréable, et quelques petits son se mariant avec l’atmosphère envoûtante et chaude à la fois.
Point de vue Zane.
Quel bonheur, je n’arrive pas à me défaire de ce sentiment qui me brûle le cœur, elle est si douce, Giulia … Ma tendre Giulia je t’aime tellement fort, deux ans à ses côtés, un véritable bonheur, bien que certaine jalousie me meurtri le cœur je l’aime profondément et en aucun cas je la laisserais filais dans les bras d’une autre. En ce soir de vingt quatre décembre j’avais l’intention de lui demander sa main, et pour sa, avec l’aide de Clément qui est mon frère j’allais passer sur scène et ainsi lui dévoiler une seconde fois mon cœur.
On se détachent doucement, et je lui caresse la joue allant écarter quelques mèches de ses yeux, je lui fait un petit clin d’oeil, et lui embrasse le front.
Moi – aller viens, j’aimerais pouvoir danser un slow avec toi mon amour !
Giulia – avec plaisir ma jolie brune … Je t’aime.
Moi – je t’aime bien plus encore !
Nos lèvres se claquent tendrement entres elles, et c’est le cœur léger et amoureux que nous nous dirigions vers l’entrée du gymnase. Et comme nous allions enfin dévoiler notre relation, je ne compte pas lui lâcher la main que je caresse doucement. Arrivé devant les deux grandes portes, ont s’arrêtent et nos yeux se caressent pendant de longues minutes.
Moi – tu est prête ?
Giulia – avec toi, je serait prête à tout.
Je lui sourit, lui tapote le nez, et enfin entra à l’intérieur. On commencent à s’avancer, et certains nous regardent, mais je m’en fiche, car je suis se que je suis et je ne changerais pas pour voir des sourires de satisfactions. Nos parents étaient aussi là assit sur des bancs à discuter entre eux.
Une fois avoir repérer Shiwa Dolce et Emilie, on se dirige vers le groupe, et Shiwa se jeta sur nous.
Shiwa – enfin … Mais où es ce que vous étiez passé toutes les deux !
Giulia – ah ah, ta curiosité ne te quittera jamais !
Dolce – tu devrais le savoir depuis le temps … Oh mais vous … Vous êtes ensemble ?
Moi – oui !
Giulia – nous sommes ensemble.
Shiwa – j’ai bien entendu, zizou et guigui sont ensemble mais c’est supère !!
Moi/Giulia – arrête de nous appeler comme sa !!!
Dolce – toutes mes félicitation les filles, vous mérité amplement ce bonheur, soyez heureuse ensemble !
Giulia – mais … Nous sommes déjà …
Moi – très heureuse ensemble.
Emilie – et depuis combien de temps ?
Je voie qu’elle est heureuse sa fait plaisir, pff c’est dépriment, toujours à nous parler sur ce ton, le pire c’est que ce n’est cas nous qu’elle fait sa. J’ignore donc sa question, mais il semblerais que ma douce n’est pas aimé ce ton puisqu’elle se met à répliquer :
Giulia – euh … La gentillesse tu connais ?
Emilie – toi je ne t’ai pas parler, Zane mais … Mais comment fais tu ?
Shiwa – eh Emilie tu calme ta jalousie ok, elles ont le droit d’être ensemble !
Moi – et en aucune façon ma vie privé ne te regarde.
Ses bras enroulent mon dos, et sa tête se love dans mon cou. Je sourit, et vint l’enlacer moi aussi contre moi, lui caressant doucement sa nuque de mes pouces. Je lui pose un délicat baiser sur sa tempe, et la berce tendrement.
Dolce – oh … Vous êtes trop mignonne, mais depuis combien de temps ?
Giulia – depuis deux ans maintenant !
Shiwa – deux …
Dolce – ans, mais pourquoi ne pas l’avoir dit ?
Moi – nous voulions juste le garder pour nous, et puis avec ce qui c’est passé il y a deux mois !
Shiwa – c’est sur ! Mais en tout cas félicitation.
Dolce – on vous soutien les filles.
Giulia – merci.
Je lui relève le visage, et lui caresse sa joue, lui offrant un doux sourire, et d’un petit clin d’oeil. Sa main se pose sur la mienne, et ses doigts me caressent.
Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi, … Ma douce et jolie Giulia, tu est le centre de mon univers.
Elle me sourit, et ses lèvres s’unir aux miennes. Je lui caresse la joue, et répond délicatement à sa douceur. Ses mains se mettent sur mon dos, et ses doigts me caressent alors que j’allonge mon bras gauche sur ses épaules et l’autre continue de jouer sur sa paumette, nos lèvres se claquent et se goûtent. Mon cœur bat si fort, je l’aime c’est fou à quel point je peut l’aimer.
Point de vue narrateur.
Alors que les deux jeunes filles continue de s’échanger leur amour, Shiwa et Dolce se mirent à sourire et ne purent s’empêcher de les prendre en photo. Plus loin quatre adultes observé la scène avec un sourire aux lèvres.
? - elles se l’ont enfin dit ! S’exclame une jeune femme blonde
? - je suis heureuse pour elles. Rétorque une seconde jeune femme à la chevelure brune
Les deux hommes qui n’étaient autre que les pères de Giulia et Zane, ne cessaient de regarder leurs filles s’embrasser, chacun surpris de voir une tel union entre les deux jeunes filles, mais quelques part dans leurs cœur il en étaient heureux.
Après ce doux baiser, Zane lui sourit, continuant tendrement son geste sur la joue de sa jolie brune qui lui offrait son plus beau sourire. La jeune brune lui embrasse le nez, et se tourne vers les filles qui à dire vrai, avaient le sourire jusqu’au joues.
Zane – Shiwa, je pourrais te demander quelques chose ?
Shiwa – oui biern sûr, qui y ’a t’il ?
Zane – serait t’il possible que tu film ?
Shiwa – euh oui … Mais filmer quoi ?
Dolce – qu’es ce que tu as en tête Zane ?
Zane – vous verraient bien.
La jeune fille se tourne vers son ange, qui la regarde avec un regard surpris elle aussi, mais cela n’a pas d’importance, elle lui caresse le dos, et lui sourit amoureusement. Zane lui fait un petit clin d’oeil, et la serre dans ses bras. Puis un garçon au cheveux brun et au costume noir et blanc se dirige vers le groupe.
Clément – Zane, c’est bon tu peux y aller !
Zane – ok j’y vais !
Giulia – mais … Tu vas où ?
Zane – ne t’inquiète pas ma belle, je reviens vite !
Elle lui dépose un léger baiser, et vint se séparer de sa petite amie qui se posé bien des questions. Devant tout l’assembler, Zane saisit le micro, Shiwa avait allumé sa caméra, et commence à filmer, se demandant bien se que sa meilleure amie avait en tête.
Clément – Giulia, si j’étais toi, je la regarderais, c’est pour toi qu’elle fait sa !
Giulia – comment ça ?
Clément – regarde la, et écoute attentivement ce qu’elle va te dire.
Giulia de plus en plus surprise regarde sa bien aimée qui la dévisage avec tendresse, lui envoyant un tendre baiser avec ses lèvres. Geste que la jolie brune aprécia, et lui rendit par un clin d’oeil.
Zane – bonsoir à tous, j’aimerais avoir quelques minutes d’attention s’il vous plais, j’aimerais faire une déclaration pour une personne qui m’est cher.
Tous se tue, et Giulia sourit, son cœur ne put s’empêcher de battre, Clément entoure les épaules de la jeune fille, et sourit à sa sœur aînée qui lui rend son sourire.
Zane – voilà maintenant huit ans que je les rencontré, huit longue années à épprouver de fort sentiments à son égard. Pour mon plus grand bonheur, nous avons uni nos cœurs, et voilà deux ans que je vis un véritable bonheur à ses côtés. Elle est tout se qu’un homme puisse rêver d’avoir, elle est … Le centre de mon univers, mon rayon de soleil et la femme de ma vie, mais elle est avant tout … Ma plus belle histoire d’amour, alors en ce soir de vingt quatre décembre, j’aimerais lui demander quelque chose qui me tiens à cœur … Giulia !
Cette dernière avait les yeux qui pétillés, elle était prête à pleurer, Shiwa et Clément la pousse doucement, et c’est le cœur prêt à frôler la crise cardiaque qu’elle se dirige vers l’estrade là ou sa douce l’attendait. Les parents des deux jeunes filles, émue par la déclaration de Zane, se demandé bien se que la jeune brune allait demander à Giulia qui était au bord des larmes.
Cette dernière une fois prêt de la jeune brune, la regarde, alors que Zane s’avance et lui caresse la joue pour finir par prendre sa main.
Zane – Giulia mon amour sa fait deux ans que j’ai uni mon cœur au tiens, et je ne le regrette pas, je t’aime d’un amour sincère et véritable, et peut importe se qui arrivera, je serait toujours là pour toi … Alors j’aimerais te demander quelque chose d’important !
Clément se dirige vers la scène et tend à sa sœur un petit écrin bleu nuit en velours, Giulia ne savait pas se qui allait se passer, son cœur bat tellement vite. La jeune brune, se tourne vers sa femme, et s’exclame en posant un genou à terre, et en prenant la main de sa douce qui allait finir par pleurer pour de bon.
Zane – ma chérie, je suis profondément amoureuse de toi, et je n’aurais jamais crue être aussi heureuse, alors moi Zane Kazama te demande avec sincérité … Giulia Celest veux tu devenir ma femme ?
Le cœur prêt à bondir hors de sa poitrine, Zane ouvre l’écrin révélant une bague en argent avec un petit diamant. Giulia avait fini par verser ses larmes de bonheur, sa main plaqué sur sa bouche, elle était vraiment heureuse, elle ne s’y attendait pas du tout, et c’est plus heureuse que jamais qu’elle s’exclame :
Giulia – oui … Oui je le veux !
Zane sourit, heureuse laisse échapper une petite larme et se lève pour ainsi glisser l’anneau à l’annulaire gauche de son amour.
Zane – je t’aime, c’est avec toi que je veux construire mon futur.
Giulia – oh Zane, si … Si tu savait à quel point je suis heureuse, mon amour, ma femme !
La jolie brune sourit de plus belle, et devant tout l’assembler qui ne disait plus rien elles s’embrassèrent amoureusement. Des larmes de joie dévalent les joues des deux jeunes filles qui était à présent au delà du bonheur. Dolce et Shiwa étaient ému et n’avaient pue retenir leurs larmes de joie.
Un clapotement se fait entendre, puis un second un troisième, jusqu’à que ses clapotements se transforment en applaudissement. Zane et Giulia continuent de s’embrasser avec tendresse, heureuse de voir que leur histoire devenait sincère et véritable.
Doucement elles se détachent, et leurs yeux qui sont embué de larmes se caressent, Zane porte sa main à sa joue et lui caresse, elle était vraiment heureuse d’avoir eu le courage de faire sa demande alors qu’elle a une trouille monstre dès qu’elle monte sur scène. Giulia quant a elle, n’arrivait pas à croire à se qui venait de se passer, elle était vraiment heureuse. Elle s’approche de sa fiancée, et lui caresse la joue, repoussant quelques mèches de ses yeux, ne retenant pas une petite larme.
Giulia – tu viens … De combler mon bonheur, je suis tellement heureuse, Zane … Je t’aime, et je ne veux plus être loin de toi … La mia donna.
Zane se met à sourire, elle lui embrasse sa main, et lui murmure :
Zane – je t’aime aussi très fort ma belle, et en aucun cas, tu sera séparé de moi et mon cœur.
Elles se sourirent, et heureuse, elles descende de l’estrade main dans la main plus uni et amoureuse que jamais. Shiwa et Dolce se dirigent avec rapidité vers les deux jeune filles. Et hurlèrent de joie.
Dolce – mais c’est génial, oh les filles, je suis si heureuse, toutes mes félicitations et bravo à toi Zane c’était magnifique !
Shiwa – vraiment, je ne sais pas quoi dire, je suis si heureuse, tout mes voeux de bonheur à vous deux, et que votre histoire dure éternellement.
Zane – je ne compte pas la laisser filer !
Giulia – et je ne suis pas prête à quitter ses bras.
Point de vue Giulia.
Ce soir, elle ma comblé de bonheur, j’étais vraiment heureuse … Heureuse que nos cœurs se soit définitivement enlacés. Je lui embrasse le cou, et caresse ce derner de mon pouce, le cœur prêt à frôler la crise cardiaque.
Puis un slow commença, et Zane c’est tourné vers moi et me demande :
Zane – m’accorderais tu cette danse ?
Moi – avec plaisir mon amour.
On se sourit, et alla se mélanger à la foule qui à dire vrai nous observé, mais je n’ai que faire, je l’aime éperdument, et je ne suis pas prête à la laisser partir pour de simple sourires. J’allonge mes bras sur ses épaules, colle mon corps contre le sien et la dévisage avec amour. Ses bras s’aventurent à mon dos, elle me serre contre elle, et on commencent à danser, suivant le rythm de la musique.
Moi – tu m’as offert, le plus beau des cadeaux Zane, je suis si heureuse, nous allons pouvoir construire un futur ensemble, rien que, toi et moi, ti amo ti amo ti amo.
Elle me sourit, et me serre dans ses bras, et doucement elle se mit à chanter les parole de la chanson qui était de Nevio uns de mes chanteurs favoris, et le titre de cette chanson était Giulia comme moi.
Zane -
cammineró senza di te
hai confini dell ricordo
e troveró la strada che
ho perduto in un momento
ameró la solitudine
empiroglio chi mi nuvole
e cominceró riprendermi
il futuro che non c’é
Refrain:
giulia giulia
io non so dove sei ma ti sento arrivare
giulia giulia
sei una favola che non doveva finire
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
oh giulia
nasconderó dentro di me
la paura di cadere
ritroveró la libertá
la mia voglia di volare
e dispetero fra gli alberi
tutti i miei pensieri fragili
che mi inseguono non sanno
dove andare senza te
Refrain:
giulia giulia
tu ritorni da me con il vento d’estate
giulia giulia
sei la mia meno di con parole sbagliante
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
anche senza di te io vivró respirando á ti
e ti sento ancora li
chiudi gli occhi e rivedo nel vento gli imagini
che non voglia andare via
solo un attimo d’amore dentro me ooh
Refrain:
giulia giulia(giulia giulia)
aahh giulia (giulia giulia)
sei l’azzurro dell cielo quando é primavera
giulia giulia
sei una voce che arriva improvisa leggera
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sara la mia musica
ohh giulia
une larme roule sur sa joue, je lui sourit, et vint lui retirer la petite larme par un baiser. Je colle mon front contre le sien, et lui murmure tendrement :
Moi – tu ne te rend pas compte à quel point tu viens de me rendre heureuse, ne pleur pas, tu est merveilleuse ma chérie, et j’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir.
Zane – je t’aime, si tu savais à quel point je peux t’aimer Giulia !
Moi – moi aussi je t’aime Zane, je t’aime énormément, tu est à ce jour la mia più bella storia del amor !
Elle me sourit, et vint m’embrasser resserant notre étreinte, je l’aime c’est fou comme je l’aime. Je ferme mes yeux et répond tendrement à son baiser. C’est ainsi que notre soirée s’achève, par une dernière embrassade avant de rentrer chez nous. Sa a était la plus belle soirée de ma vie et … Je ne suis pas prête à l’oublier.
Point de vue narrateur.
Quelques heures plus tard, le bal venais de prendre fin, et tous le monde commencent à gagner la sortie du lycée pour ainsi rentrer chez soie. Dans une rue italienne, ou le vent souffler et les réverbères enlumine la rue Zane et Giulia main dans la main marche vers la deumeur des Celest.
Juste derrière les jeunes filles se trouve leurs parents qui les regardent n’en revenant toujours pas de la révélation que leur filles leur avaient offert. Giulia pose sa tête sur l’épaule droite de sa douce qui se met à caresser sa main, lui offrant un doux baiser.
Arrivé devant chez Giulia, cette dernière toujours enlacé dans les bras de Zane se tourne, et les adultes comment à parler.
Mère de Giulia – bon et bien, merci pour la soirée !
Père de Zane – ce fut un plaisir.
Mère de Zane – dites, vue que les vacances sont commencé, Giulia sa te dit de dormir à la maison ?
Giulia – oui pourquoi pas.
Mère de Zane – tu en pense quoi Zane !
Père de Zane – tu te doute bien que cela ne va pas la déranger.
La jeune brune sourit, elle relève doucement le menton de sa douce et lui caresse la joue, lui offrant un tendre sourire.
Zane – je serait même heureuse de passer ma soirée avec elle !
Giulia – moi aussi.
Elles s’échangent un sourire, et s’embrassent amoureusement. Les quatre adultes se mettent à sourire, en voyant leurs enfants si uni. Après ce doux baiser, la jolie blonde se serre contre sa bien aimée qui se met à caresser sa chevelure.
Père de Giulia – je n’aurais jamais cru les voir si proche !
Giulia pose sa main sur la joue de Zane et la caresse, cette dernière ne pue s’empêcher de sourire, elle ne pouvais croire à tout sa … Un véritable compte de fée, son bonheur était enfin au complet.
Zane – je t’aime.
Giulia – moi aussi mon amour !
Elles se sourirent, se posent un délicat baiser, et la jolie blonde vint se séparer de sa bien aimée, pour regagner sa maison afin d’aller préparer son sac. Avec le sourire, la jeune fille sous les yeux doux de ses parents monte à toute vitesse les escaliers, et regagne sa chambre. Sa mère se poste au coin de la porte, les bras croiser sur sa poitrine, et elle regarde sa fille, qui venais de se mettre à siffloter de bonheur.
Giulia – oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor.
La jeune blonde fini de mettre ses affaires de toilette dans son sac, n’oubliant pas de prendre le cadeau pour son amour. La mère de famille, était vraiment heureuse de voir sa fille si épanouie.
Giulia se tourne, et sursaute en voyant sa mère qui souriait depuis tout à l’heure. La jeune fille commence à sortir de sa cha mbre, et sa mère ferme la porte.
Mère de Giulia – si tu savais à quel je suis heureuse de te voir comme sa.
Giulia – je suis vraiment amoureuse maman !
Mère de Giulia – je le voie bien.
Mère et fille s’échangent un sourire, et finissent par descendre ainsi rejoindre les autres qui se trouvaient toujours dehors. Giulia embrasse ses parents, et se dirige vers l’amour de sa vie qui l’accueillit avec un doux câlin.
Mère de Giulia – Zane ?
Zane – oui ?
Mère de Giulia – je ne sais pas se que tu as fait à ma fille, mais je t’en remercie.
Zane se met à rire, un rire délicieux aux oreilles de Giulia qui vint l’embrasser sur la joue, et fini par lui prendre la main. Elles s’échangent un doux regard, Zane lui fait un clin d’oeil et lui tapotte le nez, et c’est heureuse qu’elles partir direction la demeurre des Kazama.
Zane – cas tu dis pour que Annette me dise sa ?
Giulia – sa t’intéresse ?
Zane – tout se qui te touche m’intéresse.
Giulia se met à sourire, elle cale sa tête au creux de son cou, et lui dépose un léger baiser. Zane se met à sourire, elle ressere leur étreinte, et elles continuent de marcher toutes les deux plus heureuse que jamais. Quelques minutes après, les deux jeunes fille arrivent devant la maison des Kazama, et Lidie la mère de Zane se dirige vers le petit péron pour ainsi ouvrir la porte. Tous rentrent, et les filles embrassent les deux adultes et montent en suivant dans la chambre de la jolie brune.
Celle-ci ferme la porte, et se dirige vers Giulia qu’elle enlace par la taille posant ses mains sur son ventre, et lui dépose un baiser dans son cou.
Zane – alors, tu vas me dire se que tu as dit ?
Giulia – mais qu’elle curieuse on dirait Shiwa.
Zane se met à rire … La jolie blonde cale son dos contre la poitrine de sa douce et murmure tendrement en prenant ses mains dans les siennes.
Giulia - oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor … Voila se que j’ai dit.
La jolie brune se met à sourire, elle dépose ses lèvres sur la joue de sa bien aimée, et ferme ses yeux, savourant les paroles que Giulia avait prononcé à son égard. Son cœur bat tellement vite, elle lui caresse son ventre, et fait durer le plaisir, pressant sa bouche un peut plus sur la joue de sa femme qui sourit, et se laisse envahir par le bonheur.
Giulia – je t’aime Zane !
Cette dernière ne répond pas, mais sourit et prolonge son baiser le rendant plus doux et long. Elle se sentait si bien là comme sa, son cœur ne cesse de la rappeller à l’ordre, mais la jeune Kazama refuse de coopérer tant le bonheur est grand.
Zane * je t’aime bien plus que sa encore mon amour *
pense t’elle, en la berçant tendrement contre elle. Elle se décolle doucement et la serre plus fort contre elle.
Zane – joyeux noël ma chérie !
Giulia – joyeux noël à toi aussi mon amour.
La jolie blonde prend son sac et en sort le cadeau de sa bien aimée, et lui offrrit avec le sourire.
Giulia – quand je l’ai vue j’ai pensé à toi.
Zane sourit et saisit le petit sac. Elle apercut une feuille plié en deux, et un petit écrin, elle saisit le petit écrin, et l’ouvre devant les yeux amoureux de sa fiancée. Son cœur se met à cogner, et son regard s’adouci en voyant le contenue de l’écrin. A l’intérieur de cette dernière se trouve une gourmette en argent, et sur la petite plaque métalique il y avait écrit « Ti amo » Giulia saisit le bijou, le détache, et le passe autour du poignet gauche de sa bien aimée, qui finit par l’enlacer lui caressant le dos.
Zane – merci mon ange, elle est magnifique.
Giulia – de rien, et joyeux noël !
Zane – à toi aussi Giulia, j’espère de tout mon cœur que notre histoire ira loin, il n’y a qu’avec toi que je veux construir mon futur, et sa au creux de tes bras.
Giulia – le sentiment est partager, moi aussi je l’espère de tout mon cœur, rester au creux de tes bras encore longtemps !
Leur regard se croisent et se caressent, Zane allonge ses bras sur ses épaules, et toutes deux ferment leurs yeux pour ainsi unir leur cœur. Un doux baiser commence alors entres les deux jeunes filles qui se rapprochent de plus en plus, Giulia enroule ses bras au dos de Zane et caresse se dernier, penchant légèrement sa tête sur la droite, mêlant sa langue à la sienne. Zane plaque ses main à sa nuque et la caresse, montant sa main gauche à sa cheveulure, lui retire son élastique et mêle ses doigts dans ses cheveux lui massant agréablement. Leur corps ne cesse de se rapprocher, ils se pressent et se caressent.
Chacune intensifi leur baiser en se serrant l’une contre l’autre. Tout était parfait maintenant, elles étaiennt heureuse et éperdument amoureuse l’une de l’autre et ne cesser de se le montrer par des geste d’affections.
Leur lèvres se claquent et se goûttent, et leurs regards se dévisagent se parlent longuement et amoureusement.
Zane – oh Giulia …
Elle emmène sa main à sa joue et lui caresse. Toutes deux s’échangent un sourire, et finissent par s’enlacer tendrement. Giulia pose sa tête sur l’épaule gauche de sa bien aimée et lui caresse le dos, lui offrant un délicat baiser. Zane ne bouge pas, juste à sourire et répondre à son étreinte.
Giulia – dis mon amour …
Zane – oui ?
Giulia – et si … Pendant les vacances on allaient à Venise ? Rien que toutes les deux en tête à tête.
La jolie brune sourit, elle lui soulève son menton, et lui murmure en la dévisageant avec tendresse.
Zane – avec toi, j’irais n’importe où !
Giulia – je t’aime.
Zane – je t’aime aussi ma jolie brune !
Elles se sourirent, Zane lui fait un clin d’oeil, et dépose sees lèvres sur les siennes pour un doux baiser. Non décidement tout leur souriait elles étaient heureuse et combler de bonheur ensemble.
Quelques petites minutes après Giulia était parti prendre sa douche, alors que Zane qui c’était déjà raffraîchit se trouve assise sur son lit, muni d’un short blanc et d’un débardeur noir, ses cheveux mouillés lui touchant la poitrine lisait le petit mot que sa jolie blonde lui avait laisser.
Zane * ma chérie, il est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je suis la plus heureuse des femmes, tu me comble de bonheur et ne cesse jamais de me faire sourire, tu est l’amour de ma vie … Ma jolie brune, toi qui enflamme et réchauffe mon cœur, tu a sue atiser la flamme, et je suis vraiment éperdument amoureuse de toi, tu est la femme de ma vie mon amour, mon ange, mon cœur, mon rayon de soleil, tu est la cerise sur mon gâteau, la crème de mon cappushino, et je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, et peut être un jour fonder notre famille toutes les deux, je t’aime et te serait à jamais fidèle, Ti amo la mia donna. *
les yeux de la jeune brune se mettent à pétiller, elle caresse le bout de papier et regarde la petite gourmette à son poignet. Sa main droite se pose sur un pendantif en argent que Giulia lui avait offert pour leur toute première Saint Valentin, sur ce petit cœur il y avait le mot ’ Je t’aime ’ et Zane serre le bijou dans sa main, ne retenant pas une petite larme de bonheur.
Elle était si heureuse d’avoir une tel place dans la vie de la seule femme qu’elle aime et désir ardement. Sa main monte à sa bouche et ses doigts caressent ses lèvres, ses yeux se ferment et elle se remémore toute son histoire avec la jolie blonde, elle repense à tout ses moment de joie d’amour et de bonheur, même si quelques fois elles se sont prit la tête, se n’étais rien de méchant puisqu’à chaque fois leur amour grandissait et devenait plus fort.
Elle prend son téléphone, met ses écouteurs et se met une chanson qu’elle aimé tout particulièrement une de Nevio ’ Amore Per Sempre ’ sa tête se pose sur le mur et serrant le bout de papier elle se laisse envahir par la musique.
Zane * Giulia je suis vraiment heureuse avec toi, tu fait tout mon bonheur. *
« It’s only three words
amore per sempre
’cause living this life is all I can do
It’s only three words
amore per sempre
and you always get what’s coming to you
It’s only three words
amore per sempre! »
fredonne doucement Zane en souriant, laissant son cœur s’épanouir. Quelques larmes roulent sur ses joues, c’est la première fois qu’elle était dans cet état, le bonheur avait prit son cœur en otage, et même si elle est de caractère un peu garçon manqué, elle n’en reste pas moins une jeune femme avec ses rêves, ses désirs, et ses sentiments, elle se révèle être une jeune femme sensible et très sentimentale.
Zane – T.I A.M.O.
Elle sourit de nouveau et se laisse bercer par la mélodie. Quelques second après Giulia sort de la salle de bain fraichement lavé, elle porte un petit short noir et un débardeur blanc. Elle se met à sourire en voyant sa bien aimée ainsi, elle s’approche et remarque qu’une larme roule la joue de Zane, inquiète, la jolie blonde s’approche d’elle et s’exclame :
Giulia – ma chérie ça va ?
Zane – viens.
Sans se faire prier, Giulia alla se lover dans les bras de son amour, et entour son dos, et pose sa tête sur son épaule gauche. Zane allonge ses bras sur ses épaules et ses doigts partent caresser sa nuque, lovant sa tête dans son cou, lui offrant un tendre baiser.
Zane – moi aussi … Je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, laisser le temps se faire et qui sait peut être à fonder notre famille, ma Giulia je t’aime plus que tout, et ferais tout pour te garder auprès de moi mon amour.
La jeune blonde se met à sourire, elle se serre contre sa femme, et lui embrasse le cou. Se laissant bercer par le câlin de la jolie brune qui commencer peut à peut à s’endormir. Giulia lui caresse sa chevelure et la câline, elle vint la regarder et un tendre sourire apparu sur ses lèvres en voyant sa douce dormir. La soirée avait était riche en émotion pour les deux, et chacune avaient besoin de repos pour être en forme et pouvoir commencer leur vacances.
Giulia se lève, et alla fermer la lumière, elle se dirige vers le lit, grimpe dessus, et vint retirer les écouteurs des oreilles de Zane qui c’était profondément endormie. La jolie blonde, retire la couverture et couvre sa fiancée, ramenant la couette sur elles, pose sa tête sur son épaule et lui murmure avant de s’endormir à son tour.
Giulia – bonne nuit mon amour.
Elle lui embrasse le cou, et ferme ses yeux, le sourire aux lèvres, elle pose sa main sur le bras droit de la jeune brune, et fini par s’endormir heureuse de sa soirée qui avait était l’une des plus belle.
Chapitre 2 – Tout pour elle.
Point de vue narrateur.
Au alentours de neuf heure, la jolie blonde se réveille, et emet un long baillement. Elle se tourne, et remarque que sa bien aimée n’était pas la, donc elle se redresse et s’étire longuement avant de quitter ses draps et d’enfiler une robe de chambre bleu, qu’elle ferme avec une longue liane. Elle s’attache les cheveux en une queue de cheval, et prend son téléphone qu’elle prit soin d’allumer.
Quand ce dernier s’allume, Giulia remarque qu’elle a reçu des messages, et elle fut surprise du nombre, en effet elle avait reçu quarante messages en une nuit. Elle appui sur message et lorsqu’elle vis qui lui avait envoyé tout ses messages elle referme son téléphone et sort de la chambre pour se rendre dans la cuisine. Le destinataire de ses messages était Emilie, et connaissant cette dernière la jolie blonde ne prend pas le risque de répondre car à tout les coup se sont insultes.
Point de vue Zane.
Alors que je porte mon bol à ma bouche, deux bras s’enroulent autour de mon cou, et des mains se mirent à caresser ma peau. Je me tourne et sourit en voyant que c’était ma douce qui venais de se lever et qui à mon avis n’est pas tout à fait réveillé. Je porte mes lèvres à sa joue et lui embrasse avec douceur prenant doucement sa main dans la mienne.
Moi – bonjour belle au bois dormant, bien dormit ?!
Giulia – oui, très bien.
Elle me sourit et m’embrasse, je sourit et la serre contre moi. Doucement, notre étreinte se desserre, et elle parti se faire son déjeuner. Son portable se met à sonner, et je l’entend râler.
Giulia – pff … Elle peut pas me laisser tranquille.
Moi – c’est qui ?
Giulia – à ton avis ? C’est EmilIe, j’ai reçu quarante sms d’elle pendant la nuit.
Moi – elle deviens lourde avec sa.
Giulia – oui et elle commence sérieusement à m’énerver.
Vraiment, elle commence a être chiante, je n’arrive pas à la supporter, et j’ai horreur de l’opignon qu’elle porte sur les gens, qui est tout bonnement grotesque.
Giulia – va falloir faire quelques chose sa peut pas continuer comme sa !
Moi – oui lui mettre les points sur les i serait une bonne idée, car moi même je ne la supporte pas.
Giulia – on est deux !
Elle se tourne, et me sourit, je lui fait un petit clin d’oeil, et elle vint prendre place à ma droite. Alors qu’elle verse du chocolat dans sa tasse, je lui écarte une mèche de ses yeux, et lui offre un baiser.
Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi ma belle !
On se sourirent, s’embrassent avec douceur, et c’est avec le sourire que je reprend mon déjeuner. Son portable se met de nouveau à sonner, et cela eu pour effet de m’irriter.
Giulia – bon, tu peux voir se qu’elle veux !
Moi – dack.
Je prend doucement le téléphone, et lorsque ce dernier s’allume un doux sourire apparue sur mes lèvres en voyant son fond d’écran de vérouillage qui était une photo de moi avec les cheveux attacher, et juste en bas il y avait un cœur avec les deux première lettre de notre prénom et entre eux un petit plus prenait place, mon cœur se met à cogner fortement … Ah, ma Giulia, que je t’aime, je fait glisser mon pouce et plusieurs cercles apparue, je lui demande :
Moi – c’est quoi ton code mon ange ?
Giulia – la première lettre de ton prénom.
Je sourit, et reproduit le z avec mon pouce. Un autre battement fugace frappe ma poitrine en voyant son fond d’écran d’accueil qui était une photo de nous en train de nous embrasser et juste en bas il y avait écrit ’ la mia donna ti amo ’ je sourit, caresse doucement l’écran, et me dirige vers ses messages.
En effet, c’était bien Emilie qui lui avait envoyé tout ses messages, j’appui sur son prénom, et une fois que je fut sur la page, je remonte mon pouvce afin de tout lire.
Moi * comment as tu osé te l’accaparer ? Tu n’est qu’une salope Giulia, Zane ne te mérite pas, elle mérite quelqu’un de mieux comme moi *
non mais elle croix trop au père noël celle-là, faut vraiment qu’elle arrête son délire, je descend et les second messages eu pour effet de me faire mal au cœur.
Moi * elle a de très belle formes, une généreuse poitrine, de belles cuisses, elle est délicieuse, j’espère que tu ne goûtera jamais à son pêcher qui n’appartiens cas moi, elle est tellement belle, et franchement une femme comme elle ne veux pas passer son temps à faire juste des câlins et se contenter de simple baiser, non une femme comme elle désir beaucoup plus, que l’ont la prenne et la goûte tout doucement *
encore une … Qui me prend pour un objet sexuelle, mon cœur me fait mal, et je sent les larmes me monter aux yeux, ce sujet, j’y était très sensible, ayant subi de nombreuse moquerie là dessus et j’en reçoit encore aujourd’hui. C’est pour sa, que je me suis forgé ce caractère de garçon manqué car avec lui je peut surmonter cet obstacle car en dehors de sa, je suis très sensible, et je peux me mettre facilement à pleurer, seule Giulia connais ce côté là de moi.
Je ferme le téléphone, le pose sur la table et me lève, pour aller prendre un morceau de sopalin et m’essuie les yeux, j’ai horreur que les gens me voie ainsi et me prenne comme bon leur semble.
Giulia – ma chérie ça va ?
Je l’entend se lever, et ses bras entour ma taille, ses mains se posent sur mon ventre, et ses doigts me caressent. Je ne retiens plus mes larmes qui se mettent à rouler sur mes joues.
Moi – j’en est plus qu’assez que tout le monde me prenne ainsi, comme un objet sexuelle, j’en est marre de ceux qui ne pense cas sa, en me voyant, j’en est assez d’être une bête de foire à leur yeux, ils prétend que je suis une femme qui attend bien plus que sa, alors que … Que c’est faux, tout ce que je veux, c’est être aimé, et que l’on prenne soin de moi. Quand es que ce menssonge prendra fin !!!!!
je n’y arrive plus c’est vraiment trop dure, je tape violemment mon point contre le plan de travail et font littéralement en larmes. Je me sent tourné, et mes yeux qui sont rouge croisent ceux de ma douce, qui s’approche et pose ses mains sur mes joue, et repousse mes larmes.
Giulia – chuut … Ne te met pas dans cet état ma chérie, tu n’est pas une bête de foire ou un objet sexuelle, si les gens apprenait à mieux te connaître, ils remarquerons que tu est une femme extraordinaire, une femme qui possède un cœur en or, une femme magnifique avec ses défauts et ses qualités, tu vaut bien plus que sa. Quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi, pour t’épauler, te soutenir et t’aimer, t’aimer du plus profond de mon cœur, car pour moi Zane Kazama, tu est bien plus que sa, tu vaut bien plus que tout ses gens qui te critique, tu est ma femme, l’amour de ma vie … Et même si d’autre te dirons des chose malsaine, dit toi une chose mon cœur … C’est que q’importe la situation les gens qui t’aime vraiment serons ici dans ton cœur, Eric, Lidie, Shishi Dolce, Clément mes parents, et moi même seront toujours la pour toi, et nous t’aiderons du mieux que l’on peut car pour nous tu est importante, et pour moi, tu vaut tout l’or du monde !
Giulia … Je pose ma main sur la sienne, et ferme les yeux. Ses paroles danse dans ma tête et réchauffe mon cœur, je m’avance et me love dans ses bras. Posant mes mains sur son dos et lovant ma tête au creux de son cou côté gauche et pleur doucement en la serrant contre moi.
Moi – merci … D’être toujours là, je … Je ne veux pas te perdre Giulia, tu est tout se que j’ai de plus cher en ce monde.
Giulia – tu ne me perdra jamais mon amour, parce ce que … L’amour que je ressent à ton égard est bien plus fort que ses stupide critiques.
Elle ma soulevée le menton, et me regarde. J’allonge mes bras sur ses épaules, et m’approche d’elle, une larme roule sur sa joue, et sa voix que j’aime tant resonne :
Giulia – tu vaut bien plus que sa, je ne pourrais jamais t’abandonner Zane je t’aime beaucoup trop pour sa.
Ma chérie … Je lui sourit doucement, emmène ma main gauche à sa joue, et lui essui cette dernière avant de poser mes lèvres sur les siennes. Mon dos se colle contre le plan de travaille, et je vint lui caresser sa nuque alors que ses bras caresse mon dos. Sa tête se penche légèrement sur la gauche, et je laisse ma langue allait câliner la sienne, la serrant aussi fort que je le pouvait contre moi.
Je refuse de la perdre, pour cette peste … Je m’y refuse, elle est la seule qui me comprenne et sais me fait sourire et apaiser mon chagrin comme la. Elle est tout … Se que j’ai de plus cher au monde.
Je continue de l’embrasser avec tout l’amour que je ressent pour elle, elle est la femme que j’ai toujours attendue. Et c’est ensemble que l’on surmontera tout. On se décollent doucement, et je lui caresse la joue, elle est tellement belle … Je lui embrasse le bout du nez, et vint la serrer dans mes bras.
Giulia – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi !
Moi – moi aussi, tu pourras toujours compter sur moi mon amour, je t’aime.
Giulia – je t’aime bien plus que sa encore !
Ses lèvres caressent mon cou, et ses bras resserent notre étreinte. Au bout de quelques minutes, je me trouver dans la cuisine avec ma mère, Giulia était parti se doucher.
Mère de Zane – tu sais … Tu m’as beaucoup impressionner hier.
Moi – ah bon !
Mère de Zane – oui, toi qui a un trac monstre quand tu montes sur scène, tu m’as impressionner, et puis … C’est tellement beau se que tu as fait et dit.
Moi – c’était sincère maman, je … Je ne montre peut être pas mes sentiments mais je l’aime profondément, et ne souhaite que son bonheur.
Mère de Zane – j’espère que vous serait heureuse ensemble !
Moi – nous sommes déjà très heureuse, tu n’as pas à t’inquiéter la dessus.
On se sourit, et quelques petite minutes après ma douce fit son apparition, elle est vraiment belle, elle porte une robe en jean noir se fermant avec des boutons, des colant noir prend place sur ses jambes, et ses cheveux son retenue par un mini chignon, laissant ses deux longues et fine mèches caresser ses épaules.
Moi – tu est magnifique !
Giulia – merci.
Elle me sourit et se dirige vers nous. Ma mère eu la même impression que moi, je recule avec ma chaise, et vint la prendre dans mes bras. J’entoure sa taille, et lui caresse le dos, alors que ses bras s’allongent sur mes épaules.
Mère de Zane – tu est vraiment très jolie comme sa Giulia !
Giulia – merci Lidie.
Je lui émbrasse sa joue et la câline tendrement. Soudain son téléphone se met à sonner, elle le prend et je remarque que c’est Annette, son dos se pose contre ma potrine, et elle vint répondre à l’apel.
Giulia – oui allo ?
Annette – bonjour ma chérie, comment vas tu ?
Giulia – bonjour maman, ça va très bien et toi ?
Annette – tout vas pour le mieux, dis moi Lidie serait là ?
Giulia – oui , elle est en face de moi.
Annette – pourrais tu me la passer ?
Giulia – oui. Lidie ma mère veux te parler !
Mère de Zane – ok.
Ma mère prend son téléphone, le porte à son oreille, et commence à parler. Je prend doucement sa main gauche, et lui caresse, posant ma tête sur son épaule droite. Je voie ma mère faire un énorme sourire, je me demande bien se que Annette a pue lui dire.
Giulia – au faite mon ange !
Moi – oui qui y a t’il ?
Giulia – Shishi m’a appellé, elle et Dolce veullent nous parler, et il faut qu’ont les rejoingne au parc, sa te dis ?
Moi – tant que je suis avec toi, sa me va.
Giulia – tes vraiment adorable !
Je lui sourit, et lui dépose un léger baiser. La serrant contre moi, et laissant mon cœur s’emporter.
Mère de Zane – bon eh bien, c’est parfait je lui dit, et toutes mes félicitations !
Et c’est avec le sourire que ma mère coupe leur communication rendant le portable à mon amour, que je prit soin de câliner.
Mère de Zane – alors Giulia j’ai deux grandes nouvelles à t’annoncer !
Giulia – ah … Et qu’es ce que c’est ?
Mère de Zane – alors la première Annette et Pierre s’en vont à New York ce soir !
Giulia – quoi ?? mais … Mais pourquoi ?
Mère de Zane - détend toi, ils s’en vont à New York pour la simple raison que Pierre à fait une seconde demande en mariage à ta mère, et ils on décidés de se re marier aux Etats Unis, et la seconde, tu vas être grande sœur !
Moi – mais c’est génial !!
c’est supère, je regarde ma douce qui était encore sous le choc, elle se met à sourire, et tout en mêlant ses doigts aux miens elle s’exclame :
Giulia – mais c’est génial !!! oh mon dieu, moi qui est toujours rêvé d’être grande sœur … Mais si ils partent à New York, je doute qu’ils veulent de leur fille se qui est logique, je vais aller où alors ?
Mère de Zane – ici !
Giulia – comment ça ici ?
Mère de Zane – Annette ma demander si on pouvais te garder pendant quelques mois, et j’ai dis oui !
Moi – et tu ne dérange pas, ici, tu est la bienvenue.
Giulia – comment tu sais que j’allais dire sa ?!
Moi – n’oublie pas que sa fait deux ans que nous somme ensemble et que plus les jours passe et mieux j’apprend à te connaître ma chérie.
Giula – toi alors …
Elle me sourit et dépose ses lèvres sur mon nez. Je sourit, ferme les yeux et me laisse envahir par le bien être et le plaisir. Après sa, je suis aller m’habiller … J’enfile un slime noir, un débardeur noir surmonter d’un tee-shirt blanc avec des strasse formant une tête de mort, une ceinture grise avec le sigle de Dloce & Cabana.
Je me dirige vers la salle de bain qui est incorporé dans ma chambre, et me rend jusqu’au lavabo, ou je prit une brosse et commence à me coiffer. Pendant de longues minutes je me regarde, j’aimerais tant que tout ses dire cesse, parce ce que même si je suis de caractère un peux garçon manqué, je suis très sensible, et cela faisait longtemps que je n’avais plus pleuré comme ce matin.
J’esquive un sourire, continue de me coiffer, et pense à ma douce, j’ai vraiment beaucoup de chance de l’avoir à mes côtés, elle est celle qui réchauffe et enflamme mon cœur, je l’aime d’un amour sincère et véritable et n’espéré qu’une chose, celle de la garder à jamais auprès de moi et mon cœur.
Je pose la brosse, prend mon laïner, et commence à tracer une fine ligne noir au dessus de mes paupières. Je rebouche le stylo, le pose et retourne dans ma chambre, afin de me chausser. Je prend des bote noir à talon pas très haut, et les enfile, pour après mettre des petites mitaine à mes mains, me parfume légèrement, et une fois prête, prend mon téléphone, sort de ma chambre, et descend les escaliers.
Arrivé en bas, je remarque que ma mère avait Giulia dans ses bras, et cela eu pour effet de me faire sourire. Je me cale à côté du mur et écoute. Elle lui soulève le menton et s’exclame :
Mère de Zane – je ne sais pas se que tu as fait pour que ma fille soit dans cet état, mais je t’en remercie du fond du cœur Giulia, tu sais, Zane n’a pas souvent le sourire du à tout se qui se passe, et je suis sûr qu’elle avait une bonne raison de nous cacher votre relation, tu sais elle ma beaucoup impressionné hier, elle qui a un trac fou dès qu’elle monte sur scène, à croire que l’amour a réussi à la changer ! Tout se que j’espère c’est que tu la rendra heureuse tout au long de sa vie que tu puisse la faire sourire, rire … Car elle a beau avoir un caractère de dur, elle reste une jeune femme très sensible et sentimentale. Je te confit ma fille Giulia, prend en grand soin.
Giulia – tu sais Lidie … J’aime Zane profondément, pour moi, elle est tout ce que j’ai de plus cher au monde, elle est … Ma moitié, mon rayon de soleil, ma femme mais elle est avant tout ma plus belle histoire d’amour, j’en suis éperdument amoureuse, et je suis vraiment la plus heureuse, car Zane est tout se qu’un homme ou une femme puisse rêver d’avoir, elle est douce, adorable aimante, câline fofolle, mais c’est pour toute ses chose qui font d’elle la femme que j’aime et désir plus que quiconque sur cette terre, alors aussi longtemps que je serait sur cette terre, je ferais tout pour la rendre heureuse, parce ce que pour moi elle est la plus belle des mélodies !
Mon cœur se met à cogner fortement contre ma poitrine, mes yeux se ferment et un sourire heureux naquis mes lèvres, Giulia … Mon amour, si tu savait à quel point tes mots me font du bien, je ne regrette pas notre union, et suis fière d’avoir une petite amie telle que toi.
Je me dirige vers elle, et une fois à sa hauteur, je vint l’enlacer posant mes mains sur son ventre et ma tête sur son épaule droite et posa mes lèvres sur sa joue, fermant mes yeux, la berçant tendrement contre moi.
Moi – je t’aime !
Giulia – moi aussi ma chérie.
Ses mains se mêlent aux miennes, et ses doigts me caressent. Je me sent exésivement bien comme sa avec la femme dont je suis follement amoureuse.
Mère de Zane – tu voies Giulia, je ne sais pas se que tu lui a fait mais je suis heureuse de la voir ainsi !
Moi – ce qu’elle ma fait … Elle me rend éperdument heureuse, et ma permise de faire confiance en l’amour, elle est … La femme parfaite à mes yeux, et pour rien au monde … Je ne veux la perdre pour de stupide sourires de satisfactions, elle est … L’amour de ma vie, ma Giulia !
Elle me sourit, et m’embrasse la joue. Oh ma Giulia que je t’aime, mais dieu que je t’aime. Ma mère a le sourire aux lèvres, et je lui dit en posant ma tête sur son épaule :
Moi – dit toi que … Ta fille est vraiment la plus heureuse et que jamais elle ne perdra ce sourire.
Mère de Zane – Zane …
Moi – et sa … Grâce à elle !
Giulia – mon amour je …
Moi – chuut …
Et sans la laisser finir je dépose mes lèvres sur les siennes, lui offrant mon cœur, je suis vraiment heureuse, et espère de tout mon cœur l’être encore pendant longtemps.
Quelques minutes après, Giulia et moi étions parti direction le parc, main dans la main, un panier à la main puisque nous allions finalement pique niquer au parc avec les filles, et chacune de nous n’avaient pas oublier le cadeau pour Shishi et Dolce.
Arrivé à l’entrée du parc, je m’arrête en voyant qu’elle était la. Je ne voulais pas la voir, sinon sa allait mal se terminer, et je n’avait aucune envie de gâcher ma journée avec Giulia.
Giulia – ça va mon cœur ?
Moi – oui, bon eh bien retiens moi si je dois commettre un meurtre.
Elle tourne sa tête, et cette dernière se défigure envoyant cette peste. Je serre sa main, et commence à m’avancer. Je fut stopper, et au moment de me tourner ma jolie blonde me dépose un baiser. Je sourit, et lui rendit avec tendresse. Nos lèvres se claquent et se caressent, jusqu’à se qu’elles se séparent, et je vint lui offrir un doux sourire.
Giulia – ne t’inquiète pas, moi je suis là !
Moi – je le sais oui, et c’est bien sa qui me rend heureuse.
On se sourit, et on poursuit notre chemin vers les filles. Arrivé prêt d’elles, Shishi nous sauta au cou, et Dolce nous fit la bise.
Dolce – vous êtes vraiment très belle les filles.
Giulia/Moi – merci !!
on leur sourit, et je parti m’asseoir prêt d’un arbre, et Giulia vint se lover dans mes bras. J’entoure sa taille et pose mes mains sur son ventre, alors que ses doigts se mêlent au miens, sa tête se pose sur mon épaule droite, et alors que son dos se colle contre moi je pose ma tête sur son épaules gauche.
Shiwa – alors qu’es ce que vous nous avez fait de bon à manger ?
Giulia – espèce de petit goinffre, tu pense déjà à manger.
Dolce – en même temps …
Moi – c’est Shishi.
Shiwa – eh … C’est pas drôle !!
je me suis mise à rire doucement, et lui est posé un doux baiser sur sa joue, la serrant contre moi. Elle est vraiment belle habillé ainsi, ce n’est pas souvent que nous pouvons la voir en robe.
Shiwa – eh mais, c’est que Giulia c’est mise en robe !
Dolce – oh oui, c’est rare de te voir comme sa.
Emilie – un sac poubelle lui aurait mieux convenue !
Moi – eh … Baisse d’un ton, et je ne te permet pas de l’insulter.
Emilie – oh la pauvre, c’est qu’elle a besoin de se faire protéger !
Je vais lui en coller une, je le sent fort. Giulia se défait de notre étreinte, et sous mes yeux intérogateur je la suit. Elle se baisse se mettant face à Emilie et dit d’un ton très calme :
Giulia – c’est bon, tu as fini ? Car j’en est tout à ton honneur !
Emilie – non ce n’est pas fini, si tu savait à quel point je te haie, tu n’est bonne cas apporter le malheur … Non franchement Zane mérite beaucoup mieux que sa.
Giulia – Emilie ?
Emilie – quoi ?
Giulia – et si tu fermer ta bouche pour une fois ? Qu’en dit tu ?
C’est incroyable comment elle peut rester calme avec ce que cette peste lui dit, se qui m’énerve encore plus, on les suit du regard, et toute deux se lève, toujours face à face.
Emilie – et tu croix que je vais t’écouter ? Sans rire, arrête avec tes bonne manières !
Giulia – je peux savoir pourquoi tu me déteste ? Car à preuve du contraire je ne t’ai jamais insulter ou quoi que se soit d’autre.
Emilie – ce que tu m’as fais ? Tu oses me le demander ? Je vais donc être gentille et te raffraîchir la mémoire … Depuis que tes arrivé dans ce bahu, tu tes accaparé tout le monde, tu as même réussi à te mettre dans la poche la fille que j’aime le plus au monde, et sa … En faisant rien, juste à sourire, tu me dégoûte Giulia, comment oses tu être avec elle, elle mérite beaucoup mieux que sa, quand on la voie, on voie bien que c’est une femme qui veux plus qu’un simple baiser ou câli …
Elle venait de tomber sur le sol, sa main sur sa joue, Giulia venais de la giffler, et je suis vraiment fière.
Giulia – comment oses tu parlait d’elle de cette manière, tu ne la connais même pas, c’est toi qui me dégoûte, tu est puéril ma pauvre Emilie, Zane est loin d’être un objet de désir pour autrui, c’est avant ou une jeune femme avec ses sentiments, son amour propre, ses défauts et ses qualités, toi tu ne l’aime juste parce qu’elle est belle et qu’elle a de jolie forme, alors que moi, moi je l’aime pour ce qu’elle est, je la prend tel qu’elle est avec ses défauts et ses qualités, tu dis la connaître mieux que moi, mais en vérité tout se que tu cherche à faire c’est lui faire du mal, as tu pensé une seule fois à ce qu’elle pouvais ressentir, tu sais pourquoi je te déteste tant ? Tu as osé la faire pleurer, la faire souffrir, elle la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle qui est tout se que j’ai de plus cher au monde, tu croix sincèrement que je suis avec elle uniquement pour sa ? Mais si c’était le cas je serait déjà parti, bordel Emilie c’est de Zane que l’ont parle, elle a toujours était là pour toi, et toi comment tu la remercie en la salissant, et en la faisant pleurer ? Mais sache une chose, tu auras beau monter tout le monde contre moi, dit toi bien que je ne la laisserais jamais partir, je ne suis pas stupide au point de croire à des rumeurs car je la connais suffisament pour savoir de quoi elle est capable, alors qu’elle, tout se qu’elle demande, c’est que qu’importe les moments les situations c’est que l’ont puisse l’accepter tel qu’elle est sans lui porter de préjuger, alors si je te voie ne serrait-ce une seule fois toucher un seul de ses cheveux Emilie, tu auras faire à moi, je peux supporter beaucoup de choses, que l’ont m’insulte, me tire les cheveux, mais que l’ont touche à ma femme, c’est une chose que j’insupporte, ta compris !
Emilie – bon j’ai plus rien à faire ici j’me barre.
Giulia – c’est sa, dégage, et ne reviens plus !
Et elle est parti rouge de honte. Je regarde Giulia qui est toujours dos à moi, et je ne pue m’empêcher de sourire, se qu’elle a dit à mon propos me touche beaucoup, je l’aime … Sans qu’elle ne s’en rende compte, elle viens de me prouver qu’elle est celle que j’ai toujours attendue, et que je ne regrette pas de lui avoir confier mon cœur.
Shiwa – alors la … Chapeau, tu as tout mon respect Giulia, tu as réussi à lui cloué le bec une bonne fois pour toute, et surtout … Tu as sauvé l’honneur de notre meilleure amie !
Dolce – et pour nous c’est une très belle preuve d’amitié !
Moi – tu viens de m’offrir la plus belle preuve d’amour Giulia, merci.
Elle c’est tournée vers moi, ses yeux brillées, je sourit, et lui tend mes bras, pour qu’elle vienne s’y lover. J’entour son dos, et de ma main gauche, je vint mêler mes doigts dans sa chevelure.
Moi – merci beaucoup pour ce que tu as fait, tu m’as prouver à part b que tu est celle que j’attendais, merci mon amour !
Giuilia – si je les fait, c’est parce que je t’aime éperdument, et que pour moi tu est la femme de ma vie jolie brune !
Moi – Giulia …
Je lui caresse la joue, et lui offrit mes lèvres pour un long et doux baiser. Je ne sais vraiment plus ou me donner de la tête, c’est une très belle preuve d’amour qu’elle viens de me faire … Et j’en suis vraiment heureuse. Ah ma Giulia.
Shiwa – oh … Que c’est mignon, elles vont vraiment bien ensemble !
Dolce – maintenant que l’ont sais qu’elles sont ensemble, c’est très dure de les voir l’une sans l’autre.
Je sourit, et doucement notre baiser prit fin et laisser place à un câlin. Je lui caresse son ventre, alors que ses mains caressent les miennes.
Giulia – bon alors, à vous deux maintenant, c’est quoi cette chose importante que vous vouliez nous dire !
Dolce – on vous dit merci, car c’est grâce à vous !
Moi – comment sa ?
Shiwa – nous sommes ensemble !
Giulia - quoi ? C’est vrai ? Mais enfin c’est supère !!!
Moi – toute mes félicitations les filles, mais pourquoi c’est grâce à nous ?
Dolce – hier quand tu as fait ta déclaration et ta demande, sa ma ouvert les yeux, quand je vous ai vue vous embrassez devant tout le monde j’ai sourit et je me suis dit, qu’enfin de compte l’amour entre femmes était possible, et je me suis lancé et je lui est dit se que je ressent.
Shiwa – merci les filles !
Moi – bin, ravie de vous avoir aidé.
Giulia – tu as vue, on fait de l’excellent travail.
Je me met à rire en l’entendant dire sa, et mon rire fut suivit bien vite. Shiwa c’est rapproché de nous et nous a passé deux paquets cadeaux que l’ont prit. Ont leur donne nos cadeaux, et chacune commencent à ouvrir son paquet. Pour ma par j’eu droit à quelques bijoux tel qu’un bracelet noir avec des pic, ou bien un collier noir avec des diamant dessus.
Ma douce reçu une chemise de nuit bleu avec un chat avec un bonnet sur la tête, et en haut il y avait son prénom.
Giulia – j’adore, merci beaucoup les filles, et joyeux noël !
Shiwa – merci à vous, et très bon noël.
Dolce – merci !
Moi – de rien.
On se sourit, et les filles mettent se que nous leur avons offert qui était des boucles pour Shiwa et un colier avec une plume pour Dolce. Après et pour le plus grand bonheur de Shiwa nous avons commencé à manger. Des sandwishs au jambon des ships, et une canette de coca pour chacune.
Shiwa – oh c’est très jolie, c’est Giulia qui te l’a offert ?
Moi – oui !
Dolce – c’est supère mignon, et une question les filles, maintenant que vous l’êtes officiellement, vous compté le faire où votre mariage ?
Je sourit, et la serre contre moi, je porte ma canette à la bouche et boie une gorgé de mon coca.
Giulia – peut importe l’endroit ou même l’heure, le plus important c’est que nos cœurs soient uni !
Je sourit, lui embrasse la joue, et la serre d’avantage dans mes bras.
Moi – hm … Et peut importe le lieu, du moment que nous sommes ensemble, c’est le principale !
Giulia – oui, uni à tout jamais !
Moi – pour la vie.
Lui murmurais-je à l’oreille, allant embrasser sa tampe. Ses yeux croisent les miens, et je lui sourit caresse sa joue, et lui offre un clin d’oeil.
Dolce – dis Giulia pourquoi ta autant le sourire ?
Shiwa – c’est vrai sa !
Moi – ah oui, c’est vrai qu’il lui est arrivé de bonne chose ce matin !
Dolce – ah, tu est allé chez elle ?
Giulia – j’y ai dormi.
Shiwa – wath the fuck, allait qu’es ce qui t’arrive ?
Giulia – ah non mais je vous jure celle-ci … En faite, mes parents compte se re marier, ils partent à New York ce soir, et je vais être grande sœur.
Dolce – mais c’est supère sa, mais du coup tu vas dormir où ?
Giulia – avec ma femme.
Shiwa – pourquoi je suis pas étonné ?
Je sourit, et ferme les yeux quelques minutes posant ma tête contre le tronc, laissant le vent caresser ma chevelure, et pense à tout se qui c’est produit durant ses deux ans.
Dolce – oh, Zane tu dors ?
C’est vrai qu’en y repensant, je n’aurais jamais crue avoir assez de courage de lui avouer ce que je ressent … Je n’arrive pas à croire que l’amour, son amour est pue me changer à ce point, savoir qu’elle est ma femme, me rend forte et fière, j’ai envie de soulever des montagnes, de tout faire pour rester avec elle, car il est vrai qu’avec tout se qui se passe il me suffit que je pense à elle et à notre couple pour que mon cœur s’appaise.
Shiwa – ou ou, Zane … C’est plus l’heure de dormir.
Je sent une main sur ma joue, sûrement la sienne. Je la prend délicatement, et colle ma joue gauche contre. Mes lèvres lui embrassent le creux de sa main, et ses doigts me caressent la joue. Son souffle chaud caresse ma peau, et sa voix que j’aime temps résonne au creux de mon oreille.
Giulia – je t’aime ma chérie !
Ses lèvres se collent à ma joue droite, et m’embrassent. Je sourit, et me laisse envahire par ce bonheur. Je tourne doucement ma tête, et alors que ses yeux s’ouvrent, ma bouche caresse la sienne. On se regardent longuement et je lui sourit pour finir par l’embrasser. Sa main caresse ma joue, et la mienne se mêle dans sa chevelure chocolat, elle se rapproche de moi, et aprofondit notre baiser qui se fit plus doux et amoureux.
Nos lèvres se claquent se caressent, et nos yeux s’ouvrent pour ainsi se dévisager.
Moi – moi aussi mon amour.
On se sourit, et avec tendresse, je vint lui faire un câlin qu’elle me rend avec bonheur. Shiwa et Dolce nous regardent avec un sourire accroché aux lèvres.
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Chapitre 1 - Révélation et demande
Point de vue narrateur.
Le soir … Le voilà tombé sur la capitale italienne, par ce soir d’hiver, un soir décembre, nous nous retrouvons devant un lycée qui à cet heure si tardive fut encore ouvert. Ce soir cet établisement était en fête, il y avait le bal de noël, et pour cette occasion tout le monde y avait était convier parents et professeurs.
Non loin du gymnase là ou se déroule la fête, cacher derrière un mur à l’abrit des regards, deux jeunes femmes s’échangent leur amour avec bonheur. Zane une jeune brune aux cheveux mi-long se trouve contre le mur tenant sa petite amie par la taille, et cette dernière qui répond au nom de Giulia qui a une chevelure chocolat et de jolie yeux azur, a ses bras allongés sur les épaules de la jeune brune.
Ses deux jeunes demoiselles partagent leur vies depuis deux ans maintenant. Leurs cœur se sont uni un soir de printemps, lors de l’anniversaire de Giulia qui ce jour là avait reçu le plus beau des cadeaux.
Cette dernière, s’approche de sa douce et approfondit leur baiser, bougeant légèrement sa tête pour ainsi mieux savourer ce moment de tendresse. Zane elle ne cesser de la serrer contre elle, mêlant sa langue à la sienne pour ainsi rendre ce baiser encore doux et brûlent.
En manque d’air, elles se détachent, et leurs yeux se noient l’un dans l’autre. Giulia caresse son front avec le sien, et lui sourit tendrement. La jolie brune emmène sa main à sa joue et lui éffleur doucement, jouant avec son nez. Le vent souffle et fait virevolter leur cheveux, leurs robes qui son toutes les deux noire se plisse avec le vent.
Elles n’avaient pas besoin de parler, chacune d’elles se comprend par un simple regard. Giulia pose sa main gauche sur celle de sa femme et emmêle ses doigts avec les siens. Laissant son cœur se marié au sien.
Giulia – je t’aime ma chérie.
Zane – moi aussi, et plus que tout !
Giulia – Zane …
Zane – chuut …
La jeune brune descend sa main et pose son doigt sur les lèvres de son amour qu’elle caresse doucement, Giulia lui sourit, et vint lover sa tête au creux de son cou côté gauche, et descend ses mains à son dos, lui offrant de douce caresses. Zane se met à sourire, elle commence un geste doux et régulier sur le dos de sa bien aimée, et monte sa main droite à sa chevelure caramel, ou elle prit soin de lui masser tendrement lui déposant un baiser sur sa tempe.
Zane – dis moi … Qu’aimerais tu que l’ont face durant les vacances ?
Giulia – tu sais … L’endroit m’importe peut tant que je suis avec toi.
La jolie brune se met à sourire, et berce tendrement son ange contre elle, son cœur ne cesse de s’emporter, et son ventre la démange, comme si des millions, de papillons caresser son bas-ventre.
Giulia – Ah … Si tu savait à quel point je suis heureuse avec toi, deux ans de bonheur et d’amour.
Zane – oui moi aussi, et j’espère de tout mon cœur que sa durera, car avec toi … Je suis la plus heureuse et comblée des femmes.
Giulia – c’est la plus belle chose que tu m’est dit Zane, je l’espère aussi … Même si il y a quelques tension avec notre groupe, je souhaite rester à tes côtés mon amour.
Zane – et si … On leur disaient ?
Giulia – si tu te sent prête alors je te suis jolie brune !
Zane – hm toi alors … Quand arrêteras tu de me rendre ainsi !
Giulia – comment ça « ainsi » vous m’intriguer mademoiselle Kazama !
Zane élargie son sourire, son bonheur était au summum auprès de la femme qu’elle aime et désir plus que quiconque. Elle lui caresse la joue, et s’approche de son visage.
Zane – de me rendre si amoureuse voyons mademoiselle Celest.
Giulia – dans ce cas, jamais !
Elles s’échangent un tendre sourire, et vinrent de nouveau unir leur cœur dans un long et doux baiser. Giulia colle son corps contre celui de sa douce, et pose ses mains sur ses joues qu’elle caresse. Zane qui ne savait plus ou se donner de la tête, tant son bonheur l’ennivre ressere leur étreinte, et lui caresse son dos, allant sauvagement attaquer sa langue.
Personne n’était là pour briser leur moment de bonheur ou chacune se sentaient de plus en plus ennivrer par leurs émotions les plus profonde, leur désir prit leur cœurs en otage, et leur langues s’enflamment à chaque coup. Un baiser amoureux et langoureux à la fois, une étreinte douce et protectrice, des caresses agréable, et quelques petits son se mariant avec l’atmosphère envoûtante et chaude à la fois.
Point de vue Zane.
Quel bonheur, je n’arrive pas à me défaire de ce sentiment qui me brûle le cœur, elle est si douce, Giulia … Ma tendre Giulia je t’aime tellement fort, deux ans à ses côtés, un véritable bonheur, bien que certaine jalousie me meurtri le cœur je l’aime profondément et en aucun cas je la laisserais filais dans les bras d’une autre. En ce soir de vingt quatre décembre j’avais l’intention de lui demander sa main, et pour sa, avec l’aide de Clément qui est mon frère j’allais passer sur scène et ainsi lui dévoiler une seconde fois mon cœur.
On se détachent doucement, et je lui caresse la joue allant écarter quelques mèches de ses yeux, je lui fait un petit clin d’oeil, et lui embrasse le front.
Moi – aller viens, j’aimerais pouvoir danser un slow avec toi mon amour !
Giulia – avec plaisir ma jolie brune … Je t’aime.
Moi – je t’aime bien plus encore !
Nos lèvres se claquent tendrement entres elles, et c’est le cœur léger et amoureux que nous nous dirigions vers l’entrée du gymnase. Et comme nous allions enfin dévoiler notre relation, je ne compte pas lui lâcher la main que je caresse doucement. Arrivé devant les deux grandes portes, ont s’arrêtent et nos yeux se caressent pendant de longues minutes.
Moi – tu est prête ?
Giulia – avec toi, je serait prête à tout.
Je lui sourit, lui tapote le nez, et enfin entra à l’intérieur. On commencent à s’avancer, et certains nous regardent, mais je m’en fiche, car je suis se que je suis et je ne changerais pas pour voir des sourires de satisfactions. Nos parents étaient aussi là assit sur des bancs à discuter entre eux.
Une fois avoir repérer Shiwa Dolce et Emilie, on se dirige vers le groupe, et Shiwa se jeta sur nous.
Shiwa – enfin … Mais où es ce que vous étiez passé toutes les deux !
Giulia – ah ah, ta curiosité ne te quittera jamais !
Dolce – tu devrais le savoir depuis le temps … Oh mais vous … Vous êtes ensemble ?
Moi – oui !
Giulia – nous sommes ensemble.
Shiwa – j’ai bien entendu, zizou et guigui sont ensemble mais c’est supère !!
Moi/Giulia – arrête de nous appeler comme sa !!!
Dolce – toutes mes félicitation les filles, vous mérité amplement ce bonheur, soyez heureuse ensemble !
Giulia – mais … Nous sommes déjà …
Moi – très heureuse ensemble.
Emilie – et depuis combien de temps ?
Je voie qu’elle est heureuse sa fait plaisir, pff c’est dépriment, toujours à nous parler sur ce ton, le pire c’est que ce n’est cas nous qu’elle fait sa. J’ignore donc sa question, mais il semblerais que ma douce n’est pas aimé ce ton puisqu’elle se met à répliquer :
Giulia – euh … La gentillesse tu connais ?
Emilie – toi je ne t’ai pas parler, Zane mais … Mais comment fais tu ?
Shiwa – eh Emilie tu calme ta jalousie ok, elles ont le droit d’être ensemble !
Moi – et en aucune façon ma vie privé ne te regarde.
Ses bras enroulent mon dos, et sa tête se love dans mon cou. Je sourit, et vint l’enlacer moi aussi contre moi, lui caressant doucement sa nuque de mes pouces. Je lui pose un délicat baiser sur sa tempe, et la berce tendrement.
Dolce – oh … Vous êtes trop mignonne, mais depuis combien de temps ?
Giulia – depuis deux ans maintenant !
Shiwa – deux …
Dolce – ans, mais pourquoi ne pas l’avoir dit ?
Moi – nous voulions juste le garder pour nous, et puis avec ce qui c’est passé il y a deux mois !
Shiwa – c’est sur ! Mais en tout cas félicitation.
Dolce – on vous soutien les filles.
Giulia – merci.
Je lui relève le visage, et lui caresse sa joue, lui offrant un doux sourire, et d’un petit clin d’oeil. Sa main se pose sur la mienne, et ses doigts me caressent.
Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi, … Ma douce et jolie Giulia, tu est le centre de mon univers.
Elle me sourit, et ses lèvres s’unir aux miennes. Je lui caresse la joue, et répond délicatement à sa douceur. Ses mains se mettent sur mon dos, et ses doigts me caressent alors que j’allonge mon bras gauche sur ses épaules et l’autre continue de jouer sur sa paumette, nos lèvres se claquent et se goûtent. Mon cœur bat si fort, je l’aime c’est fou à quel point je peut l’aimer.
Point de vue narrateur.
Alors que les deux jeunes filles continue de s’échanger leur amour, Shiwa et Dolce se mirent à sourire et ne purent s’empêcher de les prendre en photo. Plus loin quatre adultes observé la scène avec un sourire aux lèvres.
? - elles se l’ont enfin dit ! S’exclame une jeune femme blonde
? - je suis heureuse pour elles. Rétorque une seconde jeune femme à la chevelure brune
Les deux hommes qui n’étaient autre que les pères de Giulia et Zane, ne cessaient de regarder leurs filles s’embrasser, chacun surpris de voir une tel union entre les deux jeunes filles, mais quelques part dans leurs cœur il en étaient heureux.
Après ce doux baiser, Zane lui sourit, continuant tendrement son geste sur la joue de sa jolie brune qui lui offrait son plus beau sourire. La jeune brune lui embrasse le nez, et se tourne vers les filles qui à dire vrai, avaient le sourire jusqu’au joues.
Zane – Shiwa, je pourrais te demander quelques chose ?
Shiwa – oui biern sûr, qui y ’a t’il ?
Zane – serait t’il possible que tu film ?
Shiwa – euh oui … Mais filmer quoi ?
Dolce – qu’es ce que tu as en tête Zane ?
Zane – vous verraient bien.
La jeune fille se tourne vers son ange, qui la regarde avec un regard surpris elle aussi, mais cela n’a pas d’importance, elle lui caresse le dos, et lui sourit amoureusement. Zane lui fait un petit clin d’oeil, et la serre dans ses bras. Puis un garçon au cheveux brun et au costume noir et blanc se dirige vers le groupe.
Clément – Zane, c’est bon tu peux y aller !
Zane – ok j’y vais !
Giulia – mais … Tu vas où ?
Zane – ne t’inquiète pas ma belle, je reviens vite !
Elle lui dépose un léger baiser, et vint se séparer de sa petite amie qui se posé bien des questions. Devant tout l’assembler, Zane saisit le micro, Shiwa avait allumé sa caméra, et commence à filmer, se demandant bien se que sa meilleure amie avait en tête.
Clément – Giulia, si j’étais toi, je la regarderais, c’est pour toi qu’elle fait sa !
Giulia – comment ça ?
Clément – regarde la, et écoute attentivement ce qu’elle va te dire.
Giulia de plus en plus surprise regarde sa bien aimée qui la dévisage avec tendresse, lui envoyant un tendre baiser avec ses lèvres. Geste que la jolie brune aprécia, et lui rendit par un clin d’oeil.
Zane – bonsoir à tous, j’aimerais avoir quelques minutes d’attention s’il vous plais, j’aimerais faire une déclaration pour une personne qui m’est cher.
Tous se tue, et Giulia sourit, son cœur ne put s’empêcher de battre, Clément entoure les épaules de la jeune fille, et sourit à sa sœur aînée qui lui rend son sourire.
Zane – voilà maintenant huit ans que je les rencontré, huit longue années à épprouver de fort sentiments à son égard. Pour mon plus grand bonheur, nous avons uni nos cœurs, et voilà deux ans que je vis un véritable bonheur à ses côtés. Elle est tout se qu’un homme puisse rêver d’avoir, elle est … Le centre de mon univers, mon rayon de soleil et la femme de ma vie, mais elle est avant tout … Ma plus belle histoire d’amour, alors en ce soir de vingt quatre décembre, j’aimerais lui demander quelque chose qui me tiens à cœur … Giulia !
Cette dernière avait les yeux qui pétillés, elle était prête à pleurer, Shiwa et Clément la pousse doucement, et c’est le cœur prêt à frôler la crise cardiaque qu’elle se dirige vers l’estrade là ou sa douce l’attendait. Les parents des deux jeunes filles, émue par la déclaration de Zane, se demandé bien se que la jeune brune allait demander à Giulia qui était au bord des larmes.
Cette dernière une fois prêt de la jeune brune, la regarde, alors que Zane s’avance et lui caresse la joue pour finir par prendre sa main.
Zane – Giulia mon amour sa fait deux ans que j’ai uni mon cœur au tiens, et je ne le regrette pas, je t’aime d’un amour sincère et véritable, et peut importe se qui arrivera, je serait toujours là pour toi … Alors j’aimerais te demander quelque chose d’important !
Clément se dirige vers la scène et tend à sa sœur un petit écrin bleu nuit en velours, Giulia ne savait pas se qui allait se passer, son cœur bat tellement vite. La jeune brune, se tourne vers sa femme, et s’exclame en posant un genou à terre, et en prenant la main de sa douce qui allait finir par pleurer pour de bon.
Zane – ma chérie, je suis profondément amoureuse de toi, et je n’aurais jamais crue être aussi heureuse, alors moi Zane Kazama te demande avec sincérité … Giulia Celest veux tu devenir ma femme ?
Le cœur prêt à bondir hors de sa poitrine, Zane ouvre l’écrin révélant une bague en argent avec un petit diamant. Giulia avait fini par verser ses larmes de bonheur, sa main plaqué sur sa bouche, elle était vraiment heureuse, elle ne s’y attendait pas du tout, et c’est plus heureuse que jamais qu’elle s’exclame :
Giulia – oui … Oui je le veux !
Zane sourit, heureuse laisse échapper une petite larme et se lève pour ainsi glisser l’anneau à l’annulaire gauche de son amour.
Zane – je t’aime, c’est avec toi que je veux construire mon futur.
Giulia – oh Zane, si … Si tu savait à quel point je suis heureuse, mon amour, ma femme !
La jolie brune sourit de plus belle, et devant tout l’assembler qui ne disait plus rien elles s’embrassèrent amoureusement. Des larmes de joie dévalent les joues des deux jeunes filles qui était à présent au delà du bonheur. Dolce et Shiwa étaient ému et n’avaient pue retenir leurs larmes de joie.
Un clapotement se fait entendre, puis un second un troisième, jusqu’à que ses clapotements se transforment en applaudissement. Zane et Giulia continuent de s’embrasser avec tendresse, heureuse de voir que leur histoire devenait sincère et véritable.
Doucement elles se détachent, et leurs yeux qui sont embué de larmes se caressent, Zane porte sa main à sa joue et lui caresse, elle était vraiment heureuse d’avoir eu le courage de faire sa demande alors qu’elle a une trouille monstre dès qu’elle monte sur scène. Giulia quant a elle, n’arrivait pas à croire à se qui venait de se passer, elle était vraiment heureuse. Elle s’approche de sa fiancée, et lui caresse la joue, repoussant quelques mèches de ses yeux, ne retenant pas une petite larme.
Giulia – tu viens … De combler mon bonheur, je suis tellement heureuse, Zane … Je t’aime, et je ne veux plus être loin de toi … La mia donna.
Zane se met à sourire, elle lui embrasse sa main, et lui murmure :
Zane – je t’aime aussi très fort ma belle, et en aucun cas, tu sera séparé de moi et mon cœur.
Elles se sourirent, et heureuse, elles descende de l’estrade main dans la main plus uni et amoureuse que jamais. Shiwa et Dolce se dirigent avec rapidité vers les deux jeune filles. Et hurlèrent de joie.
Dolce – mais c’est génial, oh les filles, je suis si heureuse, toutes mes félicitations et bravo à toi Zane c’était magnifique !
Shiwa – vraiment, je ne sais pas quoi dire, je suis si heureuse, tout mes voeux de bonheur à vous deux, et que votre histoire dure éternellement.
Zane – je ne compte pas la laisser filer !
Giulia – et je ne suis pas prête à quitter ses bras.
Point de vue Giulia.
Ce soir, elle ma comblé de bonheur, j’étais vraiment heureuse … Heureuse que nos cœurs se soit définitivement enlacés. Je lui embrasse le cou, et caresse ce derner de mon pouce, le cœur prêt à frôler la crise cardiaque.
Puis un slow commença, et Zane c’est tourné vers moi et me demande :
Zane – m’accorderais tu cette danse ?
Moi – avec plaisir mon amour.
On se sourit, et alla se mélanger à la foule qui à dire vrai nous observé, mais je n’ai que faire, je l’aime éperdument, et je ne suis pas prête à la laisser partir pour de simple sourires. J’allonge mes bras sur ses épaules, colle mon corps contre le sien et la dévisage avec amour. Ses bras s’aventurent à mon dos, elle me serre contre elle, et on commencent à danser, suivant le rythm de la musique.
Moi – tu m’as offert, le plus beau des cadeaux Zane, je suis si heureuse, nous allons pouvoir construire un futur ensemble, rien que, toi et moi, ti amo ti amo ti amo.
Elle me sourit, et me serre dans ses bras, et doucement elle se mit à chanter les parole de la chanson qui était de Nevio uns de mes chanteurs favoris, et le titre de cette chanson était Giulia comme moi.
Zane -
cammineró senza di te
hai confini dell ricordo
e troveró la strada che
ho perduto in un momento
ameró la solitudine
empiroglio chi mi nuvole
e cominceró riprendermi
il futuro che non c’é
Refrain:
giulia giulia
io non so dove sei ma ti sento arrivare
giulia giulia
sei una favola che non doveva finire
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
oh giulia
nasconderó dentro di me
la paura di cadere
ritroveró la libertá
la mia voglia di volare
e dispetero fra gli alberi
tutti i miei pensieri fragili
che mi inseguono non sanno
dove andare senza te
Refrain:
giulia giulia
tu ritorni da me con il vento d’estate
giulia giulia
sei la mia meno di con parole sbagliante
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
anche senza di te io vivró respirando á ti
e ti sento ancora li
chiudi gli occhi e rivedo nel vento gli imagini
che non voglia andare via
solo un attimo d’amore dentro me ooh
Refrain:
giulia giulia(giulia giulia)
aahh giulia (giulia giulia)
sei l’azzurro dell cielo quando é primavera
giulia giulia
sei una voce che arriva improvisa leggera
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sara la mia musica
ohh giulia
une larme roule sur sa joue, je lui sourit, et vint lui retirer la petite larme par un baiser. Je colle mon front contre le sien, et lui murmure tendrement :
Moi – tu ne te rend pas compte à quel point tu viens de me rendre heureuse, ne pleur pas, tu est merveilleuse ma chérie, et j’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir.
Zane – je t’aime, si tu savais à quel point je peux t’aimer Giulia !
Moi – moi aussi je t’aime Zane, je t’aime énormément, tu est à ce jour la mia più bella storia del amor !
Elle me sourit, et vint m’embrasser resserant notre étreinte, je l’aime c’est fou comme je l’aime. Je ferme mes yeux et répond tendrement à son baiser. C’est ainsi que notre soirée s’achève, par une dernière embrassade avant de rentrer chez nous. Sa a était la plus belle soirée de ma vie et … Je ne suis pas prête à l’oublier.
Point de vue narrateur.
Quelques heures plus tard, le bal venais de prendre fin, et tous le monde commencent à gagner la sortie du lycée pour ainsi rentrer chez soie. Dans une rue italienne, ou le vent souffler et les réverbères enlumine la rue Zane et Giulia main dans la main marche vers la deumeur des Celest.
Juste derrière les jeunes filles se trouve leurs parents qui les regardent n’en revenant toujours pas de la révélation que leur filles leur avaient offert. Giulia pose sa tête sur l’épaule droite de sa douce qui se met à caresser sa main, lui offrant un doux baiser.
Arrivé devant chez Giulia, cette dernière toujours enlacé dans les bras de Zane se tourne, et les adultes comment à parler.
Mère de Giulia – bon et bien, merci pour la soirée !
Père de Zane – ce fut un plaisir.
Mère de Zane – dites, vue que les vacances sont commencé, Giulia sa te dit de dormir à la maison ?
Giulia – oui pourquoi pas.
Mère de Zane – tu en pense quoi Zane !
Père de Zane – tu te doute bien que cela ne va pas la déranger.
La jeune brune sourit, elle relève doucement le menton de sa douce et lui caresse la joue, lui offrant un tendre sourire.
Zane – je serait même heureuse de passer ma soirée avec elle !
Giulia – moi aussi.
Elles s’échangent un sourire, et s’embrassent amoureusement. Les quatre adultes se mettent à sourire, en voyant leurs enfants si uni. Après ce doux baiser, la jolie blonde se serre contre sa bien aimée qui se met à caresser sa chevelure.
Père de Giulia – je n’aurais jamais cru les voir si proche !
Giulia pose sa main sur la joue de Zane et la caresse, cette dernière ne pue s’empêcher de sourire, elle ne pouvais croire à tout sa … Un véritable compte de fée, son bonheur était enfin au complet.
Zane – je t’aime.
Giulia – moi aussi mon amour !
Elles se sourirent, se posent un délicat baiser, et la jolie blonde vint se séparer de sa bien aimée, pour regagner sa maison afin d’aller préparer son sac. Avec le sourire, la jeune fille sous les yeux doux de ses parents monte à toute vitesse les escaliers, et regagne sa chambre. Sa mère se poste au coin de la porte, les bras croiser sur sa poitrine, et elle regarde sa fille, qui venais de se mettre à siffloter de bonheur.
Giulia – oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor.
La jeune blonde fini de mettre ses affaires de toilette dans son sac, n’oubliant pas de prendre le cadeau pour son amour. La mère de famille, était vraiment heureuse de voir sa fille si épanouie.
Giulia se tourne, et sursaute en voyant sa mère qui souriait depuis tout à l’heure. La jeune fille commence à sortir de sa cha mbre, et sa mère ferme la porte.
Mère de Giulia – si tu savais à quel je suis heureuse de te voir comme sa.
Giulia – je suis vraiment amoureuse maman !
Mère de Giulia – je le voie bien.
Mère et fille s’échangent un sourire, et finissent par descendre ainsi rejoindre les autres qui se trouvaient toujours dehors. Giulia embrasse ses parents, et se dirige vers l’amour de sa vie qui l’accueillit avec un doux câlin.
Mère de Giulia – Zane ?
Zane – oui ?
Mère de Giulia – je ne sais pas se que tu as fait à ma fille, mais je t’en remercie.
Zane se met à rire, un rire délicieux aux oreilles de Giulia qui vint l’embrasser sur la joue, et fini par lui prendre la main. Elles s’échangent un doux regard, Zane lui fait un clin d’oeil et lui tapotte le nez, et c’est heureuse qu’elles partir direction la demeurre des Kazama.
Zane – cas tu dis pour que Annette me dise sa ?
Giulia – sa t’intéresse ?
Zane – tout se qui te touche m’intéresse.
Giulia se met à sourire, elle cale sa tête au creux de son cou, et lui dépose un léger baiser. Zane se met à sourire, elle ressere leur étreinte, et elles continuent de marcher toutes les deux plus heureuse que jamais. Quelques minutes après, les deux jeunes fille arrivent devant la maison des Kazama, et Lidie la mère de Zane se dirige vers le petit péron pour ainsi ouvrir la porte. Tous rentrent, et les filles embrassent les deux adultes et montent en suivant dans la chambre de la jolie brune.
Celle-ci ferme la porte, et se dirige vers Giulia qu’elle enlace par la taille posant ses mains sur son ventre, et lui dépose un baiser dans son cou.
Zane – alors, tu vas me dire se que tu as dit ?
Giulia – mais qu’elle curieuse on dirait Shiwa.
Zane se met à rire … La jolie blonde cale son dos contre la poitrine de sa douce et murmure tendrement en prenant ses mains dans les siennes.
Giulia - oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor … Voila se que j’ai dit.
La jolie brune se met à sourire, elle dépose ses lèvres sur la joue de sa bien aimée, et ferme ses yeux, savourant les paroles que Giulia avait prononcé à son égard. Son cœur bat tellement vite, elle lui caresse son ventre, et fait durer le plaisir, pressant sa bouche un peut plus sur la joue de sa femme qui sourit, et se laisse envahir par le bonheur.
Giulia – je t’aime Zane !
Cette dernière ne répond pas, mais sourit et prolonge son baiser le rendant plus doux et long. Elle se sentait si bien là comme sa, son cœur ne cesse de la rappeller à l’ordre, mais la jeune Kazama refuse de coopérer tant le bonheur est grand.
Zane * je t’aime bien plus que sa encore mon amour *
pense t’elle, en la berçant tendrement contre elle. Elle se décolle doucement et la serre plus fort contre elle.
Zane – joyeux noël ma chérie !
Giulia – joyeux noël à toi aussi mon amour.
La jolie blonde prend son sac et en sort le cadeau de sa bien aimée, et lui offrrit avec le sourire.
Giulia – quand je l’ai vue j’ai pensé à toi.
Zane sourit et saisit le petit sac. Elle apercut une feuille plié en deux, et un petit écrin, elle saisit le petit écrin, et l’ouvre devant les yeux amoureux de sa fiancée. Son cœur se met à cogner, et son regard s’adouci en voyant le contenue de l’écrin. A l’intérieur de cette dernière se trouve une gourmette en argent, et sur la petite plaque métalique il y avait écrit « Ti amo » Giulia saisit le bijou, le détache, et le passe autour du poignet gauche de sa bien aimée, qui finit par l’enlacer lui caressant le dos.
Zane – merci mon ange, elle est magnifique.
Giulia – de rien, et joyeux noël !
Zane – à toi aussi Giulia, j’espère de tout mon cœur que notre histoire ira loin, il n’y a qu’avec toi que je veux construir mon futur, et sa au creux de tes bras.
Giulia – le sentiment est partager, moi aussi je l’espère de tout mon cœur, rester au creux de tes bras encore longtemps !
Leur regard se croisent et se caressent, Zane allonge ses bras sur ses épaules, et toutes deux ferment leurs yeux pour ainsi unir leur cœur. Un doux baiser commence alors entres les deux jeunes filles qui se rapprochent de plus en plus, Giulia enroule ses bras au dos de Zane et caresse se dernier, penchant légèrement sa tête sur la droite, mêlant sa langue à la sienne. Zane plaque ses main à sa nuque et la caresse, montant sa main gauche à sa cheveulure, lui retire son élastique et mêle ses doigts dans ses cheveux lui massant agréablement. Leur corps ne cesse de se rapprocher, ils se pressent et se caressent.
Chacune intensifi leur baiser en se serrant l’une contre l’autre. Tout était parfait maintenant, elles étaiennt heureuse et éperdument amoureuse l’une de l’autre et ne cesser de se le montrer par des geste d’affections.
Leur lèvres se claquent et se goûttent, et leurs regards se dévisagent se parlent longuement et amoureusement.
Zane – oh Giulia …
Elle emmène sa main à sa joue et lui caresse. Toutes deux s’échangent un sourire, et finissent par s’enlacer tendrement. Giulia pose sa tête sur l’épaule gauche de sa bien aimée et lui caresse le dos, lui offrant un délicat baiser. Zane ne bouge pas, juste à sourire et répondre à son étreinte.
Giulia – dis mon amour …
Zane – oui ?
Giulia – et si … Pendant les vacances on allaient à Venise ? Rien que toutes les deux en tête à tête.
La jolie brune sourit, elle lui soulève son menton, et lui murmure en la dévisageant avec tendresse.
Zane – avec toi, j’irais n’importe où !
Giulia – je t’aime.
Zane – je t’aime aussi ma jolie brune !
Elles se sourirent, Zane lui fait un clin d’oeil, et dépose sees lèvres sur les siennes pour un doux baiser. Non décidement tout leur souriait elles étaient heureuse et combler de bonheur ensemble.
Quelques petites minutes après Giulia était parti prendre sa douche, alors que Zane qui c’était déjà raffraîchit se trouve assise sur son lit, muni d’un short blanc et d’un débardeur noir, ses cheveux mouillés lui touchant la poitrine lisait le petit mot que sa jolie blonde lui avait laisser.
Zane * ma chérie, il est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je suis la plus heureuse des femmes, tu me comble de bonheur et ne cesse jamais de me faire sourire, tu est l’amour de ma vie … Ma jolie brune, toi qui enflamme et réchauffe mon cœur, tu a sue atiser la flamme, et je suis vraiment éperdument amoureuse de toi, tu est la femme de ma vie mon amour, mon ange, mon cœur, mon rayon de soleil, tu est la cerise sur mon gâteau, la crème de mon cappushino, et je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, et peut être un jour fonder notre famille toutes les deux, je t’aime et te serait à jamais fidèle, Ti amo la mia donna. *
les yeux de la jeune brune se mettent à pétiller, elle caresse le bout de papier et regarde la petite gourmette à son poignet. Sa main droite se pose sur un pendantif en argent que Giulia lui avait offert pour leur toute première Saint Valentin, sur ce petit cœur il y avait le mot ’ Je t’aime ’ et Zane serre le bijou dans sa main, ne retenant pas une petite larme de bonheur.
Elle était si heureuse d’avoir une tel place dans la vie de la seule femme qu’elle aime et désir ardement. Sa main monte à sa bouche et ses doigts caressent ses lèvres, ses yeux se ferment et elle se remémore toute son histoire avec la jolie blonde, elle repense à tout ses moment de joie d’amour et de bonheur, même si quelques fois elles se sont prit la tête, se n’étais rien de méchant puisqu’à chaque fois leur amour grandissait et devenait plus fort.
Elle prend son téléphone, met ses écouteurs et se met une chanson qu’elle aimé tout particulièrement une de Nevio ’ Amore Per Sempre ’ sa tête se pose sur le mur et serrant le bout de papier elle se laisse envahir par la musique.
Zane * Giulia je suis vraiment heureuse avec toi, tu fait tout mon bonheur. *
« It’s only three words
amore per sempre
’cause living this life is all I can do
It’s only three words
amore per sempre
and you always get what’s coming to you
It’s only three words
amore per sempre! »
fredonne doucement Zane en souriant, laissant son cœur s’épanouir. Quelques larmes roulent sur ses joues, c’est la première fois qu’elle était dans cet état, le bonheur avait prit son cœur en otage, et même si elle est de caractère un peu garçon manqué, elle n’en reste pas moins une jeune femme avec ses rêves, ses désirs, et ses sentiments, elle se révèle être une jeune femme sensible et très sentimentale.
Zane – T.I A.M.O.
Elle sourit de nouveau et se laisse bercer par la mélodie. Quelques second après Giulia sort de la salle de bain fraichement lavé, elle porte un petit short noir et un débardeur blanc. Elle se met à sourire en voyant sa bien aimée ainsi, elle s’approche et remarque qu’une larme roule la joue de Zane, inquiète, la jolie blonde s’approche d’elle et s’exclame :
Giulia – ma chérie ça va ?
Zane – viens.
Sans se faire prier, Giulia alla se lover dans les bras de son amour, et entour son dos, et pose sa tête sur son épaule gauche. Zane allonge ses bras sur ses épaules et ses doigts partent caresser sa nuque, lovant sa tête dans son cou, lui offrant un tendre baiser.
Zane – moi aussi … Je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, laisser le temps se faire et qui sait peut être à fonder notre famille, ma Giulia je t’aime plus que tout, et ferais tout pour te garder auprès de moi mon amour.
La jeune blonde se met à sourire, elle se serre contre sa femme, et lui embrasse le cou. Se laissant bercer par le câlin de la jolie brune qui commencer peut à peut à s’endormir. Giulia lui caresse sa chevelure et la câline, elle vint la regarder et un tendre sourire apparu sur ses lèvres en voyant sa douce dormir. La soirée avait était riche en émotion pour les deux, et chacune avaient besoin de repos pour être en forme et pouvoir commencer leur vacances.
Giulia se lève, et alla fermer la lumière, elle se dirige vers le lit, grimpe dessus, et vint retirer les écouteurs des oreilles de Zane qui c’était profondément endormie. La jolie blonde, retire la couverture et couvre sa fiancée, ramenant la couette sur elles, pose sa tête sur son épaule et lui murmure avant de s’endormir à son tour.
Giulia – bonne nuit mon amour.
Elle lui embrasse le cou, et ferme ses yeux, le sourire aux lèvres, elle pose sa main sur le bras droit de la jeune brune, et fini par s’endormir heureuse de sa soirée qui avait était l’une des plus belle.
Chapitre 2 – Tout pour elle.
Point de vue narrateur.
Au alentours de neuf heure, la jolie blonde se réveille, et emet un long baillement. Elle se tourne, et remarque que sa bien aimée n’était pas la, donc elle se redresse et s’étire longuement avant de quitter ses draps et d’enfiler une robe de chambre bleu, qu’elle ferme avec une longue liane. Elle s’attache les cheveux en une queue de cheval, et prend son téléphone qu’elle prit soin d’allumer.
Quand ce dernier s’allume, Giulia remarque qu’elle a reçu des messages, et elle fut surprise du nombre, en effet elle avait reçu quarante messages en une nuit. Elle appui sur message et lorsqu’elle vis qui lui avait envoyé tout ses messages elle referme son téléphone et sort de la chambre pour se rendre dans la cuisine. Le destinataire de ses messages était Emilie, et connaissant cette dernière la jolie blonde ne prend pas le risque de répondre car à tout les coup se sont insultes.
Point de vue Zane.
Alors que je porte mon bol à ma bouche, deux bras s’enroulent autour de mon cou, et des mains se mirent à caresser ma peau. Je me tourne et sourit en voyant que c’était ma douce qui venais de se lever et qui à mon avis n’est pas tout à fait réveillé. Je porte mes lèvres à sa joue et lui embrasse avec douceur prenant doucement sa main dans la mienne.
Moi – bonjour belle au bois dormant, bien dormit ?!
Giulia – oui, très bien.
Elle me sourit et m’embrasse, je sourit et la serre contre moi. Doucement, notre étreinte se desserre, et elle parti se faire son déjeuner. Son portable se met à sonner, et je l’entend râler.
Giulia – pff … Elle peut pas me laisser tranquille.
Moi – c’est qui ?
Giulia – à ton avis ? C’est EmilIe, j’ai reçu quarante sms d’elle pendant la nuit.
Moi – elle deviens lourde avec sa.
Giulia – oui et elle commence sérieusement à m’énerver.
Vraiment, elle commence a être chiante, je n’arrive pas à la supporter, et j’ai horreur de l’opignon qu’elle porte sur les gens, qui est tout bonnement grotesque.
Giulia – va falloir faire quelques chose sa peut pas continuer comme sa !
Moi – oui lui mettre les points sur les i serait une bonne idée, car moi même je ne la supporte pas.
Giulia – on est deux !
Elle se tourne, et me sourit, je lui fait un petit clin d’oeil, et elle vint prendre place à ma droite. Alors qu’elle verse du chocolat dans sa tasse, je lui écarte une mèche de ses yeux, et lui offre un baiser.
Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi ma belle !
On se sourirent, s’embrassent avec douceur, et c’est avec le sourire que je reprend mon déjeuner. Son portable se met de nouveau à sonner, et cela eu pour effet de m’irriter.
Giulia – bon, tu peux voir se qu’elle veux !
Moi – dack.
Je prend doucement le téléphone, et lorsque ce dernier s’allume un doux sourire apparue sur mes lèvres en voyant son fond d’écran de vérouillage qui était une photo de moi avec les cheveux attacher, et juste en bas il y avait un cœur avec les deux première lettre de notre prénom et entre eux un petit plus prenait place, mon cœur se met à cogner fortement … Ah, ma Giulia, que je t’aime, je fait glisser mon pouce et plusieurs cercles apparue, je lui demande :
Moi – c’est quoi ton code mon ange ?
Giulia – la première lettre de ton prénom.
Je sourit, et reproduit le z avec mon pouce. Un autre battement fugace frappe ma poitrine en voyant son fond d’écran d’accueil qui était une photo de nous en train de nous embrasser et juste en bas il y avait écrit ’ la mia donna ti amo ’ je sourit, caresse doucement l’écran, et me dirige vers ses messages.
En effet, c’était bien Emilie qui lui avait envoyé tout ses messages, j’appui sur son prénom, et une fois que je fut sur la page, je remonte mon pouvce afin de tout lire.
Moi * comment as tu osé te l’accaparer ? Tu n’est qu’une salope Giulia, Zane ne te mérite pas, elle mérite quelqu’un de mieux comme moi *
non mais elle croix trop au père noël celle-là, faut vraiment qu’elle arrête son délire, je descend et les second messages eu pour effet de me faire mal au cœur.
Moi * elle a de très belle formes, une généreuse poitrine, de belles cuisses, elle est délicieuse, j’espère que tu ne goûtera jamais à son pêcher qui n’appartiens cas moi, elle est tellement belle, et franchement une femme comme elle ne veux pas passer son temps à faire juste des câlins et se contenter de simple baiser, non une femme comme elle désir beaucoup plus, que l’ont la prenne et la goûte tout doucement *
encore une … Qui me prend pour un objet sexuelle, mon cœur me fait mal, et je sent les larmes me monter aux yeux, ce sujet, j’y était très sensible, ayant subi de nombreuse moquerie là dessus et j’en reçoit encore aujourd’hui. C’est pour sa, que je me suis forgé ce caractère de garçon manqué car avec lui je peut surmonter cet obstacle car en dehors de sa, je suis très sensible, et je peux me mettre facilement à pleurer, seule Giulia connais ce côté là de moi.
Je ferme le téléphone, le pose sur la table et me lève, pour aller prendre un morceau de sopalin et m’essuie les yeux, j’ai horreur que les gens me voie ainsi et me prenne comme bon leur semble.
Giulia – ma chérie ça va ?
Je l’entend se lever, et ses bras entour ma taille, ses mains se posent sur mon ventre, et ses doigts me caressent. Je ne retiens plus mes larmes qui se mettent à rouler sur mes joues.
Moi – j’en est plus qu’assez que tout le monde me prenne ainsi, comme un objet sexuelle, j’en est marre de ceux qui ne pense cas sa, en me voyant, j’en est assez d’être une bête de foire à leur yeux, ils prétend que je suis une femme qui attend bien plus que sa, alors que … Que c’est faux, tout ce que je veux, c’est être aimé, et que l’on prenne soin de moi. Quand es que ce menssonge prendra fin !!!!!
je n’y arrive plus c’est vraiment trop dure, je tape violemment mon point contre le plan de travail et font littéralement en larmes. Je me sent tourné, et mes yeux qui sont rouge croisent ceux de ma douce, qui s’approche et pose ses mains sur mes joue, et repousse mes larmes.
Giulia – chuut … Ne te met pas dans cet état ma chérie, tu n’est pas une bête de foire ou un objet sexuelle, si les gens apprenait à mieux te connaître, ils remarquerons que tu est une femme extraordinaire, une femme qui possède un cœur en or, une femme magnifique avec ses défauts et ses qualités, tu vaut bien plus que sa. Quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi, pour t’épauler, te soutenir et t’aimer, t’aimer du plus profond de mon cœur, car pour moi Zane Kazama, tu est bien plus que sa, tu vaut bien plus que tout ses gens qui te critique, tu est ma femme, l’amour de ma vie … Et même si d’autre te dirons des chose malsaine, dit toi une chose mon cœur … C’est que q’importe la situation les gens qui t’aime vraiment serons ici dans ton cœur, Eric, Lidie, Shishi Dolce, Clément mes parents, et moi même seront toujours la pour toi, et nous t’aiderons du mieux que l’on peut car pour nous tu est importante, et pour moi, tu vaut tout l’or du monde !
Giulia … Je pose ma main sur la sienne, et ferme les yeux. Ses paroles danse dans ma tête et réchauffe mon cœur, je m’avance et me love dans ses bras. Posant mes mains sur son dos et lovant ma tête au creux de son cou côté gauche et pleur doucement en la serrant contre moi.
Moi – merci … D’être toujours là, je … Je ne veux pas te perdre Giulia, tu est tout se que j’ai de plus cher en ce monde.
Giulia – tu ne me perdra jamais mon amour, parce ce que … L’amour que je ressent à ton égard est bien plus fort que ses stupide critiques.
Elle ma soulevée le menton, et me regarde. J’allonge mes bras sur ses épaules, et m’approche d’elle, une larme roule sur sa joue, et sa voix que j’aime tant resonne :
Giulia – tu vaut bien plus que sa, je ne pourrais jamais t’abandonner Zane je t’aime beaucoup trop pour sa.
Ma chérie … Je lui sourit doucement, emmène ma main gauche à sa joue, et lui essui cette dernière avant de poser mes lèvres sur les siennes. Mon dos se colle contre le plan de travaille, et je vint lui caresser sa nuque alors que ses bras caresse mon dos. Sa tête se penche légèrement sur la gauche, et je laisse ma langue allait câliner la sienne, la serrant aussi fort que je le pouvait contre moi.
Je refuse de la perdre, pour cette peste … Je m’y refuse, elle est la seule qui me comprenne et sais me fait sourire et apaiser mon chagrin comme la. Elle est tout … Se que j’ai de plus cher au monde.
Je continue de l’embrasser avec tout l’amour que je ressent pour elle, elle est la femme que j’ai toujours attendue. Et c’est ensemble que l’on surmontera tout. On se décollent doucement, et je lui caresse la joue, elle est tellement belle … Je lui embrasse le bout du nez, et vint la serrer dans mes bras.
Giulia – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi !
Moi – moi aussi, tu pourras toujours compter sur moi mon amour, je t’aime.
Giulia – je t’aime bien plus que sa encore !
Ses lèvres caressent mon cou, et ses bras resserent notre étreinte. Au bout de quelques minutes, je me trouver dans la cuisine avec ma mère, Giulia était parti se doucher.
Mère de Zane – tu sais … Tu m’as beaucoup impressionner hier.
Moi – ah bon !
Mère de Zane – oui, toi qui a un trac monstre quand tu montes sur scène, tu m’as impressionner, et puis … C’est tellement beau se que tu as fait et dit.
Moi – c’était sincère maman, je … Je ne montre peut être pas mes sentiments mais je l’aime profondément, et ne souhaite que son bonheur.
Mère de Zane – j’espère que vous serait heureuse ensemble !
Moi – nous sommes déjà très heureuse, tu n’as pas à t’inquiéter la dessus.
On se sourit, et quelques petite minutes après ma douce fit son apparition, elle est vraiment belle, elle porte une robe en jean noir se fermant avec des boutons, des colant noir prend place sur ses jambes, et ses cheveux son retenue par un mini chignon, laissant ses deux longues et fine mèches caresser ses épaules.
Moi – tu est magnifique !
Giulia – merci.
Elle me sourit et se dirige vers nous. Ma mère eu la même impression que moi, je recule avec ma chaise, et vint la prendre dans mes bras. J’entoure sa taille, et lui caresse le dos, alors que ses bras s’allongent sur mes épaules.
Mère de Zane – tu est vraiment très jolie comme sa Giulia !
Giulia – merci Lidie.
Je lui émbrasse sa joue et la câline tendrement. Soudain son téléphone se met à sonner, elle le prend et je remarque que c’est Annette, son dos se pose contre ma potrine, et elle vint répondre à l’apel.
Giulia – oui allo ?
Annette – bonjour ma chérie, comment vas tu ?
Giulia – bonjour maman, ça va très bien et toi ?
Annette – tout vas pour le mieux, dis moi Lidie serait là ?
Giulia – oui , elle est en face de moi.
Annette – pourrais tu me la passer ?
Giulia – oui. Lidie ma mère veux te parler !
Mère de Zane – ok.
Ma mère prend son téléphone, le porte à son oreille, et commence à parler. Je prend doucement sa main gauche, et lui caresse, posant ma tête sur son épaule droite. Je voie ma mère faire un énorme sourire, je me demande bien se que Annette a pue lui dire.
Giulia – au faite mon ange !
Moi – oui qui y a t’il ?
Giulia – Shishi m’a appellé, elle et Dolce veullent nous parler, et il faut qu’ont les rejoingne au parc, sa te dis ?
Moi – tant que je suis avec toi, sa me va.
Giulia – tes vraiment adorable !
Je lui sourit, et lui dépose un léger baiser. La serrant contre moi, et laissant mon cœur s’emporter.
Mère de Zane – bon eh bien, c’est parfait je lui dit, et toutes mes félicitations !
Et c’est avec le sourire que ma mère coupe leur communication rendant le portable à mon amour, que je prit soin de câliner.
Mère de Zane – alors Giulia j’ai deux grandes nouvelles à t’annoncer !
Giulia – ah … Et qu’es ce que c’est ?
Mère de Zane – alors la première Annette et Pierre s’en vont à New York ce soir !
Giulia – quoi ?? mais … Mais pourquoi ?
Mère de Zane - détend toi, ils s’en vont à New York pour la simple raison que Pierre à fait une seconde demande en mariage à ta mère, et ils on décidés de se re marier aux Etats Unis, et la seconde, tu vas être grande sœur !
Moi – mais c’est génial !!
c’est supère, je regarde ma douce qui était encore sous le choc, elle se met à sourire, et tout en mêlant ses doigts aux miens elle s’exclame :
Giulia – mais c’est génial !!! oh mon dieu, moi qui est toujours rêvé d’être grande sœur … Mais si ils partent à New York, je doute qu’ils veulent de leur fille se qui est logique, je vais aller où alors ?
Mère de Zane – ici !
Giulia – comment ça ici ?
Mère de Zane – Annette ma demander si on pouvais te garder pendant quelques mois, et j’ai dis oui !
Moi – et tu ne dérange pas, ici, tu est la bienvenue.
Giulia – comment tu sais que j’allais dire sa ?!
Moi – n’oublie pas que sa fait deux ans que nous somme ensemble et que plus les jours passe et mieux j’apprend à te connaître ma chérie.
Giula – toi alors …
Elle me sourit et dépose ses lèvres sur mon nez. Je sourit, ferme les yeux et me laisse envahir par le bien être et le plaisir. Après sa, je suis aller m’habiller … J’enfile un slime noir, un débardeur noir surmonter d’un tee-shirt blanc avec des strasse formant une tête de mort, une ceinture grise avec le sigle de Dloce & Cabana.
Je me dirige vers la salle de bain qui est incorporé dans ma chambre, et me rend jusqu’au lavabo, ou je prit une brosse et commence à me coiffer. Pendant de longues minutes je me regarde, j’aimerais tant que tout ses dire cesse, parce ce que même si je suis de caractère un peux garçon manqué, je suis très sensible, et cela faisait longtemps que je n’avais plus pleuré comme ce matin.
J’esquive un sourire, continue de me coiffer, et pense à ma douce, j’ai vraiment beaucoup de chance de l’avoir à mes côtés, elle est celle qui réchauffe et enflamme mon cœur, je l’aime d’un amour sincère et véritable et n’espéré qu’une chose, celle de la garder à jamais auprès de moi et mon cœur.
Je pose la brosse, prend mon laïner, et commence à tracer une fine ligne noir au dessus de mes paupières. Je rebouche le stylo, le pose et retourne dans ma chambre, afin de me chausser. Je prend des bote noir à talon pas très haut, et les enfile, pour après mettre des petites mitaine à mes mains, me parfume légèrement, et une fois prête, prend mon téléphone, sort de ma chambre, et descend les escaliers.
Arrivé en bas, je remarque que ma mère avait Giulia dans ses bras, et cela eu pour effet de me faire sourire. Je me cale à côté du mur et écoute. Elle lui soulève le menton et s’exclame :
Mère de Zane – je ne sais pas se que tu as fait pour que ma fille soit dans cet état, mais je t’en remercie du fond du cœur Giulia, tu sais, Zane n’a pas souvent le sourire du à tout se qui se passe, et je suis sûr qu’elle avait une bonne raison de nous cacher votre relation, tu sais elle ma beaucoup impressionné hier, elle qui a un trac fou dès qu’elle monte sur scène, à croire que l’amour a réussi à la changer ! Tout se que j’espère c’est que tu la rendra heureuse tout au long de sa vie que tu puisse la faire sourire, rire … Car elle a beau avoir un caractère de dur, elle reste une jeune femme très sensible et sentimentale. Je te confit ma fille Giulia, prend en grand soin.
Giulia – tu sais Lidie … J’aime Zane profondément, pour moi, elle est tout ce que j’ai de plus cher au monde, elle est … Ma moitié, mon rayon de soleil, ma femme mais elle est avant tout ma plus belle histoire d’amour, j’en suis éperdument amoureuse, et je suis vraiment la plus heureuse, car Zane est tout se qu’un homme ou une femme puisse rêver d’avoir, elle est douce, adorable aimante, câline fofolle, mais c’est pour toute ses chose qui font d’elle la femme que j’aime et désir plus que quiconque sur cette terre, alors aussi longtemps que je serait sur cette terre, je ferais tout pour la rendre heureuse, parce ce que pour moi elle est la plus belle des mélodies !
Mon cœur se met à cogner fortement contre ma poitrine, mes yeux se ferment et un sourire heureux naquis mes lèvres, Giulia … Mon amour, si tu savait à quel point tes mots me font du bien, je ne regrette pas notre union, et suis fière d’avoir une petite amie telle que toi.
Je me dirige vers elle, et une fois à sa hauteur, je vint l’enlacer posant mes mains sur son ventre et ma tête sur son épaule droite et posa mes lèvres sur sa joue, fermant mes yeux, la berçant tendrement contre moi.
Moi – je t’aime !
Giulia – moi aussi ma chérie.
Ses mains se mêlent aux miennes, et ses doigts me caressent. Je me sent exésivement bien comme sa avec la femme dont je suis follement amoureuse.
Mère de Zane – tu voies Giulia, je ne sais pas se que tu lui a fait mais je suis heureuse de la voir ainsi !
Moi – ce qu’elle ma fait … Elle me rend éperdument heureuse, et ma permise de faire confiance en l’amour, elle est … La femme parfaite à mes yeux, et pour rien au monde … Je ne veux la perdre pour de stupide sourires de satisfactions, elle est … L’amour de ma vie, ma Giulia !
Elle me sourit, et m’embrasse la joue. Oh ma Giulia que je t’aime, mais dieu que je t’aime. Ma mère a le sourire aux lèvres, et je lui dit en posant ma tête sur son épaule :
Moi – dit toi que … Ta fille est vraiment la plus heureuse et que jamais elle ne perdra ce sourire.
Mère de Zane – Zane …
Moi – et sa … Grâce à elle !
Giulia – mon amour je …
Moi – chuut …
Et sans la laisser finir je dépose mes lèvres sur les siennes, lui offrant mon cœur, je suis vraiment heureuse, et espère de tout mon cœur l’être encore pendant longtemps.
Quelques minutes après, Giulia et moi étions parti direction le parc, main dans la main, un panier à la main puisque nous allions finalement pique niquer au parc avec les filles, et chacune de nous n’avaient pas oublier le cadeau pour Shishi et Dolce.
Arrivé à l’entrée du parc, je m’arrête en voyant qu’elle était la. Je ne voulais pas la voir, sinon sa allait mal se terminer, et je n’avait aucune envie de gâcher ma journée avec Giulia.
Giulia – ça va mon cœur ?
Moi – oui, bon eh bien retiens moi si je dois commettre un meurtre.
Elle tourne sa tête, et cette dernière se défigure envoyant cette peste. Je serre sa main, et commence à m’avancer. Je fut stopper, et au moment de me tourner ma jolie blonde me dépose un baiser. Je sourit, et lui rendit avec tendresse. Nos lèvres se claquent et se caressent, jusqu’à se qu’elles se séparent, et je vint lui offrir un doux sourire.
Giulia – ne t’inquiète pas, moi je suis là !
Moi – je le sais oui, et c’est bien sa qui me rend heureuse.
On se sourit, et on poursuit notre chemin vers les filles. Arrivé prêt d’elles, Shishi nous sauta au cou, et Dolce nous fit la bise.
Dolce – vous êtes vraiment très belle les filles.
Giulia/Moi – merci !!
on leur sourit, et je parti m’asseoir prêt d’un arbre, et Giulia vint se lover dans mes bras. J’entoure sa taille et pose mes mains sur son ventre, alors que ses doigts se mêlent au miens, sa tête se pose sur mon épaule droite, et alors que son dos se colle contre moi je pose ma tête sur son épaules gauche.
Shiwa – alors qu’es ce que vous nous avez fait de bon à manger ?
Giulia – espèce de petit goinffre, tu pense déjà à manger.
Dolce – en même temps …
Moi – c’est Shishi.
Shiwa – eh … C’est pas drôle !!
je me suis mise à rire doucement, et lui est posé un doux baiser sur sa joue, la serrant contre moi. Elle est vraiment belle habillé ainsi, ce n’est pas souvent que nous pouvons la voir en robe.
Shiwa – eh mais, c’est que Giulia c’est mise en robe !
Dolce – oh oui, c’est rare de te voir comme sa.
Emilie – un sac poubelle lui aurait mieux convenue !
Moi – eh … Baisse d’un ton, et je ne te permet pas de l’insulter.
Emilie – oh la pauvre, c’est qu’elle a besoin de se faire protéger !
Je vais lui en coller une, je le sent fort. Giulia se défait de notre étreinte, et sous mes yeux intérogateur je la suit. Elle se baisse se mettant face à Emilie et dit d’un ton très calme :
Giulia – c’est bon, tu as fini ? Car j’en est tout à ton honneur !
Emilie – non ce n’est pas fini, si tu savait à quel point je te haie, tu n’est bonne cas apporter le malheur … Non franchement Zane mérite beaucoup mieux que sa.
Giulia – Emilie ?
Emilie – quoi ?
Giulia – et si tu fermer ta bouche pour une fois ? Qu’en dit tu ?
C’est incroyable comment elle peut rester calme avec ce que cette peste lui dit, se qui m’énerve encore plus, on les suit du regard, et toute deux se lève, toujours face à face.
Emilie – et tu croix que je vais t’écouter ? Sans rire, arrête avec tes bonne manières !
Giulia – je peux savoir pourquoi tu me déteste ? Car à preuve du contraire je ne t’ai jamais insulter ou quoi que se soit d’autre.
Emilie – ce que tu m’as fais ? Tu oses me le demander ? Je vais donc être gentille et te raffraîchir la mémoire … Depuis que tes arrivé dans ce bahu, tu tes accaparé tout le monde, tu as même réussi à te mettre dans la poche la fille que j’aime le plus au monde, et sa … En faisant rien, juste à sourire, tu me dégoûte Giulia, comment oses tu être avec elle, elle mérite beaucoup mieux que sa, quand on la voie, on voie bien que c’est une femme qui veux plus qu’un simple baiser ou câli …
Elle venait de tomber sur le sol, sa main sur sa joue, Giulia venais de la giffler, et je suis vraiment fière.
Giulia – comment oses tu parlait d’elle de cette manière, tu ne la connais même pas, c’est toi qui me dégoûte, tu est puéril ma pauvre Emilie, Zane est loin d’être un objet de désir pour autrui, c’est avant ou une jeune femme avec ses sentiments, son amour propre, ses défauts et ses qualités, toi tu ne l’aime juste parce qu’elle est belle et qu’elle a de jolie forme, alors que moi, moi je l’aime pour ce qu’elle est, je la prend tel qu’elle est avec ses défauts et ses qualités, tu dis la connaître mieux que moi, mais en vérité tout se que tu cherche à faire c’est lui faire du mal, as tu pensé une seule fois à ce qu’elle pouvais ressentir, tu sais pourquoi je te déteste tant ? Tu as osé la faire pleurer, la faire souffrir, elle la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle qui est tout se que j’ai de plus cher au monde, tu croix sincèrement que je suis avec elle uniquement pour sa ? Mais si c’était le cas je serait déjà parti, bordel Emilie c’est de Zane que l’ont parle, elle a toujours était là pour toi, et toi comment tu la remercie en la salissant, et en la faisant pleurer ? Mais sache une chose, tu auras beau monter tout le monde contre moi, dit toi bien que je ne la laisserais jamais partir, je ne suis pas stupide au point de croire à des rumeurs car je la connais suffisament pour savoir de quoi elle est capable, alors qu’elle, tout se qu’elle demande, c’est que qu’importe les moments les situations c’est que l’ont puisse l’accepter tel qu’elle est sans lui porter de préjuger, alors si je te voie ne serrait-ce une seule fois toucher un seul de ses cheveux Emilie, tu auras faire à moi, je peux supporter beaucoup de choses, que l’ont m’insulte, me tire les cheveux, mais que l’ont touche à ma femme, c’est une chose que j’insupporte, ta compris !
Emilie – bon j’ai plus rien à faire ici j’me barre.
Giulia – c’est sa, dégage, et ne reviens plus !
Et elle est parti rouge de honte. Je regarde Giulia qui est toujours dos à moi, et je ne pue m’empêcher de sourire, se qu’elle a dit à mon propos me touche beaucoup, je l’aime … Sans qu’elle ne s’en rende compte, elle viens de me prouver qu’elle est celle que j’ai toujours attendue, et que je ne regrette pas de lui avoir confier mon cœur.
Shiwa – alors la … Chapeau, tu as tout mon respect Giulia, tu as réussi à lui cloué le bec une bonne fois pour toute, et surtout … Tu as sauvé l’honneur de notre meilleure amie !
Dolce – et pour nous c’est une très belle preuve d’amitié !
Moi – tu viens de m’offrir la plus belle preuve d’amour Giulia, merci.
Elle c’est tournée vers moi, ses yeux brillées, je sourit, et lui tend mes bras, pour qu’elle vienne s’y lover. J’entour son dos, et de ma main gauche, je vint mêler mes doigts dans sa chevelure.
Moi – merci beaucoup pour ce que tu as fait, tu m’as prouver à part b que tu est celle que j’attendais, merci mon amour !
Giuilia – si je les fait, c’est parce que je t’aime éperdument, et que pour moi tu est la femme de ma vie jolie brune !
Moi – Giulia …
Je lui caresse la joue, et lui offrit mes lèvres pour un long et doux baiser. Je ne sais vraiment plus ou me donner de la tête, c’est une très belle preuve d’amour qu’elle viens de me faire … Et j’en suis vraiment heureuse. Ah ma Giulia.
Shiwa – oh … Que c’est mignon, elles vont vraiment bien ensemble !
Dolce – maintenant que l’ont sais qu’elles sont ensemble, c’est très dure de les voir l’une sans l’autre.
Je sourit, et doucement notre baiser prit fin et laisser place à un câlin. Je lui caresse son ventre, alors que ses mains caressent les miennes.
Giulia – bon alors, à vous deux maintenant, c’est quoi cette chose importante que vous vouliez nous dire !
Dolce – on vous dit merci, car c’est grâce à vous !
Moi – comment sa ?
Shiwa – nous sommes ensemble !
Giulia - quoi ? C’est vrai ? Mais enfin c’est supère !!!
Moi – toute mes félicitations les filles, mais pourquoi c’est grâce à nous ?
Dolce – hier quand tu as fait ta déclaration et ta demande, sa ma ouvert les yeux, quand je vous ai vue vous embrassez devant tout le monde j’ai sourit et je me suis dit, qu’enfin de compte l’amour entre femmes était possible, et je me suis lancé et je lui est dit se que je ressent.
Shiwa – merci les filles !
Moi – bin, ravie de vous avoir aidé.
Giulia – tu as vue, on fait de l’excellent travail.
Je me met à rire en l’entendant dire sa, et mon rire fut suivit bien vite. Shiwa c’est rapproché de nous et nous a passé deux paquets cadeaux que l’ont prit. Ont leur donne nos cadeaux, et chacune commencent à ouvrir son paquet. Pour ma par j’eu droit à quelques bijoux tel qu’un bracelet noir avec des pic, ou bien un collier noir avec des diamant dessus.
Ma douce reçu une chemise de nuit bleu avec un chat avec un bonnet sur la tête, et en haut il y avait son prénom.
Giulia – j’adore, merci beaucoup les filles, et joyeux noël !
Shiwa – merci à vous, et très bon noël.
Dolce – merci !
Moi – de rien.
On se sourit, et les filles mettent se que nous leur avons offert qui était des boucles pour Shiwa et un colier avec une plume pour Dolce. Après et pour le plus grand bonheur de Shiwa nous avons commencé à manger. Des sandwishs au jambon des ships, et une canette de coca pour chacune.
Shiwa – oh c’est très jolie, c’est Giulia qui te l’a offert ?
Moi – oui !
Dolce – c’est supère mignon, et une question les filles, maintenant que vous l’êtes officiellement, vous compté le faire où votre mariage ?
Je sourit, et la serre contre moi, je porte ma canette à la bouche et boie une gorgé de mon coca.
Giulia – peut importe l’endroit ou même l’heure, le plus important c’est que nos cœurs soient uni !
Je sourit, lui embrasse la joue, et la serre d’avantage dans mes bras.
Moi – hm … Et peut importe le lieu, du moment que nous sommes ensemble, c’est le principale !
Giulia – oui, uni à tout jamais !
Moi – pour la vie.
Lui murmurais-je à l’oreille, allant embrasser sa tampe. Ses yeux croisent les miens, et je lui sourit caresse sa joue, et lui offre un clin d’oeil.
Dolce – dis Giulia pourquoi ta autant le sourire ?
Shiwa – c’est vrai sa !
Moi – ah oui, c’est vrai qu’il lui est arrivé de bonne chose ce matin !
Dolce – ah, tu est allé chez elle ?
Giulia – j’y ai dormi.
Shiwa – wath the fuck, allait qu’es ce qui t’arrive ?
Giulia – ah non mais je vous jure celle-ci … En faite, mes parents compte se re marier, ils partent à New York ce soir, et je vais être grande sœur.
Dolce – mais c’est supère sa, mais du coup tu vas dormir où ?
Giulia – avec ma femme.
Shiwa – pourquoi je suis pas étonné ?
Je sourit, et ferme les yeux quelques minutes posant ma tête contre le tronc, laissant le vent caresser ma chevelure, et pense à tout se qui c’est produit durant ses deux ans.
Dolce – oh, Zane tu dors ?
C’est vrai qu’en y repensant, je n’aurais jamais crue avoir assez de courage de lui avouer ce que je ressent … Je n’arrive pas à croire que l’amour, son amour est pue me changer à ce point, savoir qu’elle est ma femme, me rend forte et fière, j’ai envie de soulever des montagnes, de tout faire pour rester avec elle, car il est vrai qu’avec tout se qui se passe il me suffit que je pense à elle et à notre couple pour que mon cœur s’appaise.
Shiwa – ou ou, Zane … C’est plus l’heure de dormir.
Je sent une main sur ma joue, sûrement la sienne. Je la prend délicatement, et colle ma joue gauche contre. Mes lèvres lui embrassent le creux de sa main, et ses doigts me caressent la joue. Son souffle chaud caresse ma peau, et sa voix que j’aime temps résonne au creux de mon oreille.
Giulia – je t’aime ma chérie !
Ses lèvres se collent à ma joue droite, et m’embrassent. Je sourit, et me laisse envahire par ce bonheur. Je tourne doucement ma tête, et alors que ses yeux s’ouvrent, ma bouche caresse la sienne. On se regardent longuement et je lui sourit pour finir par l’embrasser. Sa main caresse ma joue, et la mienne se mêle dans sa chevelure chocolat, elle se rapproche de moi, et aprofondit notre baiser qui se fit plus doux et amoureux.
Nos lèvres se claquent se caressent, et nos yeux s’ouvrent pour ainsi se dévisager.
Moi – moi aussi mon amour.
On se sourit, et avec tendresse, je vint lui faire un câlin qu’elle me rend avec bonheur. Shiwa et Dolce nous regardent avec un sourire accroché aux lèvres.
[i:e
Sam 28 Déc 2013, 17:40 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
L'amour est-il plus fort que tout ?
Eh bien voila une seconde histoire d’amour entre Zane et Elena, j’espère que cela vous plaira ^^ bonne lecture :
Chapitre 1.
Point de vue Zane.
Si seulement, la vie pouvait être simple … Si elle pouvait être belle alors peut être que j’arriverais à lui donner une seconde chance. Une seconde chance à croire en l’amour … Ce sentiment si fort mais qui peut tout briser en une fraction de seconde. Encore cette nuit, j’ai fait nuit blanche, accoudé contre mon balcon à admirer les rayons du soleil qui se lève.
Je souffle, et entre dans ma chambre, pour aller me rafraîchir. Je passe à côté de mon lit et remarque un cadre avec à l’intérieur la photo de la femme que j’aime et désir plus que tout. Je passe mon doigt sur la vitre et laisse mon esprit vagabonder. Un autre soupir mais cette fois heureux s’échappe de ma bouche, si seulement j’avais assez de courage pour lui avouer ce que je ressent.
Elena … Toi cette si jolie brune qui a su recoller chaque morceau de mon cœur, toi qui a su trouver les bon mot pour m’apaiser et me faire sourire. Je souris et me dirige vers ma salle de bain. J’entre à l’intérieur de cette dernière, et ferme la porte. Je commence à me dénuder laissant mes vêtements tomber au sol, j’ouvre la porte de la cabine et tout en allumant l’eau, laisse mon corps se détendre sous le liquide chaud.
Je suis Zane Kazama j’ai dix neuf ans et suis d’origine italienne, née un vingt deux janvier en Italie, et je réside à Naples. Je suis de grande et fine taille, mes cheveux qui sont de couleur sable, un blond vénicien son court formant un dégrader sur le côté gauche. Mon regard est chocolaté et tiré quelques peut en arrière, ma peau clair possède des petites faussettes. Ma bouche rose et fine.
Mes yeux se ferment, et je repensent à tout se qui c’est passé depuis ma séparation avec Giulia du a une forte dispute. En y repensant, c’est vrai que je me suis nettement rapproché d’Elena, passant presque tout mon temps avec elle, mais aussi Dolce et Shiwa qui sont mes deux meilleures amies, je peux toujours compter sur elles en cas de besoin, et même si Giulia et moi sommes devenue de simple amies il est vrai que je me confie beaucoup plus à mes deux pimprenelles.
Une fois que l’eau m’a débarassé de tout liquide coloré, j’éteins, et m’enroule rapidement dans une serviette sentant le froid me gagner. Je fais coulisser la porte vers la gauche et sort de la cabine pour ainsi me sécher. Je me place devant le miroir, et m’observe de longues minutes en me séchant. Un mince sourire se dessine sur mes lèvres mouillées en repenssant à ce que je suis … A cet heure là si je n’aurais jamais eu le courage d’affronter cette personnalité je serait sûrement en train de pleurer sur mon triste sort.
Se que je suis aujourd’hui j’en suis fière, même si je cache des défauts, je me rattrape toujours à sa, cette personnalité qui fait de moi la femme forte que je suis devenue au file es années. Et maintenant que j’étais prête à laisser une seconde chance à la vie parce ce que j’avais réussi à oublier tout ce qui se rapporte à Giulia et moi, j’étais prête à avancer et dont à être de nouveau heureuse.
Je me dirige vers ma chambre, et mène mon corps jusqu’à mon armoire afin de m’habiller. Aujourd’hui est un jour spécial, pour deux raisons. Ce soir il y a le bal de l’automne un événement important pour nous lycéens qui n’avons ce mot à la bouche depuis plus d’un mois. Et il y a aussi un anniversaire, celui d’Elena qui allait sur ses dix neuf ans, et j’avais pour ambition de lui délivrer mon cœur de me mettre à nue devant elle. Je sourit rien que le fait d’y penser, après quelques minutes de réfléxion, je sort de l’armoir un jean noir, un chemisier de couleur blanc, et une veste en cuir noire.
Je commence donc à m’habiller tout en laisser mon esprit s’évader, j’ajuste le col de ma chemise, et surmonte cette dernière par ma veste en cuire que je prit soin de fermer. Après sa, je réchauffe mon cou par un keffier noir et roug en damiern et je reviens par la suite dans la salle de bain. Je me place en face de la vitrerie, et comme je laisse souvent mon maquillage traîner sur le bord de l’évier, je me munie d’un laïner noir et commence à me faire le tour des yeux.
C’est la seule chose que je met, cela suffit, quand je me maquille c’est pour des occasions spécial. Avec l’aide de mon peigne je remet en place le petit dégrader sur la gauche, me parfum légèrement avec une eau de toilette, et enfin sort de la salle d’eau. Je prend place sur mon lit, et commence à enfiller mes chaussette, pour après mettre une paire de baskette noire. Je me lève, prend mon sac de cour, mon téléphone, et sort de ma chambre.
Je descend les escaliers, et alla dans la cuisine pour me préparer un café et une tartine de confiture. Je vis seul dans un petit studio, que mes parents me paye tout les mois car je leur est ramener de bon bulletin et que j’avais fait comme demande celle de vivre seule pour ainsi gagner l’autonomie. Je commence à beurrer deux tartines, et saisi mon portable.
Tiens un message, je me demande qui cela peut être « lili » je sourit, lili et le surnom que je donne à Elena, et sa c’est dû à un petit jeu entre nous.
« purée il caille dehors, j’espère que ta prévue de mettre des gant et un bonnet mdr, tu me manques »
le sourire que j’aborde s’agrandit, je fut amusé et attendris à la fois. Je me dirige vers la cafetière et tout en me versant du café dans une tasse, je décide de lui répondre.
« ne t’inquiète pas pour moi va … Je ne suis pas frileuse. Tu me manques aussi <3 »
je relie le message, et sourit de nouveau. Et je lui envoya, je m’installe sur une chaise et commence à déjeuner tranquilement, tout en pensant à l’évènement de ce soir à l’anniversaire, et au courage que je vais devoir prendre pour lui avouer ce que je ressent.
Ce n’est pas tout les jours que je fait ce genre de chose, et il est vrai, que si nos sentiments sont réciproque j’aimerais pouvoir m’engager dans une relation sincère et durable cette fois. J’emmène la tasse à ma bouche, et commence à boire le liquide caféïner.
Quand j’eu terminé, je met la tasse dans le lave vaisselle, et commence à tout ranger pour ainsi partir direction le lycée. Mon téléphone vibre, je me tourne et le prend pour ainsi consulter l’appareil. C’est Elena qui viens de me répondre par un smiley et un cœur. Le mien se met à battre fugacement contre ma poitrine, si seulement nos sentiments pouvaient être réciproque, je l’espérer à chaque fois depuis que je me suis décider à lui dire.
Je prend mon sac, prend les clés de chez moi, et enfin partie tout en prenant soin de fermer à clés. Je descend quatre étages, et me dirige vers l’extérieur. Ouh … C’est vrai qu’il fait frais, je met mon keffier bien en place, et commence à marcher le long du trottoir.
Ah … Elena, si tu savait à quel point je t’aime, à quel point je te désir. Depuis notre rencontre il y a un an, c’est vrai que l’ont c’est beaucoup attacher l’une à l’autre, partageant nos rires, nos délires, et même nos chagrins. Et c’est quand je pense à tout ses petit détails qui me font sourire que je suis plus forte pour affronter la vie car je sais que j’ai mes amis et la femme que j’aime à mes côtés.
Après quelques minutes de marche, j’arrive enfin devant l’entrée du lycée, et pénètre à l’intérieur de ce dernier. Je voie Shiwa et Dolce me faire signe, alors que Giulia et Elena se tourne dans ma direction.
Shiwa – salut jolie blonde, ça rool ?
Moi – tout baigne, et vous ?
Je leur fait la bise à chacun, et arrivé prêt d’Elena qui me sourit avec douceur, je vint collé mes lèvres à sa joue.
Dolce – oh … C’est trop mignon.
Shiwa – ah les filles …
Giulia – c’est beau l’amour !
Je me décolle doucement, et plonge mon regard caramélisé dans ses prunelle noisette. Elle me sourit, et je lui rendit avec un petit clin d’oeil.
Moi – bon anniversaire la miss !
Elena – merci Zane.
Ont se sourient, et pendant quelques minutes nos yeux se caressent. J’aime me retrouver comme sa avec elle qu’il y est du monde ou pas, mon cœur bat si vite, je n’arrive pas à métriser les pulsions qu’il difuse dans mon corps. Sa main s’approche de mon visage, et ses doigts écartent quelques mèches de mes yeux.
Dolce – ah … Sa fait rêver.
Giulia – c’est bien vrai !
Nos lèvres s’étirent de nouveau, et ses lèvres se sont posées sur ma joue. Mes yeux se ferment, et je me laisse envahir par ce flot de tendresse qu’elle m’envoie. Ses mains se posent sur mes bras, et je sourit. Qu’es ce que je pouvais me sentir bien, là tout prêt d’elle.
Moi * si tu savais comme je t’aime. *
doucement je m’approche et laisse mes bras s’allonger sur ses épaules, alors que les siens viennent réchauffer mon dos. Ah, Elena je me sens si bien la avec toi. Ma douce et jolie brune, ses lèvres quittent ma joue, et ses yeux viennent effleurer les miens avec douceur.
Nos fronts se sont rapprochés, et se caressent, nous étions si prêt l’une de l’autre, et l’envie de l’embrasser me tenaille, je lui caresse la joue et lui offre un doux sourire.
Elena – Zane …
Moi – chuut …
Je lui caresse doucement ses lèvres de mon pouce, et vint lui déposer un léger baiser sur son nez.
Shiwa – je croix que je vais finir par exploser si vous continuer toutes les deux, c’est trop …
Dolce/Giulia – mignon !!!!
je me suis mise doucement à rire à l’entente de ses mots, je sent ses bras se serrer, et je me laisse emporter par cette étreinte qui m’est agréable. Malheuresement nous fûmes bien vite redescendut sur terre, à cause de la sonnerie que je maudit à cet instant.
Ont se détachent l’une de l’autre, et avant de partir en cour, je lui prend tendrement son menton et lui murmure :
Moi – on se retrouvent tout à l’heure !
Elena – compte sur moi.
Ont s’échangent un sourire, je lui embrasse la joue, et partie direction ma salle de cour avec Dolce Shiwa et Giulia.
Dolce – dis donc je ne te savait pas si entreprenante !
Shiwa – ah sa … Tu ma coupé le souffle.
Moi – ne dis pas n’importe quoi voyons !
Giulia – mais si, elle a raison.
Moi – oh non pas toi Giulia, ne t’y met pas non plus !
Dolce – mort de rire.
Je vous jures, elles sont pas possible. Ont montent plusieurs étages, et arriver au cinquième, je commence à longer le couloir tout en discutant avec les filles.
Dolce – dis moi Zane je peut te poser une question ?
Moi – oui vas y !
Dolce – ce que tu ressent pour Elena, c’est bien plus fort que de l’amitié pas vrai ?
Je sourit, et repense à ce moment que nous avions partagé elle et moi tout à l’heure, un moment qui a bien réchauffé mon cœur, et qui ma permise d’être heureuse durant quelques instant.
Moi – oui … Et pour être honnette, je compte lui faire ma déclaration ce soir !
Shiwa – c’est pas vrai ? Oh lala faut pas louper sa, Zane qui laisse libre court à ses sentiments, va falloir prévoir le matosse.
Moi – dis pas n’importe quoi Shishi !
Giulia – j’espère que tu y arrivera, et que cela te rende heureuse.
Moi – ne t’inquiète pas pour sa … Je compte bien la garder avec moi !
Je lui sourit, et lui tapotte le nez, même si nous ne sommes plus ensemble, cela ne m’empêche pas d’avoir un petit geste tendre à son égard, car il est vrai et sa je ne peux pas l’oublier que je les fortement aimé.
Dolce – en tout cas, je ne veux pas louper sa !
Shiwa – tu m’étonnes.
Moi – vous êtes bêtes vous deux alors !
Je sourit, et finit par rentrer dans la salle pour aller m’installer à ma table avec Giulia. Le professeur n’étant pas encore là, j’en profite pour regarder mon portable afin de vérifier ce je n’ai pas reçu de messages ou appels.
? - eu Giulia !
Giulia – oui ?
Après avoir répondu au deux messages d’Elena, je met mon téléphone dans ma poche et lève la tête pour aperçevoir Emilie, une jolie blonde aux yeux chocolat. Je suit attentivement la discussion, et pue voir du coin de l’oeil Giulia rougir.
Emilie – je euh … En faite, je me demander si tu … Tu voulais bien être ma cavalière pour ce soir !
Je sourit, et d’ailleurs Giulia aussi, elle se lève, et sous mes yeux attendris, elle pris le menton d’Emilie et lui murmure :
Giulia – avec plaisir Emi, j’en serait ravi.
Emilie – c’est vrai ? Enfin je veux dire …
Giulia – chuut …
Elle lui caresse la joue, et lui a déposer un baiser sur le front. Cela me fait sourire, le fait de savoir que même après notre séparation nous sommes arrivé à refaire notre vie, et sa sans avoir peur du jugement de l’autre. Emilie et repartie s’asseoir, et Giulia a repris place à mes côtés.
Giulia – ah … Emilie !
Moi – Tu as enfin trouvé ta perle rare ?
Giulia – oui, et il est vrai que je l’aime éperdument.
Moi – dans ce cas, je te souhaite bon courage !
Giulia – à toi aussi … Tu sais, c’est une bonne chose je trouve que l’ont est réussi à refaire notre vie avec la séparation !
Moi – je suis bien d’accord avec toi.
Ont se sourit, et enfin le cour pue commencer car le professeur était enfin arrivé. Pendant l’heure de cour, je ne fit que penser à Elena, à son message de tout à l’heure me disant que ce soir elle voulais passer la soirée avec moi. Rien que d’y penser me provoque des frissons de plaisir. Elena, si tu savait à quel point tu hante mon esprit.
Enfin, quand l’heure de la pause sonna, je pose mes lunettes, et suivit Giulia jusqu’à la sortie avec Dolce et Shiwa.
Shiwa – bon alors, et si ont allaient au foyer !
Dolce – ok.
Moi – sa marche !
Giulia – dack.
Ont s’échangent toutes quatre un sourire, et parti direction le foyer. Arrivé dans ce dernier, je remarque Elena qui est assise sur un des fauteuil, je me dirige vers elle suivit de prêt par les filles.
Elena – ah vous êtes là !
Dolce – tes une rapide dit donc sa viens juste de sonner.
Elena – non, je suis là depuis une heure !
Shiwa – comment ça ?
Elena – notre professeur est malade !
Moi – tu t’embête pas quoi ?
Elena – c’est sa.
Moi – toi alors !
Elle me fit un clin d’oeil, et je prit place à ses côtés juste à sa droite. Giulia prend place à mes côté et Shishi juste à la gauche de ma douce.
Dolce – aller, aujourd’hui c’est ma tournée, qui veux quoi ?
Moi – hm aller un coca !
Elena – un chocolat chaud.
Shishi – hm j’hésite entre un orangina et toi mon amour !
Dolce – Shishi !!
Giulia – ah ah ah …
Moi – que c’est mignon !
Elena – vous n’êtes pas ensemble pour rien vous deux !
Dolce – les filles !!!! vous m’êtes pas d’une grande aide la !
Shiwa – aller, c’est bon j’arrête de t’embêter, je prendrait un orangina.
Dolce – enfin et toi Giulia ?
Giulia – un thé suffira merci miss.
Dolce – alors je récapitule, un coca un chocolat chaud un thé et un orangina, ok c’est bon c’est noté.
Et notre petite rousse partie direction le bar. Alors qu’une discussion commence, je sens soudainement un bras se glisser derrière mon dos, et une main se pose sur ma hanche. Je me tourne et voie que c’est Elena, je lui sourit, et passe mon bras gauche derrière son dos, pour doucement lui caresser la hanche. Sa tête c’est lové au creux de mon cou, et mon cœur c’est mit à tanguer plus fort.
Dolce reviens quelques petites minutes après avec nos boissons , qu’elle nous tendis à chacune. Shiwa c’est lové dans ses bras, et Dolce à replier ses bras autour d’elle, je les trouve vraiment mignonne ensemble.
Dolce – au faite, vous compter y aller avec qui au bal ?
Shiwa – moi avec toi !
Elena – sa, ont sens doute bien !
Dolce – tu as trouver quelqu’un Giulia ?
Giulia – oui, j’y vais avec Emilie.
Shiwa – Emile … La blonde ?
Giulia – oui la brune !
Je me met à rire en entendant sa, et continue de serrer mon ange contre moi. Un frisson me parcours lorsque je senti ses lèvres se poser sur mon cou, que c’est agréable, je me laisse faire tout en lui offrant une douce caresse sur sa joue. Sa tête c’est relever, et ses yeux se sont perdu dans les miens. Je caresse doucement sa joue, et caresse son front avec le mien.
Sa main prend la mienne, et alors que ses yeux me défi, sa voix résonne dans l’air, une voix que j’aime entendre.
Elena – et toi ?
Moi – de quoi moi ?
Elena – avec qui vas tu au bal ?
Moi – sa t’intéresse ?
Elle me sourit, et dépose un léger baiser sur ma main se qui me fit rougir. Nos yeux se happent, se caressent, et se dévisagent avec insistance comme si chacun chercher à savoir qui aurait le dessus sur l’autre.
Elena – peut être …
Moi – toi alors … Non je n’est personnes !
Elena – dans ce cas, accepteriez-vous mademoiselle Kazama de m’y accompagner ?
Moi – j’en serait ravie … Ma jolie brune !
Ont se sourient, et pendant de longue minutes nous restons ainsi confortablement enlacé contre l’autre. Je m’approche doucement, et vint lui déposer un doux baiser sur le nez.
Elena – si seulement le temps pouvais s’arrêter !
Moi – pourquoi sa ?
Elena – car je pourrais proffiter pleinement de ces instant magique avec toi.
Je lui sourit, et vint doucement emêler mes doigts avec les siens. Se pourrais t-il … Qu’elle ressente la même chose que moi ? Que son cœur frémi à chaque fois que nous sommes avec l’autre comme le mien ? Si c’était le cas, j’en serait vraiment heureuse.
Shiwa – franchement toute les deux, je me demande comment vous ne pouvait pas finir ensemble !
Dolce – vous êtes trop craquante !
Je sourit, et continue d’admirer ce magnifique regard chocolater. Oui si seulement le temps pouvais s’arrêter, alors je pourrais sans aucun regret proffiter de ces instants magique qui n’appartiennent cas nous.
Elena – tu est sûr que tu veux aller en cour ?
Moi – non, mais il le faut bien.
Elena – reste avec moi !
Je m’approche de son oreille et lui murmure en caressant sa main :
Moi – on aura … Toute la soirée pour proffiter de ces moments magique !
Elena – Zane je …
Moi – chuut ne dis rien ma belle.
Je remonte ma main à sa joue, et la caresse avec douceur. Nos front se caressent de nouveau, et nos nez créer un mouvement négatif, je mens tellement bien avec elle, que oui, j’aimerais pouvoir rester là au creux de ses bras.
Mais ont dirais que la sonnerie annonçant le deuxième cour, n’est pas du même avis que moi, je lui sourit, lui embrasse tendrement le front, et me sépare d’elle avec regret.
Elena – bon, d’accord, je te laisse filer, mais à partir de quatre heures je ne te laisse plus tranquille !
Moi – comment ça tu ne me laissera plus tranquille !
Elena – ah beh sa mademoiselle Kazama vous verrez bien.
Moi – dites moi, je vous trouve bien arrogante mademoiselle Agostui.
Je pose mes mains sur ses jambes, et la regarde un air de défi sur le visage.
Elena – vous ne me faite pas peur !
Moi – vous ne dirais sûrement pas la même chose lorsque je vous aurais kidnappé ma cher.
Je lui fait un clin d’oeil, elle m’embrasse la joue, et c’est avec le sourire aux lèvres et le cœur prêt à faillir que je me rendit en cour avec les filles qui à dire vrai hurlé du moins Shiwa et Dolce, Giulia elle était au téléphone. C’est ainsi que durant toute l’heure de cour et ceux jusqu’à midi que je pensa à ma soirée avec elle.
Chapitre 1.
Point de vue Zane.
Si seulement, la vie pouvait être simple … Si elle pouvait être belle alors peut être que j’arriverais à lui donner une seconde chance. Une seconde chance à croire en l’amour … Ce sentiment si fort mais qui peut tout briser en une fraction de seconde. Encore cette nuit, j’ai fait nuit blanche, accoudé contre mon balcon à admirer les rayons du soleil qui se lève.
Je souffle, et entre dans ma chambre, pour aller me rafraîchir. Je passe à côté de mon lit et remarque un cadre avec à l’intérieur la photo de la femme que j’aime et désir plus que tout. Je passe mon doigt sur la vitre et laisse mon esprit vagabonder. Un autre soupir mais cette fois heureux s’échappe de ma bouche, si seulement j’avais assez de courage pour lui avouer ce que je ressent.
Elena … Toi cette si jolie brune qui a su recoller chaque morceau de mon cœur, toi qui a su trouver les bon mot pour m’apaiser et me faire sourire. Je souris et me dirige vers ma salle de bain. J’entre à l’intérieur de cette dernière, et ferme la porte. Je commence à me dénuder laissant mes vêtements tomber au sol, j’ouvre la porte de la cabine et tout en allumant l’eau, laisse mon corps se détendre sous le liquide chaud.
Je suis Zane Kazama j’ai dix neuf ans et suis d’origine italienne, née un vingt deux janvier en Italie, et je réside à Naples. Je suis de grande et fine taille, mes cheveux qui sont de couleur sable, un blond vénicien son court formant un dégrader sur le côté gauche. Mon regard est chocolaté et tiré quelques peut en arrière, ma peau clair possède des petites faussettes. Ma bouche rose et fine.
Mes yeux se ferment, et je repensent à tout se qui c’est passé depuis ma séparation avec Giulia du a une forte dispute. En y repensant, c’est vrai que je me suis nettement rapproché d’Elena, passant presque tout mon temps avec elle, mais aussi Dolce et Shiwa qui sont mes deux meilleures amies, je peux toujours compter sur elles en cas de besoin, et même si Giulia et moi sommes devenue de simple amies il est vrai que je me confie beaucoup plus à mes deux pimprenelles.
Une fois que l’eau m’a débarassé de tout liquide coloré, j’éteins, et m’enroule rapidement dans une serviette sentant le froid me gagner. Je fais coulisser la porte vers la gauche et sort de la cabine pour ainsi me sécher. Je me place devant le miroir, et m’observe de longues minutes en me séchant. Un mince sourire se dessine sur mes lèvres mouillées en repenssant à ce que je suis … A cet heure là si je n’aurais jamais eu le courage d’affronter cette personnalité je serait sûrement en train de pleurer sur mon triste sort.
Se que je suis aujourd’hui j’en suis fière, même si je cache des défauts, je me rattrape toujours à sa, cette personnalité qui fait de moi la femme forte que je suis devenue au file es années. Et maintenant que j’étais prête à laisser une seconde chance à la vie parce ce que j’avais réussi à oublier tout ce qui se rapporte à Giulia et moi, j’étais prête à avancer et dont à être de nouveau heureuse.
Je me dirige vers ma chambre, et mène mon corps jusqu’à mon armoire afin de m’habiller. Aujourd’hui est un jour spécial, pour deux raisons. Ce soir il y a le bal de l’automne un événement important pour nous lycéens qui n’avons ce mot à la bouche depuis plus d’un mois. Et il y a aussi un anniversaire, celui d’Elena qui allait sur ses dix neuf ans, et j’avais pour ambition de lui délivrer mon cœur de me mettre à nue devant elle. Je sourit rien que le fait d’y penser, après quelques minutes de réfléxion, je sort de l’armoir un jean noir, un chemisier de couleur blanc, et une veste en cuir noire.
Je commence donc à m’habiller tout en laisser mon esprit s’évader, j’ajuste le col de ma chemise, et surmonte cette dernière par ma veste en cuire que je prit soin de fermer. Après sa, je réchauffe mon cou par un keffier noir et roug en damiern et je reviens par la suite dans la salle de bain. Je me place en face de la vitrerie, et comme je laisse souvent mon maquillage traîner sur le bord de l’évier, je me munie d’un laïner noir et commence à me faire le tour des yeux.
C’est la seule chose que je met, cela suffit, quand je me maquille c’est pour des occasions spécial. Avec l’aide de mon peigne je remet en place le petit dégrader sur la gauche, me parfum légèrement avec une eau de toilette, et enfin sort de la salle d’eau. Je prend place sur mon lit, et commence à enfiller mes chaussette, pour après mettre une paire de baskette noire. Je me lève, prend mon sac de cour, mon téléphone, et sort de ma chambre.
Je descend les escaliers, et alla dans la cuisine pour me préparer un café et une tartine de confiture. Je vis seul dans un petit studio, que mes parents me paye tout les mois car je leur est ramener de bon bulletin et que j’avais fait comme demande celle de vivre seule pour ainsi gagner l’autonomie. Je commence à beurrer deux tartines, et saisi mon portable.
Tiens un message, je me demande qui cela peut être « lili » je sourit, lili et le surnom que je donne à Elena, et sa c’est dû à un petit jeu entre nous.
« purée il caille dehors, j’espère que ta prévue de mettre des gant et un bonnet mdr, tu me manques »
le sourire que j’aborde s’agrandit, je fut amusé et attendris à la fois. Je me dirige vers la cafetière et tout en me versant du café dans une tasse, je décide de lui répondre.
« ne t’inquiète pas pour moi va … Je ne suis pas frileuse. Tu me manques aussi <3 »
je relie le message, et sourit de nouveau. Et je lui envoya, je m’installe sur une chaise et commence à déjeuner tranquilement, tout en pensant à l’évènement de ce soir à l’anniversaire, et au courage que je vais devoir prendre pour lui avouer ce que je ressent.
Ce n’est pas tout les jours que je fait ce genre de chose, et il est vrai, que si nos sentiments sont réciproque j’aimerais pouvoir m’engager dans une relation sincère et durable cette fois. J’emmène la tasse à ma bouche, et commence à boire le liquide caféïner.
Quand j’eu terminé, je met la tasse dans le lave vaisselle, et commence à tout ranger pour ainsi partir direction le lycée. Mon téléphone vibre, je me tourne et le prend pour ainsi consulter l’appareil. C’est Elena qui viens de me répondre par un smiley et un cœur. Le mien se met à battre fugacement contre ma poitrine, si seulement nos sentiments pouvaient être réciproque, je l’espérer à chaque fois depuis que je me suis décider à lui dire.
Je prend mon sac, prend les clés de chez moi, et enfin partie tout en prenant soin de fermer à clés. Je descend quatre étages, et me dirige vers l’extérieur. Ouh … C’est vrai qu’il fait frais, je met mon keffier bien en place, et commence à marcher le long du trottoir.
Ah … Elena, si tu savait à quel point je t’aime, à quel point je te désir. Depuis notre rencontre il y a un an, c’est vrai que l’ont c’est beaucoup attacher l’une à l’autre, partageant nos rires, nos délires, et même nos chagrins. Et c’est quand je pense à tout ses petit détails qui me font sourire que je suis plus forte pour affronter la vie car je sais que j’ai mes amis et la femme que j’aime à mes côtés.
Après quelques minutes de marche, j’arrive enfin devant l’entrée du lycée, et pénètre à l’intérieur de ce dernier. Je voie Shiwa et Dolce me faire signe, alors que Giulia et Elena se tourne dans ma direction.
Shiwa – salut jolie blonde, ça rool ?
Moi – tout baigne, et vous ?
Je leur fait la bise à chacun, et arrivé prêt d’Elena qui me sourit avec douceur, je vint collé mes lèvres à sa joue.
Dolce – oh … C’est trop mignon.
Shiwa – ah les filles …
Giulia – c’est beau l’amour !
Je me décolle doucement, et plonge mon regard caramélisé dans ses prunelle noisette. Elle me sourit, et je lui rendit avec un petit clin d’oeil.
Moi – bon anniversaire la miss !
Elena – merci Zane.
Ont se sourient, et pendant quelques minutes nos yeux se caressent. J’aime me retrouver comme sa avec elle qu’il y est du monde ou pas, mon cœur bat si vite, je n’arrive pas à métriser les pulsions qu’il difuse dans mon corps. Sa main s’approche de mon visage, et ses doigts écartent quelques mèches de mes yeux.
Dolce – ah … Sa fait rêver.
Giulia – c’est bien vrai !
Nos lèvres s’étirent de nouveau, et ses lèvres se sont posées sur ma joue. Mes yeux se ferment, et je me laisse envahir par ce flot de tendresse qu’elle m’envoie. Ses mains se posent sur mes bras, et je sourit. Qu’es ce que je pouvais me sentir bien, là tout prêt d’elle.
Moi * si tu savais comme je t’aime. *
doucement je m’approche et laisse mes bras s’allonger sur ses épaules, alors que les siens viennent réchauffer mon dos. Ah, Elena je me sens si bien la avec toi. Ma douce et jolie brune, ses lèvres quittent ma joue, et ses yeux viennent effleurer les miens avec douceur.
Nos fronts se sont rapprochés, et se caressent, nous étions si prêt l’une de l’autre, et l’envie de l’embrasser me tenaille, je lui caresse la joue et lui offre un doux sourire.
Elena – Zane …
Moi – chuut …
Je lui caresse doucement ses lèvres de mon pouce, et vint lui déposer un léger baiser sur son nez.
Shiwa – je croix que je vais finir par exploser si vous continuer toutes les deux, c’est trop …
Dolce/Giulia – mignon !!!!
je me suis mise doucement à rire à l’entente de ses mots, je sent ses bras se serrer, et je me laisse emporter par cette étreinte qui m’est agréable. Malheuresement nous fûmes bien vite redescendut sur terre, à cause de la sonnerie que je maudit à cet instant.
Ont se détachent l’une de l’autre, et avant de partir en cour, je lui prend tendrement son menton et lui murmure :
Moi – on se retrouvent tout à l’heure !
Elena – compte sur moi.
Ont s’échangent un sourire, je lui embrasse la joue, et partie direction ma salle de cour avec Dolce Shiwa et Giulia.
Dolce – dis donc je ne te savait pas si entreprenante !
Shiwa – ah sa … Tu ma coupé le souffle.
Moi – ne dis pas n’importe quoi voyons !
Giulia – mais si, elle a raison.
Moi – oh non pas toi Giulia, ne t’y met pas non plus !
Dolce – mort de rire.
Je vous jures, elles sont pas possible. Ont montent plusieurs étages, et arriver au cinquième, je commence à longer le couloir tout en discutant avec les filles.
Dolce – dis moi Zane je peut te poser une question ?
Moi – oui vas y !
Dolce – ce que tu ressent pour Elena, c’est bien plus fort que de l’amitié pas vrai ?
Je sourit, et repense à ce moment que nous avions partagé elle et moi tout à l’heure, un moment qui a bien réchauffé mon cœur, et qui ma permise d’être heureuse durant quelques instant.
Moi – oui … Et pour être honnette, je compte lui faire ma déclaration ce soir !
Shiwa – c’est pas vrai ? Oh lala faut pas louper sa, Zane qui laisse libre court à ses sentiments, va falloir prévoir le matosse.
Moi – dis pas n’importe quoi Shishi !
Giulia – j’espère que tu y arrivera, et que cela te rende heureuse.
Moi – ne t’inquiète pas pour sa … Je compte bien la garder avec moi !
Je lui sourit, et lui tapotte le nez, même si nous ne sommes plus ensemble, cela ne m’empêche pas d’avoir un petit geste tendre à son égard, car il est vrai et sa je ne peux pas l’oublier que je les fortement aimé.
Dolce – en tout cas, je ne veux pas louper sa !
Shiwa – tu m’étonnes.
Moi – vous êtes bêtes vous deux alors !
Je sourit, et finit par rentrer dans la salle pour aller m’installer à ma table avec Giulia. Le professeur n’étant pas encore là, j’en profite pour regarder mon portable afin de vérifier ce je n’ai pas reçu de messages ou appels.
? - eu Giulia !
Giulia – oui ?
Après avoir répondu au deux messages d’Elena, je met mon téléphone dans ma poche et lève la tête pour aperçevoir Emilie, une jolie blonde aux yeux chocolat. Je suit attentivement la discussion, et pue voir du coin de l’oeil Giulia rougir.
Emilie – je euh … En faite, je me demander si tu … Tu voulais bien être ma cavalière pour ce soir !
Je sourit, et d’ailleurs Giulia aussi, elle se lève, et sous mes yeux attendris, elle pris le menton d’Emilie et lui murmure :
Giulia – avec plaisir Emi, j’en serait ravi.
Emilie – c’est vrai ? Enfin je veux dire …
Giulia – chuut …
Elle lui caresse la joue, et lui a déposer un baiser sur le front. Cela me fait sourire, le fait de savoir que même après notre séparation nous sommes arrivé à refaire notre vie, et sa sans avoir peur du jugement de l’autre. Emilie et repartie s’asseoir, et Giulia a repris place à mes côtés.
Giulia – ah … Emilie !
Moi – Tu as enfin trouvé ta perle rare ?
Giulia – oui, et il est vrai que je l’aime éperdument.
Moi – dans ce cas, je te souhaite bon courage !
Giulia – à toi aussi … Tu sais, c’est une bonne chose je trouve que l’ont est réussi à refaire notre vie avec la séparation !
Moi – je suis bien d’accord avec toi.
Ont se sourit, et enfin le cour pue commencer car le professeur était enfin arrivé. Pendant l’heure de cour, je ne fit que penser à Elena, à son message de tout à l’heure me disant que ce soir elle voulais passer la soirée avec moi. Rien que d’y penser me provoque des frissons de plaisir. Elena, si tu savait à quel point tu hante mon esprit.
Enfin, quand l’heure de la pause sonna, je pose mes lunettes, et suivit Giulia jusqu’à la sortie avec Dolce et Shiwa.
Shiwa – bon alors, et si ont allaient au foyer !
Dolce – ok.
Moi – sa marche !
Giulia – dack.
Ont s’échangent toutes quatre un sourire, et parti direction le foyer. Arrivé dans ce dernier, je remarque Elena qui est assise sur un des fauteuil, je me dirige vers elle suivit de prêt par les filles.
Elena – ah vous êtes là !
Dolce – tes une rapide dit donc sa viens juste de sonner.
Elena – non, je suis là depuis une heure !
Shiwa – comment ça ?
Elena – notre professeur est malade !
Moi – tu t’embête pas quoi ?
Elena – c’est sa.
Moi – toi alors !
Elle me fit un clin d’oeil, et je prit place à ses côtés juste à sa droite. Giulia prend place à mes côté et Shishi juste à la gauche de ma douce.
Dolce – aller, aujourd’hui c’est ma tournée, qui veux quoi ?
Moi – hm aller un coca !
Elena – un chocolat chaud.
Shishi – hm j’hésite entre un orangina et toi mon amour !
Dolce – Shishi !!
Giulia – ah ah ah …
Moi – que c’est mignon !
Elena – vous n’êtes pas ensemble pour rien vous deux !
Dolce – les filles !!!! vous m’êtes pas d’une grande aide la !
Shiwa – aller, c’est bon j’arrête de t’embêter, je prendrait un orangina.
Dolce – enfin et toi Giulia ?
Giulia – un thé suffira merci miss.
Dolce – alors je récapitule, un coca un chocolat chaud un thé et un orangina, ok c’est bon c’est noté.
Et notre petite rousse partie direction le bar. Alors qu’une discussion commence, je sens soudainement un bras se glisser derrière mon dos, et une main se pose sur ma hanche. Je me tourne et voie que c’est Elena, je lui sourit, et passe mon bras gauche derrière son dos, pour doucement lui caresser la hanche. Sa tête c’est lové au creux de mon cou, et mon cœur c’est mit à tanguer plus fort.
Dolce reviens quelques petites minutes après avec nos boissons , qu’elle nous tendis à chacune. Shiwa c’est lové dans ses bras, et Dolce à replier ses bras autour d’elle, je les trouve vraiment mignonne ensemble.
Dolce – au faite, vous compter y aller avec qui au bal ?
Shiwa – moi avec toi !
Elena – sa, ont sens doute bien !
Dolce – tu as trouver quelqu’un Giulia ?
Giulia – oui, j’y vais avec Emilie.
Shiwa – Emile … La blonde ?
Giulia – oui la brune !
Je me met à rire en entendant sa, et continue de serrer mon ange contre moi. Un frisson me parcours lorsque je senti ses lèvres se poser sur mon cou, que c’est agréable, je me laisse faire tout en lui offrant une douce caresse sur sa joue. Sa tête c’est relever, et ses yeux se sont perdu dans les miens. Je caresse doucement sa joue, et caresse son front avec le mien.
Sa main prend la mienne, et alors que ses yeux me défi, sa voix résonne dans l’air, une voix que j’aime entendre.
Elena – et toi ?
Moi – de quoi moi ?
Elena – avec qui vas tu au bal ?
Moi – sa t’intéresse ?
Elle me sourit, et dépose un léger baiser sur ma main se qui me fit rougir. Nos yeux se happent, se caressent, et se dévisagent avec insistance comme si chacun chercher à savoir qui aurait le dessus sur l’autre.
Elena – peut être …
Moi – toi alors … Non je n’est personnes !
Elena – dans ce cas, accepteriez-vous mademoiselle Kazama de m’y accompagner ?
Moi – j’en serait ravie … Ma jolie brune !
Ont se sourient, et pendant de longue minutes nous restons ainsi confortablement enlacé contre l’autre. Je m’approche doucement, et vint lui déposer un doux baiser sur le nez.
Elena – si seulement le temps pouvais s’arrêter !
Moi – pourquoi sa ?
Elena – car je pourrais proffiter pleinement de ces instant magique avec toi.
Je lui sourit, et vint doucement emêler mes doigts avec les siens. Se pourrais t-il … Qu’elle ressente la même chose que moi ? Que son cœur frémi à chaque fois que nous sommes avec l’autre comme le mien ? Si c’était le cas, j’en serait vraiment heureuse.
Shiwa – franchement toute les deux, je me demande comment vous ne pouvait pas finir ensemble !
Dolce – vous êtes trop craquante !
Je sourit, et continue d’admirer ce magnifique regard chocolater. Oui si seulement le temps pouvais s’arrêter, alors je pourrais sans aucun regret proffiter de ces instants magique qui n’appartiennent cas nous.
Elena – tu est sûr que tu veux aller en cour ?
Moi – non, mais il le faut bien.
Elena – reste avec moi !
Je m’approche de son oreille et lui murmure en caressant sa main :
Moi – on aura … Toute la soirée pour proffiter de ces moments magique !
Elena – Zane je …
Moi – chuut ne dis rien ma belle.
Je remonte ma main à sa joue, et la caresse avec douceur. Nos front se caressent de nouveau, et nos nez créer un mouvement négatif, je mens tellement bien avec elle, que oui, j’aimerais pouvoir rester là au creux de ses bras.
Mais ont dirais que la sonnerie annonçant le deuxième cour, n’est pas du même avis que moi, je lui sourit, lui embrasse tendrement le front, et me sépare d’elle avec regret.
Elena – bon, d’accord, je te laisse filer, mais à partir de quatre heures je ne te laisse plus tranquille !
Moi – comment ça tu ne me laissera plus tranquille !
Elena – ah beh sa mademoiselle Kazama vous verrez bien.
Moi – dites moi, je vous trouve bien arrogante mademoiselle Agostui.
Je pose mes mains sur ses jambes, et la regarde un air de défi sur le visage.
Elena – vous ne me faite pas peur !
Moi – vous ne dirais sûrement pas la même chose lorsque je vous aurais kidnappé ma cher.
Je lui fait un clin d’oeil, elle m’embrasse la joue, et c’est avec le sourire aux lèvres et le cœur prêt à faillir que je me rendit en cour avec les filles qui à dire vrai hurlé du moins Shiwa et Dolce, Giulia elle était au téléphone. C’est ainsi que durant toute l’heure de cour et ceux jusqu’à midi que je pensa à ma soirée avec elle.
Jeu 28 Nov 2013, 03:19 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
L'amour est-il un crime ? chapitre 5
Eh bien, bonjour à tous, me voila avec le chapitre 5, j’espère que cela vous plaira ^^ et merci à inlove ton dernier commentaire ma beaucoup touché merci :)
Chapitre 5 : Un anniversaire inoubliable
Point de vue Narrateur.
Point de vue Narrateur.
Depuis que le devoir de l’exposé est passé une semaine venais de s’écouler et les vacance de la Toussain est enfin arrivé. Aujourd’hui nous sommes le 21 octobre, jour ou notre petite Michi passe dans la cour des grands. Nous nous retrouvons devant l’appartement d’Haruka, et si nous tendions un peut plus l’oreille, on pouvais entendre du bruit.
Haruka – Michi, tu viens !
Michiru – oui oui j’arive.
Cette dernière après quelques minutes d’attente interminable celon Haruka fit enfin son entré devant les escaliers. La jeune femme blonde eu un tendre sourire en voyant sa cher et tendre habillé ainsi. Elle lui dis alors :
Haruka – je comprend mieux pourquoi tu mettait autant de temps … Alala je vous jure ses filles.
Michiru – dois-je te rappeller que tu en est une aussi !
Haruka – peut être, mais je ne passe pas des heures devant le miroir.
Michiru – c’est un peut normal, puisque toi, tu est belle au naturelle, tu n’as nulle besoin de rajouter des babioles car tu est déjà ravissante.
Haruka touché de ses propos monte les escaliers, et comme Michiru était toujours sous béquilles, elle la porta tel une princesse. Arrivé en-bas elle la dépose sur le sol, et la dévisage avec douceur.
Michiru bien que le temps se soit un peut rafraîchit, avait opté pour une jolie robe bleu vert, il y avait 4 petits boutons bleu marine sur le haut. Ses cheveux qui habituellement son lâchés sont retenue par une couette basse sur le côté gauche. Elle était vraiment très jolie aux yeux d’Haruka qui ne cesser de la dévorer du regard.
Haruka – tu est vraiment très jolie.
Michiru – merci !
Elle lui caresse sa joue, et la jeune femme blonde lui déposa un léger baiser. Un petit instant bien à elles, voilà maintenant 3 semaines qu’elle partagées leurs vies à deux, et elles étaient très épanouie ensemble.
Après ce petit échange, les deux jeunes femmes sortir de l’appartement.
Michiru – ah bonheur, je vais peut être me débarrasser de ses foutue béquilles.
Haruka – ah ah, mais sa dépendra de comment est ta hanche !
Michiru – Haru … Ne casse pas mon rêve !
Cette dernière ce met à rire, et toutes deux entames leur marche dans le long couloir de la résidence. Arrivé au bord de la première marche Haruka prit Michiru dans ses bras, et descend les quatre étages prudemment. Quand elle furent arrivées jusqu’au parking, la jeune blonde déverrouillé l’alarme, et ouvrant la porte passager posa sa jeune protégé sur le siège.
Michiru – merci !
Haruka – de rien chaton.
Elle lui dépose un léger baiser, et à son tour monte dans sa voiture. Allumant le conteur de cette dernière, Haruka fit une marche arrière, et partie enfin direction le médecin.
Point de vue Haruka.
Ah … Je me demande par quoi je vais commencer aujourd’hui, car étant donné que c’est son anniversaire, j’avais quelques surprises en réservation, mais je ne sais pas par laquel commencer.
Michiru – au faite Haru …
Moi – oui qui y’a t-il ?
Michiru – c’est quand que le directeur envoie nos bulletin de premier trimestre ?
Moi – dans la semaine qui va suivre tout au plus.
Michiru – eh bien, j’espère juste de ne pas encore avoir baisser de niveau !
Moi – comment sa baisser de niveau ?
Je fut surprise de ses mots car de toute la classe, elle est la meilleur, c’est elle qui tiens la meilleure moyenne et pas que dans mes cours.
Michiru – bah tu sais je n’aie jamais était supère forte en cour, je me rappelle encore se que sa donné au collège !
Moi – j’ai du mal à te croire, car ce n’aie pas du tout le cas depuis la rentrée.
Michiru – ah mais sa, c’est parce ce que j’ai un supère professeur !
Je me suis mise à sourire, et voulant jouer la curieuse je lui demande :
Moi – ah … Et comment est ce professeur si particulier ?
Je voie un petit sourire apparaître sur son visage, ses yeux fixent l’horizon et sa voix que j’aime tant entendre résonne.
Michiru – eh bien … Par ou commencer, il y a tellement de choses à dire sur ce professeur. Depuis ma rencontre avec elle, je ne sais pas, mais la vie est devenue nettement plus agréable, je l’admir beaucoup, et en plus d’être mon professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géo, elle est avant tout la femme que j’aime. Sans la regarder, je connais les moindre petites chose qui la rende si belle. De magnifique yeux vert émeraude, un regard qui m’envoûte à chaque fois, une chevelure doré, une taille fine et élancé, et puis elle a ce petit quelque chose qui m’attire encore plus que tout ses détails, son côté masculin que je trouve vraiment attirant, sa la rend si belle … Et en fin de compte, cette femme qui fait tant chavirer mon cœur à deux personnalité, en cour, c’est le professeur sur d’elle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, alors qu’à la maison c’est tout autre, j’ai pue découvrir avec joie qu’elle était en fin de compte très douce, gentil, aimable et très câline, se que j’aprécie car étant moi même très câline, j’aime ses câlins, me retrouver dans ses bras tout contre elle et son cœur. Non vraiment ce professeur je l’aime et l’admir !
À plusieurs reprise mon cœur loupe plusieurs battements, je suis heureuse vraiment heureuse de constater qu’elle tiens autant à moi que moi je tiens à elle. Je m’arrête à un feu rouge, et vint lui prendre la main.
Moi – et ce professeur qu’est t-il ?
Michiru – elle est la moitié de mon cœur, et … Elle est ma partenaire, ma petite femme à moi.
Je sourit tendrement, et m’approche de son visage, je lui prend délicatement le menton, et lui caresse la joue.
Moi – je t’aime !
Michiru – moi aussi Haru je t’aime.
On se sourit, et pour quelques secondes nos lèvres s’unirent dans un doux et long baiser. Je sens sa main se poser sur ma cuisse, ses doigts caresse le fin tissu qui sépare ma peau. Sa langue qui se mêle tendrement à la mienne, c’est un véritable bonheur pour moi, c’est la première fois en 23 ans que je me sens véritablement aimé, et en 23 ans c’est la première fois que je suis autant amoureuse.
On se détachent doucement, et je vint faire frotter mon nez tendrement contre le sien. Elle avait le sourire, un sourire magnifique que j’aime et que je ne me lacerais jamais de regarder. Je lui embrasse le nez et lui murmure avant de reprendre la route :
Moi – quand arrêteras tu de me rendre folle ?
Michiru – folle ? Et de quoi ?
Moi – folle et éperdument amoureuse.
Michiru – je ne le fait pas exprès, mais toi aussi, tu me rend folle chaque jours, chaque minutes et chaque seconde … Ma douce et jolie blonde.
Je lui sourit, un sourire prête à m’en décrocher la mâchoire, je l’embrasse avec douceur, et repris la route direction le parking souterrain. Après quelques minutes de recherche, je rentre dans le parking, essayant de trouver une place.
Michiru- Haru, la tu en a une !
Elle me montre du doigt une place effectivement vide, je sourit et partit me garer.
Moi – merci princesse.
J’éteins le moteur, et sortie de la voiture, remetant ma chemise noire en place. Je me dirige vers la porte passager de Michi, ouvre cette dernière, et vint l’aider à sortir.
Michiru – merci.
Je ferme la porte, pose ses béquilles contre la Porshe, et vint l’enlacer tendrement dans mes bras. Ses bras s’allonge sur mes épaules, et ses mains se mettent à caresser ma nuque. Alors que les miennes descendait le long de son dos. Posant de tant à autre mes lèvres sur son cou.
Moi – quoiqu’il arrive promet moi une chose !
Michiru – tout se que tu veux.
Je lui soulève le menton et lui murmure en caressant sa joue :
Moi – promet moi, que … Que quoiqu’il advienne rien ne pourra se mettre entre nous Michi.
Michiru – je ne sais pas se que va nous reserver l’avenir, mais je te fais la promesse de te garder auprès de moi ma chérie et sa quoiqu’il arrive.
Moi – je t’aime.
Michiru – plus que tout !
Je lui sourit tendrement, et ses lèvres prirent possession des miennes. Ses mains se posent sur mes joues, et ses doigts me caresse. Je laisse mes mains crée une sensation de douceur sur son dos m’approchant doucement d’elle afin d’être serrer contre son cœur. A cet instant j’étais vraiment la plus heureuse.
Je me décolle doucement, écarte quelques mèches bleutée de ses yeux, et lui embrasse le nez. Je lui tend ses béquilles, et c’est en discutant que nous nous avançons vers la sortie du parking.
Michiru – rah lala, j’ai hâte de pouvoir quitter ses chose.
Moi – ah ah, tu est bien impatiente dis moi !
Michiru – oh mais tu c’est je peut me montrer très patiente et coopérente quand t-il le faut.
Moi – ah et dans quoi par exemple ?
Michiru – je c’est me montrer patiente lorsqu’il s’agit de construir un avenir à deux.
Je sourit, continuant de marcher, on prit l’assenceur, et une fois en-bas on se dirige vers le cabinet du médecin qui n’était plus très loin.
Moi – au faite Michi, tu as prit ton roman ?
Michiru – oui oui ne t’inquiète pas, bien que je me demande pourquoi !
Moi – tu verra bien.
Je lui fit un clin d’oeil, et une fois arriver au cabinet je pousse la porte et la laisse rentrer. Je passe à mon tour et parti m’asseoir sur une chaise juste à sa droite. Sa tête se pose sur mon épaule, et ma main prit la sienne. Nos doigts s’entrelacent automatiquement, et je vint lui caresser à l’aide de mon pouce.
Médecin – mademoiselle Kaio ?
Michiru – oui c’est moi !
Médecin – bonjour, vous venez ?
Je me lève, et suivit Michi à l’intérieur du bureau, j’allai prendre place sur une chaise à la gauche de ma douce, et le médecin ce mit à parler.
Médecin – alors comment te sent tu ?
Michiru – ben, nettement mieux, même si parfois j’ai des douleurs qui me lance !
Médecin – me permet tu que je jette un œil ?
Michiru – euh … Oui !
Médecin – suis moi alors.
Son regard se pose sur moi, je lui tapote le nez et lui fit un clin d’oeil. Elle parti donc derrière un rideau, et je vint attendre.
Médecin – ou mais c’est que sa c’est grandement améliorer, on ne voie quasiment plus rien. Donc je suggère que nous te retirons les béquilles.
Michiru – oh bonheur … Si vous savait comme je suis contente de me séparer de ses choses.
Médecin – ah ah, aller viens, je vais tout de même te préscrire une pomade qu’il faudra appliquer sur la cicatrice et sa pendant deux semaine tout les soir.
Michiru – d’accord !
Je la voie revenir, et elle reprend place, m’adressant un grand sourire signe qu’elle était heureuse et soulagé de se débarrasser des béquilles et cela me fait bien rire. Après que le médecin m’est remis l’ordonnance, je sort de mon sac mon porte feuille et en sort ma carte vital, ayant mis Michi dessus pour qu’elle soit couverte et qu’elle est droit aux soins depuis son accident. Je met la carte dans la machine et laissa cette dernière faire les manipulations.
Médecin – merci. Aller je vous liber !
Moi – merci docteur, au revoir !
Michiru – merci encore.
Médecin – mais je vous en prie. Passez une bonne journée mesdames !
Ah, je croix que c’est le premier à remarquer que je suis une femme, due à ma masculinité je suis souvent prise pour un homme.
Quand on fut dehors, je me tourne vers Michi qui souriait.
Michiru – ah … Bonheur je vais enfin pouvoir faire ce que j’avais envie de faire sans les béquilles.
Moi – ah, et quoi donc ?
Michiru – bah déjà pouvoir prendre la main de celle que j’aime sans difficulté !
Je sourit, elle est vraiment adorable. Je lui prend sa main, et ses doigts s’emmêlent avec les miens, je mit mes lunettes de soleil sur le nez, et commence à marcher avec elle. Librement comme un vrai couple.
Michiru – dis moi Haru, on pourrais passer à la banque ?
Moi – oui pas de souci trésor.
On se sourit, et parti direction la banque. Une fois arrivé devant cette dernière j’en profite pour sortir un peut de liquide car je compter bien lui faire quelques cadeaux. Bien que les deux premiers soit gros.
Je me dirige vers elle, et me place à ses côtés.
Michiru – excusez moi, j’aimerais savoir combien me reste t-il se ma carte.
Conseiller – oui bien sur mademoiselle, quel est votre nom ?
Michiru – Kaio !
Conseiller – un instant je vous prit.
Pendant que l’homme cherché les informations souhaiter par Michi, nos yeux se croisent, je lui écarte quelques mèches, et lui offre un doux sourire.
Conseiller – mademoiselle Kaio !
Michiru – oui ?
Conseiller – voilà vous disposé d’un total de 20 876 €.
C’est énorme, Michi n’a pas l’air surprise.
Michiru – et vous savez si mon compte est encore en suspension ? Sachant que je viens d’atteindre ma majorité.
Conseiller – non nous avons réussi à vous débloquer !
Michiru – je vous remercie, passé une bonne journée.
Conseiller – mais je vous en prit.
Et après sa, nous sortîmes de la banque. Je remis mes lunettes de soleil, prit sa main dans la mienne, et commence à marcher avec elle.
Michiru – eh bien, je n’aurais jamais crue posséder une tel sommes.
Moi – c’est tout de même énorme … et comment se fait t-il que tu en est accumulé autant ?
Michiru – en faite, ma mère avant sa mort vivez dans un milieu très aisé, c’est pour sa que mon père a tant voulu sa mort pour pouvoir récupérer ses biens pas la suite. Quand je me suis retrouvait en famille d’accueil cette dernière disant que j’étais trop jeune pour avoir une tel sommes à fermé mon compte. Mais bon maintenant que j’ai 18 ans, j’ai le droit d’y toucher !
Moi – je comprend mieux … Aller tu me suis ?
Michiru – où sa ?
Moi – ah ah.
Je lui sourit, et la traina avec moi jusqu’à un bâtiment qu’elle connaissait que trop bien. Arrivé devant ce dernier, Michi fut surprise, elle se tourne vers moi et dit :
Michiru – Haru mais pourquoi on est devant l’édition Tomoé ?
Moi – et si on entré ?
Michiru – d’accord !
Et après ses quelques mots, on entrâmes à l’intérieur de l’édition.
Point de vue Michiru.
Je me demande se qu’elle a en tête. Je m’approche, et voie un homme de vieil âge avec une femme assez grande, un tailleur noir et blanc la couvrait.
Monsieur Tomoé – ah vous devez être mademoiselle Tenoh et mademoiselle Kaio ?
Haruka – c’est exact, bonjour monsieur Tomoé ! Bonjour madame.
Madame Tomoé – bonjour, venez assayez-vous.
Sans que je ne comprenne la tournure des événement qui défilent devant mes yeux, je prend place sur une chaise, à la gauche de ma jolie blonde.
Monsieur T – alors qui est mademoiselle Kaio ?
Moi – euh … C’est moi monsieur.
Monsieur T – bonjour à toi, alors je supose que tu te demande se que tu fait ici !
Moi – oui !
L’homme me passe un calpin avec une feuille dessus. J’observe cette dernière et remarque que c’est un contrat … Un contrat ? Mais bien que je connaisse parfaitement cet édition, je n’aie jamais envoyer mon roman, du moins je n’ose pas l’envoyer de peur que cela ne soit pas à la hauteur de leur attentes. Je regarde Haruka qui me souriait tendrement. Ce pourrait t-il que …
Monsieur T – en fait ton ami nous a contacté il y a quelques semaines et nous a fait comprendre que tu aimer écrire, et que tu avait par la même occasion terminé ton roman …
Madame T – elle nous la envoyée par mail … Et sa nous a beaucoup plus. Donc si tu es d’accord, nous pouvons le publier. Et je serait ton agent.
Je … Je n’arrive pas à y croire. Je retiens mes larmes qui son prête à couler, je suis tellement heureuse, un bonheur immense m’enivre, et je regarde Haruka le sourire aux lèvres.
Moi – euh … Je ne sais pas quoi dire, sa fait longtemps que je rêve du jour ou je pourrais me faire connaître dans ce domaine, mais je suis encore lycéenne.
Monsieur T – oui nous le savons, et comme tout a déjà était réglé, nous avons réfléchit ma femme et moi afin de te construire un emploi du temps adapter à ton statut scolaire. Donc serait tu d’accord pour faire de ton roman une première parution ?
Moi – oui.
Dans peut de temps j’allais exploser de joie, c’est elle qui a fait sa pour moi, car elle c’est que c’est ma passion. Je retiens au maximum mes larmes qui me menace, Haruka ainsi que moi signons, car il ne faut pas oublier que c’est aussi ma tutrice.
Les minutes s’écoulent et après avoir sérieusement parlé de ce futur projet, Haru et moi sortons du bâtiment.
Je me tourne, et sauta littéralement dans ses bras, laissant mes larmes de bonheur couler.
Moi – oh merci … Merci beaucoup pour ce que tu viens de faire. Si tu savais à quel point je suis heureuse !
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
J’arrive pas à le croire, c’est pour mon anniversaire qu’elle a fait sa. C’est le plus beau cadeaux que l’ont puisse me faire.
Moi – merci infiniment mon amour … Tu est vraiment génial.
Et sans me retenir je dépose mes lèvres sur les sienne. Heureuse et décidément éperdument amoureuse.
Point de vue Haruka.
Je suis vraiment heureuse, ma surprise la rendu heureuse, et sa me faisait beaucoup de bien, de la voir ainsi. Je lui caresse la joue et répond à son baiser . Tout se que je voulais c’est la voir heureuse et épanoui.
On se décolent doucement, et je lui écarte une mèche de ses yeux.
Moi – je suis heureuse que cela te plaise !
Michiru – merci beaucoup Haruka, tu viens de me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà !
Moi – contente de l’apprendre … Aller ont continue ?
Michiru – oui.
J’allonge mon bras droit sur ses épaule, alors que son bras gauche se pose sur mon dos. Nous continuons notre chemin, ignorant le regard des autres. Sa tête se pose sur mon épaule, et ses doigts se mirent à caresser ma hanche. On arrivent devant un magasin de vêtements féminin, Michi se tourne vers moi et me demande :
Michiru – dis Haru, on peut y aller ?
Moi – bien sur mon ange, aller je te suis.
Ses lèvres se pose sur ma joue, elle me sourit, et je la suivit à l’intérieur du petit commerce. Je la voie se diriger vers les robes, se qui me fait sourire. Alors qu’elle me fait signe qu’elle allait dans une cabine d’essayage. Je lui fit un clin d’oeil et me dirige vers un petit stand de bijou et fantaisie féminin. Je regarde et aperçut une paire de boucle d’oreille argenter en forme de goûte de pluie, accompagné de petits diamants plus brillant les uns que les autre. Je sourit et vint prendre le bijou en main.
Je sent soudain mon téléphone vibrer, je prend se dernier en main, et le déverrouille et consulte ma messagerie. C’est un message de Michi qui me demande de venir la voir. Je souris, range mon cellulaire dans la poche de mon pantalon noir, et me dirige vers le font, la ou se trouve les cabines.
Moi – je suis la Michi.
Je voie le rideau se tirer vers la gauche, et fut ébloui de la voir aussi jolie. La robe qu’elle portée est de couleur noire, il y avait un petit cœur ou l’ont pouvais voir sa peau, relié par une large ficelle noire au cou. Le contour du cœur est de couleur argenter.
Elle est tellement belle, elle fait plus femme dans cette robe et cela me fait encore plus chavirer.
Moi – tu est vraiment très belle dans cette robe Michi !
Michiru – c’est vrai ? Merci … C’est gentil. Donc allait je la prend.
Elle me sourit, et tire le rideau pour se couvrir afin de se changer. Je ne sais vraiment plus quoi dire … Tant de chose se sont passé depuis notre rencontre, et je voulais à tout prit la garder prêt de moi et pouvoir la chérir tendrement chaque jours.
Quelques petites minutes après, ma douce revint vers moi avec la robe noire, je lui prit, et vint saisir sa main.
Michiru – attend, j’ai vue des chaussures qui vont avec la robe !
Je sourit et la suivit à travers le magasin. Arriver prêt de ses fameuse chaussures, je jette un œil à ses dernière et effectivement elles étaient assortie à la robe, ouverte sur le dessus un fin talon et le contour de l’ouverture en argent.
Moi – quel pointure fais tu ?
Michiru – du 38.
Je me baisse, et chercha la taille 38. J’en trouve une, je vint doucement prendre le carton en faisant attention de ne pas faire tomber les autres. Je me tourne vers Michi, et ouvre le carton, prend une des paire, et vint lui prendre doucement le pied droit. Je lui retire sa ballerine, et lui passa la chaussure noire au pied. Je lève mes yeux vers elle et lui sourit tendrement.
Moi – comment tu te sent ?
Michiru – ça va oui, je ne suis pas sérré dedant !
Moi – dans ce cas.
Je remet la chaussure dans le carton, lui remis la balerine, me lève, prit sa main, et je nous dirige vers la caisse.
Moi – tu m’attend dehors ?
Michiru – mais Haru … Tu, tu en as déjà asse …
Moi – chuut … C’est ton anniversaire non ? Alors laisse moi te faire plaisir ma chérie d’accord ?
Michiru – tu est trop … C’est d’accord, je t’attend dehors.
Je lui tapote le nez, lui pose un délicat baiser, et la laissa filer. Je l’observe pendant quelques minutes, heureuse qu’elle soit devenue mienne qu’elle soit devenue … Ma petite femme à moi.
Quand ce fut mon tour, je passe les articles, et vint payer ce qu’il falait. Puis enfin je sorti avec une poche et les boucles d’oreilles que je garde en main. Arrivé à l’extérieur, je la vit en train de regarder le ciel. Je sourit, et me dirige vers elle.
Moi – c’est bon, je suis là !
Michiru – merci, tu est vraiment gentil, jusque là personne n’en avait fait autant pour moi !
Moi – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que je fait tout sa car …
Je vint la prendre dans mes bras, et dit en caressant sa joue :
Moi – pour toi rien n’est trop beau !
Michiru – je t’aime tu sais … Je t’aime de tout mon cœur.
Moi – moi aussi Michi je t’aime et te désir plus que tout.
Je la regarde dans les yeux et déposa mes lèvres sur les siennes, lui offrant un doux baiser. Ses mains se posent sur mes épaules, et les miennes reste sur ses joues. Mon cœur bat tellement fort … Je suis si heureuse.
Nos lèvres se détachent, et je la dévisage avec tendresse. Je prend les petite boucles, retire le plastique, enlève les attaches et vint doucement lui mettre les boucles. Je met les fermoirs pour ne pas qu’elle les perde. Je lui caresse la joue, et vint la prendre par les épaules. Sa main se place sur ma hanche gauche, et sa tête se pose sur mon épaule.
Michiru – merci …
Moi – ce n’aie rien, sa ma fait plaisir.
On se sourit, et nous continuâmes de marcher dans la rue marchande. Après quelques heures de promenade, nous étions enfin rentrée à la maison. Je me trouver face à ma douce, mes mains dans son dos, et mon front contre le sien. Ses bras s’allongent sur mes épaules et son nez se met à caresser le mien.
Michiru – merci pour cette journée, elle a était magnifique passé à tes côtés.
Moi – mais ce n’est pas fini.
Michiru – alors, si ce n’est pas fini … Haru fait moi goûtter au bonheur !
Moi – tes désirs son des ordre mon amour.
Et d’une manière très amoureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse et mon amour. Je laisse mes mains la serrer contre moi, mes doigts caressant le tissu qui couvrait sa peau si douce. Ses mains attrape le haut de ma chemise, et elle me tire vers elle. Ma jambe gauche se met entre ses jambes, mon corps est préssé contre le sien, et mes mains montent afin de se poser sur ses joues.
Je me sent tellement bien, ce que je ressent est indescriptible, tout mes sens s’affolent, et mon cœur bat de plus en plus vite. Nos langue se trouvent, et se chamaillent tendrement entre elles, je pouvais rester des heures à savourer ce bonheur qui m’est à présent offert. Et je ne suis pas prête à le laisser filer. Nos lèvres se détachent doucement, nos front se caresse, et je vint lui caresser la joue, plongeant mes yeux dans les siens.
Michiru – je n’aurais jamais crue … Que la vie puisse m’offrir ce cadeau, je remercie de tout mon cœur le ciel de m’avoir offert ce bonheur qui m’enivre de plus en plus …
Sa main se met à caresser ma joue, et je continue de l’admirer avec avec douceur un petit sourire au coin des lèvres.
Michiru – malgré mon jeune âge, je ne veux pas faire se que font les filles de mon âge, à se dévêtir pour les plaisirs d’autrui, à ruiner ma santé avec des subtance chimique, parce ce que ce que je désir plus que tout je le tiens dans mes bras, j’ai 18 ans et bien que je pense sérieusement à mes études, j’aimerais de tout mon être construir un futur avec la femme que j’aime et désir plus que tout, je veux pouvoir me réveiller chaque matins dans ses bras, pouvoir partager ma vie mes secrets et rêves avec elle, pouvoir … Me voir vieillir à ses côté, et lui porter tout l’amour que je ressent pour elle. Car là … Maintenant je c’est qu’elle est la femme de ma vie.
Je sourit, l’envie de pleurer de joie me tiens, mon cœur bat tellement fort, je ne contrôle plus les pulsassions de ce dernier, je me sent mourir, ses paroles résonne dans ma tête, et s’enferme à l’intérieur de mon cœur, je lui caresse la joue, et la dévisage avec douceur, je ne voyais rien mais je savait que mes yeux brillait de bonheur, je lui sourit et elle aussi.
Je vint la prendre dans mes bras, et tout en la regardant avec tendresse, monta les escaliers et me dirige vers ma chambre … Enfin je veux dire notre chambre. Arrivé dans cette dernière je ferme la porte, et vint l’allonger sur le lit, me mettant doucement au dessus d’elle. Je plaque tendrement mes mains sur ses oreilles et caresse ses tempes, ses mains caressent mes joues, et mon front caresse le sien.
Moi – alors … Construisons notre futur toute les deux maintenant … Afin de se crée de merveilleux souvenirs mon trésor … Je ne souhaite que pouvoir vivre et t’aimer sincèrement tout au long de notre vie.
Elle ma sourit, et dans un accord harmonieux nos lèvres se scellèrent amoureusement. Partageant avec délice et tendresse notre petit bout de bonheur qui grandissait à chaque instant passer ensemble. Je laisse mes mains prendre soin de son corps, lui offrant diverses caresse plus douce les unes que les autres.
Nos langues, après un petit moment de recherche finissent par se trouver, et une bataille tendre et câline commencent entre ses dernières. Je sent ses mains m’approcher encore plus d’elle, cela me fit sourire laissant mes mains se livrer à son dos, je remonte doucement afin d’être à sa hauteur et continue de l’embrasser avec toute ma passion et ma tendresse.
Je sent un léger courant d’aire sur ma poitrine, et je sent ses mains retirer ma chemise. Laissant mes mains dénuder doucement son corps. Ma chemise ainsi que sa robe se retrouvent sur le sol, et nos lèvres continuent de se goûter avec amour se découvrant un peut plus chaque seconde.
Au bout de quelques minutes entre nos câlins et baisers enflammés nous étions à présent sous la couette, nue et toujours enlacé l’une contre l’autre. Je me trouvais toujours au dessus d’elle, et jouer tendrement avec ses lèvres qui s’amuser à me mordre, se qui me faisait bien rire. Nos yeux se rencontrent et se caressent tendrement, laissant doucement mes lèvres embrasser son nez.
Moi – si tu savais, à quel point je me sent bien avec toi, je n’est pas de mots assez fort pour te dire ce que je ressent, mais se que je peux te dire c’est que tu est la femme de ma vie, que tu est celle qui enflame mon cœur … Que tu es celle avec qui je veux partager ma vie.
Michiru – moi aussi … Ma si jolie blonde, je t’aime d’un amour sincère et véritable.
Moi – moi aussi mon ange, l’amour que j’éprouve à ton égard est sincère.
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un tendre baiser. Ainsi enlacé tendrement dans les bras de l’être aimé nous nous échangions avec amour notre bonheur et quoi de plus doux que de faire passer ce bonheur dans un doux et long baiser suivit d’une longue étreinte amoureuse. Ah … Décidément je suis véritablement [i]la plus heureuse et amoureuse.
Quelques heures plus tard. Après ce moment très agréable passé avec elle, je me trouvait dans la cuisine en train de préparer à manger. Pour ce soir j’ai prévue de faire son plat préféré qui est du riz avec des quenelles. Logeant au quatrième étages donc au dernier, je possède un balcon bien étrange pour un appartement me diriez-vous. Mais tout de même agréable quand j’avais besoin de me vider l’esprit. Je prit les couverts nécessaires, et pendant que le riz cuisez et les quenelles réchauffer, j’allais dresser la table dehors, quoi de beau pour un anniversaire que de le terminer par un dîner en tête à tête. Michi devait sûrement se trouver dans la salle de bain en train de prendre sa douche. J’espère qu’elle verra le petit mot que je lui est laisser sur le lit là ou j’avais prit soin de mettre la robe noire que je lui avait offert il y a quelques heures plus tôt. [/i]
Ah … Si un jour ont m’aurait dit que je serait au petit soin de quelqu’un je ne l’aurais jamais crue.
Point de vue Michiru.
Ah … Sa fait du bien une bonne douche. Je vint rapidement m’enrouler dans une serviette sentant le froid me gagner. Je commence à me sécher de toute part, je met le bout de la serviette entre ma poitrine pour que la serviette puisse tenir. Je prend le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement.
Je regarde mon reflet dans le miroir, et aperçoit un sourire … Un sourire heureux, tout se qui c’est passé aujourd’hui j’ai encore du mal à y croire, surtout au sujet de l’édition, quand je pense que j’allais me faire connaître pour de vrai. Je suis tellement heureuse, et ma relation avec ma jolie blonde me rend encore plus heureuse de savoir que nous désirons la même chose, construire et fonder notre vie ensemble, cette journée avec elle ma permis une bonne fois pour toute de mettre mes sentiments dans l’ordre, car à présent, je sais que je veux terminer ma vie à ses côtés, et sa quelque soit le prix à payer.
Quand j’eu terminé, je sort de la salle de bain et me dirige vers notre petit nid d’amour, et m’enferme à l’intérieur. Je remarque la robe noire sur le lit, il y avait un petit mot dessus, je m’approche et prend ce dernier en main et le lue silencieusement.
« s’il te plait met cette robe ma chérie »
je sourit tendrement, je pose le mot sur la petite table de chevet, et alla chercher ma lingerie dans l’armoire. Sa fait bizarre tout de même de se retrouver dans ce genre de situation, un vrai petit couple sommes nous, car en y repensant, on partage tous, nos rire on mangent ensemble on fait des chose ensemble que se soit en public ou en toute intimité, bien que j’avais une préférence pour nos petit moments intime, tel que tout à l’heure, je n’aurais jamais crue pouvoir dépasser ma peur depuis que père m’est fait des attouchements. Mais sa prouver que je grandissait et que j’avais vraiment l’ambition de ne pas laisser cette perle rare s’échaper.
Quand je fut totalement habiller et maquillé, je me dirige vers le miroir, et me regarde longuement. J’avais du mal à me reconnaître. J’avait enfiler la robe qu’elle ma offerte, des collants noir couvrait mes jambes, les boucles aussi je les aie mise, j’avais laisser mes cheveux détacher, les tirant juste vers le côté gauche, et une rose noir trônait dans ma chevelure. Comme maquillage j’avais choisi simple, du laïner noir et d’un rouge à lèvres rouge. Et m’étais légèrement parfumer avec une eau de parfum portant le nom de « Intime » de Arno Sorel.
Je me demande tout de même pourquoi Haru ma demander de porter la robe. Avant de descendre, j’enfile les chaussures noir qui se marie avec ma robe, et le cœur battant à la chamade je sort de la pièce. Je remarque que tout est éteins, il y a juste de la lumière provenant du balcon, donc doucement je descend les marche.
Hm, sa sent délicieusement bon, je me rend au balcon, et mon cœur se serra en voyant la scène qui s’offrait à moi. Un … Un dîner en tête à tête, au milieu du balcon est dresser une petite table ronde couverte par une soyeuse nappe blanche, sur cette dernière se tient les couverts, il y a deux cloches argentés sur les assiettes gardant les aliments chaud, et au milieu de la table se trouvé un bougeoir avec trois bougies. C’est vraiment magnifique, en plus avec un ciel noir parsemé d’étoiles c’est encore plus magique.
Moi – c’est vraiment magnifique. Dis-je en m’avançant
je voie Haruka se tourner, et elle eu un doux sourire accroché aux lèvres en me voyant. Je m’approche d’elle, et vint caresser ses yeux avec les miens.
Haruka – c’est toi qui est magnifique ce soir mon trésor.
Moi – merci et … Tu est aussi vraiment très belle ce soir Haruka !
Mon cœur battait à mille à l’heures, et je n’arriver pas à contrôler mes pulsions. Sa main c’est posée sur ma joue et ses doigts crée une douce sensation de légèreter. Je m’approche, et pose mes mains sur sa poitrine, plongeant mes yeux azur de le sien, lui souriant avec tendresse.
Haruka – cette robe te va à ravir, et ce maquillage te rend tellement belle.
Je sourit, je m’approche et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Ses mains vinrent me serrer contre elle, allant caresser mon dos, une légère brise se fait sentir, et mes cheveux virevolte donnant à cette instant, un aspect romantique et magique. Nos lèvres se détachent doucement, et sa main monte à ma joue gauche et ce met à la caresser. Je porte ma main droite à son visage et lui écarte quelques mèches blonde de ses yeux descendant mes doigts en une caresse vers sa joue.
Haruka – et si … On allaient manger ?
Moi – d’accord.
Je te pose un petit baiser sur le nez, et alla prendre place sur l’une des chaises face à toi. Mes yeux te fixaient intensément depuis tout à l’heure, n’en revenant toujours pas de se que tu as fait pour moi tout au long de cette journée.
En prenant ma main droite dans la sienne, Haru à soulevé nos cloches, et un tendre sourire apparue sur mes lèvres, elle avait donc déjà tout prévue, cela me remplissait de joie et de bonheur. Je lève mes yeux et lui dis avec un doux sourire :
Moi – tu y a pensé … Merci, merci ma chérie.
Haruka – bien sûr, après tout c’est un jour important.
Je t’aime … Je n’arrête pas de sourire tant le bonheur frappe mon cœur. Je nous serre de l’eau, et tout en la regardant je me suis dit « tu as vraiment de la chance de l’avoir à tes côtés. »
Haruka – bonne appétit mon ange.
Moi – à toi aussi … Ma jolie blonde !
On c’est sourit, et nous avons commencés à manger. Hm que c’est bon, en plus d’être la femme parfaite à mes yeux, c’est un vrai cordon bleu. J’enlace mes doigts avec les siens, et la dévisage avec le sourire, tout sa … J’avais l’impression de vivre un véritable compte de fée comme Cendrillon.
Moi – si un jour on m’aurais dit que je serait heureuse … Je ne l’aurais jamais crue, merci beaucoup pour tout se que tu as fait, c’est … C’est vraiment beaucoup et sa représente tant pour moi.
Haruka – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que j’ai fait tout sa.
Je lui sourit, prête à verser mes larmes qui depuis le début de la soirée me menace de couler. Puis quand ont eu fini, Haru c’est levé et sous mon regard doux et surpris elle c’est dirigé vers moi.
Se mettant derrière moi, je lève mes yeux et lui sourit tendrement. Je voie sa main piocher dans unes de ses poches de pantalon, et elle sortie une petite boîte marron, qu’elle me mit devant les yeux. Je me demande bien se que sa peut être, mon cœur bat tellement vite.
Doucement elle a ouvert la petite boîte, et mon cœur se mit à tanguer fortement dans ma poitrine. A l’intérieur de l’étui se trouvé un petit cœur en argent, sur ce dernier, il y avait des lettres qui formé le mot « Je t’aime » je touche doucement le bijou, me demandant ce que cela pouvais être.
Haruka enlève le bijou de la boîte et je remarque que c’est une petite chaîne argenté, elle est magnifique, vraiment je ne sais quoi dire. Ma jolie blonde me le passe au tour du cou, et sa voix résonne au creux de mon oreille.
Haruka – joyeux anniversaire mon trésor.
J’ai levé mes yeux, et heureuse, j’ai déposé mes lèvres sur les siennes. Lui offrant un long et doux baiser. Caressant sa cheveulure, mêlant tendrement mes doigts à l’intérieur. Ses bras à elle entourés mon cou, et ses mains caresser ce dernier.
Jusqu’à présent personne n’avait fait sa pour moi, jamais on m’avait t’émoigner autant de tendresse et d’amour. Et cela me rendait éperdument heureuse.
Doucement ont se détachent, mais nos yeux continuent de se caresser, chacune habitant un sourire heureux.
Moi – il est magnifique … Merci mon amour.
Haruka – chuut … Pour toi, rien est trop beau !
Elle est vraiment adorable, puis doucement, elle ma prit la main et me conduit jusqu’à sa chaise. Elle prit place sur cette dernière, et me prit dans ses bras. Je me retrouve assise sur ses jambes, mes bras s’allongent sur ses épaules, et les siens s’avanturent dans mon dos. Un vent léger souffle et fait virevolté nos cheveux, elle est tellement belle, j’emène ma main gauche à sa joue et la caresse.
Moi – cette journée … Je ne l’oublierais jamais, merci Haruka !
Haruka – tu sais … Il est évident que pour toi, je serait prête à tout pour te rendre heureuse et te voir sourire tu … Tu compte tellement à mes yeux Michi.
Moi – toi aussi … Tu compte beaucoup pour moi, et pour rien au monde je ne t’échangerais pour voir de simple sourire de satisfaction.
Elle ma sourit et ma doucement embrassé. Je répond délicatement à sa douceur, posant mes mains sur ses joues et caressant sa peau avec mes pouce. Sans que je m’en rende compte Haru me mit des écouteurs aux oreilles, suivit d’un petit mp3, nos lèvres jouaient toujours ensemble, et une voix … Sa voix résonne dans la petite machine.
« Michi, je te souhaite un très joyeux anniversaire. Voila maintenant un mois que je vis un véritable bonheur à tes côtés, depuis que mes yeux ont croisé les tiens, je me suis demandé ce qui se passer pour que je soit autant subjugé. Le simple fait qu’en même pas un mois tu est devenu importante à mes yeux, je vais être honnete, mais je n’aie jamais pue connaître le véritable amour … Avant de tomber sur toi, se que je souhaite plus que tout ma chérie et qu’un jour tu devienne ma femme, quand j’ai appris ce qui tes arrivé, j’ai tout fait pour le cacher, mais voilà je t’aime et suis profondément amoureuse de toi. L’autre jour, tu m’as posé une question, tu m’as posé se dont je rêvé, et bien maintenant je peux te répondre, se que je rêve c’est de construir un futur avec toi, pouvoir un jour fonder notre propre famille ainsi que de te voir en robe blanche. Il n’y a que toi qui me rende ainsi, il n’y a que toi avec qui je veux terminer ma vie. Mon trésor, je t’aime je t’aime et je t’aime, tu est la femme de ma vie, et je ne veux pas te perdre. Je te souhaite un très bon anniversaire et te fait mille gros baisers, je t’aime ma chérie, ne l’oublie jamais. »
Alors que mes yeux la dévisagent, des larmes roule le long de mes joues, je … Je suis si heureuse, je pose le mp3 sur la table, et la regarde en pleurant de joie, mon cœur battait tellement vite, je ferme mes yeux et respire profondément, mordant ma lèvres inférieur et lâchant un petit rire.
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
Je lui prend les mains, tourne ma tête vers la droite et mes yeux encore embués de larmes fixent les étoiles.
Moi – moi aussi … Ce que je souhaite plus que tout et de construir un futur à tes côtés, je rêve chaque jour de ma vie avec toi, je n’aie jamais ressentie de tel émotions avant de te connaître, mais je t’aime d’un amour sincère et profond, je souhaite de tout mon cœur pouvoir un jour devenir ta femme et porter ton nom, je souhaite plus que tout te rendre heureuse, et te chérir tendrement chaque jours de notre vie …
je tourne ma tête, et la regarde les larmes aux yeux, elle me sourit, effaçant de sa main douce mes larmes.
Haruka – alors … Je souhaite plus que tout pouvoir unir mon cœur au tien mon trésor. Je t’aime tu sais.
Moi – moi aussi Haru je t’aime … Je t’aime bien plus qu’il ne le faut !
On c’est sourit, et nos lèvres se sont unies. Je me sentit soulever, mais je ne fait rien pour me débattre, juste à continuer de l’embrasser avec tendresse. J’entends une porte se fermer, et me sentit allonger. Nous étions dans notre chambre, et je sentait son souffle chaud sur ma peau, elle se trouvée au dessus de moi, et malgré la pénombre je pouvais voir ses magnifique yeux pétiller.
Haruka – ma chérie … Pour ce jour si exceptionnelle, me laisserais tu te faire goûter au bonheur ?
Moi – oui … Je suis toute à toi ma jolie blonde.
Elle me sourit, et nos lèvres se scellèrent amoureusement. Je vint doucement la dévêtir, laissant tomber sa chemise sur le sol, je laisse mes main parcourir son corps, sa peau qui est douce et chaude à la fois.
Je me retrouver à présent nue sous les draps mon corps frissonnant de plaisir. Pour la première fois, je me sentait bien, et je n’avais pas peur. Je dirige mes lèvres vers son cou et lui embrasse longuement. Ses mains parcourent mon être, et ses lèvres se perdent dans mon cou. Jusqu’à ma poitrine, le désir prenait de plus en plus d’ampleur, et j’avais irrésistiblement envie d’elle.
Moi – oh Haru … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon ange !
Elle a caresser ma joue, et ses lèvres ont repris les miennes en otage. Cette nuit pour la première fois fut la plus magique de toutes, pour la première fois depuis 18 ans je me laisser envahir par le plaisir que l’ont ressent à deux. Cette nuit, elle ma rendu heureuse, cette nuit elle a prit définitivement prit possession de mon cœur. Cette nuit ou Haruka me fit tendrement l’amour. Cette nuit ou je suis réellement tombé encore plus amoureuse.
Et voila la fin de ce chapitre ^^ à la prochaine :)
Chapitre 5 : Un anniversaire inoubliable
Point de vue Narrateur.
Point de vue Narrateur.
Depuis que le devoir de l’exposé est passé une semaine venais de s’écouler et les vacance de la Toussain est enfin arrivé. Aujourd’hui nous sommes le 21 octobre, jour ou notre petite Michi passe dans la cour des grands. Nous nous retrouvons devant l’appartement d’Haruka, et si nous tendions un peut plus l’oreille, on pouvais entendre du bruit.
Haruka – Michi, tu viens !
Michiru – oui oui j’arive.
Cette dernière après quelques minutes d’attente interminable celon Haruka fit enfin son entré devant les escaliers. La jeune femme blonde eu un tendre sourire en voyant sa cher et tendre habillé ainsi. Elle lui dis alors :
Haruka – je comprend mieux pourquoi tu mettait autant de temps … Alala je vous jure ses filles.
Michiru – dois-je te rappeller que tu en est une aussi !
Haruka – peut être, mais je ne passe pas des heures devant le miroir.
Michiru – c’est un peut normal, puisque toi, tu est belle au naturelle, tu n’as nulle besoin de rajouter des babioles car tu est déjà ravissante.
Haruka touché de ses propos monte les escaliers, et comme Michiru était toujours sous béquilles, elle la porta tel une princesse. Arrivé en-bas elle la dépose sur le sol, et la dévisage avec douceur.
Michiru bien que le temps se soit un peut rafraîchit, avait opté pour une jolie robe bleu vert, il y avait 4 petits boutons bleu marine sur le haut. Ses cheveux qui habituellement son lâchés sont retenue par une couette basse sur le côté gauche. Elle était vraiment très jolie aux yeux d’Haruka qui ne cesser de la dévorer du regard.
Haruka – tu est vraiment très jolie.
Michiru – merci !
Elle lui caresse sa joue, et la jeune femme blonde lui déposa un léger baiser. Un petit instant bien à elles, voilà maintenant 3 semaines qu’elle partagées leurs vies à deux, et elles étaient très épanouie ensemble.
Après ce petit échange, les deux jeunes femmes sortir de l’appartement.
Michiru – ah bonheur, je vais peut être me débarrasser de ses foutue béquilles.
Haruka – ah ah, mais sa dépendra de comment est ta hanche !
Michiru – Haru … Ne casse pas mon rêve !
Cette dernière ce met à rire, et toutes deux entames leur marche dans le long couloir de la résidence. Arrivé au bord de la première marche Haruka prit Michiru dans ses bras, et descend les quatre étages prudemment. Quand elle furent arrivées jusqu’au parking, la jeune blonde déverrouillé l’alarme, et ouvrant la porte passager posa sa jeune protégé sur le siège.
Michiru – merci !
Haruka – de rien chaton.
Elle lui dépose un léger baiser, et à son tour monte dans sa voiture. Allumant le conteur de cette dernière, Haruka fit une marche arrière, et partie enfin direction le médecin.
Point de vue Haruka.
Ah … Je me demande par quoi je vais commencer aujourd’hui, car étant donné que c’est son anniversaire, j’avais quelques surprises en réservation, mais je ne sais pas par laquel commencer.
Michiru – au faite Haru …
Moi – oui qui y’a t-il ?
Michiru – c’est quand que le directeur envoie nos bulletin de premier trimestre ?
Moi – dans la semaine qui va suivre tout au plus.
Michiru – eh bien, j’espère juste de ne pas encore avoir baisser de niveau !
Moi – comment sa baisser de niveau ?
Je fut surprise de ses mots car de toute la classe, elle est la meilleur, c’est elle qui tiens la meilleure moyenne et pas que dans mes cours.
Michiru – bah tu sais je n’aie jamais était supère forte en cour, je me rappelle encore se que sa donné au collège !
Moi – j’ai du mal à te croire, car ce n’aie pas du tout le cas depuis la rentrée.
Michiru – ah mais sa, c’est parce ce que j’ai un supère professeur !
Je me suis mise à sourire, et voulant jouer la curieuse je lui demande :
Moi – ah … Et comment est ce professeur si particulier ?
Je voie un petit sourire apparaître sur son visage, ses yeux fixent l’horizon et sa voix que j’aime tant entendre résonne.
Michiru – eh bien … Par ou commencer, il y a tellement de choses à dire sur ce professeur. Depuis ma rencontre avec elle, je ne sais pas, mais la vie est devenue nettement plus agréable, je l’admir beaucoup, et en plus d’être mon professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géo, elle est avant tout la femme que j’aime. Sans la regarder, je connais les moindre petites chose qui la rende si belle. De magnifique yeux vert émeraude, un regard qui m’envoûte à chaque fois, une chevelure doré, une taille fine et élancé, et puis elle a ce petit quelque chose qui m’attire encore plus que tout ses détails, son côté masculin que je trouve vraiment attirant, sa la rend si belle … Et en fin de compte, cette femme qui fait tant chavirer mon cœur à deux personnalité, en cour, c’est le professeur sur d’elle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, alors qu’à la maison c’est tout autre, j’ai pue découvrir avec joie qu’elle était en fin de compte très douce, gentil, aimable et très câline, se que j’aprécie car étant moi même très câline, j’aime ses câlins, me retrouver dans ses bras tout contre elle et son cœur. Non vraiment ce professeur je l’aime et l’admir !
À plusieurs reprise mon cœur loupe plusieurs battements, je suis heureuse vraiment heureuse de constater qu’elle tiens autant à moi que moi je tiens à elle. Je m’arrête à un feu rouge, et vint lui prendre la main.
Moi – et ce professeur qu’est t-il ?
Michiru – elle est la moitié de mon cœur, et … Elle est ma partenaire, ma petite femme à moi.
Je sourit tendrement, et m’approche de son visage, je lui prend délicatement le menton, et lui caresse la joue.
Moi – je t’aime !
Michiru – moi aussi Haru je t’aime.
On se sourit, et pour quelques secondes nos lèvres s’unirent dans un doux et long baiser. Je sens sa main se poser sur ma cuisse, ses doigts caresse le fin tissu qui sépare ma peau. Sa langue qui se mêle tendrement à la mienne, c’est un véritable bonheur pour moi, c’est la première fois en 23 ans que je me sens véritablement aimé, et en 23 ans c’est la première fois que je suis autant amoureuse.
On se détachent doucement, et je vint faire frotter mon nez tendrement contre le sien. Elle avait le sourire, un sourire magnifique que j’aime et que je ne me lacerais jamais de regarder. Je lui embrasse le nez et lui murmure avant de reprendre la route :
Moi – quand arrêteras tu de me rendre folle ?
Michiru – folle ? Et de quoi ?
Moi – folle et éperdument amoureuse.
Michiru – je ne le fait pas exprès, mais toi aussi, tu me rend folle chaque jours, chaque minutes et chaque seconde … Ma douce et jolie blonde.
Je lui sourit, un sourire prête à m’en décrocher la mâchoire, je l’embrasse avec douceur, et repris la route direction le parking souterrain. Après quelques minutes de recherche, je rentre dans le parking, essayant de trouver une place.
Michiru- Haru, la tu en a une !
Elle me montre du doigt une place effectivement vide, je sourit et partit me garer.
Moi – merci princesse.
J’éteins le moteur, et sortie de la voiture, remetant ma chemise noire en place. Je me dirige vers la porte passager de Michi, ouvre cette dernière, et vint l’aider à sortir.
Michiru – merci.
Je ferme la porte, pose ses béquilles contre la Porshe, et vint l’enlacer tendrement dans mes bras. Ses bras s’allonge sur mes épaules, et ses mains se mettent à caresser ma nuque. Alors que les miennes descendait le long de son dos. Posant de tant à autre mes lèvres sur son cou.
Moi – quoiqu’il arrive promet moi une chose !
Michiru – tout se que tu veux.
Je lui soulève le menton et lui murmure en caressant sa joue :
Moi – promet moi, que … Que quoiqu’il advienne rien ne pourra se mettre entre nous Michi.
Michiru – je ne sais pas se que va nous reserver l’avenir, mais je te fais la promesse de te garder auprès de moi ma chérie et sa quoiqu’il arrive.
Moi – je t’aime.
Michiru – plus que tout !
Je lui sourit tendrement, et ses lèvres prirent possession des miennes. Ses mains se posent sur mes joues, et ses doigts me caresse. Je laisse mes mains crée une sensation de douceur sur son dos m’approchant doucement d’elle afin d’être serrer contre son cœur. A cet instant j’étais vraiment la plus heureuse.
Je me décolle doucement, écarte quelques mèches bleutée de ses yeux, et lui embrasse le nez. Je lui tend ses béquilles, et c’est en discutant que nous nous avançons vers la sortie du parking.
Michiru – rah lala, j’ai hâte de pouvoir quitter ses chose.
Moi – ah ah, tu est bien impatiente dis moi !
Michiru – oh mais tu c’est je peut me montrer très patiente et coopérente quand t-il le faut.
Moi – ah et dans quoi par exemple ?
Michiru – je c’est me montrer patiente lorsqu’il s’agit de construir un avenir à deux.
Je sourit, continuant de marcher, on prit l’assenceur, et une fois en-bas on se dirige vers le cabinet du médecin qui n’était plus très loin.
Moi – au faite Michi, tu as prit ton roman ?
Michiru – oui oui ne t’inquiète pas, bien que je me demande pourquoi !
Moi – tu verra bien.
Je lui fit un clin d’oeil, et une fois arriver au cabinet je pousse la porte et la laisse rentrer. Je passe à mon tour et parti m’asseoir sur une chaise juste à sa droite. Sa tête se pose sur mon épaule, et ma main prit la sienne. Nos doigts s’entrelacent automatiquement, et je vint lui caresser à l’aide de mon pouce.
Médecin – mademoiselle Kaio ?
Michiru – oui c’est moi !
Médecin – bonjour, vous venez ?
Je me lève, et suivit Michi à l’intérieur du bureau, j’allai prendre place sur une chaise à la gauche de ma douce, et le médecin ce mit à parler.
Médecin – alors comment te sent tu ?
Michiru – ben, nettement mieux, même si parfois j’ai des douleurs qui me lance !
Médecin – me permet tu que je jette un œil ?
Michiru – euh … Oui !
Médecin – suis moi alors.
Son regard se pose sur moi, je lui tapote le nez et lui fit un clin d’oeil. Elle parti donc derrière un rideau, et je vint attendre.
Médecin – ou mais c’est que sa c’est grandement améliorer, on ne voie quasiment plus rien. Donc je suggère que nous te retirons les béquilles.
Michiru – oh bonheur … Si vous savait comme je suis contente de me séparer de ses choses.
Médecin – ah ah, aller viens, je vais tout de même te préscrire une pomade qu’il faudra appliquer sur la cicatrice et sa pendant deux semaine tout les soir.
Michiru – d’accord !
Je la voie revenir, et elle reprend place, m’adressant un grand sourire signe qu’elle était heureuse et soulagé de se débarrasser des béquilles et cela me fait bien rire. Après que le médecin m’est remis l’ordonnance, je sort de mon sac mon porte feuille et en sort ma carte vital, ayant mis Michi dessus pour qu’elle soit couverte et qu’elle est droit aux soins depuis son accident. Je met la carte dans la machine et laissa cette dernière faire les manipulations.
Médecin – merci. Aller je vous liber !
Moi – merci docteur, au revoir !
Michiru – merci encore.
Médecin – mais je vous en prie. Passez une bonne journée mesdames !
Ah, je croix que c’est le premier à remarquer que je suis une femme, due à ma masculinité je suis souvent prise pour un homme.
Quand on fut dehors, je me tourne vers Michi qui souriait.
Michiru – ah … Bonheur je vais enfin pouvoir faire ce que j’avais envie de faire sans les béquilles.
Moi – ah, et quoi donc ?
Michiru – bah déjà pouvoir prendre la main de celle que j’aime sans difficulté !
Je sourit, elle est vraiment adorable. Je lui prend sa main, et ses doigts s’emmêlent avec les miens, je mit mes lunettes de soleil sur le nez, et commence à marcher avec elle. Librement comme un vrai couple.
Michiru – dis moi Haru, on pourrais passer à la banque ?
Moi – oui pas de souci trésor.
On se sourit, et parti direction la banque. Une fois arrivé devant cette dernière j’en profite pour sortir un peut de liquide car je compter bien lui faire quelques cadeaux. Bien que les deux premiers soit gros.
Je me dirige vers elle, et me place à ses côtés.
Michiru – excusez moi, j’aimerais savoir combien me reste t-il se ma carte.
Conseiller – oui bien sur mademoiselle, quel est votre nom ?
Michiru – Kaio !
Conseiller – un instant je vous prit.
Pendant que l’homme cherché les informations souhaiter par Michi, nos yeux se croisent, je lui écarte quelques mèches, et lui offre un doux sourire.
Conseiller – mademoiselle Kaio !
Michiru – oui ?
Conseiller – voilà vous disposé d’un total de 20 876 €.
C’est énorme, Michi n’a pas l’air surprise.
Michiru – et vous savez si mon compte est encore en suspension ? Sachant que je viens d’atteindre ma majorité.
Conseiller – non nous avons réussi à vous débloquer !
Michiru – je vous remercie, passé une bonne journée.
Conseiller – mais je vous en prit.
Et après sa, nous sortîmes de la banque. Je remis mes lunettes de soleil, prit sa main dans la mienne, et commence à marcher avec elle.
Michiru – eh bien, je n’aurais jamais crue posséder une tel sommes.
Moi – c’est tout de même énorme … et comment se fait t-il que tu en est accumulé autant ?
Michiru – en faite, ma mère avant sa mort vivez dans un milieu très aisé, c’est pour sa que mon père a tant voulu sa mort pour pouvoir récupérer ses biens pas la suite. Quand je me suis retrouvait en famille d’accueil cette dernière disant que j’étais trop jeune pour avoir une tel sommes à fermé mon compte. Mais bon maintenant que j’ai 18 ans, j’ai le droit d’y toucher !
Moi – je comprend mieux … Aller tu me suis ?
Michiru – où sa ?
Moi – ah ah.
Je lui sourit, et la traina avec moi jusqu’à un bâtiment qu’elle connaissait que trop bien. Arrivé devant ce dernier, Michi fut surprise, elle se tourne vers moi et dit :
Michiru – Haru mais pourquoi on est devant l’édition Tomoé ?
Moi – et si on entré ?
Michiru – d’accord !
Et après ses quelques mots, on entrâmes à l’intérieur de l’édition.
Point de vue Michiru.
Je me demande se qu’elle a en tête. Je m’approche, et voie un homme de vieil âge avec une femme assez grande, un tailleur noir et blanc la couvrait.
Monsieur Tomoé – ah vous devez être mademoiselle Tenoh et mademoiselle Kaio ?
Haruka – c’est exact, bonjour monsieur Tomoé ! Bonjour madame.
Madame Tomoé – bonjour, venez assayez-vous.
Sans que je ne comprenne la tournure des événement qui défilent devant mes yeux, je prend place sur une chaise, à la gauche de ma jolie blonde.
Monsieur T – alors qui est mademoiselle Kaio ?
Moi – euh … C’est moi monsieur.
Monsieur T – bonjour à toi, alors je supose que tu te demande se que tu fait ici !
Moi – oui !
L’homme me passe un calpin avec une feuille dessus. J’observe cette dernière et remarque que c’est un contrat … Un contrat ? Mais bien que je connaisse parfaitement cet édition, je n’aie jamais envoyer mon roman, du moins je n’ose pas l’envoyer de peur que cela ne soit pas à la hauteur de leur attentes. Je regarde Haruka qui me souriait tendrement. Ce pourrait t-il que …
Monsieur T – en fait ton ami nous a contacté il y a quelques semaines et nous a fait comprendre que tu aimer écrire, et que tu avait par la même occasion terminé ton roman …
Madame T – elle nous la envoyée par mail … Et sa nous a beaucoup plus. Donc si tu es d’accord, nous pouvons le publier. Et je serait ton agent.
Je … Je n’arrive pas à y croire. Je retiens mes larmes qui son prête à couler, je suis tellement heureuse, un bonheur immense m’enivre, et je regarde Haruka le sourire aux lèvres.
Moi – euh … Je ne sais pas quoi dire, sa fait longtemps que je rêve du jour ou je pourrais me faire connaître dans ce domaine, mais je suis encore lycéenne.
Monsieur T – oui nous le savons, et comme tout a déjà était réglé, nous avons réfléchit ma femme et moi afin de te construire un emploi du temps adapter à ton statut scolaire. Donc serait tu d’accord pour faire de ton roman une première parution ?
Moi – oui.
Dans peut de temps j’allais exploser de joie, c’est elle qui a fait sa pour moi, car elle c’est que c’est ma passion. Je retiens au maximum mes larmes qui me menace, Haruka ainsi que moi signons, car il ne faut pas oublier que c’est aussi ma tutrice.
Les minutes s’écoulent et après avoir sérieusement parlé de ce futur projet, Haru et moi sortons du bâtiment.
Je me tourne, et sauta littéralement dans ses bras, laissant mes larmes de bonheur couler.
Moi – oh merci … Merci beaucoup pour ce que tu viens de faire. Si tu savais à quel point je suis heureuse !
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
J’arrive pas à le croire, c’est pour mon anniversaire qu’elle a fait sa. C’est le plus beau cadeaux que l’ont puisse me faire.
Moi – merci infiniment mon amour … Tu est vraiment génial.
Et sans me retenir je dépose mes lèvres sur les sienne. Heureuse et décidément éperdument amoureuse.
Point de vue Haruka.
Je suis vraiment heureuse, ma surprise la rendu heureuse, et sa me faisait beaucoup de bien, de la voir ainsi. Je lui caresse la joue et répond à son baiser . Tout se que je voulais c’est la voir heureuse et épanoui.
On se décolent doucement, et je lui écarte une mèche de ses yeux.
Moi – je suis heureuse que cela te plaise !
Michiru – merci beaucoup Haruka, tu viens de me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà !
Moi – contente de l’apprendre … Aller ont continue ?
Michiru – oui.
J’allonge mon bras droit sur ses épaule, alors que son bras gauche se pose sur mon dos. Nous continuons notre chemin, ignorant le regard des autres. Sa tête se pose sur mon épaule, et ses doigts se mirent à caresser ma hanche. On arrivent devant un magasin de vêtements féminin, Michi se tourne vers moi et me demande :
Michiru – dis Haru, on peut y aller ?
Moi – bien sur mon ange, aller je te suis.
Ses lèvres se pose sur ma joue, elle me sourit, et je la suivit à l’intérieur du petit commerce. Je la voie se diriger vers les robes, se qui me fait sourire. Alors qu’elle me fait signe qu’elle allait dans une cabine d’essayage. Je lui fit un clin d’oeil et me dirige vers un petit stand de bijou et fantaisie féminin. Je regarde et aperçut une paire de boucle d’oreille argenter en forme de goûte de pluie, accompagné de petits diamants plus brillant les uns que les autre. Je sourit et vint prendre le bijou en main.
Je sent soudain mon téléphone vibrer, je prend se dernier en main, et le déverrouille et consulte ma messagerie. C’est un message de Michi qui me demande de venir la voir. Je souris, range mon cellulaire dans la poche de mon pantalon noir, et me dirige vers le font, la ou se trouve les cabines.
Moi – je suis la Michi.
Je voie le rideau se tirer vers la gauche, et fut ébloui de la voir aussi jolie. La robe qu’elle portée est de couleur noire, il y avait un petit cœur ou l’ont pouvais voir sa peau, relié par une large ficelle noire au cou. Le contour du cœur est de couleur argenter.
Elle est tellement belle, elle fait plus femme dans cette robe et cela me fait encore plus chavirer.
Moi – tu est vraiment très belle dans cette robe Michi !
Michiru – c’est vrai ? Merci … C’est gentil. Donc allait je la prend.
Elle me sourit, et tire le rideau pour se couvrir afin de se changer. Je ne sais vraiment plus quoi dire … Tant de chose se sont passé depuis notre rencontre, et je voulais à tout prit la garder prêt de moi et pouvoir la chérir tendrement chaque jours.
Quelques petites minutes après, ma douce revint vers moi avec la robe noire, je lui prit, et vint saisir sa main.
Michiru – attend, j’ai vue des chaussures qui vont avec la robe !
Je sourit et la suivit à travers le magasin. Arriver prêt de ses fameuse chaussures, je jette un œil à ses dernière et effectivement elles étaient assortie à la robe, ouverte sur le dessus un fin talon et le contour de l’ouverture en argent.
Moi – quel pointure fais tu ?
Michiru – du 38.
Je me baisse, et chercha la taille 38. J’en trouve une, je vint doucement prendre le carton en faisant attention de ne pas faire tomber les autres. Je me tourne vers Michi, et ouvre le carton, prend une des paire, et vint lui prendre doucement le pied droit. Je lui retire sa ballerine, et lui passa la chaussure noire au pied. Je lève mes yeux vers elle et lui sourit tendrement.
Moi – comment tu te sent ?
Michiru – ça va oui, je ne suis pas sérré dedant !
Moi – dans ce cas.
Je remet la chaussure dans le carton, lui remis la balerine, me lève, prit sa main, et je nous dirige vers la caisse.
Moi – tu m’attend dehors ?
Michiru – mais Haru … Tu, tu en as déjà asse …
Moi – chuut … C’est ton anniversaire non ? Alors laisse moi te faire plaisir ma chérie d’accord ?
Michiru – tu est trop … C’est d’accord, je t’attend dehors.
Je lui tapote le nez, lui pose un délicat baiser, et la laissa filer. Je l’observe pendant quelques minutes, heureuse qu’elle soit devenue mienne qu’elle soit devenue … Ma petite femme à moi.
Quand ce fut mon tour, je passe les articles, et vint payer ce qu’il falait. Puis enfin je sorti avec une poche et les boucles d’oreilles que je garde en main. Arrivé à l’extérieur, je la vit en train de regarder le ciel. Je sourit, et me dirige vers elle.
Moi – c’est bon, je suis là !
Michiru – merci, tu est vraiment gentil, jusque là personne n’en avait fait autant pour moi !
Moi – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que je fait tout sa car …
Je vint la prendre dans mes bras, et dit en caressant sa joue :
Moi – pour toi rien n’est trop beau !
Michiru – je t’aime tu sais … Je t’aime de tout mon cœur.
Moi – moi aussi Michi je t’aime et te désir plus que tout.
Je la regarde dans les yeux et déposa mes lèvres sur les siennes, lui offrant un doux baiser. Ses mains se posent sur mes épaules, et les miennes reste sur ses joues. Mon cœur bat tellement fort … Je suis si heureuse.
Nos lèvres se détachent, et je la dévisage avec tendresse. Je prend les petite boucles, retire le plastique, enlève les attaches et vint doucement lui mettre les boucles. Je met les fermoirs pour ne pas qu’elle les perde. Je lui caresse la joue, et vint la prendre par les épaules. Sa main se place sur ma hanche gauche, et sa tête se pose sur mon épaule.
Michiru – merci …
Moi – ce n’aie rien, sa ma fait plaisir.
On se sourit, et nous continuâmes de marcher dans la rue marchande. Après quelques heures de promenade, nous étions enfin rentrée à la maison. Je me trouver face à ma douce, mes mains dans son dos, et mon front contre le sien. Ses bras s’allongent sur mes épaules et son nez se met à caresser le mien.
Michiru – merci pour cette journée, elle a était magnifique passé à tes côtés.
Moi – mais ce n’est pas fini.
Michiru – alors, si ce n’est pas fini … Haru fait moi goûtter au bonheur !
Moi – tes désirs son des ordre mon amour.
Et d’une manière très amoureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse et mon amour. Je laisse mes mains la serrer contre moi, mes doigts caressant le tissu qui couvrait sa peau si douce. Ses mains attrape le haut de ma chemise, et elle me tire vers elle. Ma jambe gauche se met entre ses jambes, mon corps est préssé contre le sien, et mes mains montent afin de se poser sur ses joues.
Je me sent tellement bien, ce que je ressent est indescriptible, tout mes sens s’affolent, et mon cœur bat de plus en plus vite. Nos langue se trouvent, et se chamaillent tendrement entre elles, je pouvais rester des heures à savourer ce bonheur qui m’est à présent offert. Et je ne suis pas prête à le laisser filer. Nos lèvres se détachent doucement, nos front se caresse, et je vint lui caresser la joue, plongeant mes yeux dans les siens.
Michiru – je n’aurais jamais crue … Que la vie puisse m’offrir ce cadeau, je remercie de tout mon cœur le ciel de m’avoir offert ce bonheur qui m’enivre de plus en plus …
Sa main se met à caresser ma joue, et je continue de l’admirer avec avec douceur un petit sourire au coin des lèvres.
Michiru – malgré mon jeune âge, je ne veux pas faire se que font les filles de mon âge, à se dévêtir pour les plaisirs d’autrui, à ruiner ma santé avec des subtance chimique, parce ce que ce que je désir plus que tout je le tiens dans mes bras, j’ai 18 ans et bien que je pense sérieusement à mes études, j’aimerais de tout mon être construir un futur avec la femme que j’aime et désir plus que tout, je veux pouvoir me réveiller chaque matins dans ses bras, pouvoir partager ma vie mes secrets et rêves avec elle, pouvoir … Me voir vieillir à ses côté, et lui porter tout l’amour que je ressent pour elle. Car là … Maintenant je c’est qu’elle est la femme de ma vie.
Je sourit, l’envie de pleurer de joie me tiens, mon cœur bat tellement fort, je ne contrôle plus les pulsassions de ce dernier, je me sent mourir, ses paroles résonne dans ma tête, et s’enferme à l’intérieur de mon cœur, je lui caresse la joue, et la dévisage avec douceur, je ne voyais rien mais je savait que mes yeux brillait de bonheur, je lui sourit et elle aussi.
Je vint la prendre dans mes bras, et tout en la regardant avec tendresse, monta les escaliers et me dirige vers ma chambre … Enfin je veux dire notre chambre. Arrivé dans cette dernière je ferme la porte, et vint l’allonger sur le lit, me mettant doucement au dessus d’elle. Je plaque tendrement mes mains sur ses oreilles et caresse ses tempes, ses mains caressent mes joues, et mon front caresse le sien.
Moi – alors … Construisons notre futur toute les deux maintenant … Afin de se crée de merveilleux souvenirs mon trésor … Je ne souhaite que pouvoir vivre et t’aimer sincèrement tout au long de notre vie.
Elle ma sourit, et dans un accord harmonieux nos lèvres se scellèrent amoureusement. Partageant avec délice et tendresse notre petit bout de bonheur qui grandissait à chaque instant passer ensemble. Je laisse mes mains prendre soin de son corps, lui offrant diverses caresse plus douce les unes que les autres.
Nos langues, après un petit moment de recherche finissent par se trouver, et une bataille tendre et câline commencent entre ses dernières. Je sent ses mains m’approcher encore plus d’elle, cela me fit sourire laissant mes mains se livrer à son dos, je remonte doucement afin d’être à sa hauteur et continue de l’embrasser avec toute ma passion et ma tendresse.
Je sent un léger courant d’aire sur ma poitrine, et je sent ses mains retirer ma chemise. Laissant mes mains dénuder doucement son corps. Ma chemise ainsi que sa robe se retrouvent sur le sol, et nos lèvres continuent de se goûter avec amour se découvrant un peut plus chaque seconde.
Au bout de quelques minutes entre nos câlins et baisers enflammés nous étions à présent sous la couette, nue et toujours enlacé l’une contre l’autre. Je me trouvais toujours au dessus d’elle, et jouer tendrement avec ses lèvres qui s’amuser à me mordre, se qui me faisait bien rire. Nos yeux se rencontrent et se caressent tendrement, laissant doucement mes lèvres embrasser son nez.
Moi – si tu savais, à quel point je me sent bien avec toi, je n’est pas de mots assez fort pour te dire ce que je ressent, mais se que je peux te dire c’est que tu est la femme de ma vie, que tu est celle qui enflame mon cœur … Que tu es celle avec qui je veux partager ma vie.
Michiru – moi aussi … Ma si jolie blonde, je t’aime d’un amour sincère et véritable.
Moi – moi aussi mon ange, l’amour que j’éprouve à ton égard est sincère.
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un tendre baiser. Ainsi enlacé tendrement dans les bras de l’être aimé nous nous échangions avec amour notre bonheur et quoi de plus doux que de faire passer ce bonheur dans un doux et long baiser suivit d’une longue étreinte amoureuse. Ah … Décidément je suis véritablement [i]la plus heureuse et amoureuse.
Quelques heures plus tard. Après ce moment très agréable passé avec elle, je me trouvait dans la cuisine en train de préparer à manger. Pour ce soir j’ai prévue de faire son plat préféré qui est du riz avec des quenelles. Logeant au quatrième étages donc au dernier, je possède un balcon bien étrange pour un appartement me diriez-vous. Mais tout de même agréable quand j’avais besoin de me vider l’esprit. Je prit les couverts nécessaires, et pendant que le riz cuisez et les quenelles réchauffer, j’allais dresser la table dehors, quoi de beau pour un anniversaire que de le terminer par un dîner en tête à tête. Michi devait sûrement se trouver dans la salle de bain en train de prendre sa douche. J’espère qu’elle verra le petit mot que je lui est laisser sur le lit là ou j’avais prit soin de mettre la robe noire que je lui avait offert il y a quelques heures plus tôt. [/i]
Ah … Si un jour ont m’aurait dit que je serait au petit soin de quelqu’un je ne l’aurais jamais crue.
Point de vue Michiru.
Ah … Sa fait du bien une bonne douche. Je vint rapidement m’enrouler dans une serviette sentant le froid me gagner. Je commence à me sécher de toute part, je met le bout de la serviette entre ma poitrine pour que la serviette puisse tenir. Je prend le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement.
Je regarde mon reflet dans le miroir, et aperçoit un sourire … Un sourire heureux, tout se qui c’est passé aujourd’hui j’ai encore du mal à y croire, surtout au sujet de l’édition, quand je pense que j’allais me faire connaître pour de vrai. Je suis tellement heureuse, et ma relation avec ma jolie blonde me rend encore plus heureuse de savoir que nous désirons la même chose, construire et fonder notre vie ensemble, cette journée avec elle ma permis une bonne fois pour toute de mettre mes sentiments dans l’ordre, car à présent, je sais que je veux terminer ma vie à ses côtés, et sa quelque soit le prix à payer.
Quand j’eu terminé, je sort de la salle de bain et me dirige vers notre petit nid d’amour, et m’enferme à l’intérieur. Je remarque la robe noire sur le lit, il y avait un petit mot dessus, je m’approche et prend ce dernier en main et le lue silencieusement.
« s’il te plait met cette robe ma chérie »
je sourit tendrement, je pose le mot sur la petite table de chevet, et alla chercher ma lingerie dans l’armoire. Sa fait bizarre tout de même de se retrouver dans ce genre de situation, un vrai petit couple sommes nous, car en y repensant, on partage tous, nos rire on mangent ensemble on fait des chose ensemble que se soit en public ou en toute intimité, bien que j’avais une préférence pour nos petit moments intime, tel que tout à l’heure, je n’aurais jamais crue pouvoir dépasser ma peur depuis que père m’est fait des attouchements. Mais sa prouver que je grandissait et que j’avais vraiment l’ambition de ne pas laisser cette perle rare s’échaper.
Quand je fut totalement habiller et maquillé, je me dirige vers le miroir, et me regarde longuement. J’avais du mal à me reconnaître. J’avait enfiler la robe qu’elle ma offerte, des collants noir couvrait mes jambes, les boucles aussi je les aie mise, j’avais laisser mes cheveux détacher, les tirant juste vers le côté gauche, et une rose noir trônait dans ma chevelure. Comme maquillage j’avais choisi simple, du laïner noir et d’un rouge à lèvres rouge. Et m’étais légèrement parfumer avec une eau de parfum portant le nom de « Intime » de Arno Sorel.
Je me demande tout de même pourquoi Haru ma demander de porter la robe. Avant de descendre, j’enfile les chaussures noir qui se marie avec ma robe, et le cœur battant à la chamade je sort de la pièce. Je remarque que tout est éteins, il y a juste de la lumière provenant du balcon, donc doucement je descend les marche.
Hm, sa sent délicieusement bon, je me rend au balcon, et mon cœur se serra en voyant la scène qui s’offrait à moi. Un … Un dîner en tête à tête, au milieu du balcon est dresser une petite table ronde couverte par une soyeuse nappe blanche, sur cette dernière se tient les couverts, il y a deux cloches argentés sur les assiettes gardant les aliments chaud, et au milieu de la table se trouvé un bougeoir avec trois bougies. C’est vraiment magnifique, en plus avec un ciel noir parsemé d’étoiles c’est encore plus magique.
Moi – c’est vraiment magnifique. Dis-je en m’avançant
je voie Haruka se tourner, et elle eu un doux sourire accroché aux lèvres en me voyant. Je m’approche d’elle, et vint caresser ses yeux avec les miens.
Haruka – c’est toi qui est magnifique ce soir mon trésor.
Moi – merci et … Tu est aussi vraiment très belle ce soir Haruka !
Mon cœur battait à mille à l’heures, et je n’arriver pas à contrôler mes pulsions. Sa main c’est posée sur ma joue et ses doigts crée une douce sensation de légèreter. Je m’approche, et pose mes mains sur sa poitrine, plongeant mes yeux azur de le sien, lui souriant avec tendresse.
Haruka – cette robe te va à ravir, et ce maquillage te rend tellement belle.
Je sourit, je m’approche et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Ses mains vinrent me serrer contre elle, allant caresser mon dos, une légère brise se fait sentir, et mes cheveux virevolte donnant à cette instant, un aspect romantique et magique. Nos lèvres se détachent doucement, et sa main monte à ma joue gauche et ce met à la caresser. Je porte ma main droite à son visage et lui écarte quelques mèches blonde de ses yeux descendant mes doigts en une caresse vers sa joue.
Haruka – et si … On allaient manger ?
Moi – d’accord.
Je te pose un petit baiser sur le nez, et alla prendre place sur l’une des chaises face à toi. Mes yeux te fixaient intensément depuis tout à l’heure, n’en revenant toujours pas de se que tu as fait pour moi tout au long de cette journée.
En prenant ma main droite dans la sienne, Haru à soulevé nos cloches, et un tendre sourire apparue sur mes lèvres, elle avait donc déjà tout prévue, cela me remplissait de joie et de bonheur. Je lève mes yeux et lui dis avec un doux sourire :
Moi – tu y a pensé … Merci, merci ma chérie.
Haruka – bien sûr, après tout c’est un jour important.
Je t’aime … Je n’arrête pas de sourire tant le bonheur frappe mon cœur. Je nous serre de l’eau, et tout en la regardant je me suis dit « tu as vraiment de la chance de l’avoir à tes côtés. »
Haruka – bonne appétit mon ange.
Moi – à toi aussi … Ma jolie blonde !
On c’est sourit, et nous avons commencés à manger. Hm que c’est bon, en plus d’être la femme parfaite à mes yeux, c’est un vrai cordon bleu. J’enlace mes doigts avec les siens, et la dévisage avec le sourire, tout sa … J’avais l’impression de vivre un véritable compte de fée comme Cendrillon.
Moi – si un jour on m’aurais dit que je serait heureuse … Je ne l’aurais jamais crue, merci beaucoup pour tout se que tu as fait, c’est … C’est vraiment beaucoup et sa représente tant pour moi.
Haruka – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que j’ai fait tout sa.
Je lui sourit, prête à verser mes larmes qui depuis le début de la soirée me menace de couler. Puis quand ont eu fini, Haru c’est levé et sous mon regard doux et surpris elle c’est dirigé vers moi.
Se mettant derrière moi, je lève mes yeux et lui sourit tendrement. Je voie sa main piocher dans unes de ses poches de pantalon, et elle sortie une petite boîte marron, qu’elle me mit devant les yeux. Je me demande bien se que sa peut être, mon cœur bat tellement vite.
Doucement elle a ouvert la petite boîte, et mon cœur se mit à tanguer fortement dans ma poitrine. A l’intérieur de l’étui se trouvé un petit cœur en argent, sur ce dernier, il y avait des lettres qui formé le mot « Je t’aime » je touche doucement le bijou, me demandant ce que cela pouvais être.
Haruka enlève le bijou de la boîte et je remarque que c’est une petite chaîne argenté, elle est magnifique, vraiment je ne sais quoi dire. Ma jolie blonde me le passe au tour du cou, et sa voix résonne au creux de mon oreille.
Haruka – joyeux anniversaire mon trésor.
J’ai levé mes yeux, et heureuse, j’ai déposé mes lèvres sur les siennes. Lui offrant un long et doux baiser. Caressant sa cheveulure, mêlant tendrement mes doigts à l’intérieur. Ses bras à elle entourés mon cou, et ses mains caresser ce dernier.
Jusqu’à présent personne n’avait fait sa pour moi, jamais on m’avait t’émoigner autant de tendresse et d’amour. Et cela me rendait éperdument heureuse.
Doucement ont se détachent, mais nos yeux continuent de se caresser, chacune habitant un sourire heureux.
Moi – il est magnifique … Merci mon amour.
Haruka – chuut … Pour toi, rien est trop beau !
Elle est vraiment adorable, puis doucement, elle ma prit la main et me conduit jusqu’à sa chaise. Elle prit place sur cette dernière, et me prit dans ses bras. Je me retrouve assise sur ses jambes, mes bras s’allongent sur ses épaules, et les siens s’avanturent dans mon dos. Un vent léger souffle et fait virevolté nos cheveux, elle est tellement belle, j’emène ma main gauche à sa joue et la caresse.
Moi – cette journée … Je ne l’oublierais jamais, merci Haruka !
Haruka – tu sais … Il est évident que pour toi, je serait prête à tout pour te rendre heureuse et te voir sourire tu … Tu compte tellement à mes yeux Michi.
Moi – toi aussi … Tu compte beaucoup pour moi, et pour rien au monde je ne t’échangerais pour voir de simple sourire de satisfaction.
Elle ma sourit et ma doucement embrassé. Je répond délicatement à sa douceur, posant mes mains sur ses joues et caressant sa peau avec mes pouce. Sans que je m’en rende compte Haru me mit des écouteurs aux oreilles, suivit d’un petit mp3, nos lèvres jouaient toujours ensemble, et une voix … Sa voix résonne dans la petite machine.
« Michi, je te souhaite un très joyeux anniversaire. Voila maintenant un mois que je vis un véritable bonheur à tes côtés, depuis que mes yeux ont croisé les tiens, je me suis demandé ce qui se passer pour que je soit autant subjugé. Le simple fait qu’en même pas un mois tu est devenu importante à mes yeux, je vais être honnete, mais je n’aie jamais pue connaître le véritable amour … Avant de tomber sur toi, se que je souhaite plus que tout ma chérie et qu’un jour tu devienne ma femme, quand j’ai appris ce qui tes arrivé, j’ai tout fait pour le cacher, mais voilà je t’aime et suis profondément amoureuse de toi. L’autre jour, tu m’as posé une question, tu m’as posé se dont je rêvé, et bien maintenant je peux te répondre, se que je rêve c’est de construir un futur avec toi, pouvoir un jour fonder notre propre famille ainsi que de te voir en robe blanche. Il n’y a que toi qui me rende ainsi, il n’y a que toi avec qui je veux terminer ma vie. Mon trésor, je t’aime je t’aime et je t’aime, tu est la femme de ma vie, et je ne veux pas te perdre. Je te souhaite un très bon anniversaire et te fait mille gros baisers, je t’aime ma chérie, ne l’oublie jamais. »
Alors que mes yeux la dévisagent, des larmes roule le long de mes joues, je … Je suis si heureuse, je pose le mp3 sur la table, et la regarde en pleurant de joie, mon cœur battait tellement vite, je ferme mes yeux et respire profondément, mordant ma lèvres inférieur et lâchant un petit rire.
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
Je lui prend les mains, tourne ma tête vers la droite et mes yeux encore embués de larmes fixent les étoiles.
Moi – moi aussi … Ce que je souhaite plus que tout et de construir un futur à tes côtés, je rêve chaque jour de ma vie avec toi, je n’aie jamais ressentie de tel émotions avant de te connaître, mais je t’aime d’un amour sincère et profond, je souhaite de tout mon cœur pouvoir un jour devenir ta femme et porter ton nom, je souhaite plus que tout te rendre heureuse, et te chérir tendrement chaque jours de notre vie …
je tourne ma tête, et la regarde les larmes aux yeux, elle me sourit, effaçant de sa main douce mes larmes.
Haruka – alors … Je souhaite plus que tout pouvoir unir mon cœur au tien mon trésor. Je t’aime tu sais.
Moi – moi aussi Haru je t’aime … Je t’aime bien plus qu’il ne le faut !
On c’est sourit, et nos lèvres se sont unies. Je me sentit soulever, mais je ne fait rien pour me débattre, juste à continuer de l’embrasser avec tendresse. J’entends une porte se fermer, et me sentit allonger. Nous étions dans notre chambre, et je sentait son souffle chaud sur ma peau, elle se trouvée au dessus de moi, et malgré la pénombre je pouvais voir ses magnifique yeux pétiller.
Haruka – ma chérie … Pour ce jour si exceptionnelle, me laisserais tu te faire goûter au bonheur ?
Moi – oui … Je suis toute à toi ma jolie blonde.
Elle me sourit, et nos lèvres se scellèrent amoureusement. Je vint doucement la dévêtir, laissant tomber sa chemise sur le sol, je laisse mes main parcourir son corps, sa peau qui est douce et chaude à la fois.
Je me retrouver à présent nue sous les draps mon corps frissonnant de plaisir. Pour la première fois, je me sentait bien, et je n’avais pas peur. Je dirige mes lèvres vers son cou et lui embrasse longuement. Ses mains parcourent mon être, et ses lèvres se perdent dans mon cou. Jusqu’à ma poitrine, le désir prenait de plus en plus d’ampleur, et j’avais irrésistiblement envie d’elle.
Moi – oh Haru … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon ange !
Elle a caresser ma joue, et ses lèvres ont repris les miennes en otage. Cette nuit pour la première fois fut la plus magique de toutes, pour la première fois depuis 18 ans je me laisser envahir par le plaisir que l’ont ressent à deux. Cette nuit, elle ma rendu heureuse, cette nuit elle a prit définitivement prit possession de mon cœur. Cette nuit ou Haruka me fit tendrement l’amour. Cette nuit ou je suis réellement tombé encore plus amoureuse.
Et voila la fin de ce chapitre ^^ à la prochaine :)
Dim 20 Oct 2013, 13:50 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
Écouter c'est...
L’écoute est un bon moyen d’aimer. L’écoute est un bon moyen de bien juger. Nous jugeons tous mais pouvons-nous écouter pour mieux juger? Souvent, les gens écoutent seulement pour répondre, pour démontrer leur point de vue. Mais peut-on donner un bon point de vue sans écouter vraiment attentivement? Le jour où j’ai connu l’écoute, le vrai, j’ai été séduite, conquise face aux biens faits sur ma vie et sur mon amour-propre. Je me suis vraiment sentie aimé pour une des premières fois lors qu’enfin, quelqu’un a prit le temps de m’écouter, de s’intéresser à moi. Depuis, j’écoute attentivement. Ce fut l’effet de donner au suivant.
L’écoute m’a transformé positivement car la personne qui m’en a fait cadeau m’a fait ressentir importante et belle. Elle m’a fait prendre conscience que l’écoute permet de s’entendre parler, oui, s’entendre parler. Lorsque le discours est libre, nous avons l’occasion de nous entendre nous-même et souvent, dans ce processus, nous découvrons des solutions pour soi-même; nous faisons des prises de conscience. Des vérités se révèlent. Aussi, quand une personne écoute et prend le temps de découvrir l’ensemble de ce que l’autre vie, elle peut mieux non seulement comprendre mais aussi guider. Pour moi, l’écoute est l’une des plus belles preuves d’amour. Écouter, c’est faire attention à la réalité de l’autre...
Les relations les plus belles sont celles où l’échange est mutuel, où chacun à son temps pour se dire, parler, se raconter. Aussi, l’écoute permet d’observer la vie. De la voir telle qu’elle est. L’écoute est une forme d’observation, qui permet de mieux voir la réalité qui nous entoure. Se retrouver dans un groupe et écouter, observer, c’est là le moyen de bien connaître les autres et de profiter de leurs expériences pour notre propre vie.
Pour écouter, nous avons besoin d’être dépourvu de jugement rapide, pourvu d’attention sur l’autre et non sur ce que l’on se dit par rapport à ce que l’autre dit. Être attentif, c’est de s’oublier un moment, de faire fi de notre discours intérieur pour mieux entendre l’autre. Écouter est difficile, c’est une façon de faire qui demande de l’effort. Écouter c’est aussi parfois faire répéter car il est difficile de se détacher de notre discours intérieur. Celui qui parle ne sera jamais vexé si vous prenez le temps d’admettre que vous avez perdu un moment d’attention, d’écoute. Il saura que malgré votre distraction, votre désir est tout de même de l’écouter.
Écouter guéri les gens... Pour l’avoir fait si souvent, je le sais viscéralement. Je ne peux plus retourner en arrière et tenter de convaincre les gens sans prendre le temps de les écouter. Beaucoup vivent des difficultés face au fait que les gens peuvent se plaindre de leur vie. Mais tous avons besoin de moments d’écoute, qu’importe le contenu du discours. Écouter donne aussi de la crédibilité. Quand on écoute, on sait mieux ce que l’autre peut vivre; alors si un jour celui que vous écoutez vous demande votre avis, vous serez certainement de bon conseil puisque vous connaissez l’ensemble de l’histoire de sa vie ou de ce qu’il vit à ce moment même. Votre jugement sera porteur de connaissances face à leur vie.
Parfois, je peux passer des heures à écouter et j’apprends beaucoup.
L’écoute est un cadeau, pour soi-même et pour l’autre. Il rend intelligent par la compréhension de ce que l’autre vie. Écouter est plus puissant que parler et donne davantage de l’influence sur les autres.
Écouter, c’est aimer et rencontrer l’autre dans ce qu’il vit et c’est un bonbon délicieux de se sentir entendu.
L’écoute m’a transformé positivement car la personne qui m’en a fait cadeau m’a fait ressentir importante et belle. Elle m’a fait prendre conscience que l’écoute permet de s’entendre parler, oui, s’entendre parler. Lorsque le discours est libre, nous avons l’occasion de nous entendre nous-même et souvent, dans ce processus, nous découvrons des solutions pour soi-même; nous faisons des prises de conscience. Des vérités se révèlent. Aussi, quand une personne écoute et prend le temps de découvrir l’ensemble de ce que l’autre vie, elle peut mieux non seulement comprendre mais aussi guider. Pour moi, l’écoute est l’une des plus belles preuves d’amour. Écouter, c’est faire attention à la réalité de l’autre...
Les relations les plus belles sont celles où l’échange est mutuel, où chacun à son temps pour se dire, parler, se raconter. Aussi, l’écoute permet d’observer la vie. De la voir telle qu’elle est. L’écoute est une forme d’observation, qui permet de mieux voir la réalité qui nous entoure. Se retrouver dans un groupe et écouter, observer, c’est là le moyen de bien connaître les autres et de profiter de leurs expériences pour notre propre vie.
Pour écouter, nous avons besoin d’être dépourvu de jugement rapide, pourvu d’attention sur l’autre et non sur ce que l’on se dit par rapport à ce que l’autre dit. Être attentif, c’est de s’oublier un moment, de faire fi de notre discours intérieur pour mieux entendre l’autre. Écouter est difficile, c’est une façon de faire qui demande de l’effort. Écouter c’est aussi parfois faire répéter car il est difficile de se détacher de notre discours intérieur. Celui qui parle ne sera jamais vexé si vous prenez le temps d’admettre que vous avez perdu un moment d’attention, d’écoute. Il saura que malgré votre distraction, votre désir est tout de même de l’écouter.
Écouter guéri les gens... Pour l’avoir fait si souvent, je le sais viscéralement. Je ne peux plus retourner en arrière et tenter de convaincre les gens sans prendre le temps de les écouter. Beaucoup vivent des difficultés face au fait que les gens peuvent se plaindre de leur vie. Mais tous avons besoin de moments d’écoute, qu’importe le contenu du discours. Écouter donne aussi de la crédibilité. Quand on écoute, on sait mieux ce que l’autre peut vivre; alors si un jour celui que vous écoutez vous demande votre avis, vous serez certainement de bon conseil puisque vous connaissez l’ensemble de l’histoire de sa vie ou de ce qu’il vit à ce moment même. Votre jugement sera porteur de connaissances face à leur vie.
Parfois, je peux passer des heures à écouter et j’apprends beaucoup.
L’écoute est un cadeau, pour soi-même et pour l’autre. Il rend intelligent par la compréhension de ce que l’autre vie. Écouter est plus puissant que parler et donne davantage de l’influence sur les autres.
Écouter, c’est aimer et rencontrer l’autre dans ce qu’il vit et c’est un bonbon délicieux de se sentir entendu.
Lun 16 Sep 2013, 00:40 par
Peacefulminding sur Articles
L'amour c'est...
Qu’est-ce que l’amour?
Aimer est un mélange de l’ego et du don. Donner de l’amour mais pourquoi? Pour le recevoir? Pour assouvir nos besoins propres? Il est dit, dans la définition de l’amour dans Wikipedia, qu’il existe l’amour égoïste qui est de prendre ainsi que l’amour de Dieu, celui inconditionnel qui lui a pour but de donner. Aimer peut être aussi d’aimer des friandises ainsi que des choses.
Alors nous aimons nos enfants, notre conjoint, notre famille, nos ami(e)s et aussi nous aimons les choses. Les êtres humains ont une grande tendance à l’amour pour s’approprier en retour une compensation. On aime les friandises parce qu’elles nous rapportent une sensation de plaisir... c’est donc un acte d’ego.
L’amour de Dieu lui est altruiste. Il est grand et transforme les gens. D’aimer avec un amour détaché, pourvu d’écoute, d’empathie, de compassion qui s’en résume à l’altruisme est une source de chaleur infinie.
Aussi, il y a une différence entre aimer quelqu’un et aimer ce qu’il fait de sa vie ou ce qu’il fait aux autres. Il est possible d’aimer même ceux et celles qui nous blessent, car dans les faits, nous avons le droit de ne pas aimer ce qu’ils font mais nous avons aussi le droit de les aimer indépendamment de leurs actions. Et aimer inconditionnellement ne veut pas nécessairement dire d’aimer à proximité; il est possible d’aimer de loin...
Ce genre d’amour engendre la possibilité du pardon, ce pardon qui nous libère nous-même. Tous avons nos forces et faiblesses. Souvent, nos actions sont maladroites mais nos intentions elles, sont bonnes. Nous pouvons donc aimer sans aimer les actes des autres... Ce qui s’appelle l’amour inconditionnel.
L’amour, celui du don, s’apprend... Ce n’est pas inné sauf pour ceux et celles qui l’ont reçu étant jeune. Il se doit d’être compris, assimilé pour mieux le donner. Il y a de multiples approches pour aimer sans condition. Il est possible de s’éduquer.
C’est souvent aussi dans la souffrance que l’on apprend à vraiment aimer... Car ceux qui souffrent et qui continuent d’avoir la foi comprennent que seul l’amour importe à la toute fin. Aimer les choses donne du plaisir momentané mais aimer les gens, les proches, les démunis comme les nantis donnent au bout du compte un sentiment qui croisse avec le temps. L’amour est une grande source de bonheur...
Si l’ego aime, c’est pour en retirer quelque chose. Si le cœur par la foi aime, c’est un don de propagande qui allège la vie, qui la rend plus belle. Rien de plus beau et d’apaisant de recevoir un amour inconditionnel... Rien n’est plus beau que l’amour altruiste, rien.
La différence entre la passion et l’amour
La passion est d’ordre de l’ego aussi. Car lorsque nous sommes en amour avec une autre personne et que l’on vit la passion, c’est dans les fait, tomber en amour avec notre état d’être, d’aimer la sensation qui nous habite; car comment vraiment aimer l’autre personne si dans les faits, nous ignorons qui elle est? Nous tombons en amour avec l’illusion que l’on se fait de l’autre lorsque la passion existe dans une relation, rien de plus.
La passion, ceux et celles qui la recherche, fait preuve dans les faits, d’un manque d’amour de soi. Celui qui s’aime vraiment est beaucoup moins propice à tomber dans l’illusion de la passion. Généralement, ceux et celles qui s’aiment vraiment sont ceux et celles qui ont reçu un amour inconditionnel dès les premiers moments de leur vie. Il est possible de vivre l’amour propre même si l’enfance fut dépourvu de l’amour du don. Pour ça, il suffit d’y travailler et de comprendre que de s’aimer soi-même permet de le redonner... Pour ceux qui ont la foi en Dieu, ça l’aide aussi pour l’amour-propre; car Dieu nous aime inconditionnellement et nous pardonne. Pourquoi donc ne pas s’aimer soi-même et se pardonner si lui le fait pour nous?
La passion, nous la recherchons, nous les gens en manque d’amour, surtout en manque d’amour-propre. Mais la passion de dure pas... Car au fil du temps, l’illusion que l’on se fait de l’autre personne et surtout de ce qu’elle peut nous rapporter, se dissipe. On fini par voir chez l’autre les failles et l’illusion tombe; c’est pourquoi, après un certain temps, la passion s’effrite. La passion n’est donc pas de l’amour...
Les couples qui perdurent dans une relation développent souvent l’amour du don aussi. C’est en recherchant le bonheur des deux parties que se développe la complicité, la confiance, le désir de faire plaisir. La flamme de l’amour peut perdurer, à condition d’aimer sans condition aussi.
Voici donc un bref résumé de ce que je pense de l’amour. Je pense l’avoir reçu cet amour inconditionnel dans ma vie; je suis entourée d’amour présentement et il me fortifie. Sans cet amour, ma vie n’aurait pas de sens. Merci à ceux qui m’aiment inconditionnellement; vous êtes ma force et ma joie.
Aimer est un mélange de l’ego et du don. Donner de l’amour mais pourquoi? Pour le recevoir? Pour assouvir nos besoins propres? Il est dit, dans la définition de l’amour dans Wikipedia, qu’il existe l’amour égoïste qui est de prendre ainsi que l’amour de Dieu, celui inconditionnel qui lui a pour but de donner. Aimer peut être aussi d’aimer des friandises ainsi que des choses.
Alors nous aimons nos enfants, notre conjoint, notre famille, nos ami(e)s et aussi nous aimons les choses. Les êtres humains ont une grande tendance à l’amour pour s’approprier en retour une compensation. On aime les friandises parce qu’elles nous rapportent une sensation de plaisir... c’est donc un acte d’ego.
L’amour de Dieu lui est altruiste. Il est grand et transforme les gens. D’aimer avec un amour détaché, pourvu d’écoute, d’empathie, de compassion qui s’en résume à l’altruisme est une source de chaleur infinie.
Aussi, il y a une différence entre aimer quelqu’un et aimer ce qu’il fait de sa vie ou ce qu’il fait aux autres. Il est possible d’aimer même ceux et celles qui nous blessent, car dans les faits, nous avons le droit de ne pas aimer ce qu’ils font mais nous avons aussi le droit de les aimer indépendamment de leurs actions. Et aimer inconditionnellement ne veut pas nécessairement dire d’aimer à proximité; il est possible d’aimer de loin...
Ce genre d’amour engendre la possibilité du pardon, ce pardon qui nous libère nous-même. Tous avons nos forces et faiblesses. Souvent, nos actions sont maladroites mais nos intentions elles, sont bonnes. Nous pouvons donc aimer sans aimer les actes des autres... Ce qui s’appelle l’amour inconditionnel.
L’amour, celui du don, s’apprend... Ce n’est pas inné sauf pour ceux et celles qui l’ont reçu étant jeune. Il se doit d’être compris, assimilé pour mieux le donner. Il y a de multiples approches pour aimer sans condition. Il est possible de s’éduquer.
C’est souvent aussi dans la souffrance que l’on apprend à vraiment aimer... Car ceux qui souffrent et qui continuent d’avoir la foi comprennent que seul l’amour importe à la toute fin. Aimer les choses donne du plaisir momentané mais aimer les gens, les proches, les démunis comme les nantis donnent au bout du compte un sentiment qui croisse avec le temps. L’amour est une grande source de bonheur...
Si l’ego aime, c’est pour en retirer quelque chose. Si le cœur par la foi aime, c’est un don de propagande qui allège la vie, qui la rend plus belle. Rien de plus beau et d’apaisant de recevoir un amour inconditionnel... Rien n’est plus beau que l’amour altruiste, rien.
La différence entre la passion et l’amour
La passion est d’ordre de l’ego aussi. Car lorsque nous sommes en amour avec une autre personne et que l’on vit la passion, c’est dans les fait, tomber en amour avec notre état d’être, d’aimer la sensation qui nous habite; car comment vraiment aimer l’autre personne si dans les faits, nous ignorons qui elle est? Nous tombons en amour avec l’illusion que l’on se fait de l’autre lorsque la passion existe dans une relation, rien de plus.
La passion, ceux et celles qui la recherche, fait preuve dans les faits, d’un manque d’amour de soi. Celui qui s’aime vraiment est beaucoup moins propice à tomber dans l’illusion de la passion. Généralement, ceux et celles qui s’aiment vraiment sont ceux et celles qui ont reçu un amour inconditionnel dès les premiers moments de leur vie. Il est possible de vivre l’amour propre même si l’enfance fut dépourvu de l’amour du don. Pour ça, il suffit d’y travailler et de comprendre que de s’aimer soi-même permet de le redonner... Pour ceux qui ont la foi en Dieu, ça l’aide aussi pour l’amour-propre; car Dieu nous aime inconditionnellement et nous pardonne. Pourquoi donc ne pas s’aimer soi-même et se pardonner si lui le fait pour nous?
La passion, nous la recherchons, nous les gens en manque d’amour, surtout en manque d’amour-propre. Mais la passion de dure pas... Car au fil du temps, l’illusion que l’on se fait de l’autre personne et surtout de ce qu’elle peut nous rapporter, se dissipe. On fini par voir chez l’autre les failles et l’illusion tombe; c’est pourquoi, après un certain temps, la passion s’effrite. La passion n’est donc pas de l’amour...
Les couples qui perdurent dans une relation développent souvent l’amour du don aussi. C’est en recherchant le bonheur des deux parties que se développe la complicité, la confiance, le désir de faire plaisir. La flamme de l’amour peut perdurer, à condition d’aimer sans condition aussi.
Voici donc un bref résumé de ce que je pense de l’amour. Je pense l’avoir reçu cet amour inconditionnel dans ma vie; je suis entourée d’amour présentement et il me fortifie. Sans cet amour, ma vie n’aurait pas de sens. Merci à ceux qui m’aiment inconditionnellement; vous êtes ma force et ma joie.
Lun 16 Sep 2013, 00:37 par
Peacefulminding sur Articles
L'antimèche
Quel est ce feu qui brûle au-delà de la mèche ?
Quand celle-ci s’éteint, n’y a t’il plus de coeur ?
Quand le feu continue à courir sur le vide
Sans air à respirer, sans fil où se tenir,
Cette flamme glacée, de quoi est-elle faite ?
De ses moments passés qui ont vécu hors d’elle,
Qui l’ont fait vivre encore, malgré le froid mordant ?
De l’espoir de revoir, tout au bout du tunnel,
Un brasier prêt à prendre et qui l’attend, elle ?
Sans savoir le pourquoi, innocemment, elle danse...
Ignorant ce parfum qu’elle laisse derrière elle,
Parfum de larmes chaudes, odeur du temps brûlé...
Quand celle-ci s’éteint, n’y a t’il plus de coeur ?
Quand le feu continue à courir sur le vide
Sans air à respirer, sans fil où se tenir,
Cette flamme glacée, de quoi est-elle faite ?
De ses moments passés qui ont vécu hors d’elle,
Qui l’ont fait vivre encore, malgré le froid mordant ?
De l’espoir de revoir, tout au bout du tunnel,
Un brasier prêt à prendre et qui l’attend, elle ?
Sans savoir le pourquoi, innocemment, elle danse...
Ignorant ce parfum qu’elle laisse derrière elle,
Parfum de larmes chaudes, odeur du temps brûlé...
Mar 02 Juil 2013, 23:21 par
l'homme de sable sur L'amour en vrac
Pour stéphane...
Je t’apprivoiserai et pour cela,
Il me faudra m’apprivoiser moi-même.
Il me faudra rencontrer mes peurs,
Les traverser pour t’en faire des bouquets.
Il me faudra apprendre tout ce que je ne sais pas encore que je sais.
Sur le chemin, je t’offrirai les plus belles fleurs que je trouverai.
Je t’offrirai mes chagrins sans fard.
Je t’offrirai mes joies pour que tu puisses t’en réjouir.
Pourras-tu t’en réjouir ?
Je t’offrirai mes néants pour que tu te saches capable de les combler.
Oseras-tu les confronter et en faire des bulles pleines de joie,
Pleines d’un soleil qui ne craint pas d’être voilé
Parce qu’il se sait exister puisqu’il est partagé ?
Sauras-tu m’offrir le bouquet de tes détresses,
De tes moments de désespoir,
De tes instants de joie profonde ?
Le temps, sur nous, n’aura nulle prise.
L’espace ne nous confinera pas.
La mort ne nous séparera pas.
Nous serons à jamais compagnons d’un savoir sans limites
Que nous apprivoiserons ensemble
Pour savourer l’éternité.
Dis, sauras-tu me dire ce qu’à tous, toujours, tu as caché ?
Sauras-tu m’offrir tes zones d’ombres et tes plages de soleil ?
Oseras-tu m’offrir des gerbes de fiel pour que je les recouvre de miel ?
Dis !
Oseras-tu exister face à moi, me faire exister face à toi ?
Sauras-tu me faire vivre de ta vie ?
Oseras-tu vivre de la mienne ?
Accepteras-tu de me faire vivre ta mort ?
Pourras-tu confronter la mienne ?
.............
Marie
Il me faudra m’apprivoiser moi-même.
Il me faudra rencontrer mes peurs,
Les traverser pour t’en faire des bouquets.
Il me faudra apprendre tout ce que je ne sais pas encore que je sais.
Sur le chemin, je t’offrirai les plus belles fleurs que je trouverai.
Je t’offrirai mes chagrins sans fard.
Je t’offrirai mes joies pour que tu puisses t’en réjouir.
Pourras-tu t’en réjouir ?
Je t’offrirai mes néants pour que tu te saches capable de les combler.
Oseras-tu les confronter et en faire des bulles pleines de joie,
Pleines d’un soleil qui ne craint pas d’être voilé
Parce qu’il se sait exister puisqu’il est partagé ?
Sauras-tu m’offrir le bouquet de tes détresses,
De tes moments de désespoir,
De tes instants de joie profonde ?
Le temps, sur nous, n’aura nulle prise.
L’espace ne nous confinera pas.
La mort ne nous séparera pas.
Nous serons à jamais compagnons d’un savoir sans limites
Que nous apprivoiserons ensemble
Pour savourer l’éternité.
Dis, sauras-tu me dire ce qu’à tous, toujours, tu as caché ?
Sauras-tu m’offrir tes zones d’ombres et tes plages de soleil ?
Oseras-tu m’offrir des gerbes de fiel pour que je les recouvre de miel ?
Dis !
Oseras-tu exister face à moi, me faire exister face à toi ?
Sauras-tu me faire vivre de ta vie ?
Oseras-tu vivre de la mienne ?
Accepteras-tu de me faire vivre ta mort ?
Pourras-tu confronter la mienne ?
.............
Marie
Dim 14 Oct 2012, 19:29 par
Satine sur La déclaration d'amour
Parfums
Tes parfums m’imprègnent encore et me ramènent à nous,
Pour moi seulement je voudrais les cacher,
En user à loisir dans mes moments perdus,
En abuser encore, loin de toute âme vue.
Leur pouvoir est immense : celui du souvenir,
Qui ajoute aux odeurs tout ce que j’ai pu sentir
Durant nos jours d’amour, nos bulles de plaisir...
Je revois ton corps naître à mes yeux,
Comme un soleil tant attendu :
Je te dévêts de baisers, de caresses
Mes mains frôlent tes seins, ton ventre, tes fesses...
Tes yeux se closent, ton corps se cambre...
Plaisir de recevoir, l’espace d’un instant...
Car bientôt de ta main je suis nu tout autant.
Nos chaleurs partagées deviennent communion
Et nos regards brûlants, douce confession...
Confession du désirs
Confession de rêves
Confession de l’impossible qui nous attache là,
Qui transforme mes doigts, qui maquille ta main...
Nous faisons l’amour en l’imaginant, le rêvant...
Ton plaisir guide aveuglément le mien...
Mon plaisir active le rythme de ma main...
Et je jouis mon amour d’être ainsi contre toi...
En toi, même si peu, je ressens tant de joie,
Que mes pensées retournent... là-bas,
Dans ce passé si proche et si loin à la fois,
Où nos corps étaient libres, on ne pouvait plus près...
Dansant les mêmes jeux, jouant les mêmes danses...
Ces rythmes délicieux au doux goût de futur
Ne seront que passé car nous avons nos murs
Qui retiennent envies, rêves et espoirs,
Dans un carcan glacé, dans une poigne noire.
Tes parfums disparaissent, mais encore je les sens,
Ces idées sur mes doigts me font sentir vivant...
Pour moi seulement je voudrais les cacher,
En user à loisir dans mes moments perdus,
En abuser encore, loin de toute âme vue.
Leur pouvoir est immense : celui du souvenir,
Qui ajoute aux odeurs tout ce que j’ai pu sentir
Durant nos jours d’amour, nos bulles de plaisir...
Je revois ton corps naître à mes yeux,
Comme un soleil tant attendu :
Je te dévêts de baisers, de caresses
Mes mains frôlent tes seins, ton ventre, tes fesses...
Tes yeux se closent, ton corps se cambre...
Plaisir de recevoir, l’espace d’un instant...
Car bientôt de ta main je suis nu tout autant.
Nos chaleurs partagées deviennent communion
Et nos regards brûlants, douce confession...
Confession du désirs
Confession de rêves
Confession de l’impossible qui nous attache là,
Qui transforme mes doigts, qui maquille ta main...
Nous faisons l’amour en l’imaginant, le rêvant...
Ton plaisir guide aveuglément le mien...
Mon plaisir active le rythme de ma main...
Et je jouis mon amour d’être ainsi contre toi...
En toi, même si peu, je ressens tant de joie,
Que mes pensées retournent... là-bas,
Dans ce passé si proche et si loin à la fois,
Où nos corps étaient libres, on ne pouvait plus près...
Dansant les mêmes jeux, jouant les mêmes danses...
Ces rythmes délicieux au doux goût de futur
Ne seront que passé car nous avons nos murs
Qui retiennent envies, rêves et espoirs,
Dans un carcan glacé, dans une poigne noire.
Tes parfums disparaissent, mais encore je les sens,
Ces idées sur mes doigts me font sentir vivant...
Jeu 02 Août 2012, 19:12 par
Epiméthée sur Les liaisons sulfureuses
Le cercle des poètes
Comme chaque année, Oasis organisait la traditionnelle rencontre de ses membres. Prolonger les beaux et bons moments passés sur le site, les amitiés nouées et les débuts d’idylles. Et partager tous ces mots qui formaient de si belles compositions. Des bouquets de mots aurait dit Douceur3. Une trentaine de poètes avaient répondu à l’appel, record historique, pas évident de rassembler en un lieu des personnes si dispersées.
Cette année la fête s’annonçait unique, le lieu choisit étant un vieux manoir style anglais, perdu dans la campagne et évocateur du plus pur romantisme. Et comme chaque fois, les règles de la rencontre lui donnaient un caractère de mystère tout à fait passionnant. Un thème, l’époque Victorienne anglaise pour les costumes et l’ambiance, et comme d’habitude, un souci de conserver l’anonymat de chacun pour garder les conditions de ces rencontres virtuelles sur le net. Donc pas de signes distinctifs, et port du masque obligatoire en plus du costume adéquat. Bien sûr certains se connaissaient déjà et pouvaient se reconnaître facilement, mais chacun jouait le jeu...
Seule indication, la liste des invités était fournie, pour augmenter l’envie de découvrir nos amis. Pour moi c’était la première fois, et j’avais hâte de vivre de bons moments avec tous les contacts sympathiques qui accompagnaient mon quotidien depuis plusieurs mois. Le site m’avait relancé et permis de m’exprimer, ce que je ne faisais pas si facilement, et la sensibilité de la plupart était un régal et un appel à la confidence. Franchement j’avais envie envie de côtoyer Capricorne pour son talent, Chibani pour son humour, Rainbownight pour sa fraîcheur et tant d’autres, surtout des femmes, pour la sympathie qu’ils dégageaient. Ecouter une nouvelle de Lesmotions, oui je le voulais...
Mais surtout, je venais pour l’élue, la fleur du site, mon amie, ma confidente et mon alter ego, celle avec qui je partageais au delà de l’espace des moments délicieux et de pure douceur. Un mélange de toutes les qualités, celles qui chauffent le cœur, celles qui enflamment le corps...
Comment se reconnaître? Je faisais confiance à notre intuition, et aux phéromones, ces petites molécules que nous émettons et qui transmettent les messages secrets de notre corps. J’étais sûr que la magie et la chimie ferait battre nos cœurs plus intensément quand viendrait l’heure de la proximité. J’avais confiance...
Les invités arrivaient petit à petit, belles femmes en robes blanches et petites ombrelles, beaux messieurs dans leurs costumes d’un autre temps. Et bien sûr le masque blanc pour garder le mystère. Un peu intimidé, je me mêlais aux personnes qui se tenaient autour d’un buffet dressé sur une grande table blanche au soleil. Et j’essayais de deviner qui était qui, par le souvenir du style de chacun. Oh cet homme qui déclamait des vers, d’une belle assurance et d’un talent certain , j’aurais juré que c’était Ratatouille! Et cette petite dame, qui allait de l’un à l’autre pour offrir sa gentillesse et ses mots si doux, si ce n’est pas Cyrael …
Tout le monde était là, la petite dame (j’avais raison) fit un petit discours de bienvenue et nous rappela les grands principes, passer une bonne journée, partager nos dernières œuvres (quelques petites estrades parsemaient les jardins) et se fabriquer de doux souvenirs de rencontres et d’amitié...
Je passais d’un groupe à l’autre, écoutant les poèmes, échangeant des idées sur le monde, et sur tout ce qui faisait notre vie de poètes. Un petit orchestre égayait nos oreilles. J’étais bien, ne me manquait que sa présence. J’avais bien quelques petites idées, mais encore un petit doute sur l’identité de ma chérie...
Oh mais c’est sûrement Isabelle59 qui nous enchante par sa douceur et sa sensualité. J’écoutais tendrement, mon esprit vagabondait, quand je sentis une petite main se glisser dans la mienne. Mon dieu, ce contact fit en moi l’effet d’un rayonnement soudain, et mon corps fût parcouru de frissons, doux et électriques...
ELLE M’AVAIT TROUVE
Mon cœur se mis à battre, ma voix bloquée dans ma gorge, des petits picotements dans la nuque. Pas de doute, vu l’effet sur moi, c’était bien ma douce. Sans rien dire elle prit mon bras et m’entraîna pour marcher un peu dans les allées du jardin. C’était la fin de l’après-midi, soleil bas et lumière tendre, pas besoin de parler, j’étais bien (et encore sous le coup de l’émotion) et nos pas s’accordaient comme des amis de toujours...
Sous une tonnelle, et entourés de merveilleuses roses aux senteurs enivrantes, nous nous faisions face à face. Sentant qu’elle devait prendre l’initiative, elle entoura mon cou de ses doux bras et approcha ses lèvres des miennes. Oh douceur exquise, saveur fruitée de l’été, sa bouche avait le goût d’une pêche qui éclate au palais et déverse son jus. Nos langues commencèrent leur danse et le temps se figea. Enlacés nos mains cherchaient la bonne prise, pour minimiser l’espace entre nos corps avides de contact...
Ces minutes furent une éternité, et me revenais le poème qu’elle m’avait inspiré sur cette seconde unique de bonheur quand tout s’accorde. Ses lèvres, ses joues, ses mains, étaient douceur extrême et comme une invite à découvrir le reste. Ses mains exploratrices commençaient à découvrir mon corps et ne semblaient pas avoir de limites imposées. Quand l’une d’elle se posa sur mon pantalon, elle constata que je n’étais pas insensible aux charmes de son corps. Notre étreinte m’avait comblé de joie pure et tendre, mais avais également réveillé mon désir. A travers le tissu, elle sentait et palpait la tension extrême qui ne demandait qu’à s’épanouir. Je crus défaillir quand sa caresse plus pressante fit sortir de sa cachette le bout déjà trempé de mon sexe...
Mais ce n’était pas le lieu de découvertes plus poussées. Je repris mon souffle et sa main et nous repartîmes vers des lieux plus fréquentés. Devant la grande demeure, certains s’activaient déjà pour préparer le grand dîner du soir. Belles assiettes et bougies nous promettaient un régal pour les yeux et raffinement de cuisine. Mais pour l’instant ma belle avait une autre idée en tête et comptait plutôt terminer son exploration à peine entamée …
Elle m’entraîna donc vers la maison à la recherche d’un endroit propice et discret. Les nombreuses pièces du bas étaient trop lumineuses et spacieuses, elle m’attira alors vers un escalier qui menait vers des recoins plus adaptés à sa mission. Là-haut, plus de calme et de pénombre. Et peu de chances d’être dérangés. Contre une porte elle me poussa et entrepris de libérer l’objet de son émoi. Le pantalon de toile tomba rapidement sur mes chaussures, et sa main agrippa à travers le fin coton qui me préservait encore, mon sexe tout tremblant et d’une vigueur de circonstance. Approchant ses lèvres, elle engloba le tout, tissu et chair et mordit doucement. Mes mains sur sa tête j’appréciais à sa juste valeur l’application qu’elle mettait dans cette mise en bouche...
Une main à même mes fesses, l’autre jouant avec mes bourses, elle entreprit de visiter sur toute sa longueur le dur bâton qui ne demandait que cela. Sa langue sentait à travers l’étoffe, la veine gonflée qui palpitait intensément. L’idée même que c’était mon petit cœur qui me procurait ces délices décuplait l’intensité du plaisir. Doucement sa tête montait et descendait, entraînant sa bouche, langue sortie, le long de ma verge qui commençait à entrevoir le moment où tout explose. Sa main vînt compléter l’action de sa bouche et accéléra le mouvement. Sentant l’instant ultime arriver, elle arracha mon dernier vêtement et me prit dans sa bouche, ses lèvres serrant fermement, elle engloutit au maximum, et en quelques mouvements bien contrôlés elle me fit atteindre l’extase. Ma semence jaillit accompagnée d’un petit cri de jouissance, tandis que ses ongles griffait ma fesse. Ne voulant rien laisser, elle avala le tout et lécha soigneusement ce qui coulait lentement le long de mon sexe bouillant...
J’avais rarement connu telle intensité, et un bien-être m’envahit, des frissons achevèrent mon contentement. Sous son masque je devinais le sourire de la bien-aimée fière d’avoir fait jouir son homme. Elle m’enlaça et je déposais sur sa bouche encore humide un doux baiser comme elle les aime. Reprenant mes esprits je remis un peu d’ordre dans mes vêtements et nous partîmes pour le dîner main dans la main...
Une telle journée m’avait mis en joie et en appétit, et c’est tout sourire que je pris place pour le repas à côté de ma sensuelle compagne. Ce fût régal, les plats raffinés défilaient, et l’ambiance était des plus conviviales, chacun y allant de son meilleur texte ou de ses bons mots. Le champagne nous montait à la tête, et ma petite qui est chamboulée à partir d’une demi-coupe commençait à montrer des joues rosies par l’alcool, la joie et certaines idées qui lui venaient en tête...
Sous la nappe je sentis sa main sur ma cuisse. La mienne vint l’y rejoindre et doigts enlacés nous étions comme deux amoureux tout neufs! D’un même mouvement, l’ensemble passa d’une cuisse à l’autre et j’entrai en contact avec la douce chaleur de sa peau. La coquine avait remonté sa robe pour permettre un accès plus aisé à certaines parties de son corps qu’elle souhaitait m’offrir en cadeau. Puis sa main rejoignit le dessus de la table, laissant la mienne seule, mais invitée à pousser plus loin l’exploration...
Douceur, chaleur, ces mots étaient trop faibles pour décrire la sensation que me procurait d’être entre ses cuisses. Ma main droite, paume sur sa peau, doigts vers le bas, remonta lentement, savourant le grain velouté de son épiderme. Elle atteignit alors l’infime dentelle qui recouvrait sa toison si fine. A plat sur le pubis, doigts écartés au maximum pour profiter de tout , je fis tendre pression pour assurer à ma voisine que j’avais bien compris le message...
Pendant ce temps, les conversations continuaient, les rires fusaient, et la coquine n’était pas la dernière à montrer sa joie. Que tous prirent bien sûr comme manifestation du bonheur de se retrouver tous ensemble. Mais autre chose était en partie responsable de cet état. Sous la table, mes doigts par petits cercles, avaient entrouverts les petites portes protégeant, pour peu de temps encore, la caverne aux mille trésors. Mon majeur poussa plus loin et commença à frotter le tissu blanc sur les chairs roses et humides. Parmi ses rires, des petits cris partaient, que tous prenaient pour les manifestations de la boisson. Oh coquine!!!
Repliant mes doigts, j’accrochais le bord de sa culotte mouillée de plaisir, et je les fis passer par dessous pour sentir les palpitations de sa peau. Il n’était plus l’heure de perdre du temps vu l’état de la belle qui riait et se secouait sous l’effet de tous les plaisirs réunis. Alors mes deux doigts enserrèrent comme une pince, le clitoris tout dur et gorgé de désir. L’humidité ambiante facilita le travail des deux artistes, pression, pincements, roulements, tout contribua à faire vibrer le corps de ma chérie qui m’envoyait des regards plein de tendresse et de gratitude. ..
Les mouvements maintenant profonds et appuyés faisaient leur effet, et la pauvre semblait s’enfoncer sous la table. Sentant que l’explosion serait imminente, je décidais de lui venir en aide et je sortais d’une voix puissante ma plus grosse blague (pourrie mais bien marrante). Ce fut un tonnerre de rires et d’applaudissements. Un tel bruit que ma coquine arriva à jouir bruyamment sous les derniers effets de ma main en folie, sans que personne ne remarque cette situation plutôt délicate. Secouée par les rires et les spasmes de l’orgasme, tout son corps bougeait et je la regardais avec un évident bonheur. A peine apaisée elle se jeta à mon cou et devant les sourires de l’assistance elle me fît le plus tendre baiser qu’il soit permis de donner...
Vous pensez bien que le retour vers nos régions respectives fut un voyage empli de bons souvenirs, de marques d’amitié, de promesses de se revoir et de rendez-vous futurs sur le site. Pour nous ce fut bien plus, nos corps avaient gardé l’empreinte de l’autre et dans nos têtes il y aurait pour longtemps ces instants délicieux où plus rien ne comptait que de donner et de s’aimer.
Cette année la fête s’annonçait unique, le lieu choisit étant un vieux manoir style anglais, perdu dans la campagne et évocateur du plus pur romantisme. Et comme chaque fois, les règles de la rencontre lui donnaient un caractère de mystère tout à fait passionnant. Un thème, l’époque Victorienne anglaise pour les costumes et l’ambiance, et comme d’habitude, un souci de conserver l’anonymat de chacun pour garder les conditions de ces rencontres virtuelles sur le net. Donc pas de signes distinctifs, et port du masque obligatoire en plus du costume adéquat. Bien sûr certains se connaissaient déjà et pouvaient se reconnaître facilement, mais chacun jouait le jeu...
Seule indication, la liste des invités était fournie, pour augmenter l’envie de découvrir nos amis. Pour moi c’était la première fois, et j’avais hâte de vivre de bons moments avec tous les contacts sympathiques qui accompagnaient mon quotidien depuis plusieurs mois. Le site m’avait relancé et permis de m’exprimer, ce que je ne faisais pas si facilement, et la sensibilité de la plupart était un régal et un appel à la confidence. Franchement j’avais envie envie de côtoyer Capricorne pour son talent, Chibani pour son humour, Rainbownight pour sa fraîcheur et tant d’autres, surtout des femmes, pour la sympathie qu’ils dégageaient. Ecouter une nouvelle de Lesmotions, oui je le voulais...
Mais surtout, je venais pour l’élue, la fleur du site, mon amie, ma confidente et mon alter ego, celle avec qui je partageais au delà de l’espace des moments délicieux et de pure douceur. Un mélange de toutes les qualités, celles qui chauffent le cœur, celles qui enflamment le corps...
Comment se reconnaître? Je faisais confiance à notre intuition, et aux phéromones, ces petites molécules que nous émettons et qui transmettent les messages secrets de notre corps. J’étais sûr que la magie et la chimie ferait battre nos cœurs plus intensément quand viendrait l’heure de la proximité. J’avais confiance...
Les invités arrivaient petit à petit, belles femmes en robes blanches et petites ombrelles, beaux messieurs dans leurs costumes d’un autre temps. Et bien sûr le masque blanc pour garder le mystère. Un peu intimidé, je me mêlais aux personnes qui se tenaient autour d’un buffet dressé sur une grande table blanche au soleil. Et j’essayais de deviner qui était qui, par le souvenir du style de chacun. Oh cet homme qui déclamait des vers, d’une belle assurance et d’un talent certain , j’aurais juré que c’était Ratatouille! Et cette petite dame, qui allait de l’un à l’autre pour offrir sa gentillesse et ses mots si doux, si ce n’est pas Cyrael …
Tout le monde était là, la petite dame (j’avais raison) fit un petit discours de bienvenue et nous rappela les grands principes, passer une bonne journée, partager nos dernières œuvres (quelques petites estrades parsemaient les jardins) et se fabriquer de doux souvenirs de rencontres et d’amitié...
Je passais d’un groupe à l’autre, écoutant les poèmes, échangeant des idées sur le monde, et sur tout ce qui faisait notre vie de poètes. Un petit orchestre égayait nos oreilles. J’étais bien, ne me manquait que sa présence. J’avais bien quelques petites idées, mais encore un petit doute sur l’identité de ma chérie...
Oh mais c’est sûrement Isabelle59 qui nous enchante par sa douceur et sa sensualité. J’écoutais tendrement, mon esprit vagabondait, quand je sentis une petite main se glisser dans la mienne. Mon dieu, ce contact fit en moi l’effet d’un rayonnement soudain, et mon corps fût parcouru de frissons, doux et électriques...
ELLE M’AVAIT TROUVE
Mon cœur se mis à battre, ma voix bloquée dans ma gorge, des petits picotements dans la nuque. Pas de doute, vu l’effet sur moi, c’était bien ma douce. Sans rien dire elle prit mon bras et m’entraîna pour marcher un peu dans les allées du jardin. C’était la fin de l’après-midi, soleil bas et lumière tendre, pas besoin de parler, j’étais bien (et encore sous le coup de l’émotion) et nos pas s’accordaient comme des amis de toujours...
Sous une tonnelle, et entourés de merveilleuses roses aux senteurs enivrantes, nous nous faisions face à face. Sentant qu’elle devait prendre l’initiative, elle entoura mon cou de ses doux bras et approcha ses lèvres des miennes. Oh douceur exquise, saveur fruitée de l’été, sa bouche avait le goût d’une pêche qui éclate au palais et déverse son jus. Nos langues commencèrent leur danse et le temps se figea. Enlacés nos mains cherchaient la bonne prise, pour minimiser l’espace entre nos corps avides de contact...
Ces minutes furent une éternité, et me revenais le poème qu’elle m’avait inspiré sur cette seconde unique de bonheur quand tout s’accorde. Ses lèvres, ses joues, ses mains, étaient douceur extrême et comme une invite à découvrir le reste. Ses mains exploratrices commençaient à découvrir mon corps et ne semblaient pas avoir de limites imposées. Quand l’une d’elle se posa sur mon pantalon, elle constata que je n’étais pas insensible aux charmes de son corps. Notre étreinte m’avait comblé de joie pure et tendre, mais avais également réveillé mon désir. A travers le tissu, elle sentait et palpait la tension extrême qui ne demandait qu’à s’épanouir. Je crus défaillir quand sa caresse plus pressante fit sortir de sa cachette le bout déjà trempé de mon sexe...
Mais ce n’était pas le lieu de découvertes plus poussées. Je repris mon souffle et sa main et nous repartîmes vers des lieux plus fréquentés. Devant la grande demeure, certains s’activaient déjà pour préparer le grand dîner du soir. Belles assiettes et bougies nous promettaient un régal pour les yeux et raffinement de cuisine. Mais pour l’instant ma belle avait une autre idée en tête et comptait plutôt terminer son exploration à peine entamée …
Elle m’entraîna donc vers la maison à la recherche d’un endroit propice et discret. Les nombreuses pièces du bas étaient trop lumineuses et spacieuses, elle m’attira alors vers un escalier qui menait vers des recoins plus adaptés à sa mission. Là-haut, plus de calme et de pénombre. Et peu de chances d’être dérangés. Contre une porte elle me poussa et entrepris de libérer l’objet de son émoi. Le pantalon de toile tomba rapidement sur mes chaussures, et sa main agrippa à travers le fin coton qui me préservait encore, mon sexe tout tremblant et d’une vigueur de circonstance. Approchant ses lèvres, elle engloba le tout, tissu et chair et mordit doucement. Mes mains sur sa tête j’appréciais à sa juste valeur l’application qu’elle mettait dans cette mise en bouche...
Une main à même mes fesses, l’autre jouant avec mes bourses, elle entreprit de visiter sur toute sa longueur le dur bâton qui ne demandait que cela. Sa langue sentait à travers l’étoffe, la veine gonflée qui palpitait intensément. L’idée même que c’était mon petit cœur qui me procurait ces délices décuplait l’intensité du plaisir. Doucement sa tête montait et descendait, entraînant sa bouche, langue sortie, le long de ma verge qui commençait à entrevoir le moment où tout explose. Sa main vînt compléter l’action de sa bouche et accéléra le mouvement. Sentant l’instant ultime arriver, elle arracha mon dernier vêtement et me prit dans sa bouche, ses lèvres serrant fermement, elle engloutit au maximum, et en quelques mouvements bien contrôlés elle me fit atteindre l’extase. Ma semence jaillit accompagnée d’un petit cri de jouissance, tandis que ses ongles griffait ma fesse. Ne voulant rien laisser, elle avala le tout et lécha soigneusement ce qui coulait lentement le long de mon sexe bouillant...
J’avais rarement connu telle intensité, et un bien-être m’envahit, des frissons achevèrent mon contentement. Sous son masque je devinais le sourire de la bien-aimée fière d’avoir fait jouir son homme. Elle m’enlaça et je déposais sur sa bouche encore humide un doux baiser comme elle les aime. Reprenant mes esprits je remis un peu d’ordre dans mes vêtements et nous partîmes pour le dîner main dans la main...
Une telle journée m’avait mis en joie et en appétit, et c’est tout sourire que je pris place pour le repas à côté de ma sensuelle compagne. Ce fût régal, les plats raffinés défilaient, et l’ambiance était des plus conviviales, chacun y allant de son meilleur texte ou de ses bons mots. Le champagne nous montait à la tête, et ma petite qui est chamboulée à partir d’une demi-coupe commençait à montrer des joues rosies par l’alcool, la joie et certaines idées qui lui venaient en tête...
Sous la nappe je sentis sa main sur ma cuisse. La mienne vint l’y rejoindre et doigts enlacés nous étions comme deux amoureux tout neufs! D’un même mouvement, l’ensemble passa d’une cuisse à l’autre et j’entrai en contact avec la douce chaleur de sa peau. La coquine avait remonté sa robe pour permettre un accès plus aisé à certaines parties de son corps qu’elle souhaitait m’offrir en cadeau. Puis sa main rejoignit le dessus de la table, laissant la mienne seule, mais invitée à pousser plus loin l’exploration...
Douceur, chaleur, ces mots étaient trop faibles pour décrire la sensation que me procurait d’être entre ses cuisses. Ma main droite, paume sur sa peau, doigts vers le bas, remonta lentement, savourant le grain velouté de son épiderme. Elle atteignit alors l’infime dentelle qui recouvrait sa toison si fine. A plat sur le pubis, doigts écartés au maximum pour profiter de tout , je fis tendre pression pour assurer à ma voisine que j’avais bien compris le message...
Pendant ce temps, les conversations continuaient, les rires fusaient, et la coquine n’était pas la dernière à montrer sa joie. Que tous prirent bien sûr comme manifestation du bonheur de se retrouver tous ensemble. Mais autre chose était en partie responsable de cet état. Sous la table, mes doigts par petits cercles, avaient entrouverts les petites portes protégeant, pour peu de temps encore, la caverne aux mille trésors. Mon majeur poussa plus loin et commença à frotter le tissu blanc sur les chairs roses et humides. Parmi ses rires, des petits cris partaient, que tous prenaient pour les manifestations de la boisson. Oh coquine!!!
Repliant mes doigts, j’accrochais le bord de sa culotte mouillée de plaisir, et je les fis passer par dessous pour sentir les palpitations de sa peau. Il n’était plus l’heure de perdre du temps vu l’état de la belle qui riait et se secouait sous l’effet de tous les plaisirs réunis. Alors mes deux doigts enserrèrent comme une pince, le clitoris tout dur et gorgé de désir. L’humidité ambiante facilita le travail des deux artistes, pression, pincements, roulements, tout contribua à faire vibrer le corps de ma chérie qui m’envoyait des regards plein de tendresse et de gratitude. ..
Les mouvements maintenant profonds et appuyés faisaient leur effet, et la pauvre semblait s’enfoncer sous la table. Sentant que l’explosion serait imminente, je décidais de lui venir en aide et je sortais d’une voix puissante ma plus grosse blague (pourrie mais bien marrante). Ce fut un tonnerre de rires et d’applaudissements. Un tel bruit que ma coquine arriva à jouir bruyamment sous les derniers effets de ma main en folie, sans que personne ne remarque cette situation plutôt délicate. Secouée par les rires et les spasmes de l’orgasme, tout son corps bougeait et je la regardais avec un évident bonheur. A peine apaisée elle se jeta à mon cou et devant les sourires de l’assistance elle me fît le plus tendre baiser qu’il soit permis de donner...
Vous pensez bien que le retour vers nos régions respectives fut un voyage empli de bons souvenirs, de marques d’amitié, de promesses de se revoir et de rendez-vous futurs sur le site. Pour nous ce fut bien plus, nos corps avaient gardé l’empreinte de l’autre et dans nos têtes il y aurait pour longtemps ces instants délicieux où plus rien ne comptait que de donner et de s’aimer.
Lun 16 Avril 2012, 12:16 par
cocoeur sur Les liaisons sulfureuses
Neige de février
Le récit est tellement bon que j’ai eu l’impression de voir la scène.
J’aime quand des petits moments comme ceux-là sont racontés.
J’aime quand des petits moments comme ceux-là sont racontés.
Mar 13 Mars 2012, 12:13 par
ungraindesand sur Histoires d'amour
Où sont passés les romantiques
je répondrais, qu’effectivement où ils sont? les hommes ne courtisent plus, comme avant, la séduction est rapide et bâclée .. il n’y a plus ces moments où les émois nous transportaient, et nous faisaient autant frissonner.. Ils n’ont pas encore compris comment on "fonctionnait.." il reste heureusement des hommes, et des femmes qui apprécient ces moments, passés a deux, par simplement une ballade main dans la main, la petite fleur posée sur la table, le petit mot ,etc...
et surtout dire ces mots qu’on attend toujours.. Parfois le je t’aime ne suffit pas pour d’autres si.. Les attentions, sont très importantes...
et surtout dire ces mots qu’on attend toujours.. Parfois le je t’aime ne suffit pas pour d’autres si.. Les attentions, sont très importantes...
Dim 11 Mars 2012, 18:05 par
caressedesyeux sur La séduction
L'attention
Je n’ai pas besoin de grandes démonstrations de passion
Je n’ai pas besoin de grands élans d’émotion
J’ai juste besoin d’un peu d’attention
Car j’ai tant besoin de ta tendresse,
Une main, un doigt sur mon visage,
Comme un bonjour, une caresse,
Comme une invite, un message
Des bras qui m’encerclent tendrement la taille
Des "bisous spontanés" au creux du cou
Des petits riens qui font finalement tout.
Des petits gestes qui me font sentir que, pour toi, j’existe
M’accueillir avec un beau sourire quand je rentre
Me prendre affectueusement dans tes bras
Juste parce que la journée t’aura semblé longue
Juste parce que je t’aurai manqué tellement
Et que tu m’embrasses fougueusement
Tant tu serais content de me retrouver
Et je verrai tes yeux pétiller de joie
De ce regard qui me couve et qui signifie
Que tu as encore et toujours envie de moi
Que tu es encore et toujours amoureux
Qu’il reste encore de ce tendre émoi
De ce désir, de cette appétence de moi
De cette ardeur à se retrouver tous les deux
Rien que toi et moi pour de moments enrichissants
Des touts petits moments pleins de complicité
Petits instants d’éternité
Ces tout petits mots que tu trouves idiots,
Mais que tu aimes car ils te font sourire, malgré tout.
Ces simples mots que tu ne dis plus
Une envie tout simplement d’avoir un peu d’attention
Qui révèle beaucoup de passion....
Lun 23 Jan 2012, 20:49 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Ecrire sur moments
Trash me tender, Panne de coeur, Feuilles d 'automne, Notre amour est t-il un crime ?, L'amour est-il plus fort que tout ?, L'amour est-il un crime ? chapitre 5, Écouter c'est..., L'amour c'est..., L'antimèche, Pour stéphane..., Parfums, Le cercle des poètes, Neige de février, Où sont passés les romantiques, L'attention,Il y a 160 textes utilisant le mot moments. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
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