Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur mer - Page 5 sur 9
DRAGON À RESPECTER
Quitte à être mille feux au travers de vos yeux
Je Sais être Elliott, et non Dragon de Feu
Sans aucun soufle, sans aucume humidité, Je Sais.
Je sais, j’ ai fait une faute!
J’ appelle celle ci un colapsus billatéral bien calculé :
Aucune, et pour le Aime, sachez que c’est le seul Homme qui sait où se trouve la pipe sculptée dans de l’ écûme de Mer, dont ma famille est Héritière, puisqu’ on l’ a trouvée dans Le jardin.
Pour Gérald Robert de Masure.
Ta Fannie à son Glève.
Chéri? T’ es sûr que les Dog Argentins ne vont pas manger Biba, Hein????
Je Sais être Elliott, et non Dragon de Feu
Sans aucun soufle, sans aucume humidité, Je Sais.
Je sais, j’ ai fait une faute!
J’ appelle celle ci un colapsus billatéral bien calculé :
Aucune, et pour le Aime, sachez que c’est le seul Homme qui sait où se trouve la pipe sculptée dans de l’ écûme de Mer, dont ma famille est Héritière, puisqu’ on l’ a trouvée dans Le jardin.
Pour Gérald Robert de Masure.
Ta Fannie à son Glève.
Chéri? T’ es sûr que les Dog Argentins ne vont pas manger Biba, Hein????
Jeu 05 Oct 2006, 02:24 par
Chogokinette sur Mille choses
VOYAGE INTITIATIQUE 7
Nostalgie
Depuis qu’il s’était éloigné du rivage il avait commencé à s’enfoncer dans les profondeurs de son âme.
Jamais un voyage n’avait été aussi riche et mouvementé.
Cet après midi ne fut pas comme les autres.
La pluie se mit à tomber d’abord fine puis de plus en plus violemment
Il eut envie de se libérer de tout ce qu’il portait
Il jeta à la mer sa chemise, son short ….puis hésita avant de larguer son dernier rempart.
Il resta longtemps sous la pluie….nu….et sans bouger.
Son corps athlétique et hâlé laissait glisser la pluie
Comme une caresse douce et sans fin
Qui n’appartenait à personne.
Il en jouissait mais son sexe restait de marbre …..paisible et trempé.
Son regard fixait un point qui n’existait pas.
Ses yeux verts brillaient de tous ses éclats et lançaient des étincelles.
Brusquement, son visage devint sombre et il ferma les yeux.
Il ne put retenir les larmes qui se mêlèrent à la pluie.
Un goût salé se répandit sur ses lèvres au passage.
Il pensa avec nostalgie à son port d’attache qu’il délaissait trop souvent.
Il fit un autre voyage à l’intérieur de lui.
Il se rappela son histoire……
Depuis qu’il s’était éloigné du rivage il avait commencé à s’enfoncer dans les profondeurs de son âme.
Jamais un voyage n’avait été aussi riche et mouvementé.
Cet après midi ne fut pas comme les autres.
La pluie se mit à tomber d’abord fine puis de plus en plus violemment
Il eut envie de se libérer de tout ce qu’il portait
Il jeta à la mer sa chemise, son short ….puis hésita avant de larguer son dernier rempart.
Il resta longtemps sous la pluie….nu….et sans bouger.
Son corps athlétique et hâlé laissait glisser la pluie
Comme une caresse douce et sans fin
Qui n’appartenait à personne.
Il en jouissait mais son sexe restait de marbre …..paisible et trempé.
Son regard fixait un point qui n’existait pas.
Ses yeux verts brillaient de tous ses éclats et lançaient des étincelles.
Brusquement, son visage devint sombre et il ferma les yeux.
Il ne put retenir les larmes qui se mêlèrent à la pluie.
Un goût salé se répandit sur ses lèvres au passage.
Il pensa avec nostalgie à son port d’attache qu’il délaissait trop souvent.
Il fit un autre voyage à l’intérieur de lui.
Il se rappela son histoire……
Mer 20 Sep 2006, 12:13 par
coupdecoeur sur Histoires d'amour
VOYAGE INITIATIQUE 4
Espoir….. dans la tourmente
Il lutta toute la nuit car la mer était déchainée
Il faillit tomber plusieurs fois à la mer
Heureusement à chaque fois il sut s’accrocher à une bouée
Qui portait le signe de la Vérité
Il voulait mourir à ses ténèbres
Et renaître à la Lumière
C’est pourquoi il n’abandonna pas la lutte malgré la fatigue.
Au petit matin, la mer se calma et il s’endormit
Quand il se réveilla il se sentit apaisé
Il s’était éloigné d’elle mais se sentait plus proche par la Vérité.
Il voulut s’unir à elle dans la bouée qui portait le signe de la Vérité
Mais il eut peur des vibrations………..
Il lutta toute la nuit car la mer était déchainée
Il faillit tomber plusieurs fois à la mer
Heureusement à chaque fois il sut s’accrocher à une bouée
Qui portait le signe de la Vérité
Il voulait mourir à ses ténèbres
Et renaître à la Lumière
C’est pourquoi il n’abandonna pas la lutte malgré la fatigue.
Au petit matin, la mer se calma et il s’endormit
Quand il se réveilla il se sentit apaisé
Il s’était éloigné d’elle mais se sentait plus proche par la Vérité.
Il voulut s’unir à elle dans la bouée qui portait le signe de la Vérité
Mais il eut peur des vibrations………..
Jeu 14 Sep 2006, 12:25 par
coupdecoeur sur Histoires d'amour
VOYAGE INITIATIQUE 3 -
Tourmente……
Brusquement le ciel s’obscurcit et devint noir,
Toutes ces souffrances apparurent et il se mit à hurler
Icones de ses blessures béates et ouvertes
Il eu envie de la retrouver, de se jeter dans ses bras
Pour échapper aux ténèbres qui se formait autour de lui
Il eut envie de sa tendresse infinie et se senti comme un petit garçon
Car il voulait vivre et aimer,
Il su qu’il allait mourir………..mais à quoi
Il se senti heureux et malheureux, vivant et mort
Alors il jeta une bouteille à la mer, y mit sa propre photo
Il laissa un message avec un « Je t’aime » de désespoir et d’espoir
Il voulait forcer le destin
Il était devenu comme fou et son bateau s’était mis à tourner dans tous les sens………..
Coup de coeur
Brusquement le ciel s’obscurcit et devint noir,
Toutes ces souffrances apparurent et il se mit à hurler
Icones de ses blessures béates et ouvertes
Il eu envie de la retrouver, de se jeter dans ses bras
Pour échapper aux ténèbres qui se formait autour de lui
Il eut envie de sa tendresse infinie et se senti comme un petit garçon
Car il voulait vivre et aimer,
Il su qu’il allait mourir………..mais à quoi
Il se senti heureux et malheureux, vivant et mort
Alors il jeta une bouteille à la mer, y mit sa propre photo
Il laissa un message avec un « Je t’aime » de désespoir et d’espoir
Il voulait forcer le destin
Il était devenu comme fou et son bateau s’était mis à tourner dans tous les sens………..
Coup de coeur
Mar 12 Sep 2006, 12:05 par
coupdecoeur sur Histoires d'amour
Quelle est cette femme, seule sur ce pénible chemin?
Quelle est cette femme, seule sur ce pénible chemin ?
A-t-elle perdu sa famille en ce beau matin?
Elle semble perdue dans ses pensées sombres
Dont elle est la seule à détenir les clés.
Qui pourrait, à ces yeux rêveurs d’un bleu envoûtant ?
Soudain je sens qu’il y manque l’étincelle du printemps.
Où est passé le feu qui les faisait briller d’un éclat sans pareil ?
Et cette chaleur bienfaisante qui animait son corps la veille?
À présent elle marche, errant sans but, toujours rêvant
À ce passé balayé par un simple coup de vent dévastateur.
Ses lèvres, ses hanches portent encore la trace de ces moments d’abandon et de souffrance.
Mais cet espoir s’est noyé dans un flot de haine
Sans ses anges, elle n’a plus de rêves, plus de songes.
Alors, elle plonge
Plonge dans une mer hostile et ballottée
Où personne maintenant ne veut me sauver.
Par peur de sombrer avec mon radeau de fortune.
Pour m’aider à revenir sur la plage de sable blanc.
Et songer à nouveau à fonder une autre famille.
A-t-elle perdu sa famille en ce beau matin?
Elle semble perdue dans ses pensées sombres
Dont elle est la seule à détenir les clés.
Qui pourrait, à ces yeux rêveurs d’un bleu envoûtant ?
Soudain je sens qu’il y manque l’étincelle du printemps.
Où est passé le feu qui les faisait briller d’un éclat sans pareil ?
Et cette chaleur bienfaisante qui animait son corps la veille?
À présent elle marche, errant sans but, toujours rêvant
À ce passé balayé par un simple coup de vent dévastateur.
Ses lèvres, ses hanches portent encore la trace de ces moments d’abandon et de souffrance.
Mais cet espoir s’est noyé dans un flot de haine
Sans ses anges, elle n’a plus de rêves, plus de songes.
Alors, elle plonge
Plonge dans une mer hostile et ballottée
Où personne maintenant ne veut me sauver.
Par peur de sombrer avec mon radeau de fortune.
Pour m’aider à revenir sur la plage de sable blanc.
Et songer à nouveau à fonder une autre famille.
Sam 26 Août 2006, 14:04 par
joullia sur Mille choses
Un grain de sable n'est pas seul sur la plage...
On est tous un grain de sable qui se sent seul au monde, noyée dans une mer de sable...
Je sais ce que c’est que d’être persuadée que l’on finira seule...et je sais que te dire de garder espoir est assez inutile.
Trouver les mots pour te réconforter est assez dur, sache-le, mais je veux aussi que tu saches qu’il y forcément quelqu’un quelque part. Forcément...Sinon, pourquoi serais-tu en vie? Pour quoi aurais-tu envie d’être en vie? tant de fois je me le suis demandé, tant de fois j’ai douté et j’ai flanché, mais comme tu peux le voir, je suis encore là.
La douleur et les cicatrices restent, mais j’ai encore envie de voir le soleil se lever et se coucher et je rêve encore du jour où je ne le verrais plus seule.
Je sais que ça peut sonner comme tous ces éloges débiles de "la vie est belle" et où les gens semblent ne pas avoir les mêmes problèmes que toi parce que leur vie semble si facile...mais peut être que la vie est belle, justement...
Je sais ce que c’est que d’être persuadée que l’on finira seule...et je sais que te dire de garder espoir est assez inutile.
Trouver les mots pour te réconforter est assez dur, sache-le, mais je veux aussi que tu saches qu’il y forcément quelqu’un quelque part. Forcément...Sinon, pourquoi serais-tu en vie? Pour quoi aurais-tu envie d’être en vie? tant de fois je me le suis demandé, tant de fois j’ai douté et j’ai flanché, mais comme tu peux le voir, je suis encore là.
La douleur et les cicatrices restent, mais j’ai encore envie de voir le soleil se lever et se coucher et je rêve encore du jour où je ne le verrais plus seule.
Je sais que ça peut sonner comme tous ces éloges débiles de "la vie est belle" et où les gens semblent ne pas avoir les mêmes problèmes que toi parce que leur vie semble si facile...mais peut être que la vie est belle, justement...
Mer 23 Août 2006, 23:21 par
Lindsey sur Histoires d'amour
Mon avis n’a d'importance que si mes mots te vont au coeur
A travers cet hymne où mes mots te seront exprimés,
A travers mes phrases où sincérité te sera déclarée,
Je désire mettre fin au silence de la réalité,
Et te dire une fois pour toute la pure vérité.
Souvent les mots me manquent, l’inspiration s’évade et la peur des mots m’envahit;
Parfois les phrases surgissent avec le regret de les avoir prononcées et sur mes lèvres
Pire encore, parler pour rien, ne pas me faire comprendre sont les sentiments qui s’emparent de ma vie.
Oui, j’ai besoin de te le dire de tout mon coeur
Que seul ton bien-être peut faire mon bonheur.
Permets-moi de te représenter
L’importance que mon coeur peut te porter,
Ta valeur à mes yeux dépassant
Le plus charmant de sentiments.
Comme un soleil sans lumière, une lune sans ombre,
Une terre sans fleurs, un ciel sans couleurs,
Une fraise sans goût, un repas sans saveur,
Une voix sans paroles, un regard sans vision,
Une existence sans destin, une vie en dérision...
J’aimerai éprouver un jour le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien,
J’aimerai croire que le véritable amour existera encore demain,
Pouvoir un jour recevoir autant que je puisse donner,
Pouvoir ressentir l’intérêt de vivre et d’exister.
Et cela je le trouve dans le pourquoi de mes actes et de mes pensées vis à vis de ta personne
Dans mes faits et gestes qui m’amènent vers toi, à être telle que je suis, telle que je résonne.
Je souhaiterais te rendre heureux à chaque instant où tu vas mal,
Je souhaiterais que tu comprennes mon attitude,
Redonner le sourire à tes lèvres quand il n’est pas présent,
Te redonner aussi la liberté de vivre quand je me dois d’être distante.
S’il faudrait traverser à pied le désert,
S’il fallait nager le long d’une grande mer,
Rien que pour te sauver
Je le ferais sans hésiter.
Quand tu te seras éloigné
Et que le destin aura voulu nous séparer,
Je continuerai à chaque instant de penser a toi,
Avec l’espoir que tu n’auras pas changé.
Oui je penserai à tous ses moments passés avec toi,
A toutes les conversations que l’on a pu avoir,
Sur ton tchat.
Mon rêve serait de pouvoir te garder
A mes cotés, tout près de moi;
Mais dans mon coeur tu resteras
A tout jamais, pour l’éternité.
S’il n’est pas faux que mon coeur t’aime encore,
Je ne peux lui dire de se taire et de mourir.
Ma seule force pour pouvoir le faire survivre,
Est de donner son amour.
Comme les étoiles dans le ciel,
Comme les grains de sables du désert;
Même si je ne suis qu’une particule de sel
Parmi les eaux des plus vastes mers,
J’apprécierai tes qualités
Sans jamais les sous-estimer.
Mon avis n’a d’importance que si mes mots te vont au coeur,
Mes vers n’ont pas de raisons d’être si pour toi ils n’ont pas de valeur.
Et tes autres amies qui t’aiment, je n’en serai plus jalouse,
Et ta future petite amie sera à mes yeux bien plus douce.
Je ne peux me mentir à moi-même sans que tu y perçois la vérité,,
Je ne peux que comprendre en regardant ton douloureux passé.
Je ne peux m’empêcher de décrire sur un tas de feuille ce qui m’entoure
Et d’écrire mes faits et gestes pour un soulagement en retour;
Mais quand mes petits doigts pensent faire quelque chose de sage,
Quand sans cesse je me relis en tournant peu à peu les pages,
Je fini par avoir de nombreux remords,
Pour enfin m’apitoyer sur mon triste sort.
Il est dit dans des proverbes:
Qui sème l’amour récolte le bonheur;
Ou bien encore:
Ton amour est la plus belle fleur dans le jardin de mon petit coeur.
Bien que ces paroles ne proviennent pas de mon inspiration,
Ils semblent avoir été écrits avec beaucoup de raisons.
Sont-ils vrais, sont-ils faux?
Après tout ce ne sont que des mots...
Tu es un homme si magnifique
Par tes couleurs tu es le plus beau;
Tu es pour moi autant symbolique
De la paix qu’évoque une hirondelle.
Tu me fais penser à un jolie fleuve,
Si fougueux mais plein de coeur.
Une absence d’une longue minute,
Une courte seconde sans ta présence,
Et la vie devient comme un arbre en Octobre,
Tout retombe comme une feuille devenue sobre.
Ta franchise toujours sincère
M’as souvent remis les pieds sur terre;
Bien qu’elle m’a souvent blessée
Au point de sans cesse pleurée.
Je suis comme un vase brisée
Mais c’est une chance que tu sois là
Pour me dire tout mes faux pas
Je ne le répèterai jamais assez, tu es l’homme pour qui j’ai le plus de respect,
Tu es l’homme en qui sans peur je porterai ma confiance,
Car il existe entre nous des ressemblances.
Oui ce poème ne devrait pas exister,
Je voulais dire, te redire que je t’aime non pas pour une apparence;
C’était pour partager avec quelqu’un de bien une belle histoire,
Considérer et être considérer comme un don de l’existence,
Profiter de la vie à deux.
Mon coeur s’est exprimé sans doute pour la dernière fois,
Et il est temps d’en arrêter là;
Mais avant de terminer ce poème,
Je voulais simplement te dire: Je t’aime.
A travers mes phrases où sincérité te sera déclarée,
Je désire mettre fin au silence de la réalité,
Et te dire une fois pour toute la pure vérité.
Souvent les mots me manquent, l’inspiration s’évade et la peur des mots m’envahit;
Parfois les phrases surgissent avec le regret de les avoir prononcées et sur mes lèvres
Pire encore, parler pour rien, ne pas me faire comprendre sont les sentiments qui s’emparent de ma vie.
Oui, j’ai besoin de te le dire de tout mon coeur
Que seul ton bien-être peut faire mon bonheur.
Permets-moi de te représenter
L’importance que mon coeur peut te porter,
Ta valeur à mes yeux dépassant
Le plus charmant de sentiments.
Comme un soleil sans lumière, une lune sans ombre,
Une terre sans fleurs, un ciel sans couleurs,
Une fraise sans goût, un repas sans saveur,
Une voix sans paroles, un regard sans vision,
Une existence sans destin, une vie en dérision...
J’aimerai éprouver un jour le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien,
J’aimerai croire que le véritable amour existera encore demain,
Pouvoir un jour recevoir autant que je puisse donner,
Pouvoir ressentir l’intérêt de vivre et d’exister.
Et cela je le trouve dans le pourquoi de mes actes et de mes pensées vis à vis de ta personne
Dans mes faits et gestes qui m’amènent vers toi, à être telle que je suis, telle que je résonne.
Je souhaiterais te rendre heureux à chaque instant où tu vas mal,
Je souhaiterais que tu comprennes mon attitude,
Redonner le sourire à tes lèvres quand il n’est pas présent,
Te redonner aussi la liberté de vivre quand je me dois d’être distante.
S’il faudrait traverser à pied le désert,
S’il fallait nager le long d’une grande mer,
Rien que pour te sauver
Je le ferais sans hésiter.
Quand tu te seras éloigné
Et que le destin aura voulu nous séparer,
Je continuerai à chaque instant de penser a toi,
Avec l’espoir que tu n’auras pas changé.
Oui je penserai à tous ses moments passés avec toi,
A toutes les conversations que l’on a pu avoir,
Sur ton tchat.
Mon rêve serait de pouvoir te garder
A mes cotés, tout près de moi;
Mais dans mon coeur tu resteras
A tout jamais, pour l’éternité.
S’il n’est pas faux que mon coeur t’aime encore,
Je ne peux lui dire de se taire et de mourir.
Ma seule force pour pouvoir le faire survivre,
Est de donner son amour.
Comme les étoiles dans le ciel,
Comme les grains de sables du désert;
Même si je ne suis qu’une particule de sel
Parmi les eaux des plus vastes mers,
J’apprécierai tes qualités
Sans jamais les sous-estimer.
Mon avis n’a d’importance que si mes mots te vont au coeur,
Mes vers n’ont pas de raisons d’être si pour toi ils n’ont pas de valeur.
Et tes autres amies qui t’aiment, je n’en serai plus jalouse,
Et ta future petite amie sera à mes yeux bien plus douce.
Je ne peux me mentir à moi-même sans que tu y perçois la vérité,,
Je ne peux que comprendre en regardant ton douloureux passé.
Je ne peux m’empêcher de décrire sur un tas de feuille ce qui m’entoure
Et d’écrire mes faits et gestes pour un soulagement en retour;
Mais quand mes petits doigts pensent faire quelque chose de sage,
Quand sans cesse je me relis en tournant peu à peu les pages,
Je fini par avoir de nombreux remords,
Pour enfin m’apitoyer sur mon triste sort.
Il est dit dans des proverbes:
Qui sème l’amour récolte le bonheur;
Ou bien encore:
Ton amour est la plus belle fleur dans le jardin de mon petit coeur.
Bien que ces paroles ne proviennent pas de mon inspiration,
Ils semblent avoir été écrits avec beaucoup de raisons.
Sont-ils vrais, sont-ils faux?
Après tout ce ne sont que des mots...
Tu es un homme si magnifique
Par tes couleurs tu es le plus beau;
Tu es pour moi autant symbolique
De la paix qu’évoque une hirondelle.
Tu me fais penser à un jolie fleuve,
Si fougueux mais plein de coeur.
Une absence d’une longue minute,
Une courte seconde sans ta présence,
Et la vie devient comme un arbre en Octobre,
Tout retombe comme une feuille devenue sobre.
Ta franchise toujours sincère
M’as souvent remis les pieds sur terre;
Bien qu’elle m’a souvent blessée
Au point de sans cesse pleurée.
Je suis comme un vase brisée
Mais c’est une chance que tu sois là
Pour me dire tout mes faux pas
Je ne le répèterai jamais assez, tu es l’homme pour qui j’ai le plus de respect,
Tu es l’homme en qui sans peur je porterai ma confiance,
Car il existe entre nous des ressemblances.
Oui ce poème ne devrait pas exister,
Je voulais dire, te redire que je t’aime non pas pour une apparence;
C’était pour partager avec quelqu’un de bien une belle histoire,
Considérer et être considérer comme un don de l’existence,
Profiter de la vie à deux.
Mon coeur s’est exprimé sans doute pour la dernière fois,
Et il est temps d’en arrêter là;
Mais avant de terminer ce poème,
Je voulais simplement te dire: Je t’aime.
Mer 23 Août 2006, 01:24 par
joullia sur Parler d'amour
Un jour en juillet
La navette vient de stationner aux abords de l’aérogare; il est un peu plus de treize heures et, à moins d’un imprévu, il ne leur faudra pas plus d’un quart d’heure pour se présenter à la porte d’embarquement, traverser le couloir qui les mènera à bord de l’avion en partance pour L’Ile au Bout du Monde.
Ils croulent sous le poids des sacs à dos prêts à craquer et la chaleur étouffante de cet après-midi de juillet.
Lâchés dans le hall, les garçons hésitent entre excitation et flânerie, chacun à sa manière exprime son impatience du voyage...leurs parents n’ont pas trop de leurs deux voix réunies pour les rappeler à l’ordre.
Mon regard se pose sur elle, capte le sien l’espace d’un court instant, doux mais fatigué; trop de tensions sans doute, les départs en vacances sont redoutables, les enfants ne sont pas des anges et il y a leur histoire, à elle et lui, leur vie bousculée depuis l’automne dernier et qu’ils poursuivent avec toujours présente cette question: "et demain, nous deux ce sera quoi?"
Très vite, ses pensées se rattrapent au moment présent et vagabondent au-delà de l’étendue d’eau qui la sépare de cette escale de trois semaines, là-bas, là où le ciel est peut-être plus bleu.
"Là-bas, il fera bon...un peu froid peut-être; là-bas, il y aura la douceur des instants à vivre, la nuit partie en vacances, le jour sans cesse et son amour pour moi..."
Je l’imagine...et je la vois, encore ici mais tellement ailleurs déjà...le contour de son visage si net se détache en contre-jour sur l’éclat de la baie vitrée.
Moi, je me contente de fixer le dessin de ses traits, là, à l’abri de ma mémoire, derrière mes yeux...loin, profond, ancré, accroché pour ne rien oublier, pour que tout reste vivant, pour que chacune de ces minutes vécue sans elle rythme mon souffle, s’enroule autour de mon coeur comme se lovent ses boucles de cheveux autour de mes doigts en anneaux réguliers, m’apprenne cette cadence si particulière de l’amour vécu dans l’absence et dans le manque, occupe mon espace où elle n’est pas, se fonde dans mon esprit qui la pense si fort qu’un mot soupiré ici lui parviendrait avec l’intensité d’un cri, là-bas.
Alors oui, je l’imagine comme je la voudrais, simplement, à côté de moi...alors oui, je la vois comme je l’aimerais, vraiment, à la toucher du regard, de la main, de la voix.
Il n’y a pas eu d’imprévu...quelques mots banals échangés au téléphone pour nous dire au revoir...maintenant, l’avion met le cap au nord, bientôt il survolera la mer et se posera, là-bas, là où le ciel est plus bleu...peut-être.
Ils croulent sous le poids des sacs à dos prêts à craquer et la chaleur étouffante de cet après-midi de juillet.
Lâchés dans le hall, les garçons hésitent entre excitation et flânerie, chacun à sa manière exprime son impatience du voyage...leurs parents n’ont pas trop de leurs deux voix réunies pour les rappeler à l’ordre.
Mon regard se pose sur elle, capte le sien l’espace d’un court instant, doux mais fatigué; trop de tensions sans doute, les départs en vacances sont redoutables, les enfants ne sont pas des anges et il y a leur histoire, à elle et lui, leur vie bousculée depuis l’automne dernier et qu’ils poursuivent avec toujours présente cette question: "et demain, nous deux ce sera quoi?"
Très vite, ses pensées se rattrapent au moment présent et vagabondent au-delà de l’étendue d’eau qui la sépare de cette escale de trois semaines, là-bas, là où le ciel est peut-être plus bleu.
"Là-bas, il fera bon...un peu froid peut-être; là-bas, il y aura la douceur des instants à vivre, la nuit partie en vacances, le jour sans cesse et son amour pour moi..."
Je l’imagine...et je la vois, encore ici mais tellement ailleurs déjà...le contour de son visage si net se détache en contre-jour sur l’éclat de la baie vitrée.
Moi, je me contente de fixer le dessin de ses traits, là, à l’abri de ma mémoire, derrière mes yeux...loin, profond, ancré, accroché pour ne rien oublier, pour que tout reste vivant, pour que chacune de ces minutes vécue sans elle rythme mon souffle, s’enroule autour de mon coeur comme se lovent ses boucles de cheveux autour de mes doigts en anneaux réguliers, m’apprenne cette cadence si particulière de l’amour vécu dans l’absence et dans le manque, occupe mon espace où elle n’est pas, se fonde dans mon esprit qui la pense si fort qu’un mot soupiré ici lui parviendrait avec l’intensité d’un cri, là-bas.
Alors oui, je l’imagine comme je la voudrais, simplement, à côté de moi...alors oui, je la vois comme je l’aimerais, vraiment, à la toucher du regard, de la main, de la voix.
Il n’y a pas eu d’imprévu...quelques mots banals échangés au téléphone pour nous dire au revoir...maintenant, l’avion met le cap au nord, bientôt il survolera la mer et se posera, là-bas, là où le ciel est plus bleu...peut-être.
Mer 09 Août 2006, 14:16 par
danslalune sur Histoires d'amour
Remplie de délice
La terre n’est pas assez grande
L’univers n’est pas assez vaste
Pour te dire tout cet amour
Qui me remplit de délice
Jour après jour
La mer est bien trop petite
Les forêts sont peu nombreuses
Pour contenir tout cet amour
Qui déborde jour après jour
Mon amour
Oui, je t’aime !
Comme on ne t’a jamais aimé
Tu es ma lumière
Tu es mon chemin
Celui qui unira nos coeurs
Pour le même destin
L’univers n’est pas assez vaste
Pour te dire tout cet amour
Qui me remplit de délice
Jour après jour
La mer est bien trop petite
Les forêts sont peu nombreuses
Pour contenir tout cet amour
Qui déborde jour après jour
Mon amour
Oui, je t’aime !
Comme on ne t’a jamais aimé
Tu es ma lumière
Tu es mon chemin
Celui qui unira nos coeurs
Pour le même destin
Ven 04 Août 2006, 21:14 par
joullia sur Histoires d'amour
En haut de la montagne
J’ai écrit à coeur perdu, bouteille à la mer qui n’est jamais arrivée jusqu’à toi... J’ai écrit et qu’en reste-t-il ? Le silence.
Ma soif de dire, mes mots, mes soifs, ma faim, tout s’est suspendu en plein vol, je ne peux plus, il ne reste qu’un cri immobilisé dans ma gorge.
J’ai écrit pour faire naître l’amour pour conjurer le sort pour refuser de ne plus y croire... Pour espérer.
Mes gestes se sont figés dans l’épouvante de ces instants que je n’aurais crû jamais devoir vivre.. Mon coeur s’est serré devant l’horreur humaine.
Qu’est-il advenu de lui ? Quelle bête infame a raison de son coeur, a raison de son âme ? Il en a oublié toute son humanité. Quelle sombre bête l’anime ?
J’ai pris mes tous petits et les ai conduits en haut de la montagne, plus loin que ne pourrait aller aucune bête sauvage pour leur faire goûter le repos troublé par ceux d’en bas...
Je les ai placés dans ta lumière, dans ton amour, dans ta paix, dans ta douceur, loin des ténèbres hostiles, je suis tombée à genou et j’ai prié.
Ma soif de dire, mes mots, mes soifs, ma faim, tout s’est suspendu en plein vol, je ne peux plus, il ne reste qu’un cri immobilisé dans ma gorge.
J’ai écrit pour faire naître l’amour pour conjurer le sort pour refuser de ne plus y croire... Pour espérer.
Mes gestes se sont figés dans l’épouvante de ces instants que je n’aurais crû jamais devoir vivre.. Mon coeur s’est serré devant l’horreur humaine.
Qu’est-il advenu de lui ? Quelle bête infame a raison de son coeur, a raison de son âme ? Il en a oublié toute son humanité. Quelle sombre bête l’anime ?
J’ai pris mes tous petits et les ai conduits en haut de la montagne, plus loin que ne pourrait aller aucune bête sauvage pour leur faire goûter le repos troublé par ceux d’en bas...
Je les ai placés dans ta lumière, dans ton amour, dans ta paix, dans ta douceur, loin des ténèbres hostiles, je suis tombée à genou et j’ai prié.
Mar 01 Août 2006, 07:20 par
dolce vita sur Mille choses
L'atre de ton corps
Je ferai de ton corps la terre de mes conquêtes
J’allumerai dans tes yeux tous les astres des galaxies
Explorer ou bien encore inconue
De ta langue je ferai une flamme et de ta bouche l’âtre
Je ferai de chaque jour une éternelle fête
Un feu d’artifice vetu de mille eclat de couleurs
Que meme le plus jolie des arc en ciel
se sentiraient fade
Je ferai de ton corps une vaste mer
Où je plongerai pour cueillir perles et corail
Je ferai de tout lieu mon paradis, un sérail
-Mytilène, où on jure plaisir et on vénère la chair
Je ferai de tes yeux un soleil et une lune
Pour qu’ils brillents a jamais
Je ferai de ton coprs mon terain de jeux
Où ma langue errerait et mon âme chercherait la paix
Je ferai de tes longues jambes une voie
Qui mène vers ton écrin couvert de soie
Où mes doigts composeraient ton hymne et où ...
J’allumerai dans tes yeux tous les astres des galaxies
Explorer ou bien encore inconue
De ta langue je ferai une flamme et de ta bouche l’âtre
Je ferai de chaque jour une éternelle fête
Un feu d’artifice vetu de mille eclat de couleurs
Que meme le plus jolie des arc en ciel
se sentiraient fade
Je ferai de ton corps une vaste mer
Où je plongerai pour cueillir perles et corail
Je ferai de tout lieu mon paradis, un sérail
-Mytilène, où on jure plaisir et on vénère la chair
Je ferai de tes yeux un soleil et une lune
Pour qu’ils brillents a jamais
Je ferai de ton coprs mon terain de jeux
Où ma langue errerait et mon âme chercherait la paix
Je ferai de tes longues jambes une voie
Qui mène vers ton écrin couvert de soie
Où mes doigts composeraient ton hymne et où ...
Sam 29 Juil 2006, 16:20 par
joullia sur L'amour en vrac
Aimer
si AIMER perdait son " i " dans la mer, il deviendrait .... AMER....
DECOUVRIR, c’est voir la meme chose que tout le monde, mais penser autrement ^^
Un Baiser c’est la plus belle façon de se taire tout en disant tout....
DECOUVRIR, c’est voir la meme chose que tout le monde, mais penser autrement ^^
Un Baiser c’est la plus belle façon de se taire tout en disant tout....
Ven 28 Juil 2006, 17:07 par
joullia sur Parler d'amour
Liberté
Ecrire "liberté" sur le bord d’une plage,
c’est déjà avoir la liberté de l’écrire.
Même si la mer efface ce mot : la liberté demeure.
Jean-Michel Wyl
Extrait de " Québec Banana State "
c’est déjà avoir la liberté de l’écrire.
Même si la mer efface ce mot : la liberté demeure.
Jean-Michel Wyl
Extrait de " Québec Banana State "
Lun 29 Mai 2006, 21:07 par
Satine sur Mille choses
Volare... 7
La crique déserte. Y aller. Ne pas réfléchir. Ne pas penser. Ni au temps. Ni à lui. Ni à rien. Simplement y aller. Répondre à son envie. Kms parcourus. Vite, très vite. Vitre ouverte. Respirer. En guettant le moment où elle inhalerait ce parfum de liberté. La mer. Enfin. Trouver un lieu pour se garer, entre les pins. Libre, comme toujours. Et s’extraire de la voiture, ne pas sentir la fatigue de la route. Poser bien à plat les paumes sur ses cuisses, le buste penché et exhaler un soupir, se libérer. Laisser la joie l’habiter. De la falaise, elle pouvait déjà voir son coin de plage en contrebas qui l’attendait... Fidèle. L’infini de la mer était seul à pouvoir combler ses infinis. Calmes ou en colère, les flots lui tendaient les bras. Encore. Ils ne voulaient pas qu’elle soit leur prisonnière, ils aimaient trop sa liberté, cet amour qui seul décidait qu’elle rejoindrait son creux de ciel, à volonté... Elle sourit à la mer, à l’azur, à la plage dorée. A eux elle pouvait en confiance tout abandonner et oublier. S’étendre à même le sol. Leur beauté toujours offerte. Encore une fois fermer les yeux, laisser aller... Elle repensait à ceux qui voulaient la prendre comme on capture le temps qui ne vous appartient pas. Mais avaient-ils conscience de ce qu’ils faisaient ? C’est eux-mêmes qu’ils emprisonnaient dans les rets de leurs calculs. Elle s’ébroua pour chasser cette idée de ses pensées. Elle ouvrait encore des yeux tout ronds d’étonnement : pourquoi ? Pourquoi faire ? Mais que recherchent-ils donc ? Elle laissa là ses réflexions sur le monde et ses pairs pas si semblables finalement. Les humains et tout leur mystère... Elle ne voulait emporter d’eux dans son cœur que les bons moments, les beaux gestes, les sourires et les roses et oublier toutes leurs intrigues et ce pusillanime offensant. « Mademoiselle Liberté », elle l’était résolument. Jugée trop entière et trop fière, bref, elle... Elle se tourna sur le dos et regarda la mer, se laissant bercer par le ressac... C’était si simple le bonheur pourquoi chercher à tout compliquer ? Il y avait combien de temps qu’elle n’était pas venue ? Elle n’aurait su le dire, ici rien n’avait changé. Qu’était-il devenu ? Avec lui, elle n’avait rien bâti. Tout et rien. Tout ce qu’elle partageait c’était ces moments de liberté, où ils goûtaient pleinement la joie d’être ensemble, alors ils se donnaient à l’autre sans réserve, mais ils avaient compris l’un comme l’autre que l’amour ne dure que s’il n’est pas enfermé dans des habitudes, des contraintes, quand on ne veut le domestiquer, le réduire... « Mademoiselle liberté » qui ne voulait pas marchander. On ne limite pas l’éternité. « Mademoiselle Liberté » qui pensait que l’amour est un cadeau et qu’il devait le rester...
- « Je te dérange ? »... C’était demandé si doucement, qu’elle se demanda si elle n’avait pas rêvé mais non... « J’ai eu envie de venir. Pourquoi ? Dieu seul le sait... ».
Il était là. Dans son éternel pull col roulé, ses yeux délavés, ses cheveux en bataille comme des épis de blé... Son sourire était doux comme sa voix, comme son cœur... Ils n’attendaient rien de l’autre que cela, s’accueillir en vérité. « Je suis venu plusieurs fois ces jours derniers. Cela faisait longtemps, la mer me parlait de toi... Et tu es là. »
Elle n’avait rien à lui dire ou plutôt elle parla au delà des mots. Dans son sourire. Dans ses larmes aussi. Il accueillit toute chose dans la tendresse de ses bras. S’ils firent l’amour ? Demandez à l’immensité, comme les mouettes sont indiscrètes, allez donc le leur demander...
- « Je te dérange ? »... C’était demandé si doucement, qu’elle se demanda si elle n’avait pas rêvé mais non... « J’ai eu envie de venir. Pourquoi ? Dieu seul le sait... ».
Il était là. Dans son éternel pull col roulé, ses yeux délavés, ses cheveux en bataille comme des épis de blé... Son sourire était doux comme sa voix, comme son cœur... Ils n’attendaient rien de l’autre que cela, s’accueillir en vérité. « Je suis venu plusieurs fois ces jours derniers. Cela faisait longtemps, la mer me parlait de toi... Et tu es là. »
Elle n’avait rien à lui dire ou plutôt elle parla au delà des mots. Dans son sourire. Dans ses larmes aussi. Il accueillit toute chose dans la tendresse de ses bras. S’ils firent l’amour ? Demandez à l’immensité, comme les mouettes sont indiscrètes, allez donc le leur demander...
Sam 27 Mai 2006, 17:08 par
dolce vita sur Histoires d'amour
La vie...
La vie est une mer orageuse, pleine d’écueils
où à chaque instant nous risquons de faire naufrage.
où à chaque instant nous risquons de faire naufrage.
Dim 21 Mai 2006, 17:24 par
Satine sur Mille choses
Ecrire sur mer
DRAGON À RESPECTER, VOYAGE INTITIATIQUE 7, VOYAGE INITIATIQUE 4, VOYAGE INITIATIQUE 3 -, Quelle est cette femme, seule sur ce pénible chemin?, Un grain de sable n'est pas seul sur la plage..., Mon avis n’a d'importance que si mes mots te vont au coeur, Un jour en juillet, Remplie de délice, En haut de la montagne, L'atre de ton corps, Aimer, Liberté, Volare... 7, La vie...,Il y a 135 textes utilisant le mot mer. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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