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Sexcape game
Laurent sortait de la salle de musculation requinqué,douché de frais,et heureux de sa nouvelle silhouette. Ces quelques mois d’efforts sur les machines avaient payé. Son corps était plus ferme,plus musclé,et il était particulièrement fier de ses abdominaux.
Ayant gagné en confiance, il espérait rebooster sa libido,en osant être plus entreprenant avec sa femme Natacha,qui,lui semblait-il s’ennuyait dans cette routine.
Aujourd’hui était l’occasion rêvée pour cela,car ils fêtaient leurs dix ans de mariage ce soir,et pour marquer le coup,il lui offrait un ensemble de lingerie sexy et un petit jouet pour adultes.
De son côté,Natacha n’en revenait pas de son audace,et appréhendait la réaction de Laurent quant au déroulement du reste de la soirée,mais il était trop tard pour faire marche arrière.
Ils s’étaient donné rendez vous au "sex crimes",un pub chic et glamour.
Natacha commanda un "surprends-moi", le cocktail surprise,et Laurent"un bonne nuit les petits",à base de red bull,sensé donner du peps,mais chez lui,il eut l’effet de son nom,car à la moitié du verre,il sombra dans les bras de Morphée.
Quand il se réveilla,il se trouvait dans une grande pièce,couché sur un lit taille XL avec Natacha à ses côtés.Ne sachant pas où ils étaient,ils se mirent à arpenter la pièce,encore groggy. L’ endroit était meublé avec goùt,mélangeant meubles anciens et déco moderne.
De chaque côté du lit,il y avait un guéridon sur lequel était posée un seau à champagne,deux verres et une coupelle de fraises.
Il y avait aussi,un fauteuil posé sur un piédestal,orienté de façon à donner une vue plongeante sur le lit,une table sur laquelle trônait un vase contenant de magnifiques roses, en s’ approchant,ils virent une carte au milieu des fleurs,ils s’en saisirent et lurent:
-mon premier est le petit du cerf
-mon deuxième est un amas de choses
-mon troisième est un pronom personnel
-mon tout est une représentation imaginaire de l’inconscient
-Mais c’est quoi ces conneries? s’exclama Laurent.
Au même instant,une voix se fit entendre:
-Bonjour Laurent,et Bienvenue à notre escape Game version érotique.
Des indices ont été disséminés dans cette pièce,et à vous de les trouver,afin de deviner ce que vous devrez faire pour gagner la partie.
Votre femme,Natacha nous à engagés pour vous concocter un programme aux petits oignons.
- Quoi ?Cest toi qui a organisé tout ça?
-Oui,bon anniversaire de mariage mon chéri! dit-elle en déposant un baiser sur ses lévres.
Laurent fut agréablement surpris que sa femme ai pris une telle initiative,et décida de jouer le jeu.
- Je crois que c’est fantasme,la réponse à la charade
-Oui,bien répondit Natacha toute excitée.
L’exploration reprit,ils trouvèrent une paire de menottes dissimulée sous un coussin. Ils ouvrirent les tiroirs du secrétaire,et dans l’un d"entre eux,il y avait une autre carte:" quel est le fantasme de 80%des hommes?
- Voir sa femme faire l’amour aves une autre femme,dit Laurent bien réveillé tout à coup,mais en ce qui me concerne,j’aimerais bien te voir faire l’amour avec un homme et une femme
-Ah bon? répondit Natacha d’un air malicieux
Une lumière s’alluma dans l’esprit de Laurent.
-On est là pour réaliser mon fantasme
-Bongo!!! Mais es tu prêt à le concrétiser ce soir?
-Seulement si tu en as vraiment envie,et pas pour me faire plaisir
-J’en ai envie,et si ça ne va pas,on peut toujours arrêter. Bon il faut que je me prépare,dit elle avec un clin d’oeil.
La porte s’ouvrit et elle sortit.
Laurent de resta pas seul longtemps,une jeune femme entra, se présenta comme s’appellant Zoé,et l’invita à s’ asseoir sur le fauteuil,sortit de sa poche des liens,et lui attacha les mains en arrière et les chevilles aux pieds du siége,puis elle s’en alla comme elle était venue.
Et Natacha réapparut,il ne la vit pas tout de suite car il tournait le dos à la porte,elle se posta devant lui,et il eut une érection.
Elle s’était métamorphosée en déesse. Ses cheveux était lachés et coiffés en boucles souples qui encadraient son visage,ses yeux étaient auréolés d’un trait d’eye liner,accentuant la beauté de son regard,ses lévres teintées de rouge sang,elle portait un corset noir bordé de dentelle rouge et le slip assorti,des bas noirs avec une couture rouge à l’ arrière et des chaussures à talons noires.
Une autre femme entra,très sexy elle aussi,en guêpière de dentelle blanche,le string assorti,des bas blancs à la jarretière de dentelle blanche,elle aussi,des mules à talons. Blonde,grande et fine avec un visage doux,mais un regard foudroyant. Elle approcha sa bouche de l’oreille de Laurent,et posant la main sur son entrejambe,dit:
- moi c’est Bridget,mais dis donc,tu bandes déjà,tu vas avoir du mal à tenir le coup jusqu’à la fin du spectacle!
Puis,elle attira doucement Natacha,et l’embrassa à pleine bouche,elles se dirigèrent vers le lit,s’embrassèrent,et la blonde déposa des baisers dans le cou de Natacha,sur ses épaules,son décolleté,entreprit de dégrafer son corset,lentement,agrafe par agrafe,le jeta à terre,embrassa ses seins,suça ses tétons,en fit le tour avec sa langue,souffla dessus,les mordilla tout en délicatesse. Comme sa partenaire semblait apprécier,car elle gémissait,Bridget continua et caressa le corps de natacha avec ses cheveux,fit courir sa langue sur son ventre,descendit,lui enleva son slip,embrassa son vagin,fit tourner sa langue autour du clitoris de sa partenaire qui gémissait de plus belle,continua de jouer aves son bouton de plaisir.
A cet instant,Brice,le mari de bridget,fit son entrée,il était grand,les cheveux grisonnants qui lui donnaient un air de Richard Gere,il portait juste un boxer qui moulait ses parties intimes.
Il rejoignit les deux belles,qui l’accueillirent en lui ôtant son boxer et l’embrassèrent chacune leur tour,le firent s’allonger,leurs langues glissèrent sur son torse,descendirent jusqu’à son sexe qui était déjà dur,elles le léchèrent en même temps,leurs langues se caressant,puis le suçèrent alternativement,chacune à leur manière,mais divinement bien,l’une faisant des mouvements de va et vient,resserrant sa bouche en remontant le long de sa verge,faisant tourner sa langue autour en même temps qu’elle l’avalait,l’autre l’enfonçant profondément dans sa gorge,donnant des petits coups de langue sur le gland.
C’était très érotique,et Laurent n’en pouvait plus,il avait l’impression que son baton allait craquer tant il était dur.
Les deux déesses,arrêtèrent avant que Brice ne jouisse,Bridget s’allongea,et natacha que le côté transgressif de la chose excitait fut sur elle en moins de temps qu’il ne faut pour le dire,l’embrassa avec fougue,caressa sa poitrine, lui ôta son string,posa une main sur son sexe et trouva cela très doux,elle l’embrassa doucement,puis le lécha,caressa le clitoris avec son pouce,puis le suça,elle s’avérait douée,et Bridget prenait beaucoup de plaisir.
La posture de Natacha offrait une vue imprenable sur sa croupe,et Brice ne put se retenir plus longtemps,il caressa ce cul magnifique,y déposa des baisers,introduisit sa langue dans son intimité trempée,et la pénétra pendant qu’elle faisait jouir Bridget,il alla doucement d’abord,puis voyant que la belle appréciait,il se laissa aller,et accéléra la cadence progressivement jusqu’à ce que Natacha jouisse,puis il jouit à son tour.
Pendant ce temps,les mains de Laurent avaient été détachées pour qu’il puisse se masturber,car il était tellement excité qu’il en avait des sueurs froides.
Quand tout le monde fut remis de ses émotions et rhabillé,ils sabrèrent le champagne.
Ayant gagné en confiance, il espérait rebooster sa libido,en osant être plus entreprenant avec sa femme Natacha,qui,lui semblait-il s’ennuyait dans cette routine.
Aujourd’hui était l’occasion rêvée pour cela,car ils fêtaient leurs dix ans de mariage ce soir,et pour marquer le coup,il lui offrait un ensemble de lingerie sexy et un petit jouet pour adultes.
De son côté,Natacha n’en revenait pas de son audace,et appréhendait la réaction de Laurent quant au déroulement du reste de la soirée,mais il était trop tard pour faire marche arrière.
Ils s’étaient donné rendez vous au "sex crimes",un pub chic et glamour.
Natacha commanda un "surprends-moi", le cocktail surprise,et Laurent"un bonne nuit les petits",à base de red bull,sensé donner du peps,mais chez lui,il eut l’effet de son nom,car à la moitié du verre,il sombra dans les bras de Morphée.
Quand il se réveilla,il se trouvait dans une grande pièce,couché sur un lit taille XL avec Natacha à ses côtés.Ne sachant pas où ils étaient,ils se mirent à arpenter la pièce,encore groggy. L’ endroit était meublé avec goùt,mélangeant meubles anciens et déco moderne.
De chaque côté du lit,il y avait un guéridon sur lequel était posée un seau à champagne,deux verres et une coupelle de fraises.
Il y avait aussi,un fauteuil posé sur un piédestal,orienté de façon à donner une vue plongeante sur le lit,une table sur laquelle trônait un vase contenant de magnifiques roses, en s’ approchant,ils virent une carte au milieu des fleurs,ils s’en saisirent et lurent:
-mon premier est le petit du cerf
-mon deuxième est un amas de choses
-mon troisième est un pronom personnel
-mon tout est une représentation imaginaire de l’inconscient
-Mais c’est quoi ces conneries? s’exclama Laurent.
Au même instant,une voix se fit entendre:
-Bonjour Laurent,et Bienvenue à notre escape Game version érotique.
Des indices ont été disséminés dans cette pièce,et à vous de les trouver,afin de deviner ce que vous devrez faire pour gagner la partie.
Votre femme,Natacha nous à engagés pour vous concocter un programme aux petits oignons.
- Quoi ?Cest toi qui a organisé tout ça?
-Oui,bon anniversaire de mariage mon chéri! dit-elle en déposant un baiser sur ses lévres.
Laurent fut agréablement surpris que sa femme ai pris une telle initiative,et décida de jouer le jeu.
- Je crois que c’est fantasme,la réponse à la charade
-Oui,bien répondit Natacha toute excitée.
L’exploration reprit,ils trouvèrent une paire de menottes dissimulée sous un coussin. Ils ouvrirent les tiroirs du secrétaire,et dans l’un d"entre eux,il y avait une autre carte:" quel est le fantasme de 80%des hommes?
- Voir sa femme faire l’amour aves une autre femme,dit Laurent bien réveillé tout à coup,mais en ce qui me concerne,j’aimerais bien te voir faire l’amour avec un homme et une femme
-Ah bon? répondit Natacha d’un air malicieux
Une lumière s’alluma dans l’esprit de Laurent.
-On est là pour réaliser mon fantasme
-Bongo!!! Mais es tu prêt à le concrétiser ce soir?
-Seulement si tu en as vraiment envie,et pas pour me faire plaisir
-J’en ai envie,et si ça ne va pas,on peut toujours arrêter. Bon il faut que je me prépare,dit elle avec un clin d’oeil.
La porte s’ouvrit et elle sortit.
Laurent de resta pas seul longtemps,une jeune femme entra, se présenta comme s’appellant Zoé,et l’invita à s’ asseoir sur le fauteuil,sortit de sa poche des liens,et lui attacha les mains en arrière et les chevilles aux pieds du siége,puis elle s’en alla comme elle était venue.
Et Natacha réapparut,il ne la vit pas tout de suite car il tournait le dos à la porte,elle se posta devant lui,et il eut une érection.
Elle s’était métamorphosée en déesse. Ses cheveux était lachés et coiffés en boucles souples qui encadraient son visage,ses yeux étaient auréolés d’un trait d’eye liner,accentuant la beauté de son regard,ses lévres teintées de rouge sang,elle portait un corset noir bordé de dentelle rouge et le slip assorti,des bas noirs avec une couture rouge à l’ arrière et des chaussures à talons noires.
Une autre femme entra,très sexy elle aussi,en guêpière de dentelle blanche,le string assorti,des bas blancs à la jarretière de dentelle blanche,elle aussi,des mules à talons. Blonde,grande et fine avec un visage doux,mais un regard foudroyant. Elle approcha sa bouche de l’oreille de Laurent,et posant la main sur son entrejambe,dit:
- moi c’est Bridget,mais dis donc,tu bandes déjà,tu vas avoir du mal à tenir le coup jusqu’à la fin du spectacle!
Puis,elle attira doucement Natacha,et l’embrassa à pleine bouche,elles se dirigèrent vers le lit,s’embrassèrent,et la blonde déposa des baisers dans le cou de Natacha,sur ses épaules,son décolleté,entreprit de dégrafer son corset,lentement,agrafe par agrafe,le jeta à terre,embrassa ses seins,suça ses tétons,en fit le tour avec sa langue,souffla dessus,les mordilla tout en délicatesse. Comme sa partenaire semblait apprécier,car elle gémissait,Bridget continua et caressa le corps de natacha avec ses cheveux,fit courir sa langue sur son ventre,descendit,lui enleva son slip,embrassa son vagin,fit tourner sa langue autour du clitoris de sa partenaire qui gémissait de plus belle,continua de jouer aves son bouton de plaisir.
A cet instant,Brice,le mari de bridget,fit son entrée,il était grand,les cheveux grisonnants qui lui donnaient un air de Richard Gere,il portait juste un boxer qui moulait ses parties intimes.
Il rejoignit les deux belles,qui l’accueillirent en lui ôtant son boxer et l’embrassèrent chacune leur tour,le firent s’allonger,leurs langues glissèrent sur son torse,descendirent jusqu’à son sexe qui était déjà dur,elles le léchèrent en même temps,leurs langues se caressant,puis le suçèrent alternativement,chacune à leur manière,mais divinement bien,l’une faisant des mouvements de va et vient,resserrant sa bouche en remontant le long de sa verge,faisant tourner sa langue autour en même temps qu’elle l’avalait,l’autre l’enfonçant profondément dans sa gorge,donnant des petits coups de langue sur le gland.
C’était très érotique,et Laurent n’en pouvait plus,il avait l’impression que son baton allait craquer tant il était dur.
Les deux déesses,arrêtèrent avant que Brice ne jouisse,Bridget s’allongea,et natacha que le côté transgressif de la chose excitait fut sur elle en moins de temps qu’il ne faut pour le dire,l’embrassa avec fougue,caressa sa poitrine, lui ôta son string,posa une main sur son sexe et trouva cela très doux,elle l’embrassa doucement,puis le lécha,caressa le clitoris avec son pouce,puis le suça,elle s’avérait douée,et Bridget prenait beaucoup de plaisir.
La posture de Natacha offrait une vue imprenable sur sa croupe,et Brice ne put se retenir plus longtemps,il caressa ce cul magnifique,y déposa des baisers,introduisit sa langue dans son intimité trempée,et la pénétra pendant qu’elle faisait jouir Bridget,il alla doucement d’abord,puis voyant que la belle appréciait,il se laissa aller,et accéléra la cadence progressivement jusqu’à ce que Natacha jouisse,puis il jouit à son tour.
Pendant ce temps,les mains de Laurent avaient été détachées pour qu’il puisse se masturber,car il était tellement excité qu’il en avait des sueurs froides.
Quand tout le monde fut remis de ses émotions et rhabillé,ils sabrèrent le champagne.
Dim 03 Juin 2018, 20:57 par
Bridget sur Les liaisons sulfureuses
L'amour est-il un crime ? chapitre 4
Kikou, je remercie grandement inlove pour ses commentaires qui me font vraiment plaisir, donc sans plus attendre voici le chapitre 4.
Chapitre 4 : Exposé et humiliation
Point de vue Haruka.
Quelques jours plus tard avant la date butoir de l’exposer de la classe B-5 c’est à dire la mienne, je me retrouve à la maison dans la cuisine, en train de préparer le repas de ce soir. Au menu spécialité japonaise onigiris porc au caramel et sushi. Michiru se trouvait dans le salon en train de terminer son travail. Je met le riz à cuir 5 à 10 minutes pas plus, et un torchon à la main je me dirige vers ma douce.
Il est vrai que depuis que je lui avait délivré mes sentiments se que je ne fait pas tout les jours nous étions beaucoup plus proche, et cela me rendait très heureuse. Je m’avance vers ellle et enroule son cou lui posant un doux baiser sur sa joue.
Moi – Qu’es ce que tu fais ?
Michiru – je termine l’exposé pour demain, et je dois t’avouer Haru que sa me fait légèrement peur de devoir le réciter devant tout le monde.
Mon sourire s’agrandit un peu plus, j’aimer particulièrement quand elle me trouvait des petit surnom comme celui-là, sa me rendait si heureuse. Je pose le torchon sur la table, et vint m’avancer un peu plus, caressant tendrement ses épaules.
Moi – et de quoi aurais tu peur ?
Michiru – bin on doit réciter l’exposer devant toute la classe. Et le regard des autre me fait douter de mes capacités.
Moi – eh … Il n’y aura que les élèves de notre classe, et je serait la seule pro.fe.ss.eur présente ici !
Michiru – n’empêche sa me fait peur !
Moi – tu veux me le réciter pour t’entrainer un peu ?
Michiru – oui pourquoi pas, de toute manière je les terminé, mais promis tu rigole pas !
Moi – tututu … Pourquoi rigolerais-je de ton travail chaton, je sais que tu en est capable, aller va te mettre derrière la table basse je t’écoute et répond si il y a des questions.
Michiru – merci Haru.
Elle a tendrement posé ses lèvres sur les miennes, m’embrassant avec douceur. Je répond délicatement à son baiser, et la libera afin qu’elle puisse commencer.
Michiru * aller ta déjà surmonter bien plus que sa *
je la voie respirer un grand coup et sa douce voix résonne :
Michiru - le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour toi c’est quoi « l’amour »
Moi – eh bien c’est ressentir de l’amour et de la tendresse pour une personne, c’est se sentir attirer par cette dernière.
Michiru - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.
Je sourit de plus belle, c’est vraiment très bien en plus sa voix est claire et elle articule parfaitement entre chaque mots, et je ne dis pas sa parce ce que j’en suis éperdument amoureuse.
Michiru - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.
Je ne sais pas quoi dire, c’est … Extraordinaire ce vocabulaire qu’elle détien à a peine 17 ans. Je la dévisage en souriant, buvant encore ses paroles que je trouve juste et belle.
Moi – chapeau … Alors là je m’incline, c’était parfait Michiru, tu n’as vraiment pas à avoir peur, c’est … Vraiment je ne trouve pas mes mots tu as un vocabulaire très enrichi et s’est vraiment agréable de t’écouter.
Michiru – c’est vrai ? Merci.
Elle c’est dirigé vers moi, et je la prit tendrement dans mes bras afin de la câliner. La mettant sur mes jambes, j’enroule son dos et de ma main droite j’écarte quelques mèches bleutée de ses yeux et descend à sa joue en une caresse.
Moi – c’était parfait, je suis fière de toi !
Michiru – merci Haru …
Ont se sourit, et tout en allongeant ses bras sur mes épaules nos lèvres s’unirent dans un doux et tendre baiser. Je monte ma main à son visage et lui caresse la joue, la serrant aussi fort que je le pouvais contre moi. Bien qu’elle soit de caractère timide j’étais heureuse de savoir qu’elle partagé le même sentiment que moi.
Je sent une de ses mains se poser sur mon visage et ses doigts s’amusent sur ma paumette. Je l’aime c’est dingue tout se que l’ont peut ressentir quand l’amour nous frappe. Soudain je senti quelque chose de doux et chaud à la fois se qui eu pour effet de provoquer un grand huit à mon cœur.
C’est sa langue qui s’amuse avec la mienne, et je vint jouer amoureusement avec sa partenaire. En fin de compte je suis bien heureuse d’avoir accepter ce poste de professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géographie, car j’ai pue avoir ce bonheur de la rencontrer, et d’éprouver de nouvelles émotions.
On se décolent doucement, mais on dirais que ses lèvres ne son pas du même avis, elle continue de m’embrasser, et cela me rend encore plus heureuse. Je vint caresser son front avec le mien, caressant tendrement sa joue. Nos yeux se son rencontrés et ne se détache plus.
Moi – quand cessera tu … De me rendre folle ?
Michiru – jamais … Je … Oh Haruka.
Moi – chuut … Je sais !
Michiru – dis moi, et si … Et si tu me parler de toi ?
Moi – de moi ? Et que voudrais tu savoir ?
Michiru -se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu fais de tes journées ou tes soirées, tes goût.
Je sourit, je caresse sa joue, et lui dépose un légé baiser sur ses lèvres.
Moi – dans ce cas … Je vais recommencer depuis le début alors !
Michiru – oui …
Mes doigts descendent à ses lèvres, et je lui caresse la dévisageant avec amour.
Moi – eh bien … Je m’appelle Haruka Tenoh j’ai 23 ans, et suis née un 2 novembre 1990, je suis passionné de dessin et lorsque je m’ennui je peint. J’aime cuisiner et regarder un bon film d’horreur. Depuis que je suis petite, mes parents ne me fournissait aucunes tendresse, bien qu’ils ne voulais pas se séparer ils passé leur temps à se disputer. A cause de se manque, je suis très vite devenu garçon manquer, je rester avec les garçons à jouer au foot ou au tennis. Bien que ma masculinité ne m’est pas quittée au file des années, ma couleur favorite est le bleu ainsi que le violet. Malgré les apparences, je suis quelqu’un de très attachante, de nature câline et rêveuse, quand j’aime quelque chose ou même quelqu’un, je fait tout pour la garder auprès de moi.
Je la voie me sourire, sa main caresse la mienne, et ses yeux azur caresse les miens qui pétille de bonheur. Mon cœur ne cesser de cogner violemment contre ma poitrine, j’étais atiré par elle, et j’avais le désir de pouvoir commencer une histoire avec elle sérieuse et sincère.
Michiru – tu est tellement belle … Merci d’avoir était sincère !
Moi – ce n’est rien voyons … Et toi alors, parle moi de toi.
Michiru – tu connais déjà tout.
Moi – non, j’ignore se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu attends maintenant !
Michiru – eh bien, je suis Michiru Kaio j’ai 17 ans et suis née un 21 octobre 1996 à Venise. J’ai deux passions dans la vie, la musique et l’écriture, j’écris depuis 11 ans maintenant, et je fait du violon depuis l’âge de 10 ans. Je deteste les personnes qui se moque d’autrui, et qui ne prenne pas une relation au sérieuse. Je fait attention sur qui je tombe car une fois que je connais la personne, j’ai tendance à m’y attacher un peut trop vite et à me faire de faux espoires. J’adore les films d’amour et je rêve de traverser le grand tapis rouge en robe blanche. Mes couleurs préférés sont le rouge le vert et le bleu, se que j’attends maintenant ? C’est que malgré mon jeune âge, je cherche à batir une relation sincère et durable avec la personne que j’aime plus que tout.
Tout au long de son monologue, le petit sourire que j’avais au coin des lèvres c’était agrandit au file que je buvait avidement ses paroles, je lui caresse la joue, et étant de nature curieuse, je lui demande d’une voix tendre :
Moi – et … Cette personne que tu aimes, à quoi ressemble t-elle ?
Michiru – eh bien … C’est une très jolie jeune femme de grande taille et aux cheveux blond court. Ses petit yeux en amande de couleur émeraude, sa voix douce mais masculine à la fois me fait frissonner de plaisir. Depuis que je la connais elle envahie tout mon univers et mon cœur, il y a un mois de sa lorsque j’ai eu mon accident, je lui est donné mon premier baiser, et même si nous avons un statue assez éloigné l’une de l’autre, je l’aime et en suis éperdument amoureuse !
Mon rythme cardiaque deviens plus rapide et violent, sans qu’elle ne sent rende compte, elle venais de me dire qu’elle m’aimer, et qu’elle est éperdument amoureuse de moi. Je me sent tellement bien, je lui embrasse le nez, et écarte quelques mèches de ses yeux, je l’aime, j’en suis eperdument amoureuse et je ne peux pas me mentir. Je lui soulève le menton et caresse ses lèvres, et d’une voix douce je lui murmure :
Moi – alors je vais te demander une chose … Et une seule.
Michiru – je t’écoute !
Moi – cette relation que tu veux batir … Accepterais tu de la construir avec moi ? Car je n’attend que sa … Construir et vivre une belle histoire d’amour avec la personne que j’aime !
Michiru – oui … C’est avec grand bonheur que j’accepte … Haruka je t’aime.
Sa y’est elle me la dit, je suis vraiment très heureuse, je lui caresse la joue, et m’approche de ses lèvres un peut plus.
Moi – moi aussi je t’aime, et il n’y a que toi qui détiens les clés de mon cœur !
Michiru – alors je vais de suite fermer à double tour et jeter les clés dans l’eau comme sa, tu ne sera plus jamais loin de moi !
Je sourit de nouveau, et posa mes lèvres sur les siennes. A cet instant je ne sais pas se qui se passer, mais ce que je c’est en revanche, c’est que je ne la laisserais plus s’enfuir. Mes bras la serre d’avantage et mes lèvres l’embrassent le plus tendrement possible.
On se détachent doucement, et je lui murmure à douce voix :
Moi – je ne te laisserais plus partir … Oh Michi je t’aime !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore.
On se sourit, je l’embrasse de nouveau, et après ce petit moment tendre, nous allons manger. Michi parti mettre la table, et moi je me dirige ver le cuiseur rêveuse, et oui même les professeurs ont le droit de rêver. Je m’installe face à elle et commence à nous servirent. Une fois fait, je la regarde avec douceur, lui prend la main et lui dis :
Moi – J’espère de tout mon cœur que sa durera !
Michiru – oui, ne t’inquiète pas … Et puis, de toute manière, je ne suis pas prête à te laisser partir.
Je t’aime … C’est dingue çà quel point je t’aime. C’est donc avec le sourire aux lèvres et le cœur rempli de bonheur que je mangea avec Michi.
Michiru – dis une question !
Moi – oui quoi donc ?
Michiru – l’exposé, il compte pour la moyenne général de ce semestre ?
Moi – oui, c’est une note global que je vous atribuerais en fin de semaine.
Michiru – ouais du coup faut pas que je me plante pour l’exposé et le contrôle d’italien.
Moi – bah, j’ai confiance, et tu est italienne non ?
Michiru – oui oui !
Moi – dans ce cas tu n’auras aucun mal à faire ce devoir.
Michiru – un vrai professeur, mais quand on ne parle plus sa langue maternelle, parfois sa savère être difficile de se remettre dans le bain.
Moi – c’est bien vrai !
Ont se sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je me lève, et alors que ma douce mettait le sal dans le lave vaisselle, je me dirige à l’étagez pour prendre une bonne douche.
Avec toutes ses émotions ressenti au cour de ce mois ci je ne sais plus tellement ou me donner de la tête. Je ferme la salle de bain à clé, et commence à me dévêtir, allumant l’eau chaude au passage. Je me glisse à l’intérieur de la baignoire, et laissa mon corsps se détendre sous l’eau.
Mes yeux se ferment et mon visage laisse place à un petit sourire, je laisse mes doigts glisser le long de mes lèvres, sentant encore le délice de sa bouche contre moi.
Dire qu’elle était avec moi, que je pouvais la prendre dans mes bras et la câliner comme bon me semble. Sa me rendait si heureuse mais sa me faisait peur à la fois, peur de devoir souffrir, et de ne pas pouvoir supporter la séparation. Mais bon à quoi je pense moi, bien sûr que je ne la quitterais pas, je fairait tout pour pouvoir la garder entre mes bras. Quand je fut entièrement propre et détendut, je coupe l’arrivée d’eau, et m’enroule dans une serviette sentant le froid me gagner.
Je sort de la baignoire et commence à me sécher de toute part. J’enfile par la suite un bas de pyjama blanc, ainsi qu’un tee-shirt de même couleur. Je saisit le sèche cheveux branche la machine et active le soufflement. Vraiment je ne sais pas quoi penser, je n’arrête pas de sourire bêtement comme si un enfant venais de reçevoir une sucette.
Avec l’aide de mes doigts je met en place quelques mèche de mes cheveux fait ma toilette, et quand j’ouvrit la porte la plus jolie des pierres précieuse se dressa devant moi.
Moi – tu vas à la douche ?
Michiru – oui.
Elle me sourit m’embrasse délicatement les lèvres et vint s’enfermer dans la salle de bain, alors que moi, je me suis diriger l’air rêveur vers ma chambre. Je commencce à fermer les volet, met au pied d’une chaise mon habil pour demain, et règle mon réveille, demain nous ne commençions cas 11 heures, il est donc inutile de se lever tôt.
Je m’installe sous mes draps, et mettant mes bras derrière ma tête, je contemple le plafond qui na rien d’extraordinaire en soie, mais mes pensé étaient toute relier à Michiru.
J’entend ma porte s’ouvrir, et tourne automatiquement la tête vers la gauche, et surprise je vit Michi en petite robe de nuit noir qui mettait dois-je l’avouer ses jolie forme en valeurs, elle a posé ses affaires dans un coin plié, et c’est dirigé vers moi avec un sourire.
Je fut surprise mais heureuse de voir qu’elle se mettait sous les draps, car d’habitude c’est dans la chambre d’ami qu’elle réside.
Michiru – tu dois trouver sa étrange, mais avec se qui c’est passé entre nous ce mois ci j’ai envi de me rapprocher encore plus de toi.
Je sourit, et vint enrouler son dos de mes bras, montant une de mes main à sa chevelure. Sa tête se met face à la mienne posé sur l’oreiller, nous étions très prêt l’une de l’autre, elle glissa sa main gauche à mon dos, et son corps se rapproche du mien.
Je lui caresse la joue et la dévisage avec tendresse.
Moi – ne t’inquiète pas, sa ne me dérange absolument pas !
Michiru – tu est tellement belle. Ses lèvres se pose sur mon nez.
Elle est vraiment adorable, j’approfondit un peu plus ma caresse sur sa joue, et lui murmure en lui offrant un doux sourire :
Moi – et toi, tu est vraiment très jolie et adorable qui plus est.
Elle me sourit, et ne pouvant resister à la tentation je vint sceller mes lèvres aux siennes. Ses bras se son allonger sur mes épaule, alors que ma tête se pose sur son bras je l’approche un peu plus de moi et vint la serrer tendrement contre moi et lui caresse le dos. Nos langues se trouvent et se caresse, nos jambes s’emêlent l’une dans l’autre, nos corps se frictionnent et se caresse.
Michiru – mh …
Mon cœur bondit dans ma poitrine en entendant ce son si sensuelle venant d’elle, je lui faisait dont de l’effet. Cela m’adouci encore plus et je vint approfondir notre baiser, celui-ci devint plus tendre et langoureux. C’est un vrai délice, et je me sent si bien comme sa, j’ai envie que le temps s’arrête, et nous emprisonnent.
On se détachent doucement, j’emmène ma main à son menton et le lui soulève afin de croiser ses yeux qui son vraiment magnifique. Sa main se met à caresser ma joue, et elle me sourit, un sourire que j’aimer.
Michiru – oui, de tout mon cœur j’espère que sa va fonctionner entre nous … Car, je t’aime vraiment beaucoup Haru.
Moi – mais moi aussi, je t’aime vraiment très fort, et ne souhaite qu’une chose pouvoir te rendre heureuse et te voir sourire mon ange.
Michiru – Haruka …
Moi – chuut.
Je lui caresse la lèvres, et vint lui poser un second baiser avant d’éteindre complètement les lumières. Je lui caresse doucement sa cheveulure et lui murmure tendrement.
Moi – bonne nuit chaton à demain.
Michiru – à demain Haru !
Ses lèvres se sont déposés sur mon cou, se qui me fit sourire, je lui embrasse le front et m’endormie serrer contre la femme que j’aime.
Le lendemain, au alentours de sept heure, mon portable se mit à sonner, et encore endormie, j’essaie de l’atteindre, mais quelque chose m’en empêche. Je baisse mon regard encore embué, et remarque avec douceur que c’était Michi qui dormais contre moi. J’éteins mon téléphone que j’eu réussi à attraper, et vint reposer ma tête sur l’oreiller, mêlant au passage mes doigts dans la chevelure bleutée de ma douce.
Un petit bruit se fit entendre, sa provenais du téléphone de Michi. Je voie cette dernière tendre son bras et tater le meuble afin de localiser l’objet. Une fois en main, elle appuie sur décrocher, et porte le cellulaire à son oreille.
Michiru – oui …
Cléo – ou mais c’est que tes encore dans le cirage ma pauvre !
Michiru – hm … T’abuse Cléo, il est que sept heure du mat.
Je sourit et la voie se redresser, elle se frotte les yeux et vint par la suite s’étirer. Qu’elle est belle. Je continue de l’observer tenant ma tête avec ma main gauche un sourire aux lèvres.
Michiru – je t’aime mais s’teu plais laisse moi dormir !
Cléo – mais moi aussi je t’aime. Au faite comment vas ton professeur ?
Michiru – pourquoi cette question ? Elle doit dormir.
Cléo – mais tu est bien chez elle non ?
Michiru – oui mais moi je suis dans le salon !
Cléo – le salon ?
Michiru – je te rappel que je ne peux pas monter les escaliers avec ma hanche !
Cléo – ah oui c’est vrai, sa te fait encore mal ?
Michiru – oui, et j’ai l’impression que le traitement que je suis n’a aucun effet, j’ai toujours aussi mal.
Cléo – bah va falloir retournr chez le médecin !
Michiru – je croix aussi oui, sa serait pas une mauvaise idée !
Elle vint s’allonger de nouveau, et ses yeux croisèrent les miens. Je lui sourit, emène ma main à sa joue et la caresse doucement. Je la voie qui s’approche de moi, et sa main alla se poser sur ma joue. On se sourit, et je vint lui déposer un légé baiser.
Cléo – dis, je peux te poser une question !
Michiru – oui vas y.
Cléo – tu compte lui dire quand ?
Michiru – de quoi ? Et à qui ?
Cléo – ben à ton professeur, et lui dire que tu l’aimes.
Michiru – oh mais arrête de dire que c’est mon professeur, et je c’est pas moi.
Ah, on dirais que sa parle de moi, je lui caresse la joue et lui sourit.
Michiru – bon, Cléo on se parle au lycée.
Cléo – bon … Ok !
Michiru – à plus.
Et sa comunication se coupa. Je lui écarte quelques mèches, et sa voix se met à résonner dans la pièce.
Michiru – elle me tuera un jour moi je vous le dis … J’aurais préféré un réveil beaucoup plus doux que sa voix qui me hurle dessus.
Moi – ah … Et quel genre de réveil voudrais tu ?
Michiru – ben … Me réveiller dans les bras de celle que j’aime par un câlin là c’est parfait.
Moi – dans ce cas … Bonjour mon amour, bien dormis ?
Michiru – oui, merveilleusement bien contre toi !
Je lui sourit tendrement, lui tapote le bout du nez, et c’est en riant que nos lèvres s’unirent dans un doux et délicat baiser. Je vint la prendre dans mes bras, et laisse ses dernier entourer son dos. Ses bras s’allongent sur mes épaules, et son corps se presse tendrement contre le mien. Nos langues se trouvent et se caresse, créant une danse endiablé mais délicieuse.
Je me sent tellement bien avec elle, j’ai envie de la protéger et la chérir tendrement. Je l’aime et me sent vraiment libre, je lui caresse la joue, et monte un peut plus pour être à sa hauteur, et approfondit notre baiser en allant lui morde amoureusement sa lèvres inférieur, mon cœur bat si vite, le désir que je ressent pour elle devient de plus en plus fort, mes gestes se font plus tendre, ainsi que mes lèvres qui deviennent avide de sa peau et amoureuse.
En manque d’oxygène, on se détachent doucement l’une de l’autre, mon front caresse le sien et mes yeux la dévisage avec tendresse.
Michiru – sa … C’est un réveil qui me plais !
Je me met un sourire, je lui caresse la joue, et embrasse son nez.
Moi – dans ce cas, réveillons nous comme sa tout les matins.
Michiru – avec grand plaisir !
On se fixent longuement, et Michi vint se lover dans mes bras, sa tête reposant sur mon cou. Je lui caresse les cheveux et la serre contre moi, il nous resté encore pas mal de temps avant de décoler. Et puis … Cette tendresse qu’elle m’offre à chaque fois qu’elle m’embrasse ou me regarde elle est vraiment agréable j’ai l’impression de revivre.
Michiru – je t’aime.
Moi – moi aussi mon cœur !
Je lui soulève le menton et la dévisage avec douceur, caressant sa joue avec mon pouce.
Moi – je suis tellement heureuse !
Michiru – pourquoi ?
Moi – car j’ai enfin trouvé celle qui qui fait battre mon cœur.
Elle ma sourit, et je vint l’embrasser avec tendresse. Je laisse mon cœur s’exprimer au grès de ses envie maintenant que je pouvais être heureuse.
Quelques heures plus tard, Michi s’habiller dans la salle de bain, alors que moi je préparé le petit déjeuner. Du bruit se fait entendre à l’étage, et surprise je passe ma tête à côté le mur et regarde. Je voie Michiru elle est vraiment très jolie habillé comme sa. Elle porte une longue jupe noire un petit chemiser blanc surmonter d’un petit chale noir. Ses cheveux son retenue par une queue de cheval, elle est vraiment très belle comme sa.
Michiru – Haruka !
Moi – oui ?
Michiru – tu peux venir m’aider à descendre s’il te plais !
Moi – j’arrive.
Je pose la tasse que j’avais en main, et me dirige vers l’étage. Je monte les quelques marches tout en la regardant avec un petit sourire en coin. Une fois à sa hauteur, je vint délicatement la prendre dans mes bras et dis en souriant :
Moi – prête à vous faire escorter princesse ?
Michiru – oui !
Je lui fit un petit clin d’oeil, et descend les escaliers doucement, et une fois arrivé en-bas, je la dépose sur le sol.
Michiru – merci ma chérie !
Je me suis mise à sourire à l’entente de ce petit surnom affectif qu’elle me porte, je lui tapote le bout de nez, et lui dépose un légé baiser sur le front. Je l’aime sa s’en est certain maintenant.
Moi – aller viens déjeuner, sa va bientôt être l’heure de partir !
Michiru – à vos ordre professeur !
Toi alors tu n’en rate pas une quand l’occasion se présente. Je la suit du regard, et saisit ses béquilles, et se dirige vers le comptoir de la cuisine.
Michiru – je suis vraiment obliger de prendre cette horeur ?
Moi – si tu veux vite être remie sur pied oui.
Michiru – c’est infecte !
Je la voie tirer la grimmace et cela me fait rire, prenant place sur une chaise, elle se met à sourire, elle lève ses yeux et me regarde.
Michiru – merci … Sa me fait plaisir de voir que tu est retenue se que j’aime !
Moi – ce n’est rien voyons.
On se regardent et s’échangent un doux sourire. Notre petit jeu dura encore quelques minutes nos yeux se défiaient qui allait avoir le dessus sur l’autre, et cela me fait bien rire intérieurement.
Quand fut l’heure de partir, Michi vint tout mettre dans le lave vaisselle et mit se dernier en route, passant un coup d’éponge sur la table et remetant les chaises à leur place. Je sourit, elle c’est bien intégrer à l’environnement. Prenant son sac qu’elle ajuste sur son épaule, elle se dirige vers moi.
Moi – aller en route ma petite fée du logie.
Elle c’est mise à rire, un son bien délicieux à mes oreilles, je prend mon sac, les clés, et sortie de l’appartement. Je ferme à clés, et nous nous dirigions vers les escaliers. Comme il n’y avait pas d’ascensseur, je dû la prendre dans mes bras, et descendre les quatre étages. Depuis ce matin mon cœur n’arrête pas de faire le grand huit, j’ai cette impression qu’il va bondir hors de ma poitrine.
Une fois en-bas, je me dirige vers le parking toujours avec Michi dans mes bras. Je n’avais pas très envie de la lâcher et ceux depuis les événement d’hier après-midi. Je lui demande gentiment de prendre les clés de ma voiture dans la poche de ma veste, et d’appuyer sur le dévérouillage.
Moi – merci mon petit cœur !
Elle me sourit, et une fois qu’elle fut attaché, je vint me placer à mon tour dans le bolide. J’allume le conteur, tourne une bonne fois vers la droite, fit une marche arrière, et parti direction le lycée.
Michiru – bon … J’espère vraiment que cet exposé va bien se passer !
Moi – mais oui, ne t’inquiète pas … Et puis je serait le seul professeur.
Michiru – c’est bien sa le souci !
Moi – comment sa.
Michiru – disons que à chaque fois que je croise tes yeux je suis comme … Hypnotisé, plus rien n’existe autour de moi quand je te regarde.
Je sourit, je m’arrête à un feu rouge, et vint poser ma main droite sur la sienne.
Moi – dans ce cas, j’essairer de ne pas trop te distraire !
Michiru - ce n’est pas ma faute si mon professeur se trouve être une belle et ravissante femme.
A votre avis qu’est ce que je dois faire ? Plusieurs solutions me vienne, mais comme je suis en voiture je ne peut rien faire.
Moi – dans ce cas … Voila un baiser d’encouragement pour la plus adorable des petes amie !
Et c’est avec le sourire que je lui prit le menton et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Un baiser rendu avec bonheur et sincérité. Je me décolle doucement colle mon front sur le sien, et fait pivoter mon nez négativement contre le sien. Ses yeux son doux pourtant je peux y apercevoir de la peur, sûrement dû à l’exposé de tout à l’heure.
Moi – tout va bien se passer, j’ai confiance en toi Michi !
Michiru – je …
Moi – chuut …
Je lui embrasse le front, descend le long de son nez et enfin à ses lèvres. Je lui caresse la joue, et nous sortâmes ensuite de la voiture. J’enclanche l’alarme, et m’exclame :
Moi – aller courage princesse.
Elle me sourit, je lui fit un signe de la main et je parti direction la salle des professeurs.
PDV Michiru.
Je la regarde partir, le sourire aux lèvres, j’avais encore du mal à croire tout se qui m’arriver, d’une part que je soit avec elle en plus que se soit mon professeur, et la seconde que je loge chez elle aussi. Tout sa était si … Prématuré, mais dieu que je suis heureuse. Je commence à m’avancer vers le portail, et je prit peur en voyant Cléo.
Moi – tu m’as fais peur !
Cléo – je suis si moche que sa ?
Moi – j’ai pas dis sa.
Elle me sourit, et ensemble, nous nous dirigions vers notre salle de cour car dans quelques minutes ce dernier allait commencer.
Cléo – alors ?
Moi – alors quoi ?
Cléo – ne fait pas celle qui ignore de quoi je parle Michi.
Moi – hehe … Bah pour le moment je préfère me poser, bien que j’ai cette envie de lui dire !
Cléo – tu voie que tu sais de quoi je parle !
Je lui fait un clin d’oeil et un petit sourire. Puis une fois dans le grand couloir, ont vîmes cette peste d’Emma et sa clique, j’essaie de rester calme car la seule envie que j’ai et celle de lui donner une bonne gifle en plus de savoir qu’elle aime ma jolie blonde me mettait dans tout mes états.
Emma – tiens mes regarder qui voilà, ce ne serait pas cette petite trainer, je croyais que tu devais rejoindre ta mère ? Dommage que le camion ne t’ai pas fait trop de dégâts, sa m’aurais fait une belle jambe de te savoir morte … Comme ta pouriture de mère.
Cléo – mais tu vas arrêter espèce de salope !
Emma – ou attention la petite Cléo emploie de vilain mots, bouh comme c’est navrant. Pff vous me faite franchement pitié.
Moi – c’est bon tu as terminé ? Tu t’sens mieux … Car j’en aie tout à ton service, tu c’est quoi je vais te dire une chose … Oui c’est bien dommage que je ne soit pas parti rejoindre ma mère, au moins sa m’aurais évité d’entendre de grands mots venant d’une gamine de 5 ans qui ne sais même pas ce que c’est d’aimer.
? - que ce passe t-il ?
Je me tourne et voie Haruka, non ce n’est pas le moment, je remet mon sac sur l’épaule, et dis :
Moi – ce n’est rien professeur …
Cléo – Michi … Non ce n’ai pas rien, tu n’en a pas marre de te faire discriminer et rabaisser à chaque fois !
Je regarde Haruka dans les yeux, je me retien de pleurer, et je dis la voix un peut larmoyante :
Moi – il … Il faut savoir encaisser, et ne pas répondre, et savoir avancer les pied droit devant.
Trop tard, une larme venais de s’échapper de mon œil droit.
Cléo – Michi non …
Et sans rien dire je me retourne et parti vers la salle de cour peiné et blessé des propos de cette peste.
Cléo – professeur Tenoh !
Haruka – oui ?
Cléo – s’il vous plait, faite quelques chose, sa ne peut plus durer Michiru a assez souffert comme sa.
Haruka – très bien, je vais aller la voir et lui parler, nous n’avons cours que dans 40 minutes, donc aller au foyer je viendrais vous cherchez.
Cléo – merci professeur !
Tu est si belle, bien que cruelle, je t’ai tellement aimer … Mais tu hantes toujours mon cœur et mes penser. J’entends du bruit mais je n’y prête pas attention, je me tiens debout face à la baie vitrée, les mains dans le dos.
Moi – maman … J’ai tellement de chose à te dire, sans toi je dépérie à vue d’oeil, même si tu ne ma pas aimé, moi je t’aime toujours, tu sais beaucoup de chose se son produite deuis ton départ …
Des larmes commence à couler le long de mes joues.
Moi – je viens de rentrer au lycée, et j’ai pour ambition de réaliser ton rêve celui de devenir professeur de mathématique, en parlant de professeur de mathématique, je ne t’ai pas dit, mais j’ai enfin trouvé la moitié de mon cœur, comme tu dois t’en douter c’est une femme, elle a 23 ans et elle s’appelle Haruka Tenoh, elle est tellement belle, avec ses cheveux blond court ses yeux fin de couleur émeraude, son côté masculin qui la rend vraiment sublime à mes yeux. Tu sais j’ai réussi à lui dire se que je ressent, et pour mon plus grand bonheur elle éprouve la même chose que moi … Je l’aime et en suis éperdument amoureuse, bien que je ne montre pas se que je ressent je tiens à elle et l’aime plus que tout. Un jour je viendrais me recueillir sur ta tombe et je te montrerais à quoi elle ressemble, elle est ma perle rare, ma moitié et si le temps le veux je veux finir avec elle. Parce ce qu’elle est la femme que j’aime et désir plus que quiconque.
Je ne me retiens plus et cache mon visage laissant libre court à ma peine et mon désaroie. Soudain je sent des bras entourer mon cou, et un souffle chaud caresse ma peau. Je ne me retourne pas je laisse juste mon corps se poser sur celui qui se situer derrière moi.
Je savait parfaitement que c’était Haruka, l’odeur qu’émane sa cheveulure m’enivre. Et je me laisse bercer par les battements rapide de mon cœur.
Haruka – je suis sûr que si elle était la, elle serait fière de toi … Même si nous ne marchons plus à leurs côtés, ils demeur dans nos cœurs, il ne faut pas voir le noir, il faut continuer de vivre et de continuer à avancer pour eux, et cela ne nous empêche pas de leur parler de se confier, j’ai moi aussi perdu ma mère et si j’en suis là aujourd’hui c’est grâce à elle car je voulais qu’elle soit fière de sa fille alors … Maman j’espère que tu te porte bien là où tu te trouve et que tu est heureuse, pour moi tout se passe bien, et j’ai quelques chose à t’avouer tu voies cette jolie jeune fille que je tiens dans mes bras ? Eh bien c’est elle … J’ai enfin trouver mon bout de bonheur, comme tu me le répeter souvent, j’ai trouvé chaussure à mon pied. Je l’aime énormément et suis fortement amoureuse, si le temps est d’accord je compte construir un futur à ses côtés, et j’ai beaucoup de projet en tête pour elle et moi … Voila je voulais que tu sache que ta fille est heureuse que se soit dans sa vie professionnelle que dans sa vie privé, je t’aime maman je ne t’oublierais jamais.
Moi – je t’aime, ne l’oublie pas maman.
Je me tourne doucement, et à la minutes ou mes yeux croisa les siens, j’eue envie de fondre en larme car j’aperçut une petite larme solitaire rouler sur sa joue. Je m’approche et vint lui effacer la goutte d’eau, et vint lui prendre les mains et je sentit les siennes me caresser.
Moi – je serait toujours la pour toi et je … Je ne cesserait jamais de t’aimer.
Haruka – moi non plus … Quoiqu’il arrive je serait la pour te rattraper.
Moi – je t’aime Haruka ne l’oublie jamais !
Haruka – moi aussi Michi, et je ne le cesserait jamais.
Elle a doucement prit mon visage entre ses mains, et ma essuyer les joues. Je m’approche, et voulant lui prouver que je suis sincère envers elle, je posa tendrement mes lèvres sur les siennes. J’enroule son dos et me collle doucement à son corps. Ses doigts se mettent à caresser mes joues, et ses lèvres réponde timidement à mon baiser. Je l’aime et je ne le cesserait jamais.
Sachant que nous étions dans le lycée, on se détachent avec regret l’une de l’autre. Nos yeux se caresse, et sa voix se met à résonner dans la pièce :
Haruka – je ne veux pas te perdre … J’en est perdu assez comme sa !
Moi – je ne pourrais jamais te laisser, c’est même mission impossible.
Elle c’est mise à rire, je suis heureuse de lui avoir redonner sourire, je lui saisit le menton, le soulève doucement, et lui dis de ma voix la plus douce.
Moi – car pour moi … Tu es ce que j’ai de plus cher … Mon amour !
Haruka – je suis heureuse de t’avoir rencontré, car je peux enfin être heureuse.
On se sourit, s’embrassent une dernière fois, et nos corps se séparent, ses lèvres touche une dernière fois mon front, elle me fit un clin d’oeil et parti vers son bureau, ou d’un tiroir elle sortie une espèce d’interphone.
Haruka – les élèves de la classe B-5 son prié de se présenter en cour !
Je sourit, souffle un bon coup, essuie mes yeux, et prend place à mon bureau mettant mes lunettes sur mon nez, je commence à sortir mes affaires, et attend que tout le monde arrive. Je lève mes yeux et remarque Haruka en train d’écrire sur le tableau, sûrement la leçon que nous devions faire.
Puis les élèves commence à pénétrer dans la salle, je voie Cléo me sourire, et cette peste d’Emma me lancer un regard noir.
Haruka – bien bonjour à tous, nous n’allons pas commencer de nouvelle leçon, comme l’exposer et cet après midi, je vais vous demander de me faire une page de couverture concernant le sujet que vous avez choisi.
Je lève la main, attendant de me faire intéroger.
Haruka – oui Michiru ?
Moi – professeur ce que vous voulez que l’ont face c’est dessiner c’est sa ?
Haruka – c’est exact, mais attention, je ne veux rien d’injurieux ou rasiste, alors maintant au travaille.
Elle me lance un petit sourire, je lui rendit, et me mit au travail. Je sort mon exposer que je mis dans mon casier sous la table, sort de ma trousse un crayon à papier une gomme et une règle.
Sortant par la suite une feuille blanche moyennement grande, je plie cette dernière en deux, et à l’aide de mon crayon hb je commence à caresser légèrement le papier. Je savait exactement se que je voulais faire.
Quand j’eue terminé de tracer les formes et traits, à l’aide de crayon de couleurs, je vint crayonné tout le haut de la feuille en noir, en respectant les lignes que j’avais tracées. Sa c’est bien un de mes cours favoris, j’aime le dessin sa me libère de toute pression tout comme l’écriture.
Une fois la feuille colorié, je prend un feutre fin argenté et repasse les écritures que j’avais faite, tout en haut de la feuille, j’avais inscrit en lettre majuscule « Liberté d’expression » par la suite je repasse avec cette même couleur les sigles que j’avais fait. A gauche représenté deux sigles féminin d’écrivant l’amour entre femmes, à droite deux sigles masculin pour l’amour entre homme et juste en bas un sigle masculin et féminin pour montrer l’amour entre un homme et une femme.
Je prend mon temps pour bien le faire. Et à l’aide d’un feutre couleur or, je fait le contour du cœur que j’avais relier avec ses cigles. Je sent une préscence dans mon dos, se devait être Haruka qui vérifié notre travaille. Je colorie l’intérieur des cigles en argenter, et l’intérieur du cœur je le fit au rose pâle.
Enfin fini, je rajoute quelques derniers détails, marque mon nom et prénom en bas à droite de la feuille.
Haruka – c’est parfait.
Elle passe à mes côté et sa main frôle mon bras. Je sourit, la regarde quelques instant, et vint continuer mon travaille. Cette fois c’est l’autre côté de la feuille que je fit exactement pareil sauf que j’inversa les cigles pour qu’ils se retrouvent oposé, comme si ont tourné une page d’une couverture, on voie le dessin original devant et on peut parfois voir la suite derrière mais inverser. Quand ce fut terminé, je prend mon exposer, classe les feuilles dans l’ordre et les posent sur la couverture. Avec l’aide précieuse de mon compas je trace trois petit cercles sur la tranche de ma couverture. Après avec un cuter je vint découper soigneusement les cercles, et à l’aide d’un ruban fin argenter que Cléo m’avait passer pour que je m’attache les cheveux avec je passa ce ruban dans les troues de mon dossier avec les cercles de la couverture. Quand je réussi ma tâche, je met maintenant ce que l’ont pouvais appeler un livre entre mes jambes et vint faire un nœud pour fixer le tout, je coupe les ficelles trop longue, et posa enfin mon dossier sur la table, rangeant mes outils dans ma trousse, et retirant les épluchures de gomme les mettant dans une poubelle qui se situer derrière moi.
Quand enfin midi sonna, chaque élèves se lèvent, et remet le dossier à Haruka, se que je fit aussi. Je me dirige vers un tableau ou un tableau était dessiné, le titre « Délégué principal » afficher en haut. Je prend un stylo, et vint marquer mon nom dans l’une des cases.
Moi – bonne appétit professeur.
Elle ma tendrement sourit, et je suis parti direction le self. Arrivé au réfectoir, Cléo m’aida pour mon plateau, et ont se prit une table pour deux.
Cléo – alors sa va mieux ?
Moi – oui un peut, merci, et j’ai quelques chose à te dire !
Cléo – oui quoi donc ?
Moi – tu est ma meilleure amie, et je ne vais pas te le cacher plus longtemps mais … Nous sommes ensemble !
Cléo – le professeur et toi ?
Moi – oui.
Cléo – mais c’est supère sa, et depuis quand ?
Moi – sa va faire tout juste deux semaines.
Cléo – je suis supère contente pour toi, que sa dure !
Moi – merci Cléo.
On se sourit, et nous continuâmes à manger. Quand 12h55 arriva, avec l’aide de Cléo j’allai débarasser mon plateau, mais au moment ou je passa prêt de la table d’Emma cette dernière me fit un croche patte et je tombe sur le sol.
Emma – ah ah bien fait espèce de salope.
? - eh mais sa va pas, tes conne toi pff.
Moi – merci !
Le garçon qui ma gentiment aidé à me relever me rend les béquilles, je lui sourit, et reprit mon chemin vers Cléio qui poussé des jurons à cette tâche.
Cléo – pff, elle commence vraiment à m’enerver !!
Moi – laisse tomber sa sert à rien.
Je lui sourit, et me frotte le menton car j’ai quand même eu mal quand je suis tombé. Puis 13 heures sonna et c’est avec une boule au ventre que je rejoint ma salle de cour, car je devais parler de mon exposer, et déjà que sa me stresser assez comme sa.
Une fois arrivé en salle de cour, je me dirige vers le bureau d’Haruka et voie que toute la classe à changé, beaucoup de chaises qui se trouvés devant se retrouve à l’arrière. Je lève mes yeux et remarque ma jolie blonde assise sur l’une de ses chaises, je lui sourit tendrement et demande :
Moi – professeur ?
Haruka – oui Michiru ?
Moi – on peut reprendre nos dossiers ?
Haruka - oui allez-y.
Cléo – merci !
Je prend mon dossier et alla à ma table chercher mes lunettes, mon dieu j’ai hâte de quitter ses béquilles. Puis enfin tout le monde entra en classe, je prend place sur ma chaise, et Haruka se dirige vers son bureau.
Haruka – bien puisque tout le monde est là, nous allons pouvoir passer au chose sérieuse, je vais annoncer vos noms pour votre exposé alors … Le premier à passer sera Chardon, puis Tran Guilard Umbrunl, Jolie …
Quel chance je suis la dernière. Haruka remonte et reprend place sur sa chaise, elle tourne sa tête vers moi, et me lance un petit sourire, je lui rendit doucement, et enfin les présentations pour les exposers pue commencer. Mélanie a parler de la crise économique, Dilan des voie de disparition des animaux, cette peste à parler des vêtements se que je trouve ridicule au passage. Cléo a pour sujet la maltraitance des enfants, celui-ci ma particulièrement touché.
Puis enfin ce fut mon tour, j’avale ma salive, et me dirige vers le centre de la pièce juste devant le bureau d’Haruka. Je place mes lunette sur mon nez et cale mes béquilles contre le bureau.
Haruka – très bien nous t’écoutons Michiru !
Je lui sourit, et vint ouvrir mon dossier, j’apercoit un petit mot sur la couverture « courage ma chérie je c’est que tu peux le faire » je lève mes yeux surprise mais heureuse, et Haruka me fit un petit clin d’oeil.
Moi – pour cette exposé j’ai décidé de parler de la liberter d’expression, le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour vous c’est quoi « l’amour »
Haruka – Mélanie !
Mélanie – c’est des sentiments fort que l’ont éprouve pour une personne.
Haruka – Dilan !
Dilan – c’est éprouver de la tendresse et du désir.
Moi - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.
Je voie Haruka me sourire, je continue de lire mon texte en articulant et argumentant.
Moi - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.
Il n’y avait aucun bruit, tous me regarder, et cela me gênais beaucoup.
Emma – pff tes pitoyable ma pauvre fille, comment oses tu parler de ce genre de chose, c’est immonde, tu devrait avoir honte de tes propos, tes répugnante il faut vraiment que les gens face attention à toi, tes une mauvaise fréquentation, et une femme est faite pour aller avec un homme et pas autrement, les gens qui son comme sa sont dégoutant, ils devrait être puni pour ce crime. Va en enfer tu n’apporte que le malheur.
Haruka – sa suffit !!!!!!
Je voie Haruka se diriger vers Emma que je maudissait à ce moment, elle lui prend le bras et la poussa jusqu’en bas.
Haruka – j’en est vraiment plus qsu’assez de toi et de tes propos, ne peut tu pas laisser les autres tranquille ? Je ne te veux plus en cour, et je préviendrait tes parents pour un conseil de disipline.
Emma – mais non alors professeur, c’est dégoutant !!
Haruka – se qui est dégoutant ici c’est les propos que tu tiens à tes camarades et à ton professeur. Donc mademoiselle Umbrunl accompagné cette jeune éfronté chez le directeur.
Cléo – bien professeur.
Et elles partirent toutes deux. Puis un claquement se fit entendre, je me tourne et me reconnecte à la planette terre, et aperçu Dilan en train d’applaudir.
Dilan – je ne sais pas vous, mais moi je trouve que c’était un bel exposer et très intéressant.
Mélanie – bravo Michiru ta était supère !!
Quentin – c’était génial, tu viens de nous démontrer d’une belle façon que l’homme est libre de ses choix.
Moi – merci c’est … c’est gentil.
Haruka – c’était parfait Michiru, tu as bien travaillé.
Tous me complimenter, mais seul ses compliments à elle me fait le plus plaisir. La journée c’est suivit tranquillement, et j’ai réussi à me faire intégrer par la bande de Mélanie. Et pour combler ce bonheur Haruka m’avait féliciter à plusieurs reprise, vraiment je suis très heureuse.
Eh voila le chapitre 4, qui est très long je l’avoue, mais sa me fait tellement plaisir d’écrire cette histoire que j’ai du mal à m’arrêter ^^ et merci à inlove pour ses commentaires :)
Chapitre 4 : Exposé et humiliation
Point de vue Haruka.
Quelques jours plus tard avant la date butoir de l’exposer de la classe B-5 c’est à dire la mienne, je me retrouve à la maison dans la cuisine, en train de préparer le repas de ce soir. Au menu spécialité japonaise onigiris porc au caramel et sushi. Michiru se trouvait dans le salon en train de terminer son travail. Je met le riz à cuir 5 à 10 minutes pas plus, et un torchon à la main je me dirige vers ma douce.
Il est vrai que depuis que je lui avait délivré mes sentiments se que je ne fait pas tout les jours nous étions beaucoup plus proche, et cela me rendait très heureuse. Je m’avance vers ellle et enroule son cou lui posant un doux baiser sur sa joue.
Moi – Qu’es ce que tu fais ?
Michiru – je termine l’exposé pour demain, et je dois t’avouer Haru que sa me fait légèrement peur de devoir le réciter devant tout le monde.
Mon sourire s’agrandit un peu plus, j’aimer particulièrement quand elle me trouvait des petit surnom comme celui-là, sa me rendait si heureuse. Je pose le torchon sur la table, et vint m’avancer un peu plus, caressant tendrement ses épaules.
Moi – et de quoi aurais tu peur ?
Michiru – bin on doit réciter l’exposer devant toute la classe. Et le regard des autre me fait douter de mes capacités.
Moi – eh … Il n’y aura que les élèves de notre classe, et je serait la seule pro.fe.ss.eur présente ici !
Michiru – n’empêche sa me fait peur !
Moi – tu veux me le réciter pour t’entrainer un peu ?
Michiru – oui pourquoi pas, de toute manière je les terminé, mais promis tu rigole pas !
Moi – tututu … Pourquoi rigolerais-je de ton travail chaton, je sais que tu en est capable, aller va te mettre derrière la table basse je t’écoute et répond si il y a des questions.
Michiru – merci Haru.
Elle a tendrement posé ses lèvres sur les miennes, m’embrassant avec douceur. Je répond délicatement à son baiser, et la libera afin qu’elle puisse commencer.
Michiru * aller ta déjà surmonter bien plus que sa *
je la voie respirer un grand coup et sa douce voix résonne :
Michiru - le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour toi c’est quoi « l’amour »
Moi – eh bien c’est ressentir de l’amour et de la tendresse pour une personne, c’est se sentir attirer par cette dernière.
Michiru - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.
Je sourit de plus belle, c’est vraiment très bien en plus sa voix est claire et elle articule parfaitement entre chaque mots, et je ne dis pas sa parce ce que j’en suis éperdument amoureuse.
Michiru - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.
Je ne sais pas quoi dire, c’est … Extraordinaire ce vocabulaire qu’elle détien à a peine 17 ans. Je la dévisage en souriant, buvant encore ses paroles que je trouve juste et belle.
Moi – chapeau … Alors là je m’incline, c’était parfait Michiru, tu n’as vraiment pas à avoir peur, c’est … Vraiment je ne trouve pas mes mots tu as un vocabulaire très enrichi et s’est vraiment agréable de t’écouter.
Michiru – c’est vrai ? Merci.
Elle c’est dirigé vers moi, et je la prit tendrement dans mes bras afin de la câliner. La mettant sur mes jambes, j’enroule son dos et de ma main droite j’écarte quelques mèches bleutée de ses yeux et descend à sa joue en une caresse.
Moi – c’était parfait, je suis fière de toi !
Michiru – merci Haru …
Ont se sourit, et tout en allongeant ses bras sur mes épaules nos lèvres s’unirent dans un doux et tendre baiser. Je monte ma main à son visage et lui caresse la joue, la serrant aussi fort que je le pouvais contre moi. Bien qu’elle soit de caractère timide j’étais heureuse de savoir qu’elle partagé le même sentiment que moi.
Je sent une de ses mains se poser sur mon visage et ses doigts s’amusent sur ma paumette. Je l’aime c’est dingue tout se que l’ont peut ressentir quand l’amour nous frappe. Soudain je senti quelque chose de doux et chaud à la fois se qui eu pour effet de provoquer un grand huit à mon cœur.
C’est sa langue qui s’amuse avec la mienne, et je vint jouer amoureusement avec sa partenaire. En fin de compte je suis bien heureuse d’avoir accepter ce poste de professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géographie, car j’ai pue avoir ce bonheur de la rencontrer, et d’éprouver de nouvelles émotions.
On se décolent doucement, mais on dirais que ses lèvres ne son pas du même avis, elle continue de m’embrasser, et cela me rend encore plus heureuse. Je vint caresser son front avec le mien, caressant tendrement sa joue. Nos yeux se son rencontrés et ne se détache plus.
Moi – quand cessera tu … De me rendre folle ?
Michiru – jamais … Je … Oh Haruka.
Moi – chuut … Je sais !
Michiru – dis moi, et si … Et si tu me parler de toi ?
Moi – de moi ? Et que voudrais tu savoir ?
Michiru -se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu fais de tes journées ou tes soirées, tes goût.
Je sourit, je caresse sa joue, et lui dépose un légé baiser sur ses lèvres.
Moi – dans ce cas … Je vais recommencer depuis le début alors !
Michiru – oui …
Mes doigts descendent à ses lèvres, et je lui caresse la dévisageant avec amour.
Moi – eh bien … Je m’appelle Haruka Tenoh j’ai 23 ans, et suis née un 2 novembre 1990, je suis passionné de dessin et lorsque je m’ennui je peint. J’aime cuisiner et regarder un bon film d’horreur. Depuis que je suis petite, mes parents ne me fournissait aucunes tendresse, bien qu’ils ne voulais pas se séparer ils passé leur temps à se disputer. A cause de se manque, je suis très vite devenu garçon manquer, je rester avec les garçons à jouer au foot ou au tennis. Bien que ma masculinité ne m’est pas quittée au file des années, ma couleur favorite est le bleu ainsi que le violet. Malgré les apparences, je suis quelqu’un de très attachante, de nature câline et rêveuse, quand j’aime quelque chose ou même quelqu’un, je fait tout pour la garder auprès de moi.
Je la voie me sourire, sa main caresse la mienne, et ses yeux azur caresse les miens qui pétille de bonheur. Mon cœur ne cesser de cogner violemment contre ma poitrine, j’étais atiré par elle, et j’avais le désir de pouvoir commencer une histoire avec elle sérieuse et sincère.
Michiru – tu est tellement belle … Merci d’avoir était sincère !
Moi – ce n’est rien voyons … Et toi alors, parle moi de toi.
Michiru – tu connais déjà tout.
Moi – non, j’ignore se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu attends maintenant !
Michiru – eh bien, je suis Michiru Kaio j’ai 17 ans et suis née un 21 octobre 1996 à Venise. J’ai deux passions dans la vie, la musique et l’écriture, j’écris depuis 11 ans maintenant, et je fait du violon depuis l’âge de 10 ans. Je deteste les personnes qui se moque d’autrui, et qui ne prenne pas une relation au sérieuse. Je fait attention sur qui je tombe car une fois que je connais la personne, j’ai tendance à m’y attacher un peut trop vite et à me faire de faux espoires. J’adore les films d’amour et je rêve de traverser le grand tapis rouge en robe blanche. Mes couleurs préférés sont le rouge le vert et le bleu, se que j’attends maintenant ? C’est que malgré mon jeune âge, je cherche à batir une relation sincère et durable avec la personne que j’aime plus que tout.
Tout au long de son monologue, le petit sourire que j’avais au coin des lèvres c’était agrandit au file que je buvait avidement ses paroles, je lui caresse la joue, et étant de nature curieuse, je lui demande d’une voix tendre :
Moi – et … Cette personne que tu aimes, à quoi ressemble t-elle ?
Michiru – eh bien … C’est une très jolie jeune femme de grande taille et aux cheveux blond court. Ses petit yeux en amande de couleur émeraude, sa voix douce mais masculine à la fois me fait frissonner de plaisir. Depuis que je la connais elle envahie tout mon univers et mon cœur, il y a un mois de sa lorsque j’ai eu mon accident, je lui est donné mon premier baiser, et même si nous avons un statue assez éloigné l’une de l’autre, je l’aime et en suis éperdument amoureuse !
Mon rythme cardiaque deviens plus rapide et violent, sans qu’elle ne sent rende compte, elle venais de me dire qu’elle m’aimer, et qu’elle est éperdument amoureuse de moi. Je me sent tellement bien, je lui embrasse le nez, et écarte quelques mèches de ses yeux, je l’aime, j’en suis eperdument amoureuse et je ne peux pas me mentir. Je lui soulève le menton et caresse ses lèvres, et d’une voix douce je lui murmure :
Moi – alors je vais te demander une chose … Et une seule.
Michiru – je t’écoute !
Moi – cette relation que tu veux batir … Accepterais tu de la construir avec moi ? Car je n’attend que sa … Construir et vivre une belle histoire d’amour avec la personne que j’aime !
Michiru – oui … C’est avec grand bonheur que j’accepte … Haruka je t’aime.
Sa y’est elle me la dit, je suis vraiment très heureuse, je lui caresse la joue, et m’approche de ses lèvres un peut plus.
Moi – moi aussi je t’aime, et il n’y a que toi qui détiens les clés de mon cœur !
Michiru – alors je vais de suite fermer à double tour et jeter les clés dans l’eau comme sa, tu ne sera plus jamais loin de moi !
Je sourit de nouveau, et posa mes lèvres sur les siennes. A cet instant je ne sais pas se qui se passer, mais ce que je c’est en revanche, c’est que je ne la laisserais plus s’enfuir. Mes bras la serre d’avantage et mes lèvres l’embrassent le plus tendrement possible.
On se détachent doucement, et je lui murmure à douce voix :
Moi – je ne te laisserais plus partir … Oh Michi je t’aime !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore.
On se sourit, je l’embrasse de nouveau, et après ce petit moment tendre, nous allons manger. Michi parti mettre la table, et moi je me dirige ver le cuiseur rêveuse, et oui même les professeurs ont le droit de rêver. Je m’installe face à elle et commence à nous servirent. Une fois fait, je la regarde avec douceur, lui prend la main et lui dis :
Moi – J’espère de tout mon cœur que sa durera !
Michiru – oui, ne t’inquiète pas … Et puis, de toute manière, je ne suis pas prête à te laisser partir.
Je t’aime … C’est dingue çà quel point je t’aime. C’est donc avec le sourire aux lèvres et le cœur rempli de bonheur que je mangea avec Michi.
Michiru – dis une question !
Moi – oui quoi donc ?
Michiru – l’exposé, il compte pour la moyenne général de ce semestre ?
Moi – oui, c’est une note global que je vous atribuerais en fin de semaine.
Michiru – ouais du coup faut pas que je me plante pour l’exposé et le contrôle d’italien.
Moi – bah, j’ai confiance, et tu est italienne non ?
Michiru – oui oui !
Moi – dans ce cas tu n’auras aucun mal à faire ce devoir.
Michiru – un vrai professeur, mais quand on ne parle plus sa langue maternelle, parfois sa savère être difficile de se remettre dans le bain.
Moi – c’est bien vrai !
Ont se sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je me lève, et alors que ma douce mettait le sal dans le lave vaisselle, je me dirige à l’étagez pour prendre une bonne douche.
Avec toutes ses émotions ressenti au cour de ce mois ci je ne sais plus tellement ou me donner de la tête. Je ferme la salle de bain à clé, et commence à me dévêtir, allumant l’eau chaude au passage. Je me glisse à l’intérieur de la baignoire, et laissa mon corsps se détendre sous l’eau.
Mes yeux se ferment et mon visage laisse place à un petit sourire, je laisse mes doigts glisser le long de mes lèvres, sentant encore le délice de sa bouche contre moi.
Dire qu’elle était avec moi, que je pouvais la prendre dans mes bras et la câliner comme bon me semble. Sa me rendait si heureuse mais sa me faisait peur à la fois, peur de devoir souffrir, et de ne pas pouvoir supporter la séparation. Mais bon à quoi je pense moi, bien sûr que je ne la quitterais pas, je fairait tout pour pouvoir la garder entre mes bras. Quand je fut entièrement propre et détendut, je coupe l’arrivée d’eau, et m’enroule dans une serviette sentant le froid me gagner.
Je sort de la baignoire et commence à me sécher de toute part. J’enfile par la suite un bas de pyjama blanc, ainsi qu’un tee-shirt de même couleur. Je saisit le sèche cheveux branche la machine et active le soufflement. Vraiment je ne sais pas quoi penser, je n’arrête pas de sourire bêtement comme si un enfant venais de reçevoir une sucette.
Avec l’aide de mes doigts je met en place quelques mèche de mes cheveux fait ma toilette, et quand j’ouvrit la porte la plus jolie des pierres précieuse se dressa devant moi.
Moi – tu vas à la douche ?
Michiru – oui.
Elle me sourit m’embrasse délicatement les lèvres et vint s’enfermer dans la salle de bain, alors que moi, je me suis diriger l’air rêveur vers ma chambre. Je commencce à fermer les volet, met au pied d’une chaise mon habil pour demain, et règle mon réveille, demain nous ne commençions cas 11 heures, il est donc inutile de se lever tôt.
Je m’installe sous mes draps, et mettant mes bras derrière ma tête, je contemple le plafond qui na rien d’extraordinaire en soie, mais mes pensé étaient toute relier à Michiru.
J’entend ma porte s’ouvrir, et tourne automatiquement la tête vers la gauche, et surprise je vit Michi en petite robe de nuit noir qui mettait dois-je l’avouer ses jolie forme en valeurs, elle a posé ses affaires dans un coin plié, et c’est dirigé vers moi avec un sourire.
Je fut surprise mais heureuse de voir qu’elle se mettait sous les draps, car d’habitude c’est dans la chambre d’ami qu’elle réside.
Michiru – tu dois trouver sa étrange, mais avec se qui c’est passé entre nous ce mois ci j’ai envi de me rapprocher encore plus de toi.
Je sourit, et vint enrouler son dos de mes bras, montant une de mes main à sa chevelure. Sa tête se met face à la mienne posé sur l’oreiller, nous étions très prêt l’une de l’autre, elle glissa sa main gauche à mon dos, et son corps se rapproche du mien.
Je lui caresse la joue et la dévisage avec tendresse.
Moi – ne t’inquiète pas, sa ne me dérange absolument pas !
Michiru – tu est tellement belle. Ses lèvres se pose sur mon nez.
Elle est vraiment adorable, j’approfondit un peu plus ma caresse sur sa joue, et lui murmure en lui offrant un doux sourire :
Moi – et toi, tu est vraiment très jolie et adorable qui plus est.
Elle me sourit, et ne pouvant resister à la tentation je vint sceller mes lèvres aux siennes. Ses bras se son allonger sur mes épaule, alors que ma tête se pose sur son bras je l’approche un peu plus de moi et vint la serrer tendrement contre moi et lui caresse le dos. Nos langues se trouvent et se caresse, nos jambes s’emêlent l’une dans l’autre, nos corps se frictionnent et se caresse.
Michiru – mh …
Mon cœur bondit dans ma poitrine en entendant ce son si sensuelle venant d’elle, je lui faisait dont de l’effet. Cela m’adouci encore plus et je vint approfondir notre baiser, celui-ci devint plus tendre et langoureux. C’est un vrai délice, et je me sent si bien comme sa, j’ai envie que le temps s’arrête, et nous emprisonnent.
On se détachent doucement, j’emmène ma main à son menton et le lui soulève afin de croiser ses yeux qui son vraiment magnifique. Sa main se met à caresser ma joue, et elle me sourit, un sourire que j’aimer.
Michiru – oui, de tout mon cœur j’espère que sa va fonctionner entre nous … Car, je t’aime vraiment beaucoup Haru.
Moi – mais moi aussi, je t’aime vraiment très fort, et ne souhaite qu’une chose pouvoir te rendre heureuse et te voir sourire mon ange.
Michiru – Haruka …
Moi – chuut.
Je lui caresse la lèvres, et vint lui poser un second baiser avant d’éteindre complètement les lumières. Je lui caresse doucement sa cheveulure et lui murmure tendrement.
Moi – bonne nuit chaton à demain.
Michiru – à demain Haru !
Ses lèvres se sont déposés sur mon cou, se qui me fit sourire, je lui embrasse le front et m’endormie serrer contre la femme que j’aime.
Le lendemain, au alentours de sept heure, mon portable se mit à sonner, et encore endormie, j’essaie de l’atteindre, mais quelque chose m’en empêche. Je baisse mon regard encore embué, et remarque avec douceur que c’était Michi qui dormais contre moi. J’éteins mon téléphone que j’eu réussi à attraper, et vint reposer ma tête sur l’oreiller, mêlant au passage mes doigts dans la chevelure bleutée de ma douce.
Un petit bruit se fit entendre, sa provenais du téléphone de Michi. Je voie cette dernière tendre son bras et tater le meuble afin de localiser l’objet. Une fois en main, elle appuie sur décrocher, et porte le cellulaire à son oreille.
Michiru – oui …
Cléo – ou mais c’est que tes encore dans le cirage ma pauvre !
Michiru – hm … T’abuse Cléo, il est que sept heure du mat.
Je sourit et la voie se redresser, elle se frotte les yeux et vint par la suite s’étirer. Qu’elle est belle. Je continue de l’observer tenant ma tête avec ma main gauche un sourire aux lèvres.
Michiru – je t’aime mais s’teu plais laisse moi dormir !
Cléo – mais moi aussi je t’aime. Au faite comment vas ton professeur ?
Michiru – pourquoi cette question ? Elle doit dormir.
Cléo – mais tu est bien chez elle non ?
Michiru – oui mais moi je suis dans le salon !
Cléo – le salon ?
Michiru – je te rappel que je ne peux pas monter les escaliers avec ma hanche !
Cléo – ah oui c’est vrai, sa te fait encore mal ?
Michiru – oui, et j’ai l’impression que le traitement que je suis n’a aucun effet, j’ai toujours aussi mal.
Cléo – bah va falloir retournr chez le médecin !
Michiru – je croix aussi oui, sa serait pas une mauvaise idée !
Elle vint s’allonger de nouveau, et ses yeux croisèrent les miens. Je lui sourit, emène ma main à sa joue et la caresse doucement. Je la voie qui s’approche de moi, et sa main alla se poser sur ma joue. On se sourit, et je vint lui déposer un légé baiser.
Cléo – dis, je peux te poser une question !
Michiru – oui vas y.
Cléo – tu compte lui dire quand ?
Michiru – de quoi ? Et à qui ?
Cléo – ben à ton professeur, et lui dire que tu l’aimes.
Michiru – oh mais arrête de dire que c’est mon professeur, et je c’est pas moi.
Ah, on dirais que sa parle de moi, je lui caresse la joue et lui sourit.
Michiru – bon, Cléo on se parle au lycée.
Cléo – bon … Ok !
Michiru – à plus.
Et sa comunication se coupa. Je lui écarte quelques mèches, et sa voix se met à résonner dans la pièce.
Michiru – elle me tuera un jour moi je vous le dis … J’aurais préféré un réveil beaucoup plus doux que sa voix qui me hurle dessus.
Moi – ah … Et quel genre de réveil voudrais tu ?
Michiru – ben … Me réveiller dans les bras de celle que j’aime par un câlin là c’est parfait.
Moi – dans ce cas … Bonjour mon amour, bien dormis ?
Michiru – oui, merveilleusement bien contre toi !
Je lui sourit tendrement, lui tapote le bout du nez, et c’est en riant que nos lèvres s’unirent dans un doux et délicat baiser. Je vint la prendre dans mes bras, et laisse ses dernier entourer son dos. Ses bras s’allongent sur mes épaules, et son corps se presse tendrement contre le mien. Nos langues se trouvent et se caresse, créant une danse endiablé mais délicieuse.
Je me sent tellement bien avec elle, j’ai envie de la protéger et la chérir tendrement. Je l’aime et me sent vraiment libre, je lui caresse la joue, et monte un peut plus pour être à sa hauteur, et approfondit notre baiser en allant lui morde amoureusement sa lèvres inférieur, mon cœur bat si vite, le désir que je ressent pour elle devient de plus en plus fort, mes gestes se font plus tendre, ainsi que mes lèvres qui deviennent avide de sa peau et amoureuse.
En manque d’oxygène, on se détachent doucement l’une de l’autre, mon front caresse le sien et mes yeux la dévisage avec tendresse.
Michiru – sa … C’est un réveil qui me plais !
Je me met un sourire, je lui caresse la joue, et embrasse son nez.
Moi – dans ce cas, réveillons nous comme sa tout les matins.
Michiru – avec grand plaisir !
On se fixent longuement, et Michi vint se lover dans mes bras, sa tête reposant sur mon cou. Je lui caresse les cheveux et la serre contre moi, il nous resté encore pas mal de temps avant de décoler. Et puis … Cette tendresse qu’elle m’offre à chaque fois qu’elle m’embrasse ou me regarde elle est vraiment agréable j’ai l’impression de revivre.
Michiru – je t’aime.
Moi – moi aussi mon cœur !
Je lui soulève le menton et la dévisage avec douceur, caressant sa joue avec mon pouce.
Moi – je suis tellement heureuse !
Michiru – pourquoi ?
Moi – car j’ai enfin trouvé celle qui qui fait battre mon cœur.
Elle ma sourit, et je vint l’embrasser avec tendresse. Je laisse mon cœur s’exprimer au grès de ses envie maintenant que je pouvais être heureuse.
Quelques heures plus tard, Michi s’habiller dans la salle de bain, alors que moi je préparé le petit déjeuner. Du bruit se fait entendre à l’étage, et surprise je passe ma tête à côté le mur et regarde. Je voie Michiru elle est vraiment très jolie habillé comme sa. Elle porte une longue jupe noire un petit chemiser blanc surmonter d’un petit chale noir. Ses cheveux son retenue par une queue de cheval, elle est vraiment très belle comme sa.
Michiru – Haruka !
Moi – oui ?
Michiru – tu peux venir m’aider à descendre s’il te plais !
Moi – j’arrive.
Je pose la tasse que j’avais en main, et me dirige vers l’étage. Je monte les quelques marches tout en la regardant avec un petit sourire en coin. Une fois à sa hauteur, je vint délicatement la prendre dans mes bras et dis en souriant :
Moi – prête à vous faire escorter princesse ?
Michiru – oui !
Je lui fit un petit clin d’oeil, et descend les escaliers doucement, et une fois arrivé en-bas, je la dépose sur le sol.
Michiru – merci ma chérie !
Je me suis mise à sourire à l’entente de ce petit surnom affectif qu’elle me porte, je lui tapote le bout de nez, et lui dépose un légé baiser sur le front. Je l’aime sa s’en est certain maintenant.
Moi – aller viens déjeuner, sa va bientôt être l’heure de partir !
Michiru – à vos ordre professeur !
Toi alors tu n’en rate pas une quand l’occasion se présente. Je la suit du regard, et saisit ses béquilles, et se dirige vers le comptoir de la cuisine.
Michiru – je suis vraiment obliger de prendre cette horeur ?
Moi – si tu veux vite être remie sur pied oui.
Michiru – c’est infecte !
Je la voie tirer la grimmace et cela me fait rire, prenant place sur une chaise, elle se met à sourire, elle lève ses yeux et me regarde.
Michiru – merci … Sa me fait plaisir de voir que tu est retenue se que j’aime !
Moi – ce n’est rien voyons.
On se regardent et s’échangent un doux sourire. Notre petit jeu dura encore quelques minutes nos yeux se défiaient qui allait avoir le dessus sur l’autre, et cela me fait bien rire intérieurement.
Quand fut l’heure de partir, Michi vint tout mettre dans le lave vaisselle et mit se dernier en route, passant un coup d’éponge sur la table et remetant les chaises à leur place. Je sourit, elle c’est bien intégrer à l’environnement. Prenant son sac qu’elle ajuste sur son épaule, elle se dirige vers moi.
Moi – aller en route ma petite fée du logie.
Elle c’est mise à rire, un son bien délicieux à mes oreilles, je prend mon sac, les clés, et sortie de l’appartement. Je ferme à clés, et nous nous dirigions vers les escaliers. Comme il n’y avait pas d’ascensseur, je dû la prendre dans mes bras, et descendre les quatre étages. Depuis ce matin mon cœur n’arrête pas de faire le grand huit, j’ai cette impression qu’il va bondir hors de ma poitrine.
Une fois en-bas, je me dirige vers le parking toujours avec Michi dans mes bras. Je n’avais pas très envie de la lâcher et ceux depuis les événement d’hier après-midi. Je lui demande gentiment de prendre les clés de ma voiture dans la poche de ma veste, et d’appuyer sur le dévérouillage.
Moi – merci mon petit cœur !
Elle me sourit, et une fois qu’elle fut attaché, je vint me placer à mon tour dans le bolide. J’allume le conteur, tourne une bonne fois vers la droite, fit une marche arrière, et parti direction le lycée.
Michiru – bon … J’espère vraiment que cet exposé va bien se passer !
Moi – mais oui, ne t’inquiète pas … Et puis je serait le seul professeur.
Michiru – c’est bien sa le souci !
Moi – comment sa.
Michiru – disons que à chaque fois que je croise tes yeux je suis comme … Hypnotisé, plus rien n’existe autour de moi quand je te regarde.
Je sourit, je m’arrête à un feu rouge, et vint poser ma main droite sur la sienne.
Moi – dans ce cas, j’essairer de ne pas trop te distraire !
Michiru - ce n’est pas ma faute si mon professeur se trouve être une belle et ravissante femme.
A votre avis qu’est ce que je dois faire ? Plusieurs solutions me vienne, mais comme je suis en voiture je ne peut rien faire.
Moi – dans ce cas … Voila un baiser d’encouragement pour la plus adorable des petes amie !
Et c’est avec le sourire que je lui prit le menton et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Un baiser rendu avec bonheur et sincérité. Je me décolle doucement colle mon front sur le sien, et fait pivoter mon nez négativement contre le sien. Ses yeux son doux pourtant je peux y apercevoir de la peur, sûrement dû à l’exposé de tout à l’heure.
Moi – tout va bien se passer, j’ai confiance en toi Michi !
Michiru – je …
Moi – chuut …
Je lui embrasse le front, descend le long de son nez et enfin à ses lèvres. Je lui caresse la joue, et nous sortâmes ensuite de la voiture. J’enclanche l’alarme, et m’exclame :
Moi – aller courage princesse.
Elle me sourit, je lui fit un signe de la main et je parti direction la salle des professeurs.
PDV Michiru.
Je la regarde partir, le sourire aux lèvres, j’avais encore du mal à croire tout se qui m’arriver, d’une part que je soit avec elle en plus que se soit mon professeur, et la seconde que je loge chez elle aussi. Tout sa était si … Prématuré, mais dieu que je suis heureuse. Je commence à m’avancer vers le portail, et je prit peur en voyant Cléo.
Moi – tu m’as fais peur !
Cléo – je suis si moche que sa ?
Moi – j’ai pas dis sa.
Elle me sourit, et ensemble, nous nous dirigions vers notre salle de cour car dans quelques minutes ce dernier allait commencer.
Cléo – alors ?
Moi – alors quoi ?
Cléo – ne fait pas celle qui ignore de quoi je parle Michi.
Moi – hehe … Bah pour le moment je préfère me poser, bien que j’ai cette envie de lui dire !
Cléo – tu voie que tu sais de quoi je parle !
Je lui fait un clin d’oeil et un petit sourire. Puis une fois dans le grand couloir, ont vîmes cette peste d’Emma et sa clique, j’essaie de rester calme car la seule envie que j’ai et celle de lui donner une bonne gifle en plus de savoir qu’elle aime ma jolie blonde me mettait dans tout mes états.
Emma – tiens mes regarder qui voilà, ce ne serait pas cette petite trainer, je croyais que tu devais rejoindre ta mère ? Dommage que le camion ne t’ai pas fait trop de dégâts, sa m’aurais fait une belle jambe de te savoir morte … Comme ta pouriture de mère.
Cléo – mais tu vas arrêter espèce de salope !
Emma – ou attention la petite Cléo emploie de vilain mots, bouh comme c’est navrant. Pff vous me faite franchement pitié.
Moi – c’est bon tu as terminé ? Tu t’sens mieux … Car j’en aie tout à ton service, tu c’est quoi je vais te dire une chose … Oui c’est bien dommage que je ne soit pas parti rejoindre ma mère, au moins sa m’aurais évité d’entendre de grands mots venant d’une gamine de 5 ans qui ne sais même pas ce que c’est d’aimer.
? - que ce passe t-il ?
Je me tourne et voie Haruka, non ce n’est pas le moment, je remet mon sac sur l’épaule, et dis :
Moi – ce n’est rien professeur …
Cléo – Michi … Non ce n’ai pas rien, tu n’en a pas marre de te faire discriminer et rabaisser à chaque fois !
Je regarde Haruka dans les yeux, je me retien de pleurer, et je dis la voix un peut larmoyante :
Moi – il … Il faut savoir encaisser, et ne pas répondre, et savoir avancer les pied droit devant.
Trop tard, une larme venais de s’échapper de mon œil droit.
Cléo – Michi non …
Et sans rien dire je me retourne et parti vers la salle de cour peiné et blessé des propos de cette peste.
Cléo – professeur Tenoh !
Haruka – oui ?
Cléo – s’il vous plait, faite quelques chose, sa ne peut plus durer Michiru a assez souffert comme sa.
Haruka – très bien, je vais aller la voir et lui parler, nous n’avons cours que dans 40 minutes, donc aller au foyer je viendrais vous cherchez.
Cléo – merci professeur !
Tu est si belle, bien que cruelle, je t’ai tellement aimer … Mais tu hantes toujours mon cœur et mes penser. J’entends du bruit mais je n’y prête pas attention, je me tiens debout face à la baie vitrée, les mains dans le dos.
Moi – maman … J’ai tellement de chose à te dire, sans toi je dépérie à vue d’oeil, même si tu ne ma pas aimé, moi je t’aime toujours, tu sais beaucoup de chose se son produite deuis ton départ …
Des larmes commence à couler le long de mes joues.
Moi – je viens de rentrer au lycée, et j’ai pour ambition de réaliser ton rêve celui de devenir professeur de mathématique, en parlant de professeur de mathématique, je ne t’ai pas dit, mais j’ai enfin trouvé la moitié de mon cœur, comme tu dois t’en douter c’est une femme, elle a 23 ans et elle s’appelle Haruka Tenoh, elle est tellement belle, avec ses cheveux blond court ses yeux fin de couleur émeraude, son côté masculin qui la rend vraiment sublime à mes yeux. Tu sais j’ai réussi à lui dire se que je ressent, et pour mon plus grand bonheur elle éprouve la même chose que moi … Je l’aime et en suis éperdument amoureuse, bien que je ne montre pas se que je ressent je tiens à elle et l’aime plus que tout. Un jour je viendrais me recueillir sur ta tombe et je te montrerais à quoi elle ressemble, elle est ma perle rare, ma moitié et si le temps le veux je veux finir avec elle. Parce ce qu’elle est la femme que j’aime et désir plus que quiconque.
Je ne me retiens plus et cache mon visage laissant libre court à ma peine et mon désaroie. Soudain je sent des bras entourer mon cou, et un souffle chaud caresse ma peau. Je ne me retourne pas je laisse juste mon corps se poser sur celui qui se situer derrière moi.
Je savait parfaitement que c’était Haruka, l’odeur qu’émane sa cheveulure m’enivre. Et je me laisse bercer par les battements rapide de mon cœur.
Haruka – je suis sûr que si elle était la, elle serait fière de toi … Même si nous ne marchons plus à leurs côtés, ils demeur dans nos cœurs, il ne faut pas voir le noir, il faut continuer de vivre et de continuer à avancer pour eux, et cela ne nous empêche pas de leur parler de se confier, j’ai moi aussi perdu ma mère et si j’en suis là aujourd’hui c’est grâce à elle car je voulais qu’elle soit fière de sa fille alors … Maman j’espère que tu te porte bien là où tu te trouve et que tu est heureuse, pour moi tout se passe bien, et j’ai quelques chose à t’avouer tu voies cette jolie jeune fille que je tiens dans mes bras ? Eh bien c’est elle … J’ai enfin trouver mon bout de bonheur, comme tu me le répeter souvent, j’ai trouvé chaussure à mon pied. Je l’aime énormément et suis fortement amoureuse, si le temps est d’accord je compte construir un futur à ses côtés, et j’ai beaucoup de projet en tête pour elle et moi … Voila je voulais que tu sache que ta fille est heureuse que se soit dans sa vie professionnelle que dans sa vie privé, je t’aime maman je ne t’oublierais jamais.
Moi – je t’aime, ne l’oublie pas maman.
Je me tourne doucement, et à la minutes ou mes yeux croisa les siens, j’eue envie de fondre en larme car j’aperçut une petite larme solitaire rouler sur sa joue. Je m’approche et vint lui effacer la goutte d’eau, et vint lui prendre les mains et je sentit les siennes me caresser.
Moi – je serait toujours la pour toi et je … Je ne cesserait jamais de t’aimer.
Haruka – moi non plus … Quoiqu’il arrive je serait la pour te rattraper.
Moi – je t’aime Haruka ne l’oublie jamais !
Haruka – moi aussi Michi, et je ne le cesserait jamais.
Elle a doucement prit mon visage entre ses mains, et ma essuyer les joues. Je m’approche, et voulant lui prouver que je suis sincère envers elle, je posa tendrement mes lèvres sur les siennes. J’enroule son dos et me collle doucement à son corps. Ses doigts se mettent à caresser mes joues, et ses lèvres réponde timidement à mon baiser. Je l’aime et je ne le cesserait jamais.
Sachant que nous étions dans le lycée, on se détachent avec regret l’une de l’autre. Nos yeux se caresse, et sa voix se met à résonner dans la pièce :
Haruka – je ne veux pas te perdre … J’en est perdu assez comme sa !
Moi – je ne pourrais jamais te laisser, c’est même mission impossible.
Elle c’est mise à rire, je suis heureuse de lui avoir redonner sourire, je lui saisit le menton, le soulève doucement, et lui dis de ma voix la plus douce.
Moi – car pour moi … Tu es ce que j’ai de plus cher … Mon amour !
Haruka – je suis heureuse de t’avoir rencontré, car je peux enfin être heureuse.
On se sourit, s’embrassent une dernière fois, et nos corps se séparent, ses lèvres touche une dernière fois mon front, elle me fit un clin d’oeil et parti vers son bureau, ou d’un tiroir elle sortie une espèce d’interphone.
Haruka – les élèves de la classe B-5 son prié de se présenter en cour !
Je sourit, souffle un bon coup, essuie mes yeux, et prend place à mon bureau mettant mes lunettes sur mon nez, je commence à sortir mes affaires, et attend que tout le monde arrive. Je lève mes yeux et remarque Haruka en train d’écrire sur le tableau, sûrement la leçon que nous devions faire.
Puis les élèves commence à pénétrer dans la salle, je voie Cléo me sourire, et cette peste d’Emma me lancer un regard noir.
Haruka – bien bonjour à tous, nous n’allons pas commencer de nouvelle leçon, comme l’exposer et cet après midi, je vais vous demander de me faire une page de couverture concernant le sujet que vous avez choisi.
Je lève la main, attendant de me faire intéroger.
Haruka – oui Michiru ?
Moi – professeur ce que vous voulez que l’ont face c’est dessiner c’est sa ?
Haruka – c’est exact, mais attention, je ne veux rien d’injurieux ou rasiste, alors maintant au travaille.
Elle me lance un petit sourire, je lui rendit, et me mit au travail. Je sort mon exposer que je mis dans mon casier sous la table, sort de ma trousse un crayon à papier une gomme et une règle.
Sortant par la suite une feuille blanche moyennement grande, je plie cette dernière en deux, et à l’aide de mon crayon hb je commence à caresser légèrement le papier. Je savait exactement se que je voulais faire.
Quand j’eue terminé de tracer les formes et traits, à l’aide de crayon de couleurs, je vint crayonné tout le haut de la feuille en noir, en respectant les lignes que j’avais tracées. Sa c’est bien un de mes cours favoris, j’aime le dessin sa me libère de toute pression tout comme l’écriture.
Une fois la feuille colorié, je prend un feutre fin argenté et repasse les écritures que j’avais faite, tout en haut de la feuille, j’avais inscrit en lettre majuscule « Liberté d’expression » par la suite je repasse avec cette même couleur les sigles que j’avais fait. A gauche représenté deux sigles féminin d’écrivant l’amour entre femmes, à droite deux sigles masculin pour l’amour entre homme et juste en bas un sigle masculin et féminin pour montrer l’amour entre un homme et une femme.
Je prend mon temps pour bien le faire. Et à l’aide d’un feutre couleur or, je fait le contour du cœur que j’avais relier avec ses cigles. Je sent une préscence dans mon dos, se devait être Haruka qui vérifié notre travaille. Je colorie l’intérieur des cigles en argenter, et l’intérieur du cœur je le fit au rose pâle.
Enfin fini, je rajoute quelques derniers détails, marque mon nom et prénom en bas à droite de la feuille.
Haruka – c’est parfait.
Elle passe à mes côté et sa main frôle mon bras. Je sourit, la regarde quelques instant, et vint continuer mon travaille. Cette fois c’est l’autre côté de la feuille que je fit exactement pareil sauf que j’inversa les cigles pour qu’ils se retrouvent oposé, comme si ont tourné une page d’une couverture, on voie le dessin original devant et on peut parfois voir la suite derrière mais inverser. Quand ce fut terminé, je prend mon exposer, classe les feuilles dans l’ordre et les posent sur la couverture. Avec l’aide précieuse de mon compas je trace trois petit cercles sur la tranche de ma couverture. Après avec un cuter je vint découper soigneusement les cercles, et à l’aide d’un ruban fin argenter que Cléo m’avait passer pour que je m’attache les cheveux avec je passa ce ruban dans les troues de mon dossier avec les cercles de la couverture. Quand je réussi ma tâche, je met maintenant ce que l’ont pouvais appeler un livre entre mes jambes et vint faire un nœud pour fixer le tout, je coupe les ficelles trop longue, et posa enfin mon dossier sur la table, rangeant mes outils dans ma trousse, et retirant les épluchures de gomme les mettant dans une poubelle qui se situer derrière moi.
Quand enfin midi sonna, chaque élèves se lèvent, et remet le dossier à Haruka, se que je fit aussi. Je me dirige vers un tableau ou un tableau était dessiné, le titre « Délégué principal » afficher en haut. Je prend un stylo, et vint marquer mon nom dans l’une des cases.
Moi – bonne appétit professeur.
Elle ma tendrement sourit, et je suis parti direction le self. Arrivé au réfectoir, Cléo m’aida pour mon plateau, et ont se prit une table pour deux.
Cléo – alors sa va mieux ?
Moi – oui un peut, merci, et j’ai quelques chose à te dire !
Cléo – oui quoi donc ?
Moi – tu est ma meilleure amie, et je ne vais pas te le cacher plus longtemps mais … Nous sommes ensemble !
Cléo – le professeur et toi ?
Moi – oui.
Cléo – mais c’est supère sa, et depuis quand ?
Moi – sa va faire tout juste deux semaines.
Cléo – je suis supère contente pour toi, que sa dure !
Moi – merci Cléo.
On se sourit, et nous continuâmes à manger. Quand 12h55 arriva, avec l’aide de Cléo j’allai débarasser mon plateau, mais au moment ou je passa prêt de la table d’Emma cette dernière me fit un croche patte et je tombe sur le sol.
Emma – ah ah bien fait espèce de salope.
? - eh mais sa va pas, tes conne toi pff.
Moi – merci !
Le garçon qui ma gentiment aidé à me relever me rend les béquilles, je lui sourit, et reprit mon chemin vers Cléio qui poussé des jurons à cette tâche.
Cléo – pff, elle commence vraiment à m’enerver !!
Moi – laisse tomber sa sert à rien.
Je lui sourit, et me frotte le menton car j’ai quand même eu mal quand je suis tombé. Puis 13 heures sonna et c’est avec une boule au ventre que je rejoint ma salle de cour, car je devais parler de mon exposer, et déjà que sa me stresser assez comme sa.
Une fois arrivé en salle de cour, je me dirige vers le bureau d’Haruka et voie que toute la classe à changé, beaucoup de chaises qui se trouvés devant se retrouve à l’arrière. Je lève mes yeux et remarque ma jolie blonde assise sur l’une de ses chaises, je lui sourit tendrement et demande :
Moi – professeur ?
Haruka – oui Michiru ?
Moi – on peut reprendre nos dossiers ?
Haruka - oui allez-y.
Cléo – merci !
Je prend mon dossier et alla à ma table chercher mes lunettes, mon dieu j’ai hâte de quitter ses béquilles. Puis enfin tout le monde entra en classe, je prend place sur ma chaise, et Haruka se dirige vers son bureau.
Haruka – bien puisque tout le monde est là, nous allons pouvoir passer au chose sérieuse, je vais annoncer vos noms pour votre exposé alors … Le premier à passer sera Chardon, puis Tran Guilard Umbrunl, Jolie …
Quel chance je suis la dernière. Haruka remonte et reprend place sur sa chaise, elle tourne sa tête vers moi, et me lance un petit sourire, je lui rendit doucement, et enfin les présentations pour les exposers pue commencer. Mélanie a parler de la crise économique, Dilan des voie de disparition des animaux, cette peste à parler des vêtements se que je trouve ridicule au passage. Cléo a pour sujet la maltraitance des enfants, celui-ci ma particulièrement touché.
Puis enfin ce fut mon tour, j’avale ma salive, et me dirige vers le centre de la pièce juste devant le bureau d’Haruka. Je place mes lunette sur mon nez et cale mes béquilles contre le bureau.
Haruka – très bien nous t’écoutons Michiru !
Je lui sourit, et vint ouvrir mon dossier, j’apercoit un petit mot sur la couverture « courage ma chérie je c’est que tu peux le faire » je lève mes yeux surprise mais heureuse, et Haruka me fit un petit clin d’oeil.
Moi – pour cette exposé j’ai décidé de parler de la liberter d’expression, le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour vous c’est quoi « l’amour »
Haruka – Mélanie !
Mélanie – c’est des sentiments fort que l’ont éprouve pour une personne.
Haruka – Dilan !
Dilan – c’est éprouver de la tendresse et du désir.
Moi - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.
Je voie Haruka me sourire, je continue de lire mon texte en articulant et argumentant.
Moi - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.
Il n’y avait aucun bruit, tous me regarder, et cela me gênais beaucoup.
Emma – pff tes pitoyable ma pauvre fille, comment oses tu parler de ce genre de chose, c’est immonde, tu devrait avoir honte de tes propos, tes répugnante il faut vraiment que les gens face attention à toi, tes une mauvaise fréquentation, et une femme est faite pour aller avec un homme et pas autrement, les gens qui son comme sa sont dégoutant, ils devrait être puni pour ce crime. Va en enfer tu n’apporte que le malheur.
Haruka – sa suffit !!!!!!
Je voie Haruka se diriger vers Emma que je maudissait à ce moment, elle lui prend le bras et la poussa jusqu’en bas.
Haruka – j’en est vraiment plus qsu’assez de toi et de tes propos, ne peut tu pas laisser les autres tranquille ? Je ne te veux plus en cour, et je préviendrait tes parents pour un conseil de disipline.
Emma – mais non alors professeur, c’est dégoutant !!
Haruka – se qui est dégoutant ici c’est les propos que tu tiens à tes camarades et à ton professeur. Donc mademoiselle Umbrunl accompagné cette jeune éfronté chez le directeur.
Cléo – bien professeur.
Et elles partirent toutes deux. Puis un claquement se fit entendre, je me tourne et me reconnecte à la planette terre, et aperçu Dilan en train d’applaudir.
Dilan – je ne sais pas vous, mais moi je trouve que c’était un bel exposer et très intéressant.
Mélanie – bravo Michiru ta était supère !!
Quentin – c’était génial, tu viens de nous démontrer d’une belle façon que l’homme est libre de ses choix.
Moi – merci c’est … c’est gentil.
Haruka – c’était parfait Michiru, tu as bien travaillé.
Tous me complimenter, mais seul ses compliments à elle me fait le plus plaisir. La journée c’est suivit tranquillement, et j’ai réussi à me faire intégrer par la bande de Mélanie. Et pour combler ce bonheur Haruka m’avait féliciter à plusieurs reprise, vraiment je suis très heureuse.
Eh voila le chapitre 4, qui est très long je l’avoue, mais sa me fait tellement plaisir d’écrire cette histoire que j’ai du mal à m’arrêter ^^ et merci à inlove pour ses commentaires :)
Sam 19 Oct 2013, 16:07 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
L'amour d'un frère
« L’encre est noir, les feuilles sont blanches. Dans la vie tout n’est pas noir, tout n’est pas blanc. Par exemple pour moi les jours sont noirs et les nuits sont blanches. Ma peau est moitié noire et moitié blanche. On pense au meilleur car on ne peut pas oublier le pire. Quand on a vécu dans les ténèbres, on essaye de mourir dans la lumière. On ne vit ni un cauchemar, ni un rêve. On vit, ou on survit, entre les deux en essayant de maintenir l’équilibre.
Je ne suis né ni en enfer, ni au paradis. Juste entre les deux, sur Terre. Je ne suis ni un ange, ni un démon. Juste entre les deux, un Homme. Oui juste un Homme parmi des milliards qui vit entre le bien et le mal, qui fait le fort alors qu’il est si faible. Je vis dans ce monde si beau et à la fois si méprisant. Ce monde si petit qui est à la fois si grand, si immense, qu’il est facile de s’y perdre. Ce monde, dans lequel nous sommes à la fois tout et rien. Ce monde de contradictions, où on croit tout contrôler alors que c’est l’argent qui nous contrôle. Mais il faut s’adapter, sauver les apparences pour les gens qui nous aiment, pour ne pas les décevoir. Malheureusement toutes les personnes n’y arrivent pas et ces gens là sont pointés du doigt, souvent critiqués et incompris. Pourtant ces gens qu’on laisse pour compte, parfois abandonnés de tous, ne se sont tout simplement pas adapté à ce monde hypocrite et lâche.
Je rêvais de marquer l’Histoire, de devenir un grand footballeur ou un artiste reconnu. Je voulais écrire des livres, réaliser des films, marquer un but au Parc des Princes ou peindre un tableau qui finirait au Louvre. Je voulais être considéré comme un génie, finir dans le dictionnaire ou sur Wikipédia, être l’égal d’un Ronaldinho, d’un De Vinci ou d’un Alexandre Dumas. Mais je ne pourrais pas réaliser ces rêves car ma vie va s’arrêter aujourd’hui. Elle va s’arrêter car on ne s’aime plus, je souffre trop et je la dégoutte.
Et toi ma belle Laura, ma grande sœur chérie et adorée, je vais te quitter, te libérer de ce lien si fort qu’est l’amour que tu me portes. Je suis désolé de t’avoir fait autant de mal et de soucis. Tu as été formidable et j’ai tout gâché comme un con. Je suis lâche et je vais t’abandonner.
Adieu , ma princesse et grande sœur adorée.
Je t’aime. »
Je ne suis né ni en enfer, ni au paradis. Juste entre les deux, sur Terre. Je ne suis ni un ange, ni un démon. Juste entre les deux, un Homme. Oui juste un Homme parmi des milliards qui vit entre le bien et le mal, qui fait le fort alors qu’il est si faible. Je vis dans ce monde si beau et à la fois si méprisant. Ce monde si petit qui est à la fois si grand, si immense, qu’il est facile de s’y perdre. Ce monde, dans lequel nous sommes à la fois tout et rien. Ce monde de contradictions, où on croit tout contrôler alors que c’est l’argent qui nous contrôle. Mais il faut s’adapter, sauver les apparences pour les gens qui nous aiment, pour ne pas les décevoir. Malheureusement toutes les personnes n’y arrivent pas et ces gens là sont pointés du doigt, souvent critiqués et incompris. Pourtant ces gens qu’on laisse pour compte, parfois abandonnés de tous, ne se sont tout simplement pas adapté à ce monde hypocrite et lâche.
Je rêvais de marquer l’Histoire, de devenir un grand footballeur ou un artiste reconnu. Je voulais écrire des livres, réaliser des films, marquer un but au Parc des Princes ou peindre un tableau qui finirait au Louvre. Je voulais être considéré comme un génie, finir dans le dictionnaire ou sur Wikipédia, être l’égal d’un Ronaldinho, d’un De Vinci ou d’un Alexandre Dumas. Mais je ne pourrais pas réaliser ces rêves car ma vie va s’arrêter aujourd’hui. Elle va s’arrêter car on ne s’aime plus, je souffre trop et je la dégoutte.
Et toi ma belle Laura, ma grande sœur chérie et adorée, je vais te quitter, te libérer de ce lien si fort qu’est l’amour que tu me portes. Je suis désolé de t’avoir fait autant de mal et de soucis. Tu as été formidable et j’ai tout gâché comme un con. Je suis lâche et je vais t’abandonner.
Adieu , ma princesse et grande sœur adorée.
Je t’aime. »
Ven 21 Oct 2011, 14:08 par
Denis sur L'amour en vrac
Le ruban
Il se fait doux, caresse sur ses hanches,
Et moi j’aimerai être à sa place
Ruban de satin,
Ruban de soie
Qui glisse sur celles -ci en s’évaporant...............
De cette peau si blanche
Et qui n’a plus rien à cacher
Telle une beauté subliminale
A marquer dans les annales de ma mémoire
Le nœud malgré tout résiste et se retrouve par terre
De quoi a-t-il l’air?
Le voila seul et abandonné................
Mes doigts fouillent a taton
Sa belle toison
Et de ce ruban, je lui en couvre les yeux
Pour lui donner des sensations................
caressedesyeux
Mar 30 Mars 2010, 15:05 par
caressedesyeux sur Mille choses
Ma jeunesse
Avant propos d’un de mes projets littéraires.
Enfance troublée par la peur d’un baiser
Ce fut des années sans personne à aimer.
L’amour illusoire me berna…
Mes prétendantes se firent connaître à mes yeux,
Mais toutes repartirent sans un mot de moi.
Même celles dont je rêvais,
Finirent sur l’autel du sacrifice de mes peurs.
Ma jeunesse bascula dans un tourbillon de doutes.
L’age multipliant les expériences,
Sinuant entre les lignes de chances,
Frôla régulièrement celles des regrets.
Des chemins ratés, aux embûches qui se dressèrent à moi,
Chaque jour se construisit avec le passé.
« Il faut savoir faire des erreurs pour être meilleur
J’ai fait tant d’erreurs… »
Face aux troubles de l‘adolescence,
La vie vint marquer en plus mon visage de cratères sans fin.
Les lignes juvéniles périrent sous les assauts des traitements médicaux
Déformant l’attrait de mon visage d’enfant.
Une longue chevelure vint entraver mon regard,
Et me cacher du monde et de moi-même.
Ma vie prit la tournure d’un homme qui se cache pour aimer.
« C’est dans la solitude que les mots les plus tendres prennent naissance »
Replié sur soi même, l’expression prit un autre sens,
Chaque moment était prétexte à l’écriture,
La douceur éclosant de mes mains,
L’attention séduisant la patience.
Tout à fleur de peau, une grande part de féminité s’installa
Bercé du cruel manque d’une moitié à soi.
Les années passèrent, la confusion des « non-sens » regarda naître l’ignorance face aux rêves, avant de succomber aux sombres promesses de l’enfer. Le métal lourd et noir fut la dernière pièce à l’édifice de mes influences. Il faut de tout pour faire un monde.
Le mien en était bien remplit à présent…
Bienvenue dans un monde où le romantisme prend un nouveau visage.
Poésie et Métaphores s’unissent aux cours d’histoires d’aujourd’hui,
Ré ouvrant le cercle des poètes disparus …
Témoignage de mes relations amoureuses,
Certains écrits sont restés,
D’autres sont romancés
Pour le plaisir des yeux et des mots.
Les histoires d’amour finissent toujours…
Comment !!! La vie nous le dira…
Enfance troublée par la peur d’un baiser
Ce fut des années sans personne à aimer.
L’amour illusoire me berna…
Mes prétendantes se firent connaître à mes yeux,
Mais toutes repartirent sans un mot de moi.
Même celles dont je rêvais,
Finirent sur l’autel du sacrifice de mes peurs.
Ma jeunesse bascula dans un tourbillon de doutes.
L’age multipliant les expériences,
Sinuant entre les lignes de chances,
Frôla régulièrement celles des regrets.
Des chemins ratés, aux embûches qui se dressèrent à moi,
Chaque jour se construisit avec le passé.
« Il faut savoir faire des erreurs pour être meilleur
J’ai fait tant d’erreurs… »
Face aux troubles de l‘adolescence,
La vie vint marquer en plus mon visage de cratères sans fin.
Les lignes juvéniles périrent sous les assauts des traitements médicaux
Déformant l’attrait de mon visage d’enfant.
Une longue chevelure vint entraver mon regard,
Et me cacher du monde et de moi-même.
Ma vie prit la tournure d’un homme qui se cache pour aimer.
« C’est dans la solitude que les mots les plus tendres prennent naissance »
Replié sur soi même, l’expression prit un autre sens,
Chaque moment était prétexte à l’écriture,
La douceur éclosant de mes mains,
L’attention séduisant la patience.
Tout à fleur de peau, une grande part de féminité s’installa
Bercé du cruel manque d’une moitié à soi.
Les années passèrent, la confusion des « non-sens » regarda naître l’ignorance face aux rêves, avant de succomber aux sombres promesses de l’enfer. Le métal lourd et noir fut la dernière pièce à l’édifice de mes influences. Il faut de tout pour faire un monde.
Le mien en était bien remplit à présent…
Bienvenue dans un monde où le romantisme prend un nouveau visage.
Poésie et Métaphores s’unissent aux cours d’histoires d’aujourd’hui,
Ré ouvrant le cercle des poètes disparus …
Témoignage de mes relations amoureuses,
Certains écrits sont restés,
D’autres sont romancés
Pour le plaisir des yeux et des mots.
Les histoires d’amour finissent toujours…
Comment !!! La vie nous le dira…
Dim 31 Jan 2010, 17:41 par
fantasy-x sur Mille choses
Pas de retour.
Chapitre 1
En sueur et essoufflé, Arthur n’en avait pas moins le sourire.
Un sourire franc et lumineux, qui ne manquait jamais d’étonner. Si Patrick Brun le connaissait bien, ce sourire, jamais il ne s’en lassait. « Décidément - pensait-il en regardant son élève - ce gosse a tout pour lui : talentueux, intelligent, gentil comme tout, beau gosse et jamais la grosse tête. Comme j’aimerais qu’ils soient tous comme lui… »
Patrick Brun était instructeur de taekwondo depuis une quinzaine d’années, déjà. Il avait la chance d’exercer son métier par passion et non pas, uniquement, pour recevoir son chèque en fin de mois. A l’âge de 20 ans, désœuvré comme la plupart de ses acolytes de la cité, il a découvert le taekwondo par pur hasard, dans un minuscule dojang (nom donné aux centres d’entraînement dédiés) de sa ville, Bagnolet. Le maître des lieux était un Coréen, ne payant pas de mine, sachant au plus 10 mots de français mais qui excellait pour communiquer la technique et la philosophie de cet art martial. Dès sa première session, Patrick sut que le taekwondo ferait partie intégrante de sa vie, comme la drogue, l’alcool ou la violence gratuite formaient le lot quotidien d’une grande majorité des jeunes de son âge. Il avait trouvé sa voie et avait investi sa vie dans la pratique de cet art qui commençait a peine à se développer, à l’époque. Il participait aux tournois organisés en France et en Europe et gagnait très souvent. Il a même eu l’occasion de séjourner en Corée du Sud pendant un mois et de se mesurer aux champions du coin. Il avait été loin d’être ridicule et son Maître - qui l’avait accompagné pour le voyage - même s’il ne disait rien était fier de son disciple et du fait d’avoir reçu les félicitations des grands pontes de la World Taekwondo Federation pour le travail accompli hors des frontières. A 25 ans, Patrick Brun a décidé d’arrêter la compétition pour se consacrer à l’instruction. Il avait repris le dojang de son Maître - reparti dans son pays - et l’avait développé, avec le succès grandissant du taekwondo en Occident.
Par le biais de son Club, Patrick avait éduqué des centaines d’enfants, leur évitant ainsi de tomber dans les dérives trop faciles des cites ouvrières, et sorti certains d’entre eux pour alimenter son département « Elites », dédié spécifiquement à la compétition. Le nombre de médailles gagnées dans les différentes catégories de jeunes l’avait définitivement aidé à recruter de plus en plus d’élèves. A 40 ans, il vivait plutôt bien de son activité et pouvait dédier 80% de son temps au suivi des « Elites », laissant la formation de base aux mains expertes de ses différents instructeurs.
Arthur était la vedette de ce groupe d’élites, composé d’une vingtaine de pratiquants de haut niveau, âgés de 10 à 20 ans. Il pratiquait depuis l’âge de 5 ans, poussé par ses parents qui croyaient dans les vertus des arts martiaux. Très tôt, Arthur avait montré des dispositions physiques exceptionnelles pour le Taekwondo : souplesse, puissance, rapidité et coordination. A cela s’ajoutait un mental très fort, malgré son très jeune âge. Fait exceptionnel, il n’avait jamais perdu un tournoi auquel il avait participé, aussi bien en France que dans les autres pays d’Europe. Depuis l’âge de 10 ans, il avait récolté 50 médailles d’or !
Bien entendu, ce parcours ne s’est pas réalisé sans sacrifices. Encore aujourd’hui, à 15 ans, il s’entraîne deux heures, après l’école ; sans compter sa participation à l’instruction des plus jeunes que Patrick impose a toutes les ceintures noires. « Les arts martiaux vous ont apporté, entre autres, une philosophie de la vie. Maintenant, c’est à vous de redonner un peu au taekwondo. Et cela passe par l’instruction », aimait-il à répéter. Mais Arthur ne se plaignait pas de cette discipline. Il adorait les compétitions et découvrait, depuis 2 ans, les joies et bienfaits personnels de l’instruction.
La salle d’entraînement était lumineuse et spacieuse. Quatre tatamis bleus de 9mètres carrés divisaient l’espace. Des punching bags pendaient à différents endroits et l’on pouvait entendre le bruit mat de chaque coup de pied lancé par les autres élites, en plein effort. Des appareils de musculation tout neufs trônaient dans le fond, à gauche, à côté du bureau de Patrick. Les murs blancs recevaient des cadres montrant toute une série de personnages, dont le créateur coréen des lieux, Grand Maître Park Chung-hee et certains jeunes champions du Club – dont Arthur. A droite de l’espace, vers la zone de sparring, les murs présentaient 5 cadres rapprochés, chacun définissant (en hangul – alphabet coréen – et en français) une des 5 vertus du taekwondo : respect, maîtrise de soi, esprit indomptable, humilité et persévérance. Patrick insistait énormément sur ces concepts, à chacune de ses sessions d’entraînement. « Je ne veux pas donner des armes à un futur criminel », répétait-il. « Si vous ne respectez pas et n’implémentez pas ces vertus, ici et dans la vie en général, vous pouvez partir » clamait-il à tous ses étudiants et il soulignait plus particulièrement la notion de « respect », qu’il estimait comme étant la base d’un homme honnête. La salle bénéficiait de plafonds très hauts, amplifiant cette impression de grandeur.
- Alors, c’est bien vrai, coach ? Je pars pour Singapour ?
Patrick sourit, content de son effet.
- Oui, mon petit gars. Tu pars avec trois autres combattants et, bien sûr, moi. Et, je te l’ai déjà dit : arrête de m’appeler « Coach ».
- Oui, co… Euh… Patrick… C’est vraiment génial !
- Le tournoi débute dans quinze jours. Comme d’habitude, j’ai concocté un programme spécifique pour vous quatre. On commence demain.
- Pas de problème. Je serai prêt ! Au fait, qui sont les trois autres ?
- La Fédération a retenu notre club pour ce tournoi international et j’ai choisi Victor, Ali et… Mathilde…
Patrick avait fait exprès de temporiser avant d’annoncer la participation de Mathilde. Il savait bien qu’Arthur avait plus qu’un faible pour cette jeune fille qui, de son côté, ne semblait pas indifférente. Mais, à 15 ans, on ne sait pas trop comment exprimer ce genre de sentiments, tellement nouveaux…
Le visage d’Arthur s’était illuminé à l’évocation du nom de Mathilde, ce qui ne faisait que confirmer l’observation de Patrick.
Chapitre 2
Michael Ong observait l’effervescence qui régnait au siège de la STF (Fédération Singapourienne de Taekwondo). Il savait que le tournoi international débuterait dans quinze jours mais, en tant que membre de la commission d’organisation chargé de la sécurité, il n’avait aucune inquiétude à avoir : son pays était l’un des plus sûrs du monde et tout était déjà mis en place. Cela n’avait présenté aucune difficulté. En effet, sa qualité d’inspecteur du département des investigations criminelles lui permettait de faire bouger ses relations internes plus vite que n’importe qui d’autre…
Michael faisait aussi partie de la fédération en tant que détenteur d’une ceinture noire 4eme dan et instructeur au sein des forces de police. A l’occasion, plus jeune, il avait représenté son pays dans quelques tournois militaires et intra forces de police mais cela ne l’avait jamais vraiment intéressé. Ce qui le passionnait, dans le taekwondo, c’était l’aspect art martial plutôt que le côté sportif. Et, à bientôt 40 ans, il était toujours aussi engagé dans sa quête perpétuelle.
Il vit arriver vers lui Lee Boon Tat, le responsable des inscriptions. Michael perçut tout de suite son anxiété.
- Michael, je peux te parler un instant ?
- Bien sûr. Tu m’as l’air soucieux… Des problèmes avec les participations ?
Boon Tat avait le regard fuyant et Michael n’aimait décidément pas ça…
- Oui, il y a quelque chose qui me perturbe avec les inscrits…
- Quoi ? Un pays indésirable a fait une demande de participation ?
- Non, le problème vient plutôt d’ici…
Michael ne manqua pas de marquer son étonnement.
- Ici ? Dis m’en plus... Je ne vois pas, là…
- 3 athlètes du club de Geylang se sont inscrits.
- Comment ? Mais qui a permis à ces voyous de participer au tournoi ?, s’emporta Michael.
- Ils sont affiliés à la fédération et les combattants sont licenciés. Personne ne peut leur interdire de participer.
Pendant que Boon Tat parlait, Michael repensa au Geylang Fighting Team. Il se remémora les différents problèmes occasionnés par la plupart des membres de ce club, non seulement lors de tournois locaux mais, aussi et surtout, dans la rue. Le Geylang Fighting Team était notoire pour les activités illégales de ses membres : racket, prêts usuriers, contrôle de la prostitution (Geylang est LE quartier abritant la prostitution, à Singapour), trafic de cigarettes, etc… En clair, il s’agissait d’un gang bien connu des services de police. Michael les a connus lorsqu’ils ont participé à leurs premiers tournois, démontrant leur mépris des règles de fair play et n’hésitant pas à s’en prendre aux arbitres, juges ou adversaires quand les décisions ou l’issue des combats leur étaient défavorables.
Bien entendu, très vite, la fédération avait pris la décision officieuse de bannir le club mais la police lui avait demandé de n’en rien faire, arguant du fait que tant qu’ils participaient aux divers tournois organisés à Singapour, il serait plus facile de les observer. A partir de cette intervention du gouvernement, la fédération n’avait plus son mot à dire sur le sujet… De leur côté, les policiers, dont Michael Ong, avaient pris le problème à bras le corps et avaient opéré un nombre impressionnant d’arrestations mais cette activité n’avait jamais eu pour effet de désorganiser le gang qui continuait à sévir grâce au recrutement permanent de nouveaux membres, tous adeptes de taekwondo.
- Bon ! fit Michael. Je vais en parler au président de la fédération.
Boon Tat ne put réprimer un sourire de dépit.
- Je l’ai déjà vu, Michael. Il ne peut rien faire. C’est lui qui m’a demandé de voir ça avec toi… Apres tout, c’est bien vous qui avez refusé de les bannir, non ?
Boon Tat avait raison et Michael ne pouvait que l’admettre, même s’il avait été contre cette intervention de ses supérieurs.
- OK, Boon Tat. Je vais en référer à mes chefs. Je vais voir si on peut faire quelque chose. Entre-temps, as-tu la possibilité de retarder leur inscription ?
- Tu plaisantes ? La clôture a lieu ce soir !
Michael pestait intérieurement. Il pensait pouvoir regarder tranquillement le tournoi et le voilà, maintenant, à devoir gérer une situation potentiellement dangereuse…
- Qui sont les athlètes inscrits ? demanda-t-il.
Boon Tat se décida, finalement, à regarder Michael droit dans les yeux.
- Min Yi Er, Gopal Sanchin et… Azhar…
« Ben, voyons ! » réagit Michael en entendant le dernier nom. Azhar était le bras droit du chef de gang, l’exécuteur des basses œuvres. Il n’avait que 19 ans ! Un fou furieux, violent et, qui plus est, champion national de taekwondo. Ni Michael, ni ses collègues n’avaient encore réussi à l’appréhender. Il était assez malin pour faire porter le chapeau par un de ses hommes, à chaque intervention de la police. Cela ne les empêchait pas de savoir à qui ils avaient à faire… Mais, le pire pour Michael et beaucoup d’autres membres de la fédération, était qu’à cause de lui, Singapour détenait un triste record ; celui du premier pays au monde - depuis que le taekwondo est devenu sport olympique - à déplorer un mort pendant un tournoi dûment encadré par les règles de sécurité édictées par la WTF. Un incident qui a fait le tour du monde, au grand dam du gouvernement singapourien. « Un meurtre » corrigea Michael. Il y était. Il a vu Azhar s’acharner sur son adversaire pendant que l’arbitre, stupéfait devant tant de violence concentrée, ne savait comment réagir. Il a senti, avant qu’il ne se produise, le coup de pied circulaire qui visait la tempe de sa pauvre cible, tenant à peine sur ses jambes. Il a prévu l’issue fatale de ce dernier coup porté avec une énergie surnaturelle, avant que l’arbitre n’intervienne. Un frisson d’horreur l’a secoué avant que l’adversaire d’Azhar ne se relève pour s’écrouler, deux secondes plus tard, et ne jamais sortir d’un coma stade 4… Un sentiment de haine, fulgurant, est apparu lorsqu’il a regardé Azhar lever les bras en signe de victoire et faire un clin d’œil vers les membres de son gang qui applaudissaient à tout rompre et criaient son nom… Six mois ! Six mois que cet « assassinat » a eu lieu ! Personne n’a pu faire quoi que ce soit. Ni la fédération, ni le gouvernement. Après tout, le cadre du combat était tout ce qu’il y avait de plus légal ; les fameux formulaires de dégagement de responsabilité étaient proprement remplis et signés ; et, surtout, les associés d’Azhar avaient été très clairs auprès de la famille du défunt âgé d’à peine 17 ans… « Et, maintenant, le revoilà… », gambergea Michael. « Dans un tournoi international ! Et sil tue un adversaire étranger ? Qu’est ce qui va se passer ? Il faut que je trouve un moyen d’empêcher sa participation ! »
(A suivre...)
En sueur et essoufflé, Arthur n’en avait pas moins le sourire.
Un sourire franc et lumineux, qui ne manquait jamais d’étonner. Si Patrick Brun le connaissait bien, ce sourire, jamais il ne s’en lassait. « Décidément - pensait-il en regardant son élève - ce gosse a tout pour lui : talentueux, intelligent, gentil comme tout, beau gosse et jamais la grosse tête. Comme j’aimerais qu’ils soient tous comme lui… »
Patrick Brun était instructeur de taekwondo depuis une quinzaine d’années, déjà. Il avait la chance d’exercer son métier par passion et non pas, uniquement, pour recevoir son chèque en fin de mois. A l’âge de 20 ans, désœuvré comme la plupart de ses acolytes de la cité, il a découvert le taekwondo par pur hasard, dans un minuscule dojang (nom donné aux centres d’entraînement dédiés) de sa ville, Bagnolet. Le maître des lieux était un Coréen, ne payant pas de mine, sachant au plus 10 mots de français mais qui excellait pour communiquer la technique et la philosophie de cet art martial. Dès sa première session, Patrick sut que le taekwondo ferait partie intégrante de sa vie, comme la drogue, l’alcool ou la violence gratuite formaient le lot quotidien d’une grande majorité des jeunes de son âge. Il avait trouvé sa voie et avait investi sa vie dans la pratique de cet art qui commençait a peine à se développer, à l’époque. Il participait aux tournois organisés en France et en Europe et gagnait très souvent. Il a même eu l’occasion de séjourner en Corée du Sud pendant un mois et de se mesurer aux champions du coin. Il avait été loin d’être ridicule et son Maître - qui l’avait accompagné pour le voyage - même s’il ne disait rien était fier de son disciple et du fait d’avoir reçu les félicitations des grands pontes de la World Taekwondo Federation pour le travail accompli hors des frontières. A 25 ans, Patrick Brun a décidé d’arrêter la compétition pour se consacrer à l’instruction. Il avait repris le dojang de son Maître - reparti dans son pays - et l’avait développé, avec le succès grandissant du taekwondo en Occident.
Par le biais de son Club, Patrick avait éduqué des centaines d’enfants, leur évitant ainsi de tomber dans les dérives trop faciles des cites ouvrières, et sorti certains d’entre eux pour alimenter son département « Elites », dédié spécifiquement à la compétition. Le nombre de médailles gagnées dans les différentes catégories de jeunes l’avait définitivement aidé à recruter de plus en plus d’élèves. A 40 ans, il vivait plutôt bien de son activité et pouvait dédier 80% de son temps au suivi des « Elites », laissant la formation de base aux mains expertes de ses différents instructeurs.
Arthur était la vedette de ce groupe d’élites, composé d’une vingtaine de pratiquants de haut niveau, âgés de 10 à 20 ans. Il pratiquait depuis l’âge de 5 ans, poussé par ses parents qui croyaient dans les vertus des arts martiaux. Très tôt, Arthur avait montré des dispositions physiques exceptionnelles pour le Taekwondo : souplesse, puissance, rapidité et coordination. A cela s’ajoutait un mental très fort, malgré son très jeune âge. Fait exceptionnel, il n’avait jamais perdu un tournoi auquel il avait participé, aussi bien en France que dans les autres pays d’Europe. Depuis l’âge de 10 ans, il avait récolté 50 médailles d’or !
Bien entendu, ce parcours ne s’est pas réalisé sans sacrifices. Encore aujourd’hui, à 15 ans, il s’entraîne deux heures, après l’école ; sans compter sa participation à l’instruction des plus jeunes que Patrick impose a toutes les ceintures noires. « Les arts martiaux vous ont apporté, entre autres, une philosophie de la vie. Maintenant, c’est à vous de redonner un peu au taekwondo. Et cela passe par l’instruction », aimait-il à répéter. Mais Arthur ne se plaignait pas de cette discipline. Il adorait les compétitions et découvrait, depuis 2 ans, les joies et bienfaits personnels de l’instruction.
La salle d’entraînement était lumineuse et spacieuse. Quatre tatamis bleus de 9mètres carrés divisaient l’espace. Des punching bags pendaient à différents endroits et l’on pouvait entendre le bruit mat de chaque coup de pied lancé par les autres élites, en plein effort. Des appareils de musculation tout neufs trônaient dans le fond, à gauche, à côté du bureau de Patrick. Les murs blancs recevaient des cadres montrant toute une série de personnages, dont le créateur coréen des lieux, Grand Maître Park Chung-hee et certains jeunes champions du Club – dont Arthur. A droite de l’espace, vers la zone de sparring, les murs présentaient 5 cadres rapprochés, chacun définissant (en hangul – alphabet coréen – et en français) une des 5 vertus du taekwondo : respect, maîtrise de soi, esprit indomptable, humilité et persévérance. Patrick insistait énormément sur ces concepts, à chacune de ses sessions d’entraînement. « Je ne veux pas donner des armes à un futur criminel », répétait-il. « Si vous ne respectez pas et n’implémentez pas ces vertus, ici et dans la vie en général, vous pouvez partir » clamait-il à tous ses étudiants et il soulignait plus particulièrement la notion de « respect », qu’il estimait comme étant la base d’un homme honnête. La salle bénéficiait de plafonds très hauts, amplifiant cette impression de grandeur.
- Alors, c’est bien vrai, coach ? Je pars pour Singapour ?
Patrick sourit, content de son effet.
- Oui, mon petit gars. Tu pars avec trois autres combattants et, bien sûr, moi. Et, je te l’ai déjà dit : arrête de m’appeler « Coach ».
- Oui, co… Euh… Patrick… C’est vraiment génial !
- Le tournoi débute dans quinze jours. Comme d’habitude, j’ai concocté un programme spécifique pour vous quatre. On commence demain.
- Pas de problème. Je serai prêt ! Au fait, qui sont les trois autres ?
- La Fédération a retenu notre club pour ce tournoi international et j’ai choisi Victor, Ali et… Mathilde…
Patrick avait fait exprès de temporiser avant d’annoncer la participation de Mathilde. Il savait bien qu’Arthur avait plus qu’un faible pour cette jeune fille qui, de son côté, ne semblait pas indifférente. Mais, à 15 ans, on ne sait pas trop comment exprimer ce genre de sentiments, tellement nouveaux…
Le visage d’Arthur s’était illuminé à l’évocation du nom de Mathilde, ce qui ne faisait que confirmer l’observation de Patrick.
Chapitre 2
Michael Ong observait l’effervescence qui régnait au siège de la STF (Fédération Singapourienne de Taekwondo). Il savait que le tournoi international débuterait dans quinze jours mais, en tant que membre de la commission d’organisation chargé de la sécurité, il n’avait aucune inquiétude à avoir : son pays était l’un des plus sûrs du monde et tout était déjà mis en place. Cela n’avait présenté aucune difficulté. En effet, sa qualité d’inspecteur du département des investigations criminelles lui permettait de faire bouger ses relations internes plus vite que n’importe qui d’autre…
Michael faisait aussi partie de la fédération en tant que détenteur d’une ceinture noire 4eme dan et instructeur au sein des forces de police. A l’occasion, plus jeune, il avait représenté son pays dans quelques tournois militaires et intra forces de police mais cela ne l’avait jamais vraiment intéressé. Ce qui le passionnait, dans le taekwondo, c’était l’aspect art martial plutôt que le côté sportif. Et, à bientôt 40 ans, il était toujours aussi engagé dans sa quête perpétuelle.
Il vit arriver vers lui Lee Boon Tat, le responsable des inscriptions. Michael perçut tout de suite son anxiété.
- Michael, je peux te parler un instant ?
- Bien sûr. Tu m’as l’air soucieux… Des problèmes avec les participations ?
Boon Tat avait le regard fuyant et Michael n’aimait décidément pas ça…
- Oui, il y a quelque chose qui me perturbe avec les inscrits…
- Quoi ? Un pays indésirable a fait une demande de participation ?
- Non, le problème vient plutôt d’ici…
Michael ne manqua pas de marquer son étonnement.
- Ici ? Dis m’en plus... Je ne vois pas, là…
- 3 athlètes du club de Geylang se sont inscrits.
- Comment ? Mais qui a permis à ces voyous de participer au tournoi ?, s’emporta Michael.
- Ils sont affiliés à la fédération et les combattants sont licenciés. Personne ne peut leur interdire de participer.
Pendant que Boon Tat parlait, Michael repensa au Geylang Fighting Team. Il se remémora les différents problèmes occasionnés par la plupart des membres de ce club, non seulement lors de tournois locaux mais, aussi et surtout, dans la rue. Le Geylang Fighting Team était notoire pour les activités illégales de ses membres : racket, prêts usuriers, contrôle de la prostitution (Geylang est LE quartier abritant la prostitution, à Singapour), trafic de cigarettes, etc… En clair, il s’agissait d’un gang bien connu des services de police. Michael les a connus lorsqu’ils ont participé à leurs premiers tournois, démontrant leur mépris des règles de fair play et n’hésitant pas à s’en prendre aux arbitres, juges ou adversaires quand les décisions ou l’issue des combats leur étaient défavorables.
Bien entendu, très vite, la fédération avait pris la décision officieuse de bannir le club mais la police lui avait demandé de n’en rien faire, arguant du fait que tant qu’ils participaient aux divers tournois organisés à Singapour, il serait plus facile de les observer. A partir de cette intervention du gouvernement, la fédération n’avait plus son mot à dire sur le sujet… De leur côté, les policiers, dont Michael Ong, avaient pris le problème à bras le corps et avaient opéré un nombre impressionnant d’arrestations mais cette activité n’avait jamais eu pour effet de désorganiser le gang qui continuait à sévir grâce au recrutement permanent de nouveaux membres, tous adeptes de taekwondo.
- Bon ! fit Michael. Je vais en parler au président de la fédération.
Boon Tat ne put réprimer un sourire de dépit.
- Je l’ai déjà vu, Michael. Il ne peut rien faire. C’est lui qui m’a demandé de voir ça avec toi… Apres tout, c’est bien vous qui avez refusé de les bannir, non ?
Boon Tat avait raison et Michael ne pouvait que l’admettre, même s’il avait été contre cette intervention de ses supérieurs.
- OK, Boon Tat. Je vais en référer à mes chefs. Je vais voir si on peut faire quelque chose. Entre-temps, as-tu la possibilité de retarder leur inscription ?
- Tu plaisantes ? La clôture a lieu ce soir !
Michael pestait intérieurement. Il pensait pouvoir regarder tranquillement le tournoi et le voilà, maintenant, à devoir gérer une situation potentiellement dangereuse…
- Qui sont les athlètes inscrits ? demanda-t-il.
Boon Tat se décida, finalement, à regarder Michael droit dans les yeux.
- Min Yi Er, Gopal Sanchin et… Azhar…
« Ben, voyons ! » réagit Michael en entendant le dernier nom. Azhar était le bras droit du chef de gang, l’exécuteur des basses œuvres. Il n’avait que 19 ans ! Un fou furieux, violent et, qui plus est, champion national de taekwondo. Ni Michael, ni ses collègues n’avaient encore réussi à l’appréhender. Il était assez malin pour faire porter le chapeau par un de ses hommes, à chaque intervention de la police. Cela ne les empêchait pas de savoir à qui ils avaient à faire… Mais, le pire pour Michael et beaucoup d’autres membres de la fédération, était qu’à cause de lui, Singapour détenait un triste record ; celui du premier pays au monde - depuis que le taekwondo est devenu sport olympique - à déplorer un mort pendant un tournoi dûment encadré par les règles de sécurité édictées par la WTF. Un incident qui a fait le tour du monde, au grand dam du gouvernement singapourien. « Un meurtre » corrigea Michael. Il y était. Il a vu Azhar s’acharner sur son adversaire pendant que l’arbitre, stupéfait devant tant de violence concentrée, ne savait comment réagir. Il a senti, avant qu’il ne se produise, le coup de pied circulaire qui visait la tempe de sa pauvre cible, tenant à peine sur ses jambes. Il a prévu l’issue fatale de ce dernier coup porté avec une énergie surnaturelle, avant que l’arbitre n’intervienne. Un frisson d’horreur l’a secoué avant que l’adversaire d’Azhar ne se relève pour s’écrouler, deux secondes plus tard, et ne jamais sortir d’un coma stade 4… Un sentiment de haine, fulgurant, est apparu lorsqu’il a regardé Azhar lever les bras en signe de victoire et faire un clin d’œil vers les membres de son gang qui applaudissaient à tout rompre et criaient son nom… Six mois ! Six mois que cet « assassinat » a eu lieu ! Personne n’a pu faire quoi que ce soit. Ni la fédération, ni le gouvernement. Après tout, le cadre du combat était tout ce qu’il y avait de plus légal ; les fameux formulaires de dégagement de responsabilité étaient proprement remplis et signés ; et, surtout, les associés d’Azhar avaient été très clairs auprès de la famille du défunt âgé d’à peine 17 ans… « Et, maintenant, le revoilà… », gambergea Michael. « Dans un tournoi international ! Et sil tue un adversaire étranger ? Qu’est ce qui va se passer ? Il faut que je trouve un moyen d’empêcher sa participation ! »
(A suivre...)
Lun 09 Nov 2009, 09:32 par
Arthis sur Mille choses
Petit mot d'amour
C’est moi qui le pense
Mais la plume qui l’écrit
Ma feuille donne un sens
A l’encre qui le dit
La goutte naît de sa plume
Qui pleure au dessus de son mouchoir
Pour mourir en écriture d’amour
Et donner son espoir a notre histoire
Un petit bruit qui m’inspire
Qui déchire le silence
La plume écrit son histoire
Comme pour redire son enfance
Je continue de penser mon amour
Elle continue à le dire, sans peur, ni faiblesse
C’est devenu mon obsession
Je ne peut plus m’arrêter d’écrire
Pour dire a quel point tu comptes a mon âme
Maintenant que j’ai tout dit
Je doit marquer l’adresse de mon paradis
Elle peut partir faire sa route sur ces petits careaux
Petit mot d’amour...
Qui sont temoin de mon amour pour toi.
Qui ecoute ce que je n’ause encore te dire
Par peur d’enlever mes barrieres et de ressouffrir
De mon amour pour toi qui est si puissant
Que je braverais les interdits pour te retrouver
Pour me trouver dans tes bras protecteurs
Et enfin dire adieux a ce passé qui me hante
Mais la plume qui l’écrit
Ma feuille donne un sens
A l’encre qui le dit
La goutte naît de sa plume
Qui pleure au dessus de son mouchoir
Pour mourir en écriture d’amour
Et donner son espoir a notre histoire
Un petit bruit qui m’inspire
Qui déchire le silence
La plume écrit son histoire
Comme pour redire son enfance
Je continue de penser mon amour
Elle continue à le dire, sans peur, ni faiblesse
C’est devenu mon obsession
Je ne peut plus m’arrêter d’écrire
Pour dire a quel point tu comptes a mon âme
Maintenant que j’ai tout dit
Je doit marquer l’adresse de mon paradis
Elle peut partir faire sa route sur ces petits careaux
Petit mot d’amour...
Qui sont temoin de mon amour pour toi.
Qui ecoute ce que je n’ause encore te dire
Par peur d’enlever mes barrieres et de ressouffrir
De mon amour pour toi qui est si puissant
Que je braverais les interdits pour te retrouver
Pour me trouver dans tes bras protecteurs
Et enfin dire adieux a ce passé qui me hante
Sam 23 Sep 2006, 18:07 par
joullia sur Parler d'amour
A tous mes actes manqués...
A tous mes actes manqués,
Mes opportunités, les chemins loupés
Parce qu’aveuglé, distrait,
A mes amours échouées, à tout ce que j’ai ignoré,
Elles coulent dans mes veines comme dans un marais ;
Aux trahisons que j’ai pas vraiment regrettées,
A tout ce qui fait que je suis moi maintenant,
mais peut-être pas pour longtemps,
Regarde ma vie, tu la vois face-à-face,
A mes incertitudes, mes hésitations,
Dis moi ton avis, que veux-tu que j’y fasse ?
Je passe à côté de bien trop de choses,
Envie de partir, de décoller,
Je veux marquer une pause,
pour dans un endroit me réfugier,
Jusqu’à ce que je trouve,
pourquoi ? Pour qui ? Et quand ?
Ces questions qu’on désapprouve,
Toute notre vie, à tous bouts de champs,
Se distancer de tout, de tous pour réfléchir un peu,
Et revenir un jour ou l’autre, le regard lumineux.
Mes opportunités, les chemins loupés
Parce qu’aveuglé, distrait,
A mes amours échouées, à tout ce que j’ai ignoré,
Elles coulent dans mes veines comme dans un marais ;
Aux trahisons que j’ai pas vraiment regrettées,
A tout ce qui fait que je suis moi maintenant,
mais peut-être pas pour longtemps,
Regarde ma vie, tu la vois face-à-face,
A mes incertitudes, mes hésitations,
Dis moi ton avis, que veux-tu que j’y fasse ?
Je passe à côté de bien trop de choses,
Envie de partir, de décoller,
Je veux marquer une pause,
pour dans un endroit me réfugier,
Jusqu’à ce que je trouve,
pourquoi ? Pour qui ? Et quand ?
Ces questions qu’on désapprouve,
Toute notre vie, à tous bouts de champs,
Se distancer de tout, de tous pour réfléchir un peu,
Et revenir un jour ou l’autre, le regard lumineux.
Jeu 16 Mars 2006, 22:04 par
leoz sur Parler d'amour
la seduction?....l'effleurement d'une main sur la joue...
Cela faisait un mois que j’étais à l’université, comme d’habitude, trés sure de moi, je parlais et je disais mes blagues à mes nouveaux amis qui étaient regroupés autour de moi.
Je croyais que rien ne pouvait me destabiliser, je faisais rire tout le monde, le clown de service, comme d’habitude. Et puis, il a suffit qu’IL tende la main et me carresse la joue alors que tout le monde m’ecoutait raconter une blague. Cet effleurement de la joue était tellement fort que j’ai paniqué. Aucun mot n’est sorti de ma bouche malgré mon public qui s’impatientait.
Je LE fixais, complétement perdue. Il a juste dit "Tu es trop mignone, j’ai pas pu resister"
Un mois plus tard, j’apprenais qu’il était mort dans un accident de voiture. Il avait 19 ans. Aussi inattendu que ce geste.
C’est ca la seduction pour moi, c’est pouvoir marquer l’autre avec un petit rien, une petit geste qui fait tout.
Je croyais que rien ne pouvait me destabiliser, je faisais rire tout le monde, le clown de service, comme d’habitude. Et puis, il a suffit qu’IL tende la main et me carresse la joue alors que tout le monde m’ecoutait raconter une blague. Cet effleurement de la joue était tellement fort que j’ai paniqué. Aucun mot n’est sorti de ma bouche malgré mon public qui s’impatientait.
Je LE fixais, complétement perdue. Il a juste dit "Tu es trop mignone, j’ai pas pu resister"
Un mois plus tard, j’apprenais qu’il était mort dans un accident de voiture. Il avait 19 ans. Aussi inattendu que ce geste.
C’est ca la seduction pour moi, c’est pouvoir marquer l’autre avec un petit rien, une petit geste qui fait tout.
Sam 31 Jan 2004, 15:56 par
RoseLune sur La séduction
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Sexcape game, L'amour est-il un crime ? chapitre 4, L'amour d'un frère, Le ruban, Ma jeunesse, Pas de retour., Petit mot d'amour, A tous mes actes manqués..., la seduction?....l'effleurement d'une main sur la joue...,Il y a 9 textes utilisant le mot marquer. Ces pages présentent les textes correspondant.
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
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