Rouge-bouteille

Elle était là, posée devant moi. Elle était là, sur la table, aux trois-quarts vide de son liquide translucide dans lequel allaient cogner les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour s’y réfléchir et se pâmer sur le plafond blanc avec des allures de fantômes.
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, une canette à la main au bout d’un bras pendant dans le vide. Je la contemplais, je l’admirais, je la vénérais comme une déesse.

Pour que je puisse y goûter, pour que je puisse me prosterner, fallait que je termine l’autre. C’était mon rituel, c’était mon culte : alterner. J’alternais, je ne faisais que passer le temps à permuter entre l’une et l’une des autres. J’alternais entre le verre translucide et les petites bouteilles vertes. Je permutais jusqu’à ne plus pouvoir continuer, jusqu’à m’écrouler.

Mais je préférais encore ne pas sombrer dans ce sommeil terrible où il n’y a plus que les cauchemars pour te ramener à la réalité. Ce que je préférais, c’était en venir là où j’allais devoir m’exprimer. Je le sentais venir ce moment, je le sentais monter en moi comme une plainte de mon corps, un rejet, un dernier sursaut de désespoir où il repousse l’ennemi, lui, mon corps, de toutes les forces qu’il lui reste, qu’il parvient à réunir. Ça s’annonçait quelque part au fond de ma sale gueule, là où s’articulent les mâchoires, à la base de la langue, sous la naissance des oreilles. Ça sécrétait, ça avait un goût amer. Ça venait à ce moment où tu peux plus fermer les yeux, où tu peux plus non plus les ouvrir, où tu peux pas fixer un point quelque part sans que cela soit pire encore. Alors tu les balades, tu les bouges tes yeux, tu te forces à ne pas les croiser, tu cherches des parallèles. Tu ouvres très fort tes paupières, tu les fermes très fort, tu te les frottes, mais plus rien n’y fait. Et puis ça sécrète encore plus, ça devient encore plus amer, et là faut que tu bouges.
Alors je bouge. Je bouge un bras, je le traîne. Je bouge une jambe, je la tire. Pour pas changer, je me ramasse sur le sol, la gueule par terre, l’esprit embrumé, étalé sur la moquette parmi les canettes sur lesquelles je roule. Je roule et je les repousse. Je les repousse au loin, d’un grand geste circulaire, au ras du sol. Y’a leurs cliquetis inénarrables quand elles s’entrechoquent, ce putain de bruit qui te vrille le crâne au moment où tu commences à baver, où tu retiens le volcan.
Et je me traîne. Je rampe. Y’a plus que mes bras qui soient encore capables de me tirer. Alors je me tire. Je me tire et je retiens. Et ça dure, sur des distances interminables, et c’est long.
Mais enfin j’y arrive, j’atteins . Je m’y porte. Je m’y porte et c’est crâde. C’est crâde et ça monte pire encore. Y’a des restes de bouffe, des petits morceaux collés un peu partout, qui y ont séché. Et puis j’ai pas mal pissé à côté aussi ; la bière ça fait pisser. Et la pisse, ça colle aussi. Ça laisse des traces jaunâtres sur lesquelles vient se coller la poussière. Y’a le tartre, mais le tartre c’est rien. Et y’a le pire. Y’a ces traces de merde, de merde liquide qui a séché aussi. Ça sèche aussi. C’était liquide et puis ça a séché. C’était liquide parce que je bois beaucoup plus que je ne mange.
Et puis ça pue aussi. Ça pue parce que je fais exprès de pas toujours la tirer, la chasse.
Et puis c’est là. Ça s’accélère d’un seul coup. Alors je tire sur mes bras, je tire sur mon cou, je plonge la tête. Et c’est là.
Ça part avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a un goût dégueulasse aussi, surtout sur la fin parce qu’à la rigueur c’est jouissif au début. Là, j’y mets toute ma haine, j’en ai les yeux pleins de larmes. Je gémis, je crache, je racle, je crie, je hurle.
Et ça se calme, par petits spasmes. Je sens qu’il y en a encore. Je me fous le doigt dans la gorge et je l’appelle, je l’attire, je l’extirpe, j’emmène des bouts de peau avec. Je vomis.
Et puis je m’affale, je m’écroule encore, une fois de plus.


* * *

Mais là, ce beau jour ensoleillé, je n’y étais pas encore. Pourtant, c’était proche. C’était très proche.
Alors je la fixais, elle, posée devant moi. Elle était là, sur la table, aux trois-quarts vide de son putain de liquide translucide dans lequel cognaient les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour s’y réfléchir et se pâmer sur le plafond blanc avec des semblants d’éternité.

J’ai balancé la canette terminée en travers de la pièce. J’avais encore cette force-là. J’avais encore cette force-là parce que ce n’était pas encore le bon moment, le moment d’aller vider ma haine... et le reste. Pourtant, ça tournait. Ça tournait, et ça y mettait de l’ardeur.
J’ai réussi à décoller et à l’atteindre, du bout de mon lit. Du bout de mon lit j’avais juste qu’à tendre le bras. Je me suis versé sa merde incolore, son poison obscur, et j’ai regagné le mur pour m’y adosser. Il était presque l’heure. Fallait encore résister. Ces putains de gorgées à m’imbiber ça allait m’aider. Il le fallait.

J’ai reconnu son pas. J’ai reconnu le bruit de ses pas dans le couloir, ce pas régulier, décidé. C’était sa signature.
Y’a eu le bruit de la clé dans la serrure, les deux tours, comme au ralenti, la poignée appuyée, la porte qui s’ouvre. Y’a eu les clés retirées puis posées sur le meuble à côté.
J’ai entendu le sac laissé tombé à terre puis le manteau accroché.
Et j’ai souri.

Y’a eu encore deux pas, puis elle.
Car elle était là, debout devant moi. Elle était là, en face, aux trois-quarts habillée de ses fringues ridicules sur lesquels allaient cogner les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour y être absorbés par sa graisse et lui donner des reflets de bibindom à se pâmer sur une piste de danse avec des allures de grandes dames qu’elle ne serait jamais.
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, les mains moites au bout des bras pendant dans le vide. Je la détestais, je la haïssais, je la maudissais comme l’enfer.

Elle m’a fixé.
Elle a posé sur moi son regard de dédain, son putain de regard de dédain.
Je savais, j’étais qu’une merde, qu’une putain de merde. Peu m’importait...
- T’as encore bu ? elle s’est confirmée toute seule.
La merde.
- T’es qu’une merde ! elle a ajouté tout bas.
Le dédain.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
Et la haine.

Ils étaient loin les "Bonsoir mon bébé" !

Elle est repartie chercher son sac. Elle est revenue. Pendant qu’elle y furetait après ses cigarettes, elle a encore posé sur moi son putain de dédain, ses pauvres yeux verts maquillés de son ridicule bleu à deux francs, un vert bouteille et un bleu sac poubelle. Sa sale gueule... Ses sales lèvres... Son putain de parfum au patchouli qui me faisait encore plus tourner la tête que toute la merde que j’avais jamais ingurgité.
Son petit jeu allait commencer.

Elle s’est tiré une chaise et y a posé ses grosses fesses. Elle s’est allumée une cigarette qu’elle s’est mise à fumer tranquillement, à la manière des grandes dames qu’elle ne serait jamais, un coude posé dans une main, avec le bras en l’air, en suspend, toute à réfléchir, toute à se creuser le crâne à ne me trouver ce que de toute façon elle ne faisait que répéter jour après jour, immuablement, égale à elle même, fidèle à ses sales habitudes.
- Alors, bitte molle, t’as fait qu’ça toute la journée ? T’as pleuré ta maman en buvant un bon petit coup ? T’as encore tellement bu que tu pourras plus bander ?
J’exécrais sa voix, sa pauvre voix nasillarde de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché de pauvre petit quartier dans lequel elle m’avait ramassé.
- Il est malheureux le petit chéri ! Faut pas t’arrêter ! Faut pas te gêner parce que je suis revenue ! Allez ! elle s’est énervée en grinçant des dents.
Et puis elle m’a balancé la bouteille. Une fois je me la suis prise en pleine gueule. Ça l’a fait rire. Ça l’a fait rire de son putain de sale rire de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché qui rit quand son gros plat de lard de grosse vache de patron vient lui peloter ses grosses fesses quand elle fait exprès de bien se pencher en avant parce que Mademoiselle, Mademoiselle la pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché espère de l’avancement, une promotion, monter en grade.
"Tu peux toujours aller te faire baiser, grosse merde !" j’ai pensé en souriant en débouchant l’objet. Elle a cru que je souriais pour la remercier pour la bouteille. Elle était conne en plus !
J’ai bu, j’ai avalé une grande gorgée.
- Elle est contente ma petite bitte molle ? Elle a bu son petit coup ?

Et là, son regard qui se transforme, ses petits yeux méchants. Et puis elle a chopé une canette vide qui traînait sur la table. Et puis elle me l’a lancée en pleine face. Et puis la bouteille m’a cogné la tête en même temps que ma tête a cogné le mur derrière. Putain que ça faisait du bien ! Ça m’a arraché un gémissement à éjaculer tout de suite et lui en foutre plein sur sa sale gueule.
- Espèce de petit enculé ! elle a craché.
Et puis son visage s’est éclairé.
- Et peut-être même que c’est ça qui te plaît ! Peut-être que c’est ça que tu aimes : te faire enculer ! T’es peut-être qu’un sale petit pédé ? Hein ? T’es qu’un pédé, hein ? C’est ça, hein ? T’aime te faire enculer ?
Et puis elle a éclaté de rire comme une grosse vache. Ça faisait trembler toute sa graisse, ça la faisait vibrer comme son vibromasseur qu’elle s’enfonçait tous les soirs les jambes écartées en face de moi en gémissant, en bavant comme une grosse truie qu’on n’aurait jamais voulue bouffer tellement elle ressemblait plus à rien.

Et puis elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes. Elle s’est approchée de moi, les mains sur les hanches, la haine dans les yeux. J’ai senti son odeur, sa putain d’odeur âcre de sueur, sa putain d’odeur âcre de transpiration que son putain de patchouli venait sucrer à me faire vomir. Elle a approché son visage du mien.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
J’ai eu un haut le coeur. Elle l’a remarqué. Ça l’a énervé. Je l’ai vu pivoter sur la droite, tendre son bras, prendre son élan et revenir très vite sur la gauche, ouvrir sa main, sa grosse main de sale petite caissière de sale petit supermarché qui s’est abattue sur moi, sur le côté de mon visage, m’envoyant voler au bord du lit, avec le vide en dessous et pas une seule prise dans l’air.
Je me suis étalé sur le sol, la tête en avant, les pieds encore sur le lit.
- Sale petit merdeux !
Elle a chopé mes jambes et les a envoyées rejoindre le reste.
- Sale petit pédé !
Et puis elle y est allée du pied, frappant de son escarpin de Cendrillon dans lequel elle débordait, où la chair semblait vouloir s’écouler sur les côtés comme si, moins conne qu’elle, elle voulait d’elle-même quitter ce corps de merde et essayer de former quelque chose de moins ridicule à côté.
Elle a frappé, elle a frappé encore, visant mon ventre. Elle y allait gaiement de ses coups de pieds et de ses insultes, frappant mes bras repliés pour un tant soit peu me protéger : pur réflexe !
Et j’ai eu des hauts le coeur encore, en plus de chaque gémissement à chaque coup.
- Sale petit merdeux !

Et j’y étais. C’était là. C’est monté avec une vitesse hallucinante. C’est parti directe sur la moquette avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a eu un goût dégueulasse aussi. Et j’y ai mis toute ma haine, j’en avais les yeux pleins de larmes. Et plus elle frappait, plus je gémissais, plus je crachais, plus je raclais, plus je criais, plus je hurlais.

Elle m’a poussé dedans. Elle s’est baissée, pliée sur ses jambonneaux. Elle m’a pris la tête par les cheveux, elle me l’a mise dedans. Elle a frotté la gerbe avec ma tête.
- Vas-y espèce de sale merdeux ! Bouffe là, ta gerbe ! Bouffe là !
Et puis elle a commencé à cogner ma tête contre le sol, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma tête entre mes mains. J’avais l’odeur de la gerbe. Je voulais encore vomir, vomir et jouir à ne plus en finir.

Et puis elle m’a lâché. Elle s’est calmée sous mes hurlements. Elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes, poussant de ses grosses mains sur ses gros jambonneaux, hennissant comme un cheval.
Elle est retournée lentement vers la chaise.
Je me suis retourné lentement vers elle.
Elle a atteint la chaise.
J’ai vu la bouteille.
Elle s’est essuyé les mains sur sa sale blouse ridicule de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché.
J’ai pris la bouteille.
Elle a pris une cigarette.
Je me suis levé, poussant de mes petits bras.
Elle l’a allumée.
Je me suis approché d’elle.
Elle s’est lentement retournée.
J’ai pivoté sur moi, tendant le bras, la bouteille à la main.
Alors qu’elle allait s’asseoir, alors qu’elle allait poser ses grosses fesses de sale petite caissière de sale petit supermarché, j’ai vu le doute dans ses yeux, puis l’horreur.
J’ai abattu la bouteille sur le sommet de son crâne, sur sa tête, sur ses sales cheveux gras.
Ça a fait un joli bruit mat un peu creux, un truc inimitable.
Et puis il y a eu le bruit du verre brisé aussi, éparpillé dans les airs.
Et puis il y a eu son corps qui est tombé, mollement, qui s’est affalé sur le sol.
Et j’y suis allé gaiement de mes insultes et de mes coups de pieds.
- Grosse merde ! Grosse salope ! Tu vas payer.
Et j’ai frappé, j’ai frappé, j’ai frappé.
Et puis je me suis baissé, plié sur mes petites jambes.
J’ai pris sa tête par ses cheveux où poissait déjà le sang, je l’y ai mise dedans. J’ai frotté les bouts de verre éparpillés avec sa tête.
- Vas-y espèce de grosse vache ! Bouffe-les, les bouts de verre ! Bouffe-les !

Le verre en était rouge de sang !
Mar 16 Fév 2016, 18:43 par B-Lolo sur L'amour en vrac

L'amour au clair de lune ( caressedesyeux/ hami)



Ce soir, il y a un magnifique clair de lune
Qui inonde la chambre de sa lueur argentée
Une claire obscurité, sur le corps de ma brune
S’étend telle une blanche couverture brodée.
Pour mieux observer cette nocturne beauté
Je me lève doucement, sur la pointe des pieds
Et sans faire de bruit, je fais le tour du lit
Pour épier son visage et l’ourlet de sa bouche
Sent-elle mon regard ou elle rêve et souris
je contemple ce trésor qui dort dans ma couche.

Et l’envie me prend de doucement le caresser
L’ébène de ses cheveux glisse entre mes doigts
J’embrasse et mordille le lobe de l’oreille
Elle soupire, j’ai peur que mon geste ne la réveille
Je remonte le drap pour qu’elle ne prenne froid
Je dépose un bisou léger sur chacun de ses yeux
Et un poutou mutin sur le bout de son nez
Ses lèvres entrouvertes me rendent fiévreux
Elles sont une invite pour un baiser passionné
Il faut que je les évite ou mon plan sera gâché.

Je caresse sa joue et descend dans le cou
Puis, sur sa gorge, j’ose la langue, glisser
Goulument jusqu’entre ses beaux mamelons
Ses seins se redressent, et durcissent les tétons
J’apprécie leur fermeté, leur rondeur, leur parfum
De cette belle peau d’ambre j’en hume les embruns
Je m’étends en tendres bisous sur son joli ventre
Un baiser moelleux pour chaque grain de beauté
Je m’approche doucement de le plus tendre:
Un joli carré de belle toison, par sa jambe, caché
Splendeur de sa féminité, berceau de mes désirs.

Je cajole l’entrejambe, elle soupire et s’étire
Libérant ainsi le doux objet de ma tentation
Je respire l’essence de son bouton de rose
Le suce, l’agace et recommence l’action
Je bois à sa source cette liqueur onctueuse.
Plus enivrante que le plus capiteux des vins
Des doigts et de la langue, ses doux recoins
J’explore, agace, tâte, caresse tout en douceur
Sa respiration s’accélère, ses reins se cambrent
Elle t’étend, se donnes, entière, avec ardeur
Ses gémissements emplissent la chambre.

Puis soudain, elle se redresse et m’empoigne
Et d’un fougueux baiser, elle se glisse sur moi
Mon adorable amazone part en campagne
Chevauchant hardiment le corps de son roi.
Je parcours des mains ses veloutés vallons
Elle en frissonne et accélère ses mouvements
Je retiens sa croupe pour être au diapason
Sa bouche et son regard deviennent brulants
Nos corps tourmentés se mêlent de sueur
Nos lèvres s’écrasent et nos langues s’emmêlent
Je la sens raidir et retiens, encore mon ardeur
Puis, dans un soupir de délices, nos sens s’apaisent.

Ses yeux noisette pétillent de joie et de bonheur
Comblée, elle reste lascivement couchée sur mon ventre
Elle me bise gentiment, mais elle a une moue de douleur
Je passe mes mains sur son dos pour pouvoir le détendre
Et retirer de ce merveilleux corps cette atroce souffrance
Elle sourit émerveillée car le mal s’est envolé à l’instant
Elle ferme les yeux glissant dans une douce somnolence.
Je l’embrasse doucement et la regarde enfin s’endormir
La serrant fort à moi, je caresse ses cheveux tendrement
Mon amour, ma flamme, mon rêve d’avenir.

Dim 25 Jan 2015, 19:02 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Notre amour est t-il un crime ?

Bon eh bien bonjour à tous :) me voici avec une longue histoire sur Zane et Giulia, deux jeunes femmes que j’admire énormément.


Chapitre 1 - Révélation et demande

Point de vue narrateur.

Le soir … Le voilà tombé sur la capitale italienne, par ce soir d’hiver, un soir décembre, nous nous retrouvons devant un lycée qui à cet heure si tardive fut encore ouvert. Ce soir cet établisement était en fête, il y avait le bal de noël, et pour cette occasion tout le monde y avait était convier parents et professeurs.

Non loin du gymnase là ou se déroule la fête, cacher derrière un mur à l’abrit des regards, deux jeunes femmes s’échangent leur amour avec bonheur. Zane une jeune brune aux cheveux mi-long se trouve contre le mur tenant sa petite amie par la taille, et cette dernière qui répond au nom de Giulia qui a une chevelure chocolat et de jolie yeux azur, a ses bras allongés sur les épaules de la jeune brune.

Ses deux jeunes demoiselles partagent leur vies depuis deux ans maintenant. Leurs cœur se sont uni un soir de printemps, lors de l’anniversaire de Giulia qui ce jour là avait reçu le plus beau des cadeaux.

Cette dernière, s’approche de sa douce et approfondit leur baiser, bougeant légèrement sa tête pour ainsi mieux savourer ce moment de tendresse. Zane elle ne cesser de la serrer contre elle, mêlant sa langue à la sienne pour ainsi rendre ce baiser encore doux et brûlent.

En manque d’air, elles se détachent, et leurs yeux se noient l’un dans l’autre. Giulia caresse son front avec le sien, et lui sourit tendrement. La jolie brune emmène sa main à sa joue et lui éffleur doucement, jouant avec son nez. Le vent souffle et fait virevolter leur cheveux, leurs robes qui son toutes les deux noire se plisse avec le vent.

Elles n’avaient pas besoin de parler, chacune d’elles se comprend par un simple regard. Giulia pose sa main gauche sur celle de sa femme et emmêle ses doigts avec les siens. Laissant son cœur se marié au sien.

Giulia – je t’aime ma chérie.
Zane – moi aussi, et plus que tout !
Giulia – Zane …
Zane – chuut …


La jeune brune descend sa main et pose son doigt sur les lèvres de son amour qu’elle caresse doucement, Giulia lui sourit, et vint lover sa tête au creux de son cou côté gauche, et descend ses mains à son dos, lui offrant de douce caresses. Zane se met à sourire, elle commence un geste doux et régulier sur le dos de sa bien aimée, et monte sa main droite à sa chevelure caramel, ou elle prit soin de lui masser tendrement lui déposant un baiser sur sa tempe.

Zane – dis moi … Qu’aimerais tu que l’ont face durant les vacances ?
Giulia – tu sais … m’importe peut tant que je suis avec toi.


La jolie brune se met à sourire, et berce tendrement son ange contre elle, son cœur ne cesse de s’emporter, et son ventre la démange, comme si des millions, de papillons caresser son bas-ventre.

Giulia – Ah … Si tu savait à quel point je suis heureuse avec toi, deux ans de bonheur et d’amour.
Zane – oui moi aussi, et j’espère de tout mon cœur que sa durera, car avec toi … Je suis la plus heureuse et comblée des femmes.
Giulia – c’est la plus belle chose que tu m’est dit Zane, je l’espère aussi … Même si il y a quelques tension avec notre groupe, je souhaite rester à tes côtés mon amour.
Zane – et si … On leur disaient ?
Giulia – si tu te sent prête alors je te suis jolie brune !
Zane – hm toi alors … Quand arrêteras tu de me rendre ainsi !
Giulia – comment ça « ainsi » vous m’intriguer mademoiselle Kazama !


Zane élargie son sourire, son bonheur était au summum auprès de la femme qu’elle aime et désir plus que quiconque. Elle lui caresse la joue, et s’approche de son visage.

Zane – de me rendre si amoureuse voyons mademoiselle Celest.
Giulia – dans ce cas, jamais !


Elles s’échangent un tendre sourire, et vinrent de nouveau unir leur cœur dans un long et doux baiser. Giulia colle son corps contre celui de sa douce, et pose ses mains sur ses joues qu’elle caresse. Zane qui ne savait plus ou se donner de la tête, tant son bonheur l’ennivre ressere leur étreinte, et lui caresse son dos, allant sauvagement attaquer sa langue.

Personne n’était là pour briser leur moment de bonheur ou chacune se sentaient de plus en plus ennivrer par leurs émotions les plus profonde, leur désir prit leur cœurs en otage, et leur langues s’enflamment à chaque coup. Un baiser amoureux et langoureux à la fois, une étreinte douce et protectrice, des caresses agréable, et quelques petits son se mariant avec l’atmosphère envoûtante et chaude à la fois.

Point de vue Zane.

Quel bonheur, je n’arrive pas à me défaire de ce sentiment qui me brûle le cœur, elle est si douce, Giulia … Ma tendre Giulia je t’aime tellement fort, deux ans à ses côtés, un véritable bonheur, bien que certaine jalousie me meurtri le cœur je l’aime profondément et en aucun cas je la laisserais filais dans les bras d’une autre. En ce soir de vingt quatre décembre j’avais l’intention de lui demander sa main, et pour sa, avec l’aide de Clément qui est mon frère j’allais passer sur scène et ainsi lui dévoiler une seconde fois mon cœur.

On se détachent doucement, et je lui caresse la joue allant écarter quelques mèches de ses yeux, je lui fait un petit clin d’oeil, et lui embrasse le front.

Moi – aller viens, j’aimerais pouvoir danser un slow avec toi mon amour !
Giulia – avec plaisir ma jolie brune … Je t’aime.
Moi – je t’aime bien plus encore !


Nos lèvres se claquent tendrement entres elles, et c’est le cœur léger et amoureux que nous nous dirigions vers l’entrée du gymnase. Et comme nous allions enfin dévoiler notre relation, je ne compte pas lui lâcher la main que je caresse doucement. Arrivé devant les deux grandes portes, ont s’arrêtent et nos yeux se caressent pendant de longues minutes.

Moi – tu est prête ?
Giulia – avec toi, je serait prête à tout.


Je lui sourit, lui tapote le nez, et enfin entra à l’intérieur. On commencent à s’avancer, et certains nous regardent, mais je m’en fiche, car je suis se que je suis et je ne changerais pas pour voir des sourires de satisfactions. Nos parents étaient aussi là assit sur des bancs à discuter entre eux.

Une fois avoir repérer Shiwa Dolce et Emilie, on se dirige vers le groupe, et Shiwa se jeta sur nous.

Shiwa – enfin … Mais où es ce que vous étiez passé toutes les deux !
Giulia – ah ah, ta curiosité ne te quittera jamais !
Dolce – tu devrais le savoir depuis le temps … Oh mais vous … Vous êtes ensemble ?
Moi – oui !
Giulia – nous sommes ensemble.
Shiwa – j’ai bien entendu, zizou et guigui sont ensemble mais c’est supère !!
Moi/Giulia – arrête de nous appeler comme sa !!!
Dolce – toutes mes félicitation les filles, vous mérité amplement ce bonheur, soyez heureuse ensemble !
Giulia – mais … Nous sommes déjà …
Moi – très heureuse ensemble.
Emilie – et depuis combien de temps ?


Je voie qu’elle est heureuse sa fait plaisir, pff c’est dépriment, toujours à nous parler sur ce ton, le pire c’est que ce n’est cas nous qu’elle fait sa. J’ignore donc sa question, mais il semblerais que ma douce n’est pas aimé ce ton puisqu’elle se met à répliquer :

Giulia – euh … La gentillesse tu connais ?
Emilie – toi je ne t’ai pas parler, Zane mais … Mais comment fais tu ?
Shiwa – eh Emilie tu calme ta jalousie ok, elles ont le droit d’être ensemble !
Moi – et en aucune façon ma vie privé ne te regarde.


Ses bras enroulent mon dos, et sa tête se love dans mon cou. Je sourit, et vint l’enlacer moi aussi contre moi, lui caressant doucement sa nuque de mes pouces. Je lui pose un délicat baiser sur sa tempe, et la berce tendrement.

Dolce – oh … Vous êtes trop mignonne, mais depuis combien de temps ?
Giulia – depuis deux ans maintenant !
Shiwa – deux …
Dolce – ans, mais pourquoi ne pas l’avoir dit ?
Moi – nous voulions juste le garder pour nous, et puis avec ce qui c’est passé il y a deux mois !
Shiwa – c’est sur ! Mais en tout cas félicitation.
Dolce – on vous soutien les filles.
Giulia – merci.


Je lui relève le visage, et lui caresse sa joue, lui offrant un doux sourire, et d’un petit clin d’oeil. Sa main se pose sur la mienne, et ses doigts me caressent.

Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi, … Ma douce et jolie Giulia, tu est le centre de mon univers.


Elle me sourit, et ses lèvres s’unir aux miennes. Je lui caresse la joue, et répond délicatement à sa douceur. Ses mains se mettent sur mon dos, et ses doigts me caressent alors que j’allonge mon bras gauche sur ses épaules et l’autre continue de jouer sur sa paumette, nos lèvres se claquent et se goûtent. Mon cœur bat si fort, je l’aime c’est fou à quel point je peut l’aimer.

Point de vue narrateur.

Alors que les deux jeunes filles continue de s’échanger leur amour, Shiwa et Dolce se mirent à sourire et ne purent s’empêcher de les prendre en photo. Plus loin quatre adultes observé la scène avec un sourire aux lèvres.

? - elles se l’ont enfin dit ! S’exclame une jeune femme blonde
? - je suis heureuse pour elles. Rétorque une seconde jeune femme à la chevelure brune


Les deux hommes qui n’étaient autre que les pères de Giulia et Zane, ne cessaient de regarder leurs filles s’embrasser, chacun surpris de voir une tel union entre les deux jeunes filles, mais quelques part dans leurs cœur il en étaient heureux.

Après ce doux baiser, Zane lui sourit, continuant tendrement son geste sur la joue de sa jolie brune qui lui offrait son plus beau sourire. La jeune brune lui embrasse le nez, et se tourne vers les filles qui à dire vrai, avaient le sourire jusqu’au joues.

Zane – Shiwa, je pourrais te demander quelques chose ?
Shiwa – oui biern sûr, qui y ’a t’il ?
Zane – serait t’il possible que tu film ?
Shiwa – euh oui … Mais filmer quoi ?
Dolce – qu’es ce que tu as en tête Zane ?
Zane – vous verraient bien.


La jeune fille se tourne vers son ange, qui la regarde avec un regard surpris elle aussi, mais cela n’a pas d’importance, elle lui caresse le dos, et lui sourit amoureusement. Zane lui fait un petit clin d’oeil, et la serre dans ses bras. Puis un garçon au cheveux brun et au costume noir et blanc se dirige vers le groupe.

Clément – Zane, c’est bon tu peux y aller !
Zane – ok j’y vais !
Giulia – mais … Tu vas où ?
Zane – ne t’inquiète pas ma belle, je reviens vite !


Elle lui dépose un léger baiser, et vint se séparer de sa petite amie qui se posé bien des questions. Devant tout l’assembler, Zane saisit le micro, Shiwa avait allumé sa caméra, et commence à filmer, se demandant bien se que sa meilleure amie avait en tête.

Clément – Giulia, si j’étais toi, je la regarderais, c’est pour toi qu’elle fait sa !
Giulia – comment ça ?
Clément – regarde la, et écoute attentivement ce qu’elle va te dire.


Giulia de plus en plus surprise regarde sa bien aimée qui la dévisage avec tendresse, lui envoyant un tendre baiser avec ses lèvres. Geste que la jolie brune aprécia, et lui rendit par un clin d’oeil.

Zane – bonsoir à tous, j’aimerais avoir quelques minutes d’attention s’il vous plais, j’aimerais faire une déclaration pour une personne qui m’est cher.

Tous se tue, et Giulia sourit, son cœur ne put s’empêcher de battre, Clément entoure les épaules de la jeune fille, et sourit à sa sœur aînée qui lui rend son sourire.

Zane – voilà maintenant huit ans que je les rencontré, huit longue années à épprouver de fort sentiments à son égard. Pour mon plus grand bonheur, nous avons uni nos cœurs, et voilà deux ans que je vis un véritable bonheur à ses côtés. Elle est tout se qu’un homme puisse rêver d’avoir, elle est … Le centre de mon univers, mon rayon de soleil et la femme de ma vie, mais elle est avant tout … Ma plus belle histoire d’amour, alors en ce soir de vingt quatre décembre, j’aimerais lui demander quelque chose qui me tiens à cœur … Giulia !

Cette dernière avait les yeux qui pétillés, elle était prête à pleurer, Shiwa et Clément la pousse doucement, et c’est le cœur prêt à frôler la crise cardiaque qu’elle se dirige vers l’estrade là ou sa douce l’attendait. Les parents des deux jeunes filles, émue par la déclaration de Zane, se demandé bien se que la jeune brune allait demander à Giulia qui était au bord des larmes.

Cette dernière une fois prêt de la jeune brune, la regarde, alors que Zane s’avance et lui caresse la joue pour finir par prendre sa main.

Zane – Giulia mon amour sa fait deux ans que j’ai uni mon cœur au tiens, et je ne le regrette pas, je t’aime d’un amour sincère et véritable, et peut importe se qui arrivera, je serait toujours là pour toi … Alors j’aimerais te demander quelque chose d’important !

Clément se dirige vers la scène et tend à sa sœur un petit écrin bleu nuit en velours, Giulia ne savait pas se qui allait se passer, son cœur bat tellement vite. La jeune brune, se tourne vers sa femme, et s’exclame en posant un genou à terre, et en prenant la main de sa douce qui allait finir par pleurer pour de bon.

Zane – ma chérie, je suis profondément amoureuse de toi, et je n’aurais jamais crue être aussi heureuse, alors moi Zane Kazama te demande avec sincérité … Giulia Celest veux tu devenir ma femme ?

Le cœur prêt à bondir hors de sa poitrine, Zane ouvre l’écrin révélant une bague en argent avec un petit diamant. Giulia avait fini par verser ses larmes de bonheur, sa main plaqué sur sa bouche, elle était vraiment heureuse, elle ne s’y attendait pas du tout, et c’est plus heureuse que jamais qu’elle s’exclame :

Giulia – oui … Oui je le veux !

Zane sourit, heureuse laisse échapper une petite larme et se lève pour ainsi glisser l’anneau à l’annulaire gauche de son amour.

Zane – je t’aime, c’est avec toi que je veux construire mon futur.
Giulia – oh Zane, si … Si tu savait à quel point je suis heureuse, mon amour, ma femme !


La jolie brune sourit de plus belle, et devant tout l’assembler qui ne disait plus rien elles s’embrassèrent amoureusement. Des larmes de joie dévalent les joues des deux jeunes filles qui était à présent au delà du bonheur. Dolce et Shiwa étaient ému et n’avaient pue retenir leurs larmes de joie.

Un clapotement se fait entendre, puis un second un troisième, jusqu’à que ses clapotements se transforment en applaudissement. Zane et Giulia continuent de s’embrasser avec tendresse, heureuse de voir que leur histoire devenait sincère et véritable.

Doucement elles se détachent, et leurs yeux qui sont embué de larmes se caressent, Zane porte sa main à sa joue et lui caresse, elle était vraiment heureuse d’avoir eu le courage de faire sa demande alors qu’elle a une trouille monstre dès qu’elle monte sur scène. Giulia quant a elle, n’arrivait pas à croire à se qui venait de se passer, elle était vraiment heureuse. Elle s’approche de sa fiancée, et lui caresse la joue, repoussant quelques mèches de ses yeux, ne retenant pas une petite larme.

Giulia – tu viens … De combler mon bonheur, je suis tellement heureuse, Zane … Je t’aime, et je ne veux plus être loin de toi … La mia donna.

Zane se met à sourire, elle lui embrasse sa main, et lui murmure :

Zane – je t’aime aussi très fort ma belle, et en aucun cas, tu sera séparé de moi et mon cœur.

Elles se sourirent, et heureuse, elles descende de l’estrade main dans la main plus uni et amoureuse que jamais. Shiwa et Dolce se dirigent avec rapidité vers les deux jeune filles. Et hurlèrent de joie.

Dolce – mais c’est génial, oh les filles, je suis si heureuse, toutes mes félicitations et bravo à toi Zane c’était magnifique !
Shiwa – vraiment, je ne sais pas quoi dire, je suis si heureuse, tout mes voeux de bonheur à vous deux, et que votre histoire dure éternellement.
Zane – je ne compte pas la laisser filer !
Giulia – et je ne suis pas prête à quitter ses bras.


Point de vue Giulia.

Ce soir, elle ma comblé de bonheur, j’étais vraiment heureuse … Heureuse que nos cœurs se soit définitivement enlacés. Je lui embrasse le cou, et caresse ce derner de mon pouce, le cœur prêt à frôler la crise cardiaque.

Puis un slow commença, et Zane c’est tourné vers moi et me demande :

Zane – m’accorderais tu cette danse ?
Moi – avec plaisir mon amour.


On se sourit, et alla se mélanger à la foule qui à dire vrai nous observé, mais je n’ai que faire, je l’aime éperdument, et je ne suis pas prête à la laisser partir pour de simple sourires. J’allonge mes bras sur ses épaules, colle mon corps contre le sien et la dévisage avec amour. Ses bras s’aventurent à mon dos, elle me serre contre elle, et on commencent à danser, suivant le rythm de la musique.

Moi – tu m’as offert, le plus beau des cadeaux Zane, je suis si heureuse, nous allons pouvoir construire un futur ensemble, rien que, toi et moi, ti amo ti amo ti amo.

Elle me sourit, et me serre dans ses bras, et doucement elle se mit à chanter les parole de la chanson qui était de Nevio uns de mes chanteurs favoris, et le titre de cette chanson était Giulia comme moi.

Zane -

cammineró senza di te
hai confini dell ricordo
e troveró la strada che
ho perduto in un momento

ameró la solitudine
empiroglio chi mi nuvole
e cominceró riprendermi
il futuro che non c’é

Refrain:
giulia giulia
io non so dove sei ma ti sento arrivare
giulia giulia
sei una favola che non doveva finire
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
oh giulia

nasconderó dentro di me
la paura di cadere
ritroveró la libertá
la mia voglia di volare

e dispetero fra gli alberi
tutti i miei pensieri fragili
che mi inseguono non sanno
dove andare senza te

Refrain:
giulia giulia
tu ritorni da me con il vento d’estate
giulia giulia
sei la mia meno di con parole sbagliante
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica

anche senza di te io vivró respirando á ti
e ti sento ancora li
chiudi gli occhi e rivedo nel vento gli imagini
che non voglia andare via
solo un attimo d’amore dentro me ooh

Refrain:
giulia giulia(giulia giulia)
aahh giulia (giulia giulia)
sei l’azzurro dell cielo quando é primavera
giulia giulia
sei una voce che arriva improvisa leggera
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sara la mia musica
ohh giulia


une larme roule sur sa joue, je lui sourit, et vint lui retirer la petite larme par un baiser. Je colle mon front contre le sien, et lui murmure tendrement :

Moi – tu ne te rend pas compte à quel point tu viens de me rendre heureuse, ne pleur pas, tu est merveilleuse ma chérie, et j’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir.
Zane – je t’aime, si tu savais à quel point je peux t’aimer Giulia !
Moi – moi aussi je t’aime Zane, je t’aime énormément, tu est à ce jour la mia più bella storia del amor !


Elle me sourit, et vint m’embrasser resserant notre étreinte, je l’aime c’est fou comme je l’aime. Je ferme mes yeux et répond tendrement à son baiser. C’est ainsi que notre soirée s’achève, par une dernière embrassade avant de rentrer chez nous. Sa a était la plus belle soirée de ma vie et … Je ne suis pas prête à l’oublier.

Point de vue narrateur.

Quelques heures plus tard, le bal venais de prendre fin, et tous le monde commencent à gagner la sortie du lycée pour ainsi rentrer chez soie. Dans une rue italienne, ou le vent souffler et les réverbères enlumine la rue Zane et Giulia main dans la main marche vers la deumeur des Celest.

Juste derrière les jeunes filles se trouve leurs parents qui les regardent n’en revenant toujours pas de la révélation que leur filles leur avaient offert. Giulia pose sa tête sur l’épaule droite de sa douce qui se met à caresser sa main, lui offrant un doux baiser.

Arrivé devant chez Giulia, cette dernière toujours enlacé dans les bras de Zane se tourne, et les adultes comment à parler.

Mère de Giulia – bon et bien, merci pour la soirée !
Père de Zane – ce fut un plaisir.
Mère de Zane – dites, vue que les vacances sont commencé, Giulia sa te dit de dormir à la maison ?
Giulia – oui pourquoi pas.
Mère de Zane – tu en pense quoi Zane !
Père de Zane – tu te doute bien que cela ne va pas la déranger.


La jeune brune sourit, elle relève doucement le menton de sa douce et lui caresse la joue, lui offrant un tendre sourire.

Zane – je serait même heureuse de passer ma soirée avec elle !
Giulia – moi aussi.


Elles s’échangent un sourire, et s’embrassent amoureusement. Les quatre adultes se mettent à sourire, en voyant leurs enfants si uni. Après ce doux baiser, la jolie blonde se serre contre sa bien aimée qui se met à caresser sa chevelure.

Père de Giulia – je n’aurais jamais cru les voir si proche !

Giulia pose sa main sur la joue de Zane et la caresse, cette dernière ne pue s’empêcher de sourire, elle ne pouvais croire à tout sa … Un véritable compte de fée, son bonheur était enfin au complet.

Zane – je t’aime.
Giulia – moi aussi mon amour !


Elles se sourirent, se posent un délicat baiser, et la jolie blonde vint se séparer de sa bien aimée, pour regagner sa maison afin d’aller préparer son sac. Avec le sourire, la jeune fille sous les yeux doux de ses parents monte à toute vitesse les escaliers, et regagne sa chambre. Sa mère se poste au coin de la porte, les bras croiser sur sa poitrine, et elle regarde sa fille, qui venais de se mettre à siffloter de bonheur.

Giulia – oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor.

La jeune blonde fini de mettre ses affaires de toilette dans son sac, n’oubliant pas de prendre le cadeau pour son amour. La mère de famille, était vraiment heureuse de voir sa fille si épanouie.

Giulia se tourne, et sursaute en voyant sa mère qui souriait depuis tout à l’heure. La jeune fille commence à sortir de sa cha mbre, et sa mère ferme la porte.

Mère de Giulia – si tu savais à quel je suis heureuse de te voir comme sa.
Giulia – je suis vraiment amoureuse maman !
Mère de Giulia – je le voie bien.


Mère et fille s’échangent un sourire, et finissent par descendre ainsi rejoindre les autres qui se trouvaient toujours dehors. Giulia embrasse ses parents, et se dirige vers l’amour de sa vie qui l’accueillit avec un doux câlin.

Mère de Giulia – Zane ?
Zane – oui ?
Mère de Giulia – je ne sais pas se que tu as fait à ma fille, mais je t’en remercie.


Zane se met à rire, un rire délicieux aux oreilles de Giulia qui vint l’embrasser sur la joue, et fini par lui prendre la main. Elles s’échangent un doux regard, Zane lui fait un clin d’oeil et lui tapotte le nez, et c’est heureuse qu’elles partir direction la demeurre des Kazama.

Zane – cas tu dis pour que Annette me dise sa ?
Giulia – sa t’intéresse ?
Zane – tout se qui te touche m’intéresse.


Giulia se met à sourire, elle cale sa tête au creux de son cou, et lui dépose un léger baiser. Zane se met à sourire, elle ressere leur étreinte, et elles continuent de marcher toutes les deux plus heureuse que jamais. Quelques minutes après, les deux jeunes fille arrivent devant la maison des Kazama, et Lidie la mère de Zane se dirige vers le petit péron pour ainsi ouvrir la porte. Tous rentrent, et les filles embrassent les deux adultes et montent en suivant dans la chambre de la jolie brune.

Celle-ci ferme la porte, et se dirige vers Giulia qu’elle enlace par la taille posant ses mains sur son ventre, et lui dépose un baiser dans son cou.

Zane – alors, tu vas me dire se que tu as dit ?
Giulia – mais qu’elle curieuse on dirait Shiwa.


Zane se met à rire … La jolie blonde cale son dos contre la poitrine de sa douce et murmure tendrement en prenant ses mains dans les siennes.

Giulia - oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor … Voila se que j’ai dit.

La jolie brune se met à sourire, elle dépose ses lèvres sur la joue de sa bien aimée, et ferme ses yeux, savourant les paroles que Giulia avait prononcé à son égard. Son cœur bat tellement vite, elle lui caresse son ventre, et fait durer le plaisir, pressant sa bouche un peut plus sur la joue de sa femme qui sourit, et se laisse envahir par le bonheur.

Giulia – je t’aime Zane !

Cette dernière ne répond pas, mais sourit et prolonge son baiser le rendant plus doux et long. Elle se sentait si bien là comme sa, son cœur ne cesse de la rappeller à l’ordre, mais la jeune Kazama refuse de coopérer tant le bonheur est grand.

Zane * je t’aime bien plus que sa encore mon amour *

pense t’elle, en la berçant tendrement contre elle. Elle se décolle doucement et la serre plus fort contre elle.

Zane – joyeux noël ma chérie !
Giulia – joyeux noël à toi aussi mon amour.


La jolie blonde prend son sac et en sort le cadeau de sa bien aimée, et lui offrrit avec le sourire.

Giulia – quand je l’ai vue j’ai pensé à toi.

Zane sourit et saisit le petit sac. Elle apercut une feuille plié en deux, et un petit écrin, elle saisit le petit écrin, et l’ouvre devant les yeux amoureux de sa fiancée. Son cœur se met à cogner, et son regard s’adouci en voyant le contenue de l’écrin. A l’intérieur de cette dernière se trouve une gourmette en argent, et sur la petite plaque métalique il y avait écrit « Ti amo » Giulia saisit le bijou, le détache, et le passe autour du poignet gauche de sa bien aimée, qui finit par l’enlacer lui caressant le dos.

Zane – merci mon ange, elle est magnifique.
Giulia – de rien, et joyeux noël !
Zane – à toi aussi Giulia, j’espère de tout mon cœur que notre histoire ira loin, il n’y a qu’avec toi que je veux construir mon futur, et sa au creux de tes bras.
Giulia – le sentiment est partager, moi aussi je l’espère de tout mon cœur, rester au creux de tes bras encore longtemps !


Leur regard se croisent et se caressent, Zane allonge ses bras sur ses épaules, et toutes deux ferment leurs yeux pour ainsi unir leur cœur. Un doux baiser commence alors entres les deux jeunes filles qui se rapprochent de plus en plus, Giulia enroule ses bras au dos de Zane et caresse se dernier, penchant légèrement sa tête sur la droite, mêlant sa langue à la sienne. Zane plaque ses main à sa nuque et la caresse, montant sa main gauche à sa cheveulure, lui retire son élastique et mêle ses doigts dans ses cheveux lui massant agréablement. Leur corps ne cesse de se rapprocher, ils se pressent et se caressent.

Chacune intensifi leur baiser en se serrant l’une contre l’autre. Tout était parfait maintenant, elles étaiennt heureuse et éperdument amoureuse l’une de l’autre et ne cesser de se le montrer par des geste d’affections.

Leur lèvres se claquent et se goûttent, et leurs regards se dévisagent se parlent longuement et amoureusement.

Zane – oh Giulia …

Elle emmène sa main à sa joue et lui caresse. Toutes deux s’échangent un sourire, et finissent par s’enlacer tendrement. Giulia pose sa tête sur l’épaule gauche de sa bien aimée et lui caresse le dos, lui offrant un délicat baiser. Zane ne bouge pas, juste à sourire et répondre à son étreinte.

Giulia – dis mon amour …
Zane – oui ?
Giulia – et si … Pendant les vacances on allaient à Venise ? Rien que toutes les deux en tête à tête.


La jolie brune sourit, elle lui soulève son menton, et lui murmure en la dévisageant avec tendresse.

Zane – avec toi, j’irais n’importe où !
Giulia – je t’aime.
Zane – je t’aime aussi ma jolie brune !


Elles se sourirent, Zane lui fait un clin d’oeil, et dépose sees lèvres sur les siennes pour un doux baiser. Non décidement tout leur souriait elles étaient heureuse et combler de bonheur ensemble.

Quelques petites minutes après Giulia était parti prendre sa douche, alors que Zane qui c’était déjà raffraîchit se trouve assise sur son lit, muni d’un short blanc et d’un débardeur noir, ses cheveux mouillés lui touchant la poitrine lisait le petit mot que sa jolie blonde lui avait laisser.

Zane * ma chérie, il est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je suis la plus heureuse des femmes, tu me comble de bonheur et ne cesse jamais de me faire sourire, tu est l’amour de ma vie … Ma jolie brune, toi qui enflamme et réchauffe mon cœur, tu a sue atiser la flamme, et je suis vraiment éperdument amoureuse de toi, tu est la femme de ma vie mon amour, mon ange, mon cœur, mon rayon de soleil, tu est la cerise sur mon gâteau, la crème de mon cappushino, et je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, et peut être un jour fonder notre famille toutes les deux, je t’aime et te serait à jamais fidèle, Ti amo la mia donna. *

les yeux de la jeune brune se mettent à pétiller, elle caresse le bout de papier et regarde la petite gourmette à son poignet. Sa main droite se pose sur un pendantif en argent que Giulia lui avait offert pour leur toute première Saint Valentin, sur ce petit cœur il y avait le mot ’ Je t’aime ’ et Zane serre le bijou dans sa main, ne retenant pas une petite larme de bonheur.

Elle était si heureuse d’avoir une tel place dans la vie de la seule femme qu’elle aime et désir ardement. Sa main monte à sa bouche et ses doigts caressent ses lèvres, ses yeux se ferment et elle se remémore toute son histoire avec la jolie blonde, elle repense à tout ses moment de joie d’amour et de bonheur, même si quelques fois elles se sont prit la tête, se n’étais rien de méchant puisqu’à chaque fois leur amour grandissait et devenait plus fort.

Elle prend son téléphone, met ses écouteurs et se met une chanson qu’elle aimé tout particulièrement une de Nevio ’ Amore Per Sempre ’ sa tête se pose sur le mur et serrant le bout de papier elle se laisse envahir par la musique.

Zane * Giulia je suis vraiment heureuse avec toi, tu fait tout mon bonheur. *

« It’s only three words
amore per sempre
’cause living this life is all I can do
It’s only three words
amore per sempre
and you always get what’s coming to you
It’s only three words
amore per sempre! »


fredonne doucement Zane en souriant, laissant son cœur s’épanouir. Quelques larmes roulent sur ses joues, c’est la première fois qu’elle était dans cet état, le bonheur avait prit son cœur en otage, et même si elle est de caractère un peu garçon manqué, elle n’en reste pas moins une jeune femme avec ses rêves, ses désirs, et ses sentiments, elle se révèle être une jeune femme sensible et très sentimentale.

Zane – T.I A.M.O.

Elle sourit de nouveau et se laisse bercer par la mélodie. Quelques second après Giulia sort de la salle de bain fraichement lavé, elle porte un petit short noir et un débardeur blanc. Elle se met à sourire en voyant sa bien aimée ainsi, elle s’approche et remarque qu’une larme roule la joue de Zane, inquiète, la jolie blonde s’approche d’elle et s’exclame :

Giulia – ma chérie ça va ?
Zane – viens.


Sans se faire prier, Giulia alla se lover dans les bras de son amour, et entour son dos, et pose sa tête sur son épaule gauche. Zane allonge ses bras sur ses épaules et ses doigts partent caresser sa nuque, lovant sa tête dans son cou, lui offrant un tendre baiser.

Zane – moi aussi … Je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, laisser le temps se faire et qui sait peut être à fonder notre famille, ma Giulia je t’aime plus que tout, et ferais tout pour te garder auprès de moi mon amour.

La jeune blonde se met à sourire, elle se serre contre sa femme, et lui embrasse le cou. Se laissant bercer par le câlin de la jolie brune qui commencer peut à peut à s’endormir. Giulia lui caresse sa chevelure et la câline, elle vint la regarder et un tendre sourire apparu sur ses lèvres en voyant sa douce dormir. La soirée avait était riche en émotion pour les deux, et chacune avaient besoin de repos pour être en forme et pouvoir commencer leur vacances.

Giulia se lève, et alla fermer la lumière, elle se dirige vers le lit, grimpe dessus, et vint retirer les écouteurs des oreilles de Zane qui c’était profondément endormie. La jolie blonde, retire la couverture et couvre sa fiancée, ramenant la couette sur elles, pose sa tête sur son épaule et lui murmure avant de s’endormir à son tour.

Giulia – bonne nuit mon amour.

Elle lui embrasse le cou, et ferme ses yeux, le sourire aux lèvres, elle pose sa main sur le bras droit de la jeune brune, et fini par s’endormir heureuse de sa soirée qui avait était l’une des plus belle.


Chapitre 2 – Tout pour elle.


Point de vue narrateur.

Au alentours de neuf heure, la jolie blonde se réveille, et emet un long baillement. Elle se tourne, et remarque que sa bien aimée n’était pas la, donc elle se redresse et s’étire longuement avant de quitter ses draps et d’enfiler une robe de chambre bleu, qu’elle ferme avec une longue liane. Elle s’attache les cheveux en une queue de cheval, et prend son téléphone qu’elle prit soin d’allumer.

Quand ce dernier s’allume, Giulia remarque qu’elle a reçu des messages, et elle fut surprise du nombre, en effet elle avait reçu quarante messages en une nuit. Elle appui sur message et lorsqu’elle vis qui lui avait envoyé tout ses messages elle referme son téléphone et sort de la chambre pour se rendre dans la cuisine. Le destinataire de ses messages était Emilie, et connaissant cette dernière la jolie blonde ne prend pas le risque de répondre car à tout les coup se sont insultes.

Point de vue Zane.

Alors que je porte mon bol à ma bouche, deux bras s’enroulent autour de mon cou, et des mains se mirent à caresser ma peau. Je me tourne et sourit en voyant que c’était ma douce qui venais de se lever et qui à mon avis n’est pas tout à fait réveillé. Je porte mes lèvres à sa joue et lui embrasse avec douceur prenant doucement sa main dans la mienne.

Moi – bonjour belle au bois dormant, bien dormit ?!
Giulia – oui, très bien.


Elle me sourit et m’embrasse, je sourit et la serre contre moi. Doucement, notre étreinte se desserre, et elle parti se faire son déjeuner. Son portable se met à sonner, et je l’entend râler.

Giulia – pff … Elle peut pas me laisser tranquille.
Moi – c’est qui ?
Giulia – à ton avis ? C’est EmilIe, j’ai reçu quarante sms d’elle pendant la nuit.
Moi – elle deviens lourde avec sa.
Giulia – oui et elle commence sérieusement à m’énerver.


Vraiment, elle commence a être chiante, je n’arrive pas à la supporter, et j’ai horreur de l’opignon qu’elle porte sur les gens, qui est tout bonnement grotesque.

Giulia – va falloir faire quelques chose sa peut pas continuer comme sa !
Moi – oui lui mettre les points sur les i serait une bonne idée, car moi même je ne la supporte pas.
Giulia – on est deux !


Elle se tourne, et me sourit, je lui fait un petit clin d’oeil, et elle vint prendre place à ma droite. Alors qu’elle verse du chocolat dans sa tasse, je lui écarte une mèche de ses yeux, et lui offre un baiser.

Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi ma belle !


On se sourirent, s’embrassent avec douceur, et c’est avec le sourire que je reprend mon déjeuner. Son portable se met de nouveau à sonner, et cela eu pour effet de m’irriter.

Giulia – bon, tu peux voir se qu’elle veux !
Moi – dack.


Je prend doucement le téléphone, et lorsque ce dernier s’allume un doux sourire apparue sur mes lèvres en voyant son fond d’écran de vérouillage qui était une photo de moi avec les cheveux attacher, et juste en bas il y avait un cœur avec les deux première lettre de notre prénom et entre eux un petit plus prenait place, mon cœur se met à cogner fortement … Ah, ma Giulia, que je t’aime, je fait glisser mon pouce et plusieurs cercles apparue, je lui demande :

Moi – c’est quoi ton code mon ange ?
Giulia – la première lettre de ton prénom.


Je sourit, et reproduit le z avec mon pouce. Un autre battement fugace frappe ma poitrine en voyant son fond d’écran d’accueil qui était une photo de nous en train de nous embrasser et juste en bas il y avait écrit ’ la mia donna ti amo ’ je sourit, caresse doucement l’écran, et me dirige vers ses messages.

En effet, c’était bien Emilie qui lui avait envoyé tout ses messages, j’appui sur son prénom, et une fois que je fut sur la page, je remonte mon pouvce afin de tout lire.

Moi * comment as tu osé te l’accaparer ? Tu n’est qu’une salope Giulia, Zane ne te mérite pas, elle mérite quelqu’un de mieux comme moi *

non mais elle croix trop au père noël celle-là, faut vraiment qu’elle arrête son délire, je descend et les second messages eu pour effet de me faire mal au cœur.

Moi * elle a de très belle formes, une généreuse poitrine, de belles cuisses, elle est délicieuse, j’espère que tu ne goûtera jamais à son pêcher qui n’appartiens cas moi, elle est tellement belle, et franchement une femme comme elle ne veux pas passer son temps à faire juste des câlins et se contenter de simple baiser, non une femme comme elle désir beaucoup plus, que l’ont la prenne et la goûte tout doucement *

encore une … Qui me prend pour un objet sexuelle, mon cœur me fait mal, et je sent les larmes me monter aux yeux, ce sujet, j’y était très sensible, ayant subi de nombreuse moquerie là dessus et j’en reçoit encore aujourd’hui. C’est pour sa, que je me suis forgé ce caractère de garçon manqué car avec lui je peut surmonter cet obstacle car en dehors de sa, je suis très sensible, et je peux me mettre facilement à pleurer, seule Giulia connais ce côté là de moi.

Je ferme le téléphone, le pose sur la table et me lève, pour aller prendre un morceau de sopalin et m’essuie les yeux, j’ai horreur que les gens me voie ainsi et me prenne comme bon leur semble.

Giulia – ma chérie ça va ?

Je l’entend se lever, et ses bras entour ma taille, ses mains se posent sur mon ventre, et ses doigts me caressent. Je ne retiens plus mes larmes qui se mettent à rouler sur mes joues.

Moi – j’en est plus qu’assez que tout le monde me prenne ainsi, comme un objet sexuelle, j’en est marre de ceux qui ne pense cas sa, en me voyant, j’en est assez d’être une bête de foire à leur yeux, ils prétend que je suis une femme qui attend bien plus que sa, alors que … Que c’est faux, tout ce que je veux, c’est être aimé, et que l’on prenne soin de moi. Quand es que ce menssonge prendra fin !!!!!

je n’y arrive plus c’est vraiment trop dure, je tape violemment mon point contre le plan de travail et font littéralement en larmes. Je me sent tourné, et mes yeux qui sont rouge croisent ceux de ma douce, qui s’approche et pose ses mains sur mes joue, et repousse mes larmes.

Giulia – chuut … Ne te met pas dans cet état ma chérie, tu n’est pas une bête de foire ou un objet sexuelle, si les gens apprenait à mieux te connaître, ils remarquerons que tu est une femme extraordinaire, une femme qui possède un cœur en or, une femme magnifique avec ses défauts et ses qualités, tu vaut bien plus que sa. Quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi, pour t’épauler, te soutenir et t’aimer, t’aimer du plus profond de mon cœur, car pour moi Zane Kazama, tu est bien plus que sa, tu vaut bien plus que tout ses gens qui te critique, tu est ma femme, l’amour de ma vie … Et même si d’autre te dirons des chose malsaine, dit toi une chose mon cœur … C’est que q’importe la situation les gens qui t’aime vraiment serons ici dans ton cœur, Eric, Lidie, Shishi Dolce, Clément mes parents, et moi même seront toujours la pour toi, et nous t’aiderons du mieux que l’on peut car pour nous tu est importante, et pour moi, tu vaut tout l’or du monde !

Giulia … Je pose ma main sur la sienne, et ferme les yeux. Ses paroles danse dans ma tête et réchauffe mon cœur, je m’avance et me love dans ses bras. Posant mes mains sur son dos et lovant ma tête au creux de son cou côté gauche et pleur doucement en la serrant contre moi.

Moi – merci … D’être toujours là, je … Je ne veux pas te perdre Giulia, tu est tout se que j’ai de plus cher en ce monde.
Giulia – tu ne me perdra jamais mon amour, parce ce que … L’amour que je ressent à ton égard est bien plus fort que ses stupide critiques.


Elle ma soulevée le menton, et me regarde. J’allonge mes bras sur ses épaules, et m’approche d’elle, une larme roule sur sa joue, et sa voix que j’aime tant resonne :

Giulia – tu vaut bien plus que sa, je ne pourrais jamais t’abandonner Zane je t’aime beaucoup trop pour sa.

Ma chérie … Je lui sourit doucement, emmène ma main gauche à sa joue, et lui essui cette dernière avant de poser mes lèvres sur les siennes. Mon dos se colle contre le plan de travaille, et je vint lui caresser sa nuque alors que ses bras caresse mon dos. Sa tête se penche légèrement sur la gauche, et je laisse ma langue allait câliner la sienne, la serrant aussi fort que je le pouvait contre moi.

Je refuse de la perdre, pour cette peste … Je m’y refuse, elle est la seule qui me comprenne et sais me fait sourire et apaiser mon chagrin comme la. Elle est tout … Se que j’ai de plus cher au monde.

Je continue de l’embrasser avec tout l’amour que je ressent pour elle, elle est la femme que j’ai toujours attendue. Et c’est ensemble que l’on surmontera tout. On se décollent doucement, et je lui caresse la joue, elle est tellement belle … Je lui embrasse le bout du nez, et vint la serrer dans mes bras.

Giulia – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi !
Moi – moi aussi, tu pourras toujours compter sur moi mon amour, je t’aime.
Giulia – je t’aime bien plus que sa encore !


Ses lèvres caressent mon cou, et ses bras resserent notre étreinte. Au bout de quelques minutes, je me trouver dans la cuisine avec ma mère, Giulia était parti se doucher.

Mère de Zane – tu sais … Tu m’as beaucoup impressionner hier.
Moi – ah bon !
Mère de Zane – oui, toi qui a un trac monstre quand tu montes sur scène, tu m’as impressionner, et puis … C’est tellement beau se que tu as fait et dit.
Moi – c’était sincère maman, je … Je ne montre peut être pas mes sentiments mais je l’aime profondément, et ne souhaite que son bonheur.
Mère de Zane – j’espère que vous serait heureuse ensemble !
Moi – nous sommes déjà très heureuse, tu n’as pas à t’inquiéter la dessus.


On se sourit, et quelques petite minutes après ma douce fit son apparition, elle est vraiment belle, elle porte une robe en jean noir se fermant avec des boutons, des colant noir prend place sur ses jambes, et ses cheveux son retenue par un mini chignon, laissant ses deux longues et fine mèches caresser ses épaules.

Moi – tu est magnifique !
Giulia – merci.


Elle me sourit et se dirige vers nous. Ma mère eu la même impression que moi, je recule avec ma chaise, et vint la prendre dans mes bras. J’entoure sa taille, et lui caresse le dos, alors que ses bras s’allongent sur mes épaules.

Mère de Zane – tu est vraiment très jolie comme sa Giulia !
Giulia – merci Lidie.


Je lui émbrasse sa joue et la câline tendrement. Soudain son téléphone se met à sonner, elle le prend et je remarque que c’est Annette, son dos se pose contre ma potrine, et elle vint répondre à l’apel.

Giulia – oui allo ?
Annette – bonjour ma chérie, comment vas tu ?
Giulia – bonjour maman, ça va très bien et toi ?
Annette – tout vas pour le mieux, dis moi Lidie serait là ?
Giulia – oui , elle est en face de moi.
Annette – pourrais tu me la passer ?
Giulia – oui. Lidie ma mère veux te parler !
Mère de Zane – ok.


Ma mère prend son téléphone, le porte à son oreille, et commence à parler. Je prend doucement sa main gauche, et lui caresse, posant ma tête sur son épaule droite. Je voie ma mère faire un énorme sourire, je me demande bien se que Annette a pue lui dire.

Giulia – au faite mon ange !
Moi – oui qui y a t’il ?
Giulia – Shishi m’a appellé, elle et Dolce veullent nous parler, et il faut qu’ont les rejoingne au parc, sa te dis ?
Moi – tant que je suis avec toi, sa me va.
Giulia – tes vraiment adorable !


Je lui sourit, et lui dépose un léger baiser. La serrant contre moi, et laissant mon cœur s’emporter.

Mère de Zane – bon eh bien, c’est parfait je lui dit, et toutes mes félicitations !

Et c’est avec le sourire que ma mère coupe leur communication rendant le portable à mon amour, que je prit soin de câliner.

Mère de Zane – alors Giulia j’ai deux grandes nouvelles à t’annoncer !
Giulia – ah … Et qu’es ce que c’est ?
Mère de Zane – alors la première Annette et Pierre s’en vont à New York ce soir !
Giulia – quoi ?? mais … Mais pourquoi ?
Mère de Zane - détend toi, ils s’en vont à New York pour la simple raison que Pierre à fait une seconde demande en mariage à ta mère, et ils on décidés de se re marier aux Etats Unis, et la seconde, tu vas être grande sœur !
Moi – mais c’est génial !!


c’est supère, je regarde ma douce qui était encore sous le choc, elle se met à sourire, et tout en mêlant ses doigts aux miens elle s’exclame :

Giulia – mais c’est génial !!! oh mon dieu, moi qui est toujours rêvé d’être grande sœur … Mais si ils partent à New York, je doute qu’ils veulent de leur fille se qui est logique, je vais aller où alors ?
Mère de Zane – ici !
Giulia – comment ça ici ?
Mère de Zane – Annette ma demander si on pouvais te garder pendant quelques mois, et j’ai dis oui !
Moi – et tu ne dérange pas, ici, tu est la bienvenue.
Giulia – comment tu sais que j’allais dire sa ?!
Moi – n’oublie pas que sa fait deux ans que nous somme ensemble et que plus les jours passe et mieux j’apprend à te connaître ma chérie.
Giula – toi alors …


Elle me sourit et dépose ses lèvres sur mon nez. Je sourit, ferme les yeux et me laisse envahir par le bien être et le plaisir. Après sa, je suis aller m’habiller … J’enfile un slime noir, un débardeur noir surmonter d’un tee-shirt blanc avec des strasse formant une tête de mort, une ceinture grise avec le sigle de Dloce & Cabana.

Je me dirige vers la salle de bain qui est incorporé dans ma chambre, et me rend jusqu’au lavabo, ou je prit une brosse et commence à me coiffer. Pendant de longues minutes je me regarde, j’aimerais tant que tout ses dire cesse, parce ce que même si je suis de caractère un peux garçon manqué, je suis très sensible, et cela faisait longtemps que je n’avais plus pleuré comme ce matin.

J’esquive un sourire, continue de me coiffer, et pense à ma douce, j’ai vraiment beaucoup de chance de l’avoir à mes côtés, elle est celle qui réchauffe et enflamme mon cœur, je l’aime d’un amour sincère et véritable et n’espéré qu’une chose, celle de la garder à jamais auprès de moi et mon cœur.

Je pose la brosse, prend mon laïner, et commence à tracer une fine ligne noir au dessus de mes paupières. Je rebouche le stylo, le pose et retourne dans ma chambre, afin de me chausser. Je prend des bote noir à talon pas très haut, et les enfile, pour après mettre des petites mitaine à mes mains, me parfume légèrement, et une fois prête, prend mon téléphone, sort de ma chambre, et descend les escaliers.

Arrivé en bas, je remarque que ma mère avait Giulia dans ses bras, et cela eu pour effet de me faire sourire. Je me cale à côté du mur et écoute. Elle lui soulève le menton et s’exclame :

Mère de Zane – je ne sais pas se que tu as fait pour que ma fille soit dans cet état, mais je t’en remercie du fond du cœur Giulia, tu sais, Zane n’a pas souvent le sourire du à tout se qui se passe, et je suis sûr qu’elle avait une bonne raison de nous cacher votre relation, tu sais elle ma beaucoup impressionné hier, elle qui a un trac fou dès qu’elle monte sur scène, à croire que l’amour a réussi à la changer ! Tout se que j’espère c’est que tu la rendra heureuse tout au long de sa vie que tu puisse la faire sourire, rire … Car elle a beau avoir un caractère de dur, elle reste une jeune femme très sensible et sentimentale. Je te confit ma fille Giulia, prend en grand soin.
Giulia – tu sais Lidie … J’aime Zane profondément, pour moi, elle est tout ce que j’ai de plus cher au monde, elle est … Ma moitié, mon rayon de soleil, ma femme mais elle est avant tout ma plus belle histoire d’amour, j’en suis éperdument amoureuse, et je suis vraiment la plus heureuse, car Zane est tout se qu’un homme ou une femme puisse rêver d’avoir, elle est douce, adorable aimante, câline fofolle, mais c’est pour toute ses chose qui font d’elle la femme que j’aime et désir plus que quiconque sur cette terre, alors aussi longtemps que je serait sur cette terre, je ferais tout pour la rendre heureuse, parce ce que pour moi elle est la plus belle des mélodies !


Mon cœur se met à cogner fortement contre ma poitrine, mes yeux se ferment et un sourire heureux naquis mes lèvres, Giulia … Mon amour, si tu savait à quel point tes mots me font du bien, je ne regrette pas notre union, et suis fière d’avoir une petite amie telle que toi.

Je me dirige vers elle, et une fois à sa hauteur, je vint l’enlacer posant mes mains sur son ventre et ma tête sur son épaule droite et posa mes lèvres sur sa joue, fermant mes yeux, la berçant tendrement contre moi.

Moi – je t’aime !
Giulia – moi aussi ma chérie.


Ses mains se mêlent aux miennes, et ses doigts me caressent. Je me sent exésivement bien comme sa avec la femme dont je suis follement amoureuse.

Mère de Zane – tu voies Giulia, je ne sais pas se que tu lui a fait mais je suis heureuse de la voir ainsi !
Moi – ce qu’elle ma fait … Elle me rend éperdument heureuse, et ma permise de faire confiance en l’amour, elle est … La femme parfaite à mes yeux, et pour rien au monde … Je ne veux la perdre pour de stupide sourires de satisfactions, elle est … L’amour de ma vie, ma Giulia !


Elle me sourit, et m’embrasse la joue. Oh ma Giulia que je t’aime, mais dieu que je t’aime. Ma mère a le sourire aux lèvres, et je lui dit en posant ma tête sur son épaule :

Moi – dit toi que … Ta fille est vraiment la plus heureuse et que jamais elle ne perdra ce sourire.
Mère de Zane – Zane …
Moi – et sa … Grâce à elle !
Giulia – mon amour je …
Moi – chuut …


Et sans la laisser finir je dépose mes lèvres sur les siennes, lui offrant mon cœur, je suis vraiment heureuse, et espère de tout mon cœur l’être encore pendant longtemps.

Quelques minutes après, Giulia et moi étions parti direction le parc, main dans la main, un panier à la main puisque nous allions finalement pique niquer au parc avec les filles, et chacune de nous n’avaient pas oublier le cadeau pour Shishi et Dolce.

Arrivé à l’entrée du parc, je m’arrête en voyant qu’elle était la. Je ne voulais pas la voir, sinon sa allait mal se terminer, et je n’avait aucune envie de gâcher ma journée avec Giulia.

Giulia – ça va mon cœur ?
Moi – oui, bon eh bien retiens moi si je dois commettre un meurtre.


Elle tourne sa tête, et cette dernière se défigure envoyant cette peste. Je serre sa main, et commence à m’avancer. Je fut stopper, et au moment de me tourner ma jolie blonde me dépose un baiser. Je sourit, et lui rendit avec tendresse. Nos lèvres se claquent et se caressent, jusqu’à se qu’elles se séparent, et je vint lui offrir un doux sourire.

Giulia – ne t’inquiète pas, moi je suis là !
Moi – je le sais oui, et c’est bien sa qui me rend heureuse.


On se sourit, et on poursuit notre chemin vers les filles. Arrivé prêt d’elles, Shishi nous sauta au cou, et Dolce nous fit la bise.

Dolce – vous êtes vraiment très belle les filles.
Giulia/Moi – merci !!


on leur sourit, et je parti m’asseoir prêt d’un arbre, et Giulia vint se lover dans mes bras. J’entoure sa taille et pose mes mains sur son ventre, alors que ses doigts se mêlent au miens, sa tête se pose sur mon épaule droite, et alors que son dos se colle contre moi je pose ma tête sur son épaules gauche.

Shiwa – alors qu’es ce que vous nous avez fait de bon à manger ?
Giulia – espèce de petit goinffre, tu pense déjà à manger.
Dolce – en même temps …
Moi – c’est Shishi.
Shiwa – eh … C’est pas drôle !!


je me suis mise à rire doucement, et lui est posé un doux baiser sur sa joue, la serrant contre moi. Elle est vraiment belle habillé ainsi, ce n’est pas souvent que nous pouvons la voir en robe.

Shiwa – eh mais, c’est que Giulia c’est mise en robe !
Dolce – oh oui, c’est rare de te voir comme sa.
Emilie – un sac poubelle lui aurait mieux convenue !
Moi – eh … Baisse d’un ton, et je ne te permet pas de l’insulter.
Emilie – oh la pauvre, c’est qu’elle a besoin de se faire protéger !


Je vais lui en coller une, je le sent fort. Giulia se défait de notre étreinte, et sous mes yeux intérogateur je la suit. Elle se baisse se mettant face à Emilie et dit d’un ton très calme :

Giulia – c’est bon, tu as fini ? Car j’en est tout à ton honneur !
Emilie – non ce n’est pas fini, si tu savait à quel point je te haie, tu n’est bonne cas apporter le malheur … Non franchement Zane mérite beaucoup mieux que sa.
Giulia – Emilie ?
Emilie – quoi ?
Giulia – et si tu fermer ta bouche pour une fois ? Qu’en dit tu ?


C’est incroyable comment elle peut rester calme avec ce que cette peste lui dit, se qui m’énerve encore plus, on les suit du regard, et toute deux se lève, toujours face à face.

Emilie – et tu croix que je vais t’écouter ? Sans rire, arrête avec tes bonne manières !
Giulia – je peux savoir pourquoi tu me déteste ? Car à preuve du contraire je ne t’ai jamais insulter ou quoi que se soit d’autre.
Emilie – ce que tu m’as fais ? Tu oses me le demander ? Je vais donc être gentille et te raffraîchir la mémoire … Depuis que tes arrivé dans ce bahu, tu tes accaparé tout le monde, tu as même réussi à te mettre dans la poche la fille que j’aime le plus au monde, et sa … En faisant rien, juste à sourire, tu me dégoûte Giulia, comment oses tu être avec elle, elle mérite beaucoup mieux que sa, quand on la voie, on voie bien que c’est une femme qui veux plus qu’un simple baiser ou câli …


Elle venait de tomber sur le sol, sa main sur sa joue, Giulia venais de la giffler, et je suis vraiment fière.

Giulia – comment oses tu parlait d’elle de cette manière, tu ne la connais même pas, c’est toi qui me dégoûte, tu est puéril ma pauvre Emilie, Zane est loin d’être un objet de désir pour autrui, c’est avant ou une jeune femme avec ses sentiments, son amour propre, ses défauts et ses qualités, toi tu ne l’aime juste parce qu’elle est belle et qu’elle a de jolie forme, alors que moi, moi je l’aime pour ce qu’elle est, je la prend tel qu’elle est avec ses défauts et ses qualités, tu dis la connaître mieux que moi, mais en vérité tout se que tu cherche à faire c’est lui faire du mal, as tu pensé une seule fois à ce qu’elle pouvais ressentir, tu sais pourquoi je te déteste tant ? Tu as osé la faire pleurer, la faire souffrir, elle la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle qui est tout se que j’ai de plus cher au monde, tu croix sincèrement que je suis avec elle uniquement pour sa ? Mais si c’était le cas je serait déjà parti, bordel Emilie c’est de Zane que l’ont parle, elle a toujours était là pour toi, et toi comment tu la remercie en la salissant, et en la faisant pleurer ? Mais sache une chose, tu auras beau monter tout le monde contre moi, dit toi bien que je ne la laisserais jamais partir, je ne suis pas stupide au point de croire à des rumeurs car je la connais suffisament pour savoir de quoi elle est capable, alors qu’elle, tout se qu’elle demande, c’est que qu’importe les moments les situations c’est que l’ont puisse l’accepter tel qu’elle est sans lui porter de préjuger, alors si je te voie ne serrait-ce une seule fois toucher un seul de ses cheveux Emilie, tu auras faire à moi, je peux supporter beaucoup de choses, que l’ont m’insulte, me tire les cheveux, mais que l’ont touche à ma femme, c’est une chose que j’insupporte, ta compris !
Emilie – bon j’ai plus rien à faire ici j’me barre.
Giulia – c’est sa, dégage, et ne reviens plus !


Et elle est parti rouge de honte. Je regarde Giulia qui est toujours dos à moi, et je ne pue m’empêcher de sourire, se qu’elle a dit à mon propos me touche beaucoup, je l’aime … Sans qu’elle ne s’en rende compte, elle viens de me prouver qu’elle est celle que j’ai toujours attendue, et que je ne regrette pas de lui avoir confier mon cœur.

Shiwa – alors la … Chapeau, tu as tout mon respect Giulia, tu as réussi à lui cloué le bec une bonne fois pour toute, et surtout … Tu as sauvé l’honneur de notre meilleure amie !
Dolce – et pour nous c’est une très belle preuve d’amitié !
Moi – tu viens de m’offrir la plus belle preuve d’amour Giulia, merci.


Elle c’est tournée vers moi, ses yeux brillées, je sourit, et lui tend mes bras, pour qu’elle vienne s’y lover. J’entour son dos, et de ma main gauche, je vint mêler mes doigts dans sa chevelure.

Moi – merci beaucoup pour ce que tu as fait, tu m’as prouver à part b que tu est celle que j’attendais, merci mon amour !
Giuilia – si je les fait, c’est parce que je t’aime éperdument, et que pour moi tu est la femme de ma vie jolie brune !
Moi – Giulia …


Je lui caresse la joue, et lui offrit mes lèvres pour un long et doux baiser. Je ne sais vraiment plus ou me donner de la tête, c’est une très belle preuve d’amour qu’elle viens de me faire … Et j’en suis vraiment heureuse. Ah ma Giulia.

Shiwa – oh … Que c’est mignon, elles vont vraiment bien ensemble !
Dolce – maintenant que l’ont sais qu’elles sont ensemble, c’est très dure de les voir l’une sans l’autre.


Je sourit, et doucement notre baiser prit fin et laisser place à un câlin. Je lui caresse son ventre, alors que ses mains caressent les miennes.

Giulia – bon alors, à vous deux maintenant, c’est quoi cette chose importante que vous vouliez nous dire !
Dolce – on vous dit merci, car c’est grâce à vous !
Moi – comment sa ?
Shiwa – nous sommes ensemble !
Giulia - quoi ? C’est vrai ? Mais enfin c’est supère !!!
Moi – toute mes félicitations les filles, mais pourquoi c’est grâce à nous ?
Dolce – hier quand tu as fait ta déclaration et ta demande, sa ma ouvert les yeux, quand je vous ai vue vous embrassez devant tout le monde j’ai sourit et je me suis dit, qu’enfin de compte l’amour entre femmes était possible, et je me suis lancé et je lui est dit se que je ressent.
Shiwa – merci les filles !
Moi – bin, ravie de vous avoir aidé.
Giulia – tu as vue, on fait de l’excellent travail.


Je me met à rire en l’entendant dire sa, et mon rire fut suivit bien vite. Shiwa c’est rapproché de nous et nous a passé deux paquets cadeaux que l’ont prit. Ont leur donne nos cadeaux, et chacune commencent à ouvrir son paquet. Pour ma par j’eu droit à quelques bijoux tel qu’un bracelet noir avec des pic, ou bien un collier noir avec des diamant dessus.

Ma douce reçu une chemise de nuit bleu avec un chat avec un bonnet sur la tête, et en haut il y avait son prénom.

Giulia – j’adore, merci beaucoup les filles, et joyeux noël !
Shiwa – merci à vous, et très bon noël.
Dolce – merci !
Moi – de rien.


On se sourit, et les filles mettent se que nous leur avons offert qui était des boucles pour Shiwa et un colier avec une plume pour Dolce. Après et pour le plus grand bonheur de Shiwa nous avons commencé à manger. Des sandwishs au jambon des ships, et une canette de coca pour chacune.

Shiwa – oh c’est très jolie, c’est Giulia qui te l’a offert ?
Moi – oui !
Dolce – c’est supère mignon, et une question les filles, maintenant que vous l’êtes officiellement, vous compté le faire où votre mariage ?


Je sourit, et la serre contre moi, je porte ma canette à la bouche et boie une gorgé de mon coca.

Giulia – peut importe ou même l’heure, le plus important c’est que nos cœurs soient uni !

Je sourit, lui embrasse la joue, et la serre d’avantage dans mes bras.

Moi – hm … Et peut importe le lieu, du moment que nous sommes ensemble, c’est le principale !
Giulia – oui, uni à tout jamais !
Moi – pour la vie.


Lui murmurais-je à l’oreille, allant embrasser sa tampe. Ses yeux croisent les miens, et je lui sourit caresse sa joue, et lui offre un clin d’oeil.

Dolce – dis Giulia pourquoi ta autant le sourire ?
Shiwa – c’est vrai sa !
Moi – ah oui, c’est vrai qu’il lui est arrivé de bonne chose ce matin !
Dolce – ah, tu est allé chez elle ?
Giulia – j’y ai dormi.
Shiwa – wath the fuck, allait qu’es ce qui t’arrive ?
Giulia – ah non mais je vous jure celle-ci … En faite, mes parents compte se re marier, ils partent à New York ce soir, et je vais être grande sœur.
Dolce – mais c’est supère sa, mais du coup tu vas dormir où ?
Giulia – avec ma femme.
Shiwa – pourquoi je suis pas étonné ?


Je sourit, et ferme les yeux quelques minutes posant ma tête contre le tronc, laissant le vent caresser ma chevelure, et pense à tout se qui c’est produit durant ses deux ans.

Dolce – oh, Zane tu dors ?

C’est vrai qu’en y repensant, je n’aurais jamais crue avoir assez de courage de lui avouer ce que je ressent … Je n’arrive pas à croire que l’amour, son amour est pue me changer à ce point, savoir qu’elle est ma femme, me rend forte et fière, j’ai envie de soulever des montagnes, de tout faire pour rester avec elle, car il est vrai qu’avec tout se qui se passe il me suffit que je pense à elle et à notre couple pour que mon cœur s’appaise.

Shiwa – ou ou, Zane … C’est plus l’heure de dormir.

Je sent une main sur ma joue, sûrement la sienne. Je la prend délicatement, et colle ma joue gauche contre. Mes lèvres lui embrassent le creux de sa main, et ses doigts me caressent la joue. Son souffle chaud caresse ma peau, et sa voix que j’aime temps résonne au creux de mon oreille.

Giulia – je t’aime ma chérie !

Ses lèvres se collent à ma joue droite, et m’embrassent. Je sourit, et me laisse envahire par ce bonheur. Je tourne doucement ma tête, et alors que ses yeux s’ouvrent, ma bouche caresse la sienne. On se regardent longuement et je lui sourit pour finir par l’embrasser. Sa main caresse ma joue, et la mienne se mêle dans sa chevelure chocolat, elle se rapproche de moi, et aprofondit notre baiser qui se fit plus doux et amoureux.

Nos lèvres se claquent se caressent, et nos yeux s’ouvrent pour ainsi se dévisager.

Moi – moi aussi mon amour.

On se sourit, et avec tendresse, je vint lui faire un câlin qu’elle me rend avec bonheur. Shiwa et Dolce nous regardent avec un sourire accroché aux lèvres.

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Sam 28 Déc 2013, 17:40 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

La biche et moi (ecrit au masculin re-travaillé)

LA BICHE ET MOI

En ce temps-là, j’avais acheté, pour une bouchée de pain, un grand terrain laissé depuis longtemps à l’abandon et retourné quasiment à l’état sauvage. Enfin, si l’on peut appeler cela un terrain d’une étendue hétéroclite de prairies, marécages et bois disséminés pêle-mêle sur un domaine au relief chaotique que surplombait l’antique coupole d’un vieux moulin en ruine. Personne ne semblait pouvoir me renseigner sur le contenu exact de la propriété et les papiers officiels ne faisaient mention que d’une surface et de la "probabilité d’une habitation". Une telle description sur un acte de vente s’expliquait par un accès plus que difficile, prodigieusement malaisé et très dangereux. On ne s’y prendrait pas autrement pour en interdire l’entrée. C’était, sans toutefois l’affirmer : Vous entrez à vos risques et périls ! Ce qui en rebuta plus d’un et fit mon bonheur tant sur le plan pécunier que sur le plan satisfaction : était exactement ce dont j’avais rêvé !Je trouvai, dans la propriété, un vieux moulin à eau entouré d’une forêt d’orties, de fleurs champêtres, de ronces et d’arbres rabougris couverts de fougères. J’avais besoin d’un endroit comme cela, à l’écart de toute civilisation, mais pas, pour autant, au bout du monde, pour y séjourner en paix et méditer au calme.

Un héritage impromptu, placé à bon escient, me rapportait suffisamment que pour vivre de mes rentes. N’ayant nul besoin de travailler, je passais mon temps partagé entre mes loisirs, la découverte de mon domaine et la restauration de l’ancien bâtiment. J’étais ainsi toujours occupé et je ne connaissais pas l’ennui. Étant un solitaire, j’avais appris à me débrouiller seul et n’avais besoin d’aide même pour des travaux de force que j’accomplissais en me référant aux anciennes méthodes de construction. Celles d’un temps où l’homme était la seule puissance motrice disponible pour exécuter ce genre de travail. Je restaurai ainsi un vieux four dans lequel je faisais cuire mon pain. Remis en état l’ancienne roue à aubes du moulin pour disposer de sa force pour les gros travaux ainsi que de son énergie pour alimenter un circuit d’eau, sommaire, pour la cuisine et la salle d’eau. Réparai la toiture pour être au sec, rebâtis la partie de façade effondrée, consolidai le reste et refis quelques crépis internes pour que l’ensemble soit propre et agréable à vivre. Je m’octroyais de larges plages horaires pour lire et méditer et me surpris à plusieurs reprises à lire à la lueur du feu de bois crépitant joyeusement dans la cheminée. J’aimais cette atmosphère intimiste que je préférais à la lumière froide des ampoules électriques.

Mon garde-manger se remplit bien vite des légumes variées en provenance du petit jardinet que j’avais défriché et des nombreux fruits en provenance d’un verger revigoré par l’élimination de la prolifération des mauvaises herbes qui l’avaient envahi. Mon nouveau cadre partiellement aménagé, j’aimais beaucoup m’étendre sous un arbre ou au bord de l’eau et dans cette tranquillité champêtre, je dévorais quantité de livres. Parfois, le soir, inspiré par le cadre et le chant des cigales, j’improvisais sur le piano des mélodies pastorales ou, quand le temps menaçait d’orage, une envolée lyrique qui n’aurait déplu à Wagner.
Les rares amis qui s’étaient invités étaient repartis aussi vite que l’éclair au manque d’eau chaude courante, de radio et de la reine télévision dont la place restait ostensiblement vide. Contrairement à l’adage qui veut qu’un ami arrive trop tard et reparte trop tôt, chez moi, il arrivait toujours trop tôt et repartait, malgré sa célérité, toujours trop tard. Ce qui me valut, auprès d’amis et connaissances, en un temps record, le sobriquet de sauvage. Pas de réveille-matin non plus ! Je me réveillais chaque matin, la fenêtre ouverte, avec le doux murmure d’une petite cascade dont l’eau s écoulait paresseusement en un gros ruisseau qu’accompagnaient les chants joyeux d’une dizaine d’espèces différentes d’oiseaux : Un pur moment de bonheur !

Après une installation plus que sommaire, bien que suffisante à mes faibles exigences, je décidai de faire le tour complet du propriétaire pour avoir une idée aussi précise que possible de l’état et des besoins de la propriété. Je pris un sac à dos, y fourrai de quoi tenir une semaine de provisions, ma tente et mon sac de couchage, résidus des camps de vacance de ma jeunesse, une machette et une corde d’alpiniste, souvenir d’un vieux voyage au Mexique, un ciré, cadeau d’un ami breton, l’indispensable équipement de l’explorateur, boussole, lampe, couteau et mon inévitable livre de chevet. Pour l’occasion, j’avais trouvé fort à propos d’emporter les aventures de Robinson Crusoé. Une fois traversée la savane sauvage entourant mon havre de paix, je m’enfonçai vite dans une sorte de brousse boisée aux ramures inextricables traversée par une espèce de pâture marécageuse. Un infect bourbier que je décidai de contourner de peur d’y rester coincé. C’est au détour d’une énième masse de ronces que je la vis : Une biche s’était empêtrée, dans cette surface spongieuse, et malgré tous ses efforts ne parvenait pas à s’en extraire. Quand mon regard croisa ses grands yeux angoissés, elle semblait supplier : Sauve-moi !

Je n’étais pas équipé pour une telle péripétie mais sans y réfléchir davantage, je sortis mon inséparable corde de rappel qui ne me quittait plus pour mes randonnées depuis que son absence avait failli me coûter la vie lors d’un trip dans les Andes. J’attachai solidement un bout à un arbre et en ayant une pensée pour mes toutes nouvelles bottines de marche je m’enfonçai résolument en direction de la bête apeurée. Comme si elle fut consciente du but de mon action, elle arrêta de se débattre et se laissa entraver docilement. Relevant la biche d’une main et tirant la corde de l’autre, le corps à moitié enfoui dans la boue, après un temps qui me parut une éternité, je parvins à dégager la bête de l’emprise de la vase. Il ne me resta plus qu’à m’y soustraire pour remarquer que la biche, loin d’éprouver de la crainte à mon égard, faisait montre d’une gratitude inhabituelle pour cette hôtesse des bois. Une fois ses entraves ôtées, je l’exhortai à partir mais elle n’en fit rien. Que du contraire, elle se mit à me suivre comme un toutou. L’aventure et l’effort consenti m’avaient donné faim et m’arrêtai pour manger, assis à califourchon sur une victime des terribles tempêtes ayant secoué la région. Le vieux tronc me servait à la fois de chaise et de table et déployant un essuie j’installai mon repas.

Je commençai à me restaurer quand, à ma grande surprise, la biche s’invita à la collation en subtilisant timidement quelques feuilles de salade. Mi-perplexe, mi-amusé, je réalisai que la pauvre bête devait mourir de faim. Qui sait depuis combien de temps elle se débattait dans cette boue ? Je songeai que son attachement inhabituel devait provenir du parfum que dégageaient les victuailles que recelait mon sac à dos. Je me surpris à lui parler comme à une personne et l’inviter à la noce du geste et de la parole. Je m’amusais à voir son joli museau s’avancer vers la nourriture et l’attraper de sa petite langue tandis que ses grands yeux semblaient dire : Je peux ? Je lui présentai salades, légumes et fruits divers auxquels elle ne se priva pas de faire honneur. Au point que, le casse-croûte fini, je dus constater qu’il ne m’en restait plus assez pour continuer l’exploration de mon domaine. Je me voyais contraint de rentrer au bercail, faire le plein de provisions car je doutai fort de trouver quelque chose de comestible dans cette brousse. Le soir tombant n’en hâta que plus ma décision de faire demi-tour. Je me dis que, rassasié, l’animal allait sans doute poursuivre sa route.
Elle n’en fit rien et continua de me suivre docilement.

Le débroussaillage de l’aller se révéla un précieux gain de temps pour le retour et me félicitai intérieurement de ne pas avoir lésiné sur les coups de machette : Le chemin était tout tracé. Malgré cela, l’arrivée d’un orage impromptu vint obscurcir prématurément le peu de lumière dispensée par un soleil mourant. C’est à ce moment que je me rendis compte que, tout à l’étude du comportement de la bête, j’avais oublié de refaire mon paquetage. Ma lampe se trouvait quelque part dans ces ombres qui gonflaient et je ne dus de retrouver mon chemin qu’à la lueur de quelques éclairs annonciateurs de tempête. Accélérant le pas, je me retrouvai vite chez moi ; la biche toujours sur mes traces. Je m’engouffrai dans l’entrée au moment même où, les nuages, crevant, déversèrent la pluie à pleins seaux. J’allais refermer la porte sur les éléments déchaînés quand je croisai le regard attristé de la biche. Imagination, me direz-vous ! N’empêche que je n’eus pas le cœur de la laisser dehors et lui fis signe d’entrer. Ce qu’elle se pressa de faire d’un trottinement que je qualifierais de joyeux. Je ne pus m’empêcher de noter les dégâts occasionnés au hall d’entrée par mes bottes boueuses, ses sabots fangeux et sa fourrure dégoulinante d’eau mais j’étais exténué de ma journée et remis le nettoyage au lendemain. Je filai, sans tarder, au lit laissant l’animal se choisir un coin pour dormir.

Malgré l’orage qui grondait et grésillait, je ne tardai pas à m’endormir et à faire un de plus étranges rêves qui soit : Une lueur insolite semblait émaner de l’animal, prendre de l’ampleur jusqu’à devenir une lumière éblouissante, l’entourant et le soustrayant totalement à la vue. Quand le rayonnement se fit moins intense, je constatai qu’une créature d’une beauté inouïe avait pris la place de la biche. Une femme à la superbe chevelure d’un rouge flamboyant et aux magnifiques yeux noisette, que de longs cils mettaient en relief, sortit de ce halo et se mit à explorer . Sa nudité et son corps aux courbes parfaites en faisaient une déesse irréelle, fascinante, captivante. Je contemplai l’apparition et en suivai chaque mouvement et geste : Tout semblait l’intéresser et l’intriguer. Après sa petite visite, elle revint s’asseoir près de mon lit et nous nous dévisageâmes longuement. Si longuement que, dans le rêve, nous nous endormîmes en nous regardant. Le lendemain matin, un poids me gênant, me réveilla de bonne heure. Je fus surpris de trouver la biche recroquevillée au bout de mon lit et pensai au singulier rêve de la nuit que je mis sur le compte de ma longue abstinence. Bien que m’obligeant à de longues veillées, je ne constatai rien d’inhabituel chez l’animal si ce n’est son inexplicable fascination pour mon logis qu’il refusait invariablement de quitter me suivant partout comme un quelconque familier domestique.

Au point que je m’y affectionnai et, à l’instar de Robinson, je cherchais un nom pour mon étonnant Vendredi. J’écartais d’office les bichettes et autres bibiches pour explorer les différentes mythologies à la recherche d’un nom qui lui conviendrait. Après différents essais, mon choix se fixa sur Eowyn, princesse guerrière du cycle tolkinien de la saga du Seigneur de l’anneau. Quelque chose dans sa description et dans mon imagination faisait queje lui trouvais la même allure altière et par la force des choses, le même mutisme glacial, la même difficulté à s’exprimer. Le temps passa. À l’Automne et ses couleurs variées, succéda le noir et blanc de l’Hiver qui fit place à l’éclatement lumineux d’un Printemps triomphant, et je me surpris à ressentir un manque étrange, comme une sombre appréhension, lorsque la biche partait en balade pendant de longues heures. Je ne saurai dire si c’était une grande inquiétude ou une sorte de stupide jalousie envers ce milieu qui m’enlevait le seul être que je supportais avec grâce à mes côtés., mais ce malaise était bel et bien réel. Je commençai à craindre pour mes facultés mentales. À intervalles réguliers, je refaisais ce même rêve étrange d’une merveilleuse déesse nue visitant la maison et me regardant dormir en se demandant quel rêve pouvait ainsi dessiner un sourire sur mon visage bourru. Je la voyais humer les draps, presque m’ausculter comme si elle voulait imprimer dans son esprit les traits de mon visage et mon odeur.

Une nuit, l’impensable se produisit : L’apparition se risqua à m’embrasser et ce baiser me parut si réel, si chaud, si excitant que je m’éveillai en sueur. Perturbé, désorienté, j’allai dans la cuisine et ouvris le frigo dans le but de me servir un grand verre de jus de fruit quand, dans le reflet d’un plat d’inox, je la vis derrière moi. Je me retournai aussitôt et lâchai mon verre de stupeur : La Venus de mon rêve était là en chair et en os. ! Aussi nue qu’un ver ! Aussi belle qu’une déesse ! Aussi irréelle qu’une fée et pourtant.....Toute aussi stupéfaite que moi, l’apparition était figée, interloquée par cette rencontre. Puis, alors que je n’étais pas encore totalement revenu de ma surprise, elle me raconta son histoire. Un magicien jaloux lui avait lancé un enchantement la changeant en biche. Elle ne reprenait sa forme primitive que les nuits de pleine lune et ne retrouverait son aspect que lorsque son cœur rencontrerait son alter ego et partagerait, en même temps, les mêmes sentiments. J’étais tellement ébahi que je mis un moment à me rendre compte qu’elle peinait à couvrir, de ses frêles bras, sa nudité . Me confondant en excuses, je filai lui chercher de quoi se couvrir. Bien sûr je ne puis lui donner que quelques uns de mes habits et malgré l’incongruité de ces vêtements trop amples, sa ravissante beauté transpirait toujours.

Je m’inquiétai qu’elle eut faim, soif et lui préparai un en-cas rapide. Mais lorsque je voulus lui présenter le plateau, l’apparition avait disparu. Pour un rêve, c’était le songe le plus terriblement réaliste que j’avais jamais fait. Je restai un moment à y réfléchir puis, vaincu par la fatigue m’en retournai coucher. C’est là que je la retrouvai et que je me convainquis de ne pas rêver. Elle était couchée dans mon lit. Sa longue chevelure rousse faisant comme l’ombré d’un tableau. Ses formes sculptant les draps de ses courbes généreuses. Elle avait l’air d’un ange. C’était un ange ! Était-ce la situation ? La fatigue ? Le rêve ? Le manque ? La folie ? Je n’aurais su dire mais j’avais le cœur palpitant et débordant d’un sentiment que je croyais ne plus devoir connaître. L’émotion me submergeait et me vis chevalier protégeant son bonheur.
C’est au matin suivant que les affres de l’inquiétude commencèrent à me tourmenter. Elle avait repris sa forme animale signe que nos cœurs n’étaient pas au diapason des sentiments ou, plus probablement, que la solitude avait altérée ma perception de la réalité. La biche, quant à elle, ne changea pas ses habitudes et me gambadait autour « naturellement » si ce n’est qu’elle était encore plus familière que d’habitude. Enfin, je mis cela sur le compte de mon affabulation.

La nuit suivante, elle revint. Toujours aussi terriblement belle et attirante et nous passâmes la nuit à discuter de tout et de rien. Juste heureux d’être là, l’un en face de l’autre. Je buvais ses paroles comme un flot de nectar et m’enivrai de son rire pareil à une source cristalline. Sa voix me berçait d’une mélodieuse mélopée et je me réveillai le matin suivant endormi sur une chaise, la tête posée sur la table de la cuisine, le dos et les fesses en compote à me demander quel grain de folie germait dans mon cerveau. La nuit d’après, partagé entre certitudes et perplexités, nous échangeâmes de longs discours en de longs silences où seuls nos regards brûlants déclaraient cette flamme qui nous consumait. J’avais une envie folle de connaître le goût de ces merveilleuses lèvres qui s’agitaient en un joyeux babil. Comme si elle voulait rattraper les années de silence. Je les imaginais ayant l’arôme de pétales de rose et la saveur de la cerise. Aussi douces que les uns, aussi tendres que l’autre....Comme lisant dans mes pensées, elle déposa soudain un baiser fugitif sur mes lèvres enflammant tout mon corps d’une douce chaleur irradiante. J’en étais à réaliser ce qui m’arrivait lorsqu’elle revint à la charge d’une ferveur plus animale écrasant ses lèvres sur les miennes et cherchant le contact de ma langue pour ensuite l’aspirer. J’avais le corps en feu, tendu à l’extrême. Le sang battant aux tempes, le cœur cognant dans la poitrine, le ventre faisant des nœuds et le mâle rouant dans le pantalon.

L’envie de la prendre, là, tout de suite et le désir de protéger sa fragilité. Jamais je n’avais ressenti ce sentiment de faire passer le bonheur de l’autre avant mon seul plaisir propre. Je me sentais prêt à affronter le monde pour un seul de ses sourires. Nous échangions des baisers passionnés et des caresses torrides sans pour autant aller plus loin que l’éveil des sens. Chacun ayant peur que la magie de nos rencontres ne s’envole en franchissant le pas. Pourtant on était tellement serrés qu’elle ne pouvait ignorer l’état de tension qui m’agitait au point d’en avoir mal de turgescence. Et je ressentait son envie à ses mamelons durcis cognant ma poitrine. Le jour en biche câline, la nuit en tigresse affamée, j’en mourais de l’appétence qu’elle soit mienne et m’immolais à ses caprices pourvu qu’elle soit heureuse. On jouait à cet énivrant et excitant jeu dangereux lorsque survint l’accident. Ce matin-là, comme souvent, je mouillais une ligne dans l’espoir d’en retirer ma pitance tout en savourant les extravagantes aventures du Baron de Münchhausen que je ne me lassai de relire. Amusée ou intriguée par le jeu des poissons autour de l’appât, la biche se pencha. Un peu trop ! Et tomba à l’eau. La seconde suivante, un cri désespéré de femme me vrilla les tympans, me retourna le cœur et me propulsa à l’eau en même temps.

Mon amour se noyait ! Je la sortis aussi vite que possible de l’onde et l’étendis inanimée sur la berge. Le cœur serrant la gorge et l’âme au bord des lèvres j’entrepris de la ranimer. Je pratiquai le bouche-à-bouche mais le geste professionnel se changea vite en baiser amoureux. L’attrait de son corps, ses seins insolents, ses hanches affriolantes, son ventre invitant eurent raison de mes hésitations lorsqu’elle répondit à mon baiser. Des lèvres, je tombai sur son cou, glissai sur sa gorge et m’arrêtai sucer goulument ses seins. Ses tétons étaient aussi durs que roche. Tout son corps se tordait d’offrande. Pendant que je l’embrassais et la caressais, je sentais ses mains s’activer à m’ôter le pantalon. Je posais une main sur son ventre et la fis glisser juste au dessus de sa toison dorée. Elle desserra aussitôt ses cuisses, et je pus glisser mes doigts dans ses plis intimes. Elle soupira longuement. Elle était déjà moite de désir, prête pour l’amour...............
Tout en embrassant son corps, j’atteignis son jardin d’Eden et lui arrachai un gémissement de plaisir en écrasant délicatement le pistil de sa rose. Ma langue allait et venait entre ses lèvres énervant son bouton rose pendant que mes mains parcouraient cuisses, ventre et fesses en une ronde caressante et impudique. Elle haletait et soupirait, et je redoublais d’ardeur dans les attouchements, les baisers et les caresses. Le plaisir et le désir la tordant en spasmes jouissifs jusqu’à ce qu’elle parvienne enfin à l’orgasme dans un long râle extatique.

Je goûtais à son bonheur lorsque, d’un brusque coup de rein, elle inversa la position se retrouvant de monture à cavalière. Dans le même mouvement, s’emparant de mon membre, elle s’empala et partit au galop. Sa chaleur intime m’enflamma au point que je crus exploser en elle tellement vite que j’en fus désolé mais à son sourire triomphal je sus qu’elle avait atteint son but. Je ne sais combien de fois elle revigora mon ardeur mais je sais que jamais je ne me serai cru capable d’un tel exploit. Nous nous arrêtâmes à bout de forces mais non à bout d’envie et nous nous endormîmes, enlacés, épuisés, sur la berge. La fraîcheur du soir qui tombait nous réveilla et, nus comme Adam et Eve, nous nous dirigeâmes vers cette maison où l’amour, que depuis je lui prodiguais, devait la convaincre de ne jamais plus la quitter.
Jeu 14 Nov 2013, 11:12 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Une belle soirée

Elle avait mis l’éphémère d’un chemisier de soie
Transparent, laissant voir une partie de choix
Deux délicats rebonds dans un écrin de dentelles
Qui vinrent d’emblée toquer au fond de mes prunelles.
Cette soirée m’ennuyait, je pensais m’en aller.
Mais son apparition me poussa à rester.
Je ne la lâchais plus, l’observant en détails
Cherchant à chaque endroit où se trouvait la faille
Mais tout était parfait à mon œil tout conquis
Qui la voyait déjà tout au fond de mon lit.
Elle s’aperçu bien vite des regards insistants
Que je tentais discrets mais, maladroitement.
A présent c’était elle qui avait pris la main
Qui me peignait en proie dont elle ferait festin.
J’avais le dos tourné quand j’entendis une voix
Me lancer un «bonsoir, moi c’est Isabella »
Je me retournais donc, comment faire autrement,
Il me fallait faire face à l’objet du tourment.
Deux yeux verts bien plantés hypnotisèrent les miens
« Ne s’est-on déjà vus ? Je ne me souviens pas bien »
« Est-ce qu’on se fait la bise ou se serre-t-on la main ? »
D’une apparente contenance je me fis en galant
« Bonsoir, moi c’est Jime votre prince charmant
Voulez que pour vous je m’enquisse d’un verre
Ou bien préférez-vous que nous sortions prendre l’air ? »
« Quelques bulles volontiers avant d’aller dehors
Car rester enfermés, nous aurions vraiment tort »
Je lui servis sa coupe qu’elle but gracieusement
A la fin de laquelle elle me dit posément
« Je connais un endroit où nous serons tranquilles »
Tout en me dévisageant dans des grands battements de cils.
Nous filâmes à l’anglaise comme si nous faisons le mur
Voilà qui fleurait bon la jolie aventure.
A quelques pas de là elle m’amena dans un square
Pas une âme dans le lieu, il était bien trop tard
La lumière de la lune nous permettait d’y voir
Juste ce qu’il fallait pour que l’on ne s’égare.
Elle s’arrêta d’elle-même à de son choix
« C’est là que j’aimerais que tu t’occupes de moi ».
Sa petite jupe zippée sauta en un éclair
Suivi de sa culotte qui la fit fesses à l’air.
S’adossant à un arbre, elle entrouvrit ses jambes,
Tout ça eut pour effet de me mettre la flambe,
Je m’accroupis céans devant sa cicatrice
Afin de quelques langues en gouter le délice
L’affaire la régalait et elle se trémoussait
M’enjoignant par ses mains de ne pas m’arrêter,
Puis se mit à gémir en réclamant mon pieu
S’allongeant sur le sol pour un confort de mieux
« Ah ! J’ai le trou en feu, je veux que tu m’embroche,
Viens vider dans ma niche tes 2 grosses sacoches ».
Nous haletâmes au vent rythmés par mes baloches
Qui dans son entrecuisse jouaient de la ricoche
Jusqu’à ce que portés dans l’extase jouissance
Je la sentis bouillir au jet de ma semence.
Le forfait fort fait taire aussi ne pipa mot
Restant dans son voyage ses ongles dans mon dos.
Reprenant poil de bête elle dit l’envie d’un verre
Nous retournâmes alors à la maison de Pierre
D’où personne n’avait vu notre tendre échappée
Pas de doute me dis-je c’est une belle soirée.
Ven 16 Nov 2012, 16:34 par Jime sur Les liaisons sulfureuses

Rêves érotiques de demoiselle sieste

Ah ! Sans honte vous conterais-je, que l’autre jour,
Lassée d’un tôt matin qui écourta ma nuit,
Laissant filer mon corps, je me suis évanouie
Dans quelques lentes torpeurs, sur un coin de prairie,
Et que je fis durant ce somme des coquins rêves d’amour.

Le tout premier, le moindre, me mettait à parti
De frissons obtenus par mes mains solitaires.
Elles naviguaient sur moi de manières épanouies,
Explorant chaque courbe, de devant, de derrière,
S’attardant subtilement sur le bouton du pli.

Le deuxième, j’en conviens, fut guidé par
Qui m’inspira qu’un homme put profiter de moi.
Après qu’il m’eut ôté ma fine culotte de soie,
Il prépara délicieusement de langues et de doigts
Ma croupe ainsi offerte pour s’introduire en moi.

Dans un troisième, féminin, enlacée d’une nymphe nue
Qui explorait en me lapant, mes monts et mon intime,
Je me fondais arc boutée sous ses parties charnues,
Ruisselante de plaisir des pieds jusqu’à la cime,
Empalée d’un gourdin que la belle avait prévu.

Dieu ! Le suivant, le brulant quatrième, en réunion offerte!
J’étais écartelée par quelques âmes expertes
Qui firent de leurs touchers que je fus bien ouverte
Pour qu’ensemble j’accueillisse dans mes deux profondeurs
Vigoureux chevaliers, et qu’un tierce en ma bouche y finit son labeur.

Au sortir du réveil de ses quatre tableaux
Mon entrecuisse troublait mon esprit encore chaud.
Je dus pour me calmer, jouer seule le premier
M’abandonnant sur l’herbe au plaisir du doigté
Tremblante de voluptés, violemment je jouissais

Ah mon confesseur ! Qu’il vous prend cette rage !
Retirez sans tarder votre main du corsage
Votre empressement me gêne, je vous prie restez sage
Ces quelques musardises inspirées par l’herbage
N’avaient point pour raison d’attiser votre ouvrage

Mais allons donc l’Ami finissons là de suite
Laissons donc la raison, et sortez votre vit
Ah ! Je revois le pré, me voilà toute troublée
Venez combler de vous la cause de mon tournis
Besognez-moi gaillard jusqu’à ce que trois fois l’on ait joui

Jime
Mar 19 Juin 2012, 13:04 par Jime sur Les liaisons sulfureuses

Dessin d'elle (duo)

Me lève doucement et prends ma cigarette
Je dois, rideaux, tirer et la fenêtre ouvrir
Elle ne veut fumée et il faut que j’arrête
Je ne puis maintenant ! Mais cela va venir
J’enfourne la cibiche et prends une allumette
Il fait beaucoup trop chaud, je n’arrive à dormir

La flamme qui crépite emmène au loin tout ombre
Je tire une bouffée et je m’installe enfin
Dans le noir qui revient les démons sont en nombre
Par l’huis, la lune envoie un rayon argentin
Elle éclaire la chambre en la rendant moins sombre
Et dans cette lueur je vois son corps divin

L’envie ainsi me prends d’en faire une aquarelle
M’empare d’un crayon pour en faire un croquis
Sous ce rayon d’argent, elle apparaît si belle
Et le temps se suspend, par sa beauté, conquis
La main dessine alors sa grâce naturelle
Et sans regard lever de ce visage exquis
En tire un trait précis du cou jusqu’à l’aisselle

J’arrête un peu surpris, à l’ébauche d’un sein,
Par cette étrange aisance et un pli de courbure
Disparaissant sous draps et dont le bel écrin
Par un effet soudain éveille ma nature
Je me dois de freiner ce désir de câlin
Pendant que, doucement, descends la couverture

Dans toute sa beauté s’expose le tableau
De son merveilleux corps. Malgré sa retenue
Elle, pourtant pudique, au cœur de ce berceau,
Sans porter le flambeau, ma déesse dort nue.
Dans un suprême effort, je reprends le pinceau
Et continue ainsi la fresque convenue

La regarde dormir dessinant ses cheveux
D’un regard caressant j’en amorce la joue
Je peaufine amoureux le contour de ses yeux
Puis j’entame la bouche, authentique bijou,
Dont le troublant contact m’invite auprès des dieux
Goûter le doux nectar, d’un tendre roudoudou

Comme me rejoignant, en ce joli mirage
Par un secret murmure, ici, Belle se plaint
Se dessine un sourire éclairant son visage
Se peut-il qu’en songe, je sois ce séraphin
Qui l’enlace en dansant et sous lune fort sage
Lui fait ainsi l’amour du soir jusqu’au matin ?

L’image s’affranchit d’un fusain qui l’esquisse
D’une cambrure lisse au doux moelleux confort
Inestimable attrait de ma belle Anaïs
Qui joyeusement glisse en un charmant transport
D’un rêve dont le vœu, que jamais ne finisse
L’amour qui nous unit, est un souhait très fort

S’évade mon esprit sur un plan de garrigue
Plus de mille crickets nous saluent de leur chant
Je suis au paradis et j’entame une gigue
Des massifs de lavande embaument l’air ambiant
Et je danse ! Je danse à tomber de fatigue,
Ivre de joie immense, en son sein accueillant

S’égare mon regard sur un galbe de fesse
Une rondeur de sein que polit une main
S’activant au dessin que sa beauté professe
Du mollet au genou, de la cuisse au bassin
De le plus doux le tableau la caresse
De l’éclat lumineux d’un rayon opalin

Une ombre, sur le mur, vient contempler l’artiste
Puis se penche et s’immisce au creux de son dessin
Soigne la silhouette, en bon aquarelliste,
En retrace et reprend le beau contour d’un sein
Embellit le velours, tel un beau jeu de piste,
Donnant forme et volume au joli mannequin

J’observe le croquis, le compare à ma brune
Retouche un pli par ci, regonfle un trait par là
Orne d’un trait charbon le teint clair de sa prune
Le pinceau s’éternise et traîne à l’emploi
D’un ébat dans ses bras, d’une joie commune
Je me prends à rêver d’un doux et tendre émoi

Sur l’esquisse m’étends, gomme, trace et retrace
Et refais tous les traits comme en la caressant
À mes yeux amoureux, il ne trouve pas grâce
Ce tableau, rien qu’un nu, bien splendide pourtant
Le recouvre et reprends d’un regard qui l’enlace
Le dessin est fini depuis déjà longtemps

La regarder dormir sous les rayons de lune
Je ne me lasse pas d’ainsi la regarder
Et je profite alors de ma bonne fortune
Et j’en profite encore aussi pour en rêver
La regarder dormir quelle chance opportune
La regarder dormir et puis la dessiner



Idée originale et décor de caressedesyeux
© Versification et mise en page Hamilcar01[/color]
Mer 13 Juin 2012, 19:11 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

L'amour au clair de lune (reve) duo caressedesyeux/inconnu

Ce soir, il y a un magnifique clair de lune
Qui inonde la chambre de sa lueur argentée
Une claire obscurité, sur le corps de ma brune
S’étend telle une blanche couverture brodée
Pour mieux observer cette nocturne beauté
Je me lève doucement, sur la pointe des pieds
Et sans faire de bruit, je fais le tour du lit
Pour épier ton visage et l’ourlet de ta bouche
Sens-tu mon regard ou tu rêves et souris
Je contemple ce trésor qui dort dans ma couche

Et l’envie me prend de doucement le caresser
L’ébène de tes cheveux glisse entre mes doigts
J’embrasse et mordille le lobe de l’oreille
Tu soupires, j’ai peur que mon geste ne te réveille
Je remonte le drap que tu ne prennes froid
Je dépose un bisou sur chacun de tes yeux
Et un poutou mutin sur le bout de ton nez
Tes lèvres entrouvertes me rendent fiévreux
Elles sont une invite pour un baiser passionné
Il faut que je les évite ou mon plan sera gâché

Je caresse ta joue et descend dans le cou
Puis, sur ta gorge, j’ose, la langue, glisser
Goulument jusqu’entre tes beaux mamelons
Tes seins se redressent et durcissent les tétons
J’apprécie leur fermeté, leur rondeur, leur parfum
De cette belle peau d’ambre j’en hume les embruns
Je m’étends en tendres bisous sur ton joli ventre
Un baiser moelleux pour chaque grain de beauté
Je m’approche doucement de le plus tendre :
Un joli carré de belle toison, par ta jambe, caché

Splendeur de ta féminité, berceau de mes désirs
Je cajole l’entrejambe, tu soupires et t’étires
Libérant ainsi le doux objet de ma tentation
Je respire l’essence de ton bouton de rose
Le suce, l’agace et recommence l’action
Je bois à ta source cette liqueur onctueuse
Plus enivrante que le plus capiteux vin
Des doigts et de la langue, tes doux recoins
J’explore, tâte et caresse tout en douceur
Ta respiration s’accélère, tes reins se cambrent
Tu t’étends, te donnes, entière, avec ardeur
Tes gémissements emplissent la chambre

Puis, soudain, tu te redresses et m’empoignes
Et d’un fougueux baiser, tu te glisses sur moi
L’adorable amazone part en campagne
Chevauchant hardiment le corps de son roi
Je parcours des mains tes veloutés vallons
Tu en frissonnes et accélères tes mouvements
Je retiens ta croupe pour être au diapason
Ta bouche et ton regard deviennent brûlants
Nos corps tourmentés se mêlent de sueur
Nos lèvres s’écrasent et nos langues s’emmêlent
Je te sens raidir et retiens encore mon ardeur
Puis, dans un soupir de délice, nos sens s’apaisent

Tes yeux noisette pétillent de joie et de bonheur
Je t’embrasse passionnément et te regarde t’endormir
Te serre amoureusement, te caresse tendrement,
Mon amour, ma femme, mon rêve d’avenir
Jeu 29 Déc 2011, 11:18 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Combien j'ai besoin de toi

Je caresse souvent le rêve qu’on puisse se voir
Sortir de cet écran, ne serait-ce qu’une fois
Je sais que c’est un chimère, un fol espoir
Pourtant, tout au fond de moi, j’y crois
Te retrouver, pour calmer ce feu qui brûle en moi
Pouvoir te serrer tendrement dans mes bras
Pour humer ta peau juste au creux de ton cou
Et entrelacer mes doigts dans tes cheveux
Laisser la passion me guider comme un fou
Dont tu es ce grain de folie qui le rend heureux
Cette envie dévorante, qui crépite en moi
Et qui explosera au contact de ton corps
Je veux pouvoir t’aimer comme il se doit
Qu’importe l’heure ou le décor
Mes mains tremblent d’appétence
Mes larmes ne sont pas loin
Je souffre de ton absence
À mon réveil, le matin
Te voir ne m’est plus suffisant à apaiser ce cœur
Je sais que j’en verserai des larmes de bonheur
Pour un tout petit moment en ta compagnie
Combien tu peux me manquer, mon amie
Mes pensées s’acheminent constamment vers toi
Provoquant un raz-de-marée d’émotions et d’émoi
Créant cette merveilleuse et unique sensation
D’entendre le souffle chaud de ta respiration
De savourer cet inoubliable parfum
Qui émane de ta douce peau de satin
J’aspire avidement à embrasser ta jolie bouche
Passionnément, fougueusement, jusqu’à s’étouffer
Nous étendre, amoureux, dans la même couche
Et passer toute la nuit à tendrement s’aimer
Et tomber, épuisés, endormis dans nos bras...
Si tu savais, combien j’ai besoin de toi..
Ven 01 Avril 2011, 15:25 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Comme des enfants

Comme si j’avais vécu très longtemps, comme si j’avais 40ans, tu me fais sentir que je suis une enfantJe ressens cette merveilleuse sensation que j’ai oublié depuis mon enfanceJe suis heureuse en ce momentCe soir je m’endors en pensant à toi souriant paisiblementQuand on est ensemble et qu’on s’amuse comme des enfants, nos éclats de rires, nos petits sourires, nos regards qui se croisent, lubriques, pleins de désir et de fantasmes mais innocents, car quand on est ensemble on joue comme des enfants Tu me parles , tu me touches, je frisonne délicieusement et je ressens cette étrange sensation qui commence de mes orteils Remonte, me parcourt pour enfin me piquer le nez légèrement, Alors je souris comme un enfant , tout basPuis je te regard,e je te vois brillant, tu es si lumineuxAlors je me mordille les lèvres et je hoche ma tête comme pour dire nonCar je ne réalise pas ce qui ce passe et je ne prends pas le temps de réfléchir, je me laisse allerJe sais que je ne me lasserai pas car ça ne durera pas Je refléchis, je ne vois pas la vie comme si j’étais une enfantJe n’ai que 20 ans et c’est comme si j’avais vécu très longtempsJe te parle, je te raconte mes craintes, je me plains
Quand il pleut j’ai peur, comme une enfant On s’enlace, tu me prends dans tes brasTu me rassures comme si j’étais une enfant Tu me serres fort contre toi et voilà ce que je ressensCa commence de mes orteils, ça touche mon âme Mon visage s’illumine, je me sens belle comme un soleil et j’ai envie de te dire"Serre plus fort, prends ton temps, reste encore"Je ne suis pas une femme-enfant, mais dans tes bras je suis comme une enfantTes bras c’est le plus sûr,Prends ton temps , qu’on s’amuse comme des enfants...
BEAUDLAIRIENNE
Jeu 07 Oct 2010, 20:17 par assouma23 sur L'amour en vrac

La dame sur le banc, vue par l'écureuil

Je suis l’écureuil. Du haut de mon arbre, j’observe les allées et venues des êtres humains.

Par ce joli jour de printemps, je la vis approcher d’un pas assuré. Le soleil diffusait une lumière coquine laissant apparaître le galbe de ses cuisses sous sa robe légère. Les tâches de rousseur sur son visage ainsi que le cuivré de ses cheveux m’interpellèrent. Mes moustaches frémirent. J’osais descendre sur une branche plus basse. Le parc était vide.

Elle prit place sur le banc, un livre à la main. Ses yeux verts de jade parcouraient les phrases à un rythme soutenu. Je ressentais les battements de son coeur grâce à mes oreilles sensibles. Puis, sa respiration devint plus profonde. Sous son chemisier deux boutons naquirent à la pointe des seins. Sans quitter sa lecture des yeux, elle se déchaussa et posa les pieds dans l’herbe parfumée de l’après-midi. Ses ongles étaient laqués de mauve. Elle posa son livre, puis m’aperçut et m’offrit un sourire en me fixant droit dans les yeux. J’osais descendre au pied de l’arbre.

Elle s’adossa, ferma les yeux, ses mains blanches écartant légèrement le pan de sa robe. Sa main droite caressait sa cuisse, tandis que la gauche s’aventurait plus loin. Sentant le parfum enivrant de sa volupté, je m’approchais doucement et vis ses doigts fins se perdre dans son intimité rousse. Sa bouche était entr’ouverte, sa tête légèrement penchée en arrière, son souffle devenant intense. Arrivé à ses pieds, j’enveloppais de ma queue ses orteils, dont le mauve scintillait. Elle ne sursauta pas, s’agrippant à celle-ci. Je ressentais ainsi une formidable sensation de va-et-vient, lorsque tout-à-coup, une vague formidable se fît ressentir, partant de d’où je ne voulais plus repartir, remontant vers ses cuisses, envahissant son bassin. Elle respira profondément pour l’accueillir, retint son souffle. Sa tête partit vers l’arrière. La bouche ouverte, elle laissa échapper un râle muet pendant d’éternelles secondes. Elle se redressa. Ses yeux étaient plus clairs et me transperçaient de part en part.

Elle me caressa, son parfum intime me recouvrît le poil, me faisant perdre mes facultés d’écureuil, je remontais péniblement dans mon nid. Elle remit ses escarpins, sourit, reprit son livre et s’en alla.

Un jour seulement j’aurais aimé ne pas être un écureuil. Mais qui dit que vous, amis lecteurs, n’auriez pas souhaité en être un ?!
Dim 10 Jan 2010, 00:26 par Ecureuil sur Les liaisons sulfureuses

L'arbre

L’arbre n’a pas toujours choisi où il va pousser,
Il doit faire face à un tas de dangers sans pouvoir se déplacer, il est agressé de toute part, il ne peut même pas courber le dos,
Sa force il va la puiser à travers ces racines qui vont puiser l’énergie dans les profondeurs de la terre
Il grandit en tendant vers le ciel et se nourrissant de soleil et de pluie,
Il resplendi malgré ses branches sinueuses, courbes, tordues parfois, son feuillage lui donne son éclat et sa couleur
On vient pour l’admirer, s’appuyer contre lui, s’abriter, se reposer ou se ressourcer.........ou nous faire comprendre la vie !!!
Sam 07 Juin 2008, 20:23 par coupdecoeur sur Mille choses

Éternel Duo

Nous nous sommes Souvenus
Retrouvés et Reconnus encore
Je ne sais combien de fois déjà

Les siècles, les Océans, le Vent
La Tempête, la folie des Hommes
Entre nous se dressent puis s’effacent


Nous nous sommes déjà joués
Des dieux et de leurs guerres
Des Mers, de tous les Ouragans

Ici ou Ailleurs, en un autre Temps
Peu importe , l’époque
Nos Rêves toujours Renaissent


Et si demain le courant t’emporte
Je serai cette Sirène te guidant
Jusqu’à la Rive et jusqu’à moi

Et si tu sombres, si tu meurs
J’enverrai un Ange pour souffler
Sur Toi et te reprendre à la mort


Et l’Amour trouvera encore
Son Chemin dans ton Coeur
Comme autrefois te rendra Vie

Nos Rêves toujours survivent
Et ils le feront cette fois encore
Et autant de fois qu’il le faudra


Jusqu’à rejoindre cet Instant
Qui quelque part nous attend
Pour qu’Ensemble Nous vivions

Jusqu’à atteindre le Moment
Où Nous pourrons découvrir
Ensemble chaque Lendemain
Jeu 28 Juin 2007, 08:27 par Aeryn sur L'amour en vrac

Morphine [Yaoi]

4. Troisième fois, ton sang pour moi

Au file du parcours de l’aiguille dans le cadran du salon, Bill s’était endormit sur le torse de son jumeau. Celui-ci était parfaitement éveillé et regardait son petit frère tout en caressant doucement ses cheveux presque secs à présent. Il regardait son visage, si semblable au sien, ses grands yeux clos, ses lèvres légèrement entrouvertes et sa fine main sous sa joue. Il était si beau. Tom aurait pu le regarder comme ça toute la journée s’il le pouvait. Mais il fallait le réveiller. Il ne fallait pas perdre trop de temps. Les parents reviendront et ils ne seront plus seuls pour faire ce qu’ils désirent tant.
Alors, tout doucement, Tom mouilla sa main dans l’eau, devenue froide, et l’appliqua sur la frimousse de son petit frère. Celui-ci soupira en remuant légèrement sur le corps de Tom. Bill souriait, réveillé mais les paupières toujours closes. Il chercha à tâtons, d’une main, les lèvres de son grand frère. Quand il les trouva, il passa plusieurs fois son doigt dessus, puis pénétra dans l’humidité, caressant l’intérieur des joues de Tom, puis sa langue. Puis il retira son doigt et le suça. Il souriait d’un sourire sincère.
Il se redressa un peu, pour mieux remonter vers le visage de Tom. Il s’appuya sur les rebords, de façon à être exclament au dessus de lui, ses lèvres au dessus des siennes. Il les déposa sur celles de Tom en se laissant tomber sur lui, emmêlant ses doigts dans ses cheveux. Tom, lui, caressait son dos, descendant petit à petit vers ses fesses. Il jouait avec le piercing de la langue du petit frère.
Enfin, ils s’arrêtèrent, le temps avançait. La moitié de la journée n’était déjà qu’un souvenir. Ils se séchèrent mutuellement. Tom coiffa Bill, car il aimait être coiffé. Puis ils redescendirent, toujours nus, dans le salon. Bill alla chercher le couteau dans la cuisine. Tom attendait sagement sur le ventre dans le canapé, les jambes relevé, la tête soutenu par ses bras. L’androgyne revînt et s’assit sur le bas du dos de son frère, le couteau en main. Il savait que maintenant c’était Tom qui avait un peu peur. Bill le caressa pour le mettre en confiance, puis il commença.
Non loin de l’épaule droite, il enfonça sur deux à trois millimètres la pointe acérée du couteau. Puis, doucement, il découpa un tout petit bout de peau, de la forme d’un carré. Il le retira et le garda dans sa main. Puis il se pencha sur Tom, qui ne bronchait pas, et passa sa langue sur scarifié, puis il aspira. C’était un peu sucré, le sang, un peu amer. Mais c’était celui de Tom, c’était le même que le sien. Il laissa Tom se retourner sous lui, pour se mettre sur le dos. Bill lui fit ouvrire la bouche et y mit le petit bout de peau. Tom l’avala sans rien dire, puis réclama un baiser de son petit frère. Bill exauça son souhait. Puis il frotta un peu son sexe sur celui de son frère dans de petits mouvements de bassin. La chaleur montait au fur et à mesure que l’aiguille avançait vers le moment dernier. Mais ils iraient jusqu’au bout, ils termineraient avant que l’aiguille ne s’arrête pour eux. Mais seul Bill savait cela.
Le troisième rituel étant terminer, il fallait terminer par l’autre partie du premier. La dernière partie de leur aventure.
Sam 24 Mars 2007, 14:13 par Lyra sur Les liaisons sulfureuses

Aguichante opale brune

Un miroir sibylin m’a présenté l’existence d’un chaleureux regard doré, bordé de rivages lointains, au centre de l’éblouissement d’une nuit qui irradiait parmi les astéries.
Je n’ose qu’effleurer d’envies, ce consept,
cette réalité subliminale, cette aphorisme idyllique,
pour préserver cette incandescence moirée à de mon horizon.
Ses yeux inondent le ciel de mes facultés,
m’enferment dans le désir d’une union insécable.
Aucune image ne saurait décrire la déchirure que provoque
l’étincelle du firmament au paysage de ses pensés.
Je ferai en sorte que le souffle de mes mots vienne troubler ses idées.
Chaque passage de lune est un poème qui n’a d’autre raison d’exister
que d’être, le matin, déposé à ses pieds.
Mon humble existence est caressée par les moments, troublants, de ta présence.
Je voudrais te confier mon âme cachée dans l’étendue de ce miroir langoureux
Mais serai-je suffisamment forte pour rendre heureux, ce prince, cet homme qui en demande tant ?
Mes émois s’illuminent au contact de son sourire.
La raison n’est plus en moi, je ne dors plus du tout, il est mon rêve éveillé...
L’insondable puit de la mélancolie est rempli de joie,
depuis qu’il a croisé mes pas.
Il incarne le mot " amour" pour toujours.
Il est l’essence de la vie,
il n’est que pour moi.
Et maintenant, je l’ai perdu, pour toujours



joullia
Sam 30 Déc 2006, 22:29 par joullia sur Parler d'amour
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Ecrire sur l’endroit

Ecrire sur l’endroit Rouge-bouteille, L'amour au clair de lune ( caressedesyeux/ hami), Notre amour est t-il un crime ?, La biche et moi (ecrit au masculin re-travaillé), Une belle soirée, Rêves érotiques de demoiselle sieste, Dessin d'elle (duo), L'amour au clair de lune (reve) duo caressedesyeux/inconnu, Combien j'ai besoin de toi, Comme des enfants, La dame sur le banc, vue par l'écureuil, L'arbre, Éternel Duo, Morphine [Yaoi], Aguichante opale brune,
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