Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur jusqu’à - Page 19 sur 19
J'irai au bout de ce rêve - Partie 2
Je me dirige alors vers une une lourde porte en bois précieux. Quelques ferronneries anciennes lui donnent l’aspect de l’entrée de ces hôtels particuliers que l’on découvre parfois au hasard de promenades insouciantes dans Paris. Tout ici dégage d’ailleurs une impression de luxe ordonné, chaud et parfumé… accueillant en somme. Pas ce luxe ostentatoire dont raffolent parfois les gens qui gagnent trop d’argent.
Dans le même mouvement je frappe et j’entre dans le bureau. Une femme d’environ 35 ans s’approche de moi et me tend la main :
-« Bonjour Monsieur L….., Sandrine Myriam, enchantée de vous rencontrer ! »
-« Tout le plaisir est pour moi, merci de m’accueillir dans vos bureaux »
La pièce est vaste et lumineuse. Le mobilier plutôt moderne et sobre. Une bibliothèque bourrée de livres égaye un pan de mur. Une toile colorée et géométrique apporte une petite touche de fantaisie à l’ensemble. Au sol, une épaisse moquette gris souris donne l’impression enivrante de marcher sur des nuages.
Après quelques échanges de politesse je suis invité à m’asseoir dans un fauteuil confortable. Elle s’installe en face de moi, de l’autre côté de son bureau, dans un fauteuil identique au mien. Je remarque ce détail car souvent les gens qui veulent se donner trop d’importance se permettent un fauteuil surdimensionné et luxueux, laissant à leurs invités de vulgaires chaises défraîchies.
Ainsi installé, je peux alors m’attarder sur son visage. Et si jusqu’à présent je considérais cette affaire comme une corvée, la beauté de ma future collaboratrice me fit comprendre que la lourdeur prévue du travail serait beaucoup plus agréable à supporter.
Des cheveux couleur charbon tombant sur ses épaules encadrent des yeux en amandes d’une noirceur tout aussi profonde. Ceci lui donne un air assez strict malgré une bouche gourmande et des fossettes rieuses.
L’importance de l’affaire en cours me fit vite oublier cette délicieuse impression, et nous commençâmes notre travail selon l’agenda pré-établi quelques semaines auparavant par téléphone.
Je devais tout d’abord lui présenter les aspects les plus techniques du dossier, pour lui faire découvrir les fondements de l’affaire et les rudiments d’un domaine qu’elle ne maîtrisait pas.
Un écran était prévu à cet effet dans un coin du bureau. Je pouvais y faire défiler la présentation que j’avais soigneusement préparé sur mon ordinateur portable. Je me levais pour détailler mes propos et insister sur les points importants. Elle était restée à son bureau, attentive, prenant même quelques notes sur un petit carnet. Avec sérieux et application, je poursuivais mon discours, bien décidé à démarrer cette affaire tambour battant. Seul le regard de mon unique spectatrice me perturbait. Ses yeux semblaient s’arrêter de temps à autre sur moi, ou devrais-je dire sur certaines parties de mon corps qu’elle examinait avec délectation. Je me disais que tout ça n’était que le fruit de mon imagination, ce qui provoqua chez moi un sourire intérieur. Je n’étais que plus détendu malgré l’importance du moment. J’allais même jusqu’à soupçonner Madame Myriam de noter sur son carnet des commentaires sur mes yeux ou mes fesses au lieu de se concentrer sur l’écran.
Ma présentation terminée, après qu’elle m’eut posé quelques questions sur un vocabulaire un peu obscur pour elle, nous échangeâmes alors les rôles. Je repris ma place alors qu’elle se leva pour se placer à gauche de l’écran et démarrer sa présentation.
Elle n’était pas très grande, 1m65 tout au plus, mais dégageait pourtant une classe et une assurance indéniable. Elle était vêtue d’un pantalon et d’un pull noir, ce qui avec ses cheveux lui donnait un côté très sombre. L’ensemble mettait néanmoins en valeur une étole de soie rose orangé, élégamment enroulée autour de son cou.
De mon côté, ne maîtrisant en rien le langage juridique j’essayais de me concentrer sur ses explications. Mais mon attention s’attardait surtout sur des détails beaucoup moins sérieux. Là, son pull légèrement serré qui laissait deviner une poitrine mesurée mais ferme. Ou encore ses mains, fines et sans sophistication, les ongles subtilement recouverts d’un vernis translucide.
Le moment passa très vite bien qu’ayant duré presque une heure. J’attendis qu’elle reprenne sa place sur son siège pour lui poser quelques questions. Elle me répondit clairement bien que paraissant un peu lasse. Cela faisait deux heures maintenant que nous avions commencé à travailler. Un léger silence suivit.
Dans le même mouvement je frappe et j’entre dans le bureau. Une femme d’environ 35 ans s’approche de moi et me tend la main :
-« Bonjour Monsieur L….., Sandrine Myriam, enchantée de vous rencontrer ! »
-« Tout le plaisir est pour moi, merci de m’accueillir dans vos bureaux »
La pièce est vaste et lumineuse. Le mobilier plutôt moderne et sobre. Une bibliothèque bourrée de livres égaye un pan de mur. Une toile colorée et géométrique apporte une petite touche de fantaisie à l’ensemble. Au sol, une épaisse moquette gris souris donne l’impression enivrante de marcher sur des nuages.
Après quelques échanges de politesse je suis invité à m’asseoir dans un fauteuil confortable. Elle s’installe en face de moi, de l’autre côté de son bureau, dans un fauteuil identique au mien. Je remarque ce détail car souvent les gens qui veulent se donner trop d’importance se permettent un fauteuil surdimensionné et luxueux, laissant à leurs invités de vulgaires chaises défraîchies.
Ainsi installé, je peux alors m’attarder sur son visage. Et si jusqu’à présent je considérais cette affaire comme une corvée, la beauté de ma future collaboratrice me fit comprendre que la lourdeur prévue du travail serait beaucoup plus agréable à supporter.
Des cheveux couleur charbon tombant sur ses épaules encadrent des yeux en amandes d’une noirceur tout aussi profonde. Ceci lui donne un air assez strict malgré une bouche gourmande et des fossettes rieuses.
L’importance de l’affaire en cours me fit vite oublier cette délicieuse impression, et nous commençâmes notre travail selon l’agenda pré-établi quelques semaines auparavant par téléphone.
Je devais tout d’abord lui présenter les aspects les plus techniques du dossier, pour lui faire découvrir les fondements de l’affaire et les rudiments d’un domaine qu’elle ne maîtrisait pas.
Un écran était prévu à cet effet dans un coin du bureau. Je pouvais y faire défiler la présentation que j’avais soigneusement préparé sur mon ordinateur portable. Je me levais pour détailler mes propos et insister sur les points importants. Elle était restée à son bureau, attentive, prenant même quelques notes sur un petit carnet. Avec sérieux et application, je poursuivais mon discours, bien décidé à démarrer cette affaire tambour battant. Seul le regard de mon unique spectatrice me perturbait. Ses yeux semblaient s’arrêter de temps à autre sur moi, ou devrais-je dire sur certaines parties de mon corps qu’elle examinait avec délectation. Je me disais que tout ça n’était que le fruit de mon imagination, ce qui provoqua chez moi un sourire intérieur. Je n’étais que plus détendu malgré l’importance du moment. J’allais même jusqu’à soupçonner Madame Myriam de noter sur son carnet des commentaires sur mes yeux ou mes fesses au lieu de se concentrer sur l’écran.
Ma présentation terminée, après qu’elle m’eut posé quelques questions sur un vocabulaire un peu obscur pour elle, nous échangeâmes alors les rôles. Je repris ma place alors qu’elle se leva pour se placer à gauche de l’écran et démarrer sa présentation.
Elle n’était pas très grande, 1m65 tout au plus, mais dégageait pourtant une classe et une assurance indéniable. Elle était vêtue d’un pantalon et d’un pull noir, ce qui avec ses cheveux lui donnait un côté très sombre. L’ensemble mettait néanmoins en valeur une étole de soie rose orangé, élégamment enroulée autour de son cou.
De mon côté, ne maîtrisant en rien le langage juridique j’essayais de me concentrer sur ses explications. Mais mon attention s’attardait surtout sur des détails beaucoup moins sérieux. Là, son pull légèrement serré qui laissait deviner une poitrine mesurée mais ferme. Ou encore ses mains, fines et sans sophistication, les ongles subtilement recouverts d’un vernis translucide.
Le moment passa très vite bien qu’ayant duré presque une heure. J’attendis qu’elle reprenne sa place sur son siège pour lui poser quelques questions. Elle me répondit clairement bien que paraissant un peu lasse. Cela faisait deux heures maintenant que nous avions commencé à travailler. Un léger silence suivit.
Mar 13 Jan 2004, 22:27 par
la_tulipe_noire sur Les liaisons sulfureuses
à Christine et Marie...suite
Dans les semaines qui ont suivi, je n’ai plus pensé qu’à lui, j’aurais voulu le voir tous les jours (ce qu’on a fait d’ailleurs) et...euh... même pas de crac-crac (ouiiiiiiii, j’ai osé ne pas faire ça aussi !!!!), j’étais bien trop intimidée et je voulais que ça se fasse au bon moment au bon endroit. Surtout ne rien brusquer, profiter à fond de la découverte de ce sentiment totalement inconnu qu’est... l’amour ??
Jusqu’à ce fameux soir, une soirée entre amis, il est tard, il me propose de dormir chez lui pour "gagner du temps", juste le temps de remettre mon coeur dans ma poitrine et j’arrive à peine à souffler un "voui, si tu veux" d’un air que j’espère désabusé.
Je vous passerai les détails, mais c’est ce soir-là que Marie a été conçue et tout s’est enchaîné très vite. Nous étions bien évidemment sortis "couverts" (quoique bien éméchés) et lorsque je me suis mise à avoir mal à la poitrine et à trouver mon corps bizarre, j’ai ricané à la face de mes amies qui étaient convaincues que j’étais enceinte (qui ça, MOAAAA ? Impossible !) Un petit test plus tard (qui m’a valu une chute tant la surprise était grande), et un coup de fil à ma moman (bah oui, même au milieu de la nuit, elle était la première personne à devoir l’apprendre, non ?!), et les questions se sont mises à déferler... comment lui dire ? que faire ? Je ne suis pas programmée pour être une mère, moi !!!
Jusqu’à ce fameux soir, une soirée entre amis, il est tard, il me propose de dormir chez lui pour "gagner du temps", juste le temps de remettre mon coeur dans ma poitrine et j’arrive à peine à souffler un "voui, si tu veux" d’un air que j’espère désabusé.
Je vous passerai les détails, mais c’est ce soir-là que Marie a été conçue et tout s’est enchaîné très vite. Nous étions bien évidemment sortis "couverts" (quoique bien éméchés) et lorsque je me suis mise à avoir mal à la poitrine et à trouver mon corps bizarre, j’ai ricané à la face de mes amies qui étaient convaincues que j’étais enceinte (qui ça, MOAAAA ? Impossible !) Un petit test plus tard (qui m’a valu une chute tant la surprise était grande), et un coup de fil à ma moman (bah oui, même au milieu de la nuit, elle était la première personne à devoir l’apprendre, non ?!), et les questions se sont mises à déferler... comment lui dire ? que faire ? Je ne suis pas programmée pour être une mère, moi !!!
Mar 13 Jan 2004, 14:15 par
la_tulipe_noire sur Amour internet
Celle ou je t'ai quittée
La première fois ou je t’ai quittée, j’aurais voulu ne pas la vivre.
Non pas parce que j’aurais aimé rester avec toi, car par la même ce serait une injure que je ferais à celles que j’ai aimées après toi, mais plutôt pour ne pas me souvenir aujourd’hui et probablement encore au moment de mon dernier soupir, à quel point ce fut pénible et à quel point j’ai pu souffrir. Inutilement en plus, mais l’age de la première fois ne rime pas du tout avec l’age de la raison, et c’est pour ça que ce fut bon.
Amertume, tristesse, déception, rancoeur, haine, que de troubles sentiments, rangés en bordel serré ont fait irruption à l’insu de mon plein gré dans une vie qui semblait pépère jusqu’à ce moment horrible ou je comprenais que tu partais. Noblesse d’âme, panache et tout le toutim, j’ai refusé de t’affubler de tout les noms d’oiseaux pour équilibrer mon confort émotionnel, comme on dit, j’en ai donc pris pour plus longtemps, à rester dans mon enfer carcéral, mais j’en suis ressorti la tête haute (merci à celle qui à ma sortie de prison et m’a redonné une vision attirante de la femme, j’en ferais un post rien que pour toi bébé, promis !)
Aujourd’hui, parfois, comme maintenant, je pense à toi. Tu es sur le podium, aucune autre qui ne me quittera ou que je quitterai ne me fera autant souffrir que ce que j’ai pu souffrir avec toi. Je te garde dans ma mémoire et dans mon coeur comme un moment inoubliable et complet de ma vie.
Non pas parce que j’aurais aimé rester avec toi, car par la même ce serait une injure que je ferais à celles que j’ai aimées après toi, mais plutôt pour ne pas me souvenir aujourd’hui et probablement encore au moment de mon dernier soupir, à quel point ce fut pénible et à quel point j’ai pu souffrir. Inutilement en plus, mais l’age de la première fois ne rime pas du tout avec l’age de la raison, et c’est pour ça que ce fut bon.
Amertume, tristesse, déception, rancoeur, haine, que de troubles sentiments, rangés en bordel serré ont fait irruption à l’insu de mon plein gré dans une vie qui semblait pépère jusqu’à ce moment horrible ou je comprenais que tu partais. Noblesse d’âme, panache et tout le toutim, j’ai refusé de t’affubler de tout les noms d’oiseaux pour équilibrer mon confort émotionnel, comme on dit, j’en ai donc pris pour plus longtemps, à rester dans mon enfer carcéral, mais j’en suis ressorti la tête haute (merci à celle qui à ma sortie de prison et m’a redonné une vision attirante de la femme, j’en ferais un post rien que pour toi bébé, promis !)
Aujourd’hui, parfois, comme maintenant, je pense à toi. Tu es sur le podium, aucune autre qui ne me quittera ou que je quitterai ne me fera autant souffrir que ce que j’ai pu souffrir avec toi. Je te garde dans ma mémoire et dans mon coeur comme un moment inoubliable et complet de ma vie.
Sam 29 Nov 2003, 18:44 par
PetitPrince sur La première fois
Massage culinaire
Quel plaisir de mêler les plaisirs de la chair à ceux de la... chair...
La douceur sucrée et juteuse des fruits, la saveur épicée des plats exotiques, la sensualité des crèmes et des mousses...
Quelques bougies éparses, projetant une lumière dansante et tamisée, la chaleur d’un feu de bois, mêlés à des parfums enivrants de vanille, de coco et de jasmin, des coussins moelleux et colorés, la table est mise.
Allongés au milieu de ce décor, deux tendres amoureux, rêvant d’amour, dissertant sur le monde, se projetant dans l’avenir. Une petite faim, après avoir dévoré déjà l’autre plus d’une fois. L’occasion de partager quelques mets si plaisants sur la langue....
Un morceau d’ananas ou de pêche qui glisse entre les lèvres et y dépose un jus à récolter du bout de la langue.
Un morceau de chocolat qui fond légèrement autour du nombril... à déguster sur le ventre...
Un fin filet de vin blanc sucré qui dégringole le long des seins, à boire d’urgence...
Une cueillerée de glace au citron à partager d’une seule langue...
Des pousses de bambou à grignotter par les deux bouts, jusqu’à la collision des lèvres...
Et comme dessert, un sillon de crème chantilly qui parcourt le corps jusqu’aux vallées les plus intimes de son partenaire...
La Marquise... Maïté d’occasion...
La douceur sucrée et juteuse des fruits, la saveur épicée des plats exotiques, la sensualité des crèmes et des mousses...
Quelques bougies éparses, projetant une lumière dansante et tamisée, la chaleur d’un feu de bois, mêlés à des parfums enivrants de vanille, de coco et de jasmin, des coussins moelleux et colorés, la table est mise.
Allongés au milieu de ce décor, deux tendres amoureux, rêvant d’amour, dissertant sur le monde, se projetant dans l’avenir. Une petite faim, après avoir dévoré déjà l’autre plus d’une fois. L’occasion de partager quelques mets si plaisants sur la langue....
Un morceau d’ananas ou de pêche qui glisse entre les lèvres et y dépose un jus à récolter du bout de la langue.
Un morceau de chocolat qui fond légèrement autour du nombril... à déguster sur le ventre...
Un fin filet de vin blanc sucré qui dégringole le long des seins, à boire d’urgence...
Une cueillerée de glace au citron à partager d’une seule langue...
Des pousses de bambou à grignotter par les deux bouts, jusqu’à la collision des lèvres...
Et comme dessert, un sillon de crème chantilly qui parcourt le corps jusqu’aux vallées les plus intimes de son partenaire...
La Marquise... Maïté d’occasion...
Ven 07 Nov 2003, 17:56 par
la marquise de sade sur Le grimoire d'amour
Re: le premier amour!!!!!!!!!
odyyyyy a écrit: |
le premier amour!!!!!!!!!! Qui ne s’en souvient pas???? Il est venu un beau jour, à grand pas frapper notre coeur et nous a offert notre premier bonheur. Le premier baiser!!!! Sensation inoublible qui nous a laissé le souvenir inestimable du garçon qui nous l’a donné!!!!!!!! |
Ben moi mon premier baiser ... pfffffff! Dans des circonstances abracadabrantes!! Je m’en vais vous le narrer ...
Il était une fois, dans un pays lointain, ... arfff ! je me trompe d’histoire!
Donc, ce premier baiser .. un petit blondinet, pas très grand, mais plus que moi quand même.. pas très grand, mais je me dois quand même de vous préciser qu’il n’était pas très vieux non plus ... 4ans .. et demi !!!!
L’angelot n’était pourtant pas des plus sages! Il avait décidé de mener la guerre aux filles, et pour ce faire, il nous poursuivait inlassablement dans la cours d’école, tentant de nous tirer les couettes ... (si si, j’ai un jour ressembler à Laura Ingall’s ! arf ! honte sur moi!!! :cry: ) Un matin, il s’en prit à ma meilleure amie.. la coupe était pleine ! n’écoutant que mon courage, je décidai une bonne fois pour toutes de mettre fin à cette atroce persécution et me dirigeai d’un pas décidé vers l’ennemi. Malheureusement le temps sec et ensoleillé de mon beau pays, avait une fois de plus rendu la cours de récréation et l’herbe humide, devant mon avancée précipitée, le malotru prit peur, fit quelques pas sur le côté, glissa sur une feuille morte (car j’ai omis de préciser que mon histoire se déroule en automne... ) et bascula sur un arbre posté , dieu seul sait pourquoi, juste au niveau de sa tête !!!!
Trois points de suture, une récréation passée au coin et un couché à 19h ne présageaient aucune histoire tendre ..et pourtant...
Quelques jours après, prise de remord et lui un peu étonné d’avoir eu enfin une représentante du sexe "faible" qui lui résistait ( mon coté MLF est un peu envahissant à certain moment, je l’admets ) on se rapprocha peu à peu.. jusqu’à ce qu’il devienne, mon petit n’amoureux... le premier baiser mit un peu de temps à venir, je ne compte pas ceux échangés sur la joue ou le front qui nous valurent les colibets de toute l’école et mes plus belles montées de rouge aux joues, mais le vrai baiser, celui où les lèvres se frolent, où à peine échangé, on rit comme un gosse de 6ans! C’est d’ailleurs l’âge que nous avions!
La marquise de Sade, protectrice des fillettes harcelées dans les cours d’école ...
Mar 04 Nov 2003, 17:04 par
la marquise de sade sur La première fois
Ecrire sur jusqu’à
J'irai au bout de ce rêve - Partie 2, à Christine et Marie...suite, Celle ou je t'ai quittée, Massage culinaire, Re: le premier amour!!!!!!!!!,Il y a 275 textes utilisant le mot jusqu’à. Ces pages présentent les textes correspondant.
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