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L'amour est-il un crime ? chapitre 3
Coucou, merci à toi inlove pour ton commentaire ^^ donc voici le chapitre 3, bonne lecture.
Chapitre 3 : Attirance et amour
Point de vue Narrateur.
Depuis l’accident de Michiru 1 mois venais de s’écouler, nous sommes au mois d’octobre mois ou l’été s’estompte et laisse place à l’automne saison ou les feuille multicolor virevolte au gré du vent. Aujourd’hui c’est mercredi, et tout les élèves trépigne d’impatience à ce que midi arrive.
Haruka – bon alors est ce que quelqu’un peut me dire quel est le coeficient de ce tableau ?
Bien sûr le professeur savait parfaitement que personne hormis sa petite protégée allait répondre.
Haruka – bon … Puisque personne na l’air de vouloir répondre , je peux en prendre quelque uns pour rester avec moi cet après-midi !
Elève – pff et à quoi cela vous servirez ?
Haruka -déjà à t’apprendre à mieux parler à un professeur jeune fille … Et puisque tu semble vouloir prendre la parole, peut tu répondre à ma question ?
Haruka d’un air sévère, se dirige vers la table de son élève et les sourcils froncés elle déclare :
Haruka – alors, mademoiselle Jolie, j’attend votre réponse !
Jolie – vous n’avais cas demander à cette petite trainé au cheveux bleu !
La s’en fut trop, la jeune femme claque violemment ses mains sur la table de Jolie, et dit d’un ton sec :
Haruka – bon sa suffit !!! j’en est plus qu’assez de tes propos, maintenant tu prend tes affaires et tu file chez le directeur, et tu restera avec moi en salle de retenue cette après-midi !
Jolie – mais …
Haruka – il n’y a pas de mais, quand je donne un ordre il faut qu’il soit exécuté !
Plusieurs soufflements se fait entendre de mademoiselle Jolie qui prit ses affaires et fila rouge de honte vers la sortie.
Haruka – maintenant que j’en surprêne un seul à faire des réflexions et ce sera le même sort compris ?
Tous – oui professeur !!!!
Michiru se met discrètement à sourire, eh bien c’est que Haruka a beaucoup de caractère pense la jeune fille en écrivant son cour. Puis viens enfin l’heure tant attendue des élèves, midi. Chacun se hâte à ranger ses affaires et de sortir aussitôt de la sale de cour. Seul Michiru resté en retrait en prenant tout son temps pour ranger ses affaires.
La jeune femme blonde efface le tableau et se met à soupirer d’ennui. Se qui fit rire sa jeune élève qui venais de mettre son sac sur l’épaule et descend doucement chaque marche avec ses béquilles.
En effet depuis son accident Michiru avait reçu pour ordre d’être mis sous béquille et ceci jusqu’à la guérison total de sa hanche droite qui avait reçu un choc et donc lui avait valut six points de sutures.
Michiru – rappel moi de ne jamais te mettre en colère !
Dit elle en riant. Haruka eu un petit sourire, elle prend ses affaires et dit en se dirigeant vers la sortie :
Haruka – je te fait peur à ce point ? Se met aussi à rire
Michiru – tu as tout de même une forte voix … Donc je préfère éviter.
Elle s’échangent un doux sourire ainsi qu’un petit regard amoureux, et c’est avec le cœur léger qu’elles entament toutes les deux leur marche à travers le couloir.
Michiru – dis … Tu vas vraiment rester ici cet après-midi ?
Haruka – oui, et puis il serait tant que je donne une petite correction à cette fille qui commence sérieusement à m’énerver.
Michiru – bon, ok !
Haruka – mais ne t’inquiète pas, je serait de retour à la maison dès qu’elle aura l’obligeance de venir s’excuser.
Michiru – ok, bah moi vue que je suis dispensé de sport cette année, je vais rester à la maison et peut être commencer à faire mes devoirs comme sa je serait tranquille toute la journée !
Haruka- sage dessision.
Toute deux se sourirent, puis arrivé à l’entrée du couloir, la jeune femme blonde se penche et vint tendrement embrasser le front de Michiru qui se sentait mourir par ses gestes de tendresse. Elle lui embrasse tendrement la joue, et parti direction les casiers des filles afin de poser ses affaires.
PDV Michiru.
Après avoir quittée la salle de cour, je me suis directement dirigé vers les casier afin d’y déposer mes affaires. Tout en marchant mes cahiers à la main je ne cesser de penser à Haruka. Cette si belle femme blonde aux charmes masculin faisait fondre mon cœur, même si ce que nous faisons est interdit je suis si heureuse de l’avoir à mes côtés et pas que en tant que professeur non, surtout en tant que la femme que j’aime et désir plus que quiconque. Soudain mon portable se met à vibrer, étonné je sort ce dernier de ma poche et consulte l’appareil.
C’était un message … D’Haruka, je me met à sourire bêtement, comme une fille qui reçoit un sms du plus beau garçon du campus. Sauf que moi c’est de loin être le plus beau play boy non non … Moi c’est beaucoup mieux, puisqu’il s’agit de la femme que j’aime. Sans perdre un instant j’ouvre ma messagerie et vint lire le message :
« Fais attention quand tu rentres »
je reste plusieurs minutes à relir le message, un petit sourire en coin, vraiment elle est adorable peut être plus vieille que moi mais elle est vraiment la femme parfaite à mes yeux, depuis mon premier jour dans ce lycée et même quand mon accident est venue subitement elle a était la première à être la, elle ne ma pas juger non elle ma accepté tel que je suis et c’est bien sa qui me rend le plus heureuse.
Je décide donc de lui répondre.
« et toi fait attention de ne pas sortir tes crocs lol ! Oui ne t’inquiète pas dès que je suis arrivé je t’envoie un sms »
et je lui envoya. Je ferme mon casier à l’aide du cadenas et parti manger. Après une attente interminable, je réussi à entrer dans le refectoire, et Cléo une fille supère gentil qui m’aide de tant à autre depuis mon accident me porte le plateau, elle mangea même avec moi.
Cléo – alors Michi sa va mieux ?
Moi – bof, j’ai encore des douleurs au niveau de la hanche, et sa s’arrange pas avec le traitement que je suis qui est tout bonnement imonde.
Cléo – ah ah ma pauvre.
Moi – et toi sinon ça va ?
Cléo – bah comme d’hab quoi Emma qui me pourri l’existance avec ses vues sur le professeur Tenoh.
Qu … Quoi ?? cette petite ingrate est amoureuse de … Haruka ? Même si je sais que cela est impossible j’eu vraiment mal au cœur, je n’aie aucune envie de perdre cette si jolie blonde qui est la cause de mes battements violent de mon cœur, qui est la cause de tout ses petit sourire innocant ou chargé de sous entendu, non il est absolument hors de question que je lui laisse je l’aime sincèrement même si je ne lui jamais dit j’en suis éperdument amoureuse et ferais tout pour la voir sourire, rire et heureuse.
Moi – bah viens en cours, et tu verra que c’est pas l’amour fou !
Cléo – je veux bien te croire, je connais Emma depuis l’enfance et je c’est qu’elle est prête à tout pour obtenir se qu’elle veux. Enfin bon personne ne pourra la changer !
Moi - sa c’est sur.
Cléo – et sinon toi les amours sa rool ?
À cette question, je me met violemment à rougir, je prend mon verre, et le porte à ma bouche afin d’éviter d’y répondre.
Cléo – alors es ce qu’il y a un beau garçon qui t’interesse.
Moi – si je te le dis, tu promet de garder sa pour toi de ne le dire à personne, et de ne pas me juger ?
Cléo – houa c’est tout de même pas une affaire d’état rassure moi ?
Moi – non non … Enfin, il y a bien quelqu’un qui m’interesse et très fortement !
Cléo – ah … Que c’est beau l’amour, alors dis moi c’est qui c’est qui c’est qui ?
Moi – je suis très amoureuse du professeur Tenoh.
À sa tête, je remarque la surprise ainsi que la décomposition. Avais-je bien fait de lui dire ?
Cléo – quoi ? Mais tu c’est que c’est interdit !
Moi – merci de me faire redescendre sur terre.
Cléo – oups désolé, c’est juste que sa ma surprise sur le moment, mais sérieux tu aimes c’te prof ?
Moi – oui, j’en suis même éperdument amoureuse.
Elle ne dis rien, juste à me lancer plusieurs regards surpris et intérogateur. A la fin de mon repas, Cléo m’aida à porter mon plateau, en passant dans l’allé central j’eu droit à des sifflements et cela m’irriter. Une fois dehors, je me tourne vers mon ami et lui dit :
Moi – bon je rentre à demain !
Cléo – oui à demain Michi !!
on s’échangent un rapide sourire, et je parti chercher mes affaires afin de rentré pour de bon à la maison. J’ouvre mon casier, prend mon sac, le met sur mon épaule, referme la petite porte à clé, et parti direction la sortie du lycée.
Ah … Sérieusement je me demande comment va se passer cette année, en plus dans pas très longtemps je serait majeur et vacciné, se qui veux dire que même en dehors des cours je pourrais enfin être librement avec elle. Après quelques minutes de trajet à pied du moins en béquilles, je sort une petite clé argenter de mon sac, l’infiltre dans la serrure tourne trois fois vers la droite, et rentra enfin à l’intérieur.
Comme je ne pouvais pas monter à l’étage, je pose mon sac de cour à côté de la table basse du salon et allai prendre place sur un des poufs qui trônais dans la pièce.
En y repensant, j’ai promis à Haruka de lui envoyer un sms lui disant que j’étais enfin rentré. Je prend mon cellulaire, et d’une main vif je tapote sur le clavier, et lui envoya.
En attendant, je déboutonne ma veste et la retire me retrouvant en chemisier blanc. Je retire l’élastique de mes cheveux, et donne trois petit coups de tête vers la droite puis la gauche, je prend mon sac sort mes cahiers, met en place mes petites lunettes rectangulaire noir et commence par réviser mon français. Matière ou je ne suis pas sous les feux des projecteurs.
Pff j’y comprend absolument rien, je préfère largement un cours de math qu’un cour de français, je n’aie jamais était brillante dans cette matière, en plus je dois travailler sur un exposé qui à pour thème la liberté d’expression concernant les relations entre deux hommes ou deux femmes, j’ai le choix mais bon, je n’aie jamais ressenti ce genre de chose et sa s’avère être plus compliquer que prévue.
Vite que Haruka revienne de la retenu de cette peste, rah cella-là si j’avais assez de courage je lui dirais ses quatre vérité croyez moi. Bon aller assez traîner, je vais faire un peu de nettoyage, je lui dois bien sa après tout. Je ferme mon cahier avec bonheur et je m’attaquerais ensuite par la langue vivante.
Je commence à ramasser quelques vêtements qui jonche le sol par ci par là. Je les conduit en machine à laver, jette un œil à l’étiquetage, et commence à remplir la machine. Après avoir mis cette dernière en route je me dirige vers la cuisine en essayant de ne pas forcer sur ma hanche car je n’aie pas prit mes béquilles. Je commence à mettre la vaisselle sale dans le lave vaisselle, et range les quelques magasine et livre de cuisine à leurs place. Je retourne dans le salon et alla ouvrir la fenêtre tout en fermant à moitié les volets. Pour je ne sais quel raison j’avais envie de déployer mes ailes prendre mon courage à deux main et avouer avec fierté les sentiments que j’éprouve à son égard, j’avais envie que les choses change, je l’aime et sa je le sais je ne peux pas me le cacher.
Après quelques heures Haruka était enfin de retour, et moi je m’étais remis au travail. Sa main douce vient ébouriffer ma chevelure se qui me fit rougir, je la regarde s’éloigner et mes yeux la détail de plus prêt.
Moi – dites moi professeur si un nombre fini par 0 je dois le multiplier par x ou y ?
Bien sur je connais la réponse mais j’avais envie de l’embêter un peux. Je sent mon visage se soulever, et mes yeux azur croise son regard émeraude. Il est tellement beau emprunt d’une petite étincelle magique. Elle me retire les lunettes, et sa voix douce que j’aimais entendre résonne dans l’aire que nous partagions toute deux.
Haruka – il me semble que je te l’ai déjà enseigner non ?
Moi – oui mais beaucoup de chose c’est produit depuis, un petit rafraichissement de mémoire serait la bienvenue.
Haruka – hm je voie sa, mais à une seule condition !
Moi – mais c’est que j’ai le droit à du chantage en plus ? Hm … Que désirez-vous ?
Haruka – arrête donc de m’appeller ainsi à la maison.
Moi – et comment voudriez-vous que je vous appelle pro.fe.ss.eur !
Elle me sourit, un petit sourire coquin qu’elle me fait souvent quand ont s’emportent dans l’un de ses petits amusements. Et cela me fait bien rire. Je porte ma main à sa joue et la caresse doucement.
Haruka – appelle moi juste Haruka !
Moi – entendue Ha.ru.ka.
Je me suis levé doucement en faisant attention à ma hanche et je me suis mise dans ses bras. Allongeant mes bras sur ses épaules, et rapprochant doucement mon visage du sien.
Moi – Haruka … Je … J’ai … Enfin, j’ai quel … Que chose à te dire !
Haruka – d’accord mais avant laisse moi te dire une chose importante.
Moi – ou … Oui vas y je … Je t’écoute !
Je ne contrôler plus mes rougeurs qui se multipliés à vue d’oeil. Je sent ses bras descendre à mon dos, et sa mains me pousse afin que je me retrouve contre elle. Dans peut de temps je sent que je ne vais plus tenir, mon cœur s’accelaire de plus en plus et son sourire qui m’éblouit, vraiment pourquoi est tu si cruelle jolie blonde de mon cœur ?
Haruka – Michiru, ce que je vais te dire, je ne les jamais dis à personne !
Moi – tu commence à me faire peur !
Haruka – Michiru bien que tu sois mon élève en cours, depuis que tes yeux … Tes si jolie yeux ont rencontré les miens je … Je t’avoue que tu fait tourner mon cœur.
Haruka … Qu’essai tu de me dire exactement ? Bien que j’en est une vague idée, je me refusé d’y croire, sa serait tellement beau.
Haruka – Ma tendre et cher Michiru … Je t’aime !
Je n’eue le temps de répondre que ces lèvres s’emparent tendrement des miennes. Je … Je n’arrive pas à le croire, alors ces sentiments son égaux au miens, je me sent légère et heureuse. Je m’approche d’elle et répond amoureusement à son baiser.
Mes mains descendent et se mettent au niveaux de son cou, mes doigts l’agrippent, et mes pouces crée un léger et doux frottement, alors que je désespérer à lever la pointe des pied afin d’être à sa hauteur. Ses mains réchauffes mon corps, et notre baiser prend un peut plus d’ampleur.
Je laisse doucement ma langue glisser dans sa bouche et alla rejoindre la sienne, c’est un rêve … Oui c’est sa un rêve un magnifique rêve que je suis en train de faire, et je ne veux pas me réveiller. Pourtant je me rappelle de ma discussion avec Cléo du renvoi de cette pimbêche aux cheveux prune.
Je me senti soulever, mais je n’ose pas ouvrir mes yeux de peur que tout s’arrête, ce moment ou je me retrouve contre elle en train de l’embrasser, j’en rêve depuis un mois, alors mieux vaut être heureuse et continuer à dormir en faisant ce doux rêve exotique.
Je sent mon corps s’allonger sur quelques chose, sûrement le canapé, et une agréable chaleur envahie mon être, des mains … Ses mains qui caresse mes joues et descendent jusqu’à mes hanches. Une décharge me parvient au cœur quand je ressentit la douleur de ma hanche droite, alors, je ne rêvé pas ? Haruka était bel et bien en train de m’embrasser, j’entoure sa nuque et la rapproche de moi afin d’être au comble du bonheur. Nos lèvres se détachent, et nos yeux se rencontrent, son corps s’allonge sur le mien et son front caresse son partenaire. Voila un petit côté d’elle que j’ignorais, mais cela ne me déplais pas pour autant.
Haruka – Je t’aime Michiru.
Je lui caresse le visage, un énorme sourire aux lèvres et l’envie de pleurer de joie. Et sans la faire attendre je l’embrasse de nouveau avec amour et passion. Voulant graver ce moment dans mon cœur.
Nous avons passer le reste du temps à nous chamailler et à nous faire des câlins quel bonheur, mais va vraiment falloir que j’arrive à lui dire.
Et voila la fin de ce troisième chapitre ^^
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Chapitre 3 : Attirance et amour
Point de vue Narrateur.
Depuis l’accident de Michiru 1 mois venais de s’écouler, nous sommes au mois d’octobre mois ou l’été s’estompte et laisse place à l’automne saison ou les feuille multicolor virevolte au gré du vent. Aujourd’hui c’est mercredi, et tout les élèves trépigne d’impatience à ce que midi arrive.
Haruka – bon alors est ce que quelqu’un peut me dire quel est le coeficient de ce tableau ?
Bien sûr le professeur savait parfaitement que personne hormis sa petite protégée allait répondre.
Haruka – bon … Puisque personne na l’air de vouloir répondre , je peux en prendre quelque uns pour rester avec moi cet après-midi !
Elève – pff et à quoi cela vous servirez ?
Haruka -déjà à t’apprendre à mieux parler à un professeur jeune fille … Et puisque tu semble vouloir prendre la parole, peut tu répondre à ma question ?
Haruka d’un air sévère, se dirige vers la table de son élève et les sourcils froncés elle déclare :
Haruka – alors, mademoiselle Jolie, j’attend votre réponse !
Jolie – vous n’avais cas demander à cette petite trainé au cheveux bleu !
La s’en fut trop, la jeune femme claque violemment ses mains sur la table de Jolie, et dit d’un ton sec :
Haruka – bon sa suffit !!! j’en est plus qu’assez de tes propos, maintenant tu prend tes affaires et tu file chez le directeur, et tu restera avec moi en salle de retenue cette après-midi !
Jolie – mais …
Haruka – il n’y a pas de mais, quand je donne un ordre il faut qu’il soit exécuté !
Plusieurs soufflements se fait entendre de mademoiselle Jolie qui prit ses affaires et fila rouge de honte vers la sortie.
Haruka – maintenant que j’en surprêne un seul à faire des réflexions et ce sera le même sort compris ?
Tous – oui professeur !!!!
Michiru se met discrètement à sourire, eh bien c’est que Haruka a beaucoup de caractère pense la jeune fille en écrivant son cour. Puis viens enfin l’heure tant attendue des élèves, midi. Chacun se hâte à ranger ses affaires et de sortir aussitôt de la sale de cour. Seul Michiru resté en retrait en prenant tout son temps pour ranger ses affaires.
La jeune femme blonde efface le tableau et se met à soupirer d’ennui. Se qui fit rire sa jeune élève qui venais de mettre son sac sur l’épaule et descend doucement chaque marche avec ses béquilles.
En effet depuis son accident Michiru avait reçu pour ordre d’être mis sous béquille et ceci jusqu’à la guérison total de sa hanche droite qui avait reçu un choc et donc lui avait valut six points de sutures.
Michiru – rappel moi de ne jamais te mettre en colère !
Dit elle en riant. Haruka eu un petit sourire, elle prend ses affaires et dit en se dirigeant vers la sortie :
Haruka – je te fait peur à ce point ? Se met aussi à rire
Michiru – tu as tout de même une forte voix … Donc je préfère éviter.
Elle s’échangent un doux sourire ainsi qu’un petit regard amoureux, et c’est avec le cœur léger qu’elles entament toutes les deux leur marche à travers le couloir.
Michiru – dis … Tu vas vraiment rester ici cet après-midi ?
Haruka – oui, et puis il serait tant que je donne une petite correction à cette fille qui commence sérieusement à m’énerver.
Michiru – bon, ok !
Haruka – mais ne t’inquiète pas, je serait de retour à la maison dès qu’elle aura l’obligeance de venir s’excuser.
Michiru – ok, bah moi vue que je suis dispensé de sport cette année, je vais rester à la maison et peut être commencer à faire mes devoirs comme sa je serait tranquille toute la journée !
Haruka- sage dessision.
Toute deux se sourirent, puis arrivé à l’entrée du couloir, la jeune femme blonde se penche et vint tendrement embrasser le front de Michiru qui se sentait mourir par ses gestes de tendresse. Elle lui embrasse tendrement la joue, et parti direction les casiers des filles afin de poser ses affaires.
PDV Michiru.
Après avoir quittée la salle de cour, je me suis directement dirigé vers les casier afin d’y déposer mes affaires. Tout en marchant mes cahiers à la main je ne cesser de penser à Haruka. Cette si belle femme blonde aux charmes masculin faisait fondre mon cœur, même si ce que nous faisons est interdit je suis si heureuse de l’avoir à mes côtés et pas que en tant que professeur non, surtout en tant que la femme que j’aime et désir plus que quiconque. Soudain mon portable se met à vibrer, étonné je sort ce dernier de ma poche et consulte l’appareil.
C’était un message … D’Haruka, je me met à sourire bêtement, comme une fille qui reçoit un sms du plus beau garçon du campus. Sauf que moi c’est de loin être le plus beau play boy non non … Moi c’est beaucoup mieux, puisqu’il s’agit de la femme que j’aime. Sans perdre un instant j’ouvre ma messagerie et vint lire le message :
« Fais attention quand tu rentres »
je reste plusieurs minutes à relir le message, un petit sourire en coin, vraiment elle est adorable peut être plus vieille que moi mais elle est vraiment la femme parfaite à mes yeux, depuis mon premier jour dans ce lycée et même quand mon accident est venue subitement elle a était la première à être la, elle ne ma pas juger non elle ma accepté tel que je suis et c’est bien sa qui me rend le plus heureuse.
Je décide donc de lui répondre.
« et toi fait attention de ne pas sortir tes crocs lol ! Oui ne t’inquiète pas dès que je suis arrivé je t’envoie un sms »
et je lui envoya. Je ferme mon casier à l’aide du cadenas et parti manger. Après une attente interminable, je réussi à entrer dans le refectoire, et Cléo une fille supère gentil qui m’aide de tant à autre depuis mon accident me porte le plateau, elle mangea même avec moi.
Cléo – alors Michi sa va mieux ?
Moi – bof, j’ai encore des douleurs au niveau de la hanche, et sa s’arrange pas avec le traitement que je suis qui est tout bonnement imonde.
Cléo – ah ah ma pauvre.
Moi – et toi sinon ça va ?
Cléo – bah comme d’hab quoi Emma qui me pourri l’existance avec ses vues sur le professeur Tenoh.
Qu … Quoi ?? cette petite ingrate est amoureuse de … Haruka ? Même si je sais que cela est impossible j’eu vraiment mal au cœur, je n’aie aucune envie de perdre cette si jolie blonde qui est la cause de mes battements violent de mon cœur, qui est la cause de tout ses petit sourire innocant ou chargé de sous entendu, non il est absolument hors de question que je lui laisse je l’aime sincèrement même si je ne lui jamais dit j’en suis éperdument amoureuse et ferais tout pour la voir sourire, rire et heureuse.
Moi – bah viens en cours, et tu verra que c’est pas l’amour fou !
Cléo – je veux bien te croire, je connais Emma depuis l’enfance et je c’est qu’elle est prête à tout pour obtenir se qu’elle veux. Enfin bon personne ne pourra la changer !
Moi - sa c’est sur.
Cléo – et sinon toi les amours sa rool ?
À cette question, je me met violemment à rougir, je prend mon verre, et le porte à ma bouche afin d’éviter d’y répondre.
Cléo – alors es ce qu’il y a un beau garçon qui t’interesse.
Moi – si je te le dis, tu promet de garder sa pour toi de ne le dire à personne, et de ne pas me juger ?
Cléo – houa c’est tout de même pas une affaire d’état rassure moi ?
Moi – non non … Enfin, il y a bien quelqu’un qui m’interesse et très fortement !
Cléo – ah … Que c’est beau l’amour, alors dis moi c’est qui c’est qui c’est qui ?
Moi – je suis très amoureuse du professeur Tenoh.
À sa tête, je remarque la surprise ainsi que la décomposition. Avais-je bien fait de lui dire ?
Cléo – quoi ? Mais tu c’est que c’est interdit !
Moi – merci de me faire redescendre sur terre.
Cléo – oups désolé, c’est juste que sa ma surprise sur le moment, mais sérieux tu aimes c’te prof ?
Moi – oui, j’en suis même éperdument amoureuse.
Elle ne dis rien, juste à me lancer plusieurs regards surpris et intérogateur. A la fin de mon repas, Cléo m’aida à porter mon plateau, en passant dans l’allé central j’eu droit à des sifflements et cela m’irriter. Une fois dehors, je me tourne vers mon ami et lui dit :
Moi – bon je rentre à demain !
Cléo – oui à demain Michi !!
on s’échangent un rapide sourire, et je parti chercher mes affaires afin de rentré pour de bon à la maison. J’ouvre mon casier, prend mon sac, le met sur mon épaule, referme la petite porte à clé, et parti direction la sortie du lycée.
Ah … Sérieusement je me demande comment va se passer cette année, en plus dans pas très longtemps je serait majeur et vacciné, se qui veux dire que même en dehors des cours je pourrais enfin être librement avec elle. Après quelques minutes de trajet à pied du moins en béquilles, je sort une petite clé argenter de mon sac, l’infiltre dans la serrure tourne trois fois vers la droite, et rentra enfin à l’intérieur.
Comme je ne pouvais pas monter à l’étage, je pose mon sac de cour à côté de la table basse du salon et allai prendre place sur un des poufs qui trônais dans la pièce.
En y repensant, j’ai promis à Haruka de lui envoyer un sms lui disant que j’étais enfin rentré. Je prend mon cellulaire, et d’une main vif je tapote sur le clavier, et lui envoya.
En attendant, je déboutonne ma veste et la retire me retrouvant en chemisier blanc. Je retire l’élastique de mes cheveux, et donne trois petit coups de tête vers la droite puis la gauche, je prend mon sac sort mes cahiers, met en place mes petites lunettes rectangulaire noir et commence par réviser mon français. Matière ou je ne suis pas sous les feux des projecteurs.
Pff j’y comprend absolument rien, je préfère largement un cours de math qu’un cour de français, je n’aie jamais était brillante dans cette matière, en plus je dois travailler sur un exposé qui à pour thème la liberté d’expression concernant les relations entre deux hommes ou deux femmes, j’ai le choix mais bon, je n’aie jamais ressenti ce genre de chose et sa s’avère être plus compliquer que prévue.
Vite que Haruka revienne de la retenu de cette peste, rah cella-là si j’avais assez de courage je lui dirais ses quatre vérité croyez moi. Bon aller assez traîner, je vais faire un peu de nettoyage, je lui dois bien sa après tout. Je ferme mon cahier avec bonheur et je m’attaquerais ensuite par la langue vivante.
Je commence à ramasser quelques vêtements qui jonche le sol par ci par là. Je les conduit en machine à laver, jette un œil à l’étiquetage, et commence à remplir la machine. Après avoir mis cette dernière en route je me dirige vers la cuisine en essayant de ne pas forcer sur ma hanche car je n’aie pas prit mes béquilles. Je commence à mettre la vaisselle sale dans le lave vaisselle, et range les quelques magasine et livre de cuisine à leurs place. Je retourne dans le salon et alla ouvrir la fenêtre tout en fermant à moitié les volets. Pour je ne sais quel raison j’avais envie de déployer mes ailes prendre mon courage à deux main et avouer avec fierté les sentiments que j’éprouve à son égard, j’avais envie que les choses change, je l’aime et sa je le sais je ne peux pas me le cacher.
Après quelques heures Haruka était enfin de retour, et moi je m’étais remis au travail. Sa main douce vient ébouriffer ma chevelure se qui me fit rougir, je la regarde s’éloigner et mes yeux la détail de plus prêt.
Moi – dites moi professeur si un nombre fini par 0 je dois le multiplier par x ou y ?
Bien sur je connais la réponse mais j’avais envie de l’embêter un peux. Je sent mon visage se soulever, et mes yeux azur croise son regard émeraude. Il est tellement beau emprunt d’une petite étincelle magique. Elle me retire les lunettes, et sa voix douce que j’aimais entendre résonne dans l’aire que nous partagions toute deux.
Haruka – il me semble que je te l’ai déjà enseigner non ?
Moi – oui mais beaucoup de chose c’est produit depuis, un petit rafraichissement de mémoire serait la bienvenue.
Haruka – hm je voie sa, mais à une seule condition !
Moi – mais c’est que j’ai le droit à du chantage en plus ? Hm … Que désirez-vous ?
Haruka – arrête donc de m’appeller ainsi à la maison.
Moi – et comment voudriez-vous que je vous appelle pro.fe.ss.eur !
Elle me sourit, un petit sourire coquin qu’elle me fait souvent quand ont s’emportent dans l’un de ses petits amusements. Et cela me fait bien rire. Je porte ma main à sa joue et la caresse doucement.
Haruka – appelle moi juste Haruka !
Moi – entendue Ha.ru.ka.
Je me suis levé doucement en faisant attention à ma hanche et je me suis mise dans ses bras. Allongeant mes bras sur ses épaules, et rapprochant doucement mon visage du sien.
Moi – Haruka … Je … J’ai … Enfin, j’ai quel … Que chose à te dire !
Haruka – d’accord mais avant laisse moi te dire une chose importante.
Moi – ou … Oui vas y je … Je t’écoute !
Je ne contrôler plus mes rougeurs qui se multipliés à vue d’oeil. Je sent ses bras descendre à mon dos, et sa mains me pousse afin que je me retrouve contre elle. Dans peut de temps je sent que je ne vais plus tenir, mon cœur s’accelaire de plus en plus et son sourire qui m’éblouit, vraiment pourquoi est tu si cruelle jolie blonde de mon cœur ?
Haruka – Michiru, ce que je vais te dire, je ne les jamais dis à personne !
Moi – tu commence à me faire peur !
Haruka – Michiru bien que tu sois mon élève en cours, depuis que tes yeux … Tes si jolie yeux ont rencontré les miens je … Je t’avoue que tu fait tourner mon cœur.
Haruka … Qu’essai tu de me dire exactement ? Bien que j’en est une vague idée, je me refusé d’y croire, sa serait tellement beau.
Haruka – Ma tendre et cher Michiru … Je t’aime !
Je n’eue le temps de répondre que ces lèvres s’emparent tendrement des miennes. Je … Je n’arrive pas à le croire, alors ces sentiments son égaux au miens, je me sent légère et heureuse. Je m’approche d’elle et répond amoureusement à son baiser.
Mes mains descendent et se mettent au niveaux de son cou, mes doigts l’agrippent, et mes pouces crée un léger et doux frottement, alors que je désespérer à lever la pointe des pied afin d’être à sa hauteur. Ses mains réchauffes mon corps, et notre baiser prend un peut plus d’ampleur.
Je laisse doucement ma langue glisser dans sa bouche et alla rejoindre la sienne, c’est un rêve … Oui c’est sa un rêve un magnifique rêve que je suis en train de faire, et je ne veux pas me réveiller. Pourtant je me rappelle de ma discussion avec Cléo du renvoi de cette pimbêche aux cheveux prune.
Je me senti soulever, mais je n’ose pas ouvrir mes yeux de peur que tout s’arrête, ce moment ou je me retrouve contre elle en train de l’embrasser, j’en rêve depuis un mois, alors mieux vaut être heureuse et continuer à dormir en faisant ce doux rêve exotique.
Je sent mon corps s’allonger sur quelques chose, sûrement le canapé, et une agréable chaleur envahie mon être, des mains … Ses mains qui caresse mes joues et descendent jusqu’à mes hanches. Une décharge me parvient au cœur quand je ressentit la douleur de ma hanche droite, alors, je ne rêvé pas ? Haruka était bel et bien en train de m’embrasser, j’entoure sa nuque et la rapproche de moi afin d’être au comble du bonheur. Nos lèvres se détachent, et nos yeux se rencontrent, son corps s’allonge sur le mien et son front caresse son partenaire. Voila un petit côté d’elle que j’ignorais, mais cela ne me déplais pas pour autant.
Haruka – Je t’aime Michiru.
Je lui caresse le visage, un énorme sourire aux lèvres et l’envie de pleurer de joie. Et sans la faire attendre je l’embrasse de nouveau avec amour et passion. Voulant graver ce moment dans mon cœur.
Nous avons passer le reste du temps à nous chamailler et à nous faire des câlins quel bonheur, mais va vraiment falloir que j’arrive à lui dire.
Et voila la fin de ce troisième chapitre ^^
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Sam 19 Oct 2013, 12:24 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
L'amour est-il un crime ?
Bon eh bien, bonjour à tous, je suis nouvelle sur ce forum, et j’espère m’y plaire :) par contre faut t-il se présenter avant de poster ? dites le moi s’il vous plais. En attendant voici une fiction basé sur l’amour féminin entre un professeur de mathématique et son élève, je m’excuse d’avance pour les fautes je ne suis pas très doué pour sa :/ donc voici le premier chapitre bonne lecture ^^
Chapitre 1 : La rentrée et une rencontre bouleversante
Point de vue Haruka.
Le matin commence à ce lever, et je me hâte à quitter mes draps afin d’aller me rafraîchir. Encore une fois cette nuit j’ai fait ce rêve où je me retrouve devant ce pont debout sur la rem bard les bras allongés horizontalement, je ne comprend pas pourquoi ce rêve me hante, pourquoi me provoque t-il des sueurs froide dans le dos.
Quand j’arrive dans la salle de bain, je ferme la porte, et commence à me dénuder j’avais tellement chaud, j’enclenche l’eau, eau froide, je laisse mon corps se détendre, mes yeux se ferme, ma tête se pose lourdement sur le mur blanc. Ma respiration est saccadée, j’ai l’impression d’étouffer, vraiment que m’arrive t-il ?
Alors que les minutes s’écoulés unes à unes, je vint sortir de la douche et m’enroule dans une serviette afin de m’essuyer et de ne pas attraper froid. J’observe pendant quelques minutes mon reflet dans le miroir, un teint pâle cerner de cernes plus voyante les unes que les autre, ah ... Il faut vraiment que j’arrête de me torturer, je retourne dans la pièce ou je résidait quelques minutes plus tôt, et alla m’habiller de mon costume blanc et noir avec une cravate noire. Je rentre mon chemisier blanc dans mon pantalon.
Une fois que je fut prête, je prend mon sac, ou disposé plusieurs tats de feuilles que je distribuerais à chaque élèves de ma classe. Je descend, et vint enfiler une paire de chaussure noire avec un fin talon carré avec un lacet. Je prend les clés de ma voiture, et parti de chez moi, n’oubliant pas de fermer à clés.
Je descend quatre étages, et sort de l’établissement et me dirige vers ma Porsche noire. Je pose mon sac à l’arrière, m’attache, allume le contacte, et parti direction le lycée. Je me demande tout de même comment aller se passer ma première journée de travail, sachant que ce lycée, c’est celui d’où j’ai étudié pendant 3 années consécutive. Donc je me demande si se sont les même professeurs.
Quand je fut arrivé, je vint garer ma voiture, éteins le moteur, et sort. J’enclenche l’alarme, et mettant les clés de ma voiture dans mon sac, je me dirige vers l’entrée.
Un petit sourire naquis mes lèvres, c’est toujours pareil, rien a changer, à part quelques banc de plus mais sinon rien na bougé. Je croise plusieurs élèves qui me salue. Et au loin, je voie une jeune fille au long cheveux bleu, une couleur assez particulière, tout en m’avançant, je voie qu’elle est en train de lire.
Je sourit, je l’observe quelques minutes, et décide de rompre se silence :
Moi - bonjour !
? - bonjour professeur.
Houa, elle est vraiment très belle, de grand yeux bleu comme ses cheveux, un nez fin et droit, un visage ovale sans imperfection, je lui sourit, et poursuit mon chemin jusqu’à là salle des professeurs.
Moi - bonjour à tous !
Mme Clife - Haruka c’est ... C’est bien toi ?
Moi - ravi de vous revoir madame Clife !
Mme Clife - tu as bien changer, mais que fais tu ici ?
Moi - eh bien je suis ici pour montrer et apprendre mon savoir aux élèves !
Mme Clife - alors tu vas travailler avec nous, et tu sais dans quel matière ?
Moi - oui je serait professeur de mathématique et de langue vivante. Et vous ?
Mme Clife - enfin tu peux me tutoyer nous sommes collègue, appelle moi Betty ! moi je suis chargé de la section physique chimie !
Moi : très bien.
Après cette brève retrouvaille, la sonnerie du premier cour retentit, je prend donc mon sac, et sort de la salle des professeurs. Je me dirige vers une porte, ouvre cette dernière et longe le grand couloir menant à ma salle de cour. Une fois prêt de celle-ci, je glisse une petite clé et tourne deux fois vers la droite, et entra.
Ah, que de souvenirs dans cette salle, à l’époque c’était monsieur Torbin qui nous faisait cour de français. Je pose mon sac à côté du bureau, me tourne vers le tableau blanc, et avec un crayon fais exprès, je me met à écrire « Bienvenue à tous » rebouche l’objet, et sort les feuilles et cahiers de liaisons que je distribuerais quand ils seront tous présent. J’allai monter les stores afin d’avoir un peut plus de clairettes.
Ah... Les voilà qui arrivent, j’entends des paroles inaudible venant du couloir, puis ils entrèrent tous un à un allant s’installer à une table. Je remarque avec un petit sourire, la jeune fille de tout à l’heure, alors je vais l’avoir en classe, intéressant, je la voie qui prend place au fond de la pièce prêt de la baie vitrée au dernier rang. Cela me surpris, alors que tous le monde venais de s’installer j’allai fermer la porte et alla prendre place à mon bureau.
Moi - bonjour et bienvenue à tous, je m’appelle Haruka Tenoh et serait votre professeur de mathématique et de langue vivante et pour certains je serait leur tutrice. Bon avant de commencer nous allons mettre au point quelques petite chose au clair, et chacun d’entre vous se présentera quand je l’appellerais c’est compris ?
Tous - oui !!!
Moi - très bien, alors commençons avec ... Tran !
Elève - bonjour, je m’appelle Mélanie Tran, je suis d’origine japonaise, et j’arrive tout droit d’Osaka. Je cherche à persévérer dans l’art et d’atteindre la studieuse université Todaï !
Moi - c’est parfait Mélanie, tu peut t’asseoir.
Et dans le silence la jeune brune prit place, ajustant ses lunettes sur ses yeux.
Moi - ensuite Guilard !
Elève - euh... Je.... Je m’appelle Pierre Guilard, j’aime jouer au foot, je suis d’origine canadien, et tout comme la dis Mélanie, je veux réaliser uns de mes plus grand rêve et entrer à Todaï !
Moi - très bien... Hm Kaio !
Un silence s’installe, surprise je lève mes yeux et voie la jeune fille de tout à l’heure se lever, alors c’est elle. Elle ne dis rien, son regard est encrer dans le mien, et delà ou je me trouve, je peux apercevoir une lueur de tristesse.
Moi - allais présente toi !
Michiru - eh bien, bon... Bonjour je m’appelle Michiru Kaio j’ai 17 ans, et suis d’origine italienne venant tout droit de Venise. Euh... J’aime étudier et j’aimerais acquérir tout au long de ses trois ans du savoir afin de poursuivre mon rêve qui est de devenir professeur de mathématique.
Élève - pff, arrête de délirer, toi, tout ce que tes bonne à faire c’est les trottoirs, et de rejoindre ta mère !
Moi - SILENCE !!!!
je voie Michiru baisser la tête, ainsi qu’une petite larme rouler sur sa joue. Je fut prit d’une colère noir, et je vint prendre la parole :
Moi - toi au fond au deuxième rang quel est ton nom ?
Élève - moi, ben Jolie !
Moi - dans ce cas mademoiselle Jolie vous me copierais cent fois le règlement concernant les propos injurieux de ce lycée !
Jolie - quoi ?? mais c’est pas juste !
Moi - il n’y a pas de mais qui tienne les propos que tu as eu son disproportionné et injurieux.
Jolie - pff sa commence bien !
Je ne répond pas, et les présentations continuèrent. A la fin, je vint passer à toute les tables et donne quelques feuilles ainsi que le cahier de liaison. Quand je fut à la hauteur de Michiru, je lui pose un dossier et son cahier de liaison, ses yeux remonte et me regarde. Ils étaient embués par les larmes, je vint sortir de ma poche un morceau de tissue et lui tend avec un sourire tendre.
Moi - allais c’est fini !
Elle me sourit timidement, et je vint retourner à mon bureau. Je prend un stylo, et effaçant ce que j’avais écrit quelques minutes au paravent, je retire le bouchon et vint écrire.
Moi - maintenant que chacun prenne un cahier et recopier ce que je note au tableau. Pour ce premier cour, je vais seulement évaluer vos connaissances afin de voir quel niveau vous avez.
Je pose le stylo, et vint prendre place à mon bureau. Alors que tous se mettait au travail, je trie plusieurs papiers, et au bout de quelques seconde une voix retenti... Celle de Michiru que je trouvais très douce au passage.
Moi - oui Michiru ?
Michiru - j’ai terminé !
Moi - déjà ? Très bien j’arrive.
Eh bien, c’est une petite rapide, je sourit, me muni d’un stylo rouge et alla jusqu’au fond de la classe. Une fois prêt d’elle, je me penche et observe son travaille.
Je comprend pourquoi elle a l’ambition de devenir professeur de mathématique, aucune faute de calcul, alors que je ne voyais aucune calculatrice à ses côtés. Je me baisse, m’appui sur mon bras droit, et vint lui écrire un exercice.
Moi - c’est parfait, maintenant tu vas me remplir ce tableau de proportionnalité, d’accord !
Michiru - oui, j’ai compris, je ferait de mon mieux professeur Tenoh !
Je sourit, vraiment elle est adorable, je retourne à mon bureau et voie une copie.
Moi : A qui appartient ce torchon !
Aucun bruit ne sort. Ce qui eu le dont de m’irriter.
Moi - si dans la minutes qui suis je n’aie pas le nom du propriétaire de cette copie, je prive toute la classe de récréation es ce clair ?
Jolie - mais...
Moi - il n’y a pas de mais mademoiselle Jolie !
Jolie - c’est à moi !
Moi - en plus, ne t’avons nous pas déjà appris à écrire proprement ? Ton écriture n’est pas lisible, donc refait moi sa !
Jolie - mais...
Moi - je t’ai donner un ordre, alors exécute !
Je l’entend ronchonner, puis je reprend place et observe tour à tour chaque élève, et mon regard s’arrête sur Michiru que je voyais compter avec ses doigts, j’esquive un mince sourire, en y repensant quand j’étais prêt d’elle mon cœur c’était accélérais, une bouffé de chaleur avait enivrait mon corps, plus je la dévisage, moins je comprend ce sentiment qui se diffuse dans mon être.
Puis quelques minutes après la sonnerie de la pause retenti, chaque élèves me remet son cahier et parti en récréation. Seul Michiru resté en retrait, assise sur sa chaise, elle regardais le paysage l’air monotone. Je ferme le cahier que je consulter, et alla à sa rencontre.
Je prend la chaise de devant et la place face à son bureau. Je prend place et lui dit :
Moi - Michiru, tu ne sort pas ?
Michiru - non, je ne préfère pas !
Moi - pourquoi sa ?
Michiru - je... C’est compliqué !
Moi - tu veux m’en parler ? Pour ses trois année je serait ta tutrice donc si tu veux te confier n’hésite pas, je t’écouterais !
Michiru - merci, c’est très gentil à vous... Mais je ne suis pas sûr de...
Moi - bon, ce n’est pas grave, prend ton temps, mais tu dois sortir !
Michiru - bon... D’accord, mais, restez avec moi !
Moi - très bien.
Je me lève, et replace l’objet à sa place et me dirige vers la sortie. Je longe le couloir avec Michiru qui ne disait rien.
Moi - alors comme sa, tu veux devenir professeur ?
Michiru - oui, c’est l’uns de mes plus grand rêve !
Moi - tu c’est que tu m’as impressionné, c’était parfait ce que tu m’as rendu !
Michiru - merci, mais on va dire que c’est assez simple pour moi, donc ...
Moi - je comprend, allait moi je vais en salle des professeurs ! On se voient après ?
Michiru - oui, moi je vais allais au toilette !
Moi - ok.
Je lui sourit, lui fit un signe de la main et entre dans la salle. Je fut surprise de voir tout les anciens professeurs me regarder avec un sourire, même le directeur était là.
Moi - euh... Que se passe t-il ?
Betty - tu as était tout simplement...
Clément - génial, nous t’avons observé depuis cette écran, et pour ton premier cour Haruka tu as était impressionnante.
Moi - merci.
Directeur - content de vous revoir parmi nous mademoiselle Tenoh, j’espère que vous trouverais vite votre place avec nous !
Moi - ne vous inquiétez dont pas, ce lycée... Il ne ma jamais quittée !
Tous me sourit, et c’est dans la bonne humeur que plusieurs discutions commencent. Moi je vint prendre place au cotés de Betty qui corrigé des copies.
Moi - au faite Betty !
Betty - ravi de voir que tu y prend goût ! Oui qui y’a t-il ?
Moi - j’aimerais te poser une question !
Betty - oui vas y !
Moi - c’est à propos de Michiru Kaio !
Betty - oh cette petite... La pauvre, elle en a vécu des choses !
Moi - oui c’est ce que j’ai pue voir, elle a était victime de discrimination par mademoiselle Jolie, et comme je suis sa tutrice, j’aurais aimé en savoir un peut plus.
Je voie la jeune femme se pencher, et elle remonte avec un assez gros dossier, qu’elle me tendit. Je le prend et le met face à moi, beaucoup de chose était inscrit sur la première page.
Betty - tiens, c’est son dossier depuis la maternelle, il y a toute les informations que tu veux savoir.
Moi - merci, c’est très gentil à toi !
Betty - mais voyons ce n’est rien.
Je lui sourit et continue de discuter. La journée était passé bien vite et quand fut l’heure de rentrer, je voie Michiru se diriger avec précipitation vers la sortie, je la suivit quelques minutes en voiture, et pour ma plus grande surprise, je la voie se mettre sous un pont ! Mais que fait t-elle là ? J’ai envie d’aller la voir, mais j’ai peur de crée un fossé entre elle et moi, c’est donc à contre cœur que je parti direction mon appartement. Une fois rentrée, j’alla prendre une bonne douche, et parti directement me coucher, en pensant à Michiru seule sous ce pont. C’est inhumain de ma part de la laisser là, c’est même cruel sans cœur.
Demain, il faut à tout prix que j’arrive à lui parler.
Voila ce qui est du premier chapitre, si cela vous plais faite moi un signe il y a déjà 4 chapitres de terminé, donc vooila :)
Chapitre 1 : La rentrée et une rencontre bouleversante
Point de vue Haruka.
Le matin commence à ce lever, et je me hâte à quitter mes draps afin d’aller me rafraîchir. Encore une fois cette nuit j’ai fait ce rêve où je me retrouve devant ce pont debout sur la rem bard les bras allongés horizontalement, je ne comprend pas pourquoi ce rêve me hante, pourquoi me provoque t-il des sueurs froide dans le dos.
Quand j’arrive dans la salle de bain, je ferme la porte, et commence à me dénuder j’avais tellement chaud, j’enclenche l’eau, eau froide, je laisse mon corps se détendre, mes yeux se ferme, ma tête se pose lourdement sur le mur blanc. Ma respiration est saccadée, j’ai l’impression d’étouffer, vraiment que m’arrive t-il ?
Alors que les minutes s’écoulés unes à unes, je vint sortir de la douche et m’enroule dans une serviette afin de m’essuyer et de ne pas attraper froid. J’observe pendant quelques minutes mon reflet dans le miroir, un teint pâle cerner de cernes plus voyante les unes que les autre, ah ... Il faut vraiment que j’arrête de me torturer, je retourne dans la pièce ou je résidait quelques minutes plus tôt, et alla m’habiller de mon costume blanc et noir avec une cravate noire. Je rentre mon chemisier blanc dans mon pantalon.
Une fois que je fut prête, je prend mon sac, ou disposé plusieurs tats de feuilles que je distribuerais à chaque élèves de ma classe. Je descend, et vint enfiler une paire de chaussure noire avec un fin talon carré avec un lacet. Je prend les clés de ma voiture, et parti de chez moi, n’oubliant pas de fermer à clés.
Je descend quatre étages, et sort de l’établissement et me dirige vers ma Porsche noire. Je pose mon sac à l’arrière, m’attache, allume le contacte, et parti direction le lycée. Je me demande tout de même comment aller se passer ma première journée de travail, sachant que ce lycée, c’est celui d’où j’ai étudié pendant 3 années consécutive. Donc je me demande si se sont les même professeurs.
Quand je fut arrivé, je vint garer ma voiture, éteins le moteur, et sort. J’enclenche l’alarme, et mettant les clés de ma voiture dans mon sac, je me dirige vers l’entrée.
Un petit sourire naquis mes lèvres, c’est toujours pareil, rien a changer, à part quelques banc de plus mais sinon rien na bougé. Je croise plusieurs élèves qui me salue. Et au loin, je voie une jeune fille au long cheveux bleu, une couleur assez particulière, tout en m’avançant, je voie qu’elle est en train de lire.
Je sourit, je l’observe quelques minutes, et décide de rompre se silence :
Moi - bonjour !
? - bonjour professeur.
Houa, elle est vraiment très belle, de grand yeux bleu comme ses cheveux, un nez fin et droit, un visage ovale sans imperfection, je lui sourit, et poursuit mon chemin jusqu’à là salle des professeurs.
Moi - bonjour à tous !
Mme Clife - Haruka c’est ... C’est bien toi ?
Moi - ravi de vous revoir madame Clife !
Mme Clife - tu as bien changer, mais que fais tu ici ?
Moi - eh bien je suis ici pour montrer et apprendre mon savoir aux élèves !
Mme Clife - alors tu vas travailler avec nous, et tu sais dans quel matière ?
Moi - oui je serait professeur de mathématique et de langue vivante. Et vous ?
Mme Clife - enfin tu peux me tutoyer nous sommes collègue, appelle moi Betty ! moi je suis chargé de la section physique chimie !
Moi : très bien.
Après cette brève retrouvaille, la sonnerie du premier cour retentit, je prend donc mon sac, et sort de la salle des professeurs. Je me dirige vers une porte, ouvre cette dernière et longe le grand couloir menant à ma salle de cour. Une fois prêt de celle-ci, je glisse une petite clé et tourne deux fois vers la droite, et entra.
Ah, que de souvenirs dans cette salle, à l’époque c’était monsieur Torbin qui nous faisait cour de français. Je pose mon sac à côté du bureau, me tourne vers le tableau blanc, et avec un crayon fais exprès, je me met à écrire « Bienvenue à tous » rebouche l’objet, et sort les feuilles et cahiers de liaisons que je distribuerais quand ils seront tous présent. J’allai monter les stores afin d’avoir un peut plus de clairettes.
Ah... Les voilà qui arrivent, j’entends des paroles inaudible venant du couloir, puis ils entrèrent tous un à un allant s’installer à une table. Je remarque avec un petit sourire, la jeune fille de tout à l’heure, alors je vais l’avoir en classe, intéressant, je la voie qui prend place au fond de la pièce prêt de la baie vitrée au dernier rang. Cela me surpris, alors que tous le monde venais de s’installer j’allai fermer la porte et alla prendre place à mon bureau.
Moi - bonjour et bienvenue à tous, je m’appelle Haruka Tenoh et serait votre professeur de mathématique et de langue vivante et pour certains je serait leur tutrice. Bon avant de commencer nous allons mettre au point quelques petite chose au clair, et chacun d’entre vous se présentera quand je l’appellerais c’est compris ?
Tous - oui !!!
Moi - très bien, alors commençons avec ... Tran !
Elève - bonjour, je m’appelle Mélanie Tran, je suis d’origine japonaise, et j’arrive tout droit d’Osaka. Je cherche à persévérer dans l’art et d’atteindre la studieuse université Todaï !
Moi - c’est parfait Mélanie, tu peut t’asseoir.
Et dans le silence la jeune brune prit place, ajustant ses lunettes sur ses yeux.
Moi - ensuite Guilard !
Elève - euh... Je.... Je m’appelle Pierre Guilard, j’aime jouer au foot, je suis d’origine canadien, et tout comme la dis Mélanie, je veux réaliser uns de mes plus grand rêve et entrer à Todaï !
Moi - très bien... Hm Kaio !
Un silence s’installe, surprise je lève mes yeux et voie la jeune fille de tout à l’heure se lever, alors c’est elle. Elle ne dis rien, son regard est encrer dans le mien, et delà ou je me trouve, je peux apercevoir une lueur de tristesse.
Moi - allais présente toi !
Michiru - eh bien, bon... Bonjour je m’appelle Michiru Kaio j’ai 17 ans, et suis d’origine italienne venant tout droit de Venise. Euh... J’aime étudier et j’aimerais acquérir tout au long de ses trois ans du savoir afin de poursuivre mon rêve qui est de devenir professeur de mathématique.
Élève - pff, arrête de délirer, toi, tout ce que tes bonne à faire c’est les trottoirs, et de rejoindre ta mère !
Moi - SILENCE !!!!
je voie Michiru baisser la tête, ainsi qu’une petite larme rouler sur sa joue. Je fut prit d’une colère noir, et je vint prendre la parole :
Moi - toi au fond au deuxième rang quel est ton nom ?
Élève - moi, ben Jolie !
Moi - dans ce cas mademoiselle Jolie vous me copierais cent fois le règlement concernant les propos injurieux de ce lycée !
Jolie - quoi ?? mais c’est pas juste !
Moi - il n’y a pas de mais qui tienne les propos que tu as eu son disproportionné et injurieux.
Jolie - pff sa commence bien !
Je ne répond pas, et les présentations continuèrent. A la fin, je vint passer à toute les tables et donne quelques feuilles ainsi que le cahier de liaison. Quand je fut à la hauteur de Michiru, je lui pose un dossier et son cahier de liaison, ses yeux remonte et me regarde. Ils étaient embués par les larmes, je vint sortir de ma poche un morceau de tissue et lui tend avec un sourire tendre.
Moi - allais c’est fini !
Elle me sourit timidement, et je vint retourner à mon bureau. Je prend un stylo, et effaçant ce que j’avais écrit quelques minutes au paravent, je retire le bouchon et vint écrire.
Moi - maintenant que chacun prenne un cahier et recopier ce que je note au tableau. Pour ce premier cour, je vais seulement évaluer vos connaissances afin de voir quel niveau vous avez.
Je pose le stylo, et vint prendre place à mon bureau. Alors que tous se mettait au travail, je trie plusieurs papiers, et au bout de quelques seconde une voix retenti... Celle de Michiru que je trouvais très douce au passage.
Moi - oui Michiru ?
Michiru - j’ai terminé !
Moi - déjà ? Très bien j’arrive.
Eh bien, c’est une petite rapide, je sourit, me muni d’un stylo rouge et alla jusqu’au fond de la classe. Une fois prêt d’elle, je me penche et observe son travaille.
Je comprend pourquoi elle a l’ambition de devenir professeur de mathématique, aucune faute de calcul, alors que je ne voyais aucune calculatrice à ses côtés. Je me baisse, m’appui sur mon bras droit, et vint lui écrire un exercice.
Moi - c’est parfait, maintenant tu vas me remplir ce tableau de proportionnalité, d’accord !
Michiru - oui, j’ai compris, je ferait de mon mieux professeur Tenoh !
Je sourit, vraiment elle est adorable, je retourne à mon bureau et voie une copie.
Moi : A qui appartient ce torchon !
Aucun bruit ne sort. Ce qui eu le dont de m’irriter.
Moi - si dans la minutes qui suis je n’aie pas le nom du propriétaire de cette copie, je prive toute la classe de récréation es ce clair ?
Jolie - mais...
Moi - il n’y a pas de mais mademoiselle Jolie !
Jolie - c’est à moi !
Moi - en plus, ne t’avons nous pas déjà appris à écrire proprement ? Ton écriture n’est pas lisible, donc refait moi sa !
Jolie - mais...
Moi - je t’ai donner un ordre, alors exécute !
Je l’entend ronchonner, puis je reprend place et observe tour à tour chaque élève, et mon regard s’arrête sur Michiru que je voyais compter avec ses doigts, j’esquive un mince sourire, en y repensant quand j’étais prêt d’elle mon cœur c’était accélérais, une bouffé de chaleur avait enivrait mon corps, plus je la dévisage, moins je comprend ce sentiment qui se diffuse dans mon être.
Puis quelques minutes après la sonnerie de la pause retenti, chaque élèves me remet son cahier et parti en récréation. Seul Michiru resté en retrait, assise sur sa chaise, elle regardais le paysage l’air monotone. Je ferme le cahier que je consulter, et alla à sa rencontre.
Je prend la chaise de devant et la place face à son bureau. Je prend place et lui dit :
Moi - Michiru, tu ne sort pas ?
Michiru - non, je ne préfère pas !
Moi - pourquoi sa ?
Michiru - je... C’est compliqué !
Moi - tu veux m’en parler ? Pour ses trois année je serait ta tutrice donc si tu veux te confier n’hésite pas, je t’écouterais !
Michiru - merci, c’est très gentil à vous... Mais je ne suis pas sûr de...
Moi - bon, ce n’est pas grave, prend ton temps, mais tu dois sortir !
Michiru - bon... D’accord, mais, restez avec moi !
Moi - très bien.
Je me lève, et replace l’objet à sa place et me dirige vers la sortie. Je longe le couloir avec Michiru qui ne disait rien.
Moi - alors comme sa, tu veux devenir professeur ?
Michiru - oui, c’est l’uns de mes plus grand rêve !
Moi - tu c’est que tu m’as impressionné, c’était parfait ce que tu m’as rendu !
Michiru - merci, mais on va dire que c’est assez simple pour moi, donc ...
Moi - je comprend, allait moi je vais en salle des professeurs ! On se voient après ?
Michiru - oui, moi je vais allais au toilette !
Moi - ok.
Je lui sourit, lui fit un signe de la main et entre dans la salle. Je fut surprise de voir tout les anciens professeurs me regarder avec un sourire, même le directeur était là.
Moi - euh... Que se passe t-il ?
Betty - tu as était tout simplement...
Clément - génial, nous t’avons observé depuis cette écran, et pour ton premier cour Haruka tu as était impressionnante.
Moi - merci.
Directeur - content de vous revoir parmi nous mademoiselle Tenoh, j’espère que vous trouverais vite votre place avec nous !
Moi - ne vous inquiétez dont pas, ce lycée... Il ne ma jamais quittée !
Tous me sourit, et c’est dans la bonne humeur que plusieurs discutions commencent. Moi je vint prendre place au cotés de Betty qui corrigé des copies.
Moi - au faite Betty !
Betty - ravi de voir que tu y prend goût ! Oui qui y’a t-il ?
Moi - j’aimerais te poser une question !
Betty - oui vas y !
Moi - c’est à propos de Michiru Kaio !
Betty - oh cette petite... La pauvre, elle en a vécu des choses !
Moi - oui c’est ce que j’ai pue voir, elle a était victime de discrimination par mademoiselle Jolie, et comme je suis sa tutrice, j’aurais aimé en savoir un peut plus.
Je voie la jeune femme se pencher, et elle remonte avec un assez gros dossier, qu’elle me tendit. Je le prend et le met face à moi, beaucoup de chose était inscrit sur la première page.
Betty - tiens, c’est son dossier depuis la maternelle, il y a toute les informations que tu veux savoir.
Moi - merci, c’est très gentil à toi !
Betty - mais voyons ce n’est rien.
Je lui sourit et continue de discuter. La journée était passé bien vite et quand fut l’heure de rentrer, je voie Michiru se diriger avec précipitation vers la sortie, je la suivit quelques minutes en voiture, et pour ma plus grande surprise, je la voie se mettre sous un pont ! Mais que fait t-elle là ? J’ai envie d’aller la voir, mais j’ai peur de crée un fossé entre elle et moi, c’est donc à contre cœur que je parti direction mon appartement. Une fois rentrée, j’alla prendre une bonne douche, et parti directement me coucher, en pensant à Michiru seule sous ce pont. C’est inhumain de ma part de la laisser là, c’est même cruel sans cœur.
Demain, il faut à tout prix que j’arrive à lui parler.
Voila ce qui est du premier chapitre, si cela vous plais faite moi un signe il y a déjà 4 chapitres de terminé, donc vooila :)
Mar 15 Oct 2013, 14:05 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
L'amour c'est...
Qu’est-ce que l’amour?
Aimer est un mélange de l’ego et du don. Donner de l’amour mais pourquoi? Pour le recevoir? Pour assouvir nos besoins propres? Il est dit, dans la définition de l’amour dans Wikipedia, qu’il existe l’amour égoïste qui est de prendre ainsi que l’amour de Dieu, celui inconditionnel qui lui a pour but de donner. Aimer peut être aussi d’aimer des friandises ainsi que des choses.
Alors nous aimons nos enfants, notre conjoint, notre famille, nos ami(e)s et aussi nous aimons les choses. Les êtres humains ont une grande tendance à l’amour pour s’approprier en retour une compensation. On aime les friandises parce qu’elles nous rapportent une sensation de plaisir... c’est donc un acte d’ego.
L’amour de Dieu lui est altruiste. Il est grand et transforme les gens. D’aimer avec un amour détaché, pourvu d’écoute, d’empathie, de compassion qui s’en résume à l’altruisme est une source de chaleur infinie.
Aussi, il y a une différence entre aimer quelqu’un et aimer ce qu’il fait de sa vie ou ce qu’il fait aux autres. Il est possible d’aimer même ceux et celles qui nous blessent, car dans les faits, nous avons le droit de ne pas aimer ce qu’ils font mais nous avons aussi le droit de les aimer indépendamment de leurs actions. Et aimer inconditionnellement ne veut pas nécessairement dire d’aimer à proximité; il est possible d’aimer de loin...
Ce genre d’amour engendre la possibilité du pardon, ce pardon qui nous libère nous-même. Tous avons nos forces et faiblesses. Souvent, nos actions sont maladroites mais nos intentions elles, sont bonnes. Nous pouvons donc aimer sans aimer les actes des autres... Ce qui s’appelle l’amour inconditionnel.
L’amour, celui du don, s’apprend... Ce n’est pas inné sauf pour ceux et celles qui l’ont reçu étant jeune. Il se doit d’être compris, assimilé pour mieux le donner. Il y a de multiples approches pour aimer sans condition. Il est possible de s’éduquer.
C’est souvent aussi dans la souffrance que l’on apprend à vraiment aimer... Car ceux qui souffrent et qui continuent d’avoir la foi comprennent que seul l’amour importe à la toute fin. Aimer les choses donne du plaisir momentané mais aimer les gens, les proches, les démunis comme les nantis donnent au bout du compte un sentiment qui croisse avec le temps. L’amour est une grande source de bonheur...
Si l’ego aime, c’est pour en retirer quelque chose. Si le cœur par la foi aime, c’est un don de propagande qui allège la vie, qui la rend plus belle. Rien de plus beau et d’apaisant de recevoir un amour inconditionnel... Rien n’est plus beau que l’amour altruiste, rien.
La différence entre la passion et l’amour
La passion est d’ordre de l’ego aussi. Car lorsque nous sommes en amour avec une autre personne et que l’on vit la passion, c’est dans les fait, tomber en amour avec notre état d’être, d’aimer la sensation qui nous habite; car comment vraiment aimer l’autre personne si dans les faits, nous ignorons qui elle est? Nous tombons en amour avec l’illusion que l’on se fait de l’autre lorsque la passion existe dans une relation, rien de plus.
La passion, ceux et celles qui la recherche, fait preuve dans les faits, d’un manque d’amour de soi. Celui qui s’aime vraiment est beaucoup moins propice à tomber dans l’illusion de la passion. Généralement, ceux et celles qui s’aiment vraiment sont ceux et celles qui ont reçu un amour inconditionnel dès les premiers moments de leur vie. Il est possible de vivre l’amour propre même si l’enfance fut dépourvu de l’amour du don. Pour ça, il suffit d’y travailler et de comprendre que de s’aimer soi-même permet de le redonner... Pour ceux qui ont la foi en Dieu, ça l’aide aussi pour l’amour-propre; car Dieu nous aime inconditionnellement et nous pardonne. Pourquoi donc ne pas s’aimer soi-même et se pardonner si lui le fait pour nous?
La passion, nous la recherchons, nous les gens en manque d’amour, surtout en manque d’amour-propre. Mais la passion de dure pas... Car au fil du temps, l’illusion que l’on se fait de l’autre personne et surtout de ce qu’elle peut nous rapporter, se dissipe. On fini par voir chez l’autre les failles et l’illusion tombe; c’est pourquoi, après un certain temps, la passion s’effrite. La passion n’est donc pas de l’amour...
Les couples qui perdurent dans une relation développent souvent l’amour du don aussi. C’est en recherchant le bonheur des deux parties que se développe la complicité, la confiance, le désir de faire plaisir. La flamme de l’amour peut perdurer, à condition d’aimer sans condition aussi.
Voici donc un bref résumé de ce que je pense de l’amour. Je pense l’avoir reçu cet amour inconditionnel dans ma vie; je suis entourée d’amour présentement et il me fortifie. Sans cet amour, ma vie n’aurait pas de sens. Merci à ceux qui m’aiment inconditionnellement; vous êtes ma force et ma joie.
Aimer est un mélange de l’ego et du don. Donner de l’amour mais pourquoi? Pour le recevoir? Pour assouvir nos besoins propres? Il est dit, dans la définition de l’amour dans Wikipedia, qu’il existe l’amour égoïste qui est de prendre ainsi que l’amour de Dieu, celui inconditionnel qui lui a pour but de donner. Aimer peut être aussi d’aimer des friandises ainsi que des choses.
Alors nous aimons nos enfants, notre conjoint, notre famille, nos ami(e)s et aussi nous aimons les choses. Les êtres humains ont une grande tendance à l’amour pour s’approprier en retour une compensation. On aime les friandises parce qu’elles nous rapportent une sensation de plaisir... c’est donc un acte d’ego.
L’amour de Dieu lui est altruiste. Il est grand et transforme les gens. D’aimer avec un amour détaché, pourvu d’écoute, d’empathie, de compassion qui s’en résume à l’altruisme est une source de chaleur infinie.
Aussi, il y a une différence entre aimer quelqu’un et aimer ce qu’il fait de sa vie ou ce qu’il fait aux autres. Il est possible d’aimer même ceux et celles qui nous blessent, car dans les faits, nous avons le droit de ne pas aimer ce qu’ils font mais nous avons aussi le droit de les aimer indépendamment de leurs actions. Et aimer inconditionnellement ne veut pas nécessairement dire d’aimer à proximité; il est possible d’aimer de loin...
Ce genre d’amour engendre la possibilité du pardon, ce pardon qui nous libère nous-même. Tous avons nos forces et faiblesses. Souvent, nos actions sont maladroites mais nos intentions elles, sont bonnes. Nous pouvons donc aimer sans aimer les actes des autres... Ce qui s’appelle l’amour inconditionnel.
L’amour, celui du don, s’apprend... Ce n’est pas inné sauf pour ceux et celles qui l’ont reçu étant jeune. Il se doit d’être compris, assimilé pour mieux le donner. Il y a de multiples approches pour aimer sans condition. Il est possible de s’éduquer.
C’est souvent aussi dans la souffrance que l’on apprend à vraiment aimer... Car ceux qui souffrent et qui continuent d’avoir la foi comprennent que seul l’amour importe à la toute fin. Aimer les choses donne du plaisir momentané mais aimer les gens, les proches, les démunis comme les nantis donnent au bout du compte un sentiment qui croisse avec le temps. L’amour est une grande source de bonheur...
Si l’ego aime, c’est pour en retirer quelque chose. Si le cœur par la foi aime, c’est un don de propagande qui allège la vie, qui la rend plus belle. Rien de plus beau et d’apaisant de recevoir un amour inconditionnel... Rien n’est plus beau que l’amour altruiste, rien.
La différence entre la passion et l’amour
La passion est d’ordre de l’ego aussi. Car lorsque nous sommes en amour avec une autre personne et que l’on vit la passion, c’est dans les fait, tomber en amour avec notre état d’être, d’aimer la sensation qui nous habite; car comment vraiment aimer l’autre personne si dans les faits, nous ignorons qui elle est? Nous tombons en amour avec l’illusion que l’on se fait de l’autre lorsque la passion existe dans une relation, rien de plus.
La passion, ceux et celles qui la recherche, fait preuve dans les faits, d’un manque d’amour de soi. Celui qui s’aime vraiment est beaucoup moins propice à tomber dans l’illusion de la passion. Généralement, ceux et celles qui s’aiment vraiment sont ceux et celles qui ont reçu un amour inconditionnel dès les premiers moments de leur vie. Il est possible de vivre l’amour propre même si l’enfance fut dépourvu de l’amour du don. Pour ça, il suffit d’y travailler et de comprendre que de s’aimer soi-même permet de le redonner... Pour ceux qui ont la foi en Dieu, ça l’aide aussi pour l’amour-propre; car Dieu nous aime inconditionnellement et nous pardonne. Pourquoi donc ne pas s’aimer soi-même et se pardonner si lui le fait pour nous?
La passion, nous la recherchons, nous les gens en manque d’amour, surtout en manque d’amour-propre. Mais la passion de dure pas... Car au fil du temps, l’illusion que l’on se fait de l’autre personne et surtout de ce qu’elle peut nous rapporter, se dissipe. On fini par voir chez l’autre les failles et l’illusion tombe; c’est pourquoi, après un certain temps, la passion s’effrite. La passion n’est donc pas de l’amour...
Les couples qui perdurent dans une relation développent souvent l’amour du don aussi. C’est en recherchant le bonheur des deux parties que se développe la complicité, la confiance, le désir de faire plaisir. La flamme de l’amour peut perdurer, à condition d’aimer sans condition aussi.
Voici donc un bref résumé de ce que je pense de l’amour. Je pense l’avoir reçu cet amour inconditionnel dans ma vie; je suis entourée d’amour présentement et il me fortifie. Sans cet amour, ma vie n’aurait pas de sens. Merci à ceux qui m’aiment inconditionnellement; vous êtes ma force et ma joie.
Lun 16 Sep 2013, 00:37 par
Peacefulminding sur Articles
Moi anaïs insolente jeunesse (en réponse à caressedesyeux)
Devant ma glace je signe la fin de mon sommeil
En quelques fines couches de rimmel
Mes vertes amandes se réveillent
Pas besoin de choix superficiels
Pour dire au monde ma jeunesse, moi jeune demoiselle,
De quelques délicats soulignages colorés
La porcelaine encore juvénile de mon visage
S’anime de la fraicheur de mon âge
D’un bref regard effilé du désir de la vie
Je semble satisfaite de mon portrait
De mes courbes nues offertes aux murs de ma chambre
Je fais d’abord disparaître sans bruit dans la soie
La céramique halée de mes fines jambes
Et d’une fine parure tissée ma douce intimité
Puis j’enferme mes deux tièdes rondeurs dans la dentelle
Parachevant ainsi mes dessous, moi jeune demoiselle
Mon corps de poupée semble alors réclamer
Son quotidien d’apparats pour la journée
j’ai choisi, printanière de ce jour,
De m’habiller fleur, de m’habiller court
Dans des gestes assurés je revêts ces habits
Que vous passants déferez à chacune de nos croisées
Je prends la pose devant le grand miroir
Lèvres entrouvertes, gestes de star
Pour sublimer l’équilibre entre l’utile et le futile
Peaufiner l’ouverture négligée de mon décolleté
De ces gestes rendre visible ce qui ne doit pas l’être
Mes longs cheveux dorés entremêlés
Que seuls mes doigts effleurent en ces matins
En quelques mouvements sont replacés
Dans les musiques tintante de mes bracelets
Me voilà prête à affronter ces clins d’œil mouillés
Sur ce bitume qui n’attend que ma démarche de mannequin
Pour dire au monde ma jeunesse, moi jeune demoiselle
A travers cet insolent envol matinal, jeune hirondelle
En quelques fines couches de rimmel
Mes vertes amandes se réveillent
Pas besoin de choix superficiels
Pour dire au monde ma jeunesse, moi jeune demoiselle,
De quelques délicats soulignages colorés
La porcelaine encore juvénile de mon visage
S’anime de la fraicheur de mon âge
D’un bref regard effilé du désir de la vie
Je semble satisfaite de mon portrait
De mes courbes nues offertes aux murs de ma chambre
Je fais d’abord disparaître sans bruit dans la soie
La céramique halée de mes fines jambes
Et d’une fine parure tissée ma douce intimité
Puis j’enferme mes deux tièdes rondeurs dans la dentelle
Parachevant ainsi mes dessous, moi jeune demoiselle
Mon corps de poupée semble alors réclamer
Son quotidien d’apparats pour la journée
j’ai choisi, printanière de ce jour,
De m’habiller fleur, de m’habiller court
Dans des gestes assurés je revêts ces habits
Que vous passants déferez à chacune de nos croisées
Je prends la pose devant le grand miroir
Lèvres entrouvertes, gestes de star
Pour sublimer l’équilibre entre l’utile et le futile
Peaufiner l’ouverture négligée de mon décolleté
De ces gestes rendre visible ce qui ne doit pas l’être
Mes longs cheveux dorés entremêlés
Que seuls mes doigts effleurent en ces matins
En quelques mouvements sont replacés
Dans les musiques tintante de mes bracelets
Me voilà prête à affronter ces clins d’œil mouillés
Sur ce bitume qui n’attend que ma démarche de mannequin
Pour dire au monde ma jeunesse, moi jeune demoiselle
A travers cet insolent envol matinal, jeune hirondelle
Mer 05 Juin 2013, 08:19 par
Jime sur L'amour en vrac
Une leçon de piano ( texte retravaillé)
UNE LEÇON DE PIANO
Pour la première fois , elle allait à son rendez-vous, un cours de piano. Elle imaginait déjà ,un vieux monsieur pour l’accueillir . Le quartier était mal éclairé en cette soirée de début d’hiver, et la nuit tombait trop vite. Elle arriva essoufflée d’avoir monté les trente marches qui menaient à l’appartement de son professeur . Il n’y avait qu’une seule porte sur ce pallier aux peintures défraichies et à l’odeur chargée du passé.
Elle ne pouvait se tromper, elle sonna. Aucune réponse.
En se demandant si elle était à la bonne adresse. Elle jeta de nouveau un coup d’œil sur la porte.
Oui, c’était bien ici, pas de doute!
Elle entendit un bruit de talons et elle se dit que finalement son professeur devait être une femme.........
La porte s’ouvrit. Une "vieille" dame coiffée d’un chignon blanc et très ridée lui souriait et la fit entrer. Elle la pria de s’assoir dans une salle d’attente qui n’en avait que l’usage car elle ressemblait plus à un salon douillet avec un canapé moelleux de par sa texture et de ses coussins aux couleurs chatoyantes. Elle attendit en jetant un oeil à sa montre. Cette fois-ci elle était en retard..........
La porte s’ouvrit, Quel ne fut pas sa surprise, ce n’était pas une femme. Mais un bel homme et plutôt jeune, de grande taille et d’une beauté glaciale à en donner des frissons, des yeux gris, des
cheveux ébène, pas d’alliance, ce qui lui semblait bon signe même si de nos jours cela ne voulait rien dire.
.Il se présenta, lui serra la main et la fit entrer dans une pièce très claire flanquée d’ un magnifique piano.un bouquet de rose était posé sur un guéridon.
Elle se sentit pleine d’ appréhension et son cœur palpitait.
Elle perdait ses moyens ne se reconnaissant pas. Il lui demanda si elle savait ce qu’était une portée, et si elle savait jouer.
Oui mais seulement avec deux doigts répondit-elle.
Elle revint trois fois par semaine, et s’améliorait très rapidement. Le professeur la félicita de sa progression .
Une grande tendresse, s’était instaurée entre eux, presque de la complicité puis de désirs inavoués et silencieux
Un jour ils firent l’amour sur le piano, puis tant d’autres fois .....
Elle n’est jamais repartie
Pour la première fois , elle allait à son rendez-vous, un cours de piano. Elle imaginait déjà ,un vieux monsieur pour l’accueillir . Le quartier était mal éclairé en cette soirée de début d’hiver, et la nuit tombait trop vite. Elle arriva essoufflée d’avoir monté les trente marches qui menaient à l’appartement de son professeur . Il n’y avait qu’une seule porte sur ce pallier aux peintures défraichies et à l’odeur chargée du passé.
Elle ne pouvait se tromper, elle sonna. Aucune réponse.
En se demandant si elle était à la bonne adresse. Elle jeta de nouveau un coup d’œil sur la porte.
Oui, c’était bien ici, pas de doute!
Elle entendit un bruit de talons et elle se dit que finalement son professeur devait être une femme.........
La porte s’ouvrit. Une "vieille" dame coiffée d’un chignon blanc et très ridée lui souriait et la fit entrer. Elle la pria de s’assoir dans une salle d’attente qui n’en avait que l’usage car elle ressemblait plus à un salon douillet avec un canapé moelleux de par sa texture et de ses coussins aux couleurs chatoyantes. Elle attendit en jetant un oeil à sa montre. Cette fois-ci elle était en retard..........
La porte s’ouvrit, Quel ne fut pas sa surprise, ce n’était pas une femme. Mais un bel homme et plutôt jeune, de grande taille et d’une beauté glaciale à en donner des frissons, des yeux gris, des
cheveux ébène, pas d’alliance, ce qui lui semblait bon signe même si de nos jours cela ne voulait rien dire.
.Il se présenta, lui serra la main et la fit entrer dans une pièce très claire flanquée d’ un magnifique piano.un bouquet de rose était posé sur un guéridon.
Elle se sentit pleine d’ appréhension et son cœur palpitait.
Elle perdait ses moyens ne se reconnaissant pas. Il lui demanda si elle savait ce qu’était une portée, et si elle savait jouer.
Oui mais seulement avec deux doigts répondit-elle.
Elle revint trois fois par semaine, et s’améliorait très rapidement. Le professeur la félicita de sa progression .
Une grande tendresse, s’était instaurée entre eux, presque de la complicité puis de désirs inavoués et silencieux
Un jour ils firent l’amour sur le piano, puis tant d’autres fois .....
Elle n’est jamais repartie
Mer 27 Mars 2013, 17:52 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Et ça et moi film de cul vaginal son orifice
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Mer 27 Fév 2013, 03:58 par
LetheeldVek sur L'amour en vrac
L'ombre du désir
Obsédé sans cesse
Par ses seins pointus
Fantasmes et caresses
Sur son petit cul
Son corps de nymphette, ébouillante tes nuits
Soubrettes et silhouettes, embrasent tes envies
Ca te dévore l’esprit
Au fils des semaines
Mais ce n’est pas une vie
Ta main qui se démène
Derrière sa porte, planqué dans le noir
Ou dans le jardin quand il est déjà tard
Désirs dans l’ombre
Que dire de ces plaisirs si sombres
C’est déprimant
De s’agiter solitairement
Désirs de l’ombre
Des courbes charnelles d’une demoiselle
Epiées en nombre
Mais tu jouis seul loin de la belle
Ce n’est qu’une ombre
Mais tu t’obstines
A croire qu’un jour ton dur concombre
Visitera la jeune coquine
Plaisirs de l’ombre
Dans les décombres
D’une sexualité de passage
D’ado pas sage
Petite voisine
Concentrée de braises
Dont tu mates l’échine
Perché sur une chaise
Derrière ta fenêtre , planqué dans le noir
Ou dans le jardin quand il est déjà tard
De ce petit manège
Tu es prisonnier
Ton seul privilège
A rester caché
Ton sexe qui glisse entre tes cinq doigts
Quand son entrecuisse se dessine parfois
Par ses seins pointus
Fantasmes et caresses
Sur son petit cul
Son corps de nymphette, ébouillante tes nuits
Soubrettes et silhouettes, embrasent tes envies
Ca te dévore l’esprit
Au fils des semaines
Mais ce n’est pas une vie
Ta main qui se démène
Derrière sa porte, planqué dans le noir
Ou dans le jardin quand il est déjà tard
Désirs dans l’ombre
Que dire de ces plaisirs si sombres
C’est déprimant
De s’agiter solitairement
Désirs de l’ombre
Des courbes charnelles d’une demoiselle
Epiées en nombre
Mais tu jouis seul loin de la belle
Ce n’est qu’une ombre
Mais tu t’obstines
A croire qu’un jour ton dur concombre
Visitera la jeune coquine
Plaisirs de l’ombre
Dans les décombres
D’une sexualité de passage
D’ado pas sage
Petite voisine
Concentrée de braises
Dont tu mates l’échine
Perché sur une chaise
Derrière ta fenêtre , planqué dans le noir
Ou dans le jardin quand il est déjà tard
De ce petit manège
Tu es prisonnier
Ton seul privilège
A rester caché
Ton sexe qui glisse entre tes cinq doigts
Quand son entrecuisse se dessine parfois
Ven 23 Nov 2012, 09:30 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
Passage à l'acte
Une heure du matin.
Dans cette rue sordide.
Des femmes alignées comme des réverbères, le long de la rue.
A leur manière d’ailleurs, elles éclairent.
Elles aussi.
La vie de certaines âmes. En peine.
Comme la tienne ce soir un peu.
Une heure du matin, et toi tu es là.
A trainer, à épier, à atermoyer –j’y vais, j’y vais pas.
Tu te sens encore emprisonné dans une sage attitude de circonstance.
A peine naturelle.
L’envie de braver l’interdit. Pourtant.
Flirter temporairement avec le mauvais genre.
On devient vite n’importe quoi….
Une du matin, liberté providentielle.
Une heure du matin, tu es dans cette rue blafarde.
Mal éclairé, parmi une faune où tu ne te reconnais pas
L’envie qui te tiraille dans le bas ventre t’attire inexorablement,
Lentement, inéluctablement, vers la bassesse. La chose coupable.
Une heure du matin, elle est là comme les autres.
Mais elle t’attire plus. Pourquoi ?
C’est elle. Ce sera elle.
Sa posture incitatrice, son déhanché furtif
Ont raison de tes derniers renoncements, si faibles.
Tu t’approches.
Sa silhouette fluette, sa chevelure sauvage, son air d’à peine 20 ans…
Ses deux grands yeux noirs te fixent, un sourire lui échappe.
Ton embarras de la situation.
Tu n’oses plus la regarder.
Comme par peur de regretter ton choix, regretter tout court, t’enfuir,
Faire demi-tour, pleurer, te maudire, te vomir.
Tes yeux couards cloués dans le sol.
Ils captent cependant ses fines jambes habillées de bas résilles
Plantées dans des chaussures à talons aiguilles
Qui attisent un peu plus ton excitation.
Devenue désormais irrémédiable.
Elle ouvre sa grande bouche
Qui a déjà dû malgré son jeune âge apparent
Accueillir bon gré mal gré des centaines d’hommes de tous horizons….
Un « Bonsoir vous montez ? » claque dans ta sphère
Surpris par le vouvoiement. Comme un respect.
Du coup tu restes silencieux, comme mortifié.
Elle relance, professionnelle
Le prix pour une fellation, le prix pour l’amour.
Quel amour ?
Tu ne te souviens pas de ta réponse exacte.
Ni du portillon franchi à la hâte.
En revanche, tu revois l’escalier dans lequel
Milles pensées défilent à la vitesse de l’éclair,
Où chaque marche gravie te fait osciller entre
L’amertume du regret et le stimulus de la scène qui se joue.
L’appartement. L’odeur d’un parfum fort, enivrant.
Une lumière tamisée qui t’inspire la honte.
Tu payes. Glauque.
Elle se déshabille.
Tu la regardes, un peu statufié. Exitation latente. L’attente.
Elle te dit d’en faire autant.
Exécution machinale, de manière saccadée.
Lentement comme pour retarder le moment. Paradoxal
Dialogue minimum.
Tu te sens comme un petit garçon en train de faire une bêtise.
« Tu viens ? »
Elle est allongée, nue, offerte, jambes écartées,
Et tu t’attardes un instant sur ce sexe qui t’attend.
Rasé. Béant. Suintant le passage des autres.
"Viens"
Tes yeux te piquent, tes mains sont moites, ta bouche pâteuse.
Tu t’allonges à ton tour, coiffé d’une gêne palpable.
Et d’un préservatif.
Où est donc passé ce mâle que tu croyais être ?
Si sûr de lui, si dominant, fort comme Dieu.
Sur ce lit d’infortune, tu ne le vois pas.
Il n’y a que toi, vide de ce que tu es,
Mais plein de honte.
Mais le sexe déjà raide.
Qui s’enfonce en elle. Façon vaseline.
Passage à l’acte.
Tu as quitté cette pièce façon dérobade, sans gloriole.
Tu as essayé de remettre à leur place l’ordre des choses
Marchant des heures vers nulle part.
5 heures du matin, tu es rentré chez toi.
Pas sommeil.
Tu as fait le tour de la maison vide,
Pour t’assurer que le silence qu’il y régnait
Etait bien celui auquel tu aspirais à ce moment-là.
Oui, personne pour te surprendre.
Digérer seul ton écart.
Tu n’oses pas aller t’étendre sur le lit. Conjugal.
Comme si tu pensais ne plus y avoir ta place.
Assis dans ton fauteuil.
Tu te repasses en boucle certaines images
Elles semblent vouloir s’incruster de force et violer ta mémoire.
Te punir. Peut-être.
Jime
Dans cette rue sordide.
Des femmes alignées comme des réverbères, le long de la rue.
A leur manière d’ailleurs, elles éclairent.
Elles aussi.
La vie de certaines âmes. En peine.
Comme la tienne ce soir un peu.
Une heure du matin, et toi tu es là.
A trainer, à épier, à atermoyer –j’y vais, j’y vais pas.
Tu te sens encore emprisonné dans une sage attitude de circonstance.
A peine naturelle.
L’envie de braver l’interdit. Pourtant.
Flirter temporairement avec le mauvais genre.
On devient vite n’importe quoi….
Une du matin, liberté providentielle.
Une heure du matin, tu es dans cette rue blafarde.
Mal éclairé, parmi une faune où tu ne te reconnais pas
L’envie qui te tiraille dans le bas ventre t’attire inexorablement,
Lentement, inéluctablement, vers la bassesse. La chose coupable.
Une heure du matin, elle est là comme les autres.
Mais elle t’attire plus. Pourquoi ?
C’est elle. Ce sera elle.
Sa posture incitatrice, son déhanché furtif
Ont raison de tes derniers renoncements, si faibles.
Tu t’approches.
Sa silhouette fluette, sa chevelure sauvage, son air d’à peine 20 ans…
Ses deux grands yeux noirs te fixent, un sourire lui échappe.
Ton embarras de la situation.
Tu n’oses plus la regarder.
Comme par peur de regretter ton choix, regretter tout court, t’enfuir,
Faire demi-tour, pleurer, te maudire, te vomir.
Tes yeux couards cloués dans le sol.
Ils captent cependant ses fines jambes habillées de bas résilles
Plantées dans des chaussures à talons aiguilles
Qui attisent un peu plus ton excitation.
Devenue désormais irrémédiable.
Elle ouvre sa grande bouche
Qui a déjà dû malgré son jeune âge apparent
Accueillir bon gré mal gré des centaines d’hommes de tous horizons….
Un « Bonsoir vous montez ? » claque dans ta sphère
Surpris par le vouvoiement. Comme un respect.
Du coup tu restes silencieux, comme mortifié.
Elle relance, professionnelle
Le prix pour une fellation, le prix pour l’amour.
Quel amour ?
Tu ne te souviens pas de ta réponse exacte.
Ni du portillon franchi à la hâte.
En revanche, tu revois l’escalier dans lequel
Milles pensées défilent à la vitesse de l’éclair,
Où chaque marche gravie te fait osciller entre
L’amertume du regret et le stimulus de la scène qui se joue.
L’appartement. L’odeur d’un parfum fort, enivrant.
Une lumière tamisée qui t’inspire la honte.
Tu payes. Glauque.
Elle se déshabille.
Tu la regardes, un peu statufié. Exitation latente. L’attente.
Elle te dit d’en faire autant.
Exécution machinale, de manière saccadée.
Lentement comme pour retarder le moment. Paradoxal
Dialogue minimum.
Tu te sens comme un petit garçon en train de faire une bêtise.
« Tu viens ? »
Elle est allongée, nue, offerte, jambes écartées,
Et tu t’attardes un instant sur ce sexe qui t’attend.
Rasé. Béant. Suintant le passage des autres.
"Viens"
Tes yeux te piquent, tes mains sont moites, ta bouche pâteuse.
Tu t’allonges à ton tour, coiffé d’une gêne palpable.
Et d’un préservatif.
Où est donc passé ce mâle que tu croyais être ?
Si sûr de lui, si dominant, fort comme Dieu.
Sur ce lit d’infortune, tu ne le vois pas.
Il n’y a que toi, vide de ce que tu es,
Mais plein de honte.
Mais le sexe déjà raide.
Qui s’enfonce en elle. Façon vaseline.
Passage à l’acte.
Tu as quitté cette pièce façon dérobade, sans gloriole.
Tu as essayé de remettre à leur place l’ordre des choses
Marchant des heures vers nulle part.
5 heures du matin, tu es rentré chez toi.
Pas sommeil.
Tu as fait le tour de la maison vide,
Pour t’assurer que le silence qu’il y régnait
Etait bien celui auquel tu aspirais à ce moment-là.
Oui, personne pour te surprendre.
Digérer seul ton écart.
Tu n’oses pas aller t’étendre sur le lit. Conjugal.
Comme si tu pensais ne plus y avoir ta place.
Assis dans ton fauteuil.
Tu te repasses en boucle certaines images
Elles semblent vouloir s’incruster de force et violer ta mémoire.
Te punir. Peut-être.
Jime
Jeu 12 Juil 2012, 15:29 par
Jime sur L'amour en vrac
Une guerriere
Assis, ce matin, à la terrasse de ce café, je me sens serein et je goutte la calme tiédeur de cette matinée qui n’a pas encore commencé. Hier soir, je me suis couché tôt, refusant de ne pas éteindre la télé après le journal. Je ne fume plus, et j’ai réussi à ne plus boire à l’ivresse, même légère. Quand je me suis levé, je me sentais propre de l’intérieur, plein d’une énergie que je ne suis pas sûr n’avoir jamais vraiment eu. Je suis parti à pieds vers le centre du village, à l’heure où l’on est sous sa douche. J’étais heureux de mes choix, je n’avais plus peur de vieillir, avec cette impression au cœur que tout est encore possible, comme quand j’étais l’adolescent au cheveux noirs et bouclés, qui posait pour sa première carte d’étudiant, regardant confiant l’avenir au travers de l’objectif les yeux arrogants et posés comme un air de défi. Ce matin, j’étais ce jeune homme vert, à la peau douce, au visage sans mollesse.
Le ciel est clair, le vent a chassé les nuages. La journée commence dans la douceur. Je regarde la rue animée par les artisans qui rejoignent leur chantier. Je tourne la cuillère dans ma tasse de café, ne sachant ou la poser. Le patron du bistrot, derrière son comptoir est occupé de mille taches dont j’ignore le sens. Un vieux, au visage de parchemin est absorbé par la lecture de la rubrique hippique d’un journal qu’il a sorti de la poche intérieure de sa veste. Le temps passe sans but avec lenteur et je n’ai pas encore porté la tasse à mes lèvres. J’attends, et pourtant je sais que bientôt je me lèverai pour reprendre le chemin de ma location. On se croirait comme en Afrique, ou dans le sud de l’Espagne, quand la chaleur écrasant l’air, immobilise la vie.
C’est à ce moment que je l’ai vue passer devant moi. Habillée court, chaussée de talons hauts, elle m’apparaissait dans la minceur triomphante de celles pour qui leur silhouette est le fruit de l’entreprise d’une vie. Elle marchait en roulant ses fesses, le regard fixé vers la boulangerie. Je me suis senti attiré vers elle, ne pouvant détacher mes yeux de ce cul hypnotique. Quand elle n’était plus là, j’avais son image encore au fond de mes yeux. Qui était donc cette femme ? Il ne faut pas être devin pour imaginer qu’elle devait porter un lourd bagage psychologique. Je me sentais à la fois amusé et excité par cette poupée de cinquante ans, qui pour être certaine d’accrocher le regard des hommes avait du passer plus de deux heures à s’apprêter dans le silence de sa salle de bain afin de se présenter dans les atours les plus caricaturaux de la féminité, simplement pour aller chercher son pain.
Elle exprimait une telle volonté d’être séduisante, qu’elle en devenait émouvante. Je l’imaginais fragile et inquiète, passant probablement le plus clair de son temps à scruter les signes de l’âge, qu’elle tentait avec obstination d’endiguer méthodiquement. Elle avait la chance d’avoir su garder la finesse de sa silhouette, conservant un corps fin et musclé qu’elle devait mettre en valeur pour que l’on oublie de regarder son visage qui, malgré sa science du maquillage ne pouvait plus faire impression. Dans l’excès de l’obsession de son apparence, elle en faisait trop. Vêtue comme une chasseuse, elle avançait d’une démarche étudiée, uniquement attentive aux regards qui se posaient sur elle. Je l’ai sentie blessée, comme une femme qui a pris la décision de se donner les moyens de refaire sa vie. Chez elle, la fêlure allait au-delà de la simple campagne de séduction. On sentait que son corps était le terrain d’un champ d’une bataille qui se livrait quotidiennement. Elle refusait, elle niait, elle luttait. Elle savait qu’il ne lui restait que peu de temps avant que les brèches ne soient trop nombreuses pour colmater les fuites toujours plus puissantes, qu’elle scrutait chaque jour, que bientôt elle ne saurait plus endiguer. Elle craignait ce jour, refusant d’y penser, mais investissant dans sa lutte chaque instant de sa vie. Cet instant arriverait trop tôt. Vaincue par le temps, dans sa solitude désœuvrée, Elle n’aurait plus alors de but et n’aurait plus qu’à contempler ses souvenirs au hasard des albums de photos, se remémorant le temps où elle faisait encore se retourner les hommes. Ce jour arriverait trop tôt, le temps où elle ne serait plus qu’une vieille au statut de beauté déchue durerait trop longtemps.
Perdu dans mes divagations, je la vis repasser. Le vieux leva la tête et l’observa en affichant un sourire gourmand. Il ne put s’empêcher de lancer une remarque salace, sur ses fesses et ses jambes. Ce vieux crabe, qui ne devait pas être plus vieux que cette guerrière la considérait comme si elle lui devait quelque chose. Elle au moins se battait, tandis que lui avait depuis longtemps abandonné tout espoir de paraitre. Il avait parlé suffisamment fort et elle était assez proche pour entendre sa parole crue. Elle avançait toujours en roulant ses fesses, et en dansant sur ses escarpins, sans tourner la tête, fière d’être là dans la couleur de sa séduction outrageuse. Elle savait qu’au moins un regard ne se détachait pas de ses fesses. Elle se sentait inaccessible, excitée par le fait qu’elle nourrirait les fantasmes de ce vieux bonhomme. Moi, je la suivais des yeux, sous le regard complice de mon voisin. Dans la rue un volet s’ouvrait. Une vieille dame, en peignoir arrosait ses géraniums.
J’aurais voulu la suivre, juste pour savoir et aussi m’imprégner de son hallucinante démarche de danseuse. J’aurais voulu lui parler, tenter d’attirer son attention. Mais je savais bien que ce genre de femme ne se nourrit que de la jeunesse. Je payais mon café, et repartais, sous le soleil déjà haut qui m’écrasait la nuque. Je me sentais vieux. Bien loin du jeune homme aux cheveux bruns et bouclés qu’elle aurait tant désiré à présent, qu’elle n’aurait pas remarqué dans sa jeunesse car bien trop vert pour elle.
Le ciel est clair, le vent a chassé les nuages. La journée commence dans la douceur. Je regarde la rue animée par les artisans qui rejoignent leur chantier. Je tourne la cuillère dans ma tasse de café, ne sachant ou la poser. Le patron du bistrot, derrière son comptoir est occupé de mille taches dont j’ignore le sens. Un vieux, au visage de parchemin est absorbé par la lecture de la rubrique hippique d’un journal qu’il a sorti de la poche intérieure de sa veste. Le temps passe sans but avec lenteur et je n’ai pas encore porté la tasse à mes lèvres. J’attends, et pourtant je sais que bientôt je me lèverai pour reprendre le chemin de ma location. On se croirait comme en Afrique, ou dans le sud de l’Espagne, quand la chaleur écrasant l’air, immobilise la vie.
C’est à ce moment que je l’ai vue passer devant moi. Habillée court, chaussée de talons hauts, elle m’apparaissait dans la minceur triomphante de celles pour qui leur silhouette est le fruit de l’entreprise d’une vie. Elle marchait en roulant ses fesses, le regard fixé vers la boulangerie. Je me suis senti attiré vers elle, ne pouvant détacher mes yeux de ce cul hypnotique. Quand elle n’était plus là, j’avais son image encore au fond de mes yeux. Qui était donc cette femme ? Il ne faut pas être devin pour imaginer qu’elle devait porter un lourd bagage psychologique. Je me sentais à la fois amusé et excité par cette poupée de cinquante ans, qui pour être certaine d’accrocher le regard des hommes avait du passer plus de deux heures à s’apprêter dans le silence de sa salle de bain afin de se présenter dans les atours les plus caricaturaux de la féminité, simplement pour aller chercher son pain.
Elle exprimait une telle volonté d’être séduisante, qu’elle en devenait émouvante. Je l’imaginais fragile et inquiète, passant probablement le plus clair de son temps à scruter les signes de l’âge, qu’elle tentait avec obstination d’endiguer méthodiquement. Elle avait la chance d’avoir su garder la finesse de sa silhouette, conservant un corps fin et musclé qu’elle devait mettre en valeur pour que l’on oublie de regarder son visage qui, malgré sa science du maquillage ne pouvait plus faire impression. Dans l’excès de l’obsession de son apparence, elle en faisait trop. Vêtue comme une chasseuse, elle avançait d’une démarche étudiée, uniquement attentive aux regards qui se posaient sur elle. Je l’ai sentie blessée, comme une femme qui a pris la décision de se donner les moyens de refaire sa vie. Chez elle, la fêlure allait au-delà de la simple campagne de séduction. On sentait que son corps était le terrain d’un champ d’une bataille qui se livrait quotidiennement. Elle refusait, elle niait, elle luttait. Elle savait qu’il ne lui restait que peu de temps avant que les brèches ne soient trop nombreuses pour colmater les fuites toujours plus puissantes, qu’elle scrutait chaque jour, que bientôt elle ne saurait plus endiguer. Elle craignait ce jour, refusant d’y penser, mais investissant dans sa lutte chaque instant de sa vie. Cet instant arriverait trop tôt. Vaincue par le temps, dans sa solitude désœuvrée, Elle n’aurait plus alors de but et n’aurait plus qu’à contempler ses souvenirs au hasard des albums de photos, se remémorant le temps où elle faisait encore se retourner les hommes. Ce jour arriverait trop tôt, le temps où elle ne serait plus qu’une vieille au statut de beauté déchue durerait trop longtemps.
Perdu dans mes divagations, je la vis repasser. Le vieux leva la tête et l’observa en affichant un sourire gourmand. Il ne put s’empêcher de lancer une remarque salace, sur ses fesses et ses jambes. Ce vieux crabe, qui ne devait pas être plus vieux que cette guerrière la considérait comme si elle lui devait quelque chose. Elle au moins se battait, tandis que lui avait depuis longtemps abandonné tout espoir de paraitre. Il avait parlé suffisamment fort et elle était assez proche pour entendre sa parole crue. Elle avançait toujours en roulant ses fesses, et en dansant sur ses escarpins, sans tourner la tête, fière d’être là dans la couleur de sa séduction outrageuse. Elle savait qu’au moins un regard ne se détachait pas de ses fesses. Elle se sentait inaccessible, excitée par le fait qu’elle nourrirait les fantasmes de ce vieux bonhomme. Moi, je la suivais des yeux, sous le regard complice de mon voisin. Dans la rue un volet s’ouvrait. Une vieille dame, en peignoir arrosait ses géraniums.
J’aurais voulu la suivre, juste pour savoir et aussi m’imprégner de son hallucinante démarche de danseuse. J’aurais voulu lui parler, tenter d’attirer son attention. Mais je savais bien que ce genre de femme ne se nourrit que de la jeunesse. Je payais mon café, et repartais, sous le soleil déjà haut qui m’écrasait la nuque. Je me sentais vieux. Bien loin du jeune homme aux cheveux bruns et bouclés qu’elle aurait tant désiré à présent, qu’elle n’aurait pas remarqué dans sa jeunesse car bien trop vert pour elle.
Lun 28 Mai 2012, 14:26 par
francisco varga sur Mille choses
Une guerriere
Assis, ce matin, à la terrasse de ce café, je me sens serein et je goutte le calme et la tiédeur de cette matinée qui n’a pas encore commencé. Hier soir, je me suis couché tôt, refusant de ne pas éteindre la télé après le journal. Je ne fume plus, et j’ai réussi à ne plus boire à l’ivresse, même légère. Quand je me suis levé, je me sentais propre de l’intérieur, plein d’une énergie que je ne suis pas sûr n’avoir jamais vraiment eu. Je suis parti à pieds vers le centre du village, à l’heure où l’on est sous sa douche. J’étais heureux de mes choix, je n’avais plus peur de vieillir, avec cette impression au cœur que tout est encore possible, comme quand j’étais l’adolescent au cheveux noirs et bouclés, qui posait pour sa première carte d’étudiant, regardant confiant l’avenir au travers de l’objectif les yeux arrogants et posés comme un air de défi. Ce matin, j’étais ce jeune homme vert, à la peau douce, au visage sans mollesse.
Le ciel est clair, le vent a chassé les nuages. La journée commence dans la douceur. Je regarde la rue animée par les artisans qui rejoignent leur chantier. Je tourne la cuillère dans ma tasse de café, ne sachant ou la poser. Le patron du bistrot, derrière son comptoir est occupé de mille taches dont j’ignore le sens. Un vieux, au visage de parchemin est absorbé par la lecture de la rubrique hippique d’un journal qu’il a sorti de la poche intérieure de sa veste. Le temps passe sans but avec lenteur et je n’ai pas encore porté la tasse à mes lèvres. J’attends, et pourtant je sais que bientôt je me lèverai pour reprendre le chemin de ma location. On se croirait comme en Afrique, ou dans le sud de l’Espagne, quand la chaleur écrasant l’air, immobilise la vie.
C’est à ce moment que je l’ai vue passer devant moi. Habillée court, chaussée de talons hauts, elle m’apparaissait dans la minceur triomphante de celles pour qui leur silhouette est le fruit de l’entreprise d’une vie. Elle marchait en roulant ses fesses, le regard fixé vers la boulangerie. Je me suis senti attiré vers elle, ne pouvant détacher mes yeux de ce cul hypnotique. Quand elle n’était plus là, j’avais son image encore au fond de mes yeux. Qui était donc cette femme ? Il ne faut pas être devin pour imaginer qu’elle devait porter un lourd bagage psychologique. Je me sentais à la fois amusé et excité par cette poupée de cinquante ans, qui pour être certaine d’accrocher le regard des hommes avait du passer plus de deux heures à s’apprêter dans le silence de sa salle de bain afin de se présenter dans les atours les plus caricaturaux de la féminité, simplement pour aller chercher son pain.
Elle exprimait une telle volonté d’être séduisante, qu’elle en devenait émouvante. Je l’imaginais fragile et inquiète, passant probablement le plus clair de son temps à scruter les signes de l’âge, qu’elle tentait avec obstination d’endiguer méthodiquement. Elle avait la chance d’avoir su garder la finesse de sa silhouette, conservant un corps fin et musclé qu’elle devait mettre en valeur pour que l’on oublie de regarder son visage qui, malgré sa science du maquillage ne pouvait plus faire impression. Dans l’excès de l’obsession de son apparence, elle en faisait trop. Vêtue comme une chasseuse, elle avançait d’une démarche étudiée, uniquement attentive aux regards qui se posaient sur elle. Je l’ai sentie blessée, comme une femme qui a pris la décision de se donner les moyens de refaire sa vie. Chez elle, la fêlure allait au-delà de la simple campagne de séduction. On sentait que son corps était le terrain d’un champ d’une bataille qui se livrait quotidiennement. Elle refusait, elle niait, elle luttait. Elle savait qu’il ne lui restait que peu de temps avant que les brèches ne soient trop nombreuses pour colmater les fuites toujours plus puissantes, qu’elle scrutait chaque jour, que bientôt elle ne saurait plus endiguer. Elle craignait ce jour, refusant d’y penser, mais investissant dans sa lutte chaque instant de sa vie. Cet instant arriverait trop tôt. Vaincue par le temps, dans sa solitude désœuvrée, Elle n’aurait plus alors de but et n’aurait plus qu’à contempler ses souvenirs au hasard des albums de photos, se remémorant le temps où elle faisait encore se retourner les hommes. Ce jour arriverait trop tôt, le temps où elle ne serait plus qu’une vieille au statut de beauté déchue durerait trop longtemps.
Perdu dans mes divagations, je la vis repasser. Le vieux leva la tête et l’observa en affichant un sourire gourmand. Il ne put s’empêcher de lancer une remarque salace, sur ses fesses et ses jambes. Ce vieux crabe, qui ne devait pas être plus vieux que cette guerrière la considérait comme si elle lui devait quelque chose. Elle au moins se battait, tandis que lui avait depuis longtemps abandonné tout espoir de paraitre. Il avait parlé suffisamment fort et elle était assez proche pour entendre sa parole crue. Elle avançait toujours en roulant ses fesses, et en dansant sur ses escarpins, sans tourner la tête, fière d’être là dans la couleur de sa séduction outrageuse. Elle savait qu’au moins un regard ne se détachait pas de ses fesses. Elle se sentait inaccessible, excitée par le fait qu’elle nourrirait les fantasmes de ce vieux bonhomme. Moi, je la suivais des yeux, sous le regard complice de mon voisin. Dans la rue un volet s’ouvrait. Une vieille dame, en peignoir arrosait ses géraniums.
J’aurais voulu la suivre, juste pour savoir et aussi m’imprégner de son hallucinante démarche de danseuse. J’aurais voulu lui parler, tenter d’attirer son attention. Mais je savais bien que ce genre de femme ne se nourrit que de la jeunesse. Je payais mon café, et repartais, sous le soleil déjà haut qui m’écrasait la nuque. Je me sentais vieux. Bien loin du jeune homme aux cheveux bruns et bouclés qu’elle aurait tant désiré à présent, qu’elle n’aurait pas remarqué dans sa jeunesse car bien trop vert pour elle.
Le ciel est clair, le vent a chassé les nuages. La journée commence dans la douceur. Je regarde la rue animée par les artisans qui rejoignent leur chantier. Je tourne la cuillère dans ma tasse de café, ne sachant ou la poser. Le patron du bistrot, derrière son comptoir est occupé de mille taches dont j’ignore le sens. Un vieux, au visage de parchemin est absorbé par la lecture de la rubrique hippique d’un journal qu’il a sorti de la poche intérieure de sa veste. Le temps passe sans but avec lenteur et je n’ai pas encore porté la tasse à mes lèvres. J’attends, et pourtant je sais que bientôt je me lèverai pour reprendre le chemin de ma location. On se croirait comme en Afrique, ou dans le sud de l’Espagne, quand la chaleur écrasant l’air, immobilise la vie.
C’est à ce moment que je l’ai vue passer devant moi. Habillée court, chaussée de talons hauts, elle m’apparaissait dans la minceur triomphante de celles pour qui leur silhouette est le fruit de l’entreprise d’une vie. Elle marchait en roulant ses fesses, le regard fixé vers la boulangerie. Je me suis senti attiré vers elle, ne pouvant détacher mes yeux de ce cul hypnotique. Quand elle n’était plus là, j’avais son image encore au fond de mes yeux. Qui était donc cette femme ? Il ne faut pas être devin pour imaginer qu’elle devait porter un lourd bagage psychologique. Je me sentais à la fois amusé et excité par cette poupée de cinquante ans, qui pour être certaine d’accrocher le regard des hommes avait du passer plus de deux heures à s’apprêter dans le silence de sa salle de bain afin de se présenter dans les atours les plus caricaturaux de la féminité, simplement pour aller chercher son pain.
Elle exprimait une telle volonté d’être séduisante, qu’elle en devenait émouvante. Je l’imaginais fragile et inquiète, passant probablement le plus clair de son temps à scruter les signes de l’âge, qu’elle tentait avec obstination d’endiguer méthodiquement. Elle avait la chance d’avoir su garder la finesse de sa silhouette, conservant un corps fin et musclé qu’elle devait mettre en valeur pour que l’on oublie de regarder son visage qui, malgré sa science du maquillage ne pouvait plus faire impression. Dans l’excès de l’obsession de son apparence, elle en faisait trop. Vêtue comme une chasseuse, elle avançait d’une démarche étudiée, uniquement attentive aux regards qui se posaient sur elle. Je l’ai sentie blessée, comme une femme qui a pris la décision de se donner les moyens de refaire sa vie. Chez elle, la fêlure allait au-delà de la simple campagne de séduction. On sentait que son corps était le terrain d’un champ d’une bataille qui se livrait quotidiennement. Elle refusait, elle niait, elle luttait. Elle savait qu’il ne lui restait que peu de temps avant que les brèches ne soient trop nombreuses pour colmater les fuites toujours plus puissantes, qu’elle scrutait chaque jour, que bientôt elle ne saurait plus endiguer. Elle craignait ce jour, refusant d’y penser, mais investissant dans sa lutte chaque instant de sa vie. Cet instant arriverait trop tôt. Vaincue par le temps, dans sa solitude désœuvrée, Elle n’aurait plus alors de but et n’aurait plus qu’à contempler ses souvenirs au hasard des albums de photos, se remémorant le temps où elle faisait encore se retourner les hommes. Ce jour arriverait trop tôt, le temps où elle ne serait plus qu’une vieille au statut de beauté déchue durerait trop longtemps.
Perdu dans mes divagations, je la vis repasser. Le vieux leva la tête et l’observa en affichant un sourire gourmand. Il ne put s’empêcher de lancer une remarque salace, sur ses fesses et ses jambes. Ce vieux crabe, qui ne devait pas être plus vieux que cette guerrière la considérait comme si elle lui devait quelque chose. Elle au moins se battait, tandis que lui avait depuis longtemps abandonné tout espoir de paraitre. Il avait parlé suffisamment fort et elle était assez proche pour entendre sa parole crue. Elle avançait toujours en roulant ses fesses, et en dansant sur ses escarpins, sans tourner la tête, fière d’être là dans la couleur de sa séduction outrageuse. Elle savait qu’au moins un regard ne se détachait pas de ses fesses. Elle se sentait inaccessible, excitée par le fait qu’elle nourrirait les fantasmes de ce vieux bonhomme. Moi, je la suivais des yeux, sous le regard complice de mon voisin. Dans la rue un volet s’ouvrait. Une vieille dame, en peignoir arrosait ses géraniums.
J’aurais voulu la suivre, juste pour savoir et aussi m’imprégner de son hallucinante démarche de danseuse. J’aurais voulu lui parler, tenter d’attirer son attention. Mais je savais bien que ce genre de femme ne se nourrit que de la jeunesse. Je payais mon café, et repartais, sous le soleil déjà haut qui m’écrasait la nuque. Je me sentais vieux. Bien loin du jeune homme aux cheveux bruns et bouclés qu’elle aurait tant désiré à présent, qu’elle n’aurait pas remarqué dans sa jeunesse car bien trop vert pour elle.
Lun 28 Mai 2012, 14:24 par
francisco varga sur Mille choses
Texte "d'amour" composé à 15 ans
Pourquoi rester ici alors qu’en faite , je ne fais que subir le reste de mes maux d’autrefois .. J’ai certes attenté à finir ce restant de ma vie tant de fois mais aucune n’a su se concrétiser .. Sais tu pourquoi , toi qui es entrain de lire ceci ? Je ne pourrais t’apporter qu’un fragment de réponse sûrement , mais au moins sache que si je peux encore écrire , c’est qu’une force me maintient , même si elle est infime , je pense qu’il y à une chance qu’elle renaisse de ses cendres.. La vie est dure , mais elle l’est moins quand tu as quelqu’un à tes côtés , quand quelqu’un s’inquiète réellement pour toi. Autant il y en a qui peuvent te faire croire et espérer à tant de choses , bah elle au moins ne te fais rien espèrer. Elle te dit ce qu’elle pense , sur le coup , et c’est ça qui est bien. Car quand tu aimes une personne , tu ne lui caches rien. Que sa lui plaise ou non , elle le saura au bout d’un certain moment .. Elle est extrêmement fine aussi dans ses propos. Elle fait tant de choses qu’aucune autre ne ferait .. Si je l’aime et qu’elle compte plus que des milliers de diaments pour moi , c’est qu’elle , malgré ses problèmes a l’épaule solide. La vie est certes une pute , mais c’est aussi une source d’expériance inépuisable.. La vie te fait part de tonnes de choses .. Si je n’aurais pas été vivant .. Je n’aurais jamais eu l’occasion de rencontrer une fille aussi belle , aussi attachante que toi .. Tu es la lyre d’une déesse , la muse d’un poète et l’inspiration d’un jeune homme , tu es le coeur de tant de convoitise , même si elle n’est partagée que par un seul être , cette dernière fait de toi , la personne la plus importante à ses yeux. Je ne sais pas si je devrais te le répéter encore , mais je t’aime. Et sa , je me le dis chaque seconde passante ... Car c’est grâce à ça que je ne fait pas de bêtises. Je me sens invincible par rapport aux problèmes encontrés , même s’ils sont parfois éprouvants , savoir que tu es la me permet de me reconsolider à chaque instant de peine. Car tu es mon tout , ce qui me fait respirer (en dehors des poumons bien sur) , ce qui me fait penser .. Je n’aurais besoin que de toi pour former mon corps si tout ne serait pas necessaire. Car tu es mon coeur (je suis éperduement amoureux de toi) , mon cerveau (je penses a toi tout le temps et tu es le centre de mes pensées) , mes poumons (je peux respirer car tu es la , à mes côtés) , mes jambes (tu me permet d’avancer..) , mes épaules (Je peux me reposer dessus quand je suis mélancolique) , mes bras (Je peux porter le lourd fardeau de la vie grâce à ta présence) , mes yeux (sans toi , tout serait noir..) , mes oreilles (Entendre le son de ta voix est comme une douce mélodie à mon oreille) .. Tant de mots pour décrire une chose , un sentiment qui ne s’éteindra jamais .. Certes tu ne te considére pas comme une fille parfaite. Mais pour moi , plus parfaite que toi n’existe pas. Tu as toutes les qualités dont je pouvais rêver , et être rêveur , c’est aussi avoir les pieds à la fois sur Terre et à la fois être dans son monde , c’est ce qui fait la beauté de tout les sentiments. La vie est .. Assez complexe. Mais avec toi à mes côtés , je traverserais tout ce dont il me sera donné de traverser...
Dim 29 Avril 2012, 13:17 par
rere24110 sur L'amour en vrac
Le pari des onze mille verges
Le pari des Onze mille verges
C’était encore l’époque des trains de nuit et des compartiments fermés à huit places assises. C’était aussi l’époque des permissions de fin de semaine, des wagons peuplés de militaires bruyants, bouillonnants de sève, de jeunesse et de rêves.
À cette époque j’effectuais mon service militaire quelque part dans le sud de la France. Le printemps venait de tout juste commencer. C’est le moment de l’année que je préfère. Le soleil est encore doucement caressant, et les odeurs de la Provence sont si enivrantes après chaque averse qu’elles me font alors l’effet d’une amoureuse inconnue au réveil. C’est le moment où les femmes redeviennent jolies, où les tissus de leurs jupes se font plus légers tandis que les talons s’allongent et que les visages se couvrent d’un hale que je trouve sensuel. J’adore ce moment de l’année, où moi aussi je me réveille de l’hiver.
Le train roulait depuis près d’une heure en direction de Marseille, le soleil n’était pas encore très haut.
Seul, dans mon compartiment, plongé dans les réflexions érotico philosophiques du prince Mony Vibescu, l’enfant terrible d’apollinaire, je goutais le plaisir d’une première cigarette. Le train s’était arrêté pour une courte pause dans une des innombrables gares qui jalonnent la ligne du bord de mer. Les voyageurs cherchaient leur place. Discrètement, elle est entrée et s’est assise face à moi près de la fenêtre.
Le prince Vibescu arrivait tout juste à Paris. Je posais mon livre, la couverture en évidence et allumais une seconde cigarette. La jeune femme ne put s’empêcher d’y jeter un rapide coup d’œil puis détourna son regard et s’absorba dans la contemplation muette du défilement monotone des champs de vignes. Elle me présentait son profil, et le temps de quelques bouffées de tabac je l’observais avec une arrogance indiscrète.
Elle semblait âgée d’une trentaine d’années, presque dix ans de plus que moi à ce moment. Elle semblait faite d’une quantité de contrastes qui la rendaient à la fois distante et attirante à mes yeux.
Les traits de son visage osseux avaient la dureté de ceux d’une de mes anciennes professeurs de latin le jour de la rentrée, mais la douceur de son regard me la rendait si désirable, alors qu’elle était loin d’être jolie.
Son corps était mince, presque maigre. Elle portait une jupe faite d’un tissu clair et léger qui lui couvrait sagement la moitié des genoux. Ses jambes fines et nerveuses semblaient s’étirer de la cambrure qu’imprimaient une paire d’escarpins rouges à talons.
Sous son chemisier blanc, lâchement boutonné, je devinais une poitrine menue, que j’imaginais libre de tout sous vêtement.
Cette femme dégageait à la fois une expression d’austérité et de sensualité réservée qui, à cet instant, la rendait très attirante à mes yeux.
Je la détaillais ainsi depuis près d’une minute, sans me rendre compte de la grossièreté de mon insistance. Elle tourna vers moi son visage et posant de nouveau son regard vers la couverture de mon livre me dit :
— Vous vous sentiriez prêt à relever le défi du prince ?
Je ne m’attendais pas à une approche aussi directe de sa part.
— Euh... vingt fois de suite .... Je ne sais pas .....
Elle me fixait avec un joli sourire ironique.
— Vous savez, si finalement, le prince meurt de ne pas avoir su tenir sa promesse... c’est avant tout par idiotie de sa part et non par faiblesse ..... Bien sûr qu’aucun homme ne peut le faire vingt fois de suite.
Cette femme que je ne connaissais pas, et qui m’attirait terriblement m’entretenait des performances sexuelles d’un personnage littéraire. Je me sentais pris à défaut comme un petit garçon que l’on a surpris au mauvais moment.
— C’est un procédé littéraire.
— Ah bon, et lequel ? Moi, je vous dis qu’il est mort de ne pas avoir été assez malin... La testostérone ne conforte pas l’intelligence.
— Je ne vois pas le rapport.
— Vous aussi vous devriez réfléchir un peu.
— Je n’ai encore rien parié.
— Vingt fois de suite, il s’était engagé à prouver sa passion à la même femme.
En disant cela, elle se tourna à nouveau vers le paysage.
— Vous allez jusqu’où ?
— Marmande...
— Moi je descends à Agen.
Elle avait posé un de ses pieds sur la corniche de sorte qu’une jambe se trouvait à présent légèrement surélevée par rapport à l’autre qui reposait à plat sur la banquette. Cette posture, involontaire en apparence avait remonté un peu sa jupe, dévoilant l’intérieur d’une de ses cuisses.
— Il y a tant de manières .... Tant de manières
Répéta-t-elle, sans me regarder ? Elle me tendit la main à ce moment, je l’attrapais pour tenter un baiser. Mais ce n’était pas cela qu’elle désirait. Elle saisit mon poignet, m’attirant vers elle pour poser ma main contre sa cuisse doucement dévoilée.
— Il y a tant de manières différentes..... Mais si vous ne retirez pas votre main, je considèrerai que vous aurez accepté le pari du prince. Il ne vous reste que six heures pour l’accomplir.... au mieux, si nous restons seuls dans ce compartiment.
Elle se leva et tira les rideaux, nous isolant des regards du couloir.
Trente ans ont passé aujourd’hui. À chaque début de printemps, je me demande quelle forme prendra pour moi le châtiment des onze mille verges....
C’était encore l’époque des trains de nuit et des compartiments fermés à huit places assises. C’était aussi l’époque des permissions de fin de semaine, des wagons peuplés de militaires bruyants, bouillonnants de sève, de jeunesse et de rêves.
À cette époque j’effectuais mon service militaire quelque part dans le sud de la France. Le printemps venait de tout juste commencer. C’est le moment de l’année que je préfère. Le soleil est encore doucement caressant, et les odeurs de la Provence sont si enivrantes après chaque averse qu’elles me font alors l’effet d’une amoureuse inconnue au réveil. C’est le moment où les femmes redeviennent jolies, où les tissus de leurs jupes se font plus légers tandis que les talons s’allongent et que les visages se couvrent d’un hale que je trouve sensuel. J’adore ce moment de l’année, où moi aussi je me réveille de l’hiver.
Le train roulait depuis près d’une heure en direction de Marseille, le soleil n’était pas encore très haut.
Seul, dans mon compartiment, plongé dans les réflexions érotico philosophiques du prince Mony Vibescu, l’enfant terrible d’apollinaire, je goutais le plaisir d’une première cigarette. Le train s’était arrêté pour une courte pause dans une des innombrables gares qui jalonnent la ligne du bord de mer. Les voyageurs cherchaient leur place. Discrètement, elle est entrée et s’est assise face à moi près de la fenêtre.
Le prince Vibescu arrivait tout juste à Paris. Je posais mon livre, la couverture en évidence et allumais une seconde cigarette. La jeune femme ne put s’empêcher d’y jeter un rapide coup d’œil puis détourna son regard et s’absorba dans la contemplation muette du défilement monotone des champs de vignes. Elle me présentait son profil, et le temps de quelques bouffées de tabac je l’observais avec une arrogance indiscrète.
Elle semblait âgée d’une trentaine d’années, presque dix ans de plus que moi à ce moment. Elle semblait faite d’une quantité de contrastes qui la rendaient à la fois distante et attirante à mes yeux.
Les traits de son visage osseux avaient la dureté de ceux d’une de mes anciennes professeurs de latin le jour de la rentrée, mais la douceur de son regard me la rendait si désirable, alors qu’elle était loin d’être jolie.
Son corps était mince, presque maigre. Elle portait une jupe faite d’un tissu clair et léger qui lui couvrait sagement la moitié des genoux. Ses jambes fines et nerveuses semblaient s’étirer de la cambrure qu’imprimaient une paire d’escarpins rouges à talons.
Sous son chemisier blanc, lâchement boutonné, je devinais une poitrine menue, que j’imaginais libre de tout sous vêtement.
Cette femme dégageait à la fois une expression d’austérité et de sensualité réservée qui, à cet instant, la rendait très attirante à mes yeux.
Je la détaillais ainsi depuis près d’une minute, sans me rendre compte de la grossièreté de mon insistance. Elle tourna vers moi son visage et posant de nouveau son regard vers la couverture de mon livre me dit :
— Vous vous sentiriez prêt à relever le défi du prince ?
Je ne m’attendais pas à une approche aussi directe de sa part.
— Euh... vingt fois de suite .... Je ne sais pas .....
Elle me fixait avec un joli sourire ironique.
— Vous savez, si finalement, le prince meurt de ne pas avoir su tenir sa promesse... c’est avant tout par idiotie de sa part et non par faiblesse ..... Bien sûr qu’aucun homme ne peut le faire vingt fois de suite.
Cette femme que je ne connaissais pas, et qui m’attirait terriblement m’entretenait des performances sexuelles d’un personnage littéraire. Je me sentais pris à défaut comme un petit garçon que l’on a surpris au mauvais moment.
— C’est un procédé littéraire.
— Ah bon, et lequel ? Moi, je vous dis qu’il est mort de ne pas avoir été assez malin... La testostérone ne conforte pas l’intelligence.
— Je ne vois pas le rapport.
— Vous aussi vous devriez réfléchir un peu.
— Je n’ai encore rien parié.
— Vingt fois de suite, il s’était engagé à prouver sa passion à la même femme.
En disant cela, elle se tourna à nouveau vers le paysage.
— Vous allez jusqu’où ?
— Marmande...
— Moi je descends à Agen.
Elle avait posé un de ses pieds sur la corniche de sorte qu’une jambe se trouvait à présent légèrement surélevée par rapport à l’autre qui reposait à plat sur la banquette. Cette posture, involontaire en apparence avait remonté un peu sa jupe, dévoilant l’intérieur d’une de ses cuisses.
— Il y a tant de manières .... Tant de manières
Répéta-t-elle, sans me regarder ? Elle me tendit la main à ce moment, je l’attrapais pour tenter un baiser. Mais ce n’était pas cela qu’elle désirait. Elle saisit mon poignet, m’attirant vers elle pour poser ma main contre sa cuisse doucement dévoilée.
— Il y a tant de manières différentes..... Mais si vous ne retirez pas votre main, je considèrerai que vous aurez accepté le pari du prince. Il ne vous reste que six heures pour l’accomplir.... au mieux, si nous restons seuls dans ce compartiment.
Elle se leva et tira les rideaux, nous isolant des regards du couloir.
Trente ans ont passé aujourd’hui. À chaque début de printemps, je me demande quelle forme prendra pour moi le châtiment des onze mille verges....
Jeu 19 Avril 2012, 21:47 par
francisco varga sur Les liaisons sulfureuses
Entrevue galante de paul adam mignon (ma suite)
Entrevue galante (son poème)
La première fois quand je l’ai vue
J’ai tout de suite remarqué son regard
J’en étais complètement hagard
Dans ce jardin du Luxembourg
Je me suis dit Faut que je l’aborde
Pour voir si tous deux on s’accorde
J’ai déposé mon baluchon
Alors j’ai vu tes gros yeux doux
J’en suis devenu un peu comme fou
Quand je t’ai dis que tu me plaisais
Que j’aimerai bien te revoir
Tu m’as donné rendez-vous le soir
Et je t’ai dit Oh! Pénélope
Que tu étais une sacrée belle fille
Que je t’aimerai toute ma vie
Quand dans ce lit de marguerites
Tu m’as caressé doucement la tête
Ma vie entière est une fête
Et sous les regards de la foule
J’ai pose ma main sur ta main
Vous voyez bien que ce n’est pas malsain
A l’ombre des eucalyptus
Je t’ai dit Je veux que tu me suives
Je te sentais d’humeur lascive
Alors comme ça dans les tulipes
Tu m’as fait une petite promesse
Gage d’affection et de tendresse
Si notre amour devait céder
Je n’aurais plus qu’à me faire prêtre
Je ne pourrai jamais m’en remettre
Car si un jour notre amour rouille
Je m’en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n’aime que toi !
MA SUITE:
La première fois que je l’ai vu
Je marchais au hasard sur l’avenue
Le cœur en rade et la tête dans les nues
Dans ce joli parc je noyais mes pensées
Lorsqu’ au détour du sentier un homme m’approche
Son regard est beau et de suite j’accroche
Jeune homme de belle et fière allure
Sans doute un pauvre hère en quête d’aventure
Mais la beauté de ces yeux m’a conquis le cœur
Et je répondis à ta déclaration ,avec un brin de malice
J’espère que tu ne feras pas comme Ulysse.
Je t’attendrai ,juste ce soir ,au café "chez Maurice"
Tu avais l’air si mignon avec ton bouquet de renoncules
Si perdu avec ton costume plein de pellicules
Je t’en ai fais la remarque,c’était idiot avec le recul.
Tu n’en a pas eu cure et tu me pris la main.
Ce geste doux et tendre n’était pas du tout anodin
Mais la belle promesse d’un meilleur lendemain..
Dans ce joli cadre couvert de merveilleuses fleurs
Tes paroles me remplissaient d’un immense bonheur
Et je pensais tout bas:Je vous suivrai partout Monseigneur.
Tels des promis époux voila que tu m’embarques
Dans un voyage de noce,a bord de ta guimbarde
Qui me retourne le cœur à chacun de ses cahots
Si notre amour devait par la suite,autant de soubresauts
Je te préviens de suite que je partirais aussitôt au galop.
Et donc si tu veux me garder ,soit gentil,fidèle,et attentionné
Et je te promet de faire de ta vie ,un merveilleux rêve.
Scellons ce bon contrat du bout de nos lèvres
D’un baiser fougueux qui unira nos cœurs.
La première fois quand je l’ai vue
J’ai tout de suite remarqué son regard
J’en étais complètement hagard
Dans ce jardin du Luxembourg
Je me suis dit Faut que je l’aborde
Pour voir si tous deux on s’accorde
J’ai déposé mon baluchon
Alors j’ai vu tes gros yeux doux
J’en suis devenu un peu comme fou
Quand je t’ai dis que tu me plaisais
Que j’aimerai bien te revoir
Tu m’as donné rendez-vous le soir
Et je t’ai dit Oh! Pénélope
Que tu étais une sacrée belle fille
Que je t’aimerai toute ma vie
Quand dans ce lit de marguerites
Tu m’as caressé doucement la tête
Ma vie entière est une fête
Et sous les regards de la foule
J’ai pose ma main sur ta main
Vous voyez bien que ce n’est pas malsain
A l’ombre des eucalyptus
Je t’ai dit Je veux que tu me suives
Je te sentais d’humeur lascive
Alors comme ça dans les tulipes
Tu m’as fait une petite promesse
Gage d’affection et de tendresse
Si notre amour devait céder
Je n’aurais plus qu’à me faire prêtre
Je ne pourrai jamais m’en remettre
Car si un jour notre amour rouille
Je m’en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n’aime que toi !
MA SUITE:
La première fois que je l’ai vu
Je marchais au hasard sur l’avenue
Le cœur en rade et la tête dans les nues
Dans ce joli parc je noyais mes pensées
Lorsqu’ au détour du sentier un homme m’approche
Son regard est beau et de suite j’accroche
Jeune homme de belle et fière allure
Sans doute un pauvre hère en quête d’aventure
Mais la beauté de ces yeux m’a conquis le cœur
Et je répondis à ta déclaration ,avec un brin de malice
J’espère que tu ne feras pas comme Ulysse.
Je t’attendrai ,juste ce soir ,au café "chez Maurice"
Tu avais l’air si mignon avec ton bouquet de renoncules
Si perdu avec ton costume plein de pellicules
Je t’en ai fais la remarque,c’était idiot avec le recul.
Tu n’en a pas eu cure et tu me pris la main.
Ce geste doux et tendre n’était pas du tout anodin
Mais la belle promesse d’un meilleur lendemain..
Dans ce joli cadre couvert de merveilleuses fleurs
Tes paroles me remplissaient d’un immense bonheur
Et je pensais tout bas:Je vous suivrai partout Monseigneur.
Tels des promis époux voila que tu m’embarques
Dans un voyage de noce,a bord de ta guimbarde
Qui me retourne le cœur à chacun de ses cahots
Si notre amour devait par la suite,autant de soubresauts
Je te préviens de suite que je partirais aussitôt au galop.
Et donc si tu veux me garder ,soit gentil,fidèle,et attentionné
Et je te promet de faire de ta vie ,un merveilleux rêve.
Scellons ce bon contrat du bout de nos lèvres
D’un baiser fougueux qui unira nos cœurs.
Jeu 22 Mars 2012, 17:12 par
caressedesyeux sur Mille choses
Prise de vue
Midi ! Un soleil timide peine à traverser les nuages qui s’amoncellent dans un ciel gris-acier. La journée promet d’être des plus ennuyeuses. Ma petite paresseuse vient tout juste de se lever et ne s’est pas encore habillée. Elle déambule à demi-nue dans les pièces de notre chaumière réchauffées par le bon feu qui crépite joyeusement dans l’âtre de la grande cheminée du salon... La chipie m’a subtilisé l’appareil photo dont je me sers pour ma modeste entreprise de photographe et compte bien s’en servir pour me mitrailler sous toutes les coutures... Elle sait pourtant que, malgré mon métier, je déteste être pris en photo... Cela peut paraître étrange mais je ne me trouve pas photogénique, bien qu’on m’ait souvent affirmé le contraire. Reste qu’on ne se refait pas et j’ai des pulsions épidermiques chaque fois qu’on a voulu immortaliser mon portrait. Un léger bruit m’informe de la mise en œuvre de son projet. S’engage dés lors une course poursuite, à travers toute la maison, au bout de laquelle j’arrive tout de même à lui reprendre l’appareil...Et le fin tissu qui peinait à la recouvrir. Très fier de ma victoire, j’exhibe mon trophée quand une mimique de ma partenaire titille l’intérêt de mon œil d’artiste. Là, au milieu du salon, complètement nue, elle fait le singe. Se cachant derrière le mobilier et n’en sortant que pour me narguer d’une grimace. C’est alors à mon tour de m’amuser à la photographier, surtout quand elle fait sa chipie, et qu’elle ose me tirer la langue...
Elle s’amuse, à me provoquer en minaudant et en lançant des lazzis qui heurtent ma virilité. Elle en rajoute, en trémoussant son nez, son postérieur et toute une autre série de simagrées destinées à m’aiguillonner et qui ne réussissent qu’à me faire rire. Puis, voyant que son manège n’a pas de prise sur moi, quand on prend des mioches irascibles en photo on apprend à calmer ses pulsions ou on change de métier, elle prend un air de garçon manqué, allume une clope, met sa casquette de gavroche, et me fixe effrontément dans les yeux...Elle a, à ce moment, une beauté qu’il m’est impossible de décrire tant se mêlent un sentiment d’amour, de désir, d’admiration qui confineraient à l’adoration...Si seulement elle consentait à garder la pose ! Une si jolie coupe à la garçon qui me rappelle une grande et talentueuse actrice disparue, se prénommant Katherine... Katherine Hepburn ! Un petit air mutin, qui ne me déplaît pas et qui m’avait fait craquer la première fois que l’on s’était rencontrés. Je m’en souviens encore, c’était à une vente de charité. Elle, en train de verser de la soupe chaude dans les bols, et moi qui venait faire un reportage-photo sur les exclus de cette société de consommation. Sans se soucier de mon emploi du temps ou de mes intérêts professionnels, elle m’avait collé un miséreux m’enjoignant de le raccompagner au centre d’hébergement le plus proche. Son culot et son aplomb m’avaient fortement impressionné et je dus à la providence que le clodo m’abandonne sur le trottoir pour aller, de son côté, faire la manche...
J’en avais profité pour faire plus ample connaissance en prétextant une vaseuse exigence d’excuses pour le comportement quelque peu désinvolte qu’elle avait eu à mon égard et fus surpris d’apprendre que derrière l’apparente désinvolture se cachait toute une étude psychologique de l’individu mâle de milieu moyen. Personne de sensé ne pouvait refuser, sans se sentir coupable de mesquinerie, d’accéder à la requête d’une très belle jeune femme en détresse. Grâce à son charme et à son toupet, elle avait réussi à caser des dizaines d’indigents dans différents centre. Une telle beauté alliée à une telle intelligence, je me devais de mieux la connaître. C’est ainsi que je l’épaulai dans sa mission. Et c’est ainsi que j’en fis ma compagne...Mais pendant que je me remémore ces merveilleux instants du passé, ma chipie continue son cirque et je m’aperçois que je continue à la mitrailler alors que mon appareil indique ’’Full’’. Je le dépose avec délicatesse dans son emballage comme on poserait un bébé dans son berceau quand le poids de mon amie me tombe dessus d’un seul coup. Elle en a assez des singeries et recherche un contact plus valorisant. Je l’empoigne et la retient. Elle se débat comme une chatte réclamant des caresses mais qui exige qu’on la dompte. J’écrase un baiser sur ses lèvres et je la sens fondre...Prête pour un câlin plus approprié...Que j’aime cette chipie !
Mar 13 Déc 2011, 15:44 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Cet homme
Elle l’observe, choquée:
de la voir l’aimer.
Elle voudrait être cet homme
qui la fait vibrer
ce jeune érudit en forme
qui la fait danser.
Elle voudrait être dans son corps
lorsqu’il durcit à son contact
elle voudrait leur corps à corps
et à ce moment exact.
Elle voudrait ne plus être seule,
tomber en amour dans sa gueule...
elle voudrait savoir ce que c’est:
d’aimer...
Elle en a bien un vague souvenir
mais depuis c’est la Vague...
Entre Harpagon et Alcapone, qui choisir,
ces héros râtés où elle divague...
Et puis, il y a lui...
celui qui lui renvoie ô combien elle a râté...
loupé les envies
de vie où elle pourrait être aimée...
Elle a bien quelques consolations,
quelques oranges rapportées,
un parloir où elle y trouve le son
le seul qui la consolerait...
Je lui mets des musiques pour l’apaiser,
un temps, ça lui permet,
de la fermer, et d’écouter,
et même de chanter ses regrets...
En famille recomposée,
ses enfants la haient,
elle ne s’en est jamais souciée
égoïste, bien trop occupée...
Occupée, à s’oublier,
et à ravaler sa dignité.
Elle avale ce qui reste coincé,
ce qui reste bloqué...
Elle voudrait être cet homme
lorsqu’il caresse ses yeux,
ses seins, et ses hormones,
lorsqu’elle le rend joyeux.
Elle voudrait cette maison qu’ils ont
avec ce jardin,
elle voudrait être lui et sa raison,
et son chemin...
Elle voudrait son destin,
et ses mains,
elle voudrait être tout ce qu’il est,
tout ce qu’il a, ses qualités.
de la voir l’aimer.
Elle voudrait être cet homme
qui la fait vibrer
ce jeune érudit en forme
qui la fait danser.
Elle voudrait être dans son corps
lorsqu’il durcit à son contact
elle voudrait leur corps à corps
et à ce moment exact.
Elle voudrait ne plus être seule,
tomber en amour dans sa gueule...
elle voudrait savoir ce que c’est:
d’aimer...
Elle en a bien un vague souvenir
mais depuis c’est la Vague...
Entre Harpagon et Alcapone, qui choisir,
ces héros râtés où elle divague...
Et puis, il y a lui...
celui qui lui renvoie ô combien elle a râté...
loupé les envies
de vie où elle pourrait être aimée...
Elle a bien quelques consolations,
quelques oranges rapportées,
un parloir où elle y trouve le son
le seul qui la consolerait...
Je lui mets des musiques pour l’apaiser,
un temps, ça lui permet,
de la fermer, et d’écouter,
et même de chanter ses regrets...
En famille recomposée,
ses enfants la haient,
elle ne s’en est jamais souciée
égoïste, bien trop occupée...
Occupée, à s’oublier,
et à ravaler sa dignité.
Elle avale ce qui reste coincé,
ce qui reste bloqué...
Elle voudrait être cet homme
lorsqu’il caresse ses yeux,
ses seins, et ses hormones,
lorsqu’elle le rend joyeux.
Elle voudrait cette maison qu’ils ont
avec ce jardin,
elle voudrait être lui et sa raison,
et son chemin...
Elle voudrait son destin,
et ses mains,
elle voudrait être tout ce qu’il est,
tout ce qu’il a, ses qualités.
Mer 23 Nov 2011, 15:17 par
inlove sur La vie à deux
Ecrire sur jeune
L'amour est-il un crime ? chapitre 3, L'amour est-il un crime ?, L'amour c'est..., Moi anaïs insolente jeunesse (en réponse à caressedesyeux), Une leçon de piano ( texte retravaillé), Et ça et moi film de cul vaginal son orifice, L'ombre du désir, Passage à l'acte, Une guerriere, Une guerriere, Texte "d'amour" composé à 15 ans, Le pari des onze mille verges, Entrevue galante de paul adam mignon (ma suite), Prise de vue, Cet homme,Il y a 133 textes utilisant le mot jeune. Ces pages présentent les textes correspondant.
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