Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur j’aspire
Combien j'ai besoin de toi
Je caresse souvent le rêve qu’on puisse se voir
Sortir de cet écran, ne serait-ce qu’une fois
Je sais que c’est un chimère, un fol espoir
Pourtant, tout au fond de moi, j’y crois
Te retrouver, pour calmer ce feu qui brûle en moi
Pouvoir te serrer tendrement dans mes bras
Pour humer ta peau juste au creux de ton cou
Et entrelacer mes doigts dans tes cheveux
Laisser la passion me guider comme un fou
Dont tu es ce grain de folie qui le rend heureux
Cette envie dévorante, qui crépite en moi
Et qui explosera au contact de ton corps
Je veux pouvoir t’aimer comme il se doit
Qu’importe l’heure l’endroit ou le décor
Mes mains tremblent d’appétence
Mes larmes ne sont pas loin
Je souffre de ton absence
À mon réveil, le matin
Te voir ne m’est plus suffisant à apaiser ce cœur
Je sais que j’en verserai des larmes de bonheur
Pour un tout petit moment en ta compagnie
Combien tu peux me manquer, mon amie
Mes pensées s’acheminent constamment vers toi
Provoquant un raz-de-marée d’émotions et d’émoi
Créant cette merveilleuse et unique sensation
D’entendre le souffle chaud de ta respiration
De savourer cet inoubliable parfum
Qui émane de ta douce peau de satin
J’aspire avidement à embrasser ta jolie bouche
Passionnément, fougueusement, jusqu’à s’étouffer
Nous étendre, amoureux, dans la même couche
Et passer toute la nuit à tendrement s’aimer
Et tomber, épuisés, endormis dans nos bras...
Si tu savais, combien j’ai besoin de toi..
Sortir de cet écran, ne serait-ce qu’une fois
Je sais que c’est un chimère, un fol espoir
Pourtant, tout au fond de moi, j’y crois
Te retrouver, pour calmer ce feu qui brûle en moi
Pouvoir te serrer tendrement dans mes bras
Pour humer ta peau juste au creux de ton cou
Et entrelacer mes doigts dans tes cheveux
Laisser la passion me guider comme un fou
Dont tu es ce grain de folie qui le rend heureux
Cette envie dévorante, qui crépite en moi
Et qui explosera au contact de ton corps
Je veux pouvoir t’aimer comme il se doit
Qu’importe l’heure l’endroit ou le décor
Mes mains tremblent d’appétence
Mes larmes ne sont pas loin
Je souffre de ton absence
À mon réveil, le matin
Te voir ne m’est plus suffisant à apaiser ce cœur
Je sais que j’en verserai des larmes de bonheur
Pour un tout petit moment en ta compagnie
Combien tu peux me manquer, mon amie
Mes pensées s’acheminent constamment vers toi
Provoquant un raz-de-marée d’émotions et d’émoi
Créant cette merveilleuse et unique sensation
D’entendre le souffle chaud de ta respiration
De savourer cet inoubliable parfum
Qui émane de ta douce peau de satin
J’aspire avidement à embrasser ta jolie bouche
Passionnément, fougueusement, jusqu’à s’étouffer
Nous étendre, amoureux, dans la même couche
Et passer toute la nuit à tendrement s’aimer
Et tomber, épuisés, endormis dans nos bras...
Si tu savais, combien j’ai besoin de toi..
Ven 01 Avril 2011, 15:25 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Le temps d'attendre
J’aime. Je l’aime à vrai dire. Pourquoi? Je ne sais pas... Enfin si, mais pas précisément, c’est ce qui fait le charme de la chose. Quand tout vous plaît, pourquoi choisir ? Quand même les défauts vous plaisent, pourquoi choisir ? J’aime un organisme, j’aime un être imparfait et si parfait dans son impossible perfection qu’il m’est impossible d’en fermer l’oeil la nuit. Joli ? Non, j’exagère et ne raconte pas tout.
J’aime quelqu’un qui m’aimait, ne m’aimait plus, a aimé quelqu’un et n’aime plus. Je ne l’aimais pas. Je l’aime. Télégraphique. Propre. Ordonné. Simple. Sans charme. Mais simple.
Mais j’aime un mur. J’aime un être blessé. J’aime sans être aimé. Poids immense sur des épaules pas vraiment taillées pour, j’aspire et souffle au lieu de respirer, j’ingurgite au lieu de boire et manger, l’ennui me gagne, l’attente est longue. L’attente est longue.
Y a-t-il assez de temps d’une vie d’homme pour gagner la réciprocité de mes sentiments? L’amour ne vaut pas la peine d’attendre. Mais j’ai le temps.
J’aime quelqu’un qui m’aimait, ne m’aimait plus, a aimé quelqu’un et n’aime plus. Je ne l’aimais pas. Je l’aime. Télégraphique. Propre. Ordonné. Simple. Sans charme. Mais simple.
Mais j’aime un mur. J’aime un être blessé. J’aime sans être aimé. Poids immense sur des épaules pas vraiment taillées pour, j’aspire et souffle au lieu de respirer, j’ingurgite au lieu de boire et manger, l’ennui me gagne, l’attente est longue. L’attente est longue.
Y a-t-il assez de temps d’une vie d’homme pour gagner la réciprocité de mes sentiments? L’amour ne vaut pas la peine d’attendre. Mais j’ai le temps.
Ven 05 Fév 2010, 19:39 par
365.2425 sur La déclaration d'amour
Lettre à un songe
Du virtuel fils de Morphée à sa Céleste Amazone, lettre posée comme une pierre à l’édifice dont je vous ai parlé.
Héritier du Royaume des Songes, j’attends chaque jour plongé dans mes propres rêves que le soleil se couche et que vous le suiviez. Alors que la nuit vous enveloppe de son manteau de calme et de sérénité, je vous admire lentement sombrer dans le sommeil qui vous livrera à mes tendres soins. Je vous vois là, allongée sur votre lit, joyau reposant dans son écrin, et je souris en parcourant vos formes des mes yeux gourmands. Je m’approche doucement, sans un bruit, tend la main et la pose sur votre corps, l’effleurant doucement. Je vous caresse d’un long frisson mais ne vous éveille pourtant pas, je ne suis qu’un songe face à l’objet des ses rêves. Je goûte vos lèvres, vous enlace de mes bras et vous emporte vers un autre monde pour un onirique voyage.
Comme le lapin blanc conduit Alice au Pays des Merveilles, j’aspire à vous faire découvrir mille et un plaisirs. Mais ces merveilles n’égaleront jamais les vôtres, celles de votre féminité qui sans cesse me font m’émerveiller comme un enfant qui découvre le monde. Je guide vos rêves et vous fais goûter aux délices de sensualité empruntés aux légions de songes dérobés à mon père Morphée. Je m’empare de votre esprit et de l’image de votre corps qui m’attire chaque nuit auprès de vous. Rêvons ensemble, suivons les enseignements d’Aphrodite avant qu’Apollon ne conduise son char dans notre ciel pour en chasser les étoiles. Trop tard, le jour se lève et déjà je doit relâcher mon étreinte, vous oublierez mon passage et sourirez à cet homme dans votre lit. Dommage que la nuit ne soit éternelle...
A cette nuit, mon doux rêve.
Héritier du Royaume des Songes, j’attends chaque jour plongé dans mes propres rêves que le soleil se couche et que vous le suiviez. Alors que la nuit vous enveloppe de son manteau de calme et de sérénité, je vous admire lentement sombrer dans le sommeil qui vous livrera à mes tendres soins. Je vous vois là, allongée sur votre lit, joyau reposant dans son écrin, et je souris en parcourant vos formes des mes yeux gourmands. Je m’approche doucement, sans un bruit, tend la main et la pose sur votre corps, l’effleurant doucement. Je vous caresse d’un long frisson mais ne vous éveille pourtant pas, je ne suis qu’un songe face à l’objet des ses rêves. Je goûte vos lèvres, vous enlace de mes bras et vous emporte vers un autre monde pour un onirique voyage.
Comme le lapin blanc conduit Alice au Pays des Merveilles, j’aspire à vous faire découvrir mille et un plaisirs. Mais ces merveilles n’égaleront jamais les vôtres, celles de votre féminité qui sans cesse me font m’émerveiller comme un enfant qui découvre le monde. Je guide vos rêves et vous fais goûter aux délices de sensualité empruntés aux légions de songes dérobés à mon père Morphée. Je m’empare de votre esprit et de l’image de votre corps qui m’attire chaque nuit auprès de vous. Rêvons ensemble, suivons les enseignements d’Aphrodite avant qu’Apollon ne conduise son char dans notre ciel pour en chasser les étoiles. Trop tard, le jour se lève et déjà je doit relâcher mon étreinte, vous oublierez mon passage et sourirez à cet homme dans votre lit. Dommage que la nuit ne soit éternelle...
A cette nuit, mon doux rêve.
Sam 11 Août 2007, 19:45 par
Morphée sur La séduction
Viens cueillir ma perle de passion
Plaire à ton cœur, flatte mes sens,
Sans nul effort doucement j’instruis,
La saveur jamais inassouvie,
Et je comble ce retour d’encens.
Que tes sens parfument ma vie,
Souffle l’aube sur mon regard
En un éveil soumis sans fards,
Aurore de mon corps qui envie.
De ta beauté, de ton amour,
Toi ! Mon prince de suavité,
Frémissant au corps écartelé,
Mon Apolon, je te parcours.
Viens cueillir ma perle de passion,
Toi ! Mon amant à la peau dorée,
Susurre-moi des aveux parfumés,
Offre-moi ton feulement de lion.
J’aspire tout entier à ce rugissement,
Aujourd’hui, demain, n’est-il encore,
Ce cri d’amour offert dès l’aurore,
Renaître à l’orée de ton désir ?
Mourir d’amour sous ton rugissement,
L’aurore de l’ultime cri enfin délivré,
Domine mon abandon, royal aimé,
Ma jouissance est ton couronnement.
Sans nul effort doucement j’instruis,
La saveur jamais inassouvie,
Et je comble ce retour d’encens.
Que tes sens parfument ma vie,
Souffle l’aube sur mon regard
En un éveil soumis sans fards,
Aurore de mon corps qui envie.
De ta beauté, de ton amour,
Toi ! Mon prince de suavité,
Frémissant au corps écartelé,
Mon Apolon, je te parcours.
Viens cueillir ma perle de passion,
Toi ! Mon amant à la peau dorée,
Susurre-moi des aveux parfumés,
Offre-moi ton feulement de lion.
J’aspire tout entier à ce rugissement,
Aujourd’hui, demain, n’est-il encore,
Ce cri d’amour offert dès l’aurore,
Renaître à l’orée de ton désir ?
Mourir d’amour sous ton rugissement,
L’aurore de l’ultime cri enfin délivré,
Domine mon abandon, royal aimé,
Ma jouissance est ton couronnement.
Sam 16 Sep 2006, 01:00 par
joullia sur Les liaisons sulfureuses
Pauvre Don Juan...
Lasse, j’avais pris ma voiture, une fois de plus, pour échapper aux sanglots qui m’étouffaient, besoin d’espace, besoin de respirer : Pourquoi ? Pourquoi jouent-ils donc à m’aimer ? Piètre comédie de funestes pantins qui plagient la mélodie de l’amour sans savoir la jouer. Pourquoi ce désir fou d’aimer et d’être aimée en vérité, à la folie, sans règles ni loi, juste dans la soif d’un amour que je sens brûler au plus profond de moi. Avec tristesse, force m’est de reconnaître que je les trouve vains malgré eux, malgré moi... Qu’ont-ils fait de la tendresse ? Aimant le tennis, les femmes, le chocolat... Consommant de l’amour pour une heure de folie, calculant bénéfice, intérêt et tout ça. Ils me donneraient envie de vomir, ces petits gars ! Si j’appelle l’amour ce n’est non par commodité ou pour combler un vide, c’est bien pour t’aimer. Ils viennent me séduire parfois et puis, me parlent d’elles, de leur cœur tout là-bas : mortel ennui. Je les écoute en soupirant, martelant mon bureau au rythme de mes rêveries distraites. Et s’ils ont un cœur qu’ils ont laissé près d’elles, que font-ils donc ici ? ! Et que croient-ils trouver ? L’aumône d’un sourire ou celle d’un baiser ? Tel autre qui en parlant d’amour évalue le profit que saurait lui procurer notre commerce... De l’amour je ne veux que l’amour et rien d’autre. Cette relation privilégiée entre deux êtres, dans une tendre complicité, par nos différences enflammée. Et pourtant, comme une enfant blessée, le cœur déchiré par la meute rugissante et futile, je m’en vais quand je voudrais recevoir et donner tout l’amour qu’en mon cœur le Dieu qui m’a créée a pu verser.
Fatiguée d’être comme un caillou par les flots ballotté, je t’appelais en vain : "viens vite auprès de moi, que de l’amour enfin je puisse contempler le visage ici bas"... Trop souvent séduite par de faux reflets dont je sais m’éloigner, moi qui ne fais semblant, ni soupèse mes sentiments ; l’amour, de moi, longtemps, va-t-il se dérober ? Ils jouent à des jeux, font des mines, se rengorgent, personnages de carnaval, piètres. Je manque d’artifices, refusant de tromper. Je ne vais pas mentir et prétendre aimer ce qui me fait vomir... L’amour auquel j’aspire est-il bien de ce monde ? Et est-il bien pour moi ? Ce sera lui ou rien. L’Amour non pas l’ersatz, un placebo, guimauve ou bien triste miroir aux alouettes sur lequel les oiseaux sans cervelle vont briser et leur cœur et leurs ailes sans se décourager... Je les revoie qui feignent l’amour fou alors qu’ils sont mariés, pas libres ou occupés et ne cherchent vraiment qu’à jouir sans aimer et n’ont rien à donner que leurs tendres regrets. Où es-tu donc parti, existes-tu ailleurs que dans mes rêveries, toi que j’appelle ainsi ? Je vais fermer mon cœur à leurs mots doucereux, je ne répondrais plus qu’en découvrant tes yeux...
Fatiguée d’être comme un caillou par les flots ballotté, je t’appelais en vain : "viens vite auprès de moi, que de l’amour enfin je puisse contempler le visage ici bas"... Trop souvent séduite par de faux reflets dont je sais m’éloigner, moi qui ne fais semblant, ni soupèse mes sentiments ; l’amour, de moi, longtemps, va-t-il se dérober ? Ils jouent à des jeux, font des mines, se rengorgent, personnages de carnaval, piètres. Je manque d’artifices, refusant de tromper. Je ne vais pas mentir et prétendre aimer ce qui me fait vomir... L’amour auquel j’aspire est-il bien de ce monde ? Et est-il bien pour moi ? Ce sera lui ou rien. L’Amour non pas l’ersatz, un placebo, guimauve ou bien triste miroir aux alouettes sur lequel les oiseaux sans cervelle vont briser et leur cœur et leurs ailes sans se décourager... Je les revoie qui feignent l’amour fou alors qu’ils sont mariés, pas libres ou occupés et ne cherchent vraiment qu’à jouir sans aimer et n’ont rien à donner que leurs tendres regrets. Où es-tu donc parti, existes-tu ailleurs que dans mes rêveries, toi que j’appelle ainsi ? Je vais fermer mon cœur à leurs mots doucereux, je ne répondrais plus qu’en découvrant tes yeux...
Jeu 16 Fév 2006, 11:54 par
dolce vita sur La séduction
Fontaine...
Fontaine… Je ne boirai pas de ton eau !
A l’écoute de Brigitte Lahaie
Ou le sexe a droit de cité
Et où les grands abandonnés
Etalent leurs turpitudes et plaies
Je me retrouve tout effaré
De ce qu’elles peuvent raconter
Toutes ces fausses passionnées
Aux pseudo extases, trichées…
Rabelais : « Souvent Femme varie… »
Et aussi : « bien fol qui s’y fie… »
Humeurs de femmes évidemment
Car c’est la vie assurément
A les entendre brocarder
De leurs astuces, se rengorger
J’ai peur qu’il n’y ait que méprise
Quand les coquines se disent éprises
Je ne crois plus aux mijaurées
Faisant semblant d’être emportées
Sur un océan de plaisir
Quand elles sont pressées d’en finir...
J’aspire à une femme - fontaine
Une qui me prouvera qu’elle aime
Avec preuve qu’elle a apprécié
Sans nul besoin de le crier…
Jan
A l’écoute de Brigitte Lahaie
Ou le sexe a droit de cité
Et où les grands abandonnés
Etalent leurs turpitudes et plaies
Je me retrouve tout effaré
De ce qu’elles peuvent raconter
Toutes ces fausses passionnées
Aux pseudo extases, trichées…
Rabelais : « Souvent Femme varie… »
Et aussi : « bien fol qui s’y fie… »
Humeurs de femmes évidemment
Car c’est la vie assurément
A les entendre brocarder
De leurs astuces, se rengorger
J’ai peur qu’il n’y ait que méprise
Quand les coquines se disent éprises
Je ne crois plus aux mijaurées
Faisant semblant d’être emportées
Sur un océan de plaisir
Quand elles sont pressées d’en finir...
J’aspire à une femme - fontaine
Une qui me prouvera qu’elle aime
Avec preuve qu’elle a apprécié
Sans nul besoin de le crier…
Jan
Sam 14 Jan 2006, 11:35 par
jan goure sur Parler d'amour
états d'âmes
J’ai mal à mon coeur
Les pieds gonflés par la chaleur
J’aspire à l’instant de douceur
Où gagnée par la torpeur
Des années perdues
J’endors mon amour dans les villes et dans les rues
Ce sera hier, c’était demain
Le temps me meurt à chaque heure
Avancer, marcher, jouer, parler
J’en ai plein les pieds
J’en ai plein le coeur
Et je pleure.
Les pieds gonflés par la chaleur
J’aspire à l’instant de douceur
Où gagnée par la torpeur
Des années perdues
J’endors mon amour dans les villes et dans les rues
Ce sera hier, c’était demain
Le temps me meurt à chaque heure
Avancer, marcher, jouer, parler
J’en ai plein les pieds
J’en ai plein le coeur
Et je pleure.
Sam 15 Oct 2005, 15:34 par
treets sur L'amour en vrac
Rêver d'une aube...
...où je m’éveille avec toi, où mon premier geste est pour te caresser. Je promène ma main sur ta peau et sur la soie des draps et je ne sens pas de différence. J’embrasse tes yeux, tes cheveux, j’effleure tes cils de mes lèvres, puis ta joue, la droite, celle qui porte ce ravissant grain de beauté. Je perds ma bouche sur ton cou, j’avale le lobe de ton oreille. Enfin, je dérobe ton premier baiser. Nous mêlons nos langues et nos souffles et je me délecte de ta tendresse, de la succulence de ce premier instant sensuel, présage d’une matinée charnelle. Je m’étends sur toi et te gave de gestes lascifs, te saôule de mots impudiques. Je veux t’inciter à me faire l’amour avant même de m’avoir dit "bonjour". Je rêve de ces heures chaudes au creux de ta passion, j’aspire à cette fusion matinale, à tes pulsions fébriles...demain, peut-être.
Lun 01 Août 2005, 12:47 par
syolann sur Les liaisons sulfureuses
Mon amante virtuelle
A ma Laurinne, mon histoire sans fin...
Mon corps nu
Gît, immobile
Etendu de tout son long
Détendu et serein
Mais toujours à l’affût!
Mon sexe reclame
Ce que je n’ai plus la force
De lui offrir
Bien que tiraillée par le désir.
J’aspire au calme...
Au repos.
Il faut que cesse
La valse humide
Où Elle me transporte
Par un seul de ses mots...
Là je ne l’entends plus
Et pourtant
Sa voix est un tel appel
A mon exitation
Que, par simple imagination
Je monte...Ah!jusqu’à la deraison.
Son souffle est tel...
Son souffle est Elle
Provocation charnelle!
Et, bien que jamais
Elle ne m’ait touchée
Je me tords, et toute entière
La laisse entrer.
Il me faut dormir
Je le sais,
Mais chaque pensée
Malgrè moi à la "Petite Mort"
Risque de me mener
Si je ne me contrains pas
A garder les mains liées...
Mais si je ne me touche pas
Je meurs!
Elle est mon secret
Ses carresses juste fantasmées
Exitent mon corps brulant...
Mon secret virtuel
Est cette demoiselle
Et de moi Elle
Tire étire et revele
Un language sexuel
Elle sait etre crue, Elle!
Sa voix m’ensorcelle
Avec son timbre sexe Elle
Ecxelle
A me rendre folle d’Elle
Et je sais qu’Elle
Me laissera en sequelles
Des fantasmes en "bord d’Elle"
Et si j’ai des remords
Ils vont deja en s’en allant
Car c’est un peu plus fort
Que mes doigts je remords
En suppliant
Encore! Encore!
Elle rattrappe alors
Mes envies,
Les enduit de son corps
Et me les rend
Plus sensuelles encore.
C’est la que je sens
Qu’il me faut m’arretter
Si je ne veux me noyer
En inspirations osées
Car Laurinne
Ma muse
Divine
M’amuse!
Et Elle, mon secret
Fait qu’en moi il se créee
L’envie déjà de recommencer!"
...Et Alex
La main sur son sexe
S’apprete à jouir sans complexe
Mon corps nu
Gît, immobile
Etendu de tout son long
Détendu et serein
Mais toujours à l’affût!
Mon sexe reclame
Ce que je n’ai plus la force
De lui offrir
Bien que tiraillée par le désir.
J’aspire au calme...
Au repos.
Il faut que cesse
La valse humide
Où Elle me transporte
Par un seul de ses mots...
Là je ne l’entends plus
Et pourtant
Sa voix est un tel appel
A mon exitation
Que, par simple imagination
Je monte...Ah!jusqu’à la deraison.
Son souffle est tel...
Son souffle est Elle
Provocation charnelle!
Et, bien que jamais
Elle ne m’ait touchée
Je me tords, et toute entière
La laisse entrer.
Il me faut dormir
Je le sais,
Mais chaque pensée
Malgrè moi à la "Petite Mort"
Risque de me mener
Si je ne me contrains pas
A garder les mains liées...
Mais si je ne me touche pas
Je meurs!
Elle est mon secret
Ses carresses juste fantasmées
Exitent mon corps brulant...
Mon secret virtuel
Est cette demoiselle
Et de moi Elle
Tire étire et revele
Un language sexuel
Elle sait etre crue, Elle!
Sa voix m’ensorcelle
Avec son timbre sexe Elle
Ecxelle
A me rendre folle d’Elle
Et je sais qu’Elle
Me laissera en sequelles
Des fantasmes en "bord d’Elle"
Et si j’ai des remords
Ils vont deja en s’en allant
Car c’est un peu plus fort
Que mes doigts je remords
En suppliant
Encore! Encore!
Elle rattrappe alors
Mes envies,
Les enduit de son corps
Et me les rend
Plus sensuelles encore.
C’est la que je sens
Qu’il me faut m’arretter
Si je ne veux me noyer
En inspirations osées
Car Laurinne
Ma muse
Divine
M’amuse!
Et Elle, mon secret
Fait qu’en moi il se créee
L’envie déjà de recommencer!"
...Et Alex
La main sur son sexe
S’apprete à jouir sans complexe
Sam 06 Nov 2004, 16:08 par
ptite solo sur L'amour en vrac
Désir en ut mineur.
Nicolas referme la porte de l’appartement derrière nous. Nous sommes chez lui et nous savons ce que nous allons y faire. Notre attitude dans l’ascenceur ne trompait pas : j’étais collée à lui, la tête sur son épaule, mes lèvres dans son cou. Je respirais la fragrance de son eau de toilette, mêlée à l’odeur du cuir de son blouson. Pour moi dorénavant, le désir aura ce parfum.
Je m’imprègne de l’endroit : je regarde le plafond entièrement ciélé de poutres et les murs de crépi blanc. Il y fait sobre : peu de décorations, tout au plus une ou deux reproductions de tableaux. Par contre, je reste interdite devant un piano, majestueux, qui occupe la moitié du living.
Nicolas m’apporte un verre de vin blanc frais, il fait chaud dehors et plus encore ici me semble-t-il. A moins que ce ne soit moi qui perde déjà les pédales! Il s’installe au piano et, tout en me souriant, plaque quelques accords bien choisis.
Je retire mes chaussures et sens le contact rafraîchissant du carrelage, histoire de me rappeler que je suis sur terre. Tout en dégustant mon vin, je m’approche de lui, mais ce sont ses mains que je regarde. Je les vois courir sur le clavier, nerveuses, agiles, parfaites et je ne peux m’empêcher de les imaginer sur moi. Quelle partition choisirait-il d’interpréter sur mon corps? Quelle musique y ferait-il naître? Au fond, ça m’est bien égal, tant qu’il joue crescendo.
Change-t-on d’espace temps quand on est sous l’emprise du désir? C’est plausible car je n’ai plus aucune idée de l’heure qu’il est. Je m’évade en pensées, j’anticipe la suite des évènements, je me languis d’être contre lui. Nicolas semble tout à sa musique, j’en suis presque jalouse.
Je m’installe à ses côtés, sur le tabouret de pianiste. Ma jupe courte dévoile plus encore mes jambes dorées par le soleil de juillet. La mélodie s’arrête instantanément, il me prend dans ses bras et sans plus attendre, pose ses lèvres sur le lobe de mon oreille. C’est mon point sensible, il le sait parfaitement et s’amuse avec délectation des frissons qu’il me provoque. Sa langue, à présent, est sur mes lèvres, dessinant leurs contours avec une infinie lenteur, les humectant de salive. J’aspire son souffle chaud. Quand enfin Nicolas m’embrasse profondément, je sens ses mains sur mes cuisses, elles ne s’arrêtent pas là, montent encore et encore, s’insinuant sous ma jupe. Il me fait perdre toute contenance et chavirer dans une excitation telle qu’elle me pousserait à être à lui, là, tout de suite, sur ce siège incongru.
Mais c’est notre "première fois", il faut "bien" faire les choses...
Alors, réprimant mes tremblements, je m’aventure sur le chemin de son corps. Lentement je déboutonne sa chemise, embrassant la chair qui se dévoile au fur et à mesure dans l’échancrure que je crée. Je laisse la caresse de ma bouche s’intensifier au point de me donner l’envie de laisser sur sa peau une marque de convoitise d’amour si impudique.
Nos élans, nos baisers, nos caresses, nos audaces me laissent entrevoir un avenir sensuel plein de promesses.
Et si nos folies se rencontrent?...Si nos folies se rencontrent?
Syolann
Je m’imprègne de l’endroit : je regarde le plafond entièrement ciélé de poutres et les murs de crépi blanc. Il y fait sobre : peu de décorations, tout au plus une ou deux reproductions de tableaux. Par contre, je reste interdite devant un piano, majestueux, qui occupe la moitié du living.
Nicolas m’apporte un verre de vin blanc frais, il fait chaud dehors et plus encore ici me semble-t-il. A moins que ce ne soit moi qui perde déjà les pédales! Il s’installe au piano et, tout en me souriant, plaque quelques accords bien choisis.
Je retire mes chaussures et sens le contact rafraîchissant du carrelage, histoire de me rappeler que je suis sur terre. Tout en dégustant mon vin, je m’approche de lui, mais ce sont ses mains que je regarde. Je les vois courir sur le clavier, nerveuses, agiles, parfaites et je ne peux m’empêcher de les imaginer sur moi. Quelle partition choisirait-il d’interpréter sur mon corps? Quelle musique y ferait-il naître? Au fond, ça m’est bien égal, tant qu’il joue crescendo.
Change-t-on d’espace temps quand on est sous l’emprise du désir? C’est plausible car je n’ai plus aucune idée de l’heure qu’il est. Je m’évade en pensées, j’anticipe la suite des évènements, je me languis d’être contre lui. Nicolas semble tout à sa musique, j’en suis presque jalouse.
Je m’installe à ses côtés, sur le tabouret de pianiste. Ma jupe courte dévoile plus encore mes jambes dorées par le soleil de juillet. La mélodie s’arrête instantanément, il me prend dans ses bras et sans plus attendre, pose ses lèvres sur le lobe de mon oreille. C’est mon point sensible, il le sait parfaitement et s’amuse avec délectation des frissons qu’il me provoque. Sa langue, à présent, est sur mes lèvres, dessinant leurs contours avec une infinie lenteur, les humectant de salive. J’aspire son souffle chaud. Quand enfin Nicolas m’embrasse profondément, je sens ses mains sur mes cuisses, elles ne s’arrêtent pas là, montent encore et encore, s’insinuant sous ma jupe. Il me fait perdre toute contenance et chavirer dans une excitation telle qu’elle me pousserait à être à lui, là, tout de suite, sur ce siège incongru.
Mais c’est notre "première fois", il faut "bien" faire les choses...
Alors, réprimant mes tremblements, je m’aventure sur le chemin de son corps. Lentement je déboutonne sa chemise, embrassant la chair qui se dévoile au fur et à mesure dans l’échancrure que je crée. Je laisse la caresse de ma bouche s’intensifier au point de me donner l’envie de laisser sur sa peau une marque de convoitise d’amour si impudique.
Nos élans, nos baisers, nos caresses, nos audaces me laissent entrevoir un avenir sensuel plein de promesses.
Et si nos folies se rencontrent?...Si nos folies se rencontrent?
Syolann
Ven 20 Août 2004, 19:14 par
syolann sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur j’aspire
Combien j'ai besoin de toi, Le temps d'attendre, Lettre à un songe, Viens cueillir ma perle de passion, Pauvre Don Juan..., Fontaine..., états d'âmes, Rêver d'une aube..., Mon amante virtuelle, Désir en ut mineur.,Il y a 10 textes utilisant le mot j’aspire. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
Derniers textes
Le Dim 08 Août 2021, 15:15 par martin
Le Jeu 05 Août 2021, 14:40 par martin- A la poursuite de milou
Le Dim 01 Août 2021, 14:52 par martin - Noel
Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
Livres recommandables
Tes désirs sont des ordres J'ai lu | |
L'eau à la bouche | |
Récits coquins des plaisirs défendus J'ai lu | |
Homo erectus Gallimard | |
La femme de papier | |
Le bandeau J'ai lu | |
Libérer son écriture et enrichir son style Editions Victoires | |
Le baton et la carotte La Musardine | |
Proposition perverse | |
Dictionnaire des idées suggérées par les mots : trouver le mot juste Le Livre de Poche |
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres
La citation d'amour
Il en est du véritable amour comme de l'apparition des esprits : tout le monde en parle, mais peu de gens en ont vu.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
Qui est en ligne ?
- Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
- La date/heure actuelle est Ven 22 Nov 2024, 01:10
- Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
Nous avons 1234 membres enregistrés
L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher - Il y a en tout 263 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 263 Invités et 0 Bots [ Administrateur ] [ Modérateur ]
- Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 357 le Jeu 21 Nov 2024, 19:25
- Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
Bots : Aucun - Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes