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L'amour est-il un crime ? chapitre 8
coucou, voici pour vous le chapitre 8, en espérant de ne pas avoir fait de fautes ^^ bonne lecture :
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Mer 23 Oct 2013, 17:42 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
L'amour c'est...
Qu’est-ce que l’amour?
Aimer est un mélange de l’ego et du don. Donner de l’amour mais pourquoi? Pour le recevoir? Pour assouvir nos besoins propres? Il est dit, dans la définition de l’amour dans Wikipedia, qu’il existe l’amour égoïste qui est de prendre ainsi que l’amour de Dieu, celui inconditionnel qui lui a pour but de donner. Aimer peut être aussi d’aimer des friandises ainsi que des choses.
Alors nous aimons nos enfants, notre conjoint, notre famille, nos ami(e)s et aussi nous aimons les choses. Les êtres humains ont une grande tendance à l’amour pour s’approprier en retour une compensation. On aime les friandises parce qu’elles nous rapportent une sensation de plaisir... c’est donc un acte d’ego.
L’amour de Dieu lui est altruiste. Il est grand et transforme les gens. D’aimer avec un amour détaché, pourvu d’écoute, d’empathie, de compassion qui s’en résume à l’altruisme est une source de chaleur infinie.
Aussi, il y a une différence entre aimer quelqu’un et aimer ce qu’il fait de sa vie ou ce qu’il fait aux autres. Il est possible d’aimer même ceux et celles qui nous blessent, car dans les faits, nous avons le droit de ne pas aimer ce qu’ils font mais nous avons aussi le droit de les aimer indépendamment de leurs actions. Et aimer inconditionnellement ne veut pas nécessairement dire d’aimer à proximité; il est possible d’aimer de loin...
Ce genre d’amour engendre la possibilité du pardon, ce pardon qui nous libère nous-même. Tous avons nos forces et faiblesses. Souvent, nos actions sont maladroites mais nos intentions elles, sont bonnes. Nous pouvons donc aimer sans aimer les actes des autres... Ce qui s’appelle l’amour inconditionnel.
L’amour, celui du don, s’apprend... Ce n’est pas inné sauf pour ceux et celles qui l’ont reçu étant jeune. Il se doit d’être compris, assimilé pour mieux le donner. Il y a de multiples approches pour aimer sans condition. Il est possible de s’éduquer.
C’est souvent aussi dans la souffrance que l’on apprend à vraiment aimer... Car ceux qui souffrent et qui continuent d’avoir la foi comprennent que seul l’amour importe à la toute fin. Aimer les choses donne du plaisir momentané mais aimer les gens, les proches, les démunis comme les nantis donnent au bout du compte un sentiment qui croisse avec le temps. L’amour est une grande source de bonheur...
Si l’ego aime, c’est pour en retirer quelque chose. Si le cœur par la foi aime, c’est un don de propagande qui allège la vie, qui la rend plus belle. Rien de plus beau et d’apaisant de recevoir un amour inconditionnel... Rien n’est plus beau que l’amour altruiste, rien.
La différence entre la passion et l’amour
La passion est d’ordre de l’ego aussi. Car lorsque nous sommes en amour avec une autre personne et que l’on vit la passion, c’est dans les fait, tomber en amour avec notre état d’être, d’aimer la sensation qui nous habite; car comment vraiment aimer l’autre personne si dans les faits, nous ignorons qui elle est? Nous tombons en amour avec l’illusion que l’on se fait de l’autre lorsque la passion existe dans une relation, rien de plus.
La passion, ceux et celles qui la recherche, fait preuve dans les faits, d’un manque d’amour de soi. Celui qui s’aime vraiment est beaucoup moins propice à tomber dans l’illusion de la passion. Généralement, ceux et celles qui s’aiment vraiment sont ceux et celles qui ont reçu un amour inconditionnel dès les premiers moments de leur vie. Il est possible de vivre l’amour propre même si l’enfance fut dépourvu de l’amour du don. Pour ça, il suffit d’y travailler et de comprendre que de s’aimer soi-même permet de le redonner... Pour ceux qui ont la foi en Dieu, ça l’aide aussi pour l’amour-propre; car Dieu nous aime inconditionnellement et nous pardonne. Pourquoi donc ne pas s’aimer soi-même et se pardonner si lui le fait pour nous?
La passion, nous la recherchons, nous les gens en manque d’amour, surtout en manque d’amour-propre. Mais la passion de dure pas... Car au fil du temps, l’illusion que l’on se fait de l’autre personne et surtout de ce qu’elle peut nous rapporter, se dissipe. On fini par voir chez l’autre les failles et l’illusion tombe; c’est pourquoi, après un certain temps, la passion s’effrite. La passion n’est donc pas de l’amour...
Les couples qui perdurent dans une relation développent souvent l’amour du don aussi. C’est en recherchant le bonheur des deux parties que se développe la complicité, la confiance, le désir de faire plaisir. La flamme de l’amour peut perdurer, à condition d’aimer sans condition aussi.
Voici donc un bref résumé de ce que je pense de l’amour. Je pense l’avoir reçu cet amour inconditionnel dans ma vie; je suis entourée d’amour présentement et il me fortifie. Sans cet amour, ma vie n’aurait pas de sens. Merci à ceux qui m’aiment inconditionnellement; vous êtes ma force et ma joie.
Aimer est un mélange de l’ego et du don. Donner de l’amour mais pourquoi? Pour le recevoir? Pour assouvir nos besoins propres? Il est dit, dans la définition de l’amour dans Wikipedia, qu’il existe l’amour égoïste qui est de prendre ainsi que l’amour de Dieu, celui inconditionnel qui lui a pour but de donner. Aimer peut être aussi d’aimer des friandises ainsi que des choses.
Alors nous aimons nos enfants, notre conjoint, notre famille, nos ami(e)s et aussi nous aimons les choses. Les êtres humains ont une grande tendance à l’amour pour s’approprier en retour une compensation. On aime les friandises parce qu’elles nous rapportent une sensation de plaisir... c’est donc un acte d’ego.
L’amour de Dieu lui est altruiste. Il est grand et transforme les gens. D’aimer avec un amour détaché, pourvu d’écoute, d’empathie, de compassion qui s’en résume à l’altruisme est une source de chaleur infinie.
Aussi, il y a une différence entre aimer quelqu’un et aimer ce qu’il fait de sa vie ou ce qu’il fait aux autres. Il est possible d’aimer même ceux et celles qui nous blessent, car dans les faits, nous avons le droit de ne pas aimer ce qu’ils font mais nous avons aussi le droit de les aimer indépendamment de leurs actions. Et aimer inconditionnellement ne veut pas nécessairement dire d’aimer à proximité; il est possible d’aimer de loin...
Ce genre d’amour engendre la possibilité du pardon, ce pardon qui nous libère nous-même. Tous avons nos forces et faiblesses. Souvent, nos actions sont maladroites mais nos intentions elles, sont bonnes. Nous pouvons donc aimer sans aimer les actes des autres... Ce qui s’appelle l’amour inconditionnel.
L’amour, celui du don, s’apprend... Ce n’est pas inné sauf pour ceux et celles qui l’ont reçu étant jeune. Il se doit d’être compris, assimilé pour mieux le donner. Il y a de multiples approches pour aimer sans condition. Il est possible de s’éduquer.
C’est souvent aussi dans la souffrance que l’on apprend à vraiment aimer... Car ceux qui souffrent et qui continuent d’avoir la foi comprennent que seul l’amour importe à la toute fin. Aimer les choses donne du plaisir momentané mais aimer les gens, les proches, les démunis comme les nantis donnent au bout du compte un sentiment qui croisse avec le temps. L’amour est une grande source de bonheur...
Si l’ego aime, c’est pour en retirer quelque chose. Si le cœur par la foi aime, c’est un don de propagande qui allège la vie, qui la rend plus belle. Rien de plus beau et d’apaisant de recevoir un amour inconditionnel... Rien n’est plus beau que l’amour altruiste, rien.
La différence entre la passion et l’amour
La passion est d’ordre de l’ego aussi. Car lorsque nous sommes en amour avec une autre personne et que l’on vit la passion, c’est dans les fait, tomber en amour avec notre état d’être, d’aimer la sensation qui nous habite; car comment vraiment aimer l’autre personne si dans les faits, nous ignorons qui elle est? Nous tombons en amour avec l’illusion que l’on se fait de l’autre lorsque la passion existe dans une relation, rien de plus.
La passion, ceux et celles qui la recherche, fait preuve dans les faits, d’un manque d’amour de soi. Celui qui s’aime vraiment est beaucoup moins propice à tomber dans l’illusion de la passion. Généralement, ceux et celles qui s’aiment vraiment sont ceux et celles qui ont reçu un amour inconditionnel dès les premiers moments de leur vie. Il est possible de vivre l’amour propre même si l’enfance fut dépourvu de l’amour du don. Pour ça, il suffit d’y travailler et de comprendre que de s’aimer soi-même permet de le redonner... Pour ceux qui ont la foi en Dieu, ça l’aide aussi pour l’amour-propre; car Dieu nous aime inconditionnellement et nous pardonne. Pourquoi donc ne pas s’aimer soi-même et se pardonner si lui le fait pour nous?
La passion, nous la recherchons, nous les gens en manque d’amour, surtout en manque d’amour-propre. Mais la passion de dure pas... Car au fil du temps, l’illusion que l’on se fait de l’autre personne et surtout de ce qu’elle peut nous rapporter, se dissipe. On fini par voir chez l’autre les failles et l’illusion tombe; c’est pourquoi, après un certain temps, la passion s’effrite. La passion n’est donc pas de l’amour...
Les couples qui perdurent dans une relation développent souvent l’amour du don aussi. C’est en recherchant le bonheur des deux parties que se développe la complicité, la confiance, le désir de faire plaisir. La flamme de l’amour peut perdurer, à condition d’aimer sans condition aussi.
Voici donc un bref résumé de ce que je pense de l’amour. Je pense l’avoir reçu cet amour inconditionnel dans ma vie; je suis entourée d’amour présentement et il me fortifie. Sans cet amour, ma vie n’aurait pas de sens. Merci à ceux qui m’aiment inconditionnellement; vous êtes ma force et ma joie.
Lun 16 Sep 2013, 00:37 par
Peacefulminding sur Articles
La colombe ou la liberté, en destinée
L’amour en vrac? c’est le mot clé de ce texte, l’amour, notre amour est en vrac.
On vit dans un monde de putes, je suis bien d’accord avec ce concept.
Et car on vit dans un monde de putes, l’argent régit le cœur de plus vils d’entre nous.
Pauvre riche, l’argent nous a séparé.
c’est ce qui m’a fait pleurer.
je n’ai pas pleuré de te perdre ou de déception, ça j’en ai l’habitude et je ne pleure plus pour personne car je me suis fortifiée.
Ce fut une obligation dans mon cursus, et mon parcours me l’a permis.
J’ai donc un cœur tendre, sensible, ouvert, tout le temps amoureux, mais désormais bien accroché.
J’ai été programmée pour aimer, programmée pour ne plus sombrer.
Je ne ferais aucune polémique ni aucun débat sur le sujet, ni sur nous deux.
Si je t’écris ce soir je ne sais pas vraiment pourquoi ni ce que j’en attends, ou si je sais, juste me soulager de ces douleurs qui nous ont gagnées.
des malentendus, des discordes, tout ce qui tue l’amour.
Tout ce qui a tué mes sentiments.
Maintenant la haine a remplacé mon amour pour toi, et ce n’est plus de l’amour mais du mépris, de la colère, de la rancune aussi.
Me venger n’est pas au programme, mais combien tu vas payer, ça je sais que tu vas le regretter, tandis que je n’aurais aucun regret.
Un jour tu te diras "ah oui elle avait raison, je réagis trop tard et ne comprends que maintenant, et je regrette: elle me manque etc."
et tu ne seras pas le premier, car dans le genre talent précurseur, j’ai le premier prix et j’ai de l’avance sur toi.
je sais avant toi, ce qui advient, sans ne savoir l’avenir pour autant.
quand je te lis, je n’y comprends rien, ton style est dépareillé, tes mots sont dé-variés, ton cœur avarié...
tu parles d’amour comme on parle du malheur et ça me donne la nausée avant même d’avoir goûté au plat...
tu pourras me rendre tout l’argent que tu me dois ça n’achètera jamais l’effacement de ma peine.
de la peine oui que du matériel nous sépare mais pas étonnant quand je vois que tu me prends pour ton objet.
moi je n’ai qu’un objet c’est les droits de l’homme, les droits de la femme, le droit des enfants, le droit des victimes, et le droit des malades à la dignité.
je me rassemble à quelques bénévoles pour venir en aide à des pauvres gens que cette société a voulu réduire à néant et au silence des plus humiliants.
Humiliation oui, quand au silence se réduit la peur, et quant à la peur se substitue l’angoisse aux tripes.
Trop de salopes courent les rues, font les trottoirs à la recherche du malheur perdu.
Stérile est ce désir suspendu au fil des désillusions.
Puérile est le caprice de l’enfant sous couvert de souffrance donne l’illusion à l’adulte devenu grand qu’il existe.
Je déteste ce que tu fais de moi: je t’insulte à tout va, je t’en veux ou pas, plus ou moins, peu importe il est trop tard pour discuter.
Raccrocher au mieux, parler à un répondeur, pour se déverser des ses non-dits.
Quelle arme brise l’indifférence?
à l’indifférence répondre par l’indifférence et surtout ne jamais verser une larme.
si je pleure ce sera pour la juste cause, pour la noble cause, pour ce monde pourri, qui donne le dégoût, même les rats n’aiment plus cette vie.
avant on parlait d’avenir, pour cette terre, ce jour on ne parle plus que de la sauver...
notre planète, ô terre-mère, pardonne les humains de leur débilité.
pardonne l’humanité d’être aussi stupide que la stupidité.
pardonne nous d’être si petits, si fragiles, si insolents et pour les pires si ingrats.
pardonne nous, car nous sommes foutus.
nous ne sommes plus de ce monde, nous errons, nous traversons notre temps, nous tuons le temps, nous bouffons la vie, nous sombrons...lentement dans ce noir...
dans cette guerre qui nous assaillit, dans la haine, non dans l’erreur mais dans la faute.
la faute de ne plus être solidaires, la faute aux égoïstes, à l’égocentrisme, qui laisse l’autre crever pour ne pas l’aider.
volontairement, certains nuisent à autrui, juste par méchanceté gratuite, et ça, c’est encore pire que la malhonnêteté.
C’est lâche et sournois.
voilà tout ce que tu m’inspires, du noir, et du noir, et encore du noir.
un peu de rouge mais juste pour le sang.
la sang du christ, le sang de ces enfants assassinés au nom d’une religion, le sang dans ton assiette, quand ta viande est saignante...
le sang, voilà ta seule couleur.
Les larmes elles n’ont pas de couleur, elles sont transparentes.
Elles sont translucides, on y voit à travers.
On y voit quoi, du cinéma ou ce qu’on a dans les veines.
Pleure un bon coup, une bonne fois pour toutes, une bonne dépression et après ça ira mieux, crois moi tu ne pleureras plus pour rien.
ah oui, pourquoi pleurais-tu déjà?
car selon toi je te devais quelque chose?
ah bon depuis quand l’amour se doit?
on peut devoir de l’argent mais devoir de l’amour, j’ai jamais vu ça.
à part dans un mariage ou à la limite dans un couple et encore, l’amour n’est pas un devoir mais un état incontrôlable et jamais acquis oui je sais tu n’aimes pas quand je dis ça mais c’est vrai.
oui je sais tu n’aimes pas la vérité.
alors tu veux que je t’en balance un peu de réalité? histoire de réveiller tes neurones qui sont fatiguées mais tiennent des nerfs?
la réalité c’est que j’étais en train de tomber amoureuse de toi, je t’ai aimé, puis après ça me passait un peu tel un coup d’amour éphémère car cela ne marchait pas.
Puis tu revenais, donc à nouveau j’espérais.
à chaque fois je t’aimais un peu plus, je te découvrais, et tu me surprenais.
tu étais comme j’attendais, tu faisais ce que je voulais, enfin à peu près car comme je viens de le souligner du début de notre rencontre à la fin il y a eu des hauts et des bas.
et ce n’est pas parce que je me suis libérée que deux mois après non, c’est car, cela n’allait pas.
tu ne faisais pas ce que je souhaitais, alors je me dispersais j’allais voir ailleurs sans vraiment aller voir ailleurs, mais comprends que mon ressenti partait dans tous les sens.
j’étais perdue et déstabilisée et tu sais pourquoi?
parce que tu n’étais pas là près de moi.
tu étais là, tu me montrais indirectement ton attention et intérêt mais pas vraiment.
tu attendais tout de moi, que je fasse tout, tu me laissais tout te donner, sans lâcher ne serait-ce qu’un aveu.
Tu ne me disais pas que tu m’aimais, tu ne me montrais pas tes sentiments et je souffrais.
tu me laissais seule, le soir, la nuit, le jour, aux repas.
tu me laissais tout faire toute seule, faisant mine de me soutenir mais me laissant bien galérer.
tu te foutais de si j’avais à manger, si j’arrivais à manger, tu te foutais de moi.
tu ne te rendais pas compte de mon mal-être avec toi, du malaise, et du manquement.
je n’étais pas heureuse, et dans la durée.
tu voulais limite que je dorme par terre, tu te moquais que je dorme dans un lit ou dans un canapé comme une pauvre fille.
tu te foutais de m’envoyer au bagne, de me rabaisser car tu te sens toi même dans l’infériorité intellectuelle et que tu peines à comprendre mes collègues et moi.
tu voulais que je supporte tes enfants alors que déjà toi je ne te supporte pas.
je t’ai dit de rester avec tes gosses, et ce n’est pas méchant, mais je ne me vois pas avec tes gosses et toi vu les conflits entre nous deux.
déjà qu’à deux on se dispute alors former une famille harmonieuse est carrément impossible.
il n’y a aucune crédibilité à notre union et pourtant si je t’écris là encore c’est bien que j’étais sincère et que je t’aimais
car pourquoi écrire autant à quelqu’un dont on se fiche?
à ce point, tous ces mots là, ils veulent bien dire quelque chose même si ce n’est pas la quantité qui signifie tout?
pourquoi autant, de choses à te dire et toujours rien à te dire.
car te dire c’est parler à un mur, et ne rien dire, c’est impossible après tout ce qui s’est passé
mes potes me disent de ne pas me prendre la tête, mais c’est dur, de ne pas se prendre la tête, avec tout ce que tu me fais subir
tu m’as martyrisé et je le maintiens encore devant témoins.
tu voudrais que j’oublie que je pardonne et te laisse une seconde chance
que je te dise que tu es prêt.
je sais que ton père t’a manqué enfant et que tu as eu des remontées de souvenirs à ce sujet quant on s’est connus mais ce n’est pas une excuse à tes mauvais gestes à mon égard
le pardon n’a pas de prix, le pardon n’a pas de prix
pour te pardonner il me faudrait des milliers de mots doux réparateurs dont tu es bien incapable
tu ne comprends même pas mon rejet
tu crois que je me suis foutue de toi, que j’ai juste voulu profiter ou du moins me moquer de toi sans rien partager de réciproque alors que c’est totalement faux et c’est pourquoi je te dis que tu te trompes
j’étais vraiment prête à m’investir et à construire
à aller jusqu’au bout des choses avec toi
j’avais envie de toi
j’étais dans mon lit allongée vulnérable à tes formes, à tes lèvres et à tes mains
j’étais sous ton emprise et je t’attendais
j’étais heureuse de t’avoir trouvé
je te pensais mature, et avenant, attentionné, sensible, gentils...
je te pensais quelqu’un de bien.
je n’attendais qu’une chose que tu me rejoignes que je te donne la clé, de chez moi, ou bien que tu me la demandes donnée par avance
je n’attendais qu’une chose, que tu viennes, que tu me prennes dans tes bras
que tu me parles, avec ton corps si ta voix avait un bug
avec tes lèvres pour me dire je t’aime
je voulais que tu viennes là me rassurer, me sentir en sécurité contre toi quand je m’endors
je voulais me mettre en boule sous nos draps et ne plus jamais te quitter
je voulais faire un monde autour de toi, telle une protection, un bonheur entretenu, je me voulais parfaite pour toi, je voulais tout faire et tout le temps pour toi
je me levais le matin j’allais travailler pour toi
je voulais gagner beaucoup d’argent et toujours plus pour que tu sois heureuse car même si l’argent ne fait pas le bonheur je voulais pas que tu te soucies pour tes enfants et les nôtres ( j’en voulais avec toi ) de l’aspect financier
je voulais que si l’on ne travaille pas pour la gloire, qu’on travaille pour être riches, et la gloire viendra avec ou inversement
je voulais te couvrir d’or, et surtout d’amour, pour ne jamais que tu pleures
j’ai sans doute voulu trop te gâter mais je ne peux m’en vouloir si tu en as fait un caprice
je voulais que tu sois fier de moi, que nos enfants soient fiers de leurs parents, de leurs métiers, car comment me sentir une bonne mère si mes enfants ne sont pas fiers de moi?
je ne voulais pas d’un père ou d’une mère ni pauvres ni malheureux
je voulais le bonheur, tout simplement apprendre à s’aimer au fil du temps un peu plus chaque jour
une vie simple, sans préjugés, sans jugements, sans jalousies, sans envies déplacées...
et au lieu de ça la vulgarité a remplacé la douceur, et le langage soutenu
on n’a plus que le mot pute à la bouche quant on a les boules
on sent la violence nous envahir et on a envie de tout casser
de prendre un objet et de le briser
et ça, c’est bien le signe de la fin d’une relation selon moi
quand on a envie de prendre un objet et de l’exploser
puis qu’on se dit pour se rassurer jamais je ne te toucherai toi.
certes jamais je ne te toucherai mais c’est pas l’envie qui m’a manqué donc je préfère tout arrêter oui
je ne suis pas de celle qui reste dans ces conditions.
tu me rends mauvaise, mais vraiment quoi et encore je me retiens et heureusement que d’une part ça ne me fait pas ça sans causalité, d’autre part je sais que je ne suis pas comme ça quand je suis amoureuse
je ne suis plus amoureuse par malheur
je ressens encore des restes
des restes néfastes
une pilule mal digérée...
je ne me sens pas en sécurité avec toi, ni dans une relation avec toi.
tu me fais peur car tu as peur et c’est contagieux la peur.
tu as peur donc j’ai peur.
( face à toi pas les autres c’est pour ça que je vais voir ailleurs enfin que j’aimerais aller voir ailleurs car je ne cherche pas non plus )
j’aurais pu choisir n’importe qui pour te faire mourir de jalousie et je ne l’ai pas fait mais la maladie s’en est chargée et t’as fait mourir de jalousie sans que j’ai besoin d’agir
je pourrais me venger sur plein de points et facilement mais ce n’est pas mes méthodes, j’ai des techniques bien plus au point; je veux juste que justice soit faite, et surtout la paix, que tu me fiches la paix
je ne sais même pas pourquoi on se sépare ni pourquoi tu t’es énervé ainsi quand c’est parti en live entre nous, en premier lieu, car depuis je suis énervée aussi dans une certaine mesure que je tempère beaucoup malgré tout, car je sais que malgré ma colère à toute épreuve et mes forces, je suis plus calme que toi
je suis une fausse calme et toi un faux nerveux
tu t’énerves là mais c’est du cinéma ça aussi comme tes larmes.
c’est pas de la colère mais de l’hystérie
et pas de l’hystérie de conversion et l’hystérie tout court.
c’est pourquoi je n’ai plus aucune compassion envers toi
tu ne souffres pas, tu n’es pas malade physiquement, tu es juste pervers et malade sans doute oui, mais pas d’une maladie qui fait souffrir
tu es bien comme ça dans ta vie, tu te relèves aussi vite que tu tombes car tu voles bien bas...
la voilà la vérité!
je deviendrais cynique si je continue trop à dire ce que je pense de toi et sans vouloir te vexer encore une fois je ne dis que ce que je pense en bien comme en mal
toi tu me crois quand je dis du mal mais pas quand je dis du bien.
c’est ça qui est fou.
non?
moi je voulais sortir avec toi, voilà faut être clair, enfin je ne disais pas non car je ne savais pas clairement si un partage était possible tu sais maintenant que ce qui compte n’est pas le désir mais le partage donc l’amour, et que l’amour sans partage n’en est pas, enfin j’espère qu’au moins tu as compris ça.
si je t’ai appris au moins une chose, j’en suis ravie.
voilà je t’ai écrit un roman qui ne changera rien à notre sort désespéré;
je voulais sortir avec toi et au dernier moment tu m’as dégagé mais tu prétends que tu avais une bonne raison ou que c’est moi qui me suis défilée ou je ne sais pas quoi
je ne t’ai jamais dit que tu étais qu’un ami pour moi, jamais, ça aussi tu l’as inventé
j’ai peut être employé ce terme une fois à ton égard car je ne pouvais pas te dire mieux que ça sur ta ligne professionnelle comme ça.
je voulais te dire mon amour en face et en tête à tête donc seule à seul.
je ne voulais pas de tous ces gens dont tu nous entourais
je ne comprenais pas pourquoi tu avais besoin de parler de moi à tout le monde alors que je suis la première et seule concernée
et tout le monde sait mieux que moi ce que tu ressens pour moi car à moi tu ne dis jamais rien
tu es ce silence qui m’exaspère, pas celui des églises, pas celui des églises...
tu ne dis rien ou que de la merde, tu ne fais rien ou que de la merde, je ne sais même plus quand tu as fait un truc bien pour moi, ça doit faire si longtemps.
j’ai mal de voir à quel point je ne te comprends pas, de a à z, et sans parler de normal, je ne trouve pas ça bien
je sais pas tu as cru que je voulais aller voir quelqu’un d’autre alors que je n’ai eu personne d’autre depuis toute cette histoire
je ne sais pas ce que tu croyais
que je pensais qu’à mon travail, mais il me faut bien travailler pour te satisfaire, voudrais tu d’une femme sans profession?
c’est ça pour mère de tes enfants que tu veux? ou tu veux que nos enfants soient fiers de moi et de mon travail?
c’est pas pour moi et t’oublier que je faisais tout ça c’était pour nous et notre avenir
pour que notre couple soit stable comme nos emplois
je ne voulais pas faire passer le travail avant ni le reste avant mais tout passait comme priorités pour moi
car si je suis mal dans mon travail comment je pourrais être bien avec toi ou dans ma vie?
c’est mon épanouissement.
je voulais travailler avec toi en couple en plus donc bon je pense justement que je sacrifiais une partie de mon travail pour toi et pour tout partager et travailler avec toi
qui a fait des efforts et sacrifices pour me rapprocher de toi
qui a renoncé à une partie presque majeure de son emploi du temps
qui s’est rendue libre et sans jamais te faire sentir que tu étais de trop dans ma vie
qui a fait une place pour toi à mes côtés
qui bordel qui?
je ne trouve plus les mots non avec toi, et je n’y capte rien et vu que tu ne t’expliques cela restera un malentendu dans ce bas monde où l’on n’a plus de facilités à détruire qu’à construire...
c’est ce qui est triste, je suis en vrac, comme notre amour, tout part en vrille, ça part en couille, mes textes donnent la gerbe car c’est la merde....
comment te dire hein que toi sans moi ça veut dire quoi?
putain pourquoi on complique toujours tout dans cette putain de vie de merde, hein pourquoi?
ce serait si simple de se boire un petit café, de se dire ce qu’on pense et de se réconcilier, même si l’on doit en venir aux faits et donc soit se mettre ensemble soit oublier cette idée.
je n’arrive plus à aimer, enfin, je n’arrive plus à t’aimer
tu dis que tu m’aimes mais tu me maltraites alors je me dis que ta vision n’est pas la mienne
que nous ne sommes pas sur la même longueur d’ondes
un jour d’ailleurs le jour où tout s’est effondré, tu m’as dit nous n’avons pas les mêmes attentes et je n’ai pas compris pourquoi
maintenant je me dis que tu pensais que je ne voulais pas de toi
et je ne sais pas pourquoi tu pensais ça
ensuite concernant la fidélité, il y a bien longtemps que je suis fidèle, et ça aussi j’ai appris à gérer une situation sans tomber dans ce panneau, dans lequel on peut facilement s’adonner quant on n’a pas eu le bon coach à un moment dans sa vie.
c’est pour ça que je suis célibataire, entre autres, car je ne me vois pas encore fidèle à quelqu’un alors que je n’ai personne forcément comment pourrais-je être fidèle célibataire?
je ne trompe personne forcément car je n’ai personne
je suis seule et par choix, j’ai quitté mon conjoint car ça n’allait plus et je n’ai aucun regret
vaut mieux être seule que mal accompagnée, je dis non merci à la banalité
je dis non merci aux mensonges
je dis non merci aux enfers, et aux cauchemars, je dis non merci à tout ça
alors je suis seule oui, seule pour être libre de m’ouvrir enfin à la bonne personne un jour ou l’autre
demain, ou un peu plus loin, devant, l’horizon n’est pas tracé, l’horizon nous attend vierge et disposé à nous combler
je suis amnésique du futur, car je ne me souviendrai que du bon, que de celui que je garderai pour toujours.
ce ne fut pas toi, dommage, j’aurais bien aimé ne pas me tromper, ne pas nous tromper, ne pas se tromper, en ce sens là oui je te l’accorde nous nous sommes bien trompés.
nous avons cru changer le monde, nous avons cru trouver en l’autre ce qu’on cherchait, et en revanche nous avons souffert...
si dieu existait, il ne laisserait pas ça se passer, ou bien alors il existe et forme le destin.
tu n’es donc peut être pas destiné.
la liberté, je la concède contre un mari,
je marie ma liberté à mon futur mari.
que j’aime par avance forcément.
comment pourrais-je ne pas l’aimer?
on ne se marie pas pour se marier, enfin pas de nos jours, et pas lorsqu’on est normalement constitué
on se marie par amour, par engagement, car on pense avoir trouvé la bonne personne, et surtout car on se sent prêt
voilà la vérité
je n’ai pas d’enfants et que dieu m’en préserve tant que l’amour ne sera pas au rendez-vous et tant que la haine avortera mes enfants.
On vit dans un monde de putes, je suis bien d’accord avec ce concept.
Et car on vit dans un monde de putes, l’argent régit le cœur de plus vils d’entre nous.
Pauvre riche, l’argent nous a séparé.
c’est ce qui m’a fait pleurer.
je n’ai pas pleuré de te perdre ou de déception, ça j’en ai l’habitude et je ne pleure plus pour personne car je me suis fortifiée.
Ce fut une obligation dans mon cursus, et mon parcours me l’a permis.
J’ai donc un cœur tendre, sensible, ouvert, tout le temps amoureux, mais désormais bien accroché.
J’ai été programmée pour aimer, programmée pour ne plus sombrer.
Je ne ferais aucune polémique ni aucun débat sur le sujet, ni sur nous deux.
Si je t’écris ce soir je ne sais pas vraiment pourquoi ni ce que j’en attends, ou si je sais, juste me soulager de ces douleurs qui nous ont gagnées.
des malentendus, des discordes, tout ce qui tue l’amour.
Tout ce qui a tué mes sentiments.
Maintenant la haine a remplacé mon amour pour toi, et ce n’est plus de l’amour mais du mépris, de la colère, de la rancune aussi.
Me venger n’est pas au programme, mais combien tu vas payer, ça je sais que tu vas le regretter, tandis que je n’aurais aucun regret.
Un jour tu te diras "ah oui elle avait raison, je réagis trop tard et ne comprends que maintenant, et je regrette: elle me manque etc."
et tu ne seras pas le premier, car dans le genre talent précurseur, j’ai le premier prix et j’ai de l’avance sur toi.
je sais avant toi, ce qui advient, sans ne savoir l’avenir pour autant.
quand je te lis, je n’y comprends rien, ton style est dépareillé, tes mots sont dé-variés, ton cœur avarié...
tu parles d’amour comme on parle du malheur et ça me donne la nausée avant même d’avoir goûté au plat...
tu pourras me rendre tout l’argent que tu me dois ça n’achètera jamais l’effacement de ma peine.
de la peine oui que du matériel nous sépare mais pas étonnant quand je vois que tu me prends pour ton objet.
moi je n’ai qu’un objet c’est les droits de l’homme, les droits de la femme, le droit des enfants, le droit des victimes, et le droit des malades à la dignité.
je me rassemble à quelques bénévoles pour venir en aide à des pauvres gens que cette société a voulu réduire à néant et au silence des plus humiliants.
Humiliation oui, quand au silence se réduit la peur, et quant à la peur se substitue l’angoisse aux tripes.
Trop de salopes courent les rues, font les trottoirs à la recherche du malheur perdu.
Stérile est ce désir suspendu au fil des désillusions.
Puérile est le caprice de l’enfant sous couvert de souffrance donne l’illusion à l’adulte devenu grand qu’il existe.
Je déteste ce que tu fais de moi: je t’insulte à tout va, je t’en veux ou pas, plus ou moins, peu importe il est trop tard pour discuter.
Raccrocher au mieux, parler à un répondeur, pour se déverser des ses non-dits.
Quelle arme brise l’indifférence?
à l’indifférence répondre par l’indifférence et surtout ne jamais verser une larme.
si je pleure ce sera pour la juste cause, pour la noble cause, pour ce monde pourri, qui donne le dégoût, même les rats n’aiment plus cette vie.
avant on parlait d’avenir, pour cette terre, ce jour on ne parle plus que de la sauver...
notre planète, ô terre-mère, pardonne les humains de leur débilité.
pardonne l’humanité d’être aussi stupide que la stupidité.
pardonne nous d’être si petits, si fragiles, si insolents et pour les pires si ingrats.
pardonne nous, car nous sommes foutus.
nous ne sommes plus de ce monde, nous errons, nous traversons notre temps, nous tuons le temps, nous bouffons la vie, nous sombrons...lentement dans ce noir...
dans cette guerre qui nous assaillit, dans la haine, non dans l’erreur mais dans la faute.
la faute de ne plus être solidaires, la faute aux égoïstes, à l’égocentrisme, qui laisse l’autre crever pour ne pas l’aider.
volontairement, certains nuisent à autrui, juste par méchanceté gratuite, et ça, c’est encore pire que la malhonnêteté.
C’est lâche et sournois.
voilà tout ce que tu m’inspires, du noir, et du noir, et encore du noir.
un peu de rouge mais juste pour le sang.
la sang du christ, le sang de ces enfants assassinés au nom d’une religion, le sang dans ton assiette, quand ta viande est saignante...
le sang, voilà ta seule couleur.
Les larmes elles n’ont pas de couleur, elles sont transparentes.
Elles sont translucides, on y voit à travers.
On y voit quoi, du cinéma ou ce qu’on a dans les veines.
Pleure un bon coup, une bonne fois pour toutes, une bonne dépression et après ça ira mieux, crois moi tu ne pleureras plus pour rien.
ah oui, pourquoi pleurais-tu déjà?
car selon toi je te devais quelque chose?
ah bon depuis quand l’amour se doit?
on peut devoir de l’argent mais devoir de l’amour, j’ai jamais vu ça.
à part dans un mariage ou à la limite dans un couple et encore, l’amour n’est pas un devoir mais un état incontrôlable et jamais acquis oui je sais tu n’aimes pas quand je dis ça mais c’est vrai.
oui je sais tu n’aimes pas la vérité.
alors tu veux que je t’en balance un peu de réalité? histoire de réveiller tes neurones qui sont fatiguées mais tiennent des nerfs?
la réalité c’est que j’étais en train de tomber amoureuse de toi, je t’ai aimé, puis après ça me passait un peu tel un coup d’amour éphémère car cela ne marchait pas.
Puis tu revenais, donc à nouveau j’espérais.
à chaque fois je t’aimais un peu plus, je te découvrais, et tu me surprenais.
tu étais comme j’attendais, tu faisais ce que je voulais, enfin à peu près car comme je viens de le souligner du début de notre rencontre à la fin il y a eu des hauts et des bas.
et ce n’est pas parce que je me suis libérée que deux mois après non, c’est car, cela n’allait pas.
tu ne faisais pas ce que je souhaitais, alors je me dispersais j’allais voir ailleurs sans vraiment aller voir ailleurs, mais comprends que mon ressenti partait dans tous les sens.
j’étais perdue et déstabilisée et tu sais pourquoi?
parce que tu n’étais pas là près de moi.
tu étais là, tu me montrais indirectement ton attention et intérêt mais pas vraiment.
tu attendais tout de moi, que je fasse tout, tu me laissais tout te donner, sans lâcher ne serait-ce qu’un aveu.
Tu ne me disais pas que tu m’aimais, tu ne me montrais pas tes sentiments et je souffrais.
tu me laissais seule, le soir, la nuit, le jour, aux repas.
tu me laissais tout faire toute seule, faisant mine de me soutenir mais me laissant bien galérer.
tu te foutais de si j’avais à manger, si j’arrivais à manger, tu te foutais de moi.
tu ne te rendais pas compte de mon mal-être avec toi, du malaise, et du manquement.
je n’étais pas heureuse, et dans la durée.
tu voulais limite que je dorme par terre, tu te moquais que je dorme dans un lit ou dans un canapé comme une pauvre fille.
tu te foutais de m’envoyer au bagne, de me rabaisser car tu te sens toi même dans l’infériorité intellectuelle et que tu peines à comprendre mes collègues et moi.
tu voulais que je supporte tes enfants alors que déjà toi je ne te supporte pas.
je t’ai dit de rester avec tes gosses, et ce n’est pas méchant, mais je ne me vois pas avec tes gosses et toi vu les conflits entre nous deux.
déjà qu’à deux on se dispute alors former une famille harmonieuse est carrément impossible.
il n’y a aucune crédibilité à notre union et pourtant si je t’écris là encore c’est bien que j’étais sincère et que je t’aimais
car pourquoi écrire autant à quelqu’un dont on se fiche?
à ce point, tous ces mots là, ils veulent bien dire quelque chose même si ce n’est pas la quantité qui signifie tout?
pourquoi autant, de choses à te dire et toujours rien à te dire.
car te dire c’est parler à un mur, et ne rien dire, c’est impossible après tout ce qui s’est passé
mes potes me disent de ne pas me prendre la tête, mais c’est dur, de ne pas se prendre la tête, avec tout ce que tu me fais subir
tu m’as martyrisé et je le maintiens encore devant témoins.
tu voudrais que j’oublie que je pardonne et te laisse une seconde chance
que je te dise que tu es prêt.
je sais que ton père t’a manqué enfant et que tu as eu des remontées de souvenirs à ce sujet quant on s’est connus mais ce n’est pas une excuse à tes mauvais gestes à mon égard
le pardon n’a pas de prix, le pardon n’a pas de prix
pour te pardonner il me faudrait des milliers de mots doux réparateurs dont tu es bien incapable
tu ne comprends même pas mon rejet
tu crois que je me suis foutue de toi, que j’ai juste voulu profiter ou du moins me moquer de toi sans rien partager de réciproque alors que c’est totalement faux et c’est pourquoi je te dis que tu te trompes
j’étais vraiment prête à m’investir et à construire
à aller jusqu’au bout des choses avec toi
j’avais envie de toi
j’étais dans mon lit allongée vulnérable à tes formes, à tes lèvres et à tes mains
j’étais sous ton emprise et je t’attendais
j’étais heureuse de t’avoir trouvé
je te pensais mature, et avenant, attentionné, sensible, gentils...
je te pensais quelqu’un de bien.
je n’attendais qu’une chose que tu me rejoignes que je te donne la clé, de chez moi, ou bien que tu me la demandes donnée par avance
je n’attendais qu’une chose, que tu viennes, que tu me prennes dans tes bras
que tu me parles, avec ton corps si ta voix avait un bug
avec tes lèvres pour me dire je t’aime
je voulais que tu viennes là me rassurer, me sentir en sécurité contre toi quand je m’endors
je voulais me mettre en boule sous nos draps et ne plus jamais te quitter
je voulais faire un monde autour de toi, telle une protection, un bonheur entretenu, je me voulais parfaite pour toi, je voulais tout faire et tout le temps pour toi
je me levais le matin j’allais travailler pour toi
je voulais gagner beaucoup d’argent et toujours plus pour que tu sois heureuse car même si l’argent ne fait pas le bonheur je voulais pas que tu te soucies pour tes enfants et les nôtres ( j’en voulais avec toi ) de l’aspect financier
je voulais que si l’on ne travaille pas pour la gloire, qu’on travaille pour être riches, et la gloire viendra avec ou inversement
je voulais te couvrir d’or, et surtout d’amour, pour ne jamais que tu pleures
j’ai sans doute voulu trop te gâter mais je ne peux m’en vouloir si tu en as fait un caprice
je voulais que tu sois fier de moi, que nos enfants soient fiers de leurs parents, de leurs métiers, car comment me sentir une bonne mère si mes enfants ne sont pas fiers de moi?
je ne voulais pas d’un père ou d’une mère ni pauvres ni malheureux
je voulais le bonheur, tout simplement apprendre à s’aimer au fil du temps un peu plus chaque jour
une vie simple, sans préjugés, sans jugements, sans jalousies, sans envies déplacées...
et au lieu de ça la vulgarité a remplacé la douceur, et le langage soutenu
on n’a plus que le mot pute à la bouche quant on a les boules
on sent la violence nous envahir et on a envie de tout casser
de prendre un objet et de le briser
et ça, c’est bien le signe de la fin d’une relation selon moi
quand on a envie de prendre un objet et de l’exploser
puis qu’on se dit pour se rassurer jamais je ne te toucherai toi.
certes jamais je ne te toucherai mais c’est pas l’envie qui m’a manqué donc je préfère tout arrêter oui
je ne suis pas de celle qui reste dans ces conditions.
tu me rends mauvaise, mais vraiment quoi et encore je me retiens et heureusement que d’une part ça ne me fait pas ça sans causalité, d’autre part je sais que je ne suis pas comme ça quand je suis amoureuse
je ne suis plus amoureuse par malheur
je ressens encore des restes
des restes néfastes
une pilule mal digérée...
je ne me sens pas en sécurité avec toi, ni dans une relation avec toi.
tu me fais peur car tu as peur et c’est contagieux la peur.
tu as peur donc j’ai peur.
( face à toi pas les autres c’est pour ça que je vais voir ailleurs enfin que j’aimerais aller voir ailleurs car je ne cherche pas non plus )
j’aurais pu choisir n’importe qui pour te faire mourir de jalousie et je ne l’ai pas fait mais la maladie s’en est chargée et t’as fait mourir de jalousie sans que j’ai besoin d’agir
je pourrais me venger sur plein de points et facilement mais ce n’est pas mes méthodes, j’ai des techniques bien plus au point; je veux juste que justice soit faite, et surtout la paix, que tu me fiches la paix
je ne sais même pas pourquoi on se sépare ni pourquoi tu t’es énervé ainsi quand c’est parti en live entre nous, en premier lieu, car depuis je suis énervée aussi dans une certaine mesure que je tempère beaucoup malgré tout, car je sais que malgré ma colère à toute épreuve et mes forces, je suis plus calme que toi
je suis une fausse calme et toi un faux nerveux
tu t’énerves là mais c’est du cinéma ça aussi comme tes larmes.
c’est pas de la colère mais de l’hystérie
et pas de l’hystérie de conversion et l’hystérie tout court.
c’est pourquoi je n’ai plus aucune compassion envers toi
tu ne souffres pas, tu n’es pas malade physiquement, tu es juste pervers et malade sans doute oui, mais pas d’une maladie qui fait souffrir
tu es bien comme ça dans ta vie, tu te relèves aussi vite que tu tombes car tu voles bien bas...
la voilà la vérité!
je deviendrais cynique si je continue trop à dire ce que je pense de toi et sans vouloir te vexer encore une fois je ne dis que ce que je pense en bien comme en mal
toi tu me crois quand je dis du mal mais pas quand je dis du bien.
c’est ça qui est fou.
non?
moi je voulais sortir avec toi, voilà faut être clair, enfin je ne disais pas non car je ne savais pas clairement si un partage était possible tu sais maintenant que ce qui compte n’est pas le désir mais le partage donc l’amour, et que l’amour sans partage n’en est pas, enfin j’espère qu’au moins tu as compris ça.
si je t’ai appris au moins une chose, j’en suis ravie.
voilà je t’ai écrit un roman qui ne changera rien à notre sort désespéré;
je voulais sortir avec toi et au dernier moment tu m’as dégagé mais tu prétends que tu avais une bonne raison ou que c’est moi qui me suis défilée ou je ne sais pas quoi
je ne t’ai jamais dit que tu étais qu’un ami pour moi, jamais, ça aussi tu l’as inventé
j’ai peut être employé ce terme une fois à ton égard car je ne pouvais pas te dire mieux que ça sur ta ligne professionnelle comme ça.
je voulais te dire mon amour en face et en tête à tête donc seule à seul.
je ne voulais pas de tous ces gens dont tu nous entourais
je ne comprenais pas pourquoi tu avais besoin de parler de moi à tout le monde alors que je suis la première et seule concernée
et tout le monde sait mieux que moi ce que tu ressens pour moi car à moi tu ne dis jamais rien
tu es ce silence qui m’exaspère, pas celui des églises, pas celui des églises...
tu ne dis rien ou que de la merde, tu ne fais rien ou que de la merde, je ne sais même plus quand tu as fait un truc bien pour moi, ça doit faire si longtemps.
j’ai mal de voir à quel point je ne te comprends pas, de a à z, et sans parler de normal, je ne trouve pas ça bien
je sais pas tu as cru que je voulais aller voir quelqu’un d’autre alors que je n’ai eu personne d’autre depuis toute cette histoire
je ne sais pas ce que tu croyais
que je pensais qu’à mon travail, mais il me faut bien travailler pour te satisfaire, voudrais tu d’une femme sans profession?
c’est ça pour mère de tes enfants que tu veux? ou tu veux que nos enfants soient fiers de moi et de mon travail?
c’est pas pour moi et t’oublier que je faisais tout ça c’était pour nous et notre avenir
pour que notre couple soit stable comme nos emplois
je ne voulais pas faire passer le travail avant ni le reste avant mais tout passait comme priorités pour moi
car si je suis mal dans mon travail comment je pourrais être bien avec toi ou dans ma vie?
c’est mon épanouissement.
je voulais travailler avec toi en couple en plus donc bon je pense justement que je sacrifiais une partie de mon travail pour toi et pour tout partager et travailler avec toi
qui a fait des efforts et sacrifices pour me rapprocher de toi
qui a renoncé à une partie presque majeure de son emploi du temps
qui s’est rendue libre et sans jamais te faire sentir que tu étais de trop dans ma vie
qui a fait une place pour toi à mes côtés
qui bordel qui?
je ne trouve plus les mots non avec toi, et je n’y capte rien et vu que tu ne t’expliques cela restera un malentendu dans ce bas monde où l’on n’a plus de facilités à détruire qu’à construire...
c’est ce qui est triste, je suis en vrac, comme notre amour, tout part en vrille, ça part en couille, mes textes donnent la gerbe car c’est la merde....
comment te dire hein que toi sans moi ça veut dire quoi?
putain pourquoi on complique toujours tout dans cette putain de vie de merde, hein pourquoi?
ce serait si simple de se boire un petit café, de se dire ce qu’on pense et de se réconcilier, même si l’on doit en venir aux faits et donc soit se mettre ensemble soit oublier cette idée.
je n’arrive plus à aimer, enfin, je n’arrive plus à t’aimer
tu dis que tu m’aimes mais tu me maltraites alors je me dis que ta vision n’est pas la mienne
que nous ne sommes pas sur la même longueur d’ondes
un jour d’ailleurs le jour où tout s’est effondré, tu m’as dit nous n’avons pas les mêmes attentes et je n’ai pas compris pourquoi
maintenant je me dis que tu pensais que je ne voulais pas de toi
et je ne sais pas pourquoi tu pensais ça
ensuite concernant la fidélité, il y a bien longtemps que je suis fidèle, et ça aussi j’ai appris à gérer une situation sans tomber dans ce panneau, dans lequel on peut facilement s’adonner quant on n’a pas eu le bon coach à un moment dans sa vie.
c’est pour ça que je suis célibataire, entre autres, car je ne me vois pas encore fidèle à quelqu’un alors que je n’ai personne forcément comment pourrais-je être fidèle célibataire?
je ne trompe personne forcément car je n’ai personne
je suis seule et par choix, j’ai quitté mon conjoint car ça n’allait plus et je n’ai aucun regret
vaut mieux être seule que mal accompagnée, je dis non merci à la banalité
je dis non merci aux mensonges
je dis non merci aux enfers, et aux cauchemars, je dis non merci à tout ça
alors je suis seule oui, seule pour être libre de m’ouvrir enfin à la bonne personne un jour ou l’autre
demain, ou un peu plus loin, devant, l’horizon n’est pas tracé, l’horizon nous attend vierge et disposé à nous combler
je suis amnésique du futur, car je ne me souviendrai que du bon, que de celui que je garderai pour toujours.
ce ne fut pas toi, dommage, j’aurais bien aimé ne pas me tromper, ne pas nous tromper, ne pas se tromper, en ce sens là oui je te l’accorde nous nous sommes bien trompés.
nous avons cru changer le monde, nous avons cru trouver en l’autre ce qu’on cherchait, et en revanche nous avons souffert...
si dieu existait, il ne laisserait pas ça se passer, ou bien alors il existe et forme le destin.
tu n’es donc peut être pas destiné.
la liberté, je la concède contre un mari,
je marie ma liberté à mon futur mari.
que j’aime par avance forcément.
comment pourrais-je ne pas l’aimer?
on ne se marie pas pour se marier, enfin pas de nos jours, et pas lorsqu’on est normalement constitué
on se marie par amour, par engagement, car on pense avoir trouvé la bonne personne, et surtout car on se sent prêt
voilà la vérité
je n’ai pas d’enfants et que dieu m’en préserve tant que l’amour ne sera pas au rendez-vous et tant que la haine avortera mes enfants.
Ven 20 Juil 2012, 23:53 par
inlove sur L'amour en vrac
Le dernier des bisounours
la vie était si simple avant qu’il ne survienne. nous étions nous : simples, vrais, nos deux faces exposées candidement au monde.
et il est arrivé dans nos vies, dans ma vie.
il était toujours au mieux avec chacun, car chacun se trouvait sur l’une de ses faces.
aucune rotondité, aucune continuité dans ce que nous pensions être l’âme unique : il était double, triple, ... multiple.
notre premier contact avec l’être humain ne fut pas sans douleur...
il était aussi volubile avec nos amis qu’avec nos ennemis. il semblait trouver des points communs dans des simplexes tout à fait opposés !
le premier à sentir cette différence fut celui qui causa notre perte. il accusa l’être humain de menteur.
mais qui dit mensonge dit vérité. et qui dit vérité dit réalité. et qui dit réalité a déjà compris qu’il a perdu.
car l’accès soudain à la différence unie en une personne, en une âme, nous fit comprendre que derrière nos yeux, loin derrière nos regards, siège le Réel.
jusqu’alors, pour tout simplexe que nous étions, le réel et la réalité ne faisait qu’un ! nous étions l’un, les autres voyaient l’autre et l’ensemble n’était qu’une seule et même valeur à la vue de chacun...
l’être humain nous amena à comprendre que nos jours étaient comptés. qu’un plan, même divisé par notre ancienne logique en une face pure et une face obscure, ne suffisait à l’avenir de la vie...
une nouvelle forme d’intelligence était née, et elle avait plus de deux faces.
les facettes étaient nées, l’être humain pouvait réclamer son dû : le monde.
il commença par établir une nouvelle règle. la règle du "peut-être".
bientôt cette règle se déclina en "sûrement", "peu probable", puis une multitude d’autres variantes sur le spectre de ces nouveaux possibles.
nos jours étaient comptés...
le problème avec cette division de la vérité, c’est qu’il est de plus en plus complexe de déterminer le vrai, le faux, le bon, le mauvais... tout devient réalité, et le Réel s’éloigne un peu plus encore...
si j’ose écrire ces lignes aujourd’hui, c’est que je suis la dernière des simplexes, et que je vais partir.
l’être humain est entré dans ma vie, je l’ai accueilli à bras ouverts, comme je l’ai toujours fait, et j’ai eu le malheur de croire en chacune de ses facettes, celles qu’il me permettait de voir.
je ne lui en veux pas, car j’ai enfin compris qu’il ne m’a jamais menti. chacun de ses reflets me renvoyait la vérité du moment.
mais je suis simplexe, et simplexe je demeure. impossible pour moi de montrer autre chose que cette globalité qui semble être mon âme. impossible... tant que j’ai les yeux ouverts.
dès qu’ils sont fermés, dès que je ne sais plus laquelle de mes deux faces je vois, je semble vivre de nouveau, atteindre cet état de grâce qui me fait presque toucher l’humanité.
presque.
car même les yeux fermés mon esprits illumine le fond de mes pensées et mes ramène à mon choi : bon ? mauvais ?
ce "presque" me tue doucement... je choisis donc de partir par le premier nuage, et laisser ce monde aux êtres humains qui se multiplient.
j’espère seulement qu’ils ne se perdront pas, qu’ils conserveront une base, celle-là même qu’ils tiennent de nous... une polarité pour chacune de leur facette qui leur donnera la direction du bien, du mal.
il ne leur reste que cela : une direction.
puissent-ils choisir la bonne.
et il est arrivé dans nos vies, dans ma vie.
il était toujours au mieux avec chacun, car chacun se trouvait sur l’une de ses faces.
aucune rotondité, aucune continuité dans ce que nous pensions être l’âme unique : il était double, triple, ... multiple.
notre premier contact avec l’être humain ne fut pas sans douleur...
il était aussi volubile avec nos amis qu’avec nos ennemis. il semblait trouver des points communs dans des simplexes tout à fait opposés !
le premier à sentir cette différence fut celui qui causa notre perte. il accusa l’être humain de menteur.
mais qui dit mensonge dit vérité. et qui dit vérité dit réalité. et qui dit réalité a déjà compris qu’il a perdu.
car l’accès soudain à la différence unie en une personne, en une âme, nous fit comprendre que derrière nos yeux, loin derrière nos regards, siège le Réel.
jusqu’alors, pour tout simplexe que nous étions, le réel et la réalité ne faisait qu’un ! nous étions l’un, les autres voyaient l’autre et l’ensemble n’était qu’une seule et même valeur à la vue de chacun...
l’être humain nous amena à comprendre que nos jours étaient comptés. qu’un plan, même divisé par notre ancienne logique en une face pure et une face obscure, ne suffisait à l’avenir de la vie...
une nouvelle forme d’intelligence était née, et elle avait plus de deux faces.
les facettes étaient nées, l’être humain pouvait réclamer son dû : le monde.
il commença par établir une nouvelle règle. la règle du "peut-être".
bientôt cette règle se déclina en "sûrement", "peu probable", puis une multitude d’autres variantes sur le spectre de ces nouveaux possibles.
nos jours étaient comptés...
le problème avec cette division de la vérité, c’est qu’il est de plus en plus complexe de déterminer le vrai, le faux, le bon, le mauvais... tout devient réalité, et le Réel s’éloigne un peu plus encore...
si j’ose écrire ces lignes aujourd’hui, c’est que je suis la dernière des simplexes, et que je vais partir.
l’être humain est entré dans ma vie, je l’ai accueilli à bras ouverts, comme je l’ai toujours fait, et j’ai eu le malheur de croire en chacune de ses facettes, celles qu’il me permettait de voir.
je ne lui en veux pas, car j’ai enfin compris qu’il ne m’a jamais menti. chacun de ses reflets me renvoyait la vérité du moment.
mais je suis simplexe, et simplexe je demeure. impossible pour moi de montrer autre chose que cette globalité qui semble être mon âme. impossible... tant que j’ai les yeux ouverts.
dès qu’ils sont fermés, dès que je ne sais plus laquelle de mes deux faces je vois, je semble vivre de nouveau, atteindre cet état de grâce qui me fait presque toucher l’humanité.
presque.
car même les yeux fermés mon esprits illumine le fond de mes pensées et mes ramène à mon choi : bon ? mauvais ?
ce "presque" me tue doucement... je choisis donc de partir par le premier nuage, et laisser ce monde aux êtres humains qui se multiplient.
j’espère seulement qu’ils ne se perdront pas, qu’ils conserveront une base, celle-là même qu’ils tiennent de nous... une polarité pour chacune de leur facette qui leur donnera la direction du bien, du mal.
il ne leur reste que cela : une direction.
puissent-ils choisir la bonne.
Sam 28 Avril 2012, 22:48 par
l'homme de sable sur Mille choses
Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i
Le mythe amoureux
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Mar 17 Mai 2011, 14:32 par
Jeaneck sur La vie à deux
Triste novembre...
Nous avions rendez vous à Alma Marceau, pour aller ensemble visiter une exposition au Musée d’Art Moderne de Paris (*). J’étais très en avance et m’étais installé dans une brasserie ; tu es arrivée derrière moi, ravissante et divine surprise. J’ai plus savouré ton regard que le vin chaud que j’avais pris pour effacer un peu la pluie froide qui tombait. Nous avons bavardé… tes soucis professionnels, mes prochains déplacements. Cela aurait pu paraitre banalités, mais la douceur de tes yeux m’aurait bien fait prolonger ce moment de partage à l’infini…
Quelques centaines de mètres le long de l’avenue du Président Wilson. Le trajet me parut si court malgré la pluie : tenir ta main dans la mienne et glisser un baiser furtif dans ton cou auraient mérité plus de temps… Encore tenir ta main pour monter les quelques marches, puis la lâcher quand l’assistance se fit plus dense…
Nous passons brutalement de cette obscurité froide, mais si douce en ta présence, à cette entrée immense, surchauffée et éclatante de lumière. Le temps de recevoir un plan de l’exposition, et nous voilà parti dans l’exploration de la vie de cet artiste … que nous découvrons ensemble.
Dès les premiers tableaux (le terme de toile serait parfois inadapté), je ressens une sorte de malaise intérieur devant le caractère torturé de l’œuvre. L’hôtesse qui accompagne notre petit groupe commente la vie de cet artiste, qui fut placée sous le signe des drogues dures. J’ai pourtant du mal à « entrer » dans le sujet. Pourquoi ces corps torturés, quand le corps exprime pour moi chaleur et douceur ? Pourquoi cette morbidité qui se dégage, quand le corps doit exprimer la vie ?
J’essaie au moins de profiter de ta présence, faute de bien comprendre le sens de cette œuvre titanesque par le nombre de tableaux qu’il a produit. Et je commence le plus doux jeu que je puisse imaginer malgré ces quelques dizaines de spectateurs inconnus : croiser ton regard, glisser ma main dans la tienne, ou voler un baiser dans ton cou sans attirer l’attention…
Parfois, la chaleur des couleurs d’une toile vient trancher un peu avec la noirceur générale qui imprègne l’œuvre. Je quitte alors ton regard pour plonger le mien dans cette peinture. Mais bien souvent, le sort réservé aux corps humains par cet artiste semble tout droit sorti de l’écorché d’un traité d’anatomie, et me ramène ainsi à ce malaise qui ne me lâche plus. J’ai du mal à comprendre ces corps mutilés, cette souffrance qui sort de l’œuvre.
Le labyrinthe chronologique des œuvres s’achève… 1988 ; 28 ans donc pour cet artiste torturé qui se détruisit par les drogues et mourut solitaire. Un frisson parcourut mon dos… J’aurais presque pu reprendre à mon compte la phrase biblique de Siméon « Un glaive te transpercera le cœur ».
Sur le chemin du retour, j’ai voulu renouer avec la douceur : je t’ai prise dans mes bras, j’ai fait de mes baisers un collier pour goûter à la douceur de ton cou. Mais je t’ai sentie si distante, je n’ai pas insisté… Nous avons à peine échangé quelques banalités pendant le trajet en voiture, alors que j’avais tant à te dire. Un petit geste d’adieu en te déposant au pied de ton immeuble, et me voilà de retour dans cette obscurité froide et humide, un peu à l’image de mon âme...
Triste Novembre, qui m’aura arraché tout ce qui me réconfortait, tout ce qui me rassurait, tout ce que j’avais de plus précieux.
(*) Exposition Basquiat, jusqu’au 30 janvier 2011 pour ceux qui apprécient...
Quelques centaines de mètres le long de l’avenue du Président Wilson. Le trajet me parut si court malgré la pluie : tenir ta main dans la mienne et glisser un baiser furtif dans ton cou auraient mérité plus de temps… Encore tenir ta main pour monter les quelques marches, puis la lâcher quand l’assistance se fit plus dense…
Nous passons brutalement de cette obscurité froide, mais si douce en ta présence, à cette entrée immense, surchauffée et éclatante de lumière. Le temps de recevoir un plan de l’exposition, et nous voilà parti dans l’exploration de la vie de cet artiste … que nous découvrons ensemble.
Dès les premiers tableaux (le terme de toile serait parfois inadapté), je ressens une sorte de malaise intérieur devant le caractère torturé de l’œuvre. L’hôtesse qui accompagne notre petit groupe commente la vie de cet artiste, qui fut placée sous le signe des drogues dures. J’ai pourtant du mal à « entrer » dans le sujet. Pourquoi ces corps torturés, quand le corps exprime pour moi chaleur et douceur ? Pourquoi cette morbidité qui se dégage, quand le corps doit exprimer la vie ?
J’essaie au moins de profiter de ta présence, faute de bien comprendre le sens de cette œuvre titanesque par le nombre de tableaux qu’il a produit. Et je commence le plus doux jeu que je puisse imaginer malgré ces quelques dizaines de spectateurs inconnus : croiser ton regard, glisser ma main dans la tienne, ou voler un baiser dans ton cou sans attirer l’attention…
Parfois, la chaleur des couleurs d’une toile vient trancher un peu avec la noirceur générale qui imprègne l’œuvre. Je quitte alors ton regard pour plonger le mien dans cette peinture. Mais bien souvent, le sort réservé aux corps humains par cet artiste semble tout droit sorti de l’écorché d’un traité d’anatomie, et me ramène ainsi à ce malaise qui ne me lâche plus. J’ai du mal à comprendre ces corps mutilés, cette souffrance qui sort de l’œuvre.
Le labyrinthe chronologique des œuvres s’achève… 1988 ; 28 ans donc pour cet artiste torturé qui se détruisit par les drogues et mourut solitaire. Un frisson parcourut mon dos… J’aurais presque pu reprendre à mon compte la phrase biblique de Siméon « Un glaive te transpercera le cœur ».
Sur le chemin du retour, j’ai voulu renouer avec la douceur : je t’ai prise dans mes bras, j’ai fait de mes baisers un collier pour goûter à la douceur de ton cou. Mais je t’ai sentie si distante, je n’ai pas insisté… Nous avons à peine échangé quelques banalités pendant le trajet en voiture, alors que j’avais tant à te dire. Un petit geste d’adieu en te déposant au pied de ton immeuble, et me voilà de retour dans cette obscurité froide et humide, un peu à l’image de mon âme...
Triste Novembre, qui m’aura arraché tout ce qui me réconfortait, tout ce qui me rassurait, tout ce que j’avais de plus précieux.
(*) Exposition Basquiat, jusqu’au 30 janvier 2011 pour ceux qui apprécient...
Mar 23 Nov 2010, 09:05 par
piertiteuf sur L'amour en vrac
Pensées sur l'amour
Que reste-t-il de l’amour dans notre époque marqué moralement par la croissance parfois démesurée de l’individualisme, la guerre des égoïsmes et des intérêts? Reste-t-il cet idéal vers lequel chacun aspire, et à travers qui la réalisation de soi devient légitime et universel?
L’amour comme chaque phénomène humain ancré dans un contexte historique et culturel, subit les changements de l’époque dans laquelle il se réalise.
Sa face actuelle s’exprime par une volonté ardente de se retrouvé à travers l’autre, à travers une altérité qui émancipe le moi et le rend plus subtil et plus élégant. Le moi est ouvert a des possibilités que l’autre seulement peut apporter et créer, des possibilités qui peuvent déséquilibrer la conception qu’on a de soi même, mais qui ont comme but la redéfinition d’un ego cherchant à être plus profond et plus satisfait. Vu de cet angle, l’amour paraît comme une recherche égoïste, suivant les obligations d’un désir de plus en plus assoiffé à de nouvelles expériences, nouvelles satisfactions.
De tels désirs, ne sont pas souvent choisis librement avec un raisonnement indépendant et souvrain, mais plus ou moins imposés dés l’enfance par les valeurs que la société adoptent et protègent. sortir de ces valeurs pour rechercher soi même ses propres valeurs devient plus difficile quand à l’adolescence, les jeunes sont bombardés par une machine médiatique qui impose et décrit certaines formes de l’amour comme étant les seules légitimes et souhaitables. À travers les chansons, les films, les séries, les magazines, la littérature, certains modèles sont érigés en exemples absolus, faisant ainsi une restriction, une marginalisation des autres formes possibles qui existent à travers le monde.
Le jeun, et après l’adulte, suivent ainsi le modèle présupposé être celui de la réussite, un modèle basé sur le calcul continuel des intérêts de l’ego; puisque le modèle économique gouverne le monde depuis l’ère de l’industrialisation, ses valeurs ont été recopiés petit à petit dans des sphères privés pour atteindre enfin le plus intims. Ce système, renforcé par la culture de la consommation d’un coté, et par la recherche du profit de l’autre, objective tous ce qui existe pour lui donner une valeur et objective par la suite l’être humain, l’autre, pour ne voir en lui que des possibilités de profit existentiel et de consommation émotionnelle. On recherche les atouts de l’autre, qui nous manquent nous même : un jolie corps, une beauté attirante, des sensations chaleureuses...etc. L’utilitarisme règne en maitre :» tant que tu correspond à mes attentes, à mes souhaits, à mes désirs, je te désire». commence ainsi le chemin de consommation de l’autre, de ses capacité et ses atouts. Le tout est masqué par les métaphores de l’amour et l’attachement. On est dans l’arène de l’éros grec: le dieu en manque cherche la satisfaction de ses manques, mais quand la satisfaction est là, le manque n’y plus,quand l’objet-ou le sujet- est là, sous le contrôle et disponible à toute demande, il nous manque plus. Il faut d’autre objet, d’autres sujets qui apportent d’autres dimensions. Et c’est remarquable comment ces idées sont abondantes dans la culture de la consommation: on a des choses, mais il nous faut d’autres, car ceux qu’on a sont démodé, dépassé, et il y a tout le temps des nouveautés, tout le temps des choses à découvrir et à exploiter.
Quand la routine s’installe, le démon de la séparation sort sa tète dans les cœurs. Mais de la routine il y en aura toujours, de la répétition aussi. Chose qu’a remarqué le philosophe anglais Bertrand russel, qui a écrit «on peut tomber amoureux et rester pendant plusieurs années à la dévotion d’un seul être, mais tôt ou tard l’habitude émousse la passion et il faut chercher ailleurs le retour des premières voluptés. Il est naturellement possible de dominer cet instinct, mais il est difficile d’en empêcher l’existence».
mais aussi le philosophe français Christophe schaeffer; quand il a écrit: «quand un couple rencontre des difficultés, le remède est le plus souvent recherché dans une logique de rupture, mais ce que sous tend cette logique, c’est ce qui nous pousse à la consommation compulsive de personnes...en vient-on finalement à jeter la relation , donc la personne, comme on jetterait un produit devenu obsolète. On change de partenaire avec le fantasme de trouver mieux, comme si, dans le domaine des rapports humains, il devenait possible d’acquérir le dernier modèle, plus innovant, plus séduisant»
et cette quête se répète indéfinement jusqu’à l’épuisement, jusqu’à ce que la conscience se rende compte que la jeunesse est passée, que le champ de possibilités devient nettement étroit avec l’age qui continu son chemin vers la fin. Car comme tout système consumériste, il y a des critères qu’il faut avoir pour pouvoir rivaliser et avoir sa place, des critères sans pitié, excluant les faibles, les malades, les handicapés, les pauvres, les étrangers...etc .ça ne veux pas dire que ces tranches entières de l’humanité n’ont pas de vie sentimentale ou charnelle, mais que leurs choix sont nettement limités et rares, et que même ces choix durent très peu dans le temps face au nombre incalculable de problèmes et d’obstacles.
Dans un système de concurrence généralisé, chacun évalue chacun, et si la comptabilité des être est positive, l’ego s’ouvre pour chercher la réussite tant voulu et convoitée; c’est un symbole de réalisation qui essai de convaincre les autres qu’on arrive mieux qu’eux à se satisfaire.
Mais heureusement, le monde n’est pas si noir que ça, s’il y a des valeurs dominantes, il y a toujours des hommes et des femmes courageux d’esprit qui cherchent leur chemin par eux même, qui construisent leur univers indépendamment de la culture de masse dominante. Des gens qui comprennent qu’éros ne dure pas. Éros s’use au fur et à mesure qu’il est satisfait, éros ne renait que pour mourir de nouveau. Quand «philia» (amour d’amitié), avec le temps, ne cesse de se renforcer, de s’approfondir, de s’épanouir. Au début, on n’aime que ses propres désirs, qu’on assouvis à travers l’autre, c’est l’amour qui prend, l’amour qui consomme. Mais un autre passage est possible, d’autre formes peuvent exister. On apprend à voir l’autre comme il est, de l’aimer pour lui même, de l’amour qui prend à l’amour qui donne, de l’égoïsme à la bienveillance, du manque à la joie de vivre ensemble, d’éros à philia. L’humanité par là assume une ascension; qui sort de l’étroitesse, à la générosité de faire et donner le bien, de se réaliser à travers le bonheur de l’autre qui nous comble aussi, puisqu’il est celui qu’on aime et qu’on veut protéger, même de soi..l’amour est un chemin à faire, si la volonté d’être plus qu’un égoïste est là, un chemin qui commence par le manque, par la passion brulante parfois, par le désir, mais qui ne doit pas finir comme toute flamme sur laquelle on jette l’eau froide de la satisfaction, on doit la protéger contre l’hiver pour atteindre le printemps, on doit essayer de penser l’amour autrement qu’en terme de satisfaction et d’intérêt. Il faut que l’amour apporte des vertus, et pas des vices. Qu’il fait renaitre la générosité,l’amitié,la miséricorde, et pas la cupidité, le culte de soi, l’indifférence.
André comte sponville, a très bien résumé ça dans un passage sur l’amour, dans son fameux livre, petite traité des grandes vertus, : « il faut citer la bouleversante formule de pavese, dans son journal intime: tu seras aimé le jour où tu pourra montrer ta faiblesse sans que l’autre s’en serve pour affirmer sa force. Cet amour là est le plus rare, le plus précieux, le plus miraculeux. Vous reculez d’un pas? Il recule de deux. Simplement pour vous laisser plus d’espace, pour ne pas vous bousculer, pour ne pas vous envahir, pour ne pas vous écraser, pour vous laisser un peu plus d’espace, de liberté, d’air, et d’autant plus qu’il vous sent plus faible, pour ne pas vous imposer sa puissance, pas même sa joie ou son amour, pour ne pas occuper tout l’espace disponible.....c’est une idée que Spinoza n’aurait jamais eue, qu’Aristote n’aurait jamais eue, et qui parle pourtant à notre fragilité, à notre fatigue, et même à cette force en nous, me semble-t-il, si légère, si rare, le peu d’amour vraiment désintéressé dont parfois nous sommes capables...non plus le manque, la passion ou la convoitise(éros), non plus la puissance joyeuse et expansive, l’affirmation commune d’une existence réciproquement augmentée, l’amour de soi redoublé par l’amour de l’autre, mais le retrait, mais la douceur, mais la délicatesse d’exister moins, de s’affirmer moins, de s’étendre moins, mais l’auto limitation de son pouvoir, de sa force, de son être...l’amour qui n’augmente pas la puissance mais qui la limite ou la nie, l’amour qui ne redouble pas l’amour de soi mais qui le compense ou le dissout,l’amour qui conforte pas l’ego mais qui en libère»
c’est beau, sublime, mais possible malgré tout. Difficile à appliquer ou à penser, mais réalisable si le bon choix est fait.
NB: mes excuses s’il y a des fautes d’orthographe ou de grammaire.
L’amour comme chaque phénomène humain ancré dans un contexte historique et culturel, subit les changements de l’époque dans laquelle il se réalise.
Sa face actuelle s’exprime par une volonté ardente de se retrouvé à travers l’autre, à travers une altérité qui émancipe le moi et le rend plus subtil et plus élégant. Le moi est ouvert a des possibilités que l’autre seulement peut apporter et créer, des possibilités qui peuvent déséquilibrer la conception qu’on a de soi même, mais qui ont comme but la redéfinition d’un ego cherchant à être plus profond et plus satisfait. Vu de cet angle, l’amour paraît comme une recherche égoïste, suivant les obligations d’un désir de plus en plus assoiffé à de nouvelles expériences, nouvelles satisfactions.
De tels désirs, ne sont pas souvent choisis librement avec un raisonnement indépendant et souvrain, mais plus ou moins imposés dés l’enfance par les valeurs que la société adoptent et protègent. sortir de ces valeurs pour rechercher soi même ses propres valeurs devient plus difficile quand à l’adolescence, les jeunes sont bombardés par une machine médiatique qui impose et décrit certaines formes de l’amour comme étant les seules légitimes et souhaitables. À travers les chansons, les films, les séries, les magazines, la littérature, certains modèles sont érigés en exemples absolus, faisant ainsi une restriction, une marginalisation des autres formes possibles qui existent à travers le monde.
Le jeun, et après l’adulte, suivent ainsi le modèle présupposé être celui de la réussite, un modèle basé sur le calcul continuel des intérêts de l’ego; puisque le modèle économique gouverne le monde depuis l’ère de l’industrialisation, ses valeurs ont été recopiés petit à petit dans des sphères privés pour atteindre enfin le plus intims. Ce système, renforcé par la culture de la consommation d’un coté, et par la recherche du profit de l’autre, objective tous ce qui existe pour lui donner une valeur et objective par la suite l’être humain, l’autre, pour ne voir en lui que des possibilités de profit existentiel et de consommation émotionnelle. On recherche les atouts de l’autre, qui nous manquent nous même : un jolie corps, une beauté attirante, des sensations chaleureuses...etc. L’utilitarisme règne en maitre :» tant que tu correspond à mes attentes, à mes souhaits, à mes désirs, je te désire». commence ainsi le chemin de consommation de l’autre, de ses capacité et ses atouts. Le tout est masqué par les métaphores de l’amour et l’attachement. On est dans l’arène de l’éros grec: le dieu en manque cherche la satisfaction de ses manques, mais quand la satisfaction est là, le manque n’y plus,quand l’objet-ou le sujet- est là, sous le contrôle et disponible à toute demande, il nous manque plus. Il faut d’autre objet, d’autres sujets qui apportent d’autres dimensions. Et c’est remarquable comment ces idées sont abondantes dans la culture de la consommation: on a des choses, mais il nous faut d’autres, car ceux qu’on a sont démodé, dépassé, et il y a tout le temps des nouveautés, tout le temps des choses à découvrir et à exploiter.
Quand la routine s’installe, le démon de la séparation sort sa tète dans les cœurs. Mais de la routine il y en aura toujours, de la répétition aussi. Chose qu’a remarqué le philosophe anglais Bertrand russel, qui a écrit «on peut tomber amoureux et rester pendant plusieurs années à la dévotion d’un seul être, mais tôt ou tard l’habitude émousse la passion et il faut chercher ailleurs le retour des premières voluptés. Il est naturellement possible de dominer cet instinct, mais il est difficile d’en empêcher l’existence».
mais aussi le philosophe français Christophe schaeffer; quand il a écrit: «quand un couple rencontre des difficultés, le remède est le plus souvent recherché dans une logique de rupture, mais ce que sous tend cette logique, c’est ce qui nous pousse à la consommation compulsive de personnes...en vient-on finalement à jeter la relation , donc la personne, comme on jetterait un produit devenu obsolète. On change de partenaire avec le fantasme de trouver mieux, comme si, dans le domaine des rapports humains, il devenait possible d’acquérir le dernier modèle, plus innovant, plus séduisant»
et cette quête se répète indéfinement jusqu’à l’épuisement, jusqu’à ce que la conscience se rende compte que la jeunesse est passée, que le champ de possibilités devient nettement étroit avec l’age qui continu son chemin vers la fin. Car comme tout système consumériste, il y a des critères qu’il faut avoir pour pouvoir rivaliser et avoir sa place, des critères sans pitié, excluant les faibles, les malades, les handicapés, les pauvres, les étrangers...etc .ça ne veux pas dire que ces tranches entières de l’humanité n’ont pas de vie sentimentale ou charnelle, mais que leurs choix sont nettement limités et rares, et que même ces choix durent très peu dans le temps face au nombre incalculable de problèmes et d’obstacles.
Dans un système de concurrence généralisé, chacun évalue chacun, et si la comptabilité des être est positive, l’ego s’ouvre pour chercher la réussite tant voulu et convoitée; c’est un symbole de réalisation qui essai de convaincre les autres qu’on arrive mieux qu’eux à se satisfaire.
Mais heureusement, le monde n’est pas si noir que ça, s’il y a des valeurs dominantes, il y a toujours des hommes et des femmes courageux d’esprit qui cherchent leur chemin par eux même, qui construisent leur univers indépendamment de la culture de masse dominante. Des gens qui comprennent qu’éros ne dure pas. Éros s’use au fur et à mesure qu’il est satisfait, éros ne renait que pour mourir de nouveau. Quand «philia» (amour d’amitié), avec le temps, ne cesse de se renforcer, de s’approfondir, de s’épanouir. Au début, on n’aime que ses propres désirs, qu’on assouvis à travers l’autre, c’est l’amour qui prend, l’amour qui consomme. Mais un autre passage est possible, d’autre formes peuvent exister. On apprend à voir l’autre comme il est, de l’aimer pour lui même, de l’amour qui prend à l’amour qui donne, de l’égoïsme à la bienveillance, du manque à la joie de vivre ensemble, d’éros à philia. L’humanité par là assume une ascension; qui sort de l’étroitesse, à la générosité de faire et donner le bien, de se réaliser à travers le bonheur de l’autre qui nous comble aussi, puisqu’il est celui qu’on aime et qu’on veut protéger, même de soi..l’amour est un chemin à faire, si la volonté d’être plus qu’un égoïste est là, un chemin qui commence par le manque, par la passion brulante parfois, par le désir, mais qui ne doit pas finir comme toute flamme sur laquelle on jette l’eau froide de la satisfaction, on doit la protéger contre l’hiver pour atteindre le printemps, on doit essayer de penser l’amour autrement qu’en terme de satisfaction et d’intérêt. Il faut que l’amour apporte des vertus, et pas des vices. Qu’il fait renaitre la générosité,l’amitié,la miséricorde, et pas la cupidité, le culte de soi, l’indifférence.
André comte sponville, a très bien résumé ça dans un passage sur l’amour, dans son fameux livre, petite traité des grandes vertus, : « il faut citer la bouleversante formule de pavese, dans son journal intime: tu seras aimé le jour où tu pourra montrer ta faiblesse sans que l’autre s’en serve pour affirmer sa force. Cet amour là est le plus rare, le plus précieux, le plus miraculeux. Vous reculez d’un pas? Il recule de deux. Simplement pour vous laisser plus d’espace, pour ne pas vous bousculer, pour ne pas vous envahir, pour ne pas vous écraser, pour vous laisser un peu plus d’espace, de liberté, d’air, et d’autant plus qu’il vous sent plus faible, pour ne pas vous imposer sa puissance, pas même sa joie ou son amour, pour ne pas occuper tout l’espace disponible.....c’est une idée que Spinoza n’aurait jamais eue, qu’Aristote n’aurait jamais eue, et qui parle pourtant à notre fragilité, à notre fatigue, et même à cette force en nous, me semble-t-il, si légère, si rare, le peu d’amour vraiment désintéressé dont parfois nous sommes capables...non plus le manque, la passion ou la convoitise(éros), non plus la puissance joyeuse et expansive, l’affirmation commune d’une existence réciproquement augmentée, l’amour de soi redoublé par l’amour de l’autre, mais le retrait, mais la douceur, mais la délicatesse d’exister moins, de s’affirmer moins, de s’étendre moins, mais l’auto limitation de son pouvoir, de sa force, de son être...l’amour qui n’augmente pas la puissance mais qui la limite ou la nie, l’amour qui ne redouble pas l’amour de soi mais qui le compense ou le dissout,l’amour qui conforte pas l’ego mais qui en libère»
c’est beau, sublime, mais possible malgré tout. Difficile à appliquer ou à penser, mais réalisable si le bon choix est fait.
NB: mes excuses s’il y a des fautes d’orthographe ou de grammaire.
Je suis partie, tu ne m'as pas retenu...
- ...Personne ne me retient.
Jamais.
Mais toi tu aurais pu.
Tu aurais dut.
Tu aurais dut me dire de rester avec toi, car je t’ai accepté. Tu étais, parfait, respectueux, charmant, intimidant, je t’aies cru. Tu m’as trahi. Mais j’ai pardonné. Je regrette de t’avoir rencontré. Tu m’as fait du mal, au point qu’en l’écrivant, je ressente toujours cette intense souffrance. Je n’ai plus confiance en moi, ni en personne. Tu ne vois pas ma souffrance car tu n’es plus là...
Je n’ose plus te parler, je ne veux plus te parler, tout ce que tu fais c’est me raconter ta vie, tes passions, montrer que tu es plus heureuse que moi. Maintenant que tu as une vie, que tu as un fiancé, je n’existe plus, alors que je t’ai tant aimé. Et toi, tu n’as fait que me briser.
J’ai parlé, puis pleuré, puis hurlé jusqu’à ce que mon coeur se casse, que ce vide et ce froid l’emplisse. Je n’ai plus jamais aimé après toi. Après 3 ans. Je n’ai plus aimé. Depuis 3 ans, je n’aime plus. La blessure se rouvre, je n’en peux plus... Je suis faible, tu m’as rendu faible. Je n’y arrive plus. Depuis ton mensonge, je ne peux plus y croire. Idéalisation > remise en question.
Malgré tout, je n’arrive pas à te détester, au contraire. Je te pardonne. Mais je souffre encore. Je souffre car tu m’ignores. J’aimerais pouvoir tout effacer, mais mon passé est toujours là, je m’attarde sur ces choses car elles ont de la valeur, car à cette époque je pensais que tu étais celui que j’attendais. L’ange qui veillait sur moi.
Mais j’avais tort. Les anges existent-ils ? Suis-je encore capable d’y croire ? Je n’en sais rien, je sais par contre, que tu n’en es pas un. Que sur terre, les anges n’existent pas, car nous sommes humains. Je voudrais un ange, je le voudrais tellement...
J’en avais un autre, mais lui aussi s’en est allé.
Et tu ne m’as même pas aidé.
Quand mon père est parti, tu n’as fait que m’enfoncer. J’avais besoin de toi, j’avais besoin de vous. Mais il n’y avait personne. J’ai lutté. Seule...
Alors je ne fais plus confiance, pas seulement avec toi.
Tu n’es pas la seule.
Les autres aussi.
Les autres ne me retiennent pas.
Je m’en vais.
Je suis triste.
Pourquoi c’est toujours moi qui pleure ?
Pourquoi c’est toujours moi qui souffre ?
Je sais que la vie est injuste.
Mais le restera t-elle pour moi jusqu’à la fin de mes jours ?
Pourquoi était-elle juste pour toi ?
Et pas pour moi ?
Qu’ais-je fait ?
Je n’ai rien fait.
Pour les gens qui ne font rien, la vie est injuste...
Ou bien c’est ma perception de la vie qui l’est.
Toi tu dois trouver ça juste. Si tu trouves ça juste, c’est que la justice est propre à chaque personne, je ma définition de la justice n’est pas la même que la tienne.
Ce n’est pas la vie qui est injuste.
Ce n’est pas moi qui suis injuste.
Ce n’est pas toi qui est injuste.
C’est ma vision de la justice qui est injuste.
Mais qu’est-ce que la justice ?
La bonne fortune ?
Le destin ?
Je voudrais être la justice.
Si j’étais la justice, tu serais seule.
Si j’étais la justice, je te ferais endurer la même souffrance.
Car tu savais que je souffrirais en apprennant la vérité.
Tu avais fini de joué, tu as pris ton pieds et tu m’as enterré.
Je devrais VRAIMENT te détester.
Mais je ne ressens plus rien.
Depuis que mon père est parti, je ne ressens plus rien.
Je me suis protégé. Je n’ai plus voulu souffrir.
Je ne ressens ni haine, ni joie, ni une réelle tristesse...
Je ne sais plus ce qu’est être joyeuse, ni être malheureuse...
Parce que ma définition de la justice veut que les autres souffrent autant que je souffre. Parce qu’elle veut que je puisse avoir ce qu’ils ont... Parce qu’elle veut que je sois heureuse plus que tu ne l’aies.
Mais la roue tourne.
Un jour, je serais heureuse.
Et je te cracherais mon bonheur à la figure, te faisant comprendre que tu n’es plus rien pour moi, que tu n’es que le passé et que mon présent est plus important que mon passé.
Je vis dans le passé.
Il faut aller de l’avant.
Mais je ne peux pas.
Comment faire ?
Je l’ignore.
Dim 04 Juil 2010, 20:41 par
Nothing sur Amour internet
Le rire
Je te remercie, Dolce, pour tes informations concernant le monde animalier. C’est avec une grande humilité, que je reconnais mon ignorance à ce propos. Mais le "code langagier" et le cerveau développé des dauphins leur permettent-ils de rire?
Ont-ils un inconscient?
Néanmoins, il est juste de constater que certains humains, probablement malades, sont proches de l’animalité.
PS: Le plaisir est partagé...
Ont-ils un inconscient?
Néanmoins, il est juste de constater que certains humains, probablement malades, sont proches de l’animalité.
PS: Le plaisir est partagé...
Jeu 28 Jan 2010, 06:56 par
évènement sur Un monde parfait
Sourire
Au fait, Evènement, le dauphin ayant lui aussi développé un code langagier qui lui est propre et possédant un cerveau bien développé à l’instar de l’Homme, se distingue-t-il donc de fait des animaux ? ! La réponse est "oui" si j’en suis ton assertion. Un peu d’humilité chez l’Homme ne nuit pas... Essayons d’avoir une vision un peu moins autocentrée et hyperbolique de notre espèce. Parce que parfois, quand on regarde ce que les animaux humains font à des tas de niveaux, ils devraient, nous devrions, adopter le profil bas... Pauvres animaux que nous sommes et qui n’avons pas fini d’apprendre des autres pour peu que nous nous en donnions les moyens : "ouvrez les yeux les loups".
Bien cordialement.
Dolce
ps : c’est un plaisir que de te répondre !!!
Bien cordialement.
Dolce
ps : c’est un plaisir que de te répondre !!!
Mer 27 Jan 2010, 16:37 par
dolce vita sur Un monde parfait
La dame sur le banc, vue par l'écureuil
Je suis l’écureuil. Du haut de mon arbre, j’observe les allées et venues des êtres humains.
Par ce joli jour de printemps, je la vis approcher d’un pas assuré. Le soleil diffusait une lumière coquine laissant apparaître le galbe de ses cuisses sous sa robe légère. Les tâches de rousseur sur son visage ainsi que le cuivré de ses cheveux m’interpellèrent. Mes moustaches frémirent. J’osais descendre sur une branche plus basse. Le parc était vide.
Elle prit place sur le banc, un livre à la main. Ses yeux verts de jade parcouraient les phrases à un rythme soutenu. Je ressentais les battements de son coeur grâce à mes oreilles sensibles. Puis, sa respiration devint plus profonde. Sous son chemisier deux boutons naquirent à la pointe des seins. Sans quitter sa lecture des yeux, elle se déchaussa et posa les pieds dans l’herbe parfumée de l’après-midi. Ses ongles étaient laqués de mauve. Elle posa son livre, puis m’aperçut et m’offrit un sourire en me fixant droit dans les yeux. J’osais descendre au pied de l’arbre.
Elle s’adossa, ferma les yeux, ses mains blanches écartant légèrement le pan de sa robe. Sa main droite caressait sa cuisse, tandis que la gauche s’aventurait plus loin. Sentant le parfum enivrant de sa volupté, je m’approchais doucement et vis ses doigts fins se perdre dans son intimité rousse. Sa bouche était entr’ouverte, sa tête légèrement penchée en arrière, son souffle devenant intense. Arrivé à ses pieds, j’enveloppais de ma queue ses orteils, dont le mauve scintillait. Elle ne sursauta pas, s’agrippant à celle-ci. Je ressentais ainsi une formidable sensation de va-et-vient, lorsque tout-à-coup, une vague formidable se fît ressentir, partant de l’endroit d’où je ne voulais plus repartir, remontant vers ses cuisses, envahissant son bassin. Elle respira profondément pour l’accueillir, retint son souffle. Sa tête partit vers l’arrière. La bouche ouverte, elle laissa échapper un râle muet pendant d’éternelles secondes. Elle se redressa. Ses yeux étaient plus clairs et me transperçaient de part en part.
Elle me caressa, son parfum intime me recouvrît le poil, me faisant perdre mes facultés d’écureuil, je remontais péniblement dans mon nid. Elle remit ses escarpins, sourit, reprit son livre et s’en alla.
Un jour seulement j’aurais aimé ne pas être un écureuil. Mais qui dit que vous, amis lecteurs, n’auriez pas souhaité en être un ?!
Par ce joli jour de printemps, je la vis approcher d’un pas assuré. Le soleil diffusait une lumière coquine laissant apparaître le galbe de ses cuisses sous sa robe légère. Les tâches de rousseur sur son visage ainsi que le cuivré de ses cheveux m’interpellèrent. Mes moustaches frémirent. J’osais descendre sur une branche plus basse. Le parc était vide.
Elle prit place sur le banc, un livre à la main. Ses yeux verts de jade parcouraient les phrases à un rythme soutenu. Je ressentais les battements de son coeur grâce à mes oreilles sensibles. Puis, sa respiration devint plus profonde. Sous son chemisier deux boutons naquirent à la pointe des seins. Sans quitter sa lecture des yeux, elle se déchaussa et posa les pieds dans l’herbe parfumée de l’après-midi. Ses ongles étaient laqués de mauve. Elle posa son livre, puis m’aperçut et m’offrit un sourire en me fixant droit dans les yeux. J’osais descendre au pied de l’arbre.
Elle s’adossa, ferma les yeux, ses mains blanches écartant légèrement le pan de sa robe. Sa main droite caressait sa cuisse, tandis que la gauche s’aventurait plus loin. Sentant le parfum enivrant de sa volupté, je m’approchais doucement et vis ses doigts fins se perdre dans son intimité rousse. Sa bouche était entr’ouverte, sa tête légèrement penchée en arrière, son souffle devenant intense. Arrivé à ses pieds, j’enveloppais de ma queue ses orteils, dont le mauve scintillait. Elle ne sursauta pas, s’agrippant à celle-ci. Je ressentais ainsi une formidable sensation de va-et-vient, lorsque tout-à-coup, une vague formidable se fît ressentir, partant de l’endroit d’où je ne voulais plus repartir, remontant vers ses cuisses, envahissant son bassin. Elle respira profondément pour l’accueillir, retint son souffle. Sa tête partit vers l’arrière. La bouche ouverte, elle laissa échapper un râle muet pendant d’éternelles secondes. Elle se redressa. Ses yeux étaient plus clairs et me transperçaient de part en part.
Elle me caressa, son parfum intime me recouvrît le poil, me faisant perdre mes facultés d’écureuil, je remontais péniblement dans mon nid. Elle remit ses escarpins, sourit, reprit son livre et s’en alla.
Un jour seulement j’aurais aimé ne pas être un écureuil. Mais qui dit que vous, amis lecteurs, n’auriez pas souhaité en être un ?!
Dim 10 Jan 2010, 00:26 par
Ecureuil sur Les liaisons sulfureuses
Une dernière flamme pour le coeur
Il faut savoir rire de tout y compris de soi-même... Grandir est à ce prix, guérir aussi, parfois.
Cet été je suis allée manger avec un homme au restaurant : c’est moi qui l’ai invité. Cela me semblait bien. Il faut dire que je fais souvent fi des conventions et que j’aime à faire ce qui me plaît, ce qui me semble juste voire simplement bon pour le cœur. Je le considérais comme quelqu’un d’unique, hors norme, pour tout dire, intelligent et ouvert, j’avais plaisir à ses brefs passages dans ma vie. Je pensais que notre affection pouvait s’enraciner indépendamment de nos conditions sociales divergentes. Je le considérais un peu comme un modèle pour mon fils. Ma foi, il est venu et a semblé prendre plaisir au fait d’être avec nous. Comme quoi, on peut se laisser abuser aisément, moi, en particulier. J’ai beau le savoir, cela ne change rien.
Je mettais ses incohérences de comportement sur le compte de sa vie passablement troublée, mais je le pensais sincère, à sa façon. De plus, j’aimais son indépendance.
Il est vrai que j’avais mis mes chaussures de plage aux talons rongés par les galets et le sable, il est vrai que je n’avais pas fait d’effort de toilettes particulier, c’était un ami que je m’apprêtais à revoir et ce n’était en rien un rendez-vous galant. J’avais songé mettre un vieux jean troué et un tee-shirt sans manche, ma seconde peau, cependant, le lieu ne s’y prêtait pas. J’avais fait des travaux toute la journée, je m’étais contentée de prendre une douche, mes propres talons gardaient l’encre noire de vieux Kickers que j’affectionnais. Lorsqu’il fut là, je sentis le trouble grandir en moi, ma main tremblait plus que de raison, je rougissais pour un rien, mon cerveau faisait de la surchauffe et pour gourmande que je sois habituellement, je n’arrivais plus rien à avaler. Je l’aurais détesté s’il y avait eu de la place dans mon cœur pour ce sentiment. Je ne m’étais rendue compte à quel point je n’étais pas indifférente qu’en prenant conscience de mon trouble grandissant à son contact. J’ai été charmée hors de toute logique, une fois de plus, par sa simplicité affichée, ses regards - creux, il faut bien le reconnaître aujourd’hui – et par la suite, par ses promesses - vaines - envers mon enfant (pourquoi écrire des choses que l’on ne pense pas et que l’on ne vous demande pas ? Pour paraître altruiste ? Bien de s’intéresser à un petit « pauvre » ? Bon pour son image ?!) et j’excusais ses silences : régulièrement, il revenait dans ma vie avec ses yeux menteurs et son attitude ambigüe qui me déstabilisaient. Pourquoi était-il venu ? Pourquoi ? Pour se divertir un instant ?! En définitive, je préfère ne rien connaître de ses intentions, je pense que cela me décevrait encore davantage. D’y songer me donne encore la nausée. Je le croyais mon ami. Moi, j’étais attirée par lui comme par un aimant lui qui n’était pas aimant pour deux sous ! L’amitié, l’affection, le respect, l’amour entre deux êtres humains sont choses rares et précieuses... Les contrefaçons nombreuses. Mais l’œil ne voit que ce qu’il contient et je voyais un homme droit, intègre, indépendant, franc, profond, gourmand, aimant, drôle et sensuel... J’avais envie de lui et ne m’en étais pas cachée. Au vrai, il n’avait que faire d’une petite marchande d’allumettes dans mon genre, même pas allumeuse. La fin abrupte de l’histoire est là pour me le rappeler.
Bah, je ne me leurre plus, l’égalité entre les êtres est une utopie. Je sais que je ne pèse pas lourd dans la balance des intérêts qu’il a à notre amitié. Je ne parle même pas de respect. Ainsi, faisant partie des expéditeurs indésirables, ma pauvre bafouille et tous ses "pourquoi" sous-jacents resteront sans réponse pour partir trop vite comme il l’a fait pour moi... au panier, sans même un au revoir.
Je ne sais pas ce qui me rend le plus triste, ou en colère, de voir le monde tel qu’il est ou de perdre plus qu’un ami, une illusion.
La dernière allumette vient de se consumer.
Cet été je suis allée manger avec un homme au restaurant : c’est moi qui l’ai invité. Cela me semblait bien. Il faut dire que je fais souvent fi des conventions et que j’aime à faire ce qui me plaît, ce qui me semble juste voire simplement bon pour le cœur. Je le considérais comme quelqu’un d’unique, hors norme, pour tout dire, intelligent et ouvert, j’avais plaisir à ses brefs passages dans ma vie. Je pensais que notre affection pouvait s’enraciner indépendamment de nos conditions sociales divergentes. Je le considérais un peu comme un modèle pour mon fils. Ma foi, il est venu et a semblé prendre plaisir au fait d’être avec nous. Comme quoi, on peut se laisser abuser aisément, moi, en particulier. J’ai beau le savoir, cela ne change rien.
Je mettais ses incohérences de comportement sur le compte de sa vie passablement troublée, mais je le pensais sincère, à sa façon. De plus, j’aimais son indépendance.
Il est vrai que j’avais mis mes chaussures de plage aux talons rongés par les galets et le sable, il est vrai que je n’avais pas fait d’effort de toilettes particulier, c’était un ami que je m’apprêtais à revoir et ce n’était en rien un rendez-vous galant. J’avais songé mettre un vieux jean troué et un tee-shirt sans manche, ma seconde peau, cependant, le lieu ne s’y prêtait pas. J’avais fait des travaux toute la journée, je m’étais contentée de prendre une douche, mes propres talons gardaient l’encre noire de vieux Kickers que j’affectionnais. Lorsqu’il fut là, je sentis le trouble grandir en moi, ma main tremblait plus que de raison, je rougissais pour un rien, mon cerveau faisait de la surchauffe et pour gourmande que je sois habituellement, je n’arrivais plus rien à avaler. Je l’aurais détesté s’il y avait eu de la place dans mon cœur pour ce sentiment. Je ne m’étais rendue compte à quel point je n’étais pas indifférente qu’en prenant conscience de mon trouble grandissant à son contact. J’ai été charmée hors de toute logique, une fois de plus, par sa simplicité affichée, ses regards - creux, il faut bien le reconnaître aujourd’hui – et par la suite, par ses promesses - vaines - envers mon enfant (pourquoi écrire des choses que l’on ne pense pas et que l’on ne vous demande pas ? Pour paraître altruiste ? Bien de s’intéresser à un petit « pauvre » ? Bon pour son image ?!) et j’excusais ses silences : régulièrement, il revenait dans ma vie avec ses yeux menteurs et son attitude ambigüe qui me déstabilisaient. Pourquoi était-il venu ? Pourquoi ? Pour se divertir un instant ?! En définitive, je préfère ne rien connaître de ses intentions, je pense que cela me décevrait encore davantage. D’y songer me donne encore la nausée. Je le croyais mon ami. Moi, j’étais attirée par lui comme par un aimant lui qui n’était pas aimant pour deux sous ! L’amitié, l’affection, le respect, l’amour entre deux êtres humains sont choses rares et précieuses... Les contrefaçons nombreuses. Mais l’œil ne voit que ce qu’il contient et je voyais un homme droit, intègre, indépendant, franc, profond, gourmand, aimant, drôle et sensuel... J’avais envie de lui et ne m’en étais pas cachée. Au vrai, il n’avait que faire d’une petite marchande d’allumettes dans mon genre, même pas allumeuse. La fin abrupte de l’histoire est là pour me le rappeler.
Bah, je ne me leurre plus, l’égalité entre les êtres est une utopie. Je sais que je ne pèse pas lourd dans la balance des intérêts qu’il a à notre amitié. Je ne parle même pas de respect. Ainsi, faisant partie des expéditeurs indésirables, ma pauvre bafouille et tous ses "pourquoi" sous-jacents resteront sans réponse pour partir trop vite comme il l’a fait pour moi... au panier, sans même un au revoir.
Je ne sais pas ce qui me rend le plus triste, ou en colère, de voir le monde tel qu’il est ou de perdre plus qu’un ami, une illusion.
La dernière allumette vient de se consumer.
Jeu 03 Déc 2009, 09:26 par
dolce vita sur Parler d'amour
Moi j'y crois
Toutes ces conneries qu’on raconte sur l’amour
Toutes ces sornettes comme quoi ça fait du bien
Il paraît même que c’est l’ propre des humains
Il paraît qu’ ça rend heureux, qu’on a rien trouvé d’mieux
Et moi j’y crois
Quand j’ te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Il paraît qu’ l’amour, ça t’aide quand t’es triste
Il paraît même que ça rend complices
Il paraît qu’ ça fait des trucs profonds
Qu’on efface pas d’un coup d’ torchon
Que ça va même jusqu’à la passion
Que des fois ça fait mal mais y’a qu’ça qu’est bon
Il paraît qu’ l’amour, ça change tous les jours
Que tu l’ croies mort, et même il bande encore
Et moi j’y crois
Quand j’te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Mais j’ai vu un gars, dans un bistrot
Un peu tristounet, et tout pâlot
Qui m’a dit qu’un coeur pouvait battre si fort
Que d’un coup il s’arrache de son corps
Et il t’laisse là sur le bitume
Empli de vide et d’amertume
Il paraît qu’l’amour, c’est un truc dangereux
Que ça va faire chialer tes jolis p’tits yeux
Il paraît même que ça fout la fièvre
Il paraît qu’y’en a certains, y’en a certains qu’en crèvent
Mais moi j’y crois
Quand j’te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Mano Solo
Toutes ces sornettes comme quoi ça fait du bien
Il paraît même que c’est l’ propre des humains
Il paraît qu’ ça rend heureux, qu’on a rien trouvé d’mieux
Et moi j’y crois
Quand j’ te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Il paraît qu’ l’amour, ça t’aide quand t’es triste
Il paraît même que ça rend complices
Il paraît qu’ ça fait des trucs profonds
Qu’on efface pas d’un coup d’ torchon
Que ça va même jusqu’à la passion
Que des fois ça fait mal mais y’a qu’ça qu’est bon
Il paraît qu’ l’amour, ça change tous les jours
Que tu l’ croies mort, et même il bande encore
Et moi j’y crois
Quand j’te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Mais j’ai vu un gars, dans un bistrot
Un peu tristounet, et tout pâlot
Qui m’a dit qu’un coeur pouvait battre si fort
Que d’un coup il s’arrache de son corps
Et il t’laisse là sur le bitume
Empli de vide et d’amertume
Il paraît qu’l’amour, c’est un truc dangereux
Que ça va faire chialer tes jolis p’tits yeux
Il paraît même que ça fout la fièvre
Il paraît qu’y’en a certains, y’en a certains qu’en crèvent
Mais moi j’y crois
Quand j’te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j’y crois
Embrasse moi!
Mano Solo
Jeu 27 Déc 2007, 12:58 par
Loyd sur Un monde parfait
Une réponse en poème
Merci Stéphane de ta réponse et du compliment. Il parait que je suis sympathique!lol
J’ai envie de te répondre en poème improvisé sur le vif au réveil, peu dormi cette nuit...Ma tête agitée en tous sens.
Tes mots je les connais bien, cette solitude qui pèse, ce besoin de partage, de trouver son alter-ego, celui ou celle qui comprendra notre intériorité, même si toujours une partie de nous lui échappe. Celui ou celle qui saura faire avec notre sensibilité.
Cela commençait ainsi :
Peut-on s’entraider?
Oui, pourquoi pas, qui sait?
Peut-être trouverons-nous ensembles
Les clefs de notre future félicité?
J’ai le cœur amoureux
Rapiécé, brisé
En milles morceaux
Je me suis brulée
Au jeu de la passion
L’homme qui m’avait
Dérobé mon cœur
Il y a plus d’un an de cela
A décidé de le laisser choir
Un beau matin d’octobre
Il y a peu...
Le pauvre cœur a bien saigné
S’est senti abandonné...
Des larmes ont été versées,
Des cris de douleur étouffés
Mais je me suis accrochée
Peu à peu j’ai recommencé
A respirer
Je suis remontée à la surface
J’ai recouvré mon espace
Mais l’homme en question
Est venu quémander
Il y a quelques heures
Par message interposé
Puisqu’il vit dans une autre cité
Les restes de mon cœur laminé
Par ses mots remplis de cruauté
Par, après tant d’amour,
Son, sans appel, rejet
Et moi, pauvre de moi
J’ai imaginé, espéré
Mon cœur s’est mis à batifoler
Agiter ses petites ailes désespérées
Mais l’espoir a été de courte durée
Car très vite l’homme s’est avéré
Fidèle à lui-même
Distillant sa haine
Refusant de regarder
Le poids de sa méchanceté
Passée...
Il faut dire que je suis bien mal tombé
C’était un homme intéressé
Pas tant par l’argent,
C’était un peu plus compliqué
Mais je ne vais pas me lancer
Dans les détails de sa cupidité
En tous les cas j’ai tiré le mauvais numéro
Jamais eu de chance à la loterie!
Il a failli me faire devenir Caliméro
Trouver ce monde « trop injuste »
Je me suis sentie si meurtrie...
Pour un homme amoureux
Dit-il...
Voulant me reconquérir
Il ne lui aura fallu qu’une demi-heure
Pour qu’il décide de nouveau de m’abandonner
Non content de surcroit de me culpabiliser!
Tellement de mensonges dans sa bouche
De situations embrouillées, louches
Bref, de lui je veux définitivement me détourner
Car il a l’âme et le cœur vil
Il ne sait que me détruire
Heureusement pour moi
J’ai cette foi en la Vie
Qui fait que je m’accroche aux petits bonheur
Un sourire, un mot gentil
Me remplissent le cœur
Tellement d’amour à donner,
A partager...
Mais je vais m’en garder
Un peu quelques temps
Jalousement, égoïstement
Le temps que mes ailes repoussent
Totalement
Le temps de réapprendre à voler
Le temps d’oser de nouveau s’élancer
Prendre le temps de soigner mes blessures
Parce qu’au prochain amour
Je veux pouvoir aller vers l’Autre
Le cœur débarrassé
De cette douleur, cette déception
Etre plus sûre de moi et des raisons
Qui m’amèneraient à écrire : « nous »
Chez moi, dans mon intériorité
Cesser d’aimer
C’est me demander d’abandonner
Une partie de moi-même
C’est douloureux à chaque fois
Comme un réveil post-opératoire
Où l’on se sent différente, un peu groggy
Endeuillée, mais grandie...
Remplie d’un nouveau savoir
Je voudrais tant distinguer et reconnaitre
Celui par qui je serai liée
Pour l’éternité
Chaque fois j’y crois
Je prépare mon envol
Me déploie
Mais l’atterrissage
Me terrasse sur le carrelage
J’échoue sur un sol
Froid et inaccueillant
Et dans mon cœur : le néant
Fin du voyage...
Mais peu à peu la vie reprend ses droits
Le hasard ou l’héritage? M’a doté
Par chance
D’une bonne vitalité
C’est ma bonne étoile
Ma petite fée
Ce don magnifique d’aimer
La Nature, les Etres Humains
Je l’ai viscéralement vissé
A ma personnalité
C’est ce qui me sauve
Me fait remonter
Et tendre de nouveau la main
Armée d’espérance
Hissant les voiles
Vers un nouveau destin
Trouver cet équilibre fragile
Entre nos espoirs intérieurs
Et cet Autre que l’on rencontre
Avec sa propre histoire
Ses joies, ses peines,
Ses renoncements
Et les nôtres
Réussir, quelle gageüre!
A les faire converger
Avec bonheur
Tout en respectant
Un bout de jardin secret
Tel est pour moi le défi
A relever
Pour ces quelques prochaines années...
Voilà! je n’ai peut-être pas vraiment répondu à tes questions? même si il y a quelques réponses dans ce texte. si tu veux j’essaierai de le faire dans un autre message. Mais j’avais envie de partager mes mots ici ce matin.
au plaisir de te lire et d’échanger avec toi. Bon courage à toi stéphane!
Sophy
J’ai envie de te répondre en poème improvisé sur le vif au réveil, peu dormi cette nuit...Ma tête agitée en tous sens.
Tes mots je les connais bien, cette solitude qui pèse, ce besoin de partage, de trouver son alter-ego, celui ou celle qui comprendra notre intériorité, même si toujours une partie de nous lui échappe. Celui ou celle qui saura faire avec notre sensibilité.
Cela commençait ainsi :
Peut-on s’entraider?
Oui, pourquoi pas, qui sait?
Peut-être trouverons-nous ensembles
Les clefs de notre future félicité?
J’ai le cœur amoureux
Rapiécé, brisé
En milles morceaux
Je me suis brulée
Au jeu de la passion
L’homme qui m’avait
Dérobé mon cœur
Il y a plus d’un an de cela
A décidé de le laisser choir
Un beau matin d’octobre
Il y a peu...
Le pauvre cœur a bien saigné
S’est senti abandonné...
Des larmes ont été versées,
Des cris de douleur étouffés
Mais je me suis accrochée
Peu à peu j’ai recommencé
A respirer
Je suis remontée à la surface
J’ai recouvré mon espace
Mais l’homme en question
Est venu quémander
Il y a quelques heures
Par message interposé
Puisqu’il vit dans une autre cité
Les restes de mon cœur laminé
Par ses mots remplis de cruauté
Par, après tant d’amour,
Son, sans appel, rejet
Et moi, pauvre de moi
J’ai imaginé, espéré
Mon cœur s’est mis à batifoler
Agiter ses petites ailes désespérées
Mais l’espoir a été de courte durée
Car très vite l’homme s’est avéré
Fidèle à lui-même
Distillant sa haine
Refusant de regarder
Le poids de sa méchanceté
Passée...
Il faut dire que je suis bien mal tombé
C’était un homme intéressé
Pas tant par l’argent,
C’était un peu plus compliqué
Mais je ne vais pas me lancer
Dans les détails de sa cupidité
En tous les cas j’ai tiré le mauvais numéro
Jamais eu de chance à la loterie!
Il a failli me faire devenir Caliméro
Trouver ce monde « trop injuste »
Je me suis sentie si meurtrie...
Pour un homme amoureux
Dit-il...
Voulant me reconquérir
Il ne lui aura fallu qu’une demi-heure
Pour qu’il décide de nouveau de m’abandonner
Non content de surcroit de me culpabiliser!
Tellement de mensonges dans sa bouche
De situations embrouillées, louches
Bref, de lui je veux définitivement me détourner
Car il a l’âme et le cœur vil
Il ne sait que me détruire
Heureusement pour moi
J’ai cette foi en la Vie
Qui fait que je m’accroche aux petits bonheur
Un sourire, un mot gentil
Me remplissent le cœur
Tellement d’amour à donner,
A partager...
Mais je vais m’en garder
Un peu quelques temps
Jalousement, égoïstement
Le temps que mes ailes repoussent
Totalement
Le temps de réapprendre à voler
Le temps d’oser de nouveau s’élancer
Prendre le temps de soigner mes blessures
Parce qu’au prochain amour
Je veux pouvoir aller vers l’Autre
Le cœur débarrassé
De cette douleur, cette déception
Etre plus sûre de moi et des raisons
Qui m’amèneraient à écrire : « nous »
Chez moi, dans mon intériorité
Cesser d’aimer
C’est me demander d’abandonner
Une partie de moi-même
C’est douloureux à chaque fois
Comme un réveil post-opératoire
Où l’on se sent différente, un peu groggy
Endeuillée, mais grandie...
Remplie d’un nouveau savoir
Je voudrais tant distinguer et reconnaitre
Celui par qui je serai liée
Pour l’éternité
Chaque fois j’y crois
Je prépare mon envol
Me déploie
Mais l’atterrissage
Me terrasse sur le carrelage
J’échoue sur un sol
Froid et inaccueillant
Et dans mon cœur : le néant
Fin du voyage...
Mais peu à peu la vie reprend ses droits
Le hasard ou l’héritage? M’a doté
Par chance
D’une bonne vitalité
C’est ma bonne étoile
Ma petite fée
Ce don magnifique d’aimer
La Nature, les Etres Humains
Je l’ai viscéralement vissé
A ma personnalité
C’est ce qui me sauve
Me fait remonter
Et tendre de nouveau la main
Armée d’espérance
Hissant les voiles
Vers un nouveau destin
Trouver cet équilibre fragile
Entre nos espoirs intérieurs
Et cet Autre que l’on rencontre
Avec sa propre histoire
Ses joies, ses peines,
Ses renoncements
Et les nôtres
Réussir, quelle gageüre!
A les faire converger
Avec bonheur
Tout en respectant
Un bout de jardin secret
Tel est pour moi le défi
A relever
Pour ces quelques prochaines années...
Voilà! je n’ai peut-être pas vraiment répondu à tes questions? même si il y a quelques réponses dans ce texte. si tu veux j’essaierai de le faire dans un autre message. Mais j’avais envie de partager mes mots ici ce matin.
au plaisir de te lire et d’échanger avec toi. Bon courage à toi stéphane!
Sophy
Mer 28 Nov 2007, 07:55 par
Sophy sur Histoires d'amour
Rêve brisé
Mon secret a moi, je l‘enfoui jalousement au fond de mon cœur, je le cache et le préserve, car il me procure le bonheur des moments passés, la chaleur de ces gestes sincères, qui ont su défaire mes peines.
Je me laisse bercer par cette nostalgie nourrit d’un espoir fragile, mais assez fort pour résister aux vents glaciales du destin. Je croise sur mon chemin, une chance qui me fait croire en ma bonne étoile, je croise les doigts pour que ce cadeau ne soit aussi éphémère. Mais minuit sonne et déjà la magie est déjouée, mon rêve se noie dans un océan vaste d’illusions.
Mes rêves, fruits de non raison, d’idéales et de caprices existent quelque parts dans un monde ou hasard et destin se mêlent, se côtoient et s’évitent, Le temps, d’un geste généreux et gracieux, me fait goûter au charme pour me l’ôter aussitôt. L’amertume chasse la joie certes, mais le goût sucré survit une fois la flamme du souvenir caresse l’esprit.
Nos rêves conditionnent notre perception du bonheur, lui donnent une vie, pour l’abandonner et sombrer dans l’absurdité et l’incompréhensible ; Peut on blâmer le temps d’être assez cruel vis-à-vis de nos caprices de petits humains insensés ? Serait on aussi candide pour se laisser piéger par ce jeu peu honnête du bonheur ?
Je cède a la normalité des choses, je continue à vivre emportant ce petit secret qui chagrine mon cœur et me donne force et sourire. Mon secret a moi, est un rêve volé que j’ai pu savourer, ce sont quelques lignes qui ont repeint en couleurs vives mon existence terne ;
Autant en emporte le vent, mon secret n’existe plus que dans ma mémoire, témoin d’une quiétude incomparable, d’une tendresse infinie, et d’un sourire dont seules les traces en restent.
Je me laisse bercer par cette nostalgie nourrit d’un espoir fragile, mais assez fort pour résister aux vents glaciales du destin. Je croise sur mon chemin, une chance qui me fait croire en ma bonne étoile, je croise les doigts pour que ce cadeau ne soit aussi éphémère. Mais minuit sonne et déjà la magie est déjouée, mon rêve se noie dans un océan vaste d’illusions.
Mes rêves, fruits de non raison, d’idéales et de caprices existent quelque parts dans un monde ou hasard et destin se mêlent, se côtoient et s’évitent, Le temps, d’un geste généreux et gracieux, me fait goûter au charme pour me l’ôter aussitôt. L’amertume chasse la joie certes, mais le goût sucré survit une fois la flamme du souvenir caresse l’esprit.
Nos rêves conditionnent notre perception du bonheur, lui donnent une vie, pour l’abandonner et sombrer dans l’absurdité et l’incompréhensible ; Peut on blâmer le temps d’être assez cruel vis-à-vis de nos caprices de petits humains insensés ? Serait on aussi candide pour se laisser piéger par ce jeu peu honnête du bonheur ?
Je cède a la normalité des choses, je continue à vivre emportant ce petit secret qui chagrine mon cœur et me donne force et sourire. Mon secret a moi, est un rêve volé que j’ai pu savourer, ce sont quelques lignes qui ont repeint en couleurs vives mon existence terne ;
Autant en emporte le vent, mon secret n’existe plus que dans ma mémoire, témoin d’une quiétude incomparable, d’une tendresse infinie, et d’un sourire dont seules les traces en restent.
Ven 26 Oct 2007, 21:47 par
vampira sur Histoires d'amour
Ecrire sur humains
L'amour est-il un crime ? chapitre 8, L'amour c'est..., La colombe ou la liberté, en destinée, Le dernier des bisounours, Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i, Triste novembre..., Pensées sur l'amour, Je suis partie, tu ne m'as pas retenu..., Le rire, Sourire, La dame sur le banc, vue par l'écureuil, Une dernière flamme pour le coeur, Moi j'y crois, Une réponse en poème, Rêve brisé,Il y a 31 textes utilisant le mot humains. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
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