Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur hanches - Page 5 sur 6
Mélodie d'amour
Je suis nue dans les bras de Nicolas dévêtu lui aussi. Un sursaut de conscience me fait me demander comment nous avons quitté le tabouret de pianiste pour échouer dans son lit. Mentalement, je tente de refaire notre parcours sensuel mais je n’arrive pas à rassembler deux idées. Il faut dire à ma décharge que Nicolas éparpille ses subtiles caresses sur mon corps offert et que je ne suis donc pas encline à réfléchir. Je suis tout juste capable de discerner ça et là, nos vêtements qui semblent être semés dans tout l’appartement.
Je regarde Nicolas. Il est beau. Je m’en mets plein les yeux. J’admire ses larges épaules, son ventre plat, sa taille fine, ses fesses rondes et ses jambes musclées. Ses superbes mains de pianistes composent sur ma peau, m’arrachant des soupirs éloquents. Je frémis de tout mon être et mon ventre le réclame. Nicolas m’embrasse, tout en me faisant glisser sous lui. Je raffole de la saveur de ses baisers, je me perds entre ses bras avec délices. J’aime son corps qui recouvre le mien et je sens ainsi à quel point il me désire. Est-ce bien moi qui le mets dans cet état? Je n’ose y croire! Je le veux, j’ai envie qu’il s’enfonce en moi sans plus attendre mais lui ne semble pas pressé. Maitenant c’est sa bouche qui me frôle, elle s’égare sur ma poitrine, sur mes hanches, elle descend enfin vers l’intérieur de mes cuisses, puis, lentement, si lentement Nicolas me goûte. Sa langue m’explore doucement, se faufilant partout. Je me liquéfie en source de désir inépuisable. Il sent que je suis prête à l’accueillir, alors, il plonge son regard dans le mien, il sourit, il dit me trouver belle et tout en murmurant des mots d’amour, il s’introduit en moi avec une infinie tendresse.
je ne peux me lasser de lui, mes mains agrippées à son dos l’attirent contre moi, toujours plus près, nous soudant l’un à l’autre pour ne plus "faire qu’un". Nicolas me fait l’amour de façon gourmande et passionnée. Il est doté de cette sensualité que seuls les artistes possèdent. Il est attentionné, sensible à mon bien-être et réceptif à mon plaisir. Il est toujours immergé en moi et accélère progressivement la cadence de nos ébats. Sous l’emprise de son étreinte, mes soupirs se transforment en gémissements. J’ai l’impresssion d’avoir perdu toute consistance, de flotter dans l’atmosphère douce et chaude qui s’est emparée de l’appartement depuis un bon moment déjà. Nicolas se fait exigeant, ses caresses sont précises et de plus en plus exquises. Mes hanches ondulent sous lui, mon être tout entier réagit, lui répond et en veut encore. Notre corps à corps s’intensifie merveilleusement, graduellement, jusqu’à ce que nous explosions tous deux en un orgasme indescriptible... Emmêlés l’un à l’autre, nous nous endormons presqu’en même temps, tombant dans un sommeil profond, sans rêve.
Le lendemain matin, je m’éveille à l’odeur du café, Nicolas vient me retrouver avec un somptueux petit déjeuner. Il me regarde tendrement, je vois au fond de ses yeux poindre un éclat nouveau qui me ravit. Ma bouche cherche la sienne, s’en empare, je me repais de son affection et de sa sensualité en pensant, déjà, à nos prochaines rencontres...
Syolann
Je regarde Nicolas. Il est beau. Je m’en mets plein les yeux. J’admire ses larges épaules, son ventre plat, sa taille fine, ses fesses rondes et ses jambes musclées. Ses superbes mains de pianistes composent sur ma peau, m’arrachant des soupirs éloquents. Je frémis de tout mon être et mon ventre le réclame. Nicolas m’embrasse, tout en me faisant glisser sous lui. Je raffole de la saveur de ses baisers, je me perds entre ses bras avec délices. J’aime son corps qui recouvre le mien et je sens ainsi à quel point il me désire. Est-ce bien moi qui le mets dans cet état? Je n’ose y croire! Je le veux, j’ai envie qu’il s’enfonce en moi sans plus attendre mais lui ne semble pas pressé. Maitenant c’est sa bouche qui me frôle, elle s’égare sur ma poitrine, sur mes hanches, elle descend enfin vers l’intérieur de mes cuisses, puis, lentement, si lentement Nicolas me goûte. Sa langue m’explore doucement, se faufilant partout. Je me liquéfie en source de désir inépuisable. Il sent que je suis prête à l’accueillir, alors, il plonge son regard dans le mien, il sourit, il dit me trouver belle et tout en murmurant des mots d’amour, il s’introduit en moi avec une infinie tendresse.
je ne peux me lasser de lui, mes mains agrippées à son dos l’attirent contre moi, toujours plus près, nous soudant l’un à l’autre pour ne plus "faire qu’un". Nicolas me fait l’amour de façon gourmande et passionnée. Il est doté de cette sensualité que seuls les artistes possèdent. Il est attentionné, sensible à mon bien-être et réceptif à mon plaisir. Il est toujours immergé en moi et accélère progressivement la cadence de nos ébats. Sous l’emprise de son étreinte, mes soupirs se transforment en gémissements. J’ai l’impresssion d’avoir perdu toute consistance, de flotter dans l’atmosphère douce et chaude qui s’est emparée de l’appartement depuis un bon moment déjà. Nicolas se fait exigeant, ses caresses sont précises et de plus en plus exquises. Mes hanches ondulent sous lui, mon être tout entier réagit, lui répond et en veut encore. Notre corps à corps s’intensifie merveilleusement, graduellement, jusqu’à ce que nous explosions tous deux en un orgasme indescriptible... Emmêlés l’un à l’autre, nous nous endormons presqu’en même temps, tombant dans un sommeil profond, sans rêve.
Le lendemain matin, je m’éveille à l’odeur du café, Nicolas vient me retrouver avec un somptueux petit déjeuner. Il me regarde tendrement, je vois au fond de ses yeux poindre un éclat nouveau qui me ravit. Ma bouche cherche la sienne, s’en empare, je me repais de son affection et de sa sensualité en pensant, déjà, à nos prochaines rencontres...
Syolann
Sam 04 Sep 2004, 16:41 par
syolann sur Les liaisons sulfureuses
Non...
Comment avait-elle fait ça. Alors qu’elle rêvait d’îles paradisiaques, alors qu’elle n’aspirait qu’à la tendresse, alors qu’elle n’était que douceur, elle avait joué ce rôle de pute, cette salope sans nom, et elle avait aimé. Oh oui, elle avait aimé. Elle avait joui comme jamais. Ses mains en tremblaient encore. Son coeur battait à tout rompre. Un sourire était figé sur ses lèvres. Son esprit était à mille lieux. Le goût de son sperme lui restait sur la langue. Il avait déjà remonté son pantalon, lui disait quelques banalités qu’elle ne comprenait pas, ça le faisait rire. Comment avait-elle pu dire oui! Elle ne l’avait pas dit d’ailleurs. Elle avait dit non. Non. Il n’avait pas entendu, ou n’avait pas obéi du moins. Il lui avait baissé sa jupe, arraché son slip, plaquée contre le mur et l’avait prise de force. Du moins au début.
Il était arrivé depuis peu dans l’agence. Sûr de lui, pas très grand, brun, les cheveux un peu longs, une mèche qui semblait se rebeller constamment et glisser devant ses yeux. Ses yeux foncés. Presque noirs. Pas presque... ils étaient noirs quand il la regardait avaler son sexe, le regard du démon. Il avait séduit toutes les femmes les unes après les autres dans la boite. Angèle, la première qui était sortie de son bureau, les joues empourprées en reboutonnant son chemisier. Puis Corine qu’il avait invité à déjeuner... le déjeuner avait duré 3h, elle était revenue au bureau avec un grand sourire, vantant ses mérites, combien il était beau. Ensuite, ce fut Morgane. Là, c’est elle qui l’a invité, un soir au ciné. Elle n’a pas pu nous raconter le film, ils ne sont jamais descendus de sa voiture. Sarah, Bénédicte, Valérie, même Mireille, la secrétaire du patron. Elle a 52 ans. Mariée, 3 enfants, une femme exemplaire. Elle aussi, il l’a rabaissée au rang de pute. Et puis elle aujourd’hui. Elle qui le haissait déjà le premier jour où elle l’a vu.
Il a frappé à sa porte, il est entré avec un nouveau projet qu’ils devaient étudier ensemble. Bien sur qu’elle a refusé de le faire ce week-end chez lui pour être plus tranquille. Elle n’est pas stupide! Elle ne voulait pas travailler avec lui, mais si elle s’y mettait de suite, ça limiterait le temps à passer en sa compagnie. Il fallait se dépêcher, régler ça de façon méthodique, claire, propre et vite. Ils travaillèrent jusqu’à 21h sans s’arrêter. Même pas une pause pour le diner. Ils avaient bien avancé. Deux ou trois jours comme cela, et tout serait bouclé, elle n’aurait plus à partager son bureau avec lui. Elle le détestait, mais elle devait avouer qu’il était compétent. Très. Même plus qu’elle. Il sentait la suffisance, il se savait le meilleur et se donnait le droit de mettre tout le monde à ses pieds.
Quand il referma bruyamment le dossier et lui dit "A toi maintenant, un autre dossier brulant à conclure rapidement ", elle prit peur. Il s’avança vers elle. Elle tenait la carafe d’eau dans une main, un verre à moitié plein dans l’autre. Il passa ses mains autour de sa taille en souriant, son exécrable air de vainqueur sur le visage. Elle lui jeta son verre à la figure. Il la gifla instantanément. Elle l’a sentie celle-là! Il lui prit soigneusement le verre et la carafe des mains. Elle aurait pu s’enfuir, crier, mais non, elle ne bougea pas. Paralysée.
Il lui ota son pull, et palpa ses seins. Les soupesant, les jaugeant. Comme si déjà ils étaient à lui. " Non, arrêtez." Il n’arrêta pas bien sur, avait-il seulement entendu. Il posa ses lèvres sur sa peau. Elles étaient chaudes, moelleuses. Il lui mordit les tétons à travers la dentelle de son soutien-gorge. Fort. Elle sentit la douleur jusque dans son ventre. Ses mains prirent sa tête, pour l’enlever, mais il les saisit et les écarta. Il la colla contre le mur, la retourna, emprisonnant ses mains dans son dos. Elle entendait son souffle sur son oreille, sa langue qui en léchait le lobe, son torse contre son dos nu, son sexe en érection contre ses fesses. "Non, ne faites pas ça..." Il lacha ses mains, fit descendre sa jupe le long de ses jambes. Sa main glissa sur son dos, puis sur ses fesses. De nouveau, il tata, jugeant la marchandise, comme à la foire agricole. Il lui fit écarter les cuisses, passa sa main entre, frola son sexe.
Elle ne savait que faire. Hurler? Se débattre? Se réjouir? Etait-elle encore là, ou n’était-ce que son enveloppe corporelle? Ses doigts à présent la fouillaient. Sa langue passait sur ses fesses, il s’en délectait. Elle aurait voulu retenir ce soupir, ne pas lui montrer qu’elle y prenait un certain plaisir. Il se redressa, et là où ses doigts s’étaient frayés un chemin, il y glissa son sexe. Lentement. Il avait au moins cette délicatesse. Du moins elle le croyait. Il ne tarda pas à se montrer plus violent. Ses coups de reins la déchiraient. Poussait-elle des cris de douleurs? ... ou de plaisir. Ses doigts pétrissaient à tour de rôle ses hanches et puis ses seins. De larges marques rouges restaient imprimées sur sa peau blanche. Elles se transformeraient sans doute en hématomes dans quelques heures. Son sexe lui pilait le bas du ventre. Il lui faisait mal, elle ne le désirait pas, elle le haïssait même, et pourtant il allait la faire jouir. Elle se détestait de pousser ainsi des râles de plaisir, s’accordant aux siens. Il la sentait prête à s’effondrer, prête à tout lui concéder, prête à se donner entièrement à lui. Il se retira, la retourna et la fit mettre à genoux. Il lui présenta son sexe qu’elle engloutit avidement. Elle l’aspirait, le léchait, le suçait comme si on lui avait présenté une fontaine de jouvence. Elle en voulait l’élixir et l’aurait. Et elle l’eut.
Comment avait-elle pu ? Il venait de sortir du bureau sans un mot. Le visage satisfait. Son air vainqueur qu’elle lui avait vu tant de fois. Elle se rhabilla, prit son sac à main, éteignit toutes les lampes et sortit à son tour. Demain il faudrait recommencer, encore... oui...
Encore...
Il était arrivé depuis peu dans l’agence. Sûr de lui, pas très grand, brun, les cheveux un peu longs, une mèche qui semblait se rebeller constamment et glisser devant ses yeux. Ses yeux foncés. Presque noirs. Pas presque... ils étaient noirs quand il la regardait avaler son sexe, le regard du démon. Il avait séduit toutes les femmes les unes après les autres dans la boite. Angèle, la première qui était sortie de son bureau, les joues empourprées en reboutonnant son chemisier. Puis Corine qu’il avait invité à déjeuner... le déjeuner avait duré 3h, elle était revenue au bureau avec un grand sourire, vantant ses mérites, combien il était beau. Ensuite, ce fut Morgane. Là, c’est elle qui l’a invité, un soir au ciné. Elle n’a pas pu nous raconter le film, ils ne sont jamais descendus de sa voiture. Sarah, Bénédicte, Valérie, même Mireille, la secrétaire du patron. Elle a 52 ans. Mariée, 3 enfants, une femme exemplaire. Elle aussi, il l’a rabaissée au rang de pute. Et puis elle aujourd’hui. Elle qui le haissait déjà le premier jour où elle l’a vu.
Il a frappé à sa porte, il est entré avec un nouveau projet qu’ils devaient étudier ensemble. Bien sur qu’elle a refusé de le faire ce week-end chez lui pour être plus tranquille. Elle n’est pas stupide! Elle ne voulait pas travailler avec lui, mais si elle s’y mettait de suite, ça limiterait le temps à passer en sa compagnie. Il fallait se dépêcher, régler ça de façon méthodique, claire, propre et vite. Ils travaillèrent jusqu’à 21h sans s’arrêter. Même pas une pause pour le diner. Ils avaient bien avancé. Deux ou trois jours comme cela, et tout serait bouclé, elle n’aurait plus à partager son bureau avec lui. Elle le détestait, mais elle devait avouer qu’il était compétent. Très. Même plus qu’elle. Il sentait la suffisance, il se savait le meilleur et se donnait le droit de mettre tout le monde à ses pieds.
Quand il referma bruyamment le dossier et lui dit "A toi maintenant, un autre dossier brulant à conclure rapidement ", elle prit peur. Il s’avança vers elle. Elle tenait la carafe d’eau dans une main, un verre à moitié plein dans l’autre. Il passa ses mains autour de sa taille en souriant, son exécrable air de vainqueur sur le visage. Elle lui jeta son verre à la figure. Il la gifla instantanément. Elle l’a sentie celle-là! Il lui prit soigneusement le verre et la carafe des mains. Elle aurait pu s’enfuir, crier, mais non, elle ne bougea pas. Paralysée.
Il lui ota son pull, et palpa ses seins. Les soupesant, les jaugeant. Comme si déjà ils étaient à lui. " Non, arrêtez." Il n’arrêta pas bien sur, avait-il seulement entendu. Il posa ses lèvres sur sa peau. Elles étaient chaudes, moelleuses. Il lui mordit les tétons à travers la dentelle de son soutien-gorge. Fort. Elle sentit la douleur jusque dans son ventre. Ses mains prirent sa tête, pour l’enlever, mais il les saisit et les écarta. Il la colla contre le mur, la retourna, emprisonnant ses mains dans son dos. Elle entendait son souffle sur son oreille, sa langue qui en léchait le lobe, son torse contre son dos nu, son sexe en érection contre ses fesses. "Non, ne faites pas ça..." Il lacha ses mains, fit descendre sa jupe le long de ses jambes. Sa main glissa sur son dos, puis sur ses fesses. De nouveau, il tata, jugeant la marchandise, comme à la foire agricole. Il lui fit écarter les cuisses, passa sa main entre, frola son sexe.
Elle ne savait que faire. Hurler? Se débattre? Se réjouir? Etait-elle encore là, ou n’était-ce que son enveloppe corporelle? Ses doigts à présent la fouillaient. Sa langue passait sur ses fesses, il s’en délectait. Elle aurait voulu retenir ce soupir, ne pas lui montrer qu’elle y prenait un certain plaisir. Il se redressa, et là où ses doigts s’étaient frayés un chemin, il y glissa son sexe. Lentement. Il avait au moins cette délicatesse. Du moins elle le croyait. Il ne tarda pas à se montrer plus violent. Ses coups de reins la déchiraient. Poussait-elle des cris de douleurs? ... ou de plaisir. Ses doigts pétrissaient à tour de rôle ses hanches et puis ses seins. De larges marques rouges restaient imprimées sur sa peau blanche. Elles se transformeraient sans doute en hématomes dans quelques heures. Son sexe lui pilait le bas du ventre. Il lui faisait mal, elle ne le désirait pas, elle le haïssait même, et pourtant il allait la faire jouir. Elle se détestait de pousser ainsi des râles de plaisir, s’accordant aux siens. Il la sentait prête à s’effondrer, prête à tout lui concéder, prête à se donner entièrement à lui. Il se retira, la retourna et la fit mettre à genoux. Il lui présenta son sexe qu’elle engloutit avidement. Elle l’aspirait, le léchait, le suçait comme si on lui avait présenté une fontaine de jouvence. Elle en voulait l’élixir et l’aurait. Et elle l’eut.
Comment avait-elle pu ? Il venait de sortir du bureau sans un mot. Le visage satisfait. Son air vainqueur qu’elle lui avait vu tant de fois. Elle se rhabilla, prit son sac à main, éteignit toutes les lampes et sortit à son tour. Demain il faudrait recommencer, encore... oui...
Encore...
Ven 30 Juil 2004, 02:02 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
Tu me plais
Au hasard d’une rue, je croise la terrasse de ce restaurant qui semble aussi simple que bon. Comment t’apelles-tu ?
Repassant un peu plus tard, afin d’assouvir une faim naissante, je jette un oeil par l’embrasure, et je te croise. Qui es-tu ?
Sans meme plus un seul instant vérifier si le restaurant me convient, je rentre. Es-tu sympa ?
Je t’explique que je prefere manger dedans, parce que, et ca je ne te le dis pas, ca me permettra de te voir plus souvent. Je suis nature, et mon regard sur toi ne ment pas. Je vois ton trouble, et tu vois le mien. Nous nous sourions, déja complices, un peu génés. Comme tu déambules dans la salle, je te deshabille du regard. Est-ce là le corps d’une femme ?
J’aime tes yeux ta bouche, ta nuque, tes epaules, tes hanches, ton cul, tes jambes et tes pieds. J’aime tes mains que je fixe lorsque tu me sers mes plats. Quel age as-tu ?
J’aime ta voix, et j’aime ton rire. J’aime ta façon d’étre sérieuse, celle d’être moqueuse. J’aime les moments que je voudrais partager avec toi. J’aime ton regard sur les choses.
Lorsque je reviendrai, nous reverrons-nous ?
Repassant un peu plus tard, afin d’assouvir une faim naissante, je jette un oeil par l’embrasure, et je te croise. Qui es-tu ?
Sans meme plus un seul instant vérifier si le restaurant me convient, je rentre. Es-tu sympa ?
Je t’explique que je prefere manger dedans, parce que, et ca je ne te le dis pas, ca me permettra de te voir plus souvent. Je suis nature, et mon regard sur toi ne ment pas. Je vois ton trouble, et tu vois le mien. Nous nous sourions, déja complices, un peu génés. Comme tu déambules dans la salle, je te deshabille du regard. Est-ce là le corps d’une femme ?
J’aime tes yeux ta bouche, ta nuque, tes epaules, tes hanches, ton cul, tes jambes et tes pieds. J’aime tes mains que je fixe lorsque tu me sers mes plats. Quel age as-tu ?
J’aime ta voix, et j’aime ton rire. J’aime ta façon d’étre sérieuse, celle d’être moqueuse. J’aime les moments que je voudrais partager avec toi. J’aime ton regard sur les choses.
Lorsque je reviendrai, nous reverrons-nous ?
Mar 27 Juil 2004, 18:41 par
PetitPrince sur La première fois
Un sourire
Le jour se lève à peine. A travers les stores de bambou, un faisceau de lumière s’est infiltré, insolent, intrépide, il glisse sur tes épaules.
Tes yeux sont clos. Sur ton visage poupin, un sourire. Ta respiration est longue, à peine audible, appaisante. Quelques cheveux sur le sommet de ton crâne se lézardent voluptueusement sur l’oreiller. Ton menton et ton cou se sont ornés de quelques poils de barbe.
Ton cou... j’en approche mes lèvres, y dépose un baiser, un effleurement. Je te respire; tu sens bon, tu sens chaud, tu sens la douceur.
Une boucle s’est glissée jusqu’à ta bouche et te réveille. Tu ouvres les yeux, me regardes, ton sourire s’elargit encore. Ta main glisse sur mon ventre et m’attire contre toi. Tu m’embrasses, fais descendre le drap de coton blanc le long de mes seins et pose ta tête sur ma poitrine.
Le soleil s’insinue et nous observe. Il nous éclaire. Tu m’éclaires. Tes doigts dessinent les contours de mes hanches, des frissons me parcourent, des soupirs s’échappent. Ta langue lentement frôle ma peau, mon ventre que tu embrasses, mon nombril que tu effleures de tes doigts. Sans un mot, tu t’allonges sur moi. Ton regard me suffit, ton sourire me nourrit, ton envie me remplit. Tu te glisses en moi doucement, je me mords les lèvres involontairement. Ta langue appaise la morsure, ton sexe satisfait ma désinvolture.
Tes va-et-vient longs et puissants, tes yeux qui explorent les miens, observant chaque émotion qu’ils transcrivent, ta bouche qui sans même me toucher m’inonde de baisers, soumettent mon corps, le saturent de plaisir, le paralysent d’orgasmes. Seuls quelques soupirs arrivent à s’échapper d’entre mes lèvres, tu les attrapes bien vite pour t’en repaître.
Jouant de mon trouble, profitant de mon abandon total, tu gardes toujours ce même sourire divin qui me conquiert. Quand ton sexe se vide en moi, quand mon corps n’est plus qu’un torrent de feu, quand mes lèvres réclament le contact des tiennes, quand mes mains usées par l’étreinte se décrispent, quand mes yeux comptent plus d’étoiles que la galaxie, tu déposes un baiser sur ma bouche, passes ta main dans mes cheveux, caresses ma joue et souries.
Le soleil est déjà haut dans le ciel quand d’un baiser sur la joue nous nous séparons. Tu repars vers ta vie, ta famille, je rentre dans ma ville, réintègre mon domicile.
Demain peut-être, dans une semaine, un mois ou quelques années, autour d’un café, d’un verre ou d’un repas, comme deux amis, deux frères, deux enfants, nous nous souviendrons du temps où nous parcourions les mers, où nous défions les règles, où tu étais magicien. Je te dirai "tu es mon héros" et tu me souriras...
La marquise... illusionniste
Tes yeux sont clos. Sur ton visage poupin, un sourire. Ta respiration est longue, à peine audible, appaisante. Quelques cheveux sur le sommet de ton crâne se lézardent voluptueusement sur l’oreiller. Ton menton et ton cou se sont ornés de quelques poils de barbe.
Ton cou... j’en approche mes lèvres, y dépose un baiser, un effleurement. Je te respire; tu sens bon, tu sens chaud, tu sens la douceur.
Une boucle s’est glissée jusqu’à ta bouche et te réveille. Tu ouvres les yeux, me regardes, ton sourire s’elargit encore. Ta main glisse sur mon ventre et m’attire contre toi. Tu m’embrasses, fais descendre le drap de coton blanc le long de mes seins et pose ta tête sur ma poitrine.
Le soleil s’insinue et nous observe. Il nous éclaire. Tu m’éclaires. Tes doigts dessinent les contours de mes hanches, des frissons me parcourent, des soupirs s’échappent. Ta langue lentement frôle ma peau, mon ventre que tu embrasses, mon nombril que tu effleures de tes doigts. Sans un mot, tu t’allonges sur moi. Ton regard me suffit, ton sourire me nourrit, ton envie me remplit. Tu te glisses en moi doucement, je me mords les lèvres involontairement. Ta langue appaise la morsure, ton sexe satisfait ma désinvolture.
Tes va-et-vient longs et puissants, tes yeux qui explorent les miens, observant chaque émotion qu’ils transcrivent, ta bouche qui sans même me toucher m’inonde de baisers, soumettent mon corps, le saturent de plaisir, le paralysent d’orgasmes. Seuls quelques soupirs arrivent à s’échapper d’entre mes lèvres, tu les attrapes bien vite pour t’en repaître.
Jouant de mon trouble, profitant de mon abandon total, tu gardes toujours ce même sourire divin qui me conquiert. Quand ton sexe se vide en moi, quand mon corps n’est plus qu’un torrent de feu, quand mes lèvres réclament le contact des tiennes, quand mes mains usées par l’étreinte se décrispent, quand mes yeux comptent plus d’étoiles que la galaxie, tu déposes un baiser sur ma bouche, passes ta main dans mes cheveux, caresses ma joue et souries.
Le soleil est déjà haut dans le ciel quand d’un baiser sur la joue nous nous séparons. Tu repars vers ta vie, ta famille, je rentre dans ma ville, réintègre mon domicile.
Demain peut-être, dans une semaine, un mois ou quelques années, autour d’un café, d’un verre ou d’un repas, comme deux amis, deux frères, deux enfants, nous nous souviendrons du temps où nous parcourions les mers, où nous défions les règles, où tu étais magicien. Je te dirai "tu es mon héros" et tu me souriras...
La marquise... illusionniste
Dim 11 Juil 2004, 02:16 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
Manon
Manon se tenait devant moi, et nous étions aussi surpris l’un que l’autre. Parti me promener sur les collines du Mont Struc, je marchais depuis le début de l’après-midi a me repaître des saveurs et des paysages enchanteurs de ces vieilles terres. Tantôt longeant des collines ou se rangeait des pieds de vigne soigneusement entretenu, tantôt gravissant les sentiers de pierres grises et plates, je m’étais finalement retrouvé dans l’ancienne foret domaniale.
Les odeurs de feuillus se succédaient aux quelques pins épars, et au milieu de ses fragrances, celles d’un buisson de mures vers lequel je me dirigeais pour faire bombance de ces délices.
Manon, c’est un peu l’enfant sauvage de notre pays. Elle ne dit jamais rien, mais elle fait énormément parler d’elle. Il court beaucoup de légendes sur elles, des plus tristes aux plus fantaisistes. Certains prétendent que Manon a toujours vécu dans cette foret depuis des temps immémoriaux, que son immortalité a pour prix son silence. Personne n’a jamais entendu parler Manon, ni entendu quelqu’un dire avoir entendu parler Manon. C’est peut être ce mystère qui façonna toutes ces légendes. Il est dit aussi que Manon est d’une beauté sauvage a rendre fou les hommes qui la regarde. Ceci, maintenant, je peux en attester. J’avais devant moi la plus belle, la plus affolante, la plus divine de toutes les femmes que je n’ai jamais eu l’occasion de voir.
Sa chevelure noire en bataille encadrait un visage mat, peut être un peu sale, duquel perçait une paire de grands yeux noirs.
Sa bouche bien que large, était dessinée avec finesse, s’entrouvrant légèrement en son centre. Vêtue d’une robe de chiffon, elle dégageait quelque chose d’animal et de gracieux. Je devinais la naissance de ses seins dans l’échancrure de sa robe, comme elle se tenait de biais. Mon regard descendit malgré moi le long de ses reins, puis de ses hanches, tandis que ma bouche s’ouvrait tellement j’étais ébahi et stupéfait devant la perfection de ce corps. Ses jambes, musclées avec élégance étaient le socle de cette vestale vivante.
Je déglutis tant je n’arrivais pas à me faire un raison de ce que j’avais sous les yeux. Et là, j’entendis un rire cristallin percer l’air chargé de senteur. Manon visiblement se moquait de moi et de ma surprise à la vue de son corps. Elle s’arrêta, me regarda d’un air mutin et reprit de rire de plus belle. Conscient de l’absurdité de mon comportement, je me mis a rire aussi de bon coeur, sortant en même temps un mouchoir pour m’éponger le front.
Nous nous observâmes un long moment. Je devais l’intriguer, j’imagine. Peut être que tout les hommes qu’elle avait rencontré par hasard dans les bois lui avait couru après dans le but de l’étreindre, et que mon comportement l’intriguait. Célibataire, je n’étais pas spécialement porté sur les femmes en ce moment. Je savourais cette solitude intense, cette liberté sans nom que de na pas être à l’emprise ni de ses sens ni de ceux d’une ravissante compagne. Mais je pense que même sans cette période de calme, je ne me serai jamais jeté sur une femme comme un animal, fut elle aussi jolie que Manon. Finalement, nous ceuillâmes des mures en silence sans cesser de nous observer à la dérobée. Je passais ainsi une bonne heure en compagnie de notre légende locale, dans le ravissement le plus absolu. De temps en temps, Manon me regardait m’escrimer à ramasser les mures et faisait sonner son rire enfantin pour se moquer de ma gaucherie dans les mûriers. Elle, elle avait l’air d’éviter les ronces. Ses mains courraient avec agilité dans les branchages et ramenaient les baies par poignées entières. Son panier d’osier fut bientôt rempli à ras bords, tandis que j’avais a peine de quoi remplir mon chapeau.
Elle m’invita avec forces gestes de la main à venir manger ses mures sur un coin d’herbe a l’ombre d’un arbre. Je m’assis a coté d’elle et me servit doucement dans son panier. Elle était a quelques centimètre de moi, et ne semblait pas avoir peur. C’est un situation particulière, que d’être a coté d’une femme aussi belle, sans lui échanger un seul mot. Communiquer se fait alors autrement, par le regard, par l’attitude.
Décidément heureux de cette après-midi merveilleuse, je me mis à contempler la colline de vigne qui faisait fasse a celle que nous occupions avec Manon.
Ma contemplation s’arrêta comme j’entendais un léger bruit a coté de moi. La robe de Manon, venait de tomber doucement sur l’herbe souple, et le corps halé de soleil comme aucun sculpteur n’eut jamais contemplé s’offrait fièrement à ma vue. Manon me regardait intensément, une sorte de fièvre semblant la gagner comme ses mains caressaient avec insistance le devant de ses cuisses. Ses seins semblaient gorgés d’un nectar lourd et épais. Sa beauté me paralysait littéralement.
Puis je sentis le désir sourdre. Ca me prit en bas du dos et me transperça le ventre. Une boule de feu descendit au plus profond de mon corps, reveillant avec fureur une érection dont je ne me croyais pas capable. Manon se rendit compte de ce changement, et voyant la turgescence orner mon pantalon, me regarda avec tant d’amour que j’en fut paralysé. Elle se jeta sur moi, et m’embrassa a pleine bouche.
Je ne me souviens que de très peu de choses ensuite. Nous arrachâmes ensemble ma chemise,tandis qu’elle se tenait a califourchon sur moi, ses seins durcis d’envie frôlant et caressant ma poitrine. Elle me couvrit le haut du corps de baisers frénétiques, frottant son bassin sur mon pantalon bossu, et attrapant mes épaules et mon dos de ses mains fiévreuses.
Manon avait le diable au corps. Et elle me le communiqua. Je me cambrai pour enlever mon pantalon ainsi que mes sous vêtements, et nous roulâmes nus tout les deux sur ce coin d’herbes ensoleillé. Sa peau était plus douce que celle d’une pêche, et ma bouche en butinait chaque parcelle. Mon sexe frottant contre le sien, je devinais qu’elle était prête a m’accueillir, sans qu’une quelconque stimulation ne fut nécessaire. Ma main sur un de ces seins chaud et doux, je tempèrais un instant mon agitation pour regarder dans les yeux de Manon.Il y brillait une supplication, un besoin d’absolu, quelque chose de déraisonnable. Manon m’implorai de l’aimer. Je reculais, tout en la regardant, et la pénétrai doucement, lentement. Elle ferma les yeux devant cette intrusion et plaqua ses mains sur mes fesses comme pour me confirmer qu’elle désirait impérativement cet instant. Nos corps s’harmonisèrent dans une douce cadence, elle devinant mes limites, moi forçant les siennes. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ce fut pour les planter dans les miens, alors que notre plaisir commençait à s’approcher de l’insupportable.
Nous basculâmes sur l’herbe, Manon me chevaucha d’abord avec douceur et profondeur, puis avec un acharnement non pas mu par sa volonté, mais plutôt par le plaisir qui prenait entièrement possession d’elle. Elle cria tout en imprimant de violent et sensuels coups de bassin, tandis qu’elle restait droite et fière. Ses seins bien que de taille généreuse, ne s’agitaient pas dans tout les sens, et restaient dans le mouvement de son corps. Sa tête était penchées sur la droite et ses yeux clos devaient vraisemblablement regarder cet intérieur que je pouvais deviner. Elle jouit, ses petits cris résonnèrent dans la foret, comme la musique d’un matin qui se lève.
Par miracle, j’avais reussi à me retenir. Doucement, je la soulevais. Alors que nous nous desemboitames, elle me regarda avec un petit sourire coquin, puis s’avança à genou face à l’arbre qui abritai nos ébats. Tout doucement elle se cambra, m’invitant à étreindre le plus beau derrière féminin que je n’ai jamais vu. Tandis que je m’approchais, elle me jeta un regard lascif, comme si le simple fait de deviner ce qui allait se passer lui procurait déjà un plaisir fiévreux. J’attrapai le haut de ses hanches comme pour m’aggriper et prendre un appui solide, et me réintroduisît en elle. Je vis ses mains agripper le tronc avec un force telle que ses articulations en devenait blanches. Sa croupe se mit a onduler sous mon regard émerveillé, caressant mon sexe qui était en elle avec ferveur. J’imprimais quelques coups de reins pour ne pas la perdre dans sa danse, mais ce fut là ma seule contribution à cette etreinte contre l’arbre.
Ma déesse me rendait le plaisir que je lui avais donné auparavant, et m’arracha un orgasme suffoquant d’intensité. Je m’écroulais sur l’herbe. Ma compagne se rapprocha de moi et m’enlaça avec tendresse, posant sa joue sur ma poitrine essoufflée.
Je me réveillais au petit matin, seul. J’étais habillé, bien que plutôt débraillé. Je m’étais endormi contre l’arbre sous lequel j’avais aimé Manon. Mais de Manon aucune trace, a part peut être mon chapeau qui contenait plus de mures que je ne me rappelai en avoir mis la veille.
Les odeurs de feuillus se succédaient aux quelques pins épars, et au milieu de ses fragrances, celles d’un buisson de mures vers lequel je me dirigeais pour faire bombance de ces délices.
Manon, c’est un peu l’enfant sauvage de notre pays. Elle ne dit jamais rien, mais elle fait énormément parler d’elle. Il court beaucoup de légendes sur elles, des plus tristes aux plus fantaisistes. Certains prétendent que Manon a toujours vécu dans cette foret depuis des temps immémoriaux, que son immortalité a pour prix son silence. Personne n’a jamais entendu parler Manon, ni entendu quelqu’un dire avoir entendu parler Manon. C’est peut être ce mystère qui façonna toutes ces légendes. Il est dit aussi que Manon est d’une beauté sauvage a rendre fou les hommes qui la regarde. Ceci, maintenant, je peux en attester. J’avais devant moi la plus belle, la plus affolante, la plus divine de toutes les femmes que je n’ai jamais eu l’occasion de voir.
Sa chevelure noire en bataille encadrait un visage mat, peut être un peu sale, duquel perçait une paire de grands yeux noirs.
Sa bouche bien que large, était dessinée avec finesse, s’entrouvrant légèrement en son centre. Vêtue d’une robe de chiffon, elle dégageait quelque chose d’animal et de gracieux. Je devinais la naissance de ses seins dans l’échancrure de sa robe, comme elle se tenait de biais. Mon regard descendit malgré moi le long de ses reins, puis de ses hanches, tandis que ma bouche s’ouvrait tellement j’étais ébahi et stupéfait devant la perfection de ce corps. Ses jambes, musclées avec élégance étaient le socle de cette vestale vivante.
Je déglutis tant je n’arrivais pas à me faire un raison de ce que j’avais sous les yeux. Et là, j’entendis un rire cristallin percer l’air chargé de senteur. Manon visiblement se moquait de moi et de ma surprise à la vue de son corps. Elle s’arrêta, me regarda d’un air mutin et reprit de rire de plus belle. Conscient de l’absurdité de mon comportement, je me mis a rire aussi de bon coeur, sortant en même temps un mouchoir pour m’éponger le front.
Nous nous observâmes un long moment. Je devais l’intriguer, j’imagine. Peut être que tout les hommes qu’elle avait rencontré par hasard dans les bois lui avait couru après dans le but de l’étreindre, et que mon comportement l’intriguait. Célibataire, je n’étais pas spécialement porté sur les femmes en ce moment. Je savourais cette solitude intense, cette liberté sans nom que de na pas être à l’emprise ni de ses sens ni de ceux d’une ravissante compagne. Mais je pense que même sans cette période de calme, je ne me serai jamais jeté sur une femme comme un animal, fut elle aussi jolie que Manon. Finalement, nous ceuillâmes des mures en silence sans cesser de nous observer à la dérobée. Je passais ainsi une bonne heure en compagnie de notre légende locale, dans le ravissement le plus absolu. De temps en temps, Manon me regardait m’escrimer à ramasser les mures et faisait sonner son rire enfantin pour se moquer de ma gaucherie dans les mûriers. Elle, elle avait l’air d’éviter les ronces. Ses mains courraient avec agilité dans les branchages et ramenaient les baies par poignées entières. Son panier d’osier fut bientôt rempli à ras bords, tandis que j’avais a peine de quoi remplir mon chapeau.
Elle m’invita avec forces gestes de la main à venir manger ses mures sur un coin d’herbe a l’ombre d’un arbre. Je m’assis a coté d’elle et me servit doucement dans son panier. Elle était a quelques centimètre de moi, et ne semblait pas avoir peur. C’est un situation particulière, que d’être a coté d’une femme aussi belle, sans lui échanger un seul mot. Communiquer se fait alors autrement, par le regard, par l’attitude.
Décidément heureux de cette après-midi merveilleuse, je me mis à contempler la colline de vigne qui faisait fasse a celle que nous occupions avec Manon.
Ma contemplation s’arrêta comme j’entendais un léger bruit a coté de moi. La robe de Manon, venait de tomber doucement sur l’herbe souple, et le corps halé de soleil comme aucun sculpteur n’eut jamais contemplé s’offrait fièrement à ma vue. Manon me regardait intensément, une sorte de fièvre semblant la gagner comme ses mains caressaient avec insistance le devant de ses cuisses. Ses seins semblaient gorgés d’un nectar lourd et épais. Sa beauté me paralysait littéralement.
Puis je sentis le désir sourdre. Ca me prit en bas du dos et me transperça le ventre. Une boule de feu descendit au plus profond de mon corps, reveillant avec fureur une érection dont je ne me croyais pas capable. Manon se rendit compte de ce changement, et voyant la turgescence orner mon pantalon, me regarda avec tant d’amour que j’en fut paralysé. Elle se jeta sur moi, et m’embrassa a pleine bouche.
Je ne me souviens que de très peu de choses ensuite. Nous arrachâmes ensemble ma chemise,tandis qu’elle se tenait a califourchon sur moi, ses seins durcis d’envie frôlant et caressant ma poitrine. Elle me couvrit le haut du corps de baisers frénétiques, frottant son bassin sur mon pantalon bossu, et attrapant mes épaules et mon dos de ses mains fiévreuses.
Manon avait le diable au corps. Et elle me le communiqua. Je me cambrai pour enlever mon pantalon ainsi que mes sous vêtements, et nous roulâmes nus tout les deux sur ce coin d’herbes ensoleillé. Sa peau était plus douce que celle d’une pêche, et ma bouche en butinait chaque parcelle. Mon sexe frottant contre le sien, je devinais qu’elle était prête a m’accueillir, sans qu’une quelconque stimulation ne fut nécessaire. Ma main sur un de ces seins chaud et doux, je tempèrais un instant mon agitation pour regarder dans les yeux de Manon.Il y brillait une supplication, un besoin d’absolu, quelque chose de déraisonnable. Manon m’implorai de l’aimer. Je reculais, tout en la regardant, et la pénétrai doucement, lentement. Elle ferma les yeux devant cette intrusion et plaqua ses mains sur mes fesses comme pour me confirmer qu’elle désirait impérativement cet instant. Nos corps s’harmonisèrent dans une douce cadence, elle devinant mes limites, moi forçant les siennes. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ce fut pour les planter dans les miens, alors que notre plaisir commençait à s’approcher de l’insupportable.
Nous basculâmes sur l’herbe, Manon me chevaucha d’abord avec douceur et profondeur, puis avec un acharnement non pas mu par sa volonté, mais plutôt par le plaisir qui prenait entièrement possession d’elle. Elle cria tout en imprimant de violent et sensuels coups de bassin, tandis qu’elle restait droite et fière. Ses seins bien que de taille généreuse, ne s’agitaient pas dans tout les sens, et restaient dans le mouvement de son corps. Sa tête était penchées sur la droite et ses yeux clos devaient vraisemblablement regarder cet intérieur que je pouvais deviner. Elle jouit, ses petits cris résonnèrent dans la foret, comme la musique d’un matin qui se lève.
Par miracle, j’avais reussi à me retenir. Doucement, je la soulevais. Alors que nous nous desemboitames, elle me regarda avec un petit sourire coquin, puis s’avança à genou face à l’arbre qui abritai nos ébats. Tout doucement elle se cambra, m’invitant à étreindre le plus beau derrière féminin que je n’ai jamais vu. Tandis que je m’approchais, elle me jeta un regard lascif, comme si le simple fait de deviner ce qui allait se passer lui procurait déjà un plaisir fiévreux. J’attrapai le haut de ses hanches comme pour m’aggriper et prendre un appui solide, et me réintroduisît en elle. Je vis ses mains agripper le tronc avec un force telle que ses articulations en devenait blanches. Sa croupe se mit a onduler sous mon regard émerveillé, caressant mon sexe qui était en elle avec ferveur. J’imprimais quelques coups de reins pour ne pas la perdre dans sa danse, mais ce fut là ma seule contribution à cette etreinte contre l’arbre.
Ma déesse me rendait le plaisir que je lui avais donné auparavant, et m’arracha un orgasme suffoquant d’intensité. Je m’écroulais sur l’herbe. Ma compagne se rapprocha de moi et m’enlaça avec tendresse, posant sa joue sur ma poitrine essoufflée.
Je me réveillais au petit matin, seul. J’étais habillé, bien que plutôt débraillé. Je m’étais endormi contre l’arbre sous lequel j’avais aimé Manon. Mais de Manon aucune trace, a part peut être mon chapeau qui contenait plus de mures que je ne me rappelai en avoir mis la veille.
Jeu 08 Juil 2004, 18:20 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
L'inconnue à la robe verte
Des grands yeux en amande, noisettes. Mon regard courts sur les traits de ton visage, alors que tu t’es assoupie. Nous nous faisons face, et quelques rangées de voyageurs nous séparent dans ce train qui va de Beziers à Paris.
Je continue mon voyage impudique tandis que tu somnoles. Ta bouche s’est entrouverte sous la caresse du sommeil, dévoilant légérement tes jolies dents. Je sais qu’elles sont jolies car je les ai vues avant que tu ne te décides à faire ta sieste.
Je reve quelques instant sur la ligne de ton cou bronzé qui se termine sur des épaules rondes et droites.
Les brettelles de ta petite robe verte te donnent un air d’indienne. Tu me plait.
Je reviens vers tes yeux qui me fascinent. Qui s’ouvrent. Me regardent puis se referment. Par politesse j’ai souri et baissé les miens.
Je continue alors ma tendre visite. Je te regarde comme on regarde une toile dans un musée. Avec admiration, et aussi delicatesse. Comme si les yeux pouvaient abimer l’oeuvre qu’ils contemplent.
Ton corps doit être agréable. Une poitrine plutot petite se cache sous ta robe, tandis que des hanches que je soupconne musclées donnent naissances à des jambes lisses et bronzées. Ta beauté me fait vaguement penser à celle de Gwen, la petite heronine de la bande dessinée "Le grand pouvoir du chninkel".
J’aimerais beaucoup te connaitre je crois. Tu me regardes encore une fois. Cette fois tu restes dans mes yeux. Je ne decilles pas, t’envoyant un petit sourire du regard, à la fois rassurant et heureux.
De temps en temps tu consultes ton téléphone portable, écoutant les messages. De ton ami, peut-être. Ou d’une copine qui viendra te chercher dans cette ville de lobotomisé. L’un comme l’autre, ca me fait croire que tu n’es pas de cette ville. Et c’est peut être bien pour ca que tu parais si belle et si désirable. Les filles de la ville n’ont plus rien à offir que leur inquietude ou leur apathie. Rien a voir avec tes douces questions. Je voudrais être un peu à toi.
Si en sortant du train, l’opportunité se présentait d’échanger quelques mots, je serai vraimment heureux. D’autant que durant tout ce voyage, j’ai l’impression que nous nous sommes peu à peu acceptés. Sans aucun autre mot que nos oeillades de moins en moins craintives, nous nous sommes un peu dit que nous nous plaisions.
Le train s’arrete, les voyageurs impatients s’emparent de leurs sacs et de leurs valises. Je t’apercois dans la coursive, tu es loin. Je souris et me fait une raison : ca ne sera pas pour cette fois. Je descend peu aprés moi aussi du train, renifalnt la sufffocante odeur de la ville poubelle, refusant de laisser
entrer le stress ambiant dans ma bulle de paix. Je te vois marcher un peu devant moi. J’aime beaucoup cette partie de ton corps que je ne pouvais contempler lorsque tu étais assise...
Tu t’arretes pour chercher, ou faire semblant, je ne sais. Je continues, je ma’arretes aussi, a trois ou quatre pas devant toi, histoire de provoquer la chance. Je fais aussi semblant de chercher, regardant les panneaux de metro. Non, décidément, le hasard ne veut pas de nous. Et je ne veux pas non plus briser l’intant si beau en allant à ta rencontre, avec un pretexte que nous devinerions tout les deux comme absurde.
Alors, je repars, te gardant en mèmoire comme un souvenir précieux, auquel je rendrais hommage, plus tard...
Je continue mon voyage impudique tandis que tu somnoles. Ta bouche s’est entrouverte sous la caresse du sommeil, dévoilant légérement tes jolies dents. Je sais qu’elles sont jolies car je les ai vues avant que tu ne te décides à faire ta sieste.
Je reve quelques instant sur la ligne de ton cou bronzé qui se termine sur des épaules rondes et droites.
Les brettelles de ta petite robe verte te donnent un air d’indienne. Tu me plait.
Je reviens vers tes yeux qui me fascinent. Qui s’ouvrent. Me regardent puis se referment. Par politesse j’ai souri et baissé les miens.
Je continue alors ma tendre visite. Je te regarde comme on regarde une toile dans un musée. Avec admiration, et aussi delicatesse. Comme si les yeux pouvaient abimer l’oeuvre qu’ils contemplent.
Ton corps doit être agréable. Une poitrine plutot petite se cache sous ta robe, tandis que des hanches que je soupconne musclées donnent naissances à des jambes lisses et bronzées. Ta beauté me fait vaguement penser à celle de Gwen, la petite heronine de la bande dessinée "Le grand pouvoir du chninkel".
J’aimerais beaucoup te connaitre je crois. Tu me regardes encore une fois. Cette fois tu restes dans mes yeux. Je ne decilles pas, t’envoyant un petit sourire du regard, à la fois rassurant et heureux.
De temps en temps tu consultes ton téléphone portable, écoutant les messages. De ton ami, peut-être. Ou d’une copine qui viendra te chercher dans cette ville de lobotomisé. L’un comme l’autre, ca me fait croire que tu n’es pas de cette ville. Et c’est peut être bien pour ca que tu parais si belle et si désirable. Les filles de la ville n’ont plus rien à offir que leur inquietude ou leur apathie. Rien a voir avec tes douces questions. Je voudrais être un peu à toi.
Si en sortant du train, l’opportunité se présentait d’échanger quelques mots, je serai vraimment heureux. D’autant que durant tout ce voyage, j’ai l’impression que nous nous sommes peu à peu acceptés. Sans aucun autre mot que nos oeillades de moins en moins craintives, nous nous sommes un peu dit que nous nous plaisions.
Le train s’arrete, les voyageurs impatients s’emparent de leurs sacs et de leurs valises. Je t’apercois dans la coursive, tu es loin. Je souris et me fait une raison : ca ne sera pas pour cette fois. Je descend peu aprés moi aussi du train, renifalnt la sufffocante odeur de la ville poubelle, refusant de laisser
entrer le stress ambiant dans ma bulle de paix. Je te vois marcher un peu devant moi. J’aime beaucoup cette partie de ton corps que je ne pouvais contempler lorsque tu étais assise...
Tu t’arretes pour chercher, ou faire semblant, je ne sais. Je continues, je ma’arretes aussi, a trois ou quatre pas devant toi, histoire de provoquer la chance. Je fais aussi semblant de chercher, regardant les panneaux de metro. Non, décidément, le hasard ne veut pas de nous. Et je ne veux pas non plus briser l’intant si beau en allant à ta rencontre, avec un pretexte que nous devinerions tout les deux comme absurde.
Alors, je repars, te gardant en mèmoire comme un souvenir précieux, auquel je rendrais hommage, plus tard...
Mer 07 Juil 2004, 12:44 par
PetitPrince sur La séduction
Le bal des muses
Pour nos silences... fd
Le bal des muses
Clic… clic, brasse camarades
Les mains dans les poches
La musica partout joueuse
File sur les murs en écho
L’envoûtement dans les cheveux
Pépites de couleurs dans les yeux
Magie Magie pour habits
Mignonneries à chaque nuit
Au ciel des lampes taffetas
Vivat le monde ! Vivat !!!
La fortuna les mains pleines
Je roule ma vie
Mille et une nuits dans la soie
C’est la caverne d’Alice Baba
Musiques de baisers Aznavour
Tables de rois à rendre
Emotions fortes garanties
Mise sur toi mon amour
Le casino de mon âme
It’s wontherfull
Tsssutut tututsssz
En haut d’une foule Gypsy
Guirlandes multicolores
Les codes qui cliquent
Honey Honey
Une joie d’homme tambourine
Mise tous ses gages en orbites
Brouhaha dans les poches
Le vent Black Jack dans le dos
En mode bonus organza
Des coeurs clignotent
Double diamond
Langues séduisantes
Sourires sur des fleurs
Je t’aime mon coeur
Sur le vert des enchères
Clans de papiers en flamme
Des bouches pleines de feux
C’est la chance de jouer
Son grain de soleil
Au jeu des amoureux
Un doigt pointé
Un éclair blues affairé
Mon coeur je suis touchée
Nœud papillon dans le cou
Des lèvres comme du velours
La caverne d’Ali Baba
Trésors en musiques
Avant-scènes de charmes
Abusent de vœux exquis
Belly danseuse divine
L’or soleille sur les ventres
C’est trop charmant
Des bras qui ondulent
Comme une fée dans le vent
Tourne dans le sens du bonheur
Souche de bras baisés
Tourne Tourne la jolie
Le sourire sur ses reins
Les hanches joueuses
Claquements de mains
Croise les doigts
Dandine les pieds
Saute les épaules
Couche la musique
La belle est sensuelle
Gracieux serpent femelle
Qui fait gl’amour
Aux anges dans ce tempo
Des sirènes sex-symbol
Shaktis rouges endiablés
Aux aurores de lumières
Dessins de broderie
L’homme sourit au signe
En kimonos tendresses
Les têtes qui tournent
Tiens moi la main
Sommes nous-demain
Un souffle dans mon cou
Je te reviens
Papyrus mon sourcier
Les gestes mauves
L’or qui coule
Des lèvres qui te boivent
Au petit jour
Un autre vent
Un grand frisson
C’est la saison
Des grandes amours.
mOTSaRT
Le bal des muses
Clic… clic, brasse camarades
Les mains dans les poches
La musica partout joueuse
File sur les murs en écho
L’envoûtement dans les cheveux
Pépites de couleurs dans les yeux
Magie Magie pour habits
Mignonneries à chaque nuit
Au ciel des lampes taffetas
Vivat le monde ! Vivat !!!
La fortuna les mains pleines
Je roule ma vie
Mille et une nuits dans la soie
C’est la caverne d’Alice Baba
Musiques de baisers Aznavour
Tables de rois à rendre
Emotions fortes garanties
Mise sur toi mon amour
Le casino de mon âme
It’s wontherfull
Tsssutut tututsssz
En haut d’une foule Gypsy
Guirlandes multicolores
Les codes qui cliquent
Honey Honey
Une joie d’homme tambourine
Mise tous ses gages en orbites
Brouhaha dans les poches
Le vent Black Jack dans le dos
En mode bonus organza
Des coeurs clignotent
Double diamond
Langues séduisantes
Sourires sur des fleurs
Je t’aime mon coeur
Sur le vert des enchères
Clans de papiers en flamme
Des bouches pleines de feux
C’est la chance de jouer
Son grain de soleil
Au jeu des amoureux
Un doigt pointé
Un éclair blues affairé
Mon coeur je suis touchée
Nœud papillon dans le cou
Des lèvres comme du velours
La caverne d’Ali Baba
Trésors en musiques
Avant-scènes de charmes
Abusent de vœux exquis
Belly danseuse divine
L’or soleille sur les ventres
C’est trop charmant
Des bras qui ondulent
Comme une fée dans le vent
Tourne dans le sens du bonheur
Souche de bras baisés
Tourne Tourne la jolie
Le sourire sur ses reins
Les hanches joueuses
Claquements de mains
Croise les doigts
Dandine les pieds
Saute les épaules
Couche la musique
La belle est sensuelle
Gracieux serpent femelle
Qui fait gl’amour
Aux anges dans ce tempo
Des sirènes sex-symbol
Shaktis rouges endiablés
Aux aurores de lumières
Dessins de broderie
L’homme sourit au signe
En kimonos tendresses
Les têtes qui tournent
Tiens moi la main
Sommes nous-demain
Un souffle dans mon cou
Je te reviens
Papyrus mon sourcier
Les gestes mauves
L’or qui coule
Des lèvres qui te boivent
Au petit jour
Un autre vent
Un grand frisson
C’est la saison
Des grandes amours.
mOTSaRT
Mar 08 Juin 2004, 11:37 par
mOTSaRT sur L'amour en vrac
Moment d'infinité
Appuyé contre un mur, légèrement en retrait dans l’ombre d’une porte, je vous ai vu marcher dans votre jupe étroite cet après midi. Vos hanches se balançaient de gauche à droite donnant à votre démarche le rythme d’une danse. J’ai vu courir mes mains le long de vos jambes interminables affinées par de fines chaussures noires à hauts talons. J’ai senti dans le vent les effluves suaves de votre parfum, mélange de votre odeur, d’épices, de sucre et de fleurs. Un instant j’ai vu ma bouche parcourir votre cou, découvrir votre douce épaule pour mourir tendrement sous votre oreille. Puis j’ai vu vos seins bouger nonchalamment sous votre chemisier, j’ai aperçu leur rondeur rassurante et deviné leur douceur. J’ai vu mes doigts glisser entre ces monts, les contourner tous en les effleurant, pour finalement les saisir à pleine paume. J’ai croisé vos yeux, profonds, à la fois fiers et mystérieux, à la fois oui à la fois non. J’ai vu ma bouche pincer vos lèvres et ma langue chercher la votre. J’ai désiré vos reins, j’aurai aimé m’y reposer, j’aurais aimé vous caresser, glisser mes mains fermes et douces sous votre jupe étroite et faire briller vos lèvres comme vous avez fait briller mon coeur. Madame je vous ai vu marcher dans votre jupe étroite cet après midi, je vous ai désiré, je crois qu’un instant je vous ai aimé.
Mar 18 Mai 2004, 16:09 par
MiAngeMiDemon sur La séduction
Flash !
En PDF sur mon PDA, j’ai chargé tes fesses en JPEG,
Je m’inocule ton corps hypnotique par voie oculaire,
Les saccades d’images bombardent mon oeil au rythme du va-et-vient précis de mes doigt experts sur la molette,
Ton dos s’imprime sur ma rétine,
Des hanches jusqu’aux cuisses ta silhouette défile sur l’écran de l’appareil,
J’explore ta peau en effleurant l’écran du bout de mon stylet,
Scroll stroboscopique sur tes fesses ,
Zoom éblouissant sur ta rivière parisienne illuminée,
Flash entre tes cuisses,
Ta chute de reins met mon nerf optique sous haute tension,
mon cerveau fume et mon ventre se tétanise
Je m’inocule ton corps hypnotique par voie oculaire,
Les saccades d’images bombardent mon oeil au rythme du va-et-vient précis de mes doigt experts sur la molette,
Ton dos s’imprime sur ma rétine,
Des hanches jusqu’aux cuisses ta silhouette défile sur l’écran de l’appareil,
J’explore ta peau en effleurant l’écran du bout de mon stylet,
Scroll stroboscopique sur tes fesses ,
Zoom éblouissant sur ta rivière parisienne illuminée,
Flash entre tes cuisses,
Ta chute de reins met mon nerf optique sous haute tension,
mon cerveau fume et mon ventre se tétanise
Mar 18 Mai 2004, 14:33 par
le beau jardinier sur Les liaisons sulfureuses
Encore!
Un faible soupir qui déchire la nuit
Les doigts qui caressent l’oreiller, un cri
Le dos qui se creuse, la peau qui se hérisse
Une envie, un manque entre mes cuisses
Un vent léger qui se faufile par la fenêtre
Un rayon de lune qui entre et se dessine
Un frisson qui me parcourt, tes mains qui me pénètrent
Le poids de ton corps qui m’opprime
Ta langue chaude qui frôlent mes seins tendus
Tes mains voraces qui vallonnent mes hanches
Tes lèvres qui me torturent, je flanche
La douceur de ton sexe, de ton corps nu
Baise-moi encore...
Prends-moi plus fort...
N’attends pas mon accord...
Sers-toi sans remord...
Les doigts qui caressent l’oreiller, un cri
Le dos qui se creuse, la peau qui se hérisse
Une envie, un manque entre mes cuisses
Un vent léger qui se faufile par la fenêtre
Un rayon de lune qui entre et se dessine
Un frisson qui me parcourt, tes mains qui me pénètrent
Le poids de ton corps qui m’opprime
Ta langue chaude qui frôlent mes seins tendus
Tes mains voraces qui vallonnent mes hanches
Tes lèvres qui me torturent, je flanche
La douceur de ton sexe, de ton corps nu
Baise-moi encore...
Prends-moi plus fort...
N’attends pas mon accord...
Sers-toi sans remord...
Jeu 13 Mai 2004, 23:29 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
Voyage au pays des elfes
C’était une aube magnifique, qui n’avait rien à envier au plus beau des couchers de soleil. Le ciel s’illuminait de toutes les teintes de violet jusqu’au rose, une aube laissant deviner une belle journée ensoleillée.
Lilou, princesse du pays des papillons, voletait de-ci de-là au dessus des fleurs d’un magnifique jardin dont les senteurs se réveillaient tout doucement sous la chaleur naissante du soleil... elle était belle ce matin, très en forme et chantonnait tout en passant d’une fleur à l’autre; se désaltérant sur les pétales veloutées d’une belle rose pourpre.
Elle choisit un beau lys blanc au parfum envoûtant pour faire sa toilette. Au même moment, Yanis roi des Elfes cherchait quelque nourriture pour son petit déjeuner. Il entend la voix cristalline de la divine princesse et cherche à voir d’où vient cette douce musique, il la voit, touché par tant de grâce, il se pose sur le pommier en fleur qui surplombe la belle.
Il est ému par la beauté de la femme papillon, c’est une jolie jeune femme au corps de jolies proportions, de longs cheveux noirs encadrent un visage à l’ovale parfait, de grands yeux violets illuminent son regard bordé de longs cils; une bouche pulpeuse, finement ourlée du plus beau rose, un joli nez un peu retroussé et fin.
Elle est nue comme toutes les femmes de sa race, nue, sauf une ceinture de fleurs joliment tressée qui descend, pudiquement, sur son pubis. Elle se lave, ignorant que quelqu’un la regarde, d’une pétale de fleur, elle se savonne le corps, elle s’attarde sur ses beaux seins généreux qui dardent leur pointes sous la caresse. Elle descend et c’est au tour de ses longues jambes...interminables au galbe parfait...elle déploie ses grandes ailes finement ciselées...quel chatoiement de couleurs...du bleu foncé au mauve, de petites touches de rose aussi et le tout pailleté d’argent...elle les fait battre tout doucement pour les sécher.
Yanis ne bouge plus, il respire à peine, la belle l’émerveille. Son corps commence à vibrer à la vue de tant de sensualité. Le battement des ailes lui envoie une bouffée de son doux parfum. Oh, comme il la désire! Il faut qu’il l’approche, mais comment faire? Il ne veut pas qu’elle puise deviner qu’il l’a épiée en un moment si intime.
Il prend son envol et va se poser un peu plus loin, priant pour qu’elle passe devant lui. La belle n’est pas sotte, elle l’a vue du coin de l’œil se poser sur l’arbre elle l’a trouvé si beau que troublée elle s’est laissée regarder.
Elle se tourne, se cache derrière le feuillage luxuriant des ancolies et l’observe à son tour, il s’affaire dans la cueillette de baies appétissantes, hum, elle a faim elle aussi. Aussi blond qu’elle est brune, il porte les cheveux longs sur la nuque et frisés, il a de magnifiques yeux bleus. Son corps n’a rien à envier aux sportifs de la Grèce antique. Ses muscles roulent sous l’effort et il arbore de beaux abdominaux bien dessinés. Il porte juste un pagne fait de feuilles fraîches, ses cuisses laissent voir sa puissance de male. Ses ailes repliées laissent deviner leur beauté, elles sont colorées de multiples dégradés de bleus et pailletées de jaune et d’or.
Elle le regarde surprise de ces sensations inconnues qui montent en elle. Quelle est cette chaleur au fond de son bas ventre qui irradie en elle un plaisir naissant. Elle s’avance effrontée, que faire, que dire? Elle ne veut pas le perdre! Il s’immobilise, il lui tourne le dos mais sent sa présence, il ferme les yeux, les sens en éveil, il la respire, perçoit son odeur de Lys. Il se retourne tout doucement, et si elle disparaissait, si elle n’était que mirage?
Ils sont face à face, plus de bruit, plus de pépiement d’oiseaux comme si la nature retenait son souffle, étonnée par tant de beauté réunie...Il lui sourit s’attendant à tout moment qu’elle s’évanouisse , simple illusion. Elle lui répond et il sait alors qu’elle est bien réelle. Le soleil complice les illumine de sa chaude lumière. Il se penche, ramassant une fleur, orchidée assortie à ses yeux et s’approche tout doucement la lui accrocher dans les cheveux...ils n’échangent aucun mots, ils sont superflus. L’air vibre d’amour et de désir autour d’eux.
Elle lui tend la main et il la prend, l’attirant vers un lit de mousse, moelleux tapis où ils s’installent. Ils piochent chacun à leur tour dans la provision de baies sucrées se donnant la becquée tour à tour. Il glisse les doigts dans sa bouche, elle lèche les délicatement le regardant droit dans les yeux. Elle en fait de même; il attrapé sa main et l’embrasse au creux de la paume, du poignet, de l’avant bras, du coude, sur l’épaule, au creux du cou. Il lui susurre des mots d’amour au creux de l’oreille, doux langage qui la trouble au plus profond de son être.
Elle ferme les yeux, s’allonge et s’abandonne à ses caresses. Il n’est que force et se fait douceur, la caressant partout de ses larges mains; elle se cambre sous le plaisir qui l’envahie. Ses mains partent du cou et descendent en coupe sur les seins tendus, il agace les deux pointes de ses pouces et index, les faisant rouler. Elle gémie et ça l’excite, son sexe vient se dresser d’un cran de plus...ohhh, ces seins ! il les palpe, les savoure, prenant les pointes dans sa bouche tour à tour, elle est si cambrée qu’il passe un main sous ses reins pour les caresser.
Il touche la naissance de ses fesses, sa peau est une merveille de douceur. Ses mains sont comme aimantées, il ne pourra plus la lâcher. Il descend encore plus bas sans cesser de l’embrasser, déposant des coups de langue de-ce de-là, glissant le bout de sa langue dans le nombril. Il est sur ses cuisses prenant bien soin d’en éviter le centre, préférant la faire languir un peu. Elle écarte les jambes lui signifiant qu’il est temps de butiner son bouton d’amour. Soit, il s’y dirige avec une lenteur calculée, il y est; mon dieu, elle est si mouillée, quel divin nectar, la reine des fleurs. Il en écarte les pétales veloutées et va s’y enivrer. Son sexe est tellement dressé qu’il lui fait mal, il n’a jamais désiré quelqu’un comme elle.
Ne pas s’affoler, il faut l’honorer comme il se doit. Il prend son bouton en bouche et le tête tout doucement., il le lâche, tourne autour, lèche la surface de son sexe émoustillé, il veut la pénétrer de sa langue et , surprise, la belle est vierge! Très ému par le cadeau qu’elle lui fait, il s’applique à la caresse, il ne veut pas la blesser; la sentant pas loin de l’orgasme, il retourne vers son clitoris et d’un doigt doux et chaud s’active sur le petit gland dressé.
Elle resserre les jambes et secouée de soubresaut se met à pousser des petits cris plaintif de jouissance extrême. Ohhh, cette vague de chaleur soudaine qui l’envahie des pieds à la tête, elle n’aurait cru pareille sensation possible, elle vole mais ne se sert pas de ses belles ailes, elle plane dans le soleil sentant sa lumière et sa chaleur.
Il la prend dans ses bras, la laissant savourer la jouissance, il l’accompagne dans sa descente sur terre en la berçant et en lui disant des mots doux. Elle se sent si bien, elle veut le caresser à son tour, elle ne sait comment faire pour donner du plaisir à un homme, elle fait confiance au désir qu’elle a de le toucher, de l’embrasser. Elle le caresse comme il l’a caressé, sans précipitation, elle découvre son sexe un peu inquiète de ce qu’elle voit.
Le gland est énorme sous le puissant désir qu’il a d’elle, gorgé du plus doux des sucs, elle le veut dans sa bouche. Elle le déguste, elle aime son goût et sa douceur. Humm ! elle ne s’en lasse pas, le faisant sortir de sa bouche pour mieux l’aspirer à nouveau, elle en est gourmande, elle le lèche, s’attardant sur le prépuce puis sur le méat, étonnée de la saveur sucrée de la goûte qui y perle, elle monte et descend, l’engloutissant de plus en plus profondément;
Elle masse ses deux belles boules et les lèches aussi goulûment. Il est comme fou sous sa caresse et bredouille des mots sans queue ne tête. Elle a de nouveau envie de lui, envie qu’il la pénètre malgré la peur de la douleur. Elle vient donc s’allonger à ses côtés et d’une voix rauque d’où on sent tant d’émotions elle lui dit:
- "fais-moi l’amour mon coeur, fais-moi femme".
Tant de douceur, de désir et d’abandon le tétanise, son sexe pourtant bien dur, se raffermit encore! Il se positionne au dessus d’elle, choisissant une position pas bien originale mais dans laquelle il pourra maîtriser toute sa fougue. Il place son gland à l’entrée de son puits d’amour, dont il allait être le premier visiteur. Lentement, sans à-coup, il commence à s’introduire dans ce fourreau de soie dont la chaleur et la moiteur trahit le plaisir qu’il lui donne.
Lorsqu’il fût au contact de la fine membrane qui protége l’entrée, il cesse la progression pour qu’elle se détende, elle le saisit aux hanches dans un geste d’acceptation totale et puis tout doucement, il appuie pour franchir cette barrière de chair. Dans un petit cri, elle l’enlace et comme il ne bouge plus, craintif, elle l’encourage avec un râle de plaisir.
Alors, il accentue ses mouvements et en quelques va et viens la fait devenir femme, ils gémissent de concert, s’accordant dans cette danse du plaisir. Ses puissants coup de reins les amènent au portes du plaisir sentant sa jouissance monter, il déplie ses grandes ailes, les couvrant à tous deux de poussière dorée et c’est à ce moment là qu’elle atteint le plaisir pour la deuxième fois en sentant sa chaude semence l’inonder au plus profond de son corps. Une nuée de papillons multicolores prend son envol mais bien moins haut que là où se trouvent Yanis et Lilou.
Si vous vous levez, à l’aube, un de ces jours, au moment où le ciel se pare de mille teintes, vous les verrez certainement voletant main dans la main parmi les fleurs, rois des cieux accompagnés de leurs enfants aux couleurs éclatantes ...
Lilou, princesse du pays des papillons, voletait de-ci de-là au dessus des fleurs d’un magnifique jardin dont les senteurs se réveillaient tout doucement sous la chaleur naissante du soleil... elle était belle ce matin, très en forme et chantonnait tout en passant d’une fleur à l’autre; se désaltérant sur les pétales veloutées d’une belle rose pourpre.
Elle choisit un beau lys blanc au parfum envoûtant pour faire sa toilette. Au même moment, Yanis roi des Elfes cherchait quelque nourriture pour son petit déjeuner. Il entend la voix cristalline de la divine princesse et cherche à voir d’où vient cette douce musique, il la voit, touché par tant de grâce, il se pose sur le pommier en fleur qui surplombe la belle.
Il est ému par la beauté de la femme papillon, c’est une jolie jeune femme au corps de jolies proportions, de longs cheveux noirs encadrent un visage à l’ovale parfait, de grands yeux violets illuminent son regard bordé de longs cils; une bouche pulpeuse, finement ourlée du plus beau rose, un joli nez un peu retroussé et fin.
Elle est nue comme toutes les femmes de sa race, nue, sauf une ceinture de fleurs joliment tressée qui descend, pudiquement, sur son pubis. Elle se lave, ignorant que quelqu’un la regarde, d’une pétale de fleur, elle se savonne le corps, elle s’attarde sur ses beaux seins généreux qui dardent leur pointes sous la caresse. Elle descend et c’est au tour de ses longues jambes...interminables au galbe parfait...elle déploie ses grandes ailes finement ciselées...quel chatoiement de couleurs...du bleu foncé au mauve, de petites touches de rose aussi et le tout pailleté d’argent...elle les fait battre tout doucement pour les sécher.
Yanis ne bouge plus, il respire à peine, la belle l’émerveille. Son corps commence à vibrer à la vue de tant de sensualité. Le battement des ailes lui envoie une bouffée de son doux parfum. Oh, comme il la désire! Il faut qu’il l’approche, mais comment faire? Il ne veut pas qu’elle puise deviner qu’il l’a épiée en un moment si intime.
Il prend son envol et va se poser un peu plus loin, priant pour qu’elle passe devant lui. La belle n’est pas sotte, elle l’a vue du coin de l’œil se poser sur l’arbre elle l’a trouvé si beau que troublée elle s’est laissée regarder.
Elle se tourne, se cache derrière le feuillage luxuriant des ancolies et l’observe à son tour, il s’affaire dans la cueillette de baies appétissantes, hum, elle a faim elle aussi. Aussi blond qu’elle est brune, il porte les cheveux longs sur la nuque et frisés, il a de magnifiques yeux bleus. Son corps n’a rien à envier aux sportifs de la Grèce antique. Ses muscles roulent sous l’effort et il arbore de beaux abdominaux bien dessinés. Il porte juste un pagne fait de feuilles fraîches, ses cuisses laissent voir sa puissance de male. Ses ailes repliées laissent deviner leur beauté, elles sont colorées de multiples dégradés de bleus et pailletées de jaune et d’or.
Elle le regarde surprise de ces sensations inconnues qui montent en elle. Quelle est cette chaleur au fond de son bas ventre qui irradie en elle un plaisir naissant. Elle s’avance effrontée, que faire, que dire? Elle ne veut pas le perdre! Il s’immobilise, il lui tourne le dos mais sent sa présence, il ferme les yeux, les sens en éveil, il la respire, perçoit son odeur de Lys. Il se retourne tout doucement, et si elle disparaissait, si elle n’était que mirage?
Ils sont face à face, plus de bruit, plus de pépiement d’oiseaux comme si la nature retenait son souffle, étonnée par tant de beauté réunie...Il lui sourit s’attendant à tout moment qu’elle s’évanouisse , simple illusion. Elle lui répond et il sait alors qu’elle est bien réelle. Le soleil complice les illumine de sa chaude lumière. Il se penche, ramassant une fleur, orchidée assortie à ses yeux et s’approche tout doucement la lui accrocher dans les cheveux...ils n’échangent aucun mots, ils sont superflus. L’air vibre d’amour et de désir autour d’eux.
Elle lui tend la main et il la prend, l’attirant vers un lit de mousse, moelleux tapis où ils s’installent. Ils piochent chacun à leur tour dans la provision de baies sucrées se donnant la becquée tour à tour. Il glisse les doigts dans sa bouche, elle lèche les délicatement le regardant droit dans les yeux. Elle en fait de même; il attrapé sa main et l’embrasse au creux de la paume, du poignet, de l’avant bras, du coude, sur l’épaule, au creux du cou. Il lui susurre des mots d’amour au creux de l’oreille, doux langage qui la trouble au plus profond de son être.
Elle ferme les yeux, s’allonge et s’abandonne à ses caresses. Il n’est que force et se fait douceur, la caressant partout de ses larges mains; elle se cambre sous le plaisir qui l’envahie. Ses mains partent du cou et descendent en coupe sur les seins tendus, il agace les deux pointes de ses pouces et index, les faisant rouler. Elle gémie et ça l’excite, son sexe vient se dresser d’un cran de plus...ohhh, ces seins ! il les palpe, les savoure, prenant les pointes dans sa bouche tour à tour, elle est si cambrée qu’il passe un main sous ses reins pour les caresser.
Il touche la naissance de ses fesses, sa peau est une merveille de douceur. Ses mains sont comme aimantées, il ne pourra plus la lâcher. Il descend encore plus bas sans cesser de l’embrasser, déposant des coups de langue de-ce de-là, glissant le bout de sa langue dans le nombril. Il est sur ses cuisses prenant bien soin d’en éviter le centre, préférant la faire languir un peu. Elle écarte les jambes lui signifiant qu’il est temps de butiner son bouton d’amour. Soit, il s’y dirige avec une lenteur calculée, il y est; mon dieu, elle est si mouillée, quel divin nectar, la reine des fleurs. Il en écarte les pétales veloutées et va s’y enivrer. Son sexe est tellement dressé qu’il lui fait mal, il n’a jamais désiré quelqu’un comme elle.
Ne pas s’affoler, il faut l’honorer comme il se doit. Il prend son bouton en bouche et le tête tout doucement., il le lâche, tourne autour, lèche la surface de son sexe émoustillé, il veut la pénétrer de sa langue et , surprise, la belle est vierge! Très ému par le cadeau qu’elle lui fait, il s’applique à la caresse, il ne veut pas la blesser; la sentant pas loin de l’orgasme, il retourne vers son clitoris et d’un doigt doux et chaud s’active sur le petit gland dressé.
Elle resserre les jambes et secouée de soubresaut se met à pousser des petits cris plaintif de jouissance extrême. Ohhh, cette vague de chaleur soudaine qui l’envahie des pieds à la tête, elle n’aurait cru pareille sensation possible, elle vole mais ne se sert pas de ses belles ailes, elle plane dans le soleil sentant sa lumière et sa chaleur.
Il la prend dans ses bras, la laissant savourer la jouissance, il l’accompagne dans sa descente sur terre en la berçant et en lui disant des mots doux. Elle se sent si bien, elle veut le caresser à son tour, elle ne sait comment faire pour donner du plaisir à un homme, elle fait confiance au désir qu’elle a de le toucher, de l’embrasser. Elle le caresse comme il l’a caressé, sans précipitation, elle découvre son sexe un peu inquiète de ce qu’elle voit.
Le gland est énorme sous le puissant désir qu’il a d’elle, gorgé du plus doux des sucs, elle le veut dans sa bouche. Elle le déguste, elle aime son goût et sa douceur. Humm ! elle ne s’en lasse pas, le faisant sortir de sa bouche pour mieux l’aspirer à nouveau, elle en est gourmande, elle le lèche, s’attardant sur le prépuce puis sur le méat, étonnée de la saveur sucrée de la goûte qui y perle, elle monte et descend, l’engloutissant de plus en plus profondément;
Elle masse ses deux belles boules et les lèches aussi goulûment. Il est comme fou sous sa caresse et bredouille des mots sans queue ne tête. Elle a de nouveau envie de lui, envie qu’il la pénètre malgré la peur de la douleur. Elle vient donc s’allonger à ses côtés et d’une voix rauque d’où on sent tant d’émotions elle lui dit:
- "fais-moi l’amour mon coeur, fais-moi femme".
Tant de douceur, de désir et d’abandon le tétanise, son sexe pourtant bien dur, se raffermit encore! Il se positionne au dessus d’elle, choisissant une position pas bien originale mais dans laquelle il pourra maîtriser toute sa fougue. Il place son gland à l’entrée de son puits d’amour, dont il allait être le premier visiteur. Lentement, sans à-coup, il commence à s’introduire dans ce fourreau de soie dont la chaleur et la moiteur trahit le plaisir qu’il lui donne.
Lorsqu’il fût au contact de la fine membrane qui protége l’entrée, il cesse la progression pour qu’elle se détende, elle le saisit aux hanches dans un geste d’acceptation totale et puis tout doucement, il appuie pour franchir cette barrière de chair. Dans un petit cri, elle l’enlace et comme il ne bouge plus, craintif, elle l’encourage avec un râle de plaisir.
Alors, il accentue ses mouvements et en quelques va et viens la fait devenir femme, ils gémissent de concert, s’accordant dans cette danse du plaisir. Ses puissants coup de reins les amènent au portes du plaisir sentant sa jouissance monter, il déplie ses grandes ailes, les couvrant à tous deux de poussière dorée et c’est à ce moment là qu’elle atteint le plaisir pour la deuxième fois en sentant sa chaude semence l’inonder au plus profond de son corps. Une nuée de papillons multicolores prend son envol mais bien moins haut que là où se trouvent Yanis et Lilou.
Si vous vous levez, à l’aube, un de ces jours, au moment où le ciel se pare de mille teintes, vous les verrez certainement voletant main dans la main parmi les fleurs, rois des cieux accompagnés de leurs enfants aux couleurs éclatantes ...
Dim 02 Mai 2004, 13:38 par
douce_minette sur Les liaisons sulfureuses
L'amante de Tom
A 16h42, Tom n’avait qu’une seule envie... Ca le taraudait depuis une semaine, mais au lieu d’y succomber, il laissait grandir son désir. D’ordinaire, à la moindre pulsion érotique, il trouvait toujours une copine à appeler ou une prostituée à choisir. C’était selon son humeur. Tantôt amant, tantôt canaille.
Mais là, il avait envie d’exploser. De se sentir crever d’envie, presque à en devenir dingue, et de déguster l’étreinte qu’il aurait pour assouvir son manque. Vingt fois, il avait commencé à se soulager à la main, tant son ventre hurlait à l’attaque. Vingt fois, il avait arrêté en souriant un sage "Plus tard, plus tard".
Tom, c’était pour Thomas, son vrai prénom. Petite frimousse sur un corps honorable, "Tom" adoucissait ses traits assez charismatiques. Un homme à femmes, qu’on appellait avec malice Tom le manchot. Le manchot, ce n’était pas parce qu’il avait perdu un bras, ou qu’il était maladroit. Non. La nature l’avait gratifié d’un pénis fabuleux, que toutes les femmes qui le connaissaient considéraient comme son troisième bras.
Pour se tempérer, Tom passait mentalement en revue l’amante qui lui fallait pour assouvir son formidable désir. Hors de question de choisir une pute, ça gâcherait toute cette semaine d’attente en un coup vite bâclé, mal balancé. Il opta alors pour examiner les maîtresses qu’il affectionnait le plus.
Laure était une superbe femme. Elle posait pour les affiches que l’on voit dans les pharmacies. Les jambes pour la crème amincissante, la poitrine pour des traitements raffermissant, sans compter son ventre qui servait aussi à montrer les stupéfiants résultats du denier truc à la mode pour avoir la silhouette de rêve. Une silhouette de rêve, mais une libido plutôt moyenne. En tout cas, absolument pas adaptée à l’actuel tempérament carnassier de Tom.
Christelle. Mère de famille, en mal de sexe. Toujours avide, à le coller, à le lécher, le manger et l’étreindre. Une insatiable. Probablement mal "entretenue" par son mari, elle se payait de temps en temps des pics de sexe avec Tom, et profitait à fond des peu de moment qu’elle avait avec lui. Quand il partait de chez elle, en général le Dimanche après midi, il était à plat, lessivé, calmé pour au moins deux semaines tant son corps était fatigué et son sexe irrité. Mais Christelle, ce n’était pas une esthète du sexe. Plutôt directe, elle ne jouait pas trop avec l’autre et avait un peu des manières de paysannes finalement. Et lui, là, il avait envie de beauté aussi.
Marie. Ce serait Marie qu’il dégusterai ce soir. Ca lui avait tout d’un coup semblé évident. Evident que ce serait ce soir qu’il mettrai un terme à son attente et évident que ce serait Marie. Ah Marie. Son corps d’ébène n’était pas des plus parfait, mais possédait son charme propre. Des seins pleins, tombant légèrement, un petit ventre qu’elle entretenait par des séries d’abdominaux quotidiens, des belles hanches pleines et enfin des cuisses galbées par ses petits footing réguliers. Une fille qui prend soin d’elle, sans être une bombe.
Mais ce qui était le plus excitant chez elle, c’était la langueur avec laquelle elle s’abandonnait. Elle prenait son temps. Avec elle, les préliminaires duraient des heures. Ca commençait gentiment, en parlant dans la cuisine ou dans la rue. Un petit baiser, une caresse sur son bras. Jamais de geste très directs. Elle posait son regard sur lui, avec une douce sincérité, dans laquelle ne transparaissait jamais l’envie ni la concupiscence. Et pourtant. C’était le début d’une interminable danse de séduction, qui l’entraînait chaque fois au paroxysme, au bord de l’extrême, tout au bord ...
Elle restait belle et sereine, tandis que lui commençait à sentir le diable lui prendre le corps.Et lorsqu’elle s’en rendait compte, elle le regardait en riant chaudement, comme une complice avec laquelle on prend plaisir à partager sans rien dire. Tiraillé entre le désir et la plénitude du moment passé avec elle, il lui abandonnait toujours la conduite de la barque de leurs amours.
Une fois, alors qu’il dégustait du thé glacé sur la terrasse de Marie, il s’était tout d’un coup rendu compte que tout l’après midi passé avec elle n’avait été qu’une lente et hypnotique parade de séduction. Sentir son parfum sucré, apercevoir les bouts de son corps serrés dans son paréo, et parfois les sentir contre lui lorsqu’elle se levait pour chercher derrière son épaule du sucre de canne ou des gâteaux. Tout ceci semblait pourtant si naturel. Aussi naturel que son envie d’elle.
C’est en revenant de sa réflexion qu’il l’avait alors vue le regarder, avec un petit sourire amusé.
- Toi, tu es parti très loin hein ?
- Euh, oui concéda-t-il en riant.
Elle s’était alors levée comme en regardant a l’intérieur d’elle même, contournant la table pour venir à son niveau. Calmement elle avait jeté un regard au noeud de son paréo, puis avait rivé son regard dans le sien, tandis que son paréo tombait par terre dans un feulement discret. La plupart des femmes, comme Christelle, se serait contentée de l’enfourcher sur son fauteuil, et de l’embrasser avec une fougue grandissante. D’autres comme Laure, aurait simplement déboutonné le pantalon de Tom pour l’avaler timidement.
Pas Marie. Marie elle, elle le regarda droit dans les yeux, lui mit la main sous le menton, et dans un baiser doux et pulpeux, elle lui avait murmuré "Viens", l’avait encore une fois regardé avant de se retourner pour s’appuyer contre la table et lui offrir par la même sa croupe généreuse et féline.
Lentement, ils s’étaient aimés. Sans brutalité, ni quête de performance. Dés lors ou il l’avait pénétrée, il n’avait eu de cesse de chercher et maintenir une sorte de contact suave dans l’intimité du corps de Marie. Une lente danse pleine de douceur et de sensualité, mais aussi terriblement impudique. Dans la recherche de ce contact profond, les corps se cambraient pour s’épouser, se courbait pour se retenir, pour s’approfondir.
La terrasse fut leur seul univers pendant ces heures ou ils s’abandonnèrent à l’étreinte. Lorsque vacillants ils entrevoyaient venir le paroxysme, Marie se transformait en véritable lionne, l’entraînant avec fougue dans le mouvement souple et puissant de ces reins. Sa tête roulait dans son dos, sur ses épaules, puis tombait en avant. Ses yeux fermés ne regardaient plus le monde, ils écoutaient plutôt son corps. Dans cette frénésie, alors que l’ultime moment semblait inéluctable, elle ralentissait subitement le rythme, ouvrant ses yeux pétillants sur le visage crispé de Tom. Et lentement, elle revenait à une ondulation souple et sereine de ses hanches, désamorçant en douceur l’explosion qui aurait du se produire dans leurs corps en flamme.
Ce manége commença à l’heure ou l’après-midi décline, et ne cessa qu’une fois la nuit tombée. Sans discontinuer, la fabuleuse maîtresse de Tom alterna ses vagues frénétiques aux moments d’accalmie. Leur quête leur avait fait parcourir toute la terrasse, et leurs corps gardaient les traces des murs et des sols qu’ils avaient rendu complice de leurs ébats. Quand la septième et ultime danse se termina, c’est une Marie épuisée qui chevaucha un Tom complètement défait. Sur le fauteuil de jardin, elle lui imprima de lents mouvements de va et viens, simples, sans chichis. Réglés comme des montres suisses par leurs ébats de l’après midi, ils sentirent tout les deux monter du fonds de leurs ventres un véritable tsunami. En souriant, ils firent face à ce qu’ils voyaient venir, sachant que leur corps éreintés ne supporteraient peut être pas la puissance du plaisir qui s’annonçait.
Dans un choc de titan, leurs corps se courbèrent et se raidirent brutalement, comme transpercé par une décharge électrique foudroyante. Leurs bouches ouvertes démesurément criaient sans laisser sortir aucun son. Marie se mit à pleurer, prenant sa tête dans ses mains, comme atteinte de démence, et Tom, crispé sur les bras du fauteuils de jardin ne pouvait plus faire aucun mouvement tant la frontière entre le plaisir et la douleur était floue.
Tom repensait à cet après-midi. Chaque détail, chaque odeur lui revenait et rendait ses pensées si réalistes que ses mains commençaient déjà à se crisper sur le fauteuil de son bureau. De retour de son excursion dans ses souvenirs, il se détendit, attendit que son coeur retrouve sa contenance et but une grande rasade d’eau minérale à la bouteille.
Il décrocha alors le téléphone, et composa le numéro de Marie.
Mais là, il avait envie d’exploser. De se sentir crever d’envie, presque à en devenir dingue, et de déguster l’étreinte qu’il aurait pour assouvir son manque. Vingt fois, il avait commencé à se soulager à la main, tant son ventre hurlait à l’attaque. Vingt fois, il avait arrêté en souriant un sage "Plus tard, plus tard".
Tom, c’était pour Thomas, son vrai prénom. Petite frimousse sur un corps honorable, "Tom" adoucissait ses traits assez charismatiques. Un homme à femmes, qu’on appellait avec malice Tom le manchot. Le manchot, ce n’était pas parce qu’il avait perdu un bras, ou qu’il était maladroit. Non. La nature l’avait gratifié d’un pénis fabuleux, que toutes les femmes qui le connaissaient considéraient comme son troisième bras.
Pour se tempérer, Tom passait mentalement en revue l’amante qui lui fallait pour assouvir son formidable désir. Hors de question de choisir une pute, ça gâcherait toute cette semaine d’attente en un coup vite bâclé, mal balancé. Il opta alors pour examiner les maîtresses qu’il affectionnait le plus.
Laure était une superbe femme. Elle posait pour les affiches que l’on voit dans les pharmacies. Les jambes pour la crème amincissante, la poitrine pour des traitements raffermissant, sans compter son ventre qui servait aussi à montrer les stupéfiants résultats du denier truc à la mode pour avoir la silhouette de rêve. Une silhouette de rêve, mais une libido plutôt moyenne. En tout cas, absolument pas adaptée à l’actuel tempérament carnassier de Tom.
Christelle. Mère de famille, en mal de sexe. Toujours avide, à le coller, à le lécher, le manger et l’étreindre. Une insatiable. Probablement mal "entretenue" par son mari, elle se payait de temps en temps des pics de sexe avec Tom, et profitait à fond des peu de moment qu’elle avait avec lui. Quand il partait de chez elle, en général le Dimanche après midi, il était à plat, lessivé, calmé pour au moins deux semaines tant son corps était fatigué et son sexe irrité. Mais Christelle, ce n’était pas une esthète du sexe. Plutôt directe, elle ne jouait pas trop avec l’autre et avait un peu des manières de paysannes finalement. Et lui, là, il avait envie de beauté aussi.
Marie. Ce serait Marie qu’il dégusterai ce soir. Ca lui avait tout d’un coup semblé évident. Evident que ce serait ce soir qu’il mettrai un terme à son attente et évident que ce serait Marie. Ah Marie. Son corps d’ébène n’était pas des plus parfait, mais possédait son charme propre. Des seins pleins, tombant légèrement, un petit ventre qu’elle entretenait par des séries d’abdominaux quotidiens, des belles hanches pleines et enfin des cuisses galbées par ses petits footing réguliers. Une fille qui prend soin d’elle, sans être une bombe.
Mais ce qui était le plus excitant chez elle, c’était la langueur avec laquelle elle s’abandonnait. Elle prenait son temps. Avec elle, les préliminaires duraient des heures. Ca commençait gentiment, en parlant dans la cuisine ou dans la rue. Un petit baiser, une caresse sur son bras. Jamais de geste très directs. Elle posait son regard sur lui, avec une douce sincérité, dans laquelle ne transparaissait jamais l’envie ni la concupiscence. Et pourtant. C’était le début d’une interminable danse de séduction, qui l’entraînait chaque fois au paroxysme, au bord de l’extrême, tout au bord ...
Elle restait belle et sereine, tandis que lui commençait à sentir le diable lui prendre le corps.Et lorsqu’elle s’en rendait compte, elle le regardait en riant chaudement, comme une complice avec laquelle on prend plaisir à partager sans rien dire. Tiraillé entre le désir et la plénitude du moment passé avec elle, il lui abandonnait toujours la conduite de la barque de leurs amours.
Une fois, alors qu’il dégustait du thé glacé sur la terrasse de Marie, il s’était tout d’un coup rendu compte que tout l’après midi passé avec elle n’avait été qu’une lente et hypnotique parade de séduction. Sentir son parfum sucré, apercevoir les bouts de son corps serrés dans son paréo, et parfois les sentir contre lui lorsqu’elle se levait pour chercher derrière son épaule du sucre de canne ou des gâteaux. Tout ceci semblait pourtant si naturel. Aussi naturel que son envie d’elle.
C’est en revenant de sa réflexion qu’il l’avait alors vue le regarder, avec un petit sourire amusé.
- Toi, tu es parti très loin hein ?
- Euh, oui concéda-t-il en riant.
Elle s’était alors levée comme en regardant a l’intérieur d’elle même, contournant la table pour venir à son niveau. Calmement elle avait jeté un regard au noeud de son paréo, puis avait rivé son regard dans le sien, tandis que son paréo tombait par terre dans un feulement discret. La plupart des femmes, comme Christelle, se serait contentée de l’enfourcher sur son fauteuil, et de l’embrasser avec une fougue grandissante. D’autres comme Laure, aurait simplement déboutonné le pantalon de Tom pour l’avaler timidement.
Pas Marie. Marie elle, elle le regarda droit dans les yeux, lui mit la main sous le menton, et dans un baiser doux et pulpeux, elle lui avait murmuré "Viens", l’avait encore une fois regardé avant de se retourner pour s’appuyer contre la table et lui offrir par la même sa croupe généreuse et féline.
Lentement, ils s’étaient aimés. Sans brutalité, ni quête de performance. Dés lors ou il l’avait pénétrée, il n’avait eu de cesse de chercher et maintenir une sorte de contact suave dans l’intimité du corps de Marie. Une lente danse pleine de douceur et de sensualité, mais aussi terriblement impudique. Dans la recherche de ce contact profond, les corps se cambraient pour s’épouser, se courbait pour se retenir, pour s’approfondir.
La terrasse fut leur seul univers pendant ces heures ou ils s’abandonnèrent à l’étreinte. Lorsque vacillants ils entrevoyaient venir le paroxysme, Marie se transformait en véritable lionne, l’entraînant avec fougue dans le mouvement souple et puissant de ces reins. Sa tête roulait dans son dos, sur ses épaules, puis tombait en avant. Ses yeux fermés ne regardaient plus le monde, ils écoutaient plutôt son corps. Dans cette frénésie, alors que l’ultime moment semblait inéluctable, elle ralentissait subitement le rythme, ouvrant ses yeux pétillants sur le visage crispé de Tom. Et lentement, elle revenait à une ondulation souple et sereine de ses hanches, désamorçant en douceur l’explosion qui aurait du se produire dans leurs corps en flamme.
Ce manége commença à l’heure ou l’après-midi décline, et ne cessa qu’une fois la nuit tombée. Sans discontinuer, la fabuleuse maîtresse de Tom alterna ses vagues frénétiques aux moments d’accalmie. Leur quête leur avait fait parcourir toute la terrasse, et leurs corps gardaient les traces des murs et des sols qu’ils avaient rendu complice de leurs ébats. Quand la septième et ultime danse se termina, c’est une Marie épuisée qui chevaucha un Tom complètement défait. Sur le fauteuil de jardin, elle lui imprima de lents mouvements de va et viens, simples, sans chichis. Réglés comme des montres suisses par leurs ébats de l’après midi, ils sentirent tout les deux monter du fonds de leurs ventres un véritable tsunami. En souriant, ils firent face à ce qu’ils voyaient venir, sachant que leur corps éreintés ne supporteraient peut être pas la puissance du plaisir qui s’annonçait.
Dans un choc de titan, leurs corps se courbèrent et se raidirent brutalement, comme transpercé par une décharge électrique foudroyante. Leurs bouches ouvertes démesurément criaient sans laisser sortir aucun son. Marie se mit à pleurer, prenant sa tête dans ses mains, comme atteinte de démence, et Tom, crispé sur les bras du fauteuils de jardin ne pouvait plus faire aucun mouvement tant la frontière entre le plaisir et la douleur était floue.
Tom repensait à cet après-midi. Chaque détail, chaque odeur lui revenait et rendait ses pensées si réalistes que ses mains commençaient déjà à se crisper sur le fauteuil de son bureau. De retour de son excursion dans ses souvenirs, il se détendit, attendit que son coeur retrouve sa contenance et but une grande rasade d’eau minérale à la bouteille.
Il décrocha alors le téléphone, et composa le numéro de Marie.
Lun 05 Avril 2004, 08:40 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Une douce torture...
Figé, dans l’encadrement de la porte de la cuisine, je te regarde. Tes formes sont si subtiles, et tu es si sexy dans ce chemisier blanc et ce pantalon moulant noir. Beni soit le sixième jour où Dieu créa la femme...
Dans ma tête trottent diverses idées liées à mon devoir conjugal tandis que tu t’affaires à la vaisselle. Je m’approche silencieusement de toi et dépose mes mains sur tes hanches.
Le clapotis de l’eau s’arrête tandis que tu me découvres ton cou afin que mes lèvres s’y affairent. Mes mains glissent le long de tes hanches et se faufilent peu à peu sous ton pantalon, glissant le long de ta taille, légèrement, volant sur ta peau satinée. Ma main droite quitte ta taille pour ta poitrine, elle vient tâter tes seins, les exciter sous le soutien gorge, je peux sentir les pointes se redresser tandis que ma main droite s’approche de ton aine.
Avec deux doigts, j’ôte le bouton de ton pantalon qui m’empêche de glisser plus avant, l’étreinte se desserre alors et ma main glisse sur ton string en dentelle, effleurant ton sexe à travers ce léger tissu. Cette délicate caresse de mes doigts sur ton sexe te fait pencher la tête en arrière, sur mon épaule et mes lèvres s’aventurent alors un peu plus sur ton cou, presque à hauteur de ton décolleté.
Ton pantalon glisse alors de lui-même le long de tes jambes affinées.
Tu retires tes mains du bac vaisselle pour te joindre à mes caresses mais je t’en empêche. Ce serait trop facile, laisse-moi m’occuper de toi, je t’interdis de faire quoi que ce soit pour le moment... ma main se fraie un chemin, sous cette dentelle excitante, vers cet endroit qui te donnera tant de plaisirs... Tu me mordilles le lobe de l’oreille, insufflant en moi des ardeurs nouvelles, tes fesses se frottent contre mon bassin, mon sexe se tend dangereusement. Méthodiquement, lentement, subrepticement, je glisse un doigt en toi.
Tu pousses un petit gémissement, tente encore une fois d’ôter tes mains de l’évier mais je te susurre à l oreille de ne pas bouger. Tu te résignes alors à endurer cette "souffrance". Mon doigt en toi te donne du plaisir, explore ton intimité en enivrant tes seins, et mon autre main déboutonne mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. De mon caleçon se tend et sort alors mon sexe que je fais glisser le long de tes fesses, t’effleurant de plus en plus dangereusement.
Tu écartes tes jambes et te penches en arrière, tandis que d’une main tu t’accroches au rebord de l’évier, ton autre lubrifiée d’eau attrape mon sexe et le glisse en toi en un rale de plaisir....
Et c’est sur cette scène que la porte se referme, le reste étant interdit aux âmes tendres et réservé à moi et à ma femme...
A celle qui réveille et émerveille mes fantasmes les plus fous
Dans ma tête trottent diverses idées liées à mon devoir conjugal tandis que tu t’affaires à la vaisselle. Je m’approche silencieusement de toi et dépose mes mains sur tes hanches.
Le clapotis de l’eau s’arrête tandis que tu me découvres ton cou afin que mes lèvres s’y affairent. Mes mains glissent le long de tes hanches et se faufilent peu à peu sous ton pantalon, glissant le long de ta taille, légèrement, volant sur ta peau satinée. Ma main droite quitte ta taille pour ta poitrine, elle vient tâter tes seins, les exciter sous le soutien gorge, je peux sentir les pointes se redresser tandis que ma main droite s’approche de ton aine.
Avec deux doigts, j’ôte le bouton de ton pantalon qui m’empêche de glisser plus avant, l’étreinte se desserre alors et ma main glisse sur ton string en dentelle, effleurant ton sexe à travers ce léger tissu. Cette délicate caresse de mes doigts sur ton sexe te fait pencher la tête en arrière, sur mon épaule et mes lèvres s’aventurent alors un peu plus sur ton cou, presque à hauteur de ton décolleté.
Ton pantalon glisse alors de lui-même le long de tes jambes affinées.
Tu retires tes mains du bac vaisselle pour te joindre à mes caresses mais je t’en empêche. Ce serait trop facile, laisse-moi m’occuper de toi, je t’interdis de faire quoi que ce soit pour le moment... ma main se fraie un chemin, sous cette dentelle excitante, vers cet endroit qui te donnera tant de plaisirs... Tu me mordilles le lobe de l’oreille, insufflant en moi des ardeurs nouvelles, tes fesses se frottent contre mon bassin, mon sexe se tend dangereusement. Méthodiquement, lentement, subrepticement, je glisse un doigt en toi.
Tu pousses un petit gémissement, tente encore une fois d’ôter tes mains de l’évier mais je te susurre à l oreille de ne pas bouger. Tu te résignes alors à endurer cette "souffrance". Mon doigt en toi te donne du plaisir, explore ton intimité en enivrant tes seins, et mon autre main déboutonne mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. De mon caleçon se tend et sort alors mon sexe que je fais glisser le long de tes fesses, t’effleurant de plus en plus dangereusement.
Tu écartes tes jambes et te penches en arrière, tandis que d’une main tu t’accroches au rebord de l’évier, ton autre lubrifiée d’eau attrape mon sexe et le glisse en toi en un rale de plaisir....
Et c’est sur cette scène que la porte se referme, le reste étant interdit aux âmes tendres et réservé à moi et à ma femme...
A celle qui réveille et émerveille mes fantasmes les plus fous
Ven 19 Mars 2004, 13:03 par
ane_onym sur Les liaisons sulfureuses
Encore et encore...
Elle imagine ses mains glissant
Tremblantes sur ses hanches
Parcourant sa peau
Lui procurant tant
Et tant de jouissances
Il te fera gémir
Ne sois pas avare de tes soupirs
Donne-toi sans compter
Elle est prete à l’accueillir
Docile et impatiente
On peut les voir se chercher
Une fois, deux fois ou cinquante
Criant, gémissant ou se cambrant
Elle meurt sous ses caresses
Une fois, deux fois ou cinquante
Reprends là, ne t’arrete pas!
Tremblantes sur ses hanches
Parcourant sa peau
Lui procurant tant
Et tant de jouissances
Il te fera gémir
Ne sois pas avare de tes soupirs
Donne-toi sans compter
Elle est prete à l’accueillir
Docile et impatiente
On peut les voir se chercher
Une fois, deux fois ou cinquante
Criant, gémissant ou se cambrant
Elle meurt sous ses caresses
Une fois, deux fois ou cinquante
Reprends là, ne t’arrete pas!
Ven 05 Mars 2004, 13:30 par
la marquise de sade sur La séduction
Pizzeria La Roma, bonsoir! ... suite
Je suivis donc mon bel italien, non sans jeter un regard à la tablée de mes amis. Ceux-ci déjà blaguaient et riaient de cette situation, surtout de celle de me voir partir ainsi suivant celui qui, ils avaient déjà compris, m’avait charmée.
D’un haussement d’épaule, je leur envoyai alors un baiser de connivence et suivi mon hidalgo.
Où donc m’emmenait-il d’un pas si pressé ?
Nous arrivâmes dans les cuisines, tout y était bien rangé, propre et calme, les lumières étaient presque toutes éteintes. Une fois devant l’évier, il s’arrêta, de son regard enjôleur il me regarda, ce même regard qui descendit sur ma jupe, il me dit :
- Il n’y a pas trente six solutions ?
- C’est la machine assurément qui résoudra au mieux le problème.
- Enlève ta jupe, je vais la passer sous l’eau très chaude, sans la tremper complètement pour que tu puisses la remettre.
Sans donner l’impression d’être surprise, je descendis la fermeture éclair qui maintenait ma jupe sur mes hanches et laissais glisser le bout de tissu le long de mes jambes nues.
De ses yeux il suivit tout le cheminement de celle-ci. Je me retrouvais ainsi, presque nu au bout milieu de la cuisine, avec mon seul string dernier rempart de ma féminité.
Il se baissa, la ramassa, et soigneusement passa un jet d’eau qui semblait très chaud sur la tâche qui semblait partir. Il la déposa sur le bord de l’évier en aluminium, se retourna, me toisa de haut en bas, me pris par la main et m’emmena vers une porte au fond de la cuisine. Sans hésitation, sans crainte je le suivis, trop curieuse et impatiente de ce qui pourrait alors suivre.
Derrière la porte se trouvait un espèce de cagibi réserve alimentaire. Il éclaira la pièce, et me fit rentrer.
D’un geste doux il s’est alors collé à moi, et ses mains vinrent alors visiter mon corps. Je ne pouvais faire autrement que sentir son envie sur mon ventre, son sexe était dur et j’aimais sentir l’envie que je pouvais générer alors.
Il prit mes poignets dans ses mains, désireux semblait-il de vouloir garder la maîtrise de la situation, les dirigea au dessus de ma tête. Il embrassa mon cou, me lécha les oreilles, revint vers ma bouche pour me caresser de ses lèvres, de sa langue puis m’embrassa d’un baiser langoureux. M’étant laissée aller au plaisir de ces caresses buccales, j’avais fermé mes yeux que je rouvris pour constater que ses yeux ne perdaient rien du plaisir qui montait en moi. Une de ses mains descendit alors de mon poignet, sur ma poitrine au travers du tissu de ma chemise, sur mon ventre, sur ma fleur encore cachée. Entre mes jambes sa main vint se glisser, légère, effleurant à peine mon string, ce fut délicieux de recevoir ses gestes sans précipitation, de tendresse et de sensualité, je brûlais déjà au-dedans de mon ventre et je pouvais sentir mon sexe se libérer de sa sève d’excitation. Un doigt s’égara légèrement sous le tissu, ses yeux toujours dans mes yeux il avait l’air d’épier chacune de mes réactions, les sensations que je pouvais ressentir sous ses caresses. Ce doigt m’électrisa, doucement il l’appliqua sur ma vulve, la caressa, puis l’ôta pour le porter à sa bouche et le lécha, nos regards ne se lâchaient pas comme si en cet instant nous n’étions déjà plus qu’un, son plaisir devenait déjà mien et le mien sien. Il s’empara de ma bouche non sans s’être collé suffisamment à moi pour me faire ressentir à nouveau son excitation, s’écarta et amena une de mes mains sur son sexe. Tout en la tenant il me fit le caresser, toujours avec autant de douceur, je le vis se raidir de tout son corps, sentir son sexe tressauter sous cette caresse qu’il dirigeait pourtant. Il me lâcha et me dit :
- On y retourne ?
Bien qu’abasourdie de cette réaction si directe, je lui répondis «oui» .
Nous avons alors récupéré ma jupe, il ferma lui-même la fermeture dans mon dos, pour finir d’une caresse sur mes fesses et nous retournâmes dans la salle rejoindre la table de mes amis.
Il me laissa m’asseoir et repris, à mon bout de table la même place que celle de l’apéritif, mais cette fois ci plus directement, il vint coller sa jambe à la mienne et glisser sa main sur ma cuisse juste sous le tissu de ma jupe.
…
D’un haussement d’épaule, je leur envoyai alors un baiser de connivence et suivi mon hidalgo.
Où donc m’emmenait-il d’un pas si pressé ?
Nous arrivâmes dans les cuisines, tout y était bien rangé, propre et calme, les lumières étaient presque toutes éteintes. Une fois devant l’évier, il s’arrêta, de son regard enjôleur il me regarda, ce même regard qui descendit sur ma jupe, il me dit :
- Il n’y a pas trente six solutions ?
- C’est la machine assurément qui résoudra au mieux le problème.
- Enlève ta jupe, je vais la passer sous l’eau très chaude, sans la tremper complètement pour que tu puisses la remettre.
Sans donner l’impression d’être surprise, je descendis la fermeture éclair qui maintenait ma jupe sur mes hanches et laissais glisser le bout de tissu le long de mes jambes nues.
De ses yeux il suivit tout le cheminement de celle-ci. Je me retrouvais ainsi, presque nu au bout milieu de la cuisine, avec mon seul string dernier rempart de ma féminité.
Il se baissa, la ramassa, et soigneusement passa un jet d’eau qui semblait très chaud sur la tâche qui semblait partir. Il la déposa sur le bord de l’évier en aluminium, se retourna, me toisa de haut en bas, me pris par la main et m’emmena vers une porte au fond de la cuisine. Sans hésitation, sans crainte je le suivis, trop curieuse et impatiente de ce qui pourrait alors suivre.
Derrière la porte se trouvait un espèce de cagibi réserve alimentaire. Il éclaira la pièce, et me fit rentrer.
D’un geste doux il s’est alors collé à moi, et ses mains vinrent alors visiter mon corps. Je ne pouvais faire autrement que sentir son envie sur mon ventre, son sexe était dur et j’aimais sentir l’envie que je pouvais générer alors.
Il prit mes poignets dans ses mains, désireux semblait-il de vouloir garder la maîtrise de la situation, les dirigea au dessus de ma tête. Il embrassa mon cou, me lécha les oreilles, revint vers ma bouche pour me caresser de ses lèvres, de sa langue puis m’embrassa d’un baiser langoureux. M’étant laissée aller au plaisir de ces caresses buccales, j’avais fermé mes yeux que je rouvris pour constater que ses yeux ne perdaient rien du plaisir qui montait en moi. Une de ses mains descendit alors de mon poignet, sur ma poitrine au travers du tissu de ma chemise, sur mon ventre, sur ma fleur encore cachée. Entre mes jambes sa main vint se glisser, légère, effleurant à peine mon string, ce fut délicieux de recevoir ses gestes sans précipitation, de tendresse et de sensualité, je brûlais déjà au-dedans de mon ventre et je pouvais sentir mon sexe se libérer de sa sève d’excitation. Un doigt s’égara légèrement sous le tissu, ses yeux toujours dans mes yeux il avait l’air d’épier chacune de mes réactions, les sensations que je pouvais ressentir sous ses caresses. Ce doigt m’électrisa, doucement il l’appliqua sur ma vulve, la caressa, puis l’ôta pour le porter à sa bouche et le lécha, nos regards ne se lâchaient pas comme si en cet instant nous n’étions déjà plus qu’un, son plaisir devenait déjà mien et le mien sien. Il s’empara de ma bouche non sans s’être collé suffisamment à moi pour me faire ressentir à nouveau son excitation, s’écarta et amena une de mes mains sur son sexe. Tout en la tenant il me fit le caresser, toujours avec autant de douceur, je le vis se raidir de tout son corps, sentir son sexe tressauter sous cette caresse qu’il dirigeait pourtant. Il me lâcha et me dit :
- On y retourne ?
Bien qu’abasourdie de cette réaction si directe, je lui répondis «oui» .
Nous avons alors récupéré ma jupe, il ferma lui-même la fermeture dans mon dos, pour finir d’une caresse sur mes fesses et nous retournâmes dans la salle rejoindre la table de mes amis.
Il me laissa m’asseoir et repris, à mon bout de table la même place que celle de l’apéritif, mais cette fois ci plus directement, il vint coller sa jambe à la mienne et glisser sa main sur ma cuisse juste sous le tissu de ma jupe.
…
Sam 24 Jan 2004, 03:15 par
Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur hanches
Mélodie d'amour, Non..., Tu me plais, Un sourire, Manon, L'inconnue à la robe verte, Le bal des muses, Moment d'infinité, Flash !, Encore!, Voyage au pays des elfes, L'amante de Tom, Une douce torture..., Encore et encore..., Pizzeria La Roma, bonsoir! ... suite,Il y a 81 textes utilisant le mot hanches. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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