Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur finalement - Page 2 sur 10
Hiver...
Emmitouflé dans son manteau blanc,
Fait de neige, brouillard et verglas
Il nous fait comprendre qu’il est bien là.............
Nos pas qui craquent sur la glace fine
Nos lèvres qui deviennent violettes de froid
Nos batailles à coups de boules de neige
Qui nous réchauffent nous tenant en haleine
Et toi, le port et la grâce d’une reine
Toujours prête à nous faire rire
Pour qu’on n’aie pas trop à souffrir
De ce froid qui nous transperce le corps,
Malgré nos "petites laines" épaisses
Et cette neige dont on déplace des tonnes
Pour ériger et sculpter des bonhommes
Et nos gants ne seront pas épargnés
De se retrouver finalement "trempés"
Et qui nous font apprécier la douce chaleur
D’un bon petit feu de cheminée
Dans la convivialité.
Hiver éphémère,
Dont il faut en profiter...
Ven 10 Fév 2012, 21:51 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Prisonnière
Je regarde toujours ailleurs, le nez collé à la vitre, le seul endroit qui permet de rêver dans ce monde qui me paraît être une prison. Même si le rêve s’écrase contre les murs froids et hostères. Un rêve avorté, emprunt d’un saisissable non-sens.
C’est absurde toute cette comédie, je ne supporte plus, je ne peux plus paraître heureuse, lorsque d’autres visages obsèrevent le mien.
Mes larmes sont du sang qui coule, traçant de grandes traînées rouges sur mes joues. Mon passé me mange, il me dévore, il veut me tuer, je vous en supplie, il n’y a plus d’espoir, comment pourrais-je vous montrer ces horreurs qui me tuent, comment pourrais-je vous dire que je n’ai plus la force, pour voir du bien en ce monde. Comment vous dire la terreur qui m’habite chaque jour, chaque nuit, chaque seconde.
Parce que la certitude d’une mort proche ne me quitte jamais. Je m’imagine pendue à chaque arbre, noyée dans chaque lac. Et lorsque je lève les yeux au ciel, je me vois sauter du haut de ces HLM.
Des pensées qui surgissent de l’enfer pour disparaître aussitôt. Elles te rappellent souvent, en 1 millième de seconde, que tu ne guériras pas, jamais.
Pour ne plus voir, je fermes les yeux, mais ce noir m’effraye, Il rejoint la mort, Il est sa complice ! Jamais je ne retrouverais le repos, finalement je suis déjà morte, il n’y a pas de Dieu ni d’Enfer, seule reste la solitude.
Mes yeux brûlent, mon dieu, tant de tristesse, ma tête vibre, mon regard qui traverse tout ce qu’il peut atteindre le rend vide, ideux...
La suite sur http://cms.reverence.webnode.fr/[/url]
C’est absurde toute cette comédie, je ne supporte plus, je ne peux plus paraître heureuse, lorsque d’autres visages obsèrevent le mien.
Mes larmes sont du sang qui coule, traçant de grandes traînées rouges sur mes joues. Mon passé me mange, il me dévore, il veut me tuer, je vous en supplie, il n’y a plus d’espoir, comment pourrais-je vous montrer ces horreurs qui me tuent, comment pourrais-je vous dire que je n’ai plus la force, pour voir du bien en ce monde. Comment vous dire la terreur qui m’habite chaque jour, chaque nuit, chaque seconde.
Parce que la certitude d’une mort proche ne me quitte jamais. Je m’imagine pendue à chaque arbre, noyée dans chaque lac. Et lorsque je lève les yeux au ciel, je me vois sauter du haut de ces HLM.
Des pensées qui surgissent de l’enfer pour disparaître aussitôt. Elles te rappellent souvent, en 1 millième de seconde, que tu ne guériras pas, jamais.
Pour ne plus voir, je fermes les yeux, mais ce noir m’effraye, Il rejoint la mort, Il est sa complice ! Jamais je ne retrouverais le repos, finalement je suis déjà morte, il n’y a pas de Dieu ni d’Enfer, seule reste la solitude.
Mes yeux brûlent, mon dieu, tant de tristesse, ma tête vibre, mon regard qui traverse tout ce qu’il peut atteindre le rend vide, ideux...
La suite sur http://cms.reverence.webnode.fr/[/url]
L'attention
Je n’ai pas besoin de grandes démonstrations de passion
Je n’ai pas besoin de grands élans d’émotion
J’ai juste besoin d’un peu d’attention
Car j’ai tant besoin de ta tendresse,
Une main, un doigt sur mon visage,
Comme un bonjour, une caresse,
Comme une invite, un message
Des bras qui m’encerclent tendrement la taille
Des "bisous spontanés" au creux du cou
Des petits riens qui font finalement tout.
Des petits gestes qui me font sentir que, pour toi, j’existe
M’accueillir avec un beau sourire quand je rentre
Me prendre affectueusement dans tes bras
Juste parce que la journée t’aura semblé longue
Juste parce que je t’aurai manqué tellement
Et que tu m’embrasses fougueusement
Tant tu serais content de me retrouver
Et je verrai tes yeux pétiller de joie
De ce regard qui me couve et qui signifie
Que tu as encore et toujours envie de moi
Que tu es encore et toujours amoureux
Qu’il reste encore de ce tendre émoi
De ce désir, de cette appétence de moi
De cette ardeur à se retrouver tous les deux
Rien que toi et moi pour de moments enrichissants
Des touts petits moments pleins de complicité
Petits instants d’éternité
Ces tout petits mots que tu trouves idiots,
Mais que tu aimes car ils te font sourire, malgré tout.
Ces simples mots que tu ne dis plus
Une envie tout simplement d’avoir un peu d’attention
Qui révèle beaucoup de passion....
Lun 23 Jan 2012, 20:49 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Le ruban (duo caressedesyeux/inconnu)
Il glisse en épousant harmonieusement ses courbes
Descend lentement de l’épaule entre les seins
Se colle au ventre et d’un mouvement superbe
Amoureusement enroulé tel un serpentin
Il se fait douce caresse sur sa belle hanche
Et embrasse de toute l’étendue de sa surface
Cette merveilleuse et adorée peau si blanche
Oh, qu’est-ce que j’aimerai être à sa place
Ruban de laine, ruban de satin, ruban de soie
Suscitant, sur son parcours, l’amour, le désir et l’émoi
Longue pièce de tissu s’accrochant aux gouttes de sueur
Flânant délicatement sur le grain de la peau
Comptant, méthodique, chaque tâche de rousseur
Le ruban esquisse de son corps le tableau
Et glisse sur celui-ci léger et vaporeux
Tel un nuage sillonnant les cieux...
Son périple dans ce sublime décor enchanteur
Qui n’a désormais plus rien à cacher à nos yeux
Révèle au regard ébloui l’ineffable splendeur
De son corps dénudé, spectacle merveilleux
À l’indéniable beauté subliminale
Que ma mémoire gardera dans ses annales
Mais bien qu’on s’efforce, par tous les moyens, de le défaire
Le joli nœud malgré tout résiste et se retrouve finalement par terre
Descend lentement de l’épaule entre les seins
Se colle au ventre et d’un mouvement superbe
Amoureusement enroulé tel un serpentin
Il se fait douce caresse sur sa belle hanche
Et embrasse de toute l’étendue de sa surface
Cette merveilleuse et adorée peau si blanche
Oh, qu’est-ce que j’aimerai être à sa place
Ruban de laine, ruban de satin, ruban de soie
Suscitant, sur son parcours, l’amour, le désir et l’émoi
Longue pièce de tissu s’accrochant aux gouttes de sueur
Flânant délicatement sur le grain de la peau
Comptant, méthodique, chaque tâche de rousseur
Le ruban esquisse de son corps le tableau
Et glisse sur celui-ci léger et vaporeux
Tel un nuage sillonnant les cieux...
Son périple dans ce sublime décor enchanteur
Qui n’a désormais plus rien à cacher à nos yeux
Révèle au regard ébloui l’ineffable splendeur
De son corps dénudé, spectacle merveilleux
À l’indéniable beauté subliminale
Que ma mémoire gardera dans ses annales
Mais bien qu’on s’efforce, par tous les moyens, de le défaire
Le joli nœud malgré tout résiste et se retrouve finalement par terre
Sam 14 Jan 2012, 21:17 par
caressedesyeux sur Mille choses
Le rendez vous au restaurant
Tu es enfin là !
Mon Dieu quel émoi !
J’ai cru que tu n’arriverais jamais !
Que tu avais eu un empêchement...
Ou que ton train avait déraillé
J’attends cet instant depuis si longtemps...
Que j’ai pensé que mon cœur allait exploser
Mais laissons s’exprimer nos émotions, mon amour,
Que ces expressions s’étalent au grand jour
Pour nous chuchoter ces mots tendres
Qui sont restés suspendus à nos lèvres
Depuis trop longtemps scellées
De peur de les prononcer
Ces paroles qui sont finalement si belles
Tellement émouvantes et sincères
Que mon cœur chante d’allégresse
Tu tends ta main la première,
Et mes doigts effleurent ta paume
Je sens nos cœurs qui palpitent
Je plonge mes yeux dans les tiens
Dans ce beau regard si pétillant...
Tu es sublime,
Et je me sens si beau avec toi.
Si grand, si fort, si fier
Toutes mes pudeurs sont au placard
Je pourrais défier la terre entière
J’avoue et ose enfin le dire ce mot
Que je n’ai pas prononcé depuis si longtemps
Et je sais qu’au fond de ton cœur,
Tu n’as plus peur de le dire, toi aussi.
Ma belle-aimée, allons nous aimer encore.
Mon Dieu quel émoi !
J’ai cru que tu n’arriverais jamais !
Que tu avais eu un empêchement...
Ou que ton train avait déraillé
J’attends cet instant depuis si longtemps...
Que j’ai pensé que mon cœur allait exploser
Mais laissons s’exprimer nos émotions, mon amour,
Que ces expressions s’étalent au grand jour
Pour nous chuchoter ces mots tendres
Qui sont restés suspendus à nos lèvres
Depuis trop longtemps scellées
De peur de les prononcer
Ces paroles qui sont finalement si belles
Tellement émouvantes et sincères
Que mon cœur chante d’allégresse
Tu tends ta main la première,
Et mes doigts effleurent ta paume
Je sens nos cœurs qui palpitent
Je plonge mes yeux dans les tiens
Dans ce beau regard si pétillant...
Tu es sublime,
Et je me sens si beau avec toi.
Si grand, si fort, si fier
Toutes mes pudeurs sont au placard
Je pourrais défier la terre entière
J’avoue et ose enfin le dire ce mot
Que je n’ai pas prononcé depuis si longtemps
Et je sais qu’au fond de ton cœur,
Tu n’as plus peur de le dire, toi aussi.
Ma belle-aimée, allons nous aimer encore.
Jeu 08 Déc 2011, 13:33 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Dans la retenue...
Il fait beau,
Nous allons nous balader
Elle prend ma main dans la sienne
J’en avais perdu l’habitude.
Je me retiens...
Mais qu’est ce que je me sens bien.
On s’arrête pour boire un verre
À la terrasse d’un coquet café
Elle me dévore des yeux
Je me sens heureux.
Elle prend ma main,
La pose sur la table
Me caresse le poignet
Et je me retiens...
Pourtant je me sens bien
J’en avais perdu l’habitude.
Promenade dans quelques boutiques
Elle se penche,
M’embrasse en pleine bouche
Devant la foule
Et je me retiens...
J’en ai perdu l’habitude.
Mais j’avoue que j’aime cela.
Les heures défilent trop vite.
Vingt heures, l’heure de se retrouver pour un dîner
Je suis bien accompagné :
Sous la table, elle joue avec son pied
Remonte doucement le long de ma jambe
Et je me retiens...
Je sens en moi monter le désir,
J’y prends même du plaisir.
Elle me fait languir.
Je me retiens...
Partie de bowling
Suivie, d’un billard
Je me concentre.
Elle arrive doucement derrière moi
Se colle et m’embrasse dans le cou
Et je me retiens...
Met ses bras autour de ma taille
Me déconcentre.
Je viens de perdre
Mais finalement j’aime ce qu’elle fait...
Sous la douche, elle me rejoint
Elle anticipe, en posant au creux de ses mains
Un gel parfumé au jasmin
Caresse et remonte jusqu’au cou
Je me retiens...
Sur le lit, elle malaxe ma peau,
Masse mon dos
Et je me sens bien...
Elle me câline,
Me donne de la tendresse
Peau contre peau
Et je ne me retiens... plus
Elle est belle,
Sublime
J’en suis fou,
une ensorceleuse,
Un aphrodisiaque
J’en deviens insomniaque...
Elle est mon ange,
Mon paradis,
Un soleil pour le reste de ma vie...
Sam 22 Oct 2011, 18:45 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Partir
[size=18
Tu as laissé les clefs du bonheur t’échapper
Quelque part entre aujourd’hui et le passé
Car tu en avais marre de ce genre de vie-là
C’est pourtant l’existence que tu avais choisie.
Tu supportais, te laissant doucement vieillir
Puis, un jour, tu es partie sans rien dire
En laissant derrière toi tant de bons souvenirs
Dans ce passé qui t’a tant fait souffrir.
Discrètement, sans faire de bruit
Imaginer que les tiens s’en douteraient
Mais le mal était déjà fait.
Et tu étouffais de ne pas te sentir suffisamment aimée
De montrer que tu étais capable d’être ce que tu étais
Alors qu’on était toujours à te sous estimer....
Attendre ces mots qui ne venaient jamais
Et dont tu cachais la déception en silence
De porter sur tes épaules solides.
Et en même temps si fragiles
Le poids de ces hommes
Qui avaient besoin de réconfort.
Fatiguée de te montrer toujours souriante et forte.........
Alors que tu rêvais de bras puissants
Où tu pourrais enfin te reposer.
Mais tu ne les as pas encore trouvés
Alors, finalement, à bout d’espoir
Tu es partie pour toujours.....[/size]
Tu as laissé les clefs du bonheur t’échapper
Quelque part entre aujourd’hui et le passé
Car tu en avais marre de ce genre de vie-là
C’est pourtant l’existence que tu avais choisie.
Tu supportais, te laissant doucement vieillir
Puis, un jour, tu es partie sans rien dire
En laissant derrière toi tant de bons souvenirs
Dans ce passé qui t’a tant fait souffrir.
Discrètement, sans faire de bruit
Imaginer que les tiens s’en douteraient
Mais le mal était déjà fait.
Et tu étouffais de ne pas te sentir suffisamment aimée
De montrer que tu étais capable d’être ce que tu étais
Alors qu’on était toujours à te sous estimer....
Attendre ces mots qui ne venaient jamais
Et dont tu cachais la déception en silence
De porter sur tes épaules solides.
Et en même temps si fragiles
Le poids de ces hommes
Qui avaient besoin de réconfort.
Fatiguée de te montrer toujours souriante et forte.........
Alors que tu rêvais de bras puissants
Où tu pourrais enfin te reposer.
Mais tu ne les as pas encore trouvés
Alors, finalement, à bout d’espoir
Tu es partie pour toujours.....[/size]
Sam 17 Sep 2011, 13:51 par
caressedesyeux sur Mille choses
Charlotte et les fraises
Comme tous les matins, Charlotte se lève, en sachant déjà que des fraises l’attendent. Elle ne se pose même plus la question de savoir qui met un bol sur le palier devant sa porte. Elle ouvre rapidement celle-ci, jette un coup d’œil à droite, puis à gauche et se dépêche de prendre le petit récipient tout en refermant la porte à double tour.
Elle vient vite s’assoir à la cuisine de peur que l’on ne lui vole, saupoudre légèrement de sucre cannelle et d’une touche de chantilly...
Tout en les dégustant, elle en arrive tout de même à se poser la question car Charlotte est curieuse. Et cela commence à l’intriguer sérieusement, même si généralement, elle ne se prend pas la tête.
Mais là, elle gamberge au point de se demander, s’ il n’y aurait pas du poison et qu’on vienne l’enlever "Pfffffffffff ! ma pauvre fille, tu deviens parano"!
Bon elle a bien un voisin qui habite à coté de chez elle, mais il pourrait être son grand-père. Et franchement, elle le voit mal déposer un bol de fraise à son intention.
En fait, elle le connait très mal son voisin, car cet homme a la passion de cultiver un beau jardin de fleur mais aussi de fraises. Il n’est pas resté indiffèrent à cette gamine. Pour lui c’est surtout affectif, car il n’a pas de petite fille. Bien qu’il ai un petit fils qui ne vient jamais, car il est étudiant en médecine.
Les jours passaient, son bol de fraise chaque matin, elle menait sa petite vie bien tranquille, Charlotte...
Puis, un matin, comme d’habitude, toujours enthousiaste, elle se précipita à sa porte, mais resta perplexe soudainement : il n’y avait pas de bol de fraises.
Le lendemain et les jours suivants, il en fut de même.
Elle ne se leva plus aussi vite, resta au fond de son lit, devenant paresseuse.
Un beau jour, on frappa à sa porte, elle se demanda qui cela pouvait être. Elle enfila son peignoir, regarda à travers le judas.
Planté là, devant son perron, un homme tenait dans ses mains un bol de fraises.
Elle ouvrit, très suspicieusement, en se demandant de quelle planète il venait ? avec ces mèches vertes, dressés sur la tête grâce au gel d’une texture extra forte il ressemblait plus au San Goku d’une bande dessinée manga qu’à un étudiant en médecine...
Les jours ont passé et beaucoup d’eau a coulé. D’une part, finalement, Charlotte a eu beaucoup de peine en perdant un grand-père avec qui elle avait tissé ces liens si particuliers, et d’autre part, Tristan, était devenu médecin et sa coiffure ne ressemblait plus à ce qu’elle avait été. Sa plus belle joie était qu’ils vivaient ensemble et que Charlotte prenait soin du jardin, en cultivant de belles fraises, tandis qu’il avait installé son cabinet dans la maison de son grand-père. Il portait un regard plein d’amour à sa femme Charlotte qui s’attelait a sa passion.
Ven 09 Sep 2011, 13:59 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Je sais.
Je Sais J’trouvais Pas Une Fin Assez Bien Alors J’voulais Faire Une Phrase De Fin Pour Faire Montrer Que Finalement Mourir Ne Fait Pas Mal Que C’est Rien Comparé Aux Blessures Que Certains On Eut Moral Ou Physique. Enfin Comme Moi Quoi...
Mer 07 Sep 2011, 12:56 par
Coeur_Noir sur Mille choses
La chaleur d'un réconfort
Il est bien loin, mais si proche finalement,
Il est un doux réconfort pour mon cœur
J’ai pourtant cherché mais n’ai jamais trouvé
Et voilà qu’il se pointe un bon matin
Tranquille, serein, l’air de rien,
Comme un vent venu d’ailleurs....
Un air pétillant et plein d’entrain
Un peu taquin, un peu coquin.
Elle est entrée dans ma vie tel un grain qui passe
Il mouille, inonde, bouleverse et s’en va sans regrets
Et voilà, depuis ce jour, que l’esprit son image ressasse
Et que le cœur s’éveille élaborant rêves et projets
Mais la flamme de la passion n’est pas commune
Même si, de part et d’autre, il y a grand intérêt
Ce n’est pour nos cœurs la même fortune
Car, dans ses vues, c’est l’amitié le sujet.
Plein d’attentions, avenant et prévenant...
Tout s’anime soudainement
Le noir fait place au blanc
La brume s’efface, le soleil devient chantant...
Si ce n’est l’amour gardons l’amitié
L’approcher chaque jour, pouvoir l’admirer
C’est déjà beaucoup, c’est inespéré
Pour celui qui, à ce jour, son ami veut rester
Jeu 23 Juin 2011, 17:07 par
caressedesyeux sur Mille choses
Pas de titre
Tel un phare dans la nuit, je veillais
Aux abords d’une mer tumultueuse,
Dont les vagues déchaînées sur moi s’abattaient
Sans entamer ma vue amoureuse
Quand soudain une lame de fond
M’emporte dans un endroit où tout devient sombre
Tes mensonges ont noirci l’horizon
Et sur mon univers ont jeté une ombre......
Finalement je me sens bien dans cette pénombre
Où je peux fuir tous ces autres endroits
Qui ne m’apportaient que fureur et bruit
Et ici, enfin, je trouve le calme et la paix...
Mon corps se sent enfin en harmonie
Dans le lit de cette terre où je suis née
Germent au plus profond de mon cœur
Des centaines de petites choses refoulées
Mes ailes protectrices sont repliées
Je vais enfin pouvoir me reposer
Cultiver un peu cette "paresse"
Une certaine sagesse qui me fait avancer
Et dont je ne pourrais plus me passer....
Aux abords d’une mer tumultueuse,
Dont les vagues déchaînées sur moi s’abattaient
Sans entamer ma vue amoureuse
Quand soudain une lame de fond
M’emporte dans un endroit où tout devient sombre
Tes mensonges ont noirci l’horizon
Et sur mon univers ont jeté une ombre......
Finalement je me sens bien dans cette pénombre
Où je peux fuir tous ces autres endroits
Qui ne m’apportaient que fureur et bruit
Et ici, enfin, je trouve le calme et la paix...
Mon corps se sent enfin en harmonie
Dans le lit de cette terre où je suis née
Germent au plus profond de mon cœur
Des centaines de petites choses refoulées
Mes ailes protectrices sont repliées
Je vais enfin pouvoir me reposer
Cultiver un peu cette "paresse"
Une certaine sagesse qui me fait avancer
Et dont je ne pourrais plus me passer....
Mar 31 Mai 2011, 19:32 par
caressedesyeux sur Mille choses
Résignation
J’ai enfin compris,
Qu’on ne pourrait pas m’apporter
Ce que j’espérais le plus,
Et je me résigne à l’accepter,
Et à le vivre avec sagesse,
En me perdant finalement dans des rêves...
Là où je me sens si bien,
Là où je ne risque pas d’être déçue,
Et d’en souffrir..
Ces rêves qui m’apportent une certaine sérénité
Que j’apprécie davantage de jour en jour,
En m’enfermant entre quatre murs
Parfois seule,
Parfois avec mon petit être de lumière,
Qui vient de temps en temps me remplir de joie...
Je donne moins, et je n’éprouve plus le besoin de recevoir...
Partir pour un monde meilleur
Là où on appréciera ma juste valeur
Et dont je gravirai, seule, les marches
Qui m’emmèneront peut -être aux portes du paradis,
Dotée d’une paire de belles ailes
Qu’on ne pourrait pas m’apporter
Ce que j’espérais le plus,
Et je me résigne à l’accepter,
Et à le vivre avec sagesse,
En me perdant finalement dans des rêves...
Là où je me sens si bien,
Là où je ne risque pas d’être déçue,
Et d’en souffrir..
Ces rêves qui m’apportent une certaine sérénité
Que j’apprécie davantage de jour en jour,
En m’enfermant entre quatre murs
Parfois seule,
Parfois avec mon petit être de lumière,
Qui vient de temps en temps me remplir de joie...
Je donne moins, et je n’éprouve plus le besoin de recevoir...
Partir pour un monde meilleur
Là où on appréciera ma juste valeur
Et dont je gravirai, seule, les marches
Qui m’emmèneront peut -être aux portes du paradis,
Dotée d’une paire de belles ailes
Mar 31 Mai 2011, 13:02 par
caressedesyeux sur Mille choses
Mes yeux dans ton reflet
Comme deux gouttes d’eau ,
Perdues dans un brouillard
Qui avaient besoin de se retrouver
D’échanger encore leurs regards
Dont elles se sont finalement émerveillées
Assoiffées, qu’elles sont, depuis des années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement
En attendant que l’autre la rejoigne.
Pour se fondre, avec douceur, tendresse ,
Et ce grand, irrépressible amour
Qui était là depuis toujours.
Mais que l’une est en train de redécouvrir
Cette émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Où tout peut se briser,
D’un simple souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle
Et se laissera emporter
Dans une danse langoureuse
Fermant les yeux, et se rapprochant de plus en plus
Sa bouche, toute proche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement
Viendront s’y poser furtivement
Quelques petits baisers.
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera qu’extase"...
D’un bonheur partagé
Ils se regarderont
Dans le silence
D’une pénombre
À laquelle leurs yeux s’habitueront
Pour être encore plus proches
Pour ne former plus qu’un ..
Perdues dans un brouillard
Qui avaient besoin de se retrouver
D’échanger encore leurs regards
Dont elles se sont finalement émerveillées
Assoiffées, qu’elles sont, depuis des années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement
En attendant que l’autre la rejoigne.
Pour se fondre, avec douceur, tendresse ,
Et ce grand, irrépressible amour
Qui était là depuis toujours.
Mais que l’une est en train de redécouvrir
Cette émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Où tout peut se briser,
D’un simple souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle
Et se laissera emporter
Dans une danse langoureuse
Fermant les yeux, et se rapprochant de plus en plus
Sa bouche, toute proche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement
Viendront s’y poser furtivement
Quelques petits baisers.
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera qu’extase"...
D’un bonheur partagé
Ils se regarderont
Dans le silence
D’une pénombre
À laquelle leurs yeux s’habitueront
Pour être encore plus proches
Pour ne former plus qu’un ..
Jeu 26 Mai 2011, 15:19 par
caressedesyeux sur Mille choses
Sa couleur (chapitre deux)
Elle pousse la porte, l’aperçoit et lui sourit. Il rend le sourire tout heureux de la revoir. Elle lui fait négligemment une bise et discrètement une caresse furtive puis s’en va saluer le patron à qui elle remet son petit Tupperware dont elle a cuisiné le contenu : Un lapin à l’ indienne. Ils en avaient parlé lors de sa première fois de cette passion commune pour la cuisine et elle avait promis d’en apporter un échantillon. Et elle tenait toujours parole. Sur ces entrefaites, Rémi est parti s’occuper d’une autre cliente. Elle prend une revue sur la table basse, s’assied et attend patiemment qu’il puisse s’occuper d’elle. ...
Au bout d’un petit moment, ayant fini de s’occuper de l’opulente dame, il vient la chercher pour qu’elle s’installe. Espiègle, elle lui laisse le choix le mettant au défi de réaliser quelque chose d’unique. Il l’observe longuement sous tous les angles et finit par se décider sur la couleur de la coiffure qu’il va lui concocter. Tout en travaillant, ils parlent de sujets divers sans jamais se lasser. Ils trouvent toujours un sujet ou l’autre à débattre. Tout en discutant, elle remarque des petits détails qui lui dessinent un sourire mutin tel, par exemple, la chemise à pressions, noire, ouverte, et dont elle voit son torse. Sa trousse à matériel de coiffure non accrochée,ou du moins pas au même endroit. Et encore, était-ce bien le bon souvenir ? Elle ne s’en rappelle plus ! Quelque peu perturbée, Alessia.
Leurs regards chargés d’intelligence coquine en disent plus long qu’un grand discours...
Une chose est sûre, une douce complicité les réunit, un tendre feeling. Ils se plaisent. Ils rêvent juste un moment , un long moment, une heure voire un peu plus. Il lui dit qu’il a hâte d’être en vacances car il en peut plus. Il a envie aussi d’évoluer, de changer d’endroit, monter sa propre affaire. Elle acquiesce compréhensive.
Elle le trouve doué, intelligent, charmeur, drôle...Et des mains d’argent
Il mâche son chewing-gum, elle boit le cappuccino qu’il lui a apporté. Elle l’observe, le dévisage, encore et encore. Il y a quelque chose qu’elle ne peut s’expliquer...
Juste , un charisme une complicité , une séduction qui s’installe
Il la regarde et imagine qu’l lui prend la main, l’installe sur un fauteuil pivotant, passe ses jambes et se retrouve assis sur elle, met tant ses mains dans ses cheveux et les respirant...
Puis il l’embrasse sur son nez, et le coin de sa bouche juste pour lui donner envie aussi de l’embrasser.
Elle lui résiste mollement, et, ses yeux pétillant de malice, sort la langue pour en humecter ses lèvres .Rapide, il l’enroule autour de la sienne,et goulument il la déguste.
Il passe ses mains dans son dos, et dégrafe adroitement son balconnet. Prend un des seins, ainsi libérés, dans sa main et taquine l’aréole de son index jusqu’à ce que la poitrine se dresse. Puis entreprend de faire de même avec l’autre jusqu’à ce qu’il durcisse..Parcourt les mamelons de sa langue jusqu’au sommet où il happe et aspire avec délicatesse les tétons.
Elle savoure chaque caresse et se retient de gémir. Elle se colle de plus en plus contre son corps déjà en fièvre.Il va de découverte en découverte, en léchant chaque grain de beauté jusqu’au dernier qu’il déniche sur sa hanche gauche.
Elle brûle du désir de se donner entièrement à lui...
Le téléphone sonne, il n’a pas envie de décrocher. Il veut prolonger ce moment unique.
Il sonne toujours, avec insistance. Ça l’agace, il ne peut se concentrer. Finalement, il soupire, demande de l’excuser et s’en va répondre.
Cela paraît sérieux, elle ne peut s’empêcher d’écouter même si elle fait semblant de regarder ailleurs.Il raccroche, la regarde sérieusement, puis éclate de rire. Elle ne comprend plus rien. Il lui explique alors qu’il a oublié un rendez vous. Une coupe à faire ...Chez une amie.......Mais il a promis et doit y aller quand même ...
Déçue, elle fait semblant de comprendre, même si son string en est déjà bien mouillé et que l’ardeur de Rémi est encore visible. Elle sait qu’ils ne continueront pas.La situation est baroque et ils sont aussi gênés l’un que l’autre. Il se regardent en silence un long moment, puis Alessia le rassure en posant sa main sur son bras. Elle l’embrasse sur la bouche une dernière fois...
Il a envie de lui dire , qu’il veut la revoir,car ils ne se verront pas avant longtemps. Lui doit partir en vacances, mais n’oubliera pas de lui donner son adresse mail. Elle sourit tristement et lui donne la sienne. Puis, elle s"évapore rapidement devant lui, un peu trop rapidement à son goût. Mais il la laisse partir à contre cœur et il ferme le salon.
Sam 26 Mars 2011, 09:51 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Une femme ,un homme
Il venait du sud,elle du nord. Ils s’étaient donnés rendez-vous ,à une terrasse fleuries, où les chèvrefeuilles embaumaient, le quartier...Un fameux "gouter" les attendaient. De part sa notoriété, cette pâtisserie valait les autres, mais il y avait de délicieux chocolats chauds, dont ils se gardaient bien de la divulguer la recette. Une touche de cannelle, aux puissants arôme d’un chocolat brésilien, et de merveilleuses mignardises accompagnaient ce breuvage si onctueux. Ils allaient enfin se voir, pour la première fois.
Leur yeux pétillants, leurs sourires, comme si ils se connaissaient depuis toujours...
A se demander lequel allait commencer la conversation, car troublés, ils l’étaient. Elle rougissait, et lui n’osait pas trop la regarder de face. Elle le trouva "captivant" par sa gentillesse, son humour et son bel esprit. Il la trouva charmante, pleine d’esprit, belle, avec cette fragilité qui le bouleversa. Un petit grain de folie vivifiant le charmait. Il aimait aussi ces mimiques et remarquait ses rides d’expression, ses taches de rousseur, et surtout son grain de beauté au coin de sa lèvre. Elle avait souligné ses paupières d’un trait, et mit sur sa bouche un gloss. Elle portait quelque chose de " frais". Il devinait, qu’elle avait bon goût par sa façon de s’habiller et de se mouvoir...
La confiance s’installa tout naturellement. Il y avait de belles choses qui commençaient à germer dans son esprit. Quant à elle, elle imaginait les mêmes choses. C’était une puissante attirance, et leurs corps étaient à fleur de peau...
Il lui proposa une ballade, en lui demandant sa main, ce qu’elle accepta. Puis il osa caresser avec son pouce, son poignet, mais elle ne disait rien, et pour lui, c"était un signe révélateur. Elle aimait cela et l’encourageait à continuer. Ils arrivèrent devant un beau bâtiment, un hôtel très réputé. Ils se regardèrent en ayant la même idée, et la même soif intense qui les poussaient vers l’entrée....
Ils explorèrent, avec une frénésie inhabituelle, les lieux, et décidèrent finalement de prendre un bain.
Pudiques, et respectueux, malgré tout il lui permit de monter la première ,en mettant une main sur ses yeux.
Elle entra dans cette mousse onctueuse, puis a son tour; il y "pénétra"...
Leurs corps s’approchèrent, et il commença, avec sa main, à lui prodiguer de douces caresses, tout en la lavant.
Elle commença a gémir. Il descendit dans le trésor de sa moiteur, en "titillant son pistil rose, et gonflée.
Il haletait si fort, que son ardeur se fit sentir. Elle osa y mettre sa main, et l’entourant avec délicatesse, elle commença des va et vient...
Puis il la prit soudainement dans ses bras, et l’emmena sur le lit. Elle décida de prendre l’initiative, d’un sourire coquin, et très sure d’elle. Un foulard attaché autour de ses yeux, puis improvisant, elle trouva quelque chose qui servirait d’un doux lien à attacher ses poignets, afin qu’il soit dans l’incapacité de faire quoi que ce soit.
Il commença à aimer ce petit jeu, très doux, très subtil de part ses effleurages de baisers sur tout son corps,
et sentir sa langue chaude, s’insérer dans les moindres recoins. Elle joua très longtemps, en prenant bien soin de ne rien oublier. En le "mordant", léchant, caressant.... la jouissance n’était pas loin.
Puis elle "s"empala" dessus, et ondula de ses belles hanches dans des mouvements tantôt lents, tantôt rapides...!e déferlement d’un puissant raz de marée les secoua tout les deux, et leurs corps se lâchèrent subitement...
Elle avait encore cette fièvre. L’embrasser encore et encore et il était bouleversé de voir ce "petit" bout de femme avec cette fièvre de tendresse et d’affection, à son égard. Ce besoin intense, que cela ne se termine pas.
Mais ils savaient qu’ils en passeraient fatalement par là...La séparation fut-elle douloureuse pour elle comme pour lui, même si ils n’en parlaient pas? Un dernier regard chargé d’amour, un baiser torride, et elle disparut .
Leur yeux pétillants, leurs sourires, comme si ils se connaissaient depuis toujours...
A se demander lequel allait commencer la conversation, car troublés, ils l’étaient. Elle rougissait, et lui n’osait pas trop la regarder de face. Elle le trouva "captivant" par sa gentillesse, son humour et son bel esprit. Il la trouva charmante, pleine d’esprit, belle, avec cette fragilité qui le bouleversa. Un petit grain de folie vivifiant le charmait. Il aimait aussi ces mimiques et remarquait ses rides d’expression, ses taches de rousseur, et surtout son grain de beauté au coin de sa lèvre. Elle avait souligné ses paupières d’un trait, et mit sur sa bouche un gloss. Elle portait quelque chose de " frais". Il devinait, qu’elle avait bon goût par sa façon de s’habiller et de se mouvoir...
La confiance s’installa tout naturellement. Il y avait de belles choses qui commençaient à germer dans son esprit. Quant à elle, elle imaginait les mêmes choses. C’était une puissante attirance, et leurs corps étaient à fleur de peau...
Il lui proposa une ballade, en lui demandant sa main, ce qu’elle accepta. Puis il osa caresser avec son pouce, son poignet, mais elle ne disait rien, et pour lui, c"était un signe révélateur. Elle aimait cela et l’encourageait à continuer. Ils arrivèrent devant un beau bâtiment, un hôtel très réputé. Ils se regardèrent en ayant la même idée, et la même soif intense qui les poussaient vers l’entrée....
Ils explorèrent, avec une frénésie inhabituelle, les lieux, et décidèrent finalement de prendre un bain.
Pudiques, et respectueux, malgré tout il lui permit de monter la première ,en mettant une main sur ses yeux.
Elle entra dans cette mousse onctueuse, puis a son tour; il y "pénétra"...
Leurs corps s’approchèrent, et il commença, avec sa main, à lui prodiguer de douces caresses, tout en la lavant.
Elle commença a gémir. Il descendit dans le trésor de sa moiteur, en "titillant son pistil rose, et gonflée.
Il haletait si fort, que son ardeur se fit sentir. Elle osa y mettre sa main, et l’entourant avec délicatesse, elle commença des va et vient...
Puis il la prit soudainement dans ses bras, et l’emmena sur le lit. Elle décida de prendre l’initiative, d’un sourire coquin, et très sure d’elle. Un foulard attaché autour de ses yeux, puis improvisant, elle trouva quelque chose qui servirait d’un doux lien à attacher ses poignets, afin qu’il soit dans l’incapacité de faire quoi que ce soit.
Il commença à aimer ce petit jeu, très doux, très subtil de part ses effleurages de baisers sur tout son corps,
et sentir sa langue chaude, s’insérer dans les moindres recoins. Elle joua très longtemps, en prenant bien soin de ne rien oublier. En le "mordant", léchant, caressant.... la jouissance n’était pas loin.
Puis elle "s"empala" dessus, et ondula de ses belles hanches dans des mouvements tantôt lents, tantôt rapides...!e déferlement d’un puissant raz de marée les secoua tout les deux, et leurs corps se lâchèrent subitement...
Elle avait encore cette fièvre. L’embrasser encore et encore et il était bouleversé de voir ce "petit" bout de femme avec cette fièvre de tendresse et d’affection, à son égard. Ce besoin intense, que cela ne se termine pas.
Mais ils savaient qu’ils en passeraient fatalement par là...La séparation fut-elle douloureuse pour elle comme pour lui, même si ils n’en parlaient pas? Un dernier regard chargé d’amour, un baiser torride, et elle disparut .
Mer 16 Fév 2011, 20:15 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Ecrire sur finalement
Hiver..., Prisonnière, L'attention, Le ruban (duo caressedesyeux/inconnu), Le rendez vous au restaurant, Dans la retenue..., Partir, Charlotte et les fraises, Je sais., La chaleur d'un réconfort, Pas de titre, Résignation, Mes yeux dans ton reflet, Sa couleur (chapitre deux), Une femme ,un homme,Il y a 149 textes utilisant le mot finalement. Ces pages présentent les textes correspondant.
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