Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur étoiles - Page 6 sur 7
Cristal
Ton corps avec le mien ne forme qu’une seule silhouette qui se distingue de l’herbe dense du haut de la falaise. Elle domine l’Océan, d’un bleu cristal, parsemé des reflets rougeoyant du Soleil qui ne demande qu’à se coucher.
Le tendre palmier, contrasté par les nuages roses de l’horizon, englobe la bulle de notre corps enlacé au plus profond de notre cœur.
La lumière dorée du rivage donne à ton visage une nouvelle clarté soutenue par une douce brise qui caresse tes cheveux ; miroir de la mer scintillante qui, sous le Ciel orangé enrichi des premières étoiles, vient chatouiller la petite crique sableuse en contrebas.
Ta joyeuse présence arrête le temps pourtant si éphémère, instant précieux préféré de nos rêves …
Le tendre palmier, contrasté par les nuages roses de l’horizon, englobe la bulle de notre corps enlacé au plus profond de notre cœur.
La lumière dorée du rivage donne à ton visage une nouvelle clarté soutenue par une douce brise qui caresse tes cheveux ; miroir de la mer scintillante qui, sous le Ciel orangé enrichi des premières étoiles, vient chatouiller la petite crique sableuse en contrebas.
Ta joyeuse présence arrête le temps pourtant si éphémère, instant précieux préféré de nos rêves …
Ven 21 Jan 2005, 13:14 par
Ady sur Parler d'amour
Danse amoureuse
J’étend mon cœur mouillé
Sur l’horizon de ses yeux
Côte à côte avec le silence
Le feu irrigue les artères du temps
Immuablement rédigé
Et danse le tango de ses bras
Quand je baisse les paupières
Sur son ombre de chair
Des fleurs de miel jaillissent
Je sais qu’il sais que je sais
Que la clôture de nos mains est la seule certitude
Là où la présence se fait fusion
Il sait que je sais qu’il sait
Quand mes pas se noient dans ses souliers
Et que mon regard se perd dans ses soupirs…
La chaîne de son corps est une source
Une goutte de sang sur mon palais
Qui persiste dans l’odeur de ses yeux,
Épicentres étoilés de notre cœur
Où je retourne sans cesse même partie de son espace…
Sur l’horizon de ses yeux
Côte à côte avec le silence
Le feu irrigue les artères du temps
Immuablement rédigé
Et danse le tango de ses bras
Quand je baisse les paupières
Sur son ombre de chair
Des fleurs de miel jaillissent
Je sais qu’il sais que je sais
Que la clôture de nos mains est la seule certitude
Là où la présence se fait fusion
Il sait que je sais qu’il sait
Quand mes pas se noient dans ses souliers
Et que mon regard se perd dans ses soupirs…
La chaîne de son corps est une source
Une goutte de sang sur mon palais
Qui persiste dans l’odeur de ses yeux,
Épicentres étoilés de notre cœur
Où je retourne sans cesse même partie de son espace…
Jeu 25 Nov 2004, 19:02 par
doody sur L'amour en vrac
Une route dans les étoiles.
Pour en revenir un peu aux lieux de rendez-vous inhabituels (si vous le permettez!)
Je me souviens comme si c’était hier de ce rendez-vous si particulier. Ce jour-là, je ne trouvais pas le sommeil. Je me retournais encore et encore dans mes draps, en voyant défiler les heures sur le cadran de mon réveil.
N’y tenant plus, je me suis levée, et sans tenir compte qu’il était deux heures et demies du matin, j’ai appelé l’homme responsable de mon insomnie.
Je n’ai pas eu l’audace de lui demander si je le réveillais, je n’ai pas pris la peine de m’excuser de l’heure indue, j’ai juste annoncé un "Je ne peux pas dormir, j’ai envie de te voir" laconique.
Le fait que nous étions séparés d’à peu près cent kilomètres ne semblait pas m’effleurer non plus!
J’ai adoré sa folie en réponse à la mienne sous la forme d’un seul mot :"Où?"
J’ai filé me changer, me coiffer, me maquiller, je voulais être jolie même en pleine nuit! Je souriais de mon aplomb car le lieu où je lui avais donné rendez-vous n’était pas banal!
Sur l’autoroute qui reliait nos villes, je lui avais indiqué la sortie 23. A cet endroit, après avoir roulé quelques centaines de mètres sur la gauche, on découvrait un chemin carrossable, long de quatres kilomètres, s’enfonçant parmi les champs et absolument pas éclairé!
La seule lumière perceptible provenait des étoiles et de la lune.
Pas une maison, pas un arbre à l’horizon. Le ciel semblait se confondre avec la terre.
Je me rappelais m’être égarée là, un soir et j’avais été frappée par l’ambiance. Je m’étais sentie si petite sous la voûte étoilée, presque absorbée par elle. Cela m’avait rappelé ma visite au planétarium lorsque j’étais étudiante.
C’est là que je voulais retrouver l’homme qui squattait mes pensées. Je désirais lui faire partager la magie de l’endroit, j’espérais enfin goûter ses lèvres, sentir ses bras autour de moi...et avoir l’impression d’être en plein ciel!
J’ai pris la voiture, et écouté ma musique préférée pendant le trajet.
Lorsque je suis arrivée, il m’attendait déjà.
Il est venu vers moi, m’a prise contre lui comme je l’avais rêvé. Il ne disait rien mais je le sentais réceptif au lieu, j’avais réussi à l’émouvoir!
Enfin il a souri, m’a traitée de "petite folle"...et j’ai adoré.
Syolann
Je me souviens comme si c’était hier de ce rendez-vous si particulier. Ce jour-là, je ne trouvais pas le sommeil. Je me retournais encore et encore dans mes draps, en voyant défiler les heures sur le cadran de mon réveil.
N’y tenant plus, je me suis levée, et sans tenir compte qu’il était deux heures et demies du matin, j’ai appelé l’homme responsable de mon insomnie.
Je n’ai pas eu l’audace de lui demander si je le réveillais, je n’ai pas pris la peine de m’excuser de l’heure indue, j’ai juste annoncé un "Je ne peux pas dormir, j’ai envie de te voir" laconique.
Le fait que nous étions séparés d’à peu près cent kilomètres ne semblait pas m’effleurer non plus!
J’ai adoré sa folie en réponse à la mienne sous la forme d’un seul mot :"Où?"
J’ai filé me changer, me coiffer, me maquiller, je voulais être jolie même en pleine nuit! Je souriais de mon aplomb car le lieu où je lui avais donné rendez-vous n’était pas banal!
Sur l’autoroute qui reliait nos villes, je lui avais indiqué la sortie 23. A cet endroit, après avoir roulé quelques centaines de mètres sur la gauche, on découvrait un chemin carrossable, long de quatres kilomètres, s’enfonçant parmi les champs et absolument pas éclairé!
La seule lumière perceptible provenait des étoiles et de la lune.
Pas une maison, pas un arbre à l’horizon. Le ciel semblait se confondre avec la terre.
Je me rappelais m’être égarée là, un soir et j’avais été frappée par l’ambiance. Je m’étais sentie si petite sous la voûte étoilée, presque absorbée par elle. Cela m’avait rappelé ma visite au planétarium lorsque j’étais étudiante.
C’est là que je voulais retrouver l’homme qui squattait mes pensées. Je désirais lui faire partager la magie de l’endroit, j’espérais enfin goûter ses lèvres, sentir ses bras autour de moi...et avoir l’impression d’être en plein ciel!
J’ai pris la voiture, et écouté ma musique préférée pendant le trajet.
Lorsque je suis arrivée, il m’attendait déjà.
Il est venu vers moi, m’a prise contre lui comme je l’avais rêvé. Il ne disait rien mais je le sentais réceptif au lieu, j’avais réussi à l’émouvoir!
Enfin il a souri, m’a traitée de "petite folle"...et j’ai adoré.
Syolann
Jeu 19 Août 2004, 17:09 par
syolann sur La séduction
Mes yeux rivés vers les étoiles
échange poétik avec P
Lui : Dis-moi Belle étoile, brilles tu le soir,
Pour que d’un regard, je puisse te retrouver,
Et par la même, atteindre la route qui vers
Ton coeur me guidera, vers de nouveaux espoirs ?
Elle : Seras-tu présente lors de mes différentes aspirations
De calme, de quiétude, de tendres et fougueuses passions ?
Guideras-tu mes pas encore indécis
Vers ton univers nimbé de douces folies ?
Lui : Toi qui dans la nuit illumine le ciel
De ta chevelure dorée, tu m ensorcelles,
Mes yeux rivés vers les étoiles,
Je sens ton regard, tel un voile,
Qui sur ma peau telle une caresse,
Se dépose avec tendresse...
Elle : Dis-moi, dans quelle galaxie dois-je retourner
Afin de poursuivre cette route que tu m’as indiquée ?
Quel est ton rêve, unique objet de mes pensées,
Dans quel cosmos puis-je te retrouver ?
Une seule fois, sur moi, ce regard j ai senti,
Qui, depuis, hante mes nuits, me poursuit....
Le regard d’une Etoile différente,
Le regard d’une Etoile inscouciante,
Et dans ses yeux je me vois contemplée
Aussitôt je me sais retrouvée...
Lui : Toi que je ne retrouve que dans mes rêves
Je sens presque tes caresses douces et brèves
Répondant aux miennes dont les mouvements lents
Jouaient sur ta peau doucement....
Elle : Car vois-tu mon Etoile insatiable,
Je résonne de tout ce corps possédé par le diable,
De tes longues étreintes, aux rythmes incessants,
De volupté, de fleurs et d’encens...
Etoile du plaisir,
Etoile du désir,
Comment surmonter ces vents déchaînés ?
De quelle façon faire face à ses brise-larmes acérés ?
Donne-moi la force de ton rayonnement,
Aide-moi à affronter cette si tristement,
Réalité. Avec toi je serai invincible.
J’éprouve une violente douleur indescriptible,
Apprivoise-moi, ô mon Etoile luminescente,
Laisse-moi être guidée par ta douceur rassurante....
Lui : Je pourrai pour toi, affronter tous les vents,
Les mers déchaînées et apaiser tes tourments,
Laisse-moi encore entendre le son de ta voix,
Qui, comme celle d’une sirène me guide vers toi
Aux dépens des dangers, mon coeur s’envole,
Vers je ne sais quelle destinée folle...
Pourrais-je enfin te retrouver un jour,
Toi pour qui mon sang ne fait qu’un tour,
Laisse-moi m’abreuver de tes douces paroles
Et vers toi, à jamais je vole.
Elle : Etoile prise au piège,
Toile d’araignée capturant des flocons de neige,
J’ignore encore si mon coeur misérable va rejoindre
Ma planète tant espérée, je ne veux te contraindre....
Mais, douce Etoile, je te vois pâlir ?
Je souhaite encore plus entendre
Ce souffle de voix, tu sais me comprendre ;
Mais la crainte d’un long soupir
Silence à jamais dans ces cieux constellés,
Me remmplis de peur, de haine et d’effroi.
Ne pourrai-je retrouver ton éclat, ta clarté ?
J’ai cette inquiètude naissante de ne plus te sentir auprès de moi,
Etoile de la vie, Etoile du destin,
Tu jongles avec mon âme, tu l’as entre les mains.
Comment pourrais-je oublier
Que dans nos deux univers, je t’ai croisé ?
La façon dont tu m as accompagnée,
Les rires, rimes, délires, délices partagés.
Mon âme survole les nuages
Et prend un étonnant virage....
Lui : Dis-moi Belle étoile, brilles tu le soir,
Pour que d’un regard, je puisse te retrouver,
Et par la même, atteindre la route qui vers
Ton coeur me guidera, vers de nouveaux espoirs ?
Elle : Seras-tu présente lors de mes différentes aspirations
De calme, de quiétude, de tendres et fougueuses passions ?
Guideras-tu mes pas encore indécis
Vers ton univers nimbé de douces folies ?
Lui : Toi qui dans la nuit illumine le ciel
De ta chevelure dorée, tu m ensorcelles,
Mes yeux rivés vers les étoiles,
Je sens ton regard, tel un voile,
Qui sur ma peau telle une caresse,
Se dépose avec tendresse...
Elle : Dis-moi, dans quelle galaxie dois-je retourner
Afin de poursuivre cette route que tu m’as indiquée ?
Quel est ton rêve, unique objet de mes pensées,
Dans quel cosmos puis-je te retrouver ?
Une seule fois, sur moi, ce regard j ai senti,
Qui, depuis, hante mes nuits, me poursuit....
Le regard d’une Etoile différente,
Le regard d’une Etoile inscouciante,
Et dans ses yeux je me vois contemplée
Aussitôt je me sais retrouvée...
Lui : Toi que je ne retrouve que dans mes rêves
Je sens presque tes caresses douces et brèves
Répondant aux miennes dont les mouvements lents
Jouaient sur ta peau doucement....
Elle : Car vois-tu mon Etoile insatiable,
Je résonne de tout ce corps possédé par le diable,
De tes longues étreintes, aux rythmes incessants,
De volupté, de fleurs et d’encens...
Etoile du plaisir,
Etoile du désir,
Comment surmonter ces vents déchaînés ?
De quelle façon faire face à ses brise-larmes acérés ?
Donne-moi la force de ton rayonnement,
Aide-moi à affronter cette si tristement,
Réalité. Avec toi je serai invincible.
J’éprouve une violente douleur indescriptible,
Apprivoise-moi, ô mon Etoile luminescente,
Laisse-moi être guidée par ta douceur rassurante....
Lui : Je pourrai pour toi, affronter tous les vents,
Les mers déchaînées et apaiser tes tourments,
Laisse-moi encore entendre le son de ta voix,
Qui, comme celle d’une sirène me guide vers toi
Aux dépens des dangers, mon coeur s’envole,
Vers je ne sais quelle destinée folle...
Pourrais-je enfin te retrouver un jour,
Toi pour qui mon sang ne fait qu’un tour,
Laisse-moi m’abreuver de tes douces paroles
Et vers toi, à jamais je vole.
Elle : Etoile prise au piège,
Toile d’araignée capturant des flocons de neige,
J’ignore encore si mon coeur misérable va rejoindre
Ma planète tant espérée, je ne veux te contraindre....
Mais, douce Etoile, je te vois pâlir ?
Je souhaite encore plus entendre
Ce souffle de voix, tu sais me comprendre ;
Mais la crainte d’un long soupir
Silence à jamais dans ces cieux constellés,
Me remmplis de peur, de haine et d’effroi.
Ne pourrai-je retrouver ton éclat, ta clarté ?
J’ai cette inquiètude naissante de ne plus te sentir auprès de moi,
Etoile de la vie, Etoile du destin,
Tu jongles avec mon âme, tu l’as entre les mains.
Comment pourrais-je oublier
Que dans nos deux univers, je t’ai croisé ?
La façon dont tu m as accompagnée,
Les rires, rimes, délires, délices partagés.
Mon âme survole les nuages
Et prend un étonnant virage....
Jeu 22 Juil 2004, 02:17 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Mois contre moi
Jamais je n’aurais pensé en arriver là
Aimer quelqu’un de qui j’éloigne mes pas.
Nier les évidences et fuir les apparences
Voilà pourquoi ma vie frôle l’indécence
Il faudra bien que ces sentiments je consume
Et que mes faiblesses intérieures j’assume
Rancune, aigreur et jalousie font mon amertume
Fut-il dur à supporter, le temps passe
Et toujours ces sentiments qui me dépassent
Vrai pourtant qu’il faut qu’ils trépassent
Remède ou poison rien ne semble efficace
Ignorer les appels de mon cœur de glace
Et toutes ces lignes de ma vie que j’efface
Retour retard des souffrances en pleine face
Moi qui voulait tout maîtriser par le raisonnement
Avachi là, perdu dans l’avalanche des sentiments
Résigné face à l’amour et son acharnement
Sourire à la vie serait tellement plus évident
Vide mes poches de regrets d’hiver et cours avec moi vers demain
Arrive une nouvelle saison, aimer d’une autre façon ?
Vincent saura-t-il enfin faire éclore sa raison
Refroidie par les frimas d’un hiver sans passion ?
Il veut retrouver l’émoi de chairs en fusion
Laissons le combattre ses éternelles obsessions.
Mai est là, mes sentiments je n’ai pu étouffé
Ainsi va ma vie , de désir en manque
Immense…à ne plus voir le fond de ma raison
J’attends toujours le déclic qui me ferait avancer
Un sourire te suffirait pour me désarmer
Il est loin le temps où je faisais le désintéressé
Nuit la plus courte à rêver ta chaleur mouillée
Prends ma bouche d’un baiser de printemps et chasse les démons qui envahissent mon esprit
Je veux du soleil au cœur et à l’âme
Un petit rayon pour rallumer la flamme
Illusion de chaleur dans une vie sans cœur
Laissons les étoiles rapprocher leurs lueurs
La morale pourra dire que c’est une erreur
Et alors ? l’amour n’accepte pas de blâmes
Toute envie n’a de maître que celui qui réclame
A quand les coups d’amour, brûleurs de peau
Ou devrais-je me contenter de me glacer les os ?
Utopie, quand j’aime, est le premier de mes mots
Tout bonheur je m’interdis, trop beau, trop chaud
Soirée de fin d’été à réviser mes pensées
Et si demain tout ça venait à s’arrêter ?
Peut-il d’ailleurs en être autrement
Tout ici n’est à la vie qu’un pansement
Et quand ce petit monde viendra à s’écrouler
Mes jours ne trouveront plus le refuge secret
Bien sur comme d’autres fois, je survivrai
Restera la saveur douce-amère d’un baiser percé
Et les moments partagés figés dans l’éternité
Hors de moi, hors de l’amour, hors saison, le temps ne me sera pas rendu
Oublier les nuages et le ciel au regard malsain
Continuer à écrire ensemble une histoire sans fin
Tels devraient les idéaux des combattants du destin
Observer les émotions sans imaginer leur déclin.
Bien mal m’a pris d’avoir attrapé le béguin,
Refoulé mes angoisses et joué au maître libertin,
En sachant que mes sentiments resteraient souverains.
Nos liens se renforcent dans ce diffus virtuel
Osmose, agrafe sentimentale et désir charnel
Virevoltent dans nos têtes les rires et les mots
Ensemble nous partageons tout, de bas en hauts
Malaise quand nos fiels amènent les sanglots
Bien être et tendresse, échanges les plus beaux
Réfugiés derrière l’écran, nous vivons le passionnel
Enroulé autour de mon être, ton charme est réel
Déjà la fin de l’année et toujours rien de changé
Exorcisme et magie noire n’ont pas fonctionné
Contre des ressentis en moi ancrés et cimentés
Espérer pour libération l’asphyxie de l’âme damné
Mois contre moi, mes rêves dont je ne suis plus sur
Braver les frustrations, vivre dans l’intense et le pur
Rentrer dans la carapace dans les moments plus durs
Et entendre ton rire qui lézarde les murs…
Les rêves sont comme les anges. Ils ont besoin d’ailes pour s’envoler. J’ai besoin d’elle pour m’enivrer.
Aimer quelqu’un de qui j’éloigne mes pas.
Nier les évidences et fuir les apparences
Voilà pourquoi ma vie frôle l’indécence
Il faudra bien que ces sentiments je consume
Et que mes faiblesses intérieures j’assume
Rancune, aigreur et jalousie font mon amertume
Fut-il dur à supporter, le temps passe
Et toujours ces sentiments qui me dépassent
Vrai pourtant qu’il faut qu’ils trépassent
Remède ou poison rien ne semble efficace
Ignorer les appels de mon cœur de glace
Et toutes ces lignes de ma vie que j’efface
Retour retard des souffrances en pleine face
Moi qui voulait tout maîtriser par le raisonnement
Avachi là, perdu dans l’avalanche des sentiments
Résigné face à l’amour et son acharnement
Sourire à la vie serait tellement plus évident
Vide mes poches de regrets d’hiver et cours avec moi vers demain
Arrive une nouvelle saison, aimer d’une autre façon ?
Vincent saura-t-il enfin faire éclore sa raison
Refroidie par les frimas d’un hiver sans passion ?
Il veut retrouver l’émoi de chairs en fusion
Laissons le combattre ses éternelles obsessions.
Mai est là, mes sentiments je n’ai pu étouffé
Ainsi va ma vie , de désir en manque
Immense…à ne plus voir le fond de ma raison
J’attends toujours le déclic qui me ferait avancer
Un sourire te suffirait pour me désarmer
Il est loin le temps où je faisais le désintéressé
Nuit la plus courte à rêver ta chaleur mouillée
Prends ma bouche d’un baiser de printemps et chasse les démons qui envahissent mon esprit
Je veux du soleil au cœur et à l’âme
Un petit rayon pour rallumer la flamme
Illusion de chaleur dans une vie sans cœur
Laissons les étoiles rapprocher leurs lueurs
La morale pourra dire que c’est une erreur
Et alors ? l’amour n’accepte pas de blâmes
Toute envie n’a de maître que celui qui réclame
A quand les coups d’amour, brûleurs de peau
Ou devrais-je me contenter de me glacer les os ?
Utopie, quand j’aime, est le premier de mes mots
Tout bonheur je m’interdis, trop beau, trop chaud
Soirée de fin d’été à réviser mes pensées
Et si demain tout ça venait à s’arrêter ?
Peut-il d’ailleurs en être autrement
Tout ici n’est à la vie qu’un pansement
Et quand ce petit monde viendra à s’écrouler
Mes jours ne trouveront plus le refuge secret
Bien sur comme d’autres fois, je survivrai
Restera la saveur douce-amère d’un baiser percé
Et les moments partagés figés dans l’éternité
Hors de moi, hors de l’amour, hors saison, le temps ne me sera pas rendu
Oublier les nuages et le ciel au regard malsain
Continuer à écrire ensemble une histoire sans fin
Tels devraient les idéaux des combattants du destin
Observer les émotions sans imaginer leur déclin.
Bien mal m’a pris d’avoir attrapé le béguin,
Refoulé mes angoisses et joué au maître libertin,
En sachant que mes sentiments resteraient souverains.
Nos liens se renforcent dans ce diffus virtuel
Osmose, agrafe sentimentale et désir charnel
Virevoltent dans nos têtes les rires et les mots
Ensemble nous partageons tout, de bas en hauts
Malaise quand nos fiels amènent les sanglots
Bien être et tendresse, échanges les plus beaux
Réfugiés derrière l’écran, nous vivons le passionnel
Enroulé autour de mon être, ton charme est réel
Déjà la fin de l’année et toujours rien de changé
Exorcisme et magie noire n’ont pas fonctionné
Contre des ressentis en moi ancrés et cimentés
Espérer pour libération l’asphyxie de l’âme damné
Mois contre moi, mes rêves dont je ne suis plus sur
Braver les frustrations, vivre dans l’intense et le pur
Rentrer dans la carapace dans les moments plus durs
Et entendre ton rire qui lézarde les murs…
Les rêves sont comme les anges. Ils ont besoin d’ailes pour s’envoler. J’ai besoin d’elle pour m’enivrer.
Mer 14 Juil 2004, 17:42 par
la_tulipe_noire sur Amour internet
car rapace (pour Yves)
Carapace de glace
Tu erres tel le rapace
Carapace dans le coeur
A la recherche constante du bonheur
Carapace dans les yeux
Tu quêtes le mieux ?
Carapace invincible
Et tellement invisible.
Tu empiles les boucliers
Toujours ce besoin de te protéger.
Carapace cristalline irisée
Ta coquille est fragilisée
Par cette hésitation :
Briser ce mur du son…,
Exploser au soleil ses rayons
Monter en puissance cette passion
Déchiffrer les étoiles, capter leurs pulsions
Dans le ciel jouer à saute-moutons.
Tu ne dois pas hésiter
Arrête de te tourmenter
Laisse ton esprit reposer
Et ta tête tu vas relever.
Essuie sur ton front
Ce manque, ce doute,
Nettoie leurs gouttes.
Le même point tu dois garder
Cet horizon va changer.
Arrête de te retourner
Tu ne dois pas t’inquiéter.
Tout se met en place autour de toi
Regarde, tu es le Roi.
Que de soleils éclairés font une ronde,
Ils t encerclent en formidable farandole farfelue,
De leur lumière ils t’inondent,
Te souhaitant à l’infini, bienvenue.
Prends cette main tendue
Accepte, fais un pas vers l’inconnu…
Essaie, tu ne seras pas déçu !
Prends dans ta main
Entends ce refrain…
Captivante mélodie
Que celle de la vie.
Amour achevé
Amour enchaîné….
Mais sors de cette geôle,
Avant que la mort ne te frôle.
Mort de l’esprit
Torturé et meurtri…
Délicate et violente mélancolie
Qui cloisonne ton « autre lui » .
Sain de corps te voici
Tu oses relever le défi,
Tu es là, nimbé de lumière
Tu remontes le cours de ta rivière…
Tu erres tel le rapace
Carapace dans le coeur
A la recherche constante du bonheur
Carapace dans les yeux
Tu quêtes le mieux ?
Carapace invincible
Et tellement invisible.
Tu empiles les boucliers
Toujours ce besoin de te protéger.
Carapace cristalline irisée
Ta coquille est fragilisée
Par cette hésitation :
Briser ce mur du son…,
Exploser au soleil ses rayons
Monter en puissance cette passion
Déchiffrer les étoiles, capter leurs pulsions
Dans le ciel jouer à saute-moutons.
Tu ne dois pas hésiter
Arrête de te tourmenter
Laisse ton esprit reposer
Et ta tête tu vas relever.
Essuie sur ton front
Ce manque, ce doute,
Nettoie leurs gouttes.
Le même point tu dois garder
Cet horizon va changer.
Arrête de te retourner
Tu ne dois pas t’inquiéter.
Tout se met en place autour de toi
Regarde, tu es le Roi.
Que de soleils éclairés font une ronde,
Ils t encerclent en formidable farandole farfelue,
De leur lumière ils t’inondent,
Te souhaitant à l’infini, bienvenue.
Prends cette main tendue
Accepte, fais un pas vers l’inconnu…
Essaie, tu ne seras pas déçu !
Prends dans ta main
Entends ce refrain…
Captivante mélodie
Que celle de la vie.
Amour achevé
Amour enchaîné….
Mais sors de cette geôle,
Avant que la mort ne te frôle.
Mort de l’esprit
Torturé et meurtri…
Délicate et violente mélancolie
Qui cloisonne ton « autre lui » .
Sain de corps te voici
Tu oses relever le défi,
Tu es là, nimbé de lumière
Tu remontes le cours de ta rivière…
Ven 14 Mai 2004, 01:35 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Arthur Rimbaud, Poésies - "Ma bohème" -
Je m’en allais les poings dans les poches crevées ;
Mon patelot aussi devenait idéal,
J’allais sous le Ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d’amours splendides j’ai rêvés !
Mon unique culotte avait un large trou,
- Petit Poucet rêveur, j’égrénais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou.
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais
Des gouttes de rosée à mon front, comme un vin de vigueur.
Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !
Mon patelot aussi devenait idéal,
J’allais sous le Ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d’amours splendides j’ai rêvés !
Mon unique culotte avait un large trou,
- Petit Poucet rêveur, j’égrénais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou.
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais
Des gouttes de rosée à mon front, comme un vin de vigueur.
Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !
L'un et l'autre.
Un brun, un blond
Un grand, un petit
Un rêveur, un terre à terre
L’un le portrait de son père
L’autre le portrait de mon père.
Un brun, un blond
Un grand, un petit
Un silencieux, une vraie commère
L’un, la douceur de la terre
L’autre, la fougue du tonnerre
Un brun, un blond
Un grand, un petit
Un malicieux, un solitaire
L’un qui a trop souffert
L’autre si téméraire
Un brun un blond,
Un grand, un petit
Deux enfants plein de mystères
Deux étoiles qui diffusent leur lumière
Un brun, un blond, deux frères...
Un grand, un petit
Un rêveur, un terre à terre
L’un le portrait de son père
L’autre le portrait de mon père.
Un brun, un blond
Un grand, un petit
Un silencieux, une vraie commère
L’un, la douceur de la terre
L’autre, la fougue du tonnerre
Un brun, un blond
Un grand, un petit
Un malicieux, un solitaire
L’un qui a trop souffert
L’autre si téméraire
Un brun un blond,
Un grand, un petit
Deux enfants plein de mystères
Deux étoiles qui diffusent leur lumière
Un brun, un blond, deux frères...
Jeu 29 Avril 2004, 15:37 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
C'était en juin....
Absence
Création du mot « insoutenance »
Je suis vidée de toute cette errance
Aide-moi, emmène-moi
Dans ton dos derrière toi
Cette dernière tolérance
Ce besoin de défaillance
Cette inéluctable connivence
Cet insoutenable délivrance
Je ne suis qu’onomatopée,
Face à ce silence
J’existe en pointillé
Face à ton absence
J’implore de toi, ta délicieuse
Imprévision, ton étonnant
Pouvoir de facilité
Ton toi, ton rire, ton âme incontrôlée
Fais-moi signe, je suis d’une fragilité
Digne de l’arc-en-ciel, riche en sentiments
Regarde-moi, je suis prodigieuse…
Laisse-moi tes mots, tes phrases abrégées
Enivre-moi de cette douce volupté
Emmène-moi au pays des étoiles nées
Et de leur incroyable destinée.
Emmène-moi loin de tout cela
Laisse-moi croire à ça
Laisse-moi y croire, j en ai besoin
Vivre au loin
Ensemble même longueur d’onde
Vite, n’attendons pas que le monde
Reste sur ce canal
Quelque peu banal
L’un sans l’autre
Impossible, violence dans mes mots
Que veux-tu que j’y fasse…. Nous sommes l’autre.….
Toi sans moi, souffrance soubressaut
Besoin de toi, mon doux, mon tendre, mon château….
Besoin de toi, chaleur, tendresse, complicité
Envie de rire, de chahuter, de pleurer
Etrange sensation de liberté
Des nuages se moquer….
Avec la pluie se laver
Il me faut toi
Il me faut ton toi, ton âme, tes rires
Il me faut, en soi,
Qu’un irrésistible besoin de parcourir
Cette vie avec toi…..
Écoute-moi, regarde-moi
Je sens les choses, je les vis
Entends-moi, accompagne-moi
Aide-moi, je t’en prie……
Je t’aime
Création du mot « insoutenance »
Je suis vidée de toute cette errance
Aide-moi, emmène-moi
Dans ton dos derrière toi
Cette dernière tolérance
Ce besoin de défaillance
Cette inéluctable connivence
Cet insoutenable délivrance
Je ne suis qu’onomatopée,
Face à ce silence
J’existe en pointillé
Face à ton absence
J’implore de toi, ta délicieuse
Imprévision, ton étonnant
Pouvoir de facilité
Ton toi, ton rire, ton âme incontrôlée
Fais-moi signe, je suis d’une fragilité
Digne de l’arc-en-ciel, riche en sentiments
Regarde-moi, je suis prodigieuse…
Laisse-moi tes mots, tes phrases abrégées
Enivre-moi de cette douce volupté
Emmène-moi au pays des étoiles nées
Et de leur incroyable destinée.
Emmène-moi loin de tout cela
Laisse-moi croire à ça
Laisse-moi y croire, j en ai besoin
Vivre au loin
Ensemble même longueur d’onde
Vite, n’attendons pas que le monde
Reste sur ce canal
Quelque peu banal
L’un sans l’autre
Impossible, violence dans mes mots
Que veux-tu que j’y fasse…. Nous sommes l’autre.….
Toi sans moi, souffrance soubressaut
Besoin de toi, mon doux, mon tendre, mon château….
Besoin de toi, chaleur, tendresse, complicité
Envie de rire, de chahuter, de pleurer
Etrange sensation de liberté
Des nuages se moquer….
Avec la pluie se laver
Il me faut toi
Il me faut ton toi, ton âme, tes rires
Il me faut, en soi,
Qu’un irrésistible besoin de parcourir
Cette vie avec toi…..
Écoute-moi, regarde-moi
Je sens les choses, je les vis
Entends-moi, accompagne-moi
Aide-moi, je t’en prie……
Je t’aime
Dim 18 Avril 2004, 22:57 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Libertin
Citation: |
"Le coeur d’un libertin est fait comme une auberge,on y trouve à tout heure un grand feu bien nourri" Alfred de Musset |
Mon auberge sans être trois étoiles(un peu de symbolisme) , se voudrait espagnole et le meilleur moyen de la découvrir n’est-il pas d’en pousser la porte ?
Tout le monde est accepté, de la simple servante à la plus exquise marquise
Comme un oiseau...
Comme un oiseau sans aile,
Il se sent triste sans elle.
Comme un arbre sans fruit,
Elle est perdue sans lui.
Cette amitié immense
Commencée comme une danse,
Renait sous un nouveau jour
Evolue peu à peu vers l’Amour
Jamais ne se sont touchés
Par la fenêtre se sont aimés,
Trouver l’âme soeur sur la toile
Dans ses yeux brillent ses étoiles
Peur de s’être si souvent trompés,
Angoissés, réapprendre à aimer.
Amour amitié,peur bonheur; tous sentiments mêlés,
Ils vont enfin se rencontrer !
Se servir du passé, sans peur du lendemain,
S’apprivoiser en se prenant la main.
Elle veut croire qu’Il est son miroir,
Il a peur de se retrouver dans le noir.
L’aime-t-Il ? Elle n’en sait rien
L’aime-t-Elle ? Il n’en sait rien.
Au bout se trouve peut-être le bonheur
Et ce jour-là, Ils n’auront plus peur...
Il se sent triste sans elle.
Comme un arbre sans fruit,
Elle est perdue sans lui.
Cette amitié immense
Commencée comme une danse,
Renait sous un nouveau jour
Evolue peu à peu vers l’Amour
Jamais ne se sont touchés
Par la fenêtre se sont aimés,
Trouver l’âme soeur sur la toile
Dans ses yeux brillent ses étoiles
Peur de s’être si souvent trompés,
Angoissés, réapprendre à aimer.
Amour amitié,peur bonheur; tous sentiments mêlés,
Ils vont enfin se rencontrer !
Se servir du passé, sans peur du lendemain,
S’apprivoiser en se prenant la main.
Elle veut croire qu’Il est son miroir,
Il a peur de se retrouver dans le noir.
L’aime-t-Il ? Elle n’en sait rien
L’aime-t-Elle ? Il n’en sait rien.
Au bout se trouve peut-être le bonheur
Et ce jour-là, Ils n’auront plus peur...
Ven 26 Mars 2004, 08:03 par
Mout sur L'amour en vrac
le grand cirque
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs
Bienvenue au spectacle dont vous êtes les acteurs !...
Acrobate, passer les obstacles en souplesse
En toute occasion faire preuve d’adresse
En contorsions de l’esprit, dépasser ses faiblesses
Plier ses malheurs en 4, se pencher vers la tendresse
Troubadour, avoir dans son sac suffisamment de tours
Pour se jouer de la vie comme d’un mauvais public
Jongler avec des coeurs épris, aimer sans détours
Sentir dans sa main que viendra bientôt le déclic
Clown , sourire rayonnant sur la piste aux étoiles
Seul dans les coulisses, la souffrance se dévoile
Derrière un nez rouge cacher aux autres son intérieur
Ce monde dont ils ne soupçonnent pas la lourdeur
Dompteur, de pensées agressives, d’envies carnassières
Maîtriser ses passions, résister à la folie meurtrière
Dominer sa peur et cet instinct de tueur
Pour ne voir dans ces yeux qu’une douce lueur
Trapéziste de l’amour, s’envoyer en l’air, s’effleurer
S’envoler, se lacher pour mieux se rattraper
Se faire peur en défiant le vide ...ô misère !
Parfois se rater...s’écraser, chagrin contre terre
Equilibriste des sentiments, jouant sur la corde raide
Maudire son âme, à son coeur demander de l’aide
Aux vertiges des sens, opposer les lois de la gravité
Mais nous finirons plus bas que nous avons commencé...
La tulipe noire ...9 juin 2003
Bienvenue au spectacle dont vous êtes les acteurs !...
Acrobate, passer les obstacles en souplesse
En toute occasion faire preuve d’adresse
En contorsions de l’esprit, dépasser ses faiblesses
Plier ses malheurs en 4, se pencher vers la tendresse
Troubadour, avoir dans son sac suffisamment de tours
Pour se jouer de la vie comme d’un mauvais public
Jongler avec des coeurs épris, aimer sans détours
Sentir dans sa main que viendra bientôt le déclic
Clown , sourire rayonnant sur la piste aux étoiles
Seul dans les coulisses, la souffrance se dévoile
Derrière un nez rouge cacher aux autres son intérieur
Ce monde dont ils ne soupçonnent pas la lourdeur
Dompteur, de pensées agressives, d’envies carnassières
Maîtriser ses passions, résister à la folie meurtrière
Dominer sa peur et cet instinct de tueur
Pour ne voir dans ces yeux qu’une douce lueur
Trapéziste de l’amour, s’envoyer en l’air, s’effleurer
S’envoler, se lacher pour mieux se rattraper
Se faire peur en défiant le vide ...ô misère !
Parfois se rater...s’écraser, chagrin contre terre
Equilibriste des sentiments, jouant sur la corde raide
Maudire son âme, à son coeur demander de l’aide
Aux vertiges des sens, opposer les lois de la gravité
Mais nous finirons plus bas que nous avons commencé...
La tulipe noire ...9 juin 2003
Dim 29 Fév 2004, 14:22 par
la_tulipe_noire sur L'amour en vrac
Sur ta piste aux étoiles
à V.
Sur ta piste aux étoiles.
En équilibre sur ton fil,
Souvent tu me contes les phobies
De ce chemin si difficile
Qui encombre ta vie.
De pas en pas, de ne pas... en ne pas...
Tu luttes puis baisses les bras.
Ta perche touche le sol
Redresse-toi et vole.
Mes filets te recueillent
Ma douceur pénètre ton deuil
Ton costume se déchire
Prends et respire.
J’ai souvent peur d’en faire trop...
D’entrer dans la loge interdite
De violer ton âme, tes mots
De ne pas comprendre cette vie maudite.
Toi ... tes sarcasmes, ton grimage
Ton spectacle d’illusionniste
Ton esprit sans visage
Qui se cache au centre de la piste.
Moi... spectatrice de ton desespoir
Assise au milieu du public
J’attends que tu reviennes un soir
Que tu me rejoues la scène du comique
... celle du petit clown noir
La marquise de sade ... une étoile dans la nuit
Sur ta piste aux étoiles.
En équilibre sur ton fil,
Souvent tu me contes les phobies
De ce chemin si difficile
Qui encombre ta vie.
De pas en pas, de ne pas... en ne pas...
Tu luttes puis baisses les bras.
Ta perche touche le sol
Redresse-toi et vole.
Mes filets te recueillent
Ma douceur pénètre ton deuil
Ton costume se déchire
Prends et respire.
J’ai souvent peur d’en faire trop...
D’entrer dans la loge interdite
De violer ton âme, tes mots
De ne pas comprendre cette vie maudite.
Toi ... tes sarcasmes, ton grimage
Ton spectacle d’illusionniste
Ton esprit sans visage
Qui se cache au centre de la piste.
Moi... spectatrice de ton desespoir
Assise au milieu du public
J’attends que tu reviennes un soir
Que tu me rejoues la scène du comique
... celle du petit clown noir
La marquise de sade ... une étoile dans la nuit
Sam 28 Fév 2004, 17:03 par
la marquise de sade sur Un monde parfait
Re: Et ?
lune inspirée a écrit: |
Nous sommes le 8 Février 2004. Aujourd’hui, il fait froid gris dehors. Qu’en est-il de ton amour ? Cette rencontre fut-elle la seule et unique ou, au contraire, le début d’une relation véritable et durable ? |
Et .. la suite je l’ai racontée dans un post précédent...
Il est reparti comme il est venu, sur son cheval blanc ( ici il s’agit d’un bleu métalisé ...) cheveux au vent me laissant avec des étoiles plein les yeux et quelques mots qui raisonnaient ...
Le conte s’est prolongé une nuit encore pour moi, le temps qu’il me dise le lendemain qu’il n’était pas prêt à vivre cette distance entre nous, qu’il ne voulait pas que ces semaines deviennent des comptes à rebours entre nos rencontres, qu’il ne se sentait pas prêt à subir de nouveau des douleurs amoureuses, qu’il n’était pas fait pour vivre avec quelqu’un et qu’il voulait qu’on reste ensemble... dans le virtuel...
A ce jour, nous nous parlons peu, un malaise tacite s’est installé, nous n’osons plus aborder certains sujets de peur de frustrer l’autre ou de le culpabiliser. Nos mp se font plus rares, plus superficiels. Nos confidences n’existent plus, nos peurs et nos joies ne sont plus partagées. Le telephone a encore marché les quelques jours qui ont suivi la rencontre, sans doute plus pour m’apaiser moi que lui, les sms se sont éteints.
Et ce soir, pour la première fois depuis la rencontre, il est en mp avec moi, un soir, juste en tête à tête... Ca fait bizarre...
Peut-être ressent-il ce meme manque de l’autre finalement...
La marquise... eternelle fleur bleue malgré les apparences
Lun 09 Fév 2004, 21:56 par
la marquise de sade sur Amour internet
à Christine et Marie ....
en écho à ton message marquise, je voudrais vous transmettre les écrits de mon âme jumelle .... belle histoire, triste fin
=============================
A votre avis, devenir maman grâce (à cause de?) à internet, vous croyez que ça veut dire qu’internet peut changer une vie ? ;-)
Quand on vit seule dans une ville comme Paris, internet c’est une bénédiction. D’abord, pour mener une vie de débauches (vi, je sais... merci internet), et puis, un jour, suite à une annonce (... sur internet), une rencontre qui ne se passe pas comme les autres, la découverte du grand amour (oué, oué, merci internet), un déménagement à l’étranger (pour vivre avec Lui, bien sûr) et, dans la foulée, un magnifique bébé qui reste en contact étroit avec ses grands-parents grâce à... Internet !
Tout ça, ca vaut bien des milliers d’ASV pour rien, non ?!
;-)
==================================================
A la demande générale, je développe mon avis:
En été 2000, mon bureau me mute (bon d’accord, c’était un petit peu à ma demande, pffff) sur Paris où je ne connaissais absolument personne. Ceci dit, Paris quand on a 30 ans et qu’on est célibataire, ce n’est pas ce qu’il y a de pire...
Durant les quelques mois suivant mon arrivée, j’ai donc "meublé" mes soirées grâce à internet: d’abord sur des sites de tchatche et de rencontres, ensuite en organisant de nombreuses soirées avec des personnes rencontrées sur ces sites. Et puis, un jour, au bureau (bah oui, chuis accro, je vous ai dit, je me connectais même au boulot), un jeune homme se connecte sur le site de rencontres sur lequel j’étais inscrite. Par un réflexe habituel, je clique sur son profil... ouaaaaaaaaah, la photo !!!!! Ouaaaaaaah, les beaux yeux bleus ! Enfin, bref, je plonge, je drague (je sais, c po bô pour une fille de faire ça) et le soir de la rencontre fatidique, je suis là, à rougir comme une collégienne, encombrée de mes deux mains (tiens, quand est-ce qu’on m’a mis ça??) J’ose à peine le regarder, mais chaque fois que j’ose un coup d’oeil en coin, son sourire me fait craquer. Merde, c’est pourtant pas du tout mon genre de faire dans la guimauve, keski m’arrive ! Enfin, on commande un verre , on discute un peu (lui surtout, moi je bois ses paroles au détriment de mon verre de vin) et lorsqu’on se quitte sur le quai du métro, je l’enlace et je l’embrasse (ouiiiiiiiiii, j’ai osé faire ça !!!!) Je suis rentrée chez moi des étoiles plein les yeux. "C’est le plus beau, le plus gentil, le plus charmant, le plus sexy, le plus tendre, le plus plus, quoi !!!"
=============================
A votre avis, devenir maman grâce (à cause de?) à internet, vous croyez que ça veut dire qu’internet peut changer une vie ? ;-)
Quand on vit seule dans une ville comme Paris, internet c’est une bénédiction. D’abord, pour mener une vie de débauches (vi, je sais... merci internet), et puis, un jour, suite à une annonce (... sur internet), une rencontre qui ne se passe pas comme les autres, la découverte du grand amour (oué, oué, merci internet), un déménagement à l’étranger (pour vivre avec Lui, bien sûr) et, dans la foulée, un magnifique bébé qui reste en contact étroit avec ses grands-parents grâce à... Internet !
Tout ça, ca vaut bien des milliers d’ASV pour rien, non ?!
;-)
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A la demande générale, je développe mon avis:
En été 2000, mon bureau me mute (bon d’accord, c’était un petit peu à ma demande, pffff) sur Paris où je ne connaissais absolument personne. Ceci dit, Paris quand on a 30 ans et qu’on est célibataire, ce n’est pas ce qu’il y a de pire...
Durant les quelques mois suivant mon arrivée, j’ai donc "meublé" mes soirées grâce à internet: d’abord sur des sites de tchatche et de rencontres, ensuite en organisant de nombreuses soirées avec des personnes rencontrées sur ces sites. Et puis, un jour, au bureau (bah oui, chuis accro, je vous ai dit, je me connectais même au boulot), un jeune homme se connecte sur le site de rencontres sur lequel j’étais inscrite. Par un réflexe habituel, je clique sur son profil... ouaaaaaaaaah, la photo !!!!! Ouaaaaaaah, les beaux yeux bleus ! Enfin, bref, je plonge, je drague (je sais, c po bô pour une fille de faire ça) et le soir de la rencontre fatidique, je suis là, à rougir comme une collégienne, encombrée de mes deux mains (tiens, quand est-ce qu’on m’a mis ça??) J’ose à peine le regarder, mais chaque fois que j’ose un coup d’oeil en coin, son sourire me fait craquer. Merde, c’est pourtant pas du tout mon genre de faire dans la guimauve, keski m’arrive ! Enfin, on commande un verre , on discute un peu (lui surtout, moi je bois ses paroles au détriment de mon verre de vin) et lorsqu’on se quitte sur le quai du métro, je l’enlace et je l’embrasse (ouiiiiiiiiii, j’ai osé faire ça !!!!) Je suis rentrée chez moi des étoiles plein les yeux. "C’est le plus beau, le plus gentil, le plus charmant, le plus sexy, le plus tendre, le plus plus, quoi !!!"
Mar 13 Jan 2004, 14:13 par
la_tulipe_noire sur Amour internet
Ecrire sur étoiles
Cristal, Danse amoureuse, Une route dans les étoiles., Mes yeux rivés vers les étoiles, Mois contre moi, car rapace (pour Yves), Arthur Rimbaud, Poésies - "Ma bohème" -, L'un et l'autre., C'était en juin...., Libertin, Comme un oiseau..., le grand cirque, Sur ta piste aux étoiles, Re: Et ?, à Christine et Marie ....,Il y a 92 textes utilisant le mot étoiles. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
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Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
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- aimer
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