Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur étoile - Page 2 sur 5
Une réponse en poème
Merci Stéphane de ta réponse et du compliment. Il parait que je suis sympathique!lol
J’ai envie de te répondre en poème improvisé sur le vif au réveil, peu dormi cette nuit...Ma tête agitée en tous sens.
Tes mots je les connais bien, cette solitude qui pèse, ce besoin de partage, de trouver son alter-ego, celui ou celle qui comprendra notre intériorité, même si toujours une partie de nous lui échappe. Celui ou celle qui saura faire avec notre sensibilité.
Cela commençait ainsi :
Peut-on s’entraider?
Oui, pourquoi pas, qui sait?
Peut-être trouverons-nous ensembles
Les clefs de notre future félicité?
J’ai le cœur amoureux
Rapiécé, brisé
En milles morceaux
Je me suis brulée
Au jeu de la passion
L’homme qui m’avait
Dérobé mon cœur
Il y a plus d’un an de cela
A décidé de le laisser choir
Un beau matin d’octobre
Il y a peu...
Le pauvre cœur a bien saigné
S’est senti abandonné...
Des larmes ont été versées,
Des cris de douleur étouffés
Mais je me suis accrochée
Peu à peu j’ai recommencé
A respirer
Je suis remontée à la surface
J’ai recouvré mon espace
Mais l’homme en question
Est venu quémander
Il y a quelques heures
Par message interposé
Puisqu’il vit dans une autre cité
Les restes de mon cœur laminé
Par ses mots remplis de cruauté
Par, après tant d’amour,
Son, sans appel, rejet
Et moi, pauvre de moi
J’ai imaginé, espéré
Mon cœur s’est mis à batifoler
Agiter ses petites ailes désespérées
Mais l’espoir a été de courte durée
Car très vite l’homme s’est avéré
Fidèle à lui-même
Distillant sa haine
Refusant de regarder
Le poids de sa méchanceté
Passée...
Il faut dire que je suis bien mal tombé
C’était un homme intéressé
Pas tant par l’argent,
C’était un peu plus compliqué
Mais je ne vais pas me lancer
Dans les détails de sa cupidité
En tous les cas j’ai tiré le mauvais numéro
Jamais eu de chance à la loterie!
Il a failli me faire devenir Caliméro
Trouver ce monde « trop injuste »
Je me suis sentie si meurtrie...
Pour un homme amoureux
Dit-il...
Voulant me reconquérir
Il ne lui aura fallu qu’une demi-heure
Pour qu’il décide de nouveau de m’abandonner
Non content de surcroit de me culpabiliser!
Tellement de mensonges dans sa bouche
De situations embrouillées, louches
Bref, de lui je veux définitivement me détourner
Car il a l’âme et le cœur vil
Il ne sait que me détruire
Heureusement pour moi
J’ai cette foi en la Vie
Qui fait que je m’accroche aux petits bonheur
Un sourire, un mot gentil
Me remplissent le cœur
Tellement d’amour à donner,
A partager...
Mais je vais m’en garder
Un peu quelques temps
Jalousement, égoïstement
Le temps que mes ailes repoussent
Totalement
Le temps de réapprendre à voler
Le temps d’oser de nouveau s’élancer
Prendre le temps de soigner mes blessures
Parce qu’au prochain amour
Je veux pouvoir aller vers l’Autre
Le cœur débarrassé
De cette douleur, cette déception
Etre plus sûre de moi et des raisons
Qui m’amèneraient à écrire : « nous »
Chez moi, dans mon intériorité
Cesser d’aimer
C’est me demander d’abandonner
Une partie de moi-même
C’est douloureux à chaque fois
Comme un réveil post-opératoire
Où l’on se sent différente, un peu groggy
Endeuillée, mais grandie...
Remplie d’un nouveau savoir
Je voudrais tant distinguer et reconnaitre
Celui par qui je serai liée
Pour l’éternité
Chaque fois j’y crois
Je prépare mon envol
Me déploie
Mais l’atterrissage
Me terrasse sur le carrelage
J’échoue sur un sol
Froid et inaccueillant
Et dans mon cœur : le néant
Fin du voyage...
Mais peu à peu la vie reprend ses droits
Le hasard ou l’héritage? M’a doté
Par chance
D’une bonne vitalité
C’est ma bonne étoile
Ma petite fée
Ce don magnifique d’aimer
La Nature, les Etres Humains
Je l’ai viscéralement vissé
A ma personnalité
C’est ce qui me sauve
Me fait remonter
Et tendre de nouveau la main
Armée d’espérance
Hissant les voiles
Vers un nouveau destin
Trouver cet équilibre fragile
Entre nos espoirs intérieurs
Et cet Autre que l’on rencontre
Avec sa propre histoire
Ses joies, ses peines,
Ses renoncements
Et les nôtres
Réussir, quelle gageüre!
A les faire converger
Avec bonheur
Tout en respectant
Un bout de jardin secret
Tel est pour moi le défi
A relever
Pour ces quelques prochaines années...
Voilà! je n’ai peut-être pas vraiment répondu à tes questions? même si il y a quelques réponses dans ce texte. si tu veux j’essaierai de le faire dans un autre message. Mais j’avais envie de partager mes mots ici ce matin.
au plaisir de te lire et d’échanger avec toi. Bon courage à toi stéphane!
Sophy
J’ai envie de te répondre en poème improvisé sur le vif au réveil, peu dormi cette nuit...Ma tête agitée en tous sens.
Tes mots je les connais bien, cette solitude qui pèse, ce besoin de partage, de trouver son alter-ego, celui ou celle qui comprendra notre intériorité, même si toujours une partie de nous lui échappe. Celui ou celle qui saura faire avec notre sensibilité.
Cela commençait ainsi :
Peut-on s’entraider?
Oui, pourquoi pas, qui sait?
Peut-être trouverons-nous ensembles
Les clefs de notre future félicité?
J’ai le cœur amoureux
Rapiécé, brisé
En milles morceaux
Je me suis brulée
Au jeu de la passion
L’homme qui m’avait
Dérobé mon cœur
Il y a plus d’un an de cela
A décidé de le laisser choir
Un beau matin d’octobre
Il y a peu...
Le pauvre cœur a bien saigné
S’est senti abandonné...
Des larmes ont été versées,
Des cris de douleur étouffés
Mais je me suis accrochée
Peu à peu j’ai recommencé
A respirer
Je suis remontée à la surface
J’ai recouvré mon espace
Mais l’homme en question
Est venu quémander
Il y a quelques heures
Par message interposé
Puisqu’il vit dans une autre cité
Les restes de mon cœur laminé
Par ses mots remplis de cruauté
Par, après tant d’amour,
Son, sans appel, rejet
Et moi, pauvre de moi
J’ai imaginé, espéré
Mon cœur s’est mis à batifoler
Agiter ses petites ailes désespérées
Mais l’espoir a été de courte durée
Car très vite l’homme s’est avéré
Fidèle à lui-même
Distillant sa haine
Refusant de regarder
Le poids de sa méchanceté
Passée...
Il faut dire que je suis bien mal tombé
C’était un homme intéressé
Pas tant par l’argent,
C’était un peu plus compliqué
Mais je ne vais pas me lancer
Dans les détails de sa cupidité
En tous les cas j’ai tiré le mauvais numéro
Jamais eu de chance à la loterie!
Il a failli me faire devenir Caliméro
Trouver ce monde « trop injuste »
Je me suis sentie si meurtrie...
Pour un homme amoureux
Dit-il...
Voulant me reconquérir
Il ne lui aura fallu qu’une demi-heure
Pour qu’il décide de nouveau de m’abandonner
Non content de surcroit de me culpabiliser!
Tellement de mensonges dans sa bouche
De situations embrouillées, louches
Bref, de lui je veux définitivement me détourner
Car il a l’âme et le cœur vil
Il ne sait que me détruire
Heureusement pour moi
J’ai cette foi en la Vie
Qui fait que je m’accroche aux petits bonheur
Un sourire, un mot gentil
Me remplissent le cœur
Tellement d’amour à donner,
A partager...
Mais je vais m’en garder
Un peu quelques temps
Jalousement, égoïstement
Le temps que mes ailes repoussent
Totalement
Le temps de réapprendre à voler
Le temps d’oser de nouveau s’élancer
Prendre le temps de soigner mes blessures
Parce qu’au prochain amour
Je veux pouvoir aller vers l’Autre
Le cœur débarrassé
De cette douleur, cette déception
Etre plus sûre de moi et des raisons
Qui m’amèneraient à écrire : « nous »
Chez moi, dans mon intériorité
Cesser d’aimer
C’est me demander d’abandonner
Une partie de moi-même
C’est douloureux à chaque fois
Comme un réveil post-opératoire
Où l’on se sent différente, un peu groggy
Endeuillée, mais grandie...
Remplie d’un nouveau savoir
Je voudrais tant distinguer et reconnaitre
Celui par qui je serai liée
Pour l’éternité
Chaque fois j’y crois
Je prépare mon envol
Me déploie
Mais l’atterrissage
Me terrasse sur le carrelage
J’échoue sur un sol
Froid et inaccueillant
Et dans mon cœur : le néant
Fin du voyage...
Mais peu à peu la vie reprend ses droits
Le hasard ou l’héritage? M’a doté
Par chance
D’une bonne vitalité
C’est ma bonne étoile
Ma petite fée
Ce don magnifique d’aimer
La Nature, les Etres Humains
Je l’ai viscéralement vissé
A ma personnalité
C’est ce qui me sauve
Me fait remonter
Et tendre de nouveau la main
Armée d’espérance
Hissant les voiles
Vers un nouveau destin
Trouver cet équilibre fragile
Entre nos espoirs intérieurs
Et cet Autre que l’on rencontre
Avec sa propre histoire
Ses joies, ses peines,
Ses renoncements
Et les nôtres
Réussir, quelle gageüre!
A les faire converger
Avec bonheur
Tout en respectant
Un bout de jardin secret
Tel est pour moi le défi
A relever
Pour ces quelques prochaines années...
Voilà! je n’ai peut-être pas vraiment répondu à tes questions? même si il y a quelques réponses dans ce texte. si tu veux j’essaierai de le faire dans un autre message. Mais j’avais envie de partager mes mots ici ce matin.
au plaisir de te lire et d’échanger avec toi. Bon courage à toi stéphane!
Sophy
Mer 28 Nov 2007, 07:55 par
Sophy sur Histoires d'amour
Réflexion nocturne
Réflexion nocturne (écrit dans la nuit du 01/11 au 02/11)
Un vert profond, mystique, séculaire, reposant au fond d’une fraîche coupe translucide surmontant un pied. Voir le précieux liquide, déformé par quelques effet optiques du verre finement ouvragé, se brouiller peu à peu au contact de l’eau glaciale. Observer longuement les volutes fugitive formé par la réunion du péché et de la vertu. Détourner parfois le regard pour se laisser aspirer par la lueur de la bougie. Vainement tenter d’analyser les subtil mouvements de la flamme dansant avec son propre souffle. Constater comme sa propre vie peu en faire vaciller une autre et bientôt l’éteindre par un brusque sursaut. Sentir l’ivresse monter en soi, laisser peu à peu sa tète se balancer au rythme de la troublante flammèche et savourer la caresse de ses cheveux sur ses joues. S’arrêter un instant, se poser des questions sans importance à l’échelle de l’univers ou même de l’humanité, mais tellement pleine de sens et d’une écrasante nécessité pour soi même. Croire au destin? A une naissance sous une étoile malheureuse, amener à n’avoir que la tendresse amoureuse pour préoccupation principale et en être constamment privé par sa propre faute? Au karma peut-être? A une série d’atroce crime à expier dans une vie de souffrance sans fond? S’en tenir au rationnel alors? Penser que seule ses actions présente et son être intrinsèque sont les coupables? Peut importe au final, trouver l’assassin à-t-il jamais rendu les victimes à leur famille? Retracer les faits, méthodiquement, un à un dans son esprit. Faire défiler une vie de mensonge, de regret, d’erreur volontaire et de masochisme intellectuel. Saisir un instant le visage de l’unique, de la lumière divine, se remémorer son départ, établir son échec. Graver à présent un portrait nouveau, célébrer l’espoir naissant et admirer le naufrage.
Aller se coucher, prier pour des rêves et des lendemains plus doux. Avoir un éclair de lucidité avant un autre de griserie, espérer simplement être encore en vie demain matin… Peut-être pas…
Un vert profond, mystique, séculaire, reposant au fond d’une fraîche coupe translucide surmontant un pied. Voir le précieux liquide, déformé par quelques effet optiques du verre finement ouvragé, se brouiller peu à peu au contact de l’eau glaciale. Observer longuement les volutes fugitive formé par la réunion du péché et de la vertu. Détourner parfois le regard pour se laisser aspirer par la lueur de la bougie. Vainement tenter d’analyser les subtil mouvements de la flamme dansant avec son propre souffle. Constater comme sa propre vie peu en faire vaciller une autre et bientôt l’éteindre par un brusque sursaut. Sentir l’ivresse monter en soi, laisser peu à peu sa tète se balancer au rythme de la troublante flammèche et savourer la caresse de ses cheveux sur ses joues. S’arrêter un instant, se poser des questions sans importance à l’échelle de l’univers ou même de l’humanité, mais tellement pleine de sens et d’une écrasante nécessité pour soi même. Croire au destin? A une naissance sous une étoile malheureuse, amener à n’avoir que la tendresse amoureuse pour préoccupation principale et en être constamment privé par sa propre faute? Au karma peut-être? A une série d’atroce crime à expier dans une vie de souffrance sans fond? S’en tenir au rationnel alors? Penser que seule ses actions présente et son être intrinsèque sont les coupables? Peut importe au final, trouver l’assassin à-t-il jamais rendu les victimes à leur famille? Retracer les faits, méthodiquement, un à un dans son esprit. Faire défiler une vie de mensonge, de regret, d’erreur volontaire et de masochisme intellectuel. Saisir un instant le visage de l’unique, de la lumière divine, se remémorer son départ, établir son échec. Graver à présent un portrait nouveau, célébrer l’espoir naissant et admirer le naufrage.
Aller se coucher, prier pour des rêves et des lendemains plus doux. Avoir un éclair de lucidité avant un autre de griserie, espérer simplement être encore en vie demain matin… Peut-être pas…
Lun 26 Nov 2007, 20:58 par
Maneki Neko sur L'amour en vrac
Rêve brisé
Mon secret a moi, je l‘enfoui jalousement au fond de mon cœur, je le cache et le préserve, car il me procure le bonheur des moments passés, la chaleur de ces gestes sincères, qui ont su défaire mes peines.
Je me laisse bercer par cette nostalgie nourrit d’un espoir fragile, mais assez fort pour résister aux vents glaciales du destin. Je croise sur mon chemin, une chance qui me fait croire en ma bonne étoile, je croise les doigts pour que ce cadeau ne soit aussi éphémère. Mais minuit sonne et déjà la magie est déjouée, mon rêve se noie dans un océan vaste d’illusions.
Mes rêves, fruits de non raison, d’idéales et de caprices existent quelque parts dans un monde ou hasard et destin se mêlent, se côtoient et s’évitent, Le temps, d’un geste généreux et gracieux, me fait goûter au charme pour me l’ôter aussitôt. L’amertume chasse la joie certes, mais le goût sucré survit une fois la flamme du souvenir caresse l’esprit.
Nos rêves conditionnent notre perception du bonheur, lui donnent une vie, pour l’abandonner et sombrer dans l’absurdité et l’incompréhensible ; Peut on blâmer le temps d’être assez cruel vis-à-vis de nos caprices de petits humains insensés ? Serait on aussi candide pour se laisser piéger par ce jeu peu honnête du bonheur ?
Je cède a la normalité des choses, je continue à vivre emportant ce petit secret qui chagrine mon cœur et me donne force et sourire. Mon secret a moi, est un rêve volé que j’ai pu savourer, ce sont quelques lignes qui ont repeint en couleurs vives mon existence terne ;
Autant en emporte le vent, mon secret n’existe plus que dans ma mémoire, témoin d’une quiétude incomparable, d’une tendresse infinie, et d’un sourire dont seules les traces en restent.
Je me laisse bercer par cette nostalgie nourrit d’un espoir fragile, mais assez fort pour résister aux vents glaciales du destin. Je croise sur mon chemin, une chance qui me fait croire en ma bonne étoile, je croise les doigts pour que ce cadeau ne soit aussi éphémère. Mais minuit sonne et déjà la magie est déjouée, mon rêve se noie dans un océan vaste d’illusions.
Mes rêves, fruits de non raison, d’idéales et de caprices existent quelque parts dans un monde ou hasard et destin se mêlent, se côtoient et s’évitent, Le temps, d’un geste généreux et gracieux, me fait goûter au charme pour me l’ôter aussitôt. L’amertume chasse la joie certes, mais le goût sucré survit une fois la flamme du souvenir caresse l’esprit.
Nos rêves conditionnent notre perception du bonheur, lui donnent une vie, pour l’abandonner et sombrer dans l’absurdité et l’incompréhensible ; Peut on blâmer le temps d’être assez cruel vis-à-vis de nos caprices de petits humains insensés ? Serait on aussi candide pour se laisser piéger par ce jeu peu honnête du bonheur ?
Je cède a la normalité des choses, je continue à vivre emportant ce petit secret qui chagrine mon cœur et me donne force et sourire. Mon secret a moi, est un rêve volé que j’ai pu savourer, ce sont quelques lignes qui ont repeint en couleurs vives mon existence terne ;
Autant en emporte le vent, mon secret n’existe plus que dans ma mémoire, témoin d’une quiétude incomparable, d’une tendresse infinie, et d’un sourire dont seules les traces en restent.
Ven 26 Oct 2007, 21:47 par
vampira sur Histoires d'amour
La vie ( 12 )...
La vie est belle, le destin s’en écarte, personne ne joue avec les mêmes cartes.
Le berceau lève le voile, multiples sont les routes qu’il dévoile.
Tant pis, on n’est pas nés sous la même étoile.
IAM
Le berceau lève le voile, multiples sont les routes qu’il dévoile.
Tant pis, on n’est pas nés sous la même étoile.
IAM
Mar 09 Oct 2007, 15:01 par
Satine sur Mille choses
Son étoile au Roi mage
Un jour on saura faire un chêne en quelques mois
Et d’un bout d’algue sèche une peau de chamois;
D’une enfant pré-pubère en un texte une adulte
Et du mot liberté la plus coupable insulte.
On mangera des pots de toutes les couleurs
À qui l’on donnera de jolis noms de fleurs.
On ira de Madrid à Melbourne en fusée,
Si vite qu’on n’aura de notre terre usée
Plus le moindre scrupule. On sera si nombreux
Que l’homme et l’animal iront se mordre entre eux.
La lune appartiendra toute à l’armée chinoise
Et le désert viendra de la vie champenoise
Troubler l’auguste allure. Il pleuvra deux fois l’an
Dans des cuves d’eau douce à l’envi d’un palan.
Vénus aura l’éclat d’un joint de bakélite
Quand l’aura remplacée le dernier satellite.
Après l’âme et les poils, les seins disparaîtront:
On comptera le charme à la taille du front.
Le bonheur, ce sera ce gadget inutile,
Cet appareil obscur, cet apparat futile;
Ce sera cet amour que l’on ne fera plus;
Ce seront ces vers blancs qu’on n’aura jamais lus;
Ce sera notre monde, un monde à notre image,
Où l’on aura volé son étoile au Roi mage...
Et d’un bout d’algue sèche une peau de chamois;
D’une enfant pré-pubère en un texte une adulte
Et du mot liberté la plus coupable insulte.
On mangera des pots de toutes les couleurs
À qui l’on donnera de jolis noms de fleurs.
On ira de Madrid à Melbourne en fusée,
Si vite qu’on n’aura de notre terre usée
Plus le moindre scrupule. On sera si nombreux
Que l’homme et l’animal iront se mordre entre eux.
La lune appartiendra toute à l’armée chinoise
Et le désert viendra de la vie champenoise
Troubler l’auguste allure. Il pleuvra deux fois l’an
Dans des cuves d’eau douce à l’envi d’un palan.
Vénus aura l’éclat d’un joint de bakélite
Quand l’aura remplacée le dernier satellite.
Après l’âme et les poils, les seins disparaîtront:
On comptera le charme à la taille du front.
Le bonheur, ce sera ce gadget inutile,
Cet appareil obscur, cet apparat futile;
Ce sera cet amour que l’on ne fera plus;
Ce seront ces vers blancs qu’on n’aura jamais lus;
Ce sera notre monde, un monde à notre image,
Où l’on aura volé son étoile au Roi mage...
Lun 06 Août 2007, 09:06 par
AnPrionsaBeag sur Un monde parfait
Une aube nouvelle ou notre amour sera éternel
J’aime l’horizon de tes yeux ou se dévoilent les éclats d’étoiles qui illuminent ton regard.
J’aime le délicat sourire de ton visage quand l’amour t’habille de ses bras.
Tu es ma fleur d’émotions, au doux parfum de dépendance.
Mon âme soeur, ma couleur de vie, mon voeu, mon attente de toujours.
Alors, quand l’arbre des mots, où s’écrit notre avenir, m’a permis d’exaucer un souhait,
Que pouvais je lui demander de plus que de t’avoir déjà rencontré ?
Transcender les spasmes du temps, en saisons qui deviendraient l’écrin de nos pensées ?
Enfermer le ciel de l’éternité, sous la voûte de nos destins partages ?
Caresser la volupté de tes sentiments afin d’effleurer ton âme d’évidence simultanée ?
J’avais atteint le bord des termes du fleuve des émois a ton égard.
Dans quel alcôve se dissimulaient les phrases qui me permettraient d’exprimer l’étendue
de mes sentiments, toujours grandissant, que tu a fait éclore en moi ?
C’est alors , que le vent m’a fait une suggestion, que l’écho a rapporté.
Que chaque étoile porte un fragment de mon âme, qu’elle restituera chaque nuit,
à tes pieds, en brillant jusque dans tes rêves les plus éthérés
bien sûr , rien ne pourra traduire tout ce que je ressens pour toi,
mais aucune nuit ne se reproduira pour te dire combien je t’aime
Chaque jour verra se lever une aube nouvelle ou notre amour sera éternel.
pour toi !!! tu te reconnaitras kiss
J’aime le délicat sourire de ton visage quand l’amour t’habille de ses bras.
Tu es ma fleur d’émotions, au doux parfum de dépendance.
Mon âme soeur, ma couleur de vie, mon voeu, mon attente de toujours.
Alors, quand l’arbre des mots, où s’écrit notre avenir, m’a permis d’exaucer un souhait,
Que pouvais je lui demander de plus que de t’avoir déjà rencontré ?
Transcender les spasmes du temps, en saisons qui deviendraient l’écrin de nos pensées ?
Enfermer le ciel de l’éternité, sous la voûte de nos destins partages ?
Caresser la volupté de tes sentiments afin d’effleurer ton âme d’évidence simultanée ?
J’avais atteint le bord des termes du fleuve des émois a ton égard.
Dans quel alcôve se dissimulaient les phrases qui me permettraient d’exprimer l’étendue
de mes sentiments, toujours grandissant, que tu a fait éclore en moi ?
C’est alors , que le vent m’a fait une suggestion, que l’écho a rapporté.
Que chaque étoile porte un fragment de mon âme, qu’elle restituera chaque nuit,
à tes pieds, en brillant jusque dans tes rêves les plus éthérés
bien sûr , rien ne pourra traduire tout ce que je ressens pour toi,
mais aucune nuit ne se reproduira pour te dire combien je t’aime
Chaque jour verra se lever une aube nouvelle ou notre amour sera éternel.
pour toi !!! tu te reconnaitras kiss
Sam 23 Juin 2007, 00:12 par
joullia sur La déclaration d'amour
La femme virtuelle
La femme virtuelle
Elle est du sud. Elle cuisine les plats de mes vacances. J’ai l’impression de la connaître depuis toujours. Je peux tout partager avec elle. C’est ma confidente.
Quand je suis avec elle, le sablier s’écoule lentement, je suis dans un état de confiance, elle me comprend. Elle se retrouve dans la culture que j’affectionne. Elle aime sa danse, sa pictographie, sa musique et ses textes. J’en sais peu sur sa vie. Elle a connu le froid, la faim, la peur, la séparation ainsi que la mort. Elle a expérimenté beaucoup de sentiments humains. Elle est passée par de riches expériences. En échange, je peux lui offrir que mon sourire, mon attention, mon écoute mais elle me laisse parler, alors en guise de roses, je lui offre ma prose. Que je sais qu’elle apprécie.
Elle me comprend, m’explique la complexité de la femme.
Les faits simples qu’aucun créateur ne pourra jamais reproduire, hormis Univers Infini, elle les apprécie. La Nature et les ballades dans celle-ci, accompagné de son canidé dont elle est la maîtresse. Observer, regarder la voute Céleste, à chercher la grande ourse, à comprendre l’astrologie, à faire des vœux lorsqu’une étoile filante passe. Et dormir avec encore plus d’étoiles que les meilleurs hôtels. Elle a deux planètes privilégiées. Il s’agit de Luna et Vénus. Elle ressemble à la lune, elle est à la fois romantique, et peut-être que tirant sa force de la pleine lune, elle se transforme en Tigresse. Mais la lune l’aide à tenir le coup et lui permet de ne pas sombrer dans la folie. C’est une femme forte. Une Vénus avec la beauté des femmes latines, elle a du charme, un magnifique sourire, des cheveux foncés, un visage soigné dans lequel brillent deux étoiles couleur azur.
Elle est aussi maman. Une femme qui a porté et mis au monde une vie. Une vie dont elle donne tout son amour maternel et transmet une saine éducation avec de vraies valeurs.
Certaines valeurs sont transmises par des textes. Nous en avons tous deux faits l’expérience.
Et si elle pouvait, elle ne vivrait que de lectures, d’eau fraiche et d’Amour.
J’ai écrit ce texte en l’honneur de cette femme, qui est la première, à croire en mes talents d’écrivain. Je lui offre ce premier texte.
Jeaneck, Suisse, le sept juin 2007
PS: toute critique bienvenue, je suis un néophyte...merci d’avance...
Elle est du sud. Elle cuisine les plats de mes vacances. J’ai l’impression de la connaître depuis toujours. Je peux tout partager avec elle. C’est ma confidente.
Quand je suis avec elle, le sablier s’écoule lentement, je suis dans un état de confiance, elle me comprend. Elle se retrouve dans la culture que j’affectionne. Elle aime sa danse, sa pictographie, sa musique et ses textes. J’en sais peu sur sa vie. Elle a connu le froid, la faim, la peur, la séparation ainsi que la mort. Elle a expérimenté beaucoup de sentiments humains. Elle est passée par de riches expériences. En échange, je peux lui offrir que mon sourire, mon attention, mon écoute mais elle me laisse parler, alors en guise de roses, je lui offre ma prose. Que je sais qu’elle apprécie.
Elle me comprend, m’explique la complexité de la femme.
Les faits simples qu’aucun créateur ne pourra jamais reproduire, hormis Univers Infini, elle les apprécie. La Nature et les ballades dans celle-ci, accompagné de son canidé dont elle est la maîtresse. Observer, regarder la voute Céleste, à chercher la grande ourse, à comprendre l’astrologie, à faire des vœux lorsqu’une étoile filante passe. Et dormir avec encore plus d’étoiles que les meilleurs hôtels. Elle a deux planètes privilégiées. Il s’agit de Luna et Vénus. Elle ressemble à la lune, elle est à la fois romantique, et peut-être que tirant sa force de la pleine lune, elle se transforme en Tigresse. Mais la lune l’aide à tenir le coup et lui permet de ne pas sombrer dans la folie. C’est une femme forte. Une Vénus avec la beauté des femmes latines, elle a du charme, un magnifique sourire, des cheveux foncés, un visage soigné dans lequel brillent deux étoiles couleur azur.
Elle est aussi maman. Une femme qui a porté et mis au monde une vie. Une vie dont elle donne tout son amour maternel et transmet une saine éducation avec de vraies valeurs.
Certaines valeurs sont transmises par des textes. Nous en avons tous deux faits l’expérience.
Et si elle pouvait, elle ne vivrait que de lectures, d’eau fraiche et d’Amour.
J’ai écrit ce texte en l’honneur de cette femme, qui est la première, à croire en mes talents d’écrivain. Je lui offre ce premier texte.
Jeaneck, Suisse, le sept juin 2007
PS: toute critique bienvenue, je suis un néophyte...merci d’avance...
Dim 10 Juin 2007, 12:13 par
Jeaneck sur Amour internet
Morphine [Yaoi]
3. Dans le bain, Second Rituel
Bill dégoulinait toujours de lait et en répandait un peu partout pendant que lui et Tom montaient à l’étage.
Ils allèrent à la salle de bain, où Bill mit l’eau à couler dans la baignoire. Tom l’enlaça dans le dos et passait ses mains sur son étoile. Bill avait relevé la tête et l’avait fait basculé sur l’épaule de son grand frère, les yeux vers le plafond. Puis il se mit à lécher les joues de Tom, qui lui faisait tourner son index dans le nombril de Bill. Bill pouvait sentir dans le bas de son dos la légère excitation que ressentait Tom.
Soudain, un peu plus violemment que tous ses autres gestes, Tom retourna son petit frère vers lui, prit son visage dans ses mains puis l’embrassa. Les mains du petit frère se perdaient dans les dreadlocks attachées de Tom. Puis ils s’arrêtèrent et se regardèrent dans le miroir. Chacun regardait le reflet de l’autre et se souriaient, se tenant la main. Ils étaient si beaux qu’on aurait pu leur attacher de longues ailes de plumes blanches dans le dos. Mais leurs intentions s’apparentaient plus à une tendance démoniaque qu’angélique.
Quand le bain fût près, ils y entrèrent en même temps. Puis ils s’assirent chacun d’un côté. Bill avait ramené ses jambes contre son torse et Tom s’était installé en tailleur. Celui-ci sourit et Bill comprit ce qu’il allait lui faire. Il allait tout simplement le laver.
Tom s’empara du flacon de shampoing et en fit couler sur les longs cheveux plein de lait de son petit frère. Bill ferma les yeux et laissa couler le liquide épais et parfumé sur son visage. Il souriait, il se sentait lavé de tous ses péchés. Il s’allongea dans l’eau tiède et Tom, maintenant penché à califourchon sur lui, commença à le frotter et à le masser. Il lava ses cheveux, puis son torse. Il joua un peu avec son sexe, mais pas trop, il laissait Bill le désirer encore un peu. Celui-ci se redressa et repoussa doucement Tom de son corps, le faisant glisser à l’autre bout de la baignoire. Puis il disparut sous la mousse. Quelques secondes plus tard, Tom poussa un petit cri. Il s’adossa sur la baignoire, se retenant aux rebords de celle-ci. Il écarta un peu les jambes et, sous l’effet du plaisir, poussa les côtés de la baignoire, comme s’il voulait les enlever. Il se mordait la lèvre. Il allait jouir quand Bill refit surface, tout essoufflé, et s’allongea sur lui. Mais celui-ci continua de caresser le sexe de son frère, et Tom finit par lâcher un long soupire remplit de plaisirs. Bill lâcha enfin le membre de son jumeau et lécha l’eau qui faisait briller sa poitrine. Puis, un peu fatigués même s’il était tout juste midi, ils somnolèrent ainsi, Bill sur Tom, Tom entourant Bill de ses bras dans son rôle de grand frère.
Ils étaient comme des rois, agissants comme ils le souhaitaient. Ils savaient qu’à la fin de la journée, ça serait terminé et qu’ils devraient se dire la pire des choses qu’on pourrait prononcer à son jumeau. Mais, ils iront jusqu’à bout, ne pouvant revenir en arrière. La fin, Bill la connaissait déjà, mais il n’en parlerait pas à son frère. Ça gâcherait cette journée, cette unique journée tant attendu. Cette dernière journée à passer à deux dans la plus profonde et scellé des intimités.
Bill dégoulinait toujours de lait et en répandait un peu partout pendant que lui et Tom montaient à l’étage.
Ils allèrent à la salle de bain, où Bill mit l’eau à couler dans la baignoire. Tom l’enlaça dans le dos et passait ses mains sur son étoile. Bill avait relevé la tête et l’avait fait basculé sur l’épaule de son grand frère, les yeux vers le plafond. Puis il se mit à lécher les joues de Tom, qui lui faisait tourner son index dans le nombril de Bill. Bill pouvait sentir dans le bas de son dos la légère excitation que ressentait Tom.
Soudain, un peu plus violemment que tous ses autres gestes, Tom retourna son petit frère vers lui, prit son visage dans ses mains puis l’embrassa. Les mains du petit frère se perdaient dans les dreadlocks attachées de Tom. Puis ils s’arrêtèrent et se regardèrent dans le miroir. Chacun regardait le reflet de l’autre et se souriaient, se tenant la main. Ils étaient si beaux qu’on aurait pu leur attacher de longues ailes de plumes blanches dans le dos. Mais leurs intentions s’apparentaient plus à une tendance démoniaque qu’angélique.
Quand le bain fût près, ils y entrèrent en même temps. Puis ils s’assirent chacun d’un côté. Bill avait ramené ses jambes contre son torse et Tom s’était installé en tailleur. Celui-ci sourit et Bill comprit ce qu’il allait lui faire. Il allait tout simplement le laver.
Tom s’empara du flacon de shampoing et en fit couler sur les longs cheveux plein de lait de son petit frère. Bill ferma les yeux et laissa couler le liquide épais et parfumé sur son visage. Il souriait, il se sentait lavé de tous ses péchés. Il s’allongea dans l’eau tiède et Tom, maintenant penché à califourchon sur lui, commença à le frotter et à le masser. Il lava ses cheveux, puis son torse. Il joua un peu avec son sexe, mais pas trop, il laissait Bill le désirer encore un peu. Celui-ci se redressa et repoussa doucement Tom de son corps, le faisant glisser à l’autre bout de la baignoire. Puis il disparut sous la mousse. Quelques secondes plus tard, Tom poussa un petit cri. Il s’adossa sur la baignoire, se retenant aux rebords de celle-ci. Il écarta un peu les jambes et, sous l’effet du plaisir, poussa les côtés de la baignoire, comme s’il voulait les enlever. Il se mordait la lèvre. Il allait jouir quand Bill refit surface, tout essoufflé, et s’allongea sur lui. Mais celui-ci continua de caresser le sexe de son frère, et Tom finit par lâcher un long soupire remplit de plaisirs. Bill lâcha enfin le membre de son jumeau et lécha l’eau qui faisait briller sa poitrine. Puis, un peu fatigués même s’il était tout juste midi, ils somnolèrent ainsi, Bill sur Tom, Tom entourant Bill de ses bras dans son rôle de grand frère.
Ils étaient comme des rois, agissants comme ils le souhaitaient. Ils savaient qu’à la fin de la journée, ça serait terminé et qu’ils devraient se dire la pire des choses qu’on pourrait prononcer à son jumeau. Mais, ils iront jusqu’à bout, ne pouvant revenir en arrière. La fin, Bill la connaissait déjà, mais il n’en parlerait pas à son frère. Ça gâcherait cette journée, cette unique journée tant attendu. Cette dernière journée à passer à deux dans la plus profonde et scellé des intimités.
Sam 24 Mars 2007, 14:12 par
Lyra sur Les liaisons sulfureuses
Morphine [Yaoi]
2. La face innocente du Premier Rituel
Tom se leva le premier du lit, puis enleva la couette qui tenait son petit frère au chaud. Il découvrit un corps identique au sien, d’une beauté qu’on ne peut jamais égaler. Bill s’étira et Tom toucha la petite étoile que son jumeau avait sur la hanche. Il caressait sensuellement le bas du ventre de son frère, égarant ses doigts sur son nombril et sur son sexe. Bill riait car ça le chatouillait. Il se redressa pour se retrouver assit. Il croisa les bras en se frottant le torse: il avait un peu froid. Mais plus que jamais il était heureux. Tom lui tendit la main pour l’aider à se lever.
Ils se retrouvèrent face à face à se contempler. Et là, il n’y avait plus que leur coupe de cheveux pour les différencier, ainsi que les tatouages du petit frère. Ce dernier s’approcha et colla son corps à celui de son frère. Il nicha sa tête dans son cou et mordilla le lobe de son oreille. Puis, sans qu’ils ne communiquent par mots, ils s’écartèrent l’un de l’autre, puis Tom prit la main de son frère. Ils sortirent de la chambre, Tom devant, son petit frère sur les talons. Ils descendirent les escaliers et, après que Tom s’eut assuré qu’il n’y avait vraiment plus personne dans la maison, ils se dirigèrent vers la cuisine.
Là, Bill resta debout au milieu de la pièce, sur le carrelage à carreaux noirs et blancs. Il avait un peu peur, mais il laisserait son frère s’occuper de lui. Tom caressa son frère pour le mettre en confiance, épousant les formes de son corps de ses paumes de mains. Il déposa furtivement un baiser sur les lèvres de son petit frère, puis se sépara de lui. Il ouvrit le frigidaire et en sortit une bouteille de lait non entamé. Le liquide était alors pur. Tom ouvrit la bouteille et laissa le bouchon rouler à terre. Puis, sachant totalement que faire cela était un jeu interdit, revînt vers Bill qui se tenait toujours immobile au centre de la cuisine. Ce dernier leva la tête et ouvrit la bouche. Tom versa doucement un filet de lait dans la bouche de son frère qui, dans cette position, ne pouvait pas avaler. Mais c’était le but. Bientôt le liquide blanc déborda, Bill toussa, puis le lait ruissela tout le long de son corps. Tom continua à renverser la bouteille jusqu’à ce qu’elle soit totalement vide. Puis, quand la dernière goutte de lait fût tomber sur la peau blanche de son frère, il laissa la bouteille tomber à terre. Bill rabaissa la tête et avala l’unique gorgée qu’il aura pu boire. Le lait recouvrait tout le sol à présent.
Tom se rapprocha alors de son jumeau et commença à lécher sa peau imprégnée de lait. Il commença par le visage, puis descendit sa langue dans le cou de Bill, puis sur sa poitrine, dans son nombril, sur son aine, sur son sexe sur lequel il s’attarda un peu plus. Bill se laissait totalement explorer sans bouger, souriant et gémissant de plaisir au contact chaud de la langue de son jumeau. Il se sentait entier, complet. Il caressait les cheveux de son frère qui s’affairait toujours sur ses parties intimes. Puis, ne tenant plus debout tellement le plaisir devenait grand, il s’allongea par terre dans la flaque de lait. Ce qu’il n’aurait pas dû faire, car Tom arrêta de lui procurer ce plaisir. En revanche, il se positionna à quatre pattes au dessus de lui et, tout en le caressant, l’embrassait amoureusement. Il frottait doucement son corps sur le sien, leurs peaux glissaient l’une sur l’autre grâce au lait. Les cheveux de Bill se trempaient dans la flaque blanche. Celui-ci avait totalement décollé de la planète, comme son frère d’ailleurs, et errait dans l’espace, un espace si grand qu’il eut presque peur en le voyant. Mais en fait, ça le faisait rire. Il ne savait pas pourquoi, mais il riait. Il se sentait si bien, éprit d’une ivresse de bonheur. Tom, lui, souriait tout en recommençant à lécher la peau de son petit frère.
Ils s’étaient promis une histoire unique et belle, que personne ni rien ne les séparerait. Que pour toujours, ils erreraient dans cet espace sans fond ni plafond. Ils s’étaient jurés de braver les interdits, de vivre comme bon leur semblerait, à deux et rien qu’à deux, sans personne pour les juger. Ils n’en n’avaient pas besoin. Ils savaient qu’ils ne s’en sortiraient pas indemne de cette aventure, mais ils voulaient la vivre et la mordre à pleine dent. A deux, ils ne formaient qu’une seule et unique âme, séparément, ils mourraient de solitude et de peur.
Tom se releva et aida Bill à faire de même. Ce rituel, plutôt inoffensif, n’était pas terminé. Mais ils le laisseraient un moment de côté pour réaliser le second.
Ils remontèrent à l’étage, dans la salle de bain.
Tom se leva le premier du lit, puis enleva la couette qui tenait son petit frère au chaud. Il découvrit un corps identique au sien, d’une beauté qu’on ne peut jamais égaler. Bill s’étira et Tom toucha la petite étoile que son jumeau avait sur la hanche. Il caressait sensuellement le bas du ventre de son frère, égarant ses doigts sur son nombril et sur son sexe. Bill riait car ça le chatouillait. Il se redressa pour se retrouver assit. Il croisa les bras en se frottant le torse: il avait un peu froid. Mais plus que jamais il était heureux. Tom lui tendit la main pour l’aider à se lever.
Ils se retrouvèrent face à face à se contempler. Et là, il n’y avait plus que leur coupe de cheveux pour les différencier, ainsi que les tatouages du petit frère. Ce dernier s’approcha et colla son corps à celui de son frère. Il nicha sa tête dans son cou et mordilla le lobe de son oreille. Puis, sans qu’ils ne communiquent par mots, ils s’écartèrent l’un de l’autre, puis Tom prit la main de son frère. Ils sortirent de la chambre, Tom devant, son petit frère sur les talons. Ils descendirent les escaliers et, après que Tom s’eut assuré qu’il n’y avait vraiment plus personne dans la maison, ils se dirigèrent vers la cuisine.
Là, Bill resta debout au milieu de la pièce, sur le carrelage à carreaux noirs et blancs. Il avait un peu peur, mais il laisserait son frère s’occuper de lui. Tom caressa son frère pour le mettre en confiance, épousant les formes de son corps de ses paumes de mains. Il déposa furtivement un baiser sur les lèvres de son petit frère, puis se sépara de lui. Il ouvrit le frigidaire et en sortit une bouteille de lait non entamé. Le liquide était alors pur. Tom ouvrit la bouteille et laissa le bouchon rouler à terre. Puis, sachant totalement que faire cela était un jeu interdit, revînt vers Bill qui se tenait toujours immobile au centre de la cuisine. Ce dernier leva la tête et ouvrit la bouche. Tom versa doucement un filet de lait dans la bouche de son frère qui, dans cette position, ne pouvait pas avaler. Mais c’était le but. Bientôt le liquide blanc déborda, Bill toussa, puis le lait ruissela tout le long de son corps. Tom continua à renverser la bouteille jusqu’à ce qu’elle soit totalement vide. Puis, quand la dernière goutte de lait fût tomber sur la peau blanche de son frère, il laissa la bouteille tomber à terre. Bill rabaissa la tête et avala l’unique gorgée qu’il aura pu boire. Le lait recouvrait tout le sol à présent.
Tom se rapprocha alors de son jumeau et commença à lécher sa peau imprégnée de lait. Il commença par le visage, puis descendit sa langue dans le cou de Bill, puis sur sa poitrine, dans son nombril, sur son aine, sur son sexe sur lequel il s’attarda un peu plus. Bill se laissait totalement explorer sans bouger, souriant et gémissant de plaisir au contact chaud de la langue de son jumeau. Il se sentait entier, complet. Il caressait les cheveux de son frère qui s’affairait toujours sur ses parties intimes. Puis, ne tenant plus debout tellement le plaisir devenait grand, il s’allongea par terre dans la flaque de lait. Ce qu’il n’aurait pas dû faire, car Tom arrêta de lui procurer ce plaisir. En revanche, il se positionna à quatre pattes au dessus de lui et, tout en le caressant, l’embrassait amoureusement. Il frottait doucement son corps sur le sien, leurs peaux glissaient l’une sur l’autre grâce au lait. Les cheveux de Bill se trempaient dans la flaque blanche. Celui-ci avait totalement décollé de la planète, comme son frère d’ailleurs, et errait dans l’espace, un espace si grand qu’il eut presque peur en le voyant. Mais en fait, ça le faisait rire. Il ne savait pas pourquoi, mais il riait. Il se sentait si bien, éprit d’une ivresse de bonheur. Tom, lui, souriait tout en recommençant à lécher la peau de son petit frère.
Ils s’étaient promis une histoire unique et belle, que personne ni rien ne les séparerait. Que pour toujours, ils erreraient dans cet espace sans fond ni plafond. Ils s’étaient jurés de braver les interdits, de vivre comme bon leur semblerait, à deux et rien qu’à deux, sans personne pour les juger. Ils n’en n’avaient pas besoin. Ils savaient qu’ils ne s’en sortiraient pas indemne de cette aventure, mais ils voulaient la vivre et la mordre à pleine dent. A deux, ils ne formaient qu’une seule et unique âme, séparément, ils mourraient de solitude et de peur.
Tom se releva et aida Bill à faire de même. Ce rituel, plutôt inoffensif, n’était pas terminé. Mais ils le laisseraient un moment de côté pour réaliser le second.
Ils remontèrent à l’étage, dans la salle de bain.
Sam 24 Mars 2007, 14:11 par
Lyra sur Les liaisons sulfureuses
Un 'mâle'...des maux !
Comme il était têtard, à fond il flagellait
Mais il n’était pas seul, un sprint désespéré
S’il n’était pas premier, il en perdait la vie
Il n’avait guère de chance à cette loterie…
C’était un ver luisant amoureux d’une étoile
Il observait le ciel et son immense toile
Toujours il l’admirait, elle était si brillante
Mais c’était sans espoir, si loin, si haut : fuyante…
C’était un papillon, il aimait lutiner
Une fleur épanouie, il voulait butiner
En elle s’insinuer ! mais il était volage
Dés après s’envolait, laissant là l’enfant sage…
C’était un bel oiseau, mais ne pouvait voler
Il savait faire la roue pour se faire admirer
Celle qui succomberait à son si beau plumage
C’est bien furtivement qu’il lui rendrait hommage…
....................
Mais il n’était pas seul, un sprint désespéré
S’il n’était pas premier, il en perdait la vie
Il n’avait guère de chance à cette loterie…
C’était un ver luisant amoureux d’une étoile
Il observait le ciel et son immense toile
Toujours il l’admirait, elle était si brillante
Mais c’était sans espoir, si loin, si haut : fuyante…
C’était un papillon, il aimait lutiner
Une fleur épanouie, il voulait butiner
En elle s’insinuer ! mais il était volage
Dés après s’envolait, laissant là l’enfant sage…
C’était un bel oiseau, mais ne pouvait voler
Il savait faire la roue pour se faire admirer
Celle qui succomberait à son si beau plumage
C’est bien furtivement qu’il lui rendrait hommage…
....................
Jeu 08 Fév 2007, 16:05 par
jan goure sur Histoires d'amour
Hommage
Elle s’était déshabillée pour le bain… Bain moussant, huiles essentielles. Elle avait relevé ses cheveux. Sa peau, lisse, renvoyait doucement la lumière… Elle se laissa couler dans l’eau odorante, les cheveux calés contre la faïence. Contact de la peau tendre et chaude contre le matériau froid et dur… Contraste avec l’eau chaude à la limite du supportable mais tout en restant délicieuse. Soupir d’aise, ample, généreux… Ses lèvres s’entrouvrirent, les paupières lourdes, les cils en étoile couvrant l’iris de l’œil.
Il la savourait. Il savait qu’elle ne serait jamais sienne… Jamais. Il la connaissait dans sa presque nudité, presque. Il restait ce "presque" comme un tourment. Toutes ses terres à découvrir, tous ces oasis, ses rivières souterraines, tous ces mystères qu’il n’explorerait pas. Jamais. Elle resterait cette terra incognita comme une aventure qu’il n’avait pas eu le goût ou l’audace de conquérir. Du reste, aurait-il pu ? Ne savait-il pas bien que si elle s’était donnée avec fougue, avec volupté, elle serait restée malgré tout sauvage, entière, farouche… En un mot, libre.
Elle jouait avec la surface de l’eau, lissant de ses doigts fins l’onde blanchie d’écume parfumée… Elle avait relevé les jambes, cuisses légèrement écartées, les pieds de part et d’autre de la robinetterie. Et puis, lassée de la pose, elle s’était tournée, le bas du visage couvert d’eau, elle jouait avec l’onde qui la caressait en vagues molles…
Il voyait très bien son dos cambré et ses fesses, rondes et dures, relevées vers le ciel… Il en voulait à l’eau d’oser ses caresses intimes, elle posait ses doigts là où tout pour lui resterait mystère. Elle posait ses doigts où il aurait voulu avidement poser les lèvres… Où il aurait voulu se poser, la couvrir, la découvrir, la conquérir. Tout se troubla, Il tenta de regarder à nouveau la baigneuse, mais il ne vit plus rien qu’un écran. Noir.
Il la savourait. Il savait qu’elle ne serait jamais sienne… Jamais. Il la connaissait dans sa presque nudité, presque. Il restait ce "presque" comme un tourment. Toutes ses terres à découvrir, tous ces oasis, ses rivières souterraines, tous ces mystères qu’il n’explorerait pas. Jamais. Elle resterait cette terra incognita comme une aventure qu’il n’avait pas eu le goût ou l’audace de conquérir. Du reste, aurait-il pu ? Ne savait-il pas bien que si elle s’était donnée avec fougue, avec volupté, elle serait restée malgré tout sauvage, entière, farouche… En un mot, libre.
Elle jouait avec la surface de l’eau, lissant de ses doigts fins l’onde blanchie d’écume parfumée… Elle avait relevé les jambes, cuisses légèrement écartées, les pieds de part et d’autre de la robinetterie. Et puis, lassée de la pose, elle s’était tournée, le bas du visage couvert d’eau, elle jouait avec l’onde qui la caressait en vagues molles…
Il voyait très bien son dos cambré et ses fesses, rondes et dures, relevées vers le ciel… Il en voulait à l’eau d’oser ses caresses intimes, elle posait ses doigts là où tout pour lui resterait mystère. Elle posait ses doigts où il aurait voulu avidement poser les lèvres… Où il aurait voulu se poser, la couvrir, la découvrir, la conquérir. Tout se troubla, Il tenta de regarder à nouveau la baigneuse, mais il ne vit plus rien qu’un écran. Noir.
Jeu 21 Déc 2006, 16:36 par
dolce vita sur Les liaisons sulfureuses
D'autant plus ...
Que je pars réellement à Tokyo
Et ils risquent de me faire plaisir car étant un vrai clown
Je ne manquerai pas de les faire RIRE
Bonne soirée à Tous, Sur N ’ importe quelle Étoile.
Fannie.
Et ils risquent de me faire plaisir car étant un vrai clown
Je ne manquerai pas de les faire RIRE
Bonne soirée à Tous, Sur N ’ importe quelle Étoile.
Fannie.
Dim 08 Oct 2006, 19:29 par
Chogokinette sur Amour internet
Ne perds pas confiance
Plus les jours avancent,
Plus ils se ressemblent,
Tu ne sais plus quoi faire de toi,
Tu continues à plonger vers le bas,
Même si tu es déjà là,
Les malheurs qui s’empilent les uns sur les autres,
Mais toujours l’espoir de t’en sortir,
Ne perds pas confiance...
Ton étoile est encore là,
Et encore, elle brillera,
Il y a des jours comme ça,
Y a des hauts, il y a des bas,
Ton tour viendra,
On t’a fait des promesses,
On t’a fait de belles façons,
Mais c’est comme des déjà vu,
On t’a redonné espoir,
A des histoires en t’a fait croire,
On t’a fait marcher.
Mais toujours la lueur,
Qui revient au bout du chemin,
Une fois de plus elle s’éteint,
Ne perds pas confiance....
Faut laisser le temps couler,
Le vent finira pas souffler,
Dans les grandes voiles désespérées,
Le vent dans les voiles,
Tu n’auras plus qu’à trouver,
Le grand phare blanc,
Pour te guider.
Ne perds pas confiance.
Plus ils se ressemblent,
Tu ne sais plus quoi faire de toi,
Tu continues à plonger vers le bas,
Même si tu es déjà là,
Les malheurs qui s’empilent les uns sur les autres,
Mais toujours l’espoir de t’en sortir,
Ne perds pas confiance...
Ton étoile est encore là,
Et encore, elle brillera,
Il y a des jours comme ça,
Y a des hauts, il y a des bas,
Ton tour viendra,
On t’a fait des promesses,
On t’a fait de belles façons,
Mais c’est comme des déjà vu,
On t’a redonné espoir,
A des histoires en t’a fait croire,
On t’a fait marcher.
Mais toujours la lueur,
Qui revient au bout du chemin,
Une fois de plus elle s’éteint,
Ne perds pas confiance....
Faut laisser le temps couler,
Le vent finira pas souffler,
Dans les grandes voiles désespérées,
Le vent dans les voiles,
Tu n’auras plus qu’à trouver,
Le grand phare blanc,
Pour te guider.
Ne perds pas confiance.
Mar 12 Sep 2006, 00:49 par
joullia sur Mille choses
A la découvert des trésors cachés
Je t’attends dans la nuit, assise sur le banc,
De mes rivières de songes,
Rien ne peut me réchauffer le coeur autant,
Que mes rêveries de Toi,
De Nous,
Comme avant.
Dans le calme de la nuit,
Caressée par ces douces brises voluptueuses,
Les yeux fermés,
Je peux entendre tes pas et ressentir ton doux parfum,
Et tu arrives....
Tes douces et belles lèvres
Humidifie ma peau tout en émoi,
La douceur extrême de ta peau,
Réveille en moi, des passions et des désirs extrêmes,
Quand tes belles mains parcourent mon corps,
A la découvert des trésors cachés,
Qui n’appartiennent qu’à Toi.
J’entends alors ton doux coeur,
Battre dans des rythmes envoûtants,
Seule moi peux entendre cette douce mélodie.
Et mon âme se blottit contre ton âme,
Juste là, contre nos deux coeurs.
Ton sourire si beau,
Et tes yeux ! Ô tes yeux !
Je les perçois comme des étoiles,
Ils brillent tant que par mis,
Les constellations, les cieux,
Je ne peux pas me tromper.
Je savoure ce spectacle étoilé.
Et là, apaisée, heureuse, je m’endors,
Avec ton beau sourire en mémoire,
La dernière image,
Tes rires complices,
Le dernier son,
Dans ma nuit.
Ainsi enveloppée et protégée
Dans tes bras d’Amour,
Je m’endors en sécurité.
julia
De mes rivières de songes,
Rien ne peut me réchauffer le coeur autant,
Que mes rêveries de Toi,
De Nous,
Comme avant.
Dans le calme de la nuit,
Caressée par ces douces brises voluptueuses,
Les yeux fermés,
Je peux entendre tes pas et ressentir ton doux parfum,
Et tu arrives....
Tes douces et belles lèvres
Humidifie ma peau tout en émoi,
La douceur extrême de ta peau,
Réveille en moi, des passions et des désirs extrêmes,
Quand tes belles mains parcourent mon corps,
A la découvert des trésors cachés,
Qui n’appartiennent qu’à Toi.
J’entends alors ton doux coeur,
Battre dans des rythmes envoûtants,
Seule moi peux entendre cette douce mélodie.
Et mon âme se blottit contre ton âme,
Juste là, contre nos deux coeurs.
Ton sourire si beau,
Et tes yeux ! Ô tes yeux !
Je les perçois comme des étoiles,
Ils brillent tant que par mis,
Les constellations, les cieux,
Je ne peux pas me tromper.
Je savoure ce spectacle étoilé.
Et là, apaisée, heureuse, je m’endors,
Avec ton beau sourire en mémoire,
La dernière image,
Tes rires complices,
Le dernier son,
Dans ma nuit.
Ainsi enveloppée et protégée
Dans tes bras d’Amour,
Je m’endors en sécurité.
julia
Dim 27 Août 2006, 14:57 par
joullia sur Parler d'amour
Ecrire sur étoile
Une réponse en poème, Réflexion nocturne, Rêve brisé, La vie ( 12 )..., Son étoile au Roi mage, Une aube nouvelle ou notre amour sera éternel, La femme virtuelle, Morphine [Yaoi], Morphine [Yaoi], Un 'mâle'...des maux !, Hommage, Soleils...de vie, D'autant plus ..., Ne perds pas confiance, A la découvert des trésors cachés,Il y a 62 textes utilisant le mot étoile. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
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