Pas d'équivalence

Je n’oublierai jamais
Cette soirée de juin,
Lorsque tu m’as émerveiller
Par ton doux sourire enjôleur et ton regard enchanteur.

Depuis ce jour béni
Mon coeur est emballé,
Tu hantes mon esprit
Et troubles mes pensées.

L’amour que j’ai pour toi
N’a pas d’équivalence,
Je vibre à chaque fois
Que je sens ta présence.

Tes yeux bruns pénétrants
Ébranlent tout mon être,
Et dans mon corps je sens
La chaleur du bien être.

Avec toi rien n’existe
Que la joie et l’amour,
Et mon coeur ne résiste
A qu’un jour,

Nuit et jour tu me donnes
Jusqu’à l’éternité,
Un amour que personne
Ne pourra égaler.

joullia aime
Sam 07 Oct 2006, 09:05 par joullia sur Parler d'amour

En haut de la montagne

J’ai écrit à coeur perdu, bouteille à la mer qui n’est jamais arrivée jusqu’à toi... J’ai écrit et qu’en reste-t-il ? Le silence.

Ma soif de dire, mes mots, mes soifs, ma faim, tout s’est suspendu en plein vol, je ne peux plus, il ne reste qu’un cri immobilisé dans ma gorge.

J’ai écrit pour faire naître l’amour pour conjurer le sort pour refuser de ne plus y croire... Pour .

Mes gestes se sont figés dans l’épouvante de ces instants que je n’aurais crû jamais devoir vivre.. Mon coeur s’est serré devant l’horreur humaine.

Qu’est-il advenu de lui ? Quelle bête infame a raison de son coeur, a raison de son âme ? Il en a oublié toute son humanité. Quelle sombre bête l’anime ?

J’ai pris mes tous petits et les ai conduits en haut de la montagne, plus loin que ne pourrait aller aucune bête sauvage pour leur faire goûter le repos troublé par ceux d’en bas...

Je les ai placés dans ta lumière, dans ton amour, dans ta paix, dans ta douceur, loin des ténèbres hostiles, je suis tombée à genou et j’ai prié.
Mar 01 Août 2006, 07:20 par dolce vita sur Mille choses

Rdv

L’hirondelle pleure toujours
Le faucon est revenu
Mais reparti aussi vite

Sans vraiment lui demander de se rencontrer ce jour-là !!!
Le faucon a pas su lire mon rdv
Ma demande,
Mon espoir,
Ma timidité,
Mes peurs,
Mes questions,
Ma tétanisation,
Je dois donc furtivement que ces non dit,
Cette date et un futur lieu soit decouvert et pris au sérieux.

Prendre ma peur a son propre jeux,
Pour ne plus me sentir prisonniere d’elle.
Lun 31 Juil 2006, 03:52 par joullia sur L'amour en vrac

Le faucon et l'hirondelle

Par une douce nuit d’été,
Ou scintiller mille astres bienveillants,
L’hirondelle ne s’attendait pas à vivre un moment pareil,
La rencontre d’un faucon,
Un faucon merveilleux avec un plumage exceptionnel,
L’hirondelle timide et peureuse,
Elle observa ce faucon discrètement,
Elle le trouve sincère, gentil, aimable,
Elle décela en lui quelque chose de différent,
L’hirondelle tomba sous le charme de cette beauté intérieur,
Qu’aucun autre oiseau ne possédait,
Une sorte d’aura si merveilleuse,
Que les doux chants de ce faucon,
Là fis a nouveau et ....

Par un coup de folie et d’audace,
La jeune hirondelle aux ailes brisées,
Lui échangea quelques chants,
Le faucon écouta le chant de l’hirondelle,
De longues nuits de chants et d’espoir débutaient,
Les ailes de l’hirondelle,
Semblaient d’un coup moins douloureuses,
L’hirondelle meurtrie par son passé,
À bien du mal a avancé dans la vie,
Elle a tendance a repousser le faucon,
Parce qu’elle a tant combattu avec son coeur,
son elle intérieures,
Le faucon voudrait la protégée et la chérire,
Le faucon promis à l’hirondelle que le corbeau,
Ne lui ferait plus de mal.

Par un jour d’été,
L’hirondelle décida de faire un pas de plus,
Pour démontre a quel point elle aime le faucon,
Le faucon ravi d’avoir ce petit pas,
Lui demanda un pas de plus,
Là l’hirondelle a ressenti ces ailes brisées,
Elle a pris peur,
Elle a demandé du temps,
Le faucon à mal prit son refus,
Le faucon est parti,
L’hirondelle pleure de maladie d’amour,
L’hirondelle a peur du corbeau qui va revenir,
La toute petite hirondelle face à ce corbeau,
Si mal veillant, méchant et pervers,
L’hirondelle pleure de désespoir,
L’hirondelle ve que le beau faucon revienne,

Elle demandait juste un peu de temps au faucon,
Le temps que l’orage passe,
Pour être sereine sur ces chants.

Le faucon a penser que l’hirondelle le repousser,
L’hirondelle pleure de désespoir et de peur,
L’hirondelle a juste besoin de temps....
L’hirondelle voudrait rejoindre le faucon,
L’hirondelle voudrait que ces ailes repoussent.
L’hirondelle voudrait que le faucon l’aime encore,
L’hirondelle voudrait faire son nid avec lui,

L’hirondelle est terrorisée,
Elle voudrait partir là ou le corbeau ne pourra pas la retrouver.
Jeu 27 Juil 2006, 18:54 par joullia sur L'amour en vrac

Ti prince

Toi, qui m’attires.
Toi, qui par un sourire,
M’as plu dès la première fois,
Et m’as fait , qu’il y aurait d’autres fois.

J’aimerais te dire que tu me plais.
Te faire savoir que je suis moi,
Dès que je suis près de toi.
Et que j’aimerais que tu restes là.

À quoi ça sert de me battre,
Ceci est un vrai tour d’acrobate.
Je suis sur une corde raide,
Et, je voudrais que tu m’aides.

Mon coeur est en balance.
Ton regard est comme une lance.
Tu l’as projeté jusqu’au dedans,
Dans mon corps, tu as atteint mon coeur.

Toi, qui m’émerveilles.
Qui m’élèves jusqu’au ciel.
Comme un oiseau,
Je me poserai dans tes lieux.
Mer 26 Juil 2006, 21:31 par joullia sur Parler d'amour

Toi, qui m'attires

Toi, qui m’attires.
Toi, qui par un sourire,
M’as plu dès la première fois,
Et m’as fait espèrer, qu’il y aurait d’autres fois.

J’aimerais te dire que tu me plais.
Te faire savoir que je suis moi,
Dès que je suis près de toi.
Et que j’aimerais que tu restes là.
Lun 27 Fév 2006, 22:13 par Satine sur Parler d'amour

Il pleure sur mes vitres...

Le soir tombe et j’ai soif, soif de toi. Soif que tu viennes enfin. Que tu sonnes à ma porte. Soif de regarder par la fenêtre, de te découvrir, de descendre l’escalier extérieur quatre à quatre et de me jeter dans tes bras : laisser le temps s’immobiliser aussi longtemps qu’il nous plairait. Que je suis lasse de notre séparation ! Lasse de ce si grand silence entre nous. Te voir, te toucher, te sentir, t’entendre, caresser ton visage, tes lèvres, tes yeux, laisser tes mains faire leur chemin, ne plus les retenir, jamais. Ne plus bouger, rester là, contre toi. Il pleure sur mes vitres toutes les larmes de mon chagrin. Il crie sur la ville toute la souffrance de mon cœur déchiré. Qui l’entendra ? Qui y répondra si ce n’est toi ? Le vent l’emporte comme feuille morte qui disparaît sous les pas des passants ignorants. Ne plus rien faire, ne pas bouger. Attendre, attendre que le printemps renaisse et que la pluie disparaisse. Attendre la dernière ondée et après, après, ...
Jeu 23 Fév 2006, 18:54 par dolce vita sur Un monde parfait

Joue pour moi

Je sais on ne peut pas
Je crois on ne doit pas
On ne peut on ne doit
Créer l’amour où il n’est pas.

J’ai osé qu’un battement sur mille
Rien que celui-là
Ne batte que pour moi
Mais ton coeur joue pour toi
Le mien crie son exil.
Jeu 23 Fév 2006, 15:01 par l'homme de sable sur L'amour en vrac

Un monde n'est parfait...

Il y a peu je ne savais pas ; j’acceptais de donner
Ne recevant parfois qu’un méchant coup de pied
Je ne protestais pas, pardonnant, justifiant,
Mais pour aimer vraiment il faut d’abord s’aimer
Savoir se respecter pour qu’on en fasse autant
Et que « oui » ou que « non » ce soit franc et entier...
Il savait me tenir en me faisant ,
Et s’il parlait beaucoup il ne tenait jamais,
Toujours de bonnes raisons il savait amener
L’excuse sur son front et il voulait briller.
Vivre dans la lumière l’exige tout à fait,
Et ne se satisfait de « lux » artificielle.
Si tu veux que mon cœur déploie tous ses bienfaits
Sache qu’il a besoin d’une tendre équité.
Car qui veut recevoir en ne donnant jamais
Que des coups de boutoir, il peut bien s’éloigner...
Dim 11 Déc 2005, 08:42 par dolce vita sur Un monde parfait

Monsieur

Monsieur, vous m’aviez enlevée à cette soirée de feux d’artifice dans laquelle je m’ennuyais. Je vous avais demandé de m’emmener ailleurs, là où les bruits et les verres qui s’entrechoquent se tairaient. Vous m’aviez proposé d’un peu nous balader dans votre vieille voiture et pourquoi pas même d’aller écouter les silences de la lune au bord de l’eau. J’avais accepté impatiente de rester quelques instants loin de la surveillance de mon frère, votre ami.

En cette nuit de juillet, Monsieur, les fenêtres ouvertes, roulant sur les chemins sinueux, nous parlions de tout et de rien. Vous vouliez savoir le nom de mes professeurs, mes matières préférées, mes idoles, mes jeux de petite fille pas encore vraiment une femme. Je vous racontais mes petits amis, vous me répondiez que je n’étais pas sage, vous plaisantiez sur mes premiers émois d’adolescente, je crois que j’en étais un peu fachée. J’aurais voulu que vous me voyez déjà grande, au moins de votre âge. Je vous connaissais depuis toujours, vous m’aviez vu grandir au sein de ma famille, chaque semaine quand vous passiez à la maison.

Sur les berges du lac, debout sur cette plage de pelouse, vous m’avez raconté, Monsieur, quelques journées mémorables, quelques pique-niques arrosés, quelques jeux de ballon entre amis. J’ai voulu que nous nous allongions pour regarder le ciel et chercher comme deux enfants, des noms aux étoiles. Vous m’avez proposé un bain improvisé et pour cacher ma gêne de me présenter nue devant vous, de me vêtir de votre T-shirt comme d’un maillot. Je me souviens de ce premier corps d’homme que je regardais du coin de l’oeil, cachant dans mes paroles, ma curiosité. Sous la nuit, nous avons comme un frère, une soeur joué dans l’eau. Nous mesurions notre temps de plongée sans respirer, faisions des poiriers entre les remous, nous éclaboussions en rigolant. Je ne voulais pas que vous sentiez les vibrations qui me parcouraient quand le hasard que je guidais, me laissait toucher votre torse. Je n’aurais pensé que vous êtiez si beau avec vos boucles blondes humides croisant les cils de vos yeux verts. Je vous avais rêvé parfois, dans le secret de ma chambre d’adolescente entre les posters du Che et les personnages de contes de fées, quand mes mains me rejoignaient indiscrètes sous la chaleur des couvertures.

Je n’avais pas imaginé que mon corps mouillé accueillant le reflet de la lune vous aurait inspiré, Monsieur. Je n’avais osé que vous pourriez dépasser les barrières de la morale pour m’apprendre à être une femme. Vous m’avez oté votre T-shirt trop grand pour me réchauffer entre vos bras halés. Vos mains, grandes, ont écarté les cheveux collés contre mes joues pour y déposer un chaste baiser. Est-ce là que nos lèvres ont glissé pour se rencontrer ? Est-ce à ce moment que vous avez oublié qu’il y a un âge autorisé?

Votre stature, Monsieur, dépassait la mienne et du ciel, je n’en voyais que le souvenir quand doucement vous me souriiez. Vous m’avez livré toute votre douceur et votre tendresse, quand du bout de vos doigts vous m’avez frôlée. Vous aviez peur de me froisser, votre bouche avait la légèreté d’une goutte de rosée et le moelleux d’une figue trop mûre. Vous m’avez appris le plaisir du baiser, la gourmandise des langues qui dansent sur une même mélodie. Lentement, comme si vous déballiez un cadeau, vos mains ont glissé le long de mes seins naissants. Vos yeux cherchant sous l’éclairage de minuit si je vous autorisais à franchir le passage.

Quand un peu tremblant vous êtes entré en moi, Monsieur, c’est la terre qui se déroba sous moi. Quinze années à attendre d’être celle-là, à imaginer des plaisirs que l’on ne nomme pas, à penser à ce que l’on ne peut pas. Votre regard parlait bien plus que votre voix, s’inquiétant de mes envies, vous auriez peut-être voulu que je mette le holà, vous rappelant que vous ne deviez pas m’initier à ces jeux d’adulte. Vous n’y avez rencontré que de l’espoir, qu’encore plus vous m’appreniez, l’attente que plus longtemps encore vous me preniez, le désir que cette plage soit notre infini.

J’ai oublié, Monsieur, si vous avez joui. Je ne garde en moi que ce souvenir si tendre de ces corps qui s’échangent, de cette fraternité avec laquelle vous m’avez baisée, de ces caresses qui avaient peur de me casser, de ces yeux verts qui ont trahi votre désir, Monsieur.
Mar 27 Sep 2005, 13:10 par la marquise de sade sur La première fois

La séduction, c'est masculin !

La séduction n’est du genre féminin que dans le dictionnaire, la séduction, c’est masculin !

Ah là, là, pavé dans la mare, car les femmes se veulent toutes seductrices ! Malheureusement, elles ne sont pas linguistes, et confondent plaire et séduire. Toute femme veut plaire, et pour cela, pourra utiliser eventuellement la séduction comme moyen de se demarquer des autres femmes en général, ou de se faire remarquer aux yeux d’un homme en particulier. Elle a d’autres moyen de plaire, et je dirai meme que par essence elle plait. Ah, si il n’y avait pas la compétition avec les autres, les rivales ....

Mais regardons les chose trés pragmatiquement : une femme n’a, finalement, rien d’autre à faire que de faire savoir qu’elle est d’accord, alors qu’un homme doit deployer mille trésors pour esperer obtenir les faveurs de celle qu’il convoite. Lequel des deux a donc besoin de faire montre de séduction ?

Ceci n’est pas une vérité, ceci n’est qu’une piste pour penser autrement. Je deconseille a quiconque de défendre ce point point de vue, sous peine de se faire traiter, à tort où à raison, de macho !
Jeu 25 Nov 2004, 14:03 par PetitPrince sur La séduction

Le triste écrivain

Si nous parlons d’amour, chers lecteurs,
Alors je dois vous dire, que je ne suis pas sûr,
D’où je viens et où je vais…
Je m’y suis perdu si souvent
Je me suis réveillé tellement saoul,
Le visage écrasé sur le sol

Qui peut prétendre avoir raison ?

Qui peut savoir plus qu’un autre,
Ce qu’il convient pour réussir d’aimer ?
Qui peut oser croire qu’il sait,
Aimer mieux, plus et longtemps ?
Qui peut imaginer que des êtres si différents
Peuvent aimer de la même façon ?
Qui peut imaginer qu’on peut aimer pareil
Des corps et des esprits si différents ?

Qui peut prétendre qu’il aimera
Demain plus qu’aujourd’hui ?
…et pourquoi pas moins ?
Qui peut savoir dès l’aurore
Si l’émoi durera…
Un jour, un mois ou une vie ?
Qui peut savoir, dans dix ans
lequel des deux partira,
Moi le salaud, moi la victime ?

Qui peut oser croire que l’amour
Est histoire de méthodes ?
De recettes bien appliquées
Pour trouver la clé ?
De tactiques longtemps étudiées
Pour forcer l’attrait ?
Qui peut affirmer que sa façon d’aimer
Convient à tous les hommes ?
Qui peut juger que le bonheur est atteint
Par un seul et même chemin ?

…Qui sait ce qu’est l’amour ?

En tout cas pas un jugement de valeur
Ou l’expression de sa rancœur.

Chers lecteurs, mes excuses
Je divague hors de mon sommeil
Les longs silences, les tragédies de l’amour,
Les seuls sujets sur lesquels on peut dire
Tout et n’importe quoi…
Sans avoir raison ni se tromper
Car chaque coeur est unique
Et chaque histoire sans réplique
Mar 31 Août 2004, 21:39 par la_tulipe_noire sur La séduction

Que restera-t-il...

Que restera-t-il de vous mes amis virtuels
Quand le temps sera passé
Que nos conversations se seront espacées?
Oublierons-nous nos discussions délicates
Qui parfois tournaient en fous rire complices
Ou nous emportaient au pays des délices?

Les amis trouvés au détour d’un clic
Restent-ils comme ceux que nous avions enfant
Ou disparaissent-ils au fil du temps?
Que restera-t-il de nos amours passées
S’envoleront-elles de nos mémoires
Pour ne laisser que du desespoir?

Vous qui peuplez mes jours ou mes rêves
Qui partagez mes peines et mes envies
Serez-vous toujours ici?
Dans vingt ans que sera-t-il advenu
De ces bouts de vies que nous aurons partagés
En virtuel, parfois en vrai?

Continuerons-nous, décrépis
A refaire le monde et à nous écrire
A chanter, et rire?
Echangerons-nous encore les polaroïdes
Histoires de vacances et découvertes
Photos des petits-enfants sur l’herbe verte?




Que restera-t-il de vous mes amis virtuels
Ces amis trouvés au détour d’un clic
Vous qui peuplez mes jours ou mes rêves
Continuerons-nous, décrépis
Tiendrons-nous nos promesses de toujours être amis...

... Ou nous éteindrons-nous d’un bouton de souris...
Mar 17 Août 2004, 21:28 par la marquise de sade sur Amour internet

Mais encore

Très cher Professeur PetitPrince,


Votre brillante démonstration et votre judicieuse analyse de la petite mort ne m’ont pas laissée insensible, pour tout dire, j’en ai presque même la larme à l’oeil euh

Voilà de nombreuses années que j’étudie moi-même ce sujet, faisant moult expériences avec un panel varié de sujets de tout âge, de tout bord et de toute nationalité, et force m’est de constater vos dires.

"L’homme, après l’amour a une large tendance à piquer du nez! "

Je ne prends pas en compte dans ce cas-ci l’homme qui après avoir généreusement honoré et arrosé sa partenaire se laisse aller à un petit roupillon d’une ou deux heures, histoire de recharger les batteries et le reste pour repartir vers de nouvelles aventures! Non, je parle, du monsieur tout le monde, du gentil garçon qui après 10 minutes de brillants efforts s’endort comme une souche à coté de vous, vous laissant les cuisses ouvertes en attente comme on attend les soldes de juillet pour rhabiller la petite famille.
Que faire dans de tels cas ? Comme vous l’avez suggéré, il ne faut pas rester étendu, au chaud, sous la couette, profitant de la chaleur qui nous quitte lentement ( je parle pour le monsieur, car la dame, elle a toujours toute sa chaleur et fouille dans sa mémoire pour retrouver le numéro des pompiers pour éteindre l’incendie colere )
Malheureusement, certaines circonstances ou certains individus n’ont pas toutes les possibilités que vous avez proposées. Revenons-y plus en détails :

- allumer la chaîne : très bien très bonne idée... s’il y a une chaine ( sous tente, en hotel, dans les wagons couchettes, ... pas evident) et si le monsieur ou la dame à de bons gouts. Effectivement, à cet instant crucial où l’homme repu, attend que la machine biologique se remette en marche, il est hors de question que la dame, effrayée par le "petit bonhomme en mousse" se mette désespérement à chercher où a pu atterrir sa petite culotte dans le déshabillage passionné entamé 11min43 plus tôt, ni même qu’éblouie par la voix et le physique splendide de robbie Williams, elle se rende compte que le bedon avancé, la calvitie naissante, les fesses plates et le torse velu de monsieur n’étaient pas tout à fait ce qu’elle aurait et qu’elle prétexte un rdv urgent chez le dentiste. Pour monsieur, les musiques techno où la choriste pousse des soupirs puissants et jouissifs peuvent sans doute faire bonne impression sur le voisin du dessous, mais mettre mal à l’aise votre compagne, qui jusqu’à présent n’a même pas eu le temps de dire "ouf", bien évidemment, les chansons romantiques seraient l’idéal... à condition qu’elles ne vous endorment pas oh

- prendre une douche : voilà une idée qu’elle est bonne! Et d’autant plus bonne, que votre peau a un gout salé du à la transpiration, que vos doigts sont légèrement pouasseux et que vos cheveux ruisselants vous collent à la nuque .... La douche s’impose! Mais améliorez là voyons! Ne partez pas égoistement vous offrir le jet rafraichissant de l’eau mais invitez votre compagne à vous y rejoindre... Caressez-la avec le gel douche fruit de la passion-myrtille-menthe, profitez vous aussi de ses mains douces... ça ne peut que stimuler votre nouveau désir pour elle, et entretenir le sien !

- Faire des pompes : si vous avez fait l’amour dans une salle de sport, pourquoi pas, vous pouvez même tant que vous y êtes utiliser un peu le rameur et faire travailler vos abdos... mais bon... l’image que vous rendez à cet instant n’est sans doute pas celle qu’attend la demoiselle allongée sur le lit, se languissant. Elle attend quelques témoignages de tendresse et non un remake de Rocky.


J’ajouterai à la liste quelques autres propositions :

- se servir à boire : à vous monsieur, et à votre partenaire, bien entendu ! Eviter les alcools qui vous donneront une haleine moins appétissante, privilégiez les jus de fruits, les boissons fraiches, etc.

- manger : une chose légère bien sur, un fruit, une friandise, ... qui peut de nouveau servir à quelques jeux érotiques, histoire de redonner la forme.

- la Tv : alors là, je dis "méfiance" !! Evitez le film x sur canal, qui pourrait mettre votre partenaire mal à l’aise, les compte rendu des match du foot du we qui risqueraient de vous passionner un peu de trop et Chasse et pêche qui ne fera qu’augmenter votre somnolence. Optez pour un zapping, pour quelques clips videos, quelques reportages pas trop interessants qui ouvriront un débat avec votre partenaire tout en vous laissant les mains libres pour vagabonder sur sa peau rolleyes


La marquise, pro fesseuse grin
Lun 16 Août 2004, 13:50 par la marquise de sade sur Le grimoire d'amour

Quand...

Quand d’un tour de magie, tu enlèves les nuages noirs qui hantent ma nuit...
Quand d’un coup de sourire, tu éclaires mes journées peuplées par l’ennui...
Quand d’un jeu de mots, tu allumes mon visage éteints par les soucis...
Quand d’un coup de super héros, tu me fais que toujours cela sera notre vie...

... Je t’aime.


Tu me veux ton égérie
Je ne suis qu’un rêve

Tu me dis que je suis jolie
La beauté est brève

De moi, tu as très envie
Je n’espère que ta sève

Nous voudrions que ce ne soit pas que folie
Eloignons les glaives

Tu voudrais que je sois ta vie
J’en crève...
Ven 23 Juil 2004, 20:10 par la marquise de sade sur L'amour en vrac
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