Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur enfant - Page 4 sur 9
L'amour
L’amour, ce sentiment si fort et si puissant
Si tendre et si fragile quelques fois
Qu’il soit éphémère, ardent ou brûlant
Il ne laisse personne indifférent
Il est comme un enfant qu’on apprend à marcher
Il faut lui donner la main pour l’empêcher de tomber
Il est comme un jardin semé en pleine cite
Il faut bien le surveiller qu’on ne vienne pas le piétiner
Il est comme une barque avec deux rames a la mer
Une tenue par nos mains , l’autre par le destin
L’amour ce sentiment qui nous donne tant de joies
Tant de chagrins et de peines quelques fois
Quand on croit qu’il est la qu’il nous tend les bras
Il s’envole, sans crier gare sous d’autres toits
Il peut nous surprendre au coin d’une rue
À l’orée du bois a la tombée du jour
L’amour, ce sentiment si fort et si puissant
Qui te sourit et te dit c’est pour toi que je suis la
Il peut être sincère et vrai quelques fois
Il peut être doux sensible et souriant
Il peut nous faire rêver comme rêve un enfant
Il peut être docile, il peut être ennivrant
C’est l’amour... tout simplement
Si tendre et si fragile quelques fois
Qu’il soit éphémère, ardent ou brûlant
Il ne laisse personne indifférent
Il est comme un enfant qu’on apprend à marcher
Il faut lui donner la main pour l’empêcher de tomber
Il est comme un jardin semé en pleine cite
Il faut bien le surveiller qu’on ne vienne pas le piétiner
Il est comme une barque avec deux rames a la mer
Une tenue par nos mains , l’autre par le destin
L’amour ce sentiment qui nous donne tant de joies
Tant de chagrins et de peines quelques fois
Quand on croit qu’il est la qu’il nous tend les bras
Il s’envole, sans crier gare sous d’autres toits
Il peut nous surprendre au coin d’une rue
À l’orée du bois a la tombée du jour
L’amour, ce sentiment si fort et si puissant
Qui te sourit et te dit c’est pour toi que je suis la
Il peut être sincère et vrai quelques fois
Il peut être doux sensible et souriant
Il peut nous faire rêver comme rêve un enfant
Il peut être docile, il peut être ennivrant
C’est l’amour... tout simplement
Jeu 12 Juil 2007, 20:07 par
pierre de la carolina sur L'amour en vrac
Autoportrait ( 2 )...
Deviner à travers la femme
Que je suis devenue
L’enfant que j’étais...
Deviner à travers la femme
Que je suis
L’enfant qui reste...
Femme enfant
Je ne serais être autrement...
Marie
Que je suis devenue
L’enfant que j’étais...
Deviner à travers la femme
Que je suis
L’enfant qui reste...
Femme enfant
Je ne serais être autrement...
Marie
Ven 29 Juin 2007, 16:51 par
Satine sur Mille choses
Autoportrait...
D’Elle on lui dit qu’elle lui ressemble
Physiquement...
Elle a le goût d’assumer sa féminité
De " jouer " avec sa sensualité
D’aimer les jolies robes
Qui mettent en valeur son corps de femme....
D’Elle on lui dit qu’elle lui ressemble
Intérieurement...
Elle a cette mélancolie qui l’habite
Et qui est source d’inspiration
Pour les textes
Qu’elle écrit....
D’Elle on dit qu’elle est forte et fragile
Qu’elle a gardé son côté " enfant "
Et qu’on aimerait la protéger
De tous " ses démons " qui la hantent si souvent
Sa peur de vivre, sa peur de la mort...
Elle, c’est une artiste
Elle porte un joli prénom, Mylène...
Moi, juste Marie
Marie
Physiquement...
Elle a le goût d’assumer sa féminité
De " jouer " avec sa sensualité
D’aimer les jolies robes
Qui mettent en valeur son corps de femme....
D’Elle on lui dit qu’elle lui ressemble
Intérieurement...
Elle a cette mélancolie qui l’habite
Et qui est source d’inspiration
Pour les textes
Qu’elle écrit....
D’Elle on dit qu’elle est forte et fragile
Qu’elle a gardé son côté " enfant "
Et qu’on aimerait la protéger
De tous " ses démons " qui la hantent si souvent
Sa peur de vivre, sa peur de la mort...
Elle, c’est une artiste
Elle porte un joli prénom, Mylène...
Moi, juste Marie
Marie
Jeu 14 Juin 2007, 15:11 par
Satine sur Mille choses
Doux mélange
Femme enfant
Malicieuse et craintive
Regardant d’un oeil troublé
Jettant des regards cachés
Lançant des sourires troublés
Des rires peut être même forcés
Attentive et interessée
Elle veut se faire remarquer
Sans trop vouloir le montrer
Femme séductrice
Nous carressant d’un toucher soit disant anodin mais attentionné
Animant la conversation de quelques connotations osées
Jouant de ses courbes sensuelles pour nous provoquer
Dansante pour achever de nous enivrer
Souhaitant nous voir l’enlever
Pour des nuits endiablées
Femme de plusieurs futurs
Qui rêve d’être aimée pour l’éternité
Et qui ne demande qu’à rêver
A des voyages au bout de l’été
Des aventures toutes les plus risquées
Mais aussi de la douceur d’un foyer
Où gambaderaient une poignée de bébés
Et c’est tout ça qui aussi nous fait craquer!
Loyd
Malicieuse et craintive
Regardant d’un oeil troublé
Jettant des regards cachés
Lançant des sourires troublés
Des rires peut être même forcés
Attentive et interessée
Elle veut se faire remarquer
Sans trop vouloir le montrer
Femme séductrice
Nous carressant d’un toucher soit disant anodin mais attentionné
Animant la conversation de quelques connotations osées
Jouant de ses courbes sensuelles pour nous provoquer
Dansante pour achever de nous enivrer
Souhaitant nous voir l’enlever
Pour des nuits endiablées
Femme de plusieurs futurs
Qui rêve d’être aimée pour l’éternité
Et qui ne demande qu’à rêver
A des voyages au bout de l’été
Des aventures toutes les plus risquées
Mais aussi de la douceur d’un foyer
Où gambaderaient une poignée de bébés
Et c’est tout ça qui aussi nous fait craquer!
Loyd
Mer 13 Juin 2007, 01:11 par
Loyd sur La séduction
Je veux l'épouser pour un soir
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je voudrais aimer une enfant
Une fiancée de hasard
Que je croiserais en passant
Dans un gala de quelque part
Je voudrais aimer une enfant
Qui dans sa robe des dimanches
Me défierait du premier rang
Avec les yeux de l’insolence
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je voudrais aimer une enfant
Qui me ressemblerait un peu
Qui saignerait du même sang
Qui brûlerait du même feu
Oh je voudrais aimer une enfant
Pour quelques heures de plaisir
La prendre un soir à ses parents
Et dans mes bras la voir dormir
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je veux l’épouser pour un soir
Et divorcer un peu plus tard
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je voudrais aimer une enfant
Une fiancée de hasard
Que je croiserais en passant
Dans un gala de quelque part
Je voudrais aimer une enfant
Qui dans sa robe des dimanches
Me défierait du premier rang
Avec les yeux de l’insolence
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je voudrais aimer une enfant
Qui me ressemblerait un peu
Qui saignerait du même sang
Qui brûlerait du même feu
Oh je voudrais aimer une enfant
Pour quelques heures de plaisir
La prendre un soir à ses parents
Et dans mes bras la voir dormir
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je veux l’épouser pour un soir
Et divorcer un peu plus tard
Fatia
Le passage
Assise sur un tabouret en bois à trois pieds, Fatia laisse coiffer ses cheveux crépus par les doigts agiles des femmes de son père . Celles-ci s’activent à diviser la chevelure de Fatia en plusieurs tresses fines Aujourd’hui, c’est un jour particulier pour Fatia. On va célébrer son mariage avec Sako, un nomade de la tribu voisine. Un long tissu bariolé aux couleurs vives, drapé et posé sur ses hanches, constitue son seul vêtement pour la cérémonie. Une ceinture de cori vient souligner sa taille fluette, tandis qu’ un mélange de beurre de carité et d’ocre, minutieusement étalée pour ce jour mémorable, accentue, illumine, le satin de sa peau noir claire. De nombreux colliers de bois et de perles aux teintes chatoyantes se balancent sur sa poitrine à fleur de peau. Des bracelets de cuivre et d’argent s’entrechoquent sur ses fins poignets d’enfant. Sur son visage on peut lire des hologrammes, écris à la lame d’un couteau .
. Dans des gloussements de plaisir, Les épouses de son père échangent des souvenirs lointains. Elles évoquent sans pudeur leurs nuits de noce. Les femmes revivent ce moment avec une fierté sans masquer la douleur, la férocité d’une nuit depuis longtemps consumée. C’est ainsi, cela doit se faire comme cela.
Fatia, passive en entendant tous ces piaillements de vieilles femmes, imagine son futur mari. Son père, ses frères l’ont promise il y a quelques années à Sako, un homme plus âgé d’une soixantaine d’années. La famille de Fatia lui a offert quatre chameaux et deux chèvres tout en buvant le thé dans le désert pour le remercier d’épouser plus tard la fillette.
Fatia ne l’a jamais vu.
Elle sait que ce soir elle quittera son campement pour suivre son époux. Elle sait que ce soir il lui prendra les restes de son enfance. Elle sait que ce soir aura lieu un dépucellage de fils et de coutures entre ses jambes. Elle sait aussi que demain son époux étalera à la vue de tous le déchirement d’une nuit Elle sait que demain elle ne sera plus une enfant de onze ans.
Fatia a peur. Fatia est terrifiée. Fatia est terrorisée. Ses yeux n’ ont plus cette insouciance d’hier, ils hurlent l’effroi de l’inconnu.
La voilà parée de perles, et de coutume. Offrande de plaisir ruisselante, d’argent et de cuivre, Fatia est prête à quitter la tente.
Dehors, le village semble pris de folie. Il clame sa joie. Des roulements de djembé se font de plus en plus lancinants, tandis que certains hommes tapent dans leurs mains frénétiquement. Dans une effervescence de cris, de hurlements, dans les dialectes des deux peuplades réunies, Fatia devient une condamnée que l’on traîne jusqu’à son époux bavant d’envie pour ce jeune corps tout en comptant les quatre chameaux et les deux chèvres qu’on lui a promis.
La cérémonie a lieu dans l’euphorie. Viande de brebis et de chèvres grillée accompagnent dattes et figues, pour célébrer l’union Fatia et de Sako. On a sorti les plus belles timbales d’argent pour boire le thé vert.
Fatia ne dit rien. On ne lui a rien demandé. Elle est mariée et partagera sa tente avec les autres femmes de son époux., Elle devra respect , fidélité, obéissance à son mari, et lui témoignera en plus de l’admiration. Pendant quelque temps, elle sera la favorite pour partager la couche de Sako. Jusqu’à ce que celui-ci trouve une nouvelle fraîcheur pour la soumettre à ses jeux.
Fatia, comme beaucoup d’autres, deviendra une parfaite épouse, pilant du tef, nourrissant les quatre chameaux et les deux chèvres que son père, un jour de bonté, a offert en buvant du thé. Elle oubliera peu à peu cette nuit de noce et portera en elle un jour de futures Fatia et de futurs Sako.
Assise sur un tabouret en bois à trois pieds, Fatia laisse coiffer ses cheveux crépus par les doigts agiles des femmes de son père . Celles-ci s’activent à diviser la chevelure de Fatia en plusieurs tresses fines Aujourd’hui, c’est un jour particulier pour Fatia. On va célébrer son mariage avec Sako, un nomade de la tribu voisine. Un long tissu bariolé aux couleurs vives, drapé et posé sur ses hanches, constitue son seul vêtement pour la cérémonie. Une ceinture de cori vient souligner sa taille fluette, tandis qu’ un mélange de beurre de carité et d’ocre, minutieusement étalée pour ce jour mémorable, accentue, illumine, le satin de sa peau noir claire. De nombreux colliers de bois et de perles aux teintes chatoyantes se balancent sur sa poitrine à fleur de peau. Des bracelets de cuivre et d’argent s’entrechoquent sur ses fins poignets d’enfant. Sur son visage on peut lire des hologrammes, écris à la lame d’un couteau .
. Dans des gloussements de plaisir, Les épouses de son père échangent des souvenirs lointains. Elles évoquent sans pudeur leurs nuits de noce. Les femmes revivent ce moment avec une fierté sans masquer la douleur, la férocité d’une nuit depuis longtemps consumée. C’est ainsi, cela doit se faire comme cela.
Fatia, passive en entendant tous ces piaillements de vieilles femmes, imagine son futur mari. Son père, ses frères l’ont promise il y a quelques années à Sako, un homme plus âgé d’une soixantaine d’années. La famille de Fatia lui a offert quatre chameaux et deux chèvres tout en buvant le thé dans le désert pour le remercier d’épouser plus tard la fillette.
Fatia ne l’a jamais vu.
Elle sait que ce soir elle quittera son campement pour suivre son époux. Elle sait que ce soir il lui prendra les restes de son enfance. Elle sait que ce soir aura lieu un dépucellage de fils et de coutures entre ses jambes. Elle sait aussi que demain son époux étalera à la vue de tous le déchirement d’une nuit Elle sait que demain elle ne sera plus une enfant de onze ans.
Fatia a peur. Fatia est terrifiée. Fatia est terrorisée. Ses yeux n’ ont plus cette insouciance d’hier, ils hurlent l’effroi de l’inconnu.
La voilà parée de perles, et de coutume. Offrande de plaisir ruisselante, d’argent et de cuivre, Fatia est prête à quitter la tente.
Dehors, le village semble pris de folie. Il clame sa joie. Des roulements de djembé se font de plus en plus lancinants, tandis que certains hommes tapent dans leurs mains frénétiquement. Dans une effervescence de cris, de hurlements, dans les dialectes des deux peuplades réunies, Fatia devient une condamnée que l’on traîne jusqu’à son époux bavant d’envie pour ce jeune corps tout en comptant les quatre chameaux et les deux chèvres qu’on lui a promis.
La cérémonie a lieu dans l’euphorie. Viande de brebis et de chèvres grillée accompagnent dattes et figues, pour célébrer l’union Fatia et de Sako. On a sorti les plus belles timbales d’argent pour boire le thé vert.
Fatia ne dit rien. On ne lui a rien demandé. Elle est mariée et partagera sa tente avec les autres femmes de son époux., Elle devra respect , fidélité, obéissance à son mari, et lui témoignera en plus de l’admiration. Pendant quelque temps, elle sera la favorite pour partager la couche de Sako. Jusqu’à ce que celui-ci trouve une nouvelle fraîcheur pour la soumettre à ses jeux.
Fatia, comme beaucoup d’autres, deviendra une parfaite épouse, pilant du tef, nourrissant les quatre chameaux et les deux chèvres que son père, un jour de bonté, a offert en buvant du thé. Elle oubliera peu à peu cette nuit de noce et portera en elle un jour de futures Fatia et de futurs Sako.
Jeu 15 Mars 2007, 10:43 par
Fille du peuple sur L'amour en vrac
Révoltes des enfants
Révolte des enfants, ou au diable la Tour de Babel..
Des péres, des méres, des hommes, des femmes de dix-huit ans et plus derriere le volants de leurs voitures klaxonnent et klaxonnent. C’est la pagaille dans les rues de Paris, deCamberra, de Dakar, de Beyrouth, de New-York, de Pékin. Un emboutaillage de voitures hurlantes s’impatientent. La vie des adultes est bousculée, désordonnée, désorganisée. C’est la révolution des gosses, de tous les gosses de la planète Terre, dépassant les frontières de l’imaginaire.
Les enfants en ont ras le bol de ne plus pouvoir se donner la main dans les cours de récréation. Les mômes, ils en ont marre de ne plus pouvoir choisir leurs correspondants étrangers. Les gônes, ils saturent d’entendre leurs très chers parents commenter les actualités horrifiantes tout en engloutissant tranquillement un éclair au chocolat.
Pierre, il veut jouer au foot avec Sofiène. Adeline, elle veut jouer à la marelle avec Yasmine. Ursula et Tatsuya, elles veulent encore manger du couscous avec leurs doigts chez Fatima. Edouard, il veut encore chouraver des pommes vertes dans le jardin du vieux paysan d’à côté, avec Youri. Chacun s’en foute de la couleur de son copain, de la religion de l’un ou de l’autre.
Les grands, ils font la guerre, c’est leur jeu à eux. Les enfants, ils disent : " Ce ne sont pas nos guerres, ce ne sont pas nos histoires. On ne joue pas dans la même cours de récréation... "
Alors les mômes ont décidé de se donner la main à travers toutes les régions, en passant par tous les pays. Ils ont cogité pendant des mois et des mois pour enfin exprimer leur colère. Peter a écrit à Willian. . Willian a téléphoné à Fugi. Fugi a chuchoté à Janéria, sa correspondante du Brésil, son idée de révolution. De maillon en maillon, une formidable chaîne de couleurs s’est assemblée. Ils ont tous participé à la construction d’un mur plus grand que la Muraille de Chine. Ils ont même grimpé sur le mur de Berlin, en tirant la langue aux pyramides d’Égypte.
Le jour de la révolte est enfin arrivé. Les enfants, de tous âges, de toutes ethnies, ont envahi les rues, les boulevards, les chemins de par le monde. Chaque enfant a pris la main d’un autre enfant. Une petite main serrant une main de couleur encore plus menue. Un enfant Palestinien tient la main d’un enfant Israélien. Un enfant protestant Irlandais donne la main à un enfant catholique Irlandais. Un enfant bouddhiste offre sa main à un enfant athé.
Ils s’en foutent les gônes à qui appartient l’autre main, ce qu’elle pense, ce qu’elle croit l’autre main. De main en main, une ronde de silence se bâtit.
Les "grands" ont beau klaxonner, hurler, vociférer, menacer, gesticuler, les gosses ne bougent pas. Déterminés à résister aux hurlements des parents contrariés, ils serrent les dents, les enfants. Ils serrent leurs mains dans celle des petits, très petits princes à côté d’eux pour puiser et transmettre une force que seuls les enfants possèdent.
De leurs sacs, les enfants ont sorti un repas qu’ils ont offert à l’enfant de droite. Ils ont partagé leurs goûts en négligeant les frontières qu’un jour les grandes personnes ont décrêtées.
Se tenant par la main, chacun a entamé sa propre chanson. Chanson populaire, chanson enfantine, chanson de rue aux paroles italiennes, allemandes, certains ont fredonné les berceuses de leurs ancêtres. Des chansons à profusion, des chansons en perfusion pour couvrir la haine farouche de leurs parents. Dans toutes les voix, dans toutes les mains, ils ont tous mis tous leurs jeux enfantins, tous leurs rêves .
Contre cette muraille de petites mains sont venus des hélicoptères, et les reporters, et les psychologues, et les ministres et leurs C.R.S. Mais les gosses, ils n’ont pas desserré les dents, ils ont continué de chanter leurs airs favoris.
Puis les enfants se sont tus, dans le même moment, comme cela, et chacun, sans esclandres, a déposé un bisou sur la joue gauche de son voisin.
Sans bruit, sans mots inutiles, ils sont rentrés chez eux.
Elle.
Des péres, des méres, des hommes, des femmes de dix-huit ans et plus derriere le volants de leurs voitures klaxonnent et klaxonnent. C’est la pagaille dans les rues de Paris, deCamberra, de Dakar, de Beyrouth, de New-York, de Pékin. Un emboutaillage de voitures hurlantes s’impatientent. La vie des adultes est bousculée, désordonnée, désorganisée. C’est la révolution des gosses, de tous les gosses de la planète Terre, dépassant les frontières de l’imaginaire.
Les enfants en ont ras le bol de ne plus pouvoir se donner la main dans les cours de récréation. Les mômes, ils en ont marre de ne plus pouvoir choisir leurs correspondants étrangers. Les gônes, ils saturent d’entendre leurs très chers parents commenter les actualités horrifiantes tout en engloutissant tranquillement un éclair au chocolat.
Pierre, il veut jouer au foot avec Sofiène. Adeline, elle veut jouer à la marelle avec Yasmine. Ursula et Tatsuya, elles veulent encore manger du couscous avec leurs doigts chez Fatima. Edouard, il veut encore chouraver des pommes vertes dans le jardin du vieux paysan d’à côté, avec Youri. Chacun s’en foute de la couleur de son copain, de la religion de l’un ou de l’autre.
Les grands, ils font la guerre, c’est leur jeu à eux. Les enfants, ils disent : " Ce ne sont pas nos guerres, ce ne sont pas nos histoires. On ne joue pas dans la même cours de récréation... "
Alors les mômes ont décidé de se donner la main à travers toutes les régions, en passant par tous les pays. Ils ont cogité pendant des mois et des mois pour enfin exprimer leur colère. Peter a écrit à Willian. . Willian a téléphoné à Fugi. Fugi a chuchoté à Janéria, sa correspondante du Brésil, son idée de révolution. De maillon en maillon, une formidable chaîne de couleurs s’est assemblée. Ils ont tous participé à la construction d’un mur plus grand que la Muraille de Chine. Ils ont même grimpé sur le mur de Berlin, en tirant la langue aux pyramides d’Égypte.
Le jour de la révolte est enfin arrivé. Les enfants, de tous âges, de toutes ethnies, ont envahi les rues, les boulevards, les chemins de par le monde. Chaque enfant a pris la main d’un autre enfant. Une petite main serrant une main de couleur encore plus menue. Un enfant Palestinien tient la main d’un enfant Israélien. Un enfant protestant Irlandais donne la main à un enfant catholique Irlandais. Un enfant bouddhiste offre sa main à un enfant athé.
Ils s’en foutent les gônes à qui appartient l’autre main, ce qu’elle pense, ce qu’elle croit l’autre main. De main en main, une ronde de silence se bâtit.
Les "grands" ont beau klaxonner, hurler, vociférer, menacer, gesticuler, les gosses ne bougent pas. Déterminés à résister aux hurlements des parents contrariés, ils serrent les dents, les enfants. Ils serrent leurs mains dans celle des petits, très petits princes à côté d’eux pour puiser et transmettre une force que seuls les enfants possèdent.
De leurs sacs, les enfants ont sorti un repas qu’ils ont offert à l’enfant de droite. Ils ont partagé leurs goûts en négligeant les frontières qu’un jour les grandes personnes ont décrêtées.
Se tenant par la main, chacun a entamé sa propre chanson. Chanson populaire, chanson enfantine, chanson de rue aux paroles italiennes, allemandes, certains ont fredonné les berceuses de leurs ancêtres. Des chansons à profusion, des chansons en perfusion pour couvrir la haine farouche de leurs parents. Dans toutes les voix, dans toutes les mains, ils ont tous mis tous leurs jeux enfantins, tous leurs rêves .
Contre cette muraille de petites mains sont venus des hélicoptères, et les reporters, et les psychologues, et les ministres et leurs C.R.S. Mais les gosses, ils n’ont pas desserré les dents, ils ont continué de chanter leurs airs favoris.
Puis les enfants se sont tus, dans le même moment, comme cela, et chacun, sans esclandres, a déposé un bisou sur la joue gauche de son voisin.
Sans bruit, sans mots inutiles, ils sont rentrés chez eux.
Elle.
Mer 14 Mars 2007, 21:20 par
Fille du peuple sur Un monde parfait
Il est étrange...
... comme il suffit parfois de savoir que l’amour n’est pas partagé pour qu’à toutes les audaces succède un vague écoeurement. Il est surprenant comme l’on en vient à se considérer, avec du recul, comme un enfant naïf, sans discernement. Et pourtant l’on sait bien que l’on n’est pas exempt de raison. Il est étrange comme on lit les pages d’une histoire passée de toute autre manière, sans pourtant être amère, mais hélas plus pesée. Il est vrai que l’amour et la raison ne font pas bon ménage ! Et que pour aimer on oublie d’être sage !
Qu’importe ! Je ne regrette pas tout l’amour donné, car pour citer Dominique Lapierre : "ce qui n’est pas donné est perdu"...
Et à tout prendre, j’en viens à regretter qu’autant soit gaspillé !
Comprenne qui peut !
Qu’importe ! Je ne regrette pas tout l’amour donné, car pour citer Dominique Lapierre : "ce qui n’est pas donné est perdu"...
Et à tout prendre, j’en viens à regretter qu’autant soit gaspillé !
Comprenne qui peut !
Ven 12 Jan 2007, 12:26 par
dolce vita sur Mille choses
Trésor
__C’est l’histoire d’une gosse, d’une brave gosse. Elle avait soif, soif de mots. Question de survie, question de survie tout simplement. Chez elle, le puits est tari depuis longtemps. Elle crève de soif. Alors elle baroude au dehors. Elle trouve des puits remplis d’espoir. De mots d’amour en mots de vie, elle abreuve. Mais l’eau est amère, l’eau ne la désaltère pas, goulue elle se sèche. Elle vagabonde de puits en puits à genoux. Genoux qui saignent. Rugissante, elle quémande une goutte fraîche de sentiment. Elle tend la main. Peine perdue, elle reçoit des pierres. Elle voudrait des puits, des puits à pas perdus. Enfant au pays des rêves et des fées. Dans son monde imaginaire, elle se construit une tour de glace. Dans sa main un pic. Elle creuse pour trouver un filet eau. Triste filet. Pauvre filet. Sa main violacée de labeur, gratte cette glace qui refuse de jaillir. Des larmes sèches de désespoir n’étanchent pas sa soif. Elle devient vide, la sale gosse. Aigrie, la môme. Plus de fleur bleue, elle s’offre à tous. De caresse en caresse, ils se servent heureux. Elle se donne sans douleur, elle se donne sans plaisir, juste un sourire pour cajoler une nuit sans magie. Son puits est vide, son puits s’ assèche. Elle crève la soif. Mais elle donne, mais elle s’offre. Elle baroude le jour, elle maraude des mots. Toujours silence, elle sourit au vent. Ventre à terre, elle ne croit plus aux chimères, seul un mirage dans le désert de ses sentiments lui fait voir des oasis où des couleurs s’alignent. Elle les offre, elle les couche sous le regard avide des voleurs d’ennui. La soif lui brûle la gorge, la soif lui irradie le cœur. La soif la consume. Sans eau elle s’ éteint. Sans eau, elle brûle. Immense bûcher. Sans cesse en chemin, elle s’épuise. Les lendemains s’effritent, les lendemains se font incertains. Des paroles arides comme la roche s’échappent de ses lèvres. Comme après une vigoureuse averse son coeur est raviné. De mots d’amour en nuit d’offrande elle refuse la vie. Les mots d’amour qui remplissent une vie elle les cède sans compter sans entendre les cadeaux qui tombent à ses pieds. Elle donne, sans rien attendre en retour, même plus une goutte d’eau. Elle se bâtit une pyramide de glace pareille à un château de carte. Au premier souffle tout se brisera. Tel un château de cartes. C’est ainsi. Comme un champ de blé après l’orage, elle se couchera. Un sourire scotché aux lèvres elle dira que tout va bien. Et pourtant elle aura eu soif à en crever. Dans son elle, une béatitude. Dans vos yeux, elle rayonnera. Mais elle aura su crayonner un sourire sur sa bouche avide et goulue d’une cascade de délices pour vous construire un puits d’amour.. Elle jouait sans cesse avec les mots. Elle riait avec le vent. Elle riait de tout. Elle riait pour vous. Charnue de paresse, elle flânera sous un hêtre, prés d’une marre, où les crapauds chanteront l’allégresse des matins d’été. Et demain le soleil pointera le bout de son nez après que la rosée ait déposé mille paillettes sur l’herbe verte. Et elle, voluptueuse, suivra l’arc-en-ciel qui, au bout, lui fera découvrir un trésor. Trésor de vie. Fricassée d’images magiques.
Et l’hiver, sans se découvrir de son « r » annoncera un printemps nouveau.
Fille du peuple
Et l’hiver, sans se découvrir de son « r » annoncera un printemps nouveau.
Fille du peuple
Mer 10 Jan 2007, 08:36 par
Fille du peuple sur L'amour en vrac
Lettre ouverte au Père Noël
Cher Père Noël,
Tu sais - comme moi - que je ne suis plus une petite fille et ce depuis bien des années. Néanmoins, j’entends tellement dire que je suis restée enfant que je t’écris cette lettre... Oh, tu peux te moquer de moi, ce ne seront pas les premiers sarcasmes et puis, je suis comme je suis, n’est-ce pas, si cela te fait rire alors tant mieux, c’est un peu de joie que je t’aurais donnée.
L’amour ? C’est l’amour qui est au coeur de ma demande. Car tu l’as bien compris je viens vers toi avec un coeur implorant. Père Noël, voilà bien des années que je regarde l’amour et ne le vis pas, je le contemple le nez collé contre la vitre du bonheur. Enfant on m’avait appris que l’amour se méritait, mais non, non, je sais aujourd’hui qu’il est gratuit et que, de surcroît, on en a tous besoin pour vivre. Et oui, tous autant que nous sommes. Certains le ressentent mais il reste sans objet... D’autres ont perdu le chemin de leur coeur à force d’enfermement.
Ma vie m’est presque à charge : à quoi sert de vivre si l’on ne peut remplir sa vocation, à quoi sert de ressentir l’amour lorsqu’il demeure unilatéral et qu’en fin de compte on ne ressent sa morçure que pour savoir que l’on est privé de ses joies ? Ma vocation propre est dans l’amour. L’amour, je l’espère, j’y crois naïvement à chaque instant. Cependant, il ne me reste entre les doigts - sitôt mon coeur enflammé - que des cendres : l’être aimé/aimant où est-il ? Un petit génie m’avait demandé de faire un voeu, je l’ai fait mais hélas, le génie s’est enfui avec mon voeu sous le bras et mon coeur saigne... Je suis fatiguée.
J’ai besoin d’aimer et d’être aimée Père Noël, c’est le moteur de ma vie, c’est l’amour qui me donne la force de me battre, la force d’avancer, la force de me relever.
Nous sommes nombreux à connaître la solitude du coeur, alors je t’en prie pour Noël, puisses-tu apporter à toutes ces âmes la joie de l’amour partagé. Pas des tas d’amour de surconsommation à prendre et à jeter après usage, non, l’amour, tendre et vrai, l’amour propre à chacun, à chacune.
Je t’embrasse bien doucement de tout mon coeur d’enfant puisqu’enfant il y a.
Avec une pluie de tendresse,
Dolce
Tu sais - comme moi - que je ne suis plus une petite fille et ce depuis bien des années. Néanmoins, j’entends tellement dire que je suis restée enfant que je t’écris cette lettre... Oh, tu peux te moquer de moi, ce ne seront pas les premiers sarcasmes et puis, je suis comme je suis, n’est-ce pas, si cela te fait rire alors tant mieux, c’est un peu de joie que je t’aurais donnée.
L’amour ? C’est l’amour qui est au coeur de ma demande. Car tu l’as bien compris je viens vers toi avec un coeur implorant. Père Noël, voilà bien des années que je regarde l’amour et ne le vis pas, je le contemple le nez collé contre la vitre du bonheur. Enfant on m’avait appris que l’amour se méritait, mais non, non, je sais aujourd’hui qu’il est gratuit et que, de surcroît, on en a tous besoin pour vivre. Et oui, tous autant que nous sommes. Certains le ressentent mais il reste sans objet... D’autres ont perdu le chemin de leur coeur à force d’enfermement.
Ma vie m’est presque à charge : à quoi sert de vivre si l’on ne peut remplir sa vocation, à quoi sert de ressentir l’amour lorsqu’il demeure unilatéral et qu’en fin de compte on ne ressent sa morçure que pour savoir que l’on est privé de ses joies ? Ma vocation propre est dans l’amour. L’amour, je l’espère, j’y crois naïvement à chaque instant. Cependant, il ne me reste entre les doigts - sitôt mon coeur enflammé - que des cendres : l’être aimé/aimant où est-il ? Un petit génie m’avait demandé de faire un voeu, je l’ai fait mais hélas, le génie s’est enfui avec mon voeu sous le bras et mon coeur saigne... Je suis fatiguée.
J’ai besoin d’aimer et d’être aimée Père Noël, c’est le moteur de ma vie, c’est l’amour qui me donne la force de me battre, la force d’avancer, la force de me relever.
Nous sommes nombreux à connaître la solitude du coeur, alors je t’en prie pour Noël, puisses-tu apporter à toutes ces âmes la joie de l’amour partagé. Pas des tas d’amour de surconsommation à prendre et à jeter après usage, non, l’amour, tendre et vrai, l’amour propre à chacun, à chacune.
Je t’embrasse bien doucement de tout mon coeur d’enfant puisqu’enfant il y a.
Avec une pluie de tendresse,
Dolce
Mar 19 Déc 2006, 13:27 par
dolce vita sur Mille choses
TESMA
J’y ai crû
Oui, j’ai voulu y croire...
Croire à nous
Malgré tout
Croire
Tu as raison
Comme si je n’avais jamais souffert
Comme si je ne savais pas
Comme une enfant naïve
TESMA
Ces mots qui m’envolaient vers toi
Ces mots comme une voie
Et je suis restée là
Sur le quai de la gare
Et le train de l’amour qui siffle dans le noir
Tout le noir qui t’absorbe
Et ne m’attire pas
Et toujours le silence
Qui répond à ma voix
Un jour la vie réelle
me conduira ailleurs
Et je croirai encore
Mes yeux émerveillés
Souriront à l’amour
Qu’il voudra me donner
Car je veux encore croire
Oui, je veux espérer...
Il y aura un matin
Il y aura un homme
Qui lui voudra m’aimer
J’ai crû que c’était toi
Mais j’ai dû me tromper...
J’ai du mal à y voir
TESMA
Et je suis seule ce soir
Oui, j’ai voulu y croire...
Croire à nous
Malgré tout
Croire
Tu as raison
Comme si je n’avais jamais souffert
Comme si je ne savais pas
Comme une enfant naïve
TESMA
Ces mots qui m’envolaient vers toi
Ces mots comme une voie
Et je suis restée là
Sur le quai de la gare
Et le train de l’amour qui siffle dans le noir
Tout le noir qui t’absorbe
Et ne m’attire pas
Et toujours le silence
Qui répond à ma voix
Un jour la vie réelle
me conduira ailleurs
Et je croirai encore
Mes yeux émerveillés
Souriront à l’amour
Qu’il voudra me donner
Car je veux encore croire
Oui, je veux espérer...
Il y aura un matin
Il y aura un homme
Qui lui voudra m’aimer
J’ai crû que c’était toi
Mais j’ai dû me tromper...
J’ai du mal à y voir
TESMA
Et je suis seule ce soir
Sam 09 Déc 2006, 20:14 par
dolce vita sur Amour internet
Langage du coeur...
Personne ne peut fuir son coeur.
C’est pourquoi il vaut mieux écouter ce qu’il dit.
Paulo Coelho
Extrait de " L’Alchimiste "
Qu’importe de quoi parlent les lèvres,
lorsqu’on écoute les coeurs se répondre.
Alfred de Musset
Extrait de " La Confession d’un enfant du siècle "
C’est pourquoi il vaut mieux écouter ce qu’il dit.
Paulo Coelho
Extrait de " L’Alchimiste "
Qu’importe de quoi parlent les lèvres,
lorsqu’on écoute les coeurs se répondre.
Alfred de Musset
Extrait de " La Confession d’un enfant du siècle "
Briséis le retour
J’ ai toujours la clé.
Dans deux mois, je pars définitivement de ce marasme qu’ est Juvisy sur Orge.
En l’ espace de soixante douze heures non chrono en main car il vient de mon coeur, j’ ai protégé une gamine de 20 ans dans mon appartement, au 12 rue de Draveil.
Cette fille, je l’ ai trouvée en pleurs, les lunettes pas cassées, mais il y avait dommage.
A toi, connard ac un petit c puisque t’ es définitivement un invertébré du bocal :
Si, à 24 ans, tu es capable de jurer sur n’ importe quelle bible en cognant ta p’ tite copine, que tu l’ aime, alors que t’ es bourré, rempli de tunes à donf de ses pôches à Elle, et je ne te parle pas des deux cocards que j’ ai soigné Moi Même, tu fais retour, sans case départ, à Fleury Meringis.
Eh oui.... En suisse normande, si tu connais Thury Harcourt, tu ne connais pas Fleury.
PS : la fille de son père, qui a toujours fait gaffe à ce qu’ on ne dépasse pas la limite de vitesse, parce que, sinon, on tue un enfant, comme une mère, et la plupart du temps, les plus vieux trinquent, parce qu’ ils marchent lentement.
En traversant la route, on continue chemin!
Dans deux mois, je pars définitivement de ce marasme qu’ est Juvisy sur Orge.
En l’ espace de soixante douze heures non chrono en main car il vient de mon coeur, j’ ai protégé une gamine de 20 ans dans mon appartement, au 12 rue de Draveil.
Cette fille, je l’ ai trouvée en pleurs, les lunettes pas cassées, mais il y avait dommage.
A toi, connard ac un petit c puisque t’ es définitivement un invertébré du bocal :
Si, à 24 ans, tu es capable de jurer sur n’ importe quelle bible en cognant ta p’ tite copine, que tu l’ aime, alors que t’ es bourré, rempli de tunes à donf de ses pôches à Elle, et je ne te parle pas des deux cocards que j’ ai soigné Moi Même, tu fais retour, sans case départ, à Fleury Meringis.
Eh oui.... En suisse normande, si tu connais Thury Harcourt, tu ne connais pas Fleury.
PS : la fille de son père, qui a toujours fait gaffe à ce qu’ on ne dépasse pas la limite de vitesse, parce que, sinon, on tue un enfant, comme une mère, et la plupart du temps, les plus vieux trinquent, parce qu’ ils marchent lentement.
En traversant la route, on continue chemin!
Dim 08 Oct 2006, 02:37 par
Chogokinette sur Un monde parfait
Re: Dis
Qui est-il ?! Un être humain qui est en souffrance ces temps-ci... Que te répondre que tu ne sais déjà ? Le "hazard" l’a conduit sur ma route, il est un frère du bout de la France, l’autre bout, celui où je ne suis pas. Il est parfois comme un petit enfant perdu qui doute de tout et de lui et pourtant que lui manque-t-il ?! ... Un ami qui a besoin qu’on pense à lui... Mais il le sait je ne l’oublie pas...
Dolce
Dolce
Jeu 21 Sep 2006, 12:12 par
dolce vita sur Un monde parfait
Je me laisse porter dans tes bras
Je me laisse porter dans tes bras,
Vers l’Île de Nos Rêves,
Sur ces vagues d’Espoir,
Ces déferlante d’Émotion débordante,
Ces mascarets d’Amour.
Depuis longtemps, tu me protèges,
Des aléas de ma vie tortueuse,
Tu es là depuis déjà si longtemps,
Tu aurais pu prendre peur,
Face aux tourments de ma vie,
Mais non !
Tu es là, toujours présent,
Tu me fais devenir femme,tu me chéris, tu me révèles,
La beauté qu’il y autour de Nous,
Mais surtout toute la beauté intérieure de ton être.
Tout gravé de Toi,
Je me réveille chaque matin,
Entourée d’un doux manteau de velours,
D’une toile chaleureuse faite de tes pensées,
De notre avenir, du jour où notre enfant sera né.
Je sais qu’avec Toi,
Rien n’est impossible,
Car tu es mon refuge, mon âtre de l’amour....
Julia
Vers l’Île de Nos Rêves,
Sur ces vagues d’Espoir,
Ces déferlante d’Émotion débordante,
Ces mascarets d’Amour.
Depuis longtemps, tu me protèges,
Des aléas de ma vie tortueuse,
Tu es là depuis déjà si longtemps,
Tu aurais pu prendre peur,
Face aux tourments de ma vie,
Mais non !
Tu es là, toujours présent,
Tu me fais devenir femme,tu me chéris, tu me révèles,
La beauté qu’il y autour de Nous,
Mais surtout toute la beauté intérieure de ton être.
Tout gravé de Toi,
Je me réveille chaque matin,
Entourée d’un doux manteau de velours,
D’une toile chaleureuse faite de tes pensées,
De notre avenir, du jour où notre enfant sera né.
Je sais qu’avec Toi,
Rien n’est impossible,
Car tu es mon refuge, mon âtre de l’amour....
Julia
Dim 27 Août 2006, 20:45 par
joullia sur Parler d'amour
Ecrire sur enfant
L'amour, Autoportrait ( 2 )..., Autoportrait..., Doux mélange, Je veux l'épouser pour un soir, Fatia, Révoltes des enfants, Il est étrange..., Trésor, Lettre ouverte au Père Noël, TESMA, Langage du coeur..., Briséis le retour, Re: Dis, Je me laisse porter dans tes bras,Il y a 133 textes utilisant le mot enfant. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
Derniers textes
Le Dim 08 Août 2021, 15:15 par martin
Le Jeu 05 Août 2021, 14:40 par martin- A la poursuite de milou
Le Dim 01 Août 2021, 14:52 par martin - Noel
Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
Livres recommandables
Tes désirs sont des ordres J'ai lu | |
Le bandeau J'ai lu | |
Homo erectus Gallimard | |
Récits coquins des plaisirs défendus J'ai lu | |
La femme de papier | |
Libérer son écriture et enrichir son style Editions Victoires | |
Proposition perverse | |
Le baton et la carotte La Musardine | |
Dictionnaire des idées suggérées par les mots : trouver le mot juste Le Livre de Poche | |
Exercices de style Gallimard |
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres
La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
Qui est en ligne ?
- Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
- La date/heure actuelle est Jeu 21 Nov 2024, 14:53
- Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
Nous avons 1234 membres enregistrés
L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher - Il y a en tout 193 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 193 Invités et 0 Bots [ Administrateur ] [ Modérateur ]
- Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 311 le Sam 21 Juil 2012, 20:22
- Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
Bots : Aucun - Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes