La biche et moi (ecrit au masculin re-travaillé)

LA BICHE ET MOI

En ce temps-là, j’avais acheté, pour une bouchée de pain, un grand terrain laissé depuis longtemps à l’abandon et retourné quasiment à l’état sauvage. Enfin, si l’on peut appeler cela un terrain d’une étendue hétéroclite de prairies, marécages et bois disséminés pêle-mêle sur un domaine au relief chaotique que surplombait l’antique coupole d’un vieux moulin en ruine. Personne ne semblait pouvoir me renseigner sur le contenu exact de la propriété et les papiers officiels ne faisaient mention que d’une surface et de la "probabilité d’une habitation". Une telle description sur un acte de vente s’expliquait par un accès plus que difficile, prodigieusement malaisé et très dangereux. On ne s’y prendrait pas autrement pour en interdire l’entrée. C’était, sans toutefois l’affirmer : Vous entrez à vos risques et périls ! Ce qui en rebuta plus d’un et fit mon bonheur tant sur le plan pécunier que sur le plan satisfaction : L’endroit était exactement ce dont j’avais rêvé !Je trouvai, dans la propriété, un vieux moulin à eau entouré d’une forêt d’orties, de fleurs champêtres, de ronces et d’arbres rabougris couverts de fougères. J’avais besoin d’un endroit comme cela, à l’écart de toute civilisation, mais pas, pour autant, au bout du monde, pour y séjourner en paix et méditer au calme.

Un héritage impromptu, placé à bon escient, me rapportait suffisamment que pour vivre de mes rentes. N’ayant nul besoin de travailler, je passais mon temps partagé entre mes loisirs, la découverte de mon domaine et la restauration de l’ancien bâtiment. J’étais ainsi toujours occupé et je ne connaissais pas l’ennui. Étant un solitaire, j’avais appris à me débrouiller seul et n’avais besoin d’aide même pour des travaux de force que j’accomplissais en me référant aux anciennes méthodes de construction. Celles d’un temps où l’homme était la seule puissance motrice disponible pour exécuter ce genre de travail. Je restaurai ainsi un vieux four dans lequel je faisais cuire mon pain. Remis en état l’ancienne roue à aubes du moulin pour disposer de sa force pour les gros travaux ainsi que de son énergie pour alimenter un circuit d’eau, sommaire, pour la cuisine et la salle d’eau. Réparai la toiture pour être au sec, rebâtis la partie de façade effondrée, consolidai le reste et refis quelques crépis internes pour que l’ensemble soit propre et agréable à vivre. Je m’octroyais de larges plages horaires pour lire et méditer et me surpris à plusieurs reprises à lire à la lueur du feu de bois crépitant joyeusement dans la cheminée. J’aimais cette atmosphère intimiste que je préférais à la lumière froide des ampoules électriques.

Mon garde-manger se remplit bien vite des légumes variées en provenance du petit jardinet que j’avais défriché et des nombreux fruits en provenance d’un verger revigoré par l’élimination de la prolifération des mauvaises herbes qui l’avaient envahi. Mon nouveau cadre partiellement aménagé, j’aimais beaucoup m’étendre sous un arbre ou au bord de l’eau et dans cette tranquillité champêtre, je dévorais quantité de livres. Parfois, le soir, inspiré par le cadre et le chant des cigales, j’improvisais sur le piano des mélodies pastorales ou, quand le temps menaçait d’orage, une envolée lyrique qui n’aurait déplu à Wagner.
Les rares amis qui s’étaient invités étaient repartis aussi vite que l’éclair au manque d’eau chaude courante, de radio et de la reine télévision dont la place restait ostensiblement vide. Contrairement à l’adage qui veut qu’un ami arrive trop tard et reparte trop tôt, chez moi, il arrivait toujours trop tôt et repartait, malgré sa célérité, toujours trop tard. Ce qui me valut, auprès d’amis et connaissances, en un temps record, le sobriquet de sauvage. Pas de réveille-matin non plus ! Je me réveillais chaque matin, la fenêtre ouverte, avec le doux murmure d’une petite cascade dont l’eau s écoulait paresseusement en un gros ruisseau qu’accompagnaient les chants joyeux d’une dizaine d’espèces différentes d’oiseaux : Un pur moment de bonheur !

Après une installation plus que sommaire, bien que suffisante à mes faibles exigences, je décidai de faire le tour complet du propriétaire pour avoir une idée aussi précise que possible de l’état et des besoins de la propriété. Je pris un sac à dos, y fourrai de quoi tenir une semaine de provisions, ma tente et mon sac de couchage, résidus des camps de vacance de ma jeunesse, une machette et une corde d’alpiniste, souvenir d’un vieux voyage au Mexique, un ciré, cadeau d’un ami breton, l’indispensable équipement de l’explorateur, boussole, lampe, couteau et mon inévitable livre de chevet. Pour l’occasion, j’avais trouvé fort à propos d’emporter les aventures de Robinson Crusoé. Une fois traversée la savane sauvage entourant mon havre de paix, je m’enfonçai vite dans une sorte de brousse boisée aux ramures inextricables traversée par une espèce de pâture marécageuse. Un infect bourbier que je décidai de contourner de peur d’y rester coincé. C’est au détour d’une énième masse de ronces que je la vis : Une biche s’était empêtrée, dans cette surface spongieuse, et malgré tous ses efforts ne parvenait pas à s’en extraire. Quand mon regard croisa ses grands yeux angoissés, elle semblait supplier : Sauve-moi !

Je n’étais pas équipé pour une telle péripétie mais sans y réfléchir davantage, je sortis mon inséparable corde de rappel qui ne me quittait plus pour mes randonnées depuis que son absence avait failli me coûter la vie lors d’un trip dans les Andes. J’attachai solidement un bout à un arbre et en ayant une pensée pour mes toutes nouvelles bottines de marche je m’enfonçai résolument en direction de la bête apeurée. Comme si elle fut consciente du but de mon action, elle arrêta de se débattre et se laissa entraver docilement. Relevant la biche d’une main et tirant la corde de l’autre, le corps à moitié enfoui dans la boue, après un temps qui me parut une éternité, je parvins à dégager la bête de l’emprise de la vase. Il ne me resta plus qu’à m’y soustraire pour remarquer que la biche, loin d’éprouver de la crainte à mon égard, faisait montre d’une gratitude inhabituelle pour cette hôtesse des bois. Une fois ses entraves ôtées, je l’exhortai à partir mais elle n’en fit rien. Que du contraire, elle se mit à me suivre comme un toutou. L’aventure et l’effort consenti m’avaient donné faim et m’arrêtai pour manger, assis à califourchon sur une victime des terribles tempêtes ayant secoué la région. Le vieux tronc me servait à la fois de chaise et de table et déployant un essuie j’installai mon repas.

Je commençai à me restaurer quand, à ma grande surprise, la biche s’invita à la collation en subtilisant timidement quelques feuilles de salade. Mi-perplexe, mi-amusé, je réalisai que la pauvre bête devait mourir de faim. Qui sait depuis combien de temps elle se débattait dans cette boue ? Je songeai que son attachement inhabituel devait provenir du parfum que dégageaient les victuailles que recelait mon sac à dos. Je me surpris à lui parler comme à une personne et l’inviter à la noce du geste et de la parole. Je m’amusais à voir son joli museau s’avancer vers la nourriture et l’attraper de sa petite langue tandis que ses grands yeux semblaient dire : Je peux ? Je lui présentai salades, légumes et fruits divers auxquels elle ne se priva pas de faire honneur. Au point que, le casse-croûte fini, je dus constater qu’il ne m’en restait plus assez pour continuer l’exploration de mon domaine. Je me voyais contraint de rentrer au bercail, faire le plein de provisions car je doutai fort de trouver quelque chose de comestible dans cette brousse. Le soir tombant n’en hâta que plus ma décision de faire demi-tour. Je me dis que, rassasié, l’animal allait sans doute poursuivre sa route.
Elle n’en fit rien et continua de me suivre docilement.

Le débroussaillage de l’aller se révéla un précieux gain de temps pour le retour et me félicitai intérieurement de ne pas avoir lésiné sur les coups de machette : Le chemin était tout tracé. Malgré cela, l’arrivée d’un orage impromptu vint obscurcir prématurément le peu de lumière dispensée par un soleil mourant. C’est à ce moment que je me rendis compte que, tout à l’étude du comportement de la bête, j’avais oublié de refaire mon paquetage. Ma lampe se trouvait quelque part dans ces ombres qui gonflaient et je ne dus de retrouver mon chemin qu’à la lueur de quelques éclairs annonciateurs de tempête. Accélérant le pas, je me retrouvai vite chez moi ; la biche toujours sur mes traces. Je m’engouffrai dans l’entrée au moment même où, les nuages, crevant, déversèrent la pluie à pleins seaux. J’allais refermer la porte sur les éléments déchaînés quand je croisai le regard attristé de la biche. Imagination, me direz-vous ! N’empêche que je n’eus pas le cœur de la laisser dehors et lui fis signe d’entrer. Ce qu’elle se pressa de faire d’un trottinement que je qualifierais de joyeux. Je ne pus m’empêcher de noter les dégâts occasionnés au hall d’entrée par mes bottes boueuses, ses sabots fangeux et sa fourrure dégoulinante d’eau mais j’étais exténué de ma journée et remis le nettoyage au lendemain. Je filai, sans tarder, au lit laissant l’animal se choisir un coin pour dormir.

Malgré l’orage qui grondait et grésillait, je ne tardai pas à m’endormir et à faire un de plus étranges rêves qui soit : Une lueur insolite semblait émaner de l’animal, prendre de l’ampleur jusqu’à devenir une lumière éblouissante, l’entourant et le soustrayant totalement à la vue. Quand le rayonnement se fit moins intense, je constatai qu’une créature d’une beauté inouïe avait pris la place de la biche. Une femme à la superbe chevelure d’un rouge flamboyant et aux magnifiques yeux noisette, que de longs cils mettaient en relief, sortit de ce halo et se mit à explorer l’endroit. Sa nudité et son corps aux courbes parfaites en faisaient une déesse irréelle, fascinante, captivante. Je contemplai l’apparition et en suivai chaque mouvement et geste : Tout semblait l’intéresser et l’intriguer. Après sa petite visite, elle revint s’asseoir près de mon lit et nous nous dévisageâmes longuement. Si longuement que, dans le rêve, nous nous endormîmes en nous regardant. Le lendemain matin, un poids me gênant, me réveilla de bonne heure. Je fus surpris de trouver la biche recroquevillée au bout de mon lit et pensai au singulier rêve de la nuit que je mis sur le compte de ma longue abstinence. Bien que m’obligeant à de longues veillées, je ne constatai rien d’inhabituel chez l’animal si ce n’est son inexplicable fascination pour mon logis qu’il refusait invariablement de quitter me suivant partout comme un quelconque familier domestique.

Au point que je m’y affectionnai et, à l’instar de Robinson, je cherchais un nom pour mon étonnant Vendredi. J’écartais d’office les bichettes et autres bibiches pour explorer les différentes mythologies à la recherche d’un nom qui lui conviendrait. Après différents essais, mon choix se fixa sur Eowyn, princesse guerrière du cycle tolkinien de la saga du Seigneur de l’anneau. Quelque chose dans sa description et dans mon imagination faisait queje lui trouvais la même allure altière et par la force des choses, le même mutisme glacial, la même difficulté à s’exprimer. Le temps passa. À l’Automne et ses couleurs variées, succéda le noir et blanc de l’Hiver qui fit place à l’éclatement lumineux d’un Printemps triomphant, et je me surpris à ressentir un manque étrange, comme une sombre appréhension, lorsque la biche partait en balade pendant de longues heures. Je ne saurai dire si c’était une grande inquiétude ou une sorte de stupide jalousie envers ce milieu qui m’enlevait le seul être que je supportais avec grâce à mes côtés., mais ce malaise était bel et bien réel. Je commençai à craindre pour mes facultés mentales. À intervalles réguliers, je refaisais ce même rêve étrange d’une merveilleuse déesse nue visitant la maison et me regardant dormir en se demandant quel rêve pouvait ainsi dessiner un sourire sur mon visage bourru. Je la voyais humer les draps, presque m’ausculter comme si elle voulait imprimer dans son esprit les traits de mon visage et mon odeur.

Une nuit, l’impensable se produisit : L’apparition se risqua à m’embrasser et ce baiser me parut si réel, si chaud, si excitant que je m’éveillai en sueur. Perturbé, désorienté, j’allai dans la cuisine et ouvris le frigo dans le but de me servir un grand verre de jus de fruit quand, dans le reflet d’un plat d’inox, je la vis derrière moi. Je me retournai aussitôt et lâchai mon verre de stupeur : La Venus de mon rêve était là en chair et en os. ! Aussi nue qu’un ver ! Aussi belle qu’une déesse ! Aussi irréelle qu’une fée et pourtant.....Toute aussi stupéfaite que moi, l’apparition était figée, interloquée par cette rencontre. Puis, alors que je n’étais pas encore totalement revenu de ma surprise, elle me raconta son histoire. Un magicien jaloux lui avait lancé un enchantement la changeant en biche. Elle ne reprenait sa forme primitive que les nuits de pleine lune et ne retrouverait son aspect que lorsque son cœur rencontrerait son alter ego et partagerait, en même temps, les mêmes sentiments. J’étais tellement ébahi que je mis un moment à me rendre compte qu’elle peinait à couvrir, de ses frêles bras, sa nudité . Me confondant en excuses, je filai lui chercher de quoi se couvrir. Bien sûr je ne puis lui donner que quelques uns de mes habits et malgré l’incongruité de ces vêtements trop amples, sa ravissante beauté transpirait toujours.

Je m’inquiétai qu’elle eut faim, soif et lui préparai un en-cas rapide. Mais lorsque je voulus lui présenter le plateau, l’apparition avait disparu. Pour un rêve, c’était le songe le plus terriblement réaliste que j’avais jamais fait. Je restai un moment à y réfléchir puis, vaincu par la fatigue m’en retournai coucher. C’est là que je la retrouvai et que je me convainquis de ne pas rêver. Elle était couchée dans mon lit. Sa longue chevelure rousse faisant comme l’ombré d’un tableau. Ses formes sculptant les draps de ses courbes généreuses. Elle avait l’air d’un ange. C’était un ange ! Était-ce la situation ? La fatigue ? Le rêve ? Le manque ? La folie ? Je n’aurais su dire mais j’avais le cœur palpitant et débordant d’un sentiment que je croyais ne plus devoir connaître. L’émotion me submergeait et me vis chevalier protégeant son bonheur.
C’est au matin suivant que les affres de l’inquiétude commencèrent à me tourmenter. Elle avait repris sa forme animale signe que nos cœurs n’étaient pas au diapason des sentiments ou, plus probablement, que la solitude avait altérée ma perception de la réalité. La biche, quant à elle, ne changea pas ses habitudes et me gambadait autour « naturellement » si ce n’est qu’elle était encore plus familière que d’habitude. Enfin, je mis cela sur le compte de mon affabulation.

La nuit suivante, elle revint. Toujours aussi terriblement belle et attirante et nous passâmes la nuit à discuter de tout et de rien. Juste heureux d’être là, l’un en face de l’autre. Je buvais ses paroles comme un flot de nectar et m’enivrai de son rire pareil à une source cristalline. Sa voix me berçait d’une mélodieuse mélopée et je me réveillai le matin suivant endormi sur une chaise, la tête posée sur la table de la cuisine, le dos et les fesses en compote à me demander quel grain de folie germait dans mon cerveau. La nuit d’après, partagé entre certitudes et perplexités, nous échangeâmes de longs discours en de longs silences où seuls nos regards brûlants déclaraient cette flamme qui nous consumait. J’avais une envie folle de connaître le goût de ces merveilleuses lèvres qui s’agitaient en un joyeux babil. Comme si elle voulait rattraper les années de silence. Je les imaginais ayant l’arôme de pétales de rose et la saveur de la cerise. Aussi douces que les uns, aussi tendres que l’autre....Comme lisant dans mes pensées, elle déposa soudain un baiser fugitif sur mes lèvres enflammant tout mon corps d’une douce chaleur irradiante. J’en étais à réaliser ce qui m’arrivait lorsqu’elle revint à la charge d’une ferveur plus animale écrasant ses lèvres sur les miennes et cherchant le contact de ma langue pour ensuite l’aspirer. J’avais le corps en feu, tendu à l’extrême. Le sang battant aux tempes, le cœur cognant dans la poitrine, le ventre faisant des nœuds et le mâle rouant dans le pantalon.

L’envie de la prendre, là, tout de suite et le désir de protéger sa fragilité. Jamais je n’avais ressenti ce sentiment de faire passer le bonheur de l’autre avant mon seul plaisir propre. Je me sentais prêt à affronter le monde pour un seul de ses sourires. Nous échangions des baisers passionnés et des caresses torrides sans pour autant aller plus loin que l’éveil des sens. Chacun ayant peur que la magie de nos rencontres ne s’envole en franchissant le pas. Pourtant on était tellement serrés qu’elle ne pouvait ignorer l’état de tension qui m’agitait au point d’en avoir mal de turgescence. Et je ressentait son envie à ses mamelons durcis cognant ma poitrine. Le jour en biche câline, la nuit en tigresse affamée, j’en mourais de l’appétence qu’elle soit mienne et m’immolais à ses caprices pourvu qu’elle soit heureuse. On jouait à cet énivrant et excitant jeu dangereux lorsque survint l’accident. Ce matin-là, comme souvent, je mouillais une ligne dans l’espoir d’en retirer ma pitance tout en savourant les extravagantes aventures du Baron de Münchhausen que je ne me lassai de relire. Amusée ou intriguée par le jeu des poissons autour de l’appât, la biche se pencha. Un peu trop ! Et tomba à l’eau. La seconde suivante, un cri désespéré de femme me vrilla les tympans, me retourna le cœur et me propulsa à l’eau en même temps.

Mon amour se noyait ! Je la sortis aussi vite que possible de l’onde et l’étendis inanimée sur la berge. Le cœur serrant la gorge et l’âme au bord des lèvres j’entrepris de la ranimer. Je pratiquai le bouche-à-bouche mais le geste professionnel se changea vite en baiser amoureux. L’attrait de son corps, ses seins insolents, ses hanches affriolantes, son ventre invitant eurent raison de mes hésitations lorsqu’elle répondit à mon baiser. Des lèvres, je tombai sur son cou, glissai sur sa gorge et m’arrêtai sucer goulument ses seins. Ses tétons étaient aussi durs que roche. Tout son corps se tordait d’offrande. Pendant que je l’embrassais et la caressais, je sentais ses mains s’activer à m’ôter le pantalon. Je posais une main sur son ventre et la fis glisser juste au dessus de sa toison dorée. Elle desserra aussitôt ses cuisses, et je pus glisser mes doigts dans ses plis intimes. Elle soupira longuement. Elle était déjà moite de désir, prête pour l’amour...............
Tout en embrassant son corps, j’atteignis son jardin d’Eden et lui arrachai un gémissement de plaisir en écrasant délicatement le pistil de sa rose. Ma langue allait et venait entre ses lèvres énervant son bouton rose pendant que mes mains parcouraient cuisses, ventre et fesses en une ronde caressante et impudique. Elle haletait et soupirait, et je redoublais d’ardeur dans les attouchements, les baisers et les caresses. Le plaisir et le désir la tordant en spasmes jouissifs jusqu’à ce qu’elle parvienne enfin à l’orgasme dans un long râle extatique.

Je goûtais à son bonheur lorsque, d’un brusque coup de rein, elle inversa la position se retrouvant de monture à cavalière. Dans le même mouvement, s’emparant de mon membre, elle s’empala et partit au galop. Sa chaleur intime m’enflamma au point que je crus exploser en elle tellement vite que j’en fus désolé mais à son sourire triomphal je sus qu’elle avait atteint son but. Je ne sais combien de fois elle revigora mon ardeur mais je sais que jamais je ne me serai cru capable d’un tel exploit. Nous nous arrêtâmes à bout de forces mais non à bout d’envie et nous nous endormîmes, enlacés, épuisés, sur la berge. La fraîcheur du soir qui tombait nous réveilla et, nus comme Adam et Eve, nous nous dirigeâmes vers cette maison où l’amour, que depuis je lui prodiguais, devait la convaincre de ne jamais plus la quitter.
Jeu 14 Nov 2013, 11:12 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 7

Eh bien bonjour tout le monde désolé de ce petit retard, mais le chapitre bien qu’il soit moyennement long à prit un peut plus de temps. Donc le voici bonne lecture ^^

ps : il y a un lemon donc + 14 pour ce chapitre âmes sensible à s’abstenir merci !

Chapitre 7 : Noël approche

Point de vue Haruka.

Depuis la demande en mariage, deux semaines venais de s’écouler, et les vacances d’hiver furent enfin arrivé. Il est au alentours de 21 heures, et je me retrouvait dans le salon regardant un peut la télévision. Michi prenait sa douche, et je l’attendais. Ah … Et dire que nous allons passer notre premier noël ensemble, sa me rendait heureuse et nostalgique à la fois.

Michiru – ah … Quoi de mieux qu’une bonne douche.

Elle se dirige vers moi, et vint prendre place à ma droite. Passant son bras gauche derrière mon dos, et lovant sa tête au creux de mon cou, sa main droite se posant sur ma poitrine. Je sourit, je vint allonger mon bras droit sur ses épaules, et de ma main gauche je vint tendrement lui caresser l’épaule. Mh elle sent vraiment bon, et elle est très jolie ainsi. Elle porte un petit short blanc accompagné d’un long polo beige à manche longue, elle a des petite lunettes noire sur les yeux, et ses cheveux son tiré vers la gauche. Elle est vraiment jolie comme un cœur.

Michiru – dis Haru, je peux te poser une question ?
Moi – bien sur mon ange. Qui y’a t-il ?

Je vint couper la télévision et vint mettre Michi sur mes genoux. Entourant son dos, et le caressant.

Michiru – es ce que tu pourrais venir avec moi demain, chercher mes affaires dans mon ancienne maison, même si mon père n’y est plus elle est encore ouverte.
Moi – oui pourquoi pas !
Michiru – merci ma chérie, je t’aime.
Moi – moi aussi mon trésor je t’aime et plus que tout.

Elle me sourit et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Je souris et répond à son baiser en l’allongeant sur le canapé. Ses bras s’enroulent autour de ma nuque, et ses doigts allèrent caresser ma cheveulure. Cela me rendait si heureuse de me retrouver comme sa avec elle, sans que personne ne se mettent en travers de notre petit nid d’amour.

Je laisse ma main droite monter à sa cheveulure et mes doigts s’emmêlent à l’intérieur, et de mon pouce caresse ses cheveux. Alors que je laissa ma main gauche allait gentiment caresser sa cuisse.

Nos langues se trouvent et se caressent tendrement entres elles. Je remonte doucement afin d’être à sa hauteur, et vint la serrer dans mes bras.


Michiru – hm …

Mon cœur se mit à tanguer dans ma poitrine, une monté d’adrénaline se répend dans mon corps. Notre baiser s’approfondit, et d’un geste doux, je lui caresse la joue, bougeant doucement la tête pour mieux apprécier ce bonheur qui m’enivre de plus en plus. Nos lèvres se séparent, et je vint coller mon front contre le sien, la regardant avec amour. Son nez se mit à caresser le mien, et cela m’adoucie un peut plus.

Moi – dis moi … Que veux tu que l’ont face, pour notre premier noël ensemble ?
Michiru – plein de choses, mais la première c’est de passer du temps avec toi ma jolie blonde !
Moi – ma chérie … Je t’aime tu sais.
Michiru – moi aussi Haru, et vraiment très fort !

Je lui sourit, caresse sa joue, et la regarde avec douceur. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, elle est tout ce qu’un homme et une femme puisse rêver d’avoir.

Moi – au faite …
Michiru – oui, qui y’a t-il ?
Moi – à propos de notre mariage, tu aimerais porter mon nom, et ou que moi je porte le tiens ma chérie ?

Pour simple réponse, elle ma sourit de toute ses dents, sa main se pose sur ma joue, et me la caresse.

Michiru – eh bien … En y réfléchissant, j’aimerais beaucoup porter ton nom, Michiru Tenoh. Ah … Sa fait rêver !

Je me suis mise à sourire, je lui embrasse le nez, et caresse sa chevelure.

Moi – dans ce cas … Es ce que la futur madame Tenoh m’accompagnerais demain pour allait essayer sa bague ?
Michiru – oui. Oh Haruka, si tu savait à quel point je suis heureuse.
Moi – moi aussi je suis heureuse, heureuse de pouvoir enfin t’aimer librement. Je t’aime mon trésor !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore mon amour.

On se sourit, et dans un geste doux, nos lèvres vinrent se goûter amoureusement. Je laisse tendrement mes bras la serrer contre moi, tout en prenant soin de fermer son cœur à l’intérieur du miens. Ah … Je ne sais plus quoi dire, hormis que je n’aurais jamais crue que l’amour puisse prendre une grande parti de notre vie.

Je retire doucement mes lèvres, et la dévisage avec tendresse, et remarque avec un sourire qu’elle venais de s’endormir. Je me retire doucement, et vint la prendre dans mes bras, j’étteins la petite lampe qui se trouve à côté du meuble ou réside la télévision. Et me dirige vers l’étage. Une fois dans notre chambre, je ferme la porte et vint déposer mon ange sous les draps, lui retirant les lunettes au passage et la couvrit, je caresse doucement sa joue, et parti me dévêtir. J’enfile simplement un pantalon blanc et un tee-shirt de même couleur, et parti ensuite me lover sous la couette. Je vint doucement la prendre dans mes bras, entour son dos, et murmure avant de sombrer dans le sommeil :


Moi – bonne nuit mon cœur.

Je lui embrasse le front, et m’endormis serrer contre ma douce.

Point de vue Narrateur.

Cette nuit là, Haruka tout comme Michiru laissèrent leur esprit vagabonder, mais chacune d’entre elles penser à la même chose : leur mariage ! Un événement important dans la vie d’un couple, cela ne fait peut être que quatre petit mois qu’elles son ensemble, mais chacune d’entre elle avaient ce désir d’assouvir ce dont elles rêve chaque jour depuis leur rencontre, le rêve de fonder une vrai famille, elles voulaient se sentirent plus proche l’une de l’autre, malgré leur statu Haruka et Michiru s’aiment d’un amour profond et véritable, voulant chaque jour tomber dans ce bonheur qui enlace mélodieusement leur cœur.

Point de vue Michiru.

Rah, c’est pas vrai, pourquoi sa passe pas, j’ai un de ses mal de crâne c’est horrible. Je me trouve assise sur une chaise dans la cuisine une tasse de lait chaud à la main, je viens juste de prendre de quoi calmer mon mal de crâne et espère qu’il va vite partir.

Malgré sa, je n’arrête pas de penser à Haruka, et à tout ses évènements qui se sont produit ces derniers mois. J’étais très heureuse d’avoir eu le courage de lui faire ma demande, bien que sa soit tôt j’avais cette envie de me rapprocher d’elle, et de faire partie d’elle, c’est dingue toutes mes peurs se sont envolées, j’ai même réussi a unir mon cœur au sien pendant une nuit … Une nuit magique et inoubliable pour moi, chaque jours, chaque heures ou chaque secondes, j’ai envie de me sentir encore plus prêt d’elle, et sa, il va bien falloir que je réusisse à surmonter cette peur qui me ronge depuis bien trop longtemps à cose de ce monstre. Si je veux pouvoir rester avec elle, il faut que j’y arrive. Et je me donnerais les moyens pour y arriver.

Je laisse mon regard balayer la pièce, et ce dernier tombe nez à nez sur la pendule, cette dernière affiche neuf heure, je vais donc préparer son petit déjeuner, sa m’occupera et m’aidera à penser à autre chose que ce foutu mal de tête.

J’allume la machine à café, et sorti du placard un filtre à café, que je place dans la machine, je prend une petite boîte ou il y avait d’écrit « cofee » et commence à verser un peu de cette substance marron parfumé dans le filtre, branche la machine et appuya sur open.

En attendant que son café soit prêt, je prend un plateau, et y dépose une sous tasse avec quelque tartines que je beurra légèrement. Quand le petit clique de la machine retentit, j’arrête cette dernière, prend le manche du réservoir, et alla verser le liquide noir dans la tasse. Je mit un demi sucre dans ce dernier, le remue doucement, et avec un doux sourire sur le visage, monta à l’étage. Je longe le couloir, et vint doucement entrer dans notre chambre, ou je prit soin de fermer la porte. Je pose le plateau sur la table de nuit, et met mes lunette, j’avais un peut mal aux yeux. Je sens mon téléphone vibrer, je me demande qui cela peut être à une heure si tôt, je déverrouille l’appareille, et remarque que c’est un message, avec un numéro que je ne connais pas, intriguer, j’appui sur lecture et me mit à lire le message :


« Michiru, si tu as ce message, cela veux dire que je ne me suis pas trompé de numéro, j’espère que tu vas bien, et que tu mène la vie dont tu as toujours rêver, celle d’une vie de princesse, je pense fort à toi, et sa chaque jour depuis ma séparation avec toi, je ne vais pas brusquer les choses, car je sais que pour toi sa a étaient très dure, si tu veux de plus ample informations rend toi à cette adresse, la bas ils te dirons se que tu as besoin de savoir, sache que je t’aime ma petite princesse, et espère te revoir très bientôt. »

mais … Qui c’est ? Je fut grandement surprise de ce message, relisant chaque ligne. Aucune idée, et cette adresse ? Je suis perdu d’un coup, il va falloir que j’en parle à Haruka.

Je pose mon cellulaire sur l’oreiller, et me dirige avec le sourire vers ma petite femme, avec douceur, je vint m’allonger sur elle, et la contemple. Elle est tellement belle quand elle dors, et pas que en dormant, elle est belle naturellement. Je caresse doucement sa joue, et écarte quelques mèches de ses yeux sa respiration est douce et régulière, j’ai encore du mal à croire que je me retrouve dans ce genre de situation avec elle.

Doucement ses yeux s’ouvre, et je lui sourit tendrement.


Moi – bonjour ma jolie blonde, bien dormis.
Haruka – bonjour à toi ma chérie, oui très bien, mais dis moi c’est bien la première fois que tu est levé la première.
Moi – ah ah … Il y a une première fois à tout comme on dit, et puis je me suis réveiller avec un mal de crâne atroce.
Haruka – ah … Et sa va mieux ?
Moi – bah j’ai prie de quoi calmer la douleur … Tu sais que tu est belle quand tu dors.

Elle ma sourit, sa main c’est posé sur ma joue, et avec tendresse,
je vint déposer mes lèvres sur les siennes. Mêlant mes doigts dans ses cheveux, mon corps caresse tendrement le sien, ses mains caresse mon dos, et sa langue parti jouer avec la mienne qui était d’humeur câline et sauvage. Mon cœur s’accellaire au rythme de notre baiser qui deviens de plus en plus tendre et long.


Je me sens tellement bien là comme sa, allongé sur elle, goûtant avec douceur, ce plaisir dont je ne me lace pas. Un vrai bonheur. On se détachent doucement, et nos yeux se happent, s’attachent et se dévorent, sa main se pose sur ma joue et ses doigts caressent ma peau.


Haruka – mh … J’aime beaucoup ce côté là de toi !
Moi – lequel mon ange, celui qui se sent timide ou alors celui qui prend les devant ?
Haruka – celui qui prend les devant.
Moi – dans ce cas, je vais tout faire pour ne pas décevoir ma petite femme chérie.

Elle eu un grand sourire, sourire ou sous entendue se montrer, je lui caresse les lèvres la dévisageant avec intensité. Mon dieu c’est … C’est impressionnant à quel point mon cœur bat vite, je sens ses mains passer sous mon polo et ses main caressent mon dos.

Ses mains son si douce, c’est vraiment agréable d’être caressé par elle. Je vint lui embrasser le front, et descend doucement laissant mes lèvres glisser le long de son nez. Arrivé à ses lèvres que j’aime embêter, je la regarde dans les yeux, les siens me caresse, et l’un deux me fait un clin d’oeil, oh Haruka c’est dingue cette envie que j’ai de pousser les limites, ton nez caresse le mien, et tendrement je vint lui mordre ses lèvres, sortant ma langue pour laisser une trace de mon passage sur sa bouche, je voie sa langue sortir et s’emparer de la mienne. Nos lèvres ne se touchent pas, juste nos langue qui se découvre s’enlacent et se caresse, enflamment chaque minutes le désir que je ressent. Je me penche et alla lui embrasser longuement le cou, laissant mes mains baladeuse se faufiler sous son tee-shirt blanc. Mes doigts caresse sa peau, jusqu’à monter à sa poitrine et titiller un de ses mamelons. Ses bras me serre, et me caresse, sa voix lâche des petits gémissement, se qui provoque une décharge à mon cœur, je lui faisait donc de l’effet et s’en est tout à fait plaisant. Je remonte doucement et nos lèvres s’unir dans un tendre et langoureux baiser.

Je pose ma tête sur son épaule droite et monta ma main droite à son visage caressant sa joue et mêlant mes doigts dans sa chevelure, j’avais chaud, mais je n’eu le temps de redire ce mot que ma jolie blonde retira mon polo, et de même je lui retire son tee-shirt. Nos corps étaient préssé l’un contre l’autre, sa main gauche est venue jouer tendrement sur mon visage, et nos langues s’enflammées à chaque caresse. Une étrange mais agréable sensation se fait sentir au niveau de mon bas ventre, un désir brûlent parcour mon corps, je me rapproche d’avantage d’elle, et continue de l’embrasser le plus tendrement possible, laissant libre court à mes émotions et sentiments.

Doucement ont se détachent, mais voulant encore garder cette avidité nos lèvres se tapotes entre elles, créant ainsi de doux petit claquements. Sa main remet en place quelques unes de mes mèches, son sourire ne la pas quitté, et ses yeux son doux et amoureux.


Haruka – tu m’impressionne de jour en jour.
Moi – et ce n’est pas pour me déplaire …
Haruka – chuut … Et si, ont resté là ? Je me sent bien tout contre toi, ma petite femme à moi.

Je sourit, je retire mes lunettes, et lui sourit tendrement caressant sa joue, descendant doucement à ses lèvres. Je m’approche de son visage, et lui embrasse le nez, j’étais heureuse d’avoir réussi à vaincre ma peur, j’ai réussi à dépasser un cap, et me sent encore plus proche d’elle maintenant.

Moi – je ne pourrais te dire non, car tout contre toi je me sent bien et en sécurité. Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon trésor !

Nous nous sommes sourit, et nos lèvres se son caressés délicatement. Je lui caresse la joue, et laissa mon cœur s’exprimer. Quelques petites minutes après, j’avais remi mon polo et Haru son tee-shirt, je me trouver entre ses jambes, toujours dans notre lit, et je lui faisait un câlin pendant qu’elle déjeuner.

Moi – au faite ma chérie !
Haruka – oui qui y’a t-il ?
Moi – tout à l’heure, j’ai reçu sa comme message, je suis censé faire quoi maintenant ?

Je montre le message à ma jolie blonde, et elle le lue. Tout comme moi elle fut surprise, je la regarde attendant une réponse.

Haruka – mais … Je connais cette adresse, c’est à quelques minute d’ici et c’est un orphelinat.
Moi – un … Orphelinat ?

Mes yeux fixe le mur, j’essaie de comprendre le sens de ses mots, ma gorge se serre, et mon cœur s’arrête de battre pendant quelques minutes, pour je ne sais quel raison, j’avais peur de connaître une seconde vérité, car cette fois ci je sais que je ne pourrais pas le surmonter toute seule. Je sent mon menton se soulever, et mes yeux qui son vide croisent ceux de la femme que j’aime. Elle me caresse la joue, son regard et doux et son sourire chaleureux.


Haruka – tu veux qu’ont aille faire un tour cet après-midi ?
Moi – je … Je n’aie pas envie de t’embêter avec sa.

Tout se mélange dans ma tête, et je ne comprend plus rien, pour je ne sais quelle raison j’avais envie d’exploser de colère, je lève mes yeux vers elle, toujours aussi perturber par cette nouvelle, je lui caresse la joue et dit :

Moi – et si … On m’avait encore mentit.
Haruka – dans ce cas, je serait la pour te soutenir mon amour, je ne pourrais pas te laisser dans un tel état.
Moi – ma chérie … Je … Même si j’ai peur de connaître une seconde vérité, il va falloir que j’y aille. Et puis je … j’aie pas envie de t’embêter avec s …
Haruka – chuut … Tu ne m’embête pas, et puis au moins je pourrais être la si tu en a besoin.
Moi – merci … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon cœur !

Je lui sourit, et l’embrassa doucement. Un baiser tout doux et regorgé de tendresse. Je m’appui contre elle, laissant mon portable valser sur le lit, je monte ma main à son visage et lui caresse du bout des doigts. Je me sent bien avec elle, et quelques fois je me pose cette question.

« que ferais-je à cet heure ci, si je ne l’avait jamais connue. »

je me le demande bien. Je me détache doucement, et vint la serrer contre moi. Un petit moment bien agréable. Ou je pouvais entendre mon cœur se soulever.

Les minutes venaient de s’écouler, et je me trouver assise sur le canapé, et m’amuser à me faire des petites tresses. Ma jolie blonde était parti chercher le courier. Tiens beh quand ont parle du loup, la voilà qui se dirige vers moi, avec un colis.


Moi – qu’es ce que c’est ?
Haruka – je ne sais pas, mais c’est pour toi.
Moi – pour moi ??

Je fut surprise, et prend le colis qu’elle me tendais. Elle prend place à mes côtés, et je vint m’appuyer contre elle. Son bras passe derrière mon dos et à son tour, elle se mis à me serrer dans ses bras.

Je commence à ouvrir le carton, et sorti parmit tout ses polistyrènes des photos. Sur l’une d’elle on voyais une petite fille au cheveux bleu écum comme moi, cette petite fille au sourire angélique est au côté de deux adultes sûrement ses parents, la seconde était la même petite fille en train de sourire, sur cette photo elle avait les cheveux plus court un petit carré qui la rendais très mignonne.


Mais pourquoi avais-je reçu ses photos ? Qui me les a envoyé, mais surtout comment cette personne sais que j’habite ici, sa m’intrigue de plus en plus. Bon aller stop il suffit de se torturer l’esprit, après tout je suis Michiru Kaio, et j’ai surmonter bien plus douloureux que sa. Je me tapote les joues comme pour me réveiller.

Moi – bon aller, je vais arrêter de me torturer, et profiter de ce que la vie m’offre plutot que de pleurer.
Haruka – bien parler !

Début du lemon :

Je me tourne et lui sourit. Je pose le carton sur le canapé et alla me lover dans ses bras, je m’assoie sur ses jambes, et vint délicatement prendre son visage dans mes mains. Je sent ses bras s’enrouler autour de mon dos, et doucement, je lui caresse les joues avec mes pouces.

Moi – oui, il faut savoir profiter de ce que la vie nous offre, et arrêter de voir tout noir comme tu me la dit.

Je voie ses lèvres s’étirer en un doux sourire, je lui embrasse le nez, et continue de la regarder avec tendresse.

Haruka – et … Que comptes tu faire ?
Moi – eh bien … Déjà passer du temps avec la femme que j’aime.
Haruka – ah oui ? Eh … Qu’aimerais tu faire ?
Moi – tout … Lui faire des câlins, lui dire sans gêne se que je ressent et ce qu’elle est pour moi, et l’embrasser le plus tendrement possible.

Elle ma sourit, son front c’est collé contre le mien, et elle a doucement caresser ma joue.

Haruka – hm … Tu sais que tu m’intéresse là, alors es ce que … Je pourrais avoir un doux baiser de ma petite femme chérie ?
Moi – je t’aime Haruka !
Haruka – mais moi aussi je t’aime ma douce et ravissant Michiru.

Je lui sourit, et déposa tendrement mes lèvres sur les sienne afin de crée un doux moment. Je me rapproche doucement et laissa mes bras s’enrouler autour de ses épaules. Ses mains parcour mon dos, et le sien se pose sur le siège du canapé. Ses mains me rapproche d’elle, et passe sous mon polo car j’étais toujours en pijama contrairement à ma jolie blonde qui était déjà habillé, et qui sentait bon au passage. L’eau de cologne qu’elle c’est mise sent vraiment bon, et c’est très agréable de l’embrasser dans ses conditions. Je laisse doucement ma langue aller valser avec la sienne, mon cœur battait tellement vite, et je me sentait vraiment bien.

En manque d’aire, on se séparent, mais nos yeux continuent de se caresser. Elle écarte une petite mèche de mes yeux et sa voix qui est si belle à mes oreilles résonne.

Haruka – tu sais que j’aime ce petit côté la de toi, celui qui a beaucoup plus d’assurance, je l’aime beaucoup.
Moi – ah oui … Eh bien j’en suis ravie que cela plaise à mon professeur.
Haruka – quand vas tu arrêter de m’appeller comme sa ?
Moi – hm … Attend laisse moi deux minutes, jamais !!
Haruka – dans ce cas mademoiselle Kaio sa change tout.
Moi – comment sa tout ? Vous m’intriguer fortement professeur !

Je la voyais sourire de plus en plus, ses mains s’aventure sous mon polo, et fini par me le retirer.

Haruka – te rappelle tu de la dernière leçon ?
Moi – hm … Non, malheureusement, mais de quelle leçon parlez-vous professeur, mais surtout, quel est ce cour est t-il normal ou particulier ?
Haruka – hm … Vous ne retenez pas grand chose mademoiselle, je vais devoir vous punir, c’est un cour particulier.
Moi – s’il vous plait, ne soyez pas sévère avec moi … Et expliquez moi votre leçon particulière professeur !

On se souriait, elle me fit un petit clin d’oeil, et dit en faisant rouler l’une de mes bretelle de soutien-gorge sur mon bras.

Haruka – hm … Je vais réfléchir à votre punition, en attendant mademoiselle Kaio je vais vous demander une faveur ?
Moi – une faveur ? Et laquelle professeur Tenoh.
Haruka – si vous arrivé à me séduire, alors peut être que je levrer la punition.
Moi – mh … Vous séduire ? Mais comment dois-je m’y prendre ?

Lui demandais-je d’une voix sensuelle et mielleuse tout en déboutant sa chemise.

Haruka – pour sa mademoiselle je vous laisse carte blanche !
Moi – dans ce cas, je n’échouerais pas à ma tache.

Je monte à son oreille et lui susurre langoureusement :

Moi – pro.fe.ss.eur.

Je lui mordille délicatement lobe de l’oreille, et longe son visage la couvrant de baiser. Ses mains venaient de dégrafer mon soutien-gorge, et ce dernier tomba sur le sol. Je lui soulève le menton du bout de mon index, la dévisage d’un regard coquin et malicieux à la fois.

Moi – vous êtes … Vraiment sexy professeur.

Un sourire tendre se dessine sur ses lèvres, elle me caresse la joue, et elle me répond de la même manière :

Haruka – hm … Et vous mademoiselle vous êtes à croquer.
Moi – mais, je ne suis pas à manger vous savez !
Haruka – hm, je n’en suis pas si sur que sa. Votre jolie minoie me donne horriblement faim mademoiselle Kaio.
Moi – hm … Et dites moi, par quoi voulez-vous commencer ?

Je me suis sentit à se moment la valser vers la droite et me retrouve allongé sur le canapé. Haruka se trouvant au dessus de moi, je sourit, et la regarde malicieusement, un sourire pervers sur le visage.

Haruka – mh … Je ne sais pas beaucoup de chose s’offre à moi, mais pourquoi ne pas s’attaquer à la partie la plus délicieuse ?
Moi – professeur vous êtes perverse !
Haruka – et vous mademoiselle vous êtes délicieuse.

Je lui offre une petite moue dont j’avais le secret, je la regarde le sourire au lèvres, me frottant le menton du bout du doigt.

Moi – s’il vous plais professeur Tenoh, soyez gentil avec moi !
Haruka – je serait aussi douce qu’un agnau mademoiselle.

Je sourit, notre petit jeu m’amuser beaucoup, et me permetter de me liberer de cette peur, mais dieu que cela fait du bien. Je sent les lèvres de ma jolie blonde prêt de mon oreille gauche, son souffle chaud au creux de mon ouïe, et sa langue qui se met à lécher le bas de mon oreille, mon cœur faillit exploser, ses lèvres descende le long de mon visage, mordant tendrement mes lèvres, elle descend un peut plus et vint m’embrasser le cou. Laissant mes mains prendre soin de retirer sa chemise, et mes doigts les faisant rouler prêt de sa bretelle.

Moi – ah … Mh, oh professeur vous … Vous êtes si douce et vous … M’exciter tellement.

Sa y’es j’ai osé lui dire, je sent ses lèvres longer vers ma poitrine et ses baisers continuent sensuellement leur chemin, que c’est bon, je me sent de plus en plus enivrer par ses caresse et ses baisers qui se sont maintenant attaquer à mes mamelons. Je … J’ai l’impression d’avoir détremper mon linge intime tant l’excitation me prend.


Je dirige mes mains vers son pantalon, et lui défait le bouton et le fait glisser le long de ses jambes, mama cet effet qu’elle me fait c’est dingue, j’ai envie d’elle, j’ai envie de connaître l’extase de cette excitation sauvage.

Point de vue Haruka.

Dans peut de temps je sent que je vais craquer, je ne contrôle plus mes gestes ainsi que mes lèvres qui l’embrasse sensuellement. Je descend jusqu’à son nombril et vint lui embrasser lui lécher, montant ma main droite à son sein et de mon index et mon pouce lui titille tendrement le mamelon, diable cet effet qu’elle me procurer, même notre première fois n’avais pas était aussi intense. Elle m’exiter terriblement, et me sentait de plus en plus serrer dans mon linge.

Je remonte à son oreille et murmure :

Moi – mademoiselle Kaio, si vous saviez à quel point j’ai envie de vous.
Michiru – moi aussi professeur j’ai envie de vous, vous m’exiter tellement, je n’arrive plus à contenir ce désir en moi.
Moi – mh … L’envie de vous faire tendrement l’amour me tient.
Michiru – oh oui … Faite moi l’amour professeur, je ne tient plus.

Je sourit, heureuse qu’elle est pue dépasser ce cap … Je me lève et vint la prendre dans mes bras, la conduisant dans notre chambre.

Michiru – ou m’emenez-vous professeur Tenoh ?
Moi – dans un endroit ou nous seront à l’abrit des regards mademoiselle.

Une fois dans la pièce, je ferme la porte, et allongea Michi sur le lit, me mettant au dessus d’elle, nous couvrant avec la couette.

Moi – maintenant mademoiselle Kaio je vais vous faire tendrement l’amour, ainsi vous n’oublierais plus vos leçons.
Michiru – allez y professeur je suis entièrement à vous.

Je sourit, et le cœur prêt à frôler la crise cardiaque, je vint l’embrasser langoureusement. Laissant mon cœur s’exprimer.

Fin du lemon

Point de vue Narrateur.

Dans cet appartement, enfermer dans leur chambre, Haruka et Michiru vienne de découvrir se que sont les plaisir de la jouissance, emporter dans leur petit jeu de séduction, elles se sont livrées à elles même, goûtant au véritable plaisir de l’amour. Ce petit jeu les aura bien rapprochées, et chacunes d’entre elles aurons finalement réussi à dépasser leur peur, celle de Michiru, de ne plus pouvoir désirer par les attouchements de son père, et Haruka par peur et de manque de confiance. Mais à présent les voilà encore plus unis enlacé dans les bras de la femme qu’elles désirent, elles firent l’amour sans gêne et avec beaucoup mais beaucoup de tendresse et d’amour.

Point de vue Michiru.

Ah … Que sa fait du bien une douche, je coupe l’eau, et vint m’enrouler dans une serviette ainsi je ne pourrait attraper froid. Je me place devant le miroir, et me regarde. Je voyais un sourire … Un sourire heureux un sourire d’une femme comblé. Depuis se qui c’est passé entre elle et moi, j’ai l’impression d’avoir prit plus d’assurance, et me sent femme, oui c’est sa, depuis que j’ai dépasser ma peur, je me sentait un peut plus femme, et cela n’est pas pour me déplaire.

Une fois que je fut sèche, je commence à m’habiller, d’un jean bleu foncer, un petit chemisier noir, et un pull gris à col bateau. Je prend pas la suite le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement. C’est … C’est incroyable comme je peux me sentir bien. Quand j’eue terminé, je débranche le sèche cheveux, et à l’aide d’une bombe de laque, je m’en mit mettant toute ma chevelure sur le côté gauche. Par la suite, je met les boucle que ma jolie blonde m’a offert, ainsi que la petite chaîne en argent.

Je prit du laïner et me fit le contour de l’œil doucement, et répéta mon geste avec l’autre. Je me passe un peut de gloss sur mes lèvres, car bon, c’est pas que je n’aime pas le rouge à lèvres mais je c’est que beaucoup d’animaux meurt pour faire ce genre de produit cosmétique, je trouve sa abjecte et répugnant, j’en met juste quand c’est pour une occasion. Je prit un flacon de parfum « Intime » me mit trois petit pchites, et enfin sortie de la salle de bain, me dirigeant vers la cuisine ou Haru se trouvé.

Je me mit derrière elle entour son ventre et dis le sourire aux lèvres.

Moi – hm sa sent bon … Que fais ma petite femme chérie de bon à manger.

Elle se tourne, et sourit en me voyant, je m’approche, et lui arrange un peut le col de sa chemise. Pour ensuite venir caresser sa joue.

Haruka – tu est vraiment ravissante ma chérie !
Moi – merci mon ange, mais que nous fais tu à manger ?
Haruka – des nouilles japonaise.
Moi – hm, sa va être bon tout sa.

Je la voie mettre le couvercle sur la marmite elle mis le minuteur, retire le tablier qu’elle porter, et vint me prendre la main. Sans rien dire, je la suis, et je la voie prendre place sur la rebord du canapé, et ses mains prend les miennes.

Haruka – je suis vraiment heureuse !
Moi – ah oui ? Pourquoi ?

Je m’approche, me mettant entre ses jambes, et prenant tendrement son visage dans mes mains, lui caressant à l’aide de mes pouces. Je sent ses bras, entourer mon dos, et son sourire s’agrandit.

Haruka – car grâce à une personne si particulière, j’ai réussi à vaincre ma peur.

Je sourit, comprenant ou elle voulais en venir. Je lui sourit tendrement, et vint caresser son front avec le mien. Jouant avec son nez.

Moi – je suis aussi très heureuse d’avoir vaincu ma peur, car à présent … Je me sent encore plus proche de toi, et je me sent … Un peut plus femme.

Elle ma sourit, ses lèvres tapotent doucement les miennes, et sa voix résonne.

Haruka – mais tu est déjà un petit bout de femme, tu est belle et même à 18 ans tu est déjà une jolie jeune femme … Ma petite femme à moi.

Je sourit, je lui caresse la joue, écartant quelques mèches de ses yeux, un regard que je ne cessairait de regader et d’admirer.

Moi – tu sais … Par moment, j’ai l’impression de rêver.
Haruka – pourquoi ?
Moi – car je n’aurais jamais crue rencontrer le grand amour au lycée, et je n’aurais jamais crue tomber éperdument amoureuse de l’un de mes professeurs.
Haruka – mais moi, je ne regrette rien … Je suis très heureuse d’avoir fait ta rencontre mon trésor.
Moi – moi non plus je ne regrette pas, d’avoir trouvé la moitié de mon cœur … Je t’aime Haruka, c’est dingue à quel point jee peux t’aimer.
Haruka – moi aussi je t’aime chaton, et je t’aime sincèrement !

On se sourit et ses lèvres attrapèrent amoureusement les miennes. Je sourit, et me laisse faire avec bonheur, caressant ses joue, et l’embrassant tendrement. Décidément ce petit jeu nous avait grandement rapproché l’une de l’autre, et c’était vraiment un délice. On se détachent doucement, ses doigts remette quelques mèches sur le côté, et moi je continue de la dévorer du regard.

Moi – il me tarde le jour ou je serait devenue véritablement ta femme.
Haruka – mais tu l’est déjà … Tu est ma femme celle que j’aime et désir plus que tout.
Moi – Haru …
Haruka – chuut …

Et tendrement nos lèvres s’unir de nouveau dans un long et doux baiser. Haruka, quand arrêteras-tu de me rendre ainsi ? De me rendre si amoureuse et heureuse, tu as un don, ou alors c’est que vraiment je suis folle. Oui folle de toi de tes bras tes mots et tes lèvres. La magie prit doucement fin, et je lui dit en enroulant sa nuque et en la serrant dans mes bras.

Moi – je ferais tout pour te garder avec moi, sa fait longtemps que je rêve de rencontrer le grand amour, et maintenant que je les trouvais, je ne compte pas le laisser filer dans les bras de quelqu’un d’autre. Tu est devenue si importante à mes yeux que je n’ose plus imaginer ma vie sans toi … Ma si jolie blonde, ma femme!
Haruka – moi non plus je ne veux pas te perdre, et te laisser partir dans les bras d’une autre personne, tu est celle qui donne enfin un sens à ma vie, celle qui me comprend … Ma douce et tendre Michiru, tu es devenue indispensable à ma vie, tu est mon oxygène ma raison de vivre tu est … La femme de ma vie.

Je sourit, et la serre contre moi, lui embrassant tendrement la nuque. Ses mains me caresse, et je me sent bien avec elle. Je laisse mon regard s’encrer dans le sien, et caresse doucement sa joue.

Moi – Haruka … Ma douce et jolie blonde toi seule emflamme mon cœur, je t’aime.
Haruka – moi aussi ma chérie et je t’aime bien plus que sa encore !

On se sourit, et un petit câlin s’installe entre nous. Je pose ma tête sur son épaule droit et lui caresse le dos, lui déposant un doux baiser sur sa nuque. Ses mains caresse le mien, et je me laisse prendre dans cette douce étreinte.

Haruka – dis moi … Où es ce que tu veux manger ?
Moi – n’importe où tant que je suis avec toi.
Haruka – hm … Ma chérie !

Elle caresse mon dos, allant mêler ses doigts dans mes cheveux et posant ses lèvres sur mon cou. Je n’aurais jamais crue que notre petit jeu puisse nous rapprocher autant.

Après ce petit câlin bien agréable, c’est avec le sourire que je partit mettre le couvert sur le balcon, il faisait bon, et un peut d’air frais ne ferait pas de mal. Soudain j’entend mon téléphone sonnait, surprise je décroche et dis :


Moi – oui allo ?
Cléo – salut Michi !
Moi – teh Cléo ça va ?
Cléo – bah tout rool, et toi ?

Je met mes écouteurs, rangeant mon cellulaire dans ma poche.

Moi – bah écoute tout va pour le mieux.
Cléo – ouh … Sa sent l’amour, sa se passe bien avec ton professeur ?
Moi – très bien, c’est le pure bonheur.
Cléo – ah ouais pourquoi sa ?

Je sent des bras entourer ma taille, je sourit, et répond en appuyant mon dos contre elle.

Moi – eh bien … Je vais avoir le bonheur de l’épouser.
Cléo – quoi ?? C’est pas vrai.
Moi – si si, lorsque je suis revenue de mon stage nous avons fêté son anniversaire, et je lui est demandé sa main.
Cléo – mais enfin c’est supère sa !! oh Michi je suis si heureuse pour vous.
Moi – merci Cléo sa me touche que tu soit heureuse !
Cléo – heureuse ? Non mais attend ma meilleure amie va se marier bien sûr que je suis heureuse même supère heureuse.
Moi – merci tes vraiment génial, je t’adore !!
Cléo – moi aussi et très fort.

Je sourit, heureuse que Cléo l’aie bien prit, je prend sa main droite et lui dépose un baiser.

Cléo – tu pourrais m’envoyer une photo de toute les deux s’il te plais ?
Moi – oui bien sur, mais pour sa faut que je raccroche !
Cléo – ok.

Et notre communication se coupa. Je pose ma tête juste à côté de la sienne, ses lèvres son contre ma joue gauche, ses mains caressant mon ventre, et une fois que je trouva le bouton pour l’appareil photo je nous cadre, et appuya sur le bouton.

Heureuse je cherche le numéro de Cléo, et une fois trouvais je lui envoie la photo. Je sourit, et me tourne afin de croiser son regard.


Moi – je suis heureuse, Cléo la vraiment très bien prit.
Haruka – tant mieux alors … Allé vien on va manger trésor !
Moi – ok dans ce cas …

Je lui soulève le menton et déposa mes lèvres sur les sienne. Oui depuis ce qui c’est passé, je me sentait beaucoup femme et j’avais prit beaucoup plus d’assurance. Elle me sourit, et doucement elle répond à mes baiser.

Haruka – allé ma petite femme à table.
Moi – c’est que ma jolie blonde me donne des ordres maintenant.

Elle ma sourit, m’embrasse le front, et nous prîmes place l’une en face de l’autre. Je pose ma main sur la sienne, et c’est en souriant que nous commencions à manger. Mon téléphone se met à sonner mais je ne répond pas, car de un nous étions à table et que c’est très impolie pour la personne qui est en face de nous.

Moi – quand même … Cette histoire de message avec une adresse d’un orphelina me perturbe.
Haruka – c’est vrai que c’est louche, mais je pense qu’il va falloir y’aller faire un tour.
Moi – oui, bien que sa me face peur !
Haruka – je serait là moi.
Moi – merci mon amour !

Je lui sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je prend les couverts, et alla mettre ses dernier dans le lave vaisselle, puis mon portable ce met à sonner, surprise, je prend ce dernier et dit :

Moi – oui allo ?
? - Michiru ?
Moi – euh … Oui c’est moi, qui est à l’apareil ?

Je regarde Haru, qui m’observe avec un doux sourire.

? - Ah Michiru je suis bien heureux de t’entendre, je suis le directeur de l’orphelina. Comment vas tu ?

Je m’arrête et pose ma main sur le plan de travail et aval difficilement. Mes yeux se ferment, et je me tourne vers ma jolie blonde, je regarde mon téléphone et raccroche, impuissante face à sa.

Haruka – que ce passe t-il mon trésor ?

Elle ma relever le visage et d’un geste doux ma caresser la joue, j’essaie de resister, mais les larmes se font de plus en plus prenante.

Moi – c’e … C’était l’orphelina … Je … Je ne sais plus quoi faire, j’ai l’impression de vivre dans un menssonge.

Puis mon portable se met de nouveau à sonner, je regarde ce dernier et voie que c’est le même numéro, je vint me lover dans les bras de ma douce, et épuisé me laisse tomber.

Moi – c’est encore … Le même numéro, je fais quoi ?
Haruka – tu as confiance en moi ?
Moi – bien sur quel question.
Haruka – alors laisse moi faire ok !

Elle me prend le visage et me posa un délicat baiser sur les lèvres, caressant mon visage. C’est une chance que je l’aie à mes côtés. J’entour son dos, et me laisse bercer par son câlin et ses mains qui me caresse agréablement.

On se décollent doucement, et doucement, je caresse sa joue en soufflant.


Haruka – laisse moi faire trésor, d’accord ?
Moi – d’accord.

Elle me sourit, me tapote doucement le nez, me fit un clin d’oeil, et répondit à l’appel.

Point de vue Haruka.

Je me dirige vers le balcon et dis en m’accoudant contre ce dernier.

Moi – oui allo ?
? - Michiru ? Pourquoi as tu raccroché !
Moi – excusez moi, mais ce n’est pas Michiru au téléphone.
? - ah ? Et à qui ai-je à faire dans ce cas ?
Moi – je me présente Haruka Tehoh, je suis sa femme. Et vous ?
? - bonjour madame Tenoh , en faite je suis le directeur de l’orphelina « Tout petit »
Moi – bonjour monsieur, je suis désolé, mais Michiru, n’est pas en état de répondre, donc que lui voulez vous ?
? - je comprend, eh bien j’aurais aimais savoir comment elle allait, si depuis qu’elle est parti de chez nous, si elle mène une vie normal ?

Je rester là à écouter ce directeur, si j’arrive à bien comprendre, Michi a était adopté, ce qui veux dire que ses parents doicvent se trouver quelque part dans ce monde. J’étais heureuse et mélancolique à la fois, heureuse car elle avait peut être une chance de revoir ses véritable parent, et mélancolique dans le sens ou je ne pourrais peut être plus la voir si elle s’en va avec eux. Je regarde l’horizon et retiens mon chagrin du mieux que je peux.

Moi – eh bien oui elle va très bien, mais puis-je vous poser une question ?
? - oui bien sur.
Moi – comment avez vous eu son numéro ?
? - eh bien, j’ai d’abord fait des recherche sur internet, et comme je ne trouvait rien, j’ai consulté le botin, et au niveau des page blanche en allant à la lettre K j’ai trouvé son non et son prénom ainsi que son numéro !
Moi – je comprend mieux, mais serait t-il possible que l’ont puisse vous voir pour mettre toute cette histoire au clair ?
? - oui oui bien sur madame, la petite Michiru nous manques beaucoup, donc que deriez vous de nous voir vers 13 heure ?
Moi – très bien, dans ce cas je vous dit à tout à l’heure.

Et sans que je ne puisse continuer, la communication se coupa. Je regarde le ciel perdu, mon cœur me fait mal, dans un sens j’ai envie de la voir heureuse mais dans l’autre je n’aie pas envie qu’elle s’en aille loin de moi, loin de notre histoire, car pour moi, sa compte. Je me retourne et me dirige vers le salon, ou Michi se trouvais assise sur le canapé, à regarder les photos qu’elle a reçu ce matin.

Je m’approche d’elle, enroule son cou, et ses yeux qui son vide son humide. Je lui caresse les épaules, et lui murmure :

Moi – sa va aller Michi, je suis là !
Michiru – merci, mais dis moi qu’es ce que l’ont va faire ?
Moi – le directeur de l’orphelina veux nous rencontrer.
Michiru – et cas tu dis ?
Moi – j’ai accepter pour mettre au moins cette histoire au clair.
Michiru – mais je … Imagine si je dois à tout hasard rencontrer mes véritable parents ? Imagine si ils me demande de les suivrent ? Je n’aie pas envie, parce ce que … Parce qu’ici j’ai ma vie, et j’ai surtout ma vie privé qui compte beaucoup pour moi, je n’ose pas imaginer une minute ma vie sans toi.

Je sourit, au moins je ne suis pas la seule à être contre cette idée. Je lui caresse la joue, et lui murmure :

Moi – écoute, pour moi aussi il est hors de question que je te laisse partir, mais j’aimerais au moins en savoir plus sur ce qui tes arrivé, pour ainsi t’aider du mieux que je peut pour te soutenir ma chérie … Je ne pourrais jamais, te laisser partir loin de moi.
Michiru – oh Haruka …

et sans que je ne dise quoique se soit d’autre, ses lèvres s’emparent des miennes. Je lui soulève le visage, caressant ses joues de mes pouces, et répond avec tendresse à sa douceur. Mon cœur bat tellement fort, avec tout se qui c’est passé etre nous je ne cesse de penser à elle, à nous, à notre histoire qui est devenue importante à mes yeux au fil des mois.

Ont se décollent doucement, je lui fit un doux sourire, et lui embrasse le nez.


Moi – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi Michi !
Michiru – pareil, tu pourras toujours compter sur moi !

Nos yeux se caressent, et je continue mon geste avec douceur sur ses joues. Les minutes s’écoulent, et lorsque une heures sonna, je commence à fermer le store du salon et attend Michi qui est parti à l’étage. Elle redescend quelques minutes après, je lui sourit, et tout en lui prenant la main, nous quitons la maison. Je ferme la porte à clés, et longe le couloir.

Sa tête se pose sur mon épaule droite, et je l’entend soupirer, je caresse sa main pour la détendre. Une fois dans le parking souterrain, je déverrouille l’alarme, monte et une fois que nous fûmes toutes les deux prête, je démarre, fit une marche arrière, et partit direction l’orphelina.

Pendant le trajet Michi était silencieuse, elle avait mis sa main sur ma jambes, je n’aime pas la voir dans cet état, arriver à un feu rouge, je m’arrête, et pue prendre sa main dans la mienne.


Point de vue Michiru.

Je tourne mes yeux et voie Haruka qui me regarder l’air inquiète. Je lui sourit doucement, et serre sa main dans la mienne.

Moi – désolé de te faire du souci mon amour.
Haruka – ce n’est rien, ne t’inquiète pas mon trésor.

On se sourit, je m’approche et lui posa un doux baiser qu’elle me rendit avec bonheur. Tant qu’elle est à mes côtés, je n’est pas à avoir peur, la seule chose que j’espère, et que personne ne me l’enlève. Je ne pourrais pas supporter la séparation.

Quand ont fut arrivé, ma jolie blonde se gare, et c’est le cœur battant à la chamade que je sorti de la voiture. Haru enclanche l’alarme, elle me prit la main et me guida vers le bâtiment. J’avais une boule au ventre, comment allais-je réagir ? Quel genre de vérité allais-je connaître. Tout cela me fait peur, mais je n’aie pas pour autant envie de baisser les bras, je voulais enfin en avoir le cœur net.


Une fois devant la porte, je souffle un bon coup, Haru vint m’embrasser la joue en me serrant la main. Et nous entrâmes dans l’orphelina. L’intérieur du bâtiment est sombre, des poutres noire trônaient dans la maison, le sol recouvert d’une moquette grise. Je passe en revue le bâtiment, et aucuns souvenirs me reviens se que je trouve assez bizarre.

Je caresse doucement sa main, et lui sourit comme pour lui dire que j’allais bien. Elle me fit un clin d’oeil, et je continue à avancer. Puis une petite fille au long cheveux blond comme Haru apparue, elle nous regardée.


Moi – bonjour toi …

Je vint m’accroupir, et lui sourit gentiment. Je la voie se diriger vers moi, elle pose sa petite main sur ma joue et me regarde. Elle devait avoir 3 ans tout au plus, elle possède de jolie yeux caramel, et elle se mit dans mes bras. Je sourit et me relève.


Petite fille – bon … Zour madame !
Moi – bonjour petit cœur, comment tu t’appelle ?
Petite fille – Anastasia, et vous ?
Moi – c’est très jolie, moi c’est Michiru.

Elle me sourit, et je lui rendit chaleureusement. Ses petit yeux marron se tourne et Anastasia se mit à parler.

Anastasia – bonzour madame.
Haruka – bonjour poussin, tu vas bien ?
Anastasia – oui.

On se sourit tendrement, ma jolie blonde met sa main sur mon dos et nous continuons d’avancer vers le couloir essayant de trouver le bureau du directeur. Au loin je voie une porte avec une pancarte ou il y avait d’inscrit « Monsieur Petit » sa doit être là, je me baisse et repose Anastasia qui affiche une petite moue.

Anastasia – vous viendrais me dire au revoir ?
Moi – promis.

Elle me tend son petit doigt, se qui m’attendrit un peut plus, j’aime beaucoup les enfants, et j’ai le désir d’en avoir plus tard. Je lui tend mon petit doigt, et le serre.

Moi - croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer.

Elle avait dit en même tant que moi, et cela me fit sourire. Je me redresse et affiche un doux sourire à ma cher et tendre, qui remet quelques mèches bleu derrière mon oreille. Je lui prend la main et souffle un bon coup.

Moi – aller, j’ai déjà surmonter plus dur que sa !
Haruka – et puis moi je suis là.
Moi – oui je sais, et c’est bien sa qui me rend heureuse ma chérie !

On se sourit, ses lèvres caressent les miennes pendant une fraction de seconde, je lui rendit avec tendresse, et enfin toqua à la porte.

? - oui entré.

Je souffle un dernier coup, et abaisse la poignet poussant la porte pour entrer dans le bureau. L’homme qui était derrière ce dernier ce lève les yeux grand ouvert comme si il était étonné. Il s’approche de nous et s’exclame d’une voix grave mais douce.

? - Michiru c’est bien toi … C’est bien toi mon enfant ?
Moi – bonjour monsieur.
? - Oh Michiru, tu as tellement grandit, tu est devenue une belle jeune femme, mais viens donc t’asseoir. Bonjour madame Tenoh.
Haruka – bonjour monsieur !

J’allai prendre prendre place devant le bureau, à la gauche de ma jolie blonde qui serra ma main dans la sienne. Une femme de taille moyenne et d’âge ancien fait son apparition et se poste à la droite du vieux monsieur qui me regarde depuis tout à l’heure. Elle est habillée d’une robe noire surmonté d’un petit tablier blanc.

Directeur – Michiru, je suis vraiment très heureux de te revoir, mais que fais tu maintenant ? Et sa se passe bien avec tes parents ?

Michi respire et inspire, ce n’est pas le moment de se montrer faible, je serre la main d’Haruka, et dis :

Moi – eh bien … Comment dire, cela va faire un peut plus de trois ans que je ne côtoie plus mes parents et que je ne vis plus avec eux. Je ne sais pas se qui c’est passé réellement mais …

Mon cœur se serre et j’ai du mal à articuler.

Moi – ma mère est morte des mains de mon père qui voulais récuperer ses biens ainsi que ma garde, durant des années j’ai vécu un enfer, quand je rentrer de la primaire, mère m’enfermer dans un placard, et dès qu’elle partais, père en profité pour me battre, j’ai eu droit au coup de ceintures à la règle, et aux écrasement de ses cigarette, je lui server de coussin, il m’obliger à me mettre à quatre pattes et il allongé ses jambes sur moi, il me surnomé de guenond, de petite traîner que j’étais bonne à faire les trottoire, il m’avait même dis un jour qu’il m’apprendrais le chemin des prostituers et je …

C’est dure de raconter tout sa, et je n’aie pas pue retenir mes larme qui se mette à caresser mes joues.

Moi – il me forcer à me dénuder devant lui, si je refuser de lui obéir je finissait dans son lit, et il … Il … Il a osé me violer en me droguant.

Je ne relève pas la tête, mais continuer de deverser mon chagrin, sa fait trop longtemps que je garde sa en moi, je serrer la main d’Haruka dans la mienne, et n’oser plus rien dire.

Directeur – non … Sa, sa ne peux pas être vrai, ils étaient si gentilent pourtant lorsqu’ils sont venuent t’adopter, et sa na pas était facile !
Moi – j’ai du mal à croire que j’ai était adopter, qui je suis réellement ? Qui son mes véritable parents, je veux savoir, j’en est assez de vivre dans le mensonge.
Directeur – Je suis profondément désolé Michiru pour se qui tes arrivé vraiment, je n’aurais jamais crue qu’ils puissent être d’une cruauté effroyable. Avant de tout te raconter, je vais te présenter une personne, c’est elle qui c’est occupé de toi lorsque tu est venu ici. Martine approche s’il te plais.

La femme qui était à ses côté s’approche et me regarde peiné, elle a du entendre mes propos. Elle ma relever le menton et mes larmes valsent sur mes joues.

Martine – Michiru, ma toute petite, si tu savait comme je regrette de t’avoir confier à des monstre pareil, pendant des années je me suis occupé de toi, toi qui était si seule, si solitaire. Tu resté devant la fenêtre de ta chambre espérant que ta mère et ton père vienne te chercher. Quand tu voyais tes camarade partir avec le sourire au bras d’un couple tu t’enfermer à clés et tu joué du violon en pleurant. Pendant longtemps j’ai veiller sur toi, et je voie que tu as beaucoup grandit, tu est devenue si belle.

Je la regarde, ses mots avait apaisé mes pleurs, mais je continue d’avoir mal au cœur comme si un poignard m’avais transpercer. Je m’approche d’Haruka, et cala ma tête dans son cou, posant ma main gauche sur son épaule. Ses main m’enroulent et me serre contre elle.

Martine – bonjour madame excuser je ne vous avez pas vue, qui êtes vous ?
Haruka – ce n’est rien, je suis Haruka Tenoh et suis la femme de Michiru.
Martine – oh … Je voie !
Directeur – Michiru, tiens regarde.

Je lève mes yeux et remarque un gros dossier, je m’approche doucement de ce dernier, reniffle un peut et m’essuie les yeux. J’ouvre le dossier et voie plein de dessin le premier représenter une famille une petite fille tenais les main d’un homme et d’une femme, tout les trois aborder un magnifique sourire, la petite fille avait le cheveux écume comme moi. Le second représenter un cœur avec deux princesses, je continue de feuilleter le dossier, et au bout d’u moment je voie une enveloppe, je prend cette dernière, et l’ouvre, déplie la feuille, et mettant mon dos contre le dossier du siège, je commence à la lire.

« Michiru ma chérie, si tu lis cette lettre sa veux dire que tu as grandit et que tu est en état de comprendre ce qui c’est passé. Tu est née un 21 octobre à Venise, la plus belle ville que je n’aie jamais visité. Ton père et moi sommes très heureux de tavoir mis au monde, tu est tout pour nous, mais voilà à l’époque ou tu as fait notre bonheur, nous étions très pauvre, et n’avais de quoi que de nourrir deux personnes, tu doit trouver sa égoiste de notre part, mais nous avons d’abord penser à toi, et je désirer plus que tout te voir heureuse, alors ton père et moi avions décidé de te confier à un orphelinat et que des adultes puisse t’aimer et s’occuper de toi comme il se doit. J’espère que tu est herureuse et que tu ne m’en voudra pas d’avoir prit cette dessision. Ta maman et ton papa qui t’aime plus que tout »

je ne bouge plus, le papier deviens transparant et l’écriture s’éfface, je plaque ma main sur ma bouche, et mon corps se met à trempbler, alors … Ma mère et mon père mon mit ici non parce ce qu’ils ne m’aimer pas mais l’argent manqué cruellement, je ne sais pas quoi dire ou même penser, je replie la lettre, la remet dans l’enveloppe, et pose cette dernière sur les dessins.

Moi – que … Que sont t-il devenus ?
Directeur – eh bien à ce que j’ai pue comprendre, ta mère est dirige un restaurant cinq étoile, et ton père est chef d’une entreprise pour fabriquer le papier. Après t’avoir confire à notre orphelina ils ont tout fait pour remonter la pente, malheureusement ils …
Moi – ils quoi ?

Je le regarde la peur au ventre. Je n’arrive pas à contrôler mes larmes, et mon corps continue de trembler.


Directeur – malheureusement ils on décidé de ne plus te voir, depuis qu’ils ont bâtient leur entreprise ils on cessaient de prendre des nouvelles, et veulent continuer à vivre ainsi.
Haruka – mais enfin c’est impossible, des parents ne peuvent pas avoir de tes propos surtout si il s’agit de leurs enfants.
Directeur – je le sais bien madame, mais que voulez vous, ils ont préféré mettre en œuvre se qu’ils avaient échoué.
Moi – je vous remercie pour toutes ses informations, mais pourrais-je prendre le dossier ,
Directeur – bien entendue Michiru, et je suis vraiment désolé pour se que tu as appris.
Moi – ce n’est rien ne vous inquiétez pas.

Je commence à me lever, je ne voulais pas rester une seconde de plus ici, je sert la main du directeur, sourit à la vieille femme, et sortie le cœur meurtri.

Anastasia – ah vous êtes revenu.

Je sourit faiblement, et me baisse pour prendre la petite dans mes bras.

Moi – je te dis à bientôt.
Anastasia – oui et merci !
Moi – de quoi ma puce ?
Anastasia – parce que vous êtes la première à me serrer dans vos bras.
Moi – et je le referais autant de fois que je te reverer !

Je lui embrasse le front, et Haruka aussi, et enfin nous sortîmes de l’orphelina.

Haruka – Michi …

Je ne répond pas, mes larmes avaient de nouveau envahie mon visage. Je monte dans la voiture et m’attache, et Haru vint démarrer en posant sa main sur la mienne.

Moi – pourquoi … Pourquoi sa doit se passer comme sa, qu’es ce que j’ai fait pour mériter sa, je me suis plier j’ai fait tout se que l’ont me disait de faire jusqu’à me retrouver dans un lit nue face à un homme qui ma torturer violer et droguer à plusieurs reprise, pourquoi ne veullent t-ils pas me voirent, j’en est assez, assez que l’on me piétine ?

Je ne me retenais plus, je fondit littéralement en larmes cachant mes yeux de ma main droite. Je sent la voiture s’arrêter, et me sentit soulever. Surprise je retire ma main et remarque que nous étions arriver dans la parking, et que Haru m’avait prise dans ses bras. Jenroule son dos, et love ma tête dans son cou coté gauche et hurle intérieurement de douleur.

Moi – pourquoi mes propre parents ne veulent pas de moi ? Pourquoi préfèrent t-ils se couvrir de gloire et de paillette plutôt que de voir leur fille grandir. Ce n’est pas juste, alors que j’étais persuadé que ma mère était morte et mon père en prison.

Je me serrer contre la femme que j’aime pleurant à chaude larme, blessé et peiné.

Point de vue Haruka.

J’ai mal de la voir comme sa, c’est … Moi même je n’en reviens pas que des parents puisse renier leur propre fille à leur travail, je vint la serrer aussi fort que je le pouvais.

Moi – Chuut … Calme toi mon ange, je … Je suis profondément désolé pour se que tu as appris, mais moi je suis là, et je le serait toujours, mais ne te retiens pas si tu as envie de pleurer ou hurler fait le, mais je t’en supplit ne te détruit pas.

Elle remonte ses yeux qui son inonder de larmes, et me regarde, je lui essui les goûte d’eau salé, et lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire.

Michiru – Haru si tu savait comme je …
Moi – chuut …

Et poussé par une infini tendresse, je l’embrassa le plus tendrement possible. Ses mains me serre, et l’une d’elles se pose sur ma joue et me la caresse. Malgré la tendresse que je lui transmettait à travers ce baiser moi même j’avais mal au cœur d’avoir appris cette nouvelle, je ne voulais pas la voir dans cet état de souffrance, sa me déchirer plus qu’autre chose, et l’envie de verser des larmes de compassion me tient.

Apparemment je ne suis pas assez résistante car une petite larme solitaire dévale ma joue gauche. On se détachent doucement, je lui caresse la joue en lui souriant. Sa main vint chasser la larme, et elle me dis :


Michiru – Haru …
Moi – ce n’est rien, je suis juste peiné de se qui t’arrive trésor.

Je lui embrasse le front, et me détache. Je sort de la voiture, enclanche l’alarme, et longea le parking jusqu’à la sortie. Michi se serrer contre moi, et sa main caresser ma peau. Je lui sourit, et monte les quatre étages. Une fois devant la porte, Michi prit les clés et les insère dans la serrure et tourna deux fois vers la droite.

Je rentre à l’intérieur, et monte à l’étage. Pénètre dans la salle de bain et ferme la porte. Je dépose ma douce sur le sol devant le lavabo, prit un coton le mouille et vint lui démaquiller les yeux. Mon cœur battait si vite, mais m’occuper d’elle me procurer un bien fou. Quelques larmes roulent le long de ses joues, et doucement je lui essui stopant unes d’elle avec un baiser.

Je commence par lui retirer le pull, et vint débouter son chemisier. Retirant son jean, puis son soutien-gorge, et sa lingerie intime. Je m’approche de la baignoire, et fait couller l’eau, cherchant la bonne température. Quand cette dernière fut prête, je mit un bouchon sur l’évacution, et me tourne vers Michi, je la prend dans mes bras, et la pose doucement dans la baignoire. Je m’accroupie, m’appui sur le rebord, je lui caresse la joue, et lui murmure d’un ton doux :

Moi – maintenant tu vas te détendre dans ce bain d’accord ? Je ne veux plus te voir comme sa, si tu as le moindre souci je suis là ma chérie, et je le serait toujours … Je t’aime mon amour, et quoiqu’il arrive je serait là.
Michiru – je t’aime tant Haruka … Pour moi, tu est comme ma deuxième famille.

Je sourit, lui soulève le menton et lui posa un baiser. De nombreuse minutes nous restons comme sa, je pense que savoir que l’ont peut toujours compter l’une sur l’autre nous renforce, et cela depuis notre rencontres. La magie prit douement fin, je lui caresse sa lèvres inférieur, et lui fit un petit clin d’oeil.

Moi – allé, détend toi maintenant, tu en a besoin, si tu as un souci je serait en-bas.
Michiru – merci … Ma chérie !
Moi – ce n’est rien, c’est normal.

Je l’embrasse sur le front, lui tapote le nez, et sortie de la salle de bain la laissant se détendre. Je descend et me dirige vers le canapé, met des petites lunettes, et sort de mon sac qui se trouver à côté du meuble des copies et à l’aide d’un stylo rouge commence à corriger.

Sa me fait penser, que les bulletins ne devrait plus tarder, le directeur m’ayant expliquer qu’il y avait eu un souci au niveau de l’informatique, les bulletins des élèves auraient un peut de retard.


Après quelques minutes, je pose mon stylo ayant tout terminé, et monte à l’étage pour aller voir comment allait Michi. Pour ma plus grande surprise, je ne la trouva pas dans la salle de bain, d’ailleurs, celle-ci était rangé et sentait bon. Inquiète je ferme la porte, et me dirige vers la pièce du fond qui était notre chambre, j’ouvre doucement la porte, et eu un tendre sourire, elle était couchée. Je m’approche, et la couvre, allant fermer les volets par la suite. Je lui pose un doux baiser sur la joue, et parti la laissant dormir. Avec toutes ces nouvelles pas très joyeuse qu’elle a appris je la comprend. Donc je croix que je vais faire un peut de rangement, puis après je ferait un peut de repassage de nos affaires.

Au alentours de 19 heures, alors que je me trouve assise sur le canapé en train de lire, j’entends du bruit, surprise je me tourne et sourit en voyant que c’était Michi qui descendait les escaliers. Elle se dirige vers le canapé, et d’un geste tout à fait naturelle, elle c’est lové dans mes bras.

Moi – bien dormis ? Je lui caresse les cheveux
Michiru – oui, sa ma fait du bien !
Moi – je veux bien te croire dormir 7 heures d’affilé, sa ne peux être que reposant.

Elle remonte sa tête, elle est encore endormis derrière ses petite lunette noire, je sourit, et caresse son visage. Ses mains se mettent sur les miennes et ses doigts efleure ma peau.

Moi – tu vas mieux ?
Michiru – un peut oui, merci Haru pour se que tu as fais !
Moi – ce n’est rien voyons ma chérie.

Je lui sourit, et nos lèvres s’unir dans un doux baiser. Je me laisse basculer sur le dossier du canapé la serrant contre moi et allant carreser son dos passant mes main sous son polo. Je sent ses mains se posées sur mes joues eet ses pouce me caresse.

Mon cœur se met à me brûler dans ma poitrine, nos langue se trouve et se câline sauvagement.


Michiru – hm …

Mon cœur s’enflamme, et je la serre de plus en plus fort contre moi. On se décollent doucement et nos fronts se caressent, et les battements de mon cœur s’accelaire.


Michiru – je t’aime !
Moi – moi aussi mon trésor.

On se sourit, et nos mains caressent le corps de l’autre. Nos yeux son encrés l’un dans l’autre, je lui embrasse le nez, et fait durer le plaisir. Je descend doucement ferme les yeux et caresse son nez avec le mien, attrapant sa lèvre, et la caresse. Je lui caresse le dos, c’est impressionnant à quel point je peut la désirer, à quel point je suis attiré par elle. Je sent ses lèvres répondre à mon petit jeu, et elle fait pareille.

Moi – si tu savais ( l’embrasse ) à quel point je te ( l’embrasse de nouveau ) désir ma tendre Michiru.

Je sent sa langue s’enrouler dans la mienne, elle s’approche et vint se coller à moi, en manque d’oxygène on se décollent, je lui sourit, lui tapote le bout du nez, et sa voix me murmure :

Michiru – moi aussi, je te désir plus que tout … Ma jolie blonde.

Je sourit, et caresse sa joue. Notre petit câlin dura un petit moment, et sans faire attention, nous nous étions endormies sur le canapé. Michi dans mes bras.

Eh voila la fin de ce chapitre, en espérant ne pas
Mer 23 Oct 2013, 14:54 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 6

Hello hello, voici le chapitre 6 un peut court, mais toujours regorgé de douceur et d’amour ^^ bonne lecture :


Chapitre 6 : Une belle preuve d’amour

Point de vue Narrateur.

Voila maintenant deux petit mois qui se sont écoulés sur la capitale Japonaise. Depuis l’anniversaire de Michiru beaucoup de chose se sont produite, cette dernière était partie en stage pour une durée de 4 semaines pour parfaire ses connaissance en mathématique pour ainsi pouvoir réaliser le rêve de sa défunte mère. Pendant ce temps Haruka continuer son train train quotidien, bien que la vie lui semblais un peut plus triste sans Michiru. Elle n’avait qu’une seule hâte : que cette dernière revienne, car avec son stage, et les réunions de parents d’élèves ainsi que de conseils de discipline elles n’avaient pas pue se revoir et passer du temps ensemble. Nous nous retrouvons devant chez la jeune blonde ou la bonne humeur régnais. A l’intérieur de ce petit studio se trouvait Michiru et Betty qui faisait de la cuisine préparant un gâteau pour l’anniversaire d’Haruka.

Point de vue Michiru.

Ah … Me tarde que Haru revienne, elle ma tellement manquée. Je suis rentré aujourd’hui de Tokyo, et même si c’est 4 semaines de stages ont étaient très longues c’était très constructif et j’ai aquis bien plus de connaissance ce qui me rendait de très bonne humeur.

Malgré sa, comme Haru et moi on a pas pue se voir, nous n’avons pas pue faire son anniversaire, et même si nous étions le 15 décembre, je voulais lui fêter ses 24 ans avec madame Clife qui est une ses plus proche collègue.

Madame Clife – alors Michiru dis moi comment c’est passé ton stage ?
Moi – parfaitement bien, j’ai appris beaucoup de choses au cours de ses 4 semaines comme résoudre des équations comment faire pour placer le x en tant voulut dans un calcul mental. C’était tout bonnement génial.
Madame Clife – c’est très bien tout sa … Oh mais, c’est jolie ce que tu as autour du cou. C’est ton petit ami qui te la offert ?

Si vous saviez qui m’a offert cette petite chaîne vous serez bien surprise. Ah cette chaîne, je les garder tout au long de mon apprentissage, sa me faisait penser à elle à chaque fois. Ah ma jolie blonde j’ai hâte que tu revienne à la maison, car bien des choses ont changé durant ses 4 semaines d’absence.

Soudain je sent mon téléphone vibrer, surprise, je prend ce dernier en main et regarde qui cela peut être. J’eue un grand sourire en voyant que c’était Haru qui m’appeller, je met les écouteurs et répond à l’apel, le cœur battant à la chamade.

Haruka – bonjour ma chérie !
Moi – Ah … Si tu savais comme il est bon d’entendre ta voix.
Haruka – oui c’est vraiment agréable de pouvoir t’entendre de nouveau. Alors comment c’est passé ce stage.

Je sourit, c’est un bonheur de l’entendre de nouveau, je verse du lait dans un récipiant et madame Clife qui me sourit se met à remuer.

Moi – bah sa c’est supère bien passé, j’ai appris beaucoup de chose, et cela était une expérience très enrichissante.
Haruka – tant mieux alors.
Moi – oui, et toi alors comment ça va ?
Haruka – ça va, un peut fatigué de ses réunions et conseils, le directeur est parti faire des photocopies d’un dossier, donc j’en aie profité pour t’appeller.
Moi – c’est vraiment très gentil. Si tu savait à quel point tu m’as manquer Haru.
Haruka – toi aussi chaton tu m’as beaucoup manqué, et je n’aie qu’une hâte, c’est celle de rentrer.
Moi – ah bonheur, je vais pouvoir retrouver tes bras !
Haruka – oui moi aussi, vite que la réunion se termine, je t’envoie un message dès que je sort du lycée.
Moi – d’accord pas de souci ma jolie blonde.
Haruka – aller je te laisse, le directeur reviens, bisou mon cœur je t’aime à ce soir !
Moi – bisou ma chérie je t’aime aussi !

Et heureuse la communication se coupa. Je retire les écouteurs et pose mon téléphone sur le plan de travail. Mon cœur battait tellement vite, j’abordais un magnifique sourire, trop heureuse de l’avoir entendue.

Madame Clife – eh bien, sa à l’air de bien se passer … Mais, tu aimes les filles ?
Moi – oui.

Sans prêter attention à son regard, je continue de préparer le gâteau. Par la suite, je mit se dernier au four, et alla me préparer. Je monte à l’étage, et m’enferme dans notre chambre. J’enfile simplement une robe bleu écume, avec un petit cache cœur bleu ciel.

Je met les boucles en argent qu’elle ma offert, est me maquille légèrement avec un peu de laïner noir et du rouge à lèvres rouge. Je laisse mes cheveux lâchés juste à les tenir avec de la laque pour les faire tenir sur le côté gauche. Puis enfin j’entend mon téléphone vibrer, avec précipitation je le saisit et consulte ma messagerie.

« je suis là dans 5 minutes »

Sa y’est elle arive, bonheur bonheur bonheur. Avec le grand sourire, je descend, et préviens madame Clife et monsieur Gastempête que Haruka allait bientôt arrivé.

Madame Clife – ok, on se tiens prêt !
Monsieur Gastempête – oui.

Contre toute attente j’allai me cacher derrière le frigidaire et attendit avec le cœur battant à la chamade que ma jolie blonde arrive.

Point de vue Haruka.

Une fois arrivé devant l’immeuble, j’allai me garer au parking, éteins le moteur me détache et sortie avec mon sac. Remettant ma chemise en place. J’avais hâte de la retrouver. J’enclenche l’alarme, et enfin me dirige vers l’entrée du bâtiment. Ah … Cette journée ma épuisée, j’espère que je n’aurais pas à faire sa tout les jours.

Une fois prêt de la porte de chez moi, j’ouvre la porte et la …

?? - SURPRISE !!!!

je reçu des confetti en pleine figure, et cela me fit sourire, me doutant bien de qui était derrière tout sa.

Moi – Betty, Clément ?? mais que faite vous ici ?
Betty – enfin Haruka, même si nous somme en retard, nous fêtons ton anniversaire.
Clément – bon anniversaire !!
Moi – euh … Merci.

Je pose mon sac, et regarde dans tout les coin si je ne la voie pas. Mon sourire s’agrandit en la voyant apparaître … Elle est tellement belle, je lui ouvre mes bras, et c’est avec le sourire elle se réfugia contre mon cœur.

Michiru – te voilà enfin de retour.
Moi – bonjour ma chérie, heureuse de te revoir !
Michiru – tu m’as tellement manqué sa était dure 1 mois sans toi.

Je lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire, je m’approche d’elle et lui murmure :

Moi – toi aussi, tu m’as beaucoup manqué Michi …
Michiru – Haru …
Moi – chuut.

Et sans lui laisser le temps de répondre, je posa mes lèvres sur les siennes. Je descend mes mains à son dos, et le caresse, alors que ses doigts à elle caresser mes joues. Ah … Quel bonheur de pouvoir la retrouver, sa voix, son sourire, ses câlins tout ma manqué chez elle. On se détachent doucement, nos fronts se caresse, et je lui dit en écartant une petite mèche de ses yeux :

Moi – tu es magnifique.
Michiru – merci et … Même si c’est en retard, joyeux anniversaire … Ma jolie blonde.

Elle est vraiment adorable, je l’aime. Je caresse sa joue de mon index, lui embrasse le nez, et me dirige avec elle vers mes collègues qui afficher une mine décomposé.

Clément – Haruka tu …
Betty – ce n’est pas possible vous … Mais enfin c’est …
Moi – oui, je suis désolé si je ne vous en aie pas parlé avant, mais oui Michiru et moi sommes ensemble depuis 3 mois.
Betty – mais enfin Haruka, sais tu ce que tu fait, tu est son professeur.
Moi – peut être, mais en dehors du lycée nous sommes deux citoyennes tout à fait ordinaire, et je suis vraiment amoureuse d’elle.
Michiru – quant à moi, je tiens énormément à Haruka, et en suis éperdument amoureuse.
Clément – c’est vrai que vue comme sa …
Betty – mais enfin je … Sa ne peux pas être vrai, vous êtes peut êtes deux citoyennes, mais vous êtes professeur/élève.
Moi – oui mais …
Michiru – après ses 3 mois de bonheur …
Moi/Michiru – nous nous aimons énormément !
Moi – et je ferait tout pour la garder auprès de moi.

Elle me sourit, je lui caresse la joue, et vint l’embrasser avec douceur.

Moi – tu m’attend là je reviens !
Michiru – oui, mais fait vite …

Je l’embrasse sur le nez, lui caresse sa main, et parti à l’étage me dévêtir. En entrant dans notre petit nid d’amour, je remarque un mot sur la table de nuit suivi d’un petit appareil audio avec des écouteurs. Surprise je prend la petite machine met les écouteurs, prend place sur le lit, et lue le mot.

« j’y est mis tout mon cœur »

je sourit, et je vint mettre play, et sa voix sa si jolie voix résonne.

« bon … Euh, par ou commencer ? Haruka aujourd’hui nous sommes le 2 novembre, un jour spécial pour toi … Je te souhaite un très joyeux anniversaire ma jolie blonde, et j’aimerais te dire quelque chose important et qui me tiens à cœur. Voila maintenant 3 mois que nous nous connaissons toutes les deux, je ne vais pas mentir, mais je suis vraiment très heureuse d’être avec toi. Lorsque je t’aie vue la première fois au lycée, je n’oser pas le dire, mais je t’admirer déjà, tu as vraiment fait fondre mon cœur sous tout les angles. J’étais tellement heureuse de savoir que tu éprouver la même chose que moi, je t’aime vraiment beaucoup et ne souhaite que te voir heureuse. Après j’ai beaucoup réfléchit, et je suis aller me renseigner à la mairie pour pouvoir se marier un jour, la femme qui ma reçu ma dit qu’il falait aller à la mairie et signer des papiers et après le mariage pourrais se faire, j’aimerais de tout mon cœur fonder notre propre famille à toute les deux afin que tu soit heureuse, car peut importe ce qu’il arrivera je serait toujours là pour toi pour t’épauler et te soutenir, des disputes il y en aura comme dans tout les couples mais je veux dire que je serait la avec toi dans les bons et les mauvais moment. Pour moi tu est toute, ma jolie blonde ma femme à moi que j’aime tant, ma chérie … Mais surtout tu est ma plus belle histoire d’amour Haruka, et avec toi, je sais que je pourrais avancer. Voila je tes dis tout se que je ressenter, je t’aime et sa éperdument mon amour je t’embrasse très fort et j’ai hâte de rentrer à la maison pour te serrer dans mes bras. Joyeux anniversaire ma chérie je t’aime. »

plusieurs larmes roulent sur mes joue, des larmes de joie et de bonheur. Se qu’elle a dit ma profondément touché, personne à part elle et Greg ne m’avait montré autant d’attachements, Greg est mon petit frère de trois ans seulement, mais pour des raison financière il est parti, et je me suis retrouvé seule avec des parents qui ne mon jamais porter dans leur cœur, qui ne mon jamais aimé, ma mère après quelques années de lutte acharné est morte d’un cancer, mais malgré tout je l’aime et la porte dans mon cœur. Je ne suis jamais tomber amoureuse … Jusqu’à ce que je rencontre Michi, elle a réussi à me faire changer d’air, elle ma comprise après lui avoir raconter une partie de ma vie. Elle ne ma jamais rejeter, et par moment j’ai l’impression d’en profiter, profiter de sa gentillesse, mais je l’aime et en suis profondément amoureuse, je ferait tout pour pouvoir la garder avec moi.

D’une main tremblante, je prend mon téléphone et lui envoya un sms. J’avais besoin d’elle là maintenant. Je l’entend monter, et la voilà. La porte se ferme et je sens ses mains se poser sur mes genoux.


Michiru – qu’es ce qu’il y a ma chérie ?

Je ne dit rien et vint la prendre dans mes bras, la serrant contre moi. Laissant mes larmes de bonheur se déverser.

Moi – merci … Merci d’être la chaque jour avec moi, se que tu as dis ma beaucoup touché, et je suis heureuse de voir que tu prend nos projet à cœur … Ma douce et tendre Michiru je t’aime si tu savais à quel point je peux t’aimer, peut importe se qui arrivera je ferait tout pour te garder avec moi, j’ai déjà perdu trop de personne que j’aime et je n’aie pas envie que tu soit la seconde.

Je lève mes yeux afin de la regarder, ses mains se sont posés sur mes joues et d’un geste tendre elle efface mes larmes.

Michiru – tu sais … Bien que jeune, j’étais sincère dans mes propos, tout se que j’ai dis, je l’aie dis avec le cœur … Mon amour, je t’aime plus que tout, et ferait moi aussi tout pour te garder prêt de moi, car j’en suis consciente je suis éperdument amoureuse de toi, et veux crée un avenir heureux avec toi, même si sa doit prendre 2 3 jusqu’à 4 ans, je m’en fiche, tout se qui m’importe et de t’aimer et te rendre heureuse, car … Tu es la femme de ma vie, je t’aime Haruka et sincèrement.

Je sourit tendrement, lui caresse la joue, et vint poser mes lèvres sur les siennes. Ses bras enroule ma nuque, et ses doigts caresse ma chevelure. Je laisse mes mains caresser son dos, allant tendrement caresser sa langue. Je l’aime, s’en est devenue ma drogue, et je ne veux pas que sa s’arrête, je vint la serrer dans mes bras, laissant mon cœur s’exprimer. Ont se détachent doucement, et je vint lui caresser la joue lui offrant mon plus beau sourire.


Moi – je t’aime ma chérie, je t’aime si fort.
Michiru – moi aussi Haru et vraiment très fort.

Je lui sourit, l’embrasse doucement, et c’est avec le cœur léger et sa main dans la mienne, que nous descendions les escaliers.

Betty – à vous voilà … Haruka ? Mais enfin qu’es ce qui t’arrive ?
Clément – ta les yeux rouge.
Moi – ce n’est rien, c’est juste un trop plein d’émotion !

Je prit tendrement Michi dans mes bras, et vint la câliner. Sa tête se pose sur mon épaule gauche, et ses mains s’emêlent avec les miennes.

Moi – en tout cas merci beaucoup, c’est très gentil d’avoir penser à mon anniversaire !
Clément – oh mais tu sais, c’est surtout Michiru qu’il faut remercier, c’est elle qui a tout organisée.

Je sourit, regarde ma douce dans les yeux et lui dit en caressant son ventre :

Moi – dans ce cas … Merci à toi mon trésor.
Michiru – ce n’est rien, c’est tout naturelle !

Je lui sourit, et dépose tendrement mes lèvres sur les siennes. Oui maintenant je c’est que avec elle je peux être heureuse.

Puis après ce doux baiser, Betty et Clément mon offert mes cadeaux. Clément m’a offert un livre sur les blagues, et cela me fit rire, repensant à nos petits délire en salle des professeurs. Betty elle m’avait donné un cadre avec comme photo toute l’équipe des enseignant avec chacun leur signature.


Moi – merci, sa me fait siupère plaisir !
Betty – j’espère que tu continuera à être une exélente professeur !
Moi – ne t’inquiète pas pour sa.

Puis j’ai vue Michi se mettre face à Betty, se qui me surpris.

Michiru – madame Clife, je ne vous demande pas de sauter de joie face à notre révélation, juste à accepter le fait que nous soyons ensemble, vous savez, je l’aime profondément et sincèrement, et ne souhaite que son bonheur.

Elle c’est tourné vers moi et a dis :

Michiru – peut importe notre statu, je continuerais à l’aimer aussi fort que je le peut, c’est pourquoi aujourd’hui mercredi 15 décembre j’ai quelque chose d’important à lui demander, et je ne prend pas sa à la légère, je suis tout à fait sérieuse.

Elle commence à me faire peur, bien qu’elle aborde un magnifique sourire, je me demande bien se qu’elle a derrière la tête. Je voie ses mains prendre les miennes, et ses jolie yeux azur caresse mes prunelle émeraude.

Michiru – Haruka, depuis notre rencontre tu as réussi à faire de ma vie un véritable compte de fée, j’aimerais à mon tour pouvoir rendre la tienne encore plus belle et faire de notre histoire une merveilleuse aventure. Alors moi Michiru Kaio j’aimerais te demander quelque chose !

Ne me dite pas que … Ce n’est pas vrai, si c’est bien se que je pense elle va me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà. Je la voie poser son genoux droit sur le sol, et sortir d’une petite poche de son cache coeur une boîte noir, non, ma tendre chérie je t’aime.

Elle a doucement ouvert l’écrin, là ou je vis tout mon bonheur.


Michiru – par cette bague, j’aimerais te demander sincèrement … Haruka Tenoh veux tu devenir ma femme.

Je ne sais plus quoi dire, je n’aurais jamais crue qu’elle puisse avoir le courage de demander ma main, je m’approche d’elle, et la relève, la dévisageant avec tendresse. Je caresse sa joue, et lui répond avec le sourire :

Moi – oui je le veux.

Son sourire c’est agrandit, et elle ma passée la bague au doigt. Je vint la prendre dans mes bras, lui prend le menton et lui dit tendrement :

Moi – j’espère que tu sais dans quoi tu viens de t’embarquer ? Je ne compte plus te lâcher … Ma chérie si tu savait à quel point je suis heureuse.
Michiru – oui, je sais dans quoi je m’embarque, mais si c’est avec toi, alors je suis prête à tout, et je suis de même très heureuse … Uni à jamais ma jolie blonde ?
Moi – Uni à jamais mon trésor.

Et après ses paroles tendre nos lèvres vinrent crée un instant magique et amoureux. Je n’en reviens pas, elle a eu le courage de me le demander, moi je compter lui faire ma demande le jour de noël, mais le fait que Michi est fait le premier pat me prouve encore une fois que je ne regrette pas notre union. Et que je suis prête à m’engager sérieusement avec elle. On se décollent doucement, et le sourire aux lèvres, je vint l’enlacer tendrement dans mes bras.

Clément – alors sa … C’est une surprise, toute mes félicitations et mes vœux de bonheur les plus sincère à vous deux.
Moi – merci Clément.
Michiru – merci monsieur !
Betty – Haruka, j’espère que tu sais dans quoi tu t’engages !
Moi – oui je le sais parfaitement, mais voies tu, j’ai enfin eu la chance de rencontrer le grand amour, et je ne veux pas le laisser filer. Je l’aime et veux construire mon futur dans ses bras.

Elle c’est mise à sourire, et ses lèvres ont tendrement embrassé ma joue. Je la regarde avec amour, caresse son ventre, et l’embrassa à mon tour sur sa tampe droite.

Betty – bon eh bien … Toutes mes félicitations et que sa dure.
Michiru – merci beaucoup madame Clife !
Moi – merci Betty, merci beaucoup.

Et après sa, nous avons continuer à discuter en mangeant le gâteau que Michi et Betty avait fait. Et c’est plus heureuse que jamais que je câlina Michi tout au long de la soirée. Je l’aime et je compte bien la garder prisonnière de mon cœur.

Et voila c’est fini ^^ bon le chapitre 7 est en cour d’écriture, mais je ferait au plus vite pour le poster. [/i]
Dim 20 Oct 2013, 18:16 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 3

Coucou, merci à toi inlove pour ton commentaire ^^ donc voici le chapitre 3, bonne lecture.

Chapitre 3 : Attirance et amour

Point de vue Narrateur.

Depuis l’accident de Michiru 1 mois venais de s’écouler, nous sommes au mois d’octobre mois ou l’été s’estompte et laisse place à l’automne saison ou les feuille multicolor virevolte au gré du vent. Aujourd’hui c’est mercredi, et tout les élèves trépigne d’impatience à ce que midi arrive.

Haruka – bon alors est ce que quelqu’un peut me dire quel est le coeficient de ce tableau ?

Bien sûr le professeur savait parfaitement que personne hormis sa petite protégée allait répondre.

Haruka – bon … Puisque personne na l’air de vouloir répondre , je peux en prendre quelque uns pour rester avec moi cet après-midi !
Elève – pff et à quoi cela vous servirez ?
Haruka -déjà à t’apprendre à mieux parler à un professeur jeune fille … Et puisque tu semble vouloir prendre la parole, peut tu répondre à ma question ?

Haruka d’un air sévère, se dirige vers la table de son élève et les sourcils froncés elle déclare :

Haruka – alors, mademoiselle Jolie, j’attend votre réponse !
Jolie – vous n’avais cas demander à cette petite trainé au cheveux bleu !

La s’en fut trop, la jeune femme claque violemment ses mains sur la table de Jolie, et dit d’un ton sec :

Haruka – bon sa suffit !!! j’en est plus qu’assez de tes propos, maintenant tu prend tes affaires et tu file chez le directeur, et tu restera avec moi en salle de retenue cette après-midi !
Jolie – mais …
Haruka – il n’y a pas de mais, quand je donne un ordre il faut qu’il soit exécuté !

Plusieurs soufflements se fait entendre de mademoiselle Jolie qui prit ses affaires et fila rouge de honte vers la sortie.

Haruka – maintenant que j’en surprêne un seul à faire des réflexions et ce sera le même sort compris ?
Tous – oui professeur !!!!

Michiru se met discrètement à sourire, eh bien c’est que Haruka a beaucoup de caractère pense la jeune fille en écrivant son cour. Puis viens enfin l’heure tant attendue des élèves, midi. Chacun se hâte à ranger ses affaires et de sortir aussitôt de la sale de cour. Seul Michiru resté en retrait en prenant tout son temps pour ranger ses affaires.

La jeune femme blonde efface le tableau et se met à soupirer d’ennui. Se qui fit rire sa jeune élève qui venais de mettre son sac sur l’épaule et descend doucement chaque marche avec ses béquilles.


En effet depuis son accident Michiru avait reçu pour ordre d’être mis sous béquille et ceci jusqu’à la guérison total de sa hanche droite qui avait reçu un choc et donc lui avait valut six points de sutures.

Michiru – rappel moi de ne jamais te mettre en colère !

Dit elle en riant. Haruka eu un petit sourire, elle prend ses affaires et dit en se dirigeant vers la sortie :

Haruka – je te fait peur à ce point ? Se met aussi à rire
Michiru – tu as tout de même une forte voix … Donc je préfère éviter.

Elle s’échangent un doux sourire ainsi qu’un petit regard amoureux, et c’est avec le cœur léger qu’elles entament toutes les deux leur marche à travers le couloir.

Michiru – dis … Tu vas vraiment rester ici cet après-midi ?
Haruka – oui, et puis il serait tant que je donne une petite correction à cette fille qui commence sérieusement à m’énerver.
Michiru – bon, ok !
Haruka – mais ne t’inquiète pas, je serait de retour à la maison dès qu’elle aura l’obligeance de venir s’excuser.
Michiru – ok, bah moi vue que je suis dispensé de sport cette année, je vais rester à la maison et peut être commencer à faire mes devoirs comme sa je serait tranquille toute la journée !
Haruka- sage dessision.

Toute deux se sourirent, puis arrivé à l’entrée du couloir, la jeune femme blonde se penche et vint tendrement embrasser le front de Michiru qui se sentait mourir par ses gestes de tendresse. Elle lui embrasse tendrement la joue, et parti direction les casiers des filles afin de poser ses affaires.

PDV Michiru.

Après avoir quittée la salle de cour, je me suis directement dirigé vers les casier afin d’y déposer mes affaires. Tout en marchant mes cahiers à la main je ne cesser de penser à Haruka. Cette si belle femme blonde aux charmes masculin faisait fondre mon cœur, même si ce que nous faisons est interdit je suis si heureuse de l’avoir à mes côtés et pas que en tant que professeur non, surtout en tant que la femme que j’aime et désir plus que quiconque. Soudain mon portable se met à vibrer, étonné je sort ce dernier de ma poche et consulte l’appareil.

C’était un message … D’Haruka, je me met à sourire bêtement, comme une fille qui reçoit un sms du plus beau garçon du campus. Sauf que moi c’est de loin être le plus beau play boy non non … Moi c’est beaucoup mieux, puisqu’il s’agit de la femme que j’aime. Sans perdre un instant j’ouvre ma messagerie et vint lire le message :


« Fais attention quand tu rentres »

je reste plusieurs minutes à relir le message, un petit sourire en coin, vraiment elle est adorable peut être plus vieille que moi mais elle est vraiment la femme parfaite à mes yeux, depuis mon premier jour dans ce lycée et même quand mon accident est venue subitement elle a était la première à être la, elle ne ma pas juger non elle ma accepté tel que je suis et c’est bien sa qui me rend le plus heureuse.

Je décide donc de lui répondre.

« et toi fait attention de ne pas sortir tes crocs lol ! Oui ne t’inquiète pas dès que je suis arrivé je t’envoie un sms »

et je lui envoya. Je ferme mon casier à l’aide du cadenas et parti manger. Après une attente interminable, je réussi à entrer dans le refectoire, et Cléo une fille supère gentil qui m’aide de tant à autre depuis mon accident me porte le plateau, elle mangea même avec moi.

Cléo – alors Michi sa va mieux ?
Moi – bof, j’ai encore des douleurs au niveau de la hanche, et sa s’arrange pas avec le traitement que je suis qui est tout bonnement imonde.
Cléo – ah ah ma pauvre.
Moi – et toi sinon ça va ?
Cléo – bah comme d’hab quoi Emma qui me pourri l’existance avec ses vues sur le professeur Tenoh.

Qu … Quoi ?? cette petite ingrate est amoureuse de … Haruka ? Même si je sais que cela est impossible j’eu vraiment mal au cœur, je n’aie aucune envie de perdre cette si jolie blonde qui est la cause de mes battements violent de mon cœur, qui est la cause de tout ses petit sourire innocant ou chargé de sous entendu, non il est absolument hors de question que je lui laisse je l’aime sincèrement même si je ne lui jamais dit j’en suis éperdument amoureuse et ferais tout pour la voir sourire, rire et heureuse.

Moi – bah viens en cours, et tu verra que c’est pas l’amour fou !
Cléo – je veux bien te croire, je connais Emma depuis l’enfance et je c’est qu’elle est prête à tout pour obtenir se qu’elle veux. Enfin bon personne ne pourra la changer !
Moi - sa c’est sur.
Cléo – et sinon toi les amours sa rool ?

À cette question, je me met violemment à rougir, je prend mon verre, et le porte à ma bouche afin d’éviter d’y répondre.

Cléo – alors es ce qu’il y a un beau garçon qui t’interesse.
Moi – si je te le dis, tu promet de garder sa pour toi de ne le dire à personne, et de ne pas me juger ?
Cléo – houa c’est tout de même pas une affaire d’état rassure moi ?
Moi – non non … Enfin, il y a bien quelqu’un qui m’interesse et très fortement !
Cléo – ah … Que c’est beau l’amour, alors dis moi c’est qui c’est qui c’est qui ?
Moi – je suis très amoureuse du professeur Tenoh.

À sa tête, je remarque la surprise ainsi que la décomposition. Avais-je bien fait de lui dire ?

Cléo – quoi ? Mais tu c’est que c’est interdit !
Moi – merci de me faire redescendre sur terre.
Cléo – oups désolé, c’est juste que sa ma surprise sur le moment, mais sérieux tu aimes c’te prof ?
Moi – oui, j’en suis même éperdument amoureuse.

Elle ne dis rien, juste à me lancer plusieurs regards surpris et intérogateur. A la fin de mon repas, Cléo m’aida à porter mon plateau, en passant dans l’allé central j’eu droit à des sifflements et cela m’irriter. Une fois dehors, je me tourne vers mon ami et lui dit :

Moi – bon je rentre à demain !
Cléo – oui à demain Michi !!

on s’échangent un rapide sourire, et je parti chercher mes affaires afin de rentré pour de bon à la maison. J’ouvre mon casier, prend mon sac, le met sur mon épaule, referme la petite porte à clé, et parti direction la sortie du lycée.

Ah … Sérieusement je me demande comment va se passer cette année, en plus dans pas très longtemps je serait majeur et vacciné, se qui veux dire que même en dehors des cours je pourrais enfin être librement avec elle. Après quelques minutes de trajet à pied du moins en béquilles, je sort une petite clé argenter de mon sac, l’infiltre dans la serrure tourne trois fois vers la droite, et rentra enfin à l’intérieur.

Comme je ne pouvais pas monter à l’étage, je pose mon sac de cour à côté de la table basse du salon et allai prendre place sur un des poufs qui trônais dans la pièce.

En y repensant, j’ai promis à Haruka de lui envoyer un sms lui disant que j’étais enfin rentré. Je prend mon cellulaire, et d’une main vif je tapote sur le clavier, et lui envoya.

En attendant, je déboutonne ma veste et la retire me retrouvant en chemisier blanc. Je retire l’élastique de mes cheveux, et donne trois petit coups de tête vers la droite puis la gauche, je prend mon sac sort mes cahiers, met en place mes petites lunettes rectangulaire noir et commence par réviser mon français. Matière ou je ne suis pas sous les feux des projecteurs.

Pff j’y comprend absolument rien, je préfère largement un cours de math qu’un cour de français, je n’aie jamais était brillante dans cette matière, en plus je dois travailler sur un exposé qui à pour thème la liberté d’expression concernant les relations entre deux hommes ou deux femmes, j’ai le choix mais bon, je n’aie jamais ressenti ce genre de chose et sa s’avère être plus compliquer que prévue.


Vite que Haruka revienne de la retenu de cette peste, rah cella-là si j’avais assez de courage je lui dirais ses quatre vérité croyez moi. Bon aller assez traîner, je vais faire un peu de nettoyage, je lui dois bien sa après tout. Je ferme mon cahier avec bonheur et je m’attaquerais ensuite par la langue vivante.

Je commence à ramasser quelques vêtements qui jonche le sol par ci par là. Je les conduit en machine à laver, jette un œil à l’étiquetage, et commence à remplir la machine. Après avoir mis cette dernière en route je me dirige vers la cuisine en essayant de ne pas forcer sur ma hanche car je n’aie pas prit mes béquilles. Je commence à mettre la vaisselle sale dans le lave vaisselle, et range les quelques magasine et livre de cuisine à leurs place. Je retourne dans le salon et alla ouvrir la fenêtre tout en fermant à moitié les volets. Pour je ne sais quel raison j’avais envie de déployer mes ailes prendre mon courage à deux main et avouer avec fierté les sentiments que j’éprouve à son égard, j’avais envie que les choses change, je l’aime et sa je le sais je ne peux pas me le cacher.

Après quelques heures Haruka était enfin de retour, et moi je m’étais remis au travail. Sa main douce vient ébouriffer ma chevelure se qui me fit rougir, je la regarde s’éloigner et mes yeux la détail de plus prêt.

Moi – dites moi professeur si un nombre fini par 0 je dois le multiplier par x ou y ?

Bien sur je connais la réponse mais j’avais envie de l’embêter un peux. Je sent mon visage se soulever, et mes yeux azur croise son regard émeraude. Il est tellement beau emprunt d’une petite étincelle magique. Elle me retire les lunettes, et sa voix douce que j’aimais entendre résonne dans l’aire que nous partagions toute deux.

Haruka – il me semble que je te l’ai déjà enseigner non ?
Moi – oui mais beaucoup de chose c’est produit depuis, un petit rafraichissement de mémoire serait la bienvenue.
Haruka – hm je voie sa, mais à une seule condition !
Moi – mais c’est que j’ai le droit à du chantage en plus ? Hm … Que désirez-vous ?
Haruka – arrête donc de m’appeller ainsi à la maison.
Moi – et comment voudriez-vous que je vous appelle pro.fe.ss.eur !

Elle me sourit, un petit sourire coquin qu’elle me fait souvent quand ont s’emportent dans l’un de ses petits amusements. Et cela me fait bien rire. Je porte ma main à sa joue et la caresse doucement.

Haruka – appelle moi juste Haruka !
Moi – entendue Ha.ru.ka.

Je me suis levé doucement en faisant attention à ma hanche et je me suis mise dans ses bras. Allongeant mes bras sur ses épaules, et rapprochant doucement mon visage du sien.

Moi – Haruka … Je … J’ai … Enfin, j’ai quel … Que chose à te dire !
Haruka – d’accord mais avant laisse moi te dire une chose importante.
Moi – ou … Oui vas y je … Je t’écoute !

Je ne contrôler plus mes rougeurs qui se multipliés à vue d’oeil. Je sent ses bras descendre à mon dos, et sa mains me pousse afin que je me retrouve contre elle. Dans peut de temps je sent que je ne vais plus tenir, mon cœur s’accelaire de plus en plus et son sourire qui m’éblouit, vraiment pourquoi est tu si cruelle jolie blonde de mon cœur ?

Haruka – Michiru, ce que je vais te dire, je ne les jamais dis à personne !
Moi – tu commence à me faire peur !
Haruka – Michiru bien que tu sois mon élève en cours, depuis que tes yeux … Tes si jolie yeux ont rencontré les miens je … Je t’avoue que tu fait tourner mon cœur.

Haruka … Qu’essai tu de me dire exactement ? Bien que j’en est une vague idée, je me refusé d’y croire, sa serait tellement beau.

Haruka – Ma tendre et cher Michiru … Je t’aime !

Je n’eue le temps de répondre que ces lèvres s’emparent tendrement des miennes. Je … Je n’arrive pas à le croire, alors ces sentiments son égaux au miens, je me sent légère et heureuse. Je m’approche d’elle et répond amoureusement à son baiser.

Mes mains descendent et se mettent au niveaux de son cou, mes doigts l’agrippent, et mes pouces crée un léger et doux frottement, alors que je désespérer à lever la pointe des pied afin d’être à sa hauteur. Ses mains réchauffes mon corps, et notre baiser prend un peut plus d’ampleur.

Je laisse doucement ma langue glisser dans sa bouche et alla rejoindre la sienne, c’est un rêve … Oui c’est sa un rêve un magnifique rêve que je suis en train de faire, et je ne veux pas me réveiller. Pourtant je me rappelle de ma discussion avec Cléo du renvoi de cette pimbêche aux cheveux prune.


Je me senti soulever, mais je n’ose pas ouvrir mes yeux de peur que tout s’arrête, ce moment ou je me retrouve contre elle en train de l’embrasser, j’en rêve depuis un mois, alors mieux vaut être heureuse et continuer à dormir en faisant ce doux rêve exotique.

Je sent mon corps s’allonger sur quelques chose, sûrement le canapé, et une agréable chaleur envahie mon être, des mains … Ses mains qui caresse mes joues et descendent jusqu’à mes hanches. Une décharge me parvient au cœur quand je ressentit la douleur de ma hanche droite, alors, je ne rêvé pas ? Haruka était bel et bien en train de m’embrasser, j’entoure sa nuque et la rapproche de moi afin d’être au comble du bonheur. Nos lèvres se détachent, et nos yeux se rencontrent, son corps s’allonge sur le mien et son front caresse son partenaire. Voila un petit côté d’elle que j’ignorais, mais cela ne me déplais pas pour autant.


Haruka – Je t’aime Michiru.

Je lui caresse le visage, un énorme sourire aux lèvres et l’envie de pleurer de joie. Et sans la faire attendre je l’embrasse de nouveau avec amour et passion. Voulant graver ce moment dans mon cœur.

Nous avons passer le reste du temps à nous chamailler et à nous faire des câlins quel bonheur, mais va vraiment falloir que j’arrive à lui dire.


Et voila la fin de ce troisième chapitre ^^

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Sam 19 Oct 2013, 12:24 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 2

Bonsoir ^^ je remercie inlove pour son commentaire qui ma fait très plaisir :) donc voila le chapitre 2.

Chapitre 2 : Accident et sentiment


Point de vue Michiru.


Brr, qu’es ce qu’il peut faire froid ce matin, je me réveille, et me redresse avec un mal de dos horrible, je me lève, et secou ma tenue qui était plein d’herbe. Je me cache afin que personne ne me voie, et m’habille en vitesse, il ne fallait pas que je soit en retard. Je prend mon sac, et une fois chaussée, je parti direction le lycée.

Ah... Mais qu’es ce qui m’arrive ? Je me sens bizarre d’un coup ma tête me fait atrocement mal, et ma vision se trouble, il faut que j’arrive à tenir sinon je....


Voix off.

Vite emmener la au bloc, il faut d’urgence l’opérer !
Très bien !!!!

Point de vue Haruka.


Alors que je m’installe à mon bureau, j’attends les élèves, tout en repensant à Michiru que j’ai vue hier sous ce pont, je comprend pourquoi elle n’a rien voulut me dire hier, mais tout de même cette histoire m’intrigue, comme il me resté encore quelques minutes je décide d’assouvir ce savoir que je voulais comprendre, je sort le dossier de Michiru que Betty ma passé hier. Je pose ce dernier sur la table, et l’ouvre.

Mes yeux commencent à longer le long des lignes buvant avec effroi les quelques phrases, concernant Michiru qui était assez sanglant.


Moi * Alors que Katsuke Kaio sort tout juste de prison, il revint à la charge chez lui menaçant sa femme de la tuer si elle ne lui remettait pas la petite Michiru qui n’a que 2 ans. La pauvre petite c’est vue aller dans plusieurs famille d’accueil, mais à chaque fois elle se faisait rejeter. Le 11 décembre Katsuke commis un second meurtre celui de Takana Kaio la mère de Michiru...

Tout au long de ma lecture, je sent soudainement les larmes me monter aux yeux, ma main se plaque sur ma bouche, et je continue de lire le cœur serrer.

Moi * Michiru vint voir la police municipal de la ville portant plainte contre son père qui la maltraiter lui offrant plusieurs coups de ceintures, et de gifle. Le 23 janvier : Katsuke fut arrêté pour avoir violé sa propre fille après l’avoir drogué *

Non... Sa... Sa ne peux pas être vraie... je ne peux pas y croir, la pauvre ... Mon cœur cogne violemment dans ma poitrine, j’ai mal à l’estomac, et mes larmes me menace de couler. Mon corps se met à trembler, pourquoi cacher un si lourd secret en soie ... Je savais qu’hier j’aurais dû aller la voir sous ce pont. Des images ou je la voie hurler de douleur sous les coups violent de ce monstre défile dans ma tête. Des voix se fait retentir, les élèves commencent à arriver.

J’essuie une petite larme, et repris mon sang froid. Je me lève, et commence à écrire sur le tableau. Écrivant des exercices sur cet immense rectangle blanc.


Moi : bon eh bien ... Veuillez me recopier ce que j’ai écrit en silence ... Aller au travail !

Je reprend place sur ma chaise, et je vint parcourir le dossier, je voulais en savoir plus sur elle, en savoir plus pour pouvoir l’aider et la soutenir du mieux que je peux même si je ne suis que son professeur et sa tutrice, je voulais à ce moment là être avec elle.

Soudain la porte s’ouvre, laissant place au directeur. Sous mon ordre, tous se lève afin de le saluer.


Directeur : merci, reprenait votre travaille !

Le directeur m’emmène dans le couloir, il ferme la porte gardant sa main sur la poignet, il avait un air grave et affolé à la fois, je me demande se qui se passe.

Directeur – Haruka, un terrible accident viens de se produir !
Moi – de quel accident parlez-vous ?

Il commence vraiment à m’inquiéter. Sa voix est tremblante, et ses yeux trahis toute ses émotions.

Directeur – l’hôpital ma appelé la petite Michiru c’est fait renverser par un camion, le conducteur apparemment ivre. Elle est entrée en bloc opératoire c’est ignoble, tout se qui lui est arrivé, je me demande si cette petite sera un jour heureuse.

Non ... Pas sa, je respire un grand coup et retiens mes larmes qui se font de plus en plus nombreuse et prenante. Je voie les mains du directeur prendre les miennes, et sa voix encore plus tremblante que tout à l’heure résonne.


Directeur – Haruka s’il vous plais, rendez moi cet immense service et allait la voir, Michiru a besoin dès à présent de soutien, et de personne qui l’aime. Je vous met en congé pendant quelques jours afin que vous puissiez vous occuper d’elle.


Je ne le laisse pas poursuivre, que je m’élance vers la sortie en courant. Sprintant à toute allure vers la sortie du lycée. Une fois dehors, je me dirige vers ma voiture, enfonce la clés dans la petite fente, m’attache, et après avoir fait une marche arrière rapide faisant crisper les roues, je parti direction l’hôpital. Pourquoi cela dois lui arriver ? Je ne la connais que depuis hier certe, mais j’ai cette envie de la protéger et l’aimer. L’amour, ce sentiment que j’avais banni pour des raisons personnelle a refait surface, me diriez-vous, mais c’est impossible de tomber amoureuse dès le premier jour, je suis tout à fait d’accord avec sa, mais je ne sais pas, il y a ce quelque chose en moi qui fait que je me sens attirer par Michiru. Serait-je en train de ... De tomber amoureuse ? Je ne sais pas et cela m’effraie un peu. Arrivé à l’hôpital, je me gare, me détache rapidement, et sort du bolide et enclenche l’alarme. Je me dirige donc et toujours en courant, vers l’entrée de l’établissement. Une fois à l’intérieur, je me dirige vers l’accueil et demande :


Moi – bonjour, seriez-vous où je pourrais trouver la chambre de Michiru Kaio s’il vous plais !
Secrétaire – vous êtes ?
Moi – son professeur ainsi que sa tutrice.
Secrétaire – euh... Oui vous monté au troisième étage, c’est la chambre 378 !
Moi – merci bien !


Et dans le calme cette fois ci je me dirige vers l’ascenseur. Une fois à l’intérieur, je presse le bouton 3, et la machine se mit à monter. Rah bon sang, pourquoi aie-je cette peur qu’elle soit ... Je ne pensait pas tenir autant à elle alors que sa ne fait que deux jours seulement que nous nous connaissons, ce n’est pas logique. Quand enfin j’arrive au troisième étage, d’un pat rapide, je longe le couloir et cherche le numéro de chambre de Michiru.

Je la trouve enfin, je souffle un bon coup, et vint pénétrer dans la pièce. Je ferme la porte, et regarde autour de moi. La pièce est grande et vide, il y a juste un lit ou repose Michiru enveloppé dans des couvertures blanche. A sa droite il y a un tabouret et une commode avec un téléphone et un verre d’eau. En hauteur, il y a une télévision, et juste en face prêt de la fenêtre une armoire, et une porte à droite menant sûrement à la salle de bain.


Je m’avance doucement vers le lit, et la regarde quelques minutes. J’approche ma main de son visage, et écarte quelques mèches de ses yeux, laissant mon index descendre le long de sa joue. Sa tête se tourne et ses yeux bleu croisent les miens qui son triste. Un petit sourire naquis ses lèvres, comme si... Comme si elle était heureuse de me voir.

Je n’ose détourner mes yeux des siens, elle est tellement belle, mon cœur s’emporte violemment dans ma poitrine, je ne sais quoi dire, je continue juste de la regarder avec douceur.

Moi – tu sais que tu m’as fait peur !
Michiru – désolé professeur, je ... Je ne le voulais pas.
Moi - ce n’est rien, le principal, est que tu aille bien, mais tu c’est, tu vas devoir me dire se qui c’est passé !
Michiru – oui je sais, mais ... Si c’est à vous que je dois tout avouer, sa ne me dérange pas.

Je lui sourit, et continue de caresser sa joue, je vint faire descendre la barrière qui nous séparent, et vint prendre place sur le tabouret. Je lui prend délicatement la main, et la caresse comme pour la rassurer, que tout est fini et qu’avec moi, elle ne craint rien.


Michiru – je ... Je suis heureuse que se soit vous et pas quelqu’un d’autre !
Moi – chuut ... Ne dis rien, tout se qui m’importe maintenant c’est que tu te repose !
Michiru – oui je comprend, mais ... Mais sa fait tellement de bien de se sentir importante pour quelqu’un, depuis que je suis petite, père et mère ne m’ont jamais transmit un seul geste d’amour, mon père passait le plus clair de son temps à m’enfermer dans le placard, et mère me donner juste du pain et de l’eau comme si j’étais en prison. Sa fait longtemps que je garde se secret en moi, car à chaque fois j’ai peur que l’ont me juge et que ...

Ses yeux se son encrés dans les miens, et sa main à prit la mienne, ses doigts me serrant contre les siens.

Michiru – et que je soit torturer que soit physiquement ou verbalement. Je n’aie jamais eu d’amis, je ne sais pas se que l’ont peux ressentir quand on aime quelqu’un, je ne sais pas ce que c’est d’être heureuse, et cela me rend triste et me fait perdre tout sens de la vie. Mon père voulais à tout prix avoir ma garde car mes parents après six ans de vie commune se sont séparé, malgré tout le mal que ma infliger mère elle a voulut me garder, mais elle a ...


Quelques larmes roulent le long de ses joues, mon cœur se serre en la voyant dans cet état, je me lève, et à l’aide d’une petite télécommande qui suspend le long de son lit, je remonte ce dernier, afin que Michiru soit assise. Je pousse le tabouret, et m’assoie sur le matelas, lui prenant le visage entre mes mains et écarte quelques larmes.


Moi – chuut, c’est fini maintenant, tu est en sécurité ici ... Je comprend ta douleur, et je dois avouer que tu as beaucoup de courage pour avoir surmonter tout sa toute seule, mais dit toi une chose, c’est que qu’importe les choix que tu fera, les professeurs et moi-même seront là pour toi et t’épauler, alors si tu as le moindre souci, l’envie de pleurer, ou tout simplement l’envie de te confier viens nous voir nous t’écouterons .... Moi la première.
Michiru – professeur ...

Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru enroule ma nuque et lova sa tête dans mon cou. Bien que surprise du geste, je répond à son étreinte et entoure son dos le caressant doucement. Mon rythme cardiaque s’accelaire de plus en plus, l’odeur qu’émane sa chevelure me parvint aux narine, ils sentent si bon, à cet instant, je fut prise de désir et de tendresse pour elle, je voulais rester à ses côtés la protéger, la voir sourire et heureuse. Je me défait doucement de ses bras, et plonge mon regard émeraude dans ses yeux azure qui son magnifique. Je lui écarte quelques mèches bleutés de ses yeux et lui offre un sourire chaleureux.

Moi – avec nous tu sera en sécurité, je te le promet ma petite Michiru.
Michiru – vous êtes si gentille professeur, vraiment je ...
Moi – chuut ...

Je lui caresse la joue, et descend jusqu’à ses lèvres qui son rose et douce au toucher. Je passe plusieurs fois mon pouce sur sa bouche, créant un geste doux et régulier. Son regard s’attache au mien, et un petit claquement se fait sentir entre mon pouce et ses lèvres. Je ne fait rien, juste à lui sourire tendrement, je n’avait aucune envie de la brusquer ou quoique se soit d’autre, sans que je puisse retenir mes gestes qui étaient un peu déplacer vis à vis d’elle, mon front se colle contre le sien, mes mains prennent son visage, et mes pouces caressent ses joues. Je sent ses mains se poser sur ma poitrine, et ses yeux se ferment, un petit sourire sur ses lèvres. Mon regard s’adouci, et je m’approche un peut plus de son visage. Je sais que ce que je fait est interdit, mais les pulsassions de mon cœur son de plus en plus violent, et ce nœud dans mon estomac reviens, c’en est presque agréable, cette envie de vouloir franchir ce cap entre elle et moi me torture inlassablement. Et sans que je ne me retienne, mes lèvres s’unirent aux siennes.

Je lui caresse les joues, et m’approche un peu plus d’elle. Laissant mon cœur s’exprimer au grès de ses envies. Ce dernier fit un bon dans ma poitrine quand je sentit ses lèvres répondre tendrement à mon baiser. Mon corps tremblait de désir, c’est si agréable, tellement bon, je n’aie pas envie que sa s’arrête, je continue de lui caresser ses joues, et vint mêler tendrement ma langue à la sienne.

Cela fait tellement longtemps que je n’avais plus ressentit ce genre d’émotion, sa fait si longtemps que je ne mettait pas senti aussi bien et libre. Je sent sa langue répondre aux caresses que lui faisait la miennes, non décidément je me sent réellement attiré par elle, et avec une grande douceur je l’embrasse le plus tendrement possible. Mêlant mes doigts dans ses cheveux.

On se décollent doucement, et je la voie rougir, se qui m’adoucie encore une fois. Je lui soulève le menton, et la dévisage longuement.

Moi – n’est pas honte de se que tu est ... D’accord !

Je lui caresse la joue, et vint lui embrasser le front.

Moi – tu devrait te reposer !
Michiru – ne ... Ne partez pas.
Moi – je ne vais pas partir, je vais rester avec toi !
Michiru – merci ...

Je lui sourit et repris place sur le tabouret prenant sa main dans la mienne. Ah ... Je peux encore sentir ses lèvres douce contre les mienne, mon cœur est sur le point de flamber, cela faisait longtemps que je n’avais plus ressentit sa ... Car depuis la séparation de mes parents qui ne mon fourni aucun geste de tendresse j’ai renier ce sentiment si pur et tendre, c’est pour sa que je comprend la douleur de Michru car mon passé équivaut un peu au sien. Sans lui lâcher la main, je prend mon téléphone qui sonnait depuis quelques minutes maintenant.

Moi – oui allo !
Directeur – Haruka, c’est le directeur.
Moi – ah monsieur que désirez-vous ?
Directeur – eh bien je voulais savoir comment aller Michiru !
Moi – elle va bien ne vous inquiétez pas, une infirmière va passer dans quelques minutes, mais je pense qu’il vont la garder en observation pour la nuit.
Directeur – d’accord, et euh ... Après en avoir parler avec les professeurs nous nous sommes mis d’accord que vous pourriez l’heberger ! Vue que vous êtes sa tutrice, bien entendue si cela ne vous dérange pas Haruka.

Je sourit, et la regarde quelques minutes avec douceur, je vint doucement entrecroiser mes doigts avec les siens, et répond avec un léger sourire :

Moi – non absolument pas, donc c’est d’accord.
Directeur – je suis heureux de vous l’entendre dire, sur ceux j’ai une réunion, tenez moi au courant si il y a le moindre changement !
Moi – bien monsieur.

Et sur cette dernière parole, la communication se coupa. Je range mon cellulaire dans ma poche, et vint tourner ma tête vers Michiru afin de la regarder.


Michiru – que ... Voulais monsieur le directeur ?
Moi – rien qui puisse être désagréable, non il ma juste demander si je pouvais t’heberger !
Michiru – quoi mais je ... Je ne veux pas déranger, je c’est que je suis un poids pour tout le monde ...

Je m’approche d’elle, et caresse sa joue, lui faisant comprendre par le regard qu’elle ne me déranger pas le moins du monde ... Et puis, j’ai le sentiment que si je ne fait rien je pourrais la perdre à n’importe qu’elle moment, et c’est quelques chose que je ne souhaite pas connaître.

Moi – tu ne me dérange pas voyons, au contraire Michiru sa me fait plaisir, j’ai donc accepter de m’occuper de toi.
Michiru – merci professeur !
Moi – on va faire une chose.
Michiru – ah oui ? Quoi donc ?

Qu’es ce qu’elle est jolie quand elle est surprise, vraiment.

Moi – au lycée nous seront juste Michiru et le professeur Tenoh, mais une fois à la maison, tu peux m’appeler Haruka.
Michiru – vous ... Vous êtes sur ?
Moi – absolument certaine !
Michiru – merci pour tout se que vous faite pour moi, c’est vraiment gentil.

Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru c’est redresser et ma embrassé. Je sourit, heureuse de se contact que nous avons crée toute les deux. A présent je compter tout faire pour la garder auprès de moi la protéger l’aimer tendrement et la rendre heureuse.

En fin d’après midi une infirmière est passé comme prévu, et nous a affirmé que Michiru resterais en observation pour ce soir et qu’elle ne pourrais sortir que d’ici quelques jours.


Moi – bon eh bien, je vais te tenir compagnie pendant ses quelques jours !
Michiru – merci professeur !
Moi – ce n’est rien voyons.

Je lui embrasse tendrement le front, et resta à ses côtés lui tenant compagnie jusqu’à ce qu’elle puisse sortir.

Bon eh bien voila ce second chapitre est terminé, si cela vous plais toujours laisser vos avis bon ou mauvais.

content
Jeu 17 Oct 2013, 22:59 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

La rencontre tchat

la rencontre Tchat
Parfois la vie nous permet de croiser le chemin de personnes formidables, mais moi j’ai croisé le chemin de Magalie, voilà je sais que cela ne vous regarde pas mais je peux pas rester sans rien dire de Magalie Duquenne.

Il était une fois une Femme sans joie.
Qui se prit au jeu d’aller tchater un peu sur camfrog est msn le 9 août 2009 , je dialogue avec Magalie c’eté parle d’elle et de moi, de ses enfants de pépé et mémé .
Tu voulai une nouvelle vie, et pas une vie de merde que tu avais avec un homme ki été alcoolique et qui ne pense qu’à lui et fait rien pour change jamais a la maison toujour cher ses ami au sa mére .
Nous avions gardé le contact tous les jours apré avoire coucher les petit on se retouvé sur msn en cam, et semaine après semaine une relation amoure arrive, comme à chacun de nos rendez-vous, j’avais reçu ton petit message : « suis à arrive»...un délicieux compte à rebours pour aller te rejoindre,Jusqu’à a se déplacer pour venire me voir toutes les semains sans que son mari le sache et ce durant 3 ans.
Elle m’a présentait sa petit famille ( Lily Ludo Oliver et biensur mon poto Tom )et moi à tout mon entourage.
Elle me disait vouloir vivre avec moi, trouve un logement je veu vivre avec toi et les petite et me l’a promis.
J’ai fait ma demande de divorce pépé ma comduit cher mon avocate je passe au tribunal passe au le 25 septembre pour son divorce.
Je lui demande tu lui a di quoi Avocate qu’il arrete pas de boire et qu’il pense qu’a lui est ses pigeons je lui est di aussi je suis parti de la maison est vit chez ses grands-parents avec ses enfants.
Et la de cette nouvelle, je décide d’allai sur mon jeux, avec des personnes de sa région qui joeux avec moi, je deside de parle d’elle est la le choc de ma vie quand il m’annonce.
Elle divorce pas elle est toujour avec son homme Nikale, et de la elle envoi un message pour me di d’elle est bien rente oui care lundi elle été avec moi.
Elle avais laisseé son petit Tom chez grands-parents pendant que ( Lily Ludovic et Olivier sont a l’ecole )
Lendemain Je lui envoi un message je lui demande des explications alore qu’elle été parti pour son tatouage avec sa cousine.
Voila la reponse ( oui je suis toujour avec est alore ) je lui di c’etait que des mensonges tout se que tu ma dit?
Aujourdh’ui elle est toujours avec lui.
Elle se permet d’être sur plusieurs sites pour rencontrer des homme à qui il dit des mensonges et fait croire qu’elle veut vivre avec.
Cette femme ne peut s’empêcher de mentir et de trahir. Personnage dangereux sans état d’âme qui fait déplacer les personnes de n’importe quelle distance et surtout qui fait souffrir gratuitement.


Voila se que voullais dire de Magalie Tu es venu dans mon petit monde à moi t’incruster, laisser une trace de ton passage.
j’ai eu le choc de ma vie quand tu m’annonce un soir qu’il est tjrs avec ton ex, alors qu’on avait des projet normalement koi est tu m’a quitté comme un chien enragé
j’en peux plus le coup etait tres dur pour moi car je l’aime tant


faite attention a vous marié qui la connai merci desole desole desole tonnere
Lun 24 Oct 2011, 14:27 par ludovic sur Amour internet

L'amour d'un frère

« L’encre est noir, les feuilles sont blanches. Dans la vie tout n’est pas noir, tout n’est pas blanc. Par exemple pour moi les jours sont noirs et les nuits sont blanches. Ma peau est moitié noire et moitié blanche. On pense au meilleur car on ne peut pas oublier le pire. Quand on a vécu dans les ténèbres, on essaye de mourir dans la lumière. On ne vit ni un cauchemar, ni un rêve. On vit, ou on survit, entre les deux en essayant de maintenir l’équilibre.

Je ne suis né ni en enfer, ni au paradis. Juste entre les deux, sur Terre. Je ne suis ni un ange, ni un démon. Juste entre les deux, un Homme. Oui juste un Homme parmi des milliards qui vit entre le bien et le mal, qui fait le fort alors qu’il est si faible. Je vis dans ce monde si beau et à la fois si méprisant. Ce monde si petit qui est à la fois si grand, si immense, qu’il est facile de s’y perdre. Ce monde, dans lequel nous sommes à la fois tout et rien. Ce monde de contradictions, où on croit tout contrôler alors que c’est l’argent qui nous contrôle. Mais il faut s’adapter, sauver les apparences pour les gens qui nous aiment, pour ne pas les décevoir. Malheureusement toutes les personnes n’y arrivent pas et ces gens là sont pointés du doigt, souvent critiqués et incompris. Pourtant ces gens qu’on laisse pour compte, parfois abandonnés de tous, ne se sont tout simplement pas adapté à ce monde hypocrite et lâche. 

Je rêvais de marquer l’Histoire, de devenir un grand footballeur ou un artiste reconnu. Je voulais écrire des livres, réaliser des films, marquer un but au Parc des Princes ou peindre un tableau qui finirait au Louvre. Je voulais être considéré comme un génie, finir dans le dictionnaire ou sur Wikipédia, être l’égal d’un Ronaldinho, d’un De Vinci ou d’un Alexandre Dumas. Mais je ne pourrais pas réaliser ces rêves car ma vie va s’arrêter aujourd’hui. Elle va s’arrêter car on ne s’aime plus, je souffre trop et je la dégoutte.

Et toi ma belle Laura, ma grande sœur chérie et adorée, je vais te quitter, te libérer de ce lien si fort qu’est l’amour que tu me portes. Je suis de t’avoir fait autant de mal et de soucis. Tu as été formidable et j’ai tout gâché comme un con. Je suis lâche et je vais t’abandonner.

Adieu , ma princesse et grande sœur adorée.

Je t’aime. »
Ven 21 Oct 2011, 14:08 par Denis sur L'amour en vrac

L'amour moderne

J’ai lu quelque part : le sexe est si facile à obtenir que l’amour est maintenant devenu un fantasme ..
Pour la génération X et les précédentes, cette affirmation est sans nul doute plus choquante que véridique.
Et pourtant, pour la génération Y, c’est normal.
Je fais partie de cette génération qu’on appelle Y. Selon moi, nous ne vivons plus dans une époque où la ’’relation à long terme’’ est prônée .. Et je crois qu’il y a un lien à faire avec le fait que nous ne sommes plus croyants.
De nos jours, le divorce c’est courant et le mariage c’est rare.
Dans le temps, les gens devaient se marier par obligation, telle était la volonté de Dieu. Et le divorce ? N’y pensez même pas !
La vie de ces gens était prédéfinie et ne pouvait être autrement. Ils ne se posaient pas de questions, ils suivaient le moule imposé par la religion, tout simplement.
Est ce que les gens étaient plus heureux ?? Non je ne crois pas .
Ils ne pouvaient pas s’affirmer en tant qu’individu parce qu’ils auraient été chassé de l’église, et ça dans ce temps là, c’était pire que mourir !
Nous vivons simplement dans une nouvelle ère où l’affirmation de soi est en pleine ascension.
Ce que j’entends entre autre par ‘’affirmation de soi’’ ; le droit de choisir avec qui on a envie de partager des moments intimes.
Soit dit en passant, n’oubliez pas que l’être humain est un mammifère. Vous en connaissez beaucoup des mammifères qui passent toute leur vie avec le même animal? Non. Je crois que l’être humain a besoin de relations charnelles, même si ces relations ne s’accompagnent pas d’amour.
Il est vrai que c’est beaucoup plus facile de passer à autre chose maintenant, parce qu’il n’y a presque plus rien qui nous attache obligatoirement à un individu quelconque. La religion ne nous l’impose plus. Ainsi, si ça ne fonctionne pas avec quelqu’un, il est beaucoup plus facile de laisser tomber plutôt que de travailler pour faire fonctionner une relation, ou tout simplement endurer quelqu’un qu’on aime pas parce qu’on a pas le choix.
À l’époque, passer sa vie avec la même personne n’était pas le désir de l’être humain, mais plutôt celui de Dieu, un être suprême qui ne sait même pas c’est quoi être en manque de sexe. Et on devrait baser notre vie sur ses convictions? Heu, non je passe mon tour.
Il est vrai que notre génération a peur de l’engagement. C’est peut être dû au fait qu’on a vu nos parents se divorcer, se battre pour une pension alimentaire, se chicaner pour la garde des enfants. Nous avons peur que ça ne fonctionne pas et de nous retrouver avec rien, à l’exception d’un cœur brisé.
C’est une roue qui tourne .
Ayant peur de l’engagement, les gars deviennent des ‘’players’’ et les filles deviennent des ‘’saloppes’’ .
Et cette bande de joyeux lurons se tiennent loin des émotions puisqu’ils ne veulent pas tomber amoureux, au risque de s’engager .
Ceux qui s’engagent sont comme des prisonniers, parce qu’aujourd’hui, il est possible d’avoir couché avec 30 personnes sans être marié ! Et ce n’est plus un crime, c’est NORMAL . Lorsque tu es engagé, tu dois te contenter d’une seule personne, alors que si tu étais célibataire, SKY IS THE LIMIT, comme on dit .
À l’époque, on n’y pensait même pas. Tu devais être vierge au mariage et avoir des relations intimes avec la même personne toute ta vie. C’est pour ça que la relation de couple n’était pas perçue comme une prison mais plutôt comme un idéal de vie, parce que Dieu le voulait.
De plus, la femme devait être une bonne épouse et ne jamais chialer. Son mari pouvait sortir à la Taverne, se saouler la face et rentrer tard alors que la femme devait veiller sur les enfants. Ce n’est plus comme ça aujourd’hui puisque nous faisons face à une nouvelle réalité : l’égalité des sexes.
Mis à part tout ça, il est vrai que notre génération Y fait face à un problème plus grave : L’IMAGE.
Le nouveau but des gens dans la vie c’est de PARAÎTRE et non d’être .
Il faut bien paraître, avoir une belle voiture, être le plus ‘’Douchbag’’ du club ou la plus ‘’Chixx’’ de la gang, avoir les plus gros seins possible, avoir le plus d’amis sur Facebook.
Avant c’était d’avoir une maison, une belle terre cultivable et des enfants .. Maintenant c’est d’être un Douchbag en chef et d’avoir couché avec plus de filles que ton meilleur ami.
C’est un problème qui n’en est pas un parce que je crois qu’éventuellement, ces gens seront blasés de simplement PARAÎTRE et arriveront à une étape de leur vie ou ils voudront savoir qui ils sont vraiment, à l’exception du ‘’Average Guy’’ qui voulait être comme tout le monde et être cool.
En gros, la génération Y se placera plus tard que les générations précédentes, mais elle finira par le faire. Éventuellement, cette génération ouvrira son cœur plutôt que son corps ..
C’est ce que je pense de l’amour moderne.
Mer 03 Août 2011, 04:21 par Eveb1234 sur Articles

Je suis un voleur

C’est pourtant vrai, longtemps j’ai accroché l’addiction au prix, l’addiction à la mendicité. Mon corps était de ceux qui n’ont pas besoin d’être aimés pour pouvoir faire vendre. Un prix inacceptable, inavouable et tellement impensable.

Les lettres et les mots s’additionnent aux chiffres et n’en peuvent plus de grimper à une allure folle, n’en demandent pas plus et en veulent beaucoup moins. Lacéré, écorché vif, c’est inscrit, c’est marqué au fer rouge, il est indiqué qu’il n’en veut pas plus car il n’en ressent ni le besoin ni même l’envie.

Il a besoin de raconter à travers des brûlures, des écorchures, des blessures et des cicatrices qu’à son jeune âge ce pauvre corps en vie est complétement à la masse. Des choses que certains n’auront jamais vues ou qu’ils n’auraient jamais pu voir. Trop intense pour les uns, trop perturbant pour d’autres. Mais il n’en reste pas moins un corps, un corps caricaturé et ligaturé dans sa propre description. Il n’en a jamais demandé autant...
Il ne pourra jamais vous mentir car vous devinerez avec tous ces indices qu’il ment comme un arracheur de dent. Aucune peine, aucun regret ni même remord, pas de faux semblant il est brut de décoffrage ce corps en vie. Brut de décoffrage, courage...

Maltraitance et incohérence se mêlent pour laisser place à l’incompréhension .


Mais désormais je ne suis plus à vendre, j’ai plusieurs choses à te dire avant que tu t’en ailles, avant que je prenne l’artichaut qui te sert de coeur. Désolé... Je ne le suis plus, j’ai pas besoin de romancer et de te conter un roman à l’eau de rose, je préfère te le faire bouffer. Pardonne moi de te faire vomir mais tu en sais déjà trop.

Alors tends-moi la main, mais je ne te garantis pas qu’elle n’y passera pas. Il a besoin de se reconstruire petit à petit. Besoin de nouveaux bras pour étreindre, besoin de nouvelles mains pour donner des coups, besoin de nouvelles jambes pour courir vers toi, besoin d’une nouvelle tête pour penser correctement, besoin d’un nouveau buste pour pouvoir se tenir droit, besoin de tellement d’organes pour que tout se réorganise dans l’ordre cette fois, la tête avant le coeur et le souffle avant la respiration. Pour tout ça , il doit mendier et voler, beaucoup d’entre vous seront peinés et certainement enragés mais ce corps à l’abandon a besoin des vôtres pour pouvoir faire bonne figure et n’aura aucun regret à pratiquer violemment le trafic d’organe.
Mar 02 Mars 2010, 15:25 par Playdead sur Mille choses

Nouvelle (1er essai...)

Bonjour à tous et à toutes, voici le premier récit que je poste, je ne sais pas s’il a sa place ici mais pour ceux qui prendront le temps de le lire, j’espère avoir quelques commentaires positifs ou négatifs avant de mettre éventuellement la suite.
Merci d’avance et bonne lecture

Le pêché original: vendredi 6 novembre 2009

Le vieux port de Dunkerque ressemblait toujours à une zone sinistrée quand arrivait le mois de novembre.
Quand la brume le recouvrant le rendait si triste et déprimant.
Il n’y avait qu’en été qu’on pouvait en se forçant un peu, imaginer un beau paysage estival, quand les cafés sortaient leurs tables en terrasses et les ménagères leurs trois géraniums sur les balcons.
Non, Dunkerque n’avait rien de la Côte d’Azur… même sa mer n’était plus bleue.
S’il y avait des touristes, ils venaient en automne pour les fêtes traditionnelles… et encore.
Maxence était né là, dans cette petite bourgade à côté de la ville. Malo les bains. Malo pour ceux qui y vivent. Sans doute le quartier de Dunkerque le plus…, le moins… bref. Malo les Bains.
Tous les matins, il enfourchait son vélo pour aller étudier au lycée, le samedi, il rangeait les rayons liquides du supermarché près de chez lui et trois fois par semaine, il allait s’entraîner au foot dans le club du village.

Si vous demandiez à un habitant du village comment il qualifierait Maxence Galbert, un seul adjectif lui viendrait à l’esprit : seul.
Maxence n’avait ni frère ni sœurs, discutait et déconnait avec les autres à l’école sans vraiment s’en faire des amis et on ne l’avait vu qu’une ou deux fois en compagnie d’une demoiselle.
Pourtant, tout en lui imposait sa présence de sorte qu’il ne passait jamais inaperçu.
Une carrure de sportif, une voix rauque modelée par la cigarette, et de beaux yeux bleus. Si profonds. Et pourtant tellement vides.
Tout le monde au village de Malo, vous dirait que Maxence était un garçon simple et sans histoire, et même que ses parents avaient de quoi être fiers, que c’était sûr, il deviendrait quelqu’un ce petit gars.
Le petit gars aimait étudier, il aimait le vélo et le football et s’accommodait de sa vie.
Comment dit on déjà dans les histoires ? Vous savez… une fois que l’auteur a situé le cadre, présenté son premier personnage, l’intrigue arrive. Comment fait-on la transition ? « Jusqu’au jour ou »…, mais était ce bien un jour précis ? « Quand tout à coup » non. Il faut se souvenir du contexte. Rien n’a de sens sans lui. Bon aller, transitionnons, va pour le « Et un jour ».

Un jour son entraineur lui téléphona.
-Je suis Maxence, je ne peux pas te laisser en équipe deux si tu n’es même pas présent aux matchs de la saison.
-Mais coach, je viens tous les lundis et mercredis…
-Je sais que tu suis les entraînements, mais je sais aussi que tu ne peux pas laisser tomber ton job au magasin… qu’est ce que tu veux que je te dise, Max ça me fait chier moi aussi… mais l’équipe 3 est bonne cette année…, et comme ça tu pourras au moins jouer les dimanches…
Maxence raccrocha sans insister.
Il entendait en bas sa mère pleurer, sans doute à cause de son abruti de père, il y avait cette interro à préparer pour le lendemain et il venait d’être rétrograder au foot.
C’était une mauvaise journée.


Très souvent les joueurs qui avaient été admis en équipe 2 avaient une véritable chance de jouer en équipe 1 un jour dans leur vie.
C’était ce à quoi pensait Maxence en contemplant depuis les gradins l’équipe 3 s’entraîner sur la pelouse.
Les joueurs de l’équipe 3 étaient soit trop nuls et stagnaient à ce niveau, soit plutôt doués mais n’en avait strictement rien à foutre.
Emmanuel faisait parti de cette dernière catégorie.
Trop occupé qu’il était par le conservatoire de musique et ses cours, il aimait venir jouer pour se détendre et avouons le, parce qu’il ne vous le dira pas, pour se muscler un peu.
Il descendait les marches des tribunes, en retard comme à son habitude pour l’entraînement quand Maxence se leva pour rentrer et sans vraiment regarder ou il allait, manqua de le bousculer au passage.
-Désolé, bougonna t’il en continuant son chemin.
Mais l’autre répondit dans un petit rire moqueur :
-Faut ouvrir les yeux !
Alors il les leva, se retourna pour regarder le type et le détailla un instant.
Il n’était pas bien grand, pas bien costaud non plus.
Ses cheveux noirs étaient en bataille et supportaient un énorme casque de mp3.
Il portait un long manteau fourré noir au-dessus d’un jogging bleu marine et un sac en bandoulière vert au lieu du grand sac de sport traditionnel.
Voilà, c’est comme ça qu’il le vit.
La première fois.
-Tu veux t’inscrire dans l’équipe ? demanda l’inconnu.
Maxence pensa que ce petit merdeux se la jouait un peu trop, mais ce n’était pas dans ses habitudes, - du moins il essayait – de s’énerver contre quelqu’un.
Il chercha alors simplement à le remettre à sa place
-Ouais, lança t’il, j’étais en équipe 2 avant.
Mais voilà que l’autre prit un air compatissant.
-Recalé ?
-Non… j’étais pas libre pour les matchs c’est tout… je dois voir Monsieur… Shesko.
-Ouais, c’est not’ coach, il est là en bas.
Emmanuel regarda sa montre, il était plus en retard qu’il ne le croyait.
-L’entraînement se termine dans 20 min, t’ as qu’à l’attendre.
-Non, j’allais rentrer et puis ça presse pas… merci.
-… Salut.
Quand Maxence fut de retour chez lui, il s’allongea en essayant de penser à autre chose qu’à l’interro qu’il avait raté le matin, autre chose qu’au visage de sa mère qui n’avait même pas oser le regarder quand il était entré et autre chose qu’à l’équipe de foot dans lequel il était obligé de jouer…
-Recalé ?
Ouais c’est ça ouais…
Ses journées se ressemblaient toutes et celles ou il ne passait rien étaient toujours meilleures que les autres.
Parce qu’il était très rare que quelque chose de bien ne lui arrive.
Il chercha à occuper son esprit et repensa à ce type au walkman qu’il avait croisé, il ne se souvenait pas de l’avoir déjà vu au lycée ni même de le connaître d’ailleurs
De toute façon, il ne connaissait pas grand monde.

Dans le même village, approximativement au même moment, le garçon au walkman était lui aussi allongé sur son lit et regardait la rediffusion du film M. Le Maudit.
Comme il le connaissait par cœur, son esprit se perdit à repenser à ce type croisé dans les gradins.
S’il jouait en équipe 2 alors c’était normal qu’il ne lui disait rien.
Il avait l’air spécial, pas très causant en tout cas.
Un gars de la campagne avait-il pensé, comme il en croisait tous les jours depuis qu’il habitait ce coin perdu.
Il s’était penché jusque sous son lit ou s’amoncelait une pile de paperasse et y avait extirpé le carnet de l’équipe de Dunkerque.
De petites photos en noir et blanc présentaient aux supporters les joueurs de la saison et il trouva effectivement la photo du jeune homme dans les pages de l’équipe 2.
Il s’appelait Maxence Galbert, et ils avaient le même âge.












Le bruit d’une basket qui donne des coups sur le carrelage d’un lycée résonne jusqu’au fond du couloir.
Si Maxence était pourtant de nature assez patiente d’habitude, il s’énervait un peu que son professeur de français le fasse poireauter ainsi depuis plus d’une demi-heure devant la salle des profs.
Quand enfin celui ci en sortit, transpirant et exténué, Maxence se recomposa un visage de circonstance.
-Ah! Monsieur Galbert, excusez-moi de vous avoir fait attendre… les réunions de rentrée sont toujours longues…
-Aucun problème
Le prof agita sa mallette pour en sortir une feuille aussi soigneusement pliée que lorsque Maxence le lui avait remise.
-Alors j’ai lu votre lettre de motivation pour intégrer l’école en tant qu’intervenant stagiaire pour le mois de juin et si vous voulez, je peux la transmettre moi-même à la directrice…
-Ce serait super.
-Elle est très bien seulement, vous devriez peut-être insister sur le fait que vous souhaiter présenter l’IUFM après votre diplôme, comme ça…
-Oui, d’accord…
-Je dois vous prévenir que compte tenu de votre âge vous aurez sûrement en charge les petites sections… en tout cas pour cette année.
Maxence sourit même si d’avoir en charge des touts petits ne l’enchantait guère.
-Aucun problème.
Maxence n’avait jamais de problème.
-Bien monsieur Galbert, je … oh là là déjà 18h30, le vendredi c’est la folie pour les métros, je dois vous laisser…
Maxence ouvrit des yeux ronds :
-On est vendredi ?
-Jusqu’à demain oui
-Oh… mes horaires ont changé, je… je suis en retard pour l’entraînement …
Maxence s’élança dans les escaliers, il entendait encore la voix de son professeur résonner dans les étages :
-En tout cas continuer comme ça monsieur Galbert, vous faites du bon travail…


Si Maxence était arrivé essoufflé dans les vestiaires du stade et se dépêchait de se changer pour rejoindre les autres sur le terrain, le joueur qui venait d’entrer en laissant tomber son sac dans un casier n’avait pas l’air aussi pressé.
Maxence reconnu le gars au walkman… à son casque de walkman.
-Tiens salut, fit ce dernier, le reconnaissant à son tour.
-Salut…
Les deux jeunes hommes se fixaient, un peu gêné que l’autre ne dise rien dans ce moment de contemplation muette et ridicule.
Emmanuel coupa court rapidement au silence en posant la question à laquelle il connaissait déjà la réponse.
-C’est comment ton nom déjà ?
-Maxence.
-Ravi de te connaître Maxence, moi c’est Emmanuel, mais on m’appelle Manu.
-… moi… on m’appelle Max.
C’était vrai, peu de gens l’appelaient mais quand ils l’appelaient, ils l’appelaient Max.
Emmanuel sourit en retroussant son sweat-shirt :
-Et ben, on est en retard Max.

Une fois l’entraînement terminé et une fois que Maxence avait largement prouvé ses compétences à sa nouvelle équipe, les joueurs retournèrent au vestiaire.
Maxence y trouva une ambiance bon enfant, bien différente de la fierté et du sérieux de l’équipe 2.
-Dis donc le nouveau, je sais pas si t’as ta place dans c’t’équipe… t’es balaise !
En règle générale, Maxence parlait peu, répondant au minimum pour la politesse mais ne se laissait pas faire… loin de là.
Il dévisagea le garçon qui se tenait tout nu devant lui.
Plutôt petit par rapport à lui mais assez grassouillet, il se rendit compte que ce petit caïd ne cherchait pas à le provoquer mais plutôt à l’accueillir de façon maladroite.
Comme tout un chacun dans le vestiaire le scrutait en s’habillant, il ne voulut pas non plus se faire remarquer.
En regardant autour de lui, il vit Emmanuel sortir son visage de dessous de son pull.
Comme les autres il le regardait, comme les autres il attendait une réponse.
Ah, oui une réponse…
- Ouais, je joue depuis longtemps, j’étais en équipe 2 mais je suis redescendu.
- Et bien bienvenue en tout cas… tu verras, on est peut-être pas des flèches mais nos troisièmes mi-temps, au moins elles valent le coup.
Fou rire de l’assistance, Maxence se surprit à sourire.
Il se retourna et entreprit de se rhabiller tandis qu’Emmanuel de l’autre coté, continuait de le regarder.

Un quart d’heure plus tard, alors que tous étaient déjà repartis, Emmanuel était toujours assis sur un banc du stade en face de l’entrée.
Il avait vu Maxence entré dans le bureau du coach probablement pour signer sa nouvelle licence.
Et il n’était pas rentré chez lui tout de suite.
Pourquoi il l’attendait là dans le froid, il ne le savait pas
Il l’avait observé tout au long de l’entraînement, son jeu était parfait, cette rapidité et cette concentration sur le ballon l’avait impressionné.
Mais ce qui l’avait le plus troublé était probablement lorsqu’il avait enlevé son maillot dans les vestiaires, là au milieu de tous les autres.
Des joueurs à poils, il en avait déjà vu à la pelle… mais jamais il n’avait eu cette sensation là.
Au point de ne plus pouvoir décrocher son regard de ce mec.
Il avait secoué la tête pour recouvrer ses esprits et était sortit en trombe.
Pourquoi il l’attendait… non vraiment il ne le savait pas.
Est-ce qu’il l’attendait en fait ?
Etant donné qu’il scrutait la porte du bâtiment… il se pourrait que oui.
Il sentit son cœur bondir quand celle ci s’ouvrit laissant échapper un halo de lumière que le grand corps de Maxence recouvrait d’une zone d’ombre.
Il le sentit tressauter dans sa poitrine quand celui ci se mit à avancer dans sa direction.
Emmanuel cracha par terre comme pour se vider de tout ce qui se passait en lui et quand Maxence fut à 2 mètres de lui, il engagea le premier la conversation pour se donner une contenance.
-Je croyais que tu ne t’étais pas fait recaler…
Maxence fut surpris une seconde puis finit par sourire… il ne pensait pas qu’il s’en souviendrait.
-C’est pas le cas, mais je pensais qu’il valait mieux leur faire croire…, je voulais pas être mal vu…
Emmanuel ria
-T’inquiètes, je suis une vraie tombe… et puis c’est un petit mensonge.
Le silence s’installait, mais aucun ne se décidait à partir.
-Qu’est ce que tu fais encore là, t’attends ta copine ?
-Ouais… mentit Emmanuel, mais je crois qu’elle m’a posé un lapin.
-Dommage pour toi. répondit Maxence.
-Tu rentres à pieds ?
-Ouais, mon vélo est à plat.
-Je te ramène si tu veux, je suis en voiture.
-… Ok.
Ven 06 Nov 2009, 15:32 par marina sur Histoires d'amour

Elle , tout simplement elle.

Ma vie n’avait plus de sens , plus cette envie de parcourir ce monde noir a mes yeux.

J’ai toujours forgé ma vie sur ma raisons et non sur mes sentiments.

Pourtant aujourd’hui ma raison fébli sous ton sourire , sur tes
mimiques.

Pourquoi cette sensation horrible qui se propage dans mon corp des que je te voit dans les bras d’un autre ...

Je t’ai embrassé la premiére fois dans les toilletes de mon voisin pour sois disant un trip.

Désolé mais je ne l’ai pas vu comme cela.

Aujourd’hui nous passons la plupart du temp ensemble mais jamais vraiment comme je le voudrait.

Devrais-je completement t’oublié pour enfin accépté de ne pas te
sérré dans mes bras.

Mon coeur me dit de tout t’avoué alors que ma raisons de tout oublié et la question primaire aujourd’hui est tout simplement qui dois-je écouté ...
Mar 11 Nov 2008, 19:06 par PiL-Z sur La déclaration d'amour

Départ amer

je pensais que tu aurais eu au moins la franchisse de me le dire au lieu de me laisser passer pour un pauvre imbécile! Tout se découvre un jour dans la vie, si tu ne voulais plus de moi tu aurais dû au moins essayer de te justifier. Franchement je ne sais pas ce que je vais faire ou plutôt si! ce que je ne sais pas, c’est quand je le ferais, je voudrais
laisser toutes les choses en ordre avant de partir pour être tranquille j’avais un doute de voir la façon dont tu te comportais maintenant j’ai la certitude que tu m’as menti.
tu ne m’aimes plus, tu ne me respectes plus (ca ce n’est pas nouveau) je pensais, je croyais, que tu te serais arrange que tu m’aimais encore je vois qu’il n’en est rien depuis le début tu avais l’intention de partir, .je pense que pour la nouvelle rentrée tu prendras notre fils a Montpellier ou ailleurs pour moi ca n’aura plus aucune importance, je commence seulement m’imaginer que si tu es revenue avec moi c’est parce que l’autre ne t’a plus voulue mais tu avais bien ton idée en tête !et moi je t’aimais et je t’aime toujours !je sais que tu as revu des mecs je ne sais pas ce que tu as fait avec. tu cherches toujours à être revalorisée? Si tu me demandes des preuves je t’en fournirai
hier encore quand je t’ai dit que Bernard avait appelé tu t’es trahie, il s’appelle Bernard?
il est riche? Beau? Il t’aimera autant que moi? pour les deux premières questions peut-être pour la troisième je ne crois pas. Lorsque le jour de mon départ arrivera ne me dénigre pas trop auprès des gens et surtout auprès des enfants. Tu vois qu’après la discussion qu’on a eue il n’y a pas d’autre issue possible ce qui me surprend le plus et qui me désole surtout c’est que tu nies l’évidence même je peux tout pardonner mais ce que je ne pourrais jamais faire c’est de te voir loin de moi.les conneries que j’ai pu faire
tu sais très bien que je ne sais pas dire non j’essaye pourtant mais je n’y arrive que très rarement, quant a la maison que tu me crois ou pas, c’est la vérité. il est passe un temps ou je nous y voyais tous les cinq vivant en harmonie, après le fiasco que je venais de vivre c’était ce que je voulais le plus au monde quand on a parle avec ton frère ca devait se faire, sans problème c’est vrai que a ce moment on venait de lui donner de l’argent sans rien demander, chose logique entre une sœur et son frère, surtout que peu avant c’est lui qui nous avait aide mais voila ca n’a pas été comme je voulais et comme je ne parle pas beaucoup " équivoque «tu m’as posé la question si je voulais finir la maison ?oui je veux bien la finir et la finir pour le mois d’aout mais si c’est pour me retrouver tout seul je ne m’en sens pas le courage. Ce n’est pas le fait de me retrouver tout seul qui m’effraie c’est le fait de vivre sans toi, a quoi bon revenir la dessus je demande a dieu de me pardonner de m’accompagner et surtout de me donner la force d’aller jusqu’au bout de ne pas trop penser !!!
à toi, aux enfants a la vie !!!
Lun 16 Juil 2007, 22:01 par pierre de la carolina sur L'amour en vrac

Lettre pour l' être aimé

Correspondance bien réelle pour ma chère dulcinée
A qui, j’ affirme que notre Amour tant partagé
Ne laisse aucune place à quelque ambiquité;
Car mes contacts se limitent juste au clavier
Avec les visiteuses qui ont, mes écrits, aimé.
Qu’ il me soit pardonné de t’ avoir fait douté!
Et si, de faux espoirs, j ’ ai pu, à elles, donné;
J’ en suis sincèrement et franchement .
Mon coeur est intégralement et purement comblé
Par toi, minha querida, ma chérie, ma tendre moitiée;
Quiconque autre me lit ne peut avoir que mon amitié !
Par ces mots, que ton esprit soit pour toujours rassuré .
Sam 29 Avril 2006, 20:55 par Christi'ange sur L'amour en vrac

Une chanson triste.

Entre tous il y avait ce petit garçon qui l’attendait. Avec son bout de papier. Avec ses yeux perdus. Avec ses yeux déterminés, aussi. Il oublia un instant les appels des admiratrices aux visages marqués de liesse désespérée, celles qui hurlaient son nom dans la supplique et il avança vers le petit bout d’homme.

Le gamin devait avoir une dizaine d’années. Son visage encore rondelet prenait les traits de l’adolescence, mais son regard était déjà celui d’un homme. Campé dans ses tennis, il résistait à la houle pressante des admirateurs massée autour de lui. Il le regardait, droit dans les yeux, il le regardait plus comme quelqu’un qu’on attend que comme quelqu’un qu’on espère.

Il s’arrêta devant lui. Le gamin fouilla dans la poche arrière de son pantalon et sortit une photo. Sans le quitter des yeux une seule seconde. Et il tendit la photo au chanteur.

« C’est ta sœur ? Vous avez les mêmes yeux… »
Le gamin opina.
« Et elle n’a pas pu venir au concert ? » poursuivit le chanteur.
Le gamin opina de rechef.

Le chanteur sortit son stylo, et alors qu’il s’apprêtait à faire son autographe, il suspendit son geste. Il ne savait pas où écrire sur cette photo, quelque chose l’empêchait de raturer le visage de cette admiratrice. Il arrêta la contemplation de ce visage inconnu et replongea ses yeux dans ceux du garçon.

« Ecrivez au dos … » suggéra l’enfant comme s’il avait compris le doute du chanteur.
« Pas bête. Et… tu veux que j’écrive quelque chose de spécial pour elle ? » enchaîna-t-il tout en retournant la photo.
« Oui. »
« Vas y, dis moi »
« Vous allez écrire : pardon de t’avoir fait pleurer. »
Le chanteur resta un instant dans les yeux du gamin, puis s’exécuta docilement. Il signa avec attention cet étrange petit mot et relut une dernière fois l’ensemble. Il retourna la photo et contempla à nouveau le visage.

« Si elle vous plaît tant, pourquoi vous la faites pleurer ? », demanda le petit garçon en reprenant des mains du chanteur la photo de sa sœur.
« Elle pleure sur mes chansons, c’est ça ? », demanda le chanteur.
« Oui, tout le temps et elle dit qu’elle vous aime, que vous êtes beau. »
« Et toi, tu ne m’aimes pas trop, on dirait, hein ? »
« Non. Vous n’êtes pas beau et vous êtes triste. Je ne vous aime pas. Je vous déteste», cria le gamin dans un sanglot.

Devant la force de cet enfant, le chanteur se trouva désarmé. Le gamin avait raison, ce qu’il chantait, c’était très bien pour bouleverser les âmes, mais ça ne pouvait pas tromper un enfant. Combien comme ce gamin avaient une sœur qui l’adorait parce qu’il les rendait triste. Combien ? Un frisson de tristesse le parcourut. Il s’accroupit pour se mettre à la hauteur des yeux du petit garçon sanglotant. De sa main, il lui souleva le menton et il essuya tendrement les petits ruisseaux de larmes sur les joues innocentes.

« Ecoute, tu diras à ta sœur que je suis sincèrement de lui faire de la peine avec mes textes. Tu lui diras aussi que pour elle j’écrirai une chanson. Cette chanson ça sera comme un médicament pour sa peine. Et ce sera un médicament pour toutes celles à qui j’ai fait de la peine. Ca ne sera pas triste, ca ne sera plus jamais triste »

« C’est vrai, vous allez faire ça ? », demanda le gamin aux yeux mouillés.

« Oui, je commence ce soir, je te le jure »

Le gamin regarda la photo, puis la remit précieusement dans la poche arrière de son pantalon. Il regarda le chanteur dans le fond des yeux, cherchant à comprendre qu’est ce qui pouvait bien y avoir dans ces yeux là.

« Alors, peut être que si vous faites ça, je vous trouverai beau. »

Il pivota sur ses talons et s’en alla dans la foule.
Sam 25 Mars 2006, 14:09 par PetitPrince sur Un monde parfait

Zazou et Lui

Un jour de neige voici déjà deux ans, je surfais pour la première fois sur Internet, découvrant toute la magie de ce fabuleux outil de... recherche dans un premier temps...
On se promet tous en prenant un fournisseur d’accès, de n’utiliser le Web qu’à bon escient, culturel il va de soi.
Et puis, un jour, en créant une adresse email, un petit mot s’affiche sur la page : "quizz" ..
Curieuse invétérée, je suis donc les informations données pour arriver sur un salon de quizz, où je fus accueillie de mille kisssssssss et bisouuus ... En bonne newbie que j’étais, j’ai mis un certain temps avant de comprendre les arcanes des salons de quizz_tchat...
Et quel bonheur chaque soir en rentrant du travail, de se connecter pour retrouver tous ces gens cultivés, de jouer avec eux..
Et puis, inévitablement, on finit par ressentir des affinités un peu plus poussées avec certains. On passe des heures à se raconter nos vies, à rire, à se séduire aussi, à se raisonner lorsqu’il faut se quitter.
Et moi, si sceptique auparavant lorsque les médias relataient les histoires d’amour Internet, moi qui étais persuadée qu’il était impossible de tomber amoureux de quelqu’un sans le voir, le toucher, l’entendre.. Moi surtout, qui me refusais à l’amour pour rester aussi libre que le vent ..
Tout de suite, j’ai eu envie de passer énormément de temps avec lui, de plus en plus de temps, au point de rogner sur le sommeil, les amis "réels", les sorties ..
Le premier "tu me manques" m’a bouleversée, lui aussi ..
Il est si difficile d’avouer et de s’avouer que oui, on est bel et bien amoureux, intensément... c’est difficile et ça effraie aussi... L’amour cérébral est si puissant, plus de barrières (physique, âge).
En prenant conscience de cet amour naissant, nous avons décidé tous les deux de le "zapper" quelques temps, de ne plus s’écrire, nous ne nous sommes pas communiqués nos numéros de téléphone pour ne pas passer du côté du réel, nous avons voulu nous persuader que nous avions simplement créé une habitude, qu’il nous suffisait de nous déconnecter pour nous oublier et ainsi ne jamais nous blesser ..
Alors, nous sommes partis en vacances, tous les deux en même temps.
Et ces semaines de vacances ont été un calvaire, j’avais le coeur gros de lui, il avait perdu le sommeil. Et chaque seconde sans lui me paraissait une éternité.
Quand nous sommes rentrés, nous nous sommes virtuellement jetés l’un sur l’autre, nous jurant de ne jamais retenter l’expérience, de prendre l’amour comme il venait, au jour le jour.
Et puis, les mois ont passé, renforçant nos sentiments, nous imposant des tortures terribles, la jalousie à distance est épouvantable. Nous nous sommes téléphonés enfin, l’entendre est pour moi un pur bonheur.
A la communion des esprits est venue s’ajouter la passion des corps, des désirs physiques comme ni lui ni moi ne croyait cela possible.
Et nous voilà condamnés à se faire un amour virtuel, intense, violent et si doux à la fois.
Nous ne nous sommes toujours pas rencontrés, il est à mille kilomètres de moi, plus jeune aussi. Nous en mourons d’envie, mais nous repoussons toujours l’échéance de peur de briser la magie de cet amour... Et puis, au fil des mois, nous avons osé nous avouer tous nos défauts, puis nous avons quand même échangé nos photos, avec la peur au ventre, peur que l’autre découvrant enfin un visage ne se dise : "j’ai fait une erreur, ". Et puis non, l’amour est toujours là, la douceur et la douleur se mêlent, l’envie, l’angoisse, le manque, la joie de se retrouver, le chagrin de se quitter, le désir qui atteint son paroxysme quelques fois au point de s’évanouir...
J’ai envie de lui, à en mourir, de le respirer, de le sentir, de le toucher, le regarder, de manger boire et dormir avec lui. J’ai mal de tout ça...
C’est peut-être le plus grand paradoxe de la vie, la douceur et le bonheur de l’amour et ses affres aussi.
La rencontre est plus que jamais d’actualité... quand ??
Mar 21 Fév 2006, 23:45 par Luna_Lou sur Amour internet
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Ecrire sur désolé

Ecrire sur désolé La biche et moi (ecrit au masculin re-travaillé), L'amour est-il un crime ? chapitre 7, L'amour est-il un crime ? chapitre 6, L'amour est-il un crime ? chapitre 3, L'amour est-il un crime ? chapitre 2, La rencontre tchat, L'amour d'un frère, L'amour moderne, Je suis un voleur, Nouvelle (1er essai...), Elle , tout simplement elle., Départ amer, Lettre pour l' être aimé, Une chanson triste., Zazou et Lui,
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La citation d'amour

Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.

La Rochefoucauld.

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