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Auxiliaire d'amour
Auxiliaire d’amour
Ce matin là je me rendais chez une dame âgée pour un remplacement,car je suis auxiliaire de vie et mon métier consiste à apporter mon assistance aux personnes dans les actes de la vie quotidienne.
Donc,me voici devant la porte de sa maison,attendant qu’elle vienne m’ouvrir,et,quelle ne fut pas ma surprise de voir devant moi un charmant jeune homme d’environ vingt cinq ans au regard de braise qui me souriait.
- Bonjour,je suis Sonia Dubois et je remplace ma collègue qui est malade !
- Oui,entrez mademoiselle Dubois,ma mère est au salon,au fond à droite
- Bonjour madame henry,je suis Sonia,comment allez vous ?
- Bonjour mademoiselle je vais aussi bien qu’on le peut à mon âge
- Bien,dîtes moi ce que je peux pour votre service
- Il y a du repassage et ma chambre à faire,Eric,mon petit fils va vous montrer cela et après on prendra le café ensemble histoire de discuter un peu,je suis une incorrigible bavarde me dit elle avec un clin d’oeil.
Eric me conduisit donc à l’étage en me faisant passer devant lui et je sentis son regard sur moi pendant que je montais l’escalier,j’avais l’impression de sentir la chaleur de son corps se propageant au mien ce qui était très troublant.
Il me montra où se trouvait la table à repasser,l’aspirateur et ce que je pourrais avoir besoin pour travailler et me laissa à mes occupations en me disant qu’il se trouverait dans la pièce voisine si j’avais un souci.Je me mis à la tâche et j’entendis de la musique qui venait du bureau d’Eric,cool,moi qui adore travailler en rythme j’étais servie.
Pendant que je faisais les poussières dans la chambre de madame Henry,la chanson " Sugar" des" Maroon 5" passait,et comme j’adore ce morceau,je me mis à fredonner et danser tout en astiquant,et ne vis pas qu’Eric se trouvait sur le pas de la porte et me regardait ;
- Jolie chorégraphie !
- Grillée ! Dis je en rougissant
- Ne soyez pas gênée,vous dansez bien,et promis je ne dirais rien
- Oh ! Merci ma réputation sera sauve,vous êtes trop bon
- ET vous trop charmante
- Bon,j’ai fini alors je vais descendre rejoindre votre grand mère pour le café
- Je descends avec vous,moi aussi je vais faire une pause
Nous descendîmes donc et cette fois il était devant moi ce qui me permit de me donner une contenance,enfin plutôt d’essayer car il y avait quelque chose chez lui qui m’attirait terriblement.
Je proposai mon aide,mais il me dit qu’il se débrouillerait bien tout seul et m’enjoignit de rejoindre sa grand mère au salon.
Celle ci m’accueillit avec un grand sourire en me priant de prendre place à ses côtés et nous bavardâmes en attendant le café qu’Eric ne tarda pas à nous apporter.
Il resta discuter avec nous jusqu’à ce que je prenne congé et proposa de m’accompagner à la porte,où,me prenant par la main,il m’attira dans une pièce isolée qui servait de débarras.
Lisant l’excitation dans mes yeux,Eric s’approcha de moi,et plongeant son regard dans le mien,m’embrassa avec passion,ses lèvres descendirent dans mon cou y déposant des baisers doux et chauds me faisant frissonner de désir,puis déboutonna mon chemisier et le fit glisser sur mes épaules sur lesquelles ses lèvres chaudes laissèrent leur douce brûlure.
Otant mon soutien gorge,il prit mes seins à pleines mains m’arrachant un cri de plaisir et les dévora de sa bouche avide,j’étais chauffée à blanc ce qui me transforma en tigresse.
J’ouvris sa chemise d’un coup sec faisant sauter les boutons pression et la lui enleva révélant son torse imberbe et musclé,ma main se posa sur son entrejambe gonflé faisant des mouvements de va et vient avant de défaire le bouton et d’ouvrir la braguette de son pantalon que je fis glisser sur ses chevilles.
Eric fut surpris mais aussi très excité si bien qu’il se laissa faire quand je le poussai sur une chaise et m’empalai sur son sexe en érection tout en le regardant dans les yeux et le chevauchant comme un étalon sauvage.
Dieu que c’était bon de se laisser aller,de le sentir en moi,de plonger mon regard dans le sien et d’y voir le plaisir le submerger.
Après avoir repris nos esprits nous nous rhabillâmes.
Eric me raccompagna à ma voiture et me dit à la semaine prochaine avec un clin d’oeil,je lui répondis que ce serait avec plaisir un sourire plein de malice aux lèvres.
Ce matin là je me rendais chez une dame âgée pour un remplacement,car je suis auxiliaire de vie et mon métier consiste à apporter mon assistance aux personnes dans les actes de la vie quotidienne.
Donc,me voici devant la porte de sa maison,attendant qu’elle vienne m’ouvrir,et,quelle ne fut pas ma surprise de voir devant moi un charmant jeune homme d’environ vingt cinq ans au regard de braise qui me souriait.
- Bonjour,je suis Sonia Dubois et je remplace ma collègue qui est malade !
- Oui,entrez mademoiselle Dubois,ma mère est au salon,au fond à droite
- Bonjour madame henry,je suis Sonia,comment allez vous ?
- Bonjour mademoiselle je vais aussi bien qu’on le peut à mon âge
- Bien,dîtes moi ce que je peux pour votre service
- Il y a du repassage et ma chambre à faire,Eric,mon petit fils va vous montrer cela et après on prendra le café ensemble histoire de discuter un peu,je suis une incorrigible bavarde me dit elle avec un clin d’oeil.
Eric me conduisit donc à l’étage en me faisant passer devant lui et je sentis son regard sur moi pendant que je montais l’escalier,j’avais l’impression de sentir la chaleur de son corps se propageant au mien ce qui était très troublant.
Il me montra où se trouvait la table à repasser,l’aspirateur et ce que je pourrais avoir besoin pour travailler et me laissa à mes occupations en me disant qu’il se trouverait dans la pièce voisine si j’avais un souci.Je me mis à la tâche et j’entendis de la musique qui venait du bureau d’Eric,cool,moi qui adore travailler en rythme j’étais servie.
Pendant que je faisais les poussières dans la chambre de madame Henry,la chanson " Sugar" des" Maroon 5" passait,et comme j’adore ce morceau,je me mis à fredonner et danser tout en astiquant,et ne vis pas qu’Eric se trouvait sur le pas de la porte et me regardait ;
- Jolie chorégraphie !
- Grillée ! Dis je en rougissant
- Ne soyez pas gênée,vous dansez bien,et promis je ne dirais rien
- Oh ! Merci ma réputation sera sauve,vous êtes trop bon
- ET vous trop charmante
- Bon,j’ai fini alors je vais descendre rejoindre votre grand mère pour le café
- Je descends avec vous,moi aussi je vais faire une pause
Nous descendîmes donc et cette fois il était devant moi ce qui me permit de me donner une contenance,enfin plutôt d’essayer car il y avait quelque chose chez lui qui m’attirait terriblement.
Je proposai mon aide,mais il me dit qu’il se débrouillerait bien tout seul et m’enjoignit de rejoindre sa grand mère au salon.
Celle ci m’accueillit avec un grand sourire en me priant de prendre place à ses côtés et nous bavardâmes en attendant le café qu’Eric ne tarda pas à nous apporter.
Il resta discuter avec nous jusqu’à ce que je prenne congé et proposa de m’accompagner à la porte,où,me prenant par la main,il m’attira dans une pièce isolée qui servait de débarras.
Lisant l’excitation dans mes yeux,Eric s’approcha de moi,et plongeant son regard dans le mien,m’embrassa avec passion,ses lèvres descendirent dans mon cou y déposant des baisers doux et chauds me faisant frissonner de désir,puis déboutonna mon chemisier et le fit glisser sur mes épaules sur lesquelles ses lèvres chaudes laissèrent leur douce brûlure.
Otant mon soutien gorge,il prit mes seins à pleines mains m’arrachant un cri de plaisir et les dévora de sa bouche avide,j’étais chauffée à blanc ce qui me transforma en tigresse.
J’ouvris sa chemise d’un coup sec faisant sauter les boutons pression et la lui enleva révélant son torse imberbe et musclé,ma main se posa sur son entrejambe gonflé faisant des mouvements de va et vient avant de défaire le bouton et d’ouvrir la braguette de son pantalon que je fis glisser sur ses chevilles.
Eric fut surpris mais aussi très excité si bien qu’il se laissa faire quand je le poussai sur une chaise et m’empalai sur son sexe en érection tout en le regardant dans les yeux et le chevauchant comme un étalon sauvage.
Dieu que c’était bon de se laisser aller,de le sentir en moi,de plonger mon regard dans le sien et d’y voir le plaisir le submerger.
Après avoir repris nos esprits nous nous rhabillâmes.
Eric me raccompagna à ma voiture et me dit à la semaine prochaine avec un clin d’oeil,je lui répondis que ce serait avec plaisir un sourire plein de malice aux lèvres.
Mar 05 Juil 2016, 21:23 par
Bridget sur Les liaisons sulfureuses
Un souvenir (duo caressedesyeux/jean)
Je ne suis qu’une image,
D’une ancienne carte postale
De ces années d’un passé lointain.
Que tu as retrouvé dans un carton,
Au fond de ton grenier.
Je date de l’époque des années folles
Où les beaux marins,
Naviguaient sur leurs bateaux,
Et me dévoraient des yeux. (caressedesyeux)
Jadis, j’étais si belle.
Rappelle-toi de moi,
Quand tu venais me voir
Toi beau matelot brun,
Danser au cabaret.
Mais ce temps est passé
Et tu m’as oubliée
Je vais pouvoir m’en aller,
Et retourner au fond
De mon grenier.
J’ai gardé en moi ton image
Ce souvenir encore sauvage
Toutes ces farandoles de baisers
Je n’étais qu’homme à tes pieds
Même si j’avais épousé la mer
Beau matelot déjà trop fier
A tes pas je n’étais plus moi
Juste un homme tombé dans tes bras. ( jean)
A la décadence d’une danse
Je te revois encore en transe
Dans une bouteille de rhum loin de France
L’homme regrette cette romance
Juste cette nuit m’a suffit
Pour garder le sucre de ce fruit
Toute une vie à en mépriser l’ennui
De ne pas être l’homme au chaud dans ton lit .
Sam 04 Oct 2014, 20:59 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Notre amour est t-il un crime ?
Bon eh bien bonjour à tous :) me voici avec une longue histoire sur Zane et Giulia, deux jeunes femmes que j’admire énormément.
Chapitre 1 - Révélation et demande
Point de vue narrateur.
Le soir … Le voilà tombé sur la capitale italienne, par ce soir d’hiver, un soir décembre, nous nous retrouvons devant un lycée qui à cet heure si tardive fut encore ouvert. Ce soir cet établisement était en fête, il y avait le bal de noël, et pour cette occasion tout le monde y avait était convier parents et professeurs.
Non loin du gymnase là ou se déroule la fête, cacher derrière un mur à l’abrit des regards, deux jeunes femmes s’échangent leur amour avec bonheur. Zane une jeune brune aux cheveux mi-long se trouve contre le mur tenant sa petite amie par la taille, et cette dernière qui répond au nom de Giulia qui a une chevelure chocolat et de jolie yeux azur, a ses bras allongés sur les épaules de la jeune brune.
Ses deux jeunes demoiselles partagent leur vies depuis deux ans maintenant. Leurs cœur se sont uni un soir de printemps, lors de l’anniversaire de Giulia qui ce jour là avait reçu le plus beau des cadeaux.
Cette dernière, s’approche de sa douce et approfondit leur baiser, bougeant légèrement sa tête pour ainsi mieux savourer ce moment de tendresse. Zane elle ne cesser de la serrer contre elle, mêlant sa langue à la sienne pour ainsi rendre ce baiser encore doux et brûlent.
En manque d’air, elles se détachent, et leurs yeux se noient l’un dans l’autre. Giulia caresse son front avec le sien, et lui sourit tendrement. La jolie brune emmène sa main à sa joue et lui éffleur doucement, jouant avec son nez. Le vent souffle et fait virevolter leur cheveux, leurs robes qui son toutes les deux noire se plisse avec le vent.
Elles n’avaient pas besoin de parler, chacune d’elles se comprend par un simple regard. Giulia pose sa main gauche sur celle de sa femme et emmêle ses doigts avec les siens. Laissant son cœur se marié au sien.
Giulia – je t’aime ma chérie.
Zane – moi aussi, et plus que tout !
Giulia – Zane …
Zane – chuut …
La jeune brune descend sa main et pose son doigt sur les lèvres de son amour qu’elle caresse doucement, Giulia lui sourit, et vint lover sa tête au creux de son cou côté gauche, et descend ses mains à son dos, lui offrant de douce caresses. Zane se met à sourire, elle commence un geste doux et régulier sur le dos de sa bien aimée, et monte sa main droite à sa chevelure caramel, ou elle prit soin de lui masser tendrement lui déposant un baiser sur sa tempe.
Zane – dis moi … Qu’aimerais tu que l’ont face durant les vacances ?
Giulia – tu sais … L’endroit m’importe peut tant que je suis avec toi.
La jolie brune se met à sourire, et berce tendrement son ange contre elle, son cœur ne cesse de s’emporter, et son ventre la démange, comme si des millions, de papillons caresser son bas-ventre.
Giulia – Ah … Si tu savait à quel point je suis heureuse avec toi, deux ans de bonheur et d’amour.
Zane – oui moi aussi, et j’espère de tout mon cœur que sa durera, car avec toi … Je suis la plus heureuse et comblée des femmes.
Giulia – c’est la plus belle chose que tu m’est dit Zane, je l’espère aussi … Même si il y a quelques tension avec notre groupe, je souhaite rester à tes côtés mon amour.
Zane – et si … On leur disaient ?
Giulia – si tu te sent prête alors je te suis jolie brune !
Zane – hm toi alors … Quand arrêteras tu de me rendre ainsi !
Giulia – comment ça « ainsi » vous m’intriguer mademoiselle Kazama !
Zane élargie son sourire, son bonheur était au summum auprès de la femme qu’elle aime et désir plus que quiconque. Elle lui caresse la joue, et s’approche de son visage.
Zane – de me rendre si amoureuse voyons mademoiselle Celest.
Giulia – dans ce cas, jamais !
Elles s’échangent un tendre sourire, et vinrent de nouveau unir leur cœur dans un long et doux baiser. Giulia colle son corps contre celui de sa douce, et pose ses mains sur ses joues qu’elle caresse. Zane qui ne savait plus ou se donner de la tête, tant son bonheur l’ennivre ressere leur étreinte, et lui caresse son dos, allant sauvagement attaquer sa langue.
Personne n’était là pour briser leur moment de bonheur ou chacune se sentaient de plus en plus ennivrer par leurs émotions les plus profonde, leur désir prit leur cœurs en otage, et leur langues s’enflamment à chaque coup. Un baiser amoureux et langoureux à la fois, une étreinte douce et protectrice, des caresses agréable, et quelques petits son se mariant avec l’atmosphère envoûtante et chaude à la fois.
Point de vue Zane.
Quel bonheur, je n’arrive pas à me défaire de ce sentiment qui me brûle le cœur, elle est si douce, Giulia … Ma tendre Giulia je t’aime tellement fort, deux ans à ses côtés, un véritable bonheur, bien que certaine jalousie me meurtri le cœur je l’aime profondément et en aucun cas je la laisserais filais dans les bras d’une autre. En ce soir de vingt quatre décembre j’avais l’intention de lui demander sa main, et pour sa, avec l’aide de Clément qui est mon frère j’allais passer sur scène et ainsi lui dévoiler une seconde fois mon cœur.
On se détachent doucement, et je lui caresse la joue allant écarter quelques mèches de ses yeux, je lui fait un petit clin d’oeil, et lui embrasse le front.
Moi – aller viens, j’aimerais pouvoir danser un slow avec toi mon amour !
Giulia – avec plaisir ma jolie brune … Je t’aime.
Moi – je t’aime bien plus encore !
Nos lèvres se claquent tendrement entres elles, et c’est le cœur léger et amoureux que nous nous dirigions vers l’entrée du gymnase. Et comme nous allions enfin dévoiler notre relation, je ne compte pas lui lâcher la main que je caresse doucement. Arrivé devant les deux grandes portes, ont s’arrêtent et nos yeux se caressent pendant de longues minutes.
Moi – tu est prête ?
Giulia – avec toi, je serait prête à tout.
Je lui sourit, lui tapote le nez, et enfin entra à l’intérieur. On commencent à s’avancer, et certains nous regardent, mais je m’en fiche, car je suis se que je suis et je ne changerais pas pour voir des sourires de satisfactions. Nos parents étaient aussi là assit sur des bancs à discuter entre eux.
Une fois avoir repérer Shiwa Dolce et Emilie, on se dirige vers le groupe, et Shiwa se jeta sur nous.
Shiwa – enfin … Mais où es ce que vous étiez passé toutes les deux !
Giulia – ah ah, ta curiosité ne te quittera jamais !
Dolce – tu devrais le savoir depuis le temps … Oh mais vous … Vous êtes ensemble ?
Moi – oui !
Giulia – nous sommes ensemble.
Shiwa – j’ai bien entendu, zizou et guigui sont ensemble mais c’est supère !!
Moi/Giulia – arrête de nous appeler comme sa !!!
Dolce – toutes mes félicitation les filles, vous mérité amplement ce bonheur, soyez heureuse ensemble !
Giulia – mais … Nous sommes déjà …
Moi – très heureuse ensemble.
Emilie – et depuis combien de temps ?
Je voie qu’elle est heureuse sa fait plaisir, pff c’est dépriment, toujours à nous parler sur ce ton, le pire c’est que ce n’est cas nous qu’elle fait sa. J’ignore donc sa question, mais il semblerais que ma douce n’est pas aimé ce ton puisqu’elle se met à répliquer :
Giulia – euh … La gentillesse tu connais ?
Emilie – toi je ne t’ai pas parler, Zane mais … Mais comment fais tu ?
Shiwa – eh Emilie tu calme ta jalousie ok, elles ont le droit d’être ensemble !
Moi – et en aucune façon ma vie privé ne te regarde.
Ses bras enroulent mon dos, et sa tête se love dans mon cou. Je sourit, et vint l’enlacer moi aussi contre moi, lui caressant doucement sa nuque de mes pouces. Je lui pose un délicat baiser sur sa tempe, et la berce tendrement.
Dolce – oh … Vous êtes trop mignonne, mais depuis combien de temps ?
Giulia – depuis deux ans maintenant !
Shiwa – deux …
Dolce – ans, mais pourquoi ne pas l’avoir dit ?
Moi – nous voulions juste le garder pour nous, et puis avec ce qui c’est passé il y a deux mois !
Shiwa – c’est sur ! Mais en tout cas félicitation.
Dolce – on vous soutien les filles.
Giulia – merci.
Je lui relève le visage, et lui caresse sa joue, lui offrant un doux sourire, et d’un petit clin d’oeil. Sa main se pose sur la mienne, et ses doigts me caressent.
Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi, … Ma douce et jolie Giulia, tu est le centre de mon univers.
Elle me sourit, et ses lèvres s’unir aux miennes. Je lui caresse la joue, et répond délicatement à sa douceur. Ses mains se mettent sur mon dos, et ses doigts me caressent alors que j’allonge mon bras gauche sur ses épaules et l’autre continue de jouer sur sa paumette, nos lèvres se claquent et se goûtent. Mon cœur bat si fort, je l’aime c’est fou à quel point je peut l’aimer.
Point de vue narrateur.
Alors que les deux jeunes filles continue de s’échanger leur amour, Shiwa et Dolce se mirent à sourire et ne purent s’empêcher de les prendre en photo. Plus loin quatre adultes observé la scène avec un sourire aux lèvres.
? - elles se l’ont enfin dit ! S’exclame une jeune femme blonde
? - je suis heureuse pour elles. Rétorque une seconde jeune femme à la chevelure brune
Les deux hommes qui n’étaient autre que les pères de Giulia et Zane, ne cessaient de regarder leurs filles s’embrasser, chacun surpris de voir une tel union entre les deux jeunes filles, mais quelques part dans leurs cœur il en étaient heureux.
Après ce doux baiser, Zane lui sourit, continuant tendrement son geste sur la joue de sa jolie brune qui lui offrait son plus beau sourire. La jeune brune lui embrasse le nez, et se tourne vers les filles qui à dire vrai, avaient le sourire jusqu’au joues.
Zane – Shiwa, je pourrais te demander quelques chose ?
Shiwa – oui biern sûr, qui y ’a t’il ?
Zane – serait t’il possible que tu film ?
Shiwa – euh oui … Mais filmer quoi ?
Dolce – qu’es ce que tu as en tête Zane ?
Zane – vous verraient bien.
La jeune fille se tourne vers son ange, qui la regarde avec un regard surpris elle aussi, mais cela n’a pas d’importance, elle lui caresse le dos, et lui sourit amoureusement. Zane lui fait un petit clin d’oeil, et la serre dans ses bras. Puis un garçon au cheveux brun et au costume noir et blanc se dirige vers le groupe.
Clément – Zane, c’est bon tu peux y aller !
Zane – ok j’y vais !
Giulia – mais … Tu vas où ?
Zane – ne t’inquiète pas ma belle, je reviens vite !
Elle lui dépose un léger baiser, et vint se séparer de sa petite amie qui se posé bien des questions. Devant tout l’assembler, Zane saisit le micro, Shiwa avait allumé sa caméra, et commence à filmer, se demandant bien se que sa meilleure amie avait en tête.
Clément – Giulia, si j’étais toi, je la regarderais, c’est pour toi qu’elle fait sa !
Giulia – comment ça ?
Clément – regarde la, et écoute attentivement ce qu’elle va te dire.
Giulia de plus en plus surprise regarde sa bien aimée qui la dévisage avec tendresse, lui envoyant un tendre baiser avec ses lèvres. Geste que la jolie brune aprécia, et lui rendit par un clin d’oeil.
Zane – bonsoir à tous, j’aimerais avoir quelques minutes d’attention s’il vous plais, j’aimerais faire une déclaration pour une personne qui m’est cher.
Tous se tue, et Giulia sourit, son cœur ne put s’empêcher de battre, Clément entoure les épaules de la jeune fille, et sourit à sa sœur aînée qui lui rend son sourire.
Zane – voilà maintenant huit ans que je les rencontré, huit longue années à épprouver de fort sentiments à son égard. Pour mon plus grand bonheur, nous avons uni nos cœurs, et voilà deux ans que je vis un véritable bonheur à ses côtés. Elle est tout se qu’un homme puisse rêver d’avoir, elle est … Le centre de mon univers, mon rayon de soleil et la femme de ma vie, mais elle est avant tout … Ma plus belle histoire d’amour, alors en ce soir de vingt quatre décembre, j’aimerais lui demander quelque chose qui me tiens à cœur … Giulia !
Cette dernière avait les yeux qui pétillés, elle était prête à pleurer, Shiwa et Clément la pousse doucement, et c’est le cœur prêt à frôler la crise cardiaque qu’elle se dirige vers l’estrade là ou sa douce l’attendait. Les parents des deux jeunes filles, émue par la déclaration de Zane, se demandé bien se que la jeune brune allait demander à Giulia qui était au bord des larmes.
Cette dernière une fois prêt de la jeune brune, la regarde, alors que Zane s’avance et lui caresse la joue pour finir par prendre sa main.
Zane – Giulia mon amour sa fait deux ans que j’ai uni mon cœur au tiens, et je ne le regrette pas, je t’aime d’un amour sincère et véritable, et peut importe se qui arrivera, je serait toujours là pour toi … Alors j’aimerais te demander quelque chose d’important !
Clément se dirige vers la scène et tend à sa sœur un petit écrin bleu nuit en velours, Giulia ne savait pas se qui allait se passer, son cœur bat tellement vite. La jeune brune, se tourne vers sa femme, et s’exclame en posant un genou à terre, et en prenant la main de sa douce qui allait finir par pleurer pour de bon.
Zane – ma chérie, je suis profondément amoureuse de toi, et je n’aurais jamais crue être aussi heureuse, alors moi Zane Kazama te demande avec sincérité … Giulia Celest veux tu devenir ma femme ?
Le cœur prêt à bondir hors de sa poitrine, Zane ouvre l’écrin révélant une bague en argent avec un petit diamant. Giulia avait fini par verser ses larmes de bonheur, sa main plaqué sur sa bouche, elle était vraiment heureuse, elle ne s’y attendait pas du tout, et c’est plus heureuse que jamais qu’elle s’exclame :
Giulia – oui … Oui je le veux !
Zane sourit, heureuse laisse échapper une petite larme et se lève pour ainsi glisser l’anneau à l’annulaire gauche de son amour.
Zane – je t’aime, c’est avec toi que je veux construire mon futur.
Giulia – oh Zane, si … Si tu savait à quel point je suis heureuse, mon amour, ma femme !
La jolie brune sourit de plus belle, et devant tout l’assembler qui ne disait plus rien elles s’embrassèrent amoureusement. Des larmes de joie dévalent les joues des deux jeunes filles qui était à présent au delà du bonheur. Dolce et Shiwa étaient ému et n’avaient pue retenir leurs larmes de joie.
Un clapotement se fait entendre, puis un second un troisième, jusqu’à que ses clapotements se transforment en applaudissement. Zane et Giulia continuent de s’embrasser avec tendresse, heureuse de voir que leur histoire devenait sincère et véritable.
Doucement elles se détachent, et leurs yeux qui sont embué de larmes se caressent, Zane porte sa main à sa joue et lui caresse, elle était vraiment heureuse d’avoir eu le courage de faire sa demande alors qu’elle a une trouille monstre dès qu’elle monte sur scène. Giulia quant a elle, n’arrivait pas à croire à se qui venait de se passer, elle était vraiment heureuse. Elle s’approche de sa fiancée, et lui caresse la joue, repoussant quelques mèches de ses yeux, ne retenant pas une petite larme.
Giulia – tu viens … De combler mon bonheur, je suis tellement heureuse, Zane … Je t’aime, et je ne veux plus être loin de toi … La mia donna.
Zane se met à sourire, elle lui embrasse sa main, et lui murmure :
Zane – je t’aime aussi très fort ma belle, et en aucun cas, tu sera séparé de moi et mon cœur.
Elles se sourirent, et heureuse, elles descende de l’estrade main dans la main plus uni et amoureuse que jamais. Shiwa et Dolce se dirigent avec rapidité vers les deux jeune filles. Et hurlèrent de joie.
Dolce – mais c’est génial, oh les filles, je suis si heureuse, toutes mes félicitations et bravo à toi Zane c’était magnifique !
Shiwa – vraiment, je ne sais pas quoi dire, je suis si heureuse, tout mes voeux de bonheur à vous deux, et que votre histoire dure éternellement.
Zane – je ne compte pas la laisser filer !
Giulia – et je ne suis pas prête à quitter ses bras.
Point de vue Giulia.
Ce soir, elle ma comblé de bonheur, j’étais vraiment heureuse … Heureuse que nos cœurs se soit définitivement enlacés. Je lui embrasse le cou, et caresse ce derner de mon pouce, le cœur prêt à frôler la crise cardiaque.
Puis un slow commença, et Zane c’est tourné vers moi et me demande :
Zane – m’accorderais tu cette danse ?
Moi – avec plaisir mon amour.
On se sourit, et alla se mélanger à la foule qui à dire vrai nous observé, mais je n’ai que faire, je l’aime éperdument, et je ne suis pas prête à la laisser partir pour de simple sourires. J’allonge mes bras sur ses épaules, colle mon corps contre le sien et la dévisage avec amour. Ses bras s’aventurent à mon dos, elle me serre contre elle, et on commencent à danser, suivant le rythm de la musique.
Moi – tu m’as offert, le plus beau des cadeaux Zane, je suis si heureuse, nous allons pouvoir construire un futur ensemble, rien que, toi et moi, ti amo ti amo ti amo.
Elle me sourit, et me serre dans ses bras, et doucement elle se mit à chanter les parole de la chanson qui était de Nevio uns de mes chanteurs favoris, et le titre de cette chanson était Giulia comme moi.
Zane -
cammineró senza di te
hai confini dell ricordo
e troveró la strada che
ho perduto in un momento
ameró la solitudine
empiroglio chi mi nuvole
e cominceró riprendermi
il futuro che non c’é
Refrain:
giulia giulia
io non so dove sei ma ti sento arrivare
giulia giulia
sei una favola che non doveva finire
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
oh giulia
nasconderó dentro di me
la paura di cadere
ritroveró la libertá
la mia voglia di volare
e dispetero fra gli alberi
tutti i miei pensieri fragili
che mi inseguono non sanno
dove andare senza te
Refrain:
giulia giulia
tu ritorni da me con il vento d’estate
giulia giulia
sei la mia meno di con parole sbagliante
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
anche senza di te io vivró respirando á ti
e ti sento ancora li
chiudi gli occhi e rivedo nel vento gli imagini
che non voglia andare via
solo un attimo d’amore dentro me ooh
Refrain:
giulia giulia(giulia giulia)
aahh giulia (giulia giulia)
sei l’azzurro dell cielo quando é primavera
giulia giulia
sei una voce che arriva improvisa leggera
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sara la mia musica
ohh giulia
une larme roule sur sa joue, je lui sourit, et vint lui retirer la petite larme par un baiser. Je colle mon front contre le sien, et lui murmure tendrement :
Moi – tu ne te rend pas compte à quel point tu viens de me rendre heureuse, ne pleur pas, tu est merveilleuse ma chérie, et j’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir.
Zane – je t’aime, si tu savais à quel point je peux t’aimer Giulia !
Moi – moi aussi je t’aime Zane, je t’aime énormément, tu est à ce jour la mia più bella storia del amor !
Elle me sourit, et vint m’embrasser resserant notre étreinte, je l’aime c’est fou comme je l’aime. Je ferme mes yeux et répond tendrement à son baiser. C’est ainsi que notre soirée s’achève, par une dernière embrassade avant de rentrer chez nous. Sa a était la plus belle soirée de ma vie et … Je ne suis pas prête à l’oublier.
Point de vue narrateur.
Quelques heures plus tard, le bal venais de prendre fin, et tous le monde commencent à gagner la sortie du lycée pour ainsi rentrer chez soie. Dans une rue italienne, ou le vent souffler et les réverbères enlumine la rue Zane et Giulia main dans la main marche vers la deumeur des Celest.
Juste derrière les jeunes filles se trouve leurs parents qui les regardent n’en revenant toujours pas de la révélation que leur filles leur avaient offert. Giulia pose sa tête sur l’épaule droite de sa douce qui se met à caresser sa main, lui offrant un doux baiser.
Arrivé devant chez Giulia, cette dernière toujours enlacé dans les bras de Zane se tourne, et les adultes comment à parler.
Mère de Giulia – bon et bien, merci pour la soirée !
Père de Zane – ce fut un plaisir.
Mère de Zane – dites, vue que les vacances sont commencé, Giulia sa te dit de dormir à la maison ?
Giulia – oui pourquoi pas.
Mère de Zane – tu en pense quoi Zane !
Père de Zane – tu te doute bien que cela ne va pas la déranger.
La jeune brune sourit, elle relève doucement le menton de sa douce et lui caresse la joue, lui offrant un tendre sourire.
Zane – je serait même heureuse de passer ma soirée avec elle !
Giulia – moi aussi.
Elles s’échangent un sourire, et s’embrassent amoureusement. Les quatre adultes se mettent à sourire, en voyant leurs enfants si uni. Après ce doux baiser, la jolie blonde se serre contre sa bien aimée qui se met à caresser sa chevelure.
Père de Giulia – je n’aurais jamais cru les voir si proche !
Giulia pose sa main sur la joue de Zane et la caresse, cette dernière ne pue s’empêcher de sourire, elle ne pouvais croire à tout sa … Un véritable compte de fée, son bonheur était enfin au complet.
Zane – je t’aime.
Giulia – moi aussi mon amour !
Elles se sourirent, se posent un délicat baiser, et la jolie blonde vint se séparer de sa bien aimée, pour regagner sa maison afin d’aller préparer son sac. Avec le sourire, la jeune fille sous les yeux doux de ses parents monte à toute vitesse les escaliers, et regagne sa chambre. Sa mère se poste au coin de la porte, les bras croiser sur sa poitrine, et elle regarde sa fille, qui venais de se mettre à siffloter de bonheur.
Giulia – oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor.
La jeune blonde fini de mettre ses affaires de toilette dans son sac, n’oubliant pas de prendre le cadeau pour son amour. La mère de famille, était vraiment heureuse de voir sa fille si épanouie.
Giulia se tourne, et sursaute en voyant sa mère qui souriait depuis tout à l’heure. La jeune fille commence à sortir de sa cha mbre, et sa mère ferme la porte.
Mère de Giulia – si tu savais à quel je suis heureuse de te voir comme sa.
Giulia – je suis vraiment amoureuse maman !
Mère de Giulia – je le voie bien.
Mère et fille s’échangent un sourire, et finissent par descendre ainsi rejoindre les autres qui se trouvaient toujours dehors. Giulia embrasse ses parents, et se dirige vers l’amour de sa vie qui l’accueillit avec un doux câlin.
Mère de Giulia – Zane ?
Zane – oui ?
Mère de Giulia – je ne sais pas se que tu as fait à ma fille, mais je t’en remercie.
Zane se met à rire, un rire délicieux aux oreilles de Giulia qui vint l’embrasser sur la joue, et fini par lui prendre la main. Elles s’échangent un doux regard, Zane lui fait un clin d’oeil et lui tapotte le nez, et c’est heureuse qu’elles partir direction la demeurre des Kazama.
Zane – cas tu dis pour que Annette me dise sa ?
Giulia – sa t’intéresse ?
Zane – tout se qui te touche m’intéresse.
Giulia se met à sourire, elle cale sa tête au creux de son cou, et lui dépose un léger baiser. Zane se met à sourire, elle ressere leur étreinte, et elles continuent de marcher toutes les deux plus heureuse que jamais. Quelques minutes après, les deux jeunes fille arrivent devant la maison des Kazama, et Lidie la mère de Zane se dirige vers le petit péron pour ainsi ouvrir la porte. Tous rentrent, et les filles embrassent les deux adultes et montent en suivant dans la chambre de la jolie brune.
Celle-ci ferme la porte, et se dirige vers Giulia qu’elle enlace par la taille posant ses mains sur son ventre, et lui dépose un baiser dans son cou.
Zane – alors, tu vas me dire se que tu as dit ?
Giulia – mais qu’elle curieuse on dirait Shiwa.
Zane se met à rire … La jolie blonde cale son dos contre la poitrine de sa douce et murmure tendrement en prenant ses mains dans les siennes.
Giulia - oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor … Voila se que j’ai dit.
La jolie brune se met à sourire, elle dépose ses lèvres sur la joue de sa bien aimée, et ferme ses yeux, savourant les paroles que Giulia avait prononcé à son égard. Son cœur bat tellement vite, elle lui caresse son ventre, et fait durer le plaisir, pressant sa bouche un peut plus sur la joue de sa femme qui sourit, et se laisse envahir par le bonheur.
Giulia – je t’aime Zane !
Cette dernière ne répond pas, mais sourit et prolonge son baiser le rendant plus doux et long. Elle se sentait si bien là comme sa, son cœur ne cesse de la rappeller à l’ordre, mais la jeune Kazama refuse de coopérer tant le bonheur est grand.
Zane * je t’aime bien plus que sa encore mon amour *
pense t’elle, en la berçant tendrement contre elle. Elle se décolle doucement et la serre plus fort contre elle.
Zane – joyeux noël ma chérie !
Giulia – joyeux noël à toi aussi mon amour.
La jolie blonde prend son sac et en sort le cadeau de sa bien aimée, et lui offrrit avec le sourire.
Giulia – quand je l’ai vue j’ai pensé à toi.
Zane sourit et saisit le petit sac. Elle apercut une feuille plié en deux, et un petit écrin, elle saisit le petit écrin, et l’ouvre devant les yeux amoureux de sa fiancée. Son cœur se met à cogner, et son regard s’adouci en voyant le contenue de l’écrin. A l’intérieur de cette dernière se trouve une gourmette en argent, et sur la petite plaque métalique il y avait écrit « Ti amo » Giulia saisit le bijou, le détache, et le passe autour du poignet gauche de sa bien aimée, qui finit par l’enlacer lui caressant le dos.
Zane – merci mon ange, elle est magnifique.
Giulia – de rien, et joyeux noël !
Zane – à toi aussi Giulia, j’espère de tout mon cœur que notre histoire ira loin, il n’y a qu’avec toi que je veux construir mon futur, et sa au creux de tes bras.
Giulia – le sentiment est partager, moi aussi je l’espère de tout mon cœur, rester au creux de tes bras encore longtemps !
Leur regard se croisent et se caressent, Zane allonge ses bras sur ses épaules, et toutes deux ferment leurs yeux pour ainsi unir leur cœur. Un doux baiser commence alors entres les deux jeunes filles qui se rapprochent de plus en plus, Giulia enroule ses bras au dos de Zane et caresse se dernier, penchant légèrement sa tête sur la droite, mêlant sa langue à la sienne. Zane plaque ses main à sa nuque et la caresse, montant sa main gauche à sa cheveulure, lui retire son élastique et mêle ses doigts dans ses cheveux lui massant agréablement. Leur corps ne cesse de se rapprocher, ils se pressent et se caressent.
Chacune intensifi leur baiser en se serrant l’une contre l’autre. Tout était parfait maintenant, elles étaiennt heureuse et éperdument amoureuse l’une de l’autre et ne cesser de se le montrer par des geste d’affections.
Leur lèvres se claquent et se goûttent, et leurs regards se dévisagent se parlent longuement et amoureusement.
Zane – oh Giulia …
Elle emmène sa main à sa joue et lui caresse. Toutes deux s’échangent un sourire, et finissent par s’enlacer tendrement. Giulia pose sa tête sur l’épaule gauche de sa bien aimée et lui caresse le dos, lui offrant un délicat baiser. Zane ne bouge pas, juste à sourire et répondre à son étreinte.
Giulia – dis mon amour …
Zane – oui ?
Giulia – et si … Pendant les vacances on allaient à Venise ? Rien que toutes les deux en tête à tête.
La jolie brune sourit, elle lui soulève son menton, et lui murmure en la dévisageant avec tendresse.
Zane – avec toi, j’irais n’importe où !
Giulia – je t’aime.
Zane – je t’aime aussi ma jolie brune !
Elles se sourirent, Zane lui fait un clin d’oeil, et dépose sees lèvres sur les siennes pour un doux baiser. Non décidement tout leur souriait elles étaient heureuse et combler de bonheur ensemble.
Quelques petites minutes après Giulia était parti prendre sa douche, alors que Zane qui c’était déjà raffraîchit se trouve assise sur son lit, muni d’un short blanc et d’un débardeur noir, ses cheveux mouillés lui touchant la poitrine lisait le petit mot que sa jolie blonde lui avait laisser.
Zane * ma chérie, il est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je suis la plus heureuse des femmes, tu me comble de bonheur et ne cesse jamais de me faire sourire, tu est l’amour de ma vie … Ma jolie brune, toi qui enflamme et réchauffe mon cœur, tu a sue atiser la flamme, et je suis vraiment éperdument amoureuse de toi, tu est la femme de ma vie mon amour, mon ange, mon cœur, mon rayon de soleil, tu est la cerise sur mon gâteau, la crème de mon cappushino, et je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, et peut être un jour fonder notre famille toutes les deux, je t’aime et te serait à jamais fidèle, Ti amo la mia donna. *
les yeux de la jeune brune se mettent à pétiller, elle caresse le bout de papier et regarde la petite gourmette à son poignet. Sa main droite se pose sur un pendantif en argent que Giulia lui avait offert pour leur toute première Saint Valentin, sur ce petit cœur il y avait le mot ’ Je t’aime ’ et Zane serre le bijou dans sa main, ne retenant pas une petite larme de bonheur.
Elle était si heureuse d’avoir une tel place dans la vie de la seule femme qu’elle aime et désir ardement. Sa main monte à sa bouche et ses doigts caressent ses lèvres, ses yeux se ferment et elle se remémore toute son histoire avec la jolie blonde, elle repense à tout ses moment de joie d’amour et de bonheur, même si quelques fois elles se sont prit la tête, se n’étais rien de méchant puisqu’à chaque fois leur amour grandissait et devenait plus fort.
Elle prend son téléphone, met ses écouteurs et se met une chanson qu’elle aimé tout particulièrement une de Nevio ’ Amore Per Sempre ’ sa tête se pose sur le mur et serrant le bout de papier elle se laisse envahir par la musique.
Zane * Giulia je suis vraiment heureuse avec toi, tu fait tout mon bonheur. *
« It’s only three words
amore per sempre
’cause living this life is all I can do
It’s only three words
amore per sempre
and you always get what’s coming to you
It’s only three words
amore per sempre! »
fredonne doucement Zane en souriant, laissant son cœur s’épanouir. Quelques larmes roulent sur ses joues, c’est la première fois qu’elle était dans cet état, le bonheur avait prit son cœur en otage, et même si elle est de caractère un peu garçon manqué, elle n’en reste pas moins une jeune femme avec ses rêves, ses désirs, et ses sentiments, elle se révèle être une jeune femme sensible et très sentimentale.
Zane – T.I A.M.O.
Elle sourit de nouveau et se laisse bercer par la mélodie. Quelques second après Giulia sort de la salle de bain fraichement lavé, elle porte un petit short noir et un débardeur blanc. Elle se met à sourire en voyant sa bien aimée ainsi, elle s’approche et remarque qu’une larme roule la joue de Zane, inquiète, la jolie blonde s’approche d’elle et s’exclame :
Giulia – ma chérie ça va ?
Zane – viens.
Sans se faire prier, Giulia alla se lover dans les bras de son amour, et entour son dos, et pose sa tête sur son épaule gauche. Zane allonge ses bras sur ses épaules et ses doigts partent caresser sa nuque, lovant sa tête dans son cou, lui offrant un tendre baiser.
Zane – moi aussi … Je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, laisser le temps se faire et qui sait peut être à fonder notre famille, ma Giulia je t’aime plus que tout, et ferais tout pour te garder auprès de moi mon amour.
La jeune blonde se met à sourire, elle se serre contre sa femme, et lui embrasse le cou. Se laissant bercer par le câlin de la jolie brune qui commencer peut à peut à s’endormir. Giulia lui caresse sa chevelure et la câline, elle vint la regarder et un tendre sourire apparu sur ses lèvres en voyant sa douce dormir. La soirée avait était riche en émotion pour les deux, et chacune avaient besoin de repos pour être en forme et pouvoir commencer leur vacances.
Giulia se lève, et alla fermer la lumière, elle se dirige vers le lit, grimpe dessus, et vint retirer les écouteurs des oreilles de Zane qui c’était profondément endormie. La jolie blonde, retire la couverture et couvre sa fiancée, ramenant la couette sur elles, pose sa tête sur son épaule et lui murmure avant de s’endormir à son tour.
Giulia – bonne nuit mon amour.
Elle lui embrasse le cou, et ferme ses yeux, le sourire aux lèvres, elle pose sa main sur le bras droit de la jeune brune, et fini par s’endormir heureuse de sa soirée qui avait était l’une des plus belle.
Chapitre 2 – Tout pour elle.
Point de vue narrateur.
Au alentours de neuf heure, la jolie blonde se réveille, et emet un long baillement. Elle se tourne, et remarque que sa bien aimée n’était pas la, donc elle se redresse et s’étire longuement avant de quitter ses draps et d’enfiler une robe de chambre bleu, qu’elle ferme avec une longue liane. Elle s’attache les cheveux en une queue de cheval, et prend son téléphone qu’elle prit soin d’allumer.
Quand ce dernier s’allume, Giulia remarque qu’elle a reçu des messages, et elle fut surprise du nombre, en effet elle avait reçu quarante messages en une nuit. Elle appui sur message et lorsqu’elle vis qui lui avait envoyé tout ses messages elle referme son téléphone et sort de la chambre pour se rendre dans la cuisine. Le destinataire de ses messages était Emilie, et connaissant cette dernière la jolie blonde ne prend pas le risque de répondre car à tout les coup se sont insultes.
Point de vue Zane.
Alors que je porte mon bol à ma bouche, deux bras s’enroulent autour de mon cou, et des mains se mirent à caresser ma peau. Je me tourne et sourit en voyant que c’était ma douce qui venais de se lever et qui à mon avis n’est pas tout à fait réveillé. Je porte mes lèvres à sa joue et lui embrasse avec douceur prenant doucement sa main dans la mienne.
Moi – bonjour belle au bois dormant, bien dormit ?!
Giulia – oui, très bien.
Elle me sourit et m’embrasse, je sourit et la serre contre moi. Doucement, notre étreinte se desserre, et elle parti se faire son déjeuner. Son portable se met à sonner, et je l’entend râler.
Giulia – pff … Elle peut pas me laisser tranquille.
Moi – c’est qui ?
Giulia – à ton avis ? C’est EmilIe, j’ai reçu quarante sms d’elle pendant la nuit.
Moi – elle deviens lourde avec sa.
Giulia – oui et elle commence sérieusement à m’énerver.
Vraiment, elle commence a être chiante, je n’arrive pas à la supporter, et j’ai horreur de l’opignon qu’elle porte sur les gens, qui est tout bonnement grotesque.
Giulia – va falloir faire quelques chose sa peut pas continuer comme sa !
Moi – oui lui mettre les points sur les i serait une bonne idée, car moi même je ne la supporte pas.
Giulia – on est deux !
Elle se tourne, et me sourit, je lui fait un petit clin d’oeil, et elle vint prendre place à ma droite. Alors qu’elle verse du chocolat dans sa tasse, je lui écarte une mèche de ses yeux, et lui offre un baiser.
Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi ma belle !
On se sourirent, s’embrassent avec douceur, et c’est avec le sourire que je reprend mon déjeuner. Son portable se met de nouveau à sonner, et cela eu pour effet de m’irriter.
Giulia – bon, tu peux voir se qu’elle veux !
Moi – dack.
Je prend doucement le téléphone, et lorsque ce dernier s’allume un doux sourire apparue sur mes lèvres en voyant son fond d’écran de vérouillage qui était une photo de moi avec les cheveux attacher, et juste en bas il y avait un cœur avec les deux première lettre de notre prénom et entre eux un petit plus prenait place, mon cœur se met à cogner fortement … Ah, ma Giulia, que je t’aime, je fait glisser mon pouce et plusieurs cercles apparue, je lui demande :
Moi – c’est quoi ton code mon ange ?
Giulia – la première lettre de ton prénom.
Je sourit, et reproduit le z avec mon pouce. Un autre battement fugace frappe ma poitrine en voyant son fond d’écran d’accueil qui était une photo de nous en train de nous embrasser et juste en bas il y avait écrit ’ la mia donna ti amo ’ je sourit, caresse doucement l’écran, et me dirige vers ses messages.
En effet, c’était bien Emilie qui lui avait envoyé tout ses messages, j’appui sur son prénom, et une fois que je fut sur la page, je remonte mon pouvce afin de tout lire.
Moi * comment as tu osé te l’accaparer ? Tu n’est qu’une salope Giulia, Zane ne te mérite pas, elle mérite quelqu’un de mieux comme moi *
non mais elle croix trop au père noël celle-là, faut vraiment qu’elle arrête son délire, je descend et les second messages eu pour effet de me faire mal au cœur.
Moi * elle a de très belle formes, une généreuse poitrine, de belles cuisses, elle est délicieuse, j’espère que tu ne goûtera jamais à son pêcher qui n’appartiens cas moi, elle est tellement belle, et franchement une femme comme elle ne veux pas passer son temps à faire juste des câlins et se contenter de simple baiser, non une femme comme elle désir beaucoup plus, que l’ont la prenne et la goûte tout doucement *
encore une … Qui me prend pour un objet sexuelle, mon cœur me fait mal, et je sent les larmes me monter aux yeux, ce sujet, j’y était très sensible, ayant subi de nombreuse moquerie là dessus et j’en reçoit encore aujourd’hui. C’est pour sa, que je me suis forgé ce caractère de garçon manqué car avec lui je peut surmonter cet obstacle car en dehors de sa, je suis très sensible, et je peux me mettre facilement à pleurer, seule Giulia connais ce côté là de moi.
Je ferme le téléphone, le pose sur la table et me lève, pour aller prendre un morceau de sopalin et m’essuie les yeux, j’ai horreur que les gens me voie ainsi et me prenne comme bon leur semble.
Giulia – ma chérie ça va ?
Je l’entend se lever, et ses bras entour ma taille, ses mains se posent sur mon ventre, et ses doigts me caressent. Je ne retiens plus mes larmes qui se mettent à rouler sur mes joues.
Moi – j’en est plus qu’assez que tout le monde me prenne ainsi, comme un objet sexuelle, j’en est marre de ceux qui ne pense cas sa, en me voyant, j’en est assez d’être une bête de foire à leur yeux, ils prétend que je suis une femme qui attend bien plus que sa, alors que … Que c’est faux, tout ce que je veux, c’est être aimé, et que l’on prenne soin de moi. Quand es que ce menssonge prendra fin !!!!!
je n’y arrive plus c’est vraiment trop dure, je tape violemment mon point contre le plan de travail et font littéralement en larmes. Je me sent tourné, et mes yeux qui sont rouge croisent ceux de ma douce, qui s’approche et pose ses mains sur mes joue, et repousse mes larmes.
Giulia – chuut … Ne te met pas dans cet état ma chérie, tu n’est pas une bête de foire ou un objet sexuelle, si les gens apprenait à mieux te connaître, ils remarquerons que tu est une femme extraordinaire, une femme qui possède un cœur en or, une femme magnifique avec ses défauts et ses qualités, tu vaut bien plus que sa. Quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi, pour t’épauler, te soutenir et t’aimer, t’aimer du plus profond de mon cœur, car pour moi Zane Kazama, tu est bien plus que sa, tu vaut bien plus que tout ses gens qui te critique, tu est ma femme, l’amour de ma vie … Et même si d’autre te dirons des chose malsaine, dit toi une chose mon cœur … C’est que q’importe la situation les gens qui t’aime vraiment serons ici dans ton cœur, Eric, Lidie, Shishi Dolce, Clément mes parents, et moi même seront toujours la pour toi, et nous t’aiderons du mieux que l’on peut car pour nous tu est importante, et pour moi, tu vaut tout l’or du monde !
Giulia … Je pose ma main sur la sienne, et ferme les yeux. Ses paroles danse dans ma tête et réchauffe mon cœur, je m’avance et me love dans ses bras. Posant mes mains sur son dos et lovant ma tête au creux de son cou côté gauche et pleur doucement en la serrant contre moi.
Moi – merci … D’être toujours là, je … Je ne veux pas te perdre Giulia, tu est tout se que j’ai de plus cher en ce monde.
Giulia – tu ne me perdra jamais mon amour, parce ce que … L’amour que je ressent à ton égard est bien plus fort que ses stupide critiques.
Elle ma soulevée le menton, et me regarde. J’allonge mes bras sur ses épaules, et m’approche d’elle, une larme roule sur sa joue, et sa voix que j’aime tant resonne :
Giulia – tu vaut bien plus que sa, je ne pourrais jamais t’abandonner Zane je t’aime beaucoup trop pour sa.
Ma chérie … Je lui sourit doucement, emmène ma main gauche à sa joue, et lui essui cette dernière avant de poser mes lèvres sur les siennes. Mon dos se colle contre le plan de travaille, et je vint lui caresser sa nuque alors que ses bras caresse mon dos. Sa tête se penche légèrement sur la gauche, et je laisse ma langue allait câliner la sienne, la serrant aussi fort que je le pouvait contre moi.
Je refuse de la perdre, pour cette peste … Je m’y refuse, elle est la seule qui me comprenne et sais me fait sourire et apaiser mon chagrin comme la. Elle est tout … Se que j’ai de plus cher au monde.
Je continue de l’embrasser avec tout l’amour que je ressent pour elle, elle est la femme que j’ai toujours attendue. Et c’est ensemble que l’on surmontera tout. On se décollent doucement, et je lui caresse la joue, elle est tellement belle … Je lui embrasse le bout du nez, et vint la serrer dans mes bras.
Giulia – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi !
Moi – moi aussi, tu pourras toujours compter sur moi mon amour, je t’aime.
Giulia – je t’aime bien plus que sa encore !
Ses lèvres caressent mon cou, et ses bras resserent notre étreinte. Au bout de quelques minutes, je me trouver dans la cuisine avec ma mère, Giulia était parti se doucher.
Mère de Zane – tu sais … Tu m’as beaucoup impressionner hier.
Moi – ah bon !
Mère de Zane – oui, toi qui a un trac monstre quand tu montes sur scène, tu m’as impressionner, et puis … C’est tellement beau se que tu as fait et dit.
Moi – c’était sincère maman, je … Je ne montre peut être pas mes sentiments mais je l’aime profondément, et ne souhaite que son bonheur.
Mère de Zane – j’espère que vous serait heureuse ensemble !
Moi – nous sommes déjà très heureuse, tu n’as pas à t’inquiéter la dessus.
On se sourit, et quelques petite minutes après ma douce fit son apparition, elle est vraiment belle, elle porte une robe en jean noir se fermant avec des boutons, des colant noir prend place sur ses jambes, et ses cheveux son retenue par un mini chignon, laissant ses deux longues et fine mèches caresser ses épaules.
Moi – tu est magnifique !
Giulia – merci.
Elle me sourit et se dirige vers nous. Ma mère eu la même impression que moi, je recule avec ma chaise, et vint la prendre dans mes bras. J’entoure sa taille, et lui caresse le dos, alors que ses bras s’allongent sur mes épaules.
Mère de Zane – tu est vraiment très jolie comme sa Giulia !
Giulia – merci Lidie.
Je lui émbrasse sa joue et la câline tendrement. Soudain son téléphone se met à sonner, elle le prend et je remarque que c’est Annette, son dos se pose contre ma potrine, et elle vint répondre à l’apel.
Giulia – oui allo ?
Annette – bonjour ma chérie, comment vas tu ?
Giulia – bonjour maman, ça va très bien et toi ?
Annette – tout vas pour le mieux, dis moi Lidie serait là ?
Giulia – oui , elle est en face de moi.
Annette – pourrais tu me la passer ?
Giulia – oui. Lidie ma mère veux te parler !
Mère de Zane – ok.
Ma mère prend son téléphone, le porte à son oreille, et commence à parler. Je prend doucement sa main gauche, et lui caresse, posant ma tête sur son épaule droite. Je voie ma mère faire un énorme sourire, je me demande bien se que Annette a pue lui dire.
Giulia – au faite mon ange !
Moi – oui qui y a t’il ?
Giulia – Shishi m’a appellé, elle et Dolce veullent nous parler, et il faut qu’ont les rejoingne au parc, sa te dis ?
Moi – tant que je suis avec toi, sa me va.
Giulia – tes vraiment adorable !
Je lui sourit, et lui dépose un léger baiser. La serrant contre moi, et laissant mon cœur s’emporter.
Mère de Zane – bon eh bien, c’est parfait je lui dit, et toutes mes félicitations !
Et c’est avec le sourire que ma mère coupe leur communication rendant le portable à mon amour, que je prit soin de câliner.
Mère de Zane – alors Giulia j’ai deux grandes nouvelles à t’annoncer !
Giulia – ah … Et qu’es ce que c’est ?
Mère de Zane – alors la première Annette et Pierre s’en vont à New York ce soir !
Giulia – quoi ?? mais … Mais pourquoi ?
Mère de Zane - détend toi, ils s’en vont à New York pour la simple raison que Pierre à fait une seconde demande en mariage à ta mère, et ils on décidés de se re marier aux Etats Unis, et la seconde, tu vas être grande sœur !
Moi – mais c’est génial !!
c’est supère, je regarde ma douce qui était encore sous le choc, elle se met à sourire, et tout en mêlant ses doigts aux miens elle s’exclame :
Giulia – mais c’est génial !!! oh mon dieu, moi qui est toujours rêvé d’être grande sœur … Mais si ils partent à New York, je doute qu’ils veulent de leur fille se qui est logique, je vais aller où alors ?
Mère de Zane – ici !
Giulia – comment ça ici ?
Mère de Zane – Annette ma demander si on pouvais te garder pendant quelques mois, et j’ai dis oui !
Moi – et tu ne dérange pas, ici, tu est la bienvenue.
Giulia – comment tu sais que j’allais dire sa ?!
Moi – n’oublie pas que sa fait deux ans que nous somme ensemble et que plus les jours passe et mieux j’apprend à te connaître ma chérie.
Giula – toi alors …
Elle me sourit et dépose ses lèvres sur mon nez. Je sourit, ferme les yeux et me laisse envahir par le bien être et le plaisir. Après sa, je suis aller m’habiller … J’enfile un slime noir, un débardeur noir surmonter d’un tee-shirt blanc avec des strasse formant une tête de mort, une ceinture grise avec le sigle de Dloce & Cabana.
Je me dirige vers la salle de bain qui est incorporé dans ma chambre, et me rend jusqu’au lavabo, ou je prit une brosse et commence à me coiffer. Pendant de longues minutes je me regarde, j’aimerais tant que tout ses dire cesse, parce ce que même si je suis de caractère un peux garçon manqué, je suis très sensible, et cela faisait longtemps que je n’avais plus pleuré comme ce matin.
J’esquive un sourire, continue de me coiffer, et pense à ma douce, j’ai vraiment beaucoup de chance de l’avoir à mes côtés, elle est celle qui réchauffe et enflamme mon cœur, je l’aime d’un amour sincère et véritable et n’espéré qu’une chose, celle de la garder à jamais auprès de moi et mon cœur.
Je pose la brosse, prend mon laïner, et commence à tracer une fine ligne noir au dessus de mes paupières. Je rebouche le stylo, le pose et retourne dans ma chambre, afin de me chausser. Je prend des bote noir à talon pas très haut, et les enfile, pour après mettre des petites mitaine à mes mains, me parfume légèrement, et une fois prête, prend mon téléphone, sort de ma chambre, et descend les escaliers.
Arrivé en bas, je remarque que ma mère avait Giulia dans ses bras, et cela eu pour effet de me faire sourire. Je me cale à côté du mur et écoute. Elle lui soulève le menton et s’exclame :
Mère de Zane – je ne sais pas se que tu as fait pour que ma fille soit dans cet état, mais je t’en remercie du fond du cœur Giulia, tu sais, Zane n’a pas souvent le sourire du à tout se qui se passe, et je suis sûr qu’elle avait une bonne raison de nous cacher votre relation, tu sais elle ma beaucoup impressionné hier, elle qui a un trac fou dès qu’elle monte sur scène, à croire que l’amour a réussi à la changer ! Tout se que j’espère c’est que tu la rendra heureuse tout au long de sa vie que tu puisse la faire sourire, rire … Car elle a beau avoir un caractère de dur, elle reste une jeune femme très sensible et sentimentale. Je te confit ma fille Giulia, prend en grand soin.
Giulia – tu sais Lidie … J’aime Zane profondément, pour moi, elle est tout ce que j’ai de plus cher au monde, elle est … Ma moitié, mon rayon de soleil, ma femme mais elle est avant tout ma plus belle histoire d’amour, j’en suis éperdument amoureuse, et je suis vraiment la plus heureuse, car Zane est tout se qu’un homme ou une femme puisse rêver d’avoir, elle est douce, adorable aimante, câline fofolle, mais c’est pour toute ses chose qui font d’elle la femme que j’aime et désir plus que quiconque sur cette terre, alors aussi longtemps que je serait sur cette terre, je ferais tout pour la rendre heureuse, parce ce que pour moi elle est la plus belle des mélodies !
Mon cœur se met à cogner fortement contre ma poitrine, mes yeux se ferment et un sourire heureux naquis mes lèvres, Giulia … Mon amour, si tu savait à quel point tes mots me font du bien, je ne regrette pas notre union, et suis fière d’avoir une petite amie telle que toi.
Je me dirige vers elle, et une fois à sa hauteur, je vint l’enlacer posant mes mains sur son ventre et ma tête sur son épaule droite et posa mes lèvres sur sa joue, fermant mes yeux, la berçant tendrement contre moi.
Moi – je t’aime !
Giulia – moi aussi ma chérie.
Ses mains se mêlent aux miennes, et ses doigts me caressent. Je me sent exésivement bien comme sa avec la femme dont je suis follement amoureuse.
Mère de Zane – tu voies Giulia, je ne sais pas se que tu lui a fait mais je suis heureuse de la voir ainsi !
Moi – ce qu’elle ma fait … Elle me rend éperdument heureuse, et ma permise de faire confiance en l’amour, elle est … La femme parfaite à mes yeux, et pour rien au monde … Je ne veux la perdre pour de stupide sourires de satisfactions, elle est … L’amour de ma vie, ma Giulia !
Elle me sourit, et m’embrasse la joue. Oh ma Giulia que je t’aime, mais dieu que je t’aime. Ma mère a le sourire aux lèvres, et je lui dit en posant ma tête sur son épaule :
Moi – dit toi que … Ta fille est vraiment la plus heureuse et que jamais elle ne perdra ce sourire.
Mère de Zane – Zane …
Moi – et sa … Grâce à elle !
Giulia – mon amour je …
Moi – chuut …
Et sans la laisser finir je dépose mes lèvres sur les siennes, lui offrant mon cœur, je suis vraiment heureuse, et espère de tout mon cœur l’être encore pendant longtemps.
Quelques minutes après, Giulia et moi étions parti direction le parc, main dans la main, un panier à la main puisque nous allions finalement pique niquer au parc avec les filles, et chacune de nous n’avaient pas oublier le cadeau pour Shishi et Dolce.
Arrivé à l’entrée du parc, je m’arrête en voyant qu’elle était la. Je ne voulais pas la voir, sinon sa allait mal se terminer, et je n’avait aucune envie de gâcher ma journée avec Giulia.
Giulia – ça va mon cœur ?
Moi – oui, bon eh bien retiens moi si je dois commettre un meurtre.
Elle tourne sa tête, et cette dernière se défigure envoyant cette peste. Je serre sa main, et commence à m’avancer. Je fut stopper, et au moment de me tourner ma jolie blonde me dépose un baiser. Je sourit, et lui rendit avec tendresse. Nos lèvres se claquent et se caressent, jusqu’à se qu’elles se séparent, et je vint lui offrir un doux sourire.
Giulia – ne t’inquiète pas, moi je suis là !
Moi – je le sais oui, et c’est bien sa qui me rend heureuse.
On se sourit, et on poursuit notre chemin vers les filles. Arrivé prêt d’elles, Shishi nous sauta au cou, et Dolce nous fit la bise.
Dolce – vous êtes vraiment très belle les filles.
Giulia/Moi – merci !!
on leur sourit, et je parti m’asseoir prêt d’un arbre, et Giulia vint se lover dans mes bras. J’entoure sa taille et pose mes mains sur son ventre, alors que ses doigts se mêlent au miens, sa tête se pose sur mon épaule droite, et alors que son dos se colle contre moi je pose ma tête sur son épaules gauche.
Shiwa – alors qu’es ce que vous nous avez fait de bon à manger ?
Giulia – espèce de petit goinffre, tu pense déjà à manger.
Dolce – en même temps …
Moi – c’est Shishi.
Shiwa – eh … C’est pas drôle !!
je me suis mise à rire doucement, et lui est posé un doux baiser sur sa joue, la serrant contre moi. Elle est vraiment belle habillé ainsi, ce n’est pas souvent que nous pouvons la voir en robe.
Shiwa – eh mais, c’est que Giulia c’est mise en robe !
Dolce – oh oui, c’est rare de te voir comme sa.
Emilie – un sac poubelle lui aurait mieux convenue !
Moi – eh … Baisse d’un ton, et je ne te permet pas de l’insulter.
Emilie – oh la pauvre, c’est qu’elle a besoin de se faire protéger !
Je vais lui en coller une, je le sent fort. Giulia se défait de notre étreinte, et sous mes yeux intérogateur je la suit. Elle se baisse se mettant face à Emilie et dit d’un ton très calme :
Giulia – c’est bon, tu as fini ? Car j’en est tout à ton honneur !
Emilie – non ce n’est pas fini, si tu savait à quel point je te haie, tu n’est bonne cas apporter le malheur … Non franchement Zane mérite beaucoup mieux que sa.
Giulia – Emilie ?
Emilie – quoi ?
Giulia – et si tu fermer ta bouche pour une fois ? Qu’en dit tu ?
C’est incroyable comment elle peut rester calme avec ce que cette peste lui dit, se qui m’énerve encore plus, on les suit du regard, et toute deux se lève, toujours face à face.
Emilie – et tu croix que je vais t’écouter ? Sans rire, arrête avec tes bonne manières !
Giulia – je peux savoir pourquoi tu me déteste ? Car à preuve du contraire je ne t’ai jamais insulter ou quoi que se soit d’autre.
Emilie – ce que tu m’as fais ? Tu oses me le demander ? Je vais donc être gentille et te raffraîchir la mémoire … Depuis que tes arrivé dans ce bahu, tu tes accaparé tout le monde, tu as même réussi à te mettre dans la poche la fille que j’aime le plus au monde, et sa … En faisant rien, juste à sourire, tu me dégoûte Giulia, comment oses tu être avec elle, elle mérite beaucoup mieux que sa, quand on la voie, on voie bien que c’est une femme qui veux plus qu’un simple baiser ou câli …
Elle venait de tomber sur le sol, sa main sur sa joue, Giulia venais de la giffler, et je suis vraiment fière.
Giulia – comment oses tu parlait d’elle de cette manière, tu ne la connais même pas, c’est toi qui me dégoûte, tu est puéril ma pauvre Emilie, Zane est loin d’être un objet de désir pour autrui, c’est avant ou une jeune femme avec ses sentiments, son amour propre, ses défauts et ses qualités, toi tu ne l’aime juste parce qu’elle est belle et qu’elle a de jolie forme, alors que moi, moi je l’aime pour ce qu’elle est, je la prend tel qu’elle est avec ses défauts et ses qualités, tu dis la connaître mieux que moi, mais en vérité tout se que tu cherche à faire c’est lui faire du mal, as tu pensé une seule fois à ce qu’elle pouvais ressentir, tu sais pourquoi je te déteste tant ? Tu as osé la faire pleurer, la faire souffrir, elle la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle qui est tout se que j’ai de plus cher au monde, tu croix sincèrement que je suis avec elle uniquement pour sa ? Mais si c’était le cas je serait déjà parti, bordel Emilie c’est de Zane que l’ont parle, elle a toujours était là pour toi, et toi comment tu la remercie en la salissant, et en la faisant pleurer ? Mais sache une chose, tu auras beau monter tout le monde contre moi, dit toi bien que je ne la laisserais jamais partir, je ne suis pas stupide au point de croire à des rumeurs car je la connais suffisament pour savoir de quoi elle est capable, alors qu’elle, tout se qu’elle demande, c’est que qu’importe les moments les situations c’est que l’ont puisse l’accepter tel qu’elle est sans lui porter de préjuger, alors si je te voie ne serrait-ce une seule fois toucher un seul de ses cheveux Emilie, tu auras faire à moi, je peux supporter beaucoup de choses, que l’ont m’insulte, me tire les cheveux, mais que l’ont touche à ma femme, c’est une chose que j’insupporte, ta compris !
Emilie – bon j’ai plus rien à faire ici j’me barre.
Giulia – c’est sa, dégage, et ne reviens plus !
Et elle est parti rouge de honte. Je regarde Giulia qui est toujours dos à moi, et je ne pue m’empêcher de sourire, se qu’elle a dit à mon propos me touche beaucoup, je l’aime … Sans qu’elle ne s’en rende compte, elle viens de me prouver qu’elle est celle que j’ai toujours attendue, et que je ne regrette pas de lui avoir confier mon cœur.
Shiwa – alors la … Chapeau, tu as tout mon respect Giulia, tu as réussi à lui cloué le bec une bonne fois pour toute, et surtout … Tu as sauvé l’honneur de notre meilleure amie !
Dolce – et pour nous c’est une très belle preuve d’amitié !
Moi – tu viens de m’offrir la plus belle preuve d’amour Giulia, merci.
Elle c’est tournée vers moi, ses yeux brillées, je sourit, et lui tend mes bras, pour qu’elle vienne s’y lover. J’entour son dos, et de ma main gauche, je vint mêler mes doigts dans sa chevelure.
Moi – merci beaucoup pour ce que tu as fait, tu m’as prouver à part b que tu est celle que j’attendais, merci mon amour !
Giuilia – si je les fait, c’est parce que je t’aime éperdument, et que pour moi tu est la femme de ma vie jolie brune !
Moi – Giulia …
Je lui caresse la joue, et lui offrit mes lèvres pour un long et doux baiser. Je ne sais vraiment plus ou me donner de la tête, c’est une très belle preuve d’amour qu’elle viens de me faire … Et j’en suis vraiment heureuse. Ah ma Giulia.
Shiwa – oh … Que c’est mignon, elles vont vraiment bien ensemble !
Dolce – maintenant que l’ont sais qu’elles sont ensemble, c’est très dure de les voir l’une sans l’autre.
Je sourit, et doucement notre baiser prit fin et laisser place à un câlin. Je lui caresse son ventre, alors que ses mains caressent les miennes.
Giulia – bon alors, à vous deux maintenant, c’est quoi cette chose importante que vous vouliez nous dire !
Dolce – on vous dit merci, car c’est grâce à vous !
Moi – comment sa ?
Shiwa – nous sommes ensemble !
Giulia - quoi ? C’est vrai ? Mais enfin c’est supère !!!
Moi – toute mes félicitations les filles, mais pourquoi c’est grâce à nous ?
Dolce – hier quand tu as fait ta déclaration et ta demande, sa ma ouvert les yeux, quand je vous ai vue vous embrassez devant tout le monde j’ai sourit et je me suis dit, qu’enfin de compte l’amour entre femmes était possible, et je me suis lancé et je lui est dit se que je ressent.
Shiwa – merci les filles !
Moi – bin, ravie de vous avoir aidé.
Giulia – tu as vue, on fait de l’excellent travail.
Je me met à rire en l’entendant dire sa, et mon rire fut suivit bien vite. Shiwa c’est rapproché de nous et nous a passé deux paquets cadeaux que l’ont prit. Ont leur donne nos cadeaux, et chacune commencent à ouvrir son paquet. Pour ma par j’eu droit à quelques bijoux tel qu’un bracelet noir avec des pic, ou bien un collier noir avec des diamant dessus.
Ma douce reçu une chemise de nuit bleu avec un chat avec un bonnet sur la tête, et en haut il y avait son prénom.
Giulia – j’adore, merci beaucoup les filles, et joyeux noël !
Shiwa – merci à vous, et très bon noël.
Dolce – merci !
Moi – de rien.
On se sourit, et les filles mettent se que nous leur avons offert qui était des boucles pour Shiwa et un colier avec une plume pour Dolce. Après et pour le plus grand bonheur de Shiwa nous avons commencé à manger. Des sandwishs au jambon des ships, et une canette de coca pour chacune.
Shiwa – oh c’est très jolie, c’est Giulia qui te l’a offert ?
Moi – oui !
Dolce – c’est supère mignon, et une question les filles, maintenant que vous l’êtes officiellement, vous compté le faire où votre mariage ?
Je sourit, et la serre contre moi, je porte ma canette à la bouche et boie une gorgé de mon coca.
Giulia – peut importe l’endroit ou même l’heure, le plus important c’est que nos cœurs soient uni !
Je sourit, lui embrasse la joue, et la serre d’avantage dans mes bras.
Moi – hm … Et peut importe le lieu, du moment que nous sommes ensemble, c’est le principale !
Giulia – oui, uni à tout jamais !
Moi – pour la vie.
Lui murmurais-je à l’oreille, allant embrasser sa tampe. Ses yeux croisent les miens, et je lui sourit caresse sa joue, et lui offre un clin d’oeil.
Dolce – dis Giulia pourquoi ta autant le sourire ?
Shiwa – c’est vrai sa !
Moi – ah oui, c’est vrai qu’il lui est arrivé de bonne chose ce matin !
Dolce – ah, tu est allé chez elle ?
Giulia – j’y ai dormi.
Shiwa – wath the fuck, allait qu’es ce qui t’arrive ?
Giulia – ah non mais je vous jure celle-ci … En faite, mes parents compte se re marier, ils partent à New York ce soir, et je vais être grande sœur.
Dolce – mais c’est supère sa, mais du coup tu vas dormir où ?
Giulia – avec ma femme.
Shiwa – pourquoi je suis pas étonné ?
Je sourit, et ferme les yeux quelques minutes posant ma tête contre le tronc, laissant le vent caresser ma chevelure, et pense à tout se qui c’est produit durant ses deux ans.
Dolce – oh, Zane tu dors ?
C’est vrai qu’en y repensant, je n’aurais jamais crue avoir assez de courage de lui avouer ce que je ressent … Je n’arrive pas à croire que l’amour, son amour est pue me changer à ce point, savoir qu’elle est ma femme, me rend forte et fière, j’ai envie de soulever des montagnes, de tout faire pour rester avec elle, car il est vrai qu’avec tout se qui se passe il me suffit que je pense à elle et à notre couple pour que mon cœur s’appaise.
Shiwa – ou ou, Zane … C’est plus l’heure de dormir.
Je sent une main sur ma joue, sûrement la sienne. Je la prend délicatement, et colle ma joue gauche contre. Mes lèvres lui embrassent le creux de sa main, et ses doigts me caressent la joue. Son souffle chaud caresse ma peau, et sa voix que j’aime temps résonne au creux de mon oreille.
Giulia – je t’aime ma chérie !
Ses lèvres se collent à ma joue droite, et m’embrassent. Je sourit, et me laisse envahire par ce bonheur. Je tourne doucement ma tête, et alors que ses yeux s’ouvrent, ma bouche caresse la sienne. On se regardent longuement et je lui sourit pour finir par l’embrasser. Sa main caresse ma joue, et la mienne se mêle dans sa chevelure chocolat, elle se rapproche de moi, et aprofondit notre baiser qui se fit plus doux et amoureux.
Nos lèvres se claquent se caressent, et nos yeux s’ouvrent pour ainsi se dévisager.
Moi – moi aussi mon amour.
On se sourit, et avec tendresse, je vint lui faire un câlin qu’elle me rend avec bonheur. Shiwa et Dolce nous regardent avec un sourire accroché aux lèvres.
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Chapitre 1 - Révélation et demande
Point de vue narrateur.
Le soir … Le voilà tombé sur la capitale italienne, par ce soir d’hiver, un soir décembre, nous nous retrouvons devant un lycée qui à cet heure si tardive fut encore ouvert. Ce soir cet établisement était en fête, il y avait le bal de noël, et pour cette occasion tout le monde y avait était convier parents et professeurs.
Non loin du gymnase là ou se déroule la fête, cacher derrière un mur à l’abrit des regards, deux jeunes femmes s’échangent leur amour avec bonheur. Zane une jeune brune aux cheveux mi-long se trouve contre le mur tenant sa petite amie par la taille, et cette dernière qui répond au nom de Giulia qui a une chevelure chocolat et de jolie yeux azur, a ses bras allongés sur les épaules de la jeune brune.
Ses deux jeunes demoiselles partagent leur vies depuis deux ans maintenant. Leurs cœur se sont uni un soir de printemps, lors de l’anniversaire de Giulia qui ce jour là avait reçu le plus beau des cadeaux.
Cette dernière, s’approche de sa douce et approfondit leur baiser, bougeant légèrement sa tête pour ainsi mieux savourer ce moment de tendresse. Zane elle ne cesser de la serrer contre elle, mêlant sa langue à la sienne pour ainsi rendre ce baiser encore doux et brûlent.
En manque d’air, elles se détachent, et leurs yeux se noient l’un dans l’autre. Giulia caresse son front avec le sien, et lui sourit tendrement. La jolie brune emmène sa main à sa joue et lui éffleur doucement, jouant avec son nez. Le vent souffle et fait virevolter leur cheveux, leurs robes qui son toutes les deux noire se plisse avec le vent.
Elles n’avaient pas besoin de parler, chacune d’elles se comprend par un simple regard. Giulia pose sa main gauche sur celle de sa femme et emmêle ses doigts avec les siens. Laissant son cœur se marié au sien.
Giulia – je t’aime ma chérie.
Zane – moi aussi, et plus que tout !
Giulia – Zane …
Zane – chuut …
La jeune brune descend sa main et pose son doigt sur les lèvres de son amour qu’elle caresse doucement, Giulia lui sourit, et vint lover sa tête au creux de son cou côté gauche, et descend ses mains à son dos, lui offrant de douce caresses. Zane se met à sourire, elle commence un geste doux et régulier sur le dos de sa bien aimée, et monte sa main droite à sa chevelure caramel, ou elle prit soin de lui masser tendrement lui déposant un baiser sur sa tempe.
Zane – dis moi … Qu’aimerais tu que l’ont face durant les vacances ?
Giulia – tu sais … L’endroit m’importe peut tant que je suis avec toi.
La jolie brune se met à sourire, et berce tendrement son ange contre elle, son cœur ne cesse de s’emporter, et son ventre la démange, comme si des millions, de papillons caresser son bas-ventre.
Giulia – Ah … Si tu savait à quel point je suis heureuse avec toi, deux ans de bonheur et d’amour.
Zane – oui moi aussi, et j’espère de tout mon cœur que sa durera, car avec toi … Je suis la plus heureuse et comblée des femmes.
Giulia – c’est la plus belle chose que tu m’est dit Zane, je l’espère aussi … Même si il y a quelques tension avec notre groupe, je souhaite rester à tes côtés mon amour.
Zane – et si … On leur disaient ?
Giulia – si tu te sent prête alors je te suis jolie brune !
Zane – hm toi alors … Quand arrêteras tu de me rendre ainsi !
Giulia – comment ça « ainsi » vous m’intriguer mademoiselle Kazama !
Zane élargie son sourire, son bonheur était au summum auprès de la femme qu’elle aime et désir plus que quiconque. Elle lui caresse la joue, et s’approche de son visage.
Zane – de me rendre si amoureuse voyons mademoiselle Celest.
Giulia – dans ce cas, jamais !
Elles s’échangent un tendre sourire, et vinrent de nouveau unir leur cœur dans un long et doux baiser. Giulia colle son corps contre celui de sa douce, et pose ses mains sur ses joues qu’elle caresse. Zane qui ne savait plus ou se donner de la tête, tant son bonheur l’ennivre ressere leur étreinte, et lui caresse son dos, allant sauvagement attaquer sa langue.
Personne n’était là pour briser leur moment de bonheur ou chacune se sentaient de plus en plus ennivrer par leurs émotions les plus profonde, leur désir prit leur cœurs en otage, et leur langues s’enflamment à chaque coup. Un baiser amoureux et langoureux à la fois, une étreinte douce et protectrice, des caresses agréable, et quelques petits son se mariant avec l’atmosphère envoûtante et chaude à la fois.
Point de vue Zane.
Quel bonheur, je n’arrive pas à me défaire de ce sentiment qui me brûle le cœur, elle est si douce, Giulia … Ma tendre Giulia je t’aime tellement fort, deux ans à ses côtés, un véritable bonheur, bien que certaine jalousie me meurtri le cœur je l’aime profondément et en aucun cas je la laisserais filais dans les bras d’une autre. En ce soir de vingt quatre décembre j’avais l’intention de lui demander sa main, et pour sa, avec l’aide de Clément qui est mon frère j’allais passer sur scène et ainsi lui dévoiler une seconde fois mon cœur.
On se détachent doucement, et je lui caresse la joue allant écarter quelques mèches de ses yeux, je lui fait un petit clin d’oeil, et lui embrasse le front.
Moi – aller viens, j’aimerais pouvoir danser un slow avec toi mon amour !
Giulia – avec plaisir ma jolie brune … Je t’aime.
Moi – je t’aime bien plus encore !
Nos lèvres se claquent tendrement entres elles, et c’est le cœur léger et amoureux que nous nous dirigions vers l’entrée du gymnase. Et comme nous allions enfin dévoiler notre relation, je ne compte pas lui lâcher la main que je caresse doucement. Arrivé devant les deux grandes portes, ont s’arrêtent et nos yeux se caressent pendant de longues minutes.
Moi – tu est prête ?
Giulia – avec toi, je serait prête à tout.
Je lui sourit, lui tapote le nez, et enfin entra à l’intérieur. On commencent à s’avancer, et certains nous regardent, mais je m’en fiche, car je suis se que je suis et je ne changerais pas pour voir des sourires de satisfactions. Nos parents étaient aussi là assit sur des bancs à discuter entre eux.
Une fois avoir repérer Shiwa Dolce et Emilie, on se dirige vers le groupe, et Shiwa se jeta sur nous.
Shiwa – enfin … Mais où es ce que vous étiez passé toutes les deux !
Giulia – ah ah, ta curiosité ne te quittera jamais !
Dolce – tu devrais le savoir depuis le temps … Oh mais vous … Vous êtes ensemble ?
Moi – oui !
Giulia – nous sommes ensemble.
Shiwa – j’ai bien entendu, zizou et guigui sont ensemble mais c’est supère !!
Moi/Giulia – arrête de nous appeler comme sa !!!
Dolce – toutes mes félicitation les filles, vous mérité amplement ce bonheur, soyez heureuse ensemble !
Giulia – mais … Nous sommes déjà …
Moi – très heureuse ensemble.
Emilie – et depuis combien de temps ?
Je voie qu’elle est heureuse sa fait plaisir, pff c’est dépriment, toujours à nous parler sur ce ton, le pire c’est que ce n’est cas nous qu’elle fait sa. J’ignore donc sa question, mais il semblerais que ma douce n’est pas aimé ce ton puisqu’elle se met à répliquer :
Giulia – euh … La gentillesse tu connais ?
Emilie – toi je ne t’ai pas parler, Zane mais … Mais comment fais tu ?
Shiwa – eh Emilie tu calme ta jalousie ok, elles ont le droit d’être ensemble !
Moi – et en aucune façon ma vie privé ne te regarde.
Ses bras enroulent mon dos, et sa tête se love dans mon cou. Je sourit, et vint l’enlacer moi aussi contre moi, lui caressant doucement sa nuque de mes pouces. Je lui pose un délicat baiser sur sa tempe, et la berce tendrement.
Dolce – oh … Vous êtes trop mignonne, mais depuis combien de temps ?
Giulia – depuis deux ans maintenant !
Shiwa – deux …
Dolce – ans, mais pourquoi ne pas l’avoir dit ?
Moi – nous voulions juste le garder pour nous, et puis avec ce qui c’est passé il y a deux mois !
Shiwa – c’est sur ! Mais en tout cas félicitation.
Dolce – on vous soutien les filles.
Giulia – merci.
Je lui relève le visage, et lui caresse sa joue, lui offrant un doux sourire, et d’un petit clin d’oeil. Sa main se pose sur la mienne, et ses doigts me caressent.
Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi, … Ma douce et jolie Giulia, tu est le centre de mon univers.
Elle me sourit, et ses lèvres s’unir aux miennes. Je lui caresse la joue, et répond délicatement à sa douceur. Ses mains se mettent sur mon dos, et ses doigts me caressent alors que j’allonge mon bras gauche sur ses épaules et l’autre continue de jouer sur sa paumette, nos lèvres se claquent et se goûtent. Mon cœur bat si fort, je l’aime c’est fou à quel point je peut l’aimer.
Point de vue narrateur.
Alors que les deux jeunes filles continue de s’échanger leur amour, Shiwa et Dolce se mirent à sourire et ne purent s’empêcher de les prendre en photo. Plus loin quatre adultes observé la scène avec un sourire aux lèvres.
? - elles se l’ont enfin dit ! S’exclame une jeune femme blonde
? - je suis heureuse pour elles. Rétorque une seconde jeune femme à la chevelure brune
Les deux hommes qui n’étaient autre que les pères de Giulia et Zane, ne cessaient de regarder leurs filles s’embrasser, chacun surpris de voir une tel union entre les deux jeunes filles, mais quelques part dans leurs cœur il en étaient heureux.
Après ce doux baiser, Zane lui sourit, continuant tendrement son geste sur la joue de sa jolie brune qui lui offrait son plus beau sourire. La jeune brune lui embrasse le nez, et se tourne vers les filles qui à dire vrai, avaient le sourire jusqu’au joues.
Zane – Shiwa, je pourrais te demander quelques chose ?
Shiwa – oui biern sûr, qui y ’a t’il ?
Zane – serait t’il possible que tu film ?
Shiwa – euh oui … Mais filmer quoi ?
Dolce – qu’es ce que tu as en tête Zane ?
Zane – vous verraient bien.
La jeune fille se tourne vers son ange, qui la regarde avec un regard surpris elle aussi, mais cela n’a pas d’importance, elle lui caresse le dos, et lui sourit amoureusement. Zane lui fait un petit clin d’oeil, et la serre dans ses bras. Puis un garçon au cheveux brun et au costume noir et blanc se dirige vers le groupe.
Clément – Zane, c’est bon tu peux y aller !
Zane – ok j’y vais !
Giulia – mais … Tu vas où ?
Zane – ne t’inquiète pas ma belle, je reviens vite !
Elle lui dépose un léger baiser, et vint se séparer de sa petite amie qui se posé bien des questions. Devant tout l’assembler, Zane saisit le micro, Shiwa avait allumé sa caméra, et commence à filmer, se demandant bien se que sa meilleure amie avait en tête.
Clément – Giulia, si j’étais toi, je la regarderais, c’est pour toi qu’elle fait sa !
Giulia – comment ça ?
Clément – regarde la, et écoute attentivement ce qu’elle va te dire.
Giulia de plus en plus surprise regarde sa bien aimée qui la dévisage avec tendresse, lui envoyant un tendre baiser avec ses lèvres. Geste que la jolie brune aprécia, et lui rendit par un clin d’oeil.
Zane – bonsoir à tous, j’aimerais avoir quelques minutes d’attention s’il vous plais, j’aimerais faire une déclaration pour une personne qui m’est cher.
Tous se tue, et Giulia sourit, son cœur ne put s’empêcher de battre, Clément entoure les épaules de la jeune fille, et sourit à sa sœur aînée qui lui rend son sourire.
Zane – voilà maintenant huit ans que je les rencontré, huit longue années à épprouver de fort sentiments à son égard. Pour mon plus grand bonheur, nous avons uni nos cœurs, et voilà deux ans que je vis un véritable bonheur à ses côtés. Elle est tout se qu’un homme puisse rêver d’avoir, elle est … Le centre de mon univers, mon rayon de soleil et la femme de ma vie, mais elle est avant tout … Ma plus belle histoire d’amour, alors en ce soir de vingt quatre décembre, j’aimerais lui demander quelque chose qui me tiens à cœur … Giulia !
Cette dernière avait les yeux qui pétillés, elle était prête à pleurer, Shiwa et Clément la pousse doucement, et c’est le cœur prêt à frôler la crise cardiaque qu’elle se dirige vers l’estrade là ou sa douce l’attendait. Les parents des deux jeunes filles, émue par la déclaration de Zane, se demandé bien se que la jeune brune allait demander à Giulia qui était au bord des larmes.
Cette dernière une fois prêt de la jeune brune, la regarde, alors que Zane s’avance et lui caresse la joue pour finir par prendre sa main.
Zane – Giulia mon amour sa fait deux ans que j’ai uni mon cœur au tiens, et je ne le regrette pas, je t’aime d’un amour sincère et véritable, et peut importe se qui arrivera, je serait toujours là pour toi … Alors j’aimerais te demander quelque chose d’important !
Clément se dirige vers la scène et tend à sa sœur un petit écrin bleu nuit en velours, Giulia ne savait pas se qui allait se passer, son cœur bat tellement vite. La jeune brune, se tourne vers sa femme, et s’exclame en posant un genou à terre, et en prenant la main de sa douce qui allait finir par pleurer pour de bon.
Zane – ma chérie, je suis profondément amoureuse de toi, et je n’aurais jamais crue être aussi heureuse, alors moi Zane Kazama te demande avec sincérité … Giulia Celest veux tu devenir ma femme ?
Le cœur prêt à bondir hors de sa poitrine, Zane ouvre l’écrin révélant une bague en argent avec un petit diamant. Giulia avait fini par verser ses larmes de bonheur, sa main plaqué sur sa bouche, elle était vraiment heureuse, elle ne s’y attendait pas du tout, et c’est plus heureuse que jamais qu’elle s’exclame :
Giulia – oui … Oui je le veux !
Zane sourit, heureuse laisse échapper une petite larme et se lève pour ainsi glisser l’anneau à l’annulaire gauche de son amour.
Zane – je t’aime, c’est avec toi que je veux construire mon futur.
Giulia – oh Zane, si … Si tu savait à quel point je suis heureuse, mon amour, ma femme !
La jolie brune sourit de plus belle, et devant tout l’assembler qui ne disait plus rien elles s’embrassèrent amoureusement. Des larmes de joie dévalent les joues des deux jeunes filles qui était à présent au delà du bonheur. Dolce et Shiwa étaient ému et n’avaient pue retenir leurs larmes de joie.
Un clapotement se fait entendre, puis un second un troisième, jusqu’à que ses clapotements se transforment en applaudissement. Zane et Giulia continuent de s’embrasser avec tendresse, heureuse de voir que leur histoire devenait sincère et véritable.
Doucement elles se détachent, et leurs yeux qui sont embué de larmes se caressent, Zane porte sa main à sa joue et lui caresse, elle était vraiment heureuse d’avoir eu le courage de faire sa demande alors qu’elle a une trouille monstre dès qu’elle monte sur scène. Giulia quant a elle, n’arrivait pas à croire à se qui venait de se passer, elle était vraiment heureuse. Elle s’approche de sa fiancée, et lui caresse la joue, repoussant quelques mèches de ses yeux, ne retenant pas une petite larme.
Giulia – tu viens … De combler mon bonheur, je suis tellement heureuse, Zane … Je t’aime, et je ne veux plus être loin de toi … La mia donna.
Zane se met à sourire, elle lui embrasse sa main, et lui murmure :
Zane – je t’aime aussi très fort ma belle, et en aucun cas, tu sera séparé de moi et mon cœur.
Elles se sourirent, et heureuse, elles descende de l’estrade main dans la main plus uni et amoureuse que jamais. Shiwa et Dolce se dirigent avec rapidité vers les deux jeune filles. Et hurlèrent de joie.
Dolce – mais c’est génial, oh les filles, je suis si heureuse, toutes mes félicitations et bravo à toi Zane c’était magnifique !
Shiwa – vraiment, je ne sais pas quoi dire, je suis si heureuse, tout mes voeux de bonheur à vous deux, et que votre histoire dure éternellement.
Zane – je ne compte pas la laisser filer !
Giulia – et je ne suis pas prête à quitter ses bras.
Point de vue Giulia.
Ce soir, elle ma comblé de bonheur, j’étais vraiment heureuse … Heureuse que nos cœurs se soit définitivement enlacés. Je lui embrasse le cou, et caresse ce derner de mon pouce, le cœur prêt à frôler la crise cardiaque.
Puis un slow commença, et Zane c’est tourné vers moi et me demande :
Zane – m’accorderais tu cette danse ?
Moi – avec plaisir mon amour.
On se sourit, et alla se mélanger à la foule qui à dire vrai nous observé, mais je n’ai que faire, je l’aime éperdument, et je ne suis pas prête à la laisser partir pour de simple sourires. J’allonge mes bras sur ses épaules, colle mon corps contre le sien et la dévisage avec amour. Ses bras s’aventurent à mon dos, elle me serre contre elle, et on commencent à danser, suivant le rythm de la musique.
Moi – tu m’as offert, le plus beau des cadeaux Zane, je suis si heureuse, nous allons pouvoir construire un futur ensemble, rien que, toi et moi, ti amo ti amo ti amo.
Elle me sourit, et me serre dans ses bras, et doucement elle se mit à chanter les parole de la chanson qui était de Nevio uns de mes chanteurs favoris, et le titre de cette chanson était Giulia comme moi.
Zane -
cammineró senza di te
hai confini dell ricordo
e troveró la strada che
ho perduto in un momento
ameró la solitudine
empiroglio chi mi nuvole
e cominceró riprendermi
il futuro che non c’é
Refrain:
giulia giulia
io non so dove sei ma ti sento arrivare
giulia giulia
sei una favola che non doveva finire
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
oh giulia
nasconderó dentro di me
la paura di cadere
ritroveró la libertá
la mia voglia di volare
e dispetero fra gli alberi
tutti i miei pensieri fragili
che mi inseguono non sanno
dove andare senza te
Refrain:
giulia giulia
tu ritorni da me con il vento d’estate
giulia giulia
sei la mia meno di con parole sbagliante
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
anche senza di te io vivró respirando á ti
e ti sento ancora li
chiudi gli occhi e rivedo nel vento gli imagini
che non voglia andare via
solo un attimo d’amore dentro me ooh
Refrain:
giulia giulia(giulia giulia)
aahh giulia (giulia giulia)
sei l’azzurro dell cielo quando é primavera
giulia giulia
sei una voce che arriva improvisa leggera
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sara la mia musica
ohh giulia
une larme roule sur sa joue, je lui sourit, et vint lui retirer la petite larme par un baiser. Je colle mon front contre le sien, et lui murmure tendrement :
Moi – tu ne te rend pas compte à quel point tu viens de me rendre heureuse, ne pleur pas, tu est merveilleuse ma chérie, et j’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir.
Zane – je t’aime, si tu savais à quel point je peux t’aimer Giulia !
Moi – moi aussi je t’aime Zane, je t’aime énormément, tu est à ce jour la mia più bella storia del amor !
Elle me sourit, et vint m’embrasser resserant notre étreinte, je l’aime c’est fou comme je l’aime. Je ferme mes yeux et répond tendrement à son baiser. C’est ainsi que notre soirée s’achève, par une dernière embrassade avant de rentrer chez nous. Sa a était la plus belle soirée de ma vie et … Je ne suis pas prête à l’oublier.
Point de vue narrateur.
Quelques heures plus tard, le bal venais de prendre fin, et tous le monde commencent à gagner la sortie du lycée pour ainsi rentrer chez soie. Dans une rue italienne, ou le vent souffler et les réverbères enlumine la rue Zane et Giulia main dans la main marche vers la deumeur des Celest.
Juste derrière les jeunes filles se trouve leurs parents qui les regardent n’en revenant toujours pas de la révélation que leur filles leur avaient offert. Giulia pose sa tête sur l’épaule droite de sa douce qui se met à caresser sa main, lui offrant un doux baiser.
Arrivé devant chez Giulia, cette dernière toujours enlacé dans les bras de Zane se tourne, et les adultes comment à parler.
Mère de Giulia – bon et bien, merci pour la soirée !
Père de Zane – ce fut un plaisir.
Mère de Zane – dites, vue que les vacances sont commencé, Giulia sa te dit de dormir à la maison ?
Giulia – oui pourquoi pas.
Mère de Zane – tu en pense quoi Zane !
Père de Zane – tu te doute bien que cela ne va pas la déranger.
La jeune brune sourit, elle relève doucement le menton de sa douce et lui caresse la joue, lui offrant un tendre sourire.
Zane – je serait même heureuse de passer ma soirée avec elle !
Giulia – moi aussi.
Elles s’échangent un sourire, et s’embrassent amoureusement. Les quatre adultes se mettent à sourire, en voyant leurs enfants si uni. Après ce doux baiser, la jolie blonde se serre contre sa bien aimée qui se met à caresser sa chevelure.
Père de Giulia – je n’aurais jamais cru les voir si proche !
Giulia pose sa main sur la joue de Zane et la caresse, cette dernière ne pue s’empêcher de sourire, elle ne pouvais croire à tout sa … Un véritable compte de fée, son bonheur était enfin au complet.
Zane – je t’aime.
Giulia – moi aussi mon amour !
Elles se sourirent, se posent un délicat baiser, et la jolie blonde vint se séparer de sa bien aimée, pour regagner sa maison afin d’aller préparer son sac. Avec le sourire, la jeune fille sous les yeux doux de ses parents monte à toute vitesse les escaliers, et regagne sa chambre. Sa mère se poste au coin de la porte, les bras croiser sur sa poitrine, et elle regarde sa fille, qui venais de se mettre à siffloter de bonheur.
Giulia – oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor.
La jeune blonde fini de mettre ses affaires de toilette dans son sac, n’oubliant pas de prendre le cadeau pour son amour. La mère de famille, était vraiment heureuse de voir sa fille si épanouie.
Giulia se tourne, et sursaute en voyant sa mère qui souriait depuis tout à l’heure. La jeune fille commence à sortir de sa cha mbre, et sa mère ferme la porte.
Mère de Giulia – si tu savais à quel je suis heureuse de te voir comme sa.
Giulia – je suis vraiment amoureuse maman !
Mère de Giulia – je le voie bien.
Mère et fille s’échangent un sourire, et finissent par descendre ainsi rejoindre les autres qui se trouvaient toujours dehors. Giulia embrasse ses parents, et se dirige vers l’amour de sa vie qui l’accueillit avec un doux câlin.
Mère de Giulia – Zane ?
Zane – oui ?
Mère de Giulia – je ne sais pas se que tu as fait à ma fille, mais je t’en remercie.
Zane se met à rire, un rire délicieux aux oreilles de Giulia qui vint l’embrasser sur la joue, et fini par lui prendre la main. Elles s’échangent un doux regard, Zane lui fait un clin d’oeil et lui tapotte le nez, et c’est heureuse qu’elles partir direction la demeurre des Kazama.
Zane – cas tu dis pour que Annette me dise sa ?
Giulia – sa t’intéresse ?
Zane – tout se qui te touche m’intéresse.
Giulia se met à sourire, elle cale sa tête au creux de son cou, et lui dépose un léger baiser. Zane se met à sourire, elle ressere leur étreinte, et elles continuent de marcher toutes les deux plus heureuse que jamais. Quelques minutes après, les deux jeunes fille arrivent devant la maison des Kazama, et Lidie la mère de Zane se dirige vers le petit péron pour ainsi ouvrir la porte. Tous rentrent, et les filles embrassent les deux adultes et montent en suivant dans la chambre de la jolie brune.
Celle-ci ferme la porte, et se dirige vers Giulia qu’elle enlace par la taille posant ses mains sur son ventre, et lui dépose un baiser dans son cou.
Zane – alors, tu vas me dire se que tu as dit ?
Giulia – mais qu’elle curieuse on dirait Shiwa.
Zane se met à rire … La jolie blonde cale son dos contre la poitrine de sa douce et murmure tendrement en prenant ses mains dans les siennes.
Giulia - oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor … Voila se que j’ai dit.
La jolie brune se met à sourire, elle dépose ses lèvres sur la joue de sa bien aimée, et ferme ses yeux, savourant les paroles que Giulia avait prononcé à son égard. Son cœur bat tellement vite, elle lui caresse son ventre, et fait durer le plaisir, pressant sa bouche un peut plus sur la joue de sa femme qui sourit, et se laisse envahir par le bonheur.
Giulia – je t’aime Zane !
Cette dernière ne répond pas, mais sourit et prolonge son baiser le rendant plus doux et long. Elle se sentait si bien là comme sa, son cœur ne cesse de la rappeller à l’ordre, mais la jeune Kazama refuse de coopérer tant le bonheur est grand.
Zane * je t’aime bien plus que sa encore mon amour *
pense t’elle, en la berçant tendrement contre elle. Elle se décolle doucement et la serre plus fort contre elle.
Zane – joyeux noël ma chérie !
Giulia – joyeux noël à toi aussi mon amour.
La jolie blonde prend son sac et en sort le cadeau de sa bien aimée, et lui offrrit avec le sourire.
Giulia – quand je l’ai vue j’ai pensé à toi.
Zane sourit et saisit le petit sac. Elle apercut une feuille plié en deux, et un petit écrin, elle saisit le petit écrin, et l’ouvre devant les yeux amoureux de sa fiancée. Son cœur se met à cogner, et son regard s’adouci en voyant le contenue de l’écrin. A l’intérieur de cette dernière se trouve une gourmette en argent, et sur la petite plaque métalique il y avait écrit « Ti amo » Giulia saisit le bijou, le détache, et le passe autour du poignet gauche de sa bien aimée, qui finit par l’enlacer lui caressant le dos.
Zane – merci mon ange, elle est magnifique.
Giulia – de rien, et joyeux noël !
Zane – à toi aussi Giulia, j’espère de tout mon cœur que notre histoire ira loin, il n’y a qu’avec toi que je veux construir mon futur, et sa au creux de tes bras.
Giulia – le sentiment est partager, moi aussi je l’espère de tout mon cœur, rester au creux de tes bras encore longtemps !
Leur regard se croisent et se caressent, Zane allonge ses bras sur ses épaules, et toutes deux ferment leurs yeux pour ainsi unir leur cœur. Un doux baiser commence alors entres les deux jeunes filles qui se rapprochent de plus en plus, Giulia enroule ses bras au dos de Zane et caresse se dernier, penchant légèrement sa tête sur la droite, mêlant sa langue à la sienne. Zane plaque ses main à sa nuque et la caresse, montant sa main gauche à sa cheveulure, lui retire son élastique et mêle ses doigts dans ses cheveux lui massant agréablement. Leur corps ne cesse de se rapprocher, ils se pressent et se caressent.
Chacune intensifi leur baiser en se serrant l’une contre l’autre. Tout était parfait maintenant, elles étaiennt heureuse et éperdument amoureuse l’une de l’autre et ne cesser de se le montrer par des geste d’affections.
Leur lèvres se claquent et se goûttent, et leurs regards se dévisagent se parlent longuement et amoureusement.
Zane – oh Giulia …
Elle emmène sa main à sa joue et lui caresse. Toutes deux s’échangent un sourire, et finissent par s’enlacer tendrement. Giulia pose sa tête sur l’épaule gauche de sa bien aimée et lui caresse le dos, lui offrant un délicat baiser. Zane ne bouge pas, juste à sourire et répondre à son étreinte.
Giulia – dis mon amour …
Zane – oui ?
Giulia – et si … Pendant les vacances on allaient à Venise ? Rien que toutes les deux en tête à tête.
La jolie brune sourit, elle lui soulève son menton, et lui murmure en la dévisageant avec tendresse.
Zane – avec toi, j’irais n’importe où !
Giulia – je t’aime.
Zane – je t’aime aussi ma jolie brune !
Elles se sourirent, Zane lui fait un clin d’oeil, et dépose sees lèvres sur les siennes pour un doux baiser. Non décidement tout leur souriait elles étaient heureuse et combler de bonheur ensemble.
Quelques petites minutes après Giulia était parti prendre sa douche, alors que Zane qui c’était déjà raffraîchit se trouve assise sur son lit, muni d’un short blanc et d’un débardeur noir, ses cheveux mouillés lui touchant la poitrine lisait le petit mot que sa jolie blonde lui avait laisser.
Zane * ma chérie, il est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je suis la plus heureuse des femmes, tu me comble de bonheur et ne cesse jamais de me faire sourire, tu est l’amour de ma vie … Ma jolie brune, toi qui enflamme et réchauffe mon cœur, tu a sue atiser la flamme, et je suis vraiment éperdument amoureuse de toi, tu est la femme de ma vie mon amour, mon ange, mon cœur, mon rayon de soleil, tu est la cerise sur mon gâteau, la crème de mon cappushino, et je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, et peut être un jour fonder notre famille toutes les deux, je t’aime et te serait à jamais fidèle, Ti amo la mia donna. *
les yeux de la jeune brune se mettent à pétiller, elle caresse le bout de papier et regarde la petite gourmette à son poignet. Sa main droite se pose sur un pendantif en argent que Giulia lui avait offert pour leur toute première Saint Valentin, sur ce petit cœur il y avait le mot ’ Je t’aime ’ et Zane serre le bijou dans sa main, ne retenant pas une petite larme de bonheur.
Elle était si heureuse d’avoir une tel place dans la vie de la seule femme qu’elle aime et désir ardement. Sa main monte à sa bouche et ses doigts caressent ses lèvres, ses yeux se ferment et elle se remémore toute son histoire avec la jolie blonde, elle repense à tout ses moment de joie d’amour et de bonheur, même si quelques fois elles se sont prit la tête, se n’étais rien de méchant puisqu’à chaque fois leur amour grandissait et devenait plus fort.
Elle prend son téléphone, met ses écouteurs et se met une chanson qu’elle aimé tout particulièrement une de Nevio ’ Amore Per Sempre ’ sa tête se pose sur le mur et serrant le bout de papier elle se laisse envahir par la musique.
Zane * Giulia je suis vraiment heureuse avec toi, tu fait tout mon bonheur. *
« It’s only three words
amore per sempre
’cause living this life is all I can do
It’s only three words
amore per sempre
and you always get what’s coming to you
It’s only three words
amore per sempre! »
fredonne doucement Zane en souriant, laissant son cœur s’épanouir. Quelques larmes roulent sur ses joues, c’est la première fois qu’elle était dans cet état, le bonheur avait prit son cœur en otage, et même si elle est de caractère un peu garçon manqué, elle n’en reste pas moins une jeune femme avec ses rêves, ses désirs, et ses sentiments, elle se révèle être une jeune femme sensible et très sentimentale.
Zane – T.I A.M.O.
Elle sourit de nouveau et se laisse bercer par la mélodie. Quelques second après Giulia sort de la salle de bain fraichement lavé, elle porte un petit short noir et un débardeur blanc. Elle se met à sourire en voyant sa bien aimée ainsi, elle s’approche et remarque qu’une larme roule la joue de Zane, inquiète, la jolie blonde s’approche d’elle et s’exclame :
Giulia – ma chérie ça va ?
Zane – viens.
Sans se faire prier, Giulia alla se lover dans les bras de son amour, et entour son dos, et pose sa tête sur son épaule gauche. Zane allonge ses bras sur ses épaules et ses doigts partent caresser sa nuque, lovant sa tête dans son cou, lui offrant un tendre baiser.
Zane – moi aussi … Je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, laisser le temps se faire et qui sait peut être à fonder notre famille, ma Giulia je t’aime plus que tout, et ferais tout pour te garder auprès de moi mon amour.
La jeune blonde se met à sourire, elle se serre contre sa femme, et lui embrasse le cou. Se laissant bercer par le câlin de la jolie brune qui commencer peut à peut à s’endormir. Giulia lui caresse sa chevelure et la câline, elle vint la regarder et un tendre sourire apparu sur ses lèvres en voyant sa douce dormir. La soirée avait était riche en émotion pour les deux, et chacune avaient besoin de repos pour être en forme et pouvoir commencer leur vacances.
Giulia se lève, et alla fermer la lumière, elle se dirige vers le lit, grimpe dessus, et vint retirer les écouteurs des oreilles de Zane qui c’était profondément endormie. La jolie blonde, retire la couverture et couvre sa fiancée, ramenant la couette sur elles, pose sa tête sur son épaule et lui murmure avant de s’endormir à son tour.
Giulia – bonne nuit mon amour.
Elle lui embrasse le cou, et ferme ses yeux, le sourire aux lèvres, elle pose sa main sur le bras droit de la jeune brune, et fini par s’endormir heureuse de sa soirée qui avait était l’une des plus belle.
Chapitre 2 – Tout pour elle.
Point de vue narrateur.
Au alentours de neuf heure, la jolie blonde se réveille, et emet un long baillement. Elle se tourne, et remarque que sa bien aimée n’était pas la, donc elle se redresse et s’étire longuement avant de quitter ses draps et d’enfiler une robe de chambre bleu, qu’elle ferme avec une longue liane. Elle s’attache les cheveux en une queue de cheval, et prend son téléphone qu’elle prit soin d’allumer.
Quand ce dernier s’allume, Giulia remarque qu’elle a reçu des messages, et elle fut surprise du nombre, en effet elle avait reçu quarante messages en une nuit. Elle appui sur message et lorsqu’elle vis qui lui avait envoyé tout ses messages elle referme son téléphone et sort de la chambre pour se rendre dans la cuisine. Le destinataire de ses messages était Emilie, et connaissant cette dernière la jolie blonde ne prend pas le risque de répondre car à tout les coup se sont insultes.
Point de vue Zane.
Alors que je porte mon bol à ma bouche, deux bras s’enroulent autour de mon cou, et des mains se mirent à caresser ma peau. Je me tourne et sourit en voyant que c’était ma douce qui venais de se lever et qui à mon avis n’est pas tout à fait réveillé. Je porte mes lèvres à sa joue et lui embrasse avec douceur prenant doucement sa main dans la mienne.
Moi – bonjour belle au bois dormant, bien dormit ?!
Giulia – oui, très bien.
Elle me sourit et m’embrasse, je sourit et la serre contre moi. Doucement, notre étreinte se desserre, et elle parti se faire son déjeuner. Son portable se met à sonner, et je l’entend râler.
Giulia – pff … Elle peut pas me laisser tranquille.
Moi – c’est qui ?
Giulia – à ton avis ? C’est EmilIe, j’ai reçu quarante sms d’elle pendant la nuit.
Moi – elle deviens lourde avec sa.
Giulia – oui et elle commence sérieusement à m’énerver.
Vraiment, elle commence a être chiante, je n’arrive pas à la supporter, et j’ai horreur de l’opignon qu’elle porte sur les gens, qui est tout bonnement grotesque.
Giulia – va falloir faire quelques chose sa peut pas continuer comme sa !
Moi – oui lui mettre les points sur les i serait une bonne idée, car moi même je ne la supporte pas.
Giulia – on est deux !
Elle se tourne, et me sourit, je lui fait un petit clin d’oeil, et elle vint prendre place à ma droite. Alors qu’elle verse du chocolat dans sa tasse, je lui écarte une mèche de ses yeux, et lui offre un baiser.
Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi ma belle !
On se sourirent, s’embrassent avec douceur, et c’est avec le sourire que je reprend mon déjeuner. Son portable se met de nouveau à sonner, et cela eu pour effet de m’irriter.
Giulia – bon, tu peux voir se qu’elle veux !
Moi – dack.
Je prend doucement le téléphone, et lorsque ce dernier s’allume un doux sourire apparue sur mes lèvres en voyant son fond d’écran de vérouillage qui était une photo de moi avec les cheveux attacher, et juste en bas il y avait un cœur avec les deux première lettre de notre prénom et entre eux un petit plus prenait place, mon cœur se met à cogner fortement … Ah, ma Giulia, que je t’aime, je fait glisser mon pouce et plusieurs cercles apparue, je lui demande :
Moi – c’est quoi ton code mon ange ?
Giulia – la première lettre de ton prénom.
Je sourit, et reproduit le z avec mon pouce. Un autre battement fugace frappe ma poitrine en voyant son fond d’écran d’accueil qui était une photo de nous en train de nous embrasser et juste en bas il y avait écrit ’ la mia donna ti amo ’ je sourit, caresse doucement l’écran, et me dirige vers ses messages.
En effet, c’était bien Emilie qui lui avait envoyé tout ses messages, j’appui sur son prénom, et une fois que je fut sur la page, je remonte mon pouvce afin de tout lire.
Moi * comment as tu osé te l’accaparer ? Tu n’est qu’une salope Giulia, Zane ne te mérite pas, elle mérite quelqu’un de mieux comme moi *
non mais elle croix trop au père noël celle-là, faut vraiment qu’elle arrête son délire, je descend et les second messages eu pour effet de me faire mal au cœur.
Moi * elle a de très belle formes, une généreuse poitrine, de belles cuisses, elle est délicieuse, j’espère que tu ne goûtera jamais à son pêcher qui n’appartiens cas moi, elle est tellement belle, et franchement une femme comme elle ne veux pas passer son temps à faire juste des câlins et se contenter de simple baiser, non une femme comme elle désir beaucoup plus, que l’ont la prenne et la goûte tout doucement *
encore une … Qui me prend pour un objet sexuelle, mon cœur me fait mal, et je sent les larmes me monter aux yeux, ce sujet, j’y était très sensible, ayant subi de nombreuse moquerie là dessus et j’en reçoit encore aujourd’hui. C’est pour sa, que je me suis forgé ce caractère de garçon manqué car avec lui je peut surmonter cet obstacle car en dehors de sa, je suis très sensible, et je peux me mettre facilement à pleurer, seule Giulia connais ce côté là de moi.
Je ferme le téléphone, le pose sur la table et me lève, pour aller prendre un morceau de sopalin et m’essuie les yeux, j’ai horreur que les gens me voie ainsi et me prenne comme bon leur semble.
Giulia – ma chérie ça va ?
Je l’entend se lever, et ses bras entour ma taille, ses mains se posent sur mon ventre, et ses doigts me caressent. Je ne retiens plus mes larmes qui se mettent à rouler sur mes joues.
Moi – j’en est plus qu’assez que tout le monde me prenne ainsi, comme un objet sexuelle, j’en est marre de ceux qui ne pense cas sa, en me voyant, j’en est assez d’être une bête de foire à leur yeux, ils prétend que je suis une femme qui attend bien plus que sa, alors que … Que c’est faux, tout ce que je veux, c’est être aimé, et que l’on prenne soin de moi. Quand es que ce menssonge prendra fin !!!!!
je n’y arrive plus c’est vraiment trop dure, je tape violemment mon point contre le plan de travail et font littéralement en larmes. Je me sent tourné, et mes yeux qui sont rouge croisent ceux de ma douce, qui s’approche et pose ses mains sur mes joue, et repousse mes larmes.
Giulia – chuut … Ne te met pas dans cet état ma chérie, tu n’est pas une bête de foire ou un objet sexuelle, si les gens apprenait à mieux te connaître, ils remarquerons que tu est une femme extraordinaire, une femme qui possède un cœur en or, une femme magnifique avec ses défauts et ses qualités, tu vaut bien plus que sa. Quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi, pour t’épauler, te soutenir et t’aimer, t’aimer du plus profond de mon cœur, car pour moi Zane Kazama, tu est bien plus que sa, tu vaut bien plus que tout ses gens qui te critique, tu est ma femme, l’amour de ma vie … Et même si d’autre te dirons des chose malsaine, dit toi une chose mon cœur … C’est que q’importe la situation les gens qui t’aime vraiment serons ici dans ton cœur, Eric, Lidie, Shishi Dolce, Clément mes parents, et moi même seront toujours la pour toi, et nous t’aiderons du mieux que l’on peut car pour nous tu est importante, et pour moi, tu vaut tout l’or du monde !
Giulia … Je pose ma main sur la sienne, et ferme les yeux. Ses paroles danse dans ma tête et réchauffe mon cœur, je m’avance et me love dans ses bras. Posant mes mains sur son dos et lovant ma tête au creux de son cou côté gauche et pleur doucement en la serrant contre moi.
Moi – merci … D’être toujours là, je … Je ne veux pas te perdre Giulia, tu est tout se que j’ai de plus cher en ce monde.
Giulia – tu ne me perdra jamais mon amour, parce ce que … L’amour que je ressent à ton égard est bien plus fort que ses stupide critiques.
Elle ma soulevée le menton, et me regarde. J’allonge mes bras sur ses épaules, et m’approche d’elle, une larme roule sur sa joue, et sa voix que j’aime tant resonne :
Giulia – tu vaut bien plus que sa, je ne pourrais jamais t’abandonner Zane je t’aime beaucoup trop pour sa.
Ma chérie … Je lui sourit doucement, emmène ma main gauche à sa joue, et lui essui cette dernière avant de poser mes lèvres sur les siennes. Mon dos se colle contre le plan de travaille, et je vint lui caresser sa nuque alors que ses bras caresse mon dos. Sa tête se penche légèrement sur la gauche, et je laisse ma langue allait câliner la sienne, la serrant aussi fort que je le pouvait contre moi.
Je refuse de la perdre, pour cette peste … Je m’y refuse, elle est la seule qui me comprenne et sais me fait sourire et apaiser mon chagrin comme la. Elle est tout … Se que j’ai de plus cher au monde.
Je continue de l’embrasser avec tout l’amour que je ressent pour elle, elle est la femme que j’ai toujours attendue. Et c’est ensemble que l’on surmontera tout. On se décollent doucement, et je lui caresse la joue, elle est tellement belle … Je lui embrasse le bout du nez, et vint la serrer dans mes bras.
Giulia – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi !
Moi – moi aussi, tu pourras toujours compter sur moi mon amour, je t’aime.
Giulia – je t’aime bien plus que sa encore !
Ses lèvres caressent mon cou, et ses bras resserent notre étreinte. Au bout de quelques minutes, je me trouver dans la cuisine avec ma mère, Giulia était parti se doucher.
Mère de Zane – tu sais … Tu m’as beaucoup impressionner hier.
Moi – ah bon !
Mère de Zane – oui, toi qui a un trac monstre quand tu montes sur scène, tu m’as impressionner, et puis … C’est tellement beau se que tu as fait et dit.
Moi – c’était sincère maman, je … Je ne montre peut être pas mes sentiments mais je l’aime profondément, et ne souhaite que son bonheur.
Mère de Zane – j’espère que vous serait heureuse ensemble !
Moi – nous sommes déjà très heureuse, tu n’as pas à t’inquiéter la dessus.
On se sourit, et quelques petite minutes après ma douce fit son apparition, elle est vraiment belle, elle porte une robe en jean noir se fermant avec des boutons, des colant noir prend place sur ses jambes, et ses cheveux son retenue par un mini chignon, laissant ses deux longues et fine mèches caresser ses épaules.
Moi – tu est magnifique !
Giulia – merci.
Elle me sourit et se dirige vers nous. Ma mère eu la même impression que moi, je recule avec ma chaise, et vint la prendre dans mes bras. J’entoure sa taille, et lui caresse le dos, alors que ses bras s’allongent sur mes épaules.
Mère de Zane – tu est vraiment très jolie comme sa Giulia !
Giulia – merci Lidie.
Je lui émbrasse sa joue et la câline tendrement. Soudain son téléphone se met à sonner, elle le prend et je remarque que c’est Annette, son dos se pose contre ma potrine, et elle vint répondre à l’apel.
Giulia – oui allo ?
Annette – bonjour ma chérie, comment vas tu ?
Giulia – bonjour maman, ça va très bien et toi ?
Annette – tout vas pour le mieux, dis moi Lidie serait là ?
Giulia – oui , elle est en face de moi.
Annette – pourrais tu me la passer ?
Giulia – oui. Lidie ma mère veux te parler !
Mère de Zane – ok.
Ma mère prend son téléphone, le porte à son oreille, et commence à parler. Je prend doucement sa main gauche, et lui caresse, posant ma tête sur son épaule droite. Je voie ma mère faire un énorme sourire, je me demande bien se que Annette a pue lui dire.
Giulia – au faite mon ange !
Moi – oui qui y a t’il ?
Giulia – Shishi m’a appellé, elle et Dolce veullent nous parler, et il faut qu’ont les rejoingne au parc, sa te dis ?
Moi – tant que je suis avec toi, sa me va.
Giulia – tes vraiment adorable !
Je lui sourit, et lui dépose un léger baiser. La serrant contre moi, et laissant mon cœur s’emporter.
Mère de Zane – bon eh bien, c’est parfait je lui dit, et toutes mes félicitations !
Et c’est avec le sourire que ma mère coupe leur communication rendant le portable à mon amour, que je prit soin de câliner.
Mère de Zane – alors Giulia j’ai deux grandes nouvelles à t’annoncer !
Giulia – ah … Et qu’es ce que c’est ?
Mère de Zane – alors la première Annette et Pierre s’en vont à New York ce soir !
Giulia – quoi ?? mais … Mais pourquoi ?
Mère de Zane - détend toi, ils s’en vont à New York pour la simple raison que Pierre à fait une seconde demande en mariage à ta mère, et ils on décidés de se re marier aux Etats Unis, et la seconde, tu vas être grande sœur !
Moi – mais c’est génial !!
c’est supère, je regarde ma douce qui était encore sous le choc, elle se met à sourire, et tout en mêlant ses doigts aux miens elle s’exclame :
Giulia – mais c’est génial !!! oh mon dieu, moi qui est toujours rêvé d’être grande sœur … Mais si ils partent à New York, je doute qu’ils veulent de leur fille se qui est logique, je vais aller où alors ?
Mère de Zane – ici !
Giulia – comment ça ici ?
Mère de Zane – Annette ma demander si on pouvais te garder pendant quelques mois, et j’ai dis oui !
Moi – et tu ne dérange pas, ici, tu est la bienvenue.
Giulia – comment tu sais que j’allais dire sa ?!
Moi – n’oublie pas que sa fait deux ans que nous somme ensemble et que plus les jours passe et mieux j’apprend à te connaître ma chérie.
Giula – toi alors …
Elle me sourit et dépose ses lèvres sur mon nez. Je sourit, ferme les yeux et me laisse envahir par le bien être et le plaisir. Après sa, je suis aller m’habiller … J’enfile un slime noir, un débardeur noir surmonter d’un tee-shirt blanc avec des strasse formant une tête de mort, une ceinture grise avec le sigle de Dloce & Cabana.
Je me dirige vers la salle de bain qui est incorporé dans ma chambre, et me rend jusqu’au lavabo, ou je prit une brosse et commence à me coiffer. Pendant de longues minutes je me regarde, j’aimerais tant que tout ses dire cesse, parce ce que même si je suis de caractère un peux garçon manqué, je suis très sensible, et cela faisait longtemps que je n’avais plus pleuré comme ce matin.
J’esquive un sourire, continue de me coiffer, et pense à ma douce, j’ai vraiment beaucoup de chance de l’avoir à mes côtés, elle est celle qui réchauffe et enflamme mon cœur, je l’aime d’un amour sincère et véritable et n’espéré qu’une chose, celle de la garder à jamais auprès de moi et mon cœur.
Je pose la brosse, prend mon laïner, et commence à tracer une fine ligne noir au dessus de mes paupières. Je rebouche le stylo, le pose et retourne dans ma chambre, afin de me chausser. Je prend des bote noir à talon pas très haut, et les enfile, pour après mettre des petites mitaine à mes mains, me parfume légèrement, et une fois prête, prend mon téléphone, sort de ma chambre, et descend les escaliers.
Arrivé en bas, je remarque que ma mère avait Giulia dans ses bras, et cela eu pour effet de me faire sourire. Je me cale à côté du mur et écoute. Elle lui soulève le menton et s’exclame :
Mère de Zane – je ne sais pas se que tu as fait pour que ma fille soit dans cet état, mais je t’en remercie du fond du cœur Giulia, tu sais, Zane n’a pas souvent le sourire du à tout se qui se passe, et je suis sûr qu’elle avait une bonne raison de nous cacher votre relation, tu sais elle ma beaucoup impressionné hier, elle qui a un trac fou dès qu’elle monte sur scène, à croire que l’amour a réussi à la changer ! Tout se que j’espère c’est que tu la rendra heureuse tout au long de sa vie que tu puisse la faire sourire, rire … Car elle a beau avoir un caractère de dur, elle reste une jeune femme très sensible et sentimentale. Je te confit ma fille Giulia, prend en grand soin.
Giulia – tu sais Lidie … J’aime Zane profondément, pour moi, elle est tout ce que j’ai de plus cher au monde, elle est … Ma moitié, mon rayon de soleil, ma femme mais elle est avant tout ma plus belle histoire d’amour, j’en suis éperdument amoureuse, et je suis vraiment la plus heureuse, car Zane est tout se qu’un homme ou une femme puisse rêver d’avoir, elle est douce, adorable aimante, câline fofolle, mais c’est pour toute ses chose qui font d’elle la femme que j’aime et désir plus que quiconque sur cette terre, alors aussi longtemps que je serait sur cette terre, je ferais tout pour la rendre heureuse, parce ce que pour moi elle est la plus belle des mélodies !
Mon cœur se met à cogner fortement contre ma poitrine, mes yeux se ferment et un sourire heureux naquis mes lèvres, Giulia … Mon amour, si tu savait à quel point tes mots me font du bien, je ne regrette pas notre union, et suis fière d’avoir une petite amie telle que toi.
Je me dirige vers elle, et une fois à sa hauteur, je vint l’enlacer posant mes mains sur son ventre et ma tête sur son épaule droite et posa mes lèvres sur sa joue, fermant mes yeux, la berçant tendrement contre moi.
Moi – je t’aime !
Giulia – moi aussi ma chérie.
Ses mains se mêlent aux miennes, et ses doigts me caressent. Je me sent exésivement bien comme sa avec la femme dont je suis follement amoureuse.
Mère de Zane – tu voies Giulia, je ne sais pas se que tu lui a fait mais je suis heureuse de la voir ainsi !
Moi – ce qu’elle ma fait … Elle me rend éperdument heureuse, et ma permise de faire confiance en l’amour, elle est … La femme parfaite à mes yeux, et pour rien au monde … Je ne veux la perdre pour de stupide sourires de satisfactions, elle est … L’amour de ma vie, ma Giulia !
Elle me sourit, et m’embrasse la joue. Oh ma Giulia que je t’aime, mais dieu que je t’aime. Ma mère a le sourire aux lèvres, et je lui dit en posant ma tête sur son épaule :
Moi – dit toi que … Ta fille est vraiment la plus heureuse et que jamais elle ne perdra ce sourire.
Mère de Zane – Zane …
Moi – et sa … Grâce à elle !
Giulia – mon amour je …
Moi – chuut …
Et sans la laisser finir je dépose mes lèvres sur les siennes, lui offrant mon cœur, je suis vraiment heureuse, et espère de tout mon cœur l’être encore pendant longtemps.
Quelques minutes après, Giulia et moi étions parti direction le parc, main dans la main, un panier à la main puisque nous allions finalement pique niquer au parc avec les filles, et chacune de nous n’avaient pas oublier le cadeau pour Shishi et Dolce.
Arrivé à l’entrée du parc, je m’arrête en voyant qu’elle était la. Je ne voulais pas la voir, sinon sa allait mal se terminer, et je n’avait aucune envie de gâcher ma journée avec Giulia.
Giulia – ça va mon cœur ?
Moi – oui, bon eh bien retiens moi si je dois commettre un meurtre.
Elle tourne sa tête, et cette dernière se défigure envoyant cette peste. Je serre sa main, et commence à m’avancer. Je fut stopper, et au moment de me tourner ma jolie blonde me dépose un baiser. Je sourit, et lui rendit avec tendresse. Nos lèvres se claquent et se caressent, jusqu’à se qu’elles se séparent, et je vint lui offrir un doux sourire.
Giulia – ne t’inquiète pas, moi je suis là !
Moi – je le sais oui, et c’est bien sa qui me rend heureuse.
On se sourit, et on poursuit notre chemin vers les filles. Arrivé prêt d’elles, Shishi nous sauta au cou, et Dolce nous fit la bise.
Dolce – vous êtes vraiment très belle les filles.
Giulia/Moi – merci !!
on leur sourit, et je parti m’asseoir prêt d’un arbre, et Giulia vint se lover dans mes bras. J’entoure sa taille et pose mes mains sur son ventre, alors que ses doigts se mêlent au miens, sa tête se pose sur mon épaule droite, et alors que son dos se colle contre moi je pose ma tête sur son épaules gauche.
Shiwa – alors qu’es ce que vous nous avez fait de bon à manger ?
Giulia – espèce de petit goinffre, tu pense déjà à manger.
Dolce – en même temps …
Moi – c’est Shishi.
Shiwa – eh … C’est pas drôle !!
je me suis mise à rire doucement, et lui est posé un doux baiser sur sa joue, la serrant contre moi. Elle est vraiment belle habillé ainsi, ce n’est pas souvent que nous pouvons la voir en robe.
Shiwa – eh mais, c’est que Giulia c’est mise en robe !
Dolce – oh oui, c’est rare de te voir comme sa.
Emilie – un sac poubelle lui aurait mieux convenue !
Moi – eh … Baisse d’un ton, et je ne te permet pas de l’insulter.
Emilie – oh la pauvre, c’est qu’elle a besoin de se faire protéger !
Je vais lui en coller une, je le sent fort. Giulia se défait de notre étreinte, et sous mes yeux intérogateur je la suit. Elle se baisse se mettant face à Emilie et dit d’un ton très calme :
Giulia – c’est bon, tu as fini ? Car j’en est tout à ton honneur !
Emilie – non ce n’est pas fini, si tu savait à quel point je te haie, tu n’est bonne cas apporter le malheur … Non franchement Zane mérite beaucoup mieux que sa.
Giulia – Emilie ?
Emilie – quoi ?
Giulia – et si tu fermer ta bouche pour une fois ? Qu’en dit tu ?
C’est incroyable comment elle peut rester calme avec ce que cette peste lui dit, se qui m’énerve encore plus, on les suit du regard, et toute deux se lève, toujours face à face.
Emilie – et tu croix que je vais t’écouter ? Sans rire, arrête avec tes bonne manières !
Giulia – je peux savoir pourquoi tu me déteste ? Car à preuve du contraire je ne t’ai jamais insulter ou quoi que se soit d’autre.
Emilie – ce que tu m’as fais ? Tu oses me le demander ? Je vais donc être gentille et te raffraîchir la mémoire … Depuis que tes arrivé dans ce bahu, tu tes accaparé tout le monde, tu as même réussi à te mettre dans la poche la fille que j’aime le plus au monde, et sa … En faisant rien, juste à sourire, tu me dégoûte Giulia, comment oses tu être avec elle, elle mérite beaucoup mieux que sa, quand on la voie, on voie bien que c’est une femme qui veux plus qu’un simple baiser ou câli …
Elle venait de tomber sur le sol, sa main sur sa joue, Giulia venais de la giffler, et je suis vraiment fière.
Giulia – comment oses tu parlait d’elle de cette manière, tu ne la connais même pas, c’est toi qui me dégoûte, tu est puéril ma pauvre Emilie, Zane est loin d’être un objet de désir pour autrui, c’est avant ou une jeune femme avec ses sentiments, son amour propre, ses défauts et ses qualités, toi tu ne l’aime juste parce qu’elle est belle et qu’elle a de jolie forme, alors que moi, moi je l’aime pour ce qu’elle est, je la prend tel qu’elle est avec ses défauts et ses qualités, tu dis la connaître mieux que moi, mais en vérité tout se que tu cherche à faire c’est lui faire du mal, as tu pensé une seule fois à ce qu’elle pouvais ressentir, tu sais pourquoi je te déteste tant ? Tu as osé la faire pleurer, la faire souffrir, elle la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle qui est tout se que j’ai de plus cher au monde, tu croix sincèrement que je suis avec elle uniquement pour sa ? Mais si c’était le cas je serait déjà parti, bordel Emilie c’est de Zane que l’ont parle, elle a toujours était là pour toi, et toi comment tu la remercie en la salissant, et en la faisant pleurer ? Mais sache une chose, tu auras beau monter tout le monde contre moi, dit toi bien que je ne la laisserais jamais partir, je ne suis pas stupide au point de croire à des rumeurs car je la connais suffisament pour savoir de quoi elle est capable, alors qu’elle, tout se qu’elle demande, c’est que qu’importe les moments les situations c’est que l’ont puisse l’accepter tel qu’elle est sans lui porter de préjuger, alors si je te voie ne serrait-ce une seule fois toucher un seul de ses cheveux Emilie, tu auras faire à moi, je peux supporter beaucoup de choses, que l’ont m’insulte, me tire les cheveux, mais que l’ont touche à ma femme, c’est une chose que j’insupporte, ta compris !
Emilie – bon j’ai plus rien à faire ici j’me barre.
Giulia – c’est sa, dégage, et ne reviens plus !
Et elle est parti rouge de honte. Je regarde Giulia qui est toujours dos à moi, et je ne pue m’empêcher de sourire, se qu’elle a dit à mon propos me touche beaucoup, je l’aime … Sans qu’elle ne s’en rende compte, elle viens de me prouver qu’elle est celle que j’ai toujours attendue, et que je ne regrette pas de lui avoir confier mon cœur.
Shiwa – alors la … Chapeau, tu as tout mon respect Giulia, tu as réussi à lui cloué le bec une bonne fois pour toute, et surtout … Tu as sauvé l’honneur de notre meilleure amie !
Dolce – et pour nous c’est une très belle preuve d’amitié !
Moi – tu viens de m’offrir la plus belle preuve d’amour Giulia, merci.
Elle c’est tournée vers moi, ses yeux brillées, je sourit, et lui tend mes bras, pour qu’elle vienne s’y lover. J’entour son dos, et de ma main gauche, je vint mêler mes doigts dans sa chevelure.
Moi – merci beaucoup pour ce que tu as fait, tu m’as prouver à part b que tu est celle que j’attendais, merci mon amour !
Giuilia – si je les fait, c’est parce que je t’aime éperdument, et que pour moi tu est la femme de ma vie jolie brune !
Moi – Giulia …
Je lui caresse la joue, et lui offrit mes lèvres pour un long et doux baiser. Je ne sais vraiment plus ou me donner de la tête, c’est une très belle preuve d’amour qu’elle viens de me faire … Et j’en suis vraiment heureuse. Ah ma Giulia.
Shiwa – oh … Que c’est mignon, elles vont vraiment bien ensemble !
Dolce – maintenant que l’ont sais qu’elles sont ensemble, c’est très dure de les voir l’une sans l’autre.
Je sourit, et doucement notre baiser prit fin et laisser place à un câlin. Je lui caresse son ventre, alors que ses mains caressent les miennes.
Giulia – bon alors, à vous deux maintenant, c’est quoi cette chose importante que vous vouliez nous dire !
Dolce – on vous dit merci, car c’est grâce à vous !
Moi – comment sa ?
Shiwa – nous sommes ensemble !
Giulia - quoi ? C’est vrai ? Mais enfin c’est supère !!!
Moi – toute mes félicitations les filles, mais pourquoi c’est grâce à nous ?
Dolce – hier quand tu as fait ta déclaration et ta demande, sa ma ouvert les yeux, quand je vous ai vue vous embrassez devant tout le monde j’ai sourit et je me suis dit, qu’enfin de compte l’amour entre femmes était possible, et je me suis lancé et je lui est dit se que je ressent.
Shiwa – merci les filles !
Moi – bin, ravie de vous avoir aidé.
Giulia – tu as vue, on fait de l’excellent travail.
Je me met à rire en l’entendant dire sa, et mon rire fut suivit bien vite. Shiwa c’est rapproché de nous et nous a passé deux paquets cadeaux que l’ont prit. Ont leur donne nos cadeaux, et chacune commencent à ouvrir son paquet. Pour ma par j’eu droit à quelques bijoux tel qu’un bracelet noir avec des pic, ou bien un collier noir avec des diamant dessus.
Ma douce reçu une chemise de nuit bleu avec un chat avec un bonnet sur la tête, et en haut il y avait son prénom.
Giulia – j’adore, merci beaucoup les filles, et joyeux noël !
Shiwa – merci à vous, et très bon noël.
Dolce – merci !
Moi – de rien.
On se sourit, et les filles mettent se que nous leur avons offert qui était des boucles pour Shiwa et un colier avec une plume pour Dolce. Après et pour le plus grand bonheur de Shiwa nous avons commencé à manger. Des sandwishs au jambon des ships, et une canette de coca pour chacune.
Shiwa – oh c’est très jolie, c’est Giulia qui te l’a offert ?
Moi – oui !
Dolce – c’est supère mignon, et une question les filles, maintenant que vous l’êtes officiellement, vous compté le faire où votre mariage ?
Je sourit, et la serre contre moi, je porte ma canette à la bouche et boie une gorgé de mon coca.
Giulia – peut importe l’endroit ou même l’heure, le plus important c’est que nos cœurs soient uni !
Je sourit, lui embrasse la joue, et la serre d’avantage dans mes bras.
Moi – hm … Et peut importe le lieu, du moment que nous sommes ensemble, c’est le principale !
Giulia – oui, uni à tout jamais !
Moi – pour la vie.
Lui murmurais-je à l’oreille, allant embrasser sa tampe. Ses yeux croisent les miens, et je lui sourit caresse sa joue, et lui offre un clin d’oeil.
Dolce – dis Giulia pourquoi ta autant le sourire ?
Shiwa – c’est vrai sa !
Moi – ah oui, c’est vrai qu’il lui est arrivé de bonne chose ce matin !
Dolce – ah, tu est allé chez elle ?
Giulia – j’y ai dormi.
Shiwa – wath the fuck, allait qu’es ce qui t’arrive ?
Giulia – ah non mais je vous jure celle-ci … En faite, mes parents compte se re marier, ils partent à New York ce soir, et je vais être grande sœur.
Dolce – mais c’est supère sa, mais du coup tu vas dormir où ?
Giulia – avec ma femme.
Shiwa – pourquoi je suis pas étonné ?
Je sourit, et ferme les yeux quelques minutes posant ma tête contre le tronc, laissant le vent caresser ma chevelure, et pense à tout se qui c’est produit durant ses deux ans.
Dolce – oh, Zane tu dors ?
C’est vrai qu’en y repensant, je n’aurais jamais crue avoir assez de courage de lui avouer ce que je ressent … Je n’arrive pas à croire que l’amour, son amour est pue me changer à ce point, savoir qu’elle est ma femme, me rend forte et fière, j’ai envie de soulever des montagnes, de tout faire pour rester avec elle, car il est vrai qu’avec tout se qui se passe il me suffit que je pense à elle et à notre couple pour que mon cœur s’appaise.
Shiwa – ou ou, Zane … C’est plus l’heure de dormir.
Je sent une main sur ma joue, sûrement la sienne. Je la prend délicatement, et colle ma joue gauche contre. Mes lèvres lui embrassent le creux de sa main, et ses doigts me caressent la joue. Son souffle chaud caresse ma peau, et sa voix que j’aime temps résonne au creux de mon oreille.
Giulia – je t’aime ma chérie !
Ses lèvres se collent à ma joue droite, et m’embrassent. Je sourit, et me laisse envahire par ce bonheur. Je tourne doucement ma tête, et alors que ses yeux s’ouvrent, ma bouche caresse la sienne. On se regardent longuement et je lui sourit pour finir par l’embrasser. Sa main caresse ma joue, et la mienne se mêle dans sa chevelure chocolat, elle se rapproche de moi, et aprofondit notre baiser qui se fit plus doux et amoureux.
Nos lèvres se claquent se caressent, et nos yeux s’ouvrent pour ainsi se dévisager.
Moi – moi aussi mon amour.
On se sourit, et avec tendresse, je vint lui faire un câlin qu’elle me rend avec bonheur. Shiwa et Dolce nous regardent avec un sourire accroché aux lèvres.
[i:e
Sam 28 Déc 2013, 17:40 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
Le rendez-vous duo marilyn/hamilcar
Je n’ose y croire ! Elle est venue au rendez-vous !
Elle comble tous mes espoirs, mes rêves les plus fous !
Magnifique en robe du soir, simple mais de bon goût
Vêtement fourreau noir avec un beau grand dos nu
Broche avec fermoir et un joli cœur en argent suspendu
Le mien joue la fanfare...J’espère qu’on ne l’a entendu .....Hami
Il est là, bien réel, en chair et en os, qui m’attend
Sourire radieux aux lèvres et des yeux pétillants
Beau dans ce costume noir, chemise blanche
Cravate écarlate, sans doute sa tenue du dimanche
Il est attendrissant avec sa belle rose rouge vermillon
Attendre, par ce froid, je crains qu’il ne soit grognon
Oh, il est adorable ! J’ai plus d’une heure de retard
Et il est juste content de me voir : Bonsoir ! ..........Marilyn
Elle est si belle ! Pres qu’irréelle ! Si douce et naturelle...
Je dépose une bise sur la joue, son parfum m’interpelle
Je dois me retenir pour ne pas la prendre dans mes bras
J’inspire cette essence et j’ai tout le corps en émoi
Ces cheveux, ce visage, ce corps, Elle est merveilleuse !
Je reste figé tel un piquet, subjugué, je lui tends la rose
Elle me fait un sourire timide, je la sens un peu nerveuse
Je connais son inquiétude car je ressens la même chose
Dix minutes qu’on se regarde et je n’ai encore dit un mot
C’est sûr qu’à ce train-là, elle va me prendre pour un idiot....Hami
Je sens son bisou sur la joue et son souffle dans le cou
Le dos qui frissonne et aucun son ne sort de ma bouche
Étrange cette sensation alors même qu’il ne me touche
J’en tremble toute d’émotion alors qu’il est là, debout,
Sans mot dire, immobile, à me regarder d’un air candide.
Il me dévore des yeux. C’est atroce, je me sens désarmée
Je suis gênée. Je bredouille. Je me trouve stupide
Un sursaut de volonté pour lancer : Bonsoir, enchantée !
J’ai le cœur qui cogne si fort, j’ai soudain des vapeurs
Faisons semblant de rien et sortons un sourire charmeur
Il n’a pas remarqué mon embarras, j’en suis soulagée
Mais je commence à avoir froid ! Alors cette soirée ?......Marilyn
Quelle beauté ! Je rêve ! Pourvu que je ne me réveille !
Ces yeux, cette bouche et cette peau de velours
Ces courbes et cette silhouette, quelle merveille !
C’est Elle que j’attendais ! Maintenant j’en suis sûr !
Son "Bonsoir" me secoue et sa voix me transporte
Dans mon beau rêve éveillé, je lui ouvre la porte
L’invite à rentrer, s’asseoir, se mettre à l’aise
J’apporte les apéros et lui présente une chaise
Une table en aparté avec nappe en dentelle
À la lueur des chandelles, lumière tamisée
Dans ce halo mitigé Elle est encore plus belle.
Mon esprit se rebelle, ma langue est tétanisée
Mon cœur joue du tambour, mon corps frissonne
Je suis déjà fou d’amour pour cette jolie personne........Hami
Que c’est beau ! Il a mis les petits plats dans les grands !
Tout cela est vraiment magnifique et il est très charmant !
Quelle galanterie ! Voilà qu’il m’avance la chaise...
Il s’en donne du mal pour que je me sente à l’aise !
Toute cette prévenance et cette sollicitude m’ont touchée
Mais j’ai faim ! Et je n’arrive à avaler la moindre bouchée
Un étau serré d’émoi m’empêche de pouvoir déguster
Cette délicieuse nourriture qu’il a gentiment commandée
Je vais boire un petit verre de vin pour décompresser
Je suis sincèrement éblouie, complètement envoûtée
Jamais je ne l’aurai cru si l’on me l’avait dit ce matin !
Je m’enivre de sa voix, subjuguée par son jeu de main
Des mains si belles que j’en suis tombée raide dingue
Au menu, juste après une succulente mise en bouche,
On nous apporte un millésime qu’aussitôt il débouche
Comme plat de résistance, une belle grosse dinde
Repas qu’il est de tradition de servir en fin d’Automne
Et qu’il se fait un devoir de découper en personne.
Il pose délicatement, tout en me dévorant des yeux,
Un morceau royal au beau milieu de mon assiette
Il ne saurait vraiment pas cacher qu’il est amoureux
Mais s’il continue à me fixer ainsi, avec l’amour en tête
Je crains que cette louche de crème de pommes de terre
Ne risque de rater son but et d’atterrir, au hasard
Tant nos yeux se noient avec délice dans nos regards
S’il continue, je crois bien qu’il va en mettre dans un verre
Car nos yeux ne peuvent plus se quitter...
Qu’est-ce qu’il va encore m’inventer ?
Que signifie cet étrange petit signe qui se veut discret ?
Qu’est-ce que c’est ?!?
J’entends, derrière moi, un bruit de pas qui se rapproche
Qu’est-ce qu’il fait ? Il sort de l’argent de sa poche ?
Mon Dieu ! Ce n’est pas vrai ! Des bouquets de violettes !
Belle tactique de séduction ! Mais je jouerai les coquettes
Pour faire ma conquête, il devra se montrer plus innovant
Et rendre ce rendez-vous un moment vraiment enivrant !
Mais ??.. J’entends une lointaine musique ?
Des violonistes tziganes s’approchent de notre table
Jouant tout doucement une petite mélodie romantique.
Que cette attention est charmante et adorable !
C’est décidement un véritable gentleman, un amour !
J’ai le cœur qui bat comme un tambour...
Mes yeux brillent. C’est magnifique ! Je suis émue
Dans ma tête, mon cœur, mon corps c’est la cohue
Je ne peux retenir les perles qui coulent au coin des yeux
Je cherche son regard, anxieuse, la bouche close...
Saura-t-il voir dans le mien que je suis heureuse ? ......Marilyn
Je profite de la musique tzigane pour L’inviter à danser
Un clin d’œil convenu nous accorde une danse alanguie
Je La prends dans mes bras et sur la piste, on s’élance
Je me sens gauche mais Ses yeux La disent réjouie
La chaleur de Son corps réveille des souvenirs oubliés,
En profond sommeil depuis de nombreuses années,
Un ensemble de sensations se bousculent dans mon être
Un petit frémissement glacé descend le long du dos
Tandis qu’une marque d’excitation met en éveil la libido
Le corps réagissant aussitôt, je crains l’incident stupide
En même temps une ondée de fièvre monte à la tête
J’appréhende l’instant où elle va empourprer mes joues
Ou celui où l’émotion va d’un coup me couper les genoux
Un tourbillon de passion ardente me chavire le cœur
Un tumulte de sentiments s’agite dans mon esprit
Mettant sens dessus dessous mes moindres pensées...
Je sens monter la forte pulsion d’un désir pressant :
Le rubis de Sa bouche m’attire comme un aimant
Telle une idée fixe, de coller mes lèvres aux Siennes
Cédant à l’invite, je me penche et hardiment, L’embrasse
M’attendant à ce que, scandalisée par mon audace,
Elle me gifle violemment me laissant sitôt sur place.
Mais, comme si Elle attendait cela depuis longtemps,
Répond à mon transport par un délicieux baiser ardent.
Le temps, la musique, le monde arrêtent leur mouvement
Plus rien ne compte que la douce chaleur de Ses lèvres
Que Ses bras me serrant fortement contr’Elle sans effort
Ne comptent que nos langues se cherchant sans trêve
En une suite de va-et-vient de langoureux titillements
Une explosion de sensations irradie de la bouche
Se propage dans les membres, envahissant tout le corps
Lui insufflant une ivresse qui joignant le cœur me touche
Et me transporte au nirvana en compagnie d’un ange
Surtout qu’on ne me réveille, si c’est un songe !!........Hami
En musique, on continue, en s’embrassant, à danser
Son baiser est un feu qui semble vouloir me consumer
Les personnes autour disparaissent, le décor s’efface,
Il ne reste que nous deux dans ce baiser qui nous enlace
Qui est si enivrant que je voudrais qu’il ne s’arrête jamais
J’ai le cœur en transe et des rêves plein la tête
Le dîner, danser, le vin, ce baiser, je suis en apesanteur !
Je me sens transportée. Je nous vois sortir à l’extérieur
Je devine cocher et calèche, il m’installe dans la trotteuse
Me couvre entièrement d’une chaude fourrure moelleuse
Me recouvre d’ardents baisers. Mon cœur est aux étoiles
J’ai chaud au corps, au cœur. Je suis comblée, heureuse
Que cette soirée ne finisse plus tant elle est merveilleuse
Je m’accroche à lui de peur qu’il ne mette les voiles
Mais j’ai tort de m’en faire, à la façon qu’il serre ma taille
Je crois que, comme moi, il craint aussi que je m’en aille
Il ajuste la peau fourrée pour que je n’aie pas froid
C’est la première fois qu’on prend autant soin de moi !
Ses baisers, le bercement du tilbury, voilà, je m’endors
Ultime image : nue dans la baignoire la tête sur le rebord
Je contemple encore ce beau sourire qui orne ses lèvres
Il s’installe et s’apprête à être le gardien de mes rêves
Je peux dormir tranquille ! Il sera encore là à mon réveil
Je n’ai jamais ressenti un sentiment de bien-être pareil :
L’envie de sentir sa bouche et d’y laisser mon empreinte
Le désir d’un corps-à-corps, d’une brûlante étreinte
L’avidité des sens, l’appétence d’un corps à gémir
Être si excitée......Et avoir tellement envie de dormir... !
Lui en demande pardon, me serrant davantage à lui
Il ne semble m’en tenir rigueur, me regarde et sourit
Il caresse mes cheveux en récitant une poésie
Je nage en plein bonheur et m’endors paisiblement
Sur le rêve enchanteur d’un merveilleux moment
Je n’ai connu meilleur ! Je suis au paradis
Elle comble tous mes espoirs, mes rêves les plus fous !
Magnifique en robe du soir, simple mais de bon goût
Vêtement fourreau noir avec un beau grand dos nu
Broche avec fermoir et un joli cœur en argent suspendu
Le mien joue la fanfare...J’espère qu’on ne l’a entendu .....Hami
Il est là, bien réel, en chair et en os, qui m’attend
Sourire radieux aux lèvres et des yeux pétillants
Beau dans ce costume noir, chemise blanche
Cravate écarlate, sans doute sa tenue du dimanche
Il est attendrissant avec sa belle rose rouge vermillon
Attendre, par ce froid, je crains qu’il ne soit grognon
Oh, il est adorable ! J’ai plus d’une heure de retard
Et il est juste content de me voir : Bonsoir ! ..........Marilyn
Elle est si belle ! Pres qu’irréelle ! Si douce et naturelle...
Je dépose une bise sur la joue, son parfum m’interpelle
Je dois me retenir pour ne pas la prendre dans mes bras
J’inspire cette essence et j’ai tout le corps en émoi
Ces cheveux, ce visage, ce corps, Elle est merveilleuse !
Je reste figé tel un piquet, subjugué, je lui tends la rose
Elle me fait un sourire timide, je la sens un peu nerveuse
Je connais son inquiétude car je ressens la même chose
Dix minutes qu’on se regarde et je n’ai encore dit un mot
C’est sûr qu’à ce train-là, elle va me prendre pour un idiot....Hami
Je sens son bisou sur la joue et son souffle dans le cou
Le dos qui frissonne et aucun son ne sort de ma bouche
Étrange cette sensation alors même qu’il ne me touche
J’en tremble toute d’émotion alors qu’il est là, debout,
Sans mot dire, immobile, à me regarder d’un air candide.
Il me dévore des yeux. C’est atroce, je me sens désarmée
Je suis gênée. Je bredouille. Je me trouve stupide
Un sursaut de volonté pour lancer : Bonsoir, enchantée !
J’ai le cœur qui cogne si fort, j’ai soudain des vapeurs
Faisons semblant de rien et sortons un sourire charmeur
Il n’a pas remarqué mon embarras, j’en suis soulagée
Mais je commence à avoir froid ! Alors cette soirée ?......Marilyn
Quelle beauté ! Je rêve ! Pourvu que je ne me réveille !
Ces yeux, cette bouche et cette peau de velours
Ces courbes et cette silhouette, quelle merveille !
C’est Elle que j’attendais ! Maintenant j’en suis sûr !
Son "Bonsoir" me secoue et sa voix me transporte
Dans mon beau rêve éveillé, je lui ouvre la porte
L’invite à rentrer, s’asseoir, se mettre à l’aise
J’apporte les apéros et lui présente une chaise
Une table en aparté avec nappe en dentelle
À la lueur des chandelles, lumière tamisée
Dans ce halo mitigé Elle est encore plus belle.
Mon esprit se rebelle, ma langue est tétanisée
Mon cœur joue du tambour, mon corps frissonne
Je suis déjà fou d’amour pour cette jolie personne........Hami
Que c’est beau ! Il a mis les petits plats dans les grands !
Tout cela est vraiment magnifique et il est très charmant !
Quelle galanterie ! Voilà qu’il m’avance la chaise...
Il s’en donne du mal pour que je me sente à l’aise !
Toute cette prévenance et cette sollicitude m’ont touchée
Mais j’ai faim ! Et je n’arrive à avaler la moindre bouchée
Un étau serré d’émoi m’empêche de pouvoir déguster
Cette délicieuse nourriture qu’il a gentiment commandée
Je vais boire un petit verre de vin pour décompresser
Je suis sincèrement éblouie, complètement envoûtée
Jamais je ne l’aurai cru si l’on me l’avait dit ce matin !
Je m’enivre de sa voix, subjuguée par son jeu de main
Des mains si belles que j’en suis tombée raide dingue
Au menu, juste après une succulente mise en bouche,
On nous apporte un millésime qu’aussitôt il débouche
Comme plat de résistance, une belle grosse dinde
Repas qu’il est de tradition de servir en fin d’Automne
Et qu’il se fait un devoir de découper en personne.
Il pose délicatement, tout en me dévorant des yeux,
Un morceau royal au beau milieu de mon assiette
Il ne saurait vraiment pas cacher qu’il est amoureux
Mais s’il continue à me fixer ainsi, avec l’amour en tête
Je crains que cette louche de crème de pommes de terre
Ne risque de rater son but et d’atterrir, au hasard
Tant nos yeux se noient avec délice dans nos regards
S’il continue, je crois bien qu’il va en mettre dans un verre
Car nos yeux ne peuvent plus se quitter...
Qu’est-ce qu’il va encore m’inventer ?
Que signifie cet étrange petit signe qui se veut discret ?
Qu’est-ce que c’est ?!?
J’entends, derrière moi, un bruit de pas qui se rapproche
Qu’est-ce qu’il fait ? Il sort de l’argent de sa poche ?
Mon Dieu ! Ce n’est pas vrai ! Des bouquets de violettes !
Belle tactique de séduction ! Mais je jouerai les coquettes
Pour faire ma conquête, il devra se montrer plus innovant
Et rendre ce rendez-vous un moment vraiment enivrant !
Mais ??.. J’entends une lointaine musique ?
Des violonistes tziganes s’approchent de notre table
Jouant tout doucement une petite mélodie romantique.
Que cette attention est charmante et adorable !
C’est décidement un véritable gentleman, un amour !
J’ai le cœur qui bat comme un tambour...
Mes yeux brillent. C’est magnifique ! Je suis émue
Dans ma tête, mon cœur, mon corps c’est la cohue
Je ne peux retenir les perles qui coulent au coin des yeux
Je cherche son regard, anxieuse, la bouche close...
Saura-t-il voir dans le mien que je suis heureuse ? ......Marilyn
Je profite de la musique tzigane pour L’inviter à danser
Un clin d’œil convenu nous accorde une danse alanguie
Je La prends dans mes bras et sur la piste, on s’élance
Je me sens gauche mais Ses yeux La disent réjouie
La chaleur de Son corps réveille des souvenirs oubliés,
En profond sommeil depuis de nombreuses années,
Un ensemble de sensations se bousculent dans mon être
Un petit frémissement glacé descend le long du dos
Tandis qu’une marque d’excitation met en éveil la libido
Le corps réagissant aussitôt, je crains l’incident stupide
En même temps une ondée de fièvre monte à la tête
J’appréhende l’instant où elle va empourprer mes joues
Ou celui où l’émotion va d’un coup me couper les genoux
Un tourbillon de passion ardente me chavire le cœur
Un tumulte de sentiments s’agite dans mon esprit
Mettant sens dessus dessous mes moindres pensées...
Je sens monter la forte pulsion d’un désir pressant :
Le rubis de Sa bouche m’attire comme un aimant
Telle une idée fixe, de coller mes lèvres aux Siennes
Cédant à l’invite, je me penche et hardiment, L’embrasse
M’attendant à ce que, scandalisée par mon audace,
Elle me gifle violemment me laissant sitôt sur place.
Mais, comme si Elle attendait cela depuis longtemps,
Répond à mon transport par un délicieux baiser ardent.
Le temps, la musique, le monde arrêtent leur mouvement
Plus rien ne compte que la douce chaleur de Ses lèvres
Que Ses bras me serrant fortement contr’Elle sans effort
Ne comptent que nos langues se cherchant sans trêve
En une suite de va-et-vient de langoureux titillements
Une explosion de sensations irradie de la bouche
Se propage dans les membres, envahissant tout le corps
Lui insufflant une ivresse qui joignant le cœur me touche
Et me transporte au nirvana en compagnie d’un ange
Surtout qu’on ne me réveille, si c’est un songe !!........Hami
En musique, on continue, en s’embrassant, à danser
Son baiser est un feu qui semble vouloir me consumer
Les personnes autour disparaissent, le décor s’efface,
Il ne reste que nous deux dans ce baiser qui nous enlace
Qui est si enivrant que je voudrais qu’il ne s’arrête jamais
J’ai le cœur en transe et des rêves plein la tête
Le dîner, danser, le vin, ce baiser, je suis en apesanteur !
Je me sens transportée. Je nous vois sortir à l’extérieur
Je devine cocher et calèche, il m’installe dans la trotteuse
Me couvre entièrement d’une chaude fourrure moelleuse
Me recouvre d’ardents baisers. Mon cœur est aux étoiles
J’ai chaud au corps, au cœur. Je suis comblée, heureuse
Que cette soirée ne finisse plus tant elle est merveilleuse
Je m’accroche à lui de peur qu’il ne mette les voiles
Mais j’ai tort de m’en faire, à la façon qu’il serre ma taille
Je crois que, comme moi, il craint aussi que je m’en aille
Il ajuste la peau fourrée pour que je n’aie pas froid
C’est la première fois qu’on prend autant soin de moi !
Ses baisers, le bercement du tilbury, voilà, je m’endors
Ultime image : nue dans la baignoire la tête sur le rebord
Je contemple encore ce beau sourire qui orne ses lèvres
Il s’installe et s’apprête à être le gardien de mes rêves
Je peux dormir tranquille ! Il sera encore là à mon réveil
Je n’ai jamais ressenti un sentiment de bien-être pareil :
L’envie de sentir sa bouche et d’y laisser mon empreinte
Le désir d’un corps-à-corps, d’une brûlante étreinte
L’avidité des sens, l’appétence d’un corps à gémir
Être si excitée......Et avoir tellement envie de dormir... !
Lui en demande pardon, me serrant davantage à lui
Il ne semble m’en tenir rigueur, me regarde et sourit
Il caresse mes cheveux en récitant une poésie
Je nage en plein bonheur et m’endors paisiblement
Sur le rêve enchanteur d’un merveilleux moment
Je n’ai connu meilleur ! Je suis au paradis
Jeu 14 Nov 2013, 11:07 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Lui dire
Comme si elle avait toujours su
J’ai approché fiévreux, un pays inconnu
Pris un avion volé pour la rejoindre mieux
Inventé pour elle des jours jamais plus vieux
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
La serrer dans mes bras sans bruit et sans chahut
La couvrir de caresses et de mille tendresses
Ne danser rien qu’avec elle des nuits au goût d’ivresse
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
Lui dire des mots d’amour, de ceux qu’on a vécus
Poser chaque syllabe sur ses lèvres sucrées
Construire sur des je t’aime la vie qu’elle a rêvé
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
Lui raconter les joies qu’en moi elle a cousues
Que quand elle n’est plus là, les heures comptent double
Que j’ai dessiné pour elle tout un monde sans eaux troubles
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
M’allonger tout près d’elle je n’en demande pas plus
Prendre sa main dans ma main, la poser sur mon cœur
J’ai caché quelque part ces instants de bonheur
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
Jime
J’ai approché fiévreux, un pays inconnu
Pris un avion volé pour la rejoindre mieux
Inventé pour elle des jours jamais plus vieux
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
La serrer dans mes bras sans bruit et sans chahut
La couvrir de caresses et de mille tendresses
Ne danser rien qu’avec elle des nuits au goût d’ivresse
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
Lui dire des mots d’amour, de ceux qu’on a vécus
Poser chaque syllabe sur ses lèvres sucrées
Construire sur des je t’aime la vie qu’elle a rêvé
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
Lui raconter les joies qu’en moi elle a cousues
Que quand elle n’est plus là, les heures comptent double
Que j’ai dessiné pour elle tout un monde sans eaux troubles
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
M’allonger tout près d’elle je n’en demande pas plus
Prendre sa main dans ma main, la poser sur mon cœur
J’ai caché quelque part ces instants de bonheur
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su
Jime
Mer 13 Juin 2012, 10:39 par
Jime sur Parler d'amour
Album photos
Redécouvrant ces images oubliées depuis si longtemps je m’abandonne à leur contemplation attentive, faisant renaitre celui que j’étais à vingt ans.
Premiers mots, dans le train
Ça, c’est dans le train qui nous conduisait à Marseille. Nous ne nous connaissions pas encore. J’avais remarqué cette fille qui sur le quai m’observait. C’est elle qui m’a adressé la parole en premier. Sa tête me disait bien quelque chose, mais je ne la remettais pas. Je ne me souviens plus des premiers mots que nous avons échangés. Le train était bondé et nous n’avions pas trouvé de places où nous assoir. Debout sur la plateforme, nous nous sommes racontés ; elle souriait tout le temps, faisant comme si elle me trouvait passionnant ; moi, je faisais la roue....Elle a voulu me montrer , un petit reflex argentique autofocus, que son père lui avait offert pour son anniversaire et dont elle était très fière, en le manipulant elle a photographié la porte des toilettes. Le flash s’est déclenché automatiquement..... L’image est remarquablement nette.
Quand à Vienne, le Wagon a commencé à se vider, nous nous sommes installés, côte à côte....Elle me parlait, de sa vie, de ses parents, de ses études....Nous fréquentions la même école. Elle entamait sa première année, moi ma troisième. Je me souviens juste de ses yeux qui brillaient et des reflets roux qui courraient sur le Rhône ce matin de décembre entre neige et soleil.
* * *
Neige de février la nuit.
Ça, c’est une drôle de photo toute floue. La neige tombait à gros flocons. C’était la nuit. Nous avions fait l’amour pendant des heures, probablement plusieurs fois de suite.
C’est elle qui m’a réveillé pour que je voie tomber la neige. Je me souviens m’être dit que c’était un peu idiot... La neige à Lyon en février, ça ne me semblait pas un spectacle inhabituel.
Toute nue, elle regardait la neige qui recouvrait le jardin en contrebas en me disant c’est beau non ? Moi j’étais derrière son dos, et je regardais ses petites fesses qui reflétaient la lumière jaune des lampadaires de la rue. J’ai saisi l’appareil posé sur la table du salon. C’est à cet instant qu’elle s’est retournée pour me sourire. Je n’ai pas interrompu mon geste, et j’ai pris la neige à travers la fenêtre. Elle s’est mise à genoux pour me prendre dans sa bouche. Elle n’avait jamais fait cela. Elle voulait me faire plaisir, elle s’y prenait plutôt mal. Nous avons encore une fois fait l’amour....
La photo est ratée et le labo ne nous l’a pas facturée, si l’on regarde attentivement, encore faut-il le savoir, on distingue vaguement le reflet de son dos..
* * *
Premières vacances à Biarritz
Celle-ci c’est mon frère qui l’a prise. On est au début de l’été sur la promenade qui longe la plage de Biarritz. Le ciel est bleu lumineux. Je me souviens de l’odeur des frites et de l’ambre solaire qui évoquait le temps des vacances. Les couleurs de la photo sont chaudes et saturées.
Le vent rabat ses cheveux vers l’avant, couvrant une partie de son visage. Elle ne pose pas et rit de toutes ses dents.
Nous nous étions baignés, l’eau était encore un peu fraiche. Elle porte une jupe rouge légère qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Prétextant que l’eau était très salée et qu’elle avait oublié emporter de quoi se changer, elle était restée nue sous ses vêtements.
Par jeu ou par défi, et sans que je le lui demande, elle est restée toute la journée dans la même tenue.
C’est la semaine ou elle a voulu emprunter avec moi de nouvelles voies sensuelles.
* * *
Le collier de perles
C’est l’hiver, toujours à Biarritz. Le regard buté et la lèvre tremblante, elle ne veut pas me parler.
Mes parents nous ont invités au restaurant. À la fin du repas, ma mère remarque qu’elle porte le collier en perles que je lui ai offert deux mois plus tôt. C’est à cet instant qu’elle découvre mon mensonge... le premier... en le lui offrant, je lui avais fait croire que je l’avais acheté lors d’une vente aux enchères. Ma mère lui apprend qu’il s’agit du collier de ma grand-mère. Ma mère parle toujours trop. J’aurais voulu qu’elle se taise. J’aurais voulu être ailleurs. Le choc est d’autant plus rude que le cadeau l’avait surprise.
Elle apprendra un an plus tard que ce n’était même pas de vraies perles.
C’est ce soir, je crois qu’elle à appris à ne plus m’aimer autant.
* * *
Festival d’Avignon
Photo de groupe, quelques mois plus tard. Un stage de théâtre à Avignon. Nous assistions à une ou deux représentations par jour et avions droit à l’explication de texte détaillée de l’artiste. Nous ne nous connaissions pas auparavant et ne sommes jamais revus depuis. Je ne parviens pas à mettre un nom ou un prénom sur le moindre visage.
Le cliché a été pris à la terrasse d’un café proche du palais des papes. Nous sommes côte à côte, sans tout à fait me tourner le dos, elle ne semble pas me prêter attention. Elle a sympathisé avec un garçon qui ressemble à un moniteur de ski ou de planche à voile. Il est grand, blond, les yeux clairs, l’allure assurée des hommes que les femmes recherchent ; j’ai l’air d’un môme à ses côtés.
Elle lui propose de venir nous voir à Lyon et insiste pour qu’il note le numéro de téléphone. Je sais que si elle le revoit, ce ne sera pas pour parler théâtre... Nous n’avons jamais évoqué cet épisode par la suite. Je ne suis pas certain qu’elle aurait souhaité m’associer à la réalisation de son fantasme.
* * *
Nouvel An dans le Jura
Sur celle-ci, on la voit, en train de danser. Nous sommes dans un gite dans le Jura et fêtons le Nouvel An avec un groupe d’étudiants que nous connaissons depuis quelques semaines seulement et ne reverrons jamais.
La musique est forte... tout le monde a déjà beaucoup bu. La pièce est enfumée, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres, dehors il fait -20° ou moins encore.
Je la savais opposée à toute consommation de stupéfiant, mais ce soir-là, elle s’est servi une énorme part de space cake et peut être un cachet d’ectazy également.
Elle est devenue très câline, m’a attiré dans un coin un peu à l’écart, m’a pris la main, dégrafant elle-même un bouton de son jean pour dégager sa taille et m’a demandé de la caresser jusqu’à l’orgasme. Elle me regardait droit dans les yeux, tandis que ma main s’activait... je l’ai sentie se détendre comme un ressort cassé. Elle venait de jouir. Après cela, elle est partie danser, puis je l’ai perdue de vue pendant une heure ou deux jusqu’au moment où elle est venue me chercher, pour que je lui fasse l’amour sous la douche. Son sexe était humide au point que je me demande encore si je n’ai pas confondu son excitation intime avec le sperme d’un autre.
Un mois plus tard, nous étions séparés. Il me semble que c’est à cette occasion que nous avons fait l’amour pour la dernière fois.
* * *
Nuit de féria à Nîmes
Là, c’est moi de nuit, le crâne rasé, l’œil sombre, marchant dans les rues de Nîmes en pleine feria. Je suis militaire, à l’époque on disait bidasse.
Nous sommes séparés depuis plusieurs mois. Nous n’avons plus que quelques rares contacts téléphoniques.
Je sais qu’elle vit à présent dans cette ville.
J’ai l’air préoccupé et sérieux..., je me souviens que j’étais en fait à la fois triste que notre histoire soit terminée et inquiet de la rencontrer accompagnée d’un autre, qui serait forcément plus grand et plus beau que moi.
Mon ami, qui m’a invité se moque de moi.... La rue est en fête. Tout le monde rit et danse autour de nous, tandis que nous marchons en parlant du sens de la vie.
* * *
En revenant de Nîmes, un matin.....
Dans cette photo, prise d’un radar routier, à l’entrée de Nîmes, on me voit seul au volant de ma voiture. Je suis pressé d’arriver à destination.
Elle m’avait invité à venir lui rendre visite dans son deux pièces à Nîmes, pour diner.
Je n’étais plus militaire et nous ne nous étions pas revus depuis une année.
Elle m’attendait chez elle. Je suis venu les mains dans les poches, sans une bouteille ni même un bouquet de fleurs. Elle semblait heureuse de me revoir, me gratifiant de son sourire magnifique.
Tous deux assis à même le tapis de son salon, je l’écoutais me parler de son travail, de sa vie, de sa mère. Le téléphone a sonné. Elle a décroché, j’ai compris qu’elle parlait à son nouvel amoureux. Adossée à un mur, ses talons posés à plat, elle lissait sa jupe et la rajustait en me regardant sans cesser de parler. Elle a légèrement entrouvert ses genoux d’un geste faussement involontaire, me dévoilant un court instant une tache blanche entre ses cuisses.
Après qu’elle ait raccroché sur un mot tendre chargé de promesses érotiques, nous avons repris notre discussion. Il faisait chaud ce soir-là, mais la température était supportable. Elle s’est levée d’un geste nerveux, me déclarant que son string la grattait et lui rentrait dans les fesses, l’a retiré rapidement en me tournant le dos. Sagement installée sur son canapé en toile, elle est nue sous sa jupe. Elle joue, prenant garde à ce que je n’interprète aucune de ses attitudes comme un signal érotique.
J’aurais dû l’embrasser, me jeter sur elle, la prendre, sans même la déshabiller, ramper sous elle pour la dévorer. Mais ce soir, je suis resté assis sur son tapis carré... j’ai continué à parler et à boire ; à parler encore et à boire aussi.
Nous avons dormi ensemble. Je n’étais de toute façon pas en état de reprendre la route. Allongée, dos contre mon ventre dans son lit, elle était nue. J’étais saoul et m’en voulais de ne pas avoir su réfréner ma pulsion alcoolique. Comprenant qu’il ne pouvait désormais plus y avoir que de la tendresse entre nous, elle s’est saisi de ma main droite afin de couvrir son sein gauche et s’est rapidement endormie.
* * *
Photo sur le net
Je ne l’ai plus jamais croisée. Récemment, en tapant son nom sur un moteur de recherche, j’ai vu son visage apparaitre sur une photo qui semblait avoir été scannée à partir d’une pièce d’identité.
Près de trente ans plus tard, elle n’a pas changé. Elle est toujours aussi souriante et ne fait pas son âge.
En revoyant cette image, me revenaient en mémoire les deux années que nous avions passées ensemble. Elle était toujours célibataire et vivait encore dans le sud. Je me suis demandé ce qu’il serait passé si je ne lui avais pas menti à propos du collier de perles. Peut-être aurions-nous prolongé notre histoire. Nous aurions certainement eu des enfants et la séparation n’en aurait été que plus douloureuse. Nous n’étions pas destinés à rester ensemble toute notre vie.
J’ai quelques remords, mais aucun regret. Je conserve un souvenir attendri de ma première histoire d’amour.
* * *
Elle n’a pas tout oublié
Ma mère est passée à la maison hier soir. Après quinze ans de célibat, elle a enfin décidé de refaire sa vie dans une autre ville avec son nouveau compagnon. C’est fou ce que l’on peut jeter quand on déménage. Je lui avais dit que je ne voulais pas qu’elle se débarrasse de quoi que ce soit qui m’appartient sans me le dire. Elle a tenu parole et m’a rapporté hier, une malle pleine de vêtements d’enfants et une surprise. La surprise c’est cette boite en carton qui déborde de vieux souvenirs que je suis en train d’effeuiller, seule, sur la table de mon salon.
Au fond de la boite, une enveloppe rose. Dans l’enveloppe, quelques photos de moi, encore adolescente. Mes sœurs et moi fêtant mes dix-huit ans, mon chat, mes premiers et derniers essais de photographie artistique. Puis retournée, parmi d’autres ; je suis sûr qu’elle a ouvert l’enveloppe, un cliché, ou je m’adonne au plaisir naturiste au bord d’une rivière par une claire journée d’été. Je suis debout, bien sûr toute nue, et la photo a été prise de surplomb. Mon corps est un peu déformé par la perspective plongeante. Je suis bronzée des pieds à la tête, sans la moindre marque de maillot de bain. J’avais encore mes petits seins, qui me complexaient tant, que je me suis fait refaire pour mes trente ans.
J’avais oublié l’existence de cette image, mais je me souviens de cette journée. Je ferme les yeux et elle revit en moi.
Nous avions décidé de nous baigner dans le Gardon. Ma sœur avait voulu nous accompagner avec son petit ami iranien. Lui nous conduisait, dans sa 504 décapotable rouge.
Il faisait très chaud, et nous voulions nous baigner. Il ne supportait pas la promiscuité et refusait toutes les plages que nous lui proposions, nous avons roulé, puis marché longtemps pour trouver un endroit qui ne soit pas envahi de familles.
Il était beau ce jour-là, très brun, ses cheveux bouclés flottaient au vent. Ses lunettes de soleil lui donnaient un air absent. J’avais envie de le toucher, de gouter sa peau que je devinais salée. Lui, conduisait, sans dire un mot le regard fixé sur la route.
C’est moi qui après notre baignade ai pris l’initiative de me débarrasser de mon slip de bain, pour bronzer toute nue. Il ne s’est pas fait prier longtemps et s’est lui aussi complètement dévêtu. Ma sœur était dans l’eau en compagnie de son invité. Visiblement gênés, ils n’osaient plus nous rejoindre.
Allongée sur le ventre, je somnolais, goutant l’odeur des pins, la douceur du soleil et le chant des cigales. Je me sentais bien dans mon corps, j’ai senti sa main huilée d’abord se poser sur mon épaule puis investir le reste de mon corps. J’avais envie qu’il continue sa caresse, qu’il l’a précise et de ses doigts me fasse jouir maintenant.
Je me suis levée et d’un geste de la tête l’ai invitée à me suivre. Sous un arbre, je me suis assise face à lui, tournant le dos à la rivière. Écartant légèrement les genoux, je n’ai pas eu besoin de dire pour qu’il comprenne ce que je désirais. Je voulais me sentir fouillée, caressée, excitée... Je n’ai jamais retrouvé un homme qui sache aussi bien me faire jouir de ces doigts. Il m’a caressée, longuement, lentement, avec la précision et la douceur d’une femme. Je le regardais dans les yeux et sentait son trouble alors que le plaisir rapidement montait de mon ventre d’abord par vagues, puis comme un flot continu. C’est à ce moment que sans cesser sa caresse, il s’est penché vers moi, me soufflant une parole obscène et souriante. J’ai senti mon sexe inondé de plaisir. Un petit cri m’a échappé... Je ne l’ai pas touché. Il n’a pas insisté. Il n’a jamais compris que j’attendais qu’il prenne sans attendre mon autorisation
C’est avec lui que je me suis peu à peu affranchie de mes inhibitions et du poids du regard de ma mère. Un soir, j’ai eu l’impression que je faisais l’amour avec mon frère. Je n’ai plus supporté de voir son visage face à moi. Je me suis retournée, et m’imaginant avec un autre je me suis faite jouir sans attention pour son plaisir. Je savais que notre histoire était finie. Je n’avais plus envie de lui. Il me fallait d’autres corps, d’autres odeurs, ressentir les émotions du début.
Nous nous sommes quittés sans qu’il insiste pour me retenir. Il avait l’air triste des amants révoqués. Je ne l’admirais plus.
Nous nous sommes revus peu après notre séparation. Je voulais qu’il me prenne, qu’il me maltraite et me baise.... mais, il n’a rien compris et a passé toute la soirée à boire et à parler.
Je ne sais plus où il vit. Il a dû vieillir et perdre sa brune beauté juvénile. Peut-être ses cheveux ont-ils blanchi. Peut-être a-t-il pris du ventre ou perdu l’éclat de son regard. Je voudrais ne jamais le recroiser. Et puis que lui dire à présent ?
Premiers mots, dans le train
Ça, c’est dans le train qui nous conduisait à Marseille. Nous ne nous connaissions pas encore. J’avais remarqué cette fille qui sur le quai m’observait. C’est elle qui m’a adressé la parole en premier. Sa tête me disait bien quelque chose, mais je ne la remettais pas. Je ne me souviens plus des premiers mots que nous avons échangés. Le train était bondé et nous n’avions pas trouvé de places où nous assoir. Debout sur la plateforme, nous nous sommes racontés ; elle souriait tout le temps, faisant comme si elle me trouvait passionnant ; moi, je faisais la roue....Elle a voulu me montrer , un petit reflex argentique autofocus, que son père lui avait offert pour son anniversaire et dont elle était très fière, en le manipulant elle a photographié la porte des toilettes. Le flash s’est déclenché automatiquement..... L’image est remarquablement nette.
Quand à Vienne, le Wagon a commencé à se vider, nous nous sommes installés, côte à côte....Elle me parlait, de sa vie, de ses parents, de ses études....Nous fréquentions la même école. Elle entamait sa première année, moi ma troisième. Je me souviens juste de ses yeux qui brillaient et des reflets roux qui courraient sur le Rhône ce matin de décembre entre neige et soleil.
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Neige de février la nuit.
Ça, c’est une drôle de photo toute floue. La neige tombait à gros flocons. C’était la nuit. Nous avions fait l’amour pendant des heures, probablement plusieurs fois de suite.
C’est elle qui m’a réveillé pour que je voie tomber la neige. Je me souviens m’être dit que c’était un peu idiot... La neige à Lyon en février, ça ne me semblait pas un spectacle inhabituel.
Toute nue, elle regardait la neige qui recouvrait le jardin en contrebas en me disant c’est beau non ? Moi j’étais derrière son dos, et je regardais ses petites fesses qui reflétaient la lumière jaune des lampadaires de la rue. J’ai saisi l’appareil posé sur la table du salon. C’est à cet instant qu’elle s’est retournée pour me sourire. Je n’ai pas interrompu mon geste, et j’ai pris la neige à travers la fenêtre. Elle s’est mise à genoux pour me prendre dans sa bouche. Elle n’avait jamais fait cela. Elle voulait me faire plaisir, elle s’y prenait plutôt mal. Nous avons encore une fois fait l’amour....
La photo est ratée et le labo ne nous l’a pas facturée, si l’on regarde attentivement, encore faut-il le savoir, on distingue vaguement le reflet de son dos..
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Premières vacances à Biarritz
Celle-ci c’est mon frère qui l’a prise. On est au début de l’été sur la promenade qui longe la plage de Biarritz. Le ciel est bleu lumineux. Je me souviens de l’odeur des frites et de l’ambre solaire qui évoquait le temps des vacances. Les couleurs de la photo sont chaudes et saturées.
Le vent rabat ses cheveux vers l’avant, couvrant une partie de son visage. Elle ne pose pas et rit de toutes ses dents.
Nous nous étions baignés, l’eau était encore un peu fraiche. Elle porte une jupe rouge légère qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Prétextant que l’eau était très salée et qu’elle avait oublié emporter de quoi se changer, elle était restée nue sous ses vêtements.
Par jeu ou par défi, et sans que je le lui demande, elle est restée toute la journée dans la même tenue.
C’est la semaine ou elle a voulu emprunter avec moi de nouvelles voies sensuelles.
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Le collier de perles
C’est l’hiver, toujours à Biarritz. Le regard buté et la lèvre tremblante, elle ne veut pas me parler.
Mes parents nous ont invités au restaurant. À la fin du repas, ma mère remarque qu’elle porte le collier en perles que je lui ai offert deux mois plus tôt. C’est à cet instant qu’elle découvre mon mensonge... le premier... en le lui offrant, je lui avais fait croire que je l’avais acheté lors d’une vente aux enchères. Ma mère lui apprend qu’il s’agit du collier de ma grand-mère. Ma mère parle toujours trop. J’aurais voulu qu’elle se taise. J’aurais voulu être ailleurs. Le choc est d’autant plus rude que le cadeau l’avait surprise.
Elle apprendra un an plus tard que ce n’était même pas de vraies perles.
C’est ce soir, je crois qu’elle à appris à ne plus m’aimer autant.
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Festival d’Avignon
Photo de groupe, quelques mois plus tard. Un stage de théâtre à Avignon. Nous assistions à une ou deux représentations par jour et avions droit à l’explication de texte détaillée de l’artiste. Nous ne nous connaissions pas auparavant et ne sommes jamais revus depuis. Je ne parviens pas à mettre un nom ou un prénom sur le moindre visage.
Le cliché a été pris à la terrasse d’un café proche du palais des papes. Nous sommes côte à côte, sans tout à fait me tourner le dos, elle ne semble pas me prêter attention. Elle a sympathisé avec un garçon qui ressemble à un moniteur de ski ou de planche à voile. Il est grand, blond, les yeux clairs, l’allure assurée des hommes que les femmes recherchent ; j’ai l’air d’un môme à ses côtés.
Elle lui propose de venir nous voir à Lyon et insiste pour qu’il note le numéro de téléphone. Je sais que si elle le revoit, ce ne sera pas pour parler théâtre... Nous n’avons jamais évoqué cet épisode par la suite. Je ne suis pas certain qu’elle aurait souhaité m’associer à la réalisation de son fantasme.
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Nouvel An dans le Jura
Sur celle-ci, on la voit, en train de danser. Nous sommes dans un gite dans le Jura et fêtons le Nouvel An avec un groupe d’étudiants que nous connaissons depuis quelques semaines seulement et ne reverrons jamais.
La musique est forte... tout le monde a déjà beaucoup bu. La pièce est enfumée, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres, dehors il fait -20° ou moins encore.
Je la savais opposée à toute consommation de stupéfiant, mais ce soir-là, elle s’est servi une énorme part de space cake et peut être un cachet d’ectazy également.
Elle est devenue très câline, m’a attiré dans un coin un peu à l’écart, m’a pris la main, dégrafant elle-même un bouton de son jean pour dégager sa taille et m’a demandé de la caresser jusqu’à l’orgasme. Elle me regardait droit dans les yeux, tandis que ma main s’activait... je l’ai sentie se détendre comme un ressort cassé. Elle venait de jouir. Après cela, elle est partie danser, puis je l’ai perdue de vue pendant une heure ou deux jusqu’au moment où elle est venue me chercher, pour que je lui fasse l’amour sous la douche. Son sexe était humide au point que je me demande encore si je n’ai pas confondu son excitation intime avec le sperme d’un autre.
Un mois plus tard, nous étions séparés. Il me semble que c’est à cette occasion que nous avons fait l’amour pour la dernière fois.
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Nuit de féria à Nîmes
Là, c’est moi de nuit, le crâne rasé, l’œil sombre, marchant dans les rues de Nîmes en pleine feria. Je suis militaire, à l’époque on disait bidasse.
Nous sommes séparés depuis plusieurs mois. Nous n’avons plus que quelques rares contacts téléphoniques.
Je sais qu’elle vit à présent dans cette ville.
J’ai l’air préoccupé et sérieux..., je me souviens que j’étais en fait à la fois triste que notre histoire soit terminée et inquiet de la rencontrer accompagnée d’un autre, qui serait forcément plus grand et plus beau que moi.
Mon ami, qui m’a invité se moque de moi.... La rue est en fête. Tout le monde rit et danse autour de nous, tandis que nous marchons en parlant du sens de la vie.
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En revenant de Nîmes, un matin.....
Dans cette photo, prise d’un radar routier, à l’entrée de Nîmes, on me voit seul au volant de ma voiture. Je suis pressé d’arriver à destination.
Elle m’avait invité à venir lui rendre visite dans son deux pièces à Nîmes, pour diner.
Je n’étais plus militaire et nous ne nous étions pas revus depuis une année.
Elle m’attendait chez elle. Je suis venu les mains dans les poches, sans une bouteille ni même un bouquet de fleurs. Elle semblait heureuse de me revoir, me gratifiant de son sourire magnifique.
Tous deux assis à même le tapis de son salon, je l’écoutais me parler de son travail, de sa vie, de sa mère. Le téléphone a sonné. Elle a décroché, j’ai compris qu’elle parlait à son nouvel amoureux. Adossée à un mur, ses talons posés à plat, elle lissait sa jupe et la rajustait en me regardant sans cesser de parler. Elle a légèrement entrouvert ses genoux d’un geste faussement involontaire, me dévoilant un court instant une tache blanche entre ses cuisses.
Après qu’elle ait raccroché sur un mot tendre chargé de promesses érotiques, nous avons repris notre discussion. Il faisait chaud ce soir-là, mais la température était supportable. Elle s’est levée d’un geste nerveux, me déclarant que son string la grattait et lui rentrait dans les fesses, l’a retiré rapidement en me tournant le dos. Sagement installée sur son canapé en toile, elle est nue sous sa jupe. Elle joue, prenant garde à ce que je n’interprète aucune de ses attitudes comme un signal érotique.
J’aurais dû l’embrasser, me jeter sur elle, la prendre, sans même la déshabiller, ramper sous elle pour la dévorer. Mais ce soir, je suis resté assis sur son tapis carré... j’ai continué à parler et à boire ; à parler encore et à boire aussi.
Nous avons dormi ensemble. Je n’étais de toute façon pas en état de reprendre la route. Allongée, dos contre mon ventre dans son lit, elle était nue. J’étais saoul et m’en voulais de ne pas avoir su réfréner ma pulsion alcoolique. Comprenant qu’il ne pouvait désormais plus y avoir que de la tendresse entre nous, elle s’est saisi de ma main droite afin de couvrir son sein gauche et s’est rapidement endormie.
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Photo sur le net
Je ne l’ai plus jamais croisée. Récemment, en tapant son nom sur un moteur de recherche, j’ai vu son visage apparaitre sur une photo qui semblait avoir été scannée à partir d’une pièce d’identité.
Près de trente ans plus tard, elle n’a pas changé. Elle est toujours aussi souriante et ne fait pas son âge.
En revoyant cette image, me revenaient en mémoire les deux années que nous avions passées ensemble. Elle était toujours célibataire et vivait encore dans le sud. Je me suis demandé ce qu’il serait passé si je ne lui avais pas menti à propos du collier de perles. Peut-être aurions-nous prolongé notre histoire. Nous aurions certainement eu des enfants et la séparation n’en aurait été que plus douloureuse. Nous n’étions pas destinés à rester ensemble toute notre vie.
J’ai quelques remords, mais aucun regret. Je conserve un souvenir attendri de ma première histoire d’amour.
* * *
Elle n’a pas tout oublié
Ma mère est passée à la maison hier soir. Après quinze ans de célibat, elle a enfin décidé de refaire sa vie dans une autre ville avec son nouveau compagnon. C’est fou ce que l’on peut jeter quand on déménage. Je lui avais dit que je ne voulais pas qu’elle se débarrasse de quoi que ce soit qui m’appartient sans me le dire. Elle a tenu parole et m’a rapporté hier, une malle pleine de vêtements d’enfants et une surprise. La surprise c’est cette boite en carton qui déborde de vieux souvenirs que je suis en train d’effeuiller, seule, sur la table de mon salon.
Au fond de la boite, une enveloppe rose. Dans l’enveloppe, quelques photos de moi, encore adolescente. Mes sœurs et moi fêtant mes dix-huit ans, mon chat, mes premiers et derniers essais de photographie artistique. Puis retournée, parmi d’autres ; je suis sûr qu’elle a ouvert l’enveloppe, un cliché, ou je m’adonne au plaisir naturiste au bord d’une rivière par une claire journée d’été. Je suis debout, bien sûr toute nue, et la photo a été prise de surplomb. Mon corps est un peu déformé par la perspective plongeante. Je suis bronzée des pieds à la tête, sans la moindre marque de maillot de bain. J’avais encore mes petits seins, qui me complexaient tant, que je me suis fait refaire pour mes trente ans.
J’avais oublié l’existence de cette image, mais je me souviens de cette journée. Je ferme les yeux et elle revit en moi.
Nous avions décidé de nous baigner dans le Gardon. Ma sœur avait voulu nous accompagner avec son petit ami iranien. Lui nous conduisait, dans sa 504 décapotable rouge.
Il faisait très chaud, et nous voulions nous baigner. Il ne supportait pas la promiscuité et refusait toutes les plages que nous lui proposions, nous avons roulé, puis marché longtemps pour trouver un endroit qui ne soit pas envahi de familles.
Il était beau ce jour-là, très brun, ses cheveux bouclés flottaient au vent. Ses lunettes de soleil lui donnaient un air absent. J’avais envie de le toucher, de gouter sa peau que je devinais salée. Lui, conduisait, sans dire un mot le regard fixé sur la route.
C’est moi qui après notre baignade ai pris l’initiative de me débarrasser de mon slip de bain, pour bronzer toute nue. Il ne s’est pas fait prier longtemps et s’est lui aussi complètement dévêtu. Ma sœur était dans l’eau en compagnie de son invité. Visiblement gênés, ils n’osaient plus nous rejoindre.
Allongée sur le ventre, je somnolais, goutant l’odeur des pins, la douceur du soleil et le chant des cigales. Je me sentais bien dans mon corps, j’ai senti sa main huilée d’abord se poser sur mon épaule puis investir le reste de mon corps. J’avais envie qu’il continue sa caresse, qu’il l’a précise et de ses doigts me fasse jouir maintenant.
Je me suis levée et d’un geste de la tête l’ai invitée à me suivre. Sous un arbre, je me suis assise face à lui, tournant le dos à la rivière. Écartant légèrement les genoux, je n’ai pas eu besoin de dire pour qu’il comprenne ce que je désirais. Je voulais me sentir fouillée, caressée, excitée... Je n’ai jamais retrouvé un homme qui sache aussi bien me faire jouir de ces doigts. Il m’a caressée, longuement, lentement, avec la précision et la douceur d’une femme. Je le regardais dans les yeux et sentait son trouble alors que le plaisir rapidement montait de mon ventre d’abord par vagues, puis comme un flot continu. C’est à ce moment que sans cesser sa caresse, il s’est penché vers moi, me soufflant une parole obscène et souriante. J’ai senti mon sexe inondé de plaisir. Un petit cri m’a échappé... Je ne l’ai pas touché. Il n’a pas insisté. Il n’a jamais compris que j’attendais qu’il prenne sans attendre mon autorisation
C’est avec lui que je me suis peu à peu affranchie de mes inhibitions et du poids du regard de ma mère. Un soir, j’ai eu l’impression que je faisais l’amour avec mon frère. Je n’ai plus supporté de voir son visage face à moi. Je me suis retournée, et m’imaginant avec un autre je me suis faite jouir sans attention pour son plaisir. Je savais que notre histoire était finie. Je n’avais plus envie de lui. Il me fallait d’autres corps, d’autres odeurs, ressentir les émotions du début.
Nous nous sommes quittés sans qu’il insiste pour me retenir. Il avait l’air triste des amants révoqués. Je ne l’admirais plus.
Nous nous sommes revus peu après notre séparation. Je voulais qu’il me prenne, qu’il me maltraite et me baise.... mais, il n’a rien compris et a passé toute la soirée à boire et à parler.
Je ne sais plus où il vit. Il a dû vieillir et perdre sa brune beauté juvénile. Peut-être ses cheveux ont-ils blanchi. Peut-être a-t-il pris du ventre ou perdu l’éclat de son regard. Je voudrais ne jamais le recroiser. Et puis que lui dire à présent ?
Lun 12 Mars 2012, 22:57 par
francisco varga sur Histoires d'amour
Cet homme
Elle l’observe, choquée:
de la voir l’aimer.
Elle voudrait être cet homme
qui la fait vibrer
ce jeune érudit en forme
qui la fait danser.
Elle voudrait être dans son corps
lorsqu’il durcit à son contact
elle voudrait leur corps à corps
et à ce moment exact.
Elle voudrait ne plus être seule,
tomber en amour dans sa gueule...
elle voudrait savoir ce que c’est:
d’aimer...
Elle en a bien un vague souvenir
mais depuis c’est la Vague...
Entre Harpagon et Alcapone, qui choisir,
ces héros râtés où elle divague...
Et puis, il y a lui...
celui qui lui renvoie ô combien elle a râté...
loupé les envies
de vie où elle pourrait être aimée...
Elle a bien quelques consolations,
quelques oranges rapportées,
un parloir où elle y trouve le son
le seul qui la consolerait...
Je lui mets des musiques pour l’apaiser,
un temps, ça lui permet,
de la fermer, et d’écouter,
et même de chanter ses regrets...
En famille recomposée,
ses enfants la haient,
elle ne s’en est jamais souciée
égoïste, bien trop occupée...
Occupée, à s’oublier,
et à ravaler sa dignité.
Elle avale ce qui reste coincé,
ce qui reste bloqué...
Elle voudrait être cet homme
lorsqu’il caresse ses yeux,
ses seins, et ses hormones,
lorsqu’elle le rend joyeux.
Elle voudrait cette maison qu’ils ont
avec ce jardin,
elle voudrait être lui et sa raison,
et son chemin...
Elle voudrait son destin,
et ses mains,
elle voudrait être tout ce qu’il est,
tout ce qu’il a, ses qualités.
de la voir l’aimer.
Elle voudrait être cet homme
qui la fait vibrer
ce jeune érudit en forme
qui la fait danser.
Elle voudrait être dans son corps
lorsqu’il durcit à son contact
elle voudrait leur corps à corps
et à ce moment exact.
Elle voudrait ne plus être seule,
tomber en amour dans sa gueule...
elle voudrait savoir ce que c’est:
d’aimer...
Elle en a bien un vague souvenir
mais depuis c’est la Vague...
Entre Harpagon et Alcapone, qui choisir,
ces héros râtés où elle divague...
Et puis, il y a lui...
celui qui lui renvoie ô combien elle a râté...
loupé les envies
de vie où elle pourrait être aimée...
Elle a bien quelques consolations,
quelques oranges rapportées,
un parloir où elle y trouve le son
le seul qui la consolerait...
Je lui mets des musiques pour l’apaiser,
un temps, ça lui permet,
de la fermer, et d’écouter,
et même de chanter ses regrets...
En famille recomposée,
ses enfants la haient,
elle ne s’en est jamais souciée
égoïste, bien trop occupée...
Occupée, à s’oublier,
et à ravaler sa dignité.
Elle avale ce qui reste coincé,
ce qui reste bloqué...
Elle voudrait être cet homme
lorsqu’il caresse ses yeux,
ses seins, et ses hormones,
lorsqu’elle le rend joyeux.
Elle voudrait cette maison qu’ils ont
avec ce jardin,
elle voudrait être lui et sa raison,
et son chemin...
Elle voudrait son destin,
et ses mains,
elle voudrait être tout ce qu’il est,
tout ce qu’il a, ses qualités.
Mer 23 Nov 2011, 15:17 par
inlove sur La vie à deux
Je voudrais
Comment te décrire? Tu es l’être que j’attendais, sans ne plus l’espérer. Je ne t’attendais pas, je ne m’attendais plus, et ce fut impromptu.
Comment t’écrire Je t’aime sans le chanter? je voudrais danser, contre ton torse, la tête posée; tout près m’approcher. En musique, te dire, viens m’embrasser! Je voudrais que tu décides et que tu me guides avec tes bras limpides de clarté, sans vide... Je voudrais que tu me serres fort, jusqu’à me voir soumise à ton corps... Ton nom, qui se fait tant désirer, oui je voudrais le porter, le garder, l’adopter, puis surtout le partager. Je voudrais obéir à tes mains en ayant qu’un seul maître: mon coeur, je voudrais mélanger nos odeurs, dans la sueur du bonheur. Tu m’inspires un demain où nous irons à Rome, par tous chemins, un seul homme: me manque, et tout mon coeur est dépeuplé. Oui tu es parfait, un peu plus chaque fois que je peux te découvrir, pardonne moi, de te dévêtir.
Comment me retenir? Ai-je le droit de te recouvrir de moi? Si tu étais une pierre, tu serais précieuse, tu serais un diamant, recherché, rare, fier, digne, un aimant m’attirant, amoureuse. Un éclat, tu es sublime: brillant. T’admirant, bien plus je t’estime énormément. Je te respecte, tendrement, aveuglément, éblouie et muette, discrètement, je t’attends. Je te regarde, avec tendresse, et attachement, comme une princesse guette son prince charmant. Tu es si beau car tu dégages la beauté intégrale, car ton intérieur et ton corps débordent de charmes, car un peu plus chaque jour mes yeux t’avalent, car tu sais faire de moi la plus heureuse des femmes. J’aime ce film qu’on regarde, notre scénario, j’aime quand tu montes tout en haut, tu es droit, ferme et doux quant il faut, tu es pour moi de tous, le plus beau! Celui que je veux, que je voudrais, tu es tout ce que je voulais! tout ce que je veux! tout ce que j’aimerais. Tout ce que j’aimerai. Je t’aimerai toujours. Car, comment à présent, t’enlever de moi? où tu es entré, mon Amour. Mon présent. mon toujours.
Comment t’écrire Je t’aime sans le chanter? je voudrais danser, contre ton torse, la tête posée; tout près m’approcher. En musique, te dire, viens m’embrasser! Je voudrais que tu décides et que tu me guides avec tes bras limpides de clarté, sans vide... Je voudrais que tu me serres fort, jusqu’à me voir soumise à ton corps... Ton nom, qui se fait tant désirer, oui je voudrais le porter, le garder, l’adopter, puis surtout le partager. Je voudrais obéir à tes mains en ayant qu’un seul maître: mon coeur, je voudrais mélanger nos odeurs, dans la sueur du bonheur. Tu m’inspires un demain où nous irons à Rome, par tous chemins, un seul homme: me manque, et tout mon coeur est dépeuplé. Oui tu es parfait, un peu plus chaque fois que je peux te découvrir, pardonne moi, de te dévêtir.
Comment me retenir? Ai-je le droit de te recouvrir de moi? Si tu étais une pierre, tu serais précieuse, tu serais un diamant, recherché, rare, fier, digne, un aimant m’attirant, amoureuse. Un éclat, tu es sublime: brillant. T’admirant, bien plus je t’estime énormément. Je te respecte, tendrement, aveuglément, éblouie et muette, discrètement, je t’attends. Je te regarde, avec tendresse, et attachement, comme une princesse guette son prince charmant. Tu es si beau car tu dégages la beauté intégrale, car ton intérieur et ton corps débordent de charmes, car un peu plus chaque jour mes yeux t’avalent, car tu sais faire de moi la plus heureuse des femmes. J’aime ce film qu’on regarde, notre scénario, j’aime quand tu montes tout en haut, tu es droit, ferme et doux quant il faut, tu es pour moi de tous, le plus beau! Celui que je veux, que je voudrais, tu es tout ce que je voulais! tout ce que je veux! tout ce que j’aimerais. Tout ce que j’aimerai. Je t’aimerai toujours. Car, comment à présent, t’enlever de moi? où tu es entré, mon Amour. Mon présent. mon toujours.
Mar 25 Oct 2011, 21:07 par
inlove sur La déclaration d'amour
ça me fait penser à ça...
http://www.youtube.com/watch?v=RIoHUMFt8zI&feature=fvst
Danser, du regard et des mains apprivoiser
Une proposition, un pour parler, une invitation à tout oublier
Tanguer, comme les radeaux dérivent, les canoës
Comme le vin enivre, se griser, comme un tango, tanguer se renverser
Tomber, comme l’oiseau porté par les grands vents
Comme le bateau au fond de l’océan, comment choisir de vivre le néant
Aime-moi (ou ou) aime-moi (ou ou ou ou)
Aime-moi (ou ou yeah) aime-moi (ou ou)
Danser, fermer les yeux ne surtout plus penser
Du bout des doigts te toucher te troubler
Dire que je danse, mais t’apprivoiser
Tomber, dans cet orage mourir foudroyé
Dans ce volcan, me perdre et m’y brûler
Mourir d’amour et en ressusciter
(Aime-moi)
Comme une parenthèse, une pose une trêve, un vide où je me noie
(Aime-moi)
Comme l’amour en rêve sans interdit sans règle ne plus penser qu’à ça
(Aime-moi)
Et comme un sacrilège assouvir le cortège de mes désirs de toi
(Aime-moi)
Et j’arrête le temps respire à contre temps ne respire presque pas
Aime-moi
(Je trace le chemin de la bouche de mes mains te dessine la voie)
Aime-moi
(Et c’est moi qui décide qui t’emmène et te guide et dispose de toi)
Aime-moi
(Te manger comme une pomme qu’on croque et abandonne te prendre comme un homme)
Aime-moi
(Je connais la manière et comment il faut faire pour trouver la lumière)
Aime-moi (ou ou) aime-moi (ou ou ou ou)
Aime-moi (ou ou yeah) aime-moi (ou ou)
Aime-moi (ou ou) aime-moi (ou ou ou ou)
Aime-moi (ou ou yeah) aime-moi (ou ou)
c’est que ton texte est beau en effet et INSPIRANT
Danser, du regard et des mains apprivoiser
Une proposition, un pour parler, une invitation à tout oublier
Tanguer, comme les radeaux dérivent, les canoës
Comme le vin enivre, se griser, comme un tango, tanguer se renverser
Tomber, comme l’oiseau porté par les grands vents
Comme le bateau au fond de l’océan, comment choisir de vivre le néant
Aime-moi (ou ou) aime-moi (ou ou ou ou)
Aime-moi (ou ou yeah) aime-moi (ou ou)
Danser, fermer les yeux ne surtout plus penser
Du bout des doigts te toucher te troubler
Dire que je danse, mais t’apprivoiser
Tomber, dans cet orage mourir foudroyé
Dans ce volcan, me perdre et m’y brûler
Mourir d’amour et en ressusciter
(Aime-moi)
Comme une parenthèse, une pose une trêve, un vide où je me noie
(Aime-moi)
Comme l’amour en rêve sans interdit sans règle ne plus penser qu’à ça
(Aime-moi)
Et comme un sacrilège assouvir le cortège de mes désirs de toi
(Aime-moi)
Et j’arrête le temps respire à contre temps ne respire presque pas
Aime-moi
(Je trace le chemin de la bouche de mes mains te dessine la voie)
Aime-moi
(Et c’est moi qui décide qui t’emmène et te guide et dispose de toi)
Aime-moi
(Te manger comme une pomme qu’on croque et abandonne te prendre comme un homme)
Aime-moi
(Je connais la manière et comment il faut faire pour trouver la lumière)
Aime-moi (ou ou) aime-moi (ou ou ou ou)
Aime-moi (ou ou yeah) aime-moi (ou ou)
Aime-moi (ou ou) aime-moi (ou ou ou ou)
Aime-moi (ou ou yeah) aime-moi (ou ou)











Mar 25 Oct 2011, 20:10 par
inlove sur La déclaration d'amour
Petite soirée entre amis
Cette fois, tout est prêt ! Ce soir quand il viendra,
De sa charmante robe, elle le séduira
Petite femme-enfant, chipie et très coquine
Il ne pourra longtemps rester indifférent
Et même s’il résiste et qu’il fait semblant
Elle a son petit plus qui la rendra divine
Il craquera bien vite au timbre de sa voix,
À sa douce façon de lui prendre le bras
Marrante et boute-en-train, espiègle et mutine
Mélange de lutin, femme d’intérieur
Pilote navigant et jeune fille en fleur
Il sera sous son charme avant qu’il le devine
La conversation, commençant par des vers,
Il faudra, tout d’abord, et sans en avoir l’air
Amener le sujet qui tant la passionne
Elle devra trouver un motif évident
L’amener à parler de tout ce qu’il ressent
Ce qu’il pense vraiment de cette sauvageonne
Le dîner est fin prêt, les cheveux à coiffer
Tout doux mon joli cœur, il ne faut pas gaffer
Dans un petit moment sonnera à la porte
Celui qui te fait battre à rompre le tympan
Je t’en prie, calme-toi ! L’instant est important !
Il ne faut surtout pas que ton souhait t’emporte.
Des pas dans l’escalier, il va bientôt sonner
Miroir mon beau miroir, dis-moi qu’il va m’aimer
Ma coiffure est jolie et je suis ravissante
J’ai fait attention, j’ai tout ce qui lui plaît
J’espère qu’il ressemble au portrait que j’ai fait
J’ai hâte de le voir, j’en suis toute tremblante
Tinte le carillon. Il n’est pas en retard !
Oh ! Je ne le crois pas ! Il a mis un costard !
Il est beau comme un dieu ! J’en suis toute contente !
La preuve que, pour lui, ce rendez-vous galant
N’est pas un petit jeu mais un pas important
Il comble les espoirs de cette longue attente
J’avais fait un pari pour bâtir mon futur
Et c’est le premier pas, à faire, le plus dur
Au salon, en rimant, il raconte sa vie
Je l’écoute en pensant que ce rêve est trop beau
Tout se présente tel un beau roman photo
Il a l’air tout content et j’en suis bien ravie
Sa sensibilité, et sa grande douceur
Transpirent doucement du fin fond de son cœur
Il m’invite à danser, dit des idioties
Et je ris de bon cœur, à tous ses jeux de mots
Que c’est bon d’oublier, pour un soir, les sanglots
Les tracas, les soucis et leurs péripéties
Il est très chaleureux et discute gaiement
Mais il ne peut cacher son questionnement
Il admet m’aimer bien. Qu’il me trouve très belle
Et voudrait donc savoir quel est mon jugement
S’il peut garder l’espoir qu’une femme l’attend
Qu’il existe parfois, qu’il compte aussi pour elle
C’est une réussite, à notre étonnement
Il m’a bien sûr séduite, avec son entregent
J’ai quelque sentiment mais ne suis amoureuse
Pourtant, main dans la main, nous ferons du chemin
Nous prenant par la taille en dépit du destin……..
Il est drôle et charmant et j’en suis très heureuse
caressedesyeux
De sa charmante robe, elle le séduira
Petite femme-enfant, chipie et très coquine
Il ne pourra longtemps rester indifférent
Et même s’il résiste et qu’il fait semblant
Elle a son petit plus qui la rendra divine
Il craquera bien vite au timbre de sa voix,
À sa douce façon de lui prendre le bras
Marrante et boute-en-train, espiègle et mutine
Mélange de lutin, femme d’intérieur
Pilote navigant et jeune fille en fleur
Il sera sous son charme avant qu’il le devine
La conversation, commençant par des vers,
Il faudra, tout d’abord, et sans en avoir l’air
Amener le sujet qui tant la passionne
Elle devra trouver un motif évident
L’amener à parler de tout ce qu’il ressent
Ce qu’il pense vraiment de cette sauvageonne
Le dîner est fin prêt, les cheveux à coiffer
Tout doux mon joli cœur, il ne faut pas gaffer
Dans un petit moment sonnera à la porte
Celui qui te fait battre à rompre le tympan
Je t’en prie, calme-toi ! L’instant est important !
Il ne faut surtout pas que ton souhait t’emporte.
Des pas dans l’escalier, il va bientôt sonner
Miroir mon beau miroir, dis-moi qu’il va m’aimer
Ma coiffure est jolie et je suis ravissante
J’ai fait attention, j’ai tout ce qui lui plaît
J’espère qu’il ressemble au portrait que j’ai fait
J’ai hâte de le voir, j’en suis toute tremblante
Tinte le carillon. Il n’est pas en retard !
Oh ! Je ne le crois pas ! Il a mis un costard !
Il est beau comme un dieu ! J’en suis toute contente !
La preuve que, pour lui, ce rendez-vous galant
N’est pas un petit jeu mais un pas important
Il comble les espoirs de cette longue attente
J’avais fait un pari pour bâtir mon futur
Et c’est le premier pas, à faire, le plus dur
Au salon, en rimant, il raconte sa vie
Je l’écoute en pensant que ce rêve est trop beau
Tout se présente tel un beau roman photo
Il a l’air tout content et j’en suis bien ravie
Sa sensibilité, et sa grande douceur
Transpirent doucement du fin fond de son cœur
Il m’invite à danser, dit des idioties
Et je ris de bon cœur, à tous ses jeux de mots
Que c’est bon d’oublier, pour un soir, les sanglots
Les tracas, les soucis et leurs péripéties
Il est très chaleureux et discute gaiement
Mais il ne peut cacher son questionnement
Il admet m’aimer bien. Qu’il me trouve très belle
Et voudrait donc savoir quel est mon jugement
S’il peut garder l’espoir qu’une femme l’attend
Qu’il existe parfois, qu’il compte aussi pour elle
C’est une réussite, à notre étonnement
Il m’a bien sûr séduite, avec son entregent
J’ai quelque sentiment mais ne suis amoureuse
Pourtant, main dans la main, nous ferons du chemin
Nous prenant par la taille en dépit du destin……..
Il est drôle et charmant et j’en suis très heureuse
caressedesyeux
Mar 08 Mars 2011, 11:18 par
caressedesyeux sur Mille choses
Tango
-pourquoi les hommes font la cour aux femmes, pourquoi un homme a besoin de conquérir une femme?
-c’est instinctif, le mâle depuis toujours doit conquérir une femelle
-mais pour quoi ?
-parce qu’un homme n’est pas un mâle fort sans une femelle
-et pour quoi un homme a-t-il besoin d’avoir plusieurs femmes?
-c’est parce qu’il craint la mort
-quoi que tu fasse un jour tu vas mourir
-certainement mais on vit qu’une fois
-je suis sure tu mourras avant moi
-fort probable, je suis plus vieux que toi, et moins résistant que toi
-je viendrai à tes funérailles en robe rouge et des talons escarpins noirs
-j’adorerai te voir une dernière fois
-je ne danserai pas le tango à trois
-tu n’es pas obligée!!
-de quoi?
-de danser
-j’aime danser
-danse alors
-je ne veux pas à trois, avec toi
-c’est qui le 3ème
-je veux que tu arrêtes de la voir, je veux danser
-remets ta robe rouge,
-elle me va plus
-tu es capricieuse
-mets-la, mets tes talons noirs
-ils sont usés
-tu ne veux pas danser, alors laisse moi danser
-je t’ai appris à danser
-oui, à ta manière, je t’ai offert la robe rouge elle t’appartient
-et si je mettrais une autre robe, je n’aime plus le rouge
-peut être on danserait, quand l’homme réalise que sa vie est basée sur rien, c’est douloureux
-ta vie n’est pas basée sur rien , je t’aime et tu aimes danser
-je t’aime, j’adore danser
-pour quoi dit-on tomber amoureux? est ce parce que lorsqu’on danse on risque de tomber?
-tu ne changeras jamais!
-c’est instinctif, le mâle depuis toujours doit conquérir une femelle
-mais pour quoi ?
-parce qu’un homme n’est pas un mâle fort sans une femelle
-et pour quoi un homme a-t-il besoin d’avoir plusieurs femmes?
-c’est parce qu’il craint la mort
-quoi que tu fasse un jour tu vas mourir
-certainement mais on vit qu’une fois
-je suis sure tu mourras avant moi
-fort probable, je suis plus vieux que toi, et moins résistant que toi
-je viendrai à tes funérailles en robe rouge et des talons escarpins noirs
-j’adorerai te voir une dernière fois
-je ne danserai pas le tango à trois
-tu n’es pas obligée!!
-de quoi?
-de danser
-j’aime danser
-danse alors
-je ne veux pas à trois, avec toi
-c’est qui le 3ème
-je veux que tu arrêtes de la voir, je veux danser
-remets ta robe rouge,
-elle me va plus
-tu es capricieuse
-mets-la, mets tes talons noirs
-ils sont usés
-tu ne veux pas danser, alors laisse moi danser
-je t’ai appris à danser
-oui, à ta manière, je t’ai offert la robe rouge elle t’appartient
-et si je mettrais une autre robe, je n’aime plus le rouge
-peut être on danserait, quand l’homme réalise que sa vie est basée sur rien, c’est douloureux
-ta vie n’est pas basée sur rien , je t’aime et tu aimes danser
-je t’aime, j’adore danser
-pour quoi dit-on tomber amoureux? est ce parce que lorsqu’on danse on risque de tomber?
-tu ne changeras jamais!
Ven 12 Nov 2010, 00:45 par
assouma23 sur La vie à deux
Je veux...
Je veux...
Tes yeux dans les miens
Ton sourire charmeur
Tes mains sur mon cou
Nos soirées interminables
Nos discussions rêveuses
Et les plus sérieuses aussi
Te voir rire
Te voir danser
Te voir épanouie
Hier et ces doux souvenirs
Là tout de suite pour le plaisir
Et demain aussi
Tes seins sur moi
Ton corps nu au petit matin
Tes mains se crispant sur mon dos
Mais je ne veux pas faire marche arrière...
Un dans un
Un chacun
Un à deux
Tout est à faire
Tout est à créer
Tout est à nous
Si tu le veux aussi...
Tes yeux dans les miens
Ton sourire charmeur
Tes mains sur mon cou
Nos soirées interminables
Nos discussions rêveuses
Et les plus sérieuses aussi
Te voir rire
Te voir danser
Te voir épanouie
Hier et ces doux souvenirs
Là tout de suite pour le plaisir
Et demain aussi
Tes seins sur moi
Ton corps nu au petit matin
Tes mains se crispant sur mon dos
Mais je ne veux pas faire marche arrière...
Un dans un
Un chacun
Un à deux
Tout est à faire
Tout est à créer
Tout est à nous
Si tu le veux aussi...
Mer 11 Août 2010, 22:24 par
Loyd sur La séduction
Rira bien qui rira le dernier !
Je refuse le retour violent du poids sur ma poitrine. La partie serait terminée et j’aurais perdu. Continuez de vous prendre au sérieux. Du haut de ma tour en sursis ça m’indiffère franchement.
Et il cri, jusque dans mes poumons, jusque dans mes pores, jusque même dans mes reins et mon sang.
Étouffe-moi si tu peux.
Petit, soit mon reflet difforme. Tu es le maître, la vie est un combat et j’aime tant perdre que gagner. Je joue avec mes poings, avec mes petits poings, mes petites mains d’enfants. Je frappe sur le piano, je frappe sur la table, je frappe sur les garçons et ils rient, ils rient et disent que je n’ai pas de force.
J’ai connu des garçons tu sais, qui jouaient sur les mots, rien dans le pantalon. Et pire que tout bien sur, le fameux révolver chargé au bout d’une langue.
J’ai connu des enfants qui d’un seul regard dur m’ont fait tomber à genoux. C’est vrai, c’est vrai que sous le joug des belles hypocrites, je ne suis plus rien. Je baisse la tête et acquiesce.
C’est vrai, je suis vassale des moindres filles de rien, pourvu qu’elles aient l’allure.
Mais par-dessus tout, je hurle et je respecte les filles si dures, si belles, celles qui tendrement franches lacérant ma fierté, sont pures et vérités.
Sur leurs cheveux dorés, sur leurs peaux sales, sur leurs cuisses déjà usées et ces regards qui brûlent, qui me consument. Les femmes, les vraies à qui je tiendrais tête encore, égales pire ou meilleures, qu’importe tout est semblable et contradictoire.
Le paradoxe d’un enfer que j’adule et comprends, sur lequel éternellement je cracherais des larmes, des mots, des armes.
Suis-moi, je t’en supplie, dans ma tête, dans mes doigts. Il y a des hommes, des femmes qui n’ont encore rien vu, rien sentis, rien compris.
Qui demandent l’enfance, la saleté et le drame.
Qui demandent le luxe, le faux et le parfait.
Qui demandent tout et tout, le mélange des couleurs. Pour arriver à quoi ? Pour n’arriver à rien, à rien et pour finir. Mais rien, non ne finis jamais. On ira danser, on ira danser, tu m’emmèneras danser, tu m’emmèneras danser loin et encore plus loin.
J’en ai jamais assez, je pousserais à bout, à bout, toujours plus loin.
De la flamme sur mon corps encore, dans les flammes toujours, du feu, des vagues et du vent, les rafales que j’embrasse dans mes bras, je suis salée et dure. Je suis faible, si faible, que rien ne m’arrête, que rien ne m’empêchera, rien, rien, rien.
Suis-moi, moi je t’accompagnerai, je te suivrais la nuit, la nuit dans les rues. Cigarettes au bec, mégots ramassés et alcool suintant, dans le sale, dans le propre, la misère, la richesse. Je suis omniprésente, je suis ambivalente et rien, non ne m’arrête.
Je n’ai de scrupules, ni d’envies que les vôtres, que vos âmes, que vos vies, vos images, vos yeux. Vous les petits enfants, vous les jeunes innocents.
Et il cri, jusque dans mes poumons, jusque dans mes pores, jusque même dans mes reins et mon sang.
Étouffe-moi si tu peux.
Petit, soit mon reflet difforme. Tu es le maître, la vie est un combat et j’aime tant perdre que gagner. Je joue avec mes poings, avec mes petits poings, mes petites mains d’enfants. Je frappe sur le piano, je frappe sur la table, je frappe sur les garçons et ils rient, ils rient et disent que je n’ai pas de force.
J’ai connu des garçons tu sais, qui jouaient sur les mots, rien dans le pantalon. Et pire que tout bien sur, le fameux révolver chargé au bout d’une langue.
J’ai connu des enfants qui d’un seul regard dur m’ont fait tomber à genoux. C’est vrai, c’est vrai que sous le joug des belles hypocrites, je ne suis plus rien. Je baisse la tête et acquiesce.
C’est vrai, je suis vassale des moindres filles de rien, pourvu qu’elles aient l’allure.
Mais par-dessus tout, je hurle et je respecte les filles si dures, si belles, celles qui tendrement franches lacérant ma fierté, sont pures et vérités.
Sur leurs cheveux dorés, sur leurs peaux sales, sur leurs cuisses déjà usées et ces regards qui brûlent, qui me consument. Les femmes, les vraies à qui je tiendrais tête encore, égales pire ou meilleures, qu’importe tout est semblable et contradictoire.
Le paradoxe d’un enfer que j’adule et comprends, sur lequel éternellement je cracherais des larmes, des mots, des armes.
Suis-moi, je t’en supplie, dans ma tête, dans mes doigts. Il y a des hommes, des femmes qui n’ont encore rien vu, rien sentis, rien compris.
Qui demandent l’enfance, la saleté et le drame.
Qui demandent le luxe, le faux et le parfait.
Qui demandent tout et tout, le mélange des couleurs. Pour arriver à quoi ? Pour n’arriver à rien, à rien et pour finir. Mais rien, non ne finis jamais. On ira danser, on ira danser, tu m’emmèneras danser, tu m’emmèneras danser loin et encore plus loin.
J’en ai jamais assez, je pousserais à bout, à bout, toujours plus loin.
De la flamme sur mon corps encore, dans les flammes toujours, du feu, des vagues et du vent, les rafales que j’embrasse dans mes bras, je suis salée et dure. Je suis faible, si faible, que rien ne m’arrête, que rien ne m’empêchera, rien, rien, rien.
Suis-moi, moi je t’accompagnerai, je te suivrais la nuit, la nuit dans les rues. Cigarettes au bec, mégots ramassés et alcool suintant, dans le sale, dans le propre, la misère, la richesse. Je suis omniprésente, je suis ambivalente et rien, non ne m’arrête.
Je n’ai de scrupules, ni d’envies que les vôtres, que vos âmes, que vos vies, vos images, vos yeux. Vous les petits enfants, vous les jeunes innocents.
Sam 03 Juil 2010, 13:51 par
Calyco sur L'amour en vrac
Quiproquo consentant ?
Entre chacun de ses mots de réconforts féminins, chacune voit dans le visage de l’autre les inconvénients de leur situation actuelle. Elles se disent : "Ma vie n’est pas réjouissante mais la sienne n’est pas mieux... Dieu me garde de choisir la sienne !"
La célibataire voit dans l’union mal assortie un bonheur flétri trop tôt. Elle préfère vivre sa vie seule. La solitude a bien des désagréments. Son coeur ne bat pas au diapason avec un autre instrument. Personne n’est présent pour battre la mesure avec elle. Elle a l’impression d’être oubliée par tous. Pourquoi n’y a-t-il pas un autre coeur qui daigne s’accorder au sien ? Pourtant, elle demeure convaincue que sa liberté lui donne le choix d’un bonheur éternel. Mais encore faut-il qu’elle trouve l’harmonie avec un autre coeur !
L’amie accompagnée trouve dans son union quelque peu mal fagoté un confort artificiel. Cela lui apporte une stabilité affective précaire mais cela lui suffit bien. Dépitée de ses expériences peu productives, elle a abandonné sa quête de l’harmonie idéale avec un autre. Son coeur est peut-être devenu sourd et maladroit avec le temps, se dit-elle. Quand elle voit la solitude et le désespoir de son amie, elle est bien contente de trouver un compagnon et enfants en son logis. Au moins ne connaît-elle pas la solitude physique ! Mais son coeur demeure seul, alors elle chante en silence dans l’espoir d’entendre un jour une réponse.
Au final, toutes deux connaissent la solitude du corps et du coeur. Le corps ne trouve pas d’harmonie avec le coeur. Et le coeur recherche un autre pour faire danser les corps dans une harmonie divine, dans un seul et même rythme.
La célibataire voit dans l’union mal assortie un bonheur flétri trop tôt. Elle préfère vivre sa vie seule. La solitude a bien des désagréments. Son coeur ne bat pas au diapason avec un autre instrument. Personne n’est présent pour battre la mesure avec elle. Elle a l’impression d’être oubliée par tous. Pourquoi n’y a-t-il pas un autre coeur qui daigne s’accorder au sien ? Pourtant, elle demeure convaincue que sa liberté lui donne le choix d’un bonheur éternel. Mais encore faut-il qu’elle trouve l’harmonie avec un autre coeur !
L’amie accompagnée trouve dans son union quelque peu mal fagoté un confort artificiel. Cela lui apporte une stabilité affective précaire mais cela lui suffit bien. Dépitée de ses expériences peu productives, elle a abandonné sa quête de l’harmonie idéale avec un autre. Son coeur est peut-être devenu sourd et maladroit avec le temps, se dit-elle. Quand elle voit la solitude et le désespoir de son amie, elle est bien contente de trouver un compagnon et enfants en son logis. Au moins ne connaît-elle pas la solitude physique ! Mais son coeur demeure seul, alors elle chante en silence dans l’espoir d’entendre un jour une réponse.
Au final, toutes deux connaissent la solitude du corps et du coeur. Le corps ne trouve pas d’harmonie avec le coeur. Et le coeur recherche un autre pour faire danser les corps dans une harmonie divine, dans un seul et même rythme.
Mer 23 Juin 2010, 03:18 par
Solina sur Parler d'amour
Valse
Elsa, Elsa, ton petit cul très pâle et ta petit bouche très vive, tes petits saignements de nez et des flaques un peu partout, et ce soleil qui n’est plus rond, une nuit versée dans les bocaux, aux poches trouées, aux rebords des paupières, sur la peau de fruits mûrs, dans tes mains, là on l’on vient se noyer, et des larmes soudain, comme notes de musique fânées, tombées d’ailes de corbeaux qui croissaient au dessus d’un champ immense,
Très noir,
Très grand,
Où l’on perd sa paille et ses nielles, et ses sonnailles tressées,
Ou l’on contemple l’enchevêtrement des mains fermes,
Rêches,
Où l’on danse pauvrement, pour ce soleil qui n’est plus rond, pour un homme qui ne sait plus chanter,
Et pour une voix qui ne sais plus de chansons.
Elsa, on pourra danser sur des feux indiens, et verser les appétits crépusculaires dans l’aube, où tout rougit, et te réclame, où tout a faim.
Et je ne pourrais pas dormir, parce que j’ai des nuits dissoutes dans un verre d’eau. Alors on a joué a qui tutoie le soleil naissant ;
Et les plaines sans vie, et la neige en manteau,
Ont ôté leurs prépuces à l’herbe et l’hymen aux ruisseaux.
On est retournés dans ces champs,
Ces champs immenses bercés de blés, avec les murmures de rousseur jusqu’au bout des cressons. Et je marchais, je marchais a revers de pieds ; Je te tenais à bout de bras, mes mains vidées,
moites,
Avec des souvenirs de toi placardés au front.
Mes yeux ne peuvent plus voir, Elsa, mes yeux ne peuvent plus voir mes yeux ne te voient plus, et j’ai des petits orages aux mains creusés.
On danse, on valse, on change de mesure, et on change de pied, parce qu’Elsa est morte.
Tu es morte. Et tu es M comme du sable, et tu t’évapores lentement parce qu’Elsa merde tu es morte, tu es morte, je ne te reverrais plus je ne t’embrasserais plus, et on ira plus faire l’amour dans les lauzes et tu es morte, O de rien du tout, d’un grand drap vide qui ne cache plus rien, R du coup de fusil aux épaules, T de la mitraille, et de l’orage qui ne viens pas, E de rien, de merde de rien, tu es morte bordel, tu es morte merde, il faut vite aller arracher les ailes des oiseaux, il faut vite aller éventrer les petits tonnerres, il faut vite aller briser les barrages, boucher les éviers, disperser un peu de suie dans chaque œil, un peu de plomb dans chaque pas, un peu de haine dans chaque joue.
On danse, parce qu’il faut danser.
Je déchire les mesures. Et les sels. Et les poivrières se fanent, terrifiées. Les cosses se brises, les lits se déplient, des familles entières courent vers l’avenue, le ciel noir, un glaviot d’église sur les trottoirs. Je t’aime je crois. Ton cachemire porte ton sexe ; j’ai les yeux bouclés. Alors j’irais près de la mer, les poumons ouverts aux falaises, arracher une a une les lèvres des rochers.
Très noir,
Très grand,
Où l’on perd sa paille et ses nielles, et ses sonnailles tressées,
Ou l’on contemple l’enchevêtrement des mains fermes,
Rêches,
Où l’on danse pauvrement, pour ce soleil qui n’est plus rond, pour un homme qui ne sait plus chanter,
Et pour une voix qui ne sais plus de chansons.
Elsa, on pourra danser sur des feux indiens, et verser les appétits crépusculaires dans l’aube, où tout rougit, et te réclame, où tout a faim.
Et je ne pourrais pas dormir, parce que j’ai des nuits dissoutes dans un verre d’eau. Alors on a joué a qui tutoie le soleil naissant ;
Et les plaines sans vie, et la neige en manteau,
Ont ôté leurs prépuces à l’herbe et l’hymen aux ruisseaux.
On est retournés dans ces champs,
Ces champs immenses bercés de blés, avec les murmures de rousseur jusqu’au bout des cressons. Et je marchais, je marchais a revers de pieds ; Je te tenais à bout de bras, mes mains vidées,
moites,
Avec des souvenirs de toi placardés au front.
Mes yeux ne peuvent plus voir, Elsa, mes yeux ne peuvent plus voir mes yeux ne te voient plus, et j’ai des petits orages aux mains creusés.
On danse, on valse, on change de mesure, et on change de pied, parce qu’Elsa est morte.
Tu es morte. Et tu es M comme du sable, et tu t’évapores lentement parce qu’Elsa merde tu es morte, tu es morte, je ne te reverrais plus je ne t’embrasserais plus, et on ira plus faire l’amour dans les lauzes et tu es morte, O de rien du tout, d’un grand drap vide qui ne cache plus rien, R du coup de fusil aux épaules, T de la mitraille, et de l’orage qui ne viens pas, E de rien, de merde de rien, tu es morte bordel, tu es morte merde, il faut vite aller arracher les ailes des oiseaux, il faut vite aller éventrer les petits tonnerres, il faut vite aller briser les barrages, boucher les éviers, disperser un peu de suie dans chaque œil, un peu de plomb dans chaque pas, un peu de haine dans chaque joue.
On danse, parce qu’il faut danser.
Je déchire les mesures. Et les sels. Et les poivrières se fanent, terrifiées. Les cosses se brises, les lits se déplient, des familles entières courent vers l’avenue, le ciel noir, un glaviot d’église sur les trottoirs. Je t’aime je crois. Ton cachemire porte ton sexe ; j’ai les yeux bouclés. Alors j’irais près de la mer, les poumons ouverts aux falaises, arracher une a une les lèvres des rochers.
Dim 13 Juin 2010, 10:12 par
Boris K sur Parler d'amour
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