Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur condamné
Qui a dit que la nuit profonde libère ?
Me sauveras-tu, dis la nuit ?
Nous avons bu l’herbe des fous et nous avons connu mille morts, comme précipités dans le couloir du condamné.
Quel fut notre crime ?
L’abandon des masques au cours de ce duel entre deux ombres habitées, sourdes au miracle de l’amour.
Plongé dans une solitude sans nom, je ne verrai jamais s’ouvrir les portes des fées.
Toi, ma pure absence.
A quoi bon vouloir porter la vérité comme un prophète quand on va dans le monde sur un cheval de bois.
Le vent d’automne m’emporte, je n’ai rien su découvrir.
Dis, la nuit, me sauveras-tu ?
Me sauveras-tu, dis la nuit ?
Nous avons bu l’herbe des fous et nous avons connu mille morts, comme précipités dans le couloir du condamné.
Quel fut notre crime ?
L’abandon des masques au cours de ce duel entre deux ombres habitées, sourdes au miracle de l’amour.
Plongé dans une solitude sans nom, je ne verrai jamais s’ouvrir les portes des fées.
Toi, ma pure absence.
A quoi bon vouloir porter la vérité comme un prophète quand on va dans le monde sur un cheval de bois.
Le vent d’automne m’emporte, je n’ai rien su découvrir.
Dis, la nuit, me sauveras-tu ?
Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par
FB sur Mille choses
Qui veut la peau d'agatha christie ?
Je viens une dernière fois rendre grâce à ce site pour m’avoir permis plus ou moins régulièrement toutes ces années de rêver et de créer du beau (au moins l’ai-je essayé bien humblement) tout en me régalant d’écriture et de relecture.
Dois-je citer toutes les oeuvres qui ont nourri mes textes bien que ces derniers en soient indignes ? Je risque fort de me montrer ingrate et d’en oublier parmi les plus importants : "Les confessions d’un enfant du siècle" d’Alfred de Musset, "La promesse de L’ange" de Frédéric Lenoir qui relate les amours tragiques entre un homme consacré et une guérisseuse (la structure romanesque est merveilleuse), sans oublier le "Manifeste pour une renaissance" : parmi les ouvrages de Bernard Besret qui m’ont été donnés de lire, c’est ce dernier qui m’a sans doute le plus marquée (de par sa proximité avec mon propre cheminement existentiel sans doute).
Je ne viendrai plus pour plusieurs raisons, ces écrits qui n’avaient pour but que de me récréer tout en me tenant lieu parfois d’exutoire ont été profanés un peu comme ces tombes par des personnes malveillantes et qui pour couvrir leurs frasques cherchent dans l’écriture les preuves d’une culpabilité de l’auteur qu’il savent chimériques... C’est un procédé fort astucieux que de vouloir déplacer le centre de gravité d’une affaire : mettre sous le feu des projecteurs non plus l’assassin mais le bouc émissaire. C’est courant, Combien de violeurs protestent de leur innocence en montrant du doigt leurs victimes : ces viles aguicheuses... A qui profite le crime ?! Ces honnêtes hommes (ou femmes) qui au demeurant ont parfois pignon sur rue, ne manqueraient pas, tout couverts du sang de leur dernier forfait, de pointer le même index accusateur : regardez, c’est Agatha Christie, coupable de crime avec préméditation, elle a même couché ses (nombreux) aveux par écrit. Ce faisant, ils ajoutent à leur scélératesse, la calomnie...
La seconde raison, et bien ! Il s’agissait pour moi de venir sublimer un célibat imposé par un divorce qui perdura durant dix longues années de solitude (encore un ouvrage merveilleux : cien anos de soledad de Gabriel Garcia Marquez)...
Le temps est un sérum de vérité, il renforce et grandit l’âme de ceux qui ont le coeur droit - dans l’épreuve - et montre la vraie nature de qui est vil. S’il m’est arrivé de m’indigner, de pleurer voire de tempêter devant l’aveuglement des hommes et des femmes qui portent la charge de rendre la justice, je n’ai jamais trahi la rectitude qui est ma marque de fabrique et si j’ai le verbe haut, j’ai le coeur droit (certains ne se sont donnés que la peine de naître et de naître nantis cela leur tient lieu d’honneur et de probité. ceux-là ne sont pas mes cousins).
Une fois de plus, je ne peux que rendre hommage à Gisèle Halimi que j’ai eu la grâce de rencontrer et qui me confiait lors d’une interview (à l’occasion de la sortie de son livre "L’étrange Monsieur K") combien il est difficile de défendre un innocent. Ce dernier est de fait indéfendable, il n’a que lui, que la vérité et cette dernière ne porte pas un label spécial qui la distingue des contrefaçons. Il crie, il pleure, il gronde, il a peur et tout cela indispose. Prenez un coupable : il dispose de tout une batterie : mensonge, abus de pouvoir, manipulation, faux et usage de faux, il sourit, il affiche un calme olympien et sourit d’autant mieux qu’il sait ses mauvais procédés couronnés de succès.
Mais quelle que soit l’issue des procès et que l’on condamne ou pas Agatha ou K, mes frères, pour les crimes qu’ils n’ont pas commis, aucune erreur judiciaire ne changera la nature réelle de l’homme, celui qui est bon et droit ne peut être avili. Celui qui juge et qui se trompe peut en son âme et conscience en éprouver des regrets et peut-être un tourment secret : ne me suis-je pas trompé, mon intuition était-elle bonne, n’étais-je pas sous influence ? Quelle charge faisons-nous porter sur des épaules humaines ! Mais qu’ils se rassurent, l’homme coupable porte en lui le germe de sa condamnation et lui se connaît intimement, il n’est pas dupe de sa noirceur. Son propre jugement n’en sera que plus éclatant.
Il ne me reste plus qu’à tirer ma révérence d’un hommage appuyé à l’administrateur du site, mon bien cher et respecté Petit Prince pour sa confiance et sa bienveillance durant ces longues années. Un clin d’oeil à vous chères âmes tendres que j’ai eu la joie de lire et de relire, avec qui, parfois, les fils fragiles de l’amitié épistolaire se sont tissés.
Je vous souhaite de belles et tendres heures d’écriture avec la pulsation de vos coeurs à la pointe de vos plumes.
Bien scripturalement vôtre,
Dolce Vita
Dois-je citer toutes les oeuvres qui ont nourri mes textes bien que ces derniers en soient indignes ? Je risque fort de me montrer ingrate et d’en oublier parmi les plus importants : "Les confessions d’un enfant du siècle" d’Alfred de Musset, "La promesse de L’ange" de Frédéric Lenoir qui relate les amours tragiques entre un homme consacré et une guérisseuse (la structure romanesque est merveilleuse), sans oublier le "Manifeste pour une renaissance" : parmi les ouvrages de Bernard Besret qui m’ont été donnés de lire, c’est ce dernier qui m’a sans doute le plus marquée (de par sa proximité avec mon propre cheminement existentiel sans doute).
Je ne viendrai plus pour plusieurs raisons, ces écrits qui n’avaient pour but que de me récréer tout en me tenant lieu parfois d’exutoire ont été profanés un peu comme ces tombes par des personnes malveillantes et qui pour couvrir leurs frasques cherchent dans l’écriture les preuves d’une culpabilité de l’auteur qu’il savent chimériques... C’est un procédé fort astucieux que de vouloir déplacer le centre de gravité d’une affaire : mettre sous le feu des projecteurs non plus l’assassin mais le bouc émissaire. C’est courant, Combien de violeurs protestent de leur innocence en montrant du doigt leurs victimes : ces viles aguicheuses... A qui profite le crime ?! Ces honnêtes hommes (ou femmes) qui au demeurant ont parfois pignon sur rue, ne manqueraient pas, tout couverts du sang de leur dernier forfait, de pointer le même index accusateur : regardez, c’est Agatha Christie, coupable de crime avec préméditation, elle a même couché ses (nombreux) aveux par écrit. Ce faisant, ils ajoutent à leur scélératesse, la calomnie...
La seconde raison, et bien ! Il s’agissait pour moi de venir sublimer un célibat imposé par un divorce qui perdura durant dix longues années de solitude (encore un ouvrage merveilleux : cien anos de soledad de Gabriel Garcia Marquez)...
Le temps est un sérum de vérité, il renforce et grandit l’âme de ceux qui ont le coeur droit - dans l’épreuve - et montre la vraie nature de qui est vil. S’il m’est arrivé de m’indigner, de pleurer voire de tempêter devant l’aveuglement des hommes et des femmes qui portent la charge de rendre la justice, je n’ai jamais trahi la rectitude qui est ma marque de fabrique et si j’ai le verbe haut, j’ai le coeur droit (certains ne se sont donnés que la peine de naître et de naître nantis cela leur tient lieu d’honneur et de probité. ceux-là ne sont pas mes cousins).
Une fois de plus, je ne peux que rendre hommage à Gisèle Halimi que j’ai eu la grâce de rencontrer et qui me confiait lors d’une interview (à l’occasion de la sortie de son livre "L’étrange Monsieur K") combien il est difficile de défendre un innocent. Ce dernier est de fait indéfendable, il n’a que lui, que la vérité et cette dernière ne porte pas un label spécial qui la distingue des contrefaçons. Il crie, il pleure, il gronde, il a peur et tout cela indispose. Prenez un coupable : il dispose de tout une batterie : mensonge, abus de pouvoir, manipulation, faux et usage de faux, il sourit, il affiche un calme olympien et sourit d’autant mieux qu’il sait ses mauvais procédés couronnés de succès.
Mais quelle que soit l’issue des procès et que l’on condamne ou pas Agatha ou K, mes frères, pour les crimes qu’ils n’ont pas commis, aucune erreur judiciaire ne changera la nature réelle de l’homme, celui qui est bon et droit ne peut être avili. Celui qui juge et qui se trompe peut en son âme et conscience en éprouver des regrets et peut-être un tourment secret : ne me suis-je pas trompé, mon intuition était-elle bonne, n’étais-je pas sous influence ? Quelle charge faisons-nous porter sur des épaules humaines ! Mais qu’ils se rassurent, l’homme coupable porte en lui le germe de sa condamnation et lui se connaît intimement, il n’est pas dupe de sa noirceur. Son propre jugement n’en sera que plus éclatant.
Il ne me reste plus qu’à tirer ma révérence d’un hommage appuyé à l’administrateur du site, mon bien cher et respecté Petit Prince pour sa confiance et sa bienveillance durant ces longues années. Un clin d’oeil à vous chères âmes tendres que j’ai eu la joie de lire et de relire, avec qui, parfois, les fils fragiles de l’amitié épistolaire se sont tissés.
Je vous souhaite de belles et tendres heures d’écriture avec la pulsation de vos coeurs à la pointe de vos plumes.
Bien scripturalement vôtre,
Dolce Vita
Mer 20 Juin 2012, 15:13 par
dolce vita sur L'amour en vrac
L'amour à sens unique...
Je pourrais vous chanter la chanson "j’attends l’amour" de Jennifer pour vous résumer ma situation mais je ne le ferais pas.
Contrairement à certaines femmes, les hommes et l’amour n’ont jamais plu dans mon jardin...je me retrouvais amoureuse d’hommes qui ne m’aimaient pas et certains hommes se retrouvaient amoureux de moi alors que moi je ne les aimais pas...
Je suis fatiguée de tout ça et je n’y crois plus.
Pourtant un jour, au moment où vous ne vous y attendez pas vous rencontrez un homme dans des coïncidences assez troublantes...
Imaginez! vous ne le connaissez pas et lorsque vous faites connaissance, vous avez pourtant: passé, intérêts, expériences pro...tout en commun!
une amitié vous lie au tout début puis soudain, parce que des collègues ont raconté trop de ragots et que ses amis ont voulu vous écarter de lui, il met des distances entre vous deux.
vous faites alors des pieds et des mains pour vous réconcilier avec lui.
Vous parvenez à être de nouveau en bons thermes avec lui mais à quel prix? Il a troqué votre belle amitié pure contre une pale copie...
C’est ce que j’ai vécu, mais malgré tout ça fait deux ans que mon cœur ne veut pas cesser de battre pour lui...il peut me sortir des choses blessantes telles que « j’ai une copine » ou « je suis homo », il n’obtiendra de moi que des larmes mais pas de retraits! Mon cœur est condamné à l’aimer à jamais sans pouvoir y changer...et je suis prête à l’attendre toute ma vie s’il le faut car je ne peux me résoudre à le perdre...Je l’aime à en mourir, je pourrais donner ma vie pour lui. Il est la personne qui compte le plus pour moi, il compte plus que ma propre vie!
J’attends peut-être pour rien, je gâche probablement ma vie pour des clous mais le cœur a malheureusement ses raisons que la raison ignore...
Contrairement à certaines femmes, les hommes et l’amour n’ont jamais plu dans mon jardin...je me retrouvais amoureuse d’hommes qui ne m’aimaient pas et certains hommes se retrouvaient amoureux de moi alors que moi je ne les aimais pas...
Je suis fatiguée de tout ça et je n’y crois plus.
Pourtant un jour, au moment où vous ne vous y attendez pas vous rencontrez un homme dans des coïncidences assez troublantes...
Imaginez! vous ne le connaissez pas et lorsque vous faites connaissance, vous avez pourtant: passé, intérêts, expériences pro...tout en commun!
une amitié vous lie au tout début puis soudain, parce que des collègues ont raconté trop de ragots et que ses amis ont voulu vous écarter de lui, il met des distances entre vous deux.
vous faites alors des pieds et des mains pour vous réconcilier avec lui.
Vous parvenez à être de nouveau en bons thermes avec lui mais à quel prix? Il a troqué votre belle amitié pure contre une pale copie...
C’est ce que j’ai vécu, mais malgré tout ça fait deux ans que mon cœur ne veut pas cesser de battre pour lui...il peut me sortir des choses blessantes telles que « j’ai une copine » ou « je suis homo », il n’obtiendra de moi que des larmes mais pas de retraits! Mon cœur est condamné à l’aimer à jamais sans pouvoir y changer...et je suis prête à l’attendre toute ma vie s’il le faut car je ne peux me résoudre à le perdre...Je l’aime à en mourir, je pourrais donner ma vie pour lui. Il est la personne qui compte le plus pour moi, il compte plus que ma propre vie!
J’attends peut-être pour rien, je gâche probablement ma vie pour des clous mais le cœur a malheureusement ses raisons que la raison ignore...
Dim 18 Sep 2011, 21:26 par
marion01 sur L'amour en vrac
Fragilité
X : "Mais qui êtes-vous pour m’en vouloir ainsi ? Que vous ai-je fait ?"
Y : "Vous en vouloir ? Parfois. Mais, vous aimer, toujours."
X : "La bêtise vous gagne, vous rêvez mon bon homme. Non seulement vous êtes idiot, mais en plus vous aimez à le montrer."
Y : "Mes sentiments ne vous suffisent, alors, donc pas ? Ne suis-je vraiment qu’une simple âme de plus à vos yeux ? Votre refus me condamne. Voyez comme la tristesse me gagne plus que la bêtise !"
X : "Ne soyez pas si cruel, le monde regorge de femmes jeunes, belles et à votre goût. Partez à l’aventure, restez-y et revenez-en accompagné. Je vous le promets."
Y : "Il est tard, et cette promesse me brise comme se brise la houle sur les bords acérés d’un rivage somptueux mais froid. Votre coeur est froid et le mien peine, ma belle. Oui, belle vous êtes. Mais froide vous restez. Adieu."
Y : "Vous en vouloir ? Parfois. Mais, vous aimer, toujours."
X : "La bêtise vous gagne, vous rêvez mon bon homme. Non seulement vous êtes idiot, mais en plus vous aimez à le montrer."
Y : "Mes sentiments ne vous suffisent, alors, donc pas ? Ne suis-je vraiment qu’une simple âme de plus à vos yeux ? Votre refus me condamne. Voyez comme la tristesse me gagne plus que la bêtise !"
X : "Ne soyez pas si cruel, le monde regorge de femmes jeunes, belles et à votre goût. Partez à l’aventure, restez-y et revenez-en accompagné. Je vous le promets."
Y : "Il est tard, et cette promesse me brise comme se brise la houle sur les bords acérés d’un rivage somptueux mais froid. Votre coeur est froid et le mien peine, ma belle. Oui, belle vous êtes. Mais froide vous restez. Adieu."
Dim 07 Fév 2010, 13:59 par
365.2425 sur Parler d'amour
Tout pour un sourire
Il aimait peindre les sourires. Il pouvait voir, au-delà d’une expression d’un visage, dûe à des contractions musculaires, une ouverture de soi. Cette brèche peut être petite et de court instant. Mais il pouvait apercevoir la tristesse, la souffrance voilée derrière un sourire de politesse.
La politesse veut que les épanchements soient proscrits de la sphère publique. La retenue est l’apanage des esprits civilisés. Cependant, quand l’esprit est pris dans les tourmentes de la confusion, l’esquisse d’un sourire est une nouvelle blessure qu’on s’inflige à sa propre âme. Ce mensonge est un leurre éphémère. Si le coeur n’apprend pas à guérir de ses blessures en assumant ses joies et ses peines sans leurre, une fois que le masque tombe, le monstre des sentiments envahit l’être et le condamne à la violence et à la mort.
Combien avait-il décelé à travers son pinceau certains de ces subterfuges ? Comment tous ces êtres en perdition pouvaient croire qu’il serait dupe ?
Il ne comprenait pas pourquoi des êtres pouvaient se détruire ainsi. Un sourire, un geste, un mensonge.
"C’est pour me sauver d’une situation critique"
"C’est pour éviter une réponse claire"
"C’est pour qu’on me laisse tranquille"
Pourquoi alors, ne pas apprendre à parler ?
Tout à chacun a une bouche. Tout jeune, l’être apprend à parler mais oublie de communiquer. Il parle souvent pour ne plus entendre la propre musique de son coeur. Il n’est pourtant pas sourd. C’est juste un malentendant sentimental. Comme il ne sait pas communiquer, il sourit pour parler. Un mot pour un sourire. Non, mille mots pour un sourire. Mais, encore faut-il savoir lire un sourire !
Ce qu’il préférait, c’étaient les sourires d’anges. Ceux-là, ils les peignaient avec méticulosité de peur de détruire cette harmonie de coeur et de physique. Ces sourires reflétaient le don, l’amour universelle et l’écoute sincère de l’autre. Apaisés, ils ouvraient le coeur des receveurs. Une profonde quiétude exhalait de ces lèvres charmantes.
Tous ces sourires, il aimait les peindre. Pourquoi ? Parce qu’il trouvait derrière chaque sourire la Vie.
La politesse veut que les épanchements soient proscrits de la sphère publique. La retenue est l’apanage des esprits civilisés. Cependant, quand l’esprit est pris dans les tourmentes de la confusion, l’esquisse d’un sourire est une nouvelle blessure qu’on s’inflige à sa propre âme. Ce mensonge est un leurre éphémère. Si le coeur n’apprend pas à guérir de ses blessures en assumant ses joies et ses peines sans leurre, une fois que le masque tombe, le monstre des sentiments envahit l’être et le condamne à la violence et à la mort.
Combien avait-il décelé à travers son pinceau certains de ces subterfuges ? Comment tous ces êtres en perdition pouvaient croire qu’il serait dupe ?
Il ne comprenait pas pourquoi des êtres pouvaient se détruire ainsi. Un sourire, un geste, un mensonge.
"C’est pour me sauver d’une situation critique"
"C’est pour éviter une réponse claire"
"C’est pour qu’on me laisse tranquille"
Pourquoi alors, ne pas apprendre à parler ?
Tout à chacun a une bouche. Tout jeune, l’être apprend à parler mais oublie de communiquer. Il parle souvent pour ne plus entendre la propre musique de son coeur. Il n’est pourtant pas sourd. C’est juste un malentendant sentimental. Comme il ne sait pas communiquer, il sourit pour parler. Un mot pour un sourire. Non, mille mots pour un sourire. Mais, encore faut-il savoir lire un sourire !
Ce qu’il préférait, c’étaient les sourires d’anges. Ceux-là, ils les peignaient avec méticulosité de peur de détruire cette harmonie de coeur et de physique. Ces sourires reflétaient le don, l’amour universelle et l’écoute sincère de l’autre. Apaisés, ils ouvraient le coeur des receveurs. Une profonde quiétude exhalait de ces lèvres charmantes.
Tous ces sourires, il aimait les peindre. Pourquoi ? Parce qu’il trouvait derrière chaque sourire la Vie.
Jeu 10 Déc 2009, 02:13 par
Solina sur Un monde parfait
Le syndrome de peter pan
Celui qui revit sans cesse les mêmes expériences et oublie d’en tirer la leçon comme si chaque fois il s’éveillait à la vie. Condamné à se prendre encore et toujours les mêmes soufflets en retour !
Voilà ce qu’est le syndrome de Peter Pan !
Cela peut s’appliquer à divers domaines : de la sphère publique à privée...
Des exemples ? !
Voilà ce qu’est le syndrome de Peter Pan !
Cela peut s’appliquer à divers domaines : de la sphère publique à privée...
Des exemples ? !
Lun 20 Avril 2009, 20:54 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Belius et Ancéline
Belius et Ancéline
Amoureux passioné, Belius était heureux naguère
Son coeur désormais arraché repose à terre
Sa douce Ancéline n’est plus
Sa voix cristalline s’est tue
Maudit soit à jamais ce chauffeur hâté de rentrer en son royaume
Qui dans un hoquet d’ivrogne transforma la vie de notre homme
Rampant, sanglotant, écorchant son ventre
Dans une dernière larme décida de se pendre
Débarrassé de son enveloppe matérielle
Heureux qu’il était de la rejoindre au ciel
Aux portes du paradis rencontra Saint Pierre
Mais ne peuvent jamais entrer les suicidaires
Aux flammes de la damnation il se croyait condamné
Mais Satan en personne par son cas était fort contrarié
Une âme habitée par un amour si pur, Lucifer ne pouvait toucher
Ainsi un compromis fut trouvé, aux enfer il pouvait rester
Mais pour celà, l’âme des pécheurs il devrait supplicier
Très peu de temps à ce régime
Suffirent à lui faire perdre toute estime
Anéanti, déboussolé, la terre il regagna
En ectoplasme, l’humanité il explora
Guerre, meurtre, viol, rien ne lui fut épargné
De génocide en mutilation il se sentit balloté
Quand un jour, de nouveau bascula sa destinée
Dieu, sans doute, de lui avait eu pitié
Tout d’abord par ses yeux il se crut trompé
Mais sa bien aimée il venait bien de croiser
Elle-même du paradis s’était échappée
Pour qu’enfin, en ce jour, il se soient retrouvés
Lui montra l’autre face de ce qu’il avait vu
L’amour, la compassion, enfin il reconnut
Dans des corps d’enfants, les deux amants vinrent se réincarner
Avec la promesse de très bientôt reprendre leur passion passée
Amoureux passioné, Belius était heureux naguère
Son coeur désormais arraché repose à terre
Sa douce Ancéline n’est plus
Sa voix cristalline s’est tue
Maudit soit à jamais ce chauffeur hâté de rentrer en son royaume
Qui dans un hoquet d’ivrogne transforma la vie de notre homme
Rampant, sanglotant, écorchant son ventre
Dans une dernière larme décida de se pendre
Débarrassé de son enveloppe matérielle
Heureux qu’il était de la rejoindre au ciel
Aux portes du paradis rencontra Saint Pierre
Mais ne peuvent jamais entrer les suicidaires
Aux flammes de la damnation il se croyait condamné
Mais Satan en personne par son cas était fort contrarié
Une âme habitée par un amour si pur, Lucifer ne pouvait toucher
Ainsi un compromis fut trouvé, aux enfer il pouvait rester
Mais pour celà, l’âme des pécheurs il devrait supplicier
Très peu de temps à ce régime
Suffirent à lui faire perdre toute estime
Anéanti, déboussolé, la terre il regagna
En ectoplasme, l’humanité il explora
Guerre, meurtre, viol, rien ne lui fut épargné
De génocide en mutilation il se sentit balloté
Quand un jour, de nouveau bascula sa destinée
Dieu, sans doute, de lui avait eu pitié
Tout d’abord par ses yeux il se crut trompé
Mais sa bien aimée il venait bien de croiser
Elle-même du paradis s’était échappée
Pour qu’enfin, en ce jour, il se soient retrouvés
Lui montra l’autre face de ce qu’il avait vu
L’amour, la compassion, enfin il reconnut
Dans des corps d’enfants, les deux amants vinrent se réincarner
Avec la promesse de très bientôt reprendre leur passion passée
Lun 26 Nov 2007, 21:01 par
Maneki Neko sur Histoires d'amour
A ce moment là je t'ai crû
Un jour tu m’as dis : " n’ai pas peur, je suis là et souris,
Tu verras tu ne penseras plus à lui".
Mais je l’ai croisé dans la rue.
Il était censé avoir été jugé,
Il aurait dû être condamné plus longuement,
Pourtant il est revenu,
Tel un fantôme pour me hanter,
Sauf que ce n’est pas un songe mais la réalité.
Nos regards se sont croisés,
Et mon coeur s’est emballé,
Je n’arrivais plus à respirer,
Et lui, il rigolait en me menaçant...
Ca me revolte,
Lorsque j’entends parler de justice,
Quand je l’ai vu devant le tribunal,
Avec cette inconnue à son bras.
Elle pourrait être la prochaine,
Mais aucun moyen de le lui dire,
Car je suis entourée de chaînes,
Qui m’empêchent de l’avertir...
C’est lui qui choisira, lui le destin,
Et j’en m’en remets à lui,
Pour qu’elle respire encore demain...
Aujourd’hui, je sais que je t’ai perdu,
De par ma faiblesse : je n’ai pas réussi à oublier mon passé.
Tu verras tu ne penseras plus à lui".
Mais je l’ai croisé dans la rue.
Il était censé avoir été jugé,
Il aurait dû être condamné plus longuement,
Pourtant il est revenu,
Tel un fantôme pour me hanter,
Sauf que ce n’est pas un songe mais la réalité.
Nos regards se sont croisés,
Et mon coeur s’est emballé,
Je n’arrivais plus à respirer,
Et lui, il rigolait en me menaçant...
Ca me revolte,
Lorsque j’entends parler de justice,
Quand je l’ai vu devant le tribunal,
Avec cette inconnue à son bras.
Elle pourrait être la prochaine,
Mais aucun moyen de le lui dire,
Car je suis entourée de chaînes,
Qui m’empêchent de l’avertir...
C’est lui qui choisira, lui le destin,
Et j’en m’en remets à lui,
Pour qu’elle respire encore demain...
Aujourd’hui, je sais que je t’ai perdu,
De par ma faiblesse : je n’ai pas réussi à oublier mon passé.
Ven 05 Jan 2007, 22:54 par
joullia sur L'amour en vrac
Le gardien de la clef
Les murs d’une prison sont parfois invisibles. Bien entendu il
n’y a pas be barreaux et pourtant on se retrouve enfermée.
Par quoi, me direz vous ou plutôt par qui ?
Par celui qui s’est approprié la clef de votre vie.
Vous pensez tous que votre vie vous appartient.
Non, il n’est pas dû à tout le monde d’avoir cette liberté.
Certains s’approprient votre vie, ce sont des " voleurs de vie " .
Et pourtant personne ne les condamne.
Vous avez deux choix, celui de vous soumettre ou celui de
vous battre pour qu’enfin vous " existiez ".
Pourtant , vous ne demandez pas grand chose , juste vivre
en " paix " , refuser les jugements intempestifs, les
réprimandes, les menaces., mais il y en qui préfèrent la "
guerre " , plutôt morte que vivante...
Moi, pacifiste que je suis, je veux juste que l’on me " rende ma
vie " pour la partager avec ceux que j’aime et qui m’aiment et me
respectent.
Vous pensiez avoir été aimée et un jour vous comprenez que
l’amour s’en est certainement allé sans forcément que vous y
prêtiez attention.
Vous me direz pourquoi une telle pensée ?
Parce que ce n’est pas " aimer " que de vouloir " s’approprier
la vie " de quelqu’un....
Les murs d’une prison sont parfois invisibles. Bien entendu il
n’y a pas be barreaux et pourtant on se retrouve enfermée.
Par quoi, me direz vous ou plutôt par qui ?
Par celui qui s’est approprié la clef de votre vie.
J’aime tant écrire l’amour...
Alors je continuerais à écrire
" l’Amour imaginaire "...
Marie ...Je veux juste vivre...
n’y a pas be barreaux et pourtant on se retrouve enfermée.
Par quoi, me direz vous ou plutôt par qui ?
Par celui qui s’est approprié la clef de votre vie.
Vous pensez tous que votre vie vous appartient.
Non, il n’est pas dû à tout le monde d’avoir cette liberté.
Certains s’approprient votre vie, ce sont des " voleurs de vie " .
Et pourtant personne ne les condamne.
Vous avez deux choix, celui de vous soumettre ou celui de
vous battre pour qu’enfin vous " existiez ".
Pourtant , vous ne demandez pas grand chose , juste vivre
en " paix " , refuser les jugements intempestifs, les
réprimandes, les menaces., mais il y en qui préfèrent la "
guerre " , plutôt morte que vivante...
Moi, pacifiste que je suis, je veux juste que l’on me " rende ma
vie " pour la partager avec ceux que j’aime et qui m’aiment et me
respectent.
Vous pensiez avoir été aimée et un jour vous comprenez que
l’amour s’en est certainement allé sans forcément que vous y
prêtiez attention.
Vous me direz pourquoi une telle pensée ?
Parce que ce n’est pas " aimer " que de vouloir " s’approprier
la vie " de quelqu’un....
Les murs d’une prison sont parfois invisibles. Bien entendu il
n’y a pas be barreaux et pourtant on se retrouve enfermée.
Par quoi, me direz vous ou plutôt par qui ?
Par celui qui s’est approprié la clef de votre vie.
J’aime tant écrire l’amour...
Alors je continuerais à écrire
" l’Amour imaginaire "...
Marie ...Je veux juste vivre...
Lun 04 Sep 2006, 14:28 par
Satine sur L'amour en vrac
Je m'envole
Tu as déchiré mon " moi "...
Tu m’as lachée en plein chemin...
Tu as brisé ma foi...
Tu as brisé mes espoirs
Tu as fait mon malheur...
Je n’ai plus confiance,
Puisque tu en as fait ma méfiance...
Je ne veux plus de ton " je t’aime ",
Il ne me fournit que dégoût et amertume,
Tu te dis différent de Don Juan,
Mais c’est faux, la preuve....
En quelques minutes, tu t’es tourné vers elle...
Te rends-tu compte de ce que tu m’a fait ?
Toi qui crois tout connaître.
Mais tu ne sais rien du tout...
Tu imagines que je suis parfaite...
Tu ne cesses de douter de moi.
Sous prétexte que mon passé me hante,
Facile de juger, facile de condamner...
Regarde toi, ouvre ton coeur et tes yeux ...
Tu y verras non pas mes peurs mais les tiens.
Tu oublies l’essentiel, le plus important.
Tu m’as fait mal... Tu fais en sorte que je me sente coupable....
Coupable d’avoir des défauts...
Coupable d’avoir vécu des choses moches
Coupable d’avoir des doutes ?
Mais finalement n’avais-je pas raison ?
Tu m’as trahie.
Tu ne vois pas mes qualités.
Tu juges, mais tu ne veux pas être condamné
Réveille-toi, regarde-toi...
Chaque personne a dans son coeur un jardin secret...
Ouvre donc ton jardin secret,
Et les autres portes s’ouvriront
Comment les ouvrir les portes ?
Ouvre ton coeur et soit honnête, ce sont les meilleures clés.
Tu m’a fait mal, tu te fais du mal.
Je suis tombée, je me suis relevée...
Ne l’as tu jamais fait toi?
Tu le sais pourtant... Ouvre les yeux
Regarde qui je suis.
Et non ce que toi tu voudrais que je sois...
Tu verras que de comprendre
Le mot... aimer.... C’est bien plus,
Que ce que tu prétends savoir
Et écrire avec tes belles paroles sur ce forum.
L’amour est indissociable de fidélité d’âme et de corps
Moi je m’envole ...
Car je voulais que toi et moi nous bâtissions
Un " je t’aime " éternel ...
Pour faire revivre nos anges,
Pour faire naître d’autres anges,
Mais cet amour m’a été cruel...
Comme deux anges me manquent
Je m’envole.
Tu m’as lachée en plein chemin...
Tu as brisé ma foi...
Tu as brisé mes espoirs
Tu as fait mon malheur...
Je n’ai plus confiance,
Puisque tu en as fait ma méfiance...
Je ne veux plus de ton " je t’aime ",
Il ne me fournit que dégoût et amertume,
Tu te dis différent de Don Juan,
Mais c’est faux, la preuve....
En quelques minutes, tu t’es tourné vers elle...
Te rends-tu compte de ce que tu m’a fait ?
Toi qui crois tout connaître.
Mais tu ne sais rien du tout...
Tu imagines que je suis parfaite...
Tu ne cesses de douter de moi.
Sous prétexte que mon passé me hante,
Facile de juger, facile de condamner...
Regarde toi, ouvre ton coeur et tes yeux ...
Tu y verras non pas mes peurs mais les tiens.
Tu oublies l’essentiel, le plus important.
Tu m’as fait mal... Tu fais en sorte que je me sente coupable....
Coupable d’avoir des défauts...
Coupable d’avoir vécu des choses moches
Coupable d’avoir des doutes ?
Mais finalement n’avais-je pas raison ?
Tu m’as trahie.
Tu ne vois pas mes qualités.
Tu juges, mais tu ne veux pas être condamné
Réveille-toi, regarde-toi...
Chaque personne a dans son coeur un jardin secret...
Ouvre donc ton jardin secret,
Et les autres portes s’ouvriront
Comment les ouvrir les portes ?
Ouvre ton coeur et soit honnête, ce sont les meilleures clés.
Tu m’a fait mal, tu te fais du mal.
Je suis tombée, je me suis relevée...
Ne l’as tu jamais fait toi?
Tu le sais pourtant... Ouvre les yeux
Regarde qui je suis.
Et non ce que toi tu voudrais que je sois...
Tu verras que de comprendre
Le mot... aimer.... C’est bien plus,
Que ce que tu prétends savoir
Et écrire avec tes belles paroles sur ce forum.
L’amour est indissociable de fidélité d’âme et de corps
Moi je m’envole ...
Car je voulais que toi et moi nous bâtissions
Un " je t’aime " éternel ...
Pour faire revivre nos anges,
Pour faire naître d’autres anges,
Mais cet amour m’a été cruel...
Comme deux anges me manquent
Je m’envole.
Dim 13 Août 2006, 00:05 par
joullia sur Amour internet
Elohim varat elohim comme il disait !
Inadéquation
Je est de retour, encore une fois. J’écris au nom et pour celui qui n’existe pas puisqu’il n’est pas totalement présent. Il est Requiem, Loïc, Eric, Rachel et tous les autres qui viendront se mêler à ce creuset primitif dont la première célébration a eu lieu il y a 28 ans et qui n’a cessé d’être dissout dans mes altérités pour former ce que nous appèlerons « personnalité ». Il n’est pas totalement présent puisqu’il écrit à la 3e personne ; il n’existe pas totalement, surtout, par son amour désastreux et simulé de la convention qui le pousse à agir comme un individu lambda. Cessons ! que ce soit pour éviter d’arrêter de mourir ou juste par l’aveux d’un monstrueux ego aux membres démesurés prêts à faucher ce qui le gène. Et le sens moral dans tout ça ? Un garde-fous absurde qui me limite, m’étrangle, m’essouffle à chaque fois un peu plus que je resserre le garrot des obligations qui voudrait se faire passer pour une élégante cravate mais n’est en fait qu’une sangle servant à torturer sans que je n’y prenne plaisir, vu que je l’oublie aisément. Plaisir de se limiter, soit, mais que s’il y a la démesure qui l’accompagne et me rappèle, en même temps qu’aux autres, que je peux être beaucoup plus que ça. La peste mentale. La lèpre intellectuelle. Les morceaux de mon esprit qui ne servent plus tomberont peu à peu, définitivement pourris si je me laisse aller. Je dois me ressaisir, car je ne suis qu’une ombre de ce que je fus et ai condamné promptement en son temps pour des raisons qui ne sont pas les miennes : vagues considérations morales émanant d’un environnement qui ne l’est pas et voudrait faire passer de la paresse intellectuelle pour de la respectabilité.
Je sais ce qui est bien à mes yeux et ce qui ne l’est pas, avec toutes les déclinaisons d’acceptable qui les sépare.
Sois « trop franc » comme te l’ont objecté tes amis de jadis que tu vois encore malgré tout. Ne sois pas provocateur car se serait se conformer à ce que l’on attend de toi, ou ce que tu crois que l’on attend. Joue avec les gens, que tu ne respecte pas, si ça te chante. Aime beaucoup et sois bien aimé si nécessaire. Abîme-toi dans la spontanéité qui faisait sursauter certains à tes rires impromptus mais nullement gênés. Si les gens ne suivent pas, c’est leur problème, mais tu as gâché 10 ans (tchin, à la tienne dans environ 6 mois) à ne pas être Requiem.
33%, et vive moi. Le lyrisme me prend ou me reprend. Pourquoi ne pas faire de ma vie une poésie si je le désire, une tragédie si c’est important ou une comédie pour me distraire ? « On » a déjà donné dans le minimalisme à la dogma sans vraiment y croire ou y adhérer, mais juste par désœuvrement, ou tristesse, ou connerie. It’s over. Je suis de retour et le répète. Même si mes moignons intellectuels ne sont pas tous sauvables, on va essayer de limiter la casse. Toujours penser aux points communs du passé et du présent. Ils sont nombreux. « tout est mauvais si on laisse aller » comme dirait un collègue qui paraphrase Pascal… ? Si c’est exact, c’est très mauvais. Mais on va détacher les sangles, en faisant un peu plus chaque jour ce que j’ai envie de faire, car maintenant (et pour aujourd’hui), je sais ce que je veux. Et cette fois-ci, le petit asticot ne va pas faire chier son monde à bouffer insidieusement le tubercule de mes pensées. Il va crever comme une « vieille charogne » (merci Baudelaire) sociale qu’il est , parce que celui qui n’existe pas encore totalement est touchant, fort, intéressant, séduisant donc (un peu mégalo aussi, mais c’est juste parce qu’il ne fait plus que le penser, mais qu’il le verbalise aussi) et qu’il peut faire les choses qui lui chantent. Si l’aspect déplait ou rebute, c’est parce que le fond fait peur. Je ne suis pas normé. Et alors ? Tu fus décrit il y a quelques années comme un esprit libre. Soi-le encore et vraiment. Ne le fais pas juste à moitié.
Qu’importe si ça fait de moi une personne « différente »…
Je est de retour, encore une fois. J’écris au nom et pour celui qui n’existe pas puisqu’il n’est pas totalement présent. Il est Requiem, Loïc, Eric, Rachel et tous les autres qui viendront se mêler à ce creuset primitif dont la première célébration a eu lieu il y a 28 ans et qui n’a cessé d’être dissout dans mes altérités pour former ce que nous appèlerons « personnalité ». Il n’est pas totalement présent puisqu’il écrit à la 3e personne ; il n’existe pas totalement, surtout, par son amour désastreux et simulé de la convention qui le pousse à agir comme un individu lambda. Cessons ! que ce soit pour éviter d’arrêter de mourir ou juste par l’aveux d’un monstrueux ego aux membres démesurés prêts à faucher ce qui le gène. Et le sens moral dans tout ça ? Un garde-fous absurde qui me limite, m’étrangle, m’essouffle à chaque fois un peu plus que je resserre le garrot des obligations qui voudrait se faire passer pour une élégante cravate mais n’est en fait qu’une sangle servant à torturer sans que je n’y prenne plaisir, vu que je l’oublie aisément. Plaisir de se limiter, soit, mais que s’il y a la démesure qui l’accompagne et me rappèle, en même temps qu’aux autres, que je peux être beaucoup plus que ça. La peste mentale. La lèpre intellectuelle. Les morceaux de mon esprit qui ne servent plus tomberont peu à peu, définitivement pourris si je me laisse aller. Je dois me ressaisir, car je ne suis qu’une ombre de ce que je fus et ai condamné promptement en son temps pour des raisons qui ne sont pas les miennes : vagues considérations morales émanant d’un environnement qui ne l’est pas et voudrait faire passer de la paresse intellectuelle pour de la respectabilité.
Je sais ce qui est bien à mes yeux et ce qui ne l’est pas, avec toutes les déclinaisons d’acceptable qui les sépare.
Sois « trop franc » comme te l’ont objecté tes amis de jadis que tu vois encore malgré tout. Ne sois pas provocateur car se serait se conformer à ce que l’on attend de toi, ou ce que tu crois que l’on attend. Joue avec les gens, que tu ne respecte pas, si ça te chante. Aime beaucoup et sois bien aimé si nécessaire. Abîme-toi dans la spontanéité qui faisait sursauter certains à tes rires impromptus mais nullement gênés. Si les gens ne suivent pas, c’est leur problème, mais tu as gâché 10 ans (tchin, à la tienne dans environ 6 mois) à ne pas être Requiem.
33%, et vive moi. Le lyrisme me prend ou me reprend. Pourquoi ne pas faire de ma vie une poésie si je le désire, une tragédie si c’est important ou une comédie pour me distraire ? « On » a déjà donné dans le minimalisme à la dogma sans vraiment y croire ou y adhérer, mais juste par désœuvrement, ou tristesse, ou connerie. It’s over. Je suis de retour et le répète. Même si mes moignons intellectuels ne sont pas tous sauvables, on va essayer de limiter la casse. Toujours penser aux points communs du passé et du présent. Ils sont nombreux. « tout est mauvais si on laisse aller » comme dirait un collègue qui paraphrase Pascal… ? Si c’est exact, c’est très mauvais. Mais on va détacher les sangles, en faisant un peu plus chaque jour ce que j’ai envie de faire, car maintenant (et pour aujourd’hui), je sais ce que je veux. Et cette fois-ci, le petit asticot ne va pas faire chier son monde à bouffer insidieusement le tubercule de mes pensées. Il va crever comme une « vieille charogne » (merci Baudelaire) sociale qu’il est , parce que celui qui n’existe pas encore totalement est touchant, fort, intéressant, séduisant donc (un peu mégalo aussi, mais c’est juste parce qu’il ne fait plus que le penser, mais qu’il le verbalise aussi) et qu’il peut faire les choses qui lui chantent. Si l’aspect déplait ou rebute, c’est parce que le fond fait peur. Je ne suis pas normé. Et alors ? Tu fus décrit il y a quelques années comme un esprit libre. Soi-le encore et vraiment. Ne le fais pas juste à moitié.
Qu’importe si ça fait de moi une personne « différente »…
Lun 23 Jan 2006, 21:11 par
Ambriel sur Un monde parfait
Réaction à "Un cadeau"
Réaction à "Un cadeau"
Je ne sais si c’est permis de commenter comme je vais le faire
mais je ne peux me retenir suite à la lecture de ce texte.
Je ne condamne aucune extra-conjugalité...
mais le contenu de ce texte, son fond,
c’est ce que je dirais sous-estimer grandement l’amour
en sous-estimant le rôle de la paternité
et du couple parental dans la culture d’un autre humain.
dieu que les femmes, (certaines) alourdissent le fléau humain! C’est ce que ce texte démontre à mon avis.
J’en frissonne! Ne pas vouloir assumer sa séquestration de femme participante et responsable d’une histoire affective mais vouloir d’une vie béquille à deux en devenant une femme-mère de « quelque chose qui soit lui », c’est se soumettre à une très mauvaise solution de rechange.
Enfin, il y a amplement d’enfants fait pour de mauvaises raisons et un souvenir c’est sans doute l’une des plus courantes de toutes. Bien non, c’est trop triste, l’enfant même mignon, ne bâti pas le bien-être d’une femme, il faut le dire. Non, non, non! La preuve; nous avons toutes vu des mères oubliées par leur conjoint. Étaient-elles épanouies pour avoir eu des enfants? Je sais je répète ce quelque chose que nous sommes toutes sensées savoir. Bref, donner la vie c’est plus complexe que cela! Et là cette femme exige un plus colossal panier de larmes au lieu de risquer mieux et de tendre mieux à un nouvel humain. Et puis si l’enfant naissait avec des débilités ... hein ? Elle le voudrait pour combien de temps « son quelque chose qui soit lui » ? Non vraiment, je suis triste pour elle, j’espère que lui, ce mec fera de sa sexualité « quelque chose » de plus responsable qu’elle... qu’il laissera pleurer cette maîtresse et qu’il dira NON! De toutes façons, si elle pleure autant, il va la quitter, c’est certain et on aura droit à un autre texte, d’une maîtresse avec un petit enfant dans les bras, délaissée pour une autre. Encore.
mOTSaRT
et pouis voilà:
La rue
J’ai 12 ans
Assis dans’rue
Arrêt du temps
Je suis sale, Ça pue
Maman, maman!
J’ai 15 ans
Je suis dans’rue
J’ prends plus de clients
Qui sont sales, qui puent
Bertrand, Roland!
J’ai 30 ans
J’en prends plus
J’ai pu de dents
Evoiye! J’ai pas bu
T’aurais pas un cen
Merci quand même!
J’ai 19 ans
J’ai un beau cul
Pis, trois enfants
J’hai la rue
Du vite fait pour l’argent…
J’ai 40 ans
Un vrai rebus
Un végétant
J’ai même pas de but
Je suis pas savant!
J’ai 62 ans
Comme une statue
Un débutant
Au coin de la Rue
Un survivant
Tout tremblotant!
J’ai 24 ans
Je restitue
C’est pas brillant
Les pattes tordues
Des grincements de dents!
J’ai 14 ans
Écus & Tape-cul
Pour un moment
Il a ben fallu
Amoureusement!
J’ai 36 ans
Tout un menu
Rétablissement
Et l’amour, j’ai jamais su!
J’ai 10 ans
On m’a battu
Un redressement
Je suis disparu
Bourgeoisement
J’ai 17 ans…
J’ai 41 ans…
J’ai 34 ans…
J’ai 34 ans… et je suis encore en dedans!
Je ne sais si c’est permis de commenter comme je vais le faire
mais je ne peux me retenir suite à la lecture de ce texte.
Je ne condamne aucune extra-conjugalité...
mais le contenu de ce texte, son fond,
c’est ce que je dirais sous-estimer grandement l’amour
en sous-estimant le rôle de la paternité
et du couple parental dans la culture d’un autre humain.
dieu que les femmes, (certaines) alourdissent le fléau humain! C’est ce que ce texte démontre à mon avis.
J’en frissonne! Ne pas vouloir assumer sa séquestration de femme participante et responsable d’une histoire affective mais vouloir d’une vie béquille à deux en devenant une femme-mère de « quelque chose qui soit lui », c’est se soumettre à une très mauvaise solution de rechange.
Enfin, il y a amplement d’enfants fait pour de mauvaises raisons et un souvenir c’est sans doute l’une des plus courantes de toutes. Bien non, c’est trop triste, l’enfant même mignon, ne bâti pas le bien-être d’une femme, il faut le dire. Non, non, non! La preuve; nous avons toutes vu des mères oubliées par leur conjoint. Étaient-elles épanouies pour avoir eu des enfants? Je sais je répète ce quelque chose que nous sommes toutes sensées savoir. Bref, donner la vie c’est plus complexe que cela! Et là cette femme exige un plus colossal panier de larmes au lieu de risquer mieux et de tendre mieux à un nouvel humain. Et puis si l’enfant naissait avec des débilités ... hein ? Elle le voudrait pour combien de temps « son quelque chose qui soit lui » ? Non vraiment, je suis triste pour elle, j’espère que lui, ce mec fera de sa sexualité « quelque chose » de plus responsable qu’elle... qu’il laissera pleurer cette maîtresse et qu’il dira NON! De toutes façons, si elle pleure autant, il va la quitter, c’est certain et on aura droit à un autre texte, d’une maîtresse avec un petit enfant dans les bras, délaissée pour une autre. Encore.
mOTSaRT
et pouis voilà:
La rue
J’ai 12 ans
Assis dans’rue
Arrêt du temps
Je suis sale, Ça pue
Maman, maman!
J’ai 15 ans
Je suis dans’rue
J’ prends plus de clients
Qui sont sales, qui puent
Bertrand, Roland!
J’ai 30 ans
J’en prends plus
J’ai pu de dents
Evoiye! J’ai pas bu
T’aurais pas un cen
Merci quand même!
J’ai 19 ans
J’ai un beau cul
Pis, trois enfants
J’hai la rue
Du vite fait pour l’argent…
J’ai 40 ans
Un vrai rebus
Un végétant
J’ai même pas de but
Je suis pas savant!
J’ai 62 ans
Comme une statue
Un débutant
Au coin de la Rue
Un survivant
Tout tremblotant!
J’ai 24 ans
Je restitue
C’est pas brillant
Les pattes tordues
Des grincements de dents!
J’ai 14 ans
Écus & Tape-cul
Pour un moment
Il a ben fallu
Amoureusement!
J’ai 36 ans
Tout un menu
Rétablissement
Et l’amour, j’ai jamais su!
J’ai 10 ans
On m’a battu
Un redressement
Je suis disparu
Bourgeoisement
J’ai 17 ans…
J’ai 41 ans…
J’ai 34 ans…
J’ai 34 ans… et je suis encore en dedans!
Jeu 03 Juin 2004, 02:28 par
mOTSaRT sur L'amour en vrac
nativite
Il est beau il est tendre
Il me regarde avec confiance
Me sourit avec innocence
Je sens mon coeur se fendre
Il n’est pas le mien
Mais pourtant part de moi
Il est la joie
Il est la fin
Pourquoi des larmes
Je n’en ai pas le droit
Pourquoi ce désarroi
Mon coeur est en vacarme
Cette nouvelle histoire
Voilà que je n’ai pas envie de l’écrire
Je me force à sourire
Pour ne pas décevoir
Cela ne peut s’exprimer
Ne pourrait être que condamné
Je ne peux que t’aimer
Cher enfant, petit roi
Mais je voudrais tant refermer
La porte que tu ouvres devant moi
Il me regarde avec confiance
Me sourit avec innocence
Je sens mon coeur se fendre
Il n’est pas le mien
Mais pourtant part de moi
Il est la joie
Il est la fin
Pourquoi des larmes
Je n’en ai pas le droit
Pourquoi ce désarroi
Mon coeur est en vacarme
Cette nouvelle histoire
Voilà que je n’ai pas envie de l’écrire
Je me force à sourire
Pour ne pas décevoir
Cela ne peut s’exprimer
Ne pourrait être que condamné
Je ne peux que t’aimer
Cher enfant, petit roi
Mais je voudrais tant refermer
La porte que tu ouvres devant moi
Lun 31 Mai 2004, 10:07 par
virtuelle sur L'amour en vrac
Il était une fois...
C’est pour toi que je chante, mon enfant bien aimée,
Tous ces mots qui me hantent depuis que tu es née.
Quand Aurore est venue, j’avais déjà vécu...
Avec ta tête blonde, au regard insouciant,
Tu découvrais le monde qui condamne l’innocent.
Quand Aurore s’est levée, j’ai bien cru rêver...
Tu découvres la terre de tes yeux océan
Qui se muent en rivière quand tu as un chagrin.
Quand Aurore a pleuré, j’ai connu la rosée...
Quand ma main prend la tienne pour un bout de chemin,
Je suis roc, tu es reine, sans peur des lendemains.
Quand Aurore a marché, moi j’ai dû cravacher...
Tu n’as pas froid aux yeux, défiant tous les dangers,
Désarmant les anxieux d’un sourire malicieux.
Quand Aurore me sourit, un soleil m’éblouit...
Premiers mots, premiers pas, ils étaient pour papa ;
N’en déplaise à maman que tu aimes tout autant.
Quand Aurore m’a parlé, j’me suis mis à chanter...
J’me suis mis à chanter, quand Aurore s’est couchée.
Que seras-tu demain, poète ou magicien
Quand papa soufflera son... ultime refrain ?
Quand Aurore souffrira, je ne serai plus là ;
Tu seras enfin Toi et l’aurore s’ouvrira....
Et Aurore chantera.
Tous ces mots qui me hantent depuis que tu es née.
Quand Aurore est venue, j’avais déjà vécu...
Avec ta tête blonde, au regard insouciant,
Tu découvrais le monde qui condamne l’innocent.
Quand Aurore s’est levée, j’ai bien cru rêver...
Tu découvres la terre de tes yeux océan
Qui se muent en rivière quand tu as un chagrin.
Quand Aurore a pleuré, j’ai connu la rosée...
Quand ma main prend la tienne pour un bout de chemin,
Je suis roc, tu es reine, sans peur des lendemains.
Quand Aurore a marché, moi j’ai dû cravacher...
Tu n’as pas froid aux yeux, défiant tous les dangers,
Désarmant les anxieux d’un sourire malicieux.
Quand Aurore me sourit, un soleil m’éblouit...
Premiers mots, premiers pas, ils étaient pour papa ;
N’en déplaise à maman que tu aimes tout autant.
Quand Aurore m’a parlé, j’me suis mis à chanter...
J’me suis mis à chanter, quand Aurore s’est couchée.
Que seras-tu demain, poète ou magicien
Quand papa soufflera son... ultime refrain ?
Quand Aurore souffrira, je ne serai plus là ;
Tu seras enfin Toi et l’aurore s’ouvrira....
Et Aurore chantera.
Ven 14 Mai 2004, 18:23 par
Rose sur Un monde parfait
Une é-toile noire (suite)
Sur la toile, ma vie se construit,
Au détour d’une fenêtre, ¨
Par l’intermédaire d’un salon,
Une amitié se noue, une complicité se créé
Sur la toile, une peur surgit,
Et si tout cela ne devait jamais être?
Si tout n’était qu’une illusion?
Si les phrases cachaient une autre idée?
Sur la toile, un amour naquit
Nous n’avons rien voulu laisser paraître,
Se protéger par la dérision
Préférant se réfugier dans la nuit, craignant la clarté
Sur la toile, ton nom s’éteignit
La raison, je pensais la connaître
Un coup de tête, une bonne résolution
Tu n’as pas voulu m’avouer que c’était moi que tu fuyais.
Sur la toile, je t’ai détruit
Voulant t’apaiser par mes lettres
Je t’ai condamné, volé ta raison
Séduit, tu t’es abandonné à m’aimer
Peu importe s’il est trop tard
Tant pis si je me perds
Tu restes mon compère
N’aies pas peur, offre-moi encore une petite part
La marquise... aveugle sans doute... :(
Au détour d’une fenêtre, ¨
Par l’intermédaire d’un salon,
Une amitié se noue, une complicité se créé
Sur la toile, une peur surgit,
Et si tout cela ne devait jamais être?
Si tout n’était qu’une illusion?
Si les phrases cachaient une autre idée?
Sur la toile, un amour naquit
Nous n’avons rien voulu laisser paraître,
Se protéger par la dérision
Préférant se réfugier dans la nuit, craignant la clarté
Sur la toile, ton nom s’éteignit
La raison, je pensais la connaître
Un coup de tête, une bonne résolution
Tu n’as pas voulu m’avouer que c’était moi que tu fuyais.
Sur la toile, je t’ai détruit
Voulant t’apaiser par mes lettres
Je t’ai condamné, volé ta raison
Séduit, tu t’es abandonné à m’aimer
Peu importe s’il est trop tard
Tant pis si je me perds
Tu restes mon compère
N’aies pas peur, offre-moi encore une petite part
La marquise... aveugle sans doute... :(
Ven 26 Mars 2004, 17:54 par
la marquise de sade sur Amour internet
Ecrire sur condamné
, Qui veut la peau d'agatha christie ?, L'amour à sens unique..., Fragilité, Tout pour un sourire, Le syndrome de peter pan, Belius et Ancéline, A ce moment là je t'ai crû, Le gardien de la clef, Je m'envole, Elohim varat elohim comme il disait !, Réaction à "Un cadeau", nativite, Il était une fois..., Une é-toile noire (suite),Il y a 15 textes utilisant le mot condamné. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
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