A chaque virgule

A l’ombre de chaque mot je me posais un peu plus
A l’ordre de chaque virgule je m’opposais un peu plus
J’avais mis sur la feuille ce qu’il restait de l’autre
Que je n’avais vomi durant tout ce temps
Celui qui attendait dans l’encre patiemment,
Qui me faisait du mal, pas sciemment.
J’entrais en majuscule dans l’instant ridicule
Où toutes ces minuscules reflétaient le recul
De acharnement à cacher l’évidence de l’être.
Du mal être. De mes lettres.
Par pile et malhabile je les avais laissées encartonnées
Au gré de mes plumes d’un soir sous la houlette obscure
D’un règlement de compte avec le calendrier.
Je rompais le silence de mes propres questions
Assidûment devant cette évidence
Assis dûment derrière ma pointe noire
Ainsi dû ment sur la feuille blanche.
Mon cœur y gisait là. Décrit plus qu’il ne faut.
Sous toutes les coutures de mes tournures
S’embrasant par endroit, s’étiolant par moment
Selon l’heure de la nuit, le soleil d’un automne
Où la froideur d’un jour.
L’abstrait abscons y côtoyait la clairvoyance
Les certitudes se nattaient dans les doutes
L’échevelé du style y bordait le posé
Moi, résumé ainsi dans sa désinvolture.
Illisible à l’œil nu, la plainte du sang
Celui qui coule en étranger au fond de moi.
L’impression fertile d’avoir des veines en déveines.
Et cette date qui martèle mes tempes
intemporellement, un temps pour elle, et tant pour moi
Combien de fois barrée de ma verve farouche
Combien de fois embuée à la fin d’une ligne.
La poésie de ma peau hésite me disais-je
Et la musique que moi seul fais-je
S’éteint lentement dans la discordance des notes
Jeux des croches. Je me rattrape.
A chaque virgule, expiatrice.

JIME
Jeu 30 Oct 2014, 16:02 par Jime sur Mille choses

Notre amour est t-il un crime ?

Bon eh bien bonjour à tous :) me voici avec une longue histoire sur Zane et Giulia, deux jeunes femmes que j’admire énormément.


Chapitre 1 - Révélation et demande

Point de vue narrateur.

Le soir … Le voilà tombé sur la capitale italienne, par ce soir d’hiver, un soir décembre, nous nous retrouvons devant un lycée qui à cet heure si tardive fut encore ouvert. Ce soir cet établisement était en fête, il y avait le bal de noël, et pour cette occasion tout le monde y avait était convier parents et professeurs.

Non loin du gymnase là ou se déroule la fête, cacher derrière un mur à l’abrit des regards, deux jeunes femmes s’échangent leur amour avec bonheur. Zane une jeune brune aux cheveux mi-long se trouve contre le mur tenant sa petite amie par la taille, et cette dernière qui répond au nom de Giulia qui a une chevelure chocolat et de jolie yeux azur, a ses bras allongés sur les épaules de la jeune brune.

Ses deux jeunes demoiselles partagent leur vies depuis deux ans maintenant. Leurs cœur se sont uni un soir de printemps, lors de l’anniversaire de Giulia qui ce jour là avait reçu le plus beau des cadeaux.

Cette dernière, s’approche de sa douce et approfondit leur baiser, bougeant légèrement sa tête pour ainsi mieux savourer ce moment de tendresse. Zane elle ne cesser de la serrer contre elle, mêlant sa langue à la sienne pour ainsi rendre ce baiser encore doux et brûlent.

En manque d’air, elles se détachent, et leurs yeux se noient l’un dans l’autre. Giulia caresse son front avec le sien, et lui sourit tendrement. La jolie brune emmène sa main à sa joue et lui éffleur doucement, jouant avec son nez. Le vent souffle et fait virevolter leur cheveux, leurs robes qui son toutes les deux noire se plisse avec le vent.

Elles n’avaient pas besoin de parler, chacune d’elles se comprend par un simple regard. Giulia pose sa main gauche sur celle de sa femme et emmêle ses doigts avec les siens. Laissant son cœur se marié au sien.

Giulia – je t’aime ma chérie.
Zane – moi aussi, et plus que tout !
Giulia – Zane …
Zane – chuut …


La jeune brune descend sa main et pose son doigt sur les lèvres de son amour qu’elle caresse doucement, Giulia lui sourit, et vint lover sa tête au creux de son cou côté gauche, et descend ses mains à son dos, lui offrant de douce caresses. Zane se met à sourire, elle commence un geste doux et régulier sur le dos de sa bien aimée, et monte sa main droite à sa chevelure caramel, ou elle prit soin de lui masser tendrement lui déposant un baiser sur sa tempe.

Zane – dis moi … Qu’aimerais tu que l’ont face durant les vacances ?
Giulia – tu sais … L’endroit m’importe peut tant que je suis avec toi.


La jolie brune se met à sourire, et berce tendrement son ange contre elle, son cœur ne cesse de s’emporter, et son ventre la démange, comme si des millions, de papillons caresser son bas-ventre.

Giulia – Ah … Si tu savait à quel point je suis heureuse avec toi, deux ans de bonheur et d’amour.
Zane – oui moi aussi, et j’espère de tout mon cœur que sa durera, car avec toi … Je suis la plus heureuse et comblée des femmes.
Giulia – c’est la plus belle chose que tu m’est dit Zane, je l’espère aussi … Même si il y a quelques tension avec notre groupe, je souhaite rester à tes côtés mon amour.
Zane – et si … On leur disaient ?
Giulia – si tu te sent prête alors je te suis jolie brune !
Zane – hm toi alors … Quand arrêteras tu de me rendre ainsi !
Giulia – comment ça « ainsi » vous m’intriguer mademoiselle Kazama !


Zane élargie son sourire, son bonheur était au summum auprès de la femme qu’elle aime et désir plus que quiconque. Elle lui caresse la joue, et s’approche de son visage.

Zane – de me rendre si amoureuse voyons mademoiselle Celest.
Giulia – dans ce cas, jamais !


Elles s’échangent un tendre sourire, et vinrent de nouveau unir leur cœur dans un long et doux baiser. Giulia colle son corps contre celui de sa douce, et pose ses mains sur ses joues qu’elle caresse. Zane qui ne savait plus ou se donner de la tête, tant son bonheur l’ennivre ressere leur étreinte, et lui caresse son dos, allant sauvagement attaquer sa langue.

Personne n’était là pour briser leur moment de bonheur ou chacune se sentaient de plus en plus ennivrer par leurs émotions les plus profonde, leur désir prit leur cœurs en otage, et leur langues s’enflamment à chaque coup. Un baiser amoureux et langoureux à la fois, une étreinte douce et protectrice, des caresses agréable, et quelques petits son se mariant avec l’atmosphère envoûtante et chaude à la fois.

Point de vue Zane.

Quel bonheur, je n’arrive pas à me défaire de ce sentiment qui me brûle le cœur, elle est si douce, Giulia … Ma tendre Giulia je t’aime tellement fort, deux ans à ses côtés, un véritable bonheur, bien que certaine jalousie me meurtri le cœur je l’aime profondément et en aucun cas je la laisserais filais dans les bras d’une autre. En ce soir de vingt quatre décembre j’avais l’intention de lui demander sa main, et pour sa, avec l’aide de Clément qui est mon frère j’allais passer sur scène et ainsi lui dévoiler une seconde fois mon cœur.

On se détachent doucement, et je lui caresse la joue allant écarter quelques mèches de ses yeux, je lui fait un petit clin d’oeil, et lui embrasse le front.

Moi – aller viens, j’aimerais pouvoir danser un slow avec toi mon amour !
Giulia – avec plaisir ma jolie brune … Je t’aime.
Moi – je t’aime bien plus encore !


Nos lèvres se claquent tendrement entres elles, et c’est le cœur léger et amoureux que nous nous dirigions vers l’entrée du gymnase. Et comme nous allions enfin dévoiler notre relation, je ne compte pas lui lâcher la main que je caresse doucement. Arrivé devant les deux grandes portes, ont s’arrêtent et nos yeux se caressent pendant de longues minutes.

Moi – tu est prête ?
Giulia – avec toi, je serait prête à tout.


Je lui sourit, lui tapote le nez, et enfin entra à l’intérieur. On commencent à s’avancer, et certains nous regardent, mais je m’en fiche, car je suis se que je suis et je ne changerais pas pour voir des sourires de satisfactions. Nos parents étaient aussi là assit sur des bancs à discuter entre eux.

Une fois avoir repérer Shiwa Dolce et Emilie, on se dirige vers le groupe, et Shiwa se jeta sur nous.

Shiwa – enfin … Mais où es ce que vous étiez passé toutes les deux !
Giulia – ah ah, ta curiosité ne te quittera jamais !
Dolce – tu devrais le savoir depuis le temps … Oh mais vous … Vous êtes ensemble ?
Moi – oui !
Giulia – nous sommes ensemble.
Shiwa – j’ai bien entendu, zizou et guigui sont ensemble mais c’est supère !!
Moi/Giulia – arrête de nous appeler comme sa !!!
Dolce – toutes mes félicitation les filles, vous mérité amplement ce bonheur, soyez heureuse ensemble !
Giulia – mais … Nous sommes déjà …
Moi – très heureuse ensemble.
Emilie – et depuis de temps ?


Je voie qu’elle est heureuse sa fait plaisir, pff c’est dépriment, toujours à nous parler sur ce ton, le pire c’est que ce n’est cas nous qu’elle fait sa. J’ignore donc sa question, mais il semblerais que ma douce n’est pas aimé ce ton puisqu’elle se met à répliquer :

Giulia – euh … La gentillesse tu connais ?
Emilie – toi je ne t’ai pas parler, Zane mais … Mais comment fais tu ?
Shiwa – eh Emilie tu calme ta jalousie ok, elles ont le droit d’être ensemble !
Moi – et en aucune façon ma vie privé ne te regarde.


Ses bras enroulent mon dos, et sa tête se love dans mon cou. Je sourit, et vint l’enlacer moi aussi contre moi, lui caressant doucement sa nuque de mes pouces. Je lui pose un délicat baiser sur sa tempe, et la berce tendrement.

Dolce – oh … Vous êtes trop mignonne, mais depuis de temps ?
Giulia – depuis deux ans maintenant !
Shiwa – deux …
Dolce – ans, mais pourquoi ne pas l’avoir dit ?
Moi – nous voulions juste le garder pour nous, et puis avec ce qui c’est passé il y a deux mois !
Shiwa – c’est sur ! Mais en tout cas félicitation.
Dolce – on vous soutien les filles.
Giulia – merci.


Je lui relève le visage, et lui caresse sa joue, lui offrant un doux sourire, et d’un petit clin d’oeil. Sa main se pose sur la mienne, et ses doigts me caressent.

Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi, … Ma douce et jolie Giulia, tu est le centre de mon univers.


Elle me sourit, et ses lèvres s’unir aux miennes. Je lui caresse la joue, et répond délicatement à sa douceur. Ses mains se mettent sur mon dos, et ses doigts me caressent alors que j’allonge mon bras gauche sur ses épaules et l’autre continue de jouer sur sa paumette, nos lèvres se claquent et se goûtent. Mon cœur bat si fort, je l’aime c’est fou à quel point je peut l’aimer.

Point de vue narrateur.

Alors que les deux jeunes filles continue de s’échanger leur amour, Shiwa et Dolce se mirent à sourire et ne purent s’empêcher de les prendre en photo. Plus loin quatre adultes observé la scène avec un sourire aux lèvres.

? - elles se l’ont enfin dit ! S’exclame une jeune femme blonde
? - je suis heureuse pour elles. Rétorque une seconde jeune femme à la chevelure brune


Les deux hommes qui n’étaient autre que les pères de Giulia et Zane, ne cessaient de regarder leurs filles s’embrasser, chacun surpris de voir une tel union entre les deux jeunes filles, mais quelques part dans leurs cœur il en étaient heureux.

Après ce doux baiser, Zane lui sourit, continuant tendrement son geste sur la joue de sa jolie brune qui lui offrait son plus beau sourire. La jeune brune lui embrasse le nez, et se tourne vers les filles qui à dire vrai, avaient le sourire jusqu’au joues.

Zane – Shiwa, je pourrais te demander quelques chose ?
Shiwa – oui biern sûr, qui y ’a t’il ?
Zane – serait t’il possible que tu film ?
Shiwa – euh oui … Mais filmer quoi ?
Dolce – qu’es ce que tu as en tête Zane ?
Zane – vous verraient bien.


La jeune fille se tourne vers son ange, qui la regarde avec un regard surpris elle aussi, mais cela n’a pas d’importance, elle lui caresse le dos, et lui sourit amoureusement. Zane lui fait un petit clin d’oeil, et la serre dans ses bras. Puis un garçon au cheveux brun et au costume noir et blanc se dirige vers le groupe.

Clément – Zane, c’est bon tu peux y aller !
Zane – ok j’y vais !
Giulia – mais … Tu vas où ?
Zane – ne t’inquiète pas ma belle, je reviens vite !


Elle lui dépose un léger baiser, et vint se séparer de sa petite amie qui se posé bien des questions. Devant tout l’assembler, Zane saisit le micro, Shiwa avait allumé sa caméra, et commence à filmer, se demandant bien se que sa meilleure amie avait en tête.

Clément – Giulia, si j’étais toi, je la regarderais, c’est pour toi qu’elle fait sa !
Giulia – comment ça ?
Clément – regarde la, et écoute attentivement ce qu’elle va te dire.


Giulia de plus en plus surprise regarde sa bien aimée qui la dévisage avec tendresse, lui envoyant un tendre baiser avec ses lèvres. Geste que la jolie brune aprécia, et lui rendit par un clin d’oeil.

Zane – bonsoir à tous, j’aimerais avoir quelques minutes d’attention s’il vous plais, j’aimerais faire une déclaration pour une personne qui m’est cher.

Tous se tue, et Giulia sourit, son cœur ne put s’empêcher de battre, Clément entoure les épaules de la jeune fille, et sourit à sa sœur aînée qui lui rend son sourire.

Zane – voilà maintenant huit ans que je les rencontré, huit longue années à épprouver de fort sentiments à son égard. Pour mon plus grand bonheur, nous avons uni nos cœurs, et voilà deux ans que je vis un véritable bonheur à ses côtés. Elle est tout se qu’un homme puisse rêver d’avoir, elle est … Le centre de mon univers, mon rayon de soleil et la femme de ma vie, mais elle est avant tout … Ma plus belle histoire d’amour, alors en ce soir de vingt quatre décembre, j’aimerais lui demander quelque chose qui me tiens à cœur … Giulia !

Cette dernière avait les yeux qui pétillés, elle était prête à pleurer, Shiwa et Clément la pousse doucement, et c’est le cœur prêt à frôler la crise cardiaque qu’elle se dirige vers l’estrade là ou sa douce l’attendait. Les parents des deux jeunes filles, émue par la déclaration de Zane, se demandé bien se que la jeune brune allait demander à Giulia qui était au bord des larmes.

Cette dernière une fois prêt de la jeune brune, la regarde, alors que Zane s’avance et lui caresse la joue pour finir par prendre sa main.

Zane – Giulia mon amour sa fait deux ans que j’ai uni mon cœur au tiens, et je ne le regrette pas, je t’aime d’un amour sincère et véritable, et peut importe se qui arrivera, je serait toujours là pour toi … Alors j’aimerais te demander quelque chose d’important !

Clément se dirige vers la scène et tend à sa sœur un petit écrin bleu nuit en velours, Giulia ne savait pas se qui allait se passer, son cœur bat tellement vite. La jeune brune, se tourne vers sa femme, et s’exclame en posant un genou à terre, et en prenant la main de sa douce qui allait finir par pleurer pour de bon.

Zane – ma chérie, je suis profondément amoureuse de toi, et je n’aurais jamais crue être aussi heureuse, alors moi Zane Kazama te demande avec sincérité … Giulia Celest veux tu devenir ma femme ?

Le cœur prêt à bondir hors de sa poitrine, Zane ouvre l’écrin révélant une bague en argent avec un petit diamant. Giulia avait fini par verser ses larmes de bonheur, sa main plaqué sur sa bouche, elle était vraiment heureuse, elle ne s’y attendait pas du tout, et c’est plus heureuse que jamais qu’elle s’exclame :

Giulia – oui … Oui je le veux !

Zane sourit, heureuse laisse échapper une petite larme et se lève pour ainsi glisser l’anneau à l’annulaire gauche de son amour.

Zane – je t’aime, c’est avec toi que je veux construire mon futur.
Giulia – oh Zane, si … Si tu savait à quel point je suis heureuse, mon amour, ma femme !


La jolie brune sourit de plus belle, et devant tout l’assembler qui ne disait plus rien elles s’embrassèrent amoureusement. Des larmes de joie dévalent les joues des deux jeunes filles qui était à présent au delà du bonheur. Dolce et Shiwa étaient ému et n’avaient pue retenir leurs larmes de joie.

Un clapotement se fait entendre, puis un second un troisième, jusqu’à que ses clapotements se transforment en applaudissement. Zane et Giulia continuent de s’embrasser avec tendresse, heureuse de voir que leur histoire devenait sincère et véritable.

Doucement elles se détachent, et leurs yeux qui sont embué de larmes se caressent, Zane porte sa main à sa joue et lui caresse, elle était vraiment heureuse d’avoir eu le courage de faire sa demande alors qu’elle a une trouille monstre dès qu’elle monte sur scène. Giulia quant a elle, n’arrivait pas à croire à se qui venait de se passer, elle était vraiment heureuse. Elle s’approche de sa fiancée, et lui caresse la joue, repoussant quelques mèches de ses yeux, ne retenant pas une petite larme.

Giulia – tu viens … De combler mon bonheur, je suis tellement heureuse, Zane … Je t’aime, et je ne veux plus être loin de toi … La mia donna.

Zane se met à sourire, elle lui embrasse sa main, et lui murmure :

Zane – je t’aime aussi très fort ma belle, et en aucun cas, tu sera séparé de moi et mon cœur.

Elles se sourirent, et heureuse, elles descende de l’estrade main dans la main plus uni et amoureuse que jamais. Shiwa et Dolce se dirigent avec rapidité vers les deux jeune filles. Et hurlèrent de joie.

Dolce – mais c’est génial, oh les filles, je suis si heureuse, toutes mes félicitations et bravo à toi Zane c’était magnifique !
Shiwa – vraiment, je ne sais pas quoi dire, je suis si heureuse, tout mes voeux de bonheur à vous deux, et que votre histoire dure éternellement.
Zane – je ne compte pas la laisser filer !
Giulia – et je ne suis pas prête à quitter ses bras.


Point de vue Giulia.

Ce soir, elle ma comblé de bonheur, j’étais vraiment heureuse … Heureuse que nos cœurs se soit définitivement enlacés. Je lui embrasse le cou, et caresse ce derner de mon pouce, le cœur prêt à frôler la crise cardiaque.

Puis un slow commença, et Zane c’est tourné vers moi et me demande :

Zane – m’accorderais tu cette danse ?
Moi – avec plaisir mon amour.


On se sourit, et alla se mélanger à la foule qui à dire vrai nous observé, mais je n’ai que faire, je l’aime éperdument, et je ne suis pas prête à la laisser partir pour de simple sourires. J’allonge mes bras sur ses épaules, colle mon corps contre le sien et la dévisage avec amour. Ses bras s’aventurent à mon dos, elle me serre contre elle, et on commencent à danser, suivant le rythm de la musique.

Moi – tu m’as offert, le plus beau des cadeaux Zane, je suis si heureuse, nous allons pouvoir construire un futur ensemble, rien que, toi et moi, ti amo ti amo ti amo.

Elle me sourit, et me serre dans ses bras, et doucement elle se mit à chanter les parole de la chanson qui était de Nevio uns de mes chanteurs favoris, et le titre de cette chanson était Giulia comme moi.

Zane -

cammineró senza di te
hai confini dell ricordo
e troveró la strada che
ho perduto in un momento

ameró la solitudine
empiroglio chi mi nuvole
e cominceró riprendermi
il futuro che non c’é

Refrain:
giulia giulia
io non so dove sei ma ti sento arrivare
giulia giulia
sei una favola che non doveva finire
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
oh giulia

nasconderó dentro di me
la paura di cadere
ritroveró la libertá
la mia voglia di volare

e dispetero fra gli alberi
tutti i miei pensieri fragili
che mi inseguono non sanno
dove andare senza te

Refrain:
giulia giulia
tu ritorni da me con il vento d’estate
giulia giulia
sei la mia meno di con parole sbagliante
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica

anche senza di te io vivró respirando á ti
e ti sento ancora li
chiudi gli occhi e rivedo nel vento gli imagini
che non voglia andare via
solo un attimo d’amore dentro me ooh

Refrain:
giulia giulia(giulia giulia)
aahh giulia (giulia giulia)
sei l’azzurro dell cielo quando é primavera
giulia giulia
sei una voce che arriva improvisa leggera
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sara la mia musica
ohh giulia


une larme roule sur sa joue, je lui sourit, et vint lui retirer la petite larme par un baiser. Je colle mon front contre le sien, et lui murmure tendrement :

Moi – tu ne te rend pas compte à quel point tu viens de me rendre heureuse, ne pleur pas, tu est merveilleuse ma chérie, et j’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir.
Zane – je t’aime, si tu savais à quel point je peux t’aimer Giulia !
Moi – moi aussi je t’aime Zane, je t’aime énormément, tu est à ce jour la mia più bella storia del amor !


Elle me sourit, et vint m’embrasser resserant notre étreinte, je l’aime c’est fou comme je l’aime. Je ferme mes yeux et répond tendrement à son baiser. C’est ainsi que notre soirée s’achève, par une dernière embrassade avant de rentrer chez nous. Sa a était la plus belle soirée de ma vie et … Je ne suis pas prête à l’oublier.

Point de vue narrateur.

Quelques heures plus tard, le bal venais de prendre fin, et tous le monde commencent à gagner la sortie du lycée pour ainsi rentrer chez soie. Dans une rue italienne, ou le vent souffler et les réverbères enlumine la rue Zane et Giulia main dans la main marche vers la deumeur des Celest.

Juste derrière les jeunes filles se trouve leurs parents qui les regardent n’en revenant toujours pas de la révélation que leur filles leur avaient offert. Giulia pose sa tête sur l’épaule droite de sa douce qui se met à caresser sa main, lui offrant un doux baiser.

Arrivé devant chez Giulia, cette dernière toujours enlacé dans les bras de Zane se tourne, et les adultes comment à parler.

Mère de Giulia – bon et bien, merci pour la soirée !
Père de Zane – ce fut un plaisir.
Mère de Zane – dites, vue que les vacances sont commencé, Giulia sa te dit de dormir à la maison ?
Giulia – oui pourquoi pas.
Mère de Zane – tu en pense quoi Zane !
Père de Zane – tu te doute bien que cela ne va pas la déranger.


La jeune brune sourit, elle relève doucement le menton de sa douce et lui caresse la joue, lui offrant un tendre sourire.

Zane – je serait même heureuse de passer ma soirée avec elle !
Giulia – moi aussi.


Elles s’échangent un sourire, et s’embrassent amoureusement. Les quatre adultes se mettent à sourire, en voyant leurs enfants si uni. Après ce doux baiser, la jolie blonde se serre contre sa bien aimée qui se met à caresser sa chevelure.

Père de Giulia – je n’aurais jamais cru les voir si proche !

Giulia pose sa main sur la joue de Zane et la caresse, cette dernière ne pue s’empêcher de sourire, elle ne pouvais croire à tout sa … Un véritable compte de fée, son bonheur était enfin au complet.

Zane – je t’aime.
Giulia – moi aussi mon amour !


Elles se sourirent, se posent un délicat baiser, et la jolie blonde vint se séparer de sa bien aimée, pour regagner sa maison afin d’aller préparer son sac. Avec le sourire, la jeune fille sous les yeux doux de ses parents monte à toute vitesse les escaliers, et regagne sa chambre. Sa mère se poste au coin de la porte, les bras croiser sur sa poitrine, et elle regarde sa fille, qui venais de se mettre à siffloter de bonheur.

Giulia – oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor.

La jeune blonde fini de mettre ses affaires de toilette dans son sac, n’oubliant pas de prendre le cadeau pour son amour. La mère de famille, était vraiment heureuse de voir sa fille si épanouie.

Giulia se tourne, et sursaute en voyant sa mère qui souriait depuis tout à l’heure. La jeune fille commence à sortir de sa cha mbre, et sa mère ferme la porte.

Mère de Giulia – si tu savais à quel je suis heureuse de te voir comme sa.
Giulia – je suis vraiment amoureuse maman !
Mère de Giulia – je le voie bien.


Mère et fille s’échangent un sourire, et finissent par descendre ainsi rejoindre les autres qui se trouvaient toujours dehors. Giulia embrasse ses parents, et se dirige vers l’amour de sa vie qui l’accueillit avec un doux câlin.

Mère de Giulia – Zane ?
Zane – oui ?
Mère de Giulia – je ne sais pas se que tu as fait à ma fille, mais je t’en remercie.


Zane se met à rire, un rire délicieux aux oreilles de Giulia qui vint l’embrasser sur la joue, et fini par lui prendre la main. Elles s’échangent un doux regard, Zane lui fait un clin d’oeil et lui tapotte le nez, et c’est heureuse qu’elles partir direction la demeurre des Kazama.

Zane – cas tu dis pour que Annette me dise sa ?
Giulia – sa t’intéresse ?
Zane – tout se qui te touche m’intéresse.


Giulia se met à sourire, elle cale sa tête au creux de son cou, et lui dépose un léger baiser. Zane se met à sourire, elle ressere leur étreinte, et elles continuent de marcher toutes les deux plus heureuse que jamais. Quelques minutes après, les deux jeunes fille arrivent devant la maison des Kazama, et Lidie la mère de Zane se dirige vers le petit péron pour ainsi ouvrir la porte. Tous rentrent, et les filles embrassent les deux adultes et montent en suivant dans la chambre de la jolie brune.

Celle-ci ferme la porte, et se dirige vers Giulia qu’elle enlace par la taille posant ses mains sur son ventre, et lui dépose un baiser dans son cou.

Zane – alors, tu vas me dire se que tu as dit ?
Giulia – mais qu’elle curieuse on dirait Shiwa.


Zane se met à rire … La jolie blonde cale son dos contre la poitrine de sa douce et murmure tendrement en prenant ses mains dans les siennes.

Giulia - oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor … Voila se que j’ai dit.

La jolie brune se met à sourire, elle dépose ses lèvres sur la joue de sa bien aimée, et ferme ses yeux, savourant les paroles que Giulia avait prononcé à son égard. Son cœur bat tellement vite, elle lui caresse son ventre, et fait durer le plaisir, pressant sa bouche un peut plus sur la joue de sa femme qui sourit, et se laisse envahir par le bonheur.

Giulia – je t’aime Zane !

Cette dernière ne répond pas, mais sourit et prolonge son baiser le rendant plus doux et long. Elle se sentait si bien là comme sa, son cœur ne cesse de la rappeller à l’ordre, mais la jeune Kazama refuse de coopérer tant le bonheur est grand.

Zane * je t’aime bien plus que sa encore mon amour *

pense t’elle, en la berçant tendrement contre elle. Elle se décolle doucement et la serre plus fort contre elle.

Zane – joyeux noël ma chérie !
Giulia – joyeux noël à toi aussi mon amour.


La jolie blonde prend son sac et en sort le cadeau de sa bien aimée, et lui offrrit avec le sourire.

Giulia – quand je l’ai vue j’ai pensé à toi.

Zane sourit et saisit le petit sac. Elle apercut une feuille plié en deux, et un petit écrin, elle saisit le petit écrin, et l’ouvre devant les yeux amoureux de sa fiancée. Son cœur se met à cogner, et son regard s’adouci en voyant le contenue de l’écrin. A l’intérieur de cette dernière se trouve une gourmette en argent, et sur la petite plaque métalique il y avait écrit « Ti amo » Giulia saisit le bijou, le détache, et le passe autour du poignet gauche de sa bien aimée, qui finit par l’enlacer lui caressant le dos.

Zane – merci mon ange, elle est magnifique.
Giulia – de rien, et joyeux noël !
Zane – à toi aussi Giulia, j’espère de tout mon cœur que notre histoire ira loin, il n’y a qu’avec toi que je veux construir mon futur, et sa au creux de tes bras.
Giulia – le sentiment est partager, moi aussi je l’espère de tout mon cœur, rester au creux de tes bras encore longtemps !


Leur regard se croisent et se caressent, Zane allonge ses bras sur ses épaules, et toutes deux ferment leurs yeux pour ainsi unir leur cœur. Un doux baiser commence alors entres les deux jeunes filles qui se rapprochent de plus en plus, Giulia enroule ses bras au dos de Zane et caresse se dernier, penchant légèrement sa tête sur la droite, mêlant sa langue à la sienne. Zane plaque ses main à sa nuque et la caresse, montant sa main gauche à sa cheveulure, lui retire son élastique et mêle ses doigts dans ses cheveux lui massant agréablement. Leur corps ne cesse de se rapprocher, ils se pressent et se caressent.

Chacune intensifi leur baiser en se serrant l’une contre l’autre. Tout était parfait maintenant, elles étaiennt heureuse et éperdument amoureuse l’une de l’autre et ne cesser de se le montrer par des geste d’affections.

Leur lèvres se claquent et se goûttent, et leurs regards se dévisagent se parlent longuement et amoureusement.

Zane – oh Giulia …

Elle emmène sa main à sa joue et lui caresse. Toutes deux s’échangent un sourire, et finissent par s’enlacer tendrement. Giulia pose sa tête sur l’épaule gauche de sa bien aimée et lui caresse le dos, lui offrant un délicat baiser. Zane ne bouge pas, juste à sourire et répondre à son étreinte.

Giulia – dis mon amour …
Zane – oui ?
Giulia – et si … Pendant les vacances on allaient à Venise ? Rien que toutes les deux en tête à tête.


La jolie brune sourit, elle lui soulève son menton, et lui murmure en la dévisageant avec tendresse.

Zane – avec toi, j’irais n’importe où !
Giulia – je t’aime.
Zane – je t’aime aussi ma jolie brune !


Elles se sourirent, Zane lui fait un clin d’oeil, et dépose sees lèvres sur les siennes pour un doux baiser. Non décidement tout leur souriait elles étaient heureuse et combler de bonheur ensemble.

Quelques petites minutes après Giulia était parti prendre sa douche, alors que Zane qui c’était déjà raffraîchit se trouve assise sur son lit, muni d’un short blanc et d’un débardeur noir, ses cheveux mouillés lui touchant la poitrine lisait le petit mot que sa jolie blonde lui avait laisser.

Zane * ma chérie, il est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je suis la plus heureuse des femmes, tu me comble de bonheur et ne cesse jamais de me faire sourire, tu est l’amour de ma vie … Ma jolie brune, toi qui enflamme et réchauffe mon cœur, tu a sue atiser la flamme, et je suis vraiment éperdument amoureuse de toi, tu est la femme de ma vie mon amour, mon ange, mon cœur, mon rayon de soleil, tu est la cerise sur mon gâteau, la crème de mon cappushino, et je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, et peut être un jour fonder notre famille toutes les deux, je t’aime et te serait à jamais fidèle, Ti amo la mia donna. *

les yeux de la jeune brune se mettent à pétiller, elle caresse le bout de papier et regarde la petite gourmette à son poignet. Sa main droite se pose sur un pendantif en argent que Giulia lui avait offert pour leur toute première Saint Valentin, sur ce petit cœur il y avait le mot ’ Je t’aime ’ et Zane serre le bijou dans sa main, ne retenant pas une petite larme de bonheur.

Elle était si heureuse d’avoir une tel place dans la vie de la seule femme qu’elle aime et désir ardement. Sa main monte à sa bouche et ses doigts caressent ses lèvres, ses yeux se ferment et elle se remémore toute son histoire avec la jolie blonde, elle repense à tout ses moment de joie d’amour et de bonheur, même si quelques fois elles se sont prit la tête, se n’étais rien de méchant puisqu’à chaque fois leur amour grandissait et devenait plus fort.

Elle prend son téléphone, met ses écouteurs et se met une chanson qu’elle aimé tout particulièrement une de Nevio ’ Amore Per Sempre ’ sa tête se pose sur le mur et serrant le bout de papier elle se laisse envahir par la musique.

Zane * Giulia je suis vraiment heureuse avec toi, tu fait tout mon bonheur. *

« It’s only three words
amore per sempre
’cause living this life is all I can do
It’s only three words
amore per sempre
and you always get what’s coming to you
It’s only three words
amore per sempre! »


fredonne doucement Zane en souriant, laissant son cœur s’épanouir. Quelques larmes roulent sur ses joues, c’est la première fois qu’elle était dans cet état, le bonheur avait prit son cœur en otage, et même si elle est de caractère un peu garçon manqué, elle n’en reste pas moins une jeune femme avec ses rêves, ses désirs, et ses sentiments, elle se révèle être une jeune femme sensible et très sentimentale.

Zane – T.I A.M.O.

Elle sourit de nouveau et se laisse bercer par la mélodie. Quelques second après Giulia sort de la salle de bain fraichement lavé, elle porte un petit short noir et un débardeur blanc. Elle se met à sourire en voyant sa bien aimée ainsi, elle s’approche et remarque qu’une larme roule la joue de Zane, inquiète, la jolie blonde s’approche d’elle et s’exclame :

Giulia – ma chérie ça va ?
Zane – viens.


Sans se faire prier, Giulia alla se lover dans les bras de son amour, et entour son dos, et pose sa tête sur son épaule gauche. Zane allonge ses bras sur ses épaules et ses doigts partent caresser sa nuque, lovant sa tête dans son cou, lui offrant un tendre baiser.

Zane – moi aussi … Je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, laisser le temps se faire et qui sait peut être à fonder notre famille, ma Giulia je t’aime plus que tout, et ferais tout pour te garder auprès de moi mon amour.

La jeune blonde se met à sourire, elle se serre contre sa femme, et lui embrasse le cou. Se laissant bercer par le câlin de la jolie brune qui commencer peut à peut à s’endormir. Giulia lui caresse sa chevelure et la câline, elle vint la regarder et un tendre sourire apparu sur ses lèvres en voyant sa douce dormir. La soirée avait était riche en émotion pour les deux, et chacune avaient besoin de repos pour être en forme et pouvoir commencer leur vacances.

Giulia se lève, et alla fermer la lumière, elle se dirige vers le lit, grimpe dessus, et vint retirer les écouteurs des oreilles de Zane qui c’était profondément endormie. La jolie blonde, retire la couverture et couvre sa fiancée, ramenant la couette sur elles, pose sa tête sur son épaule et lui murmure avant de s’endormir à son tour.

Giulia – bonne nuit mon amour.

Elle lui embrasse le cou, et ferme ses yeux, le sourire aux lèvres, elle pose sa main sur le bras droit de la jeune brune, et fini par s’endormir heureuse de sa soirée qui avait était l’une des plus belle.


Chapitre 2 – Tout pour elle.


Point de vue narrateur.

Au alentours de neuf heure, la jolie blonde se réveille, et emet un long baillement. Elle se tourne, et remarque que sa bien aimée n’était pas la, donc elle se redresse et s’étire longuement avant de quitter ses draps et d’enfiler une robe de chambre bleu, qu’elle ferme avec une longue liane. Elle s’attache les cheveux en une queue de cheval, et prend son téléphone qu’elle prit soin d’allumer.

Quand ce dernier s’allume, Giulia remarque qu’elle a reçu des messages, et elle fut surprise du nombre, en effet elle avait reçu quarante messages en une nuit. Elle appui sur message et lorsqu’elle vis qui lui avait envoyé tout ses messages elle referme son téléphone et sort de la chambre pour se rendre dans la cuisine. Le destinataire de ses messages était Emilie, et connaissant cette dernière la jolie blonde ne prend pas le risque de répondre car à tout les coup se sont insultes.

Point de vue Zane.

Alors que je porte mon bol à ma bouche, deux bras s’enroulent autour de mon cou, et des mains se mirent à caresser ma peau. Je me tourne et sourit en voyant que c’était ma douce qui venais de se lever et qui à mon avis n’est pas tout à fait réveillé. Je porte mes lèvres à sa joue et lui embrasse avec douceur prenant doucement sa main dans la mienne.

Moi – bonjour belle au bois dormant, bien dormit ?!
Giulia – oui, très bien.


Elle me sourit et m’embrasse, je sourit et la serre contre moi. Doucement, notre étreinte se desserre, et elle parti se faire son déjeuner. Son portable se met à sonner, et je l’entend râler.

Giulia – pff … Elle peut pas me laisser tranquille.
Moi – c’est qui ?
Giulia – à ton avis ? C’est EmilIe, j’ai reçu quarante sms d’elle pendant la nuit.
Moi – elle deviens lourde avec sa.
Giulia – oui et elle commence sérieusement à m’énerver.


Vraiment, elle commence a être chiante, je n’arrive pas à la supporter, et j’ai horreur de l’opignon qu’elle porte sur les gens, qui est tout bonnement grotesque.

Giulia – va falloir faire quelques chose sa peut pas continuer comme sa !
Moi – oui lui mettre les points sur les i serait une bonne idée, car moi même je ne la supporte pas.
Giulia – on est deux !


Elle se tourne, et me sourit, je lui fait un petit clin d’oeil, et elle vint prendre place à ma droite. Alors qu’elle verse du chocolat dans sa tasse, je lui écarte une mèche de ses yeux, et lui offre un baiser.

Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi ma belle !


On se sourirent, s’embrassent avec douceur, et c’est avec le sourire que je reprend mon déjeuner. Son portable se met de nouveau à sonner, et cela eu pour effet de m’irriter.

Giulia – bon, tu peux voir se qu’elle veux !
Moi – dack.


Je prend doucement le téléphone, et lorsque ce dernier s’allume un doux sourire apparue sur mes lèvres en voyant son fond d’écran de vérouillage qui était une photo de moi avec les cheveux attacher, et juste en bas il y avait un cœur avec les deux première lettre de notre prénom et entre eux un petit plus prenait place, mon cœur se met à cogner fortement … Ah, ma Giulia, que je t’aime, je fait glisser mon pouce et plusieurs cercles apparue, je lui demande :

Moi – c’est quoi ton code mon ange ?
Giulia – la première lettre de ton prénom.


Je sourit, et reproduit le z avec mon pouce. Un autre battement fugace frappe ma poitrine en voyant son fond d’écran d’accueil qui était une photo de nous en train de nous embrasser et juste en bas il y avait écrit ’ la mia donna ti amo ’ je sourit, caresse doucement l’écran, et me dirige vers ses messages.

En effet, c’était bien Emilie qui lui avait envoyé tout ses messages, j’appui sur son prénom, et une fois que je fut sur la page, je remonte mon pouvce afin de tout lire.

Moi * comment as tu osé te l’accaparer ? Tu n’est qu’une salope Giulia, Zane ne te mérite pas, elle mérite quelqu’un de mieux comme moi *

non mais elle croix trop au père noël celle-là, faut vraiment qu’elle arrête son délire, je descend et les second messages eu pour effet de me faire mal au cœur.

Moi * elle a de très belle formes, une généreuse poitrine, de belles cuisses, elle est délicieuse, j’espère que tu ne goûtera jamais à son pêcher qui n’appartiens cas moi, elle est tellement belle, et franchement une femme comme elle ne veux pas passer son temps à faire juste des câlins et se contenter de simple baiser, non une femme comme elle désir beaucoup plus, que l’ont la prenne et la goûte tout doucement *

encore une … Qui me prend pour un objet sexuelle, mon cœur me fait mal, et je sent les larmes me monter aux yeux, ce sujet, j’y était très sensible, ayant subi de nombreuse moquerie là dessus et j’en reçoit encore aujourd’hui. C’est pour sa, que je me suis forgé ce caractère de garçon manqué car avec lui je peut surmonter cet obstacle car en dehors de sa, je suis très sensible, et je peux me mettre facilement à pleurer, seule Giulia connais ce côté là de moi.

Je ferme le téléphone, le pose sur la table et me lève, pour aller prendre un morceau de sopalin et m’essuie les yeux, j’ai horreur que les gens me voie ainsi et me prenne comme bon leur semble.

Giulia – ma chérie ça va ?

Je l’entend se lever, et ses bras entour ma taille, ses mains se posent sur mon ventre, et ses doigts me caressent. Je ne retiens plus mes larmes qui se mettent à rouler sur mes joues.

Moi – j’en est plus qu’assez que tout le monde me prenne ainsi, comme un objet sexuelle, j’en est marre de ceux qui ne pense cas sa, en me voyant, j’en est assez d’être une bête de foire à leur yeux, ils prétend que je suis une femme qui attend bien plus que sa, alors que … Que c’est faux, tout ce que je veux, c’est être aimé, et que l’on prenne soin de moi. Quand es que ce menssonge prendra fin !!!!!

je n’y arrive plus c’est vraiment trop dure, je tape violemment mon point contre le plan de travail et font littéralement en larmes. Je me sent tourné, et mes yeux qui sont rouge croisent ceux de ma douce, qui s’approche et pose ses mains sur mes joue, et repousse mes larmes.

Giulia – chuut … Ne te met pas dans cet état ma chérie, tu n’est pas une bête de foire ou un objet sexuelle, si les gens apprenait à mieux te connaître, ils remarquerons que tu est une femme extraordinaire, une femme qui possède un cœur en or, une femme magnifique avec ses défauts et ses qualités, tu vaut bien plus que sa. Quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi, pour t’épauler, te soutenir et t’aimer, t’aimer du plus profond de mon cœur, car pour moi Zane Kazama, tu est bien plus que sa, tu vaut bien plus que tout ses gens qui te critique, tu est ma femme, l’amour de ma vie … Et même si d’autre te dirons des chose malsaine, dit toi une chose mon cœur … C’est que q’importe la situation les gens qui t’aime vraiment serons ici dans ton cœur, Eric, Lidie, Shishi Dolce, Clément mes parents, et moi même seront toujours la pour toi, et nous t’aiderons du mieux que l’on peut car pour nous tu est importante, et pour moi, tu vaut tout l’or du monde !

Giulia … Je pose ma main sur la sienne, et ferme les yeux. Ses paroles danse dans ma tête et réchauffe mon cœur, je m’avance et me love dans ses bras. Posant mes mains sur son dos et lovant ma tête au creux de son cou côté gauche et pleur doucement en la serrant contre moi.

Moi – merci … D’être toujours là, je … Je ne veux pas te perdre Giulia, tu est tout se que j’ai de plus cher en ce monde.
Giulia – tu ne me perdra jamais mon amour, parce ce que … L’amour que je ressent à ton égard est bien plus fort que ses stupide critiques.


Elle ma soulevée le menton, et me regarde. J’allonge mes bras sur ses épaules, et m’approche d’elle, une larme roule sur sa joue, et sa voix que j’aime tant resonne :

Giulia – tu vaut bien plus que sa, je ne pourrais jamais t’abandonner Zane je t’aime beaucoup trop pour sa.

Ma chérie … Je lui sourit doucement, emmène ma main gauche à sa joue, et lui essui cette dernière avant de poser mes lèvres sur les siennes. Mon dos se colle contre le plan de travaille, et je vint lui caresser sa nuque alors que ses bras caresse mon dos. Sa tête se penche légèrement sur la gauche, et je laisse ma langue allait câliner la sienne, la serrant aussi fort que je le pouvait contre moi.

Je refuse de la perdre, pour cette peste … Je m’y refuse, elle est la seule qui me comprenne et sais me fait sourire et apaiser mon chagrin comme la. Elle est tout … Se que j’ai de plus cher au monde.

Je continue de l’embrasser avec tout l’amour que je ressent pour elle, elle est la femme que j’ai toujours attendue. Et c’est ensemble que l’on surmontera tout. On se décollent doucement, et je lui caresse la joue, elle est tellement belle … Je lui embrasse le bout du nez, et vint la serrer dans mes bras.

Giulia – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi !
Moi – moi aussi, tu pourras toujours compter sur moi mon amour, je t’aime.
Giulia – je t’aime bien plus que sa encore !


Ses lèvres caressent mon cou, et ses bras resserent notre étreinte. Au bout de quelques minutes, je me trouver dans la cuisine avec ma mère, Giulia était parti se doucher.

Mère de Zane – tu sais … Tu m’as beaucoup impressionner hier.
Moi – ah bon !
Mère de Zane – oui, toi qui a un trac monstre quand tu montes sur scène, tu m’as impressionner, et puis … C’est tellement beau se que tu as fait et dit.
Moi – c’était sincère maman, je … Je ne montre peut être pas mes sentiments mais je l’aime profondément, et ne souhaite que son bonheur.
Mère de Zane – j’espère que vous serait heureuse ensemble !
Moi – nous sommes déjà très heureuse, tu n’as pas à t’inquiéter la dessus.


On se sourit, et quelques petite minutes après ma douce fit son apparition, elle est vraiment belle, elle porte une robe en jean noir se fermant avec des boutons, des colant noir prend place sur ses jambes, et ses cheveux son retenue par un mini chignon, laissant ses deux longues et fine mèches caresser ses épaules.

Moi – tu est magnifique !
Giulia – merci.


Elle me sourit et se dirige vers nous. Ma mère eu la même impression que moi, je recule avec ma chaise, et vint la prendre dans mes bras. J’entoure sa taille, et lui caresse le dos, alors que ses bras s’allongent sur mes épaules.

Mère de Zane – tu est vraiment très jolie comme sa Giulia !
Giulia – merci Lidie.


Je lui émbrasse sa joue et la câline tendrement. Soudain son téléphone se met à sonner, elle le prend et je remarque que c’est Annette, son dos se pose contre ma potrine, et elle vint répondre à l’apel.

Giulia – oui allo ?
Annette – bonjour ma chérie, comment vas tu ?
Giulia – bonjour maman, ça va très bien et toi ?
Annette – tout vas pour le mieux, dis moi Lidie serait là ?
Giulia – oui , elle est en face de moi.
Annette – pourrais tu me la passer ?
Giulia – oui. Lidie ma mère veux te parler !
Mère de Zane – ok.


Ma mère prend son téléphone, le porte à son oreille, et commence à parler. Je prend doucement sa main gauche, et lui caresse, posant ma tête sur son épaule droite. Je voie ma mère faire un énorme sourire, je me demande bien se que Annette a pue lui dire.

Giulia – au faite mon ange !
Moi – oui qui y a t’il ?
Giulia – Shishi m’a appellé, elle et Dolce veullent nous parler, et il faut qu’ont les rejoingne au parc, sa te dis ?
Moi – tant que je suis avec toi, sa me va.
Giulia – tes vraiment adorable !


Je lui sourit, et lui dépose un léger baiser. La serrant contre moi, et laissant mon cœur s’emporter.

Mère de Zane – bon eh bien, c’est parfait je lui dit, et toutes mes félicitations !

Et c’est avec le sourire que ma mère coupe leur communication rendant le portable à mon amour, que je prit soin de câliner.

Mère de Zane – alors Giulia j’ai deux grandes nouvelles à t’annoncer !
Giulia – ah … Et qu’es ce que c’est ?
Mère de Zane – alors la première Annette et Pierre s’en vont à New York ce soir !
Giulia – quoi ?? mais … Mais pourquoi ?
Mère de Zane - détend toi, ils s’en vont à New York pour la simple raison que Pierre à fait une seconde demande en mariage à ta mère, et ils on décidés de se re marier aux Etats Unis, et la seconde, tu vas être grande sœur !
Moi – mais c’est génial !!


c’est supère, je regarde ma douce qui était encore sous le choc, elle se met à sourire, et tout en mêlant ses doigts aux miens elle s’exclame :

Giulia – mais c’est génial !!! oh mon dieu, moi qui est toujours rêvé d’être grande sœur … Mais si ils partent à New York, je doute qu’ils veulent de leur fille se qui est logique, je vais aller où alors ?
Mère de Zane – ici !
Giulia – comment ça ici ?
Mère de Zane – Annette ma demander si on pouvais te garder pendant quelques mois, et j’ai dis oui !
Moi – et tu ne dérange pas, ici, tu est la bienvenue.
Giulia – comment tu sais que j’allais dire sa ?!
Moi – n’oublie pas que sa fait deux ans que nous somme ensemble et que plus les jours passe et mieux j’apprend à te connaître ma chérie.
Giula – toi alors …


Elle me sourit et dépose ses lèvres sur mon nez. Je sourit, ferme les yeux et me laisse envahir par le bien être et le plaisir. Après sa, je suis aller m’habiller … J’enfile un slime noir, un débardeur noir surmonter d’un tee-shirt blanc avec des strasse formant une tête de mort, une ceinture grise avec le sigle de Dloce & Cabana.

Je me dirige vers la salle de bain qui est incorporé dans ma chambre, et me rend jusqu’au lavabo, ou je prit une brosse et commence à me coiffer. Pendant de longues minutes je me regarde, j’aimerais tant que tout ses dire cesse, parce ce que même si je suis de caractère un peux garçon manqué, je suis très sensible, et cela faisait longtemps que je n’avais plus pleuré comme ce matin.

J’esquive un sourire, continue de me coiffer, et pense à ma douce, j’ai vraiment beaucoup de chance de l’avoir à mes côtés, elle est celle qui réchauffe et enflamme mon cœur, je l’aime d’un amour sincère et véritable et n’espéré qu’une chose, celle de la garder à jamais auprès de moi et mon cœur.

Je pose la brosse, prend mon laïner, et commence à tracer une fine ligne noir au dessus de mes paupières. Je rebouche le stylo, le pose et retourne dans ma chambre, afin de me chausser. Je prend des bote noir à talon pas très haut, et les enfile, pour après mettre des petites mitaine à mes mains, me parfume légèrement, et une fois prête, prend mon téléphone, sort de ma chambre, et descend les escaliers.

Arrivé en bas, je remarque que ma mère avait Giulia dans ses bras, et cela eu pour effet de me faire sourire. Je me cale à côté du mur et écoute. Elle lui soulève le menton et s’exclame :

Mère de Zane – je ne sais pas se que tu as fait pour que ma fille soit dans cet état, mais je t’en remercie du fond du cœur Giulia, tu sais, Zane n’a pas souvent le sourire du à tout se qui se passe, et je suis sûr qu’elle avait une bonne raison de nous cacher votre relation, tu sais elle ma beaucoup impressionné hier, elle qui a un trac fou dès qu’elle monte sur scène, à croire que l’amour a réussi à la changer ! Tout se que j’espère c’est que tu la rendra heureuse tout au long de sa vie que tu puisse la faire sourire, rire … Car elle a beau avoir un caractère de dur, elle reste une jeune femme très sensible et sentimentale. Je te confit ma fille Giulia, prend en grand soin.
Giulia – tu sais Lidie … J’aime Zane profondément, pour moi, elle est tout ce que j’ai de plus cher au monde, elle est … Ma moitié, mon rayon de soleil, ma femme mais elle est avant tout ma plus belle histoire d’amour, j’en suis éperdument amoureuse, et je suis vraiment la plus heureuse, car Zane est tout se qu’un homme ou une femme puisse rêver d’avoir, elle est douce, adorable aimante, câline fofolle, mais c’est pour toute ses chose qui font d’elle la femme que j’aime et désir plus que quiconque sur cette terre, alors aussi longtemps que je serait sur cette terre, je ferais tout pour la rendre heureuse, parce ce que pour moi elle est la plus belle des mélodies !


Mon cœur se met à cogner fortement contre ma poitrine, mes yeux se ferment et un sourire heureux naquis mes lèvres, Giulia … Mon amour, si tu savait à quel point tes mots me font du bien, je ne regrette pas notre union, et suis fière d’avoir une petite amie telle que toi.

Je me dirige vers elle, et une fois à sa hauteur, je vint l’enlacer posant mes mains sur son ventre et ma tête sur son épaule droite et posa mes lèvres sur sa joue, fermant mes yeux, la berçant tendrement contre moi.

Moi – je t’aime !
Giulia – moi aussi ma chérie.


Ses mains se mêlent aux miennes, et ses doigts me caressent. Je me sent exésivement bien comme sa avec la femme dont je suis follement amoureuse.

Mère de Zane – tu voies Giulia, je ne sais pas se que tu lui a fait mais je suis heureuse de la voir ainsi !
Moi – ce qu’elle ma fait … Elle me rend éperdument heureuse, et ma permise de faire confiance en l’amour, elle est … La femme parfaite à mes yeux, et pour rien au monde … Je ne veux la perdre pour de stupide sourires de satisfactions, elle est … L’amour de ma vie, ma Giulia !


Elle me sourit, et m’embrasse la joue. Oh ma Giulia que je t’aime, mais dieu que je t’aime. Ma mère a le sourire aux lèvres, et je lui dit en posant ma tête sur son épaule :

Moi – dit toi que … Ta fille est vraiment la plus heureuse et que jamais elle ne perdra ce sourire.
Mère de Zane – Zane …
Moi – et sa … Grâce à elle !
Giulia – mon amour je …
Moi – chuut …


Et sans la laisser finir je dépose mes lèvres sur les siennes, lui offrant mon cœur, je suis vraiment heureuse, et espère de tout mon cœur l’être encore pendant longtemps.

Quelques minutes après, Giulia et moi étions parti direction le parc, main dans la main, un panier à la main puisque nous allions finalement pique niquer au parc avec les filles, et chacune de nous n’avaient pas oublier le cadeau pour Shishi et Dolce.

Arrivé à l’entrée du parc, je m’arrête en voyant qu’elle était la. Je ne voulais pas la voir, sinon sa allait mal se terminer, et je n’avait aucune envie de gâcher ma journée avec Giulia.

Giulia – ça va mon cœur ?
Moi – oui, bon eh bien retiens moi si je dois commettre un meurtre.


Elle tourne sa tête, et cette dernière se défigure envoyant cette peste. Je serre sa main, et commence à m’avancer. Je fut stopper, et au moment de me tourner ma jolie blonde me dépose un baiser. Je sourit, et lui rendit avec tendresse. Nos lèvres se claquent et se caressent, jusqu’à se qu’elles se séparent, et je vint lui offrir un doux sourire.

Giulia – ne t’inquiète pas, moi je suis là !
Moi – je le sais oui, et c’est bien sa qui me rend heureuse.


On se sourit, et on poursuit notre chemin vers les filles. Arrivé prêt d’elles, Shishi nous sauta au cou, et Dolce nous fit la bise.

Dolce – vous êtes vraiment très belle les filles.
Giulia/Moi – merci !!


on leur sourit, et je parti m’asseoir prêt d’un arbre, et Giulia vint se lover dans mes bras. J’entoure sa taille et pose mes mains sur son ventre, alors que ses doigts se mêlent au miens, sa tête se pose sur mon épaule droite, et alors que son dos se colle contre moi je pose ma tête sur son épaules gauche.

Shiwa – alors qu’es ce que vous nous avez fait de bon à manger ?
Giulia – espèce de petit goinffre, tu pense déjà à manger.
Dolce – en même temps …
Moi – c’est Shishi.
Shiwa – eh … C’est pas drôle !!


je me suis mise à rire doucement, et lui est posé un doux baiser sur sa joue, la serrant contre moi. Elle est vraiment belle habillé ainsi, ce n’est pas souvent que nous pouvons la voir en robe.

Shiwa – eh mais, c’est que Giulia c’est mise en robe !
Dolce – oh oui, c’est rare de te voir comme sa.
Emilie – un sac poubelle lui aurait mieux convenue !
Moi – eh … Baisse d’un ton, et je ne te permet pas de l’insulter.
Emilie – oh la pauvre, c’est qu’elle a besoin de se faire protéger !


Je vais lui en coller une, je le sent fort. Giulia se défait de notre étreinte, et sous mes yeux intérogateur je la suit. Elle se baisse se mettant face à Emilie et dit d’un ton très calme :

Giulia – c’est bon, tu as fini ? Car j’en est tout à ton honneur !
Emilie – non ce n’est pas fini, si tu savait à quel point je te haie, tu n’est bonne cas apporter le malheur … Non franchement Zane mérite beaucoup mieux que sa.
Giulia – Emilie ?
Emilie – quoi ?
Giulia – et si tu fermer ta bouche pour une fois ? Qu’en dit tu ?


C’est incroyable comment elle peut rester calme avec ce que cette peste lui dit, se qui m’énerve encore plus, on les suit du regard, et toute deux se lève, toujours face à face.

Emilie – et tu croix que je vais t’écouter ? Sans rire, arrête avec tes bonne manières !
Giulia – je peux savoir pourquoi tu me déteste ? Car à preuve du contraire je ne t’ai jamais insulter ou quoi que se soit d’autre.
Emilie – ce que tu m’as fais ? Tu oses me le demander ? Je vais donc être gentille et te raffraîchir la mémoire … Depuis que tes arrivé dans ce bahu, tu tes accaparé tout le monde, tu as même réussi à te mettre dans la poche la fille que j’aime le plus au monde, et sa … En faisant rien, juste à sourire, tu me dégoûte Giulia, comment oses tu être avec elle, elle mérite beaucoup mieux que sa, quand on la voie, on voie bien que c’est une femme qui veux plus qu’un simple baiser ou câli …


Elle venait de tomber sur le sol, sa main sur sa joue, Giulia venais de la giffler, et je suis vraiment fière.

Giulia – comment oses tu parlait d’elle de cette manière, tu ne la connais même pas, c’est toi qui me dégoûte, tu est puéril ma pauvre Emilie, Zane est loin d’être un objet de désir pour autrui, c’est avant ou une jeune femme avec ses sentiments, son amour propre, ses défauts et ses qualités, toi tu ne l’aime juste parce qu’elle est belle et qu’elle a de jolie forme, alors que moi, moi je l’aime pour ce qu’elle est, je la prend tel qu’elle est avec ses défauts et ses qualités, tu dis la connaître mieux que moi, mais en vérité tout se que tu cherche à faire c’est lui faire du mal, as tu pensé une seule fois à ce qu’elle pouvais ressentir, tu sais pourquoi je te déteste tant ? Tu as osé la faire pleurer, la faire souffrir, elle la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle qui est tout se que j’ai de plus cher au monde, tu croix sincèrement que je suis avec elle uniquement pour sa ? Mais si c’était le cas je serait déjà parti, bordel Emilie c’est de Zane que l’ont parle, elle a toujours était là pour toi, et toi comment tu la remercie en la salissant, et en la faisant pleurer ? Mais sache une chose, tu auras beau monter tout le monde contre moi, dit toi bien que je ne la laisserais jamais partir, je ne suis pas stupide au point de croire à des rumeurs car je la connais suffisament pour savoir de quoi elle est capable, alors qu’elle, tout se qu’elle demande, c’est que qu’importe les moments les situations c’est que l’ont puisse l’accepter tel qu’elle est sans lui porter de préjuger, alors si je te voie ne serrait-ce une seule fois toucher un seul de ses cheveux Emilie, tu auras faire à moi, je peux supporter beaucoup de choses, que l’ont m’insulte, me tire les cheveux, mais que l’ont touche à ma femme, c’est une chose que j’insupporte, ta compris !
Emilie – bon j’ai plus rien à faire ici j’me barre.
Giulia – c’est sa, dégage, et ne reviens plus !


Et elle est parti rouge de honte. Je regarde Giulia qui est toujours dos à moi, et je ne pue m’empêcher de sourire, se qu’elle a dit à mon propos me touche beaucoup, je l’aime … Sans qu’elle ne s’en rende compte, elle viens de me prouver qu’elle est celle que j’ai toujours attendue, et que je ne regrette pas de lui avoir confier mon cœur.

Shiwa – alors la … Chapeau, tu as tout mon respect Giulia, tu as réussi à lui cloué le bec une bonne fois pour toute, et surtout … Tu as sauvé l’honneur de notre meilleure amie !
Dolce – et pour nous c’est une très belle preuve d’amitié !
Moi – tu viens de m’offrir la plus belle preuve d’amour Giulia, merci.


Elle c’est tournée vers moi, ses yeux brillées, je sourit, et lui tend mes bras, pour qu’elle vienne s’y lover. J’entour son dos, et de ma main gauche, je vint mêler mes doigts dans sa chevelure.

Moi – merci beaucoup pour ce que tu as fait, tu m’as prouver à part b que tu est celle que j’attendais, merci mon amour !
Giuilia – si je les fait, c’est parce que je t’aime éperdument, et que pour moi tu est la femme de ma vie jolie brune !
Moi – Giulia …


Je lui caresse la joue, et lui offrit mes lèvres pour un long et doux baiser. Je ne sais vraiment plus ou me donner de la tête, c’est une très belle preuve d’amour qu’elle viens de me faire … Et j’en suis vraiment heureuse. Ah ma Giulia.

Shiwa – oh … Que c’est mignon, elles vont vraiment bien ensemble !
Dolce – maintenant que l’ont sais qu’elles sont ensemble, c’est très dure de les voir l’une sans l’autre.


Je sourit, et doucement notre baiser prit fin et laisser place à un câlin. Je lui caresse son ventre, alors que ses mains caressent les miennes.

Giulia – bon alors, à vous deux maintenant, c’est quoi cette chose importante que vous vouliez nous dire !
Dolce – on vous dit merci, car c’est grâce à vous !
Moi – comment sa ?
Shiwa – nous sommes ensemble !
Giulia - quoi ? C’est vrai ? Mais enfin c’est supère !!!
Moi – toute mes félicitations les filles, mais pourquoi c’est grâce à nous ?
Dolce – hier quand tu as fait ta déclaration et ta demande, sa ma ouvert les yeux, quand je vous ai vue vous embrassez devant tout le monde j’ai sourit et je me suis dit, qu’enfin de compte l’amour entre femmes était possible, et je me suis lancé et je lui est dit se que je ressent.
Shiwa – merci les filles !
Moi – bin, ravie de vous avoir aidé.
Giulia – tu as vue, on fait de l’excellent travail.


Je me met à rire en l’entendant dire sa, et mon rire fut suivit bien vite. Shiwa c’est rapproché de nous et nous a passé deux paquets cadeaux que l’ont prit. Ont leur donne nos cadeaux, et chacune commencent à ouvrir son paquet. Pour ma par j’eu droit à quelques bijoux tel qu’un bracelet noir avec des pic, ou bien un collier noir avec des diamant dessus.

Ma douce reçu une chemise de nuit bleu avec un chat avec un bonnet sur la tête, et en haut il y avait son prénom.

Giulia – j’adore, merci beaucoup les filles, et joyeux noël !
Shiwa – merci à vous, et très bon noël.
Dolce – merci !
Moi – de rien.


On se sourit, et les filles mettent se que nous leur avons offert qui était des boucles pour Shiwa et un colier avec une plume pour Dolce. Après et pour le plus grand bonheur de Shiwa nous avons commencé à manger. Des sandwishs au jambon des ships, et une canette de coca pour chacune.

Shiwa – oh c’est très jolie, c’est Giulia qui te l’a offert ?
Moi – oui !
Dolce – c’est supère mignon, et une question les filles, maintenant que vous l’êtes officiellement, vous compté le faire où votre mariage ?


Je sourit, et la serre contre moi, je porte ma canette à la bouche et boie une gorgé de mon coca.

Giulia – peut importe l’endroit ou même l’heure, le plus important c’est que nos cœurs soient uni !

Je sourit, lui embrasse la joue, et la serre d’avantage dans mes bras.

Moi – hm … Et peut importe le lieu, du moment que nous sommes ensemble, c’est le principale !
Giulia – oui, uni à tout jamais !
Moi – pour la vie.


Lui murmurais-je à l’oreille, allant embrasser sa tampe. Ses yeux croisent les miens, et je lui sourit caresse sa joue, et lui offre un clin d’oeil.

Dolce – dis Giulia pourquoi ta autant le sourire ?
Shiwa – c’est vrai sa !
Moi – ah oui, c’est vrai qu’il lui est arrivé de bonne chose ce matin !
Dolce – ah, tu est allé chez elle ?
Giulia – j’y ai dormi.
Shiwa – wath the fuck, allait qu’es ce qui t’arrive ?
Giulia – ah non mais je vous jure celle-ci … En faite, mes parents compte se re marier, ils partent à New York ce soir, et je vais être grande sœur.
Dolce – mais c’est supère sa, mais du coup tu vas dormir où ?
Giulia – avec ma femme.
Shiwa – pourquoi je suis pas étonné ?


Je sourit, et ferme les yeux quelques minutes posant ma tête contre le tronc, laissant le vent caresser ma chevelure, et pense à tout se qui c’est produit durant ses deux ans.

Dolce – oh, Zane tu dors ?

C’est vrai qu’en y repensant, je n’aurais jamais crue avoir assez de courage de lui avouer ce que je ressent … Je n’arrive pas à croire que l’amour, son amour est pue me changer à ce point, savoir qu’elle est ma femme, me rend forte et fière, j’ai envie de soulever des montagnes, de tout faire pour rester avec elle, car il est vrai qu’avec tout se qui se passe il me suffit que je pense à elle et à notre couple pour que mon cœur s’appaise.

Shiwa – ou ou, Zane … C’est plus l’heure de dormir.

Je sent une main sur ma joue, sûrement la sienne. Je la prend délicatement, et colle ma joue gauche contre. Mes lèvres lui embrassent le creux de sa main, et ses doigts me caressent la joue. Son souffle chaud caresse ma peau, et sa voix que j’aime temps résonne au creux de mon oreille.

Giulia – je t’aime ma chérie !

Ses lèvres se collent à ma joue droite, et m’embrassent. Je sourit, et me laisse envahire par ce bonheur. Je tourne doucement ma tête, et alors que ses yeux s’ouvrent, ma bouche caresse la sienne. On se regardent longuement et je lui sourit pour finir par l’embrasser. Sa main caresse ma joue, et la mienne se mêle dans sa chevelure chocolat, elle se rapproche de moi, et aprofondit notre baiser qui se fit plus doux et amoureux.

Nos lèvres se claquent se caressent, et nos yeux s’ouvrent pour ainsi se dévisager.

Moi – moi aussi mon amour.

On se sourit, et avec tendresse, je vint lui faire un câlin qu’elle me rend avec bonheur. Shiwa et Dolce nous regardent avec un sourire accroché aux lèvres.

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Sam 28 Déc 2013, 17:40 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

La biche et moi (ecrit au masculin re-travaillé)

LA BICHE ET MOI

En ce temps-là, j’avais acheté, pour une bouchée de pain, un grand terrain laissé depuis longtemps à l’abandon et retourné quasiment à l’état sauvage. Enfin, si l’on peut appeler cela un terrain d’une étendue hétéroclite de prairies, marécages et bois disséminés pêle-mêle sur un domaine au relief chaotique que surplombait l’antique coupole d’un vieux moulin en ruine. Personne ne semblait pouvoir me renseigner sur le contenu exact de la propriété et les papiers officiels ne faisaient mention que d’une surface et de la "probabilité d’une habitation". Une telle description sur un acte de vente s’expliquait par un accès plus que difficile, prodigieusement malaisé et très dangereux. On ne s’y prendrait pas autrement pour en interdire l’entrée. C’était, sans toutefois l’affirmer : Vous entrez à vos risques et périls ! Ce qui en rebuta plus d’un et fit mon bonheur tant sur le plan pécunier que sur le plan satisfaction : L’endroit était exactement ce dont j’avais rêvé !Je trouvai, dans la propriété, un vieux moulin à eau entouré d’une forêt d’orties, de fleurs champêtres, de ronces et d’arbres rabougris couverts de fougères. J’avais besoin d’un endroit comme cela, à l’écart de toute civilisation, mais pas, pour autant, au bout du monde, pour y séjourner en paix et méditer au calme.

Un héritage impromptu, placé à bon escient, me rapportait suffisamment que pour vivre de mes rentes. N’ayant nul besoin de travailler, je passais mon temps partagé entre mes loisirs, la découverte de mon domaine et la restauration de l’ancien bâtiment. J’étais ainsi toujours occupé et je ne connaissais pas l’ennui. Étant un solitaire, j’avais appris à me débrouiller seul et n’avais besoin d’aide même pour des travaux de force que j’accomplissais en me référant aux anciennes méthodes de construction. Celles d’un temps où l’homme était la seule puissance motrice disponible pour exécuter ce genre de travail. Je restaurai ainsi un vieux four dans lequel je faisais cuire mon pain. Remis en état l’ancienne roue à aubes du moulin pour disposer de sa force pour les gros travaux ainsi que de son énergie pour alimenter un circuit d’eau, sommaire, pour la cuisine et la salle d’eau. Réparai la toiture pour être au sec, rebâtis la partie de façade effondrée, consolidai le reste et refis quelques crépis internes pour que l’ensemble soit propre et agréable à vivre. Je m’octroyais de larges plages horaires pour lire et méditer et me surpris à plusieurs reprises à lire à la lueur du feu de bois crépitant joyeusement dans la cheminée. J’aimais cette atmosphère intimiste que je préférais à la lumière froide des ampoules électriques.

Mon garde-manger se remplit bien vite des légumes variées en provenance du petit jardinet que j’avais défriché et des nombreux fruits en provenance d’un verger revigoré par l’élimination de la prolifération des mauvaises herbes qui l’avaient envahi. Mon nouveau cadre partiellement aménagé, j’aimais beaucoup m’étendre sous un arbre ou au bord de l’eau et dans cette tranquillité champêtre, je dévorais quantité de livres. Parfois, le soir, inspiré par le cadre et le chant des cigales, j’improvisais sur le piano des mélodies pastorales ou, quand le temps menaçait d’orage, une envolée lyrique qui n’aurait déplu à Wagner.
Les rares amis qui s’étaient invités étaient repartis aussi vite que l’éclair au manque d’eau chaude courante, de radio et de la reine télévision dont la place restait ostensiblement vide. Contrairement à l’adage qui veut qu’un ami arrive trop tard et reparte trop tôt, chez moi, il arrivait toujours trop tôt et repartait, malgré sa célérité, toujours trop tard. Ce qui me valut, auprès d’amis et connaissances, en un temps record, le sobriquet de sauvage. Pas de réveille-matin non plus ! Je me réveillais chaque matin, la fenêtre ouverte, avec le doux murmure d’une petite cascade dont l’eau s écoulait paresseusement en un gros ruisseau qu’accompagnaient les chants joyeux d’une dizaine d’espèces différentes d’oiseaux : Un pur moment de bonheur !

Après une installation plus que sommaire, bien que suffisante à mes faibles exigences, je décidai de faire le tour complet du propriétaire pour avoir une idée aussi précise que possible de l’état et des besoins de la propriété. Je pris un sac à dos, y fourrai de quoi tenir une semaine de provisions, ma tente et mon sac de couchage, résidus des camps de vacance de ma jeunesse, une machette et une corde d’alpiniste, souvenir d’un vieux voyage au Mexique, un ciré, cadeau d’un ami breton, l’indispensable équipement de l’explorateur, boussole, lampe, couteau et mon inévitable livre de chevet. Pour l’occasion, j’avais trouvé fort à propos d’emporter les aventures de Robinson Crusoé. Une fois traversée la savane sauvage entourant mon havre de paix, je m’enfonçai vite dans une sorte de brousse boisée aux ramures inextricables traversée par une espèce de pâture marécageuse. Un infect bourbier que je décidai de contourner de peur d’y rester coincé. C’est au détour d’une énième masse de ronces que je la vis : Une biche s’était empêtrée, dans cette surface spongieuse, et malgré tous ses efforts ne parvenait pas à s’en extraire. Quand mon regard croisa ses grands yeux angoissés, elle semblait supplier : Sauve-moi !

Je n’étais pas équipé pour une telle péripétie mais sans y réfléchir davantage, je sortis mon inséparable corde de rappel qui ne me quittait plus pour mes randonnées depuis que son absence avait failli me coûter la vie lors d’un trip dans les Andes. J’attachai solidement un bout à un arbre et en ayant une pensée pour mes toutes nouvelles bottines de marche je m’enfonçai résolument en direction de la bête apeurée. Comme si elle fut consciente du but de mon action, elle arrêta de se débattre et se laissa entraver docilement. Relevant la biche d’une main et tirant la corde de l’autre, le corps à moitié enfoui dans la boue, après un temps qui me parut une éternité, je parvins à dégager la bête de l’emprise de la vase. Il ne me resta plus qu’à m’y soustraire pour remarquer que la biche, loin d’éprouver de la crainte à mon égard, faisait montre d’une gratitude inhabituelle pour cette hôtesse des bois. Une fois ses entraves ôtées, je l’exhortai à partir mais elle n’en fit rien. Que du contraire, elle se mit à me suivre comme un toutou. L’aventure et l’effort consenti m’avaient donné faim et m’arrêtai pour manger, assis à califourchon sur une victime des terribles tempêtes ayant secoué la région. Le vieux tronc me servait à la fois de chaise et de table et déployant un essuie j’installai mon repas.

Je commençai à me restaurer quand, à ma grande surprise, la biche s’invita à la collation en subtilisant timidement quelques feuilles de salade. Mi-perplexe, mi-amusé, je réalisai que la pauvre bête devait mourir de faim. Qui sait depuis de temps elle se débattait dans cette boue ? Je songeai que son attachement inhabituel devait provenir du parfum que dégageaient les victuailles que recelait mon sac à dos. Je me surpris à lui parler comme à une personne et l’inviter à la noce du geste et de la parole. Je m’amusais à voir son joli museau s’avancer vers la nourriture et l’attraper de sa petite langue tandis que ses grands yeux semblaient dire : Je peux ? Je lui présentai salades, légumes et fruits divers auxquels elle ne se priva pas de faire honneur. Au point que, le casse-croûte fini, je dus constater qu’il ne m’en restait plus assez pour continuer l’exploration de mon domaine. Je me voyais contraint de rentrer au bercail, faire le plein de provisions car je doutai fort de trouver quelque chose de comestible dans cette brousse. Le soir tombant n’en hâta que plus ma décision de faire demi-tour. Je me dis que, rassasié, l’animal allait sans doute poursuivre sa route.
Elle n’en fit rien et continua de me suivre docilement.

Le débroussaillage de l’aller se révéla un précieux gain de temps pour le retour et me félicitai intérieurement de ne pas avoir lésiné sur les coups de machette : Le chemin était tout tracé. Malgré cela, l’arrivée d’un orage impromptu vint obscurcir prématurément le peu de lumière dispensée par un soleil mourant. C’est à ce moment que je me rendis compte que, tout à l’étude du comportement de la bête, j’avais oublié de refaire mon paquetage. Ma lampe se trouvait quelque part dans ces ombres qui gonflaient et je ne dus de retrouver mon chemin qu’à la lueur de quelques éclairs annonciateurs de tempête. Accélérant le pas, je me retrouvai vite chez moi ; la biche toujours sur mes traces. Je m’engouffrai dans l’entrée au moment même où, les nuages, crevant, déversèrent la pluie à pleins seaux. J’allais refermer la porte sur les éléments déchaînés quand je croisai le regard attristé de la biche. Imagination, me direz-vous ! N’empêche que je n’eus pas le cœur de la laisser dehors et lui fis signe d’entrer. Ce qu’elle se pressa de faire d’un trottinement que je qualifierais de joyeux. Je ne pus m’empêcher de noter les dégâts occasionnés au hall d’entrée par mes bottes boueuses, ses sabots fangeux et sa fourrure dégoulinante d’eau mais j’étais exténué de ma journée et remis le nettoyage au lendemain. Je filai, sans tarder, au lit laissant l’animal se choisir un coin pour dormir.

Malgré l’orage qui grondait et grésillait, je ne tardai pas à m’endormir et à faire un de plus étranges rêves qui soit : Une lueur insolite semblait émaner de l’animal, prendre de l’ampleur jusqu’à devenir une lumière éblouissante, l’entourant et le soustrayant totalement à la vue. Quand le rayonnement se fit moins intense, je constatai qu’une créature d’une beauté inouïe avait pris la place de la biche. Une femme à la superbe chevelure d’un rouge flamboyant et aux magnifiques yeux noisette, que de longs cils mettaient en relief, sortit de ce halo et se mit à explorer l’endroit. Sa nudité et son corps aux courbes parfaites en faisaient une déesse irréelle, fascinante, captivante. Je contemplai l’apparition et en suivai chaque mouvement et geste : Tout semblait l’intéresser et l’intriguer. Après sa petite visite, elle revint s’asseoir près de mon lit et nous nous dévisageâmes longuement. Si longuement que, dans le rêve, nous nous endormîmes en nous regardant. Le lendemain matin, un poids me gênant, me réveilla de bonne heure. Je fus surpris de trouver la biche recroquevillée au bout de mon lit et pensai au singulier rêve de la nuit que je mis sur le compte de ma longue abstinence. Bien que m’obligeant à de longues veillées, je ne constatai rien d’inhabituel chez l’animal si ce n’est son inexplicable fascination pour mon logis qu’il refusait invariablement de quitter me suivant partout comme un quelconque familier domestique.

Au point que je m’y affectionnai et, à l’instar de Robinson, je cherchais un nom pour mon étonnant Vendredi. J’écartais d’office les bichettes et autres bibiches pour explorer les différentes mythologies à la recherche d’un nom qui lui conviendrait. Après différents essais, mon choix se fixa sur Eowyn, princesse guerrière du cycle tolkinien de la saga du Seigneur de l’anneau. Quelque chose dans sa description et dans mon imagination faisait queje lui trouvais la même allure altière et par la force des choses, le même mutisme glacial, la même difficulté à s’exprimer. Le temps passa. À l’Automne et ses couleurs variées, succéda le noir et blanc de l’Hiver qui fit place à l’éclatement lumineux d’un Printemps triomphant, et je me surpris à ressentir un manque étrange, comme une sombre appréhension, lorsque la biche partait en balade pendant de longues heures. Je ne saurai dire si c’était une grande inquiétude ou une sorte de stupide jalousie envers ce milieu qui m’enlevait le seul être que je supportais avec grâce à mes côtés., mais ce malaise était bel et bien réel. Je commençai à craindre pour mes facultés mentales. À intervalles réguliers, je refaisais ce même rêve étrange d’une merveilleuse déesse nue visitant la maison et me regardant dormir en se demandant quel rêve pouvait ainsi dessiner un sourire sur mon visage bourru. Je la voyais humer les draps, presque m’ausculter comme si elle voulait imprimer dans son esprit les traits de mon visage et mon odeur.

Une nuit, l’impensable se produisit : L’apparition se risqua à m’embrasser et ce baiser me parut si réel, si chaud, si excitant que je m’éveillai en sueur. Perturbé, désorienté, j’allai dans la cuisine et ouvris le frigo dans le but de me servir un grand verre de jus de fruit quand, dans le reflet d’un plat d’inox, je la vis derrière moi. Je me retournai aussitôt et lâchai mon verre de stupeur : La Venus de mon rêve était là en chair et en os. ! Aussi nue qu’un ver ! Aussi belle qu’une déesse ! Aussi irréelle qu’une fée et pourtant.....Toute aussi stupéfaite que moi, l’apparition était figée, interloquée par cette rencontre. Puis, alors que je n’étais pas encore totalement revenu de ma surprise, elle me raconta son histoire. Un magicien jaloux lui avait lancé un enchantement la changeant en biche. Elle ne reprenait sa forme primitive que les nuits de pleine lune et ne retrouverait son aspect que lorsque son cœur rencontrerait son alter ego et partagerait, en même temps, les mêmes sentiments. J’étais tellement ébahi que je mis un moment à me rendre compte qu’elle peinait à couvrir, de ses frêles bras, sa nudité . Me confondant en excuses, je filai lui chercher de quoi se couvrir. Bien sûr je ne puis lui donner que quelques uns de mes habits et malgré l’incongruité de ces vêtements trop amples, sa ravissante beauté transpirait toujours.

Je m’inquiétai qu’elle eut faim, soif et lui préparai un en-cas rapide. Mais lorsque je voulus lui présenter le plateau, l’apparition avait disparu. Pour un rêve, c’était le songe le plus terriblement réaliste que j’avais jamais fait. Je restai un moment à y réfléchir puis, vaincu par la fatigue m’en retournai coucher. C’est là que je la retrouvai et que je me convainquis de ne pas rêver. Elle était couchée dans mon lit. Sa longue chevelure rousse faisant comme l’ombré d’un tableau. Ses formes sculptant les draps de ses courbes généreuses. Elle avait l’air d’un ange. C’était un ange ! Était-ce la situation ? La fatigue ? Le rêve ? Le manque ? La folie ? Je n’aurais su dire mais j’avais le cœur palpitant et débordant d’un sentiment que je croyais ne plus devoir connaître. L’émotion me submergeait et me vis chevalier protégeant son bonheur.
C’est au matin suivant que les affres de l’inquiétude commencèrent à me tourmenter. Elle avait repris sa forme animale signe que nos cœurs n’étaient pas au diapason des sentiments ou, plus probablement, que la solitude avait altérée ma perception de la réalité. La biche, quant à elle, ne changea pas ses habitudes et me gambadait autour « naturellement » si ce n’est qu’elle était encore plus familière que d’habitude. Enfin, je mis cela sur le compte de mon affabulation.

La nuit suivante, elle revint. Toujours aussi terriblement belle et attirante et nous passâmes la nuit à discuter de tout et de rien. Juste heureux d’être là, l’un en face de l’autre. Je buvais ses paroles comme un flot de nectar et m’enivrai de son rire pareil à une source cristalline. Sa voix me berçait d’une mélodieuse mélopée et je me réveillai le matin suivant endormi sur une chaise, la tête posée sur la table de la cuisine, le dos et les fesses en compote à me demander quel grain de folie germait dans mon cerveau. La nuit d’après, partagé entre certitudes et perplexités, nous échangeâmes de longs discours en de longs silences où seuls nos regards brûlants déclaraient cette flamme qui nous consumait. J’avais une envie folle de connaître le goût de ces merveilleuses lèvres qui s’agitaient en un joyeux babil. Comme si elle voulait rattraper les années de silence. Je les imaginais ayant l’arôme de pétales de rose et la saveur de la cerise. Aussi douces que les uns, aussi tendres que l’autre....Comme lisant dans mes pensées, elle déposa soudain un baiser fugitif sur mes lèvres enflammant tout mon corps d’une douce chaleur irradiante. J’en étais à réaliser ce qui m’arrivait lorsqu’elle revint à la charge d’une ferveur plus animale écrasant ses lèvres sur les miennes et cherchant le contact de ma langue pour ensuite l’aspirer. J’avais le corps en feu, tendu à l’extrême. Le sang battant aux tempes, le cœur cognant dans la poitrine, le ventre faisant des nœuds et le mâle rouant dans le pantalon.

L’envie de la prendre, là, tout de suite et le désir de protéger sa fragilité. Jamais je n’avais ressenti ce sentiment de faire passer le bonheur de l’autre avant mon seul plaisir propre. Je me sentais prêt à affronter le monde pour un seul de ses sourires. Nous échangions des baisers passionnés et des caresses torrides sans pour autant aller plus loin que l’éveil des sens. Chacun ayant peur que la magie de nos rencontres ne s’envole en franchissant le pas. Pourtant on était tellement serrés qu’elle ne pouvait ignorer l’état de tension qui m’agitait au point d’en avoir mal de turgescence. Et je ressentait son envie à ses mamelons durcis cognant ma poitrine. Le jour en biche câline, la nuit en tigresse affamée, j’en mourais de l’appétence qu’elle soit mienne et m’immolais à ses caprices pourvu qu’elle soit heureuse. On jouait à cet énivrant et excitant jeu dangereux lorsque survint l’accident. Ce matin-là, comme souvent, je mouillais une ligne dans l’espoir d’en retirer ma pitance tout en savourant les extravagantes aventures du Baron de Münchhausen que je ne me lassai de relire. Amusée ou intriguée par le jeu des poissons autour de l’appât, la biche se pencha. Un peu trop ! Et tomba à l’eau. La seconde suivante, un cri désespéré de femme me vrilla les tympans, me retourna le cœur et me propulsa à l’eau en même temps.

Mon amour se noyait ! Je la sortis aussi vite que possible de l’onde et l’étendis inanimée sur la berge. Le cœur serrant la gorge et l’âme au bord des lèvres j’entrepris de la ranimer. Je pratiquai le bouche-à-bouche mais le geste professionnel se changea vite en baiser amoureux. L’attrait de son corps, ses seins insolents, ses hanches affriolantes, son ventre invitant eurent raison de mes hésitations lorsqu’elle répondit à mon baiser. Des lèvres, je tombai sur son cou, glissai sur sa gorge et m’arrêtai sucer goulument ses seins. Ses tétons étaient aussi durs que roche. Tout son corps se tordait d’offrande. Pendant que je l’embrassais et la caressais, je sentais ses mains s’activer à m’ôter le pantalon. Je posais une main sur son ventre et la fis glisser juste au dessus de sa toison dorée. Elle desserra aussitôt ses cuisses, et je pus glisser mes doigts dans ses plis intimes. Elle soupira longuement. Elle était déjà moite de désir, prête pour l’amour...............
Tout en embrassant son corps, j’atteignis son jardin d’Eden et lui arrachai un gémissement de plaisir en écrasant délicatement le pistil de sa rose. Ma langue allait et venait entre ses lèvres énervant son bouton rose pendant que mes mains parcouraient cuisses, ventre et fesses en une ronde caressante et impudique. Elle haletait et soupirait, et je redoublais d’ardeur dans les attouchements, les baisers et les caresses. Le plaisir et le désir la tordant en spasmes jouissifs jusqu’à ce qu’elle parvienne enfin à l’orgasme dans un long râle extatique.

Je goûtais à son bonheur lorsque, d’un brusque coup de rein, elle inversa la position se retrouvant de monture à cavalière. Dans le même mouvement, s’emparant de mon membre, elle s’empala et partit au galop. Sa chaleur intime m’enflamma au point que je crus exploser en elle tellement vite que j’en fus désolé mais à son sourire triomphal je sus qu’elle avait atteint son but. Je ne sais de fois elle revigora mon ardeur mais je sais que jamais je ne me serai cru capable d’un tel exploit. Nous nous arrêtâmes à bout de forces mais non à bout d’envie et nous nous endormîmes, enlacés, épuisés, sur la berge. La fraîcheur du soir qui tombait nous réveilla et, nus comme Adam et Eve, nous nous dirigeâmes vers cette maison où l’amour, que depuis je lui prodiguais, devait la convaincre de ne jamais plus la quitter.
Jeu 14 Nov 2013, 11:12 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 5

Eh bien, bonjour à tous, me voila avec le chapitre 5, j’espère que cela vous plaira ^^ et merci à inlove ton dernier commentaire ma beaucoup touché merci :)

Chapitre 5 : Un anniversaire inoubliable

Point de vue Narrateur.

Point de vue Narrateur.

Depuis que le devoir de l’exposé est passé une semaine venais de s’écouler et les vacance de la Toussain est enfin arrivé. Aujourd’hui nous sommes le 21 octobre, jour ou notre petite Michi passe dans la cour des grands. Nous nous retrouvons devant l’appartement d’Haruka, et si nous tendions un peut plus l’oreille, on pouvais entendre du bruit.

Haruka – Michi, tu viens !
Michiru – oui oui j’arive.

Cette dernière après quelques minutes d’attente interminable celon Haruka fit enfin son entré devant les escaliers. La jeune femme blonde eu un tendre sourire en voyant sa cher et tendre habillé ainsi. Elle lui dis alors :


Haruka – je comprend mieux pourquoi tu mettait autant de temps … Alala je vous jure ses filles.
Michiru – dois-je te rappeller que tu en est une aussi !
Haruka – peut être, mais je ne passe pas des heures devant le miroir.
Michiru – c’est un peut normal, puisque toi, tu est belle au naturelle, tu n’as nulle besoin de rajouter des babioles car tu est déjà ravissante.

Haruka touché de ses propos monte les escaliers, et comme Michiru était toujours sous béquilles, elle la porta tel une princesse. Arrivé en-bas elle la dépose sur le sol, et la dévisage avec douceur.

Michiru bien que le temps se soit un peut rafraîchit, avait opté pour une jolie robe bleu vert, il y avait 4 petits boutons bleu marine sur le haut. Ses cheveux qui habituellement son lâchés sont retenue par une couette basse sur le côté gauche. Elle était vraiment très jolie aux yeux d’Haruka qui ne cesser de la dévorer du regard.

Haruka – tu est vraiment très jolie.
Michiru – merci !

Elle lui caresse sa joue, et la jeune femme blonde lui déposa un léger baiser. Un petit instant bien à elles, voilà maintenant 3 semaines qu’elle partagées leurs vies à deux, et elles étaient très épanouie ensemble.

Après ce petit échange, les deux jeunes femmes sortir de l’appartement.

Michiru – ah bonheur, je vais peut être me débarrasser de ses foutue béquilles.
Haruka – ah ah, mais sa dépendra de comment est ta hanche !
Michiru – Haru … Ne casse pas mon rêve !

Cette dernière ce met à rire, et toutes deux entames leur marche dans le long couloir de la résidence. Arrivé au bord de la première marche Haruka prit Michiru dans ses bras, et descend les quatre étages prudemment. Quand elle furent arrivées jusqu’au parking, la jeune blonde déverrouillé l’alarme, et ouvrant la porte passager posa sa jeune protégé sur le siège.

Michiru – merci !
Haruka – de rien chaton.

Elle lui dépose un léger baiser, et à son tour monte dans sa voiture. Allumant le conteur de cette dernière, Haruka fit une marche arrière, et partie enfin direction le médecin.

Point de vue Haruka.

Ah … Je me demande par quoi je vais commencer aujourd’hui, car étant donné que c’est son anniversaire, j’avais quelques surprises en réservation, mais je ne sais pas par laquel commencer.


Michiru – au faite Haru …
Moi – oui qui y’a t-il ?
Michiru – c’est quand que le directeur envoie nos bulletin de premier trimestre ?
Moi – dans la semaine qui va suivre tout au plus.
Michiru – eh bien, j’espère juste de ne pas encore avoir baisser de niveau !
Moi – comment sa baisser de niveau ?

Je fut surprise de ses mots car de toute la classe, elle est la meilleur, c’est elle qui tiens la meilleure moyenne et pas que dans mes cours.

Michiru – bah tu sais je n’aie jamais était supère forte en cour, je me rappelle encore se que sa donné au collège !
Moi – j’ai du mal à te croire, car ce n’aie pas du tout le cas depuis la rentrée.
Michiru – ah mais sa, c’est parce ce que j’ai un supère professeur !

Je me suis mise à sourire, et voulant jouer la curieuse je lui demande :

Moi – ah … Et comment est ce professeur si particulier ?

Je voie un petit sourire apparaître sur son visage, ses yeux fixent l’horizon et sa voix que j’aime tant entendre résonne.

Michiru – eh bien … Par ou commencer, il y a tellement de choses à dire sur ce professeur. Depuis ma rencontre avec elle, je ne sais pas, mais la vie est devenue nettement plus agréable, je l’admir beaucoup, et en plus d’être mon professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géo, elle est avant tout la femme que j’aime. Sans la regarder, je connais les moindre petites chose qui la rende si belle. De magnifique yeux vert émeraude, un regard qui m’envoûte à chaque fois, une chevelure doré, une taille fine et élancé, et puis elle a ce petit quelque chose qui m’attire encore plus que tout ses détails, son côté masculin que je trouve vraiment attirant, sa la rend si belle … Et en fin de compte, cette femme qui fait tant chavirer mon cœur à deux personnalité, en cour, c’est le professeur sur d’elle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, alors qu’à la maison c’est tout autre, j’ai pue découvrir avec joie qu’elle était en fin de compte très douce, gentil, aimable et très câline, se que j’aprécie car étant moi même très câline, j’aime ses câlins, me retrouver dans ses bras tout contre elle et son cœur. Non vraiment ce professeur je l’aime et l’admir !

À plusieurs reprise mon cœur loupe plusieurs battements, je suis heureuse vraiment heureuse de constater qu’elle tiens autant à moi que moi je tiens à elle. Je m’arrête à un feu rouge, et vint lui prendre la main.

Moi – et ce professeur qu’est t-il ?
Michiru – elle est la moitié de mon cœur, et … Elle est ma partenaire, ma petite femme à moi.

Je sourit tendrement, et m’approche de son visage, je lui prend délicatement le menton, et lui caresse la joue.

Moi – je t’aime !
Michiru – moi aussi Haru je t’aime.

On se sourit, et pour quelques secondes nos lèvres s’unirent dans un doux et long baiser. Je sens sa main se poser sur ma cuisse, ses doigts caresse le fin tissu qui sépare ma peau. Sa langue qui se mêle tendrement à la mienne, c’est un véritable bonheur pour moi, c’est la première fois en 23 ans que je me sens véritablement aimé, et en 23 ans c’est la première fois que je suis autant amoureuse.

On se détachent doucement, et je vint faire frotter mon nez tendrement contre le sien. Elle avait le sourire, un sourire magnifique que j’aime et que je ne me lacerais jamais de regarder. Je lui embrasse le nez et lui murmure avant de reprendre la route :

Moi – quand arrêteras tu de me rendre folle ?
Michiru – folle ? Et de quoi ?
Moi – folle et éperdument amoureuse.
Michiru – je ne le fait pas exprès, mais toi aussi, tu me rend folle chaque jours, chaque minutes et chaque seconde … Ma douce et jolie blonde.

Je lui sourit, un sourire prête à m’en décrocher la mâchoire, je l’embrasse avec douceur, et repris la route direction le parking souterrain. Après quelques minutes de recherche, je rentre dans le parking, essayant de trouver une place.

Michiru- Haru, la tu en a une !

Elle me montre du doigt une place effectivement vide, je sourit et partit me garer.

Moi – merci princesse.

J’éteins le moteur, et sortie de la voiture, remetant ma chemise noire en place. Je me dirige vers la porte passager de Michi, ouvre cette dernière, et vint l’aider à sortir.

Michiru – merci.

Je ferme la porte, pose ses béquilles contre la Porshe, et vint l’enlacer tendrement dans mes bras. Ses bras s’allonge sur mes épaules, et ses mains se mettent à caresser ma nuque. Alors que les miennes descendait le long de son dos. Posant de tant à autre mes lèvres sur son cou.

Moi – quoiqu’il arrive promet moi une chose !
Michiru – tout se que tu veux.

Je lui soulève le menton et lui murmure en caressant sa joue :

Moi – promet moi, que … Que quoiqu’il advienne rien ne pourra se mettre entre nous Michi.
Michiru – je ne sais pas se que va nous reserver l’avenir, mais je te fais la promesse de te garder auprès de moi ma chérie et sa quoiqu’il arrive.
Moi – je t’aime.
Michiru – plus que tout !

Je lui sourit tendrement, et ses lèvres prirent possession des miennes. Ses mains se posent sur mes joues, et ses doigts me caresse. Je laisse mes mains crée une sensation de douceur sur son dos m’approchant doucement d’elle afin d’être serrer contre son cœur. A cet instant j’étais vraiment la plus heureuse.

Je me décolle doucement, écarte quelques mèches bleutée de ses yeux, et lui embrasse le nez. Je lui tend ses béquilles, et c’est en discutant que nous nous avançons vers la sortie du parking.

Michiru – rah lala, j’ai hâte de pouvoir quitter ses chose.
Moi – ah ah, tu est bien impatiente dis moi !
Michiru – oh mais tu c’est je peut me montrer très patiente et coopérente quand t-il le faut.
Moi – ah et dans quoi par exemple ?
Michiru – je c’est me montrer patiente lorsqu’il s’agit de construir un avenir à deux.

Je sourit, continuant de marcher, on prit l’assenceur, et une fois en-bas on se dirige vers le cabinet du médecin qui n’était plus très loin.

Moi – au faite Michi, tu as prit ton roman ?
Michiru – oui oui ne t’inquiète pas, bien que je me demande pourquoi !
Moi – tu verra bien.

Je lui fit un clin d’oeil, et une fois arriver au cabinet je pousse la porte et la laisse rentrer. Je passe à mon tour et parti m’asseoir sur une chaise juste à sa droite. Sa tête se pose sur mon épaule, et ma main prit la sienne. Nos doigts s’entrelacent automatiquement, et je vint lui caresser à l’aide de mon pouce.

Médecin – mademoiselle Kaio ?
Michiru – oui c’est moi !
Médecin – bonjour, vous venez ?

Je me lève, et suivit Michi à l’intérieur du bureau, j’allai prendre place sur une chaise à la gauche de ma douce, et le médecin ce mit à parler.

Médecin – alors comment te sent tu ?
Michiru – ben, nettement mieux, même si parfois j’ai des douleurs qui me lance !
Médecin – me permet tu que je jette un œil ?
Michiru – euh … Oui !
Médecin – suis moi alors.

Son regard se pose sur moi, je lui tapote le nez et lui fit un clin d’oeil. Elle parti donc derrière un rideau, et je vint attendre.

Médecin – ou mais c’est que sa c’est grandement améliorer, on ne voie quasiment plus rien. Donc je suggère que nous te retirons les béquilles.
Michiru – oh bonheur … Si vous savait comme je suis contente de me séparer de ses choses.
Médecin – ah ah, aller viens, je vais tout de même te préscrire une pomade qu’il faudra appliquer sur la cicatrice et sa pendant deux semaine tout les soir.
Michiru – d’accord !

Je la voie revenir, et elle reprend place, m’adressant un grand sourire signe qu’elle était heureuse et soulagé de se débarrasser des béquilles et cela me fait bien rire. Après que le médecin m’est remis l’ordonnance, je sort de mon sac mon porte feuille et en sort ma carte vital, ayant mis Michi dessus pour qu’elle soit couverte et qu’elle est droit aux soins depuis son accident. Je met la carte dans la machine et laissa cette dernière faire les manipulations.

Médecin – merci. Aller je vous liber !
Moi – merci docteur, au revoir !
Michiru – merci encore.
Médecin – mais je vous en prie. Passez une bonne journée mesdames !

Ah, je croix que c’est le premier à remarquer que je suis une femme, due à ma masculinité je suis souvent prise pour un homme.

Quand on fut dehors, je me tourne vers Michi qui souriait.


Michiru – ah … Bonheur je vais enfin pouvoir faire ce que j’avais envie de faire sans les béquilles.
Moi – ah, et quoi donc ?
Michiru – bah déjà pouvoir prendre la main de celle que j’aime sans difficulté !

Je sourit, elle est vraiment adorable. Je lui prend sa main, et ses doigts s’emmêlent avec les miens, je mit mes lunettes de soleil sur le nez, et commence à marcher avec elle. Librement comme un vrai couple.

Michiru – dis moi Haru, on pourrais passer à la banque ?
Moi – oui pas de souci trésor.

On se sourit, et parti direction la banque. Une fois arrivé devant cette dernière j’en profite pour sortir un peut de liquide car je compter bien lui faire quelques cadeaux. Bien que les deux premiers soit gros.

Je me dirige vers elle, et me place à ses côtés.


Michiru – excusez moi, j’aimerais savoir me reste t-il se ma carte.
Conseiller – oui bien sur mademoiselle, quel est votre nom ?
Michiru – Kaio !
Conseiller – un instant je vous prit.

Pendant que l’homme cherché les informations souhaiter par Michi, nos yeux se croisent, je lui écarte quelques mèches, et lui offre un doux sourire.

Conseiller – mademoiselle Kaio !
Michiru – oui ?
Conseiller – voilà vous disposé d’un total de 20 876 €.

C’est énorme, Michi n’a pas l’air surprise.

Michiru – et vous savez si mon compte est encore en suspension ? Sachant que je viens d’atteindre ma majorité.
Conseiller – non nous avons réussi à vous débloquer !
Michiru – je vous remercie, passé une bonne journée.
Conseiller – mais je vous en prit.

Et après sa, nous sortîmes de la banque. Je remis mes lunettes de soleil, prit sa main dans la mienne, et commence à marcher avec elle.

Michiru – eh bien, je n’aurais jamais crue posséder une tel sommes.
Moi – c’est tout de même énorme … et comment se fait t-il que tu en est accumulé autant ?
Michiru – en faite, ma mère avant sa mort vivez dans un milieu très aisé, c’est pour sa que mon père a tant voulu sa mort pour pouvoir récupérer ses biens pas la suite. Quand je me suis retrouvait en famille d’accueil cette dernière disant que j’étais trop jeune pour avoir une tel sommes à fermé mon compte. Mais bon maintenant que j’ai 18 ans, j’ai le droit d’y toucher !
Moi – je comprend mieux … Aller tu me suis ?
Michiru – où sa ?
Moi – ah ah.

Je lui sourit, et la traina avec moi jusqu’à un bâtiment qu’elle connaissait que trop bien. Arrivé devant ce dernier, Michi fut surprise, elle se tourne vers moi et dit :

Michiru – Haru mais pourquoi on est devant l’édition Tomoé ?
Moi – et si on entré ?
Michiru – d’accord !

Et après ses quelques mots, on entrâmes à l’intérieur de l’édition.

Point de vue Michiru.

Je me demande se qu’elle a en tête. Je m’approche, et voie un homme de vieil âge avec une femme assez grande, un tailleur noir et blanc la couvrait.

Monsieur Tomoé – ah vous devez être mademoiselle Tenoh et mademoiselle Kaio ?
Haruka – c’est exact, bonjour monsieur Tomoé ! Bonjour madame.
Madame Tomoé – bonjour, venez assayez-vous.

Sans que je ne comprenne la tournure des événement qui défilent devant mes yeux, je prend place sur une chaise, à la gauche de ma jolie blonde.

Monsieur T – alors qui est mademoiselle Kaio ?
Moi – euh … C’est moi monsieur.
Monsieur T – bonjour à toi, alors je supose que tu te demande se que tu fait ici !
Moi – oui !

L’homme me passe un calpin avec une feuille dessus. J’observe cette dernière et remarque que c’est un contrat … Un contrat ? Mais bien que je connaisse parfaitement cet édition, je n’aie jamais envoyer mon roman, du moins je n’ose pas l’envoyer de peur que cela ne soit pas à la hauteur de leur attentes. Je regarde Haruka qui me souriait tendrement. Ce pourrait t-il que …

Monsieur T – en fait ton ami nous a contacté il y a quelques semaines et nous a fait comprendre que tu aimer écrire, et que tu avait par la même occasion terminé ton roman …
Madame T – elle nous la envoyée par mail … Et sa nous a beaucoup plus. Donc si tu es d’accord, nous pouvons le publier. Et je serait ton agent.


Je … Je n’arrive pas à y croire. Je retiens mes larmes qui son prête à couler, je suis tellement heureuse, un bonheur immense m’enivre, et je regarde Haruka le sourire aux lèvres.


Moi – euh … Je ne sais pas quoi dire, sa fait longtemps que je rêve du jour ou je pourrais me faire connaître dans ce domaine, mais je suis encore lycéenne.
Monsieur T – oui nous le savons, et comme tout a déjà était réglé, nous avons réfléchit ma femme et moi afin de te construire un emploi du temps adapter à ton statut scolaire. Donc serait tu d’accord pour faire de ton roman une première parution ?
Moi – oui.

Dans peut de temps j’allais exploser de joie, c’est elle qui a fait sa pour moi, car elle c’est que c’est ma passion. Je retiens au maximum mes larmes qui me menace, Haruka ainsi que moi signons, car il ne faut pas oublier que c’est aussi ma tutrice.

Les minutes s’écoulent et après avoir sérieusement parlé de ce futur projet, Haru et moi sortons du bâtiment.


Je me tourne, et sauta littéralement dans ses bras, laissant mes larmes de bonheur couler.

Moi – oh merci … Merci beaucoup pour ce que tu viens de faire. Si tu savais à quel point je suis heureuse !
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !

J’arrive pas à le croire, c’est pour mon anniversaire qu’elle a fait sa. C’est le plus beau cadeaux que l’ont puisse me faire.

Moi – merci infiniment mon amour … Tu est vraiment génial.

Et sans me retenir je dépose mes lèvres sur les sienne. Heureuse et décidément éperdument amoureuse.

Point de vue Haruka.

Je suis vraiment heureuse, ma surprise la rendu heureuse, et sa me faisait beaucoup de bien, de la voir ainsi. Je lui caresse la joue et répond à son baiser . Tout se que je voulais c’est la voir heureuse et épanoui.

On se décolent doucement, et je lui écarte une mèche de ses yeux.


Moi – je suis heureuse que cela te plaise !
Michiru – merci beaucoup Haruka, tu viens de me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà !
Moi – contente de l’apprendre … Aller ont continue ?
Michiru – oui.

J’allonge mon bras droit sur ses épaule, alors que son bras gauche se pose sur mon dos. Nous continuons notre chemin, ignorant le regard des autres. Sa tête se pose sur mon épaule, et ses doigts se mirent à caresser ma hanche. On arrivent devant un magasin de vêtements féminin, Michi se tourne vers moi et me demande :

Michiru – dis Haru, on peut y aller ?
Moi – bien sur mon ange, aller je te suis.


Ses lèvres se pose sur ma joue, elle me sourit, et je la suivit à l’intérieur du petit commerce. Je la voie se diriger vers les robes, se qui me fait sourire. Alors qu’elle me fait signe qu’elle allait dans une cabine d’essayage. Je lui fit un clin d’oeil et me dirige vers un petit stand de bijou et fantaisie féminin. Je regarde et aperçut une paire de boucle d’oreille argenter en forme de goûte de pluie, accompagné de petits diamants plus brillant les uns que les autre. Je sourit et vint prendre le bijou en main.

Je sent soudain mon téléphone vibrer, je prend se dernier en main, et le déverrouille et consulte ma messagerie. C’est un message de Michi qui me demande de venir la voir. Je souris, range mon cellulaire dans la poche de mon pantalon noir, et me dirige vers le font, la ou se trouve les cabines.


Moi – je suis la Michi.

Je voie le rideau se tirer vers la gauche, et fut ébloui de la voir aussi jolie. La robe qu’elle portée est de couleur noire, il y avait un petit cœur ou l’ont pouvais voir sa peau, relié par une large ficelle noire au cou. Le contour du cœur est de couleur argenter.

Elle est tellement belle, elle fait plus femme dans cette robe et cela me fait encore plus chavirer.


Moi – tu est vraiment très belle dans cette robe Michi !
Michiru – c’est vrai ? Merci … C’est gentil. Donc allait je la prend.

Elle me sourit, et tire le rideau pour se couvrir afin de se changer. Je ne sais vraiment plus quoi dire … Tant de chose se sont passé depuis notre rencontre, et je voulais à tout prit la garder prêt de moi et pouvoir la chérir tendrement chaque jours.

Quelques petites minutes après, ma douce revint vers moi avec la robe noire, je lui prit, et vint saisir sa main.


Michiru – attend, j’ai vue des chaussures qui vont avec la robe !

Je sourit et la suivit à travers le magasin. Arriver prêt de ses fameuse chaussures, je jette un œil à ses dernière et effectivement elles étaient assortie à la robe, ouverte sur le dessus un fin talon et le contour de l’ouverture en argent.

Moi – quel pointure fais tu ?
Michiru – du 38.

Je me baisse, et chercha la taille 38. J’en trouve une, je vint doucement prendre le carton en faisant attention de ne pas faire tomber les autres. Je me tourne vers Michi, et ouvre le carton, prend une des paire, et vint lui prendre doucement le pied droit. Je lui retire sa ballerine, et lui passa la chaussure noire au pied. Je lève mes yeux vers elle et lui sourit tendrement.

Moi – comment tu te sent ?
Michiru – ça va oui, je ne suis pas sérré dedant !
Moi – dans ce cas.

Je remet la chaussure dans le carton, lui remis la balerine, me lève, prit sa main, et je nous dirige vers la caisse.

Moi – tu m’attend dehors ?
Michiru – mais Haru … Tu, tu en as déjà asse …
Moi – chuut … C’est ton anniversaire non ? Alors laisse moi te faire plaisir ma chérie d’accord ?
Michiru – tu est trop … C’est d’accord, je t’attend dehors.

Je lui tapote le nez, lui pose un délicat baiser, et la laissa filer. Je l’observe pendant quelques minutes, heureuse qu’elle soit devenue mienne qu’elle soit devenue … Ma petite femme à moi.

Quand ce fut mon tour, je passe les articles, et vint payer ce qu’il falait. Puis enfin je sorti avec une poche et les boucles d’oreilles que je garde en main. Arrivé à l’extérieur, je la vit en train de regarder le ciel. Je sourit, et me dirige vers elle.


Moi – c’est bon, je suis là !
Michiru – merci, tu est vraiment gentil, jusque là personne n’en avait fait autant pour moi !
Moi – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que je fait tout sa car …

Je vint la prendre dans mes bras, et dit en caressant sa joue :

Moi – pour toi rien n’est trop beau !
Michiru – je t’aime tu sais … Je t’aime de tout mon cœur.
Moi – moi aussi Michi je t’aime et te désir plus que tout.

Je la regarde dans les yeux et déposa mes lèvres sur les siennes, lui offrant un doux baiser. Ses mains se posent sur mes épaules, et les miennes reste sur ses joues. Mon cœur bat tellement fort … Je suis si heureuse.

Nos lèvres se détachent, et je la dévisage avec tendresse. Je prend les petite boucles, retire le plastique, enlève les attaches et vint doucement lui mettre les boucles. Je met les fermoirs pour ne pas qu’elle les perde. Je lui caresse la joue, et vint la prendre par les épaules. Sa main se place sur ma hanche gauche, et sa tête se pose sur mon épaule.


Michiru – merci …
Moi – ce n’aie rien, sa ma fait plaisir.

On se sourit, et nous continuâmes de marcher dans la rue marchande. Après quelques heures de promenade, nous étions enfin rentrée à la maison. Je me trouver face à ma douce, mes mains dans son dos, et mon front contre le sien. Ses bras s’allongent sur mes épaules et son nez se met à caresser le mien.

Michiru – merci pour cette journée, elle a était magnifique passé à tes côtés.
Moi – mais ce n’est pas fini.
Michiru – alors, si ce n’est pas fini … Haru fait moi goûtter au bonheur !
Moi – tes désirs son des ordre mon amour.

Et d’une manière très amoureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse et mon amour. Je laisse mes mains la serrer contre moi, mes doigts caressant le tissu qui couvrait sa peau si douce. Ses mains attrape le haut de ma chemise, et elle me tire vers elle. Ma jambe gauche se met entre ses jambes, mon corps est préssé contre le sien, et mes mains montent afin de se poser sur ses joues.

Je me sent tellement bien, ce que je ressent est indescriptible, tout mes sens s’affolent, et mon cœur bat de plus en plus vite. Nos langue se trouvent, et se chamaillent tendrement entre elles, je pouvais rester des heures à savourer ce bonheur qui m’est à présent offert. Et je ne suis pas prête à le laisser filer. Nos lèvres se détachent doucement, nos front se caresse, et je vint lui caresser la joue, plongeant mes yeux dans les siens.

Michiru – je n’aurais jamais crue … Que la vie puisse m’offrir ce cadeau, je remercie de tout mon cœur le ciel de m’avoir offert ce bonheur qui m’enivre de plus en plus …

Sa main se met à caresser ma joue, et je continue de l’admirer avec avec douceur un petit sourire au coin des lèvres.

Michiru – malgré mon jeune âge, je ne veux pas faire se que font les filles de mon âge, à se dévêtir pour les plaisirs d’autrui, à ruiner ma santé avec des subtance chimique, parce ce que ce que je désir plus que tout je le tiens dans mes bras, j’ai 18 ans et bien que je pense sérieusement à mes études, j’aimerais de tout mon être construir un futur avec la femme que j’aime et désir plus que tout, je veux pouvoir me réveiller chaque matins dans ses bras, pouvoir partager ma vie mes secrets et rêves avec elle, pouvoir … Me voir vieillir à ses côté, et lui porter tout l’amour que je ressent pour elle. Car là … Maintenant je c’est qu’elle est la femme de ma vie.

Je sourit, l’envie de pleurer de joie me tiens, mon cœur bat tellement fort, je ne contrôle plus les pulsassions de ce dernier, je me sent mourir, ses paroles résonne dans ma tête, et s’enferme à l’intérieur de mon cœur, je lui caresse la joue, et la dévisage avec douceur, je ne voyais rien mais je savait que mes yeux brillait de bonheur, je lui sourit et elle aussi.

Je vint la prendre dans mes bras, et tout en la regardant avec tendresse, monta les escaliers et me dirige vers ma chambre … Enfin je veux dire notre chambre. Arrivé dans cette dernière je ferme la porte, et vint l’allonger sur le lit, me mettant doucement au dessus d’elle. Je plaque tendrement mes mains sur ses oreilles et caresse ses tempes, ses mains caressent mes joues, et mon front caresse le sien.

Moi – alors … Construisons notre futur toute les deux maintenant … Afin de se crée de merveilleux souvenirs mon trésor … Je ne souhaite que pouvoir vivre et t’aimer sincèrement tout au long de notre vie.

Elle ma sourit, et dans un accord harmonieux nos lèvres se scellèrent amoureusement. Partageant avec délice et tendresse notre petit bout de bonheur qui grandissait à chaque instant passer ensemble. Je laisse mes mains prendre soin de son corps, lui offrant diverses caresse plus douce les unes que les autres.

Nos langues, après un petit moment de recherche finissent par se trouver, et une bataille tendre et câline commencent entre ses dernières. Je sent ses mains m’approcher encore plus d’elle, cela me fit sourire laissant mes mains se livrer à son dos, je remonte doucement afin d’être à sa hauteur et continue de l’embrasser avec toute ma passion et ma tendresse.


Je sent un léger courant d’aire sur ma poitrine, et je sent ses mains retirer ma chemise. Laissant mes mains dénuder doucement son corps. Ma chemise ainsi que sa robe se retrouvent sur le sol, et nos lèvres continuent de se goûter avec amour se découvrant un peut plus chaque seconde.

Au bout de quelques minutes entre nos câlins et baisers enflammés nous étions à présent sous la couette, nue et toujours enlacé l’une contre l’autre. Je me trouvais toujours au dessus d’elle, et jouer tendrement avec ses lèvres qui s’amuser à me mordre, se qui me faisait bien rire. Nos yeux se rencontrent et se caressent tendrement, laissant doucement mes lèvres embrasser son nez.


Moi – si tu savais, à quel point je me sent bien avec toi, je n’est pas de mots assez fort pour te dire ce que je ressent, mais se que je peux te dire c’est que tu est la femme de ma vie, que tu est celle qui enflame mon cœur … Que tu es celle avec qui je veux partager ma vie.
Michiru – moi aussi … Ma si jolie blonde, je t’aime d’un amour sincère et véritable.
Moi – moi aussi mon ange, l’amour que j’éprouve à ton égard est sincère.

On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un tendre baiser. Ainsi enlacé tendrement dans les bras de l’être aimé nous nous échangions avec amour notre bonheur et quoi de plus doux que de faire passer ce bonheur dans un doux et long baiser suivit d’une longue étreinte amoureuse. Ah … Décidément je suis véritablement [i]la plus heureuse et amoureuse.

Quelques heures plus tard. Après ce moment très agréable passé avec elle, je me trouvait dans la cuisine en train de préparer à manger. Pour ce soir j’ai prévue de faire son plat préféré qui est du riz avec des quenelles. Logeant au quatrième étages donc au dernier, je possède un balcon bien étrange pour un appartement me diriez-vous. Mais tout de même agréable quand j’avais besoin de me vider l’esprit. Je prit les couverts nécessaires, et pendant que le riz cuisez et les quenelles réchauffer, j’allais dresser la table dehors, quoi de beau pour un anniversaire que de le terminer par un dîner en tête à tête. Michi devait sûrement se trouver dans la salle de bain en train de prendre sa douche. J’espère qu’elle verra le petit mot que je lui est laisser sur le lit là ou j’avais prit soin de mettre la robe noire que je lui avait offert il y a quelques heures plus tôt. [/i]

Ah … Si un jour ont m’aurait dit que je serait au petit soin de quelqu’un je ne l’aurais jamais crue.

Point de vue Michiru.

Ah … Sa fait du bien une bonne douche. Je vint rapidement m’enrouler dans une serviette sentant le froid me gagner. Je commence à me sécher de toute part, je met le bout de la serviette entre ma poitrine pour que la serviette puisse tenir. Je prend le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement.

Je regarde mon reflet dans le miroir, et aperçoit un sourire … Un sourire heureux, tout se qui c’est passé aujourd’hui j’ai encore du mal à y croire, surtout au sujet de l’édition, quand je pense que j’allais me faire connaître pour de vrai. Je suis tellement heureuse, et ma relation avec ma jolie blonde me rend encore plus heureuse de savoir que nous désirons la même chose, construire et fonder notre vie ensemble, cette journée avec elle ma permis une bonne fois pour toute de mettre mes sentiments dans l’ordre, car à présent, je sais que je veux terminer ma vie à ses côtés, et sa quelque soit le prix à payer.

Quand j’eu terminé, je sort de la salle de bain et me dirige vers notre petit nid d’amour, et m’enferme à l’intérieur. Je remarque la robe noire sur le lit, il y avait un petit mot dessus, je m’approche et prend ce dernier en main et le lue silencieusement.


« s’il te plait met cette robe ma chérie »

je sourit tendrement, je pose le mot sur la petite table de chevet, et alla chercher ma lingerie dans l’armoire. Sa fait bizarre tout de même de se retrouver dans ce genre de situation, un vrai petit couple sommes nous, car en y repensant, on partage tous, nos rire on mangent ensemble on fait des chose ensemble que se soit en public ou en toute intimité, bien que j’avais une préférence pour nos petit moments intime, tel que tout à l’heure, je n’aurais jamais crue pouvoir dépasser ma peur depuis que père m’est fait des attouchements. Mais sa prouver que je grandissait et que j’avais vraiment l’ambition de ne pas laisser cette perle rare s’échaper.

Quand je fut totalement habiller et maquillé, je me dirige vers le miroir, et me regarde longuement. J’avais du mal à me reconnaître. J’avait enfiler la robe qu’elle ma offerte, des collants noir couvrait mes jambes, les boucles aussi je les aie mise, j’avais laisser mes cheveux détacher, les tirant juste vers le côté gauche, et une rose noir trônait dans ma chevelure. Comme maquillage j’avais choisi simple, du laïner noir et d’un rouge à lèvres rouge. Et m’étais légèrement parfumer avec une eau de parfum portant le nom de « Intime » de Arno Sorel.

Je me demande tout de même pourquoi Haru ma demander de porter la robe. Avant de descendre, j’enfile les chaussures noir qui se marie avec ma robe, et le cœur battant à la chamade je sort de la pièce. Je remarque que tout est éteins, il y a juste de la lumière provenant du balcon, donc doucement je descend les marche.

Hm, sa sent délicieusement bon, je me rend au balcon, et mon cœur se serra en voyant la scène qui s’offrait à moi. Un … Un dîner en tête à tête, au milieu du balcon est dresser une petite table ronde couverte par une soyeuse nappe blanche, sur cette dernière se tient les couverts, il y a deux cloches argentés sur les assiettes gardant les aliments chaud, et au milieu de la table se trouvé un bougeoir avec trois bougies. C’est vraiment magnifique, en plus avec un ciel noir parsemé d’étoiles c’est encore plus magique.


Moi – c’est vraiment magnifique. Dis-je en m’avançant

je voie Haruka se tourner, et elle eu un doux sourire accroché aux lèvres en me voyant. Je m’approche d’elle, et vint caresser ses yeux avec les miens.

Haruka – c’est toi qui est magnifique ce soir mon trésor.
Moi – merci et … Tu est aussi vraiment très belle ce soir Haruka !

Mon cœur battait à mille à l’heures, et je n’arriver pas à contrôler mes pulsions. Sa main c’est posée sur ma joue et ses doigts crée une douce sensation de légèreter. Je m’approche, et pose mes mains sur sa poitrine, plongeant mes yeux azur de le sien, lui souriant avec tendresse.

Haruka – cette robe te va à ravir, et ce maquillage te rend tellement belle.

Je sourit, je m’approche et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Ses mains vinrent me serrer contre elle, allant caresser mon dos, une légère brise se fait sentir, et mes cheveux virevolte donnant à cette instant, un aspect romantique et magique. Nos lèvres se détachent doucement, et sa main monte à ma joue gauche et ce met à la caresser. Je porte ma main droite à son visage et lui écarte quelques mèches blonde de ses yeux descendant mes doigts en une caresse vers sa joue.

Haruka – et si … On allaient manger ?
Moi – d’accord.

Je te pose un petit baiser sur le nez, et alla prendre place sur l’une des chaises face à toi. Mes yeux te fixaient intensément depuis tout à l’heure, n’en revenant toujours pas de se que tu as fait pour moi tout au long de cette journée.

En prenant ma main droite dans la sienne, Haru à soulevé nos cloches, et un tendre sourire apparue sur mes lèvres, elle avait donc déjà tout prévue, cela me remplissait de joie et de bonheur. Je lève mes yeux et lui dis avec un doux sourire :


Moi – tu y a pensé … Merci, merci ma chérie.
Haruka – bien sûr, après tout c’est un jour important.

Je t’aime … Je n’arrête pas de sourire tant le bonheur frappe mon cœur. Je nous serre de l’eau, et tout en la regardant je me suis dit « tu as vraiment de la chance de l’avoir à tes côtés. »

Haruka – bonne appétit mon ange.
Moi – à toi aussi … Ma jolie blonde !

On c’est sourit, et nous avons commencés à manger. Hm que c’est bon, en plus d’être la femme parfaite à mes yeux, c’est un vrai cordon bleu. J’enlace mes doigts avec les siens, et la dévisage avec le sourire, tout sa … J’avais l’impression de vivre un véritable compte de fée comme Cendrillon.

Moi – si un jour on m’aurais dit que je serait heureuse … Je ne l’aurais jamais crue, merci beaucoup pour tout se que tu as fait, c’est … C’est vraiment beaucoup et sa représente tant pour moi.
Haruka – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que j’ai fait tout sa.

Je lui sourit, prête à verser mes larmes qui depuis le début de la soirée me menace de couler. Puis quand ont eu fini, Haru c’est levé et sous mon regard doux et surpris elle c’est dirigé vers moi.

Se mettant derrière moi, je lève mes yeux et lui sourit tendrement. Je voie sa main piocher dans unes de ses poches de pantalon, et elle sortie une petite boîte marron, qu’elle me mit devant les yeux. Je me demande bien se que sa peut être, mon cœur bat tellement vite.

Doucement elle a ouvert la petite boîte, et mon cœur se mit à tanguer fortement dans ma poitrine. A l’intérieur de l’étui se trouvé un petit cœur en argent, sur ce dernier, il y avait des lettres qui formé le mot « Je t’aime » je touche doucement le bijou, me demandant ce que cela pouvais être.

Haruka enlève le bijou de la boîte et je remarque que c’est une petite chaîne argenté, elle est magnifique, vraiment je ne sais quoi dire. Ma jolie blonde me le passe au tour du cou, et sa voix résonne au creux de mon oreille.

Haruka – joyeux anniversaire mon trésor.

J’ai levé mes yeux, et heureuse, j’ai déposé mes lèvres sur les siennes. Lui offrant un long et doux baiser. Caressant sa cheveulure, mêlant tendrement mes doigts à l’intérieur. Ses bras à elle entourés mon cou, et ses mains caresser ce dernier.

Jusqu’à présent personne n’avait fait sa pour moi, jamais on m’avait t’émoigner autant de tendresse et d’amour. Et cela me rendait éperdument heureuse.

Doucement ont se détachent, mais nos yeux continuent de se caresser, chacune habitant un sourire heureux.


Moi – il est magnifique … Merci mon amour.
Haruka – chuut … Pour toi, rien est trop beau !

Elle est vraiment adorable, puis doucement, elle ma prit la main et me conduit jusqu’à sa chaise. Elle prit place sur cette dernière, et me prit dans ses bras. Je me retrouve assise sur ses jambes, mes bras s’allongent sur ses épaules, et les siens s’avanturent dans mon dos. Un vent léger souffle et fait virevolté nos cheveux, elle est tellement belle, j’emène ma main gauche à sa joue et la caresse.

Moi – cette journée … Je ne l’oublierais jamais, merci Haruka !
Haruka – tu sais … Il est évident que pour toi, je serait prête à tout pour te rendre heureuse et te voir sourire tu … Tu compte tellement à mes yeux Michi.
Moi – toi aussi … Tu compte beaucoup pour moi, et pour rien au monde je ne t’échangerais pour voir de simple sourire de satisfaction.

Elle ma sourit et ma doucement embrassé. Je répond délicatement à sa douceur, posant mes mains sur ses joues et caressant sa peau avec mes pouce. Sans que je m’en rende compte Haru me mit des écouteurs aux oreilles, suivit d’un petit mp3, nos lèvres jouaient toujours ensemble, et une voix … Sa voix résonne dans la petite machine.

« Michi, je te souhaite un très joyeux anniversaire. Voila maintenant un mois que je vis un véritable bonheur à tes côtés, depuis que mes yeux ont croisé les tiens, je me suis demandé ce qui se passer pour que je soit autant subjugé. Le simple fait qu’en même pas un mois tu est devenu importante à mes yeux, je vais être honnete, mais je n’aie jamais pue connaître le véritable amour … Avant de tomber sur toi, se que je souhaite plus que tout ma chérie et qu’un jour tu devienne ma femme, quand j’ai appris ce qui tes arrivé, j’ai tout fait pour le cacher, mais voilà je t’aime et suis profondément amoureuse de toi. L’autre jour, tu m’as posé une question, tu m’as posé se dont je rêvé, et bien maintenant je peux te répondre, se que je rêve c’est de construir un futur avec toi, pouvoir un jour fonder notre propre famille ainsi que de te voir en robe blanche. Il n’y a que toi qui me rende ainsi, il n’y a que toi avec qui je veux terminer ma vie. Mon trésor, je t’aime je t’aime et je t’aime, tu est la femme de ma vie, et je ne veux pas te perdre. Je te souhaite un très bon anniversaire et te fait mille gros baisers, je t’aime ma chérie, ne l’oublie jamais. »

Alors que mes yeux la dévisagent, des larmes roule le long de mes joues, je … Je suis si heureuse, je pose le mp3 sur la table, et la regarde en pleurant de joie, mon cœur battait tellement vite, je ferme mes yeux et respire profondément, mordant ma lèvres inférieur et lâchant un petit rire.

Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !

Je lui prend les mains, tourne ma tête vers la droite et mes yeux encore embués de larmes fixent les étoiles.

Moi – moi aussi … Ce que je souhaite plus que tout et de construir un futur à tes côtés, je rêve chaque jour de ma vie avec toi, je n’aie jamais ressentie de tel émotions avant de te connaître, mais je t’aime d’un amour sincère et profond, je souhaite de tout mon cœur pouvoir un jour devenir ta femme et porter ton nom, je souhaite plus que tout te rendre heureuse, et te chérir tendrement chaque jours de notre vie …

je tourne ma tête, et la regarde les larmes aux yeux, elle me sourit, effaçant de sa main douce mes larmes.

Haruka – alors … Je souhaite plus que tout pouvoir unir mon cœur au tien mon trésor. Je t’aime tu sais.
Moi – moi aussi Haru je t’aime … Je t’aime bien plus qu’il ne le faut !

On c’est sourit, et nos lèvres se sont unies. Je me sentit soulever, mais je ne fait rien pour me débattre, juste à continuer de l’embrasser avec tendresse. J’entends une porte se fermer, et me sentit allonger. Nous étions dans notre chambre, et je sentait son souffle chaud sur ma peau, elle se trouvée au dessus de moi, et malgré la pénombre je pouvais voir ses magnifique yeux pétiller.

Haruka – ma chérie … Pour ce jour si exceptionnelle, me laisserais tu te faire goûter au bonheur ?
Moi – oui … Je suis toute à toi ma jolie blonde.

Elle me sourit, et nos lèvres se scellèrent amoureusement. Je vint doucement la dévêtir, laissant tomber sa chemise sur le sol, je laisse mes main parcourir son corps, sa peau qui est douce et chaude à la fois.

Je me retrouver à présent nue sous les draps mon corps frissonnant de plaisir. Pour la première fois, je me sentait bien, et je n’avais pas peur. Je dirige mes lèvres vers son cou et lui embrasse longuement. Ses mains parcourent mon être, et ses lèvres se perdent dans mon cou. Jusqu’à ma poitrine, le désir prenait de plus en plus d’ampleur, et j’avais irrésistiblement envie d’elle.


Moi – oh Haru … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon ange !

Elle a caresser ma joue, et ses lèvres ont repris les miennes en otage. Cette nuit pour la première fois fut la plus magique de toutes, pour la première fois depuis 18 ans je me laisser envahir par le plaisir que l’ont ressent à deux. Cette nuit, elle ma rendu heureuse, cette nuit elle a prit définitivement prit possession de mon cœur. Cette nuit ou Haruka me fit tendrement l’amour. Cette nuit ou je suis réellement tombé encore plus amoureuse.

Et voila la fin de ce chapitre ^^ à la prochaine :)
Dim 20 Oct 2013, 13:50 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Saint valentin sans teint

Combien de Saint Valentin se blessent
Et se meurent aux petits matins meurtris
D’acteurs fatigués d’avoir menti de cesse
A des milliers de roses qui n’ont jamais fleuries.

Combien dites le moi de mots d’amours se noient
Dans le champagne tiède et les bulles saumâtres
Qui humectent ces lèvres sèches de tant de fois
Où elles n’ont rencontré qu’une routine grisâtre.

Combien de ces soupirs doucement déposés
Sur le coin de sourires qu’on verse sans y penser
Dans les yeux d’une silhouette dessinée à la craie
Que le temps comme par jeu ne veut pas effacer

Jime
Jeu 14 Fév 2013, 18:42 par Jime sur L'amour en vrac

La colombe ou la liberté, en destinée

L’amour en vrac? c’est le mot clé de ce texte, l’amour, notre amour est en vrac.
On vit dans un monde de putes, je suis bien d’accord avec ce concept.
Et car on vit dans un monde de putes, l’argent régit le cœur de plus vils d’entre nous.
Pauvre riche, l’argent nous a séparé.
c’est ce qui m’a fait pleurer.
je n’ai pas pleuré de te perdre ou de déception, ça j’en ai l’habitude et je ne pleure plus pour personne car je me suis fortifiée.
Ce fut une obligation dans mon cursus, et mon parcours me l’a permis.
J’ai donc un cœur tendre, sensible, ouvert, tout le temps amoureux, mais désormais bien accroché.
J’ai été programmée pour aimer, programmée pour ne plus sombrer.
Je ne ferais aucune polémique ni aucun débat sur le sujet, ni sur nous deux.
Si je t’écris ce soir je ne sais pas vraiment pourquoi ni ce que j’en attends, ou si je sais, juste me soulager de ces douleurs qui nous ont gagnées.
des malentendus, des discordes, tout ce qui tue l’amour.
Tout ce qui a tué mes sentiments.
Maintenant la haine a remplacé mon amour pour toi, et ce n’est plus de l’amour mais du mépris, de la colère, de la rancune aussi.
Me venger n’est pas au programme, mais tu vas payer, ça je sais que tu vas le regretter, tandis que je n’aurais aucun regret.
Un jour tu te diras "ah oui elle avait raison, je réagis trop tard et ne comprends que maintenant, et je regrette: elle me manque etc."
et tu ne seras pas le premier, car dans le genre talent précurseur, j’ai le premier prix et j’ai de l’avance sur toi.
je sais avant toi, ce qui advient, sans ne savoir l’avenir pour autant.
quand je te lis, je n’y comprends rien, ton style est dépareillé, tes mots sont dé-variés, ton cœur avarié...
tu parles d’amour comme on parle du malheur et ça me donne la nausée avant même d’avoir goûté au plat...
tu pourras me rendre tout l’argent que tu me dois ça n’achètera jamais l’effacement de ma peine.
de la peine oui que du matériel nous sépare mais pas étonnant quand je vois que tu me prends pour ton objet.
moi je n’ai qu’un objet c’est les droits de l’homme, les droits de la femme, le droit des enfants, le droit des victimes, et le droit des malades à la dignité.
je me rassemble à quelques bénévoles pour venir en aide à des pauvres gens que cette société a voulu réduire à néant et au silence des plus humiliants.
Humiliation oui, quand au silence se réduit la peur, et quant à la peur se substitue l’angoisse aux tripes.
Trop de salopes courent les rues, font les trottoirs à la recherche du malheur perdu.
Stérile est ce désir suspendu au fil des désillusions.
Puérile est le caprice de l’enfant sous couvert de souffrance donne l’illusion à l’adulte devenu grand qu’il existe.
Je déteste ce que tu fais de moi: je t’insulte à tout va, je t’en veux ou pas, plus ou moins, peu importe il est trop tard pour discuter.
Raccrocher au mieux, parler à un répondeur, pour se déverser des ses non-dits.
Quelle arme brise l’indifférence?
à l’indifférence répondre par l’indifférence et surtout ne jamais verser une larme.
si je pleure ce sera pour la juste cause, pour la noble cause, pour ce monde pourri, qui donne le dégoût, même les rats n’aiment plus cette vie.
avant on parlait d’avenir, pour cette terre, ce jour on ne parle plus que de la sauver...
notre planète, ô terre-mère, pardonne les humains de leur débilité.
pardonne l’humanité d’être aussi stupide que la stupidité.
pardonne nous d’être si petits, si fragiles, si insolents et pour les pires si ingrats.
pardonne nous, car nous sommes foutus.
nous ne sommes plus de ce monde, nous errons, nous traversons notre temps, nous tuons le temps, nous bouffons la vie, nous sombrons...lentement dans ce noir...
dans cette guerre qui nous assaillit, dans la haine, non dans l’erreur mais dans la faute.
la faute de ne plus être solidaires, la faute aux égoïstes, à l’égocentrisme, qui laisse l’autre crever pour ne pas l’aider.
volontairement, certains nuisent à autrui, juste par méchanceté gratuite, et ça, c’est encore pire que la malhonnêteté.
C’est lâche et sournois.
voilà tout ce que tu m’inspires, du noir, et du noir, et encore du noir.
un peu de rouge mais juste pour le sang.
la sang du christ, le sang de ces enfants assassinés au nom d’une religion, le sang dans ton assiette, quand ta viande est saignante...
le sang, voilà ta seule couleur.

Les larmes elles n’ont pas de couleur, elles sont transparentes.
Elles sont translucides, on y voit à travers.
On y voit quoi, du cinéma ou ce qu’on a dans les veines.
Pleure un bon coup, une bonne fois pour toutes, une bonne dépression et après ça ira mieux, crois moi tu ne pleureras plus pour rien.
ah oui, pourquoi pleurais-tu déjà?
car selon toi je te devais quelque chose?
ah bon depuis quand l’amour se doit?
on peut devoir de l’argent mais devoir de l’amour, j’ai jamais vu ça.
à part dans un mariage ou à la limite dans un couple et encore, l’amour n’est pas un devoir mais un état incontrôlable et jamais acquis oui je sais tu n’aimes pas quand je dis ça mais c’est vrai.
oui je sais tu n’aimes pas la vérité.
alors tu veux que je t’en balance un peu de réalité? histoire de réveiller tes neurones qui sont fatiguées mais tiennent des nerfs?
la réalité c’est que j’étais en train de tomber amoureuse de toi, je t’ai aimé, puis après ça me passait un peu tel un coup d’amour éphémère car cela ne marchait pas.
Puis tu revenais, donc à nouveau j’espérais.
à chaque fois je t’aimais un peu plus, je te découvrais, et tu me surprenais.
tu étais comme j’attendais, tu faisais ce que je voulais, enfin à peu près car comme je viens de le souligner du début de notre rencontre à la fin il y a eu des hauts et des bas.
et ce n’est pas parce que je me suis libérée que deux mois après non, c’est car, cela n’allait pas.
tu ne faisais pas ce que je souhaitais, alors je me dispersais j’allais voir ailleurs sans vraiment aller voir ailleurs, mais comprends que mon ressenti partait dans tous les sens.
j’étais perdue et déstabilisée et tu sais pourquoi?
parce que tu n’étais pas là près de moi.
tu étais là, tu me montrais indirectement ton attention et intérêt mais pas vraiment.
tu attendais tout de moi, que je fasse tout, tu me laissais tout te donner, sans lâcher ne serait-ce qu’un aveu.
Tu ne me disais pas que tu m’aimais, tu ne me montrais pas tes sentiments et je souffrais.
tu me laissais seule, le soir, la nuit, le jour, aux repas.
tu me laissais tout faire toute seule, faisant mine de me soutenir mais me laissant bien galérer.
tu te foutais de si j’avais à manger, si j’arrivais à manger, tu te foutais de moi.
tu ne te rendais pas compte de mon mal-être avec toi, du malaise, et du manquement.
je n’étais pas heureuse, et dans la durée.
tu voulais limite que je dorme par terre, tu te moquais que je dorme dans un lit ou dans un canapé comme une pauvre fille.
tu te foutais de m’envoyer au bagne, de me rabaisser car tu te sens toi même dans l’infériorité intellectuelle et que tu peines à comprendre mes collègues et moi.
tu voulais que je supporte tes enfants alors que déjà toi je ne te supporte pas.
je t’ai dit de rester avec tes gosses, et ce n’est pas méchant, mais je ne me vois pas avec tes gosses et toi vu les conflits entre nous deux.
déjà qu’à deux on se dispute alors former une famille harmonieuse est carrément impossible.
il n’y a aucune crédibilité à notre union et pourtant si je t’écris là encore c’est bien que j’étais sincère et que je t’aimais
car pourquoi écrire autant à quelqu’un dont on se fiche?
à ce point, tous ces mots là, ils veulent bien dire quelque chose même si ce n’est pas la quantité qui signifie tout?
pourquoi autant, de choses à te dire et toujours rien à te dire.
car te dire c’est parler à un mur, et ne rien dire, c’est impossible après tout ce qui s’est passé
mes potes me disent de ne pas me prendre la tête, mais c’est dur, de ne pas se prendre la tête, avec tout ce que tu me fais subir
tu m’as martyrisé et je le maintiens encore devant témoins.
tu voudrais que j’oublie que je pardonne et te laisse une seconde chance
que je te dise que tu es prêt.
je sais que ton père t’a manqué enfant et que tu as eu des remontées de souvenirs à ce sujet quant on s’est connus mais ce n’est pas une excuse à tes mauvais gestes à mon égard
le pardon n’a pas de prix, le pardon n’a pas de prix
pour te pardonner il me faudrait des milliers de mots doux réparateurs dont tu es bien incapable
tu ne comprends même pas mon rejet
tu crois que je me suis foutue de toi, que j’ai juste voulu profiter ou du moins me moquer de toi sans rien partager de réciproque alors que c’est totalement faux et c’est pourquoi je te dis que tu te trompes
j’étais vraiment prête à m’investir et à construire
à aller jusqu’au bout des choses avec toi
j’avais envie de toi
j’étais dans mon lit allongée vulnérable à tes formes, à tes lèvres et à tes mains
j’étais sous ton emprise et je t’attendais
j’étais heureuse de t’avoir trouvé
je te pensais mature, et avenant, attentionné, sensible, gentils...
je te pensais quelqu’un de bien.
je n’attendais qu’une chose que tu me rejoignes que je te donne la clé, de chez moi, ou bien que tu me la demandes donnée par avance
je n’attendais qu’une chose, que tu viennes, que tu me prennes dans tes bras
que tu me parles, avec ton corps si ta voix avait un bug
avec tes lèvres pour me dire je t’aime
je voulais que tu viennes là me rassurer, me sentir en sécurité contre toi quand je m’endors
je voulais me mettre en boule sous nos draps et ne plus jamais te quitter
je voulais faire un monde autour de toi, telle une protection, un bonheur entretenu, je me voulais parfaite pour toi, je voulais tout faire et tout le temps pour toi
je me levais le matin j’allais travailler pour toi
je voulais gagner beaucoup d’argent et toujours plus pour que tu sois heureuse car même si l’argent ne fait pas le bonheur je voulais pas que tu te soucies pour tes enfants et les nôtres ( j’en voulais avec toi ) de l’aspect financier
je voulais que si l’on ne travaille pas pour la gloire, qu’on travaille pour être riches, et la gloire viendra avec ou inversement
je voulais te couvrir d’or, et surtout d’amour, pour ne jamais que tu pleures
j’ai sans doute voulu trop te gâter mais je ne peux m’en vouloir si tu en as fait un caprice
je voulais que tu sois fier de moi, que nos enfants soient fiers de leurs parents, de leurs métiers, car comment me sentir une bonne mère si mes enfants ne sont pas fiers de moi?
je ne voulais pas d’un père ou d’une mère ni pauvres ni malheureux
je voulais le bonheur, tout simplement apprendre à s’aimer au fil du temps un peu plus chaque jour
une vie simple, sans préjugés, sans jugements, sans jalousies, sans envies déplacées...
et au lieu de ça la vulgarité a remplacé la douceur, et le langage soutenu
on n’a plus que le mot pute à la bouche quant on a les boules
on sent la violence nous envahir et on a envie de tout casser
de prendre un objet et de le briser
et ça, c’est bien le signe de la fin d’une relation selon moi
quand on a envie de prendre un objet et de l’exploser
puis qu’on se dit pour se rassurer jamais je ne te toucherai toi.
certes jamais je ne te toucherai mais c’est pas l’envie qui m’a manqué donc je préfère tout arrêter oui
je ne suis pas de celle qui reste dans ces conditions.
tu me rends mauvaise, mais vraiment quoi et encore je me retiens et heureusement que d’une part ça ne me fait pas ça sans causalité, d’autre part je sais que je ne suis pas comme ça quand je suis amoureuse
je ne suis plus amoureuse par malheur
je ressens encore des restes
des restes néfastes
une pilule mal digérée...
je ne me sens pas en sécurité avec toi, ni dans une relation avec toi.
tu me fais peur car tu as peur et c’est contagieux la peur.
tu as peur donc j’ai peur.
( face à toi pas les autres c’est pour ça que je vais voir ailleurs enfin que j’aimerais aller voir ailleurs car je ne cherche pas non plus )
j’aurais pu choisir n’importe qui pour te faire mourir de jalousie et je ne l’ai pas fait mais la maladie s’en est chargée et t’as fait mourir de jalousie sans que j’ai besoin d’agir
je pourrais me venger sur plein de points et facilement mais ce n’est pas mes méthodes, j’ai des techniques bien plus au point; je veux juste que justice soit faite, et surtout la paix, que tu me fiches la paix
je ne sais même pas pourquoi on se sépare ni pourquoi tu t’es énervé ainsi quand c’est parti en live entre nous, en premier lieu, car depuis je suis énervée aussi dans une certaine mesure que je tempère beaucoup malgré tout, car je sais que malgré ma colère à toute épreuve et mes forces, je suis plus calme que toi
je suis une fausse calme et toi un faux nerveux
tu t’énerves là mais c’est du cinéma ça aussi comme tes larmes.
c’est pas de la colère mais de l’hystérie
et pas de l’hystérie de conversion et l’hystérie tout court.
c’est pourquoi je n’ai plus aucune compassion envers toi
tu ne souffres pas, tu n’es pas malade physiquement, tu es juste pervers et malade sans doute oui, mais pas d’une maladie qui fait souffrir
tu es bien comme ça dans ta vie, tu te relèves aussi vite que tu tombes car tu voles bien bas...
la voilà la vérité!
je deviendrais cynique si je continue trop à dire ce que je pense de toi et sans vouloir te vexer encore une fois je ne dis que ce que je pense en bien comme en mal
toi tu me crois quand je dis du mal mais pas quand je dis du bien.
c’est ça qui est fou.
non?
moi je voulais sortir avec toi, voilà faut être clair, enfin je ne disais pas non car je ne savais pas clairement si un partage était possible tu sais maintenant que ce qui compte n’est pas le désir mais le partage donc l’amour, et que l’amour sans partage n’en est pas, enfin j’espère qu’au moins tu as compris ça.
si je t’ai appris au moins une chose, j’en suis ravie.
voilà je t’ai écrit un roman qui ne changera rien à notre sort désespéré;
je voulais sortir avec toi et au dernier moment tu m’as dégagé mais tu prétends que tu avais une bonne raison ou que c’est moi qui me suis défilée ou je ne sais pas quoi
je ne t’ai jamais dit que tu étais qu’un ami pour moi, jamais, ça aussi tu l’as inventé
j’ai peut être employé ce terme une fois à ton égard car je ne pouvais pas te dire mieux que ça sur ta ligne professionnelle comme ça.
je voulais te dire mon amour en face et en tête à tête donc seule à seul.
je ne voulais pas de tous ces gens dont tu nous entourais
je ne comprenais pas pourquoi tu avais besoin de parler de moi à tout le monde alors que je suis la première et seule concernée
et tout le monde sait mieux que moi ce que tu ressens pour moi car à moi tu ne dis jamais rien
tu es ce silence qui m’exaspère, pas celui des églises, pas celui des églises...
tu ne dis rien ou que de la merde, tu ne fais rien ou que de la merde, je ne sais même plus quand tu as fait un truc bien pour moi, ça doit faire si longtemps.
j’ai mal de voir à quel point je ne te comprends pas, de a à z, et sans parler de normal, je ne trouve pas ça bien
je sais pas tu as cru que je voulais aller voir quelqu’un d’autre alors que je n’ai eu personne d’autre depuis toute cette histoire
je ne sais pas ce que tu croyais
que je pensais qu’à mon travail, mais il me faut bien travailler pour te satisfaire, voudrais tu d’une femme sans profession?
c’est ça pour mère de tes enfants que tu veux? ou tu veux que nos enfants soient fiers de moi et de mon travail?
c’est pas pour moi et t’oublier que je faisais tout ça c’était pour nous et notre avenir
pour que notre couple soit stable comme nos emplois
je ne voulais pas faire passer le travail avant ni le reste avant mais tout passait comme priorités pour moi
car si je suis mal dans mon travail comment je pourrais être bien avec toi ou dans ma vie?
c’est mon épanouissement.
je voulais travailler avec toi en couple en plus donc bon je pense justement que je sacrifiais une partie de mon travail pour toi et pour tout partager et travailler avec toi
qui a fait des efforts et sacrifices pour me rapprocher de toi
qui a renoncé à une partie presque majeure de son emploi du temps
qui s’est rendue libre et sans jamais te faire sentir que tu étais de trop dans ma vie
qui a fait une place pour toi à mes côtés
qui bordel qui?
je ne trouve plus les mots non avec toi, et je n’y capte rien et vu que tu ne t’expliques cela restera un malentendu dans ce bas monde où l’on n’a plus de facilités à détruire qu’à construire...
c’est ce qui est triste, je suis en vrac, comme notre amour, tout part en vrille, ça part en couille, mes textes donnent la gerbe car c’est la merde....
comment te dire hein que toi sans moi ça veut dire quoi?
putain pourquoi on complique toujours tout dans cette putain de vie de merde, hein pourquoi?
ce serait si simple de se boire un petit café, de se dire ce qu’on pense et de se réconcilier, même si l’on doit en venir aux faits et donc soit se mettre ensemble soit oublier cette idée.
je n’arrive plus à aimer, enfin, je n’arrive plus à t’aimer
tu dis que tu m’aimes mais tu me maltraites alors je me dis que ta vision n’est pas la mienne
que nous ne sommes pas sur la même longueur d’ondes
un jour d’ailleurs le jour où tout s’est effondré, tu m’as dit nous n’avons pas les mêmes attentes et je n’ai pas compris pourquoi
maintenant je me dis que tu pensais que je ne voulais pas de toi
et je ne sais pas pourquoi tu pensais ça
ensuite concernant la fidélité, il y a bien longtemps que je suis fidèle, et ça aussi j’ai appris à gérer une situation sans tomber dans ce panneau, dans lequel on peut facilement s’adonner quant on n’a pas eu le bon coach à un moment dans sa vie.
c’est pour ça que je suis célibataire, entre autres, car je ne me vois pas encore fidèle à quelqu’un alors que je n’ai personne forcément comment pourrais-je être fidèle célibataire?
je ne trompe personne forcément car je n’ai personne
je suis seule et par choix, j’ai quitté mon conjoint car ça n’allait plus et je n’ai aucun regret
vaut mieux être seule que mal accompagnée, je dis non merci à la banalité
je dis non merci aux mensonges
je dis non merci aux enfers, et aux cauchemars, je dis non merci à tout ça
alors je suis seule oui, seule pour être libre de m’ouvrir enfin à la bonne personne un jour ou l’autre
demain, ou un peu plus loin, devant, l’horizon n’est pas tracé, l’horizon nous attend vierge et disposé à nous combler
je suis amnésique du futur, car je ne me souviendrai que du bon, que de celui que je garderai pour toujours.
ce ne fut pas toi, dommage, j’aurais bien aimé ne pas me tromper, ne pas nous tromper, ne pas se tromper, en ce sens là oui je te l’accorde nous nous sommes bien trompés.
nous avons cru changer le monde, nous avons cru trouver en l’autre ce qu’on cherchait, et en revanche nous avons souffert...
si dieu existait, il ne laisserait pas ça se passer, ou bien alors il existe et forme le destin.
tu n’es donc peut être pas destiné.
la liberté, je la concède contre un mari,

je marie ma liberté à mon futur mari.
que j’aime par avance forcément.
comment pourrais-je ne pas l’aimer?
on ne se marie pas pour se marier, enfin pas de nos jours, et pas lorsqu’on est normalement constitué
on se marie par amour, par engagement, car on pense avoir trouvé la bonne personne, et surtout car on se sent prêt
voilà la vérité
je n’ai pas d’enfants et que dieu m’en préserve tant que l’amour ne sera pas au rendez-vous et tant que la haine avortera mes enfants.
Ven 20 Juil 2012, 23:53 par inlove sur L'amour en vrac

Magnifique et signifiant!

j’ai cherché ce texte partout car je me souviens l’avoir lu à sa parution... sans avoir eu le temps de te dire je le trouve magnifique et signifiant.
Ven 20 Juil 2012, 18:50 par inlove sur L'amour en vrac

Qui veut la peau d'agatha christie ?

Je viens une dernière fois rendre grâce à ce site pour m’avoir permis plus ou moins régulièrement toutes ces années de rêver et de créer du beau (au moins l’ai-je essayé bien humblement) tout en me régalant d’écriture et de relecture.

Dois-je citer toutes les oeuvres qui ont nourri mes textes bien que ces derniers en soient indignes ? Je risque fort de me montrer ingrate et d’en oublier parmi les plus importants : "Les confessions d’un enfant du siècle" d’Alfred de Musset, "La promesse de L’ange" de Frédéric Lenoir qui relate les amours tragiques entre un homme consacré et une guérisseuse (la structure romanesque est merveilleuse), sans oublier le "Manifeste pour une renaissance" : parmi les ouvrages de Bernard Besret qui m’ont été donnés de lire, c’est ce dernier qui m’a sans doute le plus marquée (de par sa proximité avec mon propre cheminement existentiel sans doute).

Je ne viendrai plus pour plusieurs raisons, ces écrits qui n’avaient pour but que de me récréer tout en me tenant lieu parfois d’exutoire ont été profanés un peu comme ces tombes par des personnes malveillantes et qui pour couvrir leurs frasques cherchent dans l’écriture les preuves d’une culpabilité de l’auteur qu’il savent chimériques... C’est un procédé fort astucieux que de vouloir déplacer le centre de gravité d’une affaire : mettre sous le feu des projecteurs non plus l’assassin mais le bouc émissaire. C’est courant, Combien de violeurs protestent de leur innocence en montrant du doigt leurs victimes : ces viles aguicheuses... A qui profite le crime ?! Ces honnêtes hommes (ou femmes) qui au demeurant ont parfois pignon sur rue, ne manqueraient pas, tout couverts du sang de leur dernier forfait, de pointer le même index accusateur : regardez, c’est Agatha Christie, coupable de crime avec préméditation, elle a même couché ses (nombreux) aveux par écrit. Ce faisant, ils ajoutent à leur scélératesse, la calomnie...

La seconde raison, et bien ! Il s’agissait pour moi de venir sublimer un célibat imposé par un divorce qui perdura durant dix longues années de solitude (encore un ouvrage merveilleux : cien anos de soledad de Gabriel Garcia Marquez)...

Le temps est un sérum de vérité, il renforce et grandit l’âme de ceux qui ont le coeur droit - dans l’épreuve - et montre la vraie nature de qui est vil. S’il m’est arrivé de m’indigner, de pleurer voire de tempêter devant l’aveuglement des hommes et des femmes qui portent la charge de rendre la justice, je n’ai jamais trahi la rectitude qui est ma marque de fabrique et si j’ai le verbe haut, j’ai le coeur droit (certains ne se sont donnés que la peine de naître et de naître nantis cela leur tient lieu d’honneur et de probité. ceux-là ne sont pas mes cousins).

Une fois de plus, je ne peux que rendre hommage à Gisèle Halimi que j’ai eu la grâce de rencontrer et qui me confiait lors d’une interview (à l’occasion de la sortie de son livre "L’étrange Monsieur K") il est difficile de défendre un innocent. Ce dernier est de fait indéfendable, il n’a que lui, que la vérité et cette dernière ne porte pas un label spécial qui la distingue des contrefaçons. Il crie, il pleure, il gronde, il a peur et tout cela indispose. Prenez un coupable : il dispose de tout une batterie : mensonge, abus de pouvoir, manipulation, faux et usage de faux, il sourit, il affiche un calme olympien et sourit d’autant mieux qu’il sait ses mauvais procédés couronnés de succès.

Mais quelle que soit l’issue des procès et que l’on condamne ou pas Agatha ou K, mes frères, pour les crimes qu’ils n’ont pas commis, aucune erreur judiciaire ne changera la nature réelle de l’homme, celui qui est bon et droit ne peut être avili. Celui qui juge et qui se trompe peut en son âme et conscience en éprouver des regrets et peut-être un tourment secret : ne me suis-je pas trompé, mon intuition était-elle bonne, n’étais-je pas sous influence ? Quelle charge faisons-nous porter sur des épaules humaines ! Mais qu’ils se rassurent, l’homme coupable porte en lui le germe de sa condamnation et lui se connaît intimement, il n’est pas dupe de sa noirceur. Son propre jugement n’en sera que plus éclatant.

Il ne me reste plus qu’à tirer ma révérence d’un hommage appuyé à l’administrateur du site, mon bien cher et respecté Petit Prince pour sa confiance et sa bienveillance durant ces longues années. Un clin d’oeil à vous chères âmes tendres que j’ai eu la joie de lire et de relire, avec qui, parfois, les fils fragiles de l’amitié épistolaire se sont tissés.

Je vous souhaite de belles et tendres heures d’écriture avec la pulsation de vos coeurs à la pointe de vos plumes.

Bien scripturalement vôtre,

Dolce Vita
Mer 20 Juin 2012, 15:13 par dolce vita sur L'amour en vrac

Lasse, je t'aimais.

Je ne voudrais faire preuve de rancune pour rien au monde mais comment oublier le mal fait, je te le demande?
Toi qui sait ô oublier est un mot, biaisé, un mot qui nous a tous baisé.
Il te suffit d’une musique pour te souvenir, il me suffit d’une chanson pour que ma mémoire opère le passé.
Tant de fois on se voulait du bien et on se faisait du mal, le monde tournait à l’envers.
L’univers entier s’inversait sous nos pieds.
Je ne veux pas et je n’ai jamais voulu être celle qui dresse la liste des reproches et des remontrances.
Je n’ai jamais voulu souffrir ni nuire à autrui.
La seule nourriture affective je la voulais pure et diététique, je la voulais esthétique mais non chimique.
Bref, je n’ai pas les dons pour faire un roman, mais la poésie l’emporterait tout de même sur les paroles si je me dois de te répondre et de t’écrire.

Je ne peux plus être brève.
Trop de choses sont dans la longueur et le quantitatif et en oublient le qualitatif.
Trop peu de lumière: les gens vivent pour la durée et non l’intensité.
Trop de matériel dans les regards.
Si peu d’arbres.
Le béton a remplacé le vert de nos prairies.
Les amoureux ne savent plus ce que c’est qu’être deux.
On vit une époque d’enfer.
Alors on cherche le bonheur.
Et lorsqu’on le trouve, on a la foi.
La foi en l’amour et en la magie du destin.
En la destinée.
Je pourrais te parler, et bercer tout ton monde, mais devrais-je te parler d’amour?
Doit-on parler d’amour?
Je ne peux rien effacer du passé.
Tu as fait, et tu fais, qu’y puis-je?
Je ne sais plus qui est qui, qui est quoi, qui fait qui, qui fait quoi,
je ne sais même plus pourquoi.
Je sais juste que tu m’as planté à maintes reprises à coup de couteau dans le dos, et que j’ai mis du temps à m’en remettre.
Je sais juste que tu étais là à me laisser agoniser pour morte ensanglantée sur le sol.
La bouche ouverte dégoulinant le sang comme le Christ.
Ce monde est crucifié, je n’y peux rien.
On a les médicaments mais on laisse crever les gens.
Tout ça pour que des requins portent des dents en or à se les casser sur le corail.
Je ne suis plus de ce monde.
Je ne pleure plus, seules les larmes qui lavent ou qui montent aux yeux me révoltent.
Je ne suis plus peinée mais touchée comme je l’ai toujours été.
Je ne suis plus peinée car j’ai appris que la peine nourrissait les requins.
J’ai appris que le malheur des uns faisait le bonheur de certains.
Je ne veux pas manger de ce pain.
Je ne souhaite de mal à personne, ni à toi, ni à quiconque.
Je ne sais pas qui tu es, je ne sais pas qui vous êtes, je suis là seule derrière mon écran en aveugle, mais je n’oublie jamais qui je suis.
Je ne perds jamais de vue que je suis dans un aquarium virtuel ici où certains s’y sont noyés même.
Je ne perds jamais de vue le brouillard de ce port avec ses bateaux et ses fameux poissons.
Je ne perds jamais de vue la mer.
Quoi te dire, j’en ai tellement bavé que j’ai puisé la force dans l’indifférence.
Leur morale, ils peuvent se la garder, j’en ai trop vu, et j’en sais trop pour me taire.
Si en Afrique ils meurent faute d’un doliprane, ici on meurt faute de soutien.
C’est à peu de choses près la même chose: on laisse crever les gens.
Pas mourir, crever.
Pour faire un test, criez au suicide vous verrez, nul ne vous répondra.
Ce ferait écho, vallée, ce ferait au mieux augmenter l’audience.
Et à qui reviendra les bénéfices? à personne qui me lit sans doute.
Ici, en Occident, on préfère ( on exclusif non inclusif ) vendre un poison qui rapporte que commercialiser et rendre accessible l’antidote.
Ce n’est pas l’amour qui tue mais l’usage qu’on en fait.
Je ne regrette pas de t’avoir aimé.
Je déplore l’usage que tu en as fait.
Mais je ne t’en veux plus.
Qui que tu sois.
Je suis fatiguée du succès mal placé, ça ne vient plus me flatter.
Tu ne sais plus ce que je vis.
Je ne parle pas de ce qui me tient le plus à coeur en ce moment là par exemple.
Mes rêves ils sont simples et basiques.
Marre des papillons sur les fleurs, marre de tes problèmes sans solutions.
Quant à l’amitié, je ne pense pas que le mot soit assez adapté au contexte car je sais encore qui sont mes amis.
A trop vouloir forcer, les portes restent fermées.
Il y a une délicatesse à ouvrir une porte.
Si on vole la clé, faut pas s’étonner que la serrure soit changée.
J’en ai simplement marre, même si je voudrais bien te consoler, marre d’être la sauveuse tant attendue que je ne suis pas.
Je ne peux pas t’aider si tu ne t’aides pas toi même.
Lasse, je suis lasse.
Sèche tes larmes, ça n’en vaut pas la peine.
Cherche dans ton présent ou futur comment tu peux inverser la tendance, et changer,
car moi je ne peux plus rien changer.
Je suis bien, du moins je fais aller, et j’ai tiré un trait pour avancer.
J’ai toujours le coeur sur la main, mais j’ai de moins en moins la main sur l’ordi.
J’espère en un meilleur lendemain, encore et toujours, mais je ne cherche plus dans le passé.
Je préfère la nouveauté, le frais, ce qui ne m’a jamais blessé.
Je sais qu’on peut vite être déçu donc je n’y crois plus, mais j’espère encore trouver un trésor.
Quelqu’un qui simplement prendrait ma main sans l’abîmer.
Il n’y a pas de mots pour raconter tout le mal que tu m’as fait, ça ne s’écrit même pas tellement c’est violent.
C’est inommable, impensable.
Inimaginable. Et l’on se moque des excuses virtuelles sans vive voix.
Tu vois beaucoup de mots, trop de maux.
Mes amis ils répondent au moindre appel et ils ne me parlent pas via un pseudo virtuel.
Mes amis n’ont jamais été ma plaie.Même imparfaits.
Ni chaud, ni froid, je n’ai malheureusement plus rien à te dire, ni à toi ni à un écran quelqu’il soit.
J’en perdrais mon humanité.
Ce que j’attendrais de toi? ou plûtôt ce que j’attendais? un trésor de simplicité qui simplement sait me prendre sans m’abîmer.
Sam 21 Jan 2012, 01:44 par maisonverte sur Parler d'amour

Cet homme

Elle l’observe, choquée:
de la voir l’aimer.

Elle voudrait être cet homme
qui la fait vibrer
ce jeune érudit en forme
qui la fait danser.

Elle voudrait être dans son corps
lorsqu’il durcit à son contact
elle voudrait leur corps à corps
et à ce moment exact.

Elle voudrait ne plus être seule,
tomber en amour dans sa gueule...
elle voudrait savoir ce que c’est:
d’aimer...

Elle en a bien un vague souvenir
mais depuis c’est la Vague...
Entre Harpagon et Alcapone, qui choisir,
ces héros râtés où elle divague...

Et puis, il y a lui...
celui qui lui renvoie ô elle a râté...
loupé les envies
de vie où elle pourrait être aimée...

Elle a bien quelques consolations,
quelques oranges rapportées,
un parloir où elle y trouve le son
le seul qui la consolerait...

Je lui mets des musiques pour l’apaiser,
un temps, ça lui permet,
de la fermer, et d’écouter,
et même de chanter ses regrets...

En famille recomposée,
ses enfants la haient,
elle ne s’en est jamais souciée
égoïste, bien trop occupée...

Occupée, à s’oublier,
et à ravaler sa dignité.
Elle avale ce qui reste coincé,
ce qui reste bloqué...

Elle voudrait être cet homme
lorsqu’il caresse ses yeux,
ses seins, et ses hormones,
lorsqu’elle le rend joyeux.

Elle voudrait cette maison qu’ils ont
avec ce jardin,
elle voudrait être lui et sa raison,
et son chemin...

Elle voudrait son destin,
et ses mains,
elle voudrait être tout ce qu’il est,
tout ce qu’il a, ses qualités.
Mer 23 Nov 2011, 15:17 par inlove sur La vie à deux

Je t'aime

J’ai besoin de t’écrire ce soir en ce jour plein de soleil. Je voudrais te dire tu comptes, et que je t’aime vraiment.

http://www.youtube.com/watch?v=7lEVN0Db-uE
Ven 18 Nov 2011, 00:16 par inlove sur La première fois

C'est tjs triste

Je crois que c’est le risque avec le virtuel tu sais ? Cela fait du bien - pardon - de lire votre dialogue tout simplement parce que je ne me sens pas un cas isolé même si je me dis souvent que je dois être une extra terrestre avec mes valeurs démodées !
Combien de fois, j’ai voulu croire à une belle histoire et en fait, bien souvent, je me suis retrouvée avec mes illusions et en face de moi rien à voir avec ce que j’espérais !! Oui, bon, pas plus tard qu’hier avec "P" qui semblait un homme merveilleux tellement tel que je le souhaitais : droit, intègre, franc, drôle, amoureux, capable de partage, tout quoi ! rire !! Bon, la réalité est bien moi belle, je suis fière de moi j’ai réussi à le voir avant d’avoir à regretter quoi que ce soit, c’est déjà ça, bah, c’est la vie ! On souffre ? c’est au moins que nous avons un coeur, on est déçu ? c’est qu’on a une espérance et un but !!
il y a des moments où l’on peut baisser les bras mais bon la vie est la vie malgré tout, il faut la savourer autant que faire se peut ! Il faut arriver à sourire à ce qui peut arriver de bon sans regretter ce qui n’est pas !
Sans se dire : mais qu’est-ce qui fait que je ne le ou la trouve pas ? ! Rire : le jour où j’y arrive vraiment, je vous donne la recette ! Promis !!
Allez, de gros baisers aux coeurs tristes et plein de courage à vous amis de plume !!

Bien amicalement,

Dolce

ps : un jour je sais qu’il viendra à moi l’homme que j’espère ! J’y crois !
Jeu 13 Oct 2011, 17:25 par dolce vita sur La déclaration d'amour

Petit traité de vulgairisation scientifesse 2 ( fessebook)

1. La politique mon cul !
Ben oui! Qu’on le veuille ou non, ce n’est jamais qu’une histoire de fesses. Intéressons-nous d’abord à notre Président de la république. Pour que sa majorité de droite décolle, il faut bien qu’il joue un peu de la fesse. Aussi il caresse doucement la partie de gauche (dans le sens du poil) puis la soulève et " allume un pet "(à l’UMP), les idées n’étant pas que du vent, on sait comment polluer l’entendement de ses adversaires! En politique il est bon de protéger ses arrières. Un cul n’est jamais posé lourdement sur deux fesses quand il trône sur son siège. Un coup tu reposes sur la fesse de droite et demain prout!...le vent tourne à gauche. De ce fait, Il en va des idées qui fusent sur les deux bords de droite comme de gauche et il faut composer pour garder sa place bien au chaud. La démocratie en politique est un exutoire: c’est la chasse d’eau dans les toilettes pour montrer que l’on est propret sur soi. On fait mine de chasser les mauvaises odeurs mais " des mots crasses y " s’en balancent dans l’hémicycle de la cuvette. Les faux-culs sont nombreux, on en voit serrer les fesses, bien " centrés " assis sur leur banc. Pourtant ils ne sont jamais que des trous du cul qui viennent foutre la merde, pour parler poliment. D’autres faux-culs n’ont pas le courage de leur politique et ils font dans leur froc car pour aller de droite à gauche, tu passes irrémédiablement par le centre...
Mais regardons plus loin jusqu’en Europe maintenant. On constatera que l’air n’est guère mieux respirable: les " tire au cul " sont nombreux parmi les députés européens. Comme ils siègent à Bruxelles ils font choux gras et chacun apporte alors... sa petite commission!!!
Et le président du FMI, encore une histoire de fesse puisqu’il a fourré sa main au panier!
Mais alors me direz-vous une idée saine en politique c’est quoi? Ben, de fesse sûre c’est beau comme un clair de pleine lune. Une vérité qui luit et ne " nuit " à personne en faisant tache à l’obscurantisme!

2. Septembre c’est la saison des vendages. En " nœud-ô-lofesse " (on parle aussi de nœud-au-logis) ]on sait qu’il faut des grappes bien mûres et un cep bien ferme pour tirer le bon jus. Pour cela il doit bien entendu pousser sur de jolis coteaux inclinés. L’excellence de " chattes’ eaux "qui plus est dans le " mille s’y met " requiert un savoir-faire et pour tester le produit, tout l’art est de rouler dans son palais le breuvage pour en apprécier au mieux ses saveurs. Il faut alors le garder un certain temps en bouche, jouer des papilles avec sa langue et inspirer par le nez pour évaluer son bouquet avant de le recracher ou l’avaler....
Ah! Que vivement novembre quand coulera à flot le " Beau jeune lait " nouveau. Je me demande bien quel petit goût il aura: sera-ce la framboise, la fraise ou la banane?

3. Et la lumière déchue!
Aujourd’hui je suis nostalgique. J’ai le nez au plafond où pendouille une ampoule basse consommation. Si j’en juge par son éclat, elle porte bien son nom!...ça ressemble à rien, pas même à une bite. Nos vieilles ampoules avaient l’avantage d’être profilées comme un cul et montraient fière allure. Tout y préfigurait, passant du gaz inerte jusqu’au petit filament qui dessinait l’entre cuisse en son delta fuyant. Quand le flux électrique le portait à incandescence, il chauffait le cul de l’ampoule. Alors comme une sainte divinité, on la voyait s’auréoler dans un halo de lumière. C’était de l’amour en poésie et en réminiscence à ce " Beau derrière en l’air " je clame haut ses " verres "....

" Mon ange, mon cœur! Songe de douceur,
Nous vibrerons plus ensemble.
Là! Tout n’est plus qu’ordre sans beauté,
Lux?...certes! Mais sans âme ni volupté! "

C’est ce qu’on appelle la versification ampoulée.

4. En entomolofesse (et non en entr’mollofesse qui en vertu de la fesse concède vous le conviendrez à la vulgarité et non à la vulgairistion) donc en entomolofesse dis-je, il est un spécimen remarquable et ô intéressant: la coccyxfesse appelée encore " la fesse à bon Dieu "; car plaise à Dieu, nulle fesse pareille est si joliment rosée et potelée. Et ce qui la caractérise en dehors de sa pigmentation surprenante c’est ses grains de beauté épars en gros points noirs. La coccyxfesse n’est pas nuisible à l’homme, bien au contraire, elle s’accommode à tous les biotypes, jouant même le rôle d’insecticide naturel. Capable à elle seule d’avaler tous les vilains morpions indésirables qui " la bite " en son séant. L’heureux chanceux qui approcherait la coccyxfesse, naturaliste mordu dans le bon sens du terme, ne pourra que s’émerveiller au froissement de ses rondes parties. Et, si peu qu’elle daigne s’ouvrir, alors il vivra le vol nuptial car foi de coccyxfesse on sait de source sûre que: le " col obtempère " si aux fesses tu portes " bon heurt "!....

5. En scientifesse, il est un phénomène remarquable l’acoufesse. Rien à voir avec l’acouphène qui est cette sensation désagréable quand ça vous siffle dans les oreilles. Ici, ce serait plutôt lorsque l’on vous siffle dans le cul que ça vous cogne dans les fesses!

6. En spéléofesse, dans les substructions intra-utérine, la concrétion clitoridienne est excitée par l’inoculation du corps caverneux qui n’est autre que la " staillabite ": nom scientifesse pour bien le différencier de la stalactite et de la stalagmite car un coup il monte et un coup il descend!

7. En soufflerie aérodynamique, la fesse réagit comme une voile en vent arrière. Elle est d’autant mieux rebondie si on y va " gréement " sur la mâture! Dans le cas contraire, la fesse est plate. Elle fasèye le long du mat. Résultat, la propulsion est poussive. Il faut alors jouer de la godille avec souplesse dans le poignet pour activer le train arrière!

8. En électricité, la fesse produit deux sortes de courant:
- Le courant électrostatique: créer par frottement à l’aide d’un bâton sur le tissu plastico-fessier. Un frissonnement électro sensoriel se propage alors sur tout le corps.
- le courant électrochimique: créé par électrolyse, le bâton joue ici le rôle de cathode. Trempé dans le récipient fessier, en milieu " à-queue ", il fait naître par électrochoc un plaisir jouissif. Comme toujours quand lui fait le moins (il en n’a que foutre) la fesse fait le plus avec l’anode. Pas si anodine pour autant quand on pense que son côté pile lui permettra de recharger son « à-cul ».Quand la fesse est rebondie, on parle de pile « dure-à-selle » (l’effet de charge dure plus longtemps.

9. Parlons du programme scientifesse de " rase-muse ". C’est en quelque sorte l’idylle des jeunes pour vivre l’amour à " l’heure hop! ". Le jouvenceau ou jouvencelle en quête de cet amour sans frontière devra d’abord faire table rase de ses peurs sur le " pue-bien "; viendra ensuite l’enseignement de l’art au plaisir qui est de caresser sa " muse " sans avoir un poil dans la main!

10. Intéressons-nous un peu à l’airbag comme dispositif de sécurifesse. Au-delà de son incontestable effet pare-chocs, il serait prétentieux de croire que chez la femme il est plus développé seulement pour absorber les secousses du mâle en rut. Le malheureux, s’il savait, est bien souvent en-deçà de nos espérances et c’est à peine si la culbute nous ébranle! Plus sérieusement, il y a deux raisons essentielles à ce gonflement de l’airbag fessier. La première, c’est qu’il joue un rôle réparateur pour la future femme enceinte. Il rétablit son centre de gravité vers l’arrière pour une marche plus sûre et l’aide à compenser son balancement vers l’avant suite à son gros ventre. De plus, il sert d’amortisseur à d’éventuelles chutes. Mais la deuxième raison que l’on ignore c’est que toute femme, susceptible d’être un jour plaquée par son mec, si elle se relève non sans mal psychologiquement, sera toujours bien prémunie physiquement quand bien même la malheureuse en tomberait sur son cul. Comme quoi la nature est bien faîte !

11. le trou du cul se refermera-t-il un jour ?
Ici les gaz CFC (chlorofluorocarbone) ne sont pas les responsables du trou dont il est question qui, s’il doit se refermer un jour, se fera plutôt par absence de gaz. Oh ! Comme la vie sera moins « gay » pour certains. Triste aussi pour les autres, la vie de « fessoyeur »étant à proscrire par la perte du trou, ils devront se rabattre sur une vie plus « con-sensuelle ».Bien sûr, il y a du bon quand on pense que tous les « trou-balourds »ne seront plus à la fête. Reste un chant d’amour à réinventer pour autres poètes « trou-vers ». Une chose est certaine cependant, les petits trous du cul ne pulluleront plus à la surface de la terre et, par là même, ne pollueront plus notre existence. Il fera alors bon vivre le renouveau de la musique dans l’Art de faire du vent. Réentendre les violons des amours sous la main caressante de l’homme qui fait vibrer son âme. Car comme l’écrit Simon Leys en citant un personnage de Mario Vargas Llosa : « la vie n’est jamais qu’une tornade de merde dans laquelle l’Art demeure notre seul parapluie ! »

12. Du cerveau à la fesse et vice versa.
La fesse et le cerveau présentent des similitudes physiques. Deux lobes et un sillon qui les séparent. La tête contient le cerveau et le cul le muscle fessier, cependant les deux parties sont interchangeables. On connaît par exemple l’expression « avoir la tête dans le cul » ou « un cul à la place du cerveau ». Sans compter que l’on peut tomber sur le cul comme sur la tête et aussi se renverser le cul par-dessus tête. On voit alors comment ils sont complémentaires. De même quand il arrive à l’un de péter plus haut que son cul, il peut arriver à l’autre de péter un plomb. La complémentarité s’explique par le fait que si le premier ne manque pas d’air, le deuxième joint son « cervo-lant » pour tirer les ficelles.
Une chose établie, c’est que le cerveau reste en haut mais il est moins bien irrigué que les fesses situées en bas ; si tant que parfois se produit des fuites qui ne sont pas assimilables aux fuites de cerveaux. Toutefois une mauvaise irrigation du cerveau et c’est le trou noir qui se différencie de la fesse ; car si l’un induit l’AVC l’autre conduit aux WC… ce qui n’est pas tout à fait pareil !
Il existe aussi des zones du langage du cerveau, itou chez la fesse. Enfin, le cerveau est l’organe central de l’endocrinologie. Pour la fesse, c’est quand l’organe est centré dans le dos que l’on crie et l’on jouit.
Outre ces rapprochements, le cerveau et la fesse divergent aussi dans leur fonctionnalité.
Exemple : 1. Quand le cerveau se fait siège de la pensée. On dit parfois que l’on est dans la lune. C’est tout différent si aux fesses tu ressens un mal de « panse, et » hop ! Tu files au siège mais sur la lunette ! On comprend que l’approche métaphysique n’est pas la même.
2. On parle aussi du cerveau pour son effet placébo. Rien de tel pour la fesse qui, quand elle est plate, n’est jamais belle.

13. Vous avez tous entendu parler du pendule de « faux-cul ». Un brillant physicien a prouvé que le cul n’était pas une masse inerte mais bien un organe animé. Il vérifia ses dires en promenant un petit pendule au-dessus d’un faux-cul qui reproduisait un mouvement de vague en ondoyant sur deux belles fesses en gélatine. Il remarqua aussitôt l’oscillation du pendule. Conformément au principe d’inertie stipulant que le mouvement des objets est figé si aucune force s’exerce sur eux, l’expérimentation du pendule vérifia que la rotondité des fesses et ses fluctuations épidermiques exerçaient un réel pouvoir d’attraction, susceptibles de réveiller la flexion périodique d’un pendule. Attention ! Le pendule de « faux-cul » dont je vous parle ne se trouve pas au Panthéon mais bien dans le pantalon !

14. Un autre génie en physique, c’est Einstein avec sa célèbre équation sur la relativité E=mc2. Mais en vérité, cette formule lui fut inspirée par une belle paire de fesses. Eh oui !c’est dans un état de relativité somme toute foudroyante surgit par réaction de « fession »(le passage d’une beauté sculpturale et inattendue de fesses entraîne la réaction en chaîne atonique) que c’est manifesté sa torpeur soudaine, accompagnée d’une chaleur intense fusionnelle sur tout son corps et l’extinction soudaine de sa voix suivie d’une formidable envie de niquer : c’est l’action atonique ! Dans cette subite exaltation, le physicien balbutia alors son fameux E=mc2, qui décrypté dans sa formulation mathématique n’est autre qu’une élucubration astronomique signifiant. Einstein(E) aime(m) c’est deux(C2), en rapport bien sûr avec les voluptueuses fesses !...

15. Révélations symptomatiques inavouées sur la propagation du virus de la grippe A (grippe porcine) :
Les messages de prévention pour se prémunir contre le virus de la grippe A sont légions en ce moment. Il ne faut pas éternuer, se moucher de préférence dans un mouchoir en papier et veiller à bien le jeter à la poubelle en se lavant les mains après pour ne pas contracter le virus. Mais ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que le virus est transmissible surtout par le pet ! Sans qu’il soit mentionné de rapports plus approfondis en scatolofesse, on a vérifié tout de même que, si un malade vous mitraille de la fesse, il lâche du « H1N1 ». C’est-à-dire en clair qu’il lâche une à une sa caisse. Sachant que le virus est très volatil, le port du masque à gaz homologué (voir mes phots pour plus de détails) est plus qu’indispensable : le porteur du virus étant malgré lui un vieux porc, le malheureux pète plus que de raison ! Alors un bon conseil, pour échapper à la pandémie porter le masque et tenez-vous à l’écart de toute pétarade intempestive. Défiez-vous aussi du partenaire un peu trop discret qui étoufferait son dégazage. Il y a un vieux truc pour le démasquer : le goret a forcément les fesses bien roses et comble de ridicule… il a la queue en tire-bouchon !

16. En historiofesse, on se doit de «comm’amore » la chute du « gland mûr » (prendre l’accent de Salvador Dali). Quand, de part et d’autre de la porte de « Branle-bourre », seul passage ouvert mais bien gardé, il s’érige toujours et encore sans jamais réussir à percer le « raie-dos »de deux fesses hystériques qui, « guère froides », n’en demeurent pas moins symboles d’ouverture et de pets !...

17. En économico-scientifesse, il faut se référer à l’illustre " Montes-coït " qui dans son livre " l’esprit de bon aloi " insistait sur les pratiques aux mœurs douces pour faciliter les échanges; insistant sur la valeur du billet doux ainsi que le côté " monnaie taire " pour jouer de la fesse et boursicoter malin.

18. En glaciolofesse, on note un phénomène qui est contraire à la glaciologie. En effet, si on prélève une carotte glaciaire, la plus vieille qui soit, un phénomène remarquable peut se produire si on ne prend pas toutes les précautions : à savoir qu’elle est susceptible de s’enflammer à l’air libre par la présence du méthane avec l’oxygène! Or, en glaciolofesse, c’est aussi une vulgaire affaire de carotte. Les femmes, on le sait, ont généralement les pieds glacés ; les fesses moins. Mais le mécanisme de glaciologie est inversé ici en ce sens que c’est seulement si on vient à lui plonger une jolie carotte, qu’elle sentira monter le feu aux fesses ! A-postériori, on peut rapprocher à cette observation, la réaction de « cri-au-logis ». Elle intervient à chaud et, n’a rien de commun avec la cryologie qui elle se produit à froid.
Lun 04 Juil 2011, 19:25 par Fessue de Naz'arête sur Articles

Petit traité de vulgairisation scientifesse (fessebook)

J’ouvre ici un petit manuel sur la fesse, tiré d’expérimentations scientifesses.

Je parle de "vulgairisation" car c’est ni de la vulgarisation, ni du vulgaire, c’est entre les deux ! je ne crois pas aux beaux sentiments par des envolées lyriques. Le véritable amour a une explication rationnelle que je vais tenter de vous expliquer en décryptant les mécanismes d’ordres mathématique, physique, chimique, transposés au sujet en question.
D’autre part, j’aimerais asseoir mes connaissances sur la fesse en élargissant mes idées avec les vôtres. Aussi, les commentaires appuyés sur un raisonnement scientifesse seront les bienvenus pour approfondir ensemble notre cul-dure !

Aussi, d’emblée, je rentrerais dans le vif du sujet, en assimilant le "cul" à une jolie plante. Que dis-je une plante, une fleur et si c’est pour parler du mien, je dirais même un chou-fleur ou un "Christ’ en thème". Mais passons et regardons-y de plus près. La fleur est si voluptueuse que deux tiges ne sont pas de trop pour son épanouissement. Les "popotinistes" classent notre jolie plante dans les jambèlifères : plantureuse famille toujours pourvue de deux jambes graciles qui prolongent sa fleur. Quand celle-ci repose, ramassée sur elle-même, il lui arrive d’entremêler ses tiges avec élégance. Elle devient ainsi source d’inspiration pour crucijambistes confirmés (généticiens en herbe ou amateurs de jambes croisées, pétris de case noire). Son pistil dégage alors un parfum entêtant et ô caractéristique !...
Mais je m’égare dans des élucubrations poétiques et intéressons-nous plutôt à la "faute aux saintes aises". Rien à voir avec la photosynthèse habituelle, car le mécanisme fonctionne à rebrousse poil. Je m’explique : la "faute aux saintes aises" de la fesse consiste à absorber du "coccyx gènes" en prenant ses saintes aises mais en fautant par rejet du gaz au "quart qu’on lui nique". Or, la photosynthèse est l’effet inverse ; comme chacun sait, son rôle est d’absorber le gaz carbonique et de rejeter l’oxygène. La faute aux saintes aises a donc ici un effet négatif pour l’environnement de notre planète car il accentue le réchauffement climatique en augmentant la couche d’ozone. Ce contre effet pervers est en tout point assimilable à l’amour vache (animal sympathique quand il broute mais pas quand il proute) ! Mais restons dans le raisonnement scientifesse et demandons nous pourquoi seulement le quart du gaz est rejeté : c’est très simple, le gaz est un anesthésiant redoutable et, lors de la pollinisation du pistil de la fleur par " l’ anthière état-pine ", la nature toujours bien faite s’escrime à ce que le tapin (racine de l’état-pine ) ne dure jamais trop longtemps. Ainsi, Le pistil, soucieuse de réitérer son plaisir pris pendant ces merveilleux rapports fusionnels, anesthésierait alors volontairement le sexe fort pour prolonger ses ardeurs sur le long terme. On reconnaît là l’éternelle amoureuse qui comme une héroïne dans un roman de Barbara Cartland susurrerait en son for intérieur :"Pisse-t-il mon coeur ne jamais saigner et filer longtemps le parfait amour !"

Cependant, voilà qu’un autre éminent chercheur du corps scientifesse contrecarra le pouvoir anesthésiant du gaz au "quart qu’on lui nique". il s’agit d’un spécialiste en hydrodynamique dans le secteur de la viscosité et l’écoulement des fluides. Ces proches collaborateurs lui ont qualifié le délicieux sobriquet de "Bébert la nouille" bien que mieux connu sous le nom de "Bernouilli" et de son fameux théorème. Bébert donc orienta ses recherches en observant la cuisson des pâtes (il était italien) et plus spécialement le macaroni. Il constata que la dite pâte plongée dans un liquide à 37 degré produisait une émulsion en surface sous forme d’écume blanche et, 6 minutes après, il observa que la trempe du macaroni ressortait en forme de coquillette (précisons que la cuisson était " al dente "). Aussitôt il fit le rapprochement judicieux avec le fameux gaz anesthésiant, contestant alors son effet en tant que tel, le justifiant seulement d’ordre respiratoire ou d’aérophagie. En rapport au coït, la "faute aux saintes aises" n’implique pas selon lui un dégazage systématique. Ainsi, le pouvoir du gaz anesthésiant serait irrecevable, la crampe du sexe fort se ramollirait et racornirait uniquement par effet de trempe et en un point de fuite du "va-j’y nage". l’expérimentation sur le vivant assermenta son hypothèse: le prépuce sortait bel et bien fripé et blanchit après pénétration.
Enfin pour accentuer un peu plus la différence entre la "faute aux saintes aises" et la photosynthèse, disons que si "la forêt d’amozonie" absorbe une grande partie de "l’impur Co 2". Par ma fesse, "le purin " c’est au dos" qu’ il se rejette quand bien même percerait "une forêt où l’âme à son nid" !

Pour poursuivre dans les sciences des fluides et toujours dans le "va! j’y nage". Un colloque de chercheurs en expérimentation dans un lupanar établirent un calcul savant sur la poussée "d’orgie merde". Ils remarquèrent que tout corps plongé dans le trou noir subissait une poussée de haut en bas égale au poids du volume du liquide déplacé. Mais seulement si le plongeon est au must du coït, c’est à dire que l’accélération du "pesant heurt" s’exerce au point "g", là où il y a du plaisir ! Bien sûr on peut s’interroger sur le pourquoi de la grossièreté pour qualifier cette fameuse poussée. ben ! tout simplement parce qu’ après moult observations force fut de constater que ça ne sentait pas la rose !!!
Dés lors l’un des chercheur, mathématicien qui plus est, s’intéressa aussitôt au bourrin susceptible de cette merveilleuse poussée. Il s’avéra en l’examinant de près qu’il présentait de sérieux avantages sur les parties génitales. Il l’isola alors et mesura mathématiquement "sa rythme et trique" en position de frappe. Aujourd’hui, ce spécimen rare a donné son nom au théorème de "Bite à gore" énoncé comme il suit : "Bien carré l’hyppo t’abuse quand il te somme des deux côtés".
On dit à tout saigneur tout honneur ! Cependant abstinence est de rigueur au mâle en rut quand Madame en couche est contrainte de "l’effet de serre" ou de serrer des fesses. Coûte que coûte elle doit alors s’acclimater à ce non réchauffement clitoridien (pour le torride ça attendra) !

D’autres mathématiciens chevronnés de la fesse définirent sa courbe exponentielle, délimitée entre deux asymptotes : une au point de fuite et l’autre sur la chute de rein. Je vous ferais grâce des formules sur la valse du "x" pour situer le point d’inflexion où la courbe dérive !

En science sismolofesse, des chercheurs tout aussi inspirés ont prospecté le long de la ligne de faille qui partage les fesses en deux. Or, c’est dans cette cassure et en un point névralgique où "l’épice entre" (eh oui ! il suffit parfois d’un petit piment d’espelette pour provoquer un vrai cataclysme avec parfois tsunami à la clé) que le sismographe a enregistré les secousses des plus violentes. Allant jusqu’à 7 sur l’échelle de "Rich’ éther " : échelle mesurée en degré au plaisir). 7 étant la graduation optimum pour parvenir à l’extase quand vous atteignez le septième ciel !

En vulcanofesse, des "porctologues" qui ne sont autres que des proctologues spécialisés, n’ayant pas peur de mettre leur nez là où je pense, ont dénombré différentes éruptions. Il y a l’éruption classique dite bronzaïque (coulée dans le bronze), l’éruption filiforme (en forme de fil), l’éruption constipative( projections crottés à répétition), l’éruption explosive en deux catégories : l’une étant la courante laminaire (coulée liquide et plate) et l’autre la courante "diarré-hic"(pétard de feu d’artifesse constellé d’étoiles).

De physique-scientifesse, on a mesuré aussi l’effet "à coups triques" de l’instrument à vent. Dés lors, quiconque peut s’improviser musicien en soufflant sur les hanches par son embouchure, faisant résonner le muscle pelvien en rondes notes par l’entournure de son col en "ut et ruse".

En physique-mécanicofesse, il est rapporté la formule de l’énergie cinétique sous la forme :
Ec= 1/2 mv2+1/2 jw2
l’addition des deux énergies distribuées (mâle et femelle) se répartie par moitié d’ou le coefficient 1/2 :
- 1/2 mv2 est l’énergie cinétique linéaire de pénétration du sexe mâle proportionnel à sa vitesse "v" au carré et à sa masse "m"
- 1/2 jw2 est l’énergie cinétique radiale donné par le mouvement oscillatoire des fesses sur le sexe mâle pour interagir sur sa puissance. Elle est proportionnelle à la vitesse enculaire "w" au carré et au moment d’inertie "j" qui met en branle le couple en action !

Enfin pour terminer sur une note poétique je parlerais de la fesse en science astronomique. Quoi de mieux alors que la lune pour incarner la fesse et occuper l’espace ? Ainsi, tout prototype "fuseïforme" sorti tout droit de son "hors bite" entrerait en gravitation lunaire avant qu’ icelui subisse la "loi de l’attraction unie vers icelle" . Avec toute proportion gardée sur la rumeur des masses et inversement aux préjugés qui lui recommanderaient de bien se carrer à distance, son vrai désir pour elle n’en serait pas moins de "fesse toi y est" !

aime
Ven 24 Juin 2011, 13:57 par Fessue de Naz'arête sur Articles

A toi, ma delphine

Delphine,

Ou plutôt Ma Chérie,

Le temps est venu pour moi de t’annoncer et de t’exprimer mes sentiments, je vais tenter d’être le moins maladroit car c’est là mon plus grand défaut... avec celui de mal communiquer.

Bientôt 7 ans que nous sommes ensemble... 6 ans et demi de joie, de bonheur, mais également de "prises de tête", de colères, parfois de pleurs ... mais heureusement aussi 6 ans et demi de "pétages de plombs" complets, de rire, mais surtout d’Amour.

Ce modeste billet a pour but de te prouver, devant le "monde entier",

A toi, mon Carpaccio de tendresse,
A toi, mon Magret à la sauce calin accompagné de ses regards coquins,
A toi, ma Crème de Saint Agur aux baisers flamboyants,
A toi mon Paris Brest si désirable,

Combien je t’aime, aujourd’hui et pour toujours.

Reçois ce billet comme mille baisers de ma part.

Ton Namour aime
Dim 08 Mai 2011, 17:50 par Namour sur La déclaration d'amour
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