Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur clic
La photo recollée
Ce photographe, le solitaire, balade ses pieds un peu partout, le nez en l’air, scrutant autour, une belle chose à son regard.
Sa sensibilité ainsi promenée, s’ouvre au monde qui l’entoure, quand d’un coup d’oeil il aperçoit, la scène qui lui va.
Comme un félin qui voit sa proie, il stoppe net ses pas, prend position en armant bien, son appareil à l’oeil droit.
Quelques réglages, par-ci par-là, encore un clic, c’est bon ça va !
Ce photographe est bien content, d’avoir usé de son talent.
Il rentre heureux de sa passion, heureux d’avoir figé le temps.
Tandis qu’ailleurs, non loin de là, son amoureuse attend un peu, sensible à l’art de son aimé, elle voudrait qu’il l’aime autant.
Ce sentiment d’être une photo trop regardée, qu’on ne voit plus, habitué, mais qui est là, mal encadrée.
Une photo un peu abîmée, qui a déjà été recollée.
On y voit bien les déchirures, ça n’est vraiment pas reluisant,
alors comme c’est insupportable, on pense vraiment à la jeter.
De toute façon, on le savait, elle était mal rassemblée.
On voyait bien sous l’adhésif, que ça avait été vite fait.
On a voulu la réparer mais les bouts sont mal rapprochés.
Le photographe en la voyant, pleurait tout le temps,
et l’amoureuse en y passant, pleurait tout le temps.
Trop de pleurs pour une photo, le photographe décida donc
Que cette image si déchiquetée devait maintenant s’envoler.
Avec une larme il l’arracha, son amoureuse n’était plus là.
Quel soulagement de ne plus voir, ces déchirures sur la photo,
Une belle photo à son départ, mais on ne voyait que les fissures.
Et maintenant on ne voit plus rien, c’est un peu vide à cet endroit,
Il n’y a plus les déchirures, mais plus non plus le doux visage.
« Ce n’est pas grave » dit le photographe à son amoureuse, « tu sais mon coeur on en fera une autre ».
« Ce ne sera pas la même » répondit-elle.
« Tant mieux » dit-il, « elle sera mieux parce que dessus on sera deux ».
Sa sensibilité ainsi promenée, s’ouvre au monde qui l’entoure, quand d’un coup d’oeil il aperçoit, la scène qui lui va.
Comme un félin qui voit sa proie, il stoppe net ses pas, prend position en armant bien, son appareil à l’oeil droit.
Quelques réglages, par-ci par-là, encore un clic, c’est bon ça va !
Ce photographe est bien content, d’avoir usé de son talent.
Il rentre heureux de sa passion, heureux d’avoir figé le temps.
Tandis qu’ailleurs, non loin de là, son amoureuse attend un peu, sensible à l’art de son aimé, elle voudrait qu’il l’aime autant.
Ce sentiment d’être une photo trop regardée, qu’on ne voit plus, habitué, mais qui est là, mal encadrée.
Une photo un peu abîmée, qui a déjà été recollée.
On y voit bien les déchirures, ça n’est vraiment pas reluisant,
alors comme c’est insupportable, on pense vraiment à la jeter.
De toute façon, on le savait, elle était mal rassemblée.
On voyait bien sous l’adhésif, que ça avait été vite fait.
On a voulu la réparer mais les bouts sont mal rapprochés.
Le photographe en la voyant, pleurait tout le temps,
et l’amoureuse en y passant, pleurait tout le temps.
Trop de pleurs pour une photo, le photographe décida donc
Que cette image si déchiquetée devait maintenant s’envoler.
Avec une larme il l’arracha, son amoureuse n’était plus là.
Quel soulagement de ne plus voir, ces déchirures sur la photo,
Une belle photo à son départ, mais on ne voyait que les fissures.
Et maintenant on ne voit plus rien, c’est un peu vide à cet endroit,
Il n’y a plus les déchirures, mais plus non plus le doux visage.
« Ce n’est pas grave » dit le photographe à son amoureuse, « tu sais mon coeur on en fera une autre ».
« Ce ne sera pas la même » répondit-elle.
« Tant mieux » dit-il, « elle sera mieux parce que dessus on sera deux ».
Mer 07 Mars 2012, 19:40 par
ungraindesand sur L'amour en vrac
Forums d'écriture
Bonjour,
J’ai écrit un livre intitulé "l’art en force" aux éditions LU, traitant de l’art et de la psychologie, notamment de l’art thérapie.
Principalement orientée vers le lyrisme et les recueils de textes, j’ajoute à mon plaisir pour l’écriture et à mes passions comme mon travail le partage avec les autres sur différents sites et forums tel que "art.terre.happy".
FORUM ART TERRE HAPPY, cliquez ici svp merci
SITE avec forum aussi ART TERRE HAPPY en un clic là
J’espère donc pouvoir échanger ici et ailleurs du savoir, partager mes écrits, et lire votre site le plus possible.
Cordialement,
Delphine Randon.
Liens retours:
en bas de page sur art terre happy forumactif
et:( en se connectant )
Cliquez ci-dessous svp merci:
LES AMES TENDRES
Les âmes tendres
J’ai écrit un livre intitulé "l’art en force" aux éditions LU, traitant de l’art et de la psychologie, notamment de l’art thérapie.
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Cordialement,
Delphine Randon.
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LES AMES TENDRES
Les âmes tendres
Mon premier bonheur du jour.
Je la cherche dans la maison, il est à peine neuf heures, l’heure bénie pour les mamans: les enfants ont quitté la ruche pour la journée.
Elle est là, devant son ordinateur et relève ses mails...Je me penche jusqu’à frôler sa nuque....tiens! elle sourit...et d’un clic de son mulot, elle ouvre la pièce jointe à l’un des messages: c’est une chanson...pas de titre, pas de nom, juste un petit commentaire "...pour toi...bisous..."
Sa journée vient de commencer: une belle journée...
Je termine mon geste par un baiser sur son épaule, un baiser virtuel....je viens tout juste de recevoir son mail...."merci pour la chanson, malune."
Et voilà, ma journée vient de commencer, une bien belle journée!
Elle est là, devant son ordinateur et relève ses mails...Je me penche jusqu’à frôler sa nuque....tiens! elle sourit...et d’un clic de son mulot, elle ouvre la pièce jointe à l’un des messages: c’est une chanson...pas de titre, pas de nom, juste un petit commentaire "...pour toi...bisous..."
Sa journée vient de commencer: une belle journée...
Je termine mon geste par un baiser sur son épaule, un baiser virtuel....je viens tout juste de recevoir son mail...."merci pour la chanson, malune."
Et voilà, ma journée vient de commencer, une bien belle journée!
Ven 20 Mai 2005, 21:23 par
danslalune sur Mille choses
Que restera-t-il...
Que restera-t-il de vous mes amis virtuels
Quand le temps sera passé
Que nos conversations se seront espacées?
Oublierons-nous nos discussions délicates
Qui parfois tournaient en fous rire complices
Ou nous emportaient au pays des délices?
Les amis trouvés au détour d’un clic
Restent-ils comme ceux que nous avions enfant
Ou disparaissent-ils au fil du temps?
Que restera-t-il de nos amours passées
S’envoleront-elles de nos mémoires
Pour ne laisser que du desespoir?
Vous qui peuplez mes jours ou mes rêves
Qui partagez mes peines et mes envies
Serez-vous toujours ici?
Dans vingt ans que sera-t-il advenu
De ces bouts de vies que nous aurons partagés
En virtuel, parfois en vrai?
Continuerons-nous, décrépis
A refaire le monde et à nous écrire
A chanter, espérer et rire?
Echangerons-nous encore les polaroïdes
Histoires de vacances et découvertes
Photos des petits-enfants sur l’herbe verte?
Que restera-t-il de vous mes amis virtuels
Ces amis trouvés au détour d’un clic
Vous qui peuplez mes jours ou mes rêves
Continuerons-nous, décrépis
Tiendrons-nous nos promesses de toujours être amis...
... Ou nous éteindrons-nous d’un bouton de souris...
Quand le temps sera passé
Que nos conversations se seront espacées?
Oublierons-nous nos discussions délicates
Qui parfois tournaient en fous rire complices
Ou nous emportaient au pays des délices?
Les amis trouvés au détour d’un clic
Restent-ils comme ceux que nous avions enfant
Ou disparaissent-ils au fil du temps?
Que restera-t-il de nos amours passées
S’envoleront-elles de nos mémoires
Pour ne laisser que du desespoir?
Vous qui peuplez mes jours ou mes rêves
Qui partagez mes peines et mes envies
Serez-vous toujours ici?
Dans vingt ans que sera-t-il advenu
De ces bouts de vies que nous aurons partagés
En virtuel, parfois en vrai?
Continuerons-nous, décrépis
A refaire le monde et à nous écrire
A chanter, espérer et rire?
Echangerons-nous encore les polaroïdes
Histoires de vacances et découvertes
Photos des petits-enfants sur l’herbe verte?
Que restera-t-il de vous mes amis virtuels
Ces amis trouvés au détour d’un clic
Vous qui peuplez mes jours ou mes rêves
Continuerons-nous, décrépis
Tiendrons-nous nos promesses de toujours être amis...
... Ou nous éteindrons-nous d’un bouton de souris...
Mar 17 Août 2004, 21:28 par
la marquise de sade sur Amour internet
Le bal des muses
Pour nos silences... fd
Le bal des muses
Clic… clic, brasse camarades
Les mains dans les poches
La musica partout joueuse
File sur les murs en écho
L’envoûtement dans les cheveux
Pépites de couleurs dans les yeux
Magie Magie pour habits
Mignonneries à chaque nuit
Au ciel des lampes taffetas
Vivat le monde ! Vivat !!!
La fortuna les mains pleines
Je roule ma vie
Mille et une nuits dans la soie
C’est la caverne d’Alice Baba
Musiques de baisers Aznavour
Tables de rois à rendre
Emotions fortes garanties
Mise sur toi mon amour
Le casino de mon âme
It’s wontherfull
Tsssutut tututsssz
En haut d’une foule Gypsy
Guirlandes multicolores
Les codes qui cliquent
Honey Honey
Une joie d’homme tambourine
Mise tous ses gages en orbites
Brouhaha dans les poches
Le vent Black Jack dans le dos
En mode bonus organza
Des coeurs clignotent
Double diamond
Langues séduisantes
Sourires sur des fleurs
Je t’aime mon coeur
Sur le vert des enchères
Clans de papiers en flamme
Des bouches pleines de feux
C’est la chance de jouer
Son grain de soleil
Au jeu des amoureux
Un doigt pointé
Un éclair blues affairé
Mon coeur je suis touchée
Nœud papillon dans le cou
Des lèvres comme du velours
La caverne d’Ali Baba
Trésors en musiques
Avant-scènes de charmes
Abusent de vœux exquis
Belly danseuse divine
L’or soleille sur les ventres
C’est trop charmant
Des bras qui ondulent
Comme une fée dans le vent
Tourne dans le sens du bonheur
Souche de bras baisés
Tourne Tourne la jolie
Le sourire sur ses reins
Les hanches joueuses
Claquements de mains
Croise les doigts
Dandine les pieds
Saute les épaules
Couche la musique
La belle est sensuelle
Gracieux serpent femelle
Qui fait gl’amour
Aux anges dans ce tempo
Des sirènes sex-symbol
Shaktis rouges endiablés
Aux aurores de lumières
Dessins de broderie
L’homme sourit au signe
En kimonos tendresses
Les têtes qui tournent
Tiens moi la main
Sommes nous-demain
Un souffle dans mon cou
Je te reviens
Papyrus mon sourcier
Les gestes mauves
L’or qui coule
Des lèvres qui te boivent
Au petit jour
Un autre vent
Un grand frisson
C’est la saison
Des grandes amours.
mOTSaRT
Le bal des muses
Clic… clic, brasse camarades
Les mains dans les poches
La musica partout joueuse
File sur les murs en écho
L’envoûtement dans les cheveux
Pépites de couleurs dans les yeux
Magie Magie pour habits
Mignonneries à chaque nuit
Au ciel des lampes taffetas
Vivat le monde ! Vivat !!!
La fortuna les mains pleines
Je roule ma vie
Mille et une nuits dans la soie
C’est la caverne d’Alice Baba
Musiques de baisers Aznavour
Tables de rois à rendre
Emotions fortes garanties
Mise sur toi mon amour
Le casino de mon âme
It’s wontherfull
Tsssutut tututsssz
En haut d’une foule Gypsy
Guirlandes multicolores
Les codes qui cliquent
Honey Honey
Une joie d’homme tambourine
Mise tous ses gages en orbites
Brouhaha dans les poches
Le vent Black Jack dans le dos
En mode bonus organza
Des coeurs clignotent
Double diamond
Langues séduisantes
Sourires sur des fleurs
Je t’aime mon coeur
Sur le vert des enchères
Clans de papiers en flamme
Des bouches pleines de feux
C’est la chance de jouer
Son grain de soleil
Au jeu des amoureux
Un doigt pointé
Un éclair blues affairé
Mon coeur je suis touchée
Nœud papillon dans le cou
Des lèvres comme du velours
La caverne d’Ali Baba
Trésors en musiques
Avant-scènes de charmes
Abusent de vœux exquis
Belly danseuse divine
L’or soleille sur les ventres
C’est trop charmant
Des bras qui ondulent
Comme une fée dans le vent
Tourne dans le sens du bonheur
Souche de bras baisés
Tourne Tourne la jolie
Le sourire sur ses reins
Les hanches joueuses
Claquements de mains
Croise les doigts
Dandine les pieds
Saute les épaules
Couche la musique
La belle est sensuelle
Gracieux serpent femelle
Qui fait gl’amour
Aux anges dans ce tempo
Des sirènes sex-symbol
Shaktis rouges endiablés
Aux aurores de lumières
Dessins de broderie
L’homme sourit au signe
En kimonos tendresses
Les têtes qui tournent
Tiens moi la main
Sommes nous-demain
Un souffle dans mon cou
Je te reviens
Papyrus mon sourcier
Les gestes mauves
L’or qui coule
Des lèvres qui te boivent
Au petit jour
Un autre vent
Un grand frisson
C’est la saison
Des grandes amours.
mOTSaRT
Mar 08 Juin 2004, 11:37 par
mOTSaRT sur L'amour en vrac
Et pourtant...
Un an déjà…Et pourtant… ça ne pouvait arriver qu’aux autres. Les Grandes Histoires comme l’Amour ou l’Amitié ne doivent pas commencer comme ça. Pas derrière un écran froid. Et pourtant… c’est à chaque fois pareil… J’ai le cœur qui frémit quand ces quelques mots apparaissent… «Un nouveau message »… Est ce toi?? Les secondes qui s’écoulent entre un double clic et une page qui s’affiche me paraissent insoutenables… Ton nom illumine à nouveau ma boîte mail. Bonheur. Je bois tes mots. Ils ont toujours le même goût. Une note fantaisiste, un parfum d’ailleurs, un petit monde utopique pourtant si près du réel.
Et je me retrouve toujours devant ces mêmes questions. Que m’arrive-t-il? Moi, cartésienne des sentiments, pourquoi suis-je attendrie devant cet être virtuel ?! Que se passe-t-il ? Et tu fuis ces questions autant que moi… Lequel de nous deux percera l’abcès ? Qu’importe…
En attendant, je reste ta reine, ta promise, celle qui vit encore et toujours plus follement avec dans le coin de la tête un petit paradis… le nôtre. Et finalement, peut-être qu’un jour notre rêve fou se réalisera. Tu viendras m’enlever sur ton cheval blanc, on fera le tour du monde en veillant à ce qu’aucun jour ne se ressemble.
Maintenant, tu fais partie de mon quotidien… Bizarre me diras-tu… T’as une place dans ma vie. Je me surprends à le dire… J’ai à chaque fois cette même impression quand je pense à toi. Celle d’un enfant pris en flagrant délit essayant vainement de trouver des excuses à la bêtise qu’il vient de faire… Je me sens coupable de me laisser aller à de tels sentiments. Que sommes-nous?
J’arrive parfois à penser qu’il doit me manquer quelqu’un ou quelque chose dans ma vie… Même pas… Je suis entourée de gens merveilleux, d’amis aimants, d’amants aimés… Et pourtant… Si tout venait à s’arrêter maintenant, je me dirais qu’il me manque quelqu’un…Je n’arrive pas à comprendre et pourtant… j’ai essayé.
Et puis après tout peu importe, c’est Nous… Fusion de deux âmes en osmose dans un univers décalé ? Peut-être, sûrement… Et pourtant…
Jux
Et je me retrouve toujours devant ces mêmes questions. Que m’arrive-t-il? Moi, cartésienne des sentiments, pourquoi suis-je attendrie devant cet être virtuel ?! Que se passe-t-il ? Et tu fuis ces questions autant que moi… Lequel de nous deux percera l’abcès ? Qu’importe…
En attendant, je reste ta reine, ta promise, celle qui vit encore et toujours plus follement avec dans le coin de la tête un petit paradis… le nôtre. Et finalement, peut-être qu’un jour notre rêve fou se réalisera. Tu viendras m’enlever sur ton cheval blanc, on fera le tour du monde en veillant à ce qu’aucun jour ne se ressemble.
Maintenant, tu fais partie de mon quotidien… Bizarre me diras-tu… T’as une place dans ma vie. Je me surprends à le dire… J’ai à chaque fois cette même impression quand je pense à toi. Celle d’un enfant pris en flagrant délit essayant vainement de trouver des excuses à la bêtise qu’il vient de faire… Je me sens coupable de me laisser aller à de tels sentiments. Que sommes-nous?
J’arrive parfois à penser qu’il doit me manquer quelqu’un ou quelque chose dans ma vie… Même pas… Je suis entourée de gens merveilleux, d’amis aimants, d’amants aimés… Et pourtant… Si tout venait à s’arrêter maintenant, je me dirais qu’il me manque quelqu’un…Je n’arrive pas à comprendre et pourtant… j’ai essayé.
Et puis après tout peu importe, c’est Nous… Fusion de deux âmes en osmose dans un univers décalé ? Peut-être, sûrement… Et pourtant…
Jux
Mer 26 Mai 2004, 07:35 par
JuX sur Amour internet
Mythe ou réalité ....
La musique emplissait la salle d’une ambiance festive et chaude. Par les fenêtres, on pouvait voir danser les flocons qui recouvraient peu à peu le sol d’une couche blanche et froide. C’est l’hiver. La température avoisine les -5°. Une langueur m’avait envahie et pour ne pas sombrer seule chez moi dans la morosité, j’avais décidé d’aller prendre quelques verres. Il était derrière le bar. Sa peau foncée contrastait avec son tee-shirt d’un blanc immaculé. On pouvait y deviner le dessin de ses pectoraux lorsqu’il s’étirait pour prendre un verre à bière spéciale perchée au dessus du bar. Il avait une coupe à la Bartez. Je l’observais, me demandant si son crâne était doux ou rugueux, si j’apprécierais d’y poser mes lèvres, si sur mon ventre elle laisserait de petites lignes rouges quand son visage s’enfouirait entre mes cuisses, si … je me surpris à sourire devant ces quelques pensées ..
Je ne l’avais jamais vu auparavant dans ce bistrot. Il devait être nouveau. J’étais installée au bar, perchée sur un tabouret, une vodka citron à la main. Des amis à lui se tenaient juste à côté de moi. De temps à autre, il les retrouvait pour quelques déhanchements suggestifs, de temps à autre son regard croisait le mien, de temps à autre un sourire s’esquissait… La musique latino avait envoûté les serveurs du bar. Ils étaient cinq à se déhancher, à frapper dans leurs mains, à lancer bouteilles et verres à la " Tom Cruise ". Ils étaient souriants, enjoués, mon moral était au plus haut. Les voir ainsi s’amuser me donnait envie de faire la fête avec eux, de danser, de rire, de boire, de …. aussi , un peu… la sensualité des musiques latines m’envahissait … Mon verre était vide, je lui touchai l’épaule :
- Tu peux me resservir une vodka ?
Il me sourit, plongea ses yeux dans les miens. Je baissai le regard. Il était grand, plus d’1.85m. Un verre plein se posa devant moi, je lui tendis 5euros, il fit un clin d’œil.
- C’est pour moi. Tu es seule ?
- Oui.
- Toute seule ?
- Oui.
Son sourire s’élargit.
- Je ne t’ai jamais vu ici. C’est la première fois que tu viens ?
- C’est bizarre. Je me suis dit la même chose de toi. Je venais souvent avant… Tu travailles ici depuis longtemps ?
- Depuis 3ans. Mais je viens de partir 1 mois en Martinique. Je suis rentré depuis quelques jours.
Un client l’appela, il partit, ses doigts frôlèrent ma main posée sur le bar…
- Au fait, moi, c’est Luc.
Il avait surgit derrière moi, m’avait glissé ça au creux de l’oreille. Il avait frôlé ma joue de ses lèvres et avait disparu un plateau à la main, sans que j’ai le temps de lui répondre. Mes yeux était fixé sur Luc, je ne regardais plus ce qui se passait autour de moi, je n’entendais plus la musique, il m’avait hypnotisée. Il m’adressait quelques sourires, se rapprochaient de ses amis, ses cuisses frottant contre mes genoux… il aurait suffit que je les bouge un peu et ils auraient glisser le long de sa jambe, se rapprochant de son sexe … Non, je ne pouvais pas l’allumer comme ça… pas en public, pas devant tout le monde… quoique…
Le café était plein à craquer, tout le monde était compressé, qui l’aurait vu… Lentement j’écartai un peu mes jambes, mon genou arriva à quelques centimètres de son sexe… Comme d’un accord tacite, il se rapprocha de moi, continuant sa discussion avec ses amis. Un client lui passa une commande, il avança pour mieux l’entendre, mon genou glissa largement entre ses cuisses, sa main se posa sur ma jambe, il la caressa lentement, remontant un peu. Il partit derrière le bar et revient les mains chargés de verre. Il en déposa un plein pour moi, tendit le reste au jeune homme, encaissa. Je regardais ses longs doigts pianoter sur les touches de la caisse, il me regardait en glissant les billets dans le tiroir, je ne m’en aperçus pas de suite. Quand je croisai son regard, je rougis. Il vint près de moi. Me demanda mon prénom.
Ce petit jeu continua pendant une heure environ. Une heure de sourires, de regards, de mains qui frôlent, de genoux qui touchent, de cuisses qui s’entrouvrent. Finalement, il s’approcha de moi. Ses lèvres déposèrent un baiser sur ma joue, elles étaient tendres, larges, chaudes. Il voulut partir derrière le bar, mais ma main le retint. Son visage s’approcha du mien, je l’embrassai.
Il avait beaucoup de travail, les commandes se succédaient, les garçons continuaient leur danse, les verres s’entrechoquaient, le tout entrecoupé de baisers, de plus en plus profonds, de plus en plus tendres, ses mains peu à peu touchaient ma peau, se glissaient sous mon chemisier, touchaient mes cuisses, mes fesses, ses bras passaient autour de ma taille, ses dents mordaient mes épaules dénudées, sa langue passait dans mon cou, sous mes cheveux…
5h du mat, la musique s’arrête. Le café est toujours aussi bondé, mais il faut fermer. Les garçons ne servent plus, les clients terminent leur verre puis partent peu à peu. Il me rejoint, prend ma main.
- Je fais une petite pause. Viens, on va s’asseoir là-bas.
Je le suis, il prend deux tabourets, m’en offre un, mais je me glisse entre ses jambes et me rapproche de lui. Nous nous embrassons longuement.
- Je dois encore aider les autres. Il faut remplir les frigos, ramasser les verres et les laver et compter la caisse. J’en ai pour une heure. Tu m’attends ?
- Non, il est tard, je vais rentrer. Tu veux me rejoindre quand tu as fini ?
Je lui donne mon adresse, l’embrasse et quitte l’établissement.
Rentrée chez moi, je ne sais pas s’il viendra. Je suis fatiguée, j’ai pas envie de l’attendre, j’ouvre le clic clac, ôte mes souliers, mon jeans et m’endors.
6h … je décroche le parlophone.
- C’est moi. Je peux monter ?
Je suis un peu surprise… nous n’avons pas du partager plus d’une heure de conversation au total sur la soirée, je ne sais que son nom, qu’il est métis et qu’il habite à 100km de chez moi. Pourtant, je lui ai proposé de me rejoindre, je lui ai donné mon adresse, et je me retrouve en chemisier devant lui à 6h du mat… la situation m’étonne et m’excite.
Ses bras sont autour de moi, ses doigts parcourent mon dos, sa langue se perd entre mes lèvres, son torse comprime mes seins.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Tu as du café ?
- C’est parti ! Assieds-toi.
Nous échangeons quelques mots, il me parle de son travail la semaine. Il ne vient ici que le week-end, autrement il travaille dans un bureau. Il me dit que sa mère est Martiniquaise, son père, Belge. Il est divorcé, deux enfants.
Je dépose une tasse de café brûlant devant lui, m’assieds sur ses genoux, face à lui, ôte ma chemise. Ses doigts dégrafent mon soutien gorge. Il plonge son visage entre mes seins libérés, en lèche le bout, les mordille légèrement, je me penche en arrière sa langue descend sur mon ventre, ses mains enserrent mes hanches, il me soulève et me porte jusque sur le sofa déplié. Il s’allonge sur moi. Son corps est lourd, ferme, musclé. Sa bouche s’attarde sur mon cou, sa langue passe sur les lobes de mes oreilles, m’arrachant un petit gémissement et m’inondant de frissons. Je passe ma main sur son crâne… Je souris… Il se relève, défait les lacets de ses chaussures, ôte son tee-shirt. Son corps est parfaitement dessiné, sa peau café au lait. Il défait sa ceinture. Je m’assieds sur le bord du lit et mes mains prennent la place des siennes. Elles frôlent les boutons fermant son jeans, je peux sentir son excitation, il reste debout devant moi, me regardant, ses doigts passent dans mes cheveux, je dégrafe lentement son pantalon, dégageant son sexe déjà gonflé. Mes mains le parcourent… le mythe du black au sexe énorme… Il n’est pas énorme… pas encore…
Je fais glisser son pantalon sur ses pieds, il est nu devant moi, son sexe à quelques centimètres de mon visage, la pointe de ma langue le parcourt, mes lèvres le caressent, ses doigts se crispent dans mes cheveux. Je le regarde, il ferme les yeux, se mord la lèvre, je l’avale lentement… profondément… savourant chaque centimètre de son anatomie … Mes dents passent doucement sur lui, je le sens frémir, il surveille les opérations, étonné, peut-être même inquiet. Ma bouche se fait plus douce, mes lèvres plus gourmande, ma langue plus précise, mes mains plus actives.
Ce n’est pas qu’un mythe…
Il me renverse sur le lit, ma main continue de le caresser, la sienne joue sur mes seins en éruption. Sa langue passe sur ma bouche puis descend lentement. Je me cambre, j’entrouvre les cuisses, l’invitant à me goûter à son tour. Sa langue est insolente, ses dents aussi dévoreuses que les miennes, sa bouche se repaît de mon intimité avant de revenir près de moi et de glisser entre mes cuisses cet " obscur objet " du désir. Il m’arrache un long et profond soupir. Il est violent, brusque, sauvage. Son corps puissant me déchire, ses coups de rein sont à la limite du supportable, pourtant je le pousse à continuer, plus fort, encore, inlassablement, plus loin… jusqu’à l’épuisement total.
Son corps s’affaisse sur le mien… Ses mains se font plus douces, plus caressantes. Sa langue vient apaiser la violence de ses pénétrations. Ses baisers prolongent mon orgasme, ses doigts calment les soubresauts qui parcourent mon corps.
Il est 8h… il m’a enveloppé dans ma couette, s’est rhabillé, m’embrasse dans le cou …
- Dors bien Isa…
Je lui souris, ferme les yeux. La porte se referme…
La marquise …. Affirmant que ce n’est pas un mythe !!!
Je ne l’avais jamais vu auparavant dans ce bistrot. Il devait être nouveau. J’étais installée au bar, perchée sur un tabouret, une vodka citron à la main. Des amis à lui se tenaient juste à côté de moi. De temps à autre, il les retrouvait pour quelques déhanchements suggestifs, de temps à autre son regard croisait le mien, de temps à autre un sourire s’esquissait… La musique latino avait envoûté les serveurs du bar. Ils étaient cinq à se déhancher, à frapper dans leurs mains, à lancer bouteilles et verres à la " Tom Cruise ". Ils étaient souriants, enjoués, mon moral était au plus haut. Les voir ainsi s’amuser me donnait envie de faire la fête avec eux, de danser, de rire, de boire, de …. aussi , un peu… la sensualité des musiques latines m’envahissait … Mon verre était vide, je lui touchai l’épaule :
- Tu peux me resservir une vodka ?
Il me sourit, plongea ses yeux dans les miens. Je baissai le regard. Il était grand, plus d’1.85m. Un verre plein se posa devant moi, je lui tendis 5euros, il fit un clin d’œil.
- C’est pour moi. Tu es seule ?
- Oui.
- Toute seule ?
- Oui.
Son sourire s’élargit.
- Je ne t’ai jamais vu ici. C’est la première fois que tu viens ?
- C’est bizarre. Je me suis dit la même chose de toi. Je venais souvent avant… Tu travailles ici depuis longtemps ?
- Depuis 3ans. Mais je viens de partir 1 mois en Martinique. Je suis rentré depuis quelques jours.
Un client l’appela, il partit, ses doigts frôlèrent ma main posée sur le bar…
- Au fait, moi, c’est Luc.
Il avait surgit derrière moi, m’avait glissé ça au creux de l’oreille. Il avait frôlé ma joue de ses lèvres et avait disparu un plateau à la main, sans que j’ai le temps de lui répondre. Mes yeux était fixé sur Luc, je ne regardais plus ce qui se passait autour de moi, je n’entendais plus la musique, il m’avait hypnotisée. Il m’adressait quelques sourires, se rapprochaient de ses amis, ses cuisses frottant contre mes genoux… il aurait suffit que je les bouge un peu et ils auraient glisser le long de sa jambe, se rapprochant de son sexe … Non, je ne pouvais pas l’allumer comme ça… pas en public, pas devant tout le monde… quoique…
Le café était plein à craquer, tout le monde était compressé, qui l’aurait vu… Lentement j’écartai un peu mes jambes, mon genou arriva à quelques centimètres de son sexe… Comme d’un accord tacite, il se rapprocha de moi, continuant sa discussion avec ses amis. Un client lui passa une commande, il avança pour mieux l’entendre, mon genou glissa largement entre ses cuisses, sa main se posa sur ma jambe, il la caressa lentement, remontant un peu. Il partit derrière le bar et revient les mains chargés de verre. Il en déposa un plein pour moi, tendit le reste au jeune homme, encaissa. Je regardais ses longs doigts pianoter sur les touches de la caisse, il me regardait en glissant les billets dans le tiroir, je ne m’en aperçus pas de suite. Quand je croisai son regard, je rougis. Il vint près de moi. Me demanda mon prénom.
Ce petit jeu continua pendant une heure environ. Une heure de sourires, de regards, de mains qui frôlent, de genoux qui touchent, de cuisses qui s’entrouvrent. Finalement, il s’approcha de moi. Ses lèvres déposèrent un baiser sur ma joue, elles étaient tendres, larges, chaudes. Il voulut partir derrière le bar, mais ma main le retint. Son visage s’approcha du mien, je l’embrassai.
Il avait beaucoup de travail, les commandes se succédaient, les garçons continuaient leur danse, les verres s’entrechoquaient, le tout entrecoupé de baisers, de plus en plus profonds, de plus en plus tendres, ses mains peu à peu touchaient ma peau, se glissaient sous mon chemisier, touchaient mes cuisses, mes fesses, ses bras passaient autour de ma taille, ses dents mordaient mes épaules dénudées, sa langue passait dans mon cou, sous mes cheveux…
5h du mat, la musique s’arrête. Le café est toujours aussi bondé, mais il faut fermer. Les garçons ne servent plus, les clients terminent leur verre puis partent peu à peu. Il me rejoint, prend ma main.
- Je fais une petite pause. Viens, on va s’asseoir là-bas.
Je le suis, il prend deux tabourets, m’en offre un, mais je me glisse entre ses jambes et me rapproche de lui. Nous nous embrassons longuement.
- Je dois encore aider les autres. Il faut remplir les frigos, ramasser les verres et les laver et compter la caisse. J’en ai pour une heure. Tu m’attends ?
- Non, il est tard, je vais rentrer. Tu veux me rejoindre quand tu as fini ?
Je lui donne mon adresse, l’embrasse et quitte l’établissement.
Rentrée chez moi, je ne sais pas s’il viendra. Je suis fatiguée, j’ai pas envie de l’attendre, j’ouvre le clic clac, ôte mes souliers, mon jeans et m’endors.
6h … je décroche le parlophone.
- C’est moi. Je peux monter ?
Je suis un peu surprise… nous n’avons pas du partager plus d’une heure de conversation au total sur la soirée, je ne sais que son nom, qu’il est métis et qu’il habite à 100km de chez moi. Pourtant, je lui ai proposé de me rejoindre, je lui ai donné mon adresse, et je me retrouve en chemisier devant lui à 6h du mat… la situation m’étonne et m’excite.
Ses bras sont autour de moi, ses doigts parcourent mon dos, sa langue se perd entre mes lèvres, son torse comprime mes seins.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Tu as du café ?
- C’est parti ! Assieds-toi.
Nous échangeons quelques mots, il me parle de son travail la semaine. Il ne vient ici que le week-end, autrement il travaille dans un bureau. Il me dit que sa mère est Martiniquaise, son père, Belge. Il est divorcé, deux enfants.
Je dépose une tasse de café brûlant devant lui, m’assieds sur ses genoux, face à lui, ôte ma chemise. Ses doigts dégrafent mon soutien gorge. Il plonge son visage entre mes seins libérés, en lèche le bout, les mordille légèrement, je me penche en arrière sa langue descend sur mon ventre, ses mains enserrent mes hanches, il me soulève et me porte jusque sur le sofa déplié. Il s’allonge sur moi. Son corps est lourd, ferme, musclé. Sa bouche s’attarde sur mon cou, sa langue passe sur les lobes de mes oreilles, m’arrachant un petit gémissement et m’inondant de frissons. Je passe ma main sur son crâne… Je souris… Il se relève, défait les lacets de ses chaussures, ôte son tee-shirt. Son corps est parfaitement dessiné, sa peau café au lait. Il défait sa ceinture. Je m’assieds sur le bord du lit et mes mains prennent la place des siennes. Elles frôlent les boutons fermant son jeans, je peux sentir son excitation, il reste debout devant moi, me regardant, ses doigts passent dans mes cheveux, je dégrafe lentement son pantalon, dégageant son sexe déjà gonflé. Mes mains le parcourent… le mythe du black au sexe énorme… Il n’est pas énorme… pas encore…
Je fais glisser son pantalon sur ses pieds, il est nu devant moi, son sexe à quelques centimètres de mon visage, la pointe de ma langue le parcourt, mes lèvres le caressent, ses doigts se crispent dans mes cheveux. Je le regarde, il ferme les yeux, se mord la lèvre, je l’avale lentement… profondément… savourant chaque centimètre de son anatomie … Mes dents passent doucement sur lui, je le sens frémir, il surveille les opérations, étonné, peut-être même inquiet. Ma bouche se fait plus douce, mes lèvres plus gourmande, ma langue plus précise, mes mains plus actives.
Ce n’est pas qu’un mythe…
Il me renverse sur le lit, ma main continue de le caresser, la sienne joue sur mes seins en éruption. Sa langue passe sur ma bouche puis descend lentement. Je me cambre, j’entrouvre les cuisses, l’invitant à me goûter à son tour. Sa langue est insolente, ses dents aussi dévoreuses que les miennes, sa bouche se repaît de mon intimité avant de revenir près de moi et de glisser entre mes cuisses cet " obscur objet " du désir. Il m’arrache un long et profond soupir. Il est violent, brusque, sauvage. Son corps puissant me déchire, ses coups de rein sont à la limite du supportable, pourtant je le pousse à continuer, plus fort, encore, inlassablement, plus loin… jusqu’à l’épuisement total.
Son corps s’affaisse sur le mien… Ses mains se font plus douces, plus caressantes. Sa langue vient apaiser la violence de ses pénétrations. Ses baisers prolongent mon orgasme, ses doigts calment les soubresauts qui parcourent mon corps.
Il est 8h… il m’a enveloppé dans ma couette, s’est rhabillé, m’embrasse dans le cou …
- Dors bien Isa…
Je lui souris, ferme les yeux. La porte se referme…
La marquise …. Affirmant que ce n’est pas un mythe !!!
Mar 20 Jan 2004, 10:44 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
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La photo recollée, Forums d'écriture, Mon premier bonheur du jour., Que restera-t-il..., Le bal des muses, Et pourtant..., Mythe ou réalité ....,Il y a 7 textes utilisant le mot clic. Ces pages présentent les textes correspondant.
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