Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur claque
Panne de coeur
Panne de cœur
Tous les matins je me rends à mon travail et immanquablement,je croise la même voiture avec à son bord,un homme jeune et assez mignon pour ce que j’ai pu en voir en roulant.
Je m’amuse à imaginer où il peut aller,ce qu’il fait dans la vie et parfois je fantasme une rencontre(oui je sais c’est pathétique mais on s’amuse comme on peut).
Or un jour,je me retrouve sur le bas côté avec eu pneu crevé,pestant de tous les diables en cherchant mon cric dans le coffre,quand j’entends une voiture s’arrêter,une portière qui claque,des bruits de pas,et,à ma grande surprise ou plutôt devrais je dire à ma grande stupeur...mon inconnu,là en chair et en os.
Plus beau que tout ce que j’ai pu imaginer... grand,blond,de magnifiques yeux verts,océan de douceur dans lesquels on pourrait se noyer,un corps mince et musclé et un de ces sourires à faire avaler son chapelet à une nonne.
Il s’approche et me lance:
– alors on est en panne!
- non,vous voyez bien que je fais un pique nique!
- Je vois que vous gardez votre humour même dans les moments
critiques,par contre pour la sang froid on repassera
- na,na,na,na!
- Un pneu crevé c’est pas la mort,on va arranger ça!
Il enleva sa veste me laissant admirer son torse et ses bras superbement sculptés,moulés dans un tee shirt blanc qui accentuait le hâle de sa peau et se mit au travail sans se départir de son sourire. Tout cela semblait l’amuser follement.
- Mon dieu! Me dis je, rentre la langue Bridget tu te comportes comme un homme en rut!
- Arrêtez de me reluquer ça devient gênant!
- Je ne vous reluque pas m’indignais je!
- Ah bon,dommage car si les rôles étaient inversés,moi je ne pourrais pas détacher mes yeux de votre charmante personne dit il avec un regard lourd de sous entendus.
La température était montée de dix degrés d’un coup,j’avais les joues en feu et un délicieux frisson me parcourait l’échine.
Tellement troublée,je n’avais pas remarqué qu’il avait fini et s’était approché de moi. Il planta son superbe regard dans le mien,mon cœur battait la chamade. DU bout des doigts il me caressa le visage et de son pouce suivit les contours de ma bouche en un geste sensuel et tendre à la fois,son souffle était rauque,ses lèvres se posèrent sur les miennes et notre baiser fut doux d’abord,puis,se fit plus avide et passionné. Me prenant par la main,il me fit entrer dans sa voiture,se mit au volant et nous entrâmes dans la forêt toute proche.
Nous passâmes à l’arrière et sans nous quitter des yeux,nous fîmes l’amour. C’était un délice,ses mains chaudes qui parcouraient mon corps,sa bouche qui déposait des baisers sur ma peau qui frissonnait. Il se montrait un amant doux et attentionné avec un brin de fougue et nous atteignirent l’extase en même temps.
Nous nous séparâmes dans un état second,pressés par nos obligations professionnelles(je ne peux pas leur faire croire qu’il me faut deux heures pour changer une roue,d’accord je suis blonde mais quand même).
- Au fait tu t’appelles comment ?
Bridget !
- Comme Bridget Fonda !
- Moi je serai plutôt Bridget Jones
- Enchanté,moi c’est Marc dit il en éclatant de rire.
Ce délicieux intermède s’était passé le vendredi et toute la semaine suivante je ne croisais pas la voiture de mon bel inconnu et j’en ressenti un pincement au cœur.
Mais le lundi suivant,je vis un véhicule garé sur le bas côté,c’était le sien et je m’arrêtais pour aller à sa rencontre.
- Alors on est en panne !
- Non je fais un pique nique !
Tous les matins je me rends à mon travail et immanquablement,je croise la même voiture avec à son bord,un homme jeune et assez mignon pour ce que j’ai pu en voir en roulant.
Je m’amuse à imaginer où il peut aller,ce qu’il fait dans la vie et parfois je fantasme une rencontre(oui je sais c’est pathétique mais on s’amuse comme on peut).
Or un jour,je me retrouve sur le bas côté avec eu pneu crevé,pestant de tous les diables en cherchant mon cric dans le coffre,quand j’entends une voiture s’arrêter,une portière qui claque,des bruits de pas,et,à ma grande surprise ou plutôt devrais je dire à ma grande stupeur...mon inconnu,là en chair et en os.
Plus beau que tout ce que j’ai pu imaginer... grand,blond,de magnifiques yeux verts,océan de douceur dans lesquels on pourrait se noyer,un corps mince et musclé et un de ces sourires à faire avaler son chapelet à une nonne.
Il s’approche et me lance:
– alors on est en panne!
- non,vous voyez bien que je fais un pique nique!
- Je vois que vous gardez votre humour même dans les moments
critiques,par contre pour la sang froid on repassera
- na,na,na,na!
- Un pneu crevé c’est pas la mort,on va arranger ça!
Il enleva sa veste me laissant admirer son torse et ses bras superbement sculptés,moulés dans un tee shirt blanc qui accentuait le hâle de sa peau et se mit au travail sans se départir de son sourire. Tout cela semblait l’amuser follement.
- Mon dieu! Me dis je, rentre la langue Bridget tu te comportes comme un homme en rut!
- Arrêtez de me reluquer ça devient gênant!
- Je ne vous reluque pas m’indignais je!
- Ah bon,dommage car si les rôles étaient inversés,moi je ne pourrais pas détacher mes yeux de votre charmante personne dit il avec un regard lourd de sous entendus.
La température était montée de dix degrés d’un coup,j’avais les joues en feu et un délicieux frisson me parcourait l’échine.
Tellement troublée,je n’avais pas remarqué qu’il avait fini et s’était approché de moi. Il planta son superbe regard dans le mien,mon cœur battait la chamade. DU bout des doigts il me caressa le visage et de son pouce suivit les contours de ma bouche en un geste sensuel et tendre à la fois,son souffle était rauque,ses lèvres se posèrent sur les miennes et notre baiser fut doux d’abord,puis,se fit plus avide et passionné. Me prenant par la main,il me fit entrer dans sa voiture,se mit au volant et nous entrâmes dans la forêt toute proche.
Nous passâmes à l’arrière et sans nous quitter des yeux,nous fîmes l’amour. C’était un délice,ses mains chaudes qui parcouraient mon corps,sa bouche qui déposait des baisers sur ma peau qui frissonnait. Il se montrait un amant doux et attentionné avec un brin de fougue et nous atteignirent l’extase en même temps.
Nous nous séparâmes dans un état second,pressés par nos obligations professionnelles(je ne peux pas leur faire croire qu’il me faut deux heures pour changer une roue,d’accord je suis blonde mais quand même).
- Au fait tu t’appelles comment ?
Bridget !
- Comme Bridget Fonda !
- Moi je serai plutôt Bridget Jones
- Enchanté,moi c’est Marc dit il en éclatant de rire.
Ce délicieux intermède s’était passé le vendredi et toute la semaine suivante je ne croisais pas la voiture de mon bel inconnu et j’en ressenti un pincement au cœur.
Mais le lundi suivant,je vis un véhicule garé sur le bas côté,c’était le sien et je m’arrêtais pour aller à sa rencontre.
- Alors on est en panne !
- Non je fais un pique nique !
Mer 11 Mai 2016, 20:32 par
Bridget sur Les liaisons sulfureuses
L'amour est-il un crime ? chapitre 3
Coucou, merci à toi inlove pour ton commentaire ^^ donc voici le chapitre 3, bonne lecture.
Chapitre 3 : Attirance et amour
Point de vue Narrateur.
Depuis l’accident de Michiru 1 mois venais de s’écouler, nous sommes au mois d’octobre mois ou l’été s’estompte et laisse place à l’automne saison ou les feuille multicolor virevolte au gré du vent. Aujourd’hui c’est mercredi, et tout les élèves trépigne d’impatience à ce que midi arrive.
Haruka – bon alors est ce que quelqu’un peut me dire quel est le coeficient de ce tableau ?
Bien sûr le professeur savait parfaitement que personne hormis sa petite protégée allait répondre.
Haruka – bon … Puisque personne na l’air de vouloir répondre , je peux en prendre quelque uns pour rester avec moi cet après-midi !
Elève – pff et à quoi cela vous servirez ?
Haruka -déjà à t’apprendre à mieux parler à un professeur jeune fille … Et puisque tu semble vouloir prendre la parole, peut tu répondre à ma question ?
Haruka d’un air sévère, se dirige vers la table de son élève et les sourcils froncés elle déclare :
Haruka – alors, mademoiselle Jolie, j’attend votre réponse !
Jolie – vous n’avais cas demander à cette petite trainé au cheveux bleu !
La s’en fut trop, la jeune femme claque violemment ses mains sur la table de Jolie, et dit d’un ton sec :
Haruka – bon sa suffit !!! j’en est plus qu’assez de tes propos, maintenant tu prend tes affaires et tu file chez le directeur, et tu restera avec moi en salle de retenue cette après-midi !
Jolie – mais …
Haruka – il n’y a pas de mais, quand je donne un ordre il faut qu’il soit exécuté !
Plusieurs soufflements se fait entendre de mademoiselle Jolie qui prit ses affaires et fila rouge de honte vers la sortie.
Haruka – maintenant que j’en surprêne un seul à faire des réflexions et ce sera le même sort compris ?
Tous – oui professeur !!!!
Michiru se met discrètement à sourire, eh bien c’est que Haruka a beaucoup de caractère pense la jeune fille en écrivant son cour. Puis viens enfin l’heure tant attendue des élèves, midi. Chacun se hâte à ranger ses affaires et de sortir aussitôt de la sale de cour. Seul Michiru resté en retrait en prenant tout son temps pour ranger ses affaires.
La jeune femme blonde efface le tableau et se met à soupirer d’ennui. Se qui fit rire sa jeune élève qui venais de mettre son sac sur l’épaule et descend doucement chaque marche avec ses béquilles.
En effet depuis son accident Michiru avait reçu pour ordre d’être mis sous béquille et ceci jusqu’à la guérison total de sa hanche droite qui avait reçu un choc et donc lui avait valut six points de sutures.
Michiru – rappel moi de ne jamais te mettre en colère !
Dit elle en riant. Haruka eu un petit sourire, elle prend ses affaires et dit en se dirigeant vers la sortie :
Haruka – je te fait peur à ce point ? Se met aussi à rire
Michiru – tu as tout de même une forte voix … Donc je préfère éviter.
Elle s’échangent un doux sourire ainsi qu’un petit regard amoureux, et c’est avec le cœur léger qu’elles entament toutes les deux leur marche à travers le couloir.
Michiru – dis … Tu vas vraiment rester ici cet après-midi ?
Haruka – oui, et puis il serait tant que je donne une petite correction à cette fille qui commence sérieusement à m’énerver.
Michiru – bon, ok !
Haruka – mais ne t’inquiète pas, je serait de retour à la maison dès qu’elle aura l’obligeance de venir s’excuser.
Michiru – ok, bah moi vue que je suis dispensé de sport cette année, je vais rester à la maison et peut être commencer à faire mes devoirs comme sa je serait tranquille toute la journée !
Haruka- sage dessision.
Toute deux se sourirent, puis arrivé à l’entrée du couloir, la jeune femme blonde se penche et vint tendrement embrasser le front de Michiru qui se sentait mourir par ses gestes de tendresse. Elle lui embrasse tendrement la joue, et parti direction les casiers des filles afin de poser ses affaires.
PDV Michiru.
Après avoir quittée la salle de cour, je me suis directement dirigé vers les casier afin d’y déposer mes affaires. Tout en marchant mes cahiers à la main je ne cesser de penser à Haruka. Cette si belle femme blonde aux charmes masculin faisait fondre mon cœur, même si ce que nous faisons est interdit je suis si heureuse de l’avoir à mes côtés et pas que en tant que professeur non, surtout en tant que la femme que j’aime et désir plus que quiconque. Soudain mon portable se met à vibrer, étonné je sort ce dernier de ma poche et consulte l’appareil.
C’était un message … D’Haruka, je me met à sourire bêtement, comme une fille qui reçoit un sms du plus beau garçon du campus. Sauf que moi c’est de loin être le plus beau play boy non non … Moi c’est beaucoup mieux, puisqu’il s’agit de la femme que j’aime. Sans perdre un instant j’ouvre ma messagerie et vint lire le message :
« Fais attention quand tu rentres »
je reste plusieurs minutes à relir le message, un petit sourire en coin, vraiment elle est adorable peut être plus vieille que moi mais elle est vraiment la femme parfaite à mes yeux, depuis mon premier jour dans ce lycée et même quand mon accident est venue subitement elle a était la première à être la, elle ne ma pas juger non elle ma accepté tel que je suis et c’est bien sa qui me rend le plus heureuse.
Je décide donc de lui répondre.
« et toi fait attention de ne pas sortir tes crocs lol ! Oui ne t’inquiète pas dès que je suis arrivé je t’envoie un sms »
et je lui envoya. Je ferme mon casier à l’aide du cadenas et parti manger. Après une attente interminable, je réussi à entrer dans le refectoire, et Cléo une fille supère gentil qui m’aide de tant à autre depuis mon accident me porte le plateau, elle mangea même avec moi.
Cléo – alors Michi sa va mieux ?
Moi – bof, j’ai encore des douleurs au niveau de la hanche, et sa s’arrange pas avec le traitement que je suis qui est tout bonnement imonde.
Cléo – ah ah ma pauvre.
Moi – et toi sinon ça va ?
Cléo – bah comme d’hab quoi Emma qui me pourri l’existance avec ses vues sur le professeur Tenoh.
Qu … Quoi ?? cette petite ingrate est amoureuse de … Haruka ? Même si je sais que cela est impossible j’eu vraiment mal au cœur, je n’aie aucune envie de perdre cette si jolie blonde qui est la cause de mes battements violent de mon cœur, qui est la cause de tout ses petit sourire innocant ou chargé de sous entendu, non il est absolument hors de question que je lui laisse je l’aime sincèrement même si je ne lui jamais dit j’en suis éperdument amoureuse et ferais tout pour la voir sourire, rire et heureuse.
Moi – bah viens en cours, et tu verra que c’est pas l’amour fou !
Cléo – je veux bien te croire, je connais Emma depuis l’enfance et je c’est qu’elle est prête à tout pour obtenir se qu’elle veux. Enfin bon personne ne pourra la changer !
Moi - sa c’est sur.
Cléo – et sinon toi les amours sa rool ?
À cette question, je me met violemment à rougir, je prend mon verre, et le porte à ma bouche afin d’éviter d’y répondre.
Cléo – alors es ce qu’il y a un beau garçon qui t’interesse.
Moi – si je te le dis, tu promet de garder sa pour toi de ne le dire à personne, et de ne pas me juger ?
Cléo – houa c’est tout de même pas une affaire d’état rassure moi ?
Moi – non non … Enfin, il y a bien quelqu’un qui m’interesse et très fortement !
Cléo – ah … Que c’est beau l’amour, alors dis moi c’est qui c’est qui c’est qui ?
Moi – je suis très amoureuse du professeur Tenoh.
À sa tête, je remarque la surprise ainsi que la décomposition. Avais-je bien fait de lui dire ?
Cléo – quoi ? Mais tu c’est que c’est interdit !
Moi – merci de me faire redescendre sur terre.
Cléo – oups désolé, c’est juste que sa ma surprise sur le moment, mais sérieux tu aimes c’te prof ?
Moi – oui, j’en suis même éperdument amoureuse.
Elle ne dis rien, juste à me lancer plusieurs regards surpris et intérogateur. A la fin de mon repas, Cléo m’aida à porter mon plateau, en passant dans l’allé central j’eu droit à des sifflements et cela m’irriter. Une fois dehors, je me tourne vers mon ami et lui dit :
Moi – bon je rentre à demain !
Cléo – oui à demain Michi !!
on s’échangent un rapide sourire, et je parti chercher mes affaires afin de rentré pour de bon à la maison. J’ouvre mon casier, prend mon sac, le met sur mon épaule, referme la petite porte à clé, et parti direction la sortie du lycée.
Ah … Sérieusement je me demande comment va se passer cette année, en plus dans pas très longtemps je serait majeur et vacciné, se qui veux dire que même en dehors des cours je pourrais enfin être librement avec elle. Après quelques minutes de trajet à pied du moins en béquilles, je sort une petite clé argenter de mon sac, l’infiltre dans la serrure tourne trois fois vers la droite, et rentra enfin à l’intérieur.
Comme je ne pouvais pas monter à l’étage, je pose mon sac de cour à côté de la table basse du salon et allai prendre place sur un des poufs qui trônais dans la pièce.
En y repensant, j’ai promis à Haruka de lui envoyer un sms lui disant que j’étais enfin rentré. Je prend mon cellulaire, et d’une main vif je tapote sur le clavier, et lui envoya.
En attendant, je déboutonne ma veste et la retire me retrouvant en chemisier blanc. Je retire l’élastique de mes cheveux, et donne trois petit coups de tête vers la droite puis la gauche, je prend mon sac sort mes cahiers, met en place mes petites lunettes rectangulaire noir et commence par réviser mon français. Matière ou je ne suis pas sous les feux des projecteurs.
Pff j’y comprend absolument rien, je préfère largement un cours de math qu’un cour de français, je n’aie jamais était brillante dans cette matière, en plus je dois travailler sur un exposé qui à pour thème la liberté d’expression concernant les relations entre deux hommes ou deux femmes, j’ai le choix mais bon, je n’aie jamais ressenti ce genre de chose et sa s’avère être plus compliquer que prévue.
Vite que Haruka revienne de la retenu de cette peste, rah cella-là si j’avais assez de courage je lui dirais ses quatre vérité croyez moi. Bon aller assez traîner, je vais faire un peu de nettoyage, je lui dois bien sa après tout. Je ferme mon cahier avec bonheur et je m’attaquerais ensuite par la langue vivante.
Je commence à ramasser quelques vêtements qui jonche le sol par ci par là. Je les conduit en machine à laver, jette un œil à l’étiquetage, et commence à remplir la machine. Après avoir mis cette dernière en route je me dirige vers la cuisine en essayant de ne pas forcer sur ma hanche car je n’aie pas prit mes béquilles. Je commence à mettre la vaisselle sale dans le lave vaisselle, et range les quelques magasine et livre de cuisine à leurs place. Je retourne dans le salon et alla ouvrir la fenêtre tout en fermant à moitié les volets. Pour je ne sais quel raison j’avais envie de déployer mes ailes prendre mon courage à deux main et avouer avec fierté les sentiments que j’éprouve à son égard, j’avais envie que les choses change, je l’aime et sa je le sais je ne peux pas me le cacher.
Après quelques heures Haruka était enfin de retour, et moi je m’étais remis au travail. Sa main douce vient ébouriffer ma chevelure se qui me fit rougir, je la regarde s’éloigner et mes yeux la détail de plus prêt.
Moi – dites moi professeur si un nombre fini par 0 je dois le multiplier par x ou y ?
Bien sur je connais la réponse mais j’avais envie de l’embêter un peux. Je sent mon visage se soulever, et mes yeux azur croise son regard émeraude. Il est tellement beau emprunt d’une petite étincelle magique. Elle me retire les lunettes, et sa voix douce que j’aimais entendre résonne dans l’aire que nous partagions toute deux.
Haruka – il me semble que je te l’ai déjà enseigner non ?
Moi – oui mais beaucoup de chose c’est produit depuis, un petit rafraichissement de mémoire serait la bienvenue.
Haruka – hm je voie sa, mais à une seule condition !
Moi – mais c’est que j’ai le droit à du chantage en plus ? Hm … Que désirez-vous ?
Haruka – arrête donc de m’appeller ainsi à la maison.
Moi – et comment voudriez-vous que je vous appelle pro.fe.ss.eur !
Elle me sourit, un petit sourire coquin qu’elle me fait souvent quand ont s’emportent dans l’un de ses petits amusements. Et cela me fait bien rire. Je porte ma main à sa joue et la caresse doucement.
Haruka – appelle moi juste Haruka !
Moi – entendue Ha.ru.ka.
Je me suis levé doucement en faisant attention à ma hanche et je me suis mise dans ses bras. Allongeant mes bras sur ses épaules, et rapprochant doucement mon visage du sien.
Moi – Haruka … Je … J’ai … Enfin, j’ai quel … Que chose à te dire !
Haruka – d’accord mais avant laisse moi te dire une chose importante.
Moi – ou … Oui vas y je … Je t’écoute !
Je ne contrôler plus mes rougeurs qui se multipliés à vue d’oeil. Je sent ses bras descendre à mon dos, et sa mains me pousse afin que je me retrouve contre elle. Dans peut de temps je sent que je ne vais plus tenir, mon cœur s’accelaire de plus en plus et son sourire qui m’éblouit, vraiment pourquoi est tu si cruelle jolie blonde de mon cœur ?
Haruka – Michiru, ce que je vais te dire, je ne les jamais dis à personne !
Moi – tu commence à me faire peur !
Haruka – Michiru bien que tu sois mon élève en cours, depuis que tes yeux … Tes si jolie yeux ont rencontré les miens je … Je t’avoue que tu fait tourner mon cœur.
Haruka … Qu’essai tu de me dire exactement ? Bien que j’en est une vague idée, je me refusé d’y croire, sa serait tellement beau.
Haruka – Ma tendre et cher Michiru … Je t’aime !
Je n’eue le temps de répondre que ces lèvres s’emparent tendrement des miennes. Je … Je n’arrive pas à le croire, alors ces sentiments son égaux au miens, je me sent légère et heureuse. Je m’approche d’elle et répond amoureusement à son baiser.
Mes mains descendent et se mettent au niveaux de son cou, mes doigts l’agrippent, et mes pouces crée un léger et doux frottement, alors que je désespérer à lever la pointe des pied afin d’être à sa hauteur. Ses mains réchauffes mon corps, et notre baiser prend un peut plus d’ampleur.
Je laisse doucement ma langue glisser dans sa bouche et alla rejoindre la sienne, c’est un rêve … Oui c’est sa un rêve un magnifique rêve que je suis en train de faire, et je ne veux pas me réveiller. Pourtant je me rappelle de ma discussion avec Cléo du renvoi de cette pimbêche aux cheveux prune.
Je me senti soulever, mais je n’ose pas ouvrir mes yeux de peur que tout s’arrête, ce moment ou je me retrouve contre elle en train de l’embrasser, j’en rêve depuis un mois, alors mieux vaut être heureuse et continuer à dormir en faisant ce doux rêve exotique.
Je sent mon corps s’allonger sur quelques chose, sûrement le canapé, et une agréable chaleur envahie mon être, des mains … Ses mains qui caresse mes joues et descendent jusqu’à mes hanches. Une décharge me parvient au cœur quand je ressentit la douleur de ma hanche droite, alors, je ne rêvé pas ? Haruka était bel et bien en train de m’embrasser, j’entoure sa nuque et la rapproche de moi afin d’être au comble du bonheur. Nos lèvres se détachent, et nos yeux se rencontrent, son corps s’allonge sur le mien et son front caresse son partenaire. Voila un petit côté d’elle que j’ignorais, mais cela ne me déplais pas pour autant.
Haruka – Je t’aime Michiru.
Je lui caresse le visage, un énorme sourire aux lèvres et l’envie de pleurer de joie. Et sans la faire attendre je l’embrasse de nouveau avec amour et passion. Voulant graver ce moment dans mon cœur.
Nous avons passer le reste du temps à nous chamailler et à nous faire des câlins quel bonheur, mais va vraiment falloir que j’arrive à lui dire.
Et voila la fin de ce troisième chapitre ^^
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Chapitre 3 : Attirance et amour
Point de vue Narrateur.
Depuis l’accident de Michiru 1 mois venais de s’écouler, nous sommes au mois d’octobre mois ou l’été s’estompte et laisse place à l’automne saison ou les feuille multicolor virevolte au gré du vent. Aujourd’hui c’est mercredi, et tout les élèves trépigne d’impatience à ce que midi arrive.
Haruka – bon alors est ce que quelqu’un peut me dire quel est le coeficient de ce tableau ?
Bien sûr le professeur savait parfaitement que personne hormis sa petite protégée allait répondre.
Haruka – bon … Puisque personne na l’air de vouloir répondre , je peux en prendre quelque uns pour rester avec moi cet après-midi !
Elève – pff et à quoi cela vous servirez ?
Haruka -déjà à t’apprendre à mieux parler à un professeur jeune fille … Et puisque tu semble vouloir prendre la parole, peut tu répondre à ma question ?
Haruka d’un air sévère, se dirige vers la table de son élève et les sourcils froncés elle déclare :
Haruka – alors, mademoiselle Jolie, j’attend votre réponse !
Jolie – vous n’avais cas demander à cette petite trainé au cheveux bleu !
La s’en fut trop, la jeune femme claque violemment ses mains sur la table de Jolie, et dit d’un ton sec :
Haruka – bon sa suffit !!! j’en est plus qu’assez de tes propos, maintenant tu prend tes affaires et tu file chez le directeur, et tu restera avec moi en salle de retenue cette après-midi !
Jolie – mais …
Haruka – il n’y a pas de mais, quand je donne un ordre il faut qu’il soit exécuté !
Plusieurs soufflements se fait entendre de mademoiselle Jolie qui prit ses affaires et fila rouge de honte vers la sortie.
Haruka – maintenant que j’en surprêne un seul à faire des réflexions et ce sera le même sort compris ?
Tous – oui professeur !!!!
Michiru se met discrètement à sourire, eh bien c’est que Haruka a beaucoup de caractère pense la jeune fille en écrivant son cour. Puis viens enfin l’heure tant attendue des élèves, midi. Chacun se hâte à ranger ses affaires et de sortir aussitôt de la sale de cour. Seul Michiru resté en retrait en prenant tout son temps pour ranger ses affaires.
La jeune femme blonde efface le tableau et se met à soupirer d’ennui. Se qui fit rire sa jeune élève qui venais de mettre son sac sur l’épaule et descend doucement chaque marche avec ses béquilles.
En effet depuis son accident Michiru avait reçu pour ordre d’être mis sous béquille et ceci jusqu’à la guérison total de sa hanche droite qui avait reçu un choc et donc lui avait valut six points de sutures.
Michiru – rappel moi de ne jamais te mettre en colère !
Dit elle en riant. Haruka eu un petit sourire, elle prend ses affaires et dit en se dirigeant vers la sortie :
Haruka – je te fait peur à ce point ? Se met aussi à rire
Michiru – tu as tout de même une forte voix … Donc je préfère éviter.
Elle s’échangent un doux sourire ainsi qu’un petit regard amoureux, et c’est avec le cœur léger qu’elles entament toutes les deux leur marche à travers le couloir.
Michiru – dis … Tu vas vraiment rester ici cet après-midi ?
Haruka – oui, et puis il serait tant que je donne une petite correction à cette fille qui commence sérieusement à m’énerver.
Michiru – bon, ok !
Haruka – mais ne t’inquiète pas, je serait de retour à la maison dès qu’elle aura l’obligeance de venir s’excuser.
Michiru – ok, bah moi vue que je suis dispensé de sport cette année, je vais rester à la maison et peut être commencer à faire mes devoirs comme sa je serait tranquille toute la journée !
Haruka- sage dessision.
Toute deux se sourirent, puis arrivé à l’entrée du couloir, la jeune femme blonde se penche et vint tendrement embrasser le front de Michiru qui se sentait mourir par ses gestes de tendresse. Elle lui embrasse tendrement la joue, et parti direction les casiers des filles afin de poser ses affaires.
PDV Michiru.
Après avoir quittée la salle de cour, je me suis directement dirigé vers les casier afin d’y déposer mes affaires. Tout en marchant mes cahiers à la main je ne cesser de penser à Haruka. Cette si belle femme blonde aux charmes masculin faisait fondre mon cœur, même si ce que nous faisons est interdit je suis si heureuse de l’avoir à mes côtés et pas que en tant que professeur non, surtout en tant que la femme que j’aime et désir plus que quiconque. Soudain mon portable se met à vibrer, étonné je sort ce dernier de ma poche et consulte l’appareil.
C’était un message … D’Haruka, je me met à sourire bêtement, comme une fille qui reçoit un sms du plus beau garçon du campus. Sauf que moi c’est de loin être le plus beau play boy non non … Moi c’est beaucoup mieux, puisqu’il s’agit de la femme que j’aime. Sans perdre un instant j’ouvre ma messagerie et vint lire le message :
« Fais attention quand tu rentres »
je reste plusieurs minutes à relir le message, un petit sourire en coin, vraiment elle est adorable peut être plus vieille que moi mais elle est vraiment la femme parfaite à mes yeux, depuis mon premier jour dans ce lycée et même quand mon accident est venue subitement elle a était la première à être la, elle ne ma pas juger non elle ma accepté tel que je suis et c’est bien sa qui me rend le plus heureuse.
Je décide donc de lui répondre.
« et toi fait attention de ne pas sortir tes crocs lol ! Oui ne t’inquiète pas dès que je suis arrivé je t’envoie un sms »
et je lui envoya. Je ferme mon casier à l’aide du cadenas et parti manger. Après une attente interminable, je réussi à entrer dans le refectoire, et Cléo une fille supère gentil qui m’aide de tant à autre depuis mon accident me porte le plateau, elle mangea même avec moi.
Cléo – alors Michi sa va mieux ?
Moi – bof, j’ai encore des douleurs au niveau de la hanche, et sa s’arrange pas avec le traitement que je suis qui est tout bonnement imonde.
Cléo – ah ah ma pauvre.
Moi – et toi sinon ça va ?
Cléo – bah comme d’hab quoi Emma qui me pourri l’existance avec ses vues sur le professeur Tenoh.
Qu … Quoi ?? cette petite ingrate est amoureuse de … Haruka ? Même si je sais que cela est impossible j’eu vraiment mal au cœur, je n’aie aucune envie de perdre cette si jolie blonde qui est la cause de mes battements violent de mon cœur, qui est la cause de tout ses petit sourire innocant ou chargé de sous entendu, non il est absolument hors de question que je lui laisse je l’aime sincèrement même si je ne lui jamais dit j’en suis éperdument amoureuse et ferais tout pour la voir sourire, rire et heureuse.
Moi – bah viens en cours, et tu verra que c’est pas l’amour fou !
Cléo – je veux bien te croire, je connais Emma depuis l’enfance et je c’est qu’elle est prête à tout pour obtenir se qu’elle veux. Enfin bon personne ne pourra la changer !
Moi - sa c’est sur.
Cléo – et sinon toi les amours sa rool ?
À cette question, je me met violemment à rougir, je prend mon verre, et le porte à ma bouche afin d’éviter d’y répondre.
Cléo – alors es ce qu’il y a un beau garçon qui t’interesse.
Moi – si je te le dis, tu promet de garder sa pour toi de ne le dire à personne, et de ne pas me juger ?
Cléo – houa c’est tout de même pas une affaire d’état rassure moi ?
Moi – non non … Enfin, il y a bien quelqu’un qui m’interesse et très fortement !
Cléo – ah … Que c’est beau l’amour, alors dis moi c’est qui c’est qui c’est qui ?
Moi – je suis très amoureuse du professeur Tenoh.
À sa tête, je remarque la surprise ainsi que la décomposition. Avais-je bien fait de lui dire ?
Cléo – quoi ? Mais tu c’est que c’est interdit !
Moi – merci de me faire redescendre sur terre.
Cléo – oups désolé, c’est juste que sa ma surprise sur le moment, mais sérieux tu aimes c’te prof ?
Moi – oui, j’en suis même éperdument amoureuse.
Elle ne dis rien, juste à me lancer plusieurs regards surpris et intérogateur. A la fin de mon repas, Cléo m’aida à porter mon plateau, en passant dans l’allé central j’eu droit à des sifflements et cela m’irriter. Une fois dehors, je me tourne vers mon ami et lui dit :
Moi – bon je rentre à demain !
Cléo – oui à demain Michi !!
on s’échangent un rapide sourire, et je parti chercher mes affaires afin de rentré pour de bon à la maison. J’ouvre mon casier, prend mon sac, le met sur mon épaule, referme la petite porte à clé, et parti direction la sortie du lycée.
Ah … Sérieusement je me demande comment va se passer cette année, en plus dans pas très longtemps je serait majeur et vacciné, se qui veux dire que même en dehors des cours je pourrais enfin être librement avec elle. Après quelques minutes de trajet à pied du moins en béquilles, je sort une petite clé argenter de mon sac, l’infiltre dans la serrure tourne trois fois vers la droite, et rentra enfin à l’intérieur.
Comme je ne pouvais pas monter à l’étage, je pose mon sac de cour à côté de la table basse du salon et allai prendre place sur un des poufs qui trônais dans la pièce.
En y repensant, j’ai promis à Haruka de lui envoyer un sms lui disant que j’étais enfin rentré. Je prend mon cellulaire, et d’une main vif je tapote sur le clavier, et lui envoya.
En attendant, je déboutonne ma veste et la retire me retrouvant en chemisier blanc. Je retire l’élastique de mes cheveux, et donne trois petit coups de tête vers la droite puis la gauche, je prend mon sac sort mes cahiers, met en place mes petites lunettes rectangulaire noir et commence par réviser mon français. Matière ou je ne suis pas sous les feux des projecteurs.
Pff j’y comprend absolument rien, je préfère largement un cours de math qu’un cour de français, je n’aie jamais était brillante dans cette matière, en plus je dois travailler sur un exposé qui à pour thème la liberté d’expression concernant les relations entre deux hommes ou deux femmes, j’ai le choix mais bon, je n’aie jamais ressenti ce genre de chose et sa s’avère être plus compliquer que prévue.
Vite que Haruka revienne de la retenu de cette peste, rah cella-là si j’avais assez de courage je lui dirais ses quatre vérité croyez moi. Bon aller assez traîner, je vais faire un peu de nettoyage, je lui dois bien sa après tout. Je ferme mon cahier avec bonheur et je m’attaquerais ensuite par la langue vivante.
Je commence à ramasser quelques vêtements qui jonche le sol par ci par là. Je les conduit en machine à laver, jette un œil à l’étiquetage, et commence à remplir la machine. Après avoir mis cette dernière en route je me dirige vers la cuisine en essayant de ne pas forcer sur ma hanche car je n’aie pas prit mes béquilles. Je commence à mettre la vaisselle sale dans le lave vaisselle, et range les quelques magasine et livre de cuisine à leurs place. Je retourne dans le salon et alla ouvrir la fenêtre tout en fermant à moitié les volets. Pour je ne sais quel raison j’avais envie de déployer mes ailes prendre mon courage à deux main et avouer avec fierté les sentiments que j’éprouve à son égard, j’avais envie que les choses change, je l’aime et sa je le sais je ne peux pas me le cacher.
Après quelques heures Haruka était enfin de retour, et moi je m’étais remis au travail. Sa main douce vient ébouriffer ma chevelure se qui me fit rougir, je la regarde s’éloigner et mes yeux la détail de plus prêt.
Moi – dites moi professeur si un nombre fini par 0 je dois le multiplier par x ou y ?
Bien sur je connais la réponse mais j’avais envie de l’embêter un peux. Je sent mon visage se soulever, et mes yeux azur croise son regard émeraude. Il est tellement beau emprunt d’une petite étincelle magique. Elle me retire les lunettes, et sa voix douce que j’aimais entendre résonne dans l’aire que nous partagions toute deux.
Haruka – il me semble que je te l’ai déjà enseigner non ?
Moi – oui mais beaucoup de chose c’est produit depuis, un petit rafraichissement de mémoire serait la bienvenue.
Haruka – hm je voie sa, mais à une seule condition !
Moi – mais c’est que j’ai le droit à du chantage en plus ? Hm … Que désirez-vous ?
Haruka – arrête donc de m’appeller ainsi à la maison.
Moi – et comment voudriez-vous que je vous appelle pro.fe.ss.eur !
Elle me sourit, un petit sourire coquin qu’elle me fait souvent quand ont s’emportent dans l’un de ses petits amusements. Et cela me fait bien rire. Je porte ma main à sa joue et la caresse doucement.
Haruka – appelle moi juste Haruka !
Moi – entendue Ha.ru.ka.
Je me suis levé doucement en faisant attention à ma hanche et je me suis mise dans ses bras. Allongeant mes bras sur ses épaules, et rapprochant doucement mon visage du sien.
Moi – Haruka … Je … J’ai … Enfin, j’ai quel … Que chose à te dire !
Haruka – d’accord mais avant laisse moi te dire une chose importante.
Moi – ou … Oui vas y je … Je t’écoute !
Je ne contrôler plus mes rougeurs qui se multipliés à vue d’oeil. Je sent ses bras descendre à mon dos, et sa mains me pousse afin que je me retrouve contre elle. Dans peut de temps je sent que je ne vais plus tenir, mon cœur s’accelaire de plus en plus et son sourire qui m’éblouit, vraiment pourquoi est tu si cruelle jolie blonde de mon cœur ?
Haruka – Michiru, ce que je vais te dire, je ne les jamais dis à personne !
Moi – tu commence à me faire peur !
Haruka – Michiru bien que tu sois mon élève en cours, depuis que tes yeux … Tes si jolie yeux ont rencontré les miens je … Je t’avoue que tu fait tourner mon cœur.
Haruka … Qu’essai tu de me dire exactement ? Bien que j’en est une vague idée, je me refusé d’y croire, sa serait tellement beau.
Haruka – Ma tendre et cher Michiru … Je t’aime !
Je n’eue le temps de répondre que ces lèvres s’emparent tendrement des miennes. Je … Je n’arrive pas à le croire, alors ces sentiments son égaux au miens, je me sent légère et heureuse. Je m’approche d’elle et répond amoureusement à son baiser.
Mes mains descendent et se mettent au niveaux de son cou, mes doigts l’agrippent, et mes pouces crée un léger et doux frottement, alors que je désespérer à lever la pointe des pied afin d’être à sa hauteur. Ses mains réchauffes mon corps, et notre baiser prend un peut plus d’ampleur.
Je laisse doucement ma langue glisser dans sa bouche et alla rejoindre la sienne, c’est un rêve … Oui c’est sa un rêve un magnifique rêve que je suis en train de faire, et je ne veux pas me réveiller. Pourtant je me rappelle de ma discussion avec Cléo du renvoi de cette pimbêche aux cheveux prune.
Je me senti soulever, mais je n’ose pas ouvrir mes yeux de peur que tout s’arrête, ce moment ou je me retrouve contre elle en train de l’embrasser, j’en rêve depuis un mois, alors mieux vaut être heureuse et continuer à dormir en faisant ce doux rêve exotique.
Je sent mon corps s’allonger sur quelques chose, sûrement le canapé, et une agréable chaleur envahie mon être, des mains … Ses mains qui caresse mes joues et descendent jusqu’à mes hanches. Une décharge me parvient au cœur quand je ressentit la douleur de ma hanche droite, alors, je ne rêvé pas ? Haruka était bel et bien en train de m’embrasser, j’entoure sa nuque et la rapproche de moi afin d’être au comble du bonheur. Nos lèvres se détachent, et nos yeux se rencontrent, son corps s’allonge sur le mien et son front caresse son partenaire. Voila un petit côté d’elle que j’ignorais, mais cela ne me déplais pas pour autant.
Haruka – Je t’aime Michiru.
Je lui caresse le visage, un énorme sourire aux lèvres et l’envie de pleurer de joie. Et sans la faire attendre je l’embrasse de nouveau avec amour et passion. Voulant graver ce moment dans mon cœur.
Nous avons passer le reste du temps à nous chamailler et à nous faire des câlins quel bonheur, mais va vraiment falloir que j’arrive à lui dire.
Et voila la fin de ce troisième chapitre ^^
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Sam 19 Oct 2013, 12:24 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
Passage à l'acte
Une heure du matin.
Dans cette rue sordide.
Des femmes alignées comme des réverbères, le long de la rue.
A leur manière d’ailleurs, elles éclairent.
Elles aussi.
La vie de certaines âmes. En peine.
Comme la tienne ce soir un peu.
Une heure du matin, et toi tu es là.
A trainer, à épier, à atermoyer –j’y vais, j’y vais pas.
Tu te sens encore emprisonné dans une sage attitude de circonstance.
A peine naturelle.
L’envie de braver l’interdit. Pourtant.
Flirter temporairement avec le mauvais genre.
On devient vite n’importe quoi….
Une du matin, liberté providentielle.
Une heure du matin, tu es dans cette rue blafarde.
Mal éclairé, parmi une faune où tu ne te reconnais pas
L’envie qui te tiraille dans le bas ventre t’attire inexorablement,
Lentement, inéluctablement, vers la bassesse. La chose coupable.
Une heure du matin, elle est là comme les autres.
Mais elle t’attire plus. Pourquoi ?
C’est elle. Ce sera elle.
Sa posture incitatrice, son déhanché furtif
Ont raison de tes derniers renoncements, si faibles.
Tu t’approches.
Sa silhouette fluette, sa chevelure sauvage, son air d’à peine 20 ans…
Ses deux grands yeux noirs te fixent, un sourire lui échappe.
Ton embarras de la situation.
Tu n’oses plus la regarder.
Comme par peur de regretter ton choix, regretter tout court, t’enfuir,
Faire demi-tour, pleurer, te maudire, te vomir.
Tes yeux couards cloués dans le sol.
Ils captent cependant ses fines jambes habillées de bas résilles
Plantées dans des chaussures à talons aiguilles
Qui attisent un peu plus ton excitation.
Devenue désormais irrémédiable.
Elle ouvre sa grande bouche
Qui a déjà dû malgré son jeune âge apparent
Accueillir bon gré mal gré des centaines d’hommes de tous horizons….
Un « Bonsoir vous montez ? » claque dans ta sphère
Surpris par le vouvoiement. Comme un respect.
Du coup tu restes silencieux, comme mortifié.
Elle relance, professionnelle
Le prix pour une fellation, le prix pour l’amour.
Quel amour ?
Tu ne te souviens pas de ta réponse exacte.
Ni du portillon franchi à la hâte.
En revanche, tu revois l’escalier dans lequel
Milles pensées défilent à la vitesse de l’éclair,
Où chaque marche gravie te fait osciller entre
L’amertume du regret et le stimulus de la scène qui se joue.
L’appartement. L’odeur d’un parfum fort, enivrant.
Une lumière tamisée qui t’inspire la honte.
Tu payes. Glauque.
Elle se déshabille.
Tu la regardes, un peu statufié. Exitation latente. L’attente.
Elle te dit d’en faire autant.
Exécution machinale, de manière saccadée.
Lentement comme pour retarder le moment. Paradoxal
Dialogue minimum.
Tu te sens comme un petit garçon en train de faire une bêtise.
« Tu viens ? »
Elle est allongée, nue, offerte, jambes écartées,
Et tu t’attardes un instant sur ce sexe qui t’attend.
Rasé. Béant. Suintant le passage des autres.
"Viens"
Tes yeux te piquent, tes mains sont moites, ta bouche pâteuse.
Tu t’allonges à ton tour, coiffé d’une gêne palpable.
Et d’un préservatif.
Où est donc passé ce mâle que tu croyais être ?
Si sûr de lui, si dominant, fort comme Dieu.
Sur ce lit d’infortune, tu ne le vois pas.
Il n’y a que toi, vide de ce que tu es,
Mais plein de honte.
Mais le sexe déjà raide.
Qui s’enfonce en elle. Façon vaseline.
Passage à l’acte.
Tu as quitté cette pièce façon dérobade, sans gloriole.
Tu as essayé de remettre à leur place l’ordre des choses
Marchant des heures vers nulle part.
5 heures du matin, tu es rentré chez toi.
Pas sommeil.
Tu as fait le tour de la maison vide,
Pour t’assurer que le silence qu’il y régnait
Etait bien celui auquel tu aspirais à ce moment-là.
Oui, personne pour te surprendre.
Digérer seul ton écart.
Tu n’oses pas aller t’étendre sur le lit. Conjugal.
Comme si tu pensais ne plus y avoir ta place.
Assis dans ton fauteuil.
Tu te repasses en boucle certaines images
Elles semblent vouloir s’incruster de force et violer ta mémoire.
Te punir. Peut-être.
Jime
Dans cette rue sordide.
Des femmes alignées comme des réverbères, le long de la rue.
A leur manière d’ailleurs, elles éclairent.
Elles aussi.
La vie de certaines âmes. En peine.
Comme la tienne ce soir un peu.
Une heure du matin, et toi tu es là.
A trainer, à épier, à atermoyer –j’y vais, j’y vais pas.
Tu te sens encore emprisonné dans une sage attitude de circonstance.
A peine naturelle.
L’envie de braver l’interdit. Pourtant.
Flirter temporairement avec le mauvais genre.
On devient vite n’importe quoi….
Une du matin, liberté providentielle.
Une heure du matin, tu es dans cette rue blafarde.
Mal éclairé, parmi une faune où tu ne te reconnais pas
L’envie qui te tiraille dans le bas ventre t’attire inexorablement,
Lentement, inéluctablement, vers la bassesse. La chose coupable.
Une heure du matin, elle est là comme les autres.
Mais elle t’attire plus. Pourquoi ?
C’est elle. Ce sera elle.
Sa posture incitatrice, son déhanché furtif
Ont raison de tes derniers renoncements, si faibles.
Tu t’approches.
Sa silhouette fluette, sa chevelure sauvage, son air d’à peine 20 ans…
Ses deux grands yeux noirs te fixent, un sourire lui échappe.
Ton embarras de la situation.
Tu n’oses plus la regarder.
Comme par peur de regretter ton choix, regretter tout court, t’enfuir,
Faire demi-tour, pleurer, te maudire, te vomir.
Tes yeux couards cloués dans le sol.
Ils captent cependant ses fines jambes habillées de bas résilles
Plantées dans des chaussures à talons aiguilles
Qui attisent un peu plus ton excitation.
Devenue désormais irrémédiable.
Elle ouvre sa grande bouche
Qui a déjà dû malgré son jeune âge apparent
Accueillir bon gré mal gré des centaines d’hommes de tous horizons….
Un « Bonsoir vous montez ? » claque dans ta sphère
Surpris par le vouvoiement. Comme un respect.
Du coup tu restes silencieux, comme mortifié.
Elle relance, professionnelle
Le prix pour une fellation, le prix pour l’amour.
Quel amour ?
Tu ne te souviens pas de ta réponse exacte.
Ni du portillon franchi à la hâte.
En revanche, tu revois l’escalier dans lequel
Milles pensées défilent à la vitesse de l’éclair,
Où chaque marche gravie te fait osciller entre
L’amertume du regret et le stimulus de la scène qui se joue.
L’appartement. L’odeur d’un parfum fort, enivrant.
Une lumière tamisée qui t’inspire la honte.
Tu payes. Glauque.
Elle se déshabille.
Tu la regardes, un peu statufié. Exitation latente. L’attente.
Elle te dit d’en faire autant.
Exécution machinale, de manière saccadée.
Lentement comme pour retarder le moment. Paradoxal
Dialogue minimum.
Tu te sens comme un petit garçon en train de faire une bêtise.
« Tu viens ? »
Elle est allongée, nue, offerte, jambes écartées,
Et tu t’attardes un instant sur ce sexe qui t’attend.
Rasé. Béant. Suintant le passage des autres.
"Viens"
Tes yeux te piquent, tes mains sont moites, ta bouche pâteuse.
Tu t’allonges à ton tour, coiffé d’une gêne palpable.
Et d’un préservatif.
Où est donc passé ce mâle que tu croyais être ?
Si sûr de lui, si dominant, fort comme Dieu.
Sur ce lit d’infortune, tu ne le vois pas.
Il n’y a que toi, vide de ce que tu es,
Mais plein de honte.
Mais le sexe déjà raide.
Qui s’enfonce en elle. Façon vaseline.
Passage à l’acte.
Tu as quitté cette pièce façon dérobade, sans gloriole.
Tu as essayé de remettre à leur place l’ordre des choses
Marchant des heures vers nulle part.
5 heures du matin, tu es rentré chez toi.
Pas sommeil.
Tu as fait le tour de la maison vide,
Pour t’assurer que le silence qu’il y régnait
Etait bien celui auquel tu aspirais à ce moment-là.
Oui, personne pour te surprendre.
Digérer seul ton écart.
Tu n’oses pas aller t’étendre sur le lit. Conjugal.
Comme si tu pensais ne plus y avoir ta place.
Assis dans ton fauteuil.
Tu te repasses en boucle certaines images
Elles semblent vouloir s’incruster de force et violer ta mémoire.
Te punir. Peut-être.
Jime
Jeu 12 Juil 2012, 15:29 par
Jime sur L'amour en vrac
La vie à trois
Dis-moi pourquoi ce type est furieux ?
Dis-moi c’est qui ce type énervé ?
Dis-moi pourquoi il nous regarde avec ces yeux ?
Dis-moi pourquoi il te demande de rentrer ?
Dis-moi pourquoi il te demande de t’expliquer ?
Dis-moi c’est qui ce type en colère ?
Et pourquoi il a claqué la portière ?
Pourquoi tu m’as demandé de te déposer
Chez ce type en colère et furieux,
Tu m’as dit pour nous expliquer,
Tu m’as dit que tu m’appellerais,
Que tu m’appelleras,
Alors, pourquoi t’appelles pas ?
Dis-moi c’est qui ce type énervé ?
Dis-moi pourquoi il nous regarde avec ces yeux ?
Dis-moi pourquoi il te demande de rentrer ?
Dis-moi pourquoi il te demande de t’expliquer ?
Dis-moi c’est qui ce type en colère ?
Et pourquoi il a claqué la portière ?
Pourquoi tu m’as demandé de te déposer
Chez ce type en colère et furieux,
Tu m’as dit pour nous expliquer,
Tu m’as dit que tu m’appellerais,
Que tu m’appelleras,
Alors, pourquoi t’appelles pas ?
Dim 18 Sep 2011, 19:12 par
_curieux_ sur La vie à deux
Rien bordélique
Je me dis tu ...
putain, t’es là à crever dans ton espace,
à pas pouvoir crier ta douleur,
alors tu l’écris ici,
pour la poser,
pour rien,
pour personne,
juste parce que tu ne sais plus quoi en faire,
elle t’étouffe, tu suffoques ..
et l’acide de tes larmes ébauche le labyrinthe de l’histoire ...
y’a des gens autour de toi qui s’aiment,
y’a ceux qui baisent comme des pauvres,
sans amour,
y’a tous les semblanteux de la vie ...
qui sourient à à un ersatz d’happyness
alors, fonce toi aussi
frime en t’inventant une vie,
fais "l’atypique" ,
le monde webien tout entier l’est tu sais,
du coup t’en deviens si banal ,
Clopes, sex and drug sur le net
les blogs et autres sites d’écriture ou de rencontres sont un bordel phénoménal
qui veut faire Mme Claude ?
Le Cac claque en crac
et toi, tu prends un risque ...
celui de crever de cet amour,
personne pour te couvrir...
t’as mal, t’en peux plus et tu dois la fermer ...
alors tais toi ..
Même si tu crèves de son souvenir
tu t’épuises à rêver son regard
Il voit pas ta souffrance lui,
il s’en tape de ta douleur ..
et t’es là avec ton envie de chialer latente
tu te prends à espérer bêtement
tu veux y croire encore mais jamais ...
T’as pas tout lu ?
ça m’étonne pas, dans la vie, personne n’écoute personne,
sur le net, personne ne lit personne ..
c’est la loi du CPSG
putain, t’es là à crever dans ton espace,
à pas pouvoir crier ta douleur,
alors tu l’écris ici,
pour la poser,
pour rien,
pour personne,
juste parce que tu ne sais plus quoi en faire,
elle t’étouffe, tu suffoques ..
et l’acide de tes larmes ébauche le labyrinthe de l’histoire ...
y’a des gens autour de toi qui s’aiment,
y’a ceux qui baisent comme des pauvres,
sans amour,
y’a tous les semblanteux de la vie ...
qui sourient à à un ersatz d’happyness
alors, fonce toi aussi
frime en t’inventant une vie,
fais "l’atypique" ,
le monde webien tout entier l’est tu sais,
du coup t’en deviens si banal ,
Clopes, sex and drug sur le net
les blogs et autres sites d’écriture ou de rencontres sont un bordel phénoménal
qui veut faire Mme Claude ?
Le Cac claque en crac
et toi, tu prends un risque ...
celui de crever de cet amour,
personne pour te couvrir...
t’as mal, t’en peux plus et tu dois la fermer ...
alors tais toi ..
Même si tu crèves de son souvenir
tu t’épuises à rêver son regard
Il voit pas ta souffrance lui,
il s’en tape de ta douleur ..
et t’es là avec ton envie de chialer latente
tu te prends à espérer bêtement
tu veux y croire encore mais jamais ...
T’as pas tout lu ?
ça m’étonne pas, dans la vie, personne n’écoute personne,
sur le net, personne ne lit personne ..
c’est la loi du CPSG
Jeu 13 Jan 2011, 23:53 par
Luna_Lou sur L'amour en vrac
Prière
Peut-être à l’encontre de la raison ...
Depuis toi, il n’y a plus de saison.
Ta peau pour unique maison
Médite mon corps en oraison.
Candide assolé de blessures enfin sagace
Pour savoir que les sentiments sont fugaces
La dépouille de cette innocence agace
Dernière convulsion pour te faire place ...
Je ne suis pas grand chose.
Dans ton regard toute chose,
Le soutenir, je n’ose
De peur que mon coeur explose ...
Notre différence est ma richesse
De toi à moi
De toi avec moi
Effacer la moindre de tes tristesses
Et tant pis si ça dérange
Tant pis mon Ange
Je ne veux pas que ça change
Rien ne m’accroche comme tes phalanges
Rien n’est plus important
Qu’un temps, deux temps, trois temps ...
Que ce sourire que ces mots dessinent
Que je ne vois, ce qui m’assassine ...
Entre la Tour Eiffel et le lac
Un petit tour de magie
Que ta vision me claque
Pour stopper cette hémorragie ...
Coeur éparpillé
Recherche la main de son Aimée
Pour le rassembler
Dans un baiser
Depuis toi, il n’y a plus de saison.
Ta peau pour unique maison
Médite mon corps en oraison.
Candide assolé de blessures enfin sagace
Pour savoir que les sentiments sont fugaces
La dépouille de cette innocence agace
Dernière convulsion pour te faire place ...
Je ne suis pas grand chose.
Dans ton regard toute chose,
Le soutenir, je n’ose
De peur que mon coeur explose ...
Notre différence est ma richesse
De toi à moi
De toi avec moi
Effacer la moindre de tes tristesses
Et tant pis si ça dérange
Tant pis mon Ange
Je ne veux pas que ça change
Rien ne m’accroche comme tes phalanges
Rien n’est plus important
Qu’un temps, deux temps, trois temps ...
Que ce sourire que ces mots dessinent
Que je ne vois, ce qui m’assassine ...
Entre la Tour Eiffel et le lac
Un petit tour de magie
Que ta vision me claque
Pour stopper cette hémorragie ...
Coeur éparpillé
Recherche la main de son Aimée
Pour le rassembler
Dans un baiser
Mar 01 Juin 2010, 16:14 par
jardinsecret sur L'amour en vrac
Va voir ailleurs si j'y suis pas
T’as bouffé tout l’chocolat
T’as sali tous mes draps
T’as inondé la salle de bains
T’as pété au ptit matin
T’as pissé à côté du pot
Et t’as fait plein de rots
T’as oublié la lumière
T’as pas fait les poussières
Tes chaussettes traînent partout
Et t’as pas soigné ta toux
T’as laissé des poils dans la douche
Et t’as pas essuyé ta bouche
T’as pas dit un seul jour
Que tu m’aimais d’amour
T’as dit que j’avais grossi
Mais que j’étais quand même jolie
T’as dit "Ton fils est plus malin que toi"
C’est qu’y r’ssemble à son papa
T’as dit tout ça
Bien d’autres choses et tu vois
Tu commences à m’gonfler
Et à m’casser les pieds
Alors je vais t’dire pauv’gars
Retourne chez toi
Prends tes cliques et tes claques
J’en ai plus que ma claque
De voir ta tronche de cake
Et de t’faire des ptits plats
S’il te plaît va voir dehors
Si des fois j’y suis pas et alors
P’tête que tu comprendras
Que t’avais une chouette femme
Mais qu’elle est plus là
Pour te dire qu’elle t’aime
Et que vraiment, tu l’mérites pas
T’as sali tous mes draps
T’as inondé la salle de bains
T’as pété au ptit matin
T’as pissé à côté du pot
Et t’as fait plein de rots
T’as oublié la lumière
T’as pas fait les poussières
Tes chaussettes traînent partout
Et t’as pas soigné ta toux
T’as laissé des poils dans la douche
Et t’as pas essuyé ta bouche
T’as pas dit un seul jour
Que tu m’aimais d’amour
T’as dit que j’avais grossi
Mais que j’étais quand même jolie
T’as dit "Ton fils est plus malin que toi"
C’est qu’y r’ssemble à son papa
T’as dit tout ça
Bien d’autres choses et tu vois
Tu commences à m’gonfler
Et à m’casser les pieds
Alors je vais t’dire pauv’gars
Retourne chez toi
Prends tes cliques et tes claques
J’en ai plus que ma claque
De voir ta tronche de cake
Et de t’faire des ptits plats
S’il te plaît va voir dehors
Si des fois j’y suis pas et alors
P’tête que tu comprendras
Que t’avais une chouette femme
Mais qu’elle est plus là
Pour te dire qu’elle t’aime
Et que vraiment, tu l’mérites pas
Jeu 11 Sep 2008, 13:42 par
AFDM sur La vie à deux
Y a un truc !
Mandrex, le fameux prestidigitateur des îles,
Présente ses joyeux tours au public de la plage.
Il narre une histoire de magie, et, volubile,
Sort de son chapeau un toucan au beau plumage.
Une voix s’écrie : C’est du chiqué, y a un truc !
Mandrex bondit. Qui ose dire une telle chose ?
C’est Nadia ! Horacio répond : Mon bombyx en sucre,
On va voir de près ce chapeau à éléphants roses.
Le couple s’approche du chapeau de magicien.
Un lièvre en sort, leur tire la langue, l’impoli !
Nadia s’écrie : Tu cherches la bagarre, lapin ?
Elle veut l’attraper, mais le chapeau l’engloutit.
Horacio est soudain très inquiet pour son amie.
Dans quelle dimension Nadia est-elle partie ?
Mandrex, l’homme de l’art, a un sourire étrange.
Horacio secoue le chapeau : Où es-tu, mésange ?
Tout à coup, c’est une sorte d’œuf de dinosaure
Qui tombe du gibus dix fois plus petit que lui.
La coquille se fracasse au sol, Nadia en sort,
Ahurie, hébétée, et toute abasourdie.
J’y comprends plus rien, j’étais dans ce chapeau claque
Comme dans une grosse baraque à trente pièces.
Pendant qu’elle s’interroge, voilà qu’un macaque
Sort du gibus et, sournois, lui botte les fesses.
Le singe rentre dans le chapeau, et Nadia
Plonge à son tour dedans ; le haut-de-forme s’agite.
Entre la Belle et la Bête, on sent que ça se bat.
Pour aider Nadia, Horacio plonge bien vite.
Chapeau déformé, cabossé… Quelle bagarre !
De cette échauffourée s’échappe un gros canard
Qui dormait paisiblement dans ce chapeau de mage
Mais qui ne supporte pas ce remue-ménage.
Le public applaudit, multiplie les bravos.
Le magicien se dit que Nadia et Horacio
L’ont bien aidé à enrichir son numéro.
Il avait besoin d’assistants originaux.
La bataille touche à sa fin. Un lapin hagard
Emerge du chapeau, avec l’œil au beurre noir.
Nadia et Horacio, triomphants, ressurgissent.
Mandrex leur dit : Merci, vous m’avez rendu service.
Y avait-il bien un truc, dans ce chapeau sans fin ?
Certainement, mais lequel ? J’avoue, j’en sais rien.
Présente ses joyeux tours au public de la plage.
Il narre une histoire de magie, et, volubile,
Sort de son chapeau un toucan au beau plumage.
Une voix s’écrie : C’est du chiqué, y a un truc !
Mandrex bondit. Qui ose dire une telle chose ?
C’est Nadia ! Horacio répond : Mon bombyx en sucre,
On va voir de près ce chapeau à éléphants roses.
Le couple s’approche du chapeau de magicien.
Un lièvre en sort, leur tire la langue, l’impoli !
Nadia s’écrie : Tu cherches la bagarre, lapin ?
Elle veut l’attraper, mais le chapeau l’engloutit.
Horacio est soudain très inquiet pour son amie.
Dans quelle dimension Nadia est-elle partie ?
Mandrex, l’homme de l’art, a un sourire étrange.
Horacio secoue le chapeau : Où es-tu, mésange ?
Tout à coup, c’est une sorte d’œuf de dinosaure
Qui tombe du gibus dix fois plus petit que lui.
La coquille se fracasse au sol, Nadia en sort,
Ahurie, hébétée, et toute abasourdie.
J’y comprends plus rien, j’étais dans ce chapeau claque
Comme dans une grosse baraque à trente pièces.
Pendant qu’elle s’interroge, voilà qu’un macaque
Sort du gibus et, sournois, lui botte les fesses.
Le singe rentre dans le chapeau, et Nadia
Plonge à son tour dedans ; le haut-de-forme s’agite.
Entre la Belle et la Bête, on sent que ça se bat.
Pour aider Nadia, Horacio plonge bien vite.
Chapeau déformé, cabossé… Quelle bagarre !
De cette échauffourée s’échappe un gros canard
Qui dormait paisiblement dans ce chapeau de mage
Mais qui ne supporte pas ce remue-ménage.
Le public applaudit, multiplie les bravos.
Le magicien se dit que Nadia et Horacio
L’ont bien aidé à enrichir son numéro.
Il avait besoin d’assistants originaux.
La bataille touche à sa fin. Un lapin hagard
Emerge du chapeau, avec l’œil au beurre noir.
Nadia et Horacio, triomphants, ressurgissent.
Mandrex leur dit : Merci, vous m’avez rendu service.
Y avait-il bien un truc, dans ce chapeau sans fin ?
Certainement, mais lequel ? J’avoue, j’en sais rien.
Dim 17 Juin 2007, 08:23 par
Nadia et Horacio sur La vie à deux
Leçon de morale.
Tu es celle pour qui il n’a jamais le temps,
Et il ne te conjugue qu’au plus que présent.
Pas de passé, encore moins de futur,
Arrête d’inonder tes yeux azur!
C’était ça les règles du jeux,
Fallait pas vous prendre au sérieux.
Puisque pour toi, il n’ose rien
Ca ne mérite pas un tel chagrin!
Claque la porte, et mets les voiles,
Il ne te va pas, ce teint trop pâle.
Tu es si belle en amoureuse,
T’abîme pas en liaisons dangereuses.
Si l’avenir s’écrit sans lui,
Ailleurs t’attendent d’autres folies.
Aux ombres succèdent de beaux matins,
L’amour, le vrai, c’est pour demain...
Et il ne te conjugue qu’au plus que présent.
Pas de passé, encore moins de futur,
Arrête d’inonder tes yeux azur!
C’était ça les règles du jeux,
Fallait pas vous prendre au sérieux.
Puisque pour toi, il n’ose rien
Ca ne mérite pas un tel chagrin!
Claque la porte, et mets les voiles,
Il ne te va pas, ce teint trop pâle.
Tu es si belle en amoureuse,
T’abîme pas en liaisons dangereuses.
Si l’avenir s’écrit sans lui,
Ailleurs t’attendent d’autres folies.
Aux ombres succèdent de beaux matins,
L’amour, le vrai, c’est pour demain...
Mer 20 Sep 2006, 22:18 par
syolann sur Histoires d'amour
Mont des brumes (6)
Un paysage urbain que l’on devine dans la brume du matin. Au loin, le bruit des bateliers. Leurs appels. Il fait un froid humide, le soleil est loin de la ville, il ne peut percer la moiteur feutrée que l’on sent peser sur la citée engourdie... Dès l’aube, les bruits des voitures à chevaux se succèdent et envahissent la scène, se répercutent sur les immeubles à quatre étages, jusqu’au chapeau pointu de la dame de fer qui sort de son sommeil, immobile... Aux Halles, des amoncellements de couleurs jusqu’à la nausée... Toine sait bien ce qu’on murmure dans le dos de Job.
Un beau jour, celle qui tenait salon a exposé des toiles partout, comme les indices d’une chasse au trésor menant... à Frédéric. Deux mois, pendant plus de deux mois elle les a tenu en haleine. Avec dans chaque tableau un symbole, un rien qui permettait de déchiffrer l’énigme et le comble c’est que tout Paris s’est évertué - en vain - à identifier le plaisantin qui passait d’un académisme à faire hurler Zola aux oeuvres les plus révolutionnaires : impressions fugaces de l’instant, expression d’un ressenti sublimé par la couleur, encore la couleur et toujours la couleur... Et puis, au bout de deux longs mois, la révélation. Frédéric était montré comme un singe savant de salon en vernissage. On se l’arrachait. Jusqu’au jour du drame. Ils s’étaient disputés. Il lui avait crié sa révolte, il était devenu ce qu’il haïssait le plus au monde : une valeur sûre. Elle l’avait regardé une dernière fois sans un mot, les yeux froids de colère, et puis elle avait claqué la porte derrière elle. Avant qu’il n’ait eu le temps de courir après elle, il était trop tard. Elle gisait, là, dans la boue parisienne du petit matin, arrêtée dans son élan par le sabot d’un cheval reçu en pleine poitrine, les roses rouges de l’amour épanouie sur son sein...
Toine a fini son café et il s’apprête à regagner son bout de place enfin baigné de soleil lorsque le sourire triste de Job se pose sur lui.
Un beau jour, celle qui tenait salon a exposé des toiles partout, comme les indices d’une chasse au trésor menant... à Frédéric. Deux mois, pendant plus de deux mois elle les a tenu en haleine. Avec dans chaque tableau un symbole, un rien qui permettait de déchiffrer l’énigme et le comble c’est que tout Paris s’est évertué - en vain - à identifier le plaisantin qui passait d’un académisme à faire hurler Zola aux oeuvres les plus révolutionnaires : impressions fugaces de l’instant, expression d’un ressenti sublimé par la couleur, encore la couleur et toujours la couleur... Et puis, au bout de deux longs mois, la révélation. Frédéric était montré comme un singe savant de salon en vernissage. On se l’arrachait. Jusqu’au jour du drame. Ils s’étaient disputés. Il lui avait crié sa révolte, il était devenu ce qu’il haïssait le plus au monde : une valeur sûre. Elle l’avait regardé une dernière fois sans un mot, les yeux froids de colère, et puis elle avait claqué la porte derrière elle. Avant qu’il n’ait eu le temps de courir après elle, il était trop tard. Elle gisait, là, dans la boue parisienne du petit matin, arrêtée dans son élan par le sabot d’un cheval reçu en pleine poitrine, les roses rouges de l’amour épanouie sur son sein...
Toine a fini son café et il s’apprête à regagner son bout de place enfin baigné de soleil lorsque le sourire triste de Job se pose sur lui.
Mar 27 Juin 2006, 09:21 par
dolce vita sur Histoires d'amour
Coeur de frimas
Cœur de frimas
L’automne s’affirme, s’installe sans fracas.
Le brouillard a laissé une parure de glace,
Les arbres meurtris de gravures rêvassent.
Je me plais à parcourir ta rue à grand pas.
Certains le cœur refroidis par ce froid vif,
Emmitouflés se hâtent absents et pensifs.
L’air claque sur mon visage, mes yeux larmoient.
Sous ce ciel gris les apparences sont irréelles,
Et une complainte s’empare des ruelles.
Le froid sec et pénétrant me pousse vers toi.
Dans le frimas givrant les ombres s’enlacent,
La lumière blanche des réverbères agace.
Mes narines se figent, toi seule sauras.
Dans cette brume qui a envahi la ville,
Je me sens terriblement vivant, je pétille.
Dans ce cocon de moiteur en apparat,
Mon cœur enflammé, ardent n’en a cure,
J’aime sentir sur mes joues cette froidure.
Tous les sens déployés, je frisonne déjà.
Je te sais délicate comme une fleur de neige,
Patience, attends moi, des pensées m’assiègent…
Vers à soi
L’automne s’affirme, s’installe sans fracas.
Le brouillard a laissé une parure de glace,
Les arbres meurtris de gravures rêvassent.
Je me plais à parcourir ta rue à grand pas.
Certains le cœur refroidis par ce froid vif,
Emmitouflés se hâtent absents et pensifs.
L’air claque sur mon visage, mes yeux larmoient.
Sous ce ciel gris les apparences sont irréelles,
Et une complainte s’empare des ruelles.
Le froid sec et pénétrant me pousse vers toi.
Dans le frimas givrant les ombres s’enlacent,
La lumière blanche des réverbères agace.
Mes narines se figent, toi seule sauras.
Dans cette brume qui a envahi la ville,
Je me sens terriblement vivant, je pétille.
Dans ce cocon de moiteur en apparat,
Mon cœur enflammé, ardent n’en a cure,
J’aime sentir sur mes joues cette froidure.
Tous les sens déployés, je frisonne déjà.
Je te sais délicate comme une fleur de neige,
Patience, attends moi, des pensées m’assiègent…
Vers à soi
Dim 11 Déc 2005, 10:53 par
vers à soi sur La première fois
une sieste en douce...
Un léger soupir, mon sourire...je suis à son écoute, je l’observe.
Sa tête repose sur le dossier de chaise, elle est sereine et son rêve certainement très doux. Midi sonne: il en faudrait beaucoup plus pour la tirer de son sommeil ou peut-être pas...un simple mot d’amour chuchoté suffirait, je crois...
Elle aurait pu s’étendre sur le lit tout proche mais le parfum de "son coeur" est encore si présent sur les draps...ce soir, oui, elle posera son visage sur l’oreiller, respirera son odeur, s’en imprégnera.
Le vent souffle et soulève la moustiquaire qui claque sur l’encadrement de la fenêtre; ce bruit familier suffit à la réveiller.
Elle se débarrasse de sa torpeur en frottant ses yeux; sa main remonte lentement vers ses boucles emmêlées, s’y arrête un instant avant de les ébouriffer...son regard rencontre le désordre du lit...un sourire, un murmure:"...malune...", elle sort de la chambre.
L’aprés-midi débute à peine...
Sa tête repose sur le dossier de chaise, elle est sereine et son rêve certainement très doux. Midi sonne: il en faudrait beaucoup plus pour la tirer de son sommeil ou peut-être pas...un simple mot d’amour chuchoté suffirait, je crois...
Elle aurait pu s’étendre sur le lit tout proche mais le parfum de "son coeur" est encore si présent sur les draps...ce soir, oui, elle posera son visage sur l’oreiller, respirera son odeur, s’en imprégnera.
Le vent souffle et soulève la moustiquaire qui claque sur l’encadrement de la fenêtre; ce bruit familier suffit à la réveiller.
Elle se débarrasse de sa torpeur en frottant ses yeux; sa main remonte lentement vers ses boucles emmêlées, s’y arrête un instant avant de les ébouriffer...son regard rencontre le désordre du lit...un sourire, un murmure:"...malune...", elle sort de la chambre.
L’aprés-midi débute à peine...
Ven 27 Mai 2005, 06:38 par
danslalune sur Un monde parfait
Pentes abruptes dans le canal étroit des mots
Pour me hisser à sa hauteur c’est comme s’il me fallait
penser à travers le chas d’une aiguille
et jouer à cache-cache avec le temps
son rire met une pincée de sel au moindre de ses mots
et du poivre dans les miens
par étapes le désir ajoute à sa nudité
un surcroît de souplesse
on dit parfois qu’en amour
tout vient des reins
païen au départ et finalement sacré
alors la courbure de ses reins met des ailes à ses seins
comme s’ils réagissaient en choeur
à l’effet aérien et conjugué
de leur poids dans l’air et de leur couleur blanche
plus vifs qu’au théâtre
les changements de décor
dès qu’elle cesse de parler pendant un court instant
l’expression de ses traits est suspendue
comme trois points de suspension qui vont
de la pointe du nez
à celle du menton
- comme si ses silences accéléraient
la vitesse de l’idée -
puis l’expression de ses lèvres glisse
jusqu’à l’envol de ses narines
et s’échappe au-dehors
comme un voilier fendant les flots
ou une caravelle tendue loin devant nous
avec ça et là piquées dans l’océan
les bouées des cils retroussées en panaches noirs
son charme est un chapelet de tendresses
brodées sur la trame de mes sens
venus incognito
et repartis de même
elle dresse une muraille entre le monde et moi
et le monde plie finalement
combat perdu d’avance
elle mange en causant
je mange en lisant
mais les femmes ont peut-être
plus que les hommes
l’art de faire deux choses à la fois
son pull rouge du jour glisse
en mille chapelets de cerises flambant sur son buste
et tisonne en moi un souffle de forge
suspendu à chaque geste de ses bras
la soie bleue des baisers donne à ces couleurs
des gestes liquides que tendent et détendent
à mesure
les mouvements fuyants de l’étoffe
sur la chair de la soie
nue elle est habillée car son corps
se donne à l’air qui l’enveloppe
le reste vient en post-scriptum lorsque sa langue
glisse très vite des molaires aux incisives
sur le clavier des dents
pour aller sans cesse des tons graves
aux aigus
et inversement
selon le degré d’émotion
cet émail vivant resté éclatant
qui perle et luit dans le désir
et ce soleil qui scintille dans la perle
où la lune s’expose en un brasier unique
son odeur est pour moi associée
à son arme secrète
- cette poignée de couleurs et d’ombres
qui se succèdent
comme des portes battantes
qu’on claque à volonté -
les odeurs de son corps sont tissées
dans l’étoffe douloureuse de sa peau
comme une série de fils inextricables
ses odeurs mises à nu elles aussi
et mêlées à son arme secrète :
jusqu’à l’empalement de mes nerfs
de la pointe des cheveux
aux dernières fibres de ma peau
comme si certaines caresses d’elle
me rendaient femme de mon propre corps d’homme
il n’y a que très peu d’habitudes en elle
elle chez qui chaque geste est neuf
et rend le langage
de certaines choses muettes
un peu plus clair
et constamment renouvelé
si près de moi j’ai trop appris d’elle
pour ne pas me perdre
élégamment
dans les lexiques
je sais désormais lire
dans l’odeur de ses cheveux
la nuit
et dormir avec elle
rend mes nuits moins pénibles.
penser à travers le chas d’une aiguille
et jouer à cache-cache avec le temps
son rire met une pincée de sel au moindre de ses mots
et du poivre dans les miens
par étapes le désir ajoute à sa nudité
un surcroît de souplesse
on dit parfois qu’en amour
tout vient des reins
païen au départ et finalement sacré
alors la courbure de ses reins met des ailes à ses seins
comme s’ils réagissaient en choeur
à l’effet aérien et conjugué
de leur poids dans l’air et de leur couleur blanche
plus vifs qu’au théâtre
les changements de décor
dès qu’elle cesse de parler pendant un court instant
l’expression de ses traits est suspendue
comme trois points de suspension qui vont
de la pointe du nez
à celle du menton
- comme si ses silences accéléraient
la vitesse de l’idée -
puis l’expression de ses lèvres glisse
jusqu’à l’envol de ses narines
et s’échappe au-dehors
comme un voilier fendant les flots
ou une caravelle tendue loin devant nous
avec ça et là piquées dans l’océan
les bouées des cils retroussées en panaches noirs
son charme est un chapelet de tendresses
brodées sur la trame de mes sens
venus incognito
et repartis de même
elle dresse une muraille entre le monde et moi
et le monde plie finalement
combat perdu d’avance
elle mange en causant
je mange en lisant
mais les femmes ont peut-être
plus que les hommes
l’art de faire deux choses à la fois
son pull rouge du jour glisse
en mille chapelets de cerises flambant sur son buste
et tisonne en moi un souffle de forge
suspendu à chaque geste de ses bras
la soie bleue des baisers donne à ces couleurs
des gestes liquides que tendent et détendent
à mesure
les mouvements fuyants de l’étoffe
sur la chair de la soie
nue elle est habillée car son corps
se donne à l’air qui l’enveloppe
le reste vient en post-scriptum lorsque sa langue
glisse très vite des molaires aux incisives
sur le clavier des dents
pour aller sans cesse des tons graves
aux aigus
et inversement
selon le degré d’émotion
cet émail vivant resté éclatant
qui perle et luit dans le désir
et ce soleil qui scintille dans la perle
où la lune s’expose en un brasier unique
son odeur est pour moi associée
à son arme secrète
- cette poignée de couleurs et d’ombres
qui se succèdent
comme des portes battantes
qu’on claque à volonté -
les odeurs de son corps sont tissées
dans l’étoffe douloureuse de sa peau
comme une série de fils inextricables
ses odeurs mises à nu elles aussi
et mêlées à son arme secrète :
jusqu’à l’empalement de mes nerfs
de la pointe des cheveux
aux dernières fibres de ma peau
comme si certaines caresses d’elle
me rendaient femme de mon propre corps d’homme
il n’y a que très peu d’habitudes en elle
elle chez qui chaque geste est neuf
et rend le langage
de certaines choses muettes
un peu plus clair
et constamment renouvelé
si près de moi j’ai trop appris d’elle
pour ne pas me perdre
élégamment
dans les lexiques
je sais désormais lire
dans l’odeur de ses cheveux
la nuit
et dormir avec elle
rend mes nuits moins pénibles.
Mar 08 Fév 2005, 19:59 par
avedekian sur La séduction
Amour élastique
Ta chaleur
Ton rire
Tes soupirs
Tes mots
Ta tendresse...
L’élastic claque entre mes doigts
D’amour je l’allonge vers toi
La distance
Nos différences
Ma méfiance
Nos absences
La souffrance...
L’élastic résiste malgré moi
Contre l’amour m’éloigne de toi
Tes yeux
Ta bouche
Ton ventre
Tes seins
Tes reins...
L’élastic me revient en pleine face
Impossible de rester de glace
Mon corps
Mes yeux
Ma bouche
Mes maux
Ma tête...
L’élastic chaque jour me fait une farce
Celle des sentiments qui refont surface
La tulipe
Ton rire
Tes soupirs
Tes mots
Ta tendresse...
L’élastic claque entre mes doigts
D’amour je l’allonge vers toi
La distance
Nos différences
Ma méfiance
Nos absences
La souffrance...
L’élastic résiste malgré moi
Contre l’amour m’éloigne de toi
Tes yeux
Ta bouche
Ton ventre
Tes seins
Tes reins...
L’élastic me revient en pleine face
Impossible de rester de glace
Mon corps
Mes yeux
Ma bouche
Mes maux
Ma tête...
L’élastic chaque jour me fait une farce
Celle des sentiments qui refont surface
La tulipe
Mar 18 Mai 2004, 22:17 par
la_tulipe_noire sur L'amour en vrac
Ecrire sur claque
Panne de coeur, L'amour est-il un crime ? chapitre 3, Passage à l'acte, La vie à trois, Rien bordélique, Prière, Va voir ailleurs si j'y suis pas, Y a un truc !, Leçon de morale., Mont des brumes (6), Coeur de frimas, une sieste en douce..., Pentes abruptes dans le canal étroit des mots, Amour élastique,Il y a 14 textes utilisant le mot claque. Ces pages présentent les textes correspondant.
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Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
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- coeur
- corps
- cœur
- devant
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- doux
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- d’être
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- femme
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- main
- mains
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- mots
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- plaisir
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- tête
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