Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur chacun - Page 3 sur 14
Just jealous
Quand je vois vos mains jointes dans un rire spontané. Mes doigts se crispent, je me mords les lèvres jusqu’à sentir le goût pointu du sang dans ma bouche. Elle qui meurt d’envie d’hurler que s’en ait trop. Et vos regards, vos regards en demi lune brillants par cet affreux sourire sincère. Dans ce regard je vois tellement de choses qui font monter les larmes juste pour mouiller les cils, pour qu’ils deviennent aussi noirs et voyant que cet affreux sentiment.
La joie, la spontanéité, l’affection, le rire, comme deux ampoules brillants en harmonie. Au plus grand de mes désespoirs je vois aussi un amour naissant, comme un nerf électrique passant dans la jonction de vos yeux.
Et après je me vois, enterrant un amour, tirée vers le fond par la culpabilité jour après jour et reniant de beaux sentiments. Ouais je culpabilise parce que c’est ma faute. Parce que je suis la cause de cet amour fructueux pour vous et ennemi pour moi.
Si seulement c’était pas le cas je pourrai m’exprimer, hurler mes sentiments, cracher mon venin ! Cependant, étant l’origine de tout ça, j’ai pas le droit.
J’ai pas le droit de montrer peine et amour en même temps.
A l’instant d’après, c’est toi, beau jeune homme, qui me regarde. T’as sûrement remarqué comme je vous dévisage.
T’façons, t’es trop occupé par ta nouvelle relation pour t’attarder sur la rage, la tristesse, l’amour et la haine qui se lisent dans mes yeux à chacune de vos caresse, chacun de vos rires, chacun de vos bruits, chaque battement de cil frappent comme un tambour heurté par l’immense baguette, ce pieux que je me suis moi-même enfoncée dans le cœur !
Ouais, parce que je vous vois ! Je vois que discrètement, amoureusement, belle indolente, elle te regarde ! Et moi à côté je suis quoi ? Oui, voilà, c’est exactement ça, je suis rien.
Je vois aussi tous tes gestes que j’exagèrerai presque en tendresses, tes yeux de coton, je peux même lire les pensées que tu lui adresses.
Trop fière pour l’avouer à quelqu’un d’autre que les abîmes de mon cœur, jamais je ne te le dirai. Mais, quand je te regarde sur de nouveaux sentiers ensoleillés, je n’arrive pas à la cacher.
Ce sentiment qui boue comme de l’acide au bord de mes yeux.
Ce que tu nommes à la légère : jalousie
La joie, la spontanéité, l’affection, le rire, comme deux ampoules brillants en harmonie. Au plus grand de mes désespoirs je vois aussi un amour naissant, comme un nerf électrique passant dans la jonction de vos yeux.
Et après je me vois, enterrant un amour, tirée vers le fond par la culpabilité jour après jour et reniant de beaux sentiments. Ouais je culpabilise parce que c’est ma faute. Parce que je suis la cause de cet amour fructueux pour vous et ennemi pour moi.
Si seulement c’était pas le cas je pourrai m’exprimer, hurler mes sentiments, cracher mon venin ! Cependant, étant l’origine de tout ça, j’ai pas le droit.
J’ai pas le droit de montrer peine et amour en même temps.
A l’instant d’après, c’est toi, beau jeune homme, qui me regarde. T’as sûrement remarqué comme je vous dévisage.
T’façons, t’es trop occupé par ta nouvelle relation pour t’attarder sur la rage, la tristesse, l’amour et la haine qui se lisent dans mes yeux à chacune de vos caresse, chacun de vos rires, chacun de vos bruits, chaque battement de cil frappent comme un tambour heurté par l’immense baguette, ce pieux que je me suis moi-même enfoncée dans le cœur !
Ouais, parce que je vous vois ! Je vois que discrètement, amoureusement, belle indolente, elle te regarde ! Et moi à côté je suis quoi ? Oui, voilà, c’est exactement ça, je suis rien.
Je vois aussi tous tes gestes que j’exagèrerai presque en tendresses, tes yeux de coton, je peux même lire les pensées que tu lui adresses.
Trop fière pour l’avouer à quelqu’un d’autre que les abîmes de mon cœur, jamais je ne te le dirai. Mais, quand je te regarde sur de nouveaux sentiers ensoleillés, je n’arrive pas à la cacher.
Ce sentiment qui boue comme de l’acide au bord de mes yeux.
Ce que tu nommes à la légère : jalousie
Sam 25 Déc 2010, 15:00 par
Coeur d'encre sur L'amour en vrac
Mes pensées sont pour toi..
Lorsque tu me regardes,
tu ne dis rien,
mais tu n’as aucun besoin de parler,
tes yeux le font pour toi..
Je te l’ai surement déjà dis mais dans tes yeux,
je peux savoir que tu m’aimes sans pour autant t’entendre prononcer ces 3 mots magiques qui me rendent si heureuse et si fière.
Lorsque tu me prends dans tes bras contre toi et me souris,
je sais tout ce qu’il y a à savoir..tes yeux plongent souvent dans les miens et à cet instant mon cœur bat la chamade...
Est ce le bruit du bonheur?
Je peux certifier que ce bruit et cette sensation est le bruit du bonheur, le bruit de mon amour pour toi.
Avec toi je ne peux que sourire...
Mon amour, mon désir pour toi n’est en rien comparable avec de simple besoins, mais je t’aime tant.
Ton regard, ton sourire, ta voix, tes mots me font vaciller, trembler, rougir et même paniquer. Si je peux ressentir tout ça c’est parce que je voudrais être pour toi la femme parfaite, celle qui fera en sorte d’être la pour toi a chacun de tes besoins.
J’ai besoin de savoir que chaque jour tu es près de moi, que tu peut être là dès que j’ai envie de te voir, je serais si heureuse de savoir que je peux te toucher à tout moment, que je peux appeler ton nom sans attendre ta réponse durant de longues minutes.
Je voudrais sans cesse toucher ta peau et embrasser tes lèvres, goûter à la chaleur de ton étreinte.
Je me sens triste et solitaire lorsque tu n’es pas là, prés de moi.
Je t’aime un peu plus chaque jour, et me sens si mal quand tu t’arrache de mes bras...
Tu ne peux imaginer à quel point j’aimerais être près de toi, me reposer sur ton épaule en écoutant de la musique tout en caressant tes mains.
Tu restes présent en mon cœur comme une douce douleur.
Tu me manques…
Mon cœur te pleure…
mon âme te cherche…
mon corps se meurt…
ma bouche hurle ton prénom...
ma vie te réclame...
Tu as changé mon destin, avec ton amour.
Tu as créé un nouveau monde au fond de moi.
Tu m’apportes le bonheur et la joie, tu m’apportes le calme et la sérénité et surtout tu m’apportes tout ce que j’ai besoin pour être heureuse.
J’ai besoin encore et toujours de ta présence, j’ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses, de tes je t’aime, de ton odeur, de ton sourire, de ton regard brulant qui m’envoute...
J’ai besoin de te prendre dans mes bras, pour mieux te sentir et sentir ta chaleur.
Tout simplement,
j’ai besoin de toi mon petit ange tombé du ciel.
tu ne dis rien,
mais tu n’as aucun besoin de parler,
tes yeux le font pour toi..
Je te l’ai surement déjà dis mais dans tes yeux,
je peux savoir que tu m’aimes sans pour autant t’entendre prononcer ces 3 mots magiques qui me rendent si heureuse et si fière.
Lorsque tu me prends dans tes bras contre toi et me souris,
je sais tout ce qu’il y a à savoir..tes yeux plongent souvent dans les miens et à cet instant mon cœur bat la chamade...
Est ce le bruit du bonheur?
Je peux certifier que ce bruit et cette sensation est le bruit du bonheur, le bruit de mon amour pour toi.
Avec toi je ne peux que sourire...
Mon amour, mon désir pour toi n’est en rien comparable avec de simple besoins, mais je t’aime tant.
Ton regard, ton sourire, ta voix, tes mots me font vaciller, trembler, rougir et même paniquer. Si je peux ressentir tout ça c’est parce que je voudrais être pour toi la femme parfaite, celle qui fera en sorte d’être la pour toi a chacun de tes besoins.
J’ai besoin de savoir que chaque jour tu es près de moi, que tu peut être là dès que j’ai envie de te voir, je serais si heureuse de savoir que je peux te toucher à tout moment, que je peux appeler ton nom sans attendre ta réponse durant de longues minutes.
Je voudrais sans cesse toucher ta peau et embrasser tes lèvres, goûter à la chaleur de ton étreinte.
Je me sens triste et solitaire lorsque tu n’es pas là, prés de moi.
Je t’aime un peu plus chaque jour, et me sens si mal quand tu t’arrache de mes bras...
Tu ne peux imaginer à quel point j’aimerais être près de toi, me reposer sur ton épaule en écoutant de la musique tout en caressant tes mains.
Tu restes présent en mon cœur comme une douce douleur.
Tu me manques…
Mon cœur te pleure…
mon âme te cherche…
mon corps se meurt…
ma bouche hurle ton prénom...
ma vie te réclame...
Tu as changé mon destin, avec ton amour.
Tu as créé un nouveau monde au fond de moi.
Tu m’apportes le bonheur et la joie, tu m’apportes le calme et la sérénité et surtout tu m’apportes tout ce que j’ai besoin pour être heureuse.
J’ai besoin encore et toujours de ta présence, j’ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses, de tes je t’aime, de ton odeur, de ton sourire, de ton regard brulant qui m’envoute...
J’ai besoin de te prendre dans mes bras, pour mieux te sentir et sentir ta chaleur.
Tout simplement,
j’ai besoin de toi mon petit ange tombé du ciel.
Dim 10 Oct 2010, 11:52 par
Léna sur Parler d'amour
Mais comment ?
comment être suffisant sans être trop????
lorsqu’il ne dit pas assez, il en dit trop peu
lorsqu’il en fait beaucoup, il en fait trop
elle fait assez pour être abandonnée
se décider est en effet se séparer
ils sont assez différent, peu semblables pour continuer
et pourtant chacun prenait son pied.
finalement aucun d’eux n’a voulu se séparer
elle de sa connerie
lui de sa sois-disant liberté
elle je l’aime peu
lui je l’aime pas assez
il lui a fait mal
elle l’a ettoufé
lui je ne l’aime pas
elle je l’aime un peu trop, car elle a fait la "connerie" de l’aimer
BEAUDLAIRIENNE
lorsqu’il ne dit pas assez, il en dit trop peu
lorsqu’il en fait beaucoup, il en fait trop
elle fait assez pour être abandonnée
se décider est en effet se séparer
ils sont assez différent, peu semblables pour continuer
et pourtant chacun prenait son pied.
finalement aucun d’eux n’a voulu se séparer
elle de sa connerie
lui de sa sois-disant liberté
elle je l’aime peu
lui je l’aime pas assez
il lui a fait mal
elle l’a ettoufé
lui je ne l’aime pas
elle je l’aime un peu trop, car elle a fait la "connerie" de l’aimer
BEAUDLAIRIENNE
Jeu 07 Oct 2010, 20:14 par
assouma23 sur L'amour en vrac
Le temps
Le temps qui cicatrise m’a prise dans ses filets.
Le recul aide, le silence, la distance.
J’ai compris
J’ai appris
A force de Lui
Que je ne suis pas là pour suppléer les manques
Qu’il faut que j’arrête de donner pour recevoir
Que je n’ai pas à palier le manque de générosité et d’amour.
A chacun ses responsabilités.
J’ai les miennes cela suffit.
Que je cesse d’agir pour qu’il vienne celui que j’attends et pas un autre. Lui.
Que je ne le regarde plus pour sentir ses regards
Que je l’entende bafouiller à mon approche et que je ne respire plus à la sienne
Troublée si doucement
Remuée
Bouleversée
Que je lui donne sa place d’Homme
Ta place...
Pour avoir la mienne.
Et que ceux qui venaient le coeur vide et les mains, la bouche, le sexe avides
Ceux là se sont trompés de route et moi tout autant
je leur ai donné ce qui ne s’adressait pas à eux.
Oh, non, pas à eux.
Etaient vides... leurs coeurs comme leur vie, leur présence ? Un leurre.
Petits. Mesquins. Frileux.
Vides et ce n’est pas moi qui aurais pu les emplir surtout pas les changer.
Oh, non.
Pas moi.
Le recul aide, le silence, la distance.
J’ai compris
J’ai appris
A force de Lui
Que je ne suis pas là pour suppléer les manques
Qu’il faut que j’arrête de donner pour recevoir
Que je n’ai pas à palier le manque de générosité et d’amour.
A chacun ses responsabilités.
J’ai les miennes cela suffit.
Que je cesse d’agir pour qu’il vienne celui que j’attends et pas un autre. Lui.
Que je ne le regarde plus pour sentir ses regards
Que je l’entende bafouiller à mon approche et que je ne respire plus à la sienne
Troublée si doucement
Remuée
Bouleversée
Que je lui donne sa place d’Homme
Ta place...
Pour avoir la mienne.
Et que ceux qui venaient le coeur vide et les mains, la bouche, le sexe avides
Ceux là se sont trompés de route et moi tout autant
je leur ai donné ce qui ne s’adressait pas à eux.
Oh, non, pas à eux.
Etaient vides... leurs coeurs comme leur vie, leur présence ? Un leurre.
Petits. Mesquins. Frileux.
Vides et ce n’est pas moi qui aurais pu les emplir surtout pas les changer.
Oh, non.
Pas moi.
Ven 17 Sep 2010, 19:23 par
dolce vita sur Mille choses
Rêve(s) ? morphée, emporte tes enfants dans tes tendres bras
« Peut-être parce qu’encore/en corps, elle n’est pas-toute, elle donnerait ce...à celui pour lequel elle ressent de l’Amour? »
Peut-être en corps, elle n’était pas prête. Pourtant, cet homme lui a donné des ailes. Quand la chimère d’un Autre accapare l’esprit d’une éternelle rêveuse, elle finit par se dire que c’est son propre souhait. Peut-être avait-elle envie de donner pour recevoir une joie qu’elle avait perdue, un toucher qu’elle avait oublié. En effet, au final, cette offrande n’a jamais existé car il n’eut personne pour la recevoir. Entrer dans le rêve d’un autre n’est pas créé un rêve ensemble. Maintenant que Morphée l’a rejetée brutalement, elle se sent encore/en corps plus fragile. Dorénavant, elle ne veut plus faire confiance aux hommes. Elle ne veut plus rêver avec quelqu’un. Maintenant, elle fuit, de rêve en rêve. Combien de rêves a-t-elle élaboré pour ne pas s’ennuyer ? Elle ne sait plus. Elle souhaitait juste faire de beaux rêves. Un beau rêve est une construction imaginaire où deux êtres fondent un univers original à partir de leur propre univers. Ce rêve possède ses codes particuliers et ses clés. Cet univers unique se perpétue grâce à l’amour de chacun, dans cette croyance en l’existence de ce monde. Si l’un deux perd sa foi, cet univers parfait s’effrite pour ne laisser que des décombres. Balayer les ruines d’un monde mort est un supplice de Tantale. Celui qui croit encore en cet univers, continue à bâtir seul. Mais les fondations pourries détruisent ces nouveaux gratte-ciels, élevés à la gloire d’un Monde Parfait. Il tente de faire de nouvelles fondations où des ruines demeurent. Toutefois, le sol reste pourri. Il essaye de fertiliser la terre. Elle se refuse à lui. Il la violente, l’épuise pour qu’elle daigne rendre des fruits. Il ne veut pas croire que cet univers est mort et il n’est plus que le seul à rêver.
Mais à quoi rêve l’Autre ? Fais-je partie d’un de ses rêves où notre fin se poursuit dans un rêve alternatif ? Suis-je la seule à avoir souffert d’avoir été trop faible pour m’affirmer dans un rêve commun ? Que croire de toutes ses paroles ? Un mensonge ou une vérité fixée dans un temps enfui, trop loin du présent ?
Que d’hypothèses sans réponse où le pardon est le seul remède à la libération du cœur.
Malheureusement, il est parti. Sans mot.
Peut-être en corps, elle n’était pas prête. Pourtant, cet homme lui a donné des ailes. Quand la chimère d’un Autre accapare l’esprit d’une éternelle rêveuse, elle finit par se dire que c’est son propre souhait. Peut-être avait-elle envie de donner pour recevoir une joie qu’elle avait perdue, un toucher qu’elle avait oublié. En effet, au final, cette offrande n’a jamais existé car il n’eut personne pour la recevoir. Entrer dans le rêve d’un autre n’est pas créé un rêve ensemble. Maintenant que Morphée l’a rejetée brutalement, elle se sent encore/en corps plus fragile. Dorénavant, elle ne veut plus faire confiance aux hommes. Elle ne veut plus rêver avec quelqu’un. Maintenant, elle fuit, de rêve en rêve. Combien de rêves a-t-elle élaboré pour ne pas s’ennuyer ? Elle ne sait plus. Elle souhaitait juste faire de beaux rêves. Un beau rêve est une construction imaginaire où deux êtres fondent un univers original à partir de leur propre univers. Ce rêve possède ses codes particuliers et ses clés. Cet univers unique se perpétue grâce à l’amour de chacun, dans cette croyance en l’existence de ce monde. Si l’un deux perd sa foi, cet univers parfait s’effrite pour ne laisser que des décombres. Balayer les ruines d’un monde mort est un supplice de Tantale. Celui qui croit encore en cet univers, continue à bâtir seul. Mais les fondations pourries détruisent ces nouveaux gratte-ciels, élevés à la gloire d’un Monde Parfait. Il tente de faire de nouvelles fondations où des ruines demeurent. Toutefois, le sol reste pourri. Il essaye de fertiliser la terre. Elle se refuse à lui. Il la violente, l’épuise pour qu’elle daigne rendre des fruits. Il ne veut pas croire que cet univers est mort et il n’est plus que le seul à rêver.
Mais à quoi rêve l’Autre ? Fais-je partie d’un de ses rêves où notre fin se poursuit dans un rêve alternatif ? Suis-je la seule à avoir souffert d’avoir été trop faible pour m’affirmer dans un rêve commun ? Que croire de toutes ses paroles ? Un mensonge ou une vérité fixée dans un temps enfui, trop loin du présent ?
Que d’hypothèses sans réponse où le pardon est le seul remède à la libération du cœur.
Malheureusement, il est parti. Sans mot.
Jeu 19 Août 2010, 01:33 par
Solina sur Les liaisons sulfureuses
Je veux...
Je veux...
Tes yeux dans les miens
Ton sourire charmeur
Tes mains sur mon cou
Nos soirées interminables
Nos discussions rêveuses
Et les plus sérieuses aussi
Te voir rire
Te voir danser
Te voir épanouie
Hier et ces doux souvenirs
Là tout de suite pour le plaisir
Et demain aussi
Tes seins sur moi
Ton corps nu au petit matin
Tes mains se crispant sur mon dos
Mais je ne veux pas faire marche arrière...
Un dans un
Un chacun
Un à deux
Tout est à faire
Tout est à créer
Tout est à nous
Si tu le veux aussi...
Tes yeux dans les miens
Ton sourire charmeur
Tes mains sur mon cou
Nos soirées interminables
Nos discussions rêveuses
Et les plus sérieuses aussi
Te voir rire
Te voir danser
Te voir épanouie
Hier et ces doux souvenirs
Là tout de suite pour le plaisir
Et demain aussi
Tes seins sur moi
Ton corps nu au petit matin
Tes mains se crispant sur mon dos
Mais je ne veux pas faire marche arrière...
Un dans un
Un chacun
Un à deux
Tout est à faire
Tout est à créer
Tout est à nous
Si tu le veux aussi...
Mer 11 Août 2010, 22:24 par
Loyd sur La séduction
Pensées sur l'amour
Que reste-t-il de l’amour dans notre époque marqué moralement par la croissance parfois démesurée de l’individualisme, la guerre des égoïsmes et des intérêts? Reste-t-il cet idéal vers lequel chacun aspire, et à travers qui la réalisation de soi devient légitime et universel?
L’amour comme chaque phénomène humain ancré dans un contexte historique et culturel, subit les changements de l’époque dans laquelle il se réalise.
Sa face actuelle s’exprime par une volonté ardente de se retrouvé à travers l’autre, à travers une altérité qui émancipe le moi et le rend plus subtil et plus élégant. Le moi est ouvert a des possibilités que l’autre seulement peut apporter et créer, des possibilités qui peuvent déséquilibrer la conception qu’on a de soi même, mais qui ont comme but la redéfinition d’un ego cherchant à être plus profond et plus satisfait. Vu de cet angle, l’amour paraît comme une recherche égoïste, suivant les obligations d’un désir de plus en plus assoiffé à de nouvelles expériences, nouvelles satisfactions.
De tels désirs, ne sont pas souvent choisis librement avec un raisonnement indépendant et souvrain, mais plus ou moins imposés dés l’enfance par les valeurs que la société adoptent et protègent. sortir de ces valeurs pour rechercher soi même ses propres valeurs devient plus difficile quand à l’adolescence, les jeunes sont bombardés par une machine médiatique qui impose et décrit certaines formes de l’amour comme étant les seules légitimes et souhaitables. À travers les chansons, les films, les séries, les magazines, la littérature, certains modèles sont érigés en exemples absolus, faisant ainsi une restriction, une marginalisation des autres formes possibles qui existent à travers le monde.
Le jeun, et après l’adulte, suivent ainsi le modèle présupposé être celui de la réussite, un modèle basé sur le calcul continuel des intérêts de l’ego; puisque le modèle économique gouverne le monde depuis l’ère de l’industrialisation, ses valeurs ont été recopiés petit à petit dans des sphères privés pour atteindre enfin le plus intims. Ce système, renforcé par la culture de la consommation d’un coté, et par la recherche du profit de l’autre, objective tous ce qui existe pour lui donner une valeur et objective par la suite l’être humain, l’autre, pour ne voir en lui que des possibilités de profit existentiel et de consommation émotionnelle. On recherche les atouts de l’autre, qui nous manquent nous même : un jolie corps, une beauté attirante, des sensations chaleureuses...etc. L’utilitarisme règne en maitre :» tant que tu correspond à mes attentes, à mes souhaits, à mes désirs, je te désire». commence ainsi le chemin de consommation de l’autre, de ses capacité et ses atouts. Le tout est masqué par les métaphores de l’amour et l’attachement. On est dans l’arène de l’éros grec: le dieu en manque cherche la satisfaction de ses manques, mais quand la satisfaction est là, le manque n’y plus,quand l’objet-ou le sujet- est là, sous le contrôle et disponible à toute demande, il nous manque plus. Il faut d’autre objet, d’autres sujets qui apportent d’autres dimensions. Et c’est remarquable comment ces idées sont abondantes dans la culture de la consommation: on a des choses, mais il nous faut d’autres, car ceux qu’on a sont démodé, dépassé, et il y a tout le temps des nouveautés, tout le temps des choses à découvrir et à exploiter.
Quand la routine s’installe, le démon de la séparation sort sa tète dans les cœurs. Mais de la routine il y en aura toujours, de la répétition aussi. Chose qu’a remarqué le philosophe anglais Bertrand russel, qui a écrit «on peut tomber amoureux et rester pendant plusieurs années à la dévotion d’un seul être, mais tôt ou tard l’habitude émousse la passion et il faut chercher ailleurs le retour des premières voluptés. Il est naturellement possible de dominer cet instinct, mais il est difficile d’en empêcher l’existence».
mais aussi le philosophe français Christophe schaeffer; quand il a écrit: «quand un couple rencontre des difficultés, le remède est le plus souvent recherché dans une logique de rupture, mais ce que sous tend cette logique, c’est ce qui nous pousse à la consommation compulsive de personnes...en vient-on finalement à jeter la relation , donc la personne, comme on jetterait un produit devenu obsolète. On change de partenaire avec le fantasme de trouver mieux, comme si, dans le domaine des rapports humains, il devenait possible d’acquérir le dernier modèle, plus innovant, plus séduisant»
et cette quête se répète indéfinement jusqu’à l’épuisement, jusqu’à ce que la conscience se rende compte que la jeunesse est passée, que le champ de possibilités devient nettement étroit avec l’age qui continu son chemin vers la fin. Car comme tout système consumériste, il y a des critères qu’il faut avoir pour pouvoir rivaliser et avoir sa place, des critères sans pitié, excluant les faibles, les malades, les handicapés, les pauvres, les étrangers...etc .ça ne veux pas dire que ces tranches entières de l’humanité n’ont pas de vie sentimentale ou charnelle, mais que leurs choix sont nettement limités et rares, et que même ces choix durent très peu dans le temps face au nombre incalculable de problèmes et d’obstacles.
Dans un système de concurrence généralisé, chacun évalue chacun, et si la comptabilité des être est positive, l’ego s’ouvre pour chercher la réussite tant voulu et convoitée; c’est un symbole de réalisation qui essai de convaincre les autres qu’on arrive mieux qu’eux à se satisfaire.
Mais heureusement, le monde n’est pas si noir que ça, s’il y a des valeurs dominantes, il y a toujours des hommes et des femmes courageux d’esprit qui cherchent leur chemin par eux même, qui construisent leur univers indépendamment de la culture de masse dominante. Des gens qui comprennent qu’éros ne dure pas. Éros s’use au fur et à mesure qu’il est satisfait, éros ne renait que pour mourir de nouveau. Quand «philia» (amour d’amitié), avec le temps, ne cesse de se renforcer, de s’approfondir, de s’épanouir. Au début, on n’aime que ses propres désirs, qu’on assouvis à travers l’autre, c’est l’amour qui prend, l’amour qui consomme. Mais un autre passage est possible, d’autre formes peuvent exister. On apprend à voir l’autre comme il est, de l’aimer pour lui même, de l’amour qui prend à l’amour qui donne, de l’égoïsme à la bienveillance, du manque à la joie de vivre ensemble, d’éros à philia. L’humanité par là assume une ascension; qui sort de l’étroitesse, à la générosité de faire et donner le bien, de se réaliser à travers le bonheur de l’autre qui nous comble aussi, puisqu’il est celui qu’on aime et qu’on veut protéger, même de soi..l’amour est un chemin à faire, si la volonté d’être plus qu’un égoïste est là, un chemin qui commence par le manque, par la passion brulante parfois, par le désir, mais qui ne doit pas finir comme toute flamme sur laquelle on jette l’eau froide de la satisfaction, on doit la protéger contre l’hiver pour atteindre le printemps, on doit essayer de penser l’amour autrement qu’en terme de satisfaction et d’intérêt. Il faut que l’amour apporte des vertus, et pas des vices. Qu’il fait renaitre la générosité,l’amitié,la miséricorde, et pas la cupidité, le culte de soi, l’indifférence.
André comte sponville, a très bien résumé ça dans un passage sur l’amour, dans son fameux livre, petite traité des grandes vertus, : « il faut citer la bouleversante formule de pavese, dans son journal intime: tu seras aimé le jour où tu pourra montrer ta faiblesse sans que l’autre s’en serve pour affirmer sa force. Cet amour là est le plus rare, le plus précieux, le plus miraculeux. Vous reculez d’un pas? Il recule de deux. Simplement pour vous laisser plus d’espace, pour ne pas vous bousculer, pour ne pas vous envahir, pour ne pas vous écraser, pour vous laisser un peu plus d’espace, de liberté, d’air, et d’autant plus qu’il vous sent plus faible, pour ne pas vous imposer sa puissance, pas même sa joie ou son amour, pour ne pas occuper tout l’espace disponible.....c’est une idée que Spinoza n’aurait jamais eue, qu’Aristote n’aurait jamais eue, et qui parle pourtant à notre fragilité, à notre fatigue, et même à cette force en nous, me semble-t-il, si légère, si rare, le peu d’amour vraiment désintéressé dont parfois nous sommes capables...non plus le manque, la passion ou la convoitise(éros), non plus la puissance joyeuse et expansive, l’affirmation commune d’une existence réciproquement augmentée, l’amour de soi redoublé par l’amour de l’autre, mais le retrait, mais la douceur, mais la délicatesse d’exister moins, de s’affirmer moins, de s’étendre moins, mais l’auto limitation de son pouvoir, de sa force, de son être...l’amour qui n’augmente pas la puissance mais qui la limite ou la nie, l’amour qui ne redouble pas l’amour de soi mais qui le compense ou le dissout,l’amour qui conforte pas l’ego mais qui en libère»
c’est beau, sublime, mais possible malgré tout. Difficile à appliquer ou à penser, mais réalisable si le bon choix est fait.
NB: mes excuses s’il y a des fautes d’orthographe ou de grammaire.
L’amour comme chaque phénomène humain ancré dans un contexte historique et culturel, subit les changements de l’époque dans laquelle il se réalise.
Sa face actuelle s’exprime par une volonté ardente de se retrouvé à travers l’autre, à travers une altérité qui émancipe le moi et le rend plus subtil et plus élégant. Le moi est ouvert a des possibilités que l’autre seulement peut apporter et créer, des possibilités qui peuvent déséquilibrer la conception qu’on a de soi même, mais qui ont comme but la redéfinition d’un ego cherchant à être plus profond et plus satisfait. Vu de cet angle, l’amour paraît comme une recherche égoïste, suivant les obligations d’un désir de plus en plus assoiffé à de nouvelles expériences, nouvelles satisfactions.
De tels désirs, ne sont pas souvent choisis librement avec un raisonnement indépendant et souvrain, mais plus ou moins imposés dés l’enfance par les valeurs que la société adoptent et protègent. sortir de ces valeurs pour rechercher soi même ses propres valeurs devient plus difficile quand à l’adolescence, les jeunes sont bombardés par une machine médiatique qui impose et décrit certaines formes de l’amour comme étant les seules légitimes et souhaitables. À travers les chansons, les films, les séries, les magazines, la littérature, certains modèles sont érigés en exemples absolus, faisant ainsi une restriction, une marginalisation des autres formes possibles qui existent à travers le monde.
Le jeun, et après l’adulte, suivent ainsi le modèle présupposé être celui de la réussite, un modèle basé sur le calcul continuel des intérêts de l’ego; puisque le modèle économique gouverne le monde depuis l’ère de l’industrialisation, ses valeurs ont été recopiés petit à petit dans des sphères privés pour atteindre enfin le plus intims. Ce système, renforcé par la culture de la consommation d’un coté, et par la recherche du profit de l’autre, objective tous ce qui existe pour lui donner une valeur et objective par la suite l’être humain, l’autre, pour ne voir en lui que des possibilités de profit existentiel et de consommation émotionnelle. On recherche les atouts de l’autre, qui nous manquent nous même : un jolie corps, une beauté attirante, des sensations chaleureuses...etc. L’utilitarisme règne en maitre :» tant que tu correspond à mes attentes, à mes souhaits, à mes désirs, je te désire». commence ainsi le chemin de consommation de l’autre, de ses capacité et ses atouts. Le tout est masqué par les métaphores de l’amour et l’attachement. On est dans l’arène de l’éros grec: le dieu en manque cherche la satisfaction de ses manques, mais quand la satisfaction est là, le manque n’y plus,quand l’objet-ou le sujet- est là, sous le contrôle et disponible à toute demande, il nous manque plus. Il faut d’autre objet, d’autres sujets qui apportent d’autres dimensions. Et c’est remarquable comment ces idées sont abondantes dans la culture de la consommation: on a des choses, mais il nous faut d’autres, car ceux qu’on a sont démodé, dépassé, et il y a tout le temps des nouveautés, tout le temps des choses à découvrir et à exploiter.
Quand la routine s’installe, le démon de la séparation sort sa tète dans les cœurs. Mais de la routine il y en aura toujours, de la répétition aussi. Chose qu’a remarqué le philosophe anglais Bertrand russel, qui a écrit «on peut tomber amoureux et rester pendant plusieurs années à la dévotion d’un seul être, mais tôt ou tard l’habitude émousse la passion et il faut chercher ailleurs le retour des premières voluptés. Il est naturellement possible de dominer cet instinct, mais il est difficile d’en empêcher l’existence».
mais aussi le philosophe français Christophe schaeffer; quand il a écrit: «quand un couple rencontre des difficultés, le remède est le plus souvent recherché dans une logique de rupture, mais ce que sous tend cette logique, c’est ce qui nous pousse à la consommation compulsive de personnes...en vient-on finalement à jeter la relation , donc la personne, comme on jetterait un produit devenu obsolète. On change de partenaire avec le fantasme de trouver mieux, comme si, dans le domaine des rapports humains, il devenait possible d’acquérir le dernier modèle, plus innovant, plus séduisant»
et cette quête se répète indéfinement jusqu’à l’épuisement, jusqu’à ce que la conscience se rende compte que la jeunesse est passée, que le champ de possibilités devient nettement étroit avec l’age qui continu son chemin vers la fin. Car comme tout système consumériste, il y a des critères qu’il faut avoir pour pouvoir rivaliser et avoir sa place, des critères sans pitié, excluant les faibles, les malades, les handicapés, les pauvres, les étrangers...etc .ça ne veux pas dire que ces tranches entières de l’humanité n’ont pas de vie sentimentale ou charnelle, mais que leurs choix sont nettement limités et rares, et que même ces choix durent très peu dans le temps face au nombre incalculable de problèmes et d’obstacles.
Dans un système de concurrence généralisé, chacun évalue chacun, et si la comptabilité des être est positive, l’ego s’ouvre pour chercher la réussite tant voulu et convoitée; c’est un symbole de réalisation qui essai de convaincre les autres qu’on arrive mieux qu’eux à se satisfaire.
Mais heureusement, le monde n’est pas si noir que ça, s’il y a des valeurs dominantes, il y a toujours des hommes et des femmes courageux d’esprit qui cherchent leur chemin par eux même, qui construisent leur univers indépendamment de la culture de masse dominante. Des gens qui comprennent qu’éros ne dure pas. Éros s’use au fur et à mesure qu’il est satisfait, éros ne renait que pour mourir de nouveau. Quand «philia» (amour d’amitié), avec le temps, ne cesse de se renforcer, de s’approfondir, de s’épanouir. Au début, on n’aime que ses propres désirs, qu’on assouvis à travers l’autre, c’est l’amour qui prend, l’amour qui consomme. Mais un autre passage est possible, d’autre formes peuvent exister. On apprend à voir l’autre comme il est, de l’aimer pour lui même, de l’amour qui prend à l’amour qui donne, de l’égoïsme à la bienveillance, du manque à la joie de vivre ensemble, d’éros à philia. L’humanité par là assume une ascension; qui sort de l’étroitesse, à la générosité de faire et donner le bien, de se réaliser à travers le bonheur de l’autre qui nous comble aussi, puisqu’il est celui qu’on aime et qu’on veut protéger, même de soi..l’amour est un chemin à faire, si la volonté d’être plus qu’un égoïste est là, un chemin qui commence par le manque, par la passion brulante parfois, par le désir, mais qui ne doit pas finir comme toute flamme sur laquelle on jette l’eau froide de la satisfaction, on doit la protéger contre l’hiver pour atteindre le printemps, on doit essayer de penser l’amour autrement qu’en terme de satisfaction et d’intérêt. Il faut que l’amour apporte des vertus, et pas des vices. Qu’il fait renaitre la générosité,l’amitié,la miséricorde, et pas la cupidité, le culte de soi, l’indifférence.
André comte sponville, a très bien résumé ça dans un passage sur l’amour, dans son fameux livre, petite traité des grandes vertus, : « il faut citer la bouleversante formule de pavese, dans son journal intime: tu seras aimé le jour où tu pourra montrer ta faiblesse sans que l’autre s’en serve pour affirmer sa force. Cet amour là est le plus rare, le plus précieux, le plus miraculeux. Vous reculez d’un pas? Il recule de deux. Simplement pour vous laisser plus d’espace, pour ne pas vous bousculer, pour ne pas vous envahir, pour ne pas vous écraser, pour vous laisser un peu plus d’espace, de liberté, d’air, et d’autant plus qu’il vous sent plus faible, pour ne pas vous imposer sa puissance, pas même sa joie ou son amour, pour ne pas occuper tout l’espace disponible.....c’est une idée que Spinoza n’aurait jamais eue, qu’Aristote n’aurait jamais eue, et qui parle pourtant à notre fragilité, à notre fatigue, et même à cette force en nous, me semble-t-il, si légère, si rare, le peu d’amour vraiment désintéressé dont parfois nous sommes capables...non plus le manque, la passion ou la convoitise(éros), non plus la puissance joyeuse et expansive, l’affirmation commune d’une existence réciproquement augmentée, l’amour de soi redoublé par l’amour de l’autre, mais le retrait, mais la douceur, mais la délicatesse d’exister moins, de s’affirmer moins, de s’étendre moins, mais l’auto limitation de son pouvoir, de sa force, de son être...l’amour qui n’augmente pas la puissance mais qui la limite ou la nie, l’amour qui ne redouble pas l’amour de soi mais qui le compense ou le dissout,l’amour qui conforte pas l’ego mais qui en libère»
c’est beau, sublime, mais possible malgré tout. Difficile à appliquer ou à penser, mais réalisable si le bon choix est fait.
NB: mes excuses s’il y a des fautes d’orthographe ou de grammaire.
Quiproquo consentant ?
Entre chacun de ses mots de réconforts féminins, chacune voit dans le visage de l’autre les inconvénients de leur situation actuelle. Elles se disent : "Ma vie n’est pas réjouissante mais la sienne n’est pas mieux... Dieu me garde de choisir la sienne !"
La célibataire voit dans l’union mal assortie un bonheur flétri trop tôt. Elle préfère vivre sa vie seule. La solitude a bien des désagréments. Son coeur ne bat pas au diapason avec un autre instrument. Personne n’est présent pour battre la mesure avec elle. Elle a l’impression d’être oubliée par tous. Pourquoi n’y a-t-il pas un autre coeur qui daigne s’accorder au sien ? Pourtant, elle demeure convaincue que sa liberté lui donne le choix d’un bonheur éternel. Mais encore faut-il qu’elle trouve l’harmonie avec un autre coeur !
L’amie accompagnée trouve dans son union quelque peu mal fagoté un confort artificiel. Cela lui apporte une stabilité affective précaire mais cela lui suffit bien. Dépitée de ses expériences peu productives, elle a abandonné sa quête de l’harmonie idéale avec un autre. Son coeur est peut-être devenu sourd et maladroit avec le temps, se dit-elle. Quand elle voit la solitude et le désespoir de son amie, elle est bien contente de trouver un compagnon et enfants en son logis. Au moins ne connaît-elle pas la solitude physique ! Mais son coeur demeure seul, alors elle chante en silence dans l’espoir d’entendre un jour une réponse.
Au final, toutes deux connaissent la solitude du corps et du coeur. Le corps ne trouve pas d’harmonie avec le coeur. Et le coeur recherche un autre pour faire danser les corps dans une harmonie divine, dans un seul et même rythme.
La célibataire voit dans l’union mal assortie un bonheur flétri trop tôt. Elle préfère vivre sa vie seule. La solitude a bien des désagréments. Son coeur ne bat pas au diapason avec un autre instrument. Personne n’est présent pour battre la mesure avec elle. Elle a l’impression d’être oubliée par tous. Pourquoi n’y a-t-il pas un autre coeur qui daigne s’accorder au sien ? Pourtant, elle demeure convaincue que sa liberté lui donne le choix d’un bonheur éternel. Mais encore faut-il qu’elle trouve l’harmonie avec un autre coeur !
L’amie accompagnée trouve dans son union quelque peu mal fagoté un confort artificiel. Cela lui apporte une stabilité affective précaire mais cela lui suffit bien. Dépitée de ses expériences peu productives, elle a abandonné sa quête de l’harmonie idéale avec un autre. Son coeur est peut-être devenu sourd et maladroit avec le temps, se dit-elle. Quand elle voit la solitude et le désespoir de son amie, elle est bien contente de trouver un compagnon et enfants en son logis. Au moins ne connaît-elle pas la solitude physique ! Mais son coeur demeure seul, alors elle chante en silence dans l’espoir d’entendre un jour une réponse.
Au final, toutes deux connaissent la solitude du corps et du coeur. Le corps ne trouve pas d’harmonie avec le coeur. Et le coeur recherche un autre pour faire danser les corps dans une harmonie divine, dans un seul et même rythme.
Mer 23 Juin 2010, 03:18 par
Solina sur Parler d'amour
Le dernier instant (chapitre cinq)
Dernière nuit, où ils s’aimeront encore plus. Ils se "déchaineront" avec une frénésie forte, et passionnelle .Ils ne bougeront pas de cette chambre, alternant repas, câlins, tendresse, sans être repu. Comme si une force incroyable les poussait encore et encore, à se surpasser. Puis, ils feront une bataille de polochon, à en avoir mal au ventre, les plumes sortant des oreillers, éparpillées de partout...
C’était tellement fou, tellement irréel, qu’ils se demanderont bien, si c’était vrai, car le temps défilera, à toute allure, ils regarderont discrètement chacun leur tour, le réveil posé à cote de la lampe à chevet.
Elle va devoir s’habiller, il la regardera, et sans un bruit.
Il l’a raccompagnera à la gare en la serrant fort, un bras posé sur sa taille.
C’était tellement fou, tellement irréel, qu’ils se demanderont bien, si c’était vrai, car le temps défilera, à toute allure, ils regarderont discrètement chacun leur tour, le réveil posé à cote de la lampe à chevet.
Elle va devoir s’habiller, il la regardera, et sans un bruit.
Il l’a raccompagnera à la gare en la serrant fort, un bras posé sur sa taille.
Lun 07 Juin 2010, 11:27 par
caressedesyeux sur Parler d'amour
La passion, laisse-la pénétrer ton coeur et laisse-la partir
Nous vivons tous de passions. Leur durée ne dépend que de l’usure du coeur. Entretenir un amour est difficile car cela nécessite un effort.
Notre individualité ne nous aide pas à voir la qualité de la flamme de l’Autre car nous sommes trop occupés par nourrir la nôtre. Cet aveuglement temporaire peut créer chez l’Autre cette impression d’abandon. Ne supportant pas la solitude, l’Autre préfère laisser diminuer voire éteindre sa flamme. A chacun d’entre nous de faire l’effort d’ouvrir à temps les yeux pour sauver la flamme de l’Autre pour qu’elle brille comme au premier jour. L’entretenir, c’est regarder la flamme de l’Autre comme si on la découvrait pour la première fois chaque matin.
Si elle se meure, laissez-la mourir. Ne pleurez pas et laissez-vous éblouir par une nouvelle flamme plus vivante.
Quand une bougie arrive à son terme et qu’elle n’éclaire plus, laissez-la s’éteindre. Ouvrez alors vos yeux pour voir de nouvelles bougies vous éclairer la Vie.
Notre individualité ne nous aide pas à voir la qualité de la flamme de l’Autre car nous sommes trop occupés par nourrir la nôtre. Cet aveuglement temporaire peut créer chez l’Autre cette impression d’abandon. Ne supportant pas la solitude, l’Autre préfère laisser diminuer voire éteindre sa flamme. A chacun d’entre nous de faire l’effort d’ouvrir à temps les yeux pour sauver la flamme de l’Autre pour qu’elle brille comme au premier jour. L’entretenir, c’est regarder la flamme de l’Autre comme si on la découvrait pour la première fois chaque matin.
Si elle se meure, laissez-la mourir. Ne pleurez pas et laissez-vous éblouir par une nouvelle flamme plus vivante.
Quand une bougie arrive à son terme et qu’elle n’éclaire plus, laissez-la s’éteindre. Ouvrez alors vos yeux pour voir de nouvelles bougies vous éclairer la Vie.
Mer 05 Mai 2010, 03:41 par
Solina sur La vie à deux
Résultats concours vers à lyre n°8
Citation: |
Bonjours à tous :)
Avec un peu de retard en raison de nos obligations personnelles du coté du jury, voici les résultats du concours interforum n°8 organisé par Vers à Lyre. Avec une majorité de voix sur chacun des forums votant, le Texte n°3 : L’artificier, remporte haut la main le concours. Son auteure Melenea a joué et gagné en représentant le forum Lezards de la poésie qui sera mis à l’honneur dans le n°8 de Vers à Lyre, à paraître en juillet 2010 ! Avec les félicitations de l’équipe pour l’ensemble des participations à ce concours de qualité, merci à tous ! Les auteurs sont : n°1 > Couleurs d’Agate n°2 > Mina M n°3 > Melenea Les auteurs qui le souhaitent peuvent me demander le détails de leurs résultats par Message Privé. |
Ying/yang
On trouve tous plus ou moins notre compte à faire ou ne pas faire certaines choses.
Mais n’est-il pas vrai que tant que l’absolue vérité n’est pas dévoilée l’on essaie de la connaître par tout les moyens possibles et imaginables ?
L’être humain, erreur de la nature humaine, lui même supposé aimer son prochain comme le dicte la bible, n’est autre qu’une créature sous une carapace, complètement obnubilée par la soif du désir et de l’autosatisfaction, il ne trouve de sens qu’aux choses qu’il manipule. Où est le bien et le mal ? Dirait-on d’un dieu qu’il fait le bien ou d’un démon qu’il fait le mal ? Et si tout ça n’était qu’illusion, si, en fait, les agissements des personnes seraient mauvaises pour arriver à une chose " bonne " et vice versa ?
C’est là le secret de l’être humain celui qui manipule pour arriver à ses fins, pour s’amuser de temps à autre ou pour jubiler d’un bonheur ou d’un malheur. Il n’a donc aucune fierté, aucun courage mais s’invente juste certaines vérités pour ne pas se troubler.
C’est dans l’instant que les choses se passent et si beaucoup de personnes se reconnaissent dans ces écrits c’est qu’au fond vous l’êtes tous à un certain degré, savoir lequel est une autre histoire.
Je perçois certaines choses comme étant mauvaises mais certains me diront qu’elles sont bonnes, ces personnes seraient elles mauvaises pour autant ?
Il n’existe aucun juste milieu, ni bien, ni mal ! On est juste animé par nos désirs animal et poussés à faire des choses incontestablement incongrus . La vérité de chacun qui la connaît ? IMPENSABLE !
Je me demande juste comment on peut faire pour se séparer des idées reçues ( cette personne est bonne ou cette personne est mauvaise ). Car en fait chaque individu a un avis propre sur une personne et il agira bien ou mal avec elle uniquement si la finalité lui apporte.
Alors aux personnes se pensant BONNE vous êtes sûrement aussi mauvaises et aux personnes se sentant MAUVAISE vous êtes sûrement aussi bonnes .
Le principe même du YING et du YANG qui sans minuscule petit point blanc et noir n’est RIEN .
Mais n’est-il pas vrai que tant que l’absolue vérité n’est pas dévoilée l’on essaie de la connaître par tout les moyens possibles et imaginables ?
L’être humain, erreur de la nature humaine, lui même supposé aimer son prochain comme le dicte la bible, n’est autre qu’une créature sous une carapace, complètement obnubilée par la soif du désir et de l’autosatisfaction, il ne trouve de sens qu’aux choses qu’il manipule. Où est le bien et le mal ? Dirait-on d’un dieu qu’il fait le bien ou d’un démon qu’il fait le mal ? Et si tout ça n’était qu’illusion, si, en fait, les agissements des personnes seraient mauvaises pour arriver à une chose " bonne " et vice versa ?
C’est là le secret de l’être humain celui qui manipule pour arriver à ses fins, pour s’amuser de temps à autre ou pour jubiler d’un bonheur ou d’un malheur. Il n’a donc aucune fierté, aucun courage mais s’invente juste certaines vérités pour ne pas se troubler.
C’est dans l’instant que les choses se passent et si beaucoup de personnes se reconnaissent dans ces écrits c’est qu’au fond vous l’êtes tous à un certain degré, savoir lequel est une autre histoire.
Je perçois certaines choses comme étant mauvaises mais certains me diront qu’elles sont bonnes, ces personnes seraient elles mauvaises pour autant ?
Il n’existe aucun juste milieu, ni bien, ni mal ! On est juste animé par nos désirs animal et poussés à faire des choses incontestablement incongrus . La vérité de chacun qui la connaît ? IMPENSABLE !
Je me demande juste comment on peut faire pour se séparer des idées reçues ( cette personne est bonne ou cette personne est mauvaise ). Car en fait chaque individu a un avis propre sur une personne et il agira bien ou mal avec elle uniquement si la finalité lui apporte.
Alors aux personnes se pensant BONNE vous êtes sûrement aussi mauvaises et aux personnes se sentant MAUVAISE vous êtes sûrement aussi bonnes .
Le principe même du YING et du YANG qui sans minuscule petit point blanc et noir n’est RIEN .
Qui... quoi...
Mon coeur, ma tête...
Les 2 sont liès, les deux sont difficiles à dissocier dans notre société.
Vivre seulement avec le coeur laisse la place à toutes les folies que notre société ne saurait accepter.
Vivre seulement avec la tête ne rend pas heureux, ne laisse pas la place à la flamme.
On est foutu dans cet équilibre instable que chacun vis à sa façon!
Les 2 sont liès, les deux sont difficiles à dissocier dans notre société.
Vivre seulement avec le coeur laisse la place à toutes les folies que notre société ne saurait accepter.
Vivre seulement avec la tête ne rend pas heureux, ne laisse pas la place à la flamme.
On est foutu dans cet équilibre instable que chacun vis à sa façon!
Mar 23 Fév 2010, 20:55 par
Loyd sur Mille choses
Un sourire ...
En effet, la définition de chacun de nos sourires dépend du contexte.
Mais comment aimer ? Nos sourires sont toujours interprétés. Dans la détresse, il devient un soutien, une lueur de vie. Dans la joie, il est la symphonie de deux coeurs qui s’estiment, qui vivent l’instant présent. Pourquoi l’Amour doit-il être si exclusif ? Ne peut-on aimer tout simplement ? Sa complexité lui donne sa richesse et crée le malheur des hommes. L’homme simple voit sa vie se transformer en enfer dans l’incertitude de l’opinion de l’autre qu’il ne peut contrôler. C’est notre représentation de l’autre qui "tue" notre amour sincère. L’adulte qui garde un amour simple passe pour un naïf.
Une fois passé dans le monde des êtres pensants, notre amour simple d’enfant se mue en des amours perverties de fins stratèges. Nous créons des sourires pour rattraper d’autres animaux. Pourquoi ne pas sourire pour sourire, pour manisfester notre Amour pour la Vie ? Si nous finissons par partager une même couche, ne serait-ce pas un prolongement de notre Amour pour la Vie ? Cet Amour pour la Vie, nous la trouvons dans les sourires d’enfants. Ils sourient car ils aiment vivre.
Pourquoi ne savons-nous plus sourire et rire entre nous ? L’adulte qui oublie qu’il a été enfant est un être bien triste.
Pourquoi être candide n’est pas une qualité humaine dans un monde où le faux est monnaie courant dans les relations ? Nous savons parler à nos enfants de sincérité mais nous nous conduisons souvent bien plus mal dans notre vie.
Mais qui devrait faire la leçon à qui ?
Mais comment aimer ? Nos sourires sont toujours interprétés. Dans la détresse, il devient un soutien, une lueur de vie. Dans la joie, il est la symphonie de deux coeurs qui s’estiment, qui vivent l’instant présent. Pourquoi l’Amour doit-il être si exclusif ? Ne peut-on aimer tout simplement ? Sa complexité lui donne sa richesse et crée le malheur des hommes. L’homme simple voit sa vie se transformer en enfer dans l’incertitude de l’opinion de l’autre qu’il ne peut contrôler. C’est notre représentation de l’autre qui "tue" notre amour sincère. L’adulte qui garde un amour simple passe pour un naïf.
Une fois passé dans le monde des êtres pensants, notre amour simple d’enfant se mue en des amours perverties de fins stratèges. Nous créons des sourires pour rattraper d’autres animaux. Pourquoi ne pas sourire pour sourire, pour manisfester notre Amour pour la Vie ? Si nous finissons par partager une même couche, ne serait-ce pas un prolongement de notre Amour pour la Vie ? Cet Amour pour la Vie, nous la trouvons dans les sourires d’enfants. Ils sourient car ils aiment vivre.
Pourquoi ne savons-nous plus sourire et rire entre nous ? L’adulte qui oublie qu’il a été enfant est un être bien triste.
Pourquoi être candide n’est pas une qualité humaine dans un monde où le faux est monnaie courant dans les relations ? Nous savons parler à nos enfants de sincérité mais nous nous conduisons souvent bien plus mal dans notre vie.
Mais qui devrait faire la leçon à qui ?
Jeu 04 Fév 2010, 01:42 par
Solina sur Un monde parfait
Un nounours : signe d'amitié
Envie de vous faire partager un sourire.
Chacun d’entre nous possédons un objet qui nous rappelle des souvenirs de tendresse. Le plus marquant est notre premier chiffon, un jouet ou une peluche. Quand nous étions tristes, il portait nos malheurs. Quand nous étions heureux, il partageait notre joie.Nous nous attachons à cet être car il porte religieusement nos secrets d’enfance. Quand nous grandissons, il existe dans nos coeurs mais disparaît peu à peu au profit d’autres choses.
Pour les quarante ans d’un ami, j’ai voulu lui communiquer ma profonde amitié en lui confectionnant une peluche. Certes, à l’image de chaque homme, elle est imparfaite. Mais, sa seule perfection, c’est mon amour dans chacun de mes gestes, ma sincérité dans sa réalisation. Dans mon coeur, cette peluche demeure unique car je ne reproduirai pas deux fois la même.
Pourquoi ? Cette peluche est la première que j’ai réalisée en entier, toute à la main. Elle est marquée de toutes mes hésitations, de mes déceptions mais aussi de mes joies et victoires. A mes yeux, elle est tout ce que je suis. J’ai voulu donner le meilleur de moi-même car il a toujours donné le meilleur de lui-même. Simple et discret, il est toujours à l’écoute. J’ai voulu réaliser une peluche simple et discrète, comme à l’image de ce compagnon vivant dans mon ombre. A ce compagnon, que je n’ai jamais su prendre dans mes bras, à qui je n’ai jamais su dire en face que je l’appréciais, j’ai voulu lui manisfester tous mes sentiments d’amitié dans ce simple objet.
Car, comme la peluche, je veux être pour lui le compagnon silencieux qui porte joies et peines de son maître. Comment savoir que cette amitié est réciproque ? Il a placé cette petite peluche dans sa poche de chemise, au niveau de son coeur et non dans son sac, là où tous les adultes laissent leur tendresse d’enfant.
Qu’est-ce que grandir ? C’est regarder votre vie avec le regard neuf d’un enfant qui découvre à chaque instant la vie avec ses petites joies et ses petites peines et qui chuchote à son nounours : "Regarde, je vis et je te remercie de porter mon coeur" !
Chacun d’entre nous possédons un objet qui nous rappelle des souvenirs de tendresse. Le plus marquant est notre premier chiffon, un jouet ou une peluche. Quand nous étions tristes, il portait nos malheurs. Quand nous étions heureux, il partageait notre joie.Nous nous attachons à cet être car il porte religieusement nos secrets d’enfance. Quand nous grandissons, il existe dans nos coeurs mais disparaît peu à peu au profit d’autres choses.
Pour les quarante ans d’un ami, j’ai voulu lui communiquer ma profonde amitié en lui confectionnant une peluche. Certes, à l’image de chaque homme, elle est imparfaite. Mais, sa seule perfection, c’est mon amour dans chacun de mes gestes, ma sincérité dans sa réalisation. Dans mon coeur, cette peluche demeure unique car je ne reproduirai pas deux fois la même.
Pourquoi ? Cette peluche est la première que j’ai réalisée en entier, toute à la main. Elle est marquée de toutes mes hésitations, de mes déceptions mais aussi de mes joies et victoires. A mes yeux, elle est tout ce que je suis. J’ai voulu donner le meilleur de moi-même car il a toujours donné le meilleur de lui-même. Simple et discret, il est toujours à l’écoute. J’ai voulu réaliser une peluche simple et discrète, comme à l’image de ce compagnon vivant dans mon ombre. A ce compagnon, que je n’ai jamais su prendre dans mes bras, à qui je n’ai jamais su dire en face que je l’appréciais, j’ai voulu lui manisfester tous mes sentiments d’amitié dans ce simple objet.
Car, comme la peluche, je veux être pour lui le compagnon silencieux qui porte joies et peines de son maître. Comment savoir que cette amitié est réciproque ? Il a placé cette petite peluche dans sa poche de chemise, au niveau de son coeur et non dans son sac, là où tous les adultes laissent leur tendresse d’enfant.
Qu’est-ce que grandir ? C’est regarder votre vie avec le regard neuf d’un enfant qui découvre à chaque instant la vie avec ses petites joies et ses petites peines et qui chuchote à son nounours : "Regarde, je vis et je te remercie de porter mon coeur" !
Ven 22 Jan 2010, 03:06 par
Solina sur Mille choses
Ecrire sur chacun
Just jealous, Mes pensées sont pour toi.., Mais comment ?, Le temps, Rêve(s) ? morphée, emporte tes enfants dans tes tendres bras, Je veux..., Pensées sur l'amour, Quiproquo consentant ?, Le dernier instant (chapitre cinq), La passion, laisse-la pénétrer ton coeur et laisse-la partir, Résultats concours vers à lyre n°8, Ying/yang, Qui... quoi..., Un sourire ..., Un nounours : signe d'amitié,Il y a 196 textes utilisant le mot chacun. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
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