Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur caresse - Page 13 sur 14
Voyage au pays des elfes
C’était une aube magnifique, qui n’avait rien à envier au plus beau des couchers de soleil. Le ciel s’illuminait de toutes les teintes de violet jusqu’au rose, une aube laissant deviner une belle journée ensoleillée.
Lilou, princesse du pays des papillons, voletait de-ci de-là au dessus des fleurs d’un magnifique jardin dont les senteurs se réveillaient tout doucement sous la chaleur naissante du soleil... elle était belle ce matin, très en forme et chantonnait tout en passant d’une fleur à l’autre; se désaltérant sur les pétales veloutées d’une belle rose pourpre.
Elle choisit un beau lys blanc au parfum envoûtant pour faire sa toilette. Au même moment, Yanis roi des Elfes cherchait quelque nourriture pour son petit déjeuner. Il entend la voix cristalline de la divine princesse et cherche à voir d’où vient cette douce musique, il la voit, touché par tant de grâce, il se pose sur le pommier en fleur qui surplombe la belle.
Il est ému par la beauté de la femme papillon, c’est une jolie jeune femme au corps de jolies proportions, de longs cheveux noirs encadrent un visage à l’ovale parfait, de grands yeux violets illuminent son regard bordé de longs cils; une bouche pulpeuse, finement ourlée du plus beau rose, un joli nez un peu retroussé et fin.
Elle est nue comme toutes les femmes de sa race, nue, sauf une ceinture de fleurs joliment tressée qui descend, pudiquement, sur son pubis. Elle se lave, ignorant que quelqu’un la regarde, d’une pétale de fleur, elle se savonne le corps, elle s’attarde sur ses beaux seins généreux qui dardent leur pointes sous la caresse. Elle descend et c’est au tour de ses longues jambes...interminables au galbe parfait...elle déploie ses grandes ailes finement ciselées...quel chatoiement de couleurs...du bleu foncé au mauve, de petites touches de rose aussi et le tout pailleté d’argent...elle les fait battre tout doucement pour les sécher.
Yanis ne bouge plus, il respire à peine, la belle l’émerveille. Son corps commence à vibrer à la vue de tant de sensualité. Le battement des ailes lui envoie une bouffée de son doux parfum. Oh, comme il la désire! Il faut qu’il l’approche, mais comment faire? Il ne veut pas qu’elle puise deviner qu’il l’a épiée en un moment si intime.
Il prend son envol et va se poser un peu plus loin, priant pour qu’elle passe devant lui. La belle n’est pas sotte, elle l’a vue du coin de l’œil se poser sur l’arbre elle l’a trouvé si beau que troublée elle s’est laissée regarder.
Elle se tourne, se cache derrière le feuillage luxuriant des ancolies et l’observe à son tour, il s’affaire dans la cueillette de baies appétissantes, hum, elle a faim elle aussi. Aussi blond qu’elle est brune, il porte les cheveux longs sur la nuque et frisés, il a de magnifiques yeux bleus. Son corps n’a rien à envier aux sportifs de la Grèce antique. Ses muscles roulent sous l’effort et il arbore de beaux abdominaux bien dessinés. Il porte juste un pagne fait de feuilles fraîches, ses cuisses laissent voir sa puissance de male. Ses ailes repliées laissent deviner leur beauté, elles sont colorées de multiples dégradés de bleus et pailletées de jaune et d’or.
Elle le regarde surprise de ces sensations inconnues qui montent en elle. Quelle est cette chaleur au fond de son bas ventre qui irradie en elle un plaisir naissant. Elle s’avance effrontée, que faire, que dire? Elle ne veut pas le perdre! Il s’immobilise, il lui tourne le dos mais sent sa présence, il ferme les yeux, les sens en éveil, il la respire, perçoit son odeur de Lys. Il se retourne tout doucement, et si elle disparaissait, si elle n’était que mirage?
Ils sont face à face, plus de bruit, plus de pépiement d’oiseaux comme si la nature retenait son souffle, étonnée par tant de beauté réunie...Il lui sourit s’attendant à tout moment qu’elle s’évanouisse , simple illusion. Elle lui répond et il sait alors qu’elle est bien réelle. Le soleil complice les illumine de sa chaude lumière. Il se penche, ramassant une fleur, orchidée assortie à ses yeux et s’approche tout doucement la lui accrocher dans les cheveux...ils n’échangent aucun mots, ils sont superflus. L’air vibre d’amour et de désir autour d’eux.
Elle lui tend la main et il la prend, l’attirant vers un lit de mousse, moelleux tapis où ils s’installent. Ils piochent chacun à leur tour dans la provision de baies sucrées se donnant la becquée tour à tour. Il glisse les doigts dans sa bouche, elle lèche les délicatement le regardant droit dans les yeux. Elle en fait de même; il attrapé sa main et l’embrasse au creux de la paume, du poignet, de l’avant bras, du coude, sur l’épaule, au creux du cou. Il lui susurre des mots d’amour au creux de l’oreille, doux langage qui la trouble au plus profond de son être.
Elle ferme les yeux, s’allonge et s’abandonne à ses caresses. Il n’est que force et se fait douceur, la caressant partout de ses larges mains; elle se cambre sous le plaisir qui l’envahie. Ses mains partent du cou et descendent en coupe sur les seins tendus, il agace les deux pointes de ses pouces et index, les faisant rouler. Elle gémie et ça l’excite, son sexe vient se dresser d’un cran de plus...ohhh, ces seins ! il les palpe, les savoure, prenant les pointes dans sa bouche tour à tour, elle est si cambrée qu’il passe un main sous ses reins pour les caresser.
Il touche la naissance de ses fesses, sa peau est une merveille de douceur. Ses mains sont comme aimantées, il ne pourra plus la lâcher. Il descend encore plus bas sans cesser de l’embrasser, déposant des coups de langue de-ce de-là, glissant le bout de sa langue dans le nombril. Il est sur ses cuisses prenant bien soin d’en éviter le centre, préférant la faire languir un peu. Elle écarte les jambes lui signifiant qu’il est temps de butiner son bouton d’amour. Soit, il s’y dirige avec une lenteur calculée, il y est; mon dieu, elle est si mouillée, quel divin nectar, la reine des fleurs. Il en écarte les pétales veloutées et va s’y enivrer. Son sexe est tellement dressé qu’il lui fait mal, il n’a jamais désiré quelqu’un comme elle.
Ne pas s’affoler, il faut l’honorer comme il se doit. Il prend son bouton en bouche et le tête tout doucement., il le lâche, tourne autour, lèche la surface de son sexe émoustillé, il veut la pénétrer de sa langue et , surprise, la belle est vierge! Très ému par le cadeau qu’elle lui fait, il s’applique à la caresse, il ne veut pas la blesser; la sentant pas loin de l’orgasme, il retourne vers son clitoris et d’un doigt doux et chaud s’active sur le petit gland dressé.
Elle resserre les jambes et secouée de soubresaut se met à pousser des petits cris plaintif de jouissance extrême. Ohhh, cette vague de chaleur soudaine qui l’envahie des pieds à la tête, elle n’aurait cru pareille sensation possible, elle vole mais ne se sert pas de ses belles ailes, elle plane dans le soleil sentant sa lumière et sa chaleur.
Il la prend dans ses bras, la laissant savourer la jouissance, il l’accompagne dans sa descente sur terre en la berçant et en lui disant des mots doux. Elle se sent si bien, elle veut le caresser à son tour, elle ne sait comment faire pour donner du plaisir à un homme, elle fait confiance au désir qu’elle a de le toucher, de l’embrasser. Elle le caresse comme il l’a caressé, sans précipitation, elle découvre son sexe un peu inquiète de ce qu’elle voit.
Le gland est énorme sous le puissant désir qu’il a d’elle, gorgé du plus doux des sucs, elle le veut dans sa bouche. Elle le déguste, elle aime son goût et sa douceur. Humm ! elle ne s’en lasse pas, le faisant sortir de sa bouche pour mieux l’aspirer à nouveau, elle en est gourmande, elle le lèche, s’attardant sur le prépuce puis sur le méat, étonnée de la saveur sucrée de la goûte qui y perle, elle monte et descend, l’engloutissant de plus en plus profondément;
Elle masse ses deux belles boules et les lèches aussi goulûment. Il est comme fou sous sa caresse et bredouille des mots sans queue ne tête. Elle a de nouveau envie de lui, envie qu’il la pénètre malgré la peur de la douleur. Elle vient donc s’allonger à ses côtés et d’une voix rauque d’où on sent tant d’émotions elle lui dit:
- "fais-moi l’amour mon coeur, fais-moi femme".
Tant de douceur, de désir et d’abandon le tétanise, son sexe pourtant bien dur, se raffermit encore! Il se positionne au dessus d’elle, choisissant une position pas bien originale mais dans laquelle il pourra maîtriser toute sa fougue. Il place son gland à l’entrée de son puits d’amour, dont il allait être le premier visiteur. Lentement, sans à-coup, il commence à s’introduire dans ce fourreau de soie dont la chaleur et la moiteur trahit le plaisir qu’il lui donne.
Lorsqu’il fût au contact de la fine membrane qui protége l’entrée, il cesse la progression pour qu’elle se détende, elle le saisit aux hanches dans un geste d’acceptation totale et puis tout doucement, il appuie pour franchir cette barrière de chair. Dans un petit cri, elle l’enlace et comme il ne bouge plus, craintif, elle l’encourage avec un râle de plaisir.
Alors, il accentue ses mouvements et en quelques va et viens la fait devenir femme, ils gémissent de concert, s’accordant dans cette danse du plaisir. Ses puissants coup de reins les amènent au portes du plaisir sentant sa jouissance monter, il déplie ses grandes ailes, les couvrant à tous deux de poussière dorée et c’est à ce moment là qu’elle atteint le plaisir pour la deuxième fois en sentant sa chaude semence l’inonder au plus profond de son corps. Une nuée de papillons multicolores prend son envol mais bien moins haut que là où se trouvent Yanis et Lilou.
Si vous vous levez, à l’aube, un de ces jours, au moment où le ciel se pare de mille teintes, vous les verrez certainement voletant main dans la main parmi les fleurs, rois des cieux accompagnés de leurs enfants aux couleurs éclatantes ...
Lilou, princesse du pays des papillons, voletait de-ci de-là au dessus des fleurs d’un magnifique jardin dont les senteurs se réveillaient tout doucement sous la chaleur naissante du soleil... elle était belle ce matin, très en forme et chantonnait tout en passant d’une fleur à l’autre; se désaltérant sur les pétales veloutées d’une belle rose pourpre.
Elle choisit un beau lys blanc au parfum envoûtant pour faire sa toilette. Au même moment, Yanis roi des Elfes cherchait quelque nourriture pour son petit déjeuner. Il entend la voix cristalline de la divine princesse et cherche à voir d’où vient cette douce musique, il la voit, touché par tant de grâce, il se pose sur le pommier en fleur qui surplombe la belle.
Il est ému par la beauté de la femme papillon, c’est une jolie jeune femme au corps de jolies proportions, de longs cheveux noirs encadrent un visage à l’ovale parfait, de grands yeux violets illuminent son regard bordé de longs cils; une bouche pulpeuse, finement ourlée du plus beau rose, un joli nez un peu retroussé et fin.
Elle est nue comme toutes les femmes de sa race, nue, sauf une ceinture de fleurs joliment tressée qui descend, pudiquement, sur son pubis. Elle se lave, ignorant que quelqu’un la regarde, d’une pétale de fleur, elle se savonne le corps, elle s’attarde sur ses beaux seins généreux qui dardent leur pointes sous la caresse. Elle descend et c’est au tour de ses longues jambes...interminables au galbe parfait...elle déploie ses grandes ailes finement ciselées...quel chatoiement de couleurs...du bleu foncé au mauve, de petites touches de rose aussi et le tout pailleté d’argent...elle les fait battre tout doucement pour les sécher.
Yanis ne bouge plus, il respire à peine, la belle l’émerveille. Son corps commence à vibrer à la vue de tant de sensualité. Le battement des ailes lui envoie une bouffée de son doux parfum. Oh, comme il la désire! Il faut qu’il l’approche, mais comment faire? Il ne veut pas qu’elle puise deviner qu’il l’a épiée en un moment si intime.
Il prend son envol et va se poser un peu plus loin, priant pour qu’elle passe devant lui. La belle n’est pas sotte, elle l’a vue du coin de l’œil se poser sur l’arbre elle l’a trouvé si beau que troublée elle s’est laissée regarder.
Elle se tourne, se cache derrière le feuillage luxuriant des ancolies et l’observe à son tour, il s’affaire dans la cueillette de baies appétissantes, hum, elle a faim elle aussi. Aussi blond qu’elle est brune, il porte les cheveux longs sur la nuque et frisés, il a de magnifiques yeux bleus. Son corps n’a rien à envier aux sportifs de la Grèce antique. Ses muscles roulent sous l’effort et il arbore de beaux abdominaux bien dessinés. Il porte juste un pagne fait de feuilles fraîches, ses cuisses laissent voir sa puissance de male. Ses ailes repliées laissent deviner leur beauté, elles sont colorées de multiples dégradés de bleus et pailletées de jaune et d’or.
Elle le regarde surprise de ces sensations inconnues qui montent en elle. Quelle est cette chaleur au fond de son bas ventre qui irradie en elle un plaisir naissant. Elle s’avance effrontée, que faire, que dire? Elle ne veut pas le perdre! Il s’immobilise, il lui tourne le dos mais sent sa présence, il ferme les yeux, les sens en éveil, il la respire, perçoit son odeur de Lys. Il se retourne tout doucement, et si elle disparaissait, si elle n’était que mirage?
Ils sont face à face, plus de bruit, plus de pépiement d’oiseaux comme si la nature retenait son souffle, étonnée par tant de beauté réunie...Il lui sourit s’attendant à tout moment qu’elle s’évanouisse , simple illusion. Elle lui répond et il sait alors qu’elle est bien réelle. Le soleil complice les illumine de sa chaude lumière. Il se penche, ramassant une fleur, orchidée assortie à ses yeux et s’approche tout doucement la lui accrocher dans les cheveux...ils n’échangent aucun mots, ils sont superflus. L’air vibre d’amour et de désir autour d’eux.
Elle lui tend la main et il la prend, l’attirant vers un lit de mousse, moelleux tapis où ils s’installent. Ils piochent chacun à leur tour dans la provision de baies sucrées se donnant la becquée tour à tour. Il glisse les doigts dans sa bouche, elle lèche les délicatement le regardant droit dans les yeux. Elle en fait de même; il attrapé sa main et l’embrasse au creux de la paume, du poignet, de l’avant bras, du coude, sur l’épaule, au creux du cou. Il lui susurre des mots d’amour au creux de l’oreille, doux langage qui la trouble au plus profond de son être.
Elle ferme les yeux, s’allonge et s’abandonne à ses caresses. Il n’est que force et se fait douceur, la caressant partout de ses larges mains; elle se cambre sous le plaisir qui l’envahie. Ses mains partent du cou et descendent en coupe sur les seins tendus, il agace les deux pointes de ses pouces et index, les faisant rouler. Elle gémie et ça l’excite, son sexe vient se dresser d’un cran de plus...ohhh, ces seins ! il les palpe, les savoure, prenant les pointes dans sa bouche tour à tour, elle est si cambrée qu’il passe un main sous ses reins pour les caresser.
Il touche la naissance de ses fesses, sa peau est une merveille de douceur. Ses mains sont comme aimantées, il ne pourra plus la lâcher. Il descend encore plus bas sans cesser de l’embrasser, déposant des coups de langue de-ce de-là, glissant le bout de sa langue dans le nombril. Il est sur ses cuisses prenant bien soin d’en éviter le centre, préférant la faire languir un peu. Elle écarte les jambes lui signifiant qu’il est temps de butiner son bouton d’amour. Soit, il s’y dirige avec une lenteur calculée, il y est; mon dieu, elle est si mouillée, quel divin nectar, la reine des fleurs. Il en écarte les pétales veloutées et va s’y enivrer. Son sexe est tellement dressé qu’il lui fait mal, il n’a jamais désiré quelqu’un comme elle.
Ne pas s’affoler, il faut l’honorer comme il se doit. Il prend son bouton en bouche et le tête tout doucement., il le lâche, tourne autour, lèche la surface de son sexe émoustillé, il veut la pénétrer de sa langue et , surprise, la belle est vierge! Très ému par le cadeau qu’elle lui fait, il s’applique à la caresse, il ne veut pas la blesser; la sentant pas loin de l’orgasme, il retourne vers son clitoris et d’un doigt doux et chaud s’active sur le petit gland dressé.
Elle resserre les jambes et secouée de soubresaut se met à pousser des petits cris plaintif de jouissance extrême. Ohhh, cette vague de chaleur soudaine qui l’envahie des pieds à la tête, elle n’aurait cru pareille sensation possible, elle vole mais ne se sert pas de ses belles ailes, elle plane dans le soleil sentant sa lumière et sa chaleur.
Il la prend dans ses bras, la laissant savourer la jouissance, il l’accompagne dans sa descente sur terre en la berçant et en lui disant des mots doux. Elle se sent si bien, elle veut le caresser à son tour, elle ne sait comment faire pour donner du plaisir à un homme, elle fait confiance au désir qu’elle a de le toucher, de l’embrasser. Elle le caresse comme il l’a caressé, sans précipitation, elle découvre son sexe un peu inquiète de ce qu’elle voit.
Le gland est énorme sous le puissant désir qu’il a d’elle, gorgé du plus doux des sucs, elle le veut dans sa bouche. Elle le déguste, elle aime son goût et sa douceur. Humm ! elle ne s’en lasse pas, le faisant sortir de sa bouche pour mieux l’aspirer à nouveau, elle en est gourmande, elle le lèche, s’attardant sur le prépuce puis sur le méat, étonnée de la saveur sucrée de la goûte qui y perle, elle monte et descend, l’engloutissant de plus en plus profondément;
Elle masse ses deux belles boules et les lèches aussi goulûment. Il est comme fou sous sa caresse et bredouille des mots sans queue ne tête. Elle a de nouveau envie de lui, envie qu’il la pénètre malgré la peur de la douleur. Elle vient donc s’allonger à ses côtés et d’une voix rauque d’où on sent tant d’émotions elle lui dit:
- "fais-moi l’amour mon coeur, fais-moi femme".
Tant de douceur, de désir et d’abandon le tétanise, son sexe pourtant bien dur, se raffermit encore! Il se positionne au dessus d’elle, choisissant une position pas bien originale mais dans laquelle il pourra maîtriser toute sa fougue. Il place son gland à l’entrée de son puits d’amour, dont il allait être le premier visiteur. Lentement, sans à-coup, il commence à s’introduire dans ce fourreau de soie dont la chaleur et la moiteur trahit le plaisir qu’il lui donne.
Lorsqu’il fût au contact de la fine membrane qui protége l’entrée, il cesse la progression pour qu’elle se détende, elle le saisit aux hanches dans un geste d’acceptation totale et puis tout doucement, il appuie pour franchir cette barrière de chair. Dans un petit cri, elle l’enlace et comme il ne bouge plus, craintif, elle l’encourage avec un râle de plaisir.
Alors, il accentue ses mouvements et en quelques va et viens la fait devenir femme, ils gémissent de concert, s’accordant dans cette danse du plaisir. Ses puissants coup de reins les amènent au portes du plaisir sentant sa jouissance monter, il déplie ses grandes ailes, les couvrant à tous deux de poussière dorée et c’est à ce moment là qu’elle atteint le plaisir pour la deuxième fois en sentant sa chaude semence l’inonder au plus profond de son corps. Une nuée de papillons multicolores prend son envol mais bien moins haut que là où se trouvent Yanis et Lilou.
Si vous vous levez, à l’aube, un de ces jours, au moment où le ciel se pare de mille teintes, vous les verrez certainement voletant main dans la main parmi les fleurs, rois des cieux accompagnés de leurs enfants aux couleurs éclatantes ...
Dim 02 Mai 2004, 13:38 par
douce_minette sur Les liaisons sulfureuses
Fermeture
Fermer cet écran, fermer les yeux et traverser le temps
Te rejoindre dans ton petit monde, dans ton appartement
Le temps d’une nuit, le temps d’un soupir, le temps d’une vie
Oublier la distance, oublier les jours, oublier la nuit.
Fermer cet écran, fermer les yeux, traverser le ciel
Me poser sur ton palier, sonner, attendre que tu t’éveilles
Te regarder, percer tes yeux, y chercher encore ton désir
T’entendre me dire que je n’aurais pas du, que c’est du délire
Fermer cet écran, femer les yeux, me glisser entre tes bras
Te pousser, forcer le destin, oser franchir le pas
Voir un sourire se dessiner, un doute, un nouveau sursis
Tes yeux se baisser, tes mains trembler, et si je m’en fuis
Fermer cet écran, fermer les yeux, et nous imaginer
Timide, confus, les joues rougies, le coeur malmené
Le silence qui nous englobe, une bulle qui nous protège
Une main qui se tend, qui caresse ta joue, un poid qui s’allège
Fermer cet écran, femer les yeux, et t’aimer
Ta chrysalide petit à petit déchirer
T’ouvrir les ailes, te guider, te faire naitre
Enlever ce voile obscur, ensemble, enfin être...
Te rejoindre dans ton petit monde, dans ton appartement
Le temps d’une nuit, le temps d’un soupir, le temps d’une vie
Oublier la distance, oublier les jours, oublier la nuit.
Fermer cet écran, fermer les yeux, traverser le ciel
Me poser sur ton palier, sonner, attendre que tu t’éveilles
Te regarder, percer tes yeux, y chercher encore ton désir
T’entendre me dire que je n’aurais pas du, que c’est du délire
Fermer cet écran, femer les yeux, me glisser entre tes bras
Te pousser, forcer le destin, oser franchir le pas
Voir un sourire se dessiner, un doute, un nouveau sursis
Tes yeux se baisser, tes mains trembler, et si je m’en fuis
Fermer cet écran, fermer les yeux, et nous imaginer
Timide, confus, les joues rougies, le coeur malmené
Le silence qui nous englobe, une bulle qui nous protège
Une main qui se tend, qui caresse ta joue, un poid qui s’allège
Fermer cet écran, femer les yeux, et t’aimer
Ta chrysalide petit à petit déchirer
T’ouvrir les ailes, te guider, te faire naitre
Enlever ce voile obscur, ensemble, enfin être...
Mar 20 Avril 2004, 23:10 par
la marquise de sade sur Amour internet
Caresse de l'Océan
Caresse de l’océan
Sur mon cœur apaisé
Quel est donc ce bonheur
Qui va m’emporter ?
Où est donc cette peur
Qui aimait m’oppresser ?
L’Amour est vainqueur
J’ai envie de t’embrasser
Et puis cette douceur
Qui me vient en pensée
Et puis tous tes gestes
Que je ne peux qu’aimer
Et puis cette envie
Que je ne veux pas canaliser
Et puis c’est la vie
J’ai envie de t’aimer
Ce matin à l’aube
Tu m’as embrassée
Caresse chaude
Tu as dessiné
L’amour de tes doigts
tu as inventé
L’ode de mon Roy à sa douce
Tu as déclamé
Etre aimée de toi
Je ne saurais me lasser
Toi mon Roy et moi reine
De nos destinées
L’Amour dans nous coule
Comment l’empêcher ?
Toute tentative est vaine
Je ne saurais résister
Tempête d’amour
On va inventer
Tempête de velours
Viens on va s’aimer
Au diable les discours
Le jour qui se lève
Nous dira Amour
Que rien n’est plus Beau
que ton souffle apaisant
Ta bouche qui mord
Mes lèvres diamant
Me rappelle ma faim
Il est déjà demain
Et blottie contre toi
Je n’ai plus froid
De moi...
Sur mon cœur apaisé
Quel est donc ce bonheur
Qui va m’emporter ?
Où est donc cette peur
Qui aimait m’oppresser ?
L’Amour est vainqueur
J’ai envie de t’embrasser
Et puis cette douceur
Qui me vient en pensée
Et puis tous tes gestes
Que je ne peux qu’aimer
Et puis cette envie
Que je ne veux pas canaliser
Et puis c’est la vie
J’ai envie de t’aimer
Ce matin à l’aube
Tu m’as embrassée
Caresse chaude
Tu as dessiné
L’amour de tes doigts
tu as inventé
L’ode de mon Roy à sa douce
Tu as déclamé
Etre aimée de toi
Je ne saurais me lasser
Toi mon Roy et moi reine
De nos destinées
L’Amour dans nous coule
Comment l’empêcher ?
Toute tentative est vaine
Je ne saurais résister
Tempête d’amour
On va inventer
Tempête de velours
Viens on va s’aimer
Au diable les discours
Le jour qui se lève
Nous dira Amour
Que rien n’est plus Beau
que ton souffle apaisant
Ta bouche qui mord
Mes lèvres diamant
Me rappelle ma faim
Il est déjà demain
Et blottie contre toi
Je n’ai plus froid
De moi...
Mar 20 Avril 2004, 08:03 par
Mout sur L'amour en vrac
C'était en juin....(suite 2)
Mon cœur, de douleur, se met à crier
Sensation qu’on m’arrache à toi
Pourquoi je pense à toi ?
Tu n’as pas le droit, pas comme ça
Pas maintenant, pas sans toi
Triste et mélancolique
Je refuse cette sortie d’artiste buccolique
Ma tête est éparpillée
Te rends-tu compte, je suis bousillée
Vidée
Anéantie
Je peux attendre mon heure maintenant
Salvatrice et insignifiante,
Soumise je suis pratiquement délirante,
Mon cœur suinte de tristesse, le seul médicament
Tu ne peux plus me le donner
Tu ne peux plus me le donner.
C’est une autre dimension sans toi
Les nuages ne me font plus rêver
Je rentre dans l’ère sans sentiment
Le langage des oiseaux n’est plus du tout gai
Voilà ce qu’il se passe dans ma tête là
Tu tentes de sortir de ma vie violemment
Et je ne veux pas de cette sortie
Aucune sortie
A ma façon te piéger,
Avec mes mots te retrouver
Dans ma tête, dans mon ventre, dans mon âme inconsolée
Le verbe aimer, je jure
Ne jamais prononcer, terminer, cassure
Violence du choix
Cœur allégé pour toi
Situation en osmose avec ce que Toi tu souhaitais
Je dois comprendre, réagir calmement,
Penser encore à toi, lentement,
Meilleurs passages de ma vie rappelés
Les moments rares, beaux, purs, intenses
Que j’ai eu la chance de partager
Avec toi
Tu as choisi… l’instant de séparation
Calculé ? Non
Je ne pense pas
Je n’y crois pas
C’est juste comme ça
Je te quitte et voilà….
Triste surprise de cette décision
C’est la meilleure, tu as raison
Mais merde, combien j’ai mal, souffre, saigne, pleure
Pour quelle raison effacer ce bonheur
La peur d’affronter la réalité ?
La peur au ventre ? C’est ça ? C’est vrai ?
L’Amour, le vrai
Nous l’avons effleuré
Nous avons joué avec, caressé,
Nous le tenions à bout de bras
Narguant tous ceux qui ne le connaissaient pas….
Sensation qu’on m’arrache à toi
Pourquoi je pense à toi ?
Tu n’as pas le droit, pas comme ça
Pas maintenant, pas sans toi
Triste et mélancolique
Je refuse cette sortie d’artiste buccolique
Ma tête est éparpillée
Te rends-tu compte, je suis bousillée
Vidée
Anéantie
Je peux attendre mon heure maintenant
Salvatrice et insignifiante,
Soumise je suis pratiquement délirante,
Mon cœur suinte de tristesse, le seul médicament
Tu ne peux plus me le donner
Tu ne peux plus me le donner.
C’est une autre dimension sans toi
Les nuages ne me font plus rêver
Je rentre dans l’ère sans sentiment
Le langage des oiseaux n’est plus du tout gai
Voilà ce qu’il se passe dans ma tête là
Tu tentes de sortir de ma vie violemment
Et je ne veux pas de cette sortie
Aucune sortie
A ma façon te piéger,
Avec mes mots te retrouver
Dans ma tête, dans mon ventre, dans mon âme inconsolée
Le verbe aimer, je jure
Ne jamais prononcer, terminer, cassure
Violence du choix
Cœur allégé pour toi
Situation en osmose avec ce que Toi tu souhaitais
Je dois comprendre, réagir calmement,
Penser encore à toi, lentement,
Meilleurs passages de ma vie rappelés
Les moments rares, beaux, purs, intenses
Que j’ai eu la chance de partager
Avec toi
Tu as choisi… l’instant de séparation
Calculé ? Non
Je ne pense pas
Je n’y crois pas
C’est juste comme ça
Je te quitte et voilà….
Triste surprise de cette décision
C’est la meilleure, tu as raison
Mais merde, combien j’ai mal, souffre, saigne, pleure
Pour quelle raison effacer ce bonheur
La peur d’affronter la réalité ?
La peur au ventre ? C’est ça ? C’est vrai ?
L’Amour, le vrai
Nous l’avons effleuré
Nous avons joué avec, caressé,
Nous le tenions à bout de bras
Narguant tous ceux qui ne le connaissaient pas….
Dim 18 Avril 2004, 23:00 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Re: le jeu de la vérité : question 4 ...
la marquise de sade a écrit: |
Qu’est-ce qui chez vous peut déclencher un élan de tendresse que vous ne pouvez réfreiner? |
Un couple d’enfants jouant les amoureux fougueux...
Une caresse qui s’échappe sous la table de mes voisins...
Un clin d’oeil entre mes grands-parents...
Un bébé qui tète au sein de sa mère...
Un père qui sourit à son enfant...
Un humain qui rougit et tourne la tête gêné...
Un animal qui se blottit contre moi...
Un couple d’aventuriers derrière les arbres qui croise mon regard taquin…
Une nuit étoilée…
Mais plus encore… M’enticher de quelqu’un qui sourit à la vie…
Mar 13 Avril 2004, 20:29 par
Rose sur La séduction
L'amante de Tom
A 16h42, Tom n’avait qu’une seule envie... Ca le taraudait depuis une semaine, mais au lieu d’y succomber, il laissait grandir son désir. D’ordinaire, à la moindre pulsion érotique, il trouvait toujours une copine à appeler ou une prostituée à choisir. C’était selon son humeur. Tantôt amant, tantôt canaille.
Mais là, il avait envie d’exploser. De se sentir crever d’envie, presque à en devenir dingue, et de déguster l’étreinte qu’il aurait pour assouvir son manque. Vingt fois, il avait commencé à se soulager à la main, tant son ventre hurlait à l’attaque. Vingt fois, il avait arrêté en souriant un sage "Plus tard, plus tard".
Tom, c’était pour Thomas, son vrai prénom. Petite frimousse sur un corps honorable, "Tom" adoucissait ses traits assez charismatiques. Un homme à femmes, qu’on appellait avec malice Tom le manchot. Le manchot, ce n’était pas parce qu’il avait perdu un bras, ou qu’il était maladroit. Non. La nature l’avait gratifié d’un pénis fabuleux, que toutes les femmes qui le connaissaient considéraient comme son troisième bras.
Pour se tempérer, Tom passait mentalement en revue l’amante qui lui fallait pour assouvir son formidable désir. Hors de question de choisir une pute, ça gâcherait toute cette semaine d’attente en un coup vite bâclé, mal balancé. Il opta alors pour examiner les maîtresses qu’il affectionnait le plus.
Laure était une superbe femme. Elle posait pour les affiches que l’on voit dans les pharmacies. Les jambes pour la crème amincissante, la poitrine pour des traitements raffermissant, sans compter son ventre qui servait aussi à montrer les stupéfiants résultats du denier truc à la mode pour avoir la silhouette de rêve. Une silhouette de rêve, mais une libido plutôt moyenne. En tout cas, absolument pas adaptée à l’actuel tempérament carnassier de Tom.
Christelle. Mère de famille, en mal de sexe. Toujours avide, à le coller, à le lécher, le manger et l’étreindre. Une insatiable. Probablement mal "entretenue" par son mari, elle se payait de temps en temps des pics de sexe avec Tom, et profitait à fond des peu de moment qu’elle avait avec lui. Quand il partait de chez elle, en général le Dimanche après midi, il était à plat, lessivé, calmé pour au moins deux semaines tant son corps était fatigué et son sexe irrité. Mais Christelle, ce n’était pas une esthète du sexe. Plutôt directe, elle ne jouait pas trop avec l’autre et avait un peu des manières de paysannes finalement. Et lui, là, il avait envie de beauté aussi.
Marie. Ce serait Marie qu’il dégusterai ce soir. Ca lui avait tout d’un coup semblé évident. Evident que ce serait ce soir qu’il mettrai un terme à son attente et évident que ce serait Marie. Ah Marie. Son corps d’ébène n’était pas des plus parfait, mais possédait son charme propre. Des seins pleins, tombant légèrement, un petit ventre qu’elle entretenait par des séries d’abdominaux quotidiens, des belles hanches pleines et enfin des cuisses galbées par ses petits footing réguliers. Une fille qui prend soin d’elle, sans être une bombe.
Mais ce qui était le plus excitant chez elle, c’était la langueur avec laquelle elle s’abandonnait. Elle prenait son temps. Avec elle, les préliminaires duraient des heures. Ca commençait gentiment, en parlant dans la cuisine ou dans la rue. Un petit baiser, une caresse sur son bras. Jamais de geste très directs. Elle posait son regard sur lui, avec une douce sincérité, dans laquelle ne transparaissait jamais l’envie ni la concupiscence. Et pourtant. C’était le début d’une interminable danse de séduction, qui l’entraînait chaque fois au paroxysme, au bord de l’extrême, tout au bord ...
Elle restait belle et sereine, tandis que lui commençait à sentir le diable lui prendre le corps.Et lorsqu’elle s’en rendait compte, elle le regardait en riant chaudement, comme une complice avec laquelle on prend plaisir à partager sans rien dire. Tiraillé entre le désir et la plénitude du moment passé avec elle, il lui abandonnait toujours la conduite de la barque de leurs amours.
Une fois, alors qu’il dégustait du thé glacé sur la terrasse de Marie, il s’était tout d’un coup rendu compte que tout l’après midi passé avec elle n’avait été qu’une lente et hypnotique parade de séduction. Sentir son parfum sucré, apercevoir les bouts de son corps serrés dans son paréo, et parfois les sentir contre lui lorsqu’elle se levait pour chercher derrière son épaule du sucre de canne ou des gâteaux. Tout ceci semblait pourtant si naturel. Aussi naturel que son envie d’elle.
C’est en revenant de sa réflexion qu’il l’avait alors vue le regarder, avec un petit sourire amusé.
- Toi, tu es parti très loin hein ?
- Euh, oui concéda-t-il en riant.
Elle s’était alors levée comme en regardant a l’intérieur d’elle même, contournant la table pour venir à son niveau. Calmement elle avait jeté un regard au noeud de son paréo, puis avait rivé son regard dans le sien, tandis que son paréo tombait par terre dans un feulement discret. La plupart des femmes, comme Christelle, se serait contentée de l’enfourcher sur son fauteuil, et de l’embrasser avec une fougue grandissante. D’autres comme Laure, aurait simplement déboutonné le pantalon de Tom pour l’avaler timidement.
Pas Marie. Marie elle, elle le regarda droit dans les yeux, lui mit la main sous le menton, et dans un baiser doux et pulpeux, elle lui avait murmuré "Viens", l’avait encore une fois regardé avant de se retourner pour s’appuyer contre la table et lui offrir par la même sa croupe généreuse et féline.
Lentement, ils s’étaient aimés. Sans brutalité, ni quête de performance. Dés lors ou il l’avait pénétrée, il n’avait eu de cesse de chercher et maintenir une sorte de contact suave dans l’intimité du corps de Marie. Une lente danse pleine de douceur et de sensualité, mais aussi terriblement impudique. Dans la recherche de ce contact profond, les corps se cambraient pour s’épouser, se courbait pour se retenir, pour s’approfondir.
La terrasse fut leur seul univers pendant ces heures ou ils s’abandonnèrent à l’étreinte. Lorsque vacillants ils entrevoyaient venir le paroxysme, Marie se transformait en véritable lionne, l’entraînant avec fougue dans le mouvement souple et puissant de ces reins. Sa tête roulait dans son dos, sur ses épaules, puis tombait en avant. Ses yeux fermés ne regardaient plus le monde, ils écoutaient plutôt son corps. Dans cette frénésie, alors que l’ultime moment semblait inéluctable, elle ralentissait subitement le rythme, ouvrant ses yeux pétillants sur le visage crispé de Tom. Et lentement, elle revenait à une ondulation souple et sereine de ses hanches, désamorçant en douceur l’explosion qui aurait du se produire dans leurs corps en flamme.
Ce manége commença à l’heure ou l’après-midi décline, et ne cessa qu’une fois la nuit tombée. Sans discontinuer, la fabuleuse maîtresse de Tom alterna ses vagues frénétiques aux moments d’accalmie. Leur quête leur avait fait parcourir toute la terrasse, et leurs corps gardaient les traces des murs et des sols qu’ils avaient rendu complice de leurs ébats. Quand la septième et ultime danse se termina, c’est une Marie épuisée qui chevaucha un Tom complètement défait. Sur le fauteuil de jardin, elle lui imprima de lents mouvements de va et viens, simples, sans chichis. Réglés comme des montres suisses par leurs ébats de l’après midi, ils sentirent tout les deux monter du fonds de leurs ventres un véritable tsunami. En souriant, ils firent face à ce qu’ils voyaient venir, sachant que leur corps éreintés ne supporteraient peut être pas la puissance du plaisir qui s’annonçait.
Dans un choc de titan, leurs corps se courbèrent et se raidirent brutalement, comme transpercé par une décharge électrique foudroyante. Leurs bouches ouvertes démesurément criaient sans laisser sortir aucun son. Marie se mit à pleurer, prenant sa tête dans ses mains, comme atteinte de démence, et Tom, crispé sur les bras du fauteuils de jardin ne pouvait plus faire aucun mouvement tant la frontière entre le plaisir et la douleur était floue.
Tom repensait à cet après-midi. Chaque détail, chaque odeur lui revenait et rendait ses pensées si réalistes que ses mains commençaient déjà à se crisper sur le fauteuil de son bureau. De retour de son excursion dans ses souvenirs, il se détendit, attendit que son coeur retrouve sa contenance et but une grande rasade d’eau minérale à la bouteille.
Il décrocha alors le téléphone, et composa le numéro de Marie.
Mais là, il avait envie d’exploser. De se sentir crever d’envie, presque à en devenir dingue, et de déguster l’étreinte qu’il aurait pour assouvir son manque. Vingt fois, il avait commencé à se soulager à la main, tant son ventre hurlait à l’attaque. Vingt fois, il avait arrêté en souriant un sage "Plus tard, plus tard".
Tom, c’était pour Thomas, son vrai prénom. Petite frimousse sur un corps honorable, "Tom" adoucissait ses traits assez charismatiques. Un homme à femmes, qu’on appellait avec malice Tom le manchot. Le manchot, ce n’était pas parce qu’il avait perdu un bras, ou qu’il était maladroit. Non. La nature l’avait gratifié d’un pénis fabuleux, que toutes les femmes qui le connaissaient considéraient comme son troisième bras.
Pour se tempérer, Tom passait mentalement en revue l’amante qui lui fallait pour assouvir son formidable désir. Hors de question de choisir une pute, ça gâcherait toute cette semaine d’attente en un coup vite bâclé, mal balancé. Il opta alors pour examiner les maîtresses qu’il affectionnait le plus.
Laure était une superbe femme. Elle posait pour les affiches que l’on voit dans les pharmacies. Les jambes pour la crème amincissante, la poitrine pour des traitements raffermissant, sans compter son ventre qui servait aussi à montrer les stupéfiants résultats du denier truc à la mode pour avoir la silhouette de rêve. Une silhouette de rêve, mais une libido plutôt moyenne. En tout cas, absolument pas adaptée à l’actuel tempérament carnassier de Tom.
Christelle. Mère de famille, en mal de sexe. Toujours avide, à le coller, à le lécher, le manger et l’étreindre. Une insatiable. Probablement mal "entretenue" par son mari, elle se payait de temps en temps des pics de sexe avec Tom, et profitait à fond des peu de moment qu’elle avait avec lui. Quand il partait de chez elle, en général le Dimanche après midi, il était à plat, lessivé, calmé pour au moins deux semaines tant son corps était fatigué et son sexe irrité. Mais Christelle, ce n’était pas une esthète du sexe. Plutôt directe, elle ne jouait pas trop avec l’autre et avait un peu des manières de paysannes finalement. Et lui, là, il avait envie de beauté aussi.
Marie. Ce serait Marie qu’il dégusterai ce soir. Ca lui avait tout d’un coup semblé évident. Evident que ce serait ce soir qu’il mettrai un terme à son attente et évident que ce serait Marie. Ah Marie. Son corps d’ébène n’était pas des plus parfait, mais possédait son charme propre. Des seins pleins, tombant légèrement, un petit ventre qu’elle entretenait par des séries d’abdominaux quotidiens, des belles hanches pleines et enfin des cuisses galbées par ses petits footing réguliers. Une fille qui prend soin d’elle, sans être une bombe.
Mais ce qui était le plus excitant chez elle, c’était la langueur avec laquelle elle s’abandonnait. Elle prenait son temps. Avec elle, les préliminaires duraient des heures. Ca commençait gentiment, en parlant dans la cuisine ou dans la rue. Un petit baiser, une caresse sur son bras. Jamais de geste très directs. Elle posait son regard sur lui, avec une douce sincérité, dans laquelle ne transparaissait jamais l’envie ni la concupiscence. Et pourtant. C’était le début d’une interminable danse de séduction, qui l’entraînait chaque fois au paroxysme, au bord de l’extrême, tout au bord ...
Elle restait belle et sereine, tandis que lui commençait à sentir le diable lui prendre le corps.Et lorsqu’elle s’en rendait compte, elle le regardait en riant chaudement, comme une complice avec laquelle on prend plaisir à partager sans rien dire. Tiraillé entre le désir et la plénitude du moment passé avec elle, il lui abandonnait toujours la conduite de la barque de leurs amours.
Une fois, alors qu’il dégustait du thé glacé sur la terrasse de Marie, il s’était tout d’un coup rendu compte que tout l’après midi passé avec elle n’avait été qu’une lente et hypnotique parade de séduction. Sentir son parfum sucré, apercevoir les bouts de son corps serrés dans son paréo, et parfois les sentir contre lui lorsqu’elle se levait pour chercher derrière son épaule du sucre de canne ou des gâteaux. Tout ceci semblait pourtant si naturel. Aussi naturel que son envie d’elle.
C’est en revenant de sa réflexion qu’il l’avait alors vue le regarder, avec un petit sourire amusé.
- Toi, tu es parti très loin hein ?
- Euh, oui concéda-t-il en riant.
Elle s’était alors levée comme en regardant a l’intérieur d’elle même, contournant la table pour venir à son niveau. Calmement elle avait jeté un regard au noeud de son paréo, puis avait rivé son regard dans le sien, tandis que son paréo tombait par terre dans un feulement discret. La plupart des femmes, comme Christelle, se serait contentée de l’enfourcher sur son fauteuil, et de l’embrasser avec une fougue grandissante. D’autres comme Laure, aurait simplement déboutonné le pantalon de Tom pour l’avaler timidement.
Pas Marie. Marie elle, elle le regarda droit dans les yeux, lui mit la main sous le menton, et dans un baiser doux et pulpeux, elle lui avait murmuré "Viens", l’avait encore une fois regardé avant de se retourner pour s’appuyer contre la table et lui offrir par la même sa croupe généreuse et féline.
Lentement, ils s’étaient aimés. Sans brutalité, ni quête de performance. Dés lors ou il l’avait pénétrée, il n’avait eu de cesse de chercher et maintenir une sorte de contact suave dans l’intimité du corps de Marie. Une lente danse pleine de douceur et de sensualité, mais aussi terriblement impudique. Dans la recherche de ce contact profond, les corps se cambraient pour s’épouser, se courbait pour se retenir, pour s’approfondir.
La terrasse fut leur seul univers pendant ces heures ou ils s’abandonnèrent à l’étreinte. Lorsque vacillants ils entrevoyaient venir le paroxysme, Marie se transformait en véritable lionne, l’entraînant avec fougue dans le mouvement souple et puissant de ces reins. Sa tête roulait dans son dos, sur ses épaules, puis tombait en avant. Ses yeux fermés ne regardaient plus le monde, ils écoutaient plutôt son corps. Dans cette frénésie, alors que l’ultime moment semblait inéluctable, elle ralentissait subitement le rythme, ouvrant ses yeux pétillants sur le visage crispé de Tom. Et lentement, elle revenait à une ondulation souple et sereine de ses hanches, désamorçant en douceur l’explosion qui aurait du se produire dans leurs corps en flamme.
Ce manége commença à l’heure ou l’après-midi décline, et ne cessa qu’une fois la nuit tombée. Sans discontinuer, la fabuleuse maîtresse de Tom alterna ses vagues frénétiques aux moments d’accalmie. Leur quête leur avait fait parcourir toute la terrasse, et leurs corps gardaient les traces des murs et des sols qu’ils avaient rendu complice de leurs ébats. Quand la septième et ultime danse se termina, c’est une Marie épuisée qui chevaucha un Tom complètement défait. Sur le fauteuil de jardin, elle lui imprima de lents mouvements de va et viens, simples, sans chichis. Réglés comme des montres suisses par leurs ébats de l’après midi, ils sentirent tout les deux monter du fonds de leurs ventres un véritable tsunami. En souriant, ils firent face à ce qu’ils voyaient venir, sachant que leur corps éreintés ne supporteraient peut être pas la puissance du plaisir qui s’annonçait.
Dans un choc de titan, leurs corps se courbèrent et se raidirent brutalement, comme transpercé par une décharge électrique foudroyante. Leurs bouches ouvertes démesurément criaient sans laisser sortir aucun son. Marie se mit à pleurer, prenant sa tête dans ses mains, comme atteinte de démence, et Tom, crispé sur les bras du fauteuils de jardin ne pouvait plus faire aucun mouvement tant la frontière entre le plaisir et la douleur était floue.
Tom repensait à cet après-midi. Chaque détail, chaque odeur lui revenait et rendait ses pensées si réalistes que ses mains commençaient déjà à se crisper sur le fauteuil de son bureau. De retour de son excursion dans ses souvenirs, il se détendit, attendit que son coeur retrouve sa contenance et but une grande rasade d’eau minérale à la bouteille.
Il décrocha alors le téléphone, et composa le numéro de Marie.
Lun 05 Avril 2004, 08:40 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
un 14 juillet à Paris (2)
Chemin reprenant, maintenant tous les quatre, passé le pont, nous arpentons le quai Voltaire.
L’un de nous, je ne me souviens plus qui, s’est mis à chantonner « les amants de Saint Jean » qui inondait les ondes en ces temps là. Ce fut le début d’un jeu jovial et musical. Nous devions, chacun à notre tour, trouver une chanson en rapport avec Paris. L’un ayant entonné fièrement sa trouvaille, les trois autres reprenaient en chœur. Les passants qui croisaient notre chemin devaient s’interroger sur notre stabilité mentale en voyant quatre huluberlus gambadant sur les trottoirs de la capitale aux rythmes de chants mal maîtrisés …
« La lune trop blême
pose un diadème
sur tes cheveux roux
la lune trop rousse
de gloire éclabousse
ton jupon plein d’trous
La lune trop pâle
Caresse l’opale
De tes yeux blasés
Princesse de la rue
Soit la bienvenue
Dans mon cœur blessé
Les escaliers de la butte sont durs aux miséreux
Les ailes des moulins protègent les amoureux
Petite mandigote
Je sens ta menotte
Qui cherche ma main
Je sens ta poitrine
Et ta taille fine
J’oublie mon chagrin
Je sens sur tes lèvres
Une odeur de fièvre
De gosse mal nourri
Et sous ta caresse
Je sens une ivresse
Qui m’anéantit …. »
Doux moments d’insouciante amitié. Il me suffit encore aujourd’hui de fermer les yeux pour voir ton sourire espiègle qui rayonnait en disciple de Râ. Ce jour là je ne savais pas que quelques mois plus tard, le ciel finirait par s’assombrir au dessus de nous et que ce sourire disparaîtrait derrière les nuages. Mettez-haut du cœur …
Nous nous rapprochons de l’Ile de la Cité. Notre Dame tente en vain de toucher l’azur de ses hauteurs blanches. Nous traînons dans le quartier du Palais de Justice. Tu veux nous amener à la Conciergerie. Quelques semaines auparavant tu l’as visité en profondeur avec ta sœur. Alors aujourd’hui tu nous sers de guide. Tu nous racontes tout en détail, prenant ton rôle très au sérieux. Tu es fière de nous apprendre tout ça. Tu m’impressionnes. Tu me subjugues. Je t’aimais aussi comme ça. Ce jour là je ne savais pas que je devrais me résigner à jamais à ne plus t’aimer, à ne plus nous aimer …à ne plus m’aimer avec toi.
L’heure passe. Il est temps de se diriger tranquillement vers Montparnasse. Encore tant de choses à admirer. Et, dès la première ruelle qui nous éloigne de la Seine, une plaque posée sur une façade nous interpelle : « ici vécurent Héloïse et Abélard » …et une date que j’ai oublié. Aucun de nous n’a connaissance de ces deux personnages. Nous restons là quelques instants à fabuler sur l’histoire éventuelle de nos deux illustres inconnus. Dès mon retour chez moi, je me lancerai dans des recherches sur leur vie. Et comme un signe, une ironie…le destin de deux amoureux maudits, incompatibles…Maudit soit l’amour oui !
L’un de nous, je ne me souviens plus qui, s’est mis à chantonner « les amants de Saint Jean » qui inondait les ondes en ces temps là. Ce fut le début d’un jeu jovial et musical. Nous devions, chacun à notre tour, trouver une chanson en rapport avec Paris. L’un ayant entonné fièrement sa trouvaille, les trois autres reprenaient en chœur. Les passants qui croisaient notre chemin devaient s’interroger sur notre stabilité mentale en voyant quatre huluberlus gambadant sur les trottoirs de la capitale aux rythmes de chants mal maîtrisés …
« La lune trop blême
pose un diadème
sur tes cheveux roux
la lune trop rousse
de gloire éclabousse
ton jupon plein d’trous
La lune trop pâle
Caresse l’opale
De tes yeux blasés
Princesse de la rue
Soit la bienvenue
Dans mon cœur blessé
Les escaliers de la butte sont durs aux miséreux
Les ailes des moulins protègent les amoureux
Petite mandigote
Je sens ta menotte
Qui cherche ma main
Je sens ta poitrine
Et ta taille fine
J’oublie mon chagrin
Je sens sur tes lèvres
Une odeur de fièvre
De gosse mal nourri
Et sous ta caresse
Je sens une ivresse
Qui m’anéantit …. »
Doux moments d’insouciante amitié. Il me suffit encore aujourd’hui de fermer les yeux pour voir ton sourire espiègle qui rayonnait en disciple de Râ. Ce jour là je ne savais pas que quelques mois plus tard, le ciel finirait par s’assombrir au dessus de nous et que ce sourire disparaîtrait derrière les nuages. Mettez-haut du cœur …
Nous nous rapprochons de l’Ile de la Cité. Notre Dame tente en vain de toucher l’azur de ses hauteurs blanches. Nous traînons dans le quartier du Palais de Justice. Tu veux nous amener à la Conciergerie. Quelques semaines auparavant tu l’as visité en profondeur avec ta sœur. Alors aujourd’hui tu nous sers de guide. Tu nous racontes tout en détail, prenant ton rôle très au sérieux. Tu es fière de nous apprendre tout ça. Tu m’impressionnes. Tu me subjugues. Je t’aimais aussi comme ça. Ce jour là je ne savais pas que je devrais me résigner à jamais à ne plus t’aimer, à ne plus nous aimer …à ne plus m’aimer avec toi.
L’heure passe. Il est temps de se diriger tranquillement vers Montparnasse. Encore tant de choses à admirer. Et, dès la première ruelle qui nous éloigne de la Seine, une plaque posée sur une façade nous interpelle : « ici vécurent Héloïse et Abélard » …et une date que j’ai oublié. Aucun de nous n’a connaissance de ces deux personnages. Nous restons là quelques instants à fabuler sur l’histoire éventuelle de nos deux illustres inconnus. Dès mon retour chez moi, je me lancerai dans des recherches sur leur vie. Et comme un signe, une ironie…le destin de deux amoureux maudits, incompatibles…Maudit soit l’amour oui !
Dim 21 Mars 2004, 23:06 par
la_tulipe_noire sur La vie à deux
Une douce torture...
Figé, dans l’encadrement de la porte de la cuisine, je te regarde. Tes formes sont si subtiles, et tu es si sexy dans ce chemisier blanc et ce pantalon moulant noir. Beni soit le sixième jour où Dieu créa la femme...
Dans ma tête trottent diverses idées liées à mon devoir conjugal tandis que tu t’affaires à la vaisselle. Je m’approche silencieusement de toi et dépose mes mains sur tes hanches.
Le clapotis de l’eau s’arrête tandis que tu me découvres ton cou afin que mes lèvres s’y affairent. Mes mains glissent le long de tes hanches et se faufilent peu à peu sous ton pantalon, glissant le long de ta taille, légèrement, volant sur ta peau satinée. Ma main droite quitte ta taille pour ta poitrine, elle vient tâter tes seins, les exciter sous le soutien gorge, je peux sentir les pointes se redresser tandis que ma main droite s’approche de ton aine.
Avec deux doigts, j’ôte le bouton de ton pantalon qui m’empêche de glisser plus avant, l’étreinte se desserre alors et ma main glisse sur ton string en dentelle, effleurant ton sexe à travers ce léger tissu. Cette délicate caresse de mes doigts sur ton sexe te fait pencher la tête en arrière, sur mon épaule et mes lèvres s’aventurent alors un peu plus sur ton cou, presque à hauteur de ton décolleté.
Ton pantalon glisse alors de lui-même le long de tes jambes affinées.
Tu retires tes mains du bac vaisselle pour te joindre à mes caresses mais je t’en empêche. Ce serait trop facile, laisse-moi m’occuper de toi, je t’interdis de faire quoi que ce soit pour le moment... ma main se fraie un chemin, sous cette dentelle excitante, vers cet endroit qui te donnera tant de plaisirs... Tu me mordilles le lobe de l’oreille, insufflant en moi des ardeurs nouvelles, tes fesses se frottent contre mon bassin, mon sexe se tend dangereusement. Méthodiquement, lentement, subrepticement, je glisse un doigt en toi.
Tu pousses un petit gémissement, tente encore une fois d’ôter tes mains de l’évier mais je te susurre à l oreille de ne pas bouger. Tu te résignes alors à endurer cette "souffrance". Mon doigt en toi te donne du plaisir, explore ton intimité en enivrant tes seins, et mon autre main déboutonne mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. De mon caleçon se tend et sort alors mon sexe que je fais glisser le long de tes fesses, t’effleurant de plus en plus dangereusement.
Tu écartes tes jambes et te penches en arrière, tandis que d’une main tu t’accroches au rebord de l’évier, ton autre lubrifiée d’eau attrape mon sexe et le glisse en toi en un rale de plaisir....
Et c’est sur cette scène que la porte se referme, le reste étant interdit aux âmes tendres et réservé à moi et à ma femme...
A celle qui réveille et émerveille mes fantasmes les plus fous
Dans ma tête trottent diverses idées liées à mon devoir conjugal tandis que tu t’affaires à la vaisselle. Je m’approche silencieusement de toi et dépose mes mains sur tes hanches.
Le clapotis de l’eau s’arrête tandis que tu me découvres ton cou afin que mes lèvres s’y affairent. Mes mains glissent le long de tes hanches et se faufilent peu à peu sous ton pantalon, glissant le long de ta taille, légèrement, volant sur ta peau satinée. Ma main droite quitte ta taille pour ta poitrine, elle vient tâter tes seins, les exciter sous le soutien gorge, je peux sentir les pointes se redresser tandis que ma main droite s’approche de ton aine.
Avec deux doigts, j’ôte le bouton de ton pantalon qui m’empêche de glisser plus avant, l’étreinte se desserre alors et ma main glisse sur ton string en dentelle, effleurant ton sexe à travers ce léger tissu. Cette délicate caresse de mes doigts sur ton sexe te fait pencher la tête en arrière, sur mon épaule et mes lèvres s’aventurent alors un peu plus sur ton cou, presque à hauteur de ton décolleté.
Ton pantalon glisse alors de lui-même le long de tes jambes affinées.
Tu retires tes mains du bac vaisselle pour te joindre à mes caresses mais je t’en empêche. Ce serait trop facile, laisse-moi m’occuper de toi, je t’interdis de faire quoi que ce soit pour le moment... ma main se fraie un chemin, sous cette dentelle excitante, vers cet endroit qui te donnera tant de plaisirs... Tu me mordilles le lobe de l’oreille, insufflant en moi des ardeurs nouvelles, tes fesses se frottent contre mon bassin, mon sexe se tend dangereusement. Méthodiquement, lentement, subrepticement, je glisse un doigt en toi.
Tu pousses un petit gémissement, tente encore une fois d’ôter tes mains de l’évier mais je te susurre à l oreille de ne pas bouger. Tu te résignes alors à endurer cette "souffrance". Mon doigt en toi te donne du plaisir, explore ton intimité en enivrant tes seins, et mon autre main déboutonne mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. De mon caleçon se tend et sort alors mon sexe que je fais glisser le long de tes fesses, t’effleurant de plus en plus dangereusement.
Tu écartes tes jambes et te penches en arrière, tandis que d’une main tu t’accroches au rebord de l’évier, ton autre lubrifiée d’eau attrape mon sexe et le glisse en toi en un rale de plaisir....
Et c’est sur cette scène que la porte se referme, le reste étant interdit aux âmes tendres et réservé à moi et à ma femme...
A celle qui réveille et émerveille mes fantasmes les plus fous
Ven 19 Mars 2004, 13:03 par
ane_onym sur Les liaisons sulfureuses
La citadine
Les premiers rayons de soleil illuminaient mon bureau et me donnaient envie de déjeuner au parc, plutôt qu’entre copines à la cantine. Je souhaitais savourer en égoïste le beau temps qui revient, loin de l’ambiance de commérage du travail.
Treize heures trente, prenant me veste et mon sac, je m’éclipse de mon bureau afin qu’aucune collègue n’ait la mauvaise idée de vouloir venir avec moi.
Je fais un saut chez l’épicier pour m’acheter un petit sandwich suédois, et toute contente, je file vers le parc qui est bien à quinze minutes à pied.
A cette heure-ci, ce qui est délicieux, c’est qu’il n’y a plus personne. Je lorgne tous les meilleurs bancs, qui d’ordinaire sont pris par de petits groupes en costumes et tailleurs. J’ai l’embarras du choix. J’opte finalement pour un adorable petit banc en bois près d’un massif de fleurs plein de couleurs printanières.
Le soleil le couve de ses rayons timides et délicats, lui donnant un air presque féerique. Comme il est attirant...
Délicatement, je m’asseois, savourant le contact de son bois tiède contre mes fesses, frissonnant lorsque mon dos se pose doucement sur son dossier.
Je me sens bien. Le soleil nous regarde discrètement à travers les branchages des arbres bourgeonnant,et son doux éclat vient réchauffer les endroits où ma peau s’offre à lui. Je ferme les yeux pour mieux le goûter.
Comme c’est bon de le sentir comme ça, chaud, délicat, réconfortant. De ses doigts, il caresse mon cou, s’attarde quelques fois sur la naissance de mes seins dans l’ouverture de mon chemisier. Je le sens même lorgner vers mes cuisses de temps en temps.
Je souris, je ris, je suis heureuse. J’ouvre un instant les yeux pour vérifier que personne d’autre que moi ne partage cet instant. Non, je suis seule, tranquille. Je m’enfonce alors un peu mieux dans le confort que m’offre le banc, cherchant à renouer le contact avec le soleil qu’un instant j’ai perdu. Et voila, je le sens à nouveau contre moi, je referme les yeux.
Un petite pensée folle, accompagnée de son battement de coeur: j’enlève un, puis deux boutons à mon chemisier. Effrontée, je caresse tendrement le haut de mes seins. Ils sont beaux, je le sais. Ni trop petits ni trop gros, bien dessinés, avec un joli galbe en pomme. Mes décolletés ne sont pourtant jamais profonds, je préfère bien souvent une chemise entrouverte sur leur rondeur. C’est tellement plus affolant. Je ris discrètement à cette idée, c’est si drôle de me prendre à penser que je suis une femme qui aime son corps !
Redevenant sérieuse et soudain décidée, j’écarte maladroitement les pans déja ouvert de mon chemisier, faisant encore sauter un bouton. Je suis au beau milieu d’un parc, enfoncée dans mon banc, et exhibant ma poitrine réputée magnifique, l’offrant non seulement au roi des astres, mais aussi à la vue de n’importe quel passant qui aurait la mauvaise idée de passer par ici... Mais il n’y en a pas, mon banc est dans une petite enclave du parc, comme protégé, isolé du reste du monde.
Je suis à la fois rassurée et excitée. Rassurée parce que je me sens en sécurité ici, sur mon banc au soleil, et excitée par le risque improbable d’être découverte en train de faire mes bêtises. Oh, on ne vit qu’une fois, et puis après, si quelqu’un me voit qu’est ce que ça fait hein ? Forte de cette évidence, j’enlève un à un les derniers boutons de mon chemisier, et comme je trouve que ça fait vulgaire de rester dans cette tenue intermédiaire, je l’enlève carrément et le pose sur le rebord du dossier. Puis, j’enlève mes chaussures et enfin je m’allonge sur le banc.
J’ai envie d’être excitante, sexy, désirée et désirable. Comme une petite chatte je m’étire sur mon morceau de paradis. Je sens la chaleur et la texture rugueuse du bois chaud contre mon dos et mes mollets, et en tournant la tète, je peux même sentir son odeur ravivée par le soleil. C’est si bon, que j’en ai des petites contractions dans les reins, et je me cambre de plaisir.
Dans un soupir de satisfaction, je laisse tomber alors mes bras et les croise derrière ma tête, un sourire béat sur les lèvres.
Le soleil semble s’être trouvé un compagnon pour jouer avec mon corps. Car tantôt, je sens sa chaleur sur mes seins nus, tantôt je frissonne, lorsque prenant sa place à la faveur d’un petit nuage cotonneux, le vent vient lécher de ses timides et rapides caresses mes tétons en émoi... Timide, mais pas tant que ça ! Le vent est un coquin, s’insinuant dans les plis de ma jupe et me forçant mine de rien à m’ouvrir pour le laisser passer. Soit, qu’il passe, je suis d’humeur mutine...
Je suis restée ainsi une bonne demi heure, les yeux fermés, à me faire caresser par les éléments. Les incessants jeux de chaleur que le vent et le soleil faisaient sur mon corps à demi nu, étaient ponctués par la surprise qu’occasionnait la chute d’une petite feuille sur mon ventre. Toutes ces sensations semblèrent se combiner, et me maintinrent dans un désir à la fois merveilleux et animal. L’odeur de mon intimité me parvenait quelquefois, exhalée par un nuage de chaleur et acheminée par mon amant le vent coquin.
Dans un souffle, j’ai jouis doucement.
Treize heures trente, prenant me veste et mon sac, je m’éclipse de mon bureau afin qu’aucune collègue n’ait la mauvaise idée de vouloir venir avec moi.
Je fais un saut chez l’épicier pour m’acheter un petit sandwich suédois, et toute contente, je file vers le parc qui est bien à quinze minutes à pied.
A cette heure-ci, ce qui est délicieux, c’est qu’il n’y a plus personne. Je lorgne tous les meilleurs bancs, qui d’ordinaire sont pris par de petits groupes en costumes et tailleurs. J’ai l’embarras du choix. J’opte finalement pour un adorable petit banc en bois près d’un massif de fleurs plein de couleurs printanières.
Le soleil le couve de ses rayons timides et délicats, lui donnant un air presque féerique. Comme il est attirant...
Délicatement, je m’asseois, savourant le contact de son bois tiède contre mes fesses, frissonnant lorsque mon dos se pose doucement sur son dossier.
Je me sens bien. Le soleil nous regarde discrètement à travers les branchages des arbres bourgeonnant,et son doux éclat vient réchauffer les endroits où ma peau s’offre à lui. Je ferme les yeux pour mieux le goûter.
Comme c’est bon de le sentir comme ça, chaud, délicat, réconfortant. De ses doigts, il caresse mon cou, s’attarde quelques fois sur la naissance de mes seins dans l’ouverture de mon chemisier. Je le sens même lorgner vers mes cuisses de temps en temps.
Je souris, je ris, je suis heureuse. J’ouvre un instant les yeux pour vérifier que personne d’autre que moi ne partage cet instant. Non, je suis seule, tranquille. Je m’enfonce alors un peu mieux dans le confort que m’offre le banc, cherchant à renouer le contact avec le soleil qu’un instant j’ai perdu. Et voila, je le sens à nouveau contre moi, je referme les yeux.
Un petite pensée folle, accompagnée de son battement de coeur: j’enlève un, puis deux boutons à mon chemisier. Effrontée, je caresse tendrement le haut de mes seins. Ils sont beaux, je le sais. Ni trop petits ni trop gros, bien dessinés, avec un joli galbe en pomme. Mes décolletés ne sont pourtant jamais profonds, je préfère bien souvent une chemise entrouverte sur leur rondeur. C’est tellement plus affolant. Je ris discrètement à cette idée, c’est si drôle de me prendre à penser que je suis une femme qui aime son corps !
Redevenant sérieuse et soudain décidée, j’écarte maladroitement les pans déja ouvert de mon chemisier, faisant encore sauter un bouton. Je suis au beau milieu d’un parc, enfoncée dans mon banc, et exhibant ma poitrine réputée magnifique, l’offrant non seulement au roi des astres, mais aussi à la vue de n’importe quel passant qui aurait la mauvaise idée de passer par ici... Mais il n’y en a pas, mon banc est dans une petite enclave du parc, comme protégé, isolé du reste du monde.
Je suis à la fois rassurée et excitée. Rassurée parce que je me sens en sécurité ici, sur mon banc au soleil, et excitée par le risque improbable d’être découverte en train de faire mes bêtises. Oh, on ne vit qu’une fois, et puis après, si quelqu’un me voit qu’est ce que ça fait hein ? Forte de cette évidence, j’enlève un à un les derniers boutons de mon chemisier, et comme je trouve que ça fait vulgaire de rester dans cette tenue intermédiaire, je l’enlève carrément et le pose sur le rebord du dossier. Puis, j’enlève mes chaussures et enfin je m’allonge sur le banc.
J’ai envie d’être excitante, sexy, désirée et désirable. Comme une petite chatte je m’étire sur mon morceau de paradis. Je sens la chaleur et la texture rugueuse du bois chaud contre mon dos et mes mollets, et en tournant la tète, je peux même sentir son odeur ravivée par le soleil. C’est si bon, que j’en ai des petites contractions dans les reins, et je me cambre de plaisir.
Dans un soupir de satisfaction, je laisse tomber alors mes bras et les croise derrière ma tête, un sourire béat sur les lèvres.
Le soleil semble s’être trouvé un compagnon pour jouer avec mon corps. Car tantôt, je sens sa chaleur sur mes seins nus, tantôt je frissonne, lorsque prenant sa place à la faveur d’un petit nuage cotonneux, le vent vient lécher de ses timides et rapides caresses mes tétons en émoi... Timide, mais pas tant que ça ! Le vent est un coquin, s’insinuant dans les plis de ma jupe et me forçant mine de rien à m’ouvrir pour le laisser passer. Soit, qu’il passe, je suis d’humeur mutine...
Je suis restée ainsi une bonne demi heure, les yeux fermés, à me faire caresser par les éléments. Les incessants jeux de chaleur que le vent et le soleil faisaient sur mon corps à demi nu, étaient ponctués par la surprise qu’occasionnait la chute d’une petite feuille sur mon ventre. Toutes ces sensations semblèrent se combiner, et me maintinrent dans un désir à la fois merveilleux et animal. L’odeur de mon intimité me parvenait quelquefois, exhalée par un nuage de chaleur et acheminée par mon amant le vent coquin.
Dans un souffle, j’ai jouis doucement.
Mar 16 Mars 2004, 17:26 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Hymne à la séduction...
Mon coeur pose son regard sur ce site
Et du bout des doigts je caresse le mythe,
Ce love dont tout le monde parle,
Plus doux qu’un savon Dove et pourtant parfois brutal,
Séduction est son nom, Laurent son disciple en toute occasion
Ici, un forum érigé en son nom, je bâtirai autour de vos constructions
Des centaines, des milliers, des millions de châteaux de rimes
En guise de clin d’oeil à toutes ses victimes,
Je parle de l’art de séduire qui rapproche les êtres entre eux
Et qui fait que de nos souvenirs nous sommes toujours amoureux..
Mer 03 Mars 2004, 21:54 par
Laurent sur La séduction
à bien vite mon éternel
Mon cher et tendre partenaire,
Encore une fois tu m’as trompée, encore une fois tes mains ont caressé d’autres contours que les miens, tes yeux ont croisé un regard différent du mien, tes mots ont fait rêver une autre que moi, ton corps a submergé un autre espace que le nôtre...
Nous nous sommes jurés une fidélité éternelle, indestructible, toi le salaud, moi la maîtresse de tant d’autres sales cons. Tu me délaisses? J’irai t’oublier dans d’autres âmes, dans d’autres corps, dans d’autres coeurs, aussi fragiles et purs que le tien.
Je m’endormirai sans toi, je me réveillerai aussi sans toi, j’entendrai ton rire à travers les leurs, leurs larmes seront les tiennes, ils regretteront de ne pas m’avoir quittée dès les premières heures, de ne pas m’avoir fui avant que je ne les possède tout entiers, pour eux demain sera moi, je serai leur quotidien, leur avenir perdu, leurs rêves, leurs espoirs, leurs fantasmes, la maîtresse parfaite, idéale, discrète, l’amie, la confidente, la mère et l’épouse, le frère et l’enfant. Je comblerai chez eux aussi tout ce que ces femmes de pacotille ne peuvent comprendre, tous ces vides qu’elles veulent envahir, sans même en connaitre le contenu.. C’est plein de choses le vide...
Tu te souviens de nos transes? De ce vide que nous remplissions jusqu’à le faire déborder de jouissance? De ces planètes rien qu’à nous, où la nuit était éternelle ? De ces mondes de mystère que nous percions à grands coups de rires, de paroles, de cris, de soupirs? De ces heures où nos esprits se muaient en un seul et même avenir? Te souviens-tu de tout cela?
Oui, tu t’en souviens... Tu me critiques, me maudits, me détestes, mais tu m’aimes, m’envies, me désires, m’espères.
Va mon petit prince... Va explorer d’autres contrées, d’autres soupirs, d’autres compagnes...
Va te repaître d’autres corps, jouir d’autres plaisirs, rêver d’autres avenirs...
Va... Et reviens moi vite, à moi, ta compagne la plus aimée de toutes, moi ton âme soeur, moi ton demain, moi ta souffrance, moi ta magnifique, moi ton monde, moi ta Solitude...
Encore une fois tu m’as trompée, encore une fois tes mains ont caressé d’autres contours que les miens, tes yeux ont croisé un regard différent du mien, tes mots ont fait rêver une autre que moi, ton corps a submergé un autre espace que le nôtre...
Nous nous sommes jurés une fidélité éternelle, indestructible, toi le salaud, moi la maîtresse de tant d’autres sales cons. Tu me délaisses? J’irai t’oublier dans d’autres âmes, dans d’autres corps, dans d’autres coeurs, aussi fragiles et purs que le tien.
Je m’endormirai sans toi, je me réveillerai aussi sans toi, j’entendrai ton rire à travers les leurs, leurs larmes seront les tiennes, ils regretteront de ne pas m’avoir quittée dès les premières heures, de ne pas m’avoir fui avant que je ne les possède tout entiers, pour eux demain sera moi, je serai leur quotidien, leur avenir perdu, leurs rêves, leurs espoirs, leurs fantasmes, la maîtresse parfaite, idéale, discrète, l’amie, la confidente, la mère et l’épouse, le frère et l’enfant. Je comblerai chez eux aussi tout ce que ces femmes de pacotille ne peuvent comprendre, tous ces vides qu’elles veulent envahir, sans même en connaitre le contenu.. C’est plein de choses le vide...
Tu te souviens de nos transes? De ce vide que nous remplissions jusqu’à le faire déborder de jouissance? De ces planètes rien qu’à nous, où la nuit était éternelle ? De ces mondes de mystère que nous percions à grands coups de rires, de paroles, de cris, de soupirs? De ces heures où nos esprits se muaient en un seul et même avenir? Te souviens-tu de tout cela?
Oui, tu t’en souviens... Tu me critiques, me maudits, me détestes, mais tu m’aimes, m’envies, me désires, m’espères.
Va mon petit prince... Va explorer d’autres contrées, d’autres soupirs, d’autres compagnes...
Va te repaître d’autres corps, jouir d’autres plaisirs, rêver d’autres avenirs...
Va... Et reviens moi vite, à moi, ta compagne la plus aimée de toutes, moi ton âme soeur, moi ton demain, moi ta souffrance, moi ta magnifique, moi ton monde, moi ta Solitude...
Sam 28 Fév 2004, 14:32 par
la marquise de sade sur La vie à deux
Pizzeria La Roma, bonsoir! ... suite
Je suivis donc mon bel italien, non sans jeter un regard à la tablée de mes amis. Ceux-ci déjà blaguaient et riaient de cette situation, surtout de celle de me voir partir ainsi suivant celui qui, ils avaient déjà compris, m’avait charmée.
D’un haussement d’épaule, je leur envoyai alors un baiser de connivence et suivi mon hidalgo.
Où donc m’emmenait-il d’un pas si pressé ?
Nous arrivâmes dans les cuisines, tout y était bien rangé, propre et calme, les lumières étaient presque toutes éteintes. Une fois devant l’évier, il s’arrêta, de son regard enjôleur il me regarda, ce même regard qui descendit sur ma jupe, il me dit :
- Il n’y a pas trente six solutions ?
- C’est la machine assurément qui résoudra au mieux le problème.
- Enlève ta jupe, je vais la passer sous l’eau très chaude, sans la tremper complètement pour que tu puisses la remettre.
Sans donner l’impression d’être surprise, je descendis la fermeture éclair qui maintenait ma jupe sur mes hanches et laissais glisser le bout de tissu le long de mes jambes nues.
De ses yeux il suivit tout le cheminement de celle-ci. Je me retrouvais ainsi, presque nu au bout milieu de la cuisine, avec mon seul string dernier rempart de ma féminité.
Il se baissa, la ramassa, et soigneusement passa un jet d’eau qui semblait très chaud sur la tâche qui semblait partir. Il la déposa sur le bord de l’évier en aluminium, se retourna, me toisa de haut en bas, me pris par la main et m’emmena vers une porte au fond de la cuisine. Sans hésitation, sans crainte je le suivis, trop curieuse et impatiente de ce qui pourrait alors suivre.
Derrière la porte se trouvait un espèce de cagibi réserve alimentaire. Il éclaira la pièce, et me fit rentrer.
D’un geste doux il s’est alors collé à moi, et ses mains vinrent alors visiter mon corps. Je ne pouvais faire autrement que sentir son envie sur mon ventre, son sexe était dur et j’aimais sentir l’envie que je pouvais générer alors.
Il prit mes poignets dans ses mains, désireux semblait-il de vouloir garder la maîtrise de la situation, les dirigea au dessus de ma tête. Il embrassa mon cou, me lécha les oreilles, revint vers ma bouche pour me caresser de ses lèvres, de sa langue puis m’embrassa d’un baiser langoureux. M’étant laissée aller au plaisir de ces caresses buccales, j’avais fermé mes yeux que je rouvris pour constater que ses yeux ne perdaient rien du plaisir qui montait en moi. Une de ses mains descendit alors de mon poignet, sur ma poitrine au travers du tissu de ma chemise, sur mon ventre, sur ma fleur encore cachée. Entre mes jambes sa main vint se glisser, légère, effleurant à peine mon string, ce fut délicieux de recevoir ses gestes sans précipitation, de tendresse et de sensualité, je brûlais déjà au-dedans de mon ventre et je pouvais sentir mon sexe se libérer de sa sève d’excitation. Un doigt s’égara légèrement sous le tissu, ses yeux toujours dans mes yeux il avait l’air d’épier chacune de mes réactions, les sensations que je pouvais ressentir sous ses caresses. Ce doigt m’électrisa, doucement il l’appliqua sur ma vulve, la caressa, puis l’ôta pour le porter à sa bouche et le lécha, nos regards ne se lâchaient pas comme si en cet instant nous n’étions déjà plus qu’un, son plaisir devenait déjà mien et le mien sien. Il s’empara de ma bouche non sans s’être collé suffisamment à moi pour me faire ressentir à nouveau son excitation, s’écarta et amena une de mes mains sur son sexe. Tout en la tenant il me fit le caresser, toujours avec autant de douceur, je le vis se raidir de tout son corps, sentir son sexe tressauter sous cette caresse qu’il dirigeait pourtant. Il me lâcha et me dit :
- On y retourne ?
Bien qu’abasourdie de cette réaction si directe, je lui répondis «oui» .
Nous avons alors récupéré ma jupe, il ferma lui-même la fermeture dans mon dos, pour finir d’une caresse sur mes fesses et nous retournâmes dans la salle rejoindre la table de mes amis.
Il me laissa m’asseoir et repris, à mon bout de table la même place que celle de l’apéritif, mais cette fois ci plus directement, il vint coller sa jambe à la mienne et glisser sa main sur ma cuisse juste sous le tissu de ma jupe.
…
D’un haussement d’épaule, je leur envoyai alors un baiser de connivence et suivi mon hidalgo.
Où donc m’emmenait-il d’un pas si pressé ?
Nous arrivâmes dans les cuisines, tout y était bien rangé, propre et calme, les lumières étaient presque toutes éteintes. Une fois devant l’évier, il s’arrêta, de son regard enjôleur il me regarda, ce même regard qui descendit sur ma jupe, il me dit :
- Il n’y a pas trente six solutions ?
- C’est la machine assurément qui résoudra au mieux le problème.
- Enlève ta jupe, je vais la passer sous l’eau très chaude, sans la tremper complètement pour que tu puisses la remettre.
Sans donner l’impression d’être surprise, je descendis la fermeture éclair qui maintenait ma jupe sur mes hanches et laissais glisser le bout de tissu le long de mes jambes nues.
De ses yeux il suivit tout le cheminement de celle-ci. Je me retrouvais ainsi, presque nu au bout milieu de la cuisine, avec mon seul string dernier rempart de ma féminité.
Il se baissa, la ramassa, et soigneusement passa un jet d’eau qui semblait très chaud sur la tâche qui semblait partir. Il la déposa sur le bord de l’évier en aluminium, se retourna, me toisa de haut en bas, me pris par la main et m’emmena vers une porte au fond de la cuisine. Sans hésitation, sans crainte je le suivis, trop curieuse et impatiente de ce qui pourrait alors suivre.
Derrière la porte se trouvait un espèce de cagibi réserve alimentaire. Il éclaira la pièce, et me fit rentrer.
D’un geste doux il s’est alors collé à moi, et ses mains vinrent alors visiter mon corps. Je ne pouvais faire autrement que sentir son envie sur mon ventre, son sexe était dur et j’aimais sentir l’envie que je pouvais générer alors.
Il prit mes poignets dans ses mains, désireux semblait-il de vouloir garder la maîtrise de la situation, les dirigea au dessus de ma tête. Il embrassa mon cou, me lécha les oreilles, revint vers ma bouche pour me caresser de ses lèvres, de sa langue puis m’embrassa d’un baiser langoureux. M’étant laissée aller au plaisir de ces caresses buccales, j’avais fermé mes yeux que je rouvris pour constater que ses yeux ne perdaient rien du plaisir qui montait en moi. Une de ses mains descendit alors de mon poignet, sur ma poitrine au travers du tissu de ma chemise, sur mon ventre, sur ma fleur encore cachée. Entre mes jambes sa main vint se glisser, légère, effleurant à peine mon string, ce fut délicieux de recevoir ses gestes sans précipitation, de tendresse et de sensualité, je brûlais déjà au-dedans de mon ventre et je pouvais sentir mon sexe se libérer de sa sève d’excitation. Un doigt s’égara légèrement sous le tissu, ses yeux toujours dans mes yeux il avait l’air d’épier chacune de mes réactions, les sensations que je pouvais ressentir sous ses caresses. Ce doigt m’électrisa, doucement il l’appliqua sur ma vulve, la caressa, puis l’ôta pour le porter à sa bouche et le lécha, nos regards ne se lâchaient pas comme si en cet instant nous n’étions déjà plus qu’un, son plaisir devenait déjà mien et le mien sien. Il s’empara de ma bouche non sans s’être collé suffisamment à moi pour me faire ressentir à nouveau son excitation, s’écarta et amena une de mes mains sur son sexe. Tout en la tenant il me fit le caresser, toujours avec autant de douceur, je le vis se raidir de tout son corps, sentir son sexe tressauter sous cette caresse qu’il dirigeait pourtant. Il me lâcha et me dit :
- On y retourne ?
Bien qu’abasourdie de cette réaction si directe, je lui répondis «oui» .
Nous avons alors récupéré ma jupe, il ferma lui-même la fermeture dans mon dos, pour finir d’une caresse sur mes fesses et nous retournâmes dans la salle rejoindre la table de mes amis.
Il me laissa m’asseoir et repris, à mon bout de table la même place que celle de l’apéritif, mais cette fois ci plus directement, il vint coller sa jambe à la mienne et glisser sa main sur ma cuisse juste sous le tissu de ma jupe.
…
Sam 24 Jan 2004, 03:15 par
Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses
Pizzeria La Roma, bonsoir!
Un soir d’été, nous nous sommes retrouvés entre amis pour sortir. Nous avons entamé la soirée par un apéritif bien arrosé, à rire au bord de la piscine, à danser un peu, à discuter de choses et d’autres.
Nous étions vraiment une fine équipe.
Mais à force de faire les « cons » nous avions oublié que nous n’avions pas prévu de quoi manger, il nous fallut alors songer à trouver un restaurant qui accepterait à cette heure avancé de province, un groupe de 10 personnes turbulentes sous les effets de quelques verres d’alcool.
Des uns et des autres vinrent des avis diversifiés, nous appelâmes quelques restaurants, essuyant malheureusement, des refus à chaque fois.
Je pris le téléphone et appelais un pizzeria sans grande réputation c’est sûr, mais qui nous accepterait peut être.
Tout le monde d’un air moqueur me disait :
«Vas y use de ta voie sensuelle, amadoue les, sois langoureuse, ils ne vont pas pouvoir te refuser».
Je n’avais pas besoin d’adapter ma voie, elle est, a ce qu’il m’a été dit à mainte reprise, craquante naturellement, merci Maman et Papa de m’avoir donner cette voie qui semble plaire à tout le monde, je reconnais que cela m’a été utile à plus d’une reprise.
- Pizzeria La Roma, bonsoir !
- Bonsoir, je désirais savoir si vous accepteriez un groupe malgré l’heure avancée de la soirée ?
- Combien de personnes êtes vous, me répondit mon correspondant, d’une voie charmante avec un léger accent italien ?
- Heu ! Nous sommes 10 personnes ! S’il vous plait ne nous refusez pas, nous n’avons trouver aucun restaurant pour nous accueillir !
- Il est effectivement un peu tard, en pleine semaine nous fermons assez tôt, le restaurant est presque vide. Vous patientez, je vais demander à mon cuisinier s’il accepte de rester encore un peu ?
- Vous êtes adorable, je ne quitte pas.
Mes amis, en face se moquaient de moi rapport au cinéma que je venais de faire à mon correspondant.
- Si vous arrivez tout de suite, mon cuisiniez reste, mais venez vraiment rapidement.
- Le temps de prendre nos voitures et nous sommes là, merci, vraiment merci ! Je maintiens, vous êtes vraiment adorable !
Aussitôt dit, aussitôt fait, le temps de nous engouffrer dans les voitures, un quart d’heure après nous étions arrivés à la Pizzeria.
A la queue leu leu nous sommes entrés, accueillis gentiment par celui qui semblait être le patron, ma fois pas laid du tout cet homme, tout du moins ce que je pouvais en voir d’où j’étais, la dernière de la queue. En m’approchant, je pouvais progressivement percevoir sa voie, je commençais à me rendre compte qu’il s’agissait de mon correspondant. Une charmante voie, avec un doux accent italien, et bel homme, hmmm quelle chance qu’il ait accepter de nous recevoir, me dis-je.
- Bonsoir, Mademoiselle ! me dit-il en prenant ma main qu’il porta à ses lèvres pour y déposer un baiser.
- Suis-je toujours aussi ‘adorable’ ? me lança-t-il ?
Que répondre ? Comment échapper alors à cette attaque de front, ses yeux dans mes yeux, ma main encore dans sa main, je sentais une bouffée de chaleur monter en moi, mes joues alors devaient être bien rosies face à une telle audace.
Sans me démonter pour autant, gardant mes yeux dans ses yeux je lui décrochait mon plus doux sourire, serrant sa main je l’attirais à moi, sur sa joue je lui déposait un baiser et lui susurrais à l’oreille un remercie en lui demandant de venir trinquer avec nous pour l’apéritif. Ce qu’il accepta avec ce qui semblait être un air de plaisir.
J’eu alors l’impression que la soirée ne faisait que commencer.
Lorsque j’eu rejoins mes amis à la table, je fus, il va de soi, le sujet des railleries :
- Tu tapes à l’oreille plutôt qu’à l’œil toi! me lança l’un.
- Egale à toi-même ! me lança l’autre.
- Vas y ma poule, profite de la vie!
- Veinarde! les copines me dirent.
Il est vrai que ce charmant avait, de prime abords, tout ce qu’il fallait pour m’attirer, le regard chaud méditerranéen, avec cet air de vous déshabiller de haut en bas; ce teint mat qui attire l’œil de toute les femmes, surtout lorsque de belle dents blanches scintillent en contraste au moindre sourire; un contact de peau, de ses mains, doux; un contact de ses lèvres, déjà un doux souvenir de celles-ci effleurant la peau de ma main; et un corps…. Tout pour plaire cet homme.
Je me retrouvais alors assise contre le mur, face au restaurant comme en première place face à une scène, et je pouvais déjà me rendre compte qu’il ne cessait de m’épier de son regard tueur.
Oui, la soirée ne faisait que commencer.
Il vint alors vers nous pour prendre la commande des apéritifs, se plantant juste au bout de la table où je me trouvais. Il aurait pu aller à l’autre bout, mais non c’est précisément là ou je me trouvais qu’il a choisi de venir, aurait il eu aussi un déclic? Tout semblait déjà le laisser entendre. Alors mon joli, sans problème, à nous deux.
Une fois nos commande notées, celle de nos repas de même pour libérer le cuisinier, il allait s’en aller s’occuper de tout, je l’ai attrapé par sa chemise :
- mais vous trinquez avec nous, vous me l’avez promis?
- oui, j’arriverais en même temps que vos apéritifs, sans aucun problème.
Il continua son chemin et je pus, de dos qu’il était, admirer son fessier. Sous son pantalon, je pouvais me rendre compte qu’il était bien musclé, que cela devait être bon de le tenir dans ses mains… calme tes ardeurs ma belle, rien n’est encore joué, même si son regard te parle déjà, peut être a-t-il femme et enfants qui attendent son retour au foyer….
Occupée que j’étais à la discussion avec mes amis, je ne pouvais m’empêcher de le regarder du coin de l’œil, tout comme lui avait l’air de le faire à mon attention. Il arrivait vers nous avec son plateau chargé de nos verres d’apéritifs. Il commença à servir à l’autre bout de la table pour finir avec mon verre qu’il me tendit avec un grand sourire. Il posa le plateau sur la table voisine, pris le dernier verre restant dessus, le sien, une chaise et vint s’asseoir à mon bout de table, seul le pied de celle-ci était entre nous. Nous trinquâmes tous, lorsque vint notre tour, c’est, yeux dans les yeux, que nous le fîmes, je portais le verre à ma bouche légèrement entrouverte et pris une légère lampée de martini, enlevant mon verre, sous son regard accroché à moi, de ma langue je me mis à lécher mes lèvres appréciant la sensation du sucre.
Les discussions entre les uns et les autres se poursuivaient, je ne les entendais plus que vaguement, j’étais ailleurs, à imaginer d’autres choses, et j’avais en cet instant la certitude que je n’étais pas la seule.
Il fallait maintenant lancer la machine, ne pas laisser la banalité prendre place, je m’approchais plus de la table, les fesses au bord de ma chaise, ainsi mes jambes croisées ont pu vaincre la barrière du pied de la table, et sa jambe gauche se retrouva collée à la mienne. A ce contact, je sentis qu’il n’y mit aucune résistance, bien au contraire, il accentua le contact. Tout au long de l’apéritif, nous sommes restés ainsi, avec quelques mouvements de caresses parfois entre nos deux jambes, j’aimais déjà ce contact malgré son pantalon qui était ainsi la dernière barrière entre nos peaux.
Mes amis, n’étant pas là que pour rire, commencèrent à manifester une légère impatience quant à leur faim. Il est vrai qu’avec seulement quelques alcools ingurgités depuis le début de la soirée, les estomacs devaient commencer à crier famine, de manger les calmerait un peu aussi.
Mon beau patron s’est alors levé, profitant de cet instant, sa main au rebord de sa chaise il caressa mon genoux, ce fut un coup d’électricité qui me parcouru tant il était inattendu, et, dans mon ventre, de cette caresse je ressentis les effets accentués.
Je me suis alors levée pour aller au toilettes, non sans, au passage lancer un regard à mon bel italien.
Je me suis rafraîchie le visage, histoire de calmer la chaleur qui m’envahissait lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Dans la glace je le vis rentrer et se diriger vers moi, je me suis retourner et contre moi il s’est collé, de sa bouche il s’empara de ma bouche, il pris mes hanches entre ses mains, et me plaqua contre son ventre. Je sentis son envie contre moi, sa langue fouillant ma bouche, ses mains sur ma poitrine. L’instant était fou, pas une seconde pour réfléchir à la situation cocasse, juste prendre cette fougue et s’y laisser aller le temps qu’elle durera.
Il quitta ma bouche, plongea son regard dans le mien et de sa charmante voie, avec toujours cet accent bien italien, il me dit :
- Je ne regrette pas de vous avoir dit oui. Tu es vraiment très belle, la soirée ne fait que commencer.
Il tourna les talons et disparu comme il était apparu, me laissant là toute chaude, toute humide qu’il m’avait rendue entre mes jambes, toute excitée que je pouvais l’être alors.
Comme ça, mon bel hidalgo, avait la même impression que moi…. et il n’avait pas tort. J’étais d’un coup sur une autre planète. De retour à la table, certains de mes amis me regardaient interrogateurs. Ils me connaissent bien et savent que je ne me retiendrais pas d’aller au bout de mes plaisirs. J’aime séduire, j’aime la séduction, ce jeu qui fait monter le feu. Dans le respect des uns et des autres, ils savent ce dont je suis capable, mais pas de les abandonnés pour un bel homme, quel qu’il soit, je tisse ma toile tranquillement, tout en restant présente auprès d’eux, et toujours à la fin de nos soirées, mes jeux de séduction arrivant la plupart du temps à leur fin, je les laisse rentrer et m’attarde sans jamais de faux prétextes. Ils avaient là, bien compris que cette soirée se finirait des plus agréablement pour moi, et je savais que demain mon téléphone sonnerait non stop des appels de tous ces vilains curieux de vouloir connaître l’aboutissement.
Sourires complices, rires, et railleries, nous attaquions notre repas.
Etant donné le nombre d’assiettes à servir, les plats chauds arrivant, le cuisinier ayant fini ainsi son travail, vint donner un coup de main à mon bel italien pour le service. Lorsqu’il servit ma voisine de table, je ne sais comment il s’y pris, mais de l’assiette tout le contenu tomba, une partie sur la table, une autre par terre, et ma jupe n’y échappa pas. Les rires fusèrent tant que mon italien arriva aussitôt avec un regard d’interrogation devant l’air pantois de son cuisinier.
Et moi je n’arrêtais plus de rire, de ce rire nerveux face à une situation à la fois délicate, bête, gênante, comme lorsque l’on tombe dans la rue et que tout le monde vous regarde. Je ne pouvais interrompre ce rire qui devint communicatif, il se mit de même à rire à pleines dents. Mais il repris son rôle de patron et se dirigea vers le comptoir pour prendre un torchon qu’il passa sous l’eau chaude, revint et me le donna. Cela ne suffit pas à faire disparaître le résultat de cet arrosage alimentaire. Il s’en rendit compte, me pris par la main, et m’emmena je ne savais encore où, se retournant pour dire à son cuisinier qu’il pouvait s’en aller.
…
Nous étions vraiment une fine équipe.
Mais à force de faire les « cons » nous avions oublié que nous n’avions pas prévu de quoi manger, il nous fallut alors songer à trouver un restaurant qui accepterait à cette heure avancé de province, un groupe de 10 personnes turbulentes sous les effets de quelques verres d’alcool.
Des uns et des autres vinrent des avis diversifiés, nous appelâmes quelques restaurants, essuyant malheureusement, des refus à chaque fois.
Je pris le téléphone et appelais un pizzeria sans grande réputation c’est sûr, mais qui nous accepterait peut être.
Tout le monde d’un air moqueur me disait :
«Vas y use de ta voie sensuelle, amadoue les, sois langoureuse, ils ne vont pas pouvoir te refuser».
Je n’avais pas besoin d’adapter ma voie, elle est, a ce qu’il m’a été dit à mainte reprise, craquante naturellement, merci Maman et Papa de m’avoir donner cette voie qui semble plaire à tout le monde, je reconnais que cela m’a été utile à plus d’une reprise.
- Pizzeria La Roma, bonsoir !
- Bonsoir, je désirais savoir si vous accepteriez un groupe malgré l’heure avancée de la soirée ?
- Combien de personnes êtes vous, me répondit mon correspondant, d’une voie charmante avec un léger accent italien ?
- Heu ! Nous sommes 10 personnes ! S’il vous plait ne nous refusez pas, nous n’avons trouver aucun restaurant pour nous accueillir !
- Il est effectivement un peu tard, en pleine semaine nous fermons assez tôt, le restaurant est presque vide. Vous patientez, je vais demander à mon cuisinier s’il accepte de rester encore un peu ?
- Vous êtes adorable, je ne quitte pas.
Mes amis, en face se moquaient de moi rapport au cinéma que je venais de faire à mon correspondant.
- Si vous arrivez tout de suite, mon cuisiniez reste, mais venez vraiment rapidement.
- Le temps de prendre nos voitures et nous sommes là, merci, vraiment merci ! Je maintiens, vous êtes vraiment adorable !
Aussitôt dit, aussitôt fait, le temps de nous engouffrer dans les voitures, un quart d’heure après nous étions arrivés à la Pizzeria.
A la queue leu leu nous sommes entrés, accueillis gentiment par celui qui semblait être le patron, ma fois pas laid du tout cet homme, tout du moins ce que je pouvais en voir d’où j’étais, la dernière de la queue. En m’approchant, je pouvais progressivement percevoir sa voie, je commençais à me rendre compte qu’il s’agissait de mon correspondant. Une charmante voie, avec un doux accent italien, et bel homme, hmmm quelle chance qu’il ait accepter de nous recevoir, me dis-je.
- Bonsoir, Mademoiselle ! me dit-il en prenant ma main qu’il porta à ses lèvres pour y déposer un baiser.
- Suis-je toujours aussi ‘adorable’ ? me lança-t-il ?
Que répondre ? Comment échapper alors à cette attaque de front, ses yeux dans mes yeux, ma main encore dans sa main, je sentais une bouffée de chaleur monter en moi, mes joues alors devaient être bien rosies face à une telle audace.
Sans me démonter pour autant, gardant mes yeux dans ses yeux je lui décrochait mon plus doux sourire, serrant sa main je l’attirais à moi, sur sa joue je lui déposait un baiser et lui susurrais à l’oreille un remercie en lui demandant de venir trinquer avec nous pour l’apéritif. Ce qu’il accepta avec ce qui semblait être un air de plaisir.
J’eu alors l’impression que la soirée ne faisait que commencer.
Lorsque j’eu rejoins mes amis à la table, je fus, il va de soi, le sujet des railleries :
- Tu tapes à l’oreille plutôt qu’à l’œil toi! me lança l’un.
- Egale à toi-même ! me lança l’autre.
- Vas y ma poule, profite de la vie!
- Veinarde! les copines me dirent.
Il est vrai que ce charmant avait, de prime abords, tout ce qu’il fallait pour m’attirer, le regard chaud méditerranéen, avec cet air de vous déshabiller de haut en bas; ce teint mat qui attire l’œil de toute les femmes, surtout lorsque de belle dents blanches scintillent en contraste au moindre sourire; un contact de peau, de ses mains, doux; un contact de ses lèvres, déjà un doux souvenir de celles-ci effleurant la peau de ma main; et un corps…. Tout pour plaire cet homme.
Je me retrouvais alors assise contre le mur, face au restaurant comme en première place face à une scène, et je pouvais déjà me rendre compte qu’il ne cessait de m’épier de son regard tueur.
Oui, la soirée ne faisait que commencer.
Il vint alors vers nous pour prendre la commande des apéritifs, se plantant juste au bout de la table où je me trouvais. Il aurait pu aller à l’autre bout, mais non c’est précisément là ou je me trouvais qu’il a choisi de venir, aurait il eu aussi un déclic? Tout semblait déjà le laisser entendre. Alors mon joli, sans problème, à nous deux.
Une fois nos commande notées, celle de nos repas de même pour libérer le cuisinier, il allait s’en aller s’occuper de tout, je l’ai attrapé par sa chemise :
- mais vous trinquez avec nous, vous me l’avez promis?
- oui, j’arriverais en même temps que vos apéritifs, sans aucun problème.
Il continua son chemin et je pus, de dos qu’il était, admirer son fessier. Sous son pantalon, je pouvais me rendre compte qu’il était bien musclé, que cela devait être bon de le tenir dans ses mains… calme tes ardeurs ma belle, rien n’est encore joué, même si son regard te parle déjà, peut être a-t-il femme et enfants qui attendent son retour au foyer….
Occupée que j’étais à la discussion avec mes amis, je ne pouvais m’empêcher de le regarder du coin de l’œil, tout comme lui avait l’air de le faire à mon attention. Il arrivait vers nous avec son plateau chargé de nos verres d’apéritifs. Il commença à servir à l’autre bout de la table pour finir avec mon verre qu’il me tendit avec un grand sourire. Il posa le plateau sur la table voisine, pris le dernier verre restant dessus, le sien, une chaise et vint s’asseoir à mon bout de table, seul le pied de celle-ci était entre nous. Nous trinquâmes tous, lorsque vint notre tour, c’est, yeux dans les yeux, que nous le fîmes, je portais le verre à ma bouche légèrement entrouverte et pris une légère lampée de martini, enlevant mon verre, sous son regard accroché à moi, de ma langue je me mis à lécher mes lèvres appréciant la sensation du sucre.
Les discussions entre les uns et les autres se poursuivaient, je ne les entendais plus que vaguement, j’étais ailleurs, à imaginer d’autres choses, et j’avais en cet instant la certitude que je n’étais pas la seule.
Il fallait maintenant lancer la machine, ne pas laisser la banalité prendre place, je m’approchais plus de la table, les fesses au bord de ma chaise, ainsi mes jambes croisées ont pu vaincre la barrière du pied de la table, et sa jambe gauche se retrouva collée à la mienne. A ce contact, je sentis qu’il n’y mit aucune résistance, bien au contraire, il accentua le contact. Tout au long de l’apéritif, nous sommes restés ainsi, avec quelques mouvements de caresses parfois entre nos deux jambes, j’aimais déjà ce contact malgré son pantalon qui était ainsi la dernière barrière entre nos peaux.
Mes amis, n’étant pas là que pour rire, commencèrent à manifester une légère impatience quant à leur faim. Il est vrai qu’avec seulement quelques alcools ingurgités depuis le début de la soirée, les estomacs devaient commencer à crier famine, de manger les calmerait un peu aussi.
Mon beau patron s’est alors levé, profitant de cet instant, sa main au rebord de sa chaise il caressa mon genoux, ce fut un coup d’électricité qui me parcouru tant il était inattendu, et, dans mon ventre, de cette caresse je ressentis les effets accentués.
Je me suis alors levée pour aller au toilettes, non sans, au passage lancer un regard à mon bel italien.
Je me suis rafraîchie le visage, histoire de calmer la chaleur qui m’envahissait lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Dans la glace je le vis rentrer et se diriger vers moi, je me suis retourner et contre moi il s’est collé, de sa bouche il s’empara de ma bouche, il pris mes hanches entre ses mains, et me plaqua contre son ventre. Je sentis son envie contre moi, sa langue fouillant ma bouche, ses mains sur ma poitrine. L’instant était fou, pas une seconde pour réfléchir à la situation cocasse, juste prendre cette fougue et s’y laisser aller le temps qu’elle durera.
Il quitta ma bouche, plongea son regard dans le mien et de sa charmante voie, avec toujours cet accent bien italien, il me dit :
- Je ne regrette pas de vous avoir dit oui. Tu es vraiment très belle, la soirée ne fait que commencer.
Il tourna les talons et disparu comme il était apparu, me laissant là toute chaude, toute humide qu’il m’avait rendue entre mes jambes, toute excitée que je pouvais l’être alors.
Comme ça, mon bel hidalgo, avait la même impression que moi…. et il n’avait pas tort. J’étais d’un coup sur une autre planète. De retour à la table, certains de mes amis me regardaient interrogateurs. Ils me connaissent bien et savent que je ne me retiendrais pas d’aller au bout de mes plaisirs. J’aime séduire, j’aime la séduction, ce jeu qui fait monter le feu. Dans le respect des uns et des autres, ils savent ce dont je suis capable, mais pas de les abandonnés pour un bel homme, quel qu’il soit, je tisse ma toile tranquillement, tout en restant présente auprès d’eux, et toujours à la fin de nos soirées, mes jeux de séduction arrivant la plupart du temps à leur fin, je les laisse rentrer et m’attarde sans jamais de faux prétextes. Ils avaient là, bien compris que cette soirée se finirait des plus agréablement pour moi, et je savais que demain mon téléphone sonnerait non stop des appels de tous ces vilains curieux de vouloir connaître l’aboutissement.
Sourires complices, rires, et railleries, nous attaquions notre repas.
Etant donné le nombre d’assiettes à servir, les plats chauds arrivant, le cuisinier ayant fini ainsi son travail, vint donner un coup de main à mon bel italien pour le service. Lorsqu’il servit ma voisine de table, je ne sais comment il s’y pris, mais de l’assiette tout le contenu tomba, une partie sur la table, une autre par terre, et ma jupe n’y échappa pas. Les rires fusèrent tant que mon italien arriva aussitôt avec un regard d’interrogation devant l’air pantois de son cuisinier.
Et moi je n’arrêtais plus de rire, de ce rire nerveux face à une situation à la fois délicate, bête, gênante, comme lorsque l’on tombe dans la rue et que tout le monde vous regarde. Je ne pouvais interrompre ce rire qui devint communicatif, il se mit de même à rire à pleines dents. Mais il repris son rôle de patron et se dirigea vers le comptoir pour prendre un torchon qu’il passa sous l’eau chaude, revint et me le donna. Cela ne suffit pas à faire disparaître le résultat de cet arrosage alimentaire. Il s’en rendit compte, me pris par la main, et m’emmena je ne savais encore où, se retournant pour dire à son cuisinier qu’il pouvait s’en aller.
…
Mar 20 Jan 2004, 23:11 par
Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses
de bon matin
Pour faire suite à mon précédent post dans les liaisons sulfureuses je vous donne la suite, imaginée par la damoiselle à qui j’avais originellement destiné "j’irai au bout de ce rêve". Biensur le contenu ne m’engage en rien puisque ce n’est point moi qui l’ai rédigé ...excusez les fautes d’orthographe mais cette personne n’est pas française (et nous savons bien que les étrangers ont parfois du mal avec la langue française ...oui oui c’est à toi que je parle )... finalement il n’y a pas tant de fautes que ça, hugo s’en remettra ...j’ai vraiment une vie "trépignante"
Le lendemain matin nous étions tous deux serrés l’un contre l’autre. Non ce n’étais pas un rêve, j’étais bien dans ses bras. Nous avions passé la nuit dans un hôtel à Paris pas loin de mon bureau.
Je me faisais un peu de soucis quant à l’affaire qu’il m’avait confiée, simplement pour des raisons déonthologiques. Je pensais que je serais moins objective et qu’il faudrait sans doute passer le dossier à mon confrère. Mais en faisant ça, aurais-je l’occasion de le revoir aussi fréquement ? En même temps j’étais la spécialiste en matière de PI, et d’autre part, je connaissais parfaitement la mentalité de la partie adverse.
Vincent et moi dormions profondément, mais tout à coup je sentis une main douce entre mes jambes, très douce, qui me caressait si légèrement que je dus m’éveiller pour m’assurer qu’elle m’avait réellement touchée avec une _expression d’une telle douceur que je ne bougeai pas.
Réveillée par cette caresse, je me retournais pour voir mon compagnon. Mais il dormait. Il dormait toujours profondément. Mais avec sa caresse, mon sang bouillait déjà. Je me retournais pour mieux le voir. Pour déceler tout indice d’éveil. Mes doigt peignaient ses cheveux. Je l’observais... mais ses yeux étaient bien fermés et son visage apaisé. Je caraissais ses paupières, son nez, sa bouche... Je posais mes lèvres sur son front. Mais cela ne le réveillait pas. Il faut dire que nous nous étions bien exercés durant la nuit et que nous n’avions dormi que par épisodes.
Ma respiration et mon poul s’accéléraient d’avantage. Je me sentais à nouveau en feu ! Mmm cette caresse du matin et rien qu’à penser à ce que nous avions vécu la veille et cette nuit ! Je ne voulais pas le réveiller mais au contraire, je voulais qu’il se repose. Mais j’avais encore envie de lui. En douceur je l’aidais à se mettre sur le dos et m’allongeais sur lui. Je titillais ses seins de la pointe de ma langue, ça m’excite énormement. Puis, je léchais son torse et je descendais jusqu’à sa taille, titillant aussi son nombril... puis son sexe ! Ahhh ! Il était là, il m’attendait. Je le pris dans mes mains puis avec mes lèvres chaudes assoifées de lui. Je le sentais durcir dans ma bouche. Vincent s’éveillait doucement et bougeait un peu malgré son sommeil. Que rêvait-il ?
Je continuais à me délecter de sa verge vigoureuse et en même temps douce et oh combien savoureuse lorsque sa main attrappa ma tête pour caresser mes cheveux. Ces derniers tombaient sur mon visage et mon regard perçait ce rideau noir entre lequel je voyais Vincent profiter de ses instants, ses yeux encore fermés. Le plaisir se dessinait sur son visage. Je levais ma tête pour mieux fixer son regard. Pour continuer à lui apporter monts et merveilles, je massais son sexe entre mes seins, petits et chauds, très chauds, et je caressais aussi le mien humide et chaud.
Tu sais que j’ai encore envie de toi, de te manger, de te dévorer jour et nuit, dis-je à Vincent. Je n’avais pas osé lui dire comme ça, si vite. Après tout, on ne se connaît pas beaucoup. Ses traits montraient bien le plaisir de l’hommage rendu à sa virilité et l’étonnement devant ma franchise qu’il n’attendait pas chez une personne de mon éducation.
Vincent prit entre deux doigts le bout d’un de mes seins et le malaxa doucement, puis plus fort en le sentant durcir et s’ériger. Je frissonnais sous cette caresse.Il se pencha sur ma poitrine, prit la pointe du sein bien dure entre ses lèvres… J’étais en extase. Je caressais la pointe de mes seins avec mes doigt embibés de mon elixir. Souvent les hommes ignorent combien les caresses sur la pointe des seins peuvent nous exciter. La pointe des seins est la clé pour l’orgasme. Mais à Vincent, je n’avais rien à lui apprendre. Il était parfait: doux et tonique à la fois et surtout expérimenté.
Je m’écartais un peu de lui pour qu’il voit ma masturbation. Cela devrait aussi lui plaire... devant lui jambes écartées je massais mon abricot. Nos regards en feu se fixaient lorsqu’il prit mon corps avec ses mains et m’avançat à lui. Je m’assis sur son sexe qu’il introduit soigneusement au plus profond de moi. Et nous nous envolions à nouveau vers le Paradis. Il m’était impossible de savoir combien de fois nous nous étions ainsi envolés en adoptant les positions habituelles et en expérimentant de nouvelles. Nous voulions nous découvrir.
Il faisait une chaleur torride dans la chambre de l’hôtel, malgré la température extérieur. Nous nous aperçumes, lorsque je l’accompagnais prendre son taxi pour se rendre à la gare, qu’il neigeait.
Le lendemain matin nous étions tous deux serrés l’un contre l’autre. Non ce n’étais pas un rêve, j’étais bien dans ses bras. Nous avions passé la nuit dans un hôtel à Paris pas loin de mon bureau.
Je me faisais un peu de soucis quant à l’affaire qu’il m’avait confiée, simplement pour des raisons déonthologiques. Je pensais que je serais moins objective et qu’il faudrait sans doute passer le dossier à mon confrère. Mais en faisant ça, aurais-je l’occasion de le revoir aussi fréquement ? En même temps j’étais la spécialiste en matière de PI, et d’autre part, je connaissais parfaitement la mentalité de la partie adverse.
Vincent et moi dormions profondément, mais tout à coup je sentis une main douce entre mes jambes, très douce, qui me caressait si légèrement que je dus m’éveiller pour m’assurer qu’elle m’avait réellement touchée avec une _expression d’une telle douceur que je ne bougeai pas.
Réveillée par cette caresse, je me retournais pour voir mon compagnon. Mais il dormait. Il dormait toujours profondément. Mais avec sa caresse, mon sang bouillait déjà. Je me retournais pour mieux le voir. Pour déceler tout indice d’éveil. Mes doigt peignaient ses cheveux. Je l’observais... mais ses yeux étaient bien fermés et son visage apaisé. Je caraissais ses paupières, son nez, sa bouche... Je posais mes lèvres sur son front. Mais cela ne le réveillait pas. Il faut dire que nous nous étions bien exercés durant la nuit et que nous n’avions dormi que par épisodes.
Ma respiration et mon poul s’accéléraient d’avantage. Je me sentais à nouveau en feu ! Mmm cette caresse du matin et rien qu’à penser à ce que nous avions vécu la veille et cette nuit ! Je ne voulais pas le réveiller mais au contraire, je voulais qu’il se repose. Mais j’avais encore envie de lui. En douceur je l’aidais à se mettre sur le dos et m’allongeais sur lui. Je titillais ses seins de la pointe de ma langue, ça m’excite énormement. Puis, je léchais son torse et je descendais jusqu’à sa taille, titillant aussi son nombril... puis son sexe ! Ahhh ! Il était là, il m’attendait. Je le pris dans mes mains puis avec mes lèvres chaudes assoifées de lui. Je le sentais durcir dans ma bouche. Vincent s’éveillait doucement et bougeait un peu malgré son sommeil. Que rêvait-il ?
Je continuais à me délecter de sa verge vigoureuse et en même temps douce et oh combien savoureuse lorsque sa main attrappa ma tête pour caresser mes cheveux. Ces derniers tombaient sur mon visage et mon regard perçait ce rideau noir entre lequel je voyais Vincent profiter de ses instants, ses yeux encore fermés. Le plaisir se dessinait sur son visage. Je levais ma tête pour mieux fixer son regard. Pour continuer à lui apporter monts et merveilles, je massais son sexe entre mes seins, petits et chauds, très chauds, et je caressais aussi le mien humide et chaud.
Tu sais que j’ai encore envie de toi, de te manger, de te dévorer jour et nuit, dis-je à Vincent. Je n’avais pas osé lui dire comme ça, si vite. Après tout, on ne se connaît pas beaucoup. Ses traits montraient bien le plaisir de l’hommage rendu à sa virilité et l’étonnement devant ma franchise qu’il n’attendait pas chez une personne de mon éducation.
Vincent prit entre deux doigts le bout d’un de mes seins et le malaxa doucement, puis plus fort en le sentant durcir et s’ériger. Je frissonnais sous cette caresse.Il se pencha sur ma poitrine, prit la pointe du sein bien dure entre ses lèvres… J’étais en extase. Je caressais la pointe de mes seins avec mes doigt embibés de mon elixir. Souvent les hommes ignorent combien les caresses sur la pointe des seins peuvent nous exciter. La pointe des seins est la clé pour l’orgasme. Mais à Vincent, je n’avais rien à lui apprendre. Il était parfait: doux et tonique à la fois et surtout expérimenté.
Je m’écartais un peu de lui pour qu’il voit ma masturbation. Cela devrait aussi lui plaire... devant lui jambes écartées je massais mon abricot. Nos regards en feu se fixaient lorsqu’il prit mon corps avec ses mains et m’avançat à lui. Je m’assis sur son sexe qu’il introduit soigneusement au plus profond de moi. Et nous nous envolions à nouveau vers le Paradis. Il m’était impossible de savoir combien de fois nous nous étions ainsi envolés en adoptant les positions habituelles et en expérimentant de nouvelles. Nous voulions nous découvrir.
Il faisait une chaleur torride dans la chambre de l’hôtel, malgré la température extérieur. Nous nous aperçumes, lorsque je l’accompagnais prendre son taxi pour se rendre à la gare, qu’il neigeait.
Mar 20 Jan 2004, 08:13 par
la_tulipe_noire sur Les liaisons sulfureuses
Massages et jeux érotiques
Hmmm, Marquise, je me joins à Soleye pour vous exprimer ma plus profonde gratitude pour la délicatesse de votre description. Oserais je avouer aussi, que je suis de ceux à qui vous aviez parlé de cette façon d’accommoder la partie mordante de votre anatomie, à cette caresse bucale dont tout les hommes rafollent, et qu’intrigué par ce comportement je vous ai supplié de satisfaire ma curiosité.
Me voici édifié donc sur une pratique qui me semble, telle que vous me la decrivez, fort délicieuse.
Vous parlez de "jeux érotiques" ... En appreciez vous d’autres, dont vous pourriez nous entretenir de la sorte ?
Me voici édifié donc sur une pratique qui me semble, telle que vous me la decrivez, fort délicieuse.
Vous parlez de "jeux érotiques" ... En appreciez vous d’autres, dont vous pourriez nous entretenir de la sorte ?
Lun 19 Jan 2004, 16:51 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
Ecrire sur caresse
Voyage au pays des elfes, Fermeture, Caresse de l'Océan, C'était en juin....(suite 2), Re: le jeu de la vérité : question 4 ..., L'amante de Tom, un 14 juillet à Paris (2), Une douce torture..., La citadine, Hymne à la séduction..., à bien vite mon éternel, Pizzeria La Roma, bonsoir! ... suite, Pizzeria La Roma, bonsoir!, de bon matin, Massages et jeux érotiques,Il y a 197 textes utilisant le mot caresse. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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