Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur bout - Page 19 sur 21
Prime de la rime...
Et c’est du bout d’une souris
Que je ris et m’évanouis...
En me disant que déjà...
Les tulipes vieillissent mais ne fânent pas...
Non, ne voilà pas une déclaration,
Non, je ne mets pas mes mots en faction...
Je les pose juste ici...
Pour vous dire Merci...
Merci d’être cette fleur,
Qui cache dans ses heures,
Je l’espère les couleurs...
:chut:
Que je ris et m’évanouis...
En me disant que déjà...
Les tulipes vieillissent mais ne fânent pas...
Non, ne voilà pas une déclaration,
Non, je ne mets pas mes mots en faction...
Je les pose juste ici...
Pour vous dire Merci...
Merci d’être cette fleur,
Qui cache dans ses heures,
Je l’espère les couleurs...
:chut:
Ven 23 Avril 2004, 17:15 par
Rose sur Un monde parfait
Désirs...
Désirs
J’aurais voulu, avec mes mains,
Nous composer un long demain ;
J’aurais aimé, avec mon cœur,
Nous offrir une constellation de bonheur ;
J’aurais osé, avec ma conviction,
Nous octroyer une longue et belle Passion.
Passion.
Faire frémir ton corps,
D’interminables frissons.
Te jeter un sort
Et que ton âme, j’en prenne Possession.
Possession.
Te tenir par mon cœur,
A bout de souffle, rire.
Te choyer, te chérir,
Te porter en Vainqueur.
Vainqueur.
Te déclarer toi, le Seul et l’Unique,
En musique, symphonie fantastique.
Nous, les meilleurs accords du monde,
Puis, épuisés, les pires ennemis, Immondes.
Immonde.
Symphonie dramatique se consumant peu à peu,
Doucement remplacée… puis viennent des larmes de feu.
Petit à petit, ce goût amer, presque insipide et pathétique,
Laisse place à une mort lente, belle et Sarcastique….
Sarcastique.
Triste constat,
Je m’étais offerte à toi,
Entière soumise et puissante,
Regarde moi, ose ! Je suis incandescente.
J’ai brûlé dans ton âme,
J’ai crié, supplié, une seule arme,
Afin que cette douleur puisse cesser,
Enfin, taire en moi cet incendie ravageur,
Oublier mon âme meurtrie, blessée
L’abandonner à tous ces carnassiers du cœur.
J’ai vainement tenté,
Essayé de réconcilier,
Nos sentiments égarés,
Puis, dans ton long silence aux griffes acérées,
Tu m’as enfermée,
Murée vivante,
Non consentante.
Pourtant, j’ai imploré,
Que sur moi s’abatte ton jugement,
Pourtant, j’avoue, du verbe aimer,
Personne autour de nous n’était conscient,
De sa fougue, de sa puissance,
De son éloquence à la limite de l’impertinence…
Je croyais avoir trouvé mon reflet,
J’avais espéré qu’il nous conviendrait…
Ses contours fébrilement dessinés,
Nos deux mains ne semblaient qu’une à les tracer….
Maintenant, une longue tâche je dois exécuter,
De tous tes envoûtements, avec acharnement, méticuleusement :
Ton image, ta voix, ta chaleur, je dois les exorciser.
J’effleure le pire,
J’effeuille tes rires,
Ta voix je prends,
Ta chaleur, j’entends.
Tes délires, un moment… j’attends.
Puis, doucement,
Les range consciencieusement
Dans mon tiroir secrètement,
Tout au fond, bien gardés,
Ils resteront à jamais gravés...
J’aurais voulu, avec mes mains,
Nous composer un long demain ;
J’aurais aimé, avec mon cœur,
Nous offrir une constellation de bonheur ;
J’aurais osé, avec ma conviction,
Nous octroyer une longue et belle Passion.
Passion.
Faire frémir ton corps,
D’interminables frissons.
Te jeter un sort
Et que ton âme, j’en prenne Possession.
Possession.
Te tenir par mon cœur,
A bout de souffle, rire.
Te choyer, te chérir,
Te porter en Vainqueur.
Vainqueur.
Te déclarer toi, le Seul et l’Unique,
En musique, symphonie fantastique.
Nous, les meilleurs accords du monde,
Puis, épuisés, les pires ennemis, Immondes.
Immonde.
Symphonie dramatique se consumant peu à peu,
Doucement remplacée… puis viennent des larmes de feu.
Petit à petit, ce goût amer, presque insipide et pathétique,
Laisse place à une mort lente, belle et Sarcastique….
Sarcastique.
Triste constat,
Je m’étais offerte à toi,
Entière soumise et puissante,
Regarde moi, ose ! Je suis incandescente.
J’ai brûlé dans ton âme,
J’ai crié, supplié, une seule arme,
Afin que cette douleur puisse cesser,
Enfin, taire en moi cet incendie ravageur,
Oublier mon âme meurtrie, blessée
L’abandonner à tous ces carnassiers du cœur.
J’ai vainement tenté,
Essayé de réconcilier,
Nos sentiments égarés,
Puis, dans ton long silence aux griffes acérées,
Tu m’as enfermée,
Murée vivante,
Non consentante.
Pourtant, j’ai imploré,
Que sur moi s’abatte ton jugement,
Pourtant, j’avoue, du verbe aimer,
Personne autour de nous n’était conscient,
De sa fougue, de sa puissance,
De son éloquence à la limite de l’impertinence…
Je croyais avoir trouvé mon reflet,
J’avais espéré qu’il nous conviendrait…
Ses contours fébrilement dessinés,
Nos deux mains ne semblaient qu’une à les tracer….
Maintenant, une longue tâche je dois exécuter,
De tous tes envoûtements, avec acharnement, méticuleusement :
Ton image, ta voix, ta chaleur, je dois les exorciser.
J’effleure le pire,
J’effeuille tes rires,
Ta voix je prends,
Ta chaleur, j’entends.
Tes délires, un moment… j’attends.
Puis, doucement,
Les range consciencieusement
Dans mon tiroir secrètement,
Tout au fond, bien gardés,
Ils resteront à jamais gravés...
Mar 20 Avril 2004, 14:33 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
chanson à écouter, puis à lire....
Depuis toujours.
Je t’aime depuis toujours
Et je viens seulement te dire
Je t’aime pour longtemps encore
Tes mots de velours
Ta peau jusqu’à en éblouir
Tes yeux de chercheur d’or
Toutes ces nuits d’hiver
Ces longues, longues journées de pluie
J’en entends parler chez les autres
Moi, quel que soit le ciel
T’es mon éternelle éclaircie depuis toujours
Et je viens seulement te dire
Pour longtemps encore
Le monde autour
N’est rien qu’un brumeux souvenir
Rien qu’un lointain décor
Comme sur ces horloges
Les mêmes aiguilles, jour et nuit
S’en retournent l’une vers l’autre
Moi comme tu vois
Je retourne vers celle que j’aime depuis toujours
Pour seulement lui dire
Pour longtemps encore
Même au bout du monde
C’est le même ciel, le même lit
La même chaleur qui m’entoure
Les mêmes parfums
Ceux qui enveloppent mes nuits depuis toujours...........
Reprise de Francis Cabrel,
Paroles et musique Othis Redding
voilà La chanson, c’est pour laquelle, lors de sa première écoute, j’ai ’vibré’. Si vous avez l’occasion, allez l’entendre... (le plus vite possible !)
Je t’aime depuis toujours
Et je viens seulement te dire
Je t’aime pour longtemps encore
Tes mots de velours
Ta peau jusqu’à en éblouir
Tes yeux de chercheur d’or
Toutes ces nuits d’hiver
Ces longues, longues journées de pluie
J’en entends parler chez les autres
Moi, quel que soit le ciel
T’es mon éternelle éclaircie depuis toujours
Et je viens seulement te dire
Pour longtemps encore
Le monde autour
N’est rien qu’un brumeux souvenir
Rien qu’un lointain décor
Comme sur ces horloges
Les mêmes aiguilles, jour et nuit
S’en retournent l’une vers l’autre
Moi comme tu vois
Je retourne vers celle que j’aime depuis toujours
Pour seulement lui dire
Pour longtemps encore
Même au bout du monde
C’est le même ciel, le même lit
La même chaleur qui m’entoure
Les mêmes parfums
Ceux qui enveloppent mes nuits depuis toujours...........
Reprise de Francis Cabrel,
Paroles et musique Othis Redding
voilà La chanson, c’est pour laquelle, lors de sa première écoute, j’ai ’vibré’. Si vous avez l’occasion, allez l’entendre... (le plus vite possible !)
Mar 20 Avril 2004, 14:24 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
C'était en juin....(suite 2)
Mon cœur, de douleur, se met à crier
Sensation qu’on m’arrache à toi
Pourquoi je pense à toi ?
Tu n’as pas le droit, pas comme ça
Pas maintenant, pas sans toi
Triste et mélancolique
Je refuse cette sortie d’artiste buccolique
Ma tête est éparpillée
Te rends-tu compte, je suis bousillée
Vidée
Anéantie
Je peux attendre mon heure maintenant
Salvatrice et insignifiante,
Soumise je suis pratiquement délirante,
Mon cœur suinte de tristesse, le seul médicament
Tu ne peux plus me le donner
Tu ne peux plus me le donner.
C’est une autre dimension sans toi
Les nuages ne me font plus rêver
Je rentre dans l’ère sans sentiment
Le langage des oiseaux n’est plus du tout gai
Voilà ce qu’il se passe dans ma tête là
Tu tentes de sortir de ma vie violemment
Et je ne veux pas de cette sortie
Aucune sortie
A ma façon te piéger,
Avec mes mots te retrouver
Dans ma tête, dans mon ventre, dans mon âme inconsolée
Le verbe aimer, je jure
Ne jamais prononcer, terminer, cassure
Violence du choix
Cœur allégé pour toi
Situation en osmose avec ce que Toi tu souhaitais
Je dois comprendre, réagir calmement,
Penser encore à toi, lentement,
Meilleurs passages de ma vie rappelés
Les moments rares, beaux, purs, intenses
Que j’ai eu la chance de partager
Avec toi
Tu as choisi… l’instant de séparation
Calculé ? Non
Je ne pense pas
Je n’y crois pas
C’est juste comme ça
Je te quitte et voilà….
Triste surprise de cette décision
C’est la meilleure, tu as raison
Mais merde, combien j’ai mal, souffre, saigne, pleure
Pour quelle raison effacer ce bonheur
La peur d’affronter la réalité ?
La peur au ventre ? C’est ça ? C’est vrai ?
L’Amour, le vrai
Nous l’avons effleuré
Nous avons joué avec, caressé,
Nous le tenions à bout de bras
Narguant tous ceux qui ne le connaissaient pas….
Sensation qu’on m’arrache à toi
Pourquoi je pense à toi ?
Tu n’as pas le droit, pas comme ça
Pas maintenant, pas sans toi
Triste et mélancolique
Je refuse cette sortie d’artiste buccolique
Ma tête est éparpillée
Te rends-tu compte, je suis bousillée
Vidée
Anéantie
Je peux attendre mon heure maintenant
Salvatrice et insignifiante,
Soumise je suis pratiquement délirante,
Mon cœur suinte de tristesse, le seul médicament
Tu ne peux plus me le donner
Tu ne peux plus me le donner.
C’est une autre dimension sans toi
Les nuages ne me font plus rêver
Je rentre dans l’ère sans sentiment
Le langage des oiseaux n’est plus du tout gai
Voilà ce qu’il se passe dans ma tête là
Tu tentes de sortir de ma vie violemment
Et je ne veux pas de cette sortie
Aucune sortie
A ma façon te piéger,
Avec mes mots te retrouver
Dans ma tête, dans mon ventre, dans mon âme inconsolée
Le verbe aimer, je jure
Ne jamais prononcer, terminer, cassure
Violence du choix
Cœur allégé pour toi
Situation en osmose avec ce que Toi tu souhaitais
Je dois comprendre, réagir calmement,
Penser encore à toi, lentement,
Meilleurs passages de ma vie rappelés
Les moments rares, beaux, purs, intenses
Que j’ai eu la chance de partager
Avec toi
Tu as choisi… l’instant de séparation
Calculé ? Non
Je ne pense pas
Je n’y crois pas
C’est juste comme ça
Je te quitte et voilà….
Triste surprise de cette décision
C’est la meilleure, tu as raison
Mais merde, combien j’ai mal, souffre, saigne, pleure
Pour quelle raison effacer ce bonheur
La peur d’affronter la réalité ?
La peur au ventre ? C’est ça ? C’est vrai ?
L’Amour, le vrai
Nous l’avons effleuré
Nous avons joué avec, caressé,
Nous le tenions à bout de bras
Narguant tous ceux qui ne le connaissaient pas….
Dim 18 Avril 2004, 23:00 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Juste un rêve
Viens me dire
Viens m’apprendre
Au coeur de la nuit tout contre mon oreille
Revèle moi comment
Nous trouverons la magie
Pour entrelacer, tisser,
nos rêves parallèles
Comment tes mots précis
et les miens indécis
se rencontreront
se comprendront
Comment l’étincelle que tu sais faire naître
me parcourra tout entière
jusqu’au bout de mes doigts sur le clavier
traversera le pays, te reviendra
chargée de moi
et remontera chacun de tes nerfs jusqu’au profond de toi
C’est ainsi que nos corps à jamais imaginaires
prendront chair
Viens m’apprendre
Je perds souffle déjà
Je t’attends ..
Viens m’apprendre
Au coeur de la nuit tout contre mon oreille
Revèle moi comment
Nous trouverons la magie
Pour entrelacer, tisser,
nos rêves parallèles
Comment tes mots précis
et les miens indécis
se rencontreront
se comprendront
Comment l’étincelle que tu sais faire naître
me parcourra tout entière
jusqu’au bout de mes doigts sur le clavier
traversera le pays, te reviendra
chargée de moi
et remontera chacun de tes nerfs jusqu’au profond de toi
C’est ainsi que nos corps à jamais imaginaires
prendront chair
Viens m’apprendre
Je perds souffle déjà
Je t’attends ..
Dim 18 Avril 2004, 14:57 par
virtuelle sur Amour internet
Rendez vous
Ce soir c’est le grand soir, notre premier rendez-vous
J’ai toujours fui au dernier moment tes avances
Je suis prêt maintenant à des instants de connivence
Ce soir c’est le grand soir, nous irons jusqu’au bout...
Depuis plusieurs jours je me prépare à la rencontre
Pour toi j’ai choisi mes plus beaux habits
Lissé ma peau de doux parfums de fruits
Depuis plusieurs jours je ne cesse de scruter ma montre...
Ce soir je prendrai la ligne droite la plus longue du monde
Je viendrais te rejoindre chez toi, tu m’y attends
Crucifions ensemble l’insincérité et tuons le temps
Donnons nous l’envie de nous offrir à la lune féconde
Je me jetterai sur toi, tu m’ouvriras grand tes bras
Je laisserai mon corps jouer entre tes mains
Serre moi fort pour une nuit sans lendemain
Prend moi, emmène moi au nirvana
La tulipe...dans la nuit...noire
J’ai toujours fui au dernier moment tes avances
Je suis prêt maintenant à des instants de connivence
Ce soir c’est le grand soir, nous irons jusqu’au bout...
Depuis plusieurs jours je me prépare à la rencontre
Pour toi j’ai choisi mes plus beaux habits
Lissé ma peau de doux parfums de fruits
Depuis plusieurs jours je ne cesse de scruter ma montre...
Ce soir je prendrai la ligne droite la plus longue du monde
Je viendrais te rejoindre chez toi, tu m’y attends
Crucifions ensemble l’insincérité et tuons le temps
Donnons nous l’envie de nous offrir à la lune féconde
Je me jetterai sur toi, tu m’ouvriras grand tes bras
Je laisserai mon corps jouer entre tes mains
Serre moi fort pour une nuit sans lendemain
Prend moi, emmène moi au nirvana
La tulipe...dans la nuit...noire
Sam 17 Avril 2004, 23:15 par
la_tulipe_noire sur La première fois
Des femmes comme on les aime...
Je les croise au bord d’un chemin, maquillées, bien sapées
Je m’arrête et discute, m’entretient de ce qui me tient
Je les regarde et souris, je m’attarde mais ne m’ennuie
Je les connais par cœur, ces femmes sans rancœur
Je les comprends comme si je pouvais être elle
Je rougis quand elles me donnent rendez-vous chez elles
On s’étend sur nos journées, elles me racontent qui elles ont tapiné
On se sert le thé, comme des grandes dames en pleine santé
On s’invite, on s’embrasse, on se prélasse
On se revoit, toujours d’un salut du bout des doigts
On se déporte dans les romans à l’eau de rose
Pour mieux se moquer de celles qui ne rêvent que de prose
Elles m’aiment bien, je le sais
On s’accepte, c’est ce qui est chouette
Je les adore, plus qui sait
On se complète bien plus que dans la tête
Elles sont filles de la nuit
Et moi, je goûte à la vie…
Elles sont filles de joies
Et toi, tu es folle de moi…
Je m’arrête et discute, m’entretient de ce qui me tient
Je les regarde et souris, je m’attarde mais ne m’ennuie
Je les connais par cœur, ces femmes sans rancœur
Je les comprends comme si je pouvais être elle
Je rougis quand elles me donnent rendez-vous chez elles
On s’étend sur nos journées, elles me racontent qui elles ont tapiné
On se sert le thé, comme des grandes dames en pleine santé
On s’invite, on s’embrasse, on se prélasse
On se revoit, toujours d’un salut du bout des doigts
On se déporte dans les romans à l’eau de rose
Pour mieux se moquer de celles qui ne rêvent que de prose
Elles m’aiment bien, je le sais
On s’accepte, c’est ce qui est chouette
Je les adore, plus qui sait
On se complète bien plus que dans la tête
Elles sont filles de la nuit
Et moi, je goûte à la vie…
Elles sont filles de joies
Et toi, tu es folle de moi…
Ven 16 Avril 2004, 16:25 par
Rose sur Un monde parfait
Petite prune tombée de l'arbre...
Elle se bat pour les âmes perdues, doit combattre contre les sages obtus.
Elle se démène dans la boue vivante, les emmène se retirer sous la tente.
Ses cheveux elle attache, pour mieux s’adonner à la tâche.
Ses mains elle salie,
Dans le sang,
Dans les larmes,
Dans les armes,
Dans le temps,
Sans but précis.
Je la vois cacher ses faiblesses, elle me repousse de sa tristesse.
Elle m’éloigne d’un geste, et sans prendre le temps que cela cesse,
Elle repart au front, bataillant sous les ponts.
Je voudrais l’aider, ce petit bout de chou
Mais me voilà bien faible face à ce tout…
Mon enfant, on ne prend des aînés que la douceur et non les peurs.
Ma petite fille, n’écoute pas mes histoires noires.
Ma princesse, n’accepte de moi mes erreurs.
Ma déesse, on ne doit idolâtrer ce genre d’idées, ni même y croire…
Petite sœur… Viens… Pose ta tête sur mon cœur… Pour te rappeler que celui-ci sera toujours tien…
Elle se démène dans la boue vivante, les emmène se retirer sous la tente.
Ses cheveux elle attache, pour mieux s’adonner à la tâche.
Ses mains elle salie,
Dans le sang,
Dans les larmes,
Dans les armes,
Dans le temps,
Sans but précis.
Je la vois cacher ses faiblesses, elle me repousse de sa tristesse.
Elle m’éloigne d’un geste, et sans prendre le temps que cela cesse,
Elle repart au front, bataillant sous les ponts.
Je voudrais l’aider, ce petit bout de chou
Mais me voilà bien faible face à ce tout…
Mon enfant, on ne prend des aînés que la douceur et non les peurs.
Ma petite fille, n’écoute pas mes histoires noires.
Ma princesse, n’accepte de moi mes erreurs.
Ma déesse, on ne doit idolâtrer ce genre d’idées, ni même y croire…
Petite sœur… Viens… Pose ta tête sur mon cœur… Pour te rappeler que celui-ci sera toujours tien…
Ven 16 Avril 2004, 09:41 par
Rose sur Un monde parfait
Les dix commandements ( version moins officielle ... )
Si dans la vie d’un couple, il est important d’établir tacitement certains comportements ou attitudes à avoir, ou au contraire à ne pas avoir si l’on veut éviter le fiasco ( dixit notre cher administrateur bien aimé ), il y a toute une série de petits gestes que nous posons tous les jours et qui peuvent très vite se transformer en LA goutte qui fait déborder le vase si nous n’y prenons pas garde.
Les 10 commandements secondaires version IL :
1.Ton évier tu rinceras après t’être rasé, coiffé, lavé et brossé les dents.
2. Tes blagues sexistes sur les femmes au volant tu oublieras
3. Les diners imprévus avec tes amis tu eviteras les jours où ta douce t’a téléphoné pour te demander une soirée en amoureux
4. Tes vêtements sales tu porteras chaque jour au panier de linge sale
5. De tes exploits sexuels avec tes ex à tes amis tu ne te vanteras pas devant ta compagne
6. La porte des WC tu fermeras
7. Les tâches ménageres tu accompliras avec ta douce
8. Les poubelles tu descendras spontanément au bout d’un maximum de 3 rappels
9. Des larmes qu’elle verse devant les téléfilms américains tu ne te moqueras pas
10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras
Les 10 commandements secondaires version ELLE :
1. Tes produits de beauté tu rangeras dans leur trousse après utilisation
2. Les ragots de tes amies tu ne diffuseras à la maison
3. Ta mère tu n’inviteras pas systématiquement à venir déjeuner les dimanches à la maison
4. Tes protections hygiéniques tu ne laisseras pas trainer dans la salle de bain
5. Les exploits sexuels de ton tendre tu ne divulgueras point à tes meilleures amies
6. La porte de la douche tu ouvriras
7. Les tâches ménagères mal faites sans cesse tu ne reprocheras à ton tendre
8. De lui acheter son magasine sportif tu n’oublieras volontairement d’acheter pas plus d’une fois par mois
9. Des cris sauvages qu’il pousse devant les émissions sportives tu ne t’offusqueras point
10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras :aime:
La marquise... celibataire de plus en plus endurcie
Les 10 commandements secondaires version IL :
1.Ton évier tu rinceras après t’être rasé, coiffé, lavé et brossé les dents.
2. Tes blagues sexistes sur les femmes au volant tu oublieras
3. Les diners imprévus avec tes amis tu eviteras les jours où ta douce t’a téléphoné pour te demander une soirée en amoureux
4. Tes vêtements sales tu porteras chaque jour au panier de linge sale
5. De tes exploits sexuels avec tes ex à tes amis tu ne te vanteras pas devant ta compagne
6. La porte des WC tu fermeras
7. Les tâches ménageres tu accompliras avec ta douce
8. Les poubelles tu descendras spontanément au bout d’un maximum de 3 rappels
9. Des larmes qu’elle verse devant les téléfilms américains tu ne te moqueras pas
10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras
Les 10 commandements secondaires version ELLE :
1. Tes produits de beauté tu rangeras dans leur trousse après utilisation
2. Les ragots de tes amies tu ne diffuseras à la maison
3. Ta mère tu n’inviteras pas systématiquement à venir déjeuner les dimanches à la maison
4. Tes protections hygiéniques tu ne laisseras pas trainer dans la salle de bain
5. Les exploits sexuels de ton tendre tu ne divulgueras point à tes meilleures amies
6. La porte de la douche tu ouvriras
7. Les tâches ménagères mal faites sans cesse tu ne reprocheras à ton tendre
8. De lui acheter son magasine sportif tu n’oublieras volontairement d’acheter pas plus d’une fois par mois
9. Des cris sauvages qu’il pousse devant les émissions sportives tu ne t’offusqueras point
10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras :aime:
La marquise... celibataire de plus en plus endurcie
Mar 13 Avril 2004, 02:16 par
la marquise de sade sur La vie à deux
Un coeur pour les réunir tous...
PetitPrince a écrit: |
Le fond du coeur est plus loin que le bout du monde. Proverbe chinois |
Le coeur d’un(e) libertin(e) ne peut donc avoir de fond... Tel est aussi celui du rêveur...
Même brisé, même critiqué, même chassé, même brûlé sur le buchet...
Citation: |
Le coeur humain est un des rares instruments qui continue de fonctionner même lorsqu’il est brisé. |
Mais... Personne ne doit oublier que...
Blaise Pascal a écrit: |
Il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout que de savoir tout d’une chose. |
Il serait bien dommage de perdre ses peurs d’abîmes et ne plus se battre pour ses rêves...
Changer de vie...
Loyd a écrit: |
Pourquoi ne pas chercher à vivre à fond avec le coeur? |
Tout simplement car...
Jean Guéhenno a écrit: |
On ne pourrait pas vivre si on avait tout le coeur qu’il faut. On ne vit que parce qu’on est dur. |
PetitPrince a écrit: |
Le fond du coeur est plus loin que le bout du monde. |
Mais tout en sachant que...
Christine de Suède a écrit: |
Le coeur humain est un abîme inconnu à lui-même ; celui qui l’a fait en pénètre seul le fond. |
Et n’étant jamais seul à l’explorer... Comment peut-on en apercevoir le fin fond ?
Comme un oiseau...
Comme un oiseau sans aile,
Il se sent triste sans elle.
Comme un arbre sans fruit,
Elle est perdue sans lui.
Cette amitié immense
Commencée comme une danse,
Renait sous un nouveau jour
Evolue peu à peu vers l’Amour
Jamais ne se sont touchés
Par la fenêtre se sont aimés,
Trouver l’âme soeur sur la toile
Dans ses yeux brillent ses étoiles
Peur de s’être si souvent trompés,
Angoissés, réapprendre à aimer.
Amour amitié,peur bonheur; tous sentiments mêlés,
Ils vont enfin se rencontrer !
Se servir du passé, sans peur du lendemain,
S’apprivoiser en se prenant la main.
Elle veut croire qu’Il est son miroir,
Il a peur de se retrouver dans le noir.
L’aime-t-Il ? Elle n’en sait rien
L’aime-t-Elle ? Il n’en sait rien.
Au bout se trouve peut-être le bonheur
Et ce jour-là, Ils n’auront plus peur...
Il se sent triste sans elle.
Comme un arbre sans fruit,
Elle est perdue sans lui.
Cette amitié immense
Commencée comme une danse,
Renait sous un nouveau jour
Evolue peu à peu vers l’Amour
Jamais ne se sont touchés
Par la fenêtre se sont aimés,
Trouver l’âme soeur sur la toile
Dans ses yeux brillent ses étoiles
Peur de s’être si souvent trompés,
Angoissés, réapprendre à aimer.
Amour amitié,peur bonheur; tous sentiments mêlés,
Ils vont enfin se rencontrer !
Se servir du passé, sans peur du lendemain,
S’apprivoiser en se prenant la main.
Elle veut croire qu’Il est son miroir,
Il a peur de se retrouver dans le noir.
L’aime-t-Il ? Elle n’en sait rien
L’aime-t-Elle ? Il n’en sait rien.
Au bout se trouve peut-être le bonheur
Et ce jour-là, Ils n’auront plus peur...
Ven 26 Mars 2004, 08:03 par
Mout sur L'amour en vrac
La langue de l'amour et encore...
Mardi 23 mars - 11h56
Ai-je besoin d’attendre que tu t’éloignes de nous
Pour continuer ce poème qui fût à ton goût?
Tes sourires et le rouge sur tes joues
Me poussent à poursuivre ce harcèlement jusqu’au bout
Espérant qu’à l’inverse des moines, tu céderas sous mon joug
Quand j’emprunte leur langue pour te dire Na kirinla gaguidou
La marquise ... prête à se recycler dans la traduction
Ai-je besoin d’attendre que tu t’éloignes de nous
Pour continuer ce poème qui fût à ton goût?
Tes sourires et le rouge sur tes joues
Me poussent à poursuivre ce harcèlement jusqu’au bout
Espérant qu’à l’inverse des moines, tu céderas sous mon joug
Quand j’emprunte leur langue pour te dire Na kirinla gaguidou
La marquise ... prête à se recycler dans la traduction
Mar 23 Mars 2004, 12:06 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
un 14 juillet à Paris
Nous sommes descendus à Louvre-Rivoli. Le soleil qui inondait Paris nous avait décidé à flâner au gré de nos envies. Face à toutes les merveilles qui s’offraient à nous, nous avons hésité. Puis opté pour les bords de Seine tout proches pour démarrer notre ballade. Le lieu d’arrivée était connu : la gare Montparnasse. Un train m’y attendait en fin d’après midi. Le parcours jusqu’à ce point n’avait qu’un guide : notre curiosité.
Nous voilà donc tous les quatre à déambuler sur les bords du fleuve. Le soleil qui reflète à sa surface lui donne un aspect lisse et brillant, inhabituel pour ces eaux saumâtres. Il y a là un couple d’amis, toi … et moi. On s’est connu à l’université. La vie nous a séparé mais les liens sont restés. Nous essayons de nous revoir aussi souvent que possible, malgré la distance et le temps qui passe. Autant le dire tout de suite, il y a longtemps que tu ne me laisses pas indifférent, même si je n’ai jamais osé te l’avouer.
Nous progressons sur les berges. Nos deux amis main dans la main et nous deux, l’un à coté de l’autre, si proches et si éloignés pourtant. Je me dis que la vie est nulle en géométrie, que notre petit groupe serait plus symétrique si mon bras entourait tes épaules dévêtues. De temps à autre nous nous éparpillons pour laisser passer un jogger du dimanche matin ou un roller man trop pressé. Dans ces moments là j’ai l’impression qu’on me bouscule, qu’on m’agrippe pour me séparer de toi. Je voudrais tellement sentir ta peau contre la mienne. A ce moment là je ne sais pas que quelques mois plus tard cette peau du désir ne prendra pas à la greffe amoureuse. Le rejet sera brutal et froid. Chirurgical. Ce jour là je ne savais pas que le début de ce récit serait la fin de notre histoire…
Déjà le Pont Royal et une envie de passer de l’autre côté (nous avions la veille fait honneur de notre présence aux jardins des Tuileries). Sur les hauteurs du pont, l’horizon dégagé nous impose un arrêt. L’impression de flotter au dessus du fleuve et de pouvoir ainsi glisser de monuments majestueux en merveilles architecturales, est grisante. Nous ne parlons plus, nos huit yeux regardent loin devant eux. Quelle chance d’être là ! … là et ensemble. Au bout de quelques minutes d’irréalité nous étions prêts à reprendre notre chemin. Mais, après quelques pas, nous nous sommes aperçus, tous les trois, que tu ne nous suivais pas. Tu étais restée là, accoudée à la rambarde, le regard lointain …tu semblais tellement perdue dans tes pensées que tu ne t’étais même pas rendue compte que nous partions. Je me disais alors – j’espérais – que tes tourments étaient proches des miens, que tu fustigeais la vie de sa maladresse, que tu maugréais contre moi de ne pas te prendre dans mes bras, là, maintenant, tout de suite ! que tu me haïssais de ne pas te dire que je t’aimais …mais vas y, bon sang ! Qu’attend tu pauvre fou ? Je ne savais pas à ce moment là que l’amour pouvait faire rêver à des choses impossibles, faire croire accessible l’inaccessible, transformer un geste ou un mot insignifiant en un soupçon de passion enflammée. L’amour rend aveugle dit-on. Il peut aussi améliorer la vue, en vous faisant voir des choses qui n’existent même pas en réalité
Nous voilà donc tous les quatre à déambuler sur les bords du fleuve. Le soleil qui reflète à sa surface lui donne un aspect lisse et brillant, inhabituel pour ces eaux saumâtres. Il y a là un couple d’amis, toi … et moi. On s’est connu à l’université. La vie nous a séparé mais les liens sont restés. Nous essayons de nous revoir aussi souvent que possible, malgré la distance et le temps qui passe. Autant le dire tout de suite, il y a longtemps que tu ne me laisses pas indifférent, même si je n’ai jamais osé te l’avouer.
Nous progressons sur les berges. Nos deux amis main dans la main et nous deux, l’un à coté de l’autre, si proches et si éloignés pourtant. Je me dis que la vie est nulle en géométrie, que notre petit groupe serait plus symétrique si mon bras entourait tes épaules dévêtues. De temps à autre nous nous éparpillons pour laisser passer un jogger du dimanche matin ou un roller man trop pressé. Dans ces moments là j’ai l’impression qu’on me bouscule, qu’on m’agrippe pour me séparer de toi. Je voudrais tellement sentir ta peau contre la mienne. A ce moment là je ne sais pas que quelques mois plus tard cette peau du désir ne prendra pas à la greffe amoureuse. Le rejet sera brutal et froid. Chirurgical. Ce jour là je ne savais pas que le début de ce récit serait la fin de notre histoire…
Déjà le Pont Royal et une envie de passer de l’autre côté (nous avions la veille fait honneur de notre présence aux jardins des Tuileries). Sur les hauteurs du pont, l’horizon dégagé nous impose un arrêt. L’impression de flotter au dessus du fleuve et de pouvoir ainsi glisser de monuments majestueux en merveilles architecturales, est grisante. Nous ne parlons plus, nos huit yeux regardent loin devant eux. Quelle chance d’être là ! … là et ensemble. Au bout de quelques minutes d’irréalité nous étions prêts à reprendre notre chemin. Mais, après quelques pas, nous nous sommes aperçus, tous les trois, que tu ne nous suivais pas. Tu étais restée là, accoudée à la rambarde, le regard lointain …tu semblais tellement perdue dans tes pensées que tu ne t’étais même pas rendue compte que nous partions. Je me disais alors – j’espérais – que tes tourments étaient proches des miens, que tu fustigeais la vie de sa maladresse, que tu maugréais contre moi de ne pas te prendre dans mes bras, là, maintenant, tout de suite ! que tu me haïssais de ne pas te dire que je t’aimais …mais vas y, bon sang ! Qu’attend tu pauvre fou ? Je ne savais pas à ce moment là que l’amour pouvait faire rêver à des choses impossibles, faire croire accessible l’inaccessible, transformer un geste ou un mot insignifiant en un soupçon de passion enflammée. L’amour rend aveugle dit-on. Il peut aussi améliorer la vue, en vous faisant voir des choses qui n’existent même pas en réalité
Dim 21 Mars 2004, 23:02 par
la_tulipe_noire sur La vie à deux
Stare piu viccino...
Ferme tes yeux, écoute...
Tu entends? Ce temps qui passe coûte que coûte
Les jours qui s’égrènent goutte à goutte
Les kilomètres qui déjà nous déroutent
Ferme tes yeux, rappelle-toi…
Tu te souviens ? Ces mots, ce premier émoi
Une piscine et un maillot à pois
Un soupir, un sourire, on se noie
Ferme les yeux, envole-toi…
Tu vois ? Ce monde dont tu es le roi
Tous ces pays montre-les moi
Ton univers au bout de mes doigts
Ferme les yeux, respire…
Tu sens ? Cette peur que je veux bannir
Mon passé qui me fait fuir
Mon âme qui ne cesse de souffrir
Ouvre tes yeux, regarde-moi…
Tu comprends maintenant ? Je ne veux plus que toi
Mon passé, ma peur, mes excès, je les oublierai dans tes bras
Ma joue, mes lèvres, mon ventre, prends-moi
Entends, retiens, regarde, respire
Que tous tes sens deviennent mon empire…
La marquise .... CTOG ....
Tu entends? Ce temps qui passe coûte que coûte
Les jours qui s’égrènent goutte à goutte
Les kilomètres qui déjà nous déroutent
Ferme tes yeux, rappelle-toi…
Tu te souviens ? Ces mots, ce premier émoi
Une piscine et un maillot à pois
Un soupir, un sourire, on se noie
Ferme les yeux, envole-toi…
Tu vois ? Ce monde dont tu es le roi
Tous ces pays montre-les moi
Ton univers au bout de mes doigts
Ferme les yeux, respire…
Tu sens ? Cette peur que je veux bannir
Mon passé qui me fait fuir
Mon âme qui ne cesse de souffrir
Ouvre tes yeux, regarde-moi…
Tu comprends maintenant ? Je ne veux plus que toi
Mon passé, ma peur, mes excès, je les oublierai dans tes bras
Ma joue, mes lèvres, mon ventre, prends-moi
Entends, retiens, regarde, respire
Que tous tes sens deviennent mon empire…
La marquise .... CTOG ....
Lun 08 Mars 2004, 20:03 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Ecrire sur bout
Prime de la rime..., Désirs..., chanson à écouter, puis à lire...., C'était en juin....(suite 2), Juste un rêve, Rendez vous, Des femmes comme on les aime..., Petite prune tombée de l'arbre..., Les dix commandements ( version moins officielle ... ), Un coeur pour les réunir tous..., Changer de vie..., Comme un oiseau..., La langue de l'amour et encore..., un 14 juillet à Paris, Stare piu viccino...,Il y a 302 textes utilisant le mot bout. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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