Bien aimé !

Oh, bien aimé!

Combien de lettres dois-je encore t’écrire ?
Combien de mots dois-je encore te dire ? Pour que tu saches que je te porte encore et encore dans mon cœur ? Tu saches que je t’aime ?

Ces phrases ne te suffisent-elles pas ? Oui, on s’est fait tu mal,
J’ai été la première et je le regrette encore, toi aussi tu as versé des larmes sur ma joue, toi qui disais ne jamais vouloir une seule larme sur ma joue.

Oui, on s’est fait du mal,

Mais ne peut-on pas repartir d’une nouvelle voie, un nouveau chemin à deux?

Est-ce trop tard pour toi ? Dis-le moi, ne veux-tu pas qu’on soit enfin heureux ? Certes, tu en doutes encore ! Aucun de mes mots ne pourront plus te convaincre car j’ai trahi ce qui était cher à tes yeux : ta confiance.

Les mots, encore les mots, ne crois tu pas que j’ai muri ? Je préfère les actes plutôt que les mots, je te l’ai dit déjà, ces mots qui t’ont blessé et auxquels tu accordais une grande importance, j’en suis désolée. Mais l’amour c’est aussi ca, se faire du mal sans le vouloir et s’aimer à en perdre la tête.

Tu as choisi le silence et je le respecte, mais moi je ne suis pas comme toi, je cris cet amour que j’ai pour toi, ici, le seul endroit où je peux encore t’écrire sans me dire : est ce qu’il lira ma lettre ?!

Bien aimé, s’il te reste encore de l’amour dans ton cœur pour moi alors viens, viens et abreuvons nous de ce qu’on appelle le bonheur, on en a bavé toi et moi,
Aujourd’hui, on n’a plus vingt ans, on est des adultes et chacun a muri.

Bien aimé, je ferme les yeux en attendant que tu m’écrives, que je te lise, car ton visage me poursuit tous les jours.

Connais-tu ma prière ? Être de nouveau avec toi !

Cher bien aimé, la fatigue me gagne et bientôt je devrais fermer cette porte qui t’es dédiée, sache, je t’aurai attendu, je t’aurai espéré, je t’aurai aimé d’un amour pur et tendre.

Je suis comme ces fleurs de cerisier que tu aimes tant, bientôt la fin du printemps, bientôt je n’existerai plus, bientôt je tomberai et fanerai, et cette porte se fermera.
Sam 30 Mai 2009, 23:01 par coeur perdu sur La déclaration d'amour

Don't take it personal !

Une petite phrase qui décrit un état d’esprit pas aussi anodin qu’il n’y paraît au premier abord.
Cette mise en garde qui précède la prise de parole, "ne pas prendre la critique qui va suivre comme une atteinte à la personne" est d’une part la reconnaissance de l’autre et du respect qu’on lui doit et d’autre part, l’annonce de l’expression d’un point de vue divergent à propos d’un fait, une parole, une action, un écrit ; en clair, d’une production humaine et non de son auteur.
En français, bien souvent, on oublie de dissocier l’un de l’autre. Pourtant, si l’on peut juger d’un acte, il convient de mettre une distance avec la personne qui l’a produit (si tant est que l’on soit objectif, mais là est un autre sujet que je ne souhaite pas aborder ce soir !). Faire une sottise n’est pas la même chose que d’être sot. Combien de fois, entendons-nous (ou lisons-nous) : tu es trop ceci ou trop cela. Alors qu’en fait, le locuteur pourrait tout aussi bien dire : tes actions sont trop ceci et trop cela... d’après moi ! Ou pas assez ceci. N’avez-vous jamais entendu dire de quelqu’un - peut-être de vous, lecteur/trice :" quel "nul(le)" : or, que l’on m’explique, comment un être humain peut-il être "nul" autrement égal à "rien", "zéro" ?! C’est un sacré paradoxe qui ne choque pourtant pas ceux qui en font usage ! Mais qui son destinataire d’autant plus profondément que le coup porté est invisible (je pense en particulier aux enfants, aux personnes vulnérables).
Ne pourrait-on passer d’un jugement catégorique sur un être à une appréciation relative sur une action ? La nuance est de taille. Non ?!
Mar 12 Mai 2009, 19:40 par dolce vita sur Citations

Mappemonde

Où court ce bas-monde
Que devient notre mappemonde
A l’est, il y a les Kurdes
Dans leur combat absurde
Massacrés par les Turcs
A l’ouest les Ricains
Brandissent leur pantin
Ce buisson soi-disant calotin
Mais qui tuera tous les noirs
D’un bon coup de butoir
Quand ils auront volé
Sans la moindre pitié
Les santiags d’un bon texan
Lavé aux megapearls Dixan
Même s’ils ne leur ont blessé
La plus infime partie de pied
A l’est encore il y a Sharon
Ca c’est étrange, ça va avec charogne
J’ai même pas dû chercher
Pour que ça puisse rimer
Ne parlons pas de l’Afrique
Où il n’y a pas de fric
Pour faire bouffer l’enfance
Mais où plein de troud’ballles
Ont assez d’armes blanches
Pour les guerres tribales
Et massacrent dans le sang
Des ethnies moins fières
Et tuent comme on espère
Des milliers de mères
Que dire de l’Europe
Gorgée de misanthropes
Ou tous les bons citoyens
Se disent qu’est-ce qu’on est bien
Il n’y a pas de guerre
La paix règne sur nos terres
A tout crin, nous mondialisons
A grands renforts de flonflons
Tous nous pouvons nous goinfrer
De bonne bidoche avariée
Et gaiement nous refoulons
Tous les damnés de la terre
En croyant dur comme fer
Que c’est la bonne décision
Mon Dieu, braves européens
Ouvrez grand votre sein
Ouvrez grand vos oreilles
C’est le temps du réveil
Les princesses n’existent pas
Et pendant que l’on vous fait rêver
Vous êtes bel et bien tous manipulés
Par tous les fils à papa
De titanesques multinationales
Qui vous font malbouffer
Pour vous empêcher de penser
Notre belle démocratie
Est une dictatrice pythie
Tellement bien déguisée
Que tous vous y croyez
On vous dit : vous avez
Du poulet Herta à bécqueter
C’est ça la liberté
Un communiste vous aurait dit
Y a que des fayots aujourd’hui
Vous auriez bouffé aussi
Contraints et forcés
Mais vous auriez mangé
On vous aurait moins menti
Vous auriez moins de songes
Mais aussi de mensonges
Et peut-être des transports en commun
Alors pourquoi pas un autre Berlin
Sans une ombre de Ricains
Pourquoi pas un euro
Qui serait plus coco
Pourquoi pas une Europe
Sans tromperie, sans salope
On prendrait tous le train
Pour voir que tout va bien
Pour visiter le monde
Qui tourne comme une rotonde
Et non comme un rotor
Bourré de trop de morts
On irait voir les champs
Où gambadent les enfants
Où pousse du vrai blé
Pas celui des billets
Jeu 11 Sep 2008, 13:38 par AFDM sur Mille choses

Comment réussir en amour?

"comment réussir en amour?"

Je crois, stéphane, que la réussite est un mot qui sied mal à l’amour, car il me semble qu’on est jamais assuré de réussir et c’est là toute la douceur et toute la douleur d’aimer : rien n’est jamais acquis, il faut oser prendre le risque d’aimer, et peut-être se voir couper ses ailes en plein vol?, comme cela vient de m’arriver... Mais les ailes repoussent, et l’envie de s’envoler renait jusqu’au prochain vol, ou bien peut-être posera-t-on ses valises si la compagne ou le compagnon est d’agréable compagnie?
je voudrais tant t’aider à trouver au fond de toi cette réponse, mais elle est en toi n’est ce pas? Savoir t’écouter, suivre ton cœur, tes désirs. Savoir reconnaitre lorsque tu te sens blessé, non respecté. Savoir t’éloigner si d’aventure tu réalises que tu t’es trompé, que la personne n’est pas l’être aimé, mais un ou une malotrus(e) qui profite de ta générosité...
Voilà, en espérant que cela t’aidera?
C’est la première fois que j’écris ici.

Sophy
Lun 26 Nov 2007, 21:47 par Sophy sur Histoires d'amour

Chagrin d'amour

Un coeur blessé

Une âme abattue

Un individu déçu

Une grande difficulté...

Jérôme
Jeu 25 Oct 2007, 17:24 par jejefofo sur Citations

J'aurais voulu que tu sois comme un " frère "...

On s’est rencontrés, on avait tout juste dix huit ans
On était jeunes, trop jeunes sans doute.
On a grandi ensemble comme un frère et une soeur.
Il y avait tellement de ressemblances dans notre histoire...
Nos parents n’ont pas su nous aimer
Tous deux, nous étions des " écorchés vifs ".
Ensemble, on a passé des soirées et des nuits
A vouloir refaire le monde.
Mais on a vite compris
Que le monde tournerait sans nous
Et que nos idéaux resteraient vains.
On s’est aimé comme des fous...
Tu as été mon mentor
Mon " Dieu " en qui j’ai eu la foi,
Tu as été mon tout, mon toit
Je me suis tant réfugiée contre toi
Pour trouver de l’apaisement à mes détresses
Je ne pouvais vivre sans toi
Ma propre existence ne m’ayant jamais intéressé.
On a continué à " grandir ".
Tu es devenu homme et moi femme, certes
Mais mon âme d’enfant est resté si présente en moi
Que je suis, par définition une femme-enfant.
On a apppris à se découvrir.
La vie a passé...
On a fait un bébé, puis un deuxième et un troisième.
C’est de toi que j’ai voulu nos trois enfants.
Au cours de notre vie
Peines et joies se sont entremêlées
On a continué à " mûrir " dans notre vie d’adulte
Toi toujours plus vite que moi.
On a évolué...
Le temps des incompréhensions est venu
J’ai fini par souffrir de tes colères
Qui devenaient parfois violentes
Et qui ont fini par me faire peur.
Mes " silences " que tu as pris pour des mensonges
Tu ne les a pas supportés.
La mélancolie qui m’habite
a fini par t’être " pesante ".
On a fini par ne plus " se comprendre "
Alors un matin j’ai voulu que cela cesse.
J’ai pris une décison qui t’a " blessé.
Je porte " sur mes épaules " la responsabilité de notre séparation
Puisque cela a été mon choix.
Sur le chemin de ma vie
J’ai rencontré un homme
Auquel je me suis attachée.
J’ai " tu " cette relation.
Non pas que je voulais te mentir
Mais te connaissant d’un tempérament jaloux
J’ai voulu la vivre et lui donner une existence...
Un jour tu m’as dit avoir rencontré une femme
Avec laquelle tu as vécu quelques mois
Tu m’as dit l’avoir fait
Pensant me " rendre " jalouse "
En vain...
La vie a continué...
En octobre, ma vie a basculé.
Tu t’es mêlé de ma vie sentimentale.
Tu pensais que cela allait mettre fin à cette relation...
Et que tu allais me " retrouver ".
En vain...
Je pensais être forte et
Ma fragilité est revenue.
Depuis j’ai sombré dans le désespoir.
Pourquoi , je ne sais pas...
Tu sais que je suis de
Ces femmes que l’on n’oublie pas.
J’ai tant à donner... et sans doute
pour cela que je " peux venir à manquer ".

T’aurais pu être comme un frère
A qui on dit tout
Puisque à un frère
On n’a pas de raison de mentir
Alors j’aurai parlé...
Avec honnêteté
Mais je ne veux pas
Qu’elle se " retourne " contre moi.
Je suis si mal...
La vie est un combat
Pour tout à chacun
Mais chaque jour, je perds un peu de ces forces...
Qui font que l’on " reprend le dessus ".

T’aurais pu être comme un frère
Dont les liens sont inneffaçables
Puisque que tu aurais été un " frère de sang "...


Marie
Mer 06 Juin 2007, 13:28 par Satine sur Histoires d'amour

Et si on parlait d'amour...

On dit souvent de l’Amour, que c’est merveilleux, fabuleux, extraordinaire...
On se trouve alors dans un état de plénitude, d’épanouissement de son Etre.
Que nenni..
Dit-on tout de l’Amour ?
Parle t-on de la contradiction du sentiment amoureux ?
Non.
Amour, haine
On oublie d’en parler
De cette duallité
Et pourtant cela fait partie
De la composante du sentiment amoureux.
L’Amour a ce quelque chose d’énigmatique
Car le mot partage y prend toute sa valeur.
Soi, l’Autre
Deux Etres qui ne font plus qu’Un...
Et si on était tout simplement dans l’erreur dans cette définition.
Deux personnes, en fin de compte,
Au risque de vous choquer
Ce sont trois individus
Qui se conjugeraient de cette façon.
Je, Tu, Nous...
A cette lecture, vous allez vous poser la question
Mais où veut-elle en venir ?
La rencontre amoureuse est sublime,
Elle est accompagnée d’émotions
Qui embellit notre vie.
Mais quand on aime, je parle d’un amour pur
On prête attention au regard de l’Autre,
Miroir dans lequel se reflète notre image.
Alors on veut plaire à tout prix
Prêt à tout pour ne pas perdre
L’amour de l’Autre
Au risque de se perdre Soi.
C’est l’erreur que font beaucoup d’entre nous.
Il y aurait donc, dès la rencontre
Malentendu.
On oublie le Je, le Tu
A laquelle on ne donne pas existence
On fusionne avec le Nous
Mais pour combien de temps...
Dès que l’on déplaît, la souffrance apparaît
Blessé par l’Autre.
On n’évoque jamais le mot " souffrance "
Quand on parle d’Amour,
Comme si cette douleur n’existait pas.
Chagrins, peines, tristesses
Ne font donc partie du vocabulaire amoureux.
Il faut cesser d’avoir la naîveté de croire
Que l’Amour, ce n’est que du bonheur...


Marie
Jeu 17 Mai 2007, 15:46 par Satine sur Parler d'amour

Comme une guitare

Je me suis souvent demandée... Est-il normal que l’amour traîne éternellement dans son sillage la douleur, la souffrance et la peur ? Dans tous les livres, ils en parlent comme d’une chose merveilleuse et douloureuse... Mais pour moi, ça n’a jamais été que source de désespoir. On se vexe si facilement quand on aime ! Un rien nous et on est sans arrêt dans l’attente désespérée d’obtenir quelque chose de l’être aimé... Sans jamais rien recevoir qui en vaille la peine...
J’ai parfois l’impression que l’amour nous balaye et nous reverse, laissant dans notre coeur dans grandes marques indélébiles, comme l’érosion d’un rocher par la mer... L’amour détruit, pourquoi ? Pourquoi ce n’est pas cette chose tendre qu’on espère tous ? cette chose qui nous réchauffe le coeur ? Cette chose que chacun est sensé bénir et apprécier ? Pourquoi quand j’aime, j’ai l’impression de mourir ?
Je ne comprends pas non plus... Pourquoi l’amour des autres me -t-il autant ? Pourquoi me donne-t-il envie de pleurer et de hurler ? Pourquoi quand quelqu’un m’aime je n’arrive qu’à lui en vouloir ? Je ne veux pas qu’on m’aime.... et je veux qu’on m’aime...
Lorsqu’on ne m’aime pas, j’ai l’impression que le monde alentour est gris et sans saveur... Quand on m’aime, il prend la couleur du sang et le goût cuivré de la douleur... Mon esprit est alors comme un nuage d’encens... J’étouffe, j’apprécie, et je souffre de toutes les épines que sa senteur agréable plante en moi.
Je ne veux pas aimer... Parce que je ne veux pas mourir. je ne veux pas avoir cette impression désagréable de ne plus être moi-même, cette douleur terrible qui me ronge les entrailles comme un vers qui me boufferait le coeur... Mais lorsque je n’aime pas, j’ai l’impression d’être morte. Je ne souffre plus, mais je ne vis plus.... Est-ce dire que la vie est souffrance ? Ai-je a tout prix besoin d’un stimulant fort et aggressif pour forcer mon coeur à battre ?

En fait, je suis comme une corde de guitare... Lorsqu’on me caresse je vibre et tremble, je souffre, la tension me fait presque céder. Mais lorsque plus rien ne me touche, je suis morte... la poussière empli ma caisse de résonnance et ma voix s’enfonce au plus profond de moi... En attente de quelqu’un pour me r à nouveau.
Mer 16 Mai 2007, 16:42 par Ayakai sur L'amour en vrac

Le Grand Rouge

Petite histoire en passant. Un soir, dans un bar.
Une fille brune accoudée au comptoir.
En quelques verres d’affiliés, c’est parti.
Pour un grand noir, juste une nuit.

Coeur blessé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Caresse-moi.
Aime-moi rien qu’un instant.
Et à la fin de la nuit, vas-t-en.

Censuré, tout ce que l’on a fait.
Personne n’y croyait. Pas même elle.
Juste comme ça. Pour s’amuser.
Sans se regarder. Les yeux dans le ciel.

Interdit aux moins de 18, ce qui s’est passé.
Je n’ai tout d’un coup plus senti ses seins.
J’étais dans le piège de la sorcière. Piégé.
Un grand bleu. Celui de ses yeux sans fin.

Coeur blessé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Touche-moi.
Aime-moi plus qu’un instant.
Mais à la fin de la nuit, vas-t-en.

Yeux dans les yeux. Mains dans les mains.
Juste comme ça, pour s’amuser...
Je fixe ses yeux, pour me noyer.
Je ne veux pas l’aimer. Une nuit pour rien.

Je sais qu’il est trop tard pour tout casser.
Alors, je vais devoir tout annihiler.
Son sang qui coule est rouge carmin.
Grand rouge. Ainsi que le mien.

Coeur crevé. Un grand rouge.
Embrasse-moi. Détruis-moi.
Aimes-moi jusqu’à la fin des temps.
Je ne dirais plus jamais « vas-t-en ».

Grand rouge. Film interdit aux moins de 18 ans.
L’histoire d’un homme qui ne peut aimer.
Et de la femme qui va le faire saigner.
Suicide passionnel, crime passionnel. Comme de tout temps.

- Censuré -
Mar 15 Mai 2007, 07:12 par Ayakai sur Les liaisons sulfureuses

Il est ma tendresse

Pour le meilleur et aussi pour le pire
Pour toutes ces douleurs et pout tous les rires
Pour la chaleur de son corps qui soupire
pour des yeux qui pleurent quand je le fais souffrir
Pour le terrible manque de lui quand il s’en va
Pour les nuits sans sommeil quand on ne s’aime pas
J’apprendrai son silence pour ne pas lui mentir
J’apprendrais son absence quand il voudra partir
Je lui donnerai mes nuits blanches, mes reves et mes delires
Les matins de mes dimanche, des ailes pour s’enfuire
Je lui aprednrai l’amour celui qu’on fait a deux
Celui qu’il a toujours quand il en manque un peu
J’apprendrai les couleurs qui tissent les etoiles
je remplirai son coeur de tout ce qui fait pas mal
J’arreterai le temps quand il voudra grandire
Pour lui je ferai en grand tout ce qu’il nose pas dire
Je lui donnerai les mots qui n’ont pas d’importance
Et qui posent de beau sur un amour intense
Pour pas qu’il se reveille du cote du seilence
Il es ma tendresse
Il a mon amour
Je veux pas qu’on le
Je veux personne autour
Il est mon espace mon identité
La vie dans la glace
Quand je veux me regarder


[size=9]ps: texte d’apres j.p dreau[/size]
Lun 31 Juil 2006, 04:13 par joullia sur L'amour en vrac

Maman, c'est quoi l'amour...

Maman c’est quoi l’amour?
C’est les sentiments qu’il y a entre papa et moi.

Maman c’est quoi la vie?
C’est le moment pendant lequel ton coeur bat.

Maman c’est quoi l’éternité?
C’est quelque chose qui ne se finit jamais.

Maman tu m’aimeras pour l’éternité toi?
Mais oui, bien sur mon chéri.

Maman tu crois que je peux vivre à côté de toi pour l’éternité?
Dans ton coeur tu le peux.

Mais maman c’est quoi la mort?
C’est là où mamie dort.

Et de là bas elle nous aime encore?
Oui pour toujours.

Maman quand je serais mort je t’aimerais toujours. Toi aussi?
Mon chéri, tu as longtemps à vivre avant de mourir alors ne penses pas à çà.

Mais tu m’aimeras?
Oui, toujours

Maman c’est quand que tu vas mourir?
Dans pas longtemps.

Mais pourquoi?
Parce qu’un vilain monsieur m’a fait quelque chose de ne pas bien.

Qu’est ce qu’il t’a fait?
Il m’a blessé avec un couteau.

Pourquoi il a fait çà maman?
Parce que l’on n’est pas comme lui.

C’est quoi la différence maman?
La couleur de la peau.

Mais maman, je ne comprends pas, la couleur de cheveux n’est pas la même non plus.
Je sais.

Et on a tous un coeur, nous sommes pareils puisqu’on a tous un coeur...
Je sais.

Et c’est à cause de lui que tu es allongée ici?
Oui mon ange.

Mais c’est où ici?
C’est l’hôpital.

Maman j’ai peur...
Non, il ne faut pas avoir peur.

Mais maman je veux pas que tu partes...
Un jour on se reverra.

Dans longtemps?
Je l’espère.

Pourquoi?
Car je veux que tu profites de la vie

Maman je t’aime...
...

Maman ?
...

Maman ?
...

Maman........


Lecture d’un texte
écrit par une amie de ma fille

Bouleversant
Sam 17 Juin 2006, 13:07 par Satine sur Parler d'amour

A une ombre

Je te sens planer sur ma vie
En silence
Tes adieux n’ont pas effacé
Ta présence
Je chasse loin de mes pensées
La souffrance
De l’amour que tu veux tuer
Sans complaisance
Son parfum porte les regrets
Comme l’ambre
De ce qui nous a habité
Ce me semble
L’amour ne se peut tuer
Sans les cendres
Des coeurs que l’on a blessé
Au plus tendre
C’est par lui si l’on a joui
Oui, ensemble
C’est à lui que tu as menti
sans comprendre
Dim 28 Mai 2006, 09:56 par dolce vita sur L'amour en vrac

A mon amour

Que te dire que déjà tu ne sais
Les mots d’amour je les ai dit
Mon coeur est une fontaine
il pleure comme pleure la pluie....
Il faut à la vie mourir
Pour un jour renaître à la Vie
Les illusions se sont enfuies
Mon coeur est blessé et meurtri
Mais l’amour qui déborde et qui saigne
Est encore plus pur aujourd’hui
L’amour est plus fort que la haine
A chaque instant il resplendit
Et si on peut le mettre en croix
Jusqu’au bout, il dira "je t’aime"
Et si à bout il perd la voix
Sa lumière est déjà la mienne...
Ven 26 Mai 2006, 20:57 par dolce vita sur Parler d'amour

« Va, cours, vole »

Je t’avais dit : « éloigne-toi », tout doucement, sans t’accabler. Oui, je t’ai bien conseillé de partir, mais je sens ton ombre sur moi, elle ne cesse de venir se poser. C’est plus fort que toi, ce me semble, tu ne peux pas t’en empêcher. Mais quel bien est-ce que cela te procure ? Quel bien est-ce que cela nous fait ? Quelque chose en moi qui t’attire quelque chose te fait soupirer : quoi ? Je ne saurais trop te le dire, non ; mais ce que je sais, je le sais. Une autre vit à tes côtés, une femme que tu aimes vraiment, alors pourquoi t’en éloigner ? Pourquoi après moi soupirer dès lors que ton coeur est engagé ? Si tu te consummes, tu déclines, et qui te feras remonter ?! En toi quelque chose est vide et aspire à être comblé et ton vol silencieux te grise mais tu rentres au logis blessé. Je voudrais faire, je voudrais dire quelque chose qui, enfin, te déplaît ; afin que bientôt tu soies libre et que tu puisses de moi t’éloigner. Que ce lien entre nous se brise et qu’au loin je te voies voler. Il n’est nulle drogue qui ne résiste à un effort de volonté.
Allons, ta joie, ton bonheur, tu le sais, oui, tu sais bien où les trouver ! Ne tarde plus, l’ami, vole vite, vole droit vers ta liberté.
Jeu 25 Mai 2006, 13:23 par dolce vita sur Les liaisons sulfureuses

Pour l'amour

Pour l’amour de la rose qui pleure
Ouvrant au ciel son cœur blessé
Pour l’amour des plaisirs qui se meurent
Dans nos regards quand s’efface la nuit
Gardons au bout des lèvres la saveur amère
De nos cheveux mêlés, de nos cœurs meurtris et de nos larmes

Pour l’amour de tes yeux pleins de rêves
Quand va s’ouvrir la fleur de mai
Pour l’amour de tes mots qui me prennent
Quand on se donne et que l’on s’abandonne
Cueillons l’espoir tremblant du printemps qui passe
Laissons l’oiseau des bois bercer notre paix dans la nuit calme

Pour l’amour du soleil qui se lève sur le jardin de nos 20 ans
Prends la fleur qui enchante mes rêves
Offre-la-moi au matin de ce jour
Au matin de l’amour et donne moi la main

Cosma & Pimper
Sam 13 Mai 2006, 11:52 par dolce vita sur Citations
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Ecrire sur blesse

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Il en est du véritable amour comme de l'apparition des esprits : tout le monde en parle, mais peu de gens en ont vu.

La Rochefoucauld.

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