Beau

c’est très jime, je pense qu’elle saura l’entendre, et qui sait, si les mots touchent autant ils peuvent changer les choses...j’y crois moi...
Jeu 04 Déc 2014, 15:36 par inlove sur Mille choses

Feuilles d 'automne



Je ramasserai toutes ces feuilles trainant par terre,
Une à une car, pour moi elles ont chacune,
Une signification personnelle particulière:
Une tendre réminiscence qui perdure,commune
A toutes ces images qui s’accumulent,au fil des jours
Chargées de ces souvenirs qui ne peuvent s’effacer...
Toutes ces merveilleux moments que je ne veux pas oublier
Car ils sont désormais, ma seule raison de vivre...
Je m’en nourris,aujourd’hui bien trop souvent
Quand mon état se languit d’une douce mélancolie
Ils m’aident à redevenir quelque peu euphorique.
La feuille de ton incroyable sourire ravageur
Qui est plus que le soleil éclatant du matin
Et qui me laissera encore et toujours,divinement rêveur
La feuille de ton prodigieux regard, pétillant et coquin,
Qui te donne cet air étrange,si charmant et impudique.

Une autre de ta tendresse et douceur à mon égard
Je me surprend à être si fier, lorsque je suis avec toi,
Tu es délicieuse comme la liqueur du sirop d’érable
Que je laisse couler sur tes belles formes généreuses.
Une feuille pour rappeler l’odeur de cette peau cuivrée
Sur laquelle mes doigts jouèrent une tendre mélodie
Et celle de ce petit ticket de toison,couleur charbon,
Où mes lèvres enfiévrées se déposèrent avec passion.
Une feuille pour ces inoubliables baisers torrides,
Que je déposai avec entrain sur tes lèvres humides
Et que nous échangeâmes avec une fougue intrépide,
Que tu accueillis, avec une adorable émotion, timide
Et dont je sens encore la fervente ardeur sur ma bouche.
Une feuille,exauçant ce vœu que je fais matin et soir
De te retrouver,encore une fois, dans ma couche
Pour que je puisse dissiper cette peur que tu as du noir
une feuille pour la clarté de ce splendide crépuscule
Qui viendra nous envelopper tout doucement,
Tel l’immense rideau d’un moment incrédule
Qui nous recouvrira d’étoiles entièrement.

Et j’ornerai ce magnifique grand voile
De la sublime beauté de ton merveilleux minois
En te dessinant délicatement sur ma toile
Belle, ainsi que mon cœur te voit
Afin que tous mes langoureux désirs reprennent vie.
Une feuille sur laquelle j’aimerai écrire cette douce folie,
Pour la vivre,jour et nuit, avec insistance...
L’un contre l’autre,les yeux dans les yeux
Afin de voir resplendir ton regard merveilleux
Jusqu’ à la fin de mon existence .
Sam 22 Nov 2014, 16:09 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Faire le deuil

Faire le deuil

Mon corps est la,
Mais pas mon esprit
Je n’arrive toujours pas
À surmonter notre histoire
Notre idylle fut courte
Très courte
Mais a laissé une profonde cicatrice
À jamais ouverte dans mon cœur.

Tous ces mots que j’ai prononcés,
Je les ai dits et pensés,
Avec sincérité.
Qui aurait pu croire que pour nous
Cela aurait l’effet illusoire
D’un monde qui ne serait pas réel
Ou nous pourrions facilement lâcher des mots
Sans les penser finalement
Et se dire que c’est si facile
De les dire comme ça
Pris dans l’ambiance,
En nous procurant cette merveilleuse émotion,
Dont le cœur s’affole à chaque fois

Ne pas trop penser qu’un jour
Cela puisse nous tomber dessus
Et en garder des tourments tout le temps;
Mon physique est toujours la
Mais mon mental est ailleurs
Tu as osé pudiquement me dire je t’aime
Et je t’ai appelé mon amour

Mais tu en aimes déjà une autre...
Et je n’arrive pas à faire ce deuil
Mon cœur a trop mal d’y avoir cru.
Dim 19 Oct 2014, 18:12 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Un souvenir (duo caressedesyeux/jean)


Je ne suis qu’une image,
D’une ancienne carte postale
De ces années d’un passé lointain.
Que tu as retrouvé dans un carton,
Au fond de ton grenier.
Je date de l’époque des années folles
Où les beaux marins,
Naviguaient sur leurs bateaux,
Et me dévoraient des yeux. (caressedesyeux)
Jadis, j’étais si belle.
Rappelle-toi de moi,
Quand tu venais me voir
Toi matelot brun,
Danser au cabaret.
Mais ce temps est passé
Et tu m’as oubliée
Je vais pouvoir m’en aller,
Et retourner au fond
De mon grenier.

J’ai gardé en moi ton image
Ce souvenir encore sauvage
Toutes ces farandoles de baisers
Je n’étais qu’homme à tes pieds

Même si j’avais épousé la mer
matelot déjà trop fier
A tes pas je n’étais plus moi
Juste un homme tombé dans tes bras. ( jean)

A la décadence d’une danse
Je te revois encore en transe
Dans une bouteille de rhum loin de France
L’homme regrette cette romance

Juste cette nuit m’a suffit
Pour garder le sucre de ce fruit
Toute une vie à en mépriser l’ennui
De ne pas être l’homme au chaud dans ton lit .
Sam 04 Oct 2014, 20:59 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Cueille- moi des violettes

Cueille- moi des violettes

Si vous voulez me faire plaisir, cueillez -moi des violettes,
Ce sont les plus humbles de toutes ces pauvrettes
Et ce sont celles que de loin je préfère
Il ne m’en faut pas beaucoup pour être contente
et si tu vas m’en cueillir un petit bouquet
Je pourrais, pour le coup,afin de te remercier
Te décocher mon plus sourire,
celui qui ne me quittera jamais
Tant que tu resteras près de moi
Donne-moi ta main, n’aies pas peur
Je la garderai tout contre mon cœur
Bien serrée contre ton sein
Et je me sentirais si bien
Que tu pourras alors essayer de m’embrasser;

Vole-moi un baiser, avec discrétion
Puis donne-moi-s-en, un deuxième avec émotion
Parce que c’est ainsi que je les aime:
Chauds, humides et passionnés
Fais, mon cœur, doucement chavirer
Juste par ces quelques petites tendresses
Surprends-moi par d’innovants stratagèmes
Des gestes doux, d’aimables gentillesses
Découvre au fond de moi ces choses que j’aime
Donne -moi à manger des cerises, du raisin
Ou bien à boire,de l’eau, au creux de tes mains
Ce n’est pas grande chose mais, pour moi, "quel festin"!
Ou alors tu pourrais, pourquoi pas?
M’offrir quelques petites douceurs
Comme un petit carré de chocolat!
Mais ce que je préfère ce sont les fleurs
C’est ce qui comble mes envies par-dessus tout
Bien que souvent mon esprit le propose
Je m’émerveille de toutes ces petites choses
Qui semblent anodines et qui n’ont d’éclat
Que si je peux les faire avec toi...
Si tu veux bien de moi...

Nul besoin de m’offrir des diamants ou des roses
Je ne ne suis pas ce genre de fille-là
Qui ne succombe qu’à l’argent et à la pose
Qui ne pense qu’aux bijoux ,et aux toilettes
Je me contente que de quelques fleurettes,
Un présent que je ne résiste pas
Alors viens! Dépêche -toi !
Partons à la cueillette de ces jolies violettes
Jeu 24 Avril 2014, 08:47 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

La beauté du silence et son cerveau!

CE SILENCE TEXTUEL EST INTELLIGIBLE
ET cette poésie est loin de toute idiotie
très texte merci
Sam 15 Mars 2014, 11:22 par inlove sur Mille choses

Bravo pour ces poèmes

Très texte merci du partage!!! aime aime
Dim 05 Jan 2014, 09:55 par inlove sur L'amour en vrac

Ta princesse

Ta princesse

C’était un jour, on ne peut plus banal
Je m’ennuyais, le moral au plus bas
Puis mes yeux se sont posée sur toi,
Je t’ai trouvé et génial
J’en ai eu le cœur tout en émoi
Depuis je ne rêve que de t’aimer.
De serrer ton corps contre mon corps
De t’enlacer,de t’embrasser
Tout simplement ,en plein accord
De connaitre toutes les saveurs
Depuis le gout de tes lèvres
Jusqu’à la douceur de ta peau
Partager toutes tes humeurs
Et bâtir un tendre rêve
Un merveilleux duo


Sentir que tu me désires autant que moi
Être tout simplement endormie à coté de toi
Te prodiguer de douces caresses
De cette tendresse longtemps refoulée
Que je garde tout au fond de moi
Depuis tellement de temps
Que j’ai cru ne plus avoir de sentiments
Car ce long sommeil m’a poussée
A ne plus rien ressentir...
Et à ne plus rien donner!
Mais voila tu es apparu
Et mon cœur s’est emballé
D’une violente émotion
L’irrésistible envie de partager
Cette douce passion avec toi,
Et rien qu’avec toi...
Mer 01 Jan 2014, 17:40 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Notre amour est t-il un crime ?

Bon eh bien bonjour à tous :) me voici avec une longue histoire sur Zane et Giulia, deux jeunes femmes que j’admire énormément.


Chapitre 1 - Révélation et demande

Point de vue narrateur.

Le soir … Le voilà tombé sur la capitale italienne, par ce soir d’hiver, un soir décembre, nous nous retrouvons devant un lycée qui à cet heure si tardive fut encore ouvert. Ce soir cet établisement était en fête, il y avait le bal de noël, et pour cette occasion tout le monde y avait était convier parents et professeurs.

Non loin du gymnase là ou se déroule la fête, cacher derrière un mur à l’abrit des regards, deux jeunes femmes s’échangent leur amour avec bonheur. Zane une jeune brune aux cheveux mi-long se trouve contre le mur tenant sa petite amie par la taille, et cette dernière qui répond au nom de Giulia qui a une chevelure chocolat et de jolie yeux azur, a ses bras allongés sur les épaules de la jeune brune.

Ses deux jeunes demoiselles partagent leur vies depuis deux ans maintenant. Leurs cœur se sont uni un soir de printemps, lors de l’anniversaire de Giulia qui ce jour là avait reçu le plus des cadeaux.

Cette dernière, s’approche de sa douce et approfondit leur baiser, bougeant légèrement sa tête pour ainsi mieux savourer ce moment de tendresse. Zane elle ne cesser de la serrer contre elle, mêlant sa langue à la sienne pour ainsi rendre ce baiser encore doux et brûlent.

En manque d’air, elles se détachent, et leurs yeux se noient l’un dans l’autre. Giulia caresse son front avec le sien, et lui sourit tendrement. La jolie brune emmène sa main à sa joue et lui éffleur doucement, jouant avec son nez. Le vent souffle et fait virevolter leur cheveux, leurs robes qui son toutes les deux noire se plisse avec le vent.

Elles n’avaient pas besoin de parler, chacune d’elles se comprend par un simple regard. Giulia pose sa main gauche sur celle de sa femme et emmêle ses doigts avec les siens. Laissant son cœur se marié au sien.

Giulia – je t’aime ma chérie.
Zane – moi aussi, et plus que tout !
Giulia – Zane …
Zane – chuut …


La jeune brune descend sa main et pose son doigt sur les lèvres de son amour qu’elle caresse doucement, Giulia lui sourit, et vint lover sa tête au creux de son cou côté gauche, et descend ses mains à son dos, lui offrant de douce caresses. Zane se met à sourire, elle commence un geste doux et régulier sur le dos de sa bien aimée, et monte sa main droite à sa chevelure caramel, ou elle prit soin de lui masser tendrement lui déposant un baiser sur sa tempe.

Zane – dis moi … Qu’aimerais tu que l’ont face durant les vacances ?
Giulia – tu sais … L’endroit m’importe peut tant que je suis avec toi.


La jolie brune se met à sourire, et berce tendrement son ange contre elle, son cœur ne cesse de s’emporter, et son ventre la démange, comme si des millions, de papillons caresser son bas-ventre.

Giulia – Ah … Si tu savait à quel point je suis heureuse avec toi, deux ans de bonheur et d’amour.
Zane – oui moi aussi, et j’espère de tout mon cœur que sa durera, car avec toi … Je suis la plus heureuse et comblée des femmes.
Giulia – c’est la plus belle chose que tu m’est dit Zane, je l’espère aussi … Même si il y a quelques tension avec notre groupe, je souhaite rester à tes côtés mon amour.
Zane – et si … On leur disaient ?
Giulia – si tu te sent prête alors je te suis jolie brune !
Zane – hm toi alors … Quand arrêteras tu de me rendre ainsi !
Giulia – comment ça « ainsi » vous m’intriguer mademoiselle Kazama !


Zane élargie son sourire, son bonheur était au summum auprès de la femme qu’elle aime et désir plus que quiconque. Elle lui caresse la joue, et s’approche de son visage.

Zane – de me rendre si amoureuse voyons mademoiselle Celest.
Giulia – dans ce cas, jamais !


Elles s’échangent un tendre sourire, et vinrent de nouveau unir leur cœur dans un long et doux baiser. Giulia colle son corps contre celui de sa douce, et pose ses mains sur ses joues qu’elle caresse. Zane qui ne savait plus ou se donner de la tête, tant son bonheur l’ennivre ressere leur étreinte, et lui caresse son dos, allant sauvagement attaquer sa langue.

Personne n’était là pour briser leur moment de bonheur ou chacune se sentaient de plus en plus ennivrer par leurs émotions les plus profonde, leur désir prit leur cœurs en otage, et leur langues s’enflamment à chaque coup. Un baiser amoureux et langoureux à la fois, une étreinte douce et protectrice, des caresses agréable, et quelques petits son se mariant avec l’atmosphère envoûtante et chaude à la fois.

Point de vue Zane.

Quel bonheur, je n’arrive pas à me défaire de ce sentiment qui me brûle le cœur, elle est si douce, Giulia … Ma tendre Giulia je t’aime tellement fort, deux ans à ses côtés, un véritable bonheur, bien que certaine jalousie me meurtri le cœur je l’aime profondément et en aucun cas je la laisserais filais dans les bras d’une autre. En ce soir de vingt quatre décembre j’avais l’intention de lui demander sa main, et pour sa, avec l’aide de Clément qui est mon frère j’allais passer sur scène et ainsi lui dévoiler une seconde fois mon cœur.

On se détachent doucement, et je lui caresse la joue allant écarter quelques mèches de ses yeux, je lui fait un petit clin d’oeil, et lui embrasse le front.

Moi – aller viens, j’aimerais pouvoir danser un slow avec toi mon amour !
Giulia – avec plaisir ma jolie brune … Je t’aime.
Moi – je t’aime bien plus encore !


Nos lèvres se claquent tendrement entres elles, et c’est le cœur léger et amoureux que nous nous dirigions vers l’entrée du gymnase. Et comme nous allions enfin dévoiler notre relation, je ne compte pas lui lâcher la main que je caresse doucement. Arrivé devant les deux grandes portes, ont s’arrêtent et nos yeux se caressent pendant de longues minutes.

Moi – tu est prête ?
Giulia – avec toi, je serait prête à tout.


Je lui sourit, lui tapote le nez, et enfin entra à l’intérieur. On commencent à s’avancer, et certains nous regardent, mais je m’en fiche, car je suis se que je suis et je ne changerais pas pour voir des sourires de satisfactions. Nos parents étaient aussi là assit sur des bancs à discuter entre eux.

Une fois avoir repérer Shiwa Dolce et Emilie, on se dirige vers le groupe, et Shiwa se jeta sur nous.

Shiwa – enfin … Mais où es ce que vous étiez passé toutes les deux !
Giulia – ah ah, ta curiosité ne te quittera jamais !
Dolce – tu devrais le savoir depuis le temps … Oh mais vous … Vous êtes ensemble ?
Moi – oui !
Giulia – nous sommes ensemble.
Shiwa – j’ai bien entendu, zizou et guigui sont ensemble mais c’est supère !!
Moi/Giulia – arrête de nous appeler comme sa !!!
Dolce – toutes mes félicitation les filles, vous mérité amplement ce bonheur, soyez heureuse ensemble !
Giulia – mais … Nous sommes déjà …
Moi – très heureuse ensemble.
Emilie – et depuis combien de temps ?


Je voie qu’elle est heureuse sa fait plaisir, pff c’est dépriment, toujours à nous parler sur ce ton, le pire c’est que ce n’est cas nous qu’elle fait sa. J’ignore donc sa question, mais il semblerais que ma douce n’est pas aimé ce ton puisqu’elle se met à répliquer :

Giulia – euh … La gentillesse tu connais ?
Emilie – toi je ne t’ai pas parler, Zane mais … Mais comment fais tu ?
Shiwa – eh Emilie tu calme ta jalousie ok, elles ont le droit d’être ensemble !
Moi – et en aucune façon ma vie privé ne te regarde.


Ses bras enroulent mon dos, et sa tête se love dans mon cou. Je sourit, et vint l’enlacer moi aussi contre moi, lui caressant doucement sa nuque de mes pouces. Je lui pose un délicat baiser sur sa tempe, et la berce tendrement.

Dolce – oh … Vous êtes trop mignonne, mais depuis combien de temps ?
Giulia – depuis deux ans maintenant !
Shiwa – deux …
Dolce – ans, mais pourquoi ne pas l’avoir dit ?
Moi – nous voulions juste le garder pour nous, et puis avec ce qui c’est passé il y a deux mois !
Shiwa – c’est sur ! Mais en tout cas félicitation.
Dolce – on vous soutien les filles.
Giulia – merci.


Je lui relève le visage, et lui caresse sa joue, lui offrant un doux sourire, et d’un petit clin d’oeil. Sa main se pose sur la mienne, et ses doigts me caressent.

Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi, … Ma douce et jolie Giulia, tu est le centre de mon univers.


Elle me sourit, et ses lèvres s’unir aux miennes. Je lui caresse la joue, et répond délicatement à sa douceur. Ses mains se mettent sur mon dos, et ses doigts me caressent alors que j’allonge mon bras gauche sur ses épaules et l’autre continue de jouer sur sa paumette, nos lèvres se claquent et se goûtent. Mon cœur bat si fort, je l’aime c’est fou à quel point je peut l’aimer.

Point de vue narrateur.

Alors que les deux jeunes filles continue de s’échanger leur amour, Shiwa et Dolce se mirent à sourire et ne purent s’empêcher de les prendre en photo. Plus loin quatre adultes observé la scène avec un sourire aux lèvres.

? - elles se l’ont enfin dit ! S’exclame une jeune femme blonde
? - je suis heureuse pour elles. Rétorque une seconde jeune femme à la chevelure brune


Les deux hommes qui n’étaient autre que les pères de Giulia et Zane, ne cessaient de regarder leurs filles s’embrasser, chacun surpris de voir une tel union entre les deux jeunes filles, mais quelques part dans leurs cœur il en étaient heureux.

Après ce doux baiser, Zane lui sourit, continuant tendrement son geste sur la joue de sa jolie brune qui lui offrait son plus sourire. La jeune brune lui embrasse le nez, et se tourne vers les filles qui à dire vrai, avaient le sourire jusqu’au joues.

Zane – Shiwa, je pourrais te demander quelques chose ?
Shiwa – oui biern sûr, qui y ’a t’il ?
Zane – serait t’il possible que tu film ?
Shiwa – euh oui … Mais filmer quoi ?
Dolce – qu’es ce que tu as en tête Zane ?
Zane – vous verraient bien.


La jeune fille se tourne vers son ange, qui la regarde avec un regard surpris elle aussi, mais cela n’a pas d’importance, elle lui caresse le dos, et lui sourit amoureusement. Zane lui fait un petit clin d’oeil, et la serre dans ses bras. Puis un garçon au cheveux brun et au costume noir et blanc se dirige vers le groupe.

Clément – Zane, c’est bon tu peux y aller !
Zane – ok j’y vais !
Giulia – mais … Tu vas où ?
Zane – ne t’inquiète pas ma belle, je reviens vite !


Elle lui dépose un léger baiser, et vint se séparer de sa petite amie qui se posé bien des questions. Devant tout l’assembler, Zane saisit le micro, Shiwa avait allumé sa caméra, et commence à filmer, se demandant bien se que sa meilleure amie avait en tête.

Clément – Giulia, si j’étais toi, je la regarderais, c’est pour toi qu’elle fait sa !
Giulia – comment ça ?
Clément – regarde la, et écoute attentivement ce qu’elle va te dire.


Giulia de plus en plus surprise regarde sa bien aimée qui la dévisage avec tendresse, lui envoyant un tendre baiser avec ses lèvres. Geste que la jolie brune aprécia, et lui rendit par un clin d’oeil.

Zane – bonsoir à tous, j’aimerais avoir quelques minutes d’attention s’il vous plais, j’aimerais faire une déclaration pour une personne qui m’est cher.

Tous se tue, et Giulia sourit, son cœur ne put s’empêcher de battre, Clément entoure les épaules de la jeune fille, et sourit à sa sœur aînée qui lui rend son sourire.

Zane – voilà maintenant huit ans que je les rencontré, huit longue années à épprouver de fort sentiments à son égard. Pour mon plus grand bonheur, nous avons uni nos cœurs, et voilà deux ans que je vis un véritable bonheur à ses côtés. Elle est tout se qu’un homme puisse rêver d’avoir, elle est … Le centre de mon univers, mon rayon de soleil et la femme de ma vie, mais elle est avant tout … Ma plus belle histoire d’amour, alors en ce soir de vingt quatre décembre, j’aimerais lui demander quelque chose qui me tiens à cœur … Giulia !

Cette dernière avait les yeux qui pétillés, elle était prête à pleurer, Shiwa et Clément la pousse doucement, et c’est le cœur prêt à frôler la crise cardiaque qu’elle se dirige vers l’estrade là ou sa douce l’attendait. Les parents des deux jeunes filles, émue par la déclaration de Zane, se demandé bien se que la jeune brune allait demander à Giulia qui était au bord des larmes.

Cette dernière une fois prêt de la jeune brune, la regarde, alors que Zane s’avance et lui caresse la joue pour finir par prendre sa main.

Zane – Giulia mon amour sa fait deux ans que j’ai uni mon cœur au tiens, et je ne le regrette pas, je t’aime d’un amour sincère et véritable, et peut importe se qui arrivera, je serait toujours là pour toi … Alors j’aimerais te demander quelque chose d’important !

Clément se dirige vers la scène et tend à sa sœur un petit écrin bleu nuit en velours, Giulia ne savait pas se qui allait se passer, son cœur bat tellement vite. La jeune brune, se tourne vers sa femme, et s’exclame en posant un genou à terre, et en prenant la main de sa douce qui allait finir par pleurer pour de bon.

Zane – ma chérie, je suis profondément amoureuse de toi, et je n’aurais jamais crue être aussi heureuse, alors moi Zane Kazama te demande avec sincérité … Giulia Celest veux tu devenir ma femme ?

Le cœur prêt à bondir hors de sa poitrine, Zane ouvre l’écrin révélant une bague en argent avec un petit diamant. Giulia avait fini par verser ses larmes de bonheur, sa main plaqué sur sa bouche, elle était vraiment heureuse, elle ne s’y attendait pas du tout, et c’est plus heureuse que jamais qu’elle s’exclame :

Giulia – oui … Oui je le veux !

Zane sourit, heureuse laisse échapper une petite larme et se lève pour ainsi glisser l’anneau à l’annulaire gauche de son amour.

Zane – je t’aime, c’est avec toi que je veux construire mon futur.
Giulia – oh Zane, si … Si tu savait à quel point je suis heureuse, mon amour, ma femme !


La jolie brune sourit de plus belle, et devant tout l’assembler qui ne disait plus rien elles s’embrassèrent amoureusement. Des larmes de joie dévalent les joues des deux jeunes filles qui était à présent au delà du bonheur. Dolce et Shiwa étaient ému et n’avaient pue retenir leurs larmes de joie.

Un clapotement se fait entendre, puis un second un troisième, jusqu’à que ses clapotements se transforment en applaudissement. Zane et Giulia continuent de s’embrasser avec tendresse, heureuse de voir que leur histoire devenait sincère et véritable.

Doucement elles se détachent, et leurs yeux qui sont embué de larmes se caressent, Zane porte sa main à sa joue et lui caresse, elle était vraiment heureuse d’avoir eu le courage de faire sa demande alors qu’elle a une trouille monstre dès qu’elle monte sur scène. Giulia quant a elle, n’arrivait pas à croire à se qui venait de se passer, elle était vraiment heureuse. Elle s’approche de sa fiancée, et lui caresse la joue, repoussant quelques mèches de ses yeux, ne retenant pas une petite larme.

Giulia – tu viens … De combler mon bonheur, je suis tellement heureuse, Zane … Je t’aime, et je ne veux plus être loin de toi … La mia donna.

Zane se met à sourire, elle lui embrasse sa main, et lui murmure :

Zane – je t’aime aussi très fort ma belle, et en aucun cas, tu sera séparé de moi et mon cœur.

Elles se sourirent, et heureuse, elles descende de l’estrade main dans la main plus uni et amoureuse que jamais. Shiwa et Dolce se dirigent avec rapidité vers les deux jeune filles. Et hurlèrent de joie.

Dolce – mais c’est génial, oh les filles, je suis si heureuse, toutes mes félicitations et bravo à toi Zane c’était magnifique !
Shiwa – vraiment, je ne sais pas quoi dire, je suis si heureuse, tout mes voeux de bonheur à vous deux, et que votre histoire dure éternellement.
Zane – je ne compte pas la laisser filer !
Giulia – et je ne suis pas prête à quitter ses bras.


Point de vue Giulia.

Ce soir, elle ma comblé de bonheur, j’étais vraiment heureuse … Heureuse que nos cœurs se soit définitivement enlacés. Je lui embrasse le cou, et caresse ce derner de mon pouce, le cœur prêt à frôler la crise cardiaque.

Puis un slow commença, et Zane c’est tourné vers moi et me demande :

Zane – m’accorderais tu cette danse ?
Moi – avec plaisir mon amour.


On se sourit, et alla se mélanger à la foule qui à dire vrai nous observé, mais je n’ai que faire, je l’aime éperdument, et je ne suis pas prête à la laisser partir pour de simple sourires. J’allonge mes bras sur ses épaules, colle mon corps contre le sien et la dévisage avec amour. Ses bras s’aventurent à mon dos, elle me serre contre elle, et on commencent à danser, suivant le rythm de la musique.

Moi – tu m’as offert, le plus des cadeaux Zane, je suis si heureuse, nous allons pouvoir construire un futur ensemble, rien que, toi et moi, ti amo ti amo ti amo.

Elle me sourit, et me serre dans ses bras, et doucement elle se mit à chanter les parole de la chanson qui était de Nevio uns de mes chanteurs favoris, et le titre de cette chanson était Giulia comme moi.

Zane -

cammineró senza di te
hai confini dell ricordo
e troveró la strada che
ho perduto in un momento

ameró la solitudine
empiroglio chi mi nuvole
e cominceró riprendermi
il futuro che non c’é

Refrain:
giulia giulia
io non so dove sei ma ti sento arrivare
giulia giulia
sei una favola che non doveva finire
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
oh giulia

nasconderó dentro di me
la paura di cadere
ritroveró la libertá
la mia voglia di volare

e dispetero fra gli alberi
tutti i miei pensieri fragili
che mi inseguono non sanno
dove andare senza te

Refrain:
giulia giulia
tu ritorni da me con il vento d’estate
giulia giulia
sei la mia meno di con parole sbagliante
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica

anche senza di te io vivró respirando á ti
e ti sento ancora li
chiudi gli occhi e rivedo nel vento gli imagini
che non voglia andare via
solo un attimo d’amore dentro me ooh

Refrain:
giulia giulia(giulia giulia)
aahh giulia (giulia giulia)
sei l’azzurro dell cielo quando é primavera
giulia giulia
sei una voce che arriva improvisa leggera
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sara la mia musica
ohh giulia


une larme roule sur sa joue, je lui sourit, et vint lui retirer la petite larme par un baiser. Je colle mon front contre le sien, et lui murmure tendrement :

Moi – tu ne te rend pas compte à quel point tu viens de me rendre heureuse, ne pleur pas, tu est merveilleuse ma chérie, et j’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir.
Zane – je t’aime, si tu savais à quel point je peux t’aimer Giulia !
Moi – moi aussi je t’aime Zane, je t’aime énormément, tu est à ce jour la mia più bella storia del amor !


Elle me sourit, et vint m’embrasser resserant notre étreinte, je l’aime c’est fou comme je l’aime. Je ferme mes yeux et répond tendrement à son baiser. C’est ainsi que notre soirée s’achève, par une dernière embrassade avant de rentrer chez nous. Sa a était la plus belle soirée de ma vie et … Je ne suis pas prête à l’oublier.

Point de vue narrateur.

Quelques heures plus tard, le bal venais de prendre fin, et tous le monde commencent à gagner la sortie du lycée pour ainsi rentrer chez soie. Dans une rue italienne, ou le vent souffler et les réverbères enlumine la rue Zane et Giulia main dans la main marche vers la deumeur des Celest.

Juste derrière les jeunes filles se trouve leurs parents qui les regardent n’en revenant toujours pas de la révélation que leur filles leur avaient offert. Giulia pose sa tête sur l’épaule droite de sa douce qui se met à caresser sa main, lui offrant un doux baiser.

Arrivé devant chez Giulia, cette dernière toujours enlacé dans les bras de Zane se tourne, et les adultes comment à parler.

Mère de Giulia – bon et bien, merci pour la soirée !
Père de Zane – ce fut un plaisir.
Mère de Zane – dites, vue que les vacances sont commencé, Giulia sa te dit de dormir à la maison ?
Giulia – oui pourquoi pas.
Mère de Zane – tu en pense quoi Zane !
Père de Zane – tu te doute bien que cela ne va pas la déranger.


La jeune brune sourit, elle relève doucement le menton de sa douce et lui caresse la joue, lui offrant un tendre sourire.

Zane – je serait même heureuse de passer ma soirée avec elle !
Giulia – moi aussi.


Elles s’échangent un sourire, et s’embrassent amoureusement. Les quatre adultes se mettent à sourire, en voyant leurs enfants si uni. Après ce doux baiser, la jolie blonde se serre contre sa bien aimée qui se met à caresser sa chevelure.

Père de Giulia – je n’aurais jamais cru les voir si proche !

Giulia pose sa main sur la joue de Zane et la caresse, cette dernière ne pue s’empêcher de sourire, elle ne pouvais croire à tout sa … Un véritable compte de fée, son bonheur était enfin au complet.

Zane – je t’aime.
Giulia – moi aussi mon amour !


Elles se sourirent, se posent un délicat baiser, et la jolie blonde vint se séparer de sa bien aimée, pour regagner sa maison afin d’aller préparer son sac. Avec le sourire, la jeune fille sous les yeux doux de ses parents monte à toute vitesse les escaliers, et regagne sa chambre. Sa mère se poste au coin de la porte, les bras croiser sur sa poitrine, et elle regarde sa fille, qui venais de se mettre à siffloter de bonheur.

Giulia – oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor.

La jeune blonde fini de mettre ses affaires de toilette dans son sac, n’oubliant pas de prendre le cadeau pour son amour. La mère de famille, était vraiment heureuse de voir sa fille si épanouie.

Giulia se tourne, et sursaute en voyant sa mère qui souriait depuis tout à l’heure. La jeune fille commence à sortir de sa cha mbre, et sa mère ferme la porte.

Mère de Giulia – si tu savais à quel je suis heureuse de te voir comme sa.
Giulia – je suis vraiment amoureuse maman !
Mère de Giulia – je le voie bien.


Mère et fille s’échangent un sourire, et finissent par descendre ainsi rejoindre les autres qui se trouvaient toujours dehors. Giulia embrasse ses parents, et se dirige vers l’amour de sa vie qui l’accueillit avec un doux câlin.

Mère de Giulia – Zane ?
Zane – oui ?
Mère de Giulia – je ne sais pas se que tu as fait à ma fille, mais je t’en remercie.


Zane se met à rire, un rire délicieux aux oreilles de Giulia qui vint l’embrasser sur la joue, et fini par lui prendre la main. Elles s’échangent un doux regard, Zane lui fait un clin d’oeil et lui tapotte le nez, et c’est heureuse qu’elles partir direction la demeurre des Kazama.

Zane – cas tu dis pour que Annette me dise sa ?
Giulia – sa t’intéresse ?
Zane – tout se qui te touche m’intéresse.


Giulia se met à sourire, elle cale sa tête au creux de son cou, et lui dépose un léger baiser. Zane se met à sourire, elle ressere leur étreinte, et elles continuent de marcher toutes les deux plus heureuse que jamais. Quelques minutes après, les deux jeunes fille arrivent devant la maison des Kazama, et Lidie la mère de Zane se dirige vers le petit péron pour ainsi ouvrir la porte. Tous rentrent, et les filles embrassent les deux adultes et montent en suivant dans la chambre de la jolie brune.

Celle-ci ferme la porte, et se dirige vers Giulia qu’elle enlace par la taille posant ses mains sur son ventre, et lui dépose un baiser dans son cou.

Zane – alors, tu vas me dire se que tu as dit ?
Giulia – mais qu’elle curieuse on dirait Shiwa.


Zane se met à rire … La jolie blonde cale son dos contre la poitrine de sa douce et murmure tendrement en prenant ses mains dans les siennes.

Giulia - oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor … Voila se que j’ai dit.

La jolie brune se met à sourire, elle dépose ses lèvres sur la joue de sa bien aimée, et ferme ses yeux, savourant les paroles que Giulia avait prononcé à son égard. Son cœur bat tellement vite, elle lui caresse son ventre, et fait durer le plaisir, pressant sa bouche un peut plus sur la joue de sa femme qui sourit, et se laisse envahir par le bonheur.

Giulia – je t’aime Zane !

Cette dernière ne répond pas, mais sourit et prolonge son baiser le rendant plus doux et long. Elle se sentait si bien là comme sa, son cœur ne cesse de la rappeller à l’ordre, mais la jeune Kazama refuse de coopérer tant le bonheur est grand.

Zane * je t’aime bien plus que sa encore mon amour *

pense t’elle, en la berçant tendrement contre elle. Elle se décolle doucement et la serre plus fort contre elle.

Zane – joyeux noël ma chérie !
Giulia – joyeux noël à toi aussi mon amour.


La jolie blonde prend son sac et en sort le cadeau de sa bien aimée, et lui offrrit avec le sourire.

Giulia – quand je l’ai vue j’ai pensé à toi.

Zane sourit et saisit le petit sac. Elle apercut une feuille plié en deux, et un petit écrin, elle saisit le petit écrin, et l’ouvre devant les yeux amoureux de sa fiancée. Son cœur se met à cogner, et son regard s’adouci en voyant le contenue de l’écrin. A l’intérieur de cette dernière se trouve une gourmette en argent, et sur la petite plaque métalique il y avait écrit « Ti amo » Giulia saisit le bijou, le détache, et le passe autour du poignet gauche de sa bien aimée, qui finit par l’enlacer lui caressant le dos.

Zane – merci mon ange, elle est magnifique.
Giulia – de rien, et joyeux noël !
Zane – à toi aussi Giulia, j’espère de tout mon cœur que notre histoire ira loin, il n’y a qu’avec toi que je veux construir mon futur, et sa au creux de tes bras.
Giulia – le sentiment est partager, moi aussi je l’espère de tout mon cœur, rester au creux de tes bras encore longtemps !


Leur regard se croisent et se caressent, Zane allonge ses bras sur ses épaules, et toutes deux ferment leurs yeux pour ainsi unir leur cœur. Un doux baiser commence alors entres les deux jeunes filles qui se rapprochent de plus en plus, Giulia enroule ses bras au dos de Zane et caresse se dernier, penchant légèrement sa tête sur la droite, mêlant sa langue à la sienne. Zane plaque ses main à sa nuque et la caresse, montant sa main gauche à sa cheveulure, lui retire son élastique et mêle ses doigts dans ses cheveux lui massant agréablement. Leur corps ne cesse de se rapprocher, ils se pressent et se caressent.

Chacune intensifi leur baiser en se serrant l’une contre l’autre. Tout était parfait maintenant, elles étaiennt heureuse et éperdument amoureuse l’une de l’autre et ne cesser de se le montrer par des geste d’affections.

Leur lèvres se claquent et se goûttent, et leurs regards se dévisagent se parlent longuement et amoureusement.

Zane – oh Giulia …

Elle emmène sa main à sa joue et lui caresse. Toutes deux s’échangent un sourire, et finissent par s’enlacer tendrement. Giulia pose sa tête sur l’épaule gauche de sa bien aimée et lui caresse le dos, lui offrant un délicat baiser. Zane ne bouge pas, juste à sourire et répondre à son étreinte.

Giulia – dis mon amour …
Zane – oui ?
Giulia – et si … Pendant les vacances on allaient à Venise ? Rien que toutes les deux en tête à tête.


La jolie brune sourit, elle lui soulève son menton, et lui murmure en la dévisageant avec tendresse.

Zane – avec toi, j’irais n’importe où !
Giulia – je t’aime.
Zane – je t’aime aussi ma jolie brune !


Elles se sourirent, Zane lui fait un clin d’oeil, et dépose sees lèvres sur les siennes pour un doux baiser. Non décidement tout leur souriait elles étaient heureuse et combler de bonheur ensemble.

Quelques petites minutes après Giulia était parti prendre sa douche, alors que Zane qui c’était déjà raffraîchit se trouve assise sur son lit, muni d’un short blanc et d’un débardeur noir, ses cheveux mouillés lui touchant la poitrine lisait le petit mot que sa jolie blonde lui avait laisser.

Zane * ma chérie, il est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je suis la plus heureuse des femmes, tu me comble de bonheur et ne cesse jamais de me faire sourire, tu est l’amour de ma vie … Ma jolie brune, toi qui enflamme et réchauffe mon cœur, tu a sue atiser la flamme, et je suis vraiment éperdument amoureuse de toi, tu est la femme de ma vie mon amour, mon ange, mon cœur, mon rayon de soleil, tu est la cerise sur mon gâteau, la crème de mon cappushino, et je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, et peut être un jour fonder notre famille toutes les deux, je t’aime et te serait à jamais fidèle, Ti amo la mia donna. *

les yeux de la jeune brune se mettent à pétiller, elle caresse le bout de papier et regarde la petite gourmette à son poignet. Sa main droite se pose sur un pendantif en argent que Giulia lui avait offert pour leur toute première Saint Valentin, sur ce petit cœur il y avait le mot ’ Je t’aime ’ et Zane serre le bijou dans sa main, ne retenant pas une petite larme de bonheur.

Elle était si heureuse d’avoir une tel place dans la vie de la seule femme qu’elle aime et désir ardement. Sa main monte à sa bouche et ses doigts caressent ses lèvres, ses yeux se ferment et elle se remémore toute son histoire avec la jolie blonde, elle repense à tout ses moment de joie d’amour et de bonheur, même si quelques fois elles se sont prit la tête, se n’étais rien de méchant puisqu’à chaque fois leur amour grandissait et devenait plus fort.

Elle prend son téléphone, met ses écouteurs et se met une chanson qu’elle aimé tout particulièrement une de Nevio ’ Amore Per Sempre ’ sa tête se pose sur le mur et serrant le bout de papier elle se laisse envahir par la musique.

Zane * Giulia je suis vraiment heureuse avec toi, tu fait tout mon bonheur. *

« It’s only three words
amore per sempre
’cause living this life is all I can do
It’s only three words
amore per sempre
and you always get what’s coming to you
It’s only three words
amore per sempre! »


fredonne doucement Zane en souriant, laissant son cœur s’épanouir. Quelques larmes roulent sur ses joues, c’est la première fois qu’elle était dans cet état, le bonheur avait prit son cœur en otage, et même si elle est de caractère un peu garçon manqué, elle n’en reste pas moins une jeune femme avec ses rêves, ses désirs, et ses sentiments, elle se révèle être une jeune femme sensible et très sentimentale.

Zane – T.I A.M.O.

Elle sourit de nouveau et se laisse bercer par la mélodie. Quelques second après Giulia sort de la salle de bain fraichement lavé, elle porte un petit short noir et un débardeur blanc. Elle se met à sourire en voyant sa bien aimée ainsi, elle s’approche et remarque qu’une larme roule la joue de Zane, inquiète, la jolie blonde s’approche d’elle et s’exclame :

Giulia – ma chérie ça va ?
Zane – viens.


Sans se faire prier, Giulia alla se lover dans les bras de son amour, et entour son dos, et pose sa tête sur son épaule gauche. Zane allonge ses bras sur ses épaules et ses doigts partent caresser sa nuque, lovant sa tête dans son cou, lui offrant un tendre baiser.

Zane – moi aussi … Je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, laisser le temps se faire et qui sait peut être à fonder notre famille, ma Giulia je t’aime plus que tout, et ferais tout pour te garder auprès de moi mon amour.

La jeune blonde se met à sourire, elle se serre contre sa femme, et lui embrasse le cou. Se laissant bercer par le câlin de la jolie brune qui commencer peut à peut à s’endormir. Giulia lui caresse sa chevelure et la câline, elle vint la regarder et un tendre sourire apparu sur ses lèvres en voyant sa douce dormir. La soirée avait était riche en émotion pour les deux, et chacune avaient besoin de repos pour être en forme et pouvoir commencer leur vacances.

Giulia se lève, et alla fermer la lumière, elle se dirige vers le lit, grimpe dessus, et vint retirer les écouteurs des oreilles de Zane qui c’était profondément endormie. La jolie blonde, retire la couverture et couvre sa fiancée, ramenant la couette sur elles, pose sa tête sur son épaule et lui murmure avant de s’endormir à son tour.

Giulia – bonne nuit mon amour.

Elle lui embrasse le cou, et ferme ses yeux, le sourire aux lèvres, elle pose sa main sur le bras droit de la jeune brune, et fini par s’endormir heureuse de sa soirée qui avait était l’une des plus belle.


Chapitre 2 – Tout pour elle.


Point de vue narrateur.

Au alentours de neuf heure, la jolie blonde se réveille, et emet un long baillement. Elle se tourne, et remarque que sa bien aimée n’était pas la, donc elle se redresse et s’étire longuement avant de quitter ses draps et d’enfiler une robe de chambre bleu, qu’elle ferme avec une longue liane. Elle s’attache les cheveux en une queue de cheval, et prend son téléphone qu’elle prit soin d’allumer.

Quand ce dernier s’allume, Giulia remarque qu’elle a reçu des messages, et elle fut surprise du nombre, en effet elle avait reçu quarante messages en une nuit. Elle appui sur message et lorsqu’elle vis qui lui avait envoyé tout ses messages elle referme son téléphone et sort de la chambre pour se rendre dans la cuisine. Le destinataire de ses messages était Emilie, et connaissant cette dernière la jolie blonde ne prend pas le risque de répondre car à tout les coup se sont insultes.

Point de vue Zane.

Alors que je porte mon bol à ma bouche, deux bras s’enroulent autour de mon cou, et des mains se mirent à caresser ma peau. Je me tourne et sourit en voyant que c’était ma douce qui venais de se lever et qui à mon avis n’est pas tout à fait réveillé. Je porte mes lèvres à sa joue et lui embrasse avec douceur prenant doucement sa main dans la mienne.

Moi – bonjour belle au bois dormant, bien dormit ?!
Giulia – oui, très bien.


Elle me sourit et m’embrasse, je sourit et la serre contre moi. Doucement, notre étreinte se desserre, et elle parti se faire son déjeuner. Son portable se met à sonner, et je l’entend râler.

Giulia – pff … Elle peut pas me laisser tranquille.
Moi – c’est qui ?
Giulia – à ton avis ? C’est EmilIe, j’ai reçu quarante sms d’elle pendant la nuit.
Moi – elle deviens lourde avec sa.
Giulia – oui et elle commence sérieusement à m’énerver.


Vraiment, elle commence a être chiante, je n’arrive pas à la supporter, et j’ai horreur de l’opignon qu’elle porte sur les gens, qui est tout bonnement grotesque.

Giulia – va falloir faire quelques chose sa peut pas continuer comme sa !
Moi – oui lui mettre les points sur les i serait une bonne idée, car moi même je ne la supporte pas.
Giulia – on est deux !


Elle se tourne, et me sourit, je lui fait un petit clin d’oeil, et elle vint prendre place à ma droite. Alors qu’elle verse du chocolat dans sa tasse, je lui écarte une mèche de ses yeux, et lui offre un baiser.

Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi ma belle !


On se sourirent, s’embrassent avec douceur, et c’est avec le sourire que je reprend mon déjeuner. Son portable se met de nouveau à sonner, et cela eu pour effet de m’irriter.

Giulia – bon, tu peux voir se qu’elle veux !
Moi – dack.


Je prend doucement le téléphone, et lorsque ce dernier s’allume un doux sourire apparue sur mes lèvres en voyant son fond d’écran de vérouillage qui était une photo de moi avec les cheveux attacher, et juste en bas il y avait un cœur avec les deux première lettre de notre prénom et entre eux un petit plus prenait place, mon cœur se met à cogner fortement … Ah, ma Giulia, que je t’aime, je fait glisser mon pouce et plusieurs cercles apparue, je lui demande :

Moi – c’est quoi ton code mon ange ?
Giulia – la première lettre de ton prénom.


Je sourit, et reproduit le z avec mon pouce. Un autre battement fugace frappe ma poitrine en voyant son fond d’écran d’accueil qui était une photo de nous en train de nous embrasser et juste en bas il y avait écrit ’ la mia donna ti amo ’ je sourit, caresse doucement l’écran, et me dirige vers ses messages.

En effet, c’était bien Emilie qui lui avait envoyé tout ses messages, j’appui sur son prénom, et une fois que je fut sur la page, je remonte mon pouvce afin de tout lire.

Moi * comment as tu osé te l’accaparer ? Tu n’est qu’une salope Giulia, Zane ne te mérite pas, elle mérite quelqu’un de mieux comme moi *

non mais elle croix trop au père noël celle-là, faut vraiment qu’elle arrête son délire, je descend et les second messages eu pour effet de me faire mal au cœur.

Moi * elle a de très belle formes, une généreuse poitrine, de belles cuisses, elle est délicieuse, j’espère que tu ne goûtera jamais à son pêcher qui n’appartiens cas moi, elle est tellement belle, et franchement une femme comme elle ne veux pas passer son temps à faire juste des câlins et se contenter de simple baiser, non une femme comme elle désir beaucoup plus, que l’ont la prenne et la goûte tout doucement *

encore une … Qui me prend pour un objet sexuelle, mon cœur me fait mal, et je sent les larmes me monter aux yeux, ce sujet, j’y était très sensible, ayant subi de nombreuse moquerie là dessus et j’en reçoit encore aujourd’hui. C’est pour sa, que je me suis forgé ce caractère de garçon manqué car avec lui je peut surmonter cet obstacle car en dehors de sa, je suis très sensible, et je peux me mettre facilement à pleurer, seule Giulia connais ce côté là de moi.

Je ferme le téléphone, le pose sur la table et me lève, pour aller prendre un morceau de sopalin et m’essuie les yeux, j’ai horreur que les gens me voie ainsi et me prenne comme bon leur semble.

Giulia – ma chérie ça va ?

Je l’entend se lever, et ses bras entour ma taille, ses mains se posent sur mon ventre, et ses doigts me caressent. Je ne retiens plus mes larmes qui se mettent à rouler sur mes joues.

Moi – j’en est plus qu’assez que tout le monde me prenne ainsi, comme un objet sexuelle, j’en est marre de ceux qui ne pense cas sa, en me voyant, j’en est assez d’être une bête de foire à leur yeux, ils prétend que je suis une femme qui attend bien plus que sa, alors que … Que c’est faux, tout ce que je veux, c’est être aimé, et que l’on prenne soin de moi. Quand es que ce menssonge prendra fin !!!!!

je n’y arrive plus c’est vraiment trop dure, je tape violemment mon point contre le plan de travail et font littéralement en larmes. Je me sent tourné, et mes yeux qui sont rouge croisent ceux de ma douce, qui s’approche et pose ses mains sur mes joue, et repousse mes larmes.

Giulia – chuut … Ne te met pas dans cet état ma chérie, tu n’est pas une bête de foire ou un objet sexuelle, si les gens apprenait à mieux te connaître, ils remarquerons que tu est une femme extraordinaire, une femme qui possède un cœur en or, une femme magnifique avec ses défauts et ses qualités, tu vaut bien plus que sa. Quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi, pour t’épauler, te soutenir et t’aimer, t’aimer du plus profond de mon cœur, car pour moi Zane Kazama, tu est bien plus que sa, tu vaut bien plus que tout ses gens qui te critique, tu est ma femme, l’amour de ma vie … Et même si d’autre te dirons des chose malsaine, dit toi une chose mon cœur … C’est que q’importe la situation les gens qui t’aime vraiment serons ici dans ton cœur, Eric, Lidie, Shishi Dolce, Clément mes parents, et moi même seront toujours la pour toi, et nous t’aiderons du mieux que l’on peut car pour nous tu est importante, et pour moi, tu vaut tout l’or du monde !

Giulia … Je pose ma main sur la sienne, et ferme les yeux. Ses paroles danse dans ma tête et réchauffe mon cœur, je m’avance et me love dans ses bras. Posant mes mains sur son dos et lovant ma tête au creux de son cou côté gauche et pleur doucement en la serrant contre moi.

Moi – merci … D’être toujours là, je … Je ne veux pas te perdre Giulia, tu est tout se que j’ai de plus cher en ce monde.
Giulia – tu ne me perdra jamais mon amour, parce ce que … L’amour que je ressent à ton égard est bien plus fort que ses stupide critiques.


Elle ma soulevée le menton, et me regarde. J’allonge mes bras sur ses épaules, et m’approche d’elle, une larme roule sur sa joue, et sa voix que j’aime tant resonne :

Giulia – tu vaut bien plus que sa, je ne pourrais jamais t’abandonner Zane je t’aime beaucoup trop pour sa.

Ma chérie … Je lui sourit doucement, emmène ma main gauche à sa joue, et lui essui cette dernière avant de poser mes lèvres sur les siennes. Mon dos se colle contre le plan de travaille, et je vint lui caresser sa nuque alors que ses bras caresse mon dos. Sa tête se penche légèrement sur la gauche, et je laisse ma langue allait câliner la sienne, la serrant aussi fort que je le pouvait contre moi.

Je refuse de la perdre, pour cette peste … Je m’y refuse, elle est la seule qui me comprenne et sais me fait sourire et apaiser mon chagrin comme la. Elle est tout … Se que j’ai de plus cher au monde.

Je continue de l’embrasser avec tout l’amour que je ressent pour elle, elle est la femme que j’ai toujours attendue. Et c’est ensemble que l’on surmontera tout. On se décollent doucement, et je lui caresse la joue, elle est tellement belle … Je lui embrasse le bout du nez, et vint la serrer dans mes bras.

Giulia – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi !
Moi – moi aussi, tu pourras toujours compter sur moi mon amour, je t’aime.
Giulia – je t’aime bien plus que sa encore !


Ses lèvres caressent mon cou, et ses bras resserent notre étreinte. Au bout de quelques minutes, je me trouver dans la cuisine avec ma mère, Giulia était parti se doucher.

Mère de Zane – tu sais … Tu m’as beaucoup impressionner hier.
Moi – ah bon !
Mère de Zane – oui, toi qui a un trac monstre quand tu montes sur scène, tu m’as impressionner, et puis … C’est tellement se que tu as fait et dit.
Moi – c’était sincère maman, je … Je ne montre peut être pas mes sentiments mais je l’aime profondément, et ne souhaite que son bonheur.
Mère de Zane – j’espère que vous serait heureuse ensemble !
Moi – nous sommes déjà très heureuse, tu n’as pas à t’inquiéter la dessus.


On se sourit, et quelques petite minutes après ma douce fit son apparition, elle est vraiment belle, elle porte une robe en jean noir se fermant avec des boutons, des colant noir prend place sur ses jambes, et ses cheveux son retenue par un mini chignon, laissant ses deux longues et fine mèches caresser ses épaules.

Moi – tu est magnifique !
Giulia – merci.


Elle me sourit et se dirige vers nous. Ma mère eu la même impression que moi, je recule avec ma chaise, et vint la prendre dans mes bras. J’entoure sa taille, et lui caresse le dos, alors que ses bras s’allongent sur mes épaules.

Mère de Zane – tu est vraiment très jolie comme sa Giulia !
Giulia – merci Lidie.


Je lui émbrasse sa joue et la câline tendrement. Soudain son téléphone se met à sonner, elle le prend et je remarque que c’est Annette, son dos se pose contre ma potrine, et elle vint répondre à l’apel.

Giulia – oui allo ?
Annette – bonjour ma chérie, comment vas tu ?
Giulia – bonjour maman, ça va très bien et toi ?
Annette – tout vas pour le mieux, dis moi Lidie serait là ?
Giulia – oui , elle est en face de moi.
Annette – pourrais tu me la passer ?
Giulia – oui. Lidie ma mère veux te parler !
Mère de Zane – ok.


Ma mère prend son téléphone, le porte à son oreille, et commence à parler. Je prend doucement sa main gauche, et lui caresse, posant ma tête sur son épaule droite. Je voie ma mère faire un énorme sourire, je me demande bien se que Annette a pue lui dire.

Giulia – au faite mon ange !
Moi – oui qui y a t’il ?
Giulia – Shishi m’a appellé, elle et Dolce veullent nous parler, et il faut qu’ont les rejoingne au parc, sa te dis ?
Moi – tant que je suis avec toi, sa me va.
Giulia – tes vraiment adorable !


Je lui sourit, et lui dépose un léger baiser. La serrant contre moi, et laissant mon cœur s’emporter.

Mère de Zane – bon eh bien, c’est parfait je lui dit, et toutes mes félicitations !

Et c’est avec le sourire que ma mère coupe leur communication rendant le portable à mon amour, que je prit soin de câliner.

Mère de Zane – alors Giulia j’ai deux grandes nouvelles à t’annoncer !
Giulia – ah … Et qu’es ce que c’est ?
Mère de Zane – alors la première Annette et Pierre s’en vont à New York ce soir !
Giulia – quoi ?? mais … Mais pourquoi ?
Mère de Zane - détend toi, ils s’en vont à New York pour la simple raison que Pierre à fait une seconde demande en mariage à ta mère, et ils on décidés de se re marier aux Etats Unis, et la seconde, tu vas être grande sœur !
Moi – mais c’est génial !!


c’est supère, je regarde ma douce qui était encore sous le choc, elle se met à sourire, et tout en mêlant ses doigts aux miens elle s’exclame :

Giulia – mais c’est génial !!! oh mon dieu, moi qui est toujours rêvé d’être grande sœur … Mais si ils partent à New York, je doute qu’ils veulent de leur fille se qui est logique, je vais aller où alors ?
Mère de Zane – ici !
Giulia – comment ça ici ?
Mère de Zane – Annette ma demander si on pouvais te garder pendant quelques mois, et j’ai dis oui !
Moi – et tu ne dérange pas, ici, tu est la bienvenue.
Giulia – comment tu sais que j’allais dire sa ?!
Moi – n’oublie pas que sa fait deux ans que nous somme ensemble et que plus les jours passe et mieux j’apprend à te connaître ma chérie.
Giula – toi alors …


Elle me sourit et dépose ses lèvres sur mon nez. Je sourit, ferme les yeux et me laisse envahir par le bien être et le plaisir. Après sa, je suis aller m’habiller … J’enfile un slime noir, un débardeur noir surmonter d’un tee-shirt blanc avec des strasse formant une tête de mort, une ceinture grise avec le sigle de Dloce & Cabana.

Je me dirige vers la salle de bain qui est incorporé dans ma chambre, et me rend jusqu’au lavabo, ou je prit une brosse et commence à me coiffer. Pendant de longues minutes je me regarde, j’aimerais tant que tout ses dire cesse, parce ce que même si je suis de caractère un peux garçon manqué, je suis très sensible, et cela faisait longtemps que je n’avais plus pleuré comme ce matin.

J’esquive un sourire, continue de me coiffer, et pense à ma douce, j’ai vraiment beaucoup de chance de l’avoir à mes côtés, elle est celle qui réchauffe et enflamme mon cœur, je l’aime d’un amour sincère et véritable et n’espéré qu’une chose, celle de la garder à jamais auprès de moi et mon cœur.

Je pose la brosse, prend mon laïner, et commence à tracer une fine ligne noir au dessus de mes paupières. Je rebouche le stylo, le pose et retourne dans ma chambre, afin de me chausser. Je prend des bote noir à talon pas très haut, et les enfile, pour après mettre des petites mitaine à mes mains, me parfume légèrement, et une fois prête, prend mon téléphone, sort de ma chambre, et descend les escaliers.

Arrivé en bas, je remarque que ma mère avait Giulia dans ses bras, et cela eu pour effet de me faire sourire. Je me cale à côté du mur et écoute. Elle lui soulève le menton et s’exclame :

Mère de Zane – je ne sais pas se que tu as fait pour que ma fille soit dans cet état, mais je t’en remercie du fond du cœur Giulia, tu sais, Zane n’a pas souvent le sourire du à tout se qui se passe, et je suis sûr qu’elle avait une bonne raison de nous cacher votre relation, tu sais elle ma beaucoup impressionné hier, elle qui a un trac fou dès qu’elle monte sur scène, à croire que l’amour a réussi à la changer ! Tout se que j’espère c’est que tu la rendra heureuse tout au long de sa vie que tu puisse la faire sourire, rire … Car elle a avoir un caractère de dur, elle reste une jeune femme très sensible et sentimentale. Je te confit ma fille Giulia, prend en grand soin.
Giulia – tu sais Lidie … J’aime Zane profondément, pour moi, elle est tout ce que j’ai de plus cher au monde, elle est … Ma moitié, mon rayon de soleil, ma femme mais elle est avant tout ma plus belle histoire d’amour, j’en suis éperdument amoureuse, et je suis vraiment la plus heureuse, car Zane est tout se qu’un homme ou une femme puisse rêver d’avoir, elle est douce, adorable aimante, câline fofolle, mais c’est pour toute ses chose qui font d’elle la femme que j’aime et désir plus que quiconque sur cette terre, alors aussi longtemps que je serait sur cette terre, je ferais tout pour la rendre heureuse, parce ce que pour moi elle est la plus belle des mélodies !


Mon cœur se met à cogner fortement contre ma poitrine, mes yeux se ferment et un sourire heureux naquis mes lèvres, Giulia … Mon amour, si tu savait à quel point tes mots me font du bien, je ne regrette pas notre union, et suis fière d’avoir une petite amie telle que toi.

Je me dirige vers elle, et une fois à sa hauteur, je vint l’enlacer posant mes mains sur son ventre et ma tête sur son épaule droite et posa mes lèvres sur sa joue, fermant mes yeux, la berçant tendrement contre moi.

Moi – je t’aime !
Giulia – moi aussi ma chérie.


Ses mains se mêlent aux miennes, et ses doigts me caressent. Je me sent exésivement bien comme sa avec la femme dont je suis follement amoureuse.

Mère de Zane – tu voies Giulia, je ne sais pas se que tu lui a fait mais je suis heureuse de la voir ainsi !
Moi – ce qu’elle ma fait … Elle me rend éperdument heureuse, et ma permise de faire confiance en l’amour, elle est … La femme parfaite à mes yeux, et pour rien au monde … Je ne veux la perdre pour de stupide sourires de satisfactions, elle est … L’amour de ma vie, ma Giulia !


Elle me sourit, et m’embrasse la joue. Oh ma Giulia que je t’aime, mais dieu que je t’aime. Ma mère a le sourire aux lèvres, et je lui dit en posant ma tête sur son épaule :

Moi – dit toi que … Ta fille est vraiment la plus heureuse et que jamais elle ne perdra ce sourire.
Mère de Zane – Zane …
Moi – et sa … Grâce à elle !
Giulia – mon amour je …
Moi – chuut …


Et sans la laisser finir je dépose mes lèvres sur les siennes, lui offrant mon cœur, je suis vraiment heureuse, et espère de tout mon cœur l’être encore pendant longtemps.

Quelques minutes après, Giulia et moi étions parti direction le parc, main dans la main, un panier à la main puisque nous allions finalement pique niquer au parc avec les filles, et chacune de nous n’avaient pas oublier le cadeau pour Shishi et Dolce.

Arrivé à l’entrée du parc, je m’arrête en voyant qu’elle était la. Je ne voulais pas la voir, sinon sa allait mal se terminer, et je n’avait aucune envie de gâcher ma journée avec Giulia.

Giulia – ça va mon cœur ?
Moi – oui, bon eh bien retiens moi si je dois commettre un meurtre.


Elle tourne sa tête, et cette dernière se défigure envoyant cette peste. Je serre sa main, et commence à m’avancer. Je fut stopper, et au moment de me tourner ma jolie blonde me dépose un baiser. Je sourit, et lui rendit avec tendresse. Nos lèvres se claquent et se caressent, jusqu’à se qu’elles se séparent, et je vint lui offrir un doux sourire.

Giulia – ne t’inquiète pas, moi je suis là !
Moi – je le sais oui, et c’est bien sa qui me rend heureuse.


On se sourit, et on poursuit notre chemin vers les filles. Arrivé prêt d’elles, Shishi nous sauta au cou, et Dolce nous fit la bise.

Dolce – vous êtes vraiment très belle les filles.
Giulia/Moi – merci !!


on leur sourit, et je parti m’asseoir prêt d’un arbre, et Giulia vint se lover dans mes bras. J’entoure sa taille et pose mes mains sur son ventre, alors que ses doigts se mêlent au miens, sa tête se pose sur mon épaule droite, et alors que son dos se colle contre moi je pose ma tête sur son épaules gauche.

Shiwa – alors qu’es ce que vous nous avez fait de bon à manger ?
Giulia – espèce de petit goinffre, tu pense déjà à manger.
Dolce – en même temps …
Moi – c’est Shishi.
Shiwa – eh … C’est pas drôle !!


je me suis mise à rire doucement, et lui est posé un doux baiser sur sa joue, la serrant contre moi. Elle est vraiment belle habillé ainsi, ce n’est pas souvent que nous pouvons la voir en robe.

Shiwa – eh mais, c’est que Giulia c’est mise en robe !
Dolce – oh oui, c’est rare de te voir comme sa.
Emilie – un sac poubelle lui aurait mieux convenue !
Moi – eh … Baisse d’un ton, et je ne te permet pas de l’insulter.
Emilie – oh la pauvre, c’est qu’elle a besoin de se faire protéger !


Je vais lui en coller une, je le sent fort. Giulia se défait de notre étreinte, et sous mes yeux intérogateur je la suit. Elle se baisse se mettant face à Emilie et dit d’un ton très calme :

Giulia – c’est bon, tu as fini ? Car j’en est tout à ton honneur !
Emilie – non ce n’est pas fini, si tu savait à quel point je te haie, tu n’est bonne cas apporter le malheur … Non franchement Zane mérite beaucoup mieux que sa.
Giulia – Emilie ?
Emilie – quoi ?
Giulia – et si tu fermer ta bouche pour une fois ? Qu’en dit tu ?


C’est incroyable comment elle peut rester calme avec ce que cette peste lui dit, se qui m’énerve encore plus, on les suit du regard, et toute deux se lève, toujours face à face.

Emilie – et tu croix que je vais t’écouter ? Sans rire, arrête avec tes bonne manières !
Giulia – je peux savoir pourquoi tu me déteste ? Car à preuve du contraire je ne t’ai jamais insulter ou quoi que se soit d’autre.
Emilie – ce que tu m’as fais ? Tu oses me le demander ? Je vais donc être gentille et te raffraîchir la mémoire … Depuis que tes arrivé dans ce bahu, tu tes accaparé tout le monde, tu as même réussi à te mettre dans la poche la fille que j’aime le plus au monde, et sa … En faisant rien, juste à sourire, tu me dégoûte Giulia, comment oses tu être avec elle, elle mérite beaucoup mieux que sa, quand on la voie, on voie bien que c’est une femme qui veux plus qu’un simple baiser ou câli …


Elle venait de tomber sur le sol, sa main sur sa joue, Giulia venais de la giffler, et je suis vraiment fière.

Giulia – comment oses tu parlait d’elle de cette manière, tu ne la connais même pas, c’est toi qui me dégoûte, tu est puéril ma pauvre Emilie, Zane est loin d’être un objet de désir pour autrui, c’est avant ou une jeune femme avec ses sentiments, son amour propre, ses défauts et ses qualités, toi tu ne l’aime juste parce qu’elle est belle et qu’elle a de jolie forme, alors que moi, moi je l’aime pour ce qu’elle est, je la prend tel qu’elle est avec ses défauts et ses qualités, tu dis la connaître mieux que moi, mais en vérité tout se que tu cherche à faire c’est lui faire du mal, as tu pensé une seule fois à ce qu’elle pouvais ressentir, tu sais pourquoi je te déteste tant ? Tu as osé la faire pleurer, la faire souffrir, elle la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle qui est tout se que j’ai de plus cher au monde, tu croix sincèrement que je suis avec elle uniquement pour sa ? Mais si c’était le cas je serait déjà parti, bordel Emilie c’est de Zane que l’ont parle, elle a toujours était là pour toi, et toi comment tu la remercie en la salissant, et en la faisant pleurer ? Mais sache une chose, tu auras monter tout le monde contre moi, dit toi bien que je ne la laisserais jamais partir, je ne suis pas stupide au point de croire à des rumeurs car je la connais suffisament pour savoir de quoi elle est capable, alors qu’elle, tout se qu’elle demande, c’est que qu’importe les moments les situations c’est que l’ont puisse l’accepter tel qu’elle est sans lui porter de préjuger, alors si je te voie ne serrait-ce une seule fois toucher un seul de ses cheveux Emilie, tu auras faire à moi, je peux supporter beaucoup de choses, que l’ont m’insulte, me tire les cheveux, mais que l’ont touche à ma femme, c’est une chose que j’insupporte, ta compris !
Emilie – bon j’ai plus rien à faire ici j’me barre.
Giulia – c’est sa, dégage, et ne reviens plus !


Et elle est parti rouge de honte. Je regarde Giulia qui est toujours dos à moi, et je ne pue m’empêcher de sourire, se qu’elle a dit à mon propos me touche beaucoup, je l’aime … Sans qu’elle ne s’en rende compte, elle viens de me prouver qu’elle est celle que j’ai toujours attendue, et que je ne regrette pas de lui avoir confier mon cœur.

Shiwa – alors la … Chapeau, tu as tout mon respect Giulia, tu as réussi à lui cloué le bec une bonne fois pour toute, et surtout … Tu as sauvé l’honneur de notre meilleure amie !
Dolce – et pour nous c’est une très belle preuve d’amitié !
Moi – tu viens de m’offrir la plus belle preuve d’amour Giulia, merci.


Elle c’est tournée vers moi, ses yeux brillées, je sourit, et lui tend mes bras, pour qu’elle vienne s’y lover. J’entour son dos, et de ma main gauche, je vint mêler mes doigts dans sa chevelure.

Moi – merci beaucoup pour ce que tu as fait, tu m’as prouver à part b que tu est celle que j’attendais, merci mon amour !
Giuilia – si je les fait, c’est parce que je t’aime éperdument, et que pour moi tu est la femme de ma vie jolie brune !
Moi – Giulia …


Je lui caresse la joue, et lui offrit mes lèvres pour un long et doux baiser. Je ne sais vraiment plus ou me donner de la tête, c’est une très belle preuve d’amour qu’elle viens de me faire … Et j’en suis vraiment heureuse. Ah ma Giulia.

Shiwa – oh … Que c’est mignon, elles vont vraiment bien ensemble !
Dolce – maintenant que l’ont sais qu’elles sont ensemble, c’est très dure de les voir l’une sans l’autre.


Je sourit, et doucement notre baiser prit fin et laisser place à un câlin. Je lui caresse son ventre, alors que ses mains caressent les miennes.

Giulia – bon alors, à vous deux maintenant, c’est quoi cette chose importante que vous vouliez nous dire !
Dolce – on vous dit merci, car c’est grâce à vous !
Moi – comment sa ?
Shiwa – nous sommes ensemble !
Giulia - quoi ? C’est vrai ? Mais enfin c’est supère !!!
Moi – toute mes félicitations les filles, mais pourquoi c’est grâce à nous ?
Dolce – hier quand tu as fait ta déclaration et ta demande, sa ma ouvert les yeux, quand je vous ai vue vous embrassez devant tout le monde j’ai sourit et je me suis dit, qu’enfin de compte l’amour entre femmes était possible, et je me suis lancé et je lui est dit se que je ressent.
Shiwa – merci les filles !
Moi – bin, ravie de vous avoir aidé.
Giulia – tu as vue, on fait de l’excellent travail.


Je me met à rire en l’entendant dire sa, et mon rire fut suivit bien vite. Shiwa c’est rapproché de nous et nous a passé deux paquets cadeaux que l’ont prit. Ont leur donne nos cadeaux, et chacune commencent à ouvrir son paquet. Pour ma par j’eu droit à quelques bijoux tel qu’un bracelet noir avec des pic, ou bien un collier noir avec des diamant dessus.

Ma douce reçu une chemise de nuit bleu avec un chat avec un bonnet sur la tête, et en haut il y avait son prénom.

Giulia – j’adore, merci beaucoup les filles, et joyeux noël !
Shiwa – merci à vous, et très bon noël.
Dolce – merci !
Moi – de rien.


On se sourit, et les filles mettent se que nous leur avons offert qui était des boucles pour Shiwa et un colier avec une plume pour Dolce. Après et pour le plus grand bonheur de Shiwa nous avons commencé à manger. Des sandwishs au jambon des ships, et une canette de coca pour chacune.

Shiwa – oh c’est très jolie, c’est Giulia qui te l’a offert ?
Moi – oui !
Dolce – c’est supère mignon, et une question les filles, maintenant que vous l’êtes officiellement, vous compté le faire où votre mariage ?


Je sourit, et la serre contre moi, je porte ma canette à la bouche et boie une gorgé de mon coca.

Giulia – peut importe l’endroit ou même l’heure, le plus important c’est que nos cœurs soient uni !

Je sourit, lui embrasse la joue, et la serre d’avantage dans mes bras.

Moi – hm … Et peut importe le lieu, du moment que nous sommes ensemble, c’est le principale !
Giulia – oui, uni à tout jamais !
Moi – pour la vie.


Lui murmurais-je à l’oreille, allant embrasser sa tampe. Ses yeux croisent les miens, et je lui sourit caresse sa joue, et lui offre un clin d’oeil.

Dolce – dis Giulia pourquoi ta autant le sourire ?
Shiwa – c’est vrai sa !
Moi – ah oui, c’est vrai qu’il lui est arrivé de bonne chose ce matin !
Dolce – ah, tu est allé chez elle ?
Giulia – j’y ai dormi.
Shiwa – wath the fuck, allait qu’es ce qui t’arrive ?
Giulia – ah non mais je vous jure celle-ci … En faite, mes parents compte se re marier, ils partent à New York ce soir, et je vais être grande sœur.
Dolce – mais c’est supère sa, mais du coup tu vas dormir où ?
Giulia – avec ma femme.
Shiwa – pourquoi je suis pas étonné ?


Je sourit, et ferme les yeux quelques minutes posant ma tête contre le tronc, laissant le vent caresser ma chevelure, et pense à tout se qui c’est produit durant ses deux ans.

Dolce – oh, Zane tu dors ?

C’est vrai qu’en y repensant, je n’aurais jamais crue avoir assez de courage de lui avouer ce que je ressent … Je n’arrive pas à croire que l’amour, son amour est pue me changer à ce point, savoir qu’elle est ma femme, me rend forte et fière, j’ai envie de soulever des montagnes, de tout faire pour rester avec elle, car il est vrai qu’avec tout se qui se passe il me suffit que je pense à elle et à notre couple pour que mon cœur s’appaise.

Shiwa – ou ou, Zane … C’est plus l’heure de dormir.

Je sent une main sur ma joue, sûrement la sienne. Je la prend délicatement, et colle ma joue gauche contre. Mes lèvres lui embrassent le creux de sa main, et ses doigts me caressent la joue. Son souffle chaud caresse ma peau, et sa voix que j’aime temps résonne au creux de mon oreille.

Giulia – je t’aime ma chérie !

Ses lèvres se collent à ma joue droite, et m’embrassent. Je sourit, et me laisse envahire par ce bonheur. Je tourne doucement ma tête, et alors que ses yeux s’ouvrent, ma bouche caresse la sienne. On se regardent longuement et je lui sourit pour finir par l’embrasser. Sa main caresse ma joue, et la mienne se mêle dans sa chevelure chocolat, elle se rapproche de moi, et aprofondit notre baiser qui se fit plus doux et amoureux.

Nos lèvres se claquent se caressent, et nos yeux s’ouvrent pour ainsi se dévisager.

Moi – moi aussi mon amour.

On se sourit, et avec tendresse, je vint lui faire un câlin qu’elle me rend avec bonheur. Shiwa et Dolce nous regardent avec un sourire accroché aux lèvres.

[i:e
Sam 28 Déc 2013, 17:40 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Auteur de mon coeur.

C’est vrai je ne m’attendais pas à toi
je ne m’attendais pas au miracle
je ne m’attendais plus à tomber d’amour pour toi.
Et pourtant un JOUR tu es venu avec ta plume sur le dos, comme une robe qui t’enrobe.
Je t’ai trouvé vaillant et courageux, dans ton être que tu portes si bien, je t’ai trouvé drôle et ton imagination a vite pris mon esprit.
Je me laissais glisser entre tes mots, je me sentais devenir tienne appartenant à tes mains d’écrivain.
Tu inventes l’histoire de nos rêves, et tu joues si bien ton rôle, entre drame et comédie.
Le bonheur, c’est quand le drame laisse sa place à notre jouissance.
Tu es le maître de mon cœur en bel entrepreneur.
Tu es le MARI dont j’ai toujours rêvé, et si je te fais à nouveau croire au grand amour c’est tout autant mon cas, sous ton regard.
Tu es car ton sourire charmeur est une comète dans mes nuits.
Ce jour je me dis que si je pouvais arrêter le temps je l’aurais arrêté pour nous faire prisonniers de cet instant où l’on s’est aimés.
Je ferai tout pour te garder près de moi, voir ton bonheur, et pour ne jamais nous perdre.
Je n’aurais pas pensé un jour t’aimer autant, et pourtant,
je me vois bien à présent épouser ton corps, dans une vie à deux, où nous serions heureux.
Tu es comme un idéal, l’idéal ACTEUR et AUTEUR de mon cœur.
Ven 29 Nov 2013, 20:36 par inlove sur La vie à deux

L'amour est-il plus fort que tout ?

Eh bien voila une seconde histoire d’amour entre Zane et Elena, j’espère que cela vous plaira ^^ bonne lecture :

Chapitre 1.

Point de vue Zane.

Si seulement, la vie pouvait être simple … Si elle pouvait être belle alors peut être que j’arriverais à lui donner une seconde chance. Une seconde chance à croire en l’amour … Ce sentiment si fort mais qui peut tout briser en une fraction de seconde. Encore cette nuit, j’ai fait nuit blanche, accoudé contre mon balcon à admirer les rayons du soleil qui se lève.

Je souffle, et entre dans ma chambre, pour aller me rafraîchir. Je passe à côté de mon lit et remarque un cadre avec à l’intérieur la photo de la femme que j’aime et désir plus que tout. Je passe mon doigt sur la vitre et laisse mon esprit vagabonder. Un autre soupir mais cette fois heureux s’échappe de ma bouche, si seulement j’avais assez de courage pour lui avouer ce que je ressent.

Elena … Toi cette si jolie brune qui a su recoller chaque morceau de mon cœur, toi qui a su trouver les bon mot pour m’apaiser et me faire sourire. Je souris et me dirige vers ma salle de bain. J’entre à l’intérieur de cette dernière, et ferme la porte. Je commence à me dénuder laissant mes vêtements tomber au sol, j’ouvre la porte de la cabine et tout en allumant l’eau, laisse mon corps se détendre sous le liquide chaud.

Je suis Zane Kazama j’ai dix neuf ans et suis d’origine italienne, née un vingt deux janvier en Italie, et je réside à Naples. Je suis de grande et fine taille, mes cheveux qui sont de couleur sable, un blond vénicien son court formant un dégrader sur le côté gauche. Mon regard est chocolaté et tiré quelques peut en arrière, ma peau clair possède des petites faussettes. Ma bouche rose et fine.

Mes yeux se ferment, et je repensent à tout se qui c’est passé depuis ma séparation avec Giulia du a une forte dispute. En y repensant, c’est vrai que je me suis nettement rapproché d’Elena, passant presque tout mon temps avec elle, mais aussi Dolce et Shiwa qui sont mes deux meilleures amies, je peux toujours compter sur elles en cas de besoin, et même si Giulia et moi sommes devenue de simple amies il est vrai que je me confie beaucoup plus à mes deux pimprenelles.

Une fois que l’eau m’a débarassé de tout liquide coloré, j’éteins, et m’enroule rapidement dans une serviette sentant le froid me gagner. Je fais coulisser la porte vers la gauche et sort de la cabine pour ainsi me sécher. Je me place devant le miroir, et m’observe de longues minutes en me séchant. Un mince sourire se dessine sur mes lèvres mouillées en repenssant à ce que je suis … A cet heure là si je n’aurais jamais eu le courage d’affronter cette personnalité je serait sûrement en train de pleurer sur mon triste sort.

Se que je suis aujourd’hui j’en suis fière, même si je cache des défauts, je me rattrape toujours à sa, cette personnalité qui fait de moi la femme forte que je suis devenue au file es années. Et maintenant que j’étais prête à laisser une seconde chance à la vie parce ce que j’avais réussi à oublier tout ce qui se rapporte à Giulia et moi, j’étais prête à avancer et dont à être de nouveau heureuse.

Je me dirige vers ma chambre, et mène mon corps jusqu’à mon armoire afin de m’habiller. Aujourd’hui est un jour spécial, pour deux raisons. Ce soir il y a le bal de l’automne un événement important pour nous lycéens qui n’avons ce mot à la bouche depuis plus d’un mois. Et il y a aussi un anniversaire, celui d’Elena qui allait sur ses dix neuf ans, et j’avais pour ambition de lui délivrer mon cœur de me mettre à nue devant elle. Je sourit rien que le fait d’y penser, après quelques minutes de réfléxion, je sort de l’armoir un jean noir, un chemisier de couleur blanc, et une veste en cuir noire.

Je commence donc à m’habiller tout en laisser mon esprit s’évader, j’ajuste le col de ma chemise, et surmonte cette dernière par ma veste en cuire que je prit soin de fermer. Après sa, je réchauffe mon cou par un keffier noir et roug en damiern et je reviens par la suite dans la salle de bain. Je me place en face de la vitrerie, et comme je laisse souvent mon maquillage traîner sur le bord de l’évier, je me munie d’un laïner noir et commence à me faire le tour des yeux.

C’est la seule chose que je met, cela suffit, quand je me maquille c’est pour des occasions spécial. Avec l’aide de mon peigne je remet en place le petit dégrader sur la gauche, me parfum légèrement avec une eau de toilette, et enfin sort de la salle d’eau. Je prend place sur mon lit, et commence à enfiller mes chaussette, pour après mettre une paire de baskette noire. Je me lève, prend mon sac de cour, mon téléphone, et sort de ma chambre.

Je descend les escaliers, et alla dans la cuisine pour me préparer un café et une tartine de confiture. Je vis seul dans un petit studio, que mes parents me paye tout les mois car je leur est ramener de bon bulletin et que j’avais fait comme demande celle de vivre seule pour ainsi gagner l’autonomie. Je commence à beurrer deux tartines, et saisi mon portable.

Tiens un message, je me demande qui cela peut être « lili » je sourit, lili et le surnom que je donne à Elena, et sa c’est dû à un petit jeu entre nous.


« purée il caille dehors, j’espère que ta prévue de mettre des gant et un bonnet mdr, tu me manques »

le sourire que j’aborde s’agrandit, je fut amusé et attendris à la fois. Je me dirige vers la cafetière et tout en me versant du café dans une tasse, je décide de lui répondre.


« ne t’inquiète pas pour moi va … Je ne suis pas frileuse. Tu me manques aussi <3 »

je relie le message, et sourit de nouveau. Et je lui envoya, je m’installe sur une chaise et commence à déjeuner tranquilement, tout en pensant à l’évènement de ce soir à l’anniversaire, et au courage que je vais devoir prendre pour lui avouer ce que je ressent.

Ce n’est pas tout les jours que je fait ce genre de chose, et il est vrai, que si nos sentiments sont réciproque j’aimerais pouvoir m’engager dans une relation sincère et durable cette fois. J’emmène la tasse à ma bouche, et commence à boire le liquide caféïner.

Quand j’eu terminé, je met la tasse dans le lave vaisselle, et commence à tout ranger pour ainsi partir direction le lycée. Mon téléphone vibre, je me tourne et le prend pour ainsi consulter l’appareil. C’est Elena qui viens de me répondre par un smiley et un cœur. Le mien se met à battre fugacement contre ma poitrine, si seulement nos sentiments pouvaient être réciproque, je l’espérer à chaque fois depuis que je me suis décider à lui dire.

Je prend mon sac, prend les clés de chez moi, et enfin partie tout en prenant soin de fermer à clés. Je descend quatre étages, et me dirige vers l’extérieur. Ouh … C’est vrai qu’il fait frais, je met mon keffier bien en place, et commence à marcher le long du trottoir.

Ah … Elena, si tu savait à quel point je t’aime, à quel point je te désir. Depuis notre rencontre il y a un an, c’est vrai que l’ont c’est beaucoup attacher l’une à l’autre, partageant nos rires, nos délires, et même nos chagrins. Et c’est quand je pense à tout ses petit détails qui me font sourire que je suis plus forte pour affronter la vie car je sais que j’ai mes amis et la femme que j’aime à mes côtés.

Après quelques minutes de marche, j’arrive enfin devant l’entrée du lycée, et pénètre à l’intérieur de ce dernier. Je voie Shiwa et Dolce me faire signe, alors que Giulia et Elena se tourne dans ma direction.


Shiwa – salut jolie blonde, ça rool ?
Moi – tout baigne, et vous ?

Je leur fait la bise à chacun, et arrivé prêt d’Elena qui me sourit avec douceur, je vint collé mes lèvres à sa joue.

Dolce – oh … C’est trop mignon.
Shiwa – ah les filles …
Giulia – c’est l’amour !

Je me décolle doucement, et plonge mon regard caramélisé dans ses prunelle noisette. Elle me sourit, et je lui rendit avec un petit clin d’oeil.

Moi – bon anniversaire la miss !
Elena – merci Zane.

Ont se sourient, et pendant quelques minutes nos yeux se caressent. J’aime me retrouver comme sa avec elle qu’il y est du monde ou pas, mon cœur bat si vite, je n’arrive pas à métriser les pulsions qu’il difuse dans mon corps. Sa main s’approche de mon visage, et ses doigts écartent quelques mèches de mes yeux.

Dolce – ah … Sa fait rêver.
Giulia – c’est bien vrai !

Nos lèvres s’étirent de nouveau, et ses lèvres se sont posées sur ma joue. Mes yeux se ferment, et je me laisse envahir par ce flot de tendresse qu’elle m’envoie. Ses mains se posent sur mes bras, et je sourit. Qu’es ce que je pouvais me sentir bien, là tout prêt d’elle.

Moi * si tu savais comme je t’aime. *

doucement je m’approche et laisse mes bras s’allonger sur ses épaules, alors que les siens viennent réchauffer mon dos. Ah, Elena je me sens si bien la avec toi. Ma douce et jolie brune, ses lèvres quittent ma joue, et ses yeux viennent effleurer les miens avec douceur.

Nos fronts se sont rapprochés, et se caressent, nous étions si prêt l’une de l’autre, et l’envie de l’embrasser me tenaille, je lui caresse la joue et lui offre un doux sourire.


Elena – Zane …
Moi – chuut …

Je lui caresse doucement ses lèvres de mon pouce, et vint lui déposer un léger baiser sur son nez.

Shiwa – je croix que je vais finir par exploser si vous continuer toutes les deux, c’est trop …
Dolce/Giulia – mignon !!!!

je me suis mise doucement à rire à l’entente de ses mots, je sent ses bras se serrer, et je me laisse emporter par cette étreinte qui m’est agréable. Malheuresement nous fûmes bien vite redescendut sur terre, à cause de la sonnerie que je maudit à cet instant.

Ont se détachent l’une de l’autre, et avant de partir en cour, je lui prend tendrement son menton et lui murmure :


Moi – on se retrouvent tout à l’heure !
Elena – compte sur moi.

Ont s’échangent un sourire, je lui embrasse la joue, et partie direction ma salle de cour avec Dolce Shiwa et Giulia.

Dolce – dis donc je ne te savait pas si entreprenante !
Shiwa – ah sa … Tu ma coupé le souffle.
Moi – ne dis pas n’importe quoi voyons !
Giulia – mais si, elle a raison.
Moi – oh non pas toi Giulia, ne t’y met pas non plus !
Dolce – mort de rire.

Je vous jures, elles sont pas possible. Ont montent plusieurs étages, et arriver au cinquième, je commence à longer le couloir tout en discutant avec les filles.

Dolce – dis moi Zane je peut te poser une question ?
Moi – oui vas y !
Dolce – ce que tu ressent pour Elena, c’est bien plus fort que de l’amitié pas vrai ?

Je sourit, et repense à ce moment que nous avions partagé elle et moi tout à l’heure, un moment qui a bien réchauffé mon cœur, et qui ma permise d’être heureuse durant quelques instant.

Moi – oui … Et pour être honnette, je compte lui faire ma déclaration ce soir !
Shiwa – c’est pas vrai ? Oh lala faut pas louper sa, Zane qui laisse libre court à ses sentiments, va falloir prévoir le matosse.
Moi – dis pas n’importe quoi Shishi !
Giulia – j’espère que tu y arrivera, et que cela te rende heureuse.
Moi – ne t’inquiète pas pour sa … Je compte bien la garder avec moi !

Je lui sourit, et lui tapotte le nez, même si nous ne sommes plus ensemble, cela ne m’empêche pas d’avoir un petit geste tendre à son égard, car il est vrai et sa je ne peux pas l’oublier que je les fortement aimé.

Dolce – en tout cas, je ne veux pas louper sa !
Shiwa – tu m’étonnes.
Moi – vous êtes bêtes vous deux alors !

Je sourit, et finit par rentrer dans la salle pour aller m’installer à ma table avec Giulia. Le professeur n’étant pas encore là, j’en profite pour regarder mon portable afin de vérifier ce je n’ai pas reçu de messages ou appels.

? - eu Giulia !
Giulia – oui ?

Après avoir répondu au deux messages d’Elena, je met mon téléphone dans ma poche et lève la tête pour aperçevoir Emilie, une jolie blonde aux yeux chocolat. Je suit attentivement la discussion, et pue voir du coin de l’oeil Giulia rougir.

Emilie – je euh … En faite, je me demander si tu … Tu voulais bien être ma cavalière pour ce soir !

Je sourit, et d’ailleurs Giulia aussi, elle se lève, et sous mes yeux attendris, elle pris le menton d’Emilie et lui murmure :

Giulia – avec plaisir Emi, j’en serait ravi.
Emilie – c’est vrai ? Enfin je veux dire …
Giulia – chuut …

Elle lui caresse la joue, et lui a déposer un baiser sur le front. Cela me fait sourire, le fait de savoir que même après notre séparation nous sommes arrivé à refaire notre vie, et sa sans avoir peur du jugement de l’autre. Emilie et repartie s’asseoir, et Giulia a repris place à mes côtés.

Giulia – ah … Emilie !
Moi – Tu as enfin trouvé ta perle rare ?
Giulia – oui, et il est vrai que je l’aime éperdument.
Moi – dans ce cas, je te souhaite bon courage !
Giulia – à toi aussi … Tu sais, c’est une bonne chose je trouve que l’ont est réussi à refaire notre vie avec la séparation !
Moi – je suis bien d’accord avec toi.

Ont se sourit, et enfin le cour pue commencer car le professeur était enfin arrivé. Pendant l’heure de cour, je ne fit que penser à Elena, à son message de tout à l’heure me disant que ce soir elle voulais passer la soirée avec moi. Rien que d’y penser me provoque des frissons de plaisir. Elena, si tu savait à quel point tu hante mon esprit.

Enfin, quand l’heure de la pause sonna, je pose mes lunettes, et suivit Giulia jusqu’à la sortie avec Dolce et Shiwa.


Shiwa – bon alors, et si ont allaient au foyer !
Dolce – ok.
Moi – sa marche !
Giulia – dack.

Ont s’échangent toutes quatre un sourire, et parti direction le foyer. Arrivé dans ce dernier, je remarque Elena qui est assise sur un des fauteuil, je me dirige vers elle suivit de prêt par les filles.

Elena – ah vous êtes là !
Dolce – tes une rapide dit donc sa viens juste de sonner.
Elena – non, je suis là depuis une heure !
Shiwa – comment ça ?
Elena – notre professeur est malade !
Moi – tu t’embête pas quoi ?
Elena – c’est sa.
Moi – toi alors !

Elle me fit un clin d’oeil, et je prit place à ses côtés juste à sa droite. Giulia prend place à mes côté et Shishi juste à la gauche de ma douce.

Dolce – aller, aujourd’hui c’est ma tournée, qui veux quoi ?
Moi – hm aller un coca !
Elena – un chocolat chaud.
Shishi – hm j’hésite entre un orangina et toi mon amour !
Dolce – Shishi !!
Giulia – ah ah ah …
Moi – que c’est mignon !
Elena – vous n’êtes pas ensemble pour rien vous deux !
Dolce – les filles !!!! vous m’êtes pas d’une grande aide la !
Shiwa – aller, c’est bon j’arrête de t’embêter, je prendrait un orangina.
Dolce – enfin et toi Giulia ?
Giulia – un thé suffira merci miss.
Dolce – alors je récapitule, un coca un chocolat chaud un thé et un orangina, ok c’est bon c’est noté.

Et notre petite rousse partie direction le bar. Alors qu’une discussion commence, je sens soudainement un bras se glisser derrière mon dos, et une main se pose sur ma hanche. Je me tourne et voie que c’est Elena, je lui sourit, et passe mon bras gauche derrière son dos, pour doucement lui caresser la hanche. Sa tête c’est lové au creux de mon cou, et mon cœur c’est mit à tanguer plus fort.

Dolce reviens quelques petites minutes après avec nos boissons , qu’elle nous tendis à chacune. Shiwa c’est lové dans ses bras, et Dolce à replier ses bras autour d’elle, je les trouve vraiment mignonne ensemble.


Dolce – au faite, vous compter y aller avec qui au bal ?
Shiwa – moi avec toi !
Elena – sa, ont sens doute bien !
Dolce – tu as trouver quelqu’un Giulia ?
Giulia – oui, j’y vais avec Emilie.
Shiwa – Emile … La blonde ?
Giulia – oui la brune !

Je me met à rire en entendant sa, et continue de serrer mon ange contre moi. Un frisson me parcours lorsque je senti ses lèvres se poser sur mon cou, que c’est agréable, je me laisse faire tout en lui offrant une douce caresse sur sa joue. Sa tête c’est relever, et ses yeux se sont perdu dans les miens. Je caresse doucement sa joue, et caresse son front avec le mien.

Sa main prend la mienne, et alors que ses yeux me défi, sa voix résonne dans l’air, une voix que j’aime entendre.


Elena – et toi ?
Moi – de quoi moi ?
Elena – avec qui vas tu au bal ?
Moi – sa t’intéresse ?

Elle me sourit, et dépose un léger baiser sur ma main se qui me fit rougir. Nos yeux se happent, se caressent, et se dévisagent avec insistance comme si chacun chercher à savoir qui aurait le dessus sur l’autre.

Elena – peut être …
Moi – toi alors … Non je n’est personnes !
Elena – dans ce cas, accepteriez-vous mademoiselle Kazama de m’y accompagner ?
Moi – j’en serait ravie … Ma jolie brune !

Ont se sourient, et pendant de longue minutes nous restons ainsi confortablement enlacé contre l’autre. Je m’approche doucement, et vint lui déposer un doux baiser sur le nez.

Elena – si seulement le temps pouvais s’arrêter !
Moi – pourquoi sa ?
Elena – car je pourrais proffiter pleinement de ces instant magique avec toi.

Je lui sourit, et vint doucement emêler mes doigts avec les siens. Se pourrais t-il … Qu’elle ressente la même chose que moi ? Que son cœur frémi à chaque fois que nous sommes avec l’autre comme le mien ? Si c’était le cas, j’en serait vraiment heureuse.

Shiwa – franchement toute les deux, je me demande comment vous ne pouvait pas finir ensemble !
Dolce – vous êtes trop craquante !

Je sourit, et continue d’admirer ce magnifique regard chocolater. Oui si seulement le temps pouvais s’arrêter, alors je pourrais sans aucun regret proffiter de ces instants magique qui n’appartiennent cas nous.

Elena – tu est sûr que tu veux aller en cour ?
Moi – non, mais il le faut bien.
Elena – reste avec moi !

Je m’approche de son oreille et lui murmure en caressant sa main :

Moi – on aura … Toute la soirée pour proffiter de ces moments magique !
Elena – Zane je …
Moi – chuut ne dis rien ma belle.

Je remonte ma main à sa joue, et la caresse avec douceur. Nos front se caressent de nouveau, et nos nez créer un mouvement négatif, je mens tellement bien avec elle, que oui, j’aimerais pouvoir rester là au creux de ses bras.

Mais ont dirais que la sonnerie annonçant le deuxième cour, n’est pas du même avis que moi, je lui sourit, lui embrasse tendrement le front, et me sépare d’elle avec regret.


Elena – bon, d’accord, je te laisse filer, mais à partir de quatre heures je ne te laisse plus tranquille !
Moi – comment ça tu ne me laissera plus tranquille !
Elena – ah beh sa mademoiselle Kazama vous verrez bien.
Moi – dites moi, je vous trouve bien arrogante mademoiselle Agostui.

Je pose mes mains sur ses jambes, et la regarde un air de défi sur le visage.

Elena – vous ne me faite pas peur !
Moi – vous ne dirais sûrement pas la même chose lorsque je vous aurais kidnappé ma cher.

Je lui fait un clin d’oeil, elle m’embrasse la joue, et c’est avec le sourire aux lèvres et le cœur prêt à faillir que je me rendit en cour avec les filles qui à dire vrai hurlé du moins Shiwa et Dolce, Giulia elle était au téléphone. C’est ainsi que durant toute l’heure de cour et ceux jusqu’à midi que je pensa à ma soirée avec elle.
Jeu 28 Nov 2013, 03:19 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Le rendez-vous duo marilyn/hamilcar

Je n’ose y croire ! Elle est venue au rendez-vous !
Elle comble tous mes espoirs, mes rêves les plus fous !
Magnifique en robe du soir, simple mais de bon goût
Vêtement fourreau noir avec un grand dos nu
Broche avec fermoir et un joli cœur en argent suspendu
Le mien joue la fanfare...J’espère qu’on ne l’a entendu .....Hami

Il est là, bien réel, en chair et en os, qui m’attend
Sourire radieux aux lèvres et des yeux pétillants
Beau dans ce costume noir, chemise blanche
Cravate écarlate, sans doute sa tenue du dimanche
Il est attendrissant avec sa belle rose rouge vermillon
Attendre, par ce froid, je crains qu’il ne soit grognon
Oh, il est adorable ! J’ai plus d’une heure de retard
Et il est juste content de me voir : Bonsoir ! ..........Marilyn

Elle est si belle ! Pres qu’irréelle ! Si douce et naturelle...
Je dépose une bise sur la joue, son parfum m’interpelle
Je dois me retenir pour ne pas la prendre dans mes bras
J’inspire cette essence et j’ai tout le corps en émoi
Ces cheveux, ce visage, ce corps, Elle est merveilleuse !
Je reste figé tel un piquet, subjugué, je lui tends la rose
Elle me fait un sourire timide, je la sens un peu nerveuse
Je connais son inquiétude car je ressens la même chose
Dix minutes qu’on se regarde et je n’ai encore dit un mot
C’est sûr qu’à ce train-là, elle va me prendre pour un idiot....Hami

Je sens son bisou sur la joue et son souffle dans le cou
Le dos qui frissonne et aucun son ne sort de ma bouche
Étrange cette sensation alors même qu’il ne me touche
J’en tremble toute d’émotion alors qu’il est là, debout,
Sans mot dire, immobile, à me regarder d’un air candide.
Il me dévore des yeux. C’est atroce, je me sens désarmée
Je suis gênée. Je bredouille. Je me trouve stupide
Un sursaut de volonté pour lancer : Bonsoir, enchantée !
J’ai le cœur qui cogne si fort, j’ai soudain des vapeurs
Faisons semblant de rien et sortons un sourire charmeur
Il n’a pas remarqué mon embarras, j’en suis soulagée
Mais je commence à avoir froid ! Alors cette soirée ?......Marilyn

Quelle té ! Je rêve ! Pourvu que je ne me réveille !
Ces yeux, cette bouche et cette peau de velours
Ces courbes et cette silhouette, quelle merveille !
C’est Elle que j’attendais ! Maintenant j’en suis sûr !
Son "Bonsoir" me secoue et sa voix me transporte
Dans mon rêve éveillé, je lui ouvre la porte
L’invite à rentrer, s’asseoir, se mettre à l’aise
J’apporte les apéros et lui présente une chaise
Une table en aparté avec nappe en dentelle
À la lueur des chandelles, lumière tamisée
Dans ce halo mitigé Elle est encore plus belle.
Mon esprit se rebelle, ma langue est tétanisée
Mon cœur joue du tambour, mon corps frissonne
Je suis déjà fou d’amour pour cette jolie personne........Hami

Que c’est ! Il a mis les petits plats dans les grands !
Tout cela est vraiment magnifique et il est très charmant !
Quelle galanterie ! Voilà qu’il m’avance la chaise...
Il s’en donne du mal pour que je me sente à l’aise !
Toute cette prévenance et cette sollicitude m’ont touchée
Mais j’ai faim ! Et je n’arrive à avaler la moindre bouchée
Un étau serré d’émoi m’empêche de pouvoir déguster
Cette délicieuse nourriture qu’il a gentiment commandée
Je vais boire un petit verre de vin pour décompresser
Je suis sincèrement éblouie, complètement envoûtée
Jamais je ne l’aurai cru si l’on me l’avait dit ce matin !
Je m’enivre de sa voix, subjuguée par son jeu de main
Des mains si belles que j’en suis tombée raide dingue

Au menu, juste après une succulente mise en bouche,
On nous apporte un millésime qu’aussitôt il débouche
Comme plat de résistance, une belle grosse dinde
Repas qu’il est de tradition de servir en fin d’Automne
Et qu’il se fait un devoir de découper en personne.
Il pose délicatement, tout en me dévorant des yeux,
Un morceau royal au milieu de mon assiette
Il ne saurait vraiment pas cacher qu’il est amoureux
Mais s’il continue à me fixer ainsi, avec l’amour en tête
Je crains que cette louche de crème de pommes de terre
Ne risque de rater son but et d’atterrir, au hasard
Tant nos yeux se noient avec délice dans nos regards
S’il continue, je crois bien qu’il va en mettre dans un verre
Car nos yeux ne peuvent plus se quitter...
Qu’est-ce qu’il va encore m’inventer ?
Que signifie cet étrange petit signe qui se veut discret ?
Qu’est-ce que c’est ?!?

J’entends, derrière moi, un bruit de pas qui se rapproche
Qu’est-ce qu’il fait ? Il sort de l’argent de sa poche ?
Mon Dieu ! Ce n’est pas vrai ! Des bouquets de violettes !
Belle tactique de séduction ! Mais je jouerai les coquettes
Pour faire ma conquête, il devra se montrer plus innovant
Et rendre ce rendez-vous un moment vraiment enivrant !
Mais ??.. J’entends une lointaine musique ?
Des violonistes tziganes s’approchent de notre table
Jouant tout doucement une petite mélodie romantique.
Que cette attention est charmante et adorable !
C’est décidement un véritable gentleman, un amour !
J’ai le cœur qui bat comme un tambour...
Mes yeux brillent. C’est magnifique ! Je suis émue
Dans ma tête, mon cœur, mon corps c’est la cohue
Je ne peux retenir les perles qui coulent au coin des yeux
Je cherche son regard, anxieuse, la bouche close...
Saura-t-il voir dans le mien que je suis heureuse ? ......Marilyn

Je profite de la musique tzigane pour L’inviter à danser
Un clin d’œil convenu nous accorde une danse alanguie
Je La prends dans mes bras et sur la piste, on s’élance
Je me sens gauche mais Ses yeux La disent réjouie
La chaleur de Son corps réveille des souvenirs oubliés,
En profond sommeil depuis de nombreuses années,
Un ensemble de sensations se bousculent dans mon être
Un petit frémissement glacé descend le long du dos
Tandis qu’une marque d’excitation met en éveil la libido
Le corps réagissant aussitôt, je crains l’incident stupide
En même temps une ondée de fièvre monte à la tête
J’appréhende l’instant où elle va empourprer mes joues
Ou celui où l’émotion va d’un coup me couper les genoux
Un tourbillon de passion ardente me chavire le cœur
Un tumulte de sentiments s’agite dans mon esprit
Mettant sens dessus dessous mes moindres pensées...

Je sens monter la forte pulsion d’un désir pressant :
Le rubis de Sa bouche m’attire comme un aimant
Telle une idée fixe, de coller mes lèvres aux Siennes
Cédant à l’invite, je me penche et hardiment, L’embrasse
M’attendant à ce que, scandalisée par mon audace,
Elle me gifle violemment me laissant sitôt sur place.
Mais, comme si Elle attendait cela depuis longtemps,
Répond à mon transport par un délicieux baiser ardent.
Le temps, la musique, le monde arrêtent leur mouvement
Plus rien ne compte que la douce chaleur de Ses lèvres
Que Ses bras me serrant fortement contr’Elle sans effort
Ne comptent que nos langues se cherchant sans trêve
En une suite de va-et-vient de langoureux titillements
Une explosion de sensations irradie de la bouche
Se propage dans les membres, envahissant tout le corps
Lui insufflant une ivresse qui joignant le cœur me touche
Et me transporte au nirvana en compagnie d’un ange
Surtout qu’on ne me réveille, si c’est un songe !!........Hami

En musique, on continue, en s’embrassant, à danser
Son baiser est un feu qui semble vouloir me consumer
Les personnes autour disparaissent, le décor s’efface,
Il ne reste que nous deux dans ce baiser qui nous enlace
Qui est si enivrant que je voudrais qu’il ne s’arrête jamais
J’ai le cœur en transe et des rêves plein la tête
Le dîner, danser, le vin, ce baiser, je suis en apesanteur !
Je me sens transportée. Je nous vois sortir à l’extérieur
Je devine cocher et calèche, il m’installe dans la trotteuse
Me couvre entièrement d’une chaude fourrure moelleuse
Me recouvre d’ardents baisers. Mon cœur est aux étoiles
J’ai chaud au corps, au cœur. Je suis comblée, heureuse
Que cette soirée ne finisse plus tant elle est merveilleuse
Je m’accroche à lui de peur qu’il ne mette les voiles
Mais j’ai tort de m’en faire, à la façon qu’il serre ma taille
Je crois que, comme moi, il craint aussi que je m’en aille
Il ajuste la peau fourrée pour que je n’aie pas froid
C’est la première fois qu’on prend autant soin de moi !

Ses baisers, le bercement du tilbury, voilà, je m’endors
Ultime image : nue dans la baignoire la tête sur le rebord
Je contemple encore ce sourire qui orne ses lèvres
Il s’installe et s’apprête à être le gardien de mes rêves
Je peux dormir tranquille ! Il sera encore là à mon réveil
Je n’ai jamais ressenti un sentiment de bien-être pareil :
L’envie de sentir sa bouche et d’y laisser mon empreinte
Le désir d’un corps-à-corps, d’une brûlante étreinte
L’avidité des sens, l’appétence d’un corps à gémir
Être si excitée......Et avoir tellement envie de dormir... !
Lui en demande pardon, me serrant davantage à lui
Il ne semble m’en tenir rigueur, me regarde et sourit
Il caresse mes cheveux en récitant une poésie
Je nage en plein bonheur et m’endors paisiblement
Sur le rêve enchanteur d’un merveilleux moment
Je n’ai connu meilleur ! Je suis au paradis
Jeu 14 Nov 2013, 11:07 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

De tes mains née la douceur, de tes lèvres né le désir

J’ai coup aimé, c’est trop mignon ^^ tu m’as donner quelques idées en plus <3 tu as un don pour écrire des poèmes, c’est vraiment très , je suis sincère :)
Jeu 24 Oct 2013, 12:35 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

De l'amour né le désir

Alors alors, que dire !

j’ai bien aimé tes écrits, c’est mignon et sa donne inspiration ^^ ah l’amour ... Sa restera toujours un mystère pour moi ! j’espère que tu continuera à écrire des bout de poème comme sa c’est vraiment très timide
Mar 22 Oct 2013, 14:39 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 6

Hello hello, voici le chapitre 6 un peut court, mais toujours regorgé de douceur et d’amour ^^ bonne lecture :


Chapitre 6 : Une belle preuve d’amour

Point de vue Narrateur.

Voila maintenant deux petit mois qui se sont écoulés sur la capitale Japonaise. Depuis l’anniversaire de Michiru beaucoup de chose se sont produite, cette dernière était partie en stage pour une durée de 4 semaines pour parfaire ses connaissance en mathématique pour ainsi pouvoir réaliser le rêve de sa défunte mère. Pendant ce temps Haruka continuer son train train quotidien, bien que la vie lui semblais un peut plus triste sans Michiru. Elle n’avait qu’une seule hâte : que cette dernière revienne, car avec son stage, et les réunions de parents d’élèves ainsi que de conseils de discipline elles n’avaient pas pue se revoir et passer du temps ensemble. Nous nous retrouvons devant chez la jeune blonde ou la bonne humeur régnais. A l’intérieur de ce petit studio se trouvait Michiru et Betty qui faisait de la cuisine préparant un gâteau pour l’anniversaire d’Haruka.

Point de vue Michiru.

Ah … Me tarde que Haru revienne, elle ma tellement manquée. Je suis rentré aujourd’hui de Tokyo, et même si c’est 4 semaines de stages ont étaient très longues c’était très constructif et j’ai aquis bien plus de connaissance ce qui me rendait de très bonne humeur.

Malgré sa, comme Haru et moi on a pas pue se voir, nous n’avons pas pue faire son anniversaire, et même si nous étions le 15 décembre, je voulais lui fêter ses 24 ans avec madame Clife qui est une ses plus proche collègue.

Madame Clife – alors Michiru dis moi comment c’est passé ton stage ?
Moi – parfaitement bien, j’ai appris beaucoup de choses au cours de ses 4 semaines comme résoudre des équations comment faire pour placer le x en tant voulut dans un calcul mental. C’était tout bonnement génial.
Madame Clife – c’est très bien tout sa … Oh mais, c’est jolie ce que tu as autour du cou. C’est ton petit ami qui te la offert ?

Si vous saviez qui m’a offert cette petite chaîne vous serez bien surprise. Ah cette chaîne, je les garder tout au long de mon apprentissage, sa me faisait penser à elle à chaque fois. Ah ma jolie blonde j’ai hâte que tu revienne à la maison, car bien des choses ont changé durant ses 4 semaines d’absence.

Soudain je sent mon téléphone vibrer, surprise, je prend ce dernier en main et regarde qui cela peut être. J’eue un grand sourire en voyant que c’était Haru qui m’appeller, je met les écouteurs et répond à l’apel, le cœur battant à la chamade.

Haruka – bonjour ma chérie !
Moi – Ah … Si tu savais comme il est bon d’entendre ta voix.
Haruka – oui c’est vraiment agréable de pouvoir t’entendre de nouveau. Alors comment c’est passé ce stage.

Je sourit, c’est un bonheur de l’entendre de nouveau, je verse du lait dans un récipiant et madame Clife qui me sourit se met à remuer.

Moi – bah sa c’est supère bien passé, j’ai appris beaucoup de chose, et cela était une expérience très enrichissante.
Haruka – tant mieux alors.
Moi – oui, et toi alors comment ça va ?
Haruka – ça va, un peut fatigué de ses réunions et conseils, le directeur est parti faire des photocopies d’un dossier, donc j’en aie profité pour t’appeller.
Moi – c’est vraiment très gentil. Si tu savait à quel point tu m’as manquer Haru.
Haruka – toi aussi chaton tu m’as beaucoup manqué, et je n’aie qu’une hâte, c’est celle de rentrer.
Moi – ah bonheur, je vais pouvoir retrouver tes bras !
Haruka – oui moi aussi, vite que la réunion se termine, je t’envoie un message dès que je sort du lycée.
Moi – d’accord pas de souci ma jolie blonde.
Haruka – aller je te laisse, le directeur reviens, bisou mon cœur je t’aime à ce soir !
Moi – bisou ma chérie je t’aime aussi !

Et heureuse la communication se coupa. Je retire les écouteurs et pose mon téléphone sur le plan de travail. Mon cœur battait tellement vite, j’abordais un magnifique sourire, trop heureuse de l’avoir entendue.

Madame Clife – eh bien, sa à l’air de bien se passer … Mais, tu aimes les filles ?
Moi – oui.

Sans prêter attention à son regard, je continue de préparer le gâteau. Par la suite, je mit se dernier au four, et alla me préparer. Je monte à l’étage, et m’enferme dans notre chambre. J’enfile simplement une robe bleu écume, avec un petit cache cœur bleu ciel.

Je met les boucles en argent qu’elle ma offert, est me maquille légèrement avec un peu de laïner noir et du rouge à lèvres rouge. Je laisse mes cheveux lâchés juste à les tenir avec de la laque pour les faire tenir sur le côté gauche. Puis enfin j’entend mon téléphone vibrer, avec précipitation je le saisit et consulte ma messagerie.

« je suis là dans 5 minutes »

Sa y’est elle arive, bonheur bonheur bonheur. Avec le grand sourire, je descend, et préviens madame Clife et monsieur Gastempête que Haruka allait bientôt arrivé.

Madame Clife – ok, on se tiens prêt !
Monsieur Gastempête – oui.

Contre toute attente j’allai me cacher derrière le frigidaire et attendit avec le cœur battant à la chamade que ma jolie blonde arrive.

Point de vue Haruka.

Une fois arrivé devant l’immeuble, j’allai me garer au parking, éteins le moteur me détache et sortie avec mon sac. Remettant ma chemise en place. J’avais hâte de la retrouver. J’enclenche l’alarme, et enfin me dirige vers l’entrée du bâtiment. Ah … Cette journée ma épuisée, j’espère que je n’aurais pas à faire sa tout les jours.

Une fois prêt de la porte de chez moi, j’ouvre la porte et la …

?? - SURPRISE !!!!

je reçu des confetti en pleine figure, et cela me fit sourire, me doutant bien de qui était derrière tout sa.

Moi – Betty, Clément ?? mais que faite vous ici ?
Betty – enfin Haruka, même si nous somme en retard, nous fêtons ton anniversaire.
Clément – bon anniversaire !!
Moi – euh … Merci.

Je pose mon sac, et regarde dans tout les coin si je ne la voie pas. Mon sourire s’agrandit en la voyant apparaître … Elle est tellement belle, je lui ouvre mes bras, et c’est avec le sourire elle se réfugia contre mon cœur.

Michiru – te voilà enfin de retour.
Moi – bonjour ma chérie, heureuse de te revoir !
Michiru – tu m’as tellement manqué sa était dure 1 mois sans toi.

Je lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire, je m’approche d’elle et lui murmure :

Moi – toi aussi, tu m’as beaucoup manqué Michi …
Michiru – Haru …
Moi – chuut.

Et sans lui laisser le temps de répondre, je posa mes lèvres sur les siennes. Je descend mes mains à son dos, et le caresse, alors que ses doigts à elle caresser mes joues. Ah … Quel bonheur de pouvoir la retrouver, sa voix, son sourire, ses câlins tout ma manqué chez elle. On se détachent doucement, nos fronts se caresse, et je lui dit en écartant une petite mèche de ses yeux :

Moi – tu es magnifique.
Michiru – merci et … Même si c’est en retard, joyeux anniversaire … Ma jolie blonde.

Elle est vraiment adorable, je l’aime. Je caresse sa joue de mon index, lui embrasse le nez, et me dirige avec elle vers mes collègues qui afficher une mine décomposé.

Clément – Haruka tu …
Betty – ce n’est pas possible vous … Mais enfin c’est …
Moi – oui, je suis désolé si je ne vous en aie pas parlé avant, mais oui Michiru et moi sommes ensemble depuis 3 mois.
Betty – mais enfin Haruka, sais tu ce que tu fait, tu est son professeur.
Moi – peut être, mais en dehors du lycée nous sommes deux citoyennes tout à fait ordinaire, et je suis vraiment amoureuse d’elle.
Michiru – quant à moi, je tiens énormément à Haruka, et en suis éperdument amoureuse.
Clément – c’est vrai que vue comme sa …
Betty – mais enfin je … Sa ne peux pas être vrai, vous êtes peut êtes deux citoyennes, mais vous êtes professeur/élève.
Moi – oui mais …
Michiru – après ses 3 mois de bonheur …
Moi/Michiru – nous nous aimons énormément !
Moi – et je ferait tout pour la garder auprès de moi.

Elle me sourit, je lui caresse la joue, et vint l’embrasser avec douceur.

Moi – tu m’attend là je reviens !
Michiru – oui, mais fait vite …

Je l’embrasse sur le nez, lui caresse sa main, et parti à l’étage me dévêtir. En entrant dans notre petit nid d’amour, je remarque un mot sur la table de nuit suivi d’un petit appareil audio avec des écouteurs. Surprise je prend la petite machine met les écouteurs, prend place sur le lit, et lue le mot.

« j’y est mis tout mon cœur »

je sourit, et je vint mettre play, et sa voix sa si jolie voix résonne.

« bon … Euh, par ou commencer ? Haruka aujourd’hui nous sommes le 2 novembre, un jour spécial pour toi … Je te souhaite un très joyeux anniversaire ma jolie blonde, et j’aimerais te dire quelque chose important et qui me tiens à cœur. Voila maintenant 3 mois que nous nous connaissons toutes les deux, je ne vais pas mentir, mais je suis vraiment très heureuse d’être avec toi. Lorsque je t’aie vue la première fois au lycée, je n’oser pas le dire, mais je t’admirer déjà, tu as vraiment fait fondre mon cœur sous tout les angles. J’étais tellement heureuse de savoir que tu éprouver la même chose que moi, je t’aime vraiment beaucoup et ne souhaite que te voir heureuse. Après j’ai beaucoup réfléchit, et je suis aller me renseigner à la mairie pour pouvoir se marier un jour, la femme qui ma reçu ma dit qu’il falait aller à la mairie et signer des papiers et après le mariage pourrais se faire, j’aimerais de tout mon cœur fonder notre propre famille à toute les deux afin que tu soit heureuse, car peut importe ce qu’il arrivera je serait toujours là pour toi pour t’épauler et te soutenir, des disputes il y en aura comme dans tout les couples mais je veux dire que je serait la avec toi dans les bons et les mauvais moment. Pour moi tu est toute, ma jolie blonde ma femme à moi que j’aime tant, ma chérie … Mais surtout tu est ma plus belle histoire d’amour Haruka, et avec toi, je sais que je pourrais avancer. Voila je tes dis tout se que je ressenter, je t’aime et sa éperdument mon amour je t’embrasse très fort et j’ai hâte de rentrer à la maison pour te serrer dans mes bras. Joyeux anniversaire ma chérie je t’aime. »

plusieurs larmes roulent sur mes joue, des larmes de joie et de bonheur. Se qu’elle a dit ma profondément touché, personne à part elle et Greg ne m’avait montré autant d’attachements, Greg est mon petit frère de trois ans seulement, mais pour des raison financière il est parti, et je me suis retrouvé seule avec des parents qui ne mon jamais porter dans leur cœur, qui ne mon jamais aimé, ma mère après quelques années de lutte acharné est morte d’un cancer, mais malgré tout je l’aime et la porte dans mon cœur. Je ne suis jamais tomber amoureuse … Jusqu’à ce que je rencontre Michi, elle a réussi à me faire changer d’air, elle ma comprise après lui avoir raconter une partie de ma vie. Elle ne ma jamais rejeter, et par moment j’ai l’impression d’en profiter, profiter de sa gentillesse, mais je l’aime et en suis profondément amoureuse, je ferait tout pour pouvoir la garder avec moi.

D’une main tremblante, je prend mon téléphone et lui envoya un sms. J’avais besoin d’elle là maintenant. Je l’entend monter, et la voilà. La porte se ferme et je sens ses mains se poser sur mes genoux.


Michiru – qu’es ce qu’il y a ma chérie ?

Je ne dit rien et vint la prendre dans mes bras, la serrant contre moi. Laissant mes larmes de bonheur se déverser.

Moi – merci … Merci d’être la chaque jour avec moi, se que tu as dis ma beaucoup touché, et je suis heureuse de voir que tu prend nos projet à cœur … Ma douce et tendre Michiru je t’aime si tu savais à quel point je peux t’aimer, peut importe se qui arrivera je ferait tout pour te garder avec moi, j’ai déjà perdu trop de personne que j’aime et je n’aie pas envie que tu soit la seconde.

Je lève mes yeux afin de la regarder, ses mains se sont posés sur mes joues et d’un geste tendre elle efface mes larmes.

Michiru – tu sais … Bien que jeune, j’étais sincère dans mes propos, tout se que j’ai dis, je l’aie dis avec le cœur … Mon amour, je t’aime plus que tout, et ferait moi aussi tout pour te garder prêt de moi, car j’en suis consciente je suis éperdument amoureuse de toi, et veux crée un avenir heureux avec toi, même si sa doit prendre 2 3 jusqu’à 4 ans, je m’en fiche, tout se qui m’importe et de t’aimer et te rendre heureuse, car … Tu es la femme de ma vie, je t’aime Haruka et sincèrement.

Je sourit tendrement, lui caresse la joue, et vint poser mes lèvres sur les siennes. Ses bras enroule ma nuque, et ses doigts caresse ma chevelure. Je laisse mes mains caresser son dos, allant tendrement caresser sa langue. Je l’aime, s’en est devenue ma drogue, et je ne veux pas que sa s’arrête, je vint la serrer dans mes bras, laissant mon cœur s’exprimer. Ont se détachent doucement, et je vint lui caresser la joue lui offrant mon plus sourire.


Moi – je t’aime ma chérie, je t’aime si fort.
Michiru – moi aussi Haru et vraiment très fort.

Je lui sourit, l’embrasse doucement, et c’est avec le cœur léger et sa main dans la mienne, que nous descendions les escaliers.

Betty – à vous voilà … Haruka ? Mais enfin qu’es ce qui t’arrive ?
Clément – ta les yeux rouge.
Moi – ce n’est rien, c’est juste un trop plein d’émotion !

Je prit tendrement Michi dans mes bras, et vint la câliner. Sa tête se pose sur mon épaule gauche, et ses mains s’emêlent avec les miennes.

Moi – en tout cas merci beaucoup, c’est très gentil d’avoir penser à mon anniversaire !
Clément – oh mais tu sais, c’est surtout Michiru qu’il faut remercier, c’est elle qui a tout organisée.

Je sourit, regarde ma douce dans les yeux et lui dit en caressant son ventre :

Moi – dans ce cas … Merci à toi mon trésor.
Michiru – ce n’est rien, c’est tout naturelle !

Je lui sourit, et dépose tendrement mes lèvres sur les siennes. Oui maintenant je c’est que avec elle je peux être heureuse.

Puis après ce doux baiser, Betty et Clément mon offert mes cadeaux. Clément m’a offert un livre sur les blagues, et cela me fit rire, repensant à nos petits délire en salle des professeurs. Betty elle m’avait donné un cadre avec comme photo toute l’équipe des enseignant avec chacun leur signature.


Moi – merci, sa me fait siupère plaisir !
Betty – j’espère que tu continuera à être une exélente professeur !
Moi – ne t’inquiète pas pour sa.

Puis j’ai vue Michi se mettre face à Betty, se qui me surpris.

Michiru – madame Clife, je ne vous demande pas de sauter de joie face à notre révélation, juste à accepter le fait que nous soyons ensemble, vous savez, je l’aime profondément et sincèrement, et ne souhaite que son bonheur.

Elle c’est tourné vers moi et a dis :

Michiru – peut importe notre statu, je continuerais à l’aimer aussi fort que je le peut, c’est pourquoi aujourd’hui mercredi 15 décembre j’ai quelque chose d’important à lui demander, et je ne prend pas sa à la légère, je suis tout à fait sérieuse.

Elle commence à me faire peur, bien qu’elle aborde un magnifique sourire, je me demande bien se qu’elle a derrière la tête. Je voie ses mains prendre les miennes, et ses jolie yeux azur caresse mes prunelle émeraude.

Michiru – Haruka, depuis notre rencontre tu as réussi à faire de ma vie un véritable compte de fée, j’aimerais à mon tour pouvoir rendre la tienne encore plus belle et faire de notre histoire une merveilleuse aventure. Alors moi Michiru Kaio j’aimerais te demander quelque chose !

Ne me dite pas que … Ce n’est pas vrai, si c’est bien se que je pense elle va me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà. Je la voie poser son genoux droit sur le sol, et sortir d’une petite poche de son cache coeur une boîte noir, non, ma tendre chérie je t’aime.

Elle a doucement ouvert l’écrin, là ou je vis tout mon bonheur.


Michiru – par cette bague, j’aimerais te demander sincèrement … Haruka Tenoh veux tu devenir ma femme.

Je ne sais plus quoi dire, je n’aurais jamais crue qu’elle puisse avoir le courage de demander ma main, je m’approche d’elle, et la relève, la dévisageant avec tendresse. Je caresse sa joue, et lui répond avec le sourire :

Moi – oui je le veux.

Son sourire c’est agrandit, et elle ma passée la bague au doigt. Je vint la prendre dans mes bras, lui prend le menton et lui dit tendrement :

Moi – j’espère que tu sais dans quoi tu viens de t’embarquer ? Je ne compte plus te lâcher … Ma chérie si tu savait à quel point je suis heureuse.
Michiru – oui, je sais dans quoi je m’embarque, mais si c’est avec toi, alors je suis prête à tout, et je suis de même très heureuse … Uni à jamais ma jolie blonde ?
Moi – Uni à jamais mon trésor.

Et après ses paroles tendre nos lèvres vinrent crée un instant magique et amoureux. Je n’en reviens pas, elle a eu le courage de me le demander, moi je compter lui faire ma demande le jour de noël, mais le fait que Michi est fait le premier pat me prouve encore une fois que je ne regrette pas notre union. Et que je suis prête à m’engager sérieusement avec elle. On se décollent doucement, et le sourire aux lèvres, je vint l’enlacer tendrement dans mes bras.

Clément – alors sa … C’est une surprise, toute mes félicitations et mes vœux de bonheur les plus sincère à vous deux.
Moi – merci Clément.
Michiru – merci monsieur !
Betty – Haruka, j’espère que tu sais dans quoi tu t’engages !
Moi – oui je le sais parfaitement, mais voies tu, j’ai enfin eu la chance de rencontrer le grand amour, et je ne veux pas le laisser filer. Je l’aime et veux construire mon futur dans ses bras.

Elle c’est mise à sourire, et ses lèvres ont tendrement embrassé ma joue. Je la regarde avec amour, caresse son ventre, et l’embrassa à mon tour sur sa tampe droite.

Betty – bon eh bien … Toutes mes félicitations et que sa dure.
Michiru – merci beaucoup madame Clife !
Moi – merci Betty, merci beaucoup.

Et après sa, nous avons continuer à discuter en mangeant le gâteau que Michi et Betty avait fait. Et c’est plus heureuse que jamais que je câlina Michi tout au long de la soirée. Je l’aime et je compte bien la garder prisonnière de mon cœur.

Et voila c’est fini ^^ bon le chapitre 7 est en cour d’écriture, mais je ferait au plus vite pour le poster. [/i]
Dim 20 Oct 2013, 18:16 par HaruxMichi sur Histoires d'amour
Page 2 sur 28 Aller à la page Précédente  1, 2, 3, ... 26, 27, 28  Suivante

Ecrire sur beau

Ecrire sur beau Beau, Feuilles d 'automne, Faire le deuil, Un souvenir (duo caressedesyeux/jean), Cueille- moi des violettes, La beauté du silence et son cerveau!, Bravo pour ces poèmes, Ta princesse, Notre amour est t-il un crime ?, Auteur de mon coeur., L'amour est-il plus fort que tout ?, Le rendez-vous duo marilyn/hamilcar, De tes mains née la douceur, de tes lèvres né le désir, De l'amour né le désir, L'amour est-il un crime ? chapitre 6,
Il y a 412 textes utilisant le mot beau. Ces pages présentent les textes correspondant.

Bonne lecture !

Derniers textes

Livres recommandables

Tes désirs sont des ordres
Eric Mouzat
J'ai lu
Le bandeau
Jean-François Mopin
J'ai lu
Homo erectus
Tonino Benacquista
Gallimard
Récits coquins des plaisirs défendus
Elisabeth Vanasse
J'ai lu
La femme de papier
Françoise Rey
Pocket
Libérer son écriture et enrichir son style
Pascal Perrat
Editions Victoires
Proposition perverse
Guillaume Perrotte
Pocket
Le baton et la carotte
Esparbec
La Musardine
Dictionnaire des idées suggérées par les mots : trouver le mot juste
Paul Rouaix
Le Livre de Poche
Exercices de style
Raymond Queneau
Gallimard


Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres

La citation d'amour

Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.

La Rochefoucauld.

Qui est en ligne ?

  • Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
  • La date/heure actuelle est Jeu 21 Nov 2024, 12:51
  • Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
    Nous avons 1234 membres enregistrés
    L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher
  • Il y a en tout 48 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 48 Invités et 0 Bots   [ Administrateur ]   [ Modérateur ]
  • Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 311 le Sam 21 Juil 2012, 20:22
  • Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
    Bots : Aucun
  • Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes
  Connexion
Nom d'utilisateur:
Mot de passe:
Se connecter automatiquement à chaque visite