Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur autant - Page 3 sur 15
Album photos
Redécouvrant ces images oubliées depuis si longtemps je m’abandonne à leur contemplation attentive, faisant renaitre celui que j’étais à vingt ans.
Premiers mots, dans le train
Ça, c’est dans le train qui nous conduisait à Marseille. Nous ne nous connaissions pas encore. J’avais remarqué cette fille qui sur le quai m’observait. C’est elle qui m’a adressé la parole en premier. Sa tête me disait bien quelque chose, mais je ne la remettais pas. Je ne me souviens plus des premiers mots que nous avons échangés. Le train était bondé et nous n’avions pas trouvé de places où nous assoir. Debout sur la plateforme, nous nous sommes racontés ; elle souriait tout le temps, faisant comme si elle me trouvait passionnant ; moi, je faisais la roue....Elle a voulu me montrer , un petit reflex argentique autofocus, que son père lui avait offert pour son anniversaire et dont elle était très fière, en le manipulant elle a photographié la porte des toilettes. Le flash s’est déclenché automatiquement..... L’image est remarquablement nette.
Quand à Vienne, le Wagon a commencé à se vider, nous nous sommes installés, côte à côte....Elle me parlait, de sa vie, de ses parents, de ses études....Nous fréquentions la même école. Elle entamait sa première année, moi ma troisième. Je me souviens juste de ses yeux qui brillaient et des reflets roux qui courraient sur le Rhône ce matin de décembre entre neige et soleil.
* * *
Neige de février la nuit.
Ça, c’est une drôle de photo toute floue. La neige tombait à gros flocons. C’était la nuit. Nous avions fait l’amour pendant des heures, probablement plusieurs fois de suite.
C’est elle qui m’a réveillé pour que je voie tomber la neige. Je me souviens m’être dit que c’était un peu idiot... La neige à Lyon en février, ça ne me semblait pas un spectacle inhabituel.
Toute nue, elle regardait la neige qui recouvrait le jardin en contrebas en me disant c’est beau non ? Moi j’étais derrière son dos, et je regardais ses petites fesses qui reflétaient la lumière jaune des lampadaires de la rue. J’ai saisi l’appareil posé sur la table du salon. C’est à cet instant qu’elle s’est retournée pour me sourire. Je n’ai pas interrompu mon geste, et j’ai pris la neige à travers la fenêtre. Elle s’est mise à genoux pour me prendre dans sa bouche. Elle n’avait jamais fait cela. Elle voulait me faire plaisir, elle s’y prenait plutôt mal. Nous avons encore une fois fait l’amour....
La photo est ratée et le labo ne nous l’a pas facturée, si l’on regarde attentivement, encore faut-il le savoir, on distingue vaguement le reflet de son dos..
* * *
Premières vacances à Biarritz
Celle-ci c’est mon frère qui l’a prise. On est au début de l’été sur la promenade qui longe la plage de Biarritz. Le ciel est bleu lumineux. Je me souviens de l’odeur des frites et de l’ambre solaire qui évoquait le temps des vacances. Les couleurs de la photo sont chaudes et saturées.
Le vent rabat ses cheveux vers l’avant, couvrant une partie de son visage. Elle ne pose pas et rit de toutes ses dents.
Nous nous étions baignés, l’eau était encore un peu fraiche. Elle porte une jupe rouge légère qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Prétextant que l’eau était très salée et qu’elle avait oublié emporter de quoi se changer, elle était restée nue sous ses vêtements.
Par jeu ou par défi, et sans que je le lui demande, elle est restée toute la journée dans la même tenue.
C’est la semaine ou elle a voulu emprunter avec moi de nouvelles voies sensuelles.
* * *
Le collier de perles
C’est l’hiver, toujours à Biarritz. Le regard buté et la lèvre tremblante, elle ne veut pas me parler.
Mes parents nous ont invités au restaurant. À la fin du repas, ma mère remarque qu’elle porte le collier en perles que je lui ai offert deux mois plus tôt. C’est à cet instant qu’elle découvre mon mensonge... le premier... en le lui offrant, je lui avais fait croire que je l’avais acheté lors d’une vente aux enchères. Ma mère lui apprend qu’il s’agit du collier de ma grand-mère. Ma mère parle toujours trop. J’aurais voulu qu’elle se taise. J’aurais voulu être ailleurs. Le choc est d’autant plus rude que le cadeau l’avait surprise.
Elle apprendra un an plus tard que ce n’était même pas de vraies perles.
C’est ce soir, je crois qu’elle à appris à ne plus m’aimer autant.
* * *
Festival d’Avignon
Photo de groupe, quelques mois plus tard. Un stage de théâtre à Avignon. Nous assistions à une ou deux représentations par jour et avions droit à l’explication de texte détaillée de l’artiste. Nous ne nous connaissions pas auparavant et ne sommes jamais revus depuis. Je ne parviens pas à mettre un nom ou un prénom sur le moindre visage.
Le cliché a été pris à la terrasse d’un café proche du palais des papes. Nous sommes côte à côte, sans tout à fait me tourner le dos, elle ne semble pas me prêter attention. Elle a sympathisé avec un garçon qui ressemble à un moniteur de ski ou de planche à voile. Il est grand, blond, les yeux clairs, l’allure assurée des hommes que les femmes recherchent ; j’ai l’air d’un môme à ses côtés.
Elle lui propose de venir nous voir à Lyon et insiste pour qu’il note le numéro de téléphone. Je sais que si elle le revoit, ce ne sera pas pour parler théâtre... Nous n’avons jamais évoqué cet épisode par la suite. Je ne suis pas certain qu’elle aurait souhaité m’associer à la réalisation de son fantasme.
* * *
Nouvel An dans le Jura
Sur celle-ci, on la voit, en train de danser. Nous sommes dans un gite dans le Jura et fêtons le Nouvel An avec un groupe d’étudiants que nous connaissons depuis quelques semaines seulement et ne reverrons jamais.
La musique est forte... tout le monde a déjà beaucoup bu. La pièce est enfumée, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres, dehors il fait -20° ou moins encore.
Je la savais opposée à toute consommation de stupéfiant, mais ce soir-là, elle s’est servi une énorme part de space cake et peut être un cachet d’ectazy également.
Elle est devenue très câline, m’a attiré dans un coin un peu à l’écart, m’a pris la main, dégrafant elle-même un bouton de son jean pour dégager sa taille et m’a demandé de la caresser jusqu’à l’orgasme. Elle me regardait droit dans les yeux, tandis que ma main s’activait... je l’ai sentie se détendre comme un ressort cassé. Elle venait de jouir. Après cela, elle est partie danser, puis je l’ai perdue de vue pendant une heure ou deux jusqu’au moment où elle est venue me chercher, pour que je lui fasse l’amour sous la douche. Son sexe était humide au point que je me demande encore si je n’ai pas confondu son excitation intime avec le sperme d’un autre.
Un mois plus tard, nous étions séparés. Il me semble que c’est à cette occasion que nous avons fait l’amour pour la dernière fois.
* * *
Nuit de féria à Nîmes
Là, c’est moi de nuit, le crâne rasé, l’œil sombre, marchant dans les rues de Nîmes en pleine feria. Je suis militaire, à l’époque on disait bidasse.
Nous sommes séparés depuis plusieurs mois. Nous n’avons plus que quelques rares contacts téléphoniques.
Je sais qu’elle vit à présent dans cette ville.
J’ai l’air préoccupé et sérieux..., je me souviens que j’étais en fait à la fois triste que notre histoire soit terminée et inquiet de la rencontrer accompagnée d’un autre, qui serait forcément plus grand et plus beau que moi.
Mon ami, qui m’a invité se moque de moi.... La rue est en fête. Tout le monde rit et danse autour de nous, tandis que nous marchons en parlant du sens de la vie.
* * *
En revenant de Nîmes, un matin.....
Dans cette photo, prise d’un radar routier, à l’entrée de Nîmes, on me voit seul au volant de ma voiture. Je suis pressé d’arriver à destination.
Elle m’avait invité à venir lui rendre visite dans son deux pièces à Nîmes, pour diner.
Je n’étais plus militaire et nous ne nous étions pas revus depuis une année.
Elle m’attendait chez elle. Je suis venu les mains dans les poches, sans une bouteille ni même un bouquet de fleurs. Elle semblait heureuse de me revoir, me gratifiant de son sourire magnifique.
Tous deux assis à même le tapis de son salon, je l’écoutais me parler de son travail, de sa vie, de sa mère. Le téléphone a sonné. Elle a décroché, j’ai compris qu’elle parlait à son nouvel amoureux. Adossée à un mur, ses talons posés à plat, elle lissait sa jupe et la rajustait en me regardant sans cesser de parler. Elle a légèrement entrouvert ses genoux d’un geste faussement involontaire, me dévoilant un court instant une tache blanche entre ses cuisses.
Après qu’elle ait raccroché sur un mot tendre chargé de promesses érotiques, nous avons repris notre discussion. Il faisait chaud ce soir-là, mais la température était supportable. Elle s’est levée d’un geste nerveux, me déclarant que son string la grattait et lui rentrait dans les fesses, l’a retiré rapidement en me tournant le dos. Sagement installée sur son canapé en toile, elle est nue sous sa jupe. Elle joue, prenant garde à ce que je n’interprète aucune de ses attitudes comme un signal érotique.
J’aurais dû l’embrasser, me jeter sur elle, la prendre, sans même la déshabiller, ramper sous elle pour la dévorer. Mais ce soir, je suis resté assis sur son tapis carré... j’ai continué à parler et à boire ; à parler encore et à boire aussi.
Nous avons dormi ensemble. Je n’étais de toute façon pas en état de reprendre la route. Allongée, dos contre mon ventre dans son lit, elle était nue. J’étais saoul et m’en voulais de ne pas avoir su réfréner ma pulsion alcoolique. Comprenant qu’il ne pouvait désormais plus y avoir que de la tendresse entre nous, elle s’est saisi de ma main droite afin de couvrir son sein gauche et s’est rapidement endormie.
* * *
Photo sur le net
Je ne l’ai plus jamais croisée. Récemment, en tapant son nom sur un moteur de recherche, j’ai vu son visage apparaitre sur une photo qui semblait avoir été scannée à partir d’une pièce d’identité.
Près de trente ans plus tard, elle n’a pas changé. Elle est toujours aussi souriante et ne fait pas son âge.
En revoyant cette image, me revenaient en mémoire les deux années que nous avions passées ensemble. Elle était toujours célibataire et vivait encore dans le sud. Je me suis demandé ce qu’il serait passé si je ne lui avais pas menti à propos du collier de perles. Peut-être aurions-nous prolongé notre histoire. Nous aurions certainement eu des enfants et la séparation n’en aurait été que plus douloureuse. Nous n’étions pas destinés à rester ensemble toute notre vie.
J’ai quelques remords, mais aucun regret. Je conserve un souvenir attendri de ma première histoire d’amour.
* * *
Elle n’a pas tout oublié
Ma mère est passée à la maison hier soir. Après quinze ans de célibat, elle a enfin décidé de refaire sa vie dans une autre ville avec son nouveau compagnon. C’est fou ce que l’on peut jeter quand on déménage. Je lui avais dit que je ne voulais pas qu’elle se débarrasse de quoi que ce soit qui m’appartient sans me le dire. Elle a tenu parole et m’a rapporté hier, une malle pleine de vêtements d’enfants et une surprise. La surprise c’est cette boite en carton qui déborde de vieux souvenirs que je suis en train d’effeuiller, seule, sur la table de mon salon.
Au fond de la boite, une enveloppe rose. Dans l’enveloppe, quelques photos de moi, encore adolescente. Mes sœurs et moi fêtant mes dix-huit ans, mon chat, mes premiers et derniers essais de photographie artistique. Puis retournée, parmi d’autres ; je suis sûr qu’elle a ouvert l’enveloppe, un cliché, ou je m’adonne au plaisir naturiste au bord d’une rivière par une claire journée d’été. Je suis debout, bien sûr toute nue, et la photo a été prise de surplomb. Mon corps est un peu déformé par la perspective plongeante. Je suis bronzée des pieds à la tête, sans la moindre marque de maillot de bain. J’avais encore mes petits seins, qui me complexaient tant, que je me suis fait refaire pour mes trente ans.
J’avais oublié l’existence de cette image, mais je me souviens de cette journée. Je ferme les yeux et elle revit en moi.
Nous avions décidé de nous baigner dans le Gardon. Ma sœur avait voulu nous accompagner avec son petit ami iranien. Lui nous conduisait, dans sa 504 décapotable rouge.
Il faisait très chaud, et nous voulions nous baigner. Il ne supportait pas la promiscuité et refusait toutes les plages que nous lui proposions, nous avons roulé, puis marché longtemps pour trouver un endroit qui ne soit pas envahi de familles.
Il était beau ce jour-là, très brun, ses cheveux bouclés flottaient au vent. Ses lunettes de soleil lui donnaient un air absent. J’avais envie de le toucher, de gouter sa peau que je devinais salée. Lui, conduisait, sans dire un mot le regard fixé sur la route.
C’est moi qui après notre baignade ai pris l’initiative de me débarrasser de mon slip de bain, pour bronzer toute nue. Il ne s’est pas fait prier longtemps et s’est lui aussi complètement dévêtu. Ma sœur était dans l’eau en compagnie de son invité. Visiblement gênés, ils n’osaient plus nous rejoindre.
Allongée sur le ventre, je somnolais, goutant l’odeur des pins, la douceur du soleil et le chant des cigales. Je me sentais bien dans mon corps, j’ai senti sa main huilée d’abord se poser sur mon épaule puis investir le reste de mon corps. J’avais envie qu’il continue sa caresse, qu’il l’a précise et de ses doigts me fasse jouir maintenant.
Je me suis levée et d’un geste de la tête l’ai invitée à me suivre. Sous un arbre, je me suis assise face à lui, tournant le dos à la rivière. Écartant légèrement les genoux, je n’ai pas eu besoin de dire pour qu’il comprenne ce que je désirais. Je voulais me sentir fouillée, caressée, excitée... Je n’ai jamais retrouvé un homme qui sache aussi bien me faire jouir de ces doigts. Il m’a caressée, longuement, lentement, avec la précision et la douceur d’une femme. Je le regardais dans les yeux et sentait son trouble alors que le plaisir rapidement montait de mon ventre d’abord par vagues, puis comme un flot continu. C’est à ce moment que sans cesser sa caresse, il s’est penché vers moi, me soufflant une parole obscène et souriante. J’ai senti mon sexe inondé de plaisir. Un petit cri m’a échappé... Je ne l’ai pas touché. Il n’a pas insisté. Il n’a jamais compris que j’attendais qu’il prenne sans attendre mon autorisation
C’est avec lui que je me suis peu à peu affranchie de mes inhibitions et du poids du regard de ma mère. Un soir, j’ai eu l’impression que je faisais l’amour avec mon frère. Je n’ai plus supporté de voir son visage face à moi. Je me suis retournée, et m’imaginant avec un autre je me suis faite jouir sans attention pour son plaisir. Je savais que notre histoire était finie. Je n’avais plus envie de lui. Il me fallait d’autres corps, d’autres odeurs, ressentir les émotions du début.
Nous nous sommes quittés sans qu’il insiste pour me retenir. Il avait l’air triste des amants révoqués. Je ne l’admirais plus.
Nous nous sommes revus peu après notre séparation. Je voulais qu’il me prenne, qu’il me maltraite et me baise.... mais, il n’a rien compris et a passé toute la soirée à boire et à parler.
Je ne sais plus où il vit. Il a dû vieillir et perdre sa brune beauté juvénile. Peut-être ses cheveux ont-ils blanchi. Peut-être a-t-il pris du ventre ou perdu l’éclat de son regard. Je voudrais ne jamais le recroiser. Et puis que lui dire à présent ?
Premiers mots, dans le train
Ça, c’est dans le train qui nous conduisait à Marseille. Nous ne nous connaissions pas encore. J’avais remarqué cette fille qui sur le quai m’observait. C’est elle qui m’a adressé la parole en premier. Sa tête me disait bien quelque chose, mais je ne la remettais pas. Je ne me souviens plus des premiers mots que nous avons échangés. Le train était bondé et nous n’avions pas trouvé de places où nous assoir. Debout sur la plateforme, nous nous sommes racontés ; elle souriait tout le temps, faisant comme si elle me trouvait passionnant ; moi, je faisais la roue....Elle a voulu me montrer , un petit reflex argentique autofocus, que son père lui avait offert pour son anniversaire et dont elle était très fière, en le manipulant elle a photographié la porte des toilettes. Le flash s’est déclenché automatiquement..... L’image est remarquablement nette.
Quand à Vienne, le Wagon a commencé à se vider, nous nous sommes installés, côte à côte....Elle me parlait, de sa vie, de ses parents, de ses études....Nous fréquentions la même école. Elle entamait sa première année, moi ma troisième. Je me souviens juste de ses yeux qui brillaient et des reflets roux qui courraient sur le Rhône ce matin de décembre entre neige et soleil.
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Neige de février la nuit.
Ça, c’est une drôle de photo toute floue. La neige tombait à gros flocons. C’était la nuit. Nous avions fait l’amour pendant des heures, probablement plusieurs fois de suite.
C’est elle qui m’a réveillé pour que je voie tomber la neige. Je me souviens m’être dit que c’était un peu idiot... La neige à Lyon en février, ça ne me semblait pas un spectacle inhabituel.
Toute nue, elle regardait la neige qui recouvrait le jardin en contrebas en me disant c’est beau non ? Moi j’étais derrière son dos, et je regardais ses petites fesses qui reflétaient la lumière jaune des lampadaires de la rue. J’ai saisi l’appareil posé sur la table du salon. C’est à cet instant qu’elle s’est retournée pour me sourire. Je n’ai pas interrompu mon geste, et j’ai pris la neige à travers la fenêtre. Elle s’est mise à genoux pour me prendre dans sa bouche. Elle n’avait jamais fait cela. Elle voulait me faire plaisir, elle s’y prenait plutôt mal. Nous avons encore une fois fait l’amour....
La photo est ratée et le labo ne nous l’a pas facturée, si l’on regarde attentivement, encore faut-il le savoir, on distingue vaguement le reflet de son dos..
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Premières vacances à Biarritz
Celle-ci c’est mon frère qui l’a prise. On est au début de l’été sur la promenade qui longe la plage de Biarritz. Le ciel est bleu lumineux. Je me souviens de l’odeur des frites et de l’ambre solaire qui évoquait le temps des vacances. Les couleurs de la photo sont chaudes et saturées.
Le vent rabat ses cheveux vers l’avant, couvrant une partie de son visage. Elle ne pose pas et rit de toutes ses dents.
Nous nous étions baignés, l’eau était encore un peu fraiche. Elle porte une jupe rouge légère qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Prétextant que l’eau était très salée et qu’elle avait oublié emporter de quoi se changer, elle était restée nue sous ses vêtements.
Par jeu ou par défi, et sans que je le lui demande, elle est restée toute la journée dans la même tenue.
C’est la semaine ou elle a voulu emprunter avec moi de nouvelles voies sensuelles.
* * *
Le collier de perles
C’est l’hiver, toujours à Biarritz. Le regard buté et la lèvre tremblante, elle ne veut pas me parler.
Mes parents nous ont invités au restaurant. À la fin du repas, ma mère remarque qu’elle porte le collier en perles que je lui ai offert deux mois plus tôt. C’est à cet instant qu’elle découvre mon mensonge... le premier... en le lui offrant, je lui avais fait croire que je l’avais acheté lors d’une vente aux enchères. Ma mère lui apprend qu’il s’agit du collier de ma grand-mère. Ma mère parle toujours trop. J’aurais voulu qu’elle se taise. J’aurais voulu être ailleurs. Le choc est d’autant plus rude que le cadeau l’avait surprise.
Elle apprendra un an plus tard que ce n’était même pas de vraies perles.
C’est ce soir, je crois qu’elle à appris à ne plus m’aimer autant.
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Festival d’Avignon
Photo de groupe, quelques mois plus tard. Un stage de théâtre à Avignon. Nous assistions à une ou deux représentations par jour et avions droit à l’explication de texte détaillée de l’artiste. Nous ne nous connaissions pas auparavant et ne sommes jamais revus depuis. Je ne parviens pas à mettre un nom ou un prénom sur le moindre visage.
Le cliché a été pris à la terrasse d’un café proche du palais des papes. Nous sommes côte à côte, sans tout à fait me tourner le dos, elle ne semble pas me prêter attention. Elle a sympathisé avec un garçon qui ressemble à un moniteur de ski ou de planche à voile. Il est grand, blond, les yeux clairs, l’allure assurée des hommes que les femmes recherchent ; j’ai l’air d’un môme à ses côtés.
Elle lui propose de venir nous voir à Lyon et insiste pour qu’il note le numéro de téléphone. Je sais que si elle le revoit, ce ne sera pas pour parler théâtre... Nous n’avons jamais évoqué cet épisode par la suite. Je ne suis pas certain qu’elle aurait souhaité m’associer à la réalisation de son fantasme.
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Nouvel An dans le Jura
Sur celle-ci, on la voit, en train de danser. Nous sommes dans un gite dans le Jura et fêtons le Nouvel An avec un groupe d’étudiants que nous connaissons depuis quelques semaines seulement et ne reverrons jamais.
La musique est forte... tout le monde a déjà beaucoup bu. La pièce est enfumée, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres, dehors il fait -20° ou moins encore.
Je la savais opposée à toute consommation de stupéfiant, mais ce soir-là, elle s’est servi une énorme part de space cake et peut être un cachet d’ectazy également.
Elle est devenue très câline, m’a attiré dans un coin un peu à l’écart, m’a pris la main, dégrafant elle-même un bouton de son jean pour dégager sa taille et m’a demandé de la caresser jusqu’à l’orgasme. Elle me regardait droit dans les yeux, tandis que ma main s’activait... je l’ai sentie se détendre comme un ressort cassé. Elle venait de jouir. Après cela, elle est partie danser, puis je l’ai perdue de vue pendant une heure ou deux jusqu’au moment où elle est venue me chercher, pour que je lui fasse l’amour sous la douche. Son sexe était humide au point que je me demande encore si je n’ai pas confondu son excitation intime avec le sperme d’un autre.
Un mois plus tard, nous étions séparés. Il me semble que c’est à cette occasion que nous avons fait l’amour pour la dernière fois.
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Nuit de féria à Nîmes
Là, c’est moi de nuit, le crâne rasé, l’œil sombre, marchant dans les rues de Nîmes en pleine feria. Je suis militaire, à l’époque on disait bidasse.
Nous sommes séparés depuis plusieurs mois. Nous n’avons plus que quelques rares contacts téléphoniques.
Je sais qu’elle vit à présent dans cette ville.
J’ai l’air préoccupé et sérieux..., je me souviens que j’étais en fait à la fois triste que notre histoire soit terminée et inquiet de la rencontrer accompagnée d’un autre, qui serait forcément plus grand et plus beau que moi.
Mon ami, qui m’a invité se moque de moi.... La rue est en fête. Tout le monde rit et danse autour de nous, tandis que nous marchons en parlant du sens de la vie.
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En revenant de Nîmes, un matin.....
Dans cette photo, prise d’un radar routier, à l’entrée de Nîmes, on me voit seul au volant de ma voiture. Je suis pressé d’arriver à destination.
Elle m’avait invité à venir lui rendre visite dans son deux pièces à Nîmes, pour diner.
Je n’étais plus militaire et nous ne nous étions pas revus depuis une année.
Elle m’attendait chez elle. Je suis venu les mains dans les poches, sans une bouteille ni même un bouquet de fleurs. Elle semblait heureuse de me revoir, me gratifiant de son sourire magnifique.
Tous deux assis à même le tapis de son salon, je l’écoutais me parler de son travail, de sa vie, de sa mère. Le téléphone a sonné. Elle a décroché, j’ai compris qu’elle parlait à son nouvel amoureux. Adossée à un mur, ses talons posés à plat, elle lissait sa jupe et la rajustait en me regardant sans cesser de parler. Elle a légèrement entrouvert ses genoux d’un geste faussement involontaire, me dévoilant un court instant une tache blanche entre ses cuisses.
Après qu’elle ait raccroché sur un mot tendre chargé de promesses érotiques, nous avons repris notre discussion. Il faisait chaud ce soir-là, mais la température était supportable. Elle s’est levée d’un geste nerveux, me déclarant que son string la grattait et lui rentrait dans les fesses, l’a retiré rapidement en me tournant le dos. Sagement installée sur son canapé en toile, elle est nue sous sa jupe. Elle joue, prenant garde à ce que je n’interprète aucune de ses attitudes comme un signal érotique.
J’aurais dû l’embrasser, me jeter sur elle, la prendre, sans même la déshabiller, ramper sous elle pour la dévorer. Mais ce soir, je suis resté assis sur son tapis carré... j’ai continué à parler et à boire ; à parler encore et à boire aussi.
Nous avons dormi ensemble. Je n’étais de toute façon pas en état de reprendre la route. Allongée, dos contre mon ventre dans son lit, elle était nue. J’étais saoul et m’en voulais de ne pas avoir su réfréner ma pulsion alcoolique. Comprenant qu’il ne pouvait désormais plus y avoir que de la tendresse entre nous, elle s’est saisi de ma main droite afin de couvrir son sein gauche et s’est rapidement endormie.
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Photo sur le net
Je ne l’ai plus jamais croisée. Récemment, en tapant son nom sur un moteur de recherche, j’ai vu son visage apparaitre sur une photo qui semblait avoir été scannée à partir d’une pièce d’identité.
Près de trente ans plus tard, elle n’a pas changé. Elle est toujours aussi souriante et ne fait pas son âge.
En revoyant cette image, me revenaient en mémoire les deux années que nous avions passées ensemble. Elle était toujours célibataire et vivait encore dans le sud. Je me suis demandé ce qu’il serait passé si je ne lui avais pas menti à propos du collier de perles. Peut-être aurions-nous prolongé notre histoire. Nous aurions certainement eu des enfants et la séparation n’en aurait été que plus douloureuse. Nous n’étions pas destinés à rester ensemble toute notre vie.
J’ai quelques remords, mais aucun regret. Je conserve un souvenir attendri de ma première histoire d’amour.
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Elle n’a pas tout oublié
Ma mère est passée à la maison hier soir. Après quinze ans de célibat, elle a enfin décidé de refaire sa vie dans une autre ville avec son nouveau compagnon. C’est fou ce que l’on peut jeter quand on déménage. Je lui avais dit que je ne voulais pas qu’elle se débarrasse de quoi que ce soit qui m’appartient sans me le dire. Elle a tenu parole et m’a rapporté hier, une malle pleine de vêtements d’enfants et une surprise. La surprise c’est cette boite en carton qui déborde de vieux souvenirs que je suis en train d’effeuiller, seule, sur la table de mon salon.
Au fond de la boite, une enveloppe rose. Dans l’enveloppe, quelques photos de moi, encore adolescente. Mes sœurs et moi fêtant mes dix-huit ans, mon chat, mes premiers et derniers essais de photographie artistique. Puis retournée, parmi d’autres ; je suis sûr qu’elle a ouvert l’enveloppe, un cliché, ou je m’adonne au plaisir naturiste au bord d’une rivière par une claire journée d’été. Je suis debout, bien sûr toute nue, et la photo a été prise de surplomb. Mon corps est un peu déformé par la perspective plongeante. Je suis bronzée des pieds à la tête, sans la moindre marque de maillot de bain. J’avais encore mes petits seins, qui me complexaient tant, que je me suis fait refaire pour mes trente ans.
J’avais oublié l’existence de cette image, mais je me souviens de cette journée. Je ferme les yeux et elle revit en moi.
Nous avions décidé de nous baigner dans le Gardon. Ma sœur avait voulu nous accompagner avec son petit ami iranien. Lui nous conduisait, dans sa 504 décapotable rouge.
Il faisait très chaud, et nous voulions nous baigner. Il ne supportait pas la promiscuité et refusait toutes les plages que nous lui proposions, nous avons roulé, puis marché longtemps pour trouver un endroit qui ne soit pas envahi de familles.
Il était beau ce jour-là, très brun, ses cheveux bouclés flottaient au vent. Ses lunettes de soleil lui donnaient un air absent. J’avais envie de le toucher, de gouter sa peau que je devinais salée. Lui, conduisait, sans dire un mot le regard fixé sur la route.
C’est moi qui après notre baignade ai pris l’initiative de me débarrasser de mon slip de bain, pour bronzer toute nue. Il ne s’est pas fait prier longtemps et s’est lui aussi complètement dévêtu. Ma sœur était dans l’eau en compagnie de son invité. Visiblement gênés, ils n’osaient plus nous rejoindre.
Allongée sur le ventre, je somnolais, goutant l’odeur des pins, la douceur du soleil et le chant des cigales. Je me sentais bien dans mon corps, j’ai senti sa main huilée d’abord se poser sur mon épaule puis investir le reste de mon corps. J’avais envie qu’il continue sa caresse, qu’il l’a précise et de ses doigts me fasse jouir maintenant.
Je me suis levée et d’un geste de la tête l’ai invitée à me suivre. Sous un arbre, je me suis assise face à lui, tournant le dos à la rivière. Écartant légèrement les genoux, je n’ai pas eu besoin de dire pour qu’il comprenne ce que je désirais. Je voulais me sentir fouillée, caressée, excitée... Je n’ai jamais retrouvé un homme qui sache aussi bien me faire jouir de ces doigts. Il m’a caressée, longuement, lentement, avec la précision et la douceur d’une femme. Je le regardais dans les yeux et sentait son trouble alors que le plaisir rapidement montait de mon ventre d’abord par vagues, puis comme un flot continu. C’est à ce moment que sans cesser sa caresse, il s’est penché vers moi, me soufflant une parole obscène et souriante. J’ai senti mon sexe inondé de plaisir. Un petit cri m’a échappé... Je ne l’ai pas touché. Il n’a pas insisté. Il n’a jamais compris que j’attendais qu’il prenne sans attendre mon autorisation
C’est avec lui que je me suis peu à peu affranchie de mes inhibitions et du poids du regard de ma mère. Un soir, j’ai eu l’impression que je faisais l’amour avec mon frère. Je n’ai plus supporté de voir son visage face à moi. Je me suis retournée, et m’imaginant avec un autre je me suis faite jouir sans attention pour son plaisir. Je savais que notre histoire était finie. Je n’avais plus envie de lui. Il me fallait d’autres corps, d’autres odeurs, ressentir les émotions du début.
Nous nous sommes quittés sans qu’il insiste pour me retenir. Il avait l’air triste des amants révoqués. Je ne l’admirais plus.
Nous nous sommes revus peu après notre séparation. Je voulais qu’il me prenne, qu’il me maltraite et me baise.... mais, il n’a rien compris et a passé toute la soirée à boire et à parler.
Je ne sais plus où il vit. Il a dû vieillir et perdre sa brune beauté juvénile. Peut-être ses cheveux ont-ils blanchi. Peut-être a-t-il pris du ventre ou perdu l’éclat de son regard. Je voudrais ne jamais le recroiser. Et puis que lui dire à présent ?
Lun 12 Mars 2012, 22:57 par
francisco varga sur Histoires d'amour
Où sont passés les romantiques
je répondrais, qu’effectivement où ils sont? les hommes ne courtisent plus, comme avant, la séduction est rapide et bâclée .. il n’y a plus ces moments où les émois nous transportaient, et nous faisaient autant frissonner.. Ils n’ont pas encore compris comment on "fonctionnait.." il reste heureusement des hommes, et des femmes qui apprécient ces moments, passés a deux, par simplement une ballade main dans la main, la petite fleur posée sur la table, le petit mot ,etc...
et surtout dire ces mots qu’on attend toujours.. Parfois le je t’aime ne suffit pas pour d’autres si.. Les attentions, sont très importantes...
et surtout dire ces mots qu’on attend toujours.. Parfois le je t’aime ne suffit pas pour d’autres si.. Les attentions, sont très importantes...
Dim 11 Mars 2012, 18:05 par
caressedesyeux sur La séduction
La photo recollée
Ce photographe, le solitaire, balade ses pieds un peu partout, le nez en l’air, scrutant autour, une belle chose à son regard.
Sa sensibilité ainsi promenée, s’ouvre au monde qui l’entoure, quand d’un coup d’oeil il aperçoit, la scène qui lui va.
Comme un félin qui voit sa proie, il stoppe net ses pas, prend position en armant bien, son appareil à l’oeil droit.
Quelques réglages, par-ci par-là, encore un clic, c’est bon ça va !
Ce photographe est bien content, d’avoir usé de son talent.
Il rentre heureux de sa passion, heureux d’avoir figé le temps.
Tandis qu’ailleurs, non loin de là, son amoureuse attend un peu, sensible à l’art de son aimé, elle voudrait qu’il l’aime autant.
Ce sentiment d’être une photo trop regardée, qu’on ne voit plus, habitué, mais qui est là, mal encadrée.
Une photo un peu abîmée, qui a déjà été recollée.
On y voit bien les déchirures, ça n’est vraiment pas reluisant,
alors comme c’est insupportable, on pense vraiment à la jeter.
De toute façon, on le savait, elle était mal rassemblée.
On voyait bien sous l’adhésif, que ça avait été vite fait.
On a voulu la réparer mais les bouts sont mal rapprochés.
Le photographe en la voyant, pleurait tout le temps,
et l’amoureuse en y passant, pleurait tout le temps.
Trop de pleurs pour une photo, le photographe décida donc
Que cette image si déchiquetée devait maintenant s’envoler.
Avec une larme il l’arracha, son amoureuse n’était plus là.
Quel soulagement de ne plus voir, ces déchirures sur la photo,
Une belle photo à son départ, mais on ne voyait que les fissures.
Et maintenant on ne voit plus rien, c’est un peu vide à cet endroit,
Il n’y a plus les déchirures, mais plus non plus le doux visage.
« Ce n’est pas grave » dit le photographe à son amoureuse, « tu sais mon coeur on en fera une autre ».
« Ce ne sera pas la même » répondit-elle.
« Tant mieux » dit-il, « elle sera mieux parce que dessus on sera deux ».
Sa sensibilité ainsi promenée, s’ouvre au monde qui l’entoure, quand d’un coup d’oeil il aperçoit, la scène qui lui va.
Comme un félin qui voit sa proie, il stoppe net ses pas, prend position en armant bien, son appareil à l’oeil droit.
Quelques réglages, par-ci par-là, encore un clic, c’est bon ça va !
Ce photographe est bien content, d’avoir usé de son talent.
Il rentre heureux de sa passion, heureux d’avoir figé le temps.
Tandis qu’ailleurs, non loin de là, son amoureuse attend un peu, sensible à l’art de son aimé, elle voudrait qu’il l’aime autant.
Ce sentiment d’être une photo trop regardée, qu’on ne voit plus, habitué, mais qui est là, mal encadrée.
Une photo un peu abîmée, qui a déjà été recollée.
On y voit bien les déchirures, ça n’est vraiment pas reluisant,
alors comme c’est insupportable, on pense vraiment à la jeter.
De toute façon, on le savait, elle était mal rassemblée.
On voyait bien sous l’adhésif, que ça avait été vite fait.
On a voulu la réparer mais les bouts sont mal rapprochés.
Le photographe en la voyant, pleurait tout le temps,
et l’amoureuse en y passant, pleurait tout le temps.
Trop de pleurs pour une photo, le photographe décida donc
Que cette image si déchiquetée devait maintenant s’envoler.
Avec une larme il l’arracha, son amoureuse n’était plus là.
Quel soulagement de ne plus voir, ces déchirures sur la photo,
Une belle photo à son départ, mais on ne voyait que les fissures.
Et maintenant on ne voit plus rien, c’est un peu vide à cet endroit,
Il n’y a plus les déchirures, mais plus non plus le doux visage.
« Ce n’est pas grave » dit le photographe à son amoureuse, « tu sais mon coeur on en fera une autre ».
« Ce ne sera pas la même » répondit-elle.
« Tant mieux » dit-il, « elle sera mieux parce que dessus on sera deux ».
Mer 07 Mars 2012, 19:40 par
ungraindesand sur L'amour en vrac
Borderline
J’ai bien vécu jusqu’ici, ça peut paraître très surfait du haut des mes 20 ans, mais je me sens accompli. J’ai l’impression d’avoir vécu, je suis né, j’ai ressenti l’amour, la tristesse, puis le dégout de l’humanité. La frustration, le besoin, le manque, l’envie, l’idée, le bien etre, le malaise, l’état second, tertiaire..
Aujourd’hui je ressens de plus en plus de deception surtout. Ce monde part en depression.
Que ce soit ses habitants, ses politiques ou ses idéaux, tout s’écroule. Je ne crois plus en rien, je me sens éloigné de tous.
Aujourd’hui je marchais dans la rue, une rue vide, calme. Rien ne déconcentrait, je n’avais meme pas à penser, juste à lever la tete pour profiter du vent qui passait sur mon visage. Le vent, calme, qui caresse, dans un leger sifflement.
De cette rue enchanteresse, je suis arrivé à la sortie des facultés, des lycées, du travail, ces endroits ou une cacophonie se créée sans s’en rendre compte, elle s’installe et pollue l’esprit. Les gens sortant de leurs établissements ont l’air de tout savoir, ils sourient, rient, crient, draguent, insultent.
Ils m’execrent, tout comme le reste du monde. Quand je ne connait pas quelqu’un, je remarque d’abord ses défauts. Quand je le connais trop, ses défauts ressortent.
La plupart des gens présentent une confiance en eux trop élevées, je n’ai malheureusement pas cette capacité, je me deteste d’abord, et je hais ensuite le reste du monde.
Aujourd’hui je me suis senti vivant, je me suis saoulé, je me suis suspendu au balcon, le sol me hurlant de lacher prise, de le rejoindre. L’entre deux, entre la vie et la mort me fait revivre, je sais que les deux m’attire, autant la vie est pleine de surprise a condition de ne pas la gacher, d’en profiter et de ne pas se perdre dans une monotonie choisie. La mort appelle les plus fous par son inconnue, sa sensation de liberté, son oubli de soi. Je ne sais jamais laquelle choisir.
Aujourd’hui j’ai une copine, depuis plusieures années ma vie se répéte, grâce à elle, progressivement je m’éloigne, je tourne en augmentant le diametre de mes périgrinations, mais le centre reste cette femme. J’ai toujours eu envie de tout lacher et de disparaître et cette sensation de point fixe me bloque, je ne veux pas m’en séparer, préférant la simplicité de la vie réglée. Je devrais, je le sais.
Vivre est mon principe, surtout si c’est pour mourir, le principal est de vivre avant, de mourir en me disant que j’accomplis, que je ressens, que je profite. Je veux etre seul et vivre seul, accompagnant d’autres ames seules qui me croiseraient pour ensuite repartir dans leur direction initiale.
Putain, tout ce que je veux c’est vivre.
Aujourd’hui je me suis rendu compte que meme après 3 mois d’effort j’ai l’impression de ne pas à retrouver mon amour pour ma femme. Je veux mourir.
Aujourd’hui, elle est partie. Je l’ai trop fait souffrir par mon détachement. Je veux toujours mourir.
Je l’ai perdu, par la même occasion, je me suis rendu compte qu’elle était la vie qui m’appellait, la prochaine fois que le choix se représente, j’irais vers l’inconnu.
Je veux qu’elle revienne mais je ne veux pas qu’elle souffre. Je veux l’avoir près de moi mais je ne veux plus la voir pleurer. J’ai besoin de sa peau contre la mienne mais je ne veux plus la décevoir.
Je suis autodestructeur.
Je sais maintenant, je l’aime et je l’aimerais toujours. Elle m’a enfoncé une tige métallique chauffée au rouge dans le thorax, a fait des merveilles pour ne pas toucher les coronaires, et à gravé son nom dans mon myocarde.
Je ne suis qu’un crétin, tout comme le reste du monde. Je veux la voir vivre heureuse, sans que mon coté destructeur ne l’atteigne, j’aimerais que mon esprit l’accompagne partout et l’aide, sans qu’elle ne puisse me voir.
Aujourd’hui je ressens de plus en plus de deception surtout. Ce monde part en depression.
Que ce soit ses habitants, ses politiques ou ses idéaux, tout s’écroule. Je ne crois plus en rien, je me sens éloigné de tous.
Aujourd’hui je marchais dans la rue, une rue vide, calme. Rien ne déconcentrait, je n’avais meme pas à penser, juste à lever la tete pour profiter du vent qui passait sur mon visage. Le vent, calme, qui caresse, dans un leger sifflement.
De cette rue enchanteresse, je suis arrivé à la sortie des facultés, des lycées, du travail, ces endroits ou une cacophonie se créée sans s’en rendre compte, elle s’installe et pollue l’esprit. Les gens sortant de leurs établissements ont l’air de tout savoir, ils sourient, rient, crient, draguent, insultent.
Ils m’execrent, tout comme le reste du monde. Quand je ne connait pas quelqu’un, je remarque d’abord ses défauts. Quand je le connais trop, ses défauts ressortent.
La plupart des gens présentent une confiance en eux trop élevées, je n’ai malheureusement pas cette capacité, je me deteste d’abord, et je hais ensuite le reste du monde.
Aujourd’hui je me suis senti vivant, je me suis saoulé, je me suis suspendu au balcon, le sol me hurlant de lacher prise, de le rejoindre. L’entre deux, entre la vie et la mort me fait revivre, je sais que les deux m’attire, autant la vie est pleine de surprise a condition de ne pas la gacher, d’en profiter et de ne pas se perdre dans une monotonie choisie. La mort appelle les plus fous par son inconnue, sa sensation de liberté, son oubli de soi. Je ne sais jamais laquelle choisir.
Aujourd’hui j’ai une copine, depuis plusieures années ma vie se répéte, grâce à elle, progressivement je m’éloigne, je tourne en augmentant le diametre de mes périgrinations, mais le centre reste cette femme. J’ai toujours eu envie de tout lacher et de disparaître et cette sensation de point fixe me bloque, je ne veux pas m’en séparer, préférant la simplicité de la vie réglée. Je devrais, je le sais.
Vivre est mon principe, surtout si c’est pour mourir, le principal est de vivre avant, de mourir en me disant que j’accomplis, que je ressens, que je profite. Je veux etre seul et vivre seul, accompagnant d’autres ames seules qui me croiseraient pour ensuite repartir dans leur direction initiale.
Putain, tout ce que je veux c’est vivre.
Aujourd’hui je me suis rendu compte que meme après 3 mois d’effort j’ai l’impression de ne pas à retrouver mon amour pour ma femme. Je veux mourir.
Aujourd’hui, elle est partie. Je l’ai trop fait souffrir par mon détachement. Je veux toujours mourir.
Je l’ai perdu, par la même occasion, je me suis rendu compte qu’elle était la vie qui m’appellait, la prochaine fois que le choix se représente, j’irais vers l’inconnu.
Je veux qu’elle revienne mais je ne veux pas qu’elle souffre. Je veux l’avoir près de moi mais je ne veux plus la voir pleurer. J’ai besoin de sa peau contre la mienne mais je ne veux plus la décevoir.
Je suis autodestructeur.
Je sais maintenant, je l’aime et je l’aimerais toujours. Elle m’a enfoncé une tige métallique chauffée au rouge dans le thorax, a fait des merveilles pour ne pas toucher les coronaires, et à gravé son nom dans mon myocarde.
Je ne suis qu’un crétin, tout comme le reste du monde. Je veux la voir vivre heureuse, sans que mon coté destructeur ne l’atteigne, j’aimerais que mon esprit l’accompagne partout et l’aide, sans qu’elle ne puisse me voir.
Dim 04 Mars 2012, 05:27 par
Liveher sur L'amour en vrac
L'amour triste de ma vie
Qu’est ce que j’ai bien pu te faire pour que tu veuilles autant me faire souffrir. Je me le demande très souvent... mais la réponse ne vient jamais.
T’aimer peut-être? Mais où est le mal la dedans? Explique moi s’il te plaît.
Tu te sens incompris et pourtant je t’ai déjà dit que je voulais te comprendre. Mais tu m’as répondu que personne ne le pouvait.
Au final je me fais insulter tous les jours par une des personnes que j’aime le plus dans ce monde : *Toi. Tu me traites de pute. Tu dis que je ne suis qu’une coincée du cul. Et moi j’encaisse. Je ne dis rien. Je pleurs silencieusement dans mon coin avec comme seul soutien mes amies. Celles qui me soutiennent et qui m’aident à me relever, même si je finis toujours par retomber, je sais qu’elles ne m’abandonneront jamais. Jamais elles ne me feront ce que tu m’as fait. Mais même avec leur soutien je n’arrive plus à avancer. Je fais du surplace. J’ai trop mal. Tu m’as fait trop mal. Peut être que tu as fait tout sa parce que tu as besoin de te nourrir du malheur des autres pour survivre. Et bien dans ce cas tu n’as cas continuer. Fais moi aussi mal que tu le souhaites si c’est ce qu’il faut pour te tenir en vie. Et si il faut que je meurs pour que tu reprennes gout à la vie, vas y tue moi. La au moins ma mort aura servi à quelque chose...
Je t’aime tellement.
T’aimer peut-être? Mais où est le mal la dedans? Explique moi s’il te plaît.
Tu te sens incompris et pourtant je t’ai déjà dit que je voulais te comprendre. Mais tu m’as répondu que personne ne le pouvait.
Au final je me fais insulter tous les jours par une des personnes que j’aime le plus dans ce monde : *Toi. Tu me traites de pute. Tu dis que je ne suis qu’une coincée du cul. Et moi j’encaisse. Je ne dis rien. Je pleurs silencieusement dans mon coin avec comme seul soutien mes amies. Celles qui me soutiennent et qui m’aident à me relever, même si je finis toujours par retomber, je sais qu’elles ne m’abandonneront jamais. Jamais elles ne me feront ce que tu m’as fait. Mais même avec leur soutien je n’arrive plus à avancer. Je fais du surplace. J’ai trop mal. Tu m’as fait trop mal. Peut être que tu as fait tout sa parce que tu as besoin de te nourrir du malheur des autres pour survivre. Et bien dans ce cas tu n’as cas continuer. Fais moi aussi mal que tu le souhaites si c’est ce qu’il faut pour te tenir en vie. Et si il faut que je meurs pour que tu reprennes gout à la vie, vas y tue moi. La au moins ma mort aura servi à quelque chose...
Je t’aime tellement.
Mar 07 Fév 2012, 16:15 par
Petite.fille.perdue sur Annonces
Les mots
Les mots, mes amis, mes maîtres, pourtant glissants et traîtres, semblent mus d’une volonté propre et s’échappent de mes doigts.
Vers qui ? Pas même vers toi... Vers moi je pense. Ils sont mon coeur qui crie, mes larmes qui coulent, mon esprit qui s’envole...
Ils sont autant de pensées triées, filtrées, interdites et rejetées. Ils sont leur dernière chance de s’exprimer.
Je les vois, les lis, les crains... mais ne les efface pas... Trop furent jetés dans un coupable oubli.
Je mets ceux-là de côté, avant un jour de les retrouver, et peut-être alors aurai-je le courage de les laisser à leur destin, celui de courir vers toi, plonger dans tes yeux, devenir tiens, redevenir pensée...
Vers qui ? Pas même vers toi... Vers moi je pense. Ils sont mon coeur qui crie, mes larmes qui coulent, mon esprit qui s’envole...
Ils sont autant de pensées triées, filtrées, interdites et rejetées. Ils sont leur dernière chance de s’exprimer.
Je les vois, les lis, les crains... mais ne les efface pas... Trop furent jetés dans un coupable oubli.
Je mets ceux-là de côté, avant un jour de les retrouver, et peut-être alors aurai-je le courage de les laisser à leur destin, celui de courir vers toi, plonger dans tes yeux, devenir tiens, redevenir pensée...
Jeu 02 Fév 2012, 21:59 par
Epiméthée sur Mille choses
Notre première fois
Je voudrais qu’après notre première fois,
tu te sentes apaisé,
et que tu ne sois plus fatigué mais satisfait.
Tout à l’heure tu étais trop beau comme un coeur charmant et craquant.
Pourquoi notre timidité est-elle si violente?
En régie, c’est pas de la scène, c’est du vécu.
Et toi je te vis.
Je voulais que tu restes plus longtemps encore, je ne voulais plus que tu partes, je ne voulais pas que tu partes.
Je voulais tout te dire et en même temps ne plus parler pour te coller et t’avoir dans la peau autant que je t’ai dans le coeur.
Je voulais me baisser ramasser avec toi ce que tu fais tomber.
Comme je tombe d’amour pour toi.
Je suis en train de devenir folle d’amour de toi,
comment te dire je t’aime, mes yeux t’aiment, tu donnes des frissons à mon corps, je te ressens, tu rentres en moi et tu n’en sors plus.
Je te sens et je te veux heureux, près de moi, je veux rayer de notre dictionnaire le mot "fin".
Ta sensibilité, ton intérieur, enfin tout ce que tu dégages, ces valeurs qui ne s’achètent pas.
Tu es beau, de plus en plus, à chaque fois que mon regard se pose sur toi.
Je voudrais être tous les soirs avec toi.
Tous les jours comme le soleil est toujours là même invisible.
Le soleil n’existe pas que lorsqu’on le voit, et pour moi tu existeras toujours.
Tu es là, sur cette feuille, sur mes lèvres, partout où je vais je te prends avec moi dans mon esprit.
DANS MON COEUR
tu te sentes apaisé,
et que tu ne sois plus fatigué mais satisfait.
Tout à l’heure tu étais trop beau comme un coeur charmant et craquant.
Pourquoi notre timidité est-elle si violente?
En régie, c’est pas de la scène, c’est du vécu.
Et toi je te vis.
Je voulais que tu restes plus longtemps encore, je ne voulais plus que tu partes, je ne voulais pas que tu partes.
Je voulais tout te dire et en même temps ne plus parler pour te coller et t’avoir dans la peau autant que je t’ai dans le coeur.
Je voulais me baisser ramasser avec toi ce que tu fais tomber.
Comme je tombe d’amour pour toi.
Je suis en train de devenir folle d’amour de toi,
comment te dire je t’aime, mes yeux t’aiment, tu donnes des frissons à mon corps, je te ressens, tu rentres en moi et tu n’en sors plus.
Je te sens et je te veux heureux, près de moi, je veux rayer de notre dictionnaire le mot "fin".
Ta sensibilité, ton intérieur, enfin tout ce que tu dégages, ces valeurs qui ne s’achètent pas.
Tu es beau, de plus en plus, à chaque fois que mon regard se pose sur toi.
Je voudrais être tous les soirs avec toi.
Tous les jours comme le soleil est toujours là même invisible.
Le soleil n’existe pas que lorsqu’on le voit, et pour moi tu existeras toujours.
Tu es là, sur cette feuille, sur mes lèvres, partout où je vais je te prends avec moi dans mon esprit.
DANS MON COEUR
Ven 18 Nov 2011, 03:00 par
inlove sur La première fois
L'amour d'un frère
« L’encre est noir, les feuilles sont blanches. Dans la vie tout n’est pas noir, tout n’est pas blanc. Par exemple pour moi les jours sont noirs et les nuits sont blanches. Ma peau est moitié noire et moitié blanche. On pense au meilleur car on ne peut pas oublier le pire. Quand on a vécu dans les ténèbres, on essaye de mourir dans la lumière. On ne vit ni un cauchemar, ni un rêve. On vit, ou on survit, entre les deux en essayant de maintenir l’équilibre.
Je ne suis né ni en enfer, ni au paradis. Juste entre les deux, sur Terre. Je ne suis ni un ange, ni un démon. Juste entre les deux, un Homme. Oui juste un Homme parmi des milliards qui vit entre le bien et le mal, qui fait le fort alors qu’il est si faible. Je vis dans ce monde si beau et à la fois si méprisant. Ce monde si petit qui est à la fois si grand, si immense, qu’il est facile de s’y perdre. Ce monde, dans lequel nous sommes à la fois tout et rien. Ce monde de contradictions, où on croit tout contrôler alors que c’est l’argent qui nous contrôle. Mais il faut s’adapter, sauver les apparences pour les gens qui nous aiment, pour ne pas les décevoir. Malheureusement toutes les personnes n’y arrivent pas et ces gens là sont pointés du doigt, souvent critiqués et incompris. Pourtant ces gens qu’on laisse pour compte, parfois abandonnés de tous, ne se sont tout simplement pas adapté à ce monde hypocrite et lâche.
Je rêvais de marquer l’Histoire, de devenir un grand footballeur ou un artiste reconnu. Je voulais écrire des livres, réaliser des films, marquer un but au Parc des Princes ou peindre un tableau qui finirait au Louvre. Je voulais être considéré comme un génie, finir dans le dictionnaire ou sur Wikipédia, être l’égal d’un Ronaldinho, d’un De Vinci ou d’un Alexandre Dumas. Mais je ne pourrais pas réaliser ces rêves car ma vie va s’arrêter aujourd’hui. Elle va s’arrêter car on ne s’aime plus, je souffre trop et je la dégoutte.
Et toi ma belle Laura, ma grande sœur chérie et adorée, je vais te quitter, te libérer de ce lien si fort qu’est l’amour que tu me portes. Je suis désolé de t’avoir fait autant de mal et de soucis. Tu as été formidable et j’ai tout gâché comme un con. Je suis lâche et je vais t’abandonner.
Adieu , ma princesse et grande sœur adorée.
Je t’aime. »
Je ne suis né ni en enfer, ni au paradis. Juste entre les deux, sur Terre. Je ne suis ni un ange, ni un démon. Juste entre les deux, un Homme. Oui juste un Homme parmi des milliards qui vit entre le bien et le mal, qui fait le fort alors qu’il est si faible. Je vis dans ce monde si beau et à la fois si méprisant. Ce monde si petit qui est à la fois si grand, si immense, qu’il est facile de s’y perdre. Ce monde, dans lequel nous sommes à la fois tout et rien. Ce monde de contradictions, où on croit tout contrôler alors que c’est l’argent qui nous contrôle. Mais il faut s’adapter, sauver les apparences pour les gens qui nous aiment, pour ne pas les décevoir. Malheureusement toutes les personnes n’y arrivent pas et ces gens là sont pointés du doigt, souvent critiqués et incompris. Pourtant ces gens qu’on laisse pour compte, parfois abandonnés de tous, ne se sont tout simplement pas adapté à ce monde hypocrite et lâche.
Je rêvais de marquer l’Histoire, de devenir un grand footballeur ou un artiste reconnu. Je voulais écrire des livres, réaliser des films, marquer un but au Parc des Princes ou peindre un tableau qui finirait au Louvre. Je voulais être considéré comme un génie, finir dans le dictionnaire ou sur Wikipédia, être l’égal d’un Ronaldinho, d’un De Vinci ou d’un Alexandre Dumas. Mais je ne pourrais pas réaliser ces rêves car ma vie va s’arrêter aujourd’hui. Elle va s’arrêter car on ne s’aime plus, je souffre trop et je la dégoutte.
Et toi ma belle Laura, ma grande sœur chérie et adorée, je vais te quitter, te libérer de ce lien si fort qu’est l’amour que tu me portes. Je suis désolé de t’avoir fait autant de mal et de soucis. Tu as été formidable et j’ai tout gâché comme un con. Je suis lâche et je vais t’abandonner.
Adieu , ma princesse et grande sœur adorée.
Je t’aime. »
Ven 21 Oct 2011, 14:08 par
Denis sur L'amour en vrac
C'est tjs triste
Je crois que c’est le risque avec le virtuel tu sais ? Cela fait du bien - pardon - de lire votre dialogue tout simplement parce que je ne me sens pas un cas isolé même si je me dis souvent que je dois être une extra terrestre avec mes valeurs démodées !
Combien de fois, j’ai voulu croire à une belle histoire et en fait, bien souvent, je me suis retrouvée avec mes illusions et en face de moi rien à voir avec ce que j’espérais !! Oui, bon, pas plus tard qu’hier avec "P" qui semblait un homme merveilleux tellement tel que je le souhaitais : droit, intègre, franc, drôle, amoureux, capable de partage, tout quoi ! rire !! Bon, la réalité est bien moi belle, je suis fière de moi j’ai réussi à le voir avant d’avoir à regretter quoi que ce soit, c’est déjà ça, bah, c’est la vie ! On souffre ? c’est au moins que nous avons un coeur, on est déçu ? c’est qu’on a une espérance et un but !!
il y a des moments où l’on peut baisser les bras mais bon la vie est la vie malgré tout, il faut la savourer autant que faire se peut ! Il faut arriver à sourire à ce qui peut arriver de bon sans regretter ce qui n’est pas !
Sans se dire : mais qu’est-ce qui fait que je ne le ou la trouve pas ? ! Rire : le jour où j’y arrive vraiment, je vous donne la recette ! Promis !!
Allez, de gros baisers aux coeurs tristes et plein de courage à vous amis de plume !!
Bien amicalement,
Dolce
ps : un jour je sais qu’il viendra à moi l’homme que j’espère ! J’y crois !
Combien de fois, j’ai voulu croire à une belle histoire et en fait, bien souvent, je me suis retrouvée avec mes illusions et en face de moi rien à voir avec ce que j’espérais !! Oui, bon, pas plus tard qu’hier avec "P" qui semblait un homme merveilleux tellement tel que je le souhaitais : droit, intègre, franc, drôle, amoureux, capable de partage, tout quoi ! rire !! Bon, la réalité est bien moi belle, je suis fière de moi j’ai réussi à le voir avant d’avoir à regretter quoi que ce soit, c’est déjà ça, bah, c’est la vie ! On souffre ? c’est au moins que nous avons un coeur, on est déçu ? c’est qu’on a une espérance et un but !!
il y a des moments où l’on peut baisser les bras mais bon la vie est la vie malgré tout, il faut la savourer autant que faire se peut ! Il faut arriver à sourire à ce qui peut arriver de bon sans regretter ce qui n’est pas !
Sans se dire : mais qu’est-ce qui fait que je ne le ou la trouve pas ? ! Rire : le jour où j’y arrive vraiment, je vous donne la recette ! Promis !!
Allez, de gros baisers aux coeurs tristes et plein de courage à vous amis de plume !!
Bien amicalement,
Dolce
ps : un jour je sais qu’il viendra à moi l’homme que j’espère ! J’y crois !
Jeu 13 Oct 2011, 17:25 par
dolce vita sur La déclaration d'amour
Petit traité de vulgairisation scientifesse 2 ( fessebook)
1. La politique mon cul !
Ben oui! Qu’on le veuille ou non, ce n’est jamais qu’une histoire de fesses. Intéressons-nous d’abord à notre Président de la république. Pour que sa majorité de droite décolle, il faut bien qu’il joue un peu de la fesse. Aussi il caresse doucement la partie de gauche (dans le sens du poil) puis la soulève et " allume un pet "(à l’UMP), les idées n’étant pas que du vent, on sait comment polluer l’entendement de ses adversaires! En politique il est bon de protéger ses arrières. Un cul n’est jamais posé lourdement sur deux fesses quand il trône sur son siège. Un coup tu reposes sur la fesse de droite et demain prout!...le vent tourne à gauche. De ce fait, Il en va des idées qui fusent sur les deux bords de droite comme de gauche et il faut composer pour garder sa place bien au chaud. La démocratie en politique est un exutoire: c’est la chasse d’eau dans les toilettes pour montrer que l’on est propret sur soi. On fait mine de chasser les mauvaises odeurs mais " des mots crasses y " s’en balancent dans l’hémicycle de la cuvette. Les faux-culs sont nombreux, on en voit serrer les fesses, bien " centrés " assis sur leur banc. Pourtant ils ne sont jamais que des trous du cul qui viennent foutre la merde, pour parler poliment. D’autres faux-culs n’ont pas le courage de leur politique et ils font dans leur froc car pour aller de droite à gauche, tu passes irrémédiablement par le centre...
Mais regardons plus loin jusqu’en Europe maintenant. On constatera que l’air n’est guère mieux respirable: les " tire au cul " sont nombreux parmi les députés européens. Comme ils siègent à Bruxelles ils font choux gras et chacun apporte alors... sa petite commission!!!
Et le président du FMI, encore une histoire de fesse puisqu’il a fourré sa main au panier!
Mais alors me direz-vous une idée saine en politique c’est quoi? Ben, de fesse sûre c’est beau comme un clair de pleine lune. Une vérité qui luit et ne " nuit " à personne en faisant tache à l’obscurantisme!
2. Septembre c’est la saison des vendages. En " nœud-ô-lofesse " (on parle aussi de nœud-au-logis) ]on sait qu’il faut des grappes bien mûres et un cep bien ferme pour tirer le bon jus. Pour cela il doit bien entendu pousser sur de jolis coteaux inclinés. L’excellence de " chattes’ eaux "qui plus est dans le " mille s’y met " requiert un savoir-faire et pour tester le produit, tout l’art est de rouler dans son palais le breuvage pour en apprécier au mieux ses saveurs. Il faut alors le garder un certain temps en bouche, jouer des papilles avec sa langue et inspirer par le nez pour évaluer son bouquet avant de le recracher ou l’avaler....
Ah! Que vivement novembre quand coulera à flot le " Beau jeune lait " nouveau. Je me demande bien quel petit goût il aura: sera-ce la framboise, la fraise ou la banane?
3. Et la lumière déchue!
Aujourd’hui je suis nostalgique. J’ai le nez au plafond où pendouille une ampoule basse consommation. Si j’en juge par son éclat, elle porte bien son nom!...ça ressemble à rien, pas même à une bite. Nos vieilles ampoules avaient l’avantage d’être profilées comme un cul et montraient fière allure. Tout y préfigurait, passant du gaz inerte jusqu’au petit filament qui dessinait l’entre cuisse en son delta fuyant. Quand le flux électrique le portait à incandescence, il chauffait le cul de l’ampoule. Alors comme une sainte divinité, on la voyait s’auréoler dans un halo de lumière. C’était de l’amour en poésie et en réminiscence à ce " Beau derrière en l’air " je clame haut ses " verres "....
" Mon ange, mon cœur! Songe de douceur,
Nous vibrerons plus ensemble.
Là! Tout n’est plus qu’ordre sans beauté,
Lux?...certes! Mais sans âme ni volupté! "
C’est ce qu’on appelle la versification ampoulée.
4. En entomolofesse (et non en entr’mollofesse qui en vertu de la fesse concède vous le conviendrez à la vulgarité et non à la vulgairistion) donc en entomolofesse dis-je, il est un spécimen remarquable et ô combien intéressant: la coccyxfesse appelée encore " la fesse à bon Dieu "; car plaise à Dieu, nulle fesse pareille est si joliment rosée et potelée. Et ce qui la caractérise en dehors de sa pigmentation surprenante c’est ses grains de beauté épars en gros points noirs. La coccyxfesse n’est pas nuisible à l’homme, bien au contraire, elle s’accommode à tous les biotypes, jouant même le rôle d’insecticide naturel. Capable à elle seule d’avaler tous les vilains morpions indésirables qui " la bite " en son séant. L’heureux chanceux qui approcherait la coccyxfesse, naturaliste mordu dans le bon sens du terme, ne pourra que s’émerveiller au froissement de ses rondes parties. Et, si peu qu’elle daigne s’ouvrir, alors il vivra le vol nuptial car foi de coccyxfesse on sait de source sûre que: le " col obtempère " si aux fesses tu portes " bon heurt "!....
5. En scientifesse, il est un phénomène remarquable l’acoufesse. Rien à voir avec l’acouphène qui est cette sensation désagréable quand ça vous siffle dans les oreilles. Ici, ce serait plutôt lorsque l’on vous siffle dans le cul que ça vous cogne dans les fesses!
6. En spéléofesse, dans les substructions intra-utérine, la concrétion clitoridienne est excitée par l’inoculation du corps caverneux qui n’est autre que la " staillabite ": nom scientifesse pour bien le différencier de la stalactite et de la stalagmite car un coup il monte et un coup il descend!
7. En soufflerie aérodynamique, la fesse réagit comme une voile en vent arrière. Elle est d’autant mieux rebondie si on y va " gréement " sur la mâture! Dans le cas contraire, la fesse est plate. Elle fasèye le long du mat. Résultat, la propulsion est poussive. Il faut alors jouer de la godille avec souplesse dans le poignet pour activer le train arrière!
8. En électricité, la fesse produit deux sortes de courant:
- Le courant électrostatique: créer par frottement à l’aide d’un bâton sur le tissu plastico-fessier. Un frissonnement électro sensoriel se propage alors sur tout le corps.
- le courant électrochimique: créé par électrolyse, le bâton joue ici le rôle de cathode. Trempé dans le récipient fessier, en milieu " à-queue ", il fait naître par électrochoc un plaisir jouissif. Comme toujours quand lui fait le moins (il en n’a que foutre) la fesse fait le plus avec l’anode. Pas si anodine pour autant quand on pense que son côté pile lui permettra de recharger son « à-cul ».Quand la fesse est rebondie, on parle de pile « dure-à-selle » (l’effet de charge dure plus longtemps.
9. Parlons du programme scientifesse de " rase-muse ". C’est en quelque sorte l’idylle des jeunes pour vivre l’amour à " l’heure hop! ". Le jouvenceau ou jouvencelle en quête de cet amour sans frontière devra d’abord faire table rase de ses peurs sur le " pue-bien "; viendra ensuite l’enseignement de l’art au plaisir qui est de caresser sa " muse " sans avoir un poil dans la main!
10. Intéressons-nous un peu à l’airbag comme dispositif de sécurifesse. Au-delà de son incontestable effet pare-chocs, il serait prétentieux de croire que chez la femme il est plus développé seulement pour absorber les secousses du mâle en rut. Le malheureux, s’il savait, est bien souvent en-deçà de nos espérances et c’est à peine si la culbute nous ébranle! Plus sérieusement, il y a deux raisons essentielles à ce gonflement de l’airbag fessier. La première, c’est qu’il joue un rôle réparateur pour la future femme enceinte. Il rétablit son centre de gravité vers l’arrière pour une marche plus sûre et l’aide à compenser son balancement vers l’avant suite à son gros ventre. De plus, il sert d’amortisseur à d’éventuelles chutes. Mais la deuxième raison que l’on ignore c’est que toute femme, susceptible d’être un jour plaquée par son mec, si elle se relève non sans mal psychologiquement, sera toujours bien prémunie physiquement quand bien même la malheureuse en tomberait sur son cul. Comme quoi la nature est bien faîte !
11. le trou du cul se refermera-t-il un jour ?
Ici les gaz CFC (chlorofluorocarbone) ne sont pas les responsables du trou dont il est question qui, s’il doit se refermer un jour, se fera plutôt par absence de gaz. Oh ! Comme la vie sera moins « gay » pour certains. Triste aussi pour les autres, la vie de « fessoyeur »étant à proscrire par la perte du trou, ils devront se rabattre sur une vie plus « con-sensuelle ».Bien sûr, il y a du bon quand on pense que tous les « trou-balourds »ne seront plus à la fête. Reste un chant d’amour à réinventer pour autres poètes « trou-vers ». Une chose est certaine cependant, les petits trous du cul ne pulluleront plus à la surface de la terre et, par là même, ne pollueront plus notre existence. Il fera alors bon vivre le renouveau de la musique dans l’Art de faire du vent. Réentendre les violons des amours sous la main caressante de l’homme qui fait vibrer son âme. Car comme l’écrit Simon Leys en citant un personnage de Mario Vargas Llosa : « la vie n’est jamais qu’une tornade de merde dans laquelle l’Art demeure notre seul parapluie ! »
12. Du cerveau à la fesse et vice versa.
La fesse et le cerveau présentent des similitudes physiques. Deux lobes et un sillon qui les séparent. La tête contient le cerveau et le cul le muscle fessier, cependant les deux parties sont interchangeables. On connaît par exemple l’expression « avoir la tête dans le cul » ou « un cul à la place du cerveau ». Sans compter que l’on peut tomber sur le cul comme sur la tête et aussi se renverser le cul par-dessus tête. On voit alors comment ils sont complémentaires. De même quand il arrive à l’un de péter plus haut que son cul, il peut arriver à l’autre de péter un plomb. La complémentarité s’explique par le fait que si le premier ne manque pas d’air, le deuxième joint son « cervo-lant » pour tirer les ficelles.
Une chose établie, c’est que le cerveau reste en haut mais il est moins bien irrigué que les fesses situées en bas ; si tant que parfois se produit des fuites qui ne sont pas assimilables aux fuites de cerveaux. Toutefois une mauvaise irrigation du cerveau et c’est le trou noir qui se différencie de la fesse ; car si l’un induit l’AVC l’autre conduit aux WC… ce qui n’est pas tout à fait pareil !
Il existe aussi des zones du langage du cerveau, itou chez la fesse. Enfin, le cerveau est l’organe central de l’endocrinologie. Pour la fesse, c’est quand l’organe est centré dans le dos que l’on crie et l’on jouit.
Outre ces rapprochements, le cerveau et la fesse divergent aussi dans leur fonctionnalité.
Exemple : 1. Quand le cerveau se fait siège de la pensée. On dit parfois que l’on est dans la lune. C’est tout différent si aux fesses tu ressens un mal de « panse, et » hop ! Tu files au siège mais sur la lunette ! On comprend que l’approche métaphysique n’est pas la même.
2. On parle aussi du cerveau pour son effet placébo. Rien de tel pour la fesse qui, quand elle est plate, n’est jamais belle.
13. Vous avez tous entendu parler du pendule de « faux-cul ». Un brillant physicien a prouvé que le cul n’était pas une masse inerte mais bien un organe animé. Il vérifia ses dires en promenant un petit pendule au-dessus d’un faux-cul qui reproduisait un mouvement de vague en ondoyant sur deux belles fesses en gélatine. Il remarqua aussitôt l’oscillation du pendule. Conformément au principe d’inertie stipulant que le mouvement des objets est figé si aucune force s’exerce sur eux, l’expérimentation du pendule vérifia que la rotondité des fesses et ses fluctuations épidermiques exerçaient un réel pouvoir d’attraction, susceptibles de réveiller la flexion périodique d’un pendule. Attention ! Le pendule de « faux-cul » dont je vous parle ne se trouve pas au Panthéon mais bien dans le pantalon !
14. Un autre génie en physique, c’est Einstein avec sa célèbre équation sur la relativité E=mc2. Mais en vérité, cette formule lui fut inspirée par une belle paire de fesses. Eh oui !c’est dans un état de relativité somme toute foudroyante surgit par réaction de « fession »(le passage d’une beauté sculpturale et inattendue de fesses entraîne la réaction en chaîne atonique) que c’est manifesté sa torpeur soudaine, accompagnée d’une chaleur intense fusionnelle sur tout son corps et l’extinction soudaine de sa voix suivie d’une formidable envie de niquer : c’est l’action atonique ! Dans cette subite exaltation, le physicien balbutia alors son fameux E=mc2, qui décrypté dans sa formulation mathématique n’est autre qu’une élucubration astronomique signifiant. Einstein(E) aime(m) c’est deux(C2), en rapport bien sûr avec les voluptueuses fesses !...
15. Révélations symptomatiques inavouées sur la propagation du virus de la grippe A (grippe porcine) :
Les messages de prévention pour se prémunir contre le virus de la grippe A sont légions en ce moment. Il ne faut pas éternuer, se moucher de préférence dans un mouchoir en papier et veiller à bien le jeter à la poubelle en se lavant les mains après pour ne pas contracter le virus. Mais ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que le virus est transmissible surtout par le pet ! Sans qu’il soit mentionné de rapports plus approfondis en scatolofesse, on a vérifié tout de même que, si un malade vous mitraille de la fesse, il lâche du « H1N1 ». C’est-à-dire en clair qu’il lâche une à une sa caisse. Sachant que le virus est très volatil, le port du masque à gaz homologué (voir mes phots pour plus de détails) est plus qu’indispensable : le porteur du virus étant malgré lui un vieux porc, le malheureux pète plus que de raison ! Alors un bon conseil, pour échapper à la pandémie porter le masque et tenez-vous à l’écart de toute pétarade intempestive. Défiez-vous aussi du partenaire un peu trop discret qui étoufferait son dégazage. Il y a un vieux truc pour le démasquer : le goret a forcément les fesses bien roses et comble de ridicule… il a la queue en tire-bouchon !
16. En historiofesse, on se doit de «comm’amore » la chute du « gland mûr » (prendre l’accent de Salvador Dali). Quand, de part et d’autre de la porte de « Branle-bourre », seul passage ouvert mais bien gardé, il s’érige toujours et encore sans jamais réussir à percer le « raie-dos »de deux fesses hystériques qui, « guère froides », n’en demeurent pas moins symboles d’ouverture et de pets !...
17. En économico-scientifesse, il faut se référer à l’illustre " Montes-coït " qui dans son livre " l’esprit de bon aloi " insistait sur les pratiques aux mœurs douces pour faciliter les échanges; insistant sur la valeur du billet doux ainsi que le côté " monnaie taire " pour jouer de la fesse et boursicoter malin.
18. En glaciolofesse, on note un phénomène qui est contraire à la glaciologie. En effet, si on prélève une carotte glaciaire, la plus vieille qui soit, un phénomène remarquable peut se produire si on ne prend pas toutes les précautions : à savoir qu’elle est susceptible de s’enflammer à l’air libre par la présence du méthane avec l’oxygène! Or, en glaciolofesse, c’est aussi une vulgaire affaire de carotte. Les femmes, on le sait, ont généralement les pieds glacés ; les fesses moins. Mais le mécanisme de glaciologie est inversé ici en ce sens que c’est seulement si on vient à lui plonger une jolie carotte, qu’elle sentira monter le feu aux fesses ! A-postériori, on peut rapprocher à cette observation, la réaction de « cri-au-logis ». Elle intervient à chaud et, n’a rien de commun avec la cryologie qui elle se produit à froid.
Ben oui! Qu’on le veuille ou non, ce n’est jamais qu’une histoire de fesses. Intéressons-nous d’abord à notre Président de la république. Pour que sa majorité de droite décolle, il faut bien qu’il joue un peu de la fesse. Aussi il caresse doucement la partie de gauche (dans le sens du poil) puis la soulève et " allume un pet "(à l’UMP), les idées n’étant pas que du vent, on sait comment polluer l’entendement de ses adversaires! En politique il est bon de protéger ses arrières. Un cul n’est jamais posé lourdement sur deux fesses quand il trône sur son siège. Un coup tu reposes sur la fesse de droite et demain prout!...le vent tourne à gauche. De ce fait, Il en va des idées qui fusent sur les deux bords de droite comme de gauche et il faut composer pour garder sa place bien au chaud. La démocratie en politique est un exutoire: c’est la chasse d’eau dans les toilettes pour montrer que l’on est propret sur soi. On fait mine de chasser les mauvaises odeurs mais " des mots crasses y " s’en balancent dans l’hémicycle de la cuvette. Les faux-culs sont nombreux, on en voit serrer les fesses, bien " centrés " assis sur leur banc. Pourtant ils ne sont jamais que des trous du cul qui viennent foutre la merde, pour parler poliment. D’autres faux-culs n’ont pas le courage de leur politique et ils font dans leur froc car pour aller de droite à gauche, tu passes irrémédiablement par le centre...
Mais regardons plus loin jusqu’en Europe maintenant. On constatera que l’air n’est guère mieux respirable: les " tire au cul " sont nombreux parmi les députés européens. Comme ils siègent à Bruxelles ils font choux gras et chacun apporte alors... sa petite commission!!!
Et le président du FMI, encore une histoire de fesse puisqu’il a fourré sa main au panier!
Mais alors me direz-vous une idée saine en politique c’est quoi? Ben, de fesse sûre c’est beau comme un clair de pleine lune. Une vérité qui luit et ne " nuit " à personne en faisant tache à l’obscurantisme!
2. Septembre c’est la saison des vendages. En " nœud-ô-lofesse " (on parle aussi de nœud-au-logis) ]on sait qu’il faut des grappes bien mûres et un cep bien ferme pour tirer le bon jus. Pour cela il doit bien entendu pousser sur de jolis coteaux inclinés. L’excellence de " chattes’ eaux "qui plus est dans le " mille s’y met " requiert un savoir-faire et pour tester le produit, tout l’art est de rouler dans son palais le breuvage pour en apprécier au mieux ses saveurs. Il faut alors le garder un certain temps en bouche, jouer des papilles avec sa langue et inspirer par le nez pour évaluer son bouquet avant de le recracher ou l’avaler....
Ah! Que vivement novembre quand coulera à flot le " Beau jeune lait " nouveau. Je me demande bien quel petit goût il aura: sera-ce la framboise, la fraise ou la banane?
3. Et la lumière déchue!
Aujourd’hui je suis nostalgique. J’ai le nez au plafond où pendouille une ampoule basse consommation. Si j’en juge par son éclat, elle porte bien son nom!...ça ressemble à rien, pas même à une bite. Nos vieilles ampoules avaient l’avantage d’être profilées comme un cul et montraient fière allure. Tout y préfigurait, passant du gaz inerte jusqu’au petit filament qui dessinait l’entre cuisse en son delta fuyant. Quand le flux électrique le portait à incandescence, il chauffait le cul de l’ampoule. Alors comme une sainte divinité, on la voyait s’auréoler dans un halo de lumière. C’était de l’amour en poésie et en réminiscence à ce " Beau derrière en l’air " je clame haut ses " verres "....
" Mon ange, mon cœur! Songe de douceur,
Nous vibrerons plus ensemble.
Là! Tout n’est plus qu’ordre sans beauté,
Lux?...certes! Mais sans âme ni volupté! "
C’est ce qu’on appelle la versification ampoulée.
4. En entomolofesse (et non en entr’mollofesse qui en vertu de la fesse concède vous le conviendrez à la vulgarité et non à la vulgairistion) donc en entomolofesse dis-je, il est un spécimen remarquable et ô combien intéressant: la coccyxfesse appelée encore " la fesse à bon Dieu "; car plaise à Dieu, nulle fesse pareille est si joliment rosée et potelée. Et ce qui la caractérise en dehors de sa pigmentation surprenante c’est ses grains de beauté épars en gros points noirs. La coccyxfesse n’est pas nuisible à l’homme, bien au contraire, elle s’accommode à tous les biotypes, jouant même le rôle d’insecticide naturel. Capable à elle seule d’avaler tous les vilains morpions indésirables qui " la bite " en son séant. L’heureux chanceux qui approcherait la coccyxfesse, naturaliste mordu dans le bon sens du terme, ne pourra que s’émerveiller au froissement de ses rondes parties. Et, si peu qu’elle daigne s’ouvrir, alors il vivra le vol nuptial car foi de coccyxfesse on sait de source sûre que: le " col obtempère " si aux fesses tu portes " bon heurt "!....
5. En scientifesse, il est un phénomène remarquable l’acoufesse. Rien à voir avec l’acouphène qui est cette sensation désagréable quand ça vous siffle dans les oreilles. Ici, ce serait plutôt lorsque l’on vous siffle dans le cul que ça vous cogne dans les fesses!
6. En spéléofesse, dans les substructions intra-utérine, la concrétion clitoridienne est excitée par l’inoculation du corps caverneux qui n’est autre que la " staillabite ": nom scientifesse pour bien le différencier de la stalactite et de la stalagmite car un coup il monte et un coup il descend!
7. En soufflerie aérodynamique, la fesse réagit comme une voile en vent arrière. Elle est d’autant mieux rebondie si on y va " gréement " sur la mâture! Dans le cas contraire, la fesse est plate. Elle fasèye le long du mat. Résultat, la propulsion est poussive. Il faut alors jouer de la godille avec souplesse dans le poignet pour activer le train arrière!
8. En électricité, la fesse produit deux sortes de courant:
- Le courant électrostatique: créer par frottement à l’aide d’un bâton sur le tissu plastico-fessier. Un frissonnement électro sensoriel se propage alors sur tout le corps.
- le courant électrochimique: créé par électrolyse, le bâton joue ici le rôle de cathode. Trempé dans le récipient fessier, en milieu " à-queue ", il fait naître par électrochoc un plaisir jouissif. Comme toujours quand lui fait le moins (il en n’a que foutre) la fesse fait le plus avec l’anode. Pas si anodine pour autant quand on pense que son côté pile lui permettra de recharger son « à-cul ».Quand la fesse est rebondie, on parle de pile « dure-à-selle » (l’effet de charge dure plus longtemps.
9. Parlons du programme scientifesse de " rase-muse ". C’est en quelque sorte l’idylle des jeunes pour vivre l’amour à " l’heure hop! ". Le jouvenceau ou jouvencelle en quête de cet amour sans frontière devra d’abord faire table rase de ses peurs sur le " pue-bien "; viendra ensuite l’enseignement de l’art au plaisir qui est de caresser sa " muse " sans avoir un poil dans la main!
10. Intéressons-nous un peu à l’airbag comme dispositif de sécurifesse. Au-delà de son incontestable effet pare-chocs, il serait prétentieux de croire que chez la femme il est plus développé seulement pour absorber les secousses du mâle en rut. Le malheureux, s’il savait, est bien souvent en-deçà de nos espérances et c’est à peine si la culbute nous ébranle! Plus sérieusement, il y a deux raisons essentielles à ce gonflement de l’airbag fessier. La première, c’est qu’il joue un rôle réparateur pour la future femme enceinte. Il rétablit son centre de gravité vers l’arrière pour une marche plus sûre et l’aide à compenser son balancement vers l’avant suite à son gros ventre. De plus, il sert d’amortisseur à d’éventuelles chutes. Mais la deuxième raison que l’on ignore c’est que toute femme, susceptible d’être un jour plaquée par son mec, si elle se relève non sans mal psychologiquement, sera toujours bien prémunie physiquement quand bien même la malheureuse en tomberait sur son cul. Comme quoi la nature est bien faîte !
11. le trou du cul se refermera-t-il un jour ?
Ici les gaz CFC (chlorofluorocarbone) ne sont pas les responsables du trou dont il est question qui, s’il doit se refermer un jour, se fera plutôt par absence de gaz. Oh ! Comme la vie sera moins « gay » pour certains. Triste aussi pour les autres, la vie de « fessoyeur »étant à proscrire par la perte du trou, ils devront se rabattre sur une vie plus « con-sensuelle ».Bien sûr, il y a du bon quand on pense que tous les « trou-balourds »ne seront plus à la fête. Reste un chant d’amour à réinventer pour autres poètes « trou-vers ». Une chose est certaine cependant, les petits trous du cul ne pulluleront plus à la surface de la terre et, par là même, ne pollueront plus notre existence. Il fera alors bon vivre le renouveau de la musique dans l’Art de faire du vent. Réentendre les violons des amours sous la main caressante de l’homme qui fait vibrer son âme. Car comme l’écrit Simon Leys en citant un personnage de Mario Vargas Llosa : « la vie n’est jamais qu’une tornade de merde dans laquelle l’Art demeure notre seul parapluie ! »
12. Du cerveau à la fesse et vice versa.
La fesse et le cerveau présentent des similitudes physiques. Deux lobes et un sillon qui les séparent. La tête contient le cerveau et le cul le muscle fessier, cependant les deux parties sont interchangeables. On connaît par exemple l’expression « avoir la tête dans le cul » ou « un cul à la place du cerveau ». Sans compter que l’on peut tomber sur le cul comme sur la tête et aussi se renverser le cul par-dessus tête. On voit alors comment ils sont complémentaires. De même quand il arrive à l’un de péter plus haut que son cul, il peut arriver à l’autre de péter un plomb. La complémentarité s’explique par le fait que si le premier ne manque pas d’air, le deuxième joint son « cervo-lant » pour tirer les ficelles.
Une chose établie, c’est que le cerveau reste en haut mais il est moins bien irrigué que les fesses situées en bas ; si tant que parfois se produit des fuites qui ne sont pas assimilables aux fuites de cerveaux. Toutefois une mauvaise irrigation du cerveau et c’est le trou noir qui se différencie de la fesse ; car si l’un induit l’AVC l’autre conduit aux WC… ce qui n’est pas tout à fait pareil !
Il existe aussi des zones du langage du cerveau, itou chez la fesse. Enfin, le cerveau est l’organe central de l’endocrinologie. Pour la fesse, c’est quand l’organe est centré dans le dos que l’on crie et l’on jouit.
Outre ces rapprochements, le cerveau et la fesse divergent aussi dans leur fonctionnalité.
Exemple : 1. Quand le cerveau se fait siège de la pensée. On dit parfois que l’on est dans la lune. C’est tout différent si aux fesses tu ressens un mal de « panse, et » hop ! Tu files au siège mais sur la lunette ! On comprend que l’approche métaphysique n’est pas la même.
2. On parle aussi du cerveau pour son effet placébo. Rien de tel pour la fesse qui, quand elle est plate, n’est jamais belle.
13. Vous avez tous entendu parler du pendule de « faux-cul ». Un brillant physicien a prouvé que le cul n’était pas une masse inerte mais bien un organe animé. Il vérifia ses dires en promenant un petit pendule au-dessus d’un faux-cul qui reproduisait un mouvement de vague en ondoyant sur deux belles fesses en gélatine. Il remarqua aussitôt l’oscillation du pendule. Conformément au principe d’inertie stipulant que le mouvement des objets est figé si aucune force s’exerce sur eux, l’expérimentation du pendule vérifia que la rotondité des fesses et ses fluctuations épidermiques exerçaient un réel pouvoir d’attraction, susceptibles de réveiller la flexion périodique d’un pendule. Attention ! Le pendule de « faux-cul » dont je vous parle ne se trouve pas au Panthéon mais bien dans le pantalon !
14. Un autre génie en physique, c’est Einstein avec sa célèbre équation sur la relativité E=mc2. Mais en vérité, cette formule lui fut inspirée par une belle paire de fesses. Eh oui !c’est dans un état de relativité somme toute foudroyante surgit par réaction de « fession »(le passage d’une beauté sculpturale et inattendue de fesses entraîne la réaction en chaîne atonique) que c’est manifesté sa torpeur soudaine, accompagnée d’une chaleur intense fusionnelle sur tout son corps et l’extinction soudaine de sa voix suivie d’une formidable envie de niquer : c’est l’action atonique ! Dans cette subite exaltation, le physicien balbutia alors son fameux E=mc2, qui décrypté dans sa formulation mathématique n’est autre qu’une élucubration astronomique signifiant. Einstein(E) aime(m) c’est deux(C2), en rapport bien sûr avec les voluptueuses fesses !...
15. Révélations symptomatiques inavouées sur la propagation du virus de la grippe A (grippe porcine) :
Les messages de prévention pour se prémunir contre le virus de la grippe A sont légions en ce moment. Il ne faut pas éternuer, se moucher de préférence dans un mouchoir en papier et veiller à bien le jeter à la poubelle en se lavant les mains après pour ne pas contracter le virus. Mais ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que le virus est transmissible surtout par le pet ! Sans qu’il soit mentionné de rapports plus approfondis en scatolofesse, on a vérifié tout de même que, si un malade vous mitraille de la fesse, il lâche du « H1N1 ». C’est-à-dire en clair qu’il lâche une à une sa caisse. Sachant que le virus est très volatil, le port du masque à gaz homologué (voir mes phots pour plus de détails) est plus qu’indispensable : le porteur du virus étant malgré lui un vieux porc, le malheureux pète plus que de raison ! Alors un bon conseil, pour échapper à la pandémie porter le masque et tenez-vous à l’écart de toute pétarade intempestive. Défiez-vous aussi du partenaire un peu trop discret qui étoufferait son dégazage. Il y a un vieux truc pour le démasquer : le goret a forcément les fesses bien roses et comble de ridicule… il a la queue en tire-bouchon !
16. En historiofesse, on se doit de «comm’amore » la chute du « gland mûr » (prendre l’accent de Salvador Dali). Quand, de part et d’autre de la porte de « Branle-bourre », seul passage ouvert mais bien gardé, il s’érige toujours et encore sans jamais réussir à percer le « raie-dos »de deux fesses hystériques qui, « guère froides », n’en demeurent pas moins symboles d’ouverture et de pets !...
17. En économico-scientifesse, il faut se référer à l’illustre " Montes-coït " qui dans son livre " l’esprit de bon aloi " insistait sur les pratiques aux mœurs douces pour faciliter les échanges; insistant sur la valeur du billet doux ainsi que le côté " monnaie taire " pour jouer de la fesse et boursicoter malin.
18. En glaciolofesse, on note un phénomène qui est contraire à la glaciologie. En effet, si on prélève une carotte glaciaire, la plus vieille qui soit, un phénomène remarquable peut se produire si on ne prend pas toutes les précautions : à savoir qu’elle est susceptible de s’enflammer à l’air libre par la présence du méthane avec l’oxygène! Or, en glaciolofesse, c’est aussi une vulgaire affaire de carotte. Les femmes, on le sait, ont généralement les pieds glacés ; les fesses moins. Mais le mécanisme de glaciologie est inversé ici en ce sens que c’est seulement si on vient à lui plonger une jolie carotte, qu’elle sentira monter le feu aux fesses ! A-postériori, on peut rapprocher à cette observation, la réaction de « cri-au-logis ». Elle intervient à chaud et, n’a rien de commun avec la cryologie qui elle se produit à froid.
Lun 04 Juil 2011, 19:25 par
Fessue de Naz'arête sur Articles
La perfection naît de l'amour
J’ai grandi. La vie a passé. Les ennuis. Les combats. Aujourd’hui, je sais qui je suis, où je vais, qui je veux à mes côtés, ce que je ne veux pas, ce qui compte dans ma vie.
Les chimères, éradiquées… Les souffrances aussi et il y en a eu. Du pain noir j’en ai mangé ma part parfois mêlée de larmes d’autres les poings serrés mais je n’ai pas abdiqué. Il y en aura d’autres, la vie n’est pas un long fleuve tranquille et c’est aussi ce qui fait goûter la quiétude d’un havre de paix. Les illusions ? Perdues, jusqu’à la dernière. La liberté est aussi à ce prix.
Parfois, je me sens – encore – trop vieille pour ce monde, avec pourtant des rires d’enfant devant l’univers. A contrario, le pusillanime, les passe-droits, les esprits étriqués, le mensonge, le népotisme, le manque de bonté, de générosité, d’esprit d’équipe, de coeur ; je regarde cela comme étonnée de ce que je découvre, avec les yeux écarquillés sur un monde que je ne reconnais pas. Pourquoi ? A quoi bon ? Tout cela je l’abhorre. Pourquoi s’avilir ainsi ?
Je suis fière, fière de moi, oui, fière de la femme que je suis devenue, une « warrior » certes toujours, mais aussi cette dolce vita, oui, qui s’émerveille devant la bonté, l’amour, la bravoure, l’intégrité, la générosité, la grandeur d’âme, la beauté, la douceur, l’amitié. Une femme qui réinvente l’amour et le merveilleux, qui veut habiller d’or le plus sombre des jours, qui croit envers et contre tout doublée d’une révoltée qui n’acceptera jamais l’inacceptable. Même si parfois elle lève les yeux vers le ciel et Lui reproche son mutisme et son indifférence quand le monde souffre : il y a tant de mystère mais c’est aussi cela la vie. Le doute en fait partie.
J’ai eu, j’ai la chance merveilleuse de rencontrer des personnes uniques (qui ne l’est pas, malgré tout ?!) sur ma route, connue ou inconnue mais qui n’en étaient pas moins grandes intérieurement, avec une intelligence, une insoumission à la connerie ambiante, une spiritualité qui ne devait rien à une quelconque religion, elle les transcendait le cas échéant toutes. Des esprits libres. Libres de vivre et d’aimer. Libre de croire et d’avancer. Libres mais jamais indifférents aux autres. Un phare dans la foule.
Nous avons tous autant que nous sommes un devoir : être heureux ici et maintenant, mais jamais en écrasant les autres et la possession ne fait rien à l’affaire ; une âme qui s’élève élève les autres sur sa route !
Je vous aime, âmes simples, cœurs d’enfants, je vous aime, vous, les exploités, les mal-aimés, les harassés de la vie, vos mains sont écorchées et vos cœurs saignent mais si votre âme est pure, si vos fronts sont blancs : quel trésor êtes-vous. Le plus beau, le plus digne de tous, le plus précieux, le plus aimable.
A toi, Henry, mon frère Sud-Africain, qui mets dans chacune de tes photos tant d’esprit et tant d’Amour. Chacune de tes paroles est une bénédiction. Toi qui a été méprisé, tu aimes encore plus fort et ton cœur est bon ; tu regardes la couleur du cœur pas la couleur de peau.
Je t’aime, oh, mon frère, qui ne joues ni les victimes ni les bourreaux et qui te relèves par la force de ta volonté.
Je t’aime, oh, toi, qui regardes le monde avec la tendresse d’un père et la clémence d‘un dieu. Toi pourtant qui ne fais pas de compromis avec les actions nuisibles et les mauvais pas…
Je t’aime, toi, mon père, qui es parti trop tôt, qui avais l’humilité d’un pauvre et la grandeur d’un roi.
Je vous aime, vous, mes fils, jeunes arbres qui regardez vers demain avec dignité et courage…
Les chimères, éradiquées… Les souffrances aussi et il y en a eu. Du pain noir j’en ai mangé ma part parfois mêlée de larmes d’autres les poings serrés mais je n’ai pas abdiqué. Il y en aura d’autres, la vie n’est pas un long fleuve tranquille et c’est aussi ce qui fait goûter la quiétude d’un havre de paix. Les illusions ? Perdues, jusqu’à la dernière. La liberté est aussi à ce prix.
Parfois, je me sens – encore – trop vieille pour ce monde, avec pourtant des rires d’enfant devant l’univers. A contrario, le pusillanime, les passe-droits, les esprits étriqués, le mensonge, le népotisme, le manque de bonté, de générosité, d’esprit d’équipe, de coeur ; je regarde cela comme étonnée de ce que je découvre, avec les yeux écarquillés sur un monde que je ne reconnais pas. Pourquoi ? A quoi bon ? Tout cela je l’abhorre. Pourquoi s’avilir ainsi ?
Je suis fière, fière de moi, oui, fière de la femme que je suis devenue, une « warrior » certes toujours, mais aussi cette dolce vita, oui, qui s’émerveille devant la bonté, l’amour, la bravoure, l’intégrité, la générosité, la grandeur d’âme, la beauté, la douceur, l’amitié. Une femme qui réinvente l’amour et le merveilleux, qui veut habiller d’or le plus sombre des jours, qui croit envers et contre tout doublée d’une révoltée qui n’acceptera jamais l’inacceptable. Même si parfois elle lève les yeux vers le ciel et Lui reproche son mutisme et son indifférence quand le monde souffre : il y a tant de mystère mais c’est aussi cela la vie. Le doute en fait partie.
J’ai eu, j’ai la chance merveilleuse de rencontrer des personnes uniques (qui ne l’est pas, malgré tout ?!) sur ma route, connue ou inconnue mais qui n’en étaient pas moins grandes intérieurement, avec une intelligence, une insoumission à la connerie ambiante, une spiritualité qui ne devait rien à une quelconque religion, elle les transcendait le cas échéant toutes. Des esprits libres. Libres de vivre et d’aimer. Libre de croire et d’avancer. Libres mais jamais indifférents aux autres. Un phare dans la foule.
Nous avons tous autant que nous sommes un devoir : être heureux ici et maintenant, mais jamais en écrasant les autres et la possession ne fait rien à l’affaire ; une âme qui s’élève élève les autres sur sa route !
Je vous aime, âmes simples, cœurs d’enfants, je vous aime, vous, les exploités, les mal-aimés, les harassés de la vie, vos mains sont écorchées et vos cœurs saignent mais si votre âme est pure, si vos fronts sont blancs : quel trésor êtes-vous. Le plus beau, le plus digne de tous, le plus précieux, le plus aimable.
A toi, Henry, mon frère Sud-Africain, qui mets dans chacune de tes photos tant d’esprit et tant d’Amour. Chacune de tes paroles est une bénédiction. Toi qui a été méprisé, tu aimes encore plus fort et ton cœur est bon ; tu regardes la couleur du cœur pas la couleur de peau.
Je t’aime, oh, mon frère, qui ne joues ni les victimes ni les bourreaux et qui te relèves par la force de ta volonté.
Je t’aime, oh, toi, qui regardes le monde avec la tendresse d’un père et la clémence d‘un dieu. Toi pourtant qui ne fais pas de compromis avec les actions nuisibles et les mauvais pas…
Je t’aime, toi, mon père, qui es parti trop tôt, qui avais l’humilité d’un pauvre et la grandeur d’un roi.
Je vous aime, vous, mes fils, jeunes arbres qui regardez vers demain avec dignité et courage…
Jeu 02 Juin 2011, 18:16 par
dolce vita sur Un monde parfait
Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire ii
17 mars 2004 dans son journal intime : "Si à trente ans, je suis encore puceau, j’irai quand même chez les putes"
Découvertes
Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".
La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.
Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.
Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.
Ses relations
Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.
Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.
Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un foyer. Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de raconter leurs exploits le lendemain aux lascars du village.
Les initiatrices
Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.
Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.
Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.
Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à raconter aux mioches de son village.
L’espagnole
Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.
Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.
Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.
Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.
Imaginaire de notre héros
Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.
Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.
Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.
Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.
Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !
Différents mode de sexualité
Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.
La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du foyer et élever les gamins.
Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.
Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.
Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.
Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.
C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.
Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au foyer familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.
Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !
Virtualité
N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.
De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.
Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.
Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.
Redécouverte de l’amour
Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble
Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.
Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.
Sexualité alternative dans un sens spirituel
Biographie BDSM de notre héros
Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.
A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."
Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.
Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.
Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.
Meilleures salutations.
Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.
Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.
Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.
Femme soumise du Sud
Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.
Maman
Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.
Conclusion
L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.
Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »
Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !
Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».
Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.
Fin
Invocation du jeune homme à marier
Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !
Jeaneck, mai 2011
Découvertes
Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".
La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.
Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.
Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.
Ses relations
Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.
Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.
Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un foyer. Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de raconter leurs exploits le lendemain aux lascars du village.
Les initiatrices
Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.
Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.
Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.
Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à raconter aux mioches de son village.
L’espagnole
Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.
Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.
Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.
Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.
Imaginaire de notre héros
Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.
Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.
Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.
Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.
Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !
Différents mode de sexualité
Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.
La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du foyer et élever les gamins.
Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.
Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.
Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.
Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.
C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.
Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au foyer familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.
Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !
Virtualité
N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.
De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.
Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.
Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.
Redécouverte de l’amour
Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble
Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.
Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.
Sexualité alternative dans un sens spirituel
Biographie BDSM de notre héros
Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.
A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."
Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.
Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.
Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.
Meilleures salutations.
Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.
Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.
Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.
Femme soumise du Sud
Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.
Maman
Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.
Conclusion
L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.
Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »
Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !
Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».
Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.
Fin
Invocation du jeune homme à marier
Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !
Jeaneck, mai 2011
Mar 17 Mai 2011, 14:41 par
Jeaneck sur La vie à deux
Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i
Le mythe amoureux
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Mar 17 Mai 2011, 14:32 par
Jeaneck sur La vie à deux
Analepse
Tout a commencé, ici, il y a bien longtemps... Combien d’années déjà ? Je m’amusais à parcourir ce site d’écriture, oubliant les écrits insipides à mon goût pour me régaler de petites perles glanées ici et là. C’est ainsi que je l’ai découvert, caché entre des pétales bien refermés sur son coeur douloureux et sans doute, sans trop m’en apercevoir, j’ai appris à l’aimer.
Un ami. J’ai fait l’amour avec un ami, enfin, je le considérais comme mon ami. Je crois au fond qu’il le restera malgré tout, malgré nous. Je savais bien que cela ne pouvait rien nous amener de bon. De fait, comme pour me protéger, j’avais laissé courir des fils blancs dans mes cheveux et les lui montrais bien comme un trophée (ouf, si j’avais su je n’aurais pas fait cet effort dérisoire !), pas d’illusion sur nos âges respectifs : un rempart, une forteresse qui n’a pas eu l’effet escompté, en clair, ils ne m’ont pas protégée. N’ai-je donc tant vécu...
J’étais cependant terriblement attirée par lui - plus que je n’aurais imaginé la chose possible : son caractère de chien me semblait suffisant pour que je ne l’approche pas de près. Je croyais dur comme fer que de nous voir aurait suffi à refroidir nos éventuels désirs respectifs toujours renouvelés de déchirure en rupture en adieux éternels. Oui, je dois reconnaître que notre amitié a toujours été mâtinée de sentiments variés. Et deux natures fortes. Il m’attirait un peu comme en physique deux élèments inverses s’attirent, loi éternelle. Un exemple : je donnais et lui prenait. Pas très équilibrée comme relation ! Pas très adulte. Et je ne parle pas de ses dents grinçantes ! On pouvait rêver mieux ! Cynique. Calculateur. Froid. Et moi, prompte à corriger l’insolent à lui faire tâter du tranchant de mes mots. Lorsqu’on est femme, on aimerait être l’objet de soin et d’attentions avant que de prodiguer les nôtres ! Je ne peux m’empêcher de voir avec quelle rapidité pourtant il avait appris à donner au moins dans le jeu amoureux ! Sa bouche ouverte d’oisillon attendant la becquée qui m’avait fait mourir de rire (mais de mort lente) avait fini par se montrer savante et généreuse autant qu’il pouvait l’être !
Je pense qu’il avait tout calculé pour que l’affaire soit rentable. Rire ! Et avec ma façon de voir les choses il partait gagnant, il ne s’était pas trompé. Oh, il ne m’avait rien dit de particulier sauf son attirance et sa peur. Il n’a jamais été question d’amour, c’était, pour lui, un aller retour simple quelles qu’avaient été ses dénégations passées : - tu ne reviendras plus te balader avec moi en montagne, n’est-ce pas ? – Bien sûr, pourquoi dis-tu ça ? Je reviendrai… J’aimais son côté taciturne et introverti, cela me faisait rire ! A l’opposé, dis-je, de ce que je suis.
Alors, cette fois là, nous avons fait l’amour. Cela faisait des années que nous y avions pensé ensemble ou à tour de rôle. Toute une nuit, trop courte, dont je ne peux que me souvenir, et, comme je n’avais guère dormi déjà les nuits précédentes, je n’étais pas belle à voir au matin pour un homme sans amour ! Rire ! Mais, c’est égal. Il est des souvenirs que l’on n’oublie pas. Une complicité, une entente des corps qui ne s’invente pas. Il n’y avait, quoiqu’on en pense, pas d’autre issue. L’amour ne supporte pas les contrefaçons. C’était bien dans sa façon de faire. Et dans la mienne. La glace. Le volcan. Il n’y aurait pas d’avenir.
J’ai joué avec lui une dernière fois. Cette fois, c’est moi qui ai mené le jeu et qui ai gagné ! Juste pour le fun. Je m’étais imaginé son indifférence voire son silence mais pas sa colère ! Juste envie de le savoir vivant, là-bas, loin de mes montagnes. Juste envie de le faire râler une dernière fois. Ainsi ma sombre fleur demeurait-elle égale à elle-même ! Pleine de contradictions. Bah, il n’apprendra jamais que ce qu’il veut apprendre. A quoi bon ? Qui suis-je pour lui dire qu’il ne peut retirer aucun bien en n’étant pas intègre. Il calcule trop il en oublie de vivre. La vie est si courte… Elle donne à ceux qui sont généreux. Je l’espère heureux un jour ou l’autre, il le faudra bien qu’il avance, qu’il lâche ses chimères. Une femme saura bien faire changer ses couleurs un jour avant qu’il ne soit trop tard s’il ne se fait pas dévorer. Puisse-t-il se donner les moyens d’être heureux. Lâcher prise... et cesser d’avoir peur.
C’est si triste un corps sans âme.
Un ami. J’ai fait l’amour avec un ami, enfin, je le considérais comme mon ami. Je crois au fond qu’il le restera malgré tout, malgré nous. Je savais bien que cela ne pouvait rien nous amener de bon. De fait, comme pour me protéger, j’avais laissé courir des fils blancs dans mes cheveux et les lui montrais bien comme un trophée (ouf, si j’avais su je n’aurais pas fait cet effort dérisoire !), pas d’illusion sur nos âges respectifs : un rempart, une forteresse qui n’a pas eu l’effet escompté, en clair, ils ne m’ont pas protégée. N’ai-je donc tant vécu...
J’étais cependant terriblement attirée par lui - plus que je n’aurais imaginé la chose possible : son caractère de chien me semblait suffisant pour que je ne l’approche pas de près. Je croyais dur comme fer que de nous voir aurait suffi à refroidir nos éventuels désirs respectifs toujours renouvelés de déchirure en rupture en adieux éternels. Oui, je dois reconnaître que notre amitié a toujours été mâtinée de sentiments variés. Et deux natures fortes. Il m’attirait un peu comme en physique deux élèments inverses s’attirent, loi éternelle. Un exemple : je donnais et lui prenait. Pas très équilibrée comme relation ! Pas très adulte. Et je ne parle pas de ses dents grinçantes ! On pouvait rêver mieux ! Cynique. Calculateur. Froid. Et moi, prompte à corriger l’insolent à lui faire tâter du tranchant de mes mots. Lorsqu’on est femme, on aimerait être l’objet de soin et d’attentions avant que de prodiguer les nôtres ! Je ne peux m’empêcher de voir avec quelle rapidité pourtant il avait appris à donner au moins dans le jeu amoureux ! Sa bouche ouverte d’oisillon attendant la becquée qui m’avait fait mourir de rire (mais de mort lente) avait fini par se montrer savante et généreuse autant qu’il pouvait l’être !
Je pense qu’il avait tout calculé pour que l’affaire soit rentable. Rire ! Et avec ma façon de voir les choses il partait gagnant, il ne s’était pas trompé. Oh, il ne m’avait rien dit de particulier sauf son attirance et sa peur. Il n’a jamais été question d’amour, c’était, pour lui, un aller retour simple quelles qu’avaient été ses dénégations passées : - tu ne reviendras plus te balader avec moi en montagne, n’est-ce pas ? – Bien sûr, pourquoi dis-tu ça ? Je reviendrai… J’aimais son côté taciturne et introverti, cela me faisait rire ! A l’opposé, dis-je, de ce que je suis.
Alors, cette fois là, nous avons fait l’amour. Cela faisait des années que nous y avions pensé ensemble ou à tour de rôle. Toute une nuit, trop courte, dont je ne peux que me souvenir, et, comme je n’avais guère dormi déjà les nuits précédentes, je n’étais pas belle à voir au matin pour un homme sans amour ! Rire ! Mais, c’est égal. Il est des souvenirs que l’on n’oublie pas. Une complicité, une entente des corps qui ne s’invente pas. Il n’y avait, quoiqu’on en pense, pas d’autre issue. L’amour ne supporte pas les contrefaçons. C’était bien dans sa façon de faire. Et dans la mienne. La glace. Le volcan. Il n’y aurait pas d’avenir.
J’ai joué avec lui une dernière fois. Cette fois, c’est moi qui ai mené le jeu et qui ai gagné ! Juste pour le fun. Je m’étais imaginé son indifférence voire son silence mais pas sa colère ! Juste envie de le savoir vivant, là-bas, loin de mes montagnes. Juste envie de le faire râler une dernière fois. Ainsi ma sombre fleur demeurait-elle égale à elle-même ! Pleine de contradictions. Bah, il n’apprendra jamais que ce qu’il veut apprendre. A quoi bon ? Qui suis-je pour lui dire qu’il ne peut retirer aucun bien en n’étant pas intègre. Il calcule trop il en oublie de vivre. La vie est si courte… Elle donne à ceux qui sont généreux. Je l’espère heureux un jour ou l’autre, il le faudra bien qu’il avance, qu’il lâche ses chimères. Une femme saura bien faire changer ses couleurs un jour avant qu’il ne soit trop tard s’il ne se fait pas dévorer. Puisse-t-il se donner les moyens d’être heureux. Lâcher prise... et cesser d’avoir peur.
C’est si triste un corps sans âme.
Lun 25 Avril 2011, 08:12 par
dolce vita sur Histoires d'amour
Même joueur joue encore...
Je dis que le temps passe et que les jours ne se ressemblent pas, les expériences elles, restent toujours les mêmes.
Je me dis que je ne reproduirais pas les mêmes erreurs, que cela servira de leçon pour ne plus m’y faire prendre. Malgré de bonnes résolutions prises en plein cours de l’année, il me semble tout de même qu’il est difficile d’échapper réellement à la malveillance de certains prédateurs.
Sans vouloir dénigrer la gente masculine, ni stigmatiser, le 21ème siècle a vu naître une toute autre forme de relations amoureuses. Peut on d’ailleurs parler d’Amour ? N’est ce pas plutôt une forme d’attachement passionnel menant deux personnes (souvent plusieurs), le temps d’un instant, vers un "nulle part" déconcertant de bétises et ne choquant plus personne.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : le couple des temps modernes n’est plus le fruit d’un réel désir d’être ensemble mais un choix stratégique vécu comme un passe temps, pour combler l’ennui et ce, même avec une personne complètement inintéressante mais néanmois sympathique.
Nous sommes passés maître dans l’art de la manipulation sentimentale, faisant croire à l’autre et ce sans aucune conviction, qu’il est celui que l’on a attendu toute une vie, alors qu’il n’est que le "n" ième sur une liste digne de celle de Schindler.
Ce que j’entends par ces plaintes revendicatives et un brin féministe je vous l’accorde, c’est que nous vivons dans un monde où l’Amour n’a plus sa place.
Aimer n’est plus qu’un mot préhistorique, désuet de sens, que l’on balance à qui veut l’entendre au bout de quelques heures passées ensemble. L’autre, n’est jamais celui que l’on croit, il n’est même pas l’ombre de l’être aimé que l’on désire tant et derrière lequel on court veinement.
Tout le monde se mèle et se démèle, ne faisant plus qu’un, mais non un couple, plutôt un groupe d’ex et de futur.
Parlons maintenant de ce concept utopique nommé fidélité, qui lui non plus, n’est plus présent dans les relations dites amoureuses. Il n’est que poussière jetée aux yeux de l’autre afin de pouvoir mieux l’aveugler. Sombre tragédie que je vous conte aujourd’hui, cependant nul n’est dupe de cette triste réalité. A voir les couples qui vous entourent, se faire et se défaire, vous accorderez sans doute du crédit à ma théorie.
Notre société de consommation à fait de nous des êtres jetables, que l’on évince à la moindre contrariété. Nous sommes devenus des instruments inaccordables, à la mélodie éphémère pleine de fausses notes.
Sans pour autant renoncer à mes rêves de mariage et de maternité, j’envisage avec beaucoup moins de naïveté, une future relation de partage.
Mes déceptions de plus en plus grandes au fil du temps ne m’ont rendues ni aigrie ni frigide, bien au contraire, elles m’ont apportées une force et une perception bien plus lucide et objective du monde qui m’entoure.
J’ai pris conscience de cette dimension humaine si hypocrite, que certains hommes et femmes d’aujourd’hui ont su créer sans aucun scrupule, instaurant des relations fondées sur le mensonge et la tromperie et faisant foi de loi inébranlable.
L’Amour est devenu virtuel et n’est que le paraître de ce que l’on devrait être.
J’écris ce texte sans aucune amertume et le coeur léger afin de tourner une page sur laquelle repose toute ma vie.
Mes malheurs amoureux passés font mon bonheur d’aujourd’hui et m’ont permis de prendre soin de moi, pour mieux prendre soin des autres. S’aimer soi même n’est il pas un début à l’amour de l’autre ? L’autre reste pour l’instant sur le banc de touche, estropié par la tempête d’un coeur qui a cessé d’aimer.
Je me dis que je ne reproduirais pas les mêmes erreurs, que cela servira de leçon pour ne plus m’y faire prendre. Malgré de bonnes résolutions prises en plein cours de l’année, il me semble tout de même qu’il est difficile d’échapper réellement à la malveillance de certains prédateurs.
Sans vouloir dénigrer la gente masculine, ni stigmatiser, le 21ème siècle a vu naître une toute autre forme de relations amoureuses. Peut on d’ailleurs parler d’Amour ? N’est ce pas plutôt une forme d’attachement passionnel menant deux personnes (souvent plusieurs), le temps d’un instant, vers un "nulle part" déconcertant de bétises et ne choquant plus personne.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : le couple des temps modernes n’est plus le fruit d’un réel désir d’être ensemble mais un choix stratégique vécu comme un passe temps, pour combler l’ennui et ce, même avec une personne complètement inintéressante mais néanmois sympathique.
Nous sommes passés maître dans l’art de la manipulation sentimentale, faisant croire à l’autre et ce sans aucune conviction, qu’il est celui que l’on a attendu toute une vie, alors qu’il n’est que le "n" ième sur une liste digne de celle de Schindler.
Ce que j’entends par ces plaintes revendicatives et un brin féministe je vous l’accorde, c’est que nous vivons dans un monde où l’Amour n’a plus sa place.
Aimer n’est plus qu’un mot préhistorique, désuet de sens, que l’on balance à qui veut l’entendre au bout de quelques heures passées ensemble. L’autre, n’est jamais celui que l’on croit, il n’est même pas l’ombre de l’être aimé que l’on désire tant et derrière lequel on court veinement.
Tout le monde se mèle et se démèle, ne faisant plus qu’un, mais non un couple, plutôt un groupe d’ex et de futur.
Parlons maintenant de ce concept utopique nommé fidélité, qui lui non plus, n’est plus présent dans les relations dites amoureuses. Il n’est que poussière jetée aux yeux de l’autre afin de pouvoir mieux l’aveugler. Sombre tragédie que je vous conte aujourd’hui, cependant nul n’est dupe de cette triste réalité. A voir les couples qui vous entourent, se faire et se défaire, vous accorderez sans doute du crédit à ma théorie.
Notre société de consommation à fait de nous des êtres jetables, que l’on évince à la moindre contrariété. Nous sommes devenus des instruments inaccordables, à la mélodie éphémère pleine de fausses notes.
Sans pour autant renoncer à mes rêves de mariage et de maternité, j’envisage avec beaucoup moins de naïveté, une future relation de partage.
Mes déceptions de plus en plus grandes au fil du temps ne m’ont rendues ni aigrie ni frigide, bien au contraire, elles m’ont apportées une force et une perception bien plus lucide et objective du monde qui m’entoure.
J’ai pris conscience de cette dimension humaine si hypocrite, que certains hommes et femmes d’aujourd’hui ont su créer sans aucun scrupule, instaurant des relations fondées sur le mensonge et la tromperie et faisant foi de loi inébranlable.
L’Amour est devenu virtuel et n’est que le paraître de ce que l’on devrait être.
J’écris ce texte sans aucune amertume et le coeur léger afin de tourner une page sur laquelle repose toute ma vie.
Mes malheurs amoureux passés font mon bonheur d’aujourd’hui et m’ont permis de prendre soin de moi, pour mieux prendre soin des autres. S’aimer soi même n’est il pas un début à l’amour de l’autre ? L’autre reste pour l’instant sur le banc de touche, estropié par la tempête d’un coeur qui a cessé d’aimer.
Sam 08 Jan 2011, 23:24 par
Atina sur L'amour en vrac
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