Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur attrait
Gourmandise ( texte re-travaillé)
Sur ton visage, un air complétement réjoui
A l’idée que tu te fais de l’agréable découverte
Ta bouche impatiente légèrement entrouverte
Des lèvres douces, telles des orchidées rouges et charnues,
Exquises messagères des promesses convenues
Entre deux tendres amants passionnés
Comme un bonbon au curieux gout acidulé
Dont on aime pourtant la singulière saveur ingrate
Délicieusement humide et particulièrement délicate,
La sucrerie de cette bouche pulpeuse te tente...
Comme un aimant ,dont tu ne peux maitriser l’effet
Tu ne seras résister longtemps à son attrait.
Un fougueux baiser tu poses
Plein d’amoureux sentiment
Et plus loin encore tu oses...
Tu recherches le " craquant"!
Les yeux fermés pour mieux savourer;
Le fondant sous les tours, et contours.
Ta langue s’est attardée sur tous les alentours;
Pour, le délice de cet instant, sublimer
Un baiser comme une douce friandise,
De mon corps, tel un gâteau sur la cerise...
Tu cherches,trouves, ou devines;
Caramel , vanille, ou fraise des bois
Tu aimes ce petit gout de sucre en moi;
Ta gourmandise divine.
Dim 28 Avril 2013, 14:57 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
L'ascenseur
Elle était d’un commun qui semblait du banal
Dans son grand manteau brun et sa p’tite queue de cheval
Pourtant à bien y regarder, elle avait quelque chose
Qui faisait d’elle comme un attrait, charme dont parfois on dispose.
On venait d’embarquer dans le même ascenseur
Cette cabine métallique qui à moi me fait peur.
Pour occuper le temps de notre élévation
Je fredonnais mollement un air d’une chanson.
Par quelques courtes œillades je zyeutais cette femme
Qui l’instant d’un trajet avait rejoint mon âme.
Je la surpris maintes fois faisant de même pour moi
Si bien que du hasard il n’y avait de quoi.
En revanche que penser quand la boite s’arrêta
Dans un bruit de ferraille qui vraiment m’affola.
Voilà des circonstances qui tombaient plutôt bien
Pour qui voudrait trouver comment lui faire du grain.
Seulement mon cœur me tournait mal en point
M’empêchant par le fait de saisir le destin.
Me voyant défaillir elle me saisit la main
En m’disant des « monsieur calmez-vous tout va bien »
Puis elle plaqua ma paume sur l’un de ses deux seins
« Sentez mon cœur » dit-elle, « de la peur il n’est rien »
« Par contre » susurra t-elle « j’aurais quelques regrets
Si de cette occasion nous ne pouvions profiter
Personnellement je ne suis pas pressée
Les secours ont le temps avant d’être alertés »
Elle ouvrit son manteau qui me la révéla
Entièrement nue dessous, juste une paire de bas.
La fille était pas mal et joliment bien faite
Je sentis dans le bas que la chose était prête.
« Oui bien sûr » soufflais-je pateusement
« Sachez que sur ce point je vous rejoins pleinement »
Sa bouche se jeta sur la mienne
Puis je sentis sa main sur ma région pubienne.
Moi-même, je ne restais sans rien faire
Lui caressant du mieux, son ferme et doux derrière
Mon pantalon tomba, suivi de mon caleçon
Parachevant ainsi, ma vive excitation.
Tout en se retournant elle ôta son manteau
Vint se coller à moi en me tournant le dos.
« Venez en moi, plantez moi votre engin ».
De quelques doigts agiles je cernais le terrain,
Une grotte bien huilée dans laquelle je glissais.
En rythme soutenu j’allais et je venais
La sentant se cabrer à chaque de mes piquées
Elle se mit à gémir du bien que ça lui faisait
S’agitant le fessier pour je rentre mieux
En quelques déhanchements ce fut le délicieux
J’explosais mon tout moi, l’entendis jouir aussi.
Haletants du combat, nous restâmes ainsi
Accolés l’un à l’autre pour reprendre nos esprits.
Nous entendîmes du bruit dans la cage d’escalier
L’ascenseur s’ébroua, se remit à marcher
Des gens ont dû prévenir le voilà réparé
En prestes mouvements nous fumes rhabillés
Les portes coulissèrent nous étions arrivés.
Dans un demi-sourire et des yeux malicieux
Elle me dit je ne sais, vous dire merci monsieur
De ces frissonnements qui me furent merveilleux
Sachez pour la mémoire que je m’appelle Elise
Elle se hissa vers moi et me claqua la bise,
Puis d’un pas sur et leste elle fila de ma sphère.
Voilà qui me réconcilie avec cette boite en fer
Pensais-je en moi qui n’étais pas peu fier
Ah de ce bon coup-là dont je me souviendrais
Comme d’un encouragement à plus prendre l’escalier.
Jime
Dans son grand manteau brun et sa p’tite queue de cheval
Pourtant à bien y regarder, elle avait quelque chose
Qui faisait d’elle comme un attrait, charme dont parfois on dispose.
On venait d’embarquer dans le même ascenseur
Cette cabine métallique qui à moi me fait peur.
Pour occuper le temps de notre élévation
Je fredonnais mollement un air d’une chanson.
Par quelques courtes œillades je zyeutais cette femme
Qui l’instant d’un trajet avait rejoint mon âme.
Je la surpris maintes fois faisant de même pour moi
Si bien que du hasard il n’y avait de quoi.
En revanche que penser quand la boite s’arrêta
Dans un bruit de ferraille qui vraiment m’affola.
Voilà des circonstances qui tombaient plutôt bien
Pour qui voudrait trouver comment lui faire du grain.
Seulement mon cœur me tournait mal en point
M’empêchant par le fait de saisir le destin.
Me voyant défaillir elle me saisit la main
En m’disant des « monsieur calmez-vous tout va bien »
Puis elle plaqua ma paume sur l’un de ses deux seins
« Sentez mon cœur » dit-elle, « de la peur il n’est rien »
« Par contre » susurra t-elle « j’aurais quelques regrets
Si de cette occasion nous ne pouvions profiter
Personnellement je ne suis pas pressée
Les secours ont le temps avant d’être alertés »
Elle ouvrit son manteau qui me la révéla
Entièrement nue dessous, juste une paire de bas.
La fille était pas mal et joliment bien faite
Je sentis dans le bas que la chose était prête.
« Oui bien sûr » soufflais-je pateusement
« Sachez que sur ce point je vous rejoins pleinement »
Sa bouche se jeta sur la mienne
Puis je sentis sa main sur ma région pubienne.
Moi-même, je ne restais sans rien faire
Lui caressant du mieux, son ferme et doux derrière
Mon pantalon tomba, suivi de mon caleçon
Parachevant ainsi, ma vive excitation.
Tout en se retournant elle ôta son manteau
Vint se coller à moi en me tournant le dos.
« Venez en moi, plantez moi votre engin ».
De quelques doigts agiles je cernais le terrain,
Une grotte bien huilée dans laquelle je glissais.
En rythme soutenu j’allais et je venais
La sentant se cabrer à chaque de mes piquées
Elle se mit à gémir du bien que ça lui faisait
S’agitant le fessier pour je rentre mieux
En quelques déhanchements ce fut le délicieux
J’explosais mon tout moi, l’entendis jouir aussi.
Haletants du combat, nous restâmes ainsi
Accolés l’un à l’autre pour reprendre nos esprits.
Nous entendîmes du bruit dans la cage d’escalier
L’ascenseur s’ébroua, se remit à marcher
Des gens ont dû prévenir le voilà réparé
En prestes mouvements nous fumes rhabillés
Les portes coulissèrent nous étions arrivés.
Dans un demi-sourire et des yeux malicieux
Elle me dit je ne sais, vous dire merci monsieur
De ces frissonnements qui me furent merveilleux
Sachez pour la mémoire que je m’appelle Elise
Elle se hissa vers moi et me claqua la bise,
Puis d’un pas sur et leste elle fila de ma sphère.
Voilà qui me réconcilie avec cette boite en fer
Pensais-je en moi qui n’étais pas peu fier
Ah de ce bon coup-là dont je me souviendrais
Comme d’un encouragement à plus prendre l’escalier.
Jime
Lun 12 Nov 2012, 13:34 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
Dessin d'elle (duo)
Me lève doucement et prends ma cigarette
Je dois, rideaux, tirer et la fenêtre ouvrir
Elle ne veut fumée et il faut que j’arrête
Je ne puis maintenant ! Mais cela va venir
J’enfourne la cibiche et prends une allumette
Il fait beaucoup trop chaud, je n’arrive à dormir
La flamme qui crépite emmène au loin tout ombre
Je tire une bouffée et je m’installe enfin
Dans le noir qui revient les démons sont en nombre
Par l’huis, la lune envoie un rayon argentin
Elle éclaire la chambre en la rendant moins sombre
Et dans cette lueur je vois son corps divin
L’envie ainsi me prends d’en faire une aquarelle
M’empare d’un crayon pour en faire un croquis
Sous ce rayon d’argent, elle apparaît si belle
Et le temps se suspend, par sa beauté, conquis
La main dessine alors sa grâce naturelle
Et sans regard lever de ce visage exquis
En tire un trait précis du cou jusqu’à l’aisselle
J’arrête un peu surpris, à l’ébauche d’un sein,
Par cette étrange aisance et un pli de courbure
Disparaissant sous draps et dont le bel écrin
Par un effet soudain éveille ma nature
Je me dois de freiner ce désir de câlin
Pendant que, doucement, descends la couverture
Dans toute sa beauté s’expose le tableau
De son merveilleux corps. Malgré sa retenue
Elle, pourtant pudique, au cœur de ce berceau,
Sans porter le flambeau, ma déesse dort nue.
Dans un suprême effort, je reprends le pinceau
Et continue ainsi la fresque convenue
La regarde dormir dessinant ses cheveux
D’un regard caressant j’en amorce la joue
Je peaufine amoureux le contour de ses yeux
Puis j’entame la bouche, authentique bijou,
Dont le troublant contact m’invite auprès des dieux
Goûter le doux nectar, d’un tendre roudoudou
Comme me rejoignant, en ce joli mirage
Par un secret murmure, ici, Belle se plaint
Se dessine un sourire éclairant son visage
Se peut-il qu’en songe, je sois ce séraphin
Qui l’enlace en dansant et sous lune fort sage
Lui fait ainsi l’amour du soir jusqu’au matin ?
L’image s’affranchit d’un fusain qui l’esquisse
D’une cambrure lisse au doux moelleux confort
Inestimable attrait de ma belle Anaïs
Qui joyeusement glisse en un charmant transport
D’un rêve dont le vœu, que jamais ne finisse
L’amour qui nous unit, est un souhait très fort
S’évade mon esprit sur un plan de garrigue
Plus de mille crickets nous saluent de leur chant
Je suis au paradis et j’entame une gigue
Des massifs de lavande embaument l’air ambiant
Et je danse ! Je danse à tomber de fatigue,
Ivre de joie immense, en son sein accueillant
S’égare mon regard sur un galbe de fesse
Une rondeur de sein que polit une main
S’activant au dessin que sa beauté professe
Du mollet au genou, de la cuisse au bassin
De l’endroit le plus doux le tableau la caresse
De l’éclat lumineux d’un rayon opalin
Une ombre, sur le mur, vient contempler l’artiste
Puis se penche et s’immisce au creux de son dessin
Soigne la silhouette, en bon aquarelliste,
En retrace et reprend le beau contour d’un sein
Embellit le velours, tel un beau jeu de piste,
Donnant forme et volume au joli mannequin
J’observe le croquis, le compare à ma brune
Retouche un pli par ci, regonfle un trait par là
Orne d’un trait charbon le teint clair de sa prune
Le pinceau s’éternise et traîne à l’emploi
D’un ébat dans ses bras, d’une joie commune
Je me prends à rêver d’un doux et tendre émoi
Sur l’esquisse m’étends, gomme, trace et retrace
Et refais tous les traits comme en la caressant
À mes yeux amoureux, il ne trouve pas grâce
Ce tableau, rien qu’un nu, bien splendide pourtant
Le recouvre et reprends d’un regard qui l’enlace
Le dessin est fini depuis déjà longtemps
La regarder dormir sous les rayons de lune
Je ne me lasse pas d’ainsi la regarder
Et je profite alors de ma bonne fortune
Et j’en profite encore aussi pour en rêver
La regarder dormir quelle chance opportune
La regarder dormir et puis la dessiner
Idée originale et décor de caressedesyeux
© Versification et mise en page Hamilcar01[/color]
Je dois, rideaux, tirer et la fenêtre ouvrir
Elle ne veut fumée et il faut que j’arrête
Je ne puis maintenant ! Mais cela va venir
J’enfourne la cibiche et prends une allumette
Il fait beaucoup trop chaud, je n’arrive à dormir
La flamme qui crépite emmène au loin tout ombre
Je tire une bouffée et je m’installe enfin
Dans le noir qui revient les démons sont en nombre
Par l’huis, la lune envoie un rayon argentin
Elle éclaire la chambre en la rendant moins sombre
Et dans cette lueur je vois son corps divin
L’envie ainsi me prends d’en faire une aquarelle
M’empare d’un crayon pour en faire un croquis
Sous ce rayon d’argent, elle apparaît si belle
Et le temps se suspend, par sa beauté, conquis
La main dessine alors sa grâce naturelle
Et sans regard lever de ce visage exquis
En tire un trait précis du cou jusqu’à l’aisselle
J’arrête un peu surpris, à l’ébauche d’un sein,
Par cette étrange aisance et un pli de courbure
Disparaissant sous draps et dont le bel écrin
Par un effet soudain éveille ma nature
Je me dois de freiner ce désir de câlin
Pendant que, doucement, descends la couverture
Dans toute sa beauté s’expose le tableau
De son merveilleux corps. Malgré sa retenue
Elle, pourtant pudique, au cœur de ce berceau,
Sans porter le flambeau, ma déesse dort nue.
Dans un suprême effort, je reprends le pinceau
Et continue ainsi la fresque convenue
La regarde dormir dessinant ses cheveux
D’un regard caressant j’en amorce la joue
Je peaufine amoureux le contour de ses yeux
Puis j’entame la bouche, authentique bijou,
Dont le troublant contact m’invite auprès des dieux
Goûter le doux nectar, d’un tendre roudoudou
Comme me rejoignant, en ce joli mirage
Par un secret murmure, ici, Belle se plaint
Se dessine un sourire éclairant son visage
Se peut-il qu’en songe, je sois ce séraphin
Qui l’enlace en dansant et sous lune fort sage
Lui fait ainsi l’amour du soir jusqu’au matin ?
L’image s’affranchit d’un fusain qui l’esquisse
D’une cambrure lisse au doux moelleux confort
Inestimable attrait de ma belle Anaïs
Qui joyeusement glisse en un charmant transport
D’un rêve dont le vœu, que jamais ne finisse
L’amour qui nous unit, est un souhait très fort
S’évade mon esprit sur un plan de garrigue
Plus de mille crickets nous saluent de leur chant
Je suis au paradis et j’entame une gigue
Des massifs de lavande embaument l’air ambiant
Et je danse ! Je danse à tomber de fatigue,
Ivre de joie immense, en son sein accueillant
S’égare mon regard sur un galbe de fesse
Une rondeur de sein que polit une main
S’activant au dessin que sa beauté professe
Du mollet au genou, de la cuisse au bassin
De l’endroit le plus doux le tableau la caresse
De l’éclat lumineux d’un rayon opalin
Une ombre, sur le mur, vient contempler l’artiste
Puis se penche et s’immisce au creux de son dessin
Soigne la silhouette, en bon aquarelliste,
En retrace et reprend le beau contour d’un sein
Embellit le velours, tel un beau jeu de piste,
Donnant forme et volume au joli mannequin
J’observe le croquis, le compare à ma brune
Retouche un pli par ci, regonfle un trait par là
Orne d’un trait charbon le teint clair de sa prune
Le pinceau s’éternise et traîne à l’emploi
D’un ébat dans ses bras, d’une joie commune
Je me prends à rêver d’un doux et tendre émoi
Sur l’esquisse m’étends, gomme, trace et retrace
Et refais tous les traits comme en la caressant
À mes yeux amoureux, il ne trouve pas grâce
Ce tableau, rien qu’un nu, bien splendide pourtant
Le recouvre et reprends d’un regard qui l’enlace
Le dessin est fini depuis déjà longtemps
La regarder dormir sous les rayons de lune
Je ne me lasse pas d’ainsi la regarder
Et je profite alors de ma bonne fortune
Et j’en profite encore aussi pour en rêver
La regarder dormir quelle chance opportune
La regarder dormir et puis la dessiner
Idée originale et décor de caressedesyeux
© Versification et mise en page Hamilcar01[/color]
Mer 13 Juin 2012, 19:11 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Gourmandise (des maux d'amour conjugués)
Sur ton visage, un air complètement réjoui
À l’idée que tu te fais de l’agréable découverte
Ta bouche impatiente légèrement entrouverte
Des lèvres douces, telles pulpe d’un fruit
Forment un sourire étrange qui attend....
Belles, telles des orchidées rouges et charnues,
Exquises messagères des promesses convenues
Entre deux tendres amants passionnés
Comme un bonbon au curieux goût acidulé
Dont on aime pourtant la singulière saveur ingrate
Délicieusement humide et particulièrement délicate,
La sucrerie de cette bouche pulpeuse te tente...
Comme un aimant dont tu ne peux maîtriser l’effet
Tu ne sauras résister longtemps à son attrait
Un fougueux baiser tu poses
Plein d’amoureux sentiment
Et plus loin encore tu oses...
Tu recherches le "craquant" !
Les yeux fermés pour mieux savourer;
Le fondant sous les tours, et contours.
Ta langue s’est attardée sur tous les alentours;
Pour, le délice de cet instant, sublimer
Un baiser comme une douce friandise,
De mon corps, tel un gâteau, la cerise...
Tu cherches, trouves ou devines;
Caramel, vanille ou fraise des bois
Tu aimes ce petit goût de sucre en moi ;
Ta gourmandise divine. © Marilyn [/b]
À l’idée que tu te fais de l’agréable découverte
Ta bouche impatiente légèrement entrouverte
Des lèvres douces, telles pulpe d’un fruit
Forment un sourire étrange qui attend....
Belles, telles des orchidées rouges et charnues,
Exquises messagères des promesses convenues
Entre deux tendres amants passionnés
Comme un bonbon au curieux goût acidulé
Dont on aime pourtant la singulière saveur ingrate
Délicieusement humide et particulièrement délicate,
La sucrerie de cette bouche pulpeuse te tente...
Comme un aimant dont tu ne peux maîtriser l’effet
Tu ne sauras résister longtemps à son attrait
Un fougueux baiser tu poses
Plein d’amoureux sentiment
Et plus loin encore tu oses...
Tu recherches le "craquant" !
Les yeux fermés pour mieux savourer;
Le fondant sous les tours, et contours.
Ta langue s’est attardée sur tous les alentours;
Pour, le délice de cet instant, sublimer
Un baiser comme une douce friandise,
De mon corps, tel un gâteau, la cerise...
Tu cherches, trouves ou devines;
Caramel, vanille ou fraise des bois
Tu aimes ce petit goût de sucre en moi ;
Ta gourmandise divine. © Marilyn [/b]
Jeu 23 Fév 2012, 15:06 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Le temps des vacances (alessia) chapitre trois
Les jours passent, longs, tristes et monotones. Elle ne cesse de penser à lui, à ses baisers, ses caresses que cela en devient obsessionnel. Elle aimerait pouvoir le revoir afin de plonger son regard dans ses yeux sombres et voir si elle peut y discerner un petit quelque chose qui la persuaderait que cette absence lui fait le même terrible effet qu’elle ressent...
Leurs regards, leurs discussions, leurs ébats, ce fut comme un tsunami, qui renverse et emporte tout sur son passage : bouleversante révélation qu’est un coup de foudre.
Elle est totalement subjuguée, et rêve d’aller vraiment jusqu’au bout avec lui. Lui donner tout ce dont elle est capable en matière de tendresse et de douceur. L’aimer complètement, être sienne entièrement. Elle y croit si fort en cet amour, même si elle est consciente qu’il n’y a pas d’avenir possible entre eux, qu’elle est prête à tout. Elle veut vivre cette passion qui la dévore un peu plus chaque jour. Il est son obsession, et rien de ce qu’on pourrait lui objecter, ne l’arrêtera.
Elle aime déjà l’homme qu’il est. Ce charisme qu’il dégage, son esprit brillant, son coté si posé et responsable et pourtant de l’inconscience juvénile d’une sensibilité à fleur de peau. Elle aime ce coté romantique, qui l’amène à l’apprivoiser doucement , sans l’effaroucher, à prendre le temps qu’il faut pour la comprendre et l’apprécier.....
Elle est comme lui, éternelle romantique, farouchement rêveuse, mais d’horribles pensées torturent son esprit et obscurcissent ce bel avenir qu’elle entrevoit. Pour être franche avec elle-même : Elle a peur ! Peur de voir dans son regard la déception lorsque, ce jour dont elle rêve tant, sur son corps, ses yeux, il posera. Elle a peur de décevoir ses espérances, le jour qu’il effeuillera.
Car elle n’a plus l’irrésistible attrait de ses vingt ans, ni même la belle prestance de ses trente ans. Elle a peur de sa réaction quand les vêtements ôtés, elle lui apparaîtra telle qu’elle est. Bien sûr, elle assume ses rondeurs et est bien dans son corps. Même si elle n’a pas le ventre plat d’un mannequin et que quelques bourrelets par ci, par là donnent du volume à sa silhouette. Et puis il y a cette cellulite qui s’est sournoisement installée malgré le sport et qui fait que sa peau n’est pas aussi lisse et douce qu’elle le voudrait.En somme, elle doute de lui plaire, doute qu’il la trouve aussi attirante qu’il ne l’espère et qu’il ne l’aime suffisamment pour ne prêter attention à tous ces défauts qu’elle trouve à son corps. Alessia n’est pas le genre de femme à avoir des aventures. Lorsqu’elle aime, elle est sincère et entière. Elle ne joue pas un rôle, ne s’invente pas des sentiments......
Leurs regards, leurs discussions, leurs ébats, ce fut comme un tsunami, qui renverse et emporte tout sur son passage : bouleversante révélation qu’est un coup de foudre.
Elle est totalement subjuguée, et rêve d’aller vraiment jusqu’au bout avec lui. Lui donner tout ce dont elle est capable en matière de tendresse et de douceur. L’aimer complètement, être sienne entièrement. Elle y croit si fort en cet amour, même si elle est consciente qu’il n’y a pas d’avenir possible entre eux, qu’elle est prête à tout. Elle veut vivre cette passion qui la dévore un peu plus chaque jour. Il est son obsession, et rien de ce qu’on pourrait lui objecter, ne l’arrêtera.
Elle aime déjà l’homme qu’il est. Ce charisme qu’il dégage, son esprit brillant, son coté si posé et responsable et pourtant de l’inconscience juvénile d’une sensibilité à fleur de peau. Elle aime ce coté romantique, qui l’amène à l’apprivoiser doucement , sans l’effaroucher, à prendre le temps qu’il faut pour la comprendre et l’apprécier.....
Elle est comme lui, éternelle romantique, farouchement rêveuse, mais d’horribles pensées torturent son esprit et obscurcissent ce bel avenir qu’elle entrevoit. Pour être franche avec elle-même : Elle a peur ! Peur de voir dans son regard la déception lorsque, ce jour dont elle rêve tant, sur son corps, ses yeux, il posera. Elle a peur de décevoir ses espérances, le jour qu’il effeuillera.
Car elle n’a plus l’irrésistible attrait de ses vingt ans, ni même la belle prestance de ses trente ans. Elle a peur de sa réaction quand les vêtements ôtés, elle lui apparaîtra telle qu’elle est. Bien sûr, elle assume ses rondeurs et est bien dans son corps. Même si elle n’a pas le ventre plat d’un mannequin et que quelques bourrelets par ci, par là donnent du volume à sa silhouette. Et puis il y a cette cellulite qui s’est sournoisement installée malgré le sport et qui fait que sa peau n’est pas aussi lisse et douce qu’elle le voudrait.En somme, elle doute de lui plaire, doute qu’il la trouve aussi attirante qu’il ne l’espère et qu’il ne l’aime suffisamment pour ne prêter attention à tous ces défauts qu’elle trouve à son corps. Alessia n’est pas le genre de femme à avoir des aventures. Lorsqu’elle aime, elle est sincère et entière. Elle ne joue pas un rôle, ne s’invente pas des sentiments......
Mer 06 Avril 2011, 17:59 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Négligence
Libre à toi de ne vouloir que ce qui se voit.
Libre à toi de ne t’attarder que sur mes jambes, mes hanches ou mes seins.
Libre à toi de ne pas chercher plus loin.
Mais sache que le plaisir ne durera pas.
Je ne peux certainement pas t’en vouloir
De ne pouvoir résister à leur attrait.
Je t’en suis même ô combien reconnaissante!
Mais tu oublies qu’il y a une âme sous-jacente
Qui aime également à être caressée
Par la douceur des mots, par la tendresse des moments...
Ton bénéfice n’en sera que plus grand,
Je te prie de me croire!
Libre à toi de ne t’attarder que sur mes jambes, mes hanches ou mes seins.
Libre à toi de ne pas chercher plus loin.
Mais sache que le plaisir ne durera pas.
Je ne peux certainement pas t’en vouloir
De ne pouvoir résister à leur attrait.
Je t’en suis même ô combien reconnaissante!
Mais tu oublies qu’il y a une âme sous-jacente
Qui aime également à être caressée
Par la douceur des mots, par la tendresse des moments...
Ton bénéfice n’en sera que plus grand,
Je te prie de me croire!
Ven 05 Juin 2009, 20:03 par
Asma sur Le grimoire d'amour
Pensées fugaces
Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
pensées focalisées
sur le doute et l’absence
Je pense à toi toujours
tu es là dans mes cieux
dans mes rêves d’Amour
mes songes inharmonieux
Je ne resterai pas
dans cet indéfini
je guiderai mes pas
je dois rester en vie
Je vais partir sûrement
t’échapper pour de vrai
m’éloigner tendrement
effacer cet attrait
Qui nous lie maintenant
depuis longtemps déjà
semblant nier le temps
se nourrir de combats.
Je veux rester sereine
éternelle et vivante
ou bien partir sans peine
heureuse et dilétante
Tu resteras pour moi
cet espoir de promesse
cette brume, cet émoi
cet élan de tendresse.
Je t’aime encore bien sûr
je te désire toujours
je pars vers d’autre azur
sans espoir de retour
Ces mots sont là pour toi
qu’ils te nourrissent enfin
qu’ils rencontrent ta foi
qu’ils te fassent être bien
Dans tes incertitudes
ta peur d’aimer vraiment
sache que ma solitude
s’inscrit comme un aimant
Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
je renie le passé
et poursuis ma sentence
La vie est ainsi faite
que les choses essentielles
se cachent et se répètent
sous l’aval du ciel.
la lune en ascendance
pensées focalisées
sur le doute et l’absence
Je pense à toi toujours
tu es là dans mes cieux
dans mes rêves d’Amour
mes songes inharmonieux
Je ne resterai pas
dans cet indéfini
je guiderai mes pas
je dois rester en vie
Je vais partir sûrement
t’échapper pour de vrai
m’éloigner tendrement
effacer cet attrait
Qui nous lie maintenant
depuis longtemps déjà
semblant nier le temps
se nourrir de combats.
Je veux rester sereine
éternelle et vivante
ou bien partir sans peine
heureuse et dilétante
Tu resteras pour moi
cet espoir de promesse
cette brume, cet émoi
cet élan de tendresse.
Je t’aime encore bien sûr
je te désire toujours
je pars vers d’autre azur
sans espoir de retour
Ces mots sont là pour toi
qu’ils te nourrissent enfin
qu’ils rencontrent ta foi
qu’ils te fassent être bien
Dans tes incertitudes
ta peur d’aimer vraiment
sache que ma solitude
s’inscrit comme un aimant
Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
je renie le passé
et poursuis ma sentence
La vie est ainsi faite
que les choses essentielles
se cachent et se répètent
sous l’aval du ciel.
Lun 26 Mars 2007, 17:36 par
jatea sur L'amour en vrac
La déclaration
Madame,
Comment me regardez-vous ?
Voudriez-vous vous approcher de moi ?
Je vais vous dire : cela fait des années que je prépare en moi le prochain amour.
Je ne sais si c’est vous : vous y ressemblez.
Je sais de quoi il est fait ; c’est de brûler que je l’ai fait ; c’est en brûlant qu’il m’a refait.
Ne reste en moi que la flamme pure.
Je ne sais si une seulement s’en approchera. Vous me convenez.
Je lis très bien les yeux des filles ; et donc je sais très bien le feu qu’elles voient, quand elles se risquent aux miens. Je sais leur émoi ; j’admets leurs fuites.
Où je suis pour aimer, j’ignore si je serai rejoint, mais c’est Amour que j’ai rejoint, en me mêlant à ses Marées.
Vous me lirez peut-être, alors vous saurez d’où je viens, et mon île.
J’habite au-dessus du volcan et je l’ouvre aux éclairs, à une autre fusion, et tout autour une autre Mer veille à la terre comme au ciel, et elle est d’un bleu sans fond.
Je serai peut-être seul pour faire ce que j’ai à faire, mais vous semblez me deviner, je crois comprendre votre attrait.
Pouvons-nous en parler, avant que l’attrait ne devienne blessure ?
Ne cherchez pas de ruse ; afin que seule l’innocence nous habille, et vous verrez comme elle va bien aux hommes.
Je ne sais rien de plus sincère que le cœur qui m’a refait.
Laissez-moi vous parler, vous sentirez peut-être quelque chose d’autre dans mes mains, une fois j’en ai vibré tout entier, flamme matière entre l’eau et le ciel, immobile en mon lieu d’origine, sur un petit pont de bois.
Puissiez-vous être près et proche de moi. Vous ajustez en moi de votre pas léger le plus doux rythme qui soit, je vous l’expliquerai.
Je vous ouvrirai ma voix d’éternité.
Je ne sais pas encore si je vais vous remettre cette lettre ; j’ai besoin d’abord de vous revoir ; la flèche que vous avez plantée en moi la dernière fois a bien atteint son but. Je dois revoir vos yeux, vos lèvres ; et si je peux, y verser l’envie nue, telle qu’elle se lève.
Peut-être n’est-ce qu’un jeu pour vous, tous nos regards qui se sourient, et vos sourires qui me regardent.
Dans ce cas, ce n’est rien, d’ailleurs qui suis-je ?
Aussi infirme qu’infime, je veille à l’infini, cela doit me suffire.
Mais nos sourires à venir et ces larmes sans pleurs que déjà je connais ; en avez-vous la place ?
Je vous salue Madame
Comment me regardez-vous ?
Voudriez-vous vous approcher de moi ?
Je vais vous dire : cela fait des années que je prépare en moi le prochain amour.
Je ne sais si c’est vous : vous y ressemblez.
Je sais de quoi il est fait ; c’est de brûler que je l’ai fait ; c’est en brûlant qu’il m’a refait.
Ne reste en moi que la flamme pure.
Je ne sais si une seulement s’en approchera. Vous me convenez.
Je lis très bien les yeux des filles ; et donc je sais très bien le feu qu’elles voient, quand elles se risquent aux miens. Je sais leur émoi ; j’admets leurs fuites.
Où je suis pour aimer, j’ignore si je serai rejoint, mais c’est Amour que j’ai rejoint, en me mêlant à ses Marées.
Vous me lirez peut-être, alors vous saurez d’où je viens, et mon île.
J’habite au-dessus du volcan et je l’ouvre aux éclairs, à une autre fusion, et tout autour une autre Mer veille à la terre comme au ciel, et elle est d’un bleu sans fond.
Je serai peut-être seul pour faire ce que j’ai à faire, mais vous semblez me deviner, je crois comprendre votre attrait.
Pouvons-nous en parler, avant que l’attrait ne devienne blessure ?
Ne cherchez pas de ruse ; afin que seule l’innocence nous habille, et vous verrez comme elle va bien aux hommes.
Je ne sais rien de plus sincère que le cœur qui m’a refait.
Laissez-moi vous parler, vous sentirez peut-être quelque chose d’autre dans mes mains, une fois j’en ai vibré tout entier, flamme matière entre l’eau et le ciel, immobile en mon lieu d’origine, sur un petit pont de bois.
Puissiez-vous être près et proche de moi. Vous ajustez en moi de votre pas léger le plus doux rythme qui soit, je vous l’expliquerai.
Je vous ouvrirai ma voix d’éternité.
Je ne sais pas encore si je vais vous remettre cette lettre ; j’ai besoin d’abord de vous revoir ; la flèche que vous avez plantée en moi la dernière fois a bien atteint son but. Je dois revoir vos yeux, vos lèvres ; et si je peux, y verser l’envie nue, telle qu’elle se lève.
Peut-être n’est-ce qu’un jeu pour vous, tous nos regards qui se sourient, et vos sourires qui me regardent.
Dans ce cas, ce n’est rien, d’ailleurs qui suis-je ?
Aussi infirme qu’infime, je veille à l’infini, cela doit me suffire.
Mais nos sourires à venir et ces larmes sans pleurs que déjà je connais ; en avez-vous la place ?
Je vous salue Madame
Ven 17 Mars 2006, 12:35 par
Iris sur Parler d'amour
Mensonge
De grâce ne mentez, épargnez moi ce mal
de la vaine éloquence, dont je sais le fatal
et mensonge attrait, oubliez les atours,
oubliez les paroles, effacez les discours
que la raison comdamne, que le bon sens fuit,
un peu de jugement au réel conduit.
Si les phrases bien douces , usant de rhétorique
nous bercent et nous consolent, de notre esprit critique
usons bien malgré tout : et laissons triompher
notre esprit à l’amour aux mensonges éhontés.
de la vaine éloquence, dont je sais le fatal
et mensonge attrait, oubliez les atours,
oubliez les paroles, effacez les discours
que la raison comdamne, que le bon sens fuit,
un peu de jugement au réel conduit.
Si les phrases bien douces , usant de rhétorique
nous bercent et nous consolent, de notre esprit critique
usons bien malgré tout : et laissons triompher
notre esprit à l’amour aux mensonges éhontés.
Lun 19 Juil 2004, 13:27 par
clé des songes sur L'amour en vrac
Ecrire sur attrait
Gourmandise ( texte re-travaillé), L'ascenseur, Dessin d'elle (duo), Gourmandise (des maux d'amour conjugués), Le temps des vacances (alessia) chapitre trois, Négligence, Pensées fugaces, La déclaration, Mensonge,Il y a 9 textes utilisant le mot attrait. Ces pages présentent les textes correspondant.
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