Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur amants - Page 3 sur 5
Pour elle
Lorsque l’aurore étend son manteau
Sur le jour et sur les amants
Et que le firmament tout entier
S’habille de bleu s’habille de blanc
Il n’y a pas un astre qui brille autant
Que tes grands yeux poses sur moi
Ma douce et belle si tu dors
Dans les bras de tes illusions
Réveille-toi vite mon amour
Pour écouter ma chanson
Réveille-toi vite mon amour
Je t’aime avec passion
Sur le jour et sur les amants
Et que le firmament tout entier
S’habille de bleu s’habille de blanc
Il n’y a pas un astre qui brille autant
Que tes grands yeux poses sur moi
Ma douce et belle si tu dors
Dans les bras de tes illusions
Réveille-toi vite mon amour
Pour écouter ma chanson
Réveille-toi vite mon amour
Je t’aime avec passion
Mar 17 Juil 2007, 21:43 par
pierre de la carolina sur L'amour en vrac
Histoires d'eaux...
Au lac de tes yeux
Par un jour d’été orageux,
Larguant les amarres et nos vêtements
A l’appel de l’eau claire dans tes yeux,
Nous plongeons, libres amants,
Dans un lac aussi lisse et calme
Que ton corps et ton âme.
Nos peaux nues saisies de fraîcheur
Se collent ensemble, pur bonheur.
Tes seins raidis par le froid
Glissent à mon torse, pur émoi.
Mes mains entourent ta tête,
Ton regard plonge dans le mien
M’invitant sans détour à la fête
Des sens, à se faire du bien.
Alors commençe un tendre tumulte,
Des envies de cambrures exaltées,
Des rires, des chahuts, des insultes,
Des corps à corps attirés, chavirés, repoussés...
Jeux libres, sans contraintes,
De désirs et d’ardeurs non feintes
Pour parvenir enfin à l’union de la chair,
A ce plaisir chaud qui nous est si cher...
Lèvres charnues et langues tièdes,
Ma bouche touche tes seins ronds,
Ta main saisi ma verge soudain si raide
Et l’agite abilement d’une tension féconde !
Gonflement sensible, comblant ta paume,
Envies subites et féroces en ce lieu sauvage !
Nous sommes rejoins par l’orage
Qui couvre le ciel de son dôme.
Au lac de tes yeux je m’abreuve -
Tentation tentaculaire,
Mon sexe se glisse telle une pieuvre
Au creux de tes cuisses,
Torsion spectaculaire,
Je m’invite en ta matrice...
Chemins sous-marins -
Tu ouvres tes reins.
Remoux, vagues d’extase,
Plus besoin des phrases
Tout s’achève en eaux
En spasmes doux et chauds...
Copyright Cyr
www.poesie-erotique.net
Venez lire ou contribuer aux histoires d’eaux pendant tout l’été sur poesie-erotique.net
Par un jour d’été orageux,
Larguant les amarres et nos vêtements
A l’appel de l’eau claire dans tes yeux,
Nous plongeons, libres amants,
Dans un lac aussi lisse et calme
Que ton corps et ton âme.
Nos peaux nues saisies de fraîcheur
Se collent ensemble, pur bonheur.
Tes seins raidis par le froid
Glissent à mon torse, pur émoi.
Mes mains entourent ta tête,
Ton regard plonge dans le mien
M’invitant sans détour à la fête
Des sens, à se faire du bien.
Alors commençe un tendre tumulte,
Des envies de cambrures exaltées,
Des rires, des chahuts, des insultes,
Des corps à corps attirés, chavirés, repoussés...
Jeux libres, sans contraintes,
De désirs et d’ardeurs non feintes
Pour parvenir enfin à l’union de la chair,
A ce plaisir chaud qui nous est si cher...
Lèvres charnues et langues tièdes,
Ma bouche touche tes seins ronds,
Ta main saisi ma verge soudain si raide
Et l’agite abilement d’une tension féconde !
Gonflement sensible, comblant ta paume,
Envies subites et féroces en ce lieu sauvage !
Nous sommes rejoins par l’orage
Qui couvre le ciel de son dôme.
Au lac de tes yeux je m’abreuve -
Tentation tentaculaire,
Mon sexe se glisse telle une pieuvre
Au creux de tes cuisses,
Torsion spectaculaire,
Je m’invite en ta matrice...
Chemins sous-marins -
Tu ouvres tes reins.
Remoux, vagues d’extase,
Plus besoin des phrases
Tout s’achève en eaux
En spasmes doux et chauds...
Copyright Cyr
www.poesie-erotique.net
Venez lire ou contribuer aux histoires d’eaux pendant tout l’été sur poesie-erotique.net
Mar 17 Juil 2007, 13:35 par
cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
Histoire d'un monde où...
L’homme et la femme se prennent, se déprennent,
s’entreprennent, se reprennent et se surprennent,
mais ils ne se comprennent pas.
Edmond Thiaudière
L’espoir est que les hommes puissent comprendre ce qu’est être une femme,
que les femmes puissent comprendre que les hommes ne sont ni à combattre ni à soumettre.
Que les hommes et les femmes puissent rester des amants.
Monique Canto-Sperber
s’entreprennent, se reprennent et se surprennent,
mais ils ne se comprennent pas.
Edmond Thiaudière
L’espoir est que les hommes puissent comprendre ce qu’est être une femme,
que les femmes puissent comprendre que les hommes ne sont ni à combattre ni à soumettre.
Que les hommes et les femmes puissent rester des amants.
Monique Canto-Sperber
Dim 01 Juil 2007, 21:36 par
Satine sur Un monde parfait
Un monde parfait...
Dans un monde parfait, nous serions ensemble
A la fois, amis partageant nos confidences
Et amants baignant dans une folle passion
Refaisant le monde dans nos débats
Et déchirant la nuit de nos ébats
Où le jour illustrerait notre bonheur
Et nos nuits en seraient la preuve
Mais voilà,
Le monde n’est pas parfait...
A la fois, amis partageant nos confidences
Et amants baignant dans une folle passion
Refaisant le monde dans nos débats
Et déchirant la nuit de nos ébats
Où le jour illustrerait notre bonheur
Et nos nuits en seraient la preuve
Mais voilà,
Le monde n’est pas parfait...
Sam 30 Juin 2007, 22:50 par
Loyd sur Un monde parfait
Souvenirs
Nadia et Horacio évoquent un temps tout proche
Assis sur le canapé, dans leur bungalow.
Les amants combatifs, sans peur et sans brioche,
Ecoutent leur chanson fétiche à la radio.
Horacio
Ma source de grenadine pétillante,
Te souviens-tu de notre première vraie rencontre ?
Nadia
Comme disait le Cid, mon doux puits d’eau à la menthe,
A quatre pas d’ici, je te le démontre.
Horacio
J’allais m’élancer du plongeoir de la plage,
Faire le saut du dauphin, puis cent mètres à la nage,
Mais j’ai dû mal viser, ou la marée fut instable,
J’ai atterri sur toi, qui bronzait sur le sable.
Nadia
Un instant, on s’est regardés en chiens de faïence.
Je t’ai dit : Quand on sait pas plonger, on plonge pas.
Tu m’as dit : Quand on sait pas bronzer, on bronze pas.
On s’est battus, et ainsi, on a fait connaissance.
Horacio
Je m’étais souvent bagarré,
Mais encore jamais avec une jolie femme.
J’admirais ton bikini rayé
Pendant qu’on échangeait nos Bim et nos Bam.
Nadia
Quand la bataille a pris fin,
Quand on a rangé nos poings,
On était fatigués mais heureux,
Et pas très loin d’être amoureux.
Horacio
Avant toi, pas de nanas qui me plaisent,
Pas de filles qui me mettaient à l’aise.
Je me suis soudain senti inspiré.
Appuyé sur mon coude, je t’ai murmuré :
Quand on se bagarre avec toi,
Les étoiles qu’on voit après le pugilat,
On croirait que c’est toi, mon hirondelle,
Qui les a dessinées dans le ciel.
Nadia
Je me rappelle tous ces détails.
Je lis dans ton sourire canaille
Et dans tes yeux, je vois des images
Qui m’invitent à un bel orage.
Prends ça, et toi, ça… Ah, tu cherches la bagarre…
Ecoutez ces deux oiseaux rares
Qui s’adonnent à la lutte et au rire
Quand ils ravivent leurs souvenirs.
Assis sur le canapé, dans leur bungalow.
Les amants combatifs, sans peur et sans brioche,
Ecoutent leur chanson fétiche à la radio.
Horacio
Ma source de grenadine pétillante,
Te souviens-tu de notre première vraie rencontre ?
Nadia
Comme disait le Cid, mon doux puits d’eau à la menthe,
A quatre pas d’ici, je te le démontre.
Horacio
J’allais m’élancer du plongeoir de la plage,
Faire le saut du dauphin, puis cent mètres à la nage,
Mais j’ai dû mal viser, ou la marée fut instable,
J’ai atterri sur toi, qui bronzait sur le sable.
Nadia
Un instant, on s’est regardés en chiens de faïence.
Je t’ai dit : Quand on sait pas plonger, on plonge pas.
Tu m’as dit : Quand on sait pas bronzer, on bronze pas.
On s’est battus, et ainsi, on a fait connaissance.
Horacio
Je m’étais souvent bagarré,
Mais encore jamais avec une jolie femme.
J’admirais ton bikini rayé
Pendant qu’on échangeait nos Bim et nos Bam.
Nadia
Quand la bataille a pris fin,
Quand on a rangé nos poings,
On était fatigués mais heureux,
Et pas très loin d’être amoureux.
Horacio
Avant toi, pas de nanas qui me plaisent,
Pas de filles qui me mettaient à l’aise.
Je me suis soudain senti inspiré.
Appuyé sur mon coude, je t’ai murmuré :
Quand on se bagarre avec toi,
Les étoiles qu’on voit après le pugilat,
On croirait que c’est toi, mon hirondelle,
Qui les a dessinées dans le ciel.
Nadia
Je me rappelle tous ces détails.
Je lis dans ton sourire canaille
Et dans tes yeux, je vois des images
Qui m’invitent à un bel orage.
Prends ça, et toi, ça… Ah, tu cherches la bagarre…
Ecoutez ces deux oiseaux rares
Qui s’adonnent à la lutte et au rire
Quand ils ravivent leurs souvenirs.
Jeu 21 Juin 2007, 11:02 par
Nadia et Horacio sur La vie à deux
Marquise de la chaussée Lunaire
Marquise de la Chaussée-Lunaire,
Escarpins à talons fins de la belle putain
Aiguilles plantées dans le flanc du défunt
Timbres d’une lettre à la dérive du temps,
Perdue dans un abîme profond de souffrance,
Trou noir de tourments aux couleurs d’amertume
Sentier escarpé de gravats et de regrets
Un glas triste et froid tinte
Le givre se fixe sur les longs cils humides
Bousculade de sentiments contradictoires
Terne dans son tailleur de velours noir
D’épaisses larmes de deuil, elle verse,
Inondée de souvenirs des années passées,
Ruissellent des images scandaleuses
Impudiques dans toute sa chair
Frissons d’extase s’entrechoquent
Corps transi de désespoir, la belle marquise
Pleure la disparition de son bel amant.
Adieu prince de ses rêves incandescents !
La marquise, Madame putain de la Lune, s’en est retournée,
Partie dans le désert des souvenirs,
Dans la balade éphémère de deux corps s’accouplant
Rose de soie, draps dessus dessous froissés
Transpirant de goutte au souffle d’un instant
Vent d’orage Marquise au grain de beauté voluptueux
Fanée de plaisir, fanée de mains chercheuses
Debout son chapeau à voilette dissimule sa peine
Porte-jartelles offert parfumé à la violette
Rangé, jeté, adieu les sursauts de plaisir
Bas résille pour nuits cuisantes d’appétit
Une fin piquante de détresse pour l’amant infidèle
Un pieu dans la braise de désirs interdits
La Marquise putain de la Lune décide
Dans sa main gantée de dépit amer
Déchirure au coin d’un feu de bois
Tison témoin d’une farouche nuit
La marquise simple putain de la lune
N’est plus la pucelle de l’attente
Aujourd’hui, elle dompte le brasier de ses sens
personne ne lira dans son corps la désolation
Drapée comme une grande dame le jour
La nuit elle devient livide de cauchemars
La marquise a une facette enflammée internée
La putain a une rose entre les seins
Pétales séchées effritées par le chagrin
La nuit ses amants réclament son indulgence
Des cris diffus et continus dans sa tête résonnent
La valse des roses baignent les nuits sombres
Des flots de larmes ont rempli le puit du temps perdu
Madame la marquis chaussées de talons aiguille
Crève d’un profond ennui dans ses draps de satin blanc
Sa lingerie délicieuse de promesses passagères
Hurle d’étouffement et d’odeur nouvelle
Un soir lourd de lassitude dans la canicule de ses draps
La coquine plus violente de plaisir entre les cuisses
D’un coup de talon aiguille est partie de la vie
Rejoindre son galant infidèle mais bon amant.
Fille du peuple.
Escarpins à talons fins de la belle putain
Aiguilles plantées dans le flanc du défunt
Timbres d’une lettre à la dérive du temps,
Perdue dans un abîme profond de souffrance,
Trou noir de tourments aux couleurs d’amertume
Sentier escarpé de gravats et de regrets
Un glas triste et froid tinte
Le givre se fixe sur les longs cils humides
Bousculade de sentiments contradictoires
Terne dans son tailleur de velours noir
D’épaisses larmes de deuil, elle verse,
Inondée de souvenirs des années passées,
Ruissellent des images scandaleuses
Impudiques dans toute sa chair
Frissons d’extase s’entrechoquent
Corps transi de désespoir, la belle marquise
Pleure la disparition de son bel amant.
Adieu prince de ses rêves incandescents !
La marquise, Madame putain de la Lune, s’en est retournée,
Partie dans le désert des souvenirs,
Dans la balade éphémère de deux corps s’accouplant
Rose de soie, draps dessus dessous froissés
Transpirant de goutte au souffle d’un instant
Vent d’orage Marquise au grain de beauté voluptueux
Fanée de plaisir, fanée de mains chercheuses
Debout son chapeau à voilette dissimule sa peine
Porte-jartelles offert parfumé à la violette
Rangé, jeté, adieu les sursauts de plaisir
Bas résille pour nuits cuisantes d’appétit
Une fin piquante de détresse pour l’amant infidèle
Un pieu dans la braise de désirs interdits
La Marquise putain de la Lune décide
Dans sa main gantée de dépit amer
Déchirure au coin d’un feu de bois
Tison témoin d’une farouche nuit
La marquise simple putain de la lune
N’est plus la pucelle de l’attente
Aujourd’hui, elle dompte le brasier de ses sens
personne ne lira dans son corps la désolation
Drapée comme une grande dame le jour
La nuit elle devient livide de cauchemars
La marquise a une facette enflammée internée
La putain a une rose entre les seins
Pétales séchées effritées par le chagrin
La nuit ses amants réclament son indulgence
Des cris diffus et continus dans sa tête résonnent
La valse des roses baignent les nuits sombres
Des flots de larmes ont rempli le puit du temps perdu
Madame la marquis chaussées de talons aiguille
Crève d’un profond ennui dans ses draps de satin blanc
Sa lingerie délicieuse de promesses passagères
Hurle d’étouffement et d’odeur nouvelle
Un soir lourd de lassitude dans la canicule de ses draps
La coquine plus violente de plaisir entre les cuisses
D’un coup de talon aiguille est partie de la vie
Rejoindre son galant infidèle mais bon amant.
Fille du peuple.
Mer 03 Jan 2007, 17:09 par
Fille du peuple sur Mille choses
Tapis rouge
Tapis rouge.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 17:28 par
Fille du peuple sur Parler d'amour
Les âmes.
Les âmes se rencontrent sur les lèvres des amants.
Percy Bysshe Shelley
Merci Papa.
Percy Bysshe Shelley
Merci Papa.
Sam 28 Oct 2006, 13:30 par
PetitPrince sur Citations
Toi ( 7 )...
Les âmes se rencontrent sur les lèvres des amants.
Percy Bysshe Shelley
Marie
Percy Bysshe Shelley
Marie
Jeu 12 Oct 2006, 10:43 par
Satine sur Histoires d'amour
Ils se sont trouvés
Il était extraverti, fou et sensible.
Elle était mystérieuse, réservée et sensible...
Vous me direz que cette histoire était impossible ?!
Pas tant que ça, croyez moi !
Elle osa subitement le premier pas.
Son regard l’intriguait, la déstabilisait
Mais par dessus tout, il l’obsédait.
Quand cette idylle naquit
Ce jour-là, personne n’y crut
« Ils sont trop différents pour être de vrais amants »
Voilà ce Que disaient les gens.
Mais peu-à-peu, leur amour s’enflamma
Cette flamme, si fragile autrefois, s’embrasa.
Des bisous sur la joue
Aux caresses dans le cou,
Des regards échangés
Aux baisers passionnés,
Ils devinrent vite accros
Sans avoir pu dire un mot !
Lentement, de cette liaison
Naquit une véritable passion
Ou s’emmêlaient désir et sentiments
Amour de toujours et peur de l’engagement.
Cet amour est toujours présent aujourd’hui
Au fond du cœur de ces jeunes gens.
Jamais séparés, toujours ensemble,
Voilà les mots auxquels ils ressemblent
Ils s’aiment à la folie,
Se foutant des préavis,
Vivant le moment présent,
Ne se souciant guère des gens.
A ce stade de la passion
Il n’existe plus de guérison :
L’un sans l’autre rien n’est possible,
L’un sans l’autre tout est inaccessible.
La force de leur amour
Nécessiterait de trop long discours
Mais pour faire un simple résumé :
Ils se sont trouvés.
Elle était mystérieuse, réservée et sensible...
Vous me direz que cette histoire était impossible ?!
Pas tant que ça, croyez moi !
Elle osa subitement le premier pas.
Son regard l’intriguait, la déstabilisait
Mais par dessus tout, il l’obsédait.
Quand cette idylle naquit
Ce jour-là, personne n’y crut
« Ils sont trop différents pour être de vrais amants »
Voilà ce Que disaient les gens.
Mais peu-à-peu, leur amour s’enflamma
Cette flamme, si fragile autrefois, s’embrasa.
Des bisous sur la joue
Aux caresses dans le cou,
Des regards échangés
Aux baisers passionnés,
Ils devinrent vite accros
Sans avoir pu dire un mot !
Lentement, de cette liaison
Naquit une véritable passion
Ou s’emmêlaient désir et sentiments
Amour de toujours et peur de l’engagement.
Cet amour est toujours présent aujourd’hui
Au fond du cœur de ces jeunes gens.
Jamais séparés, toujours ensemble,
Voilà les mots auxquels ils ressemblent
Ils s’aiment à la folie,
Se foutant des préavis,
Vivant le moment présent,
Ne se souciant guère des gens.
A ce stade de la passion
Il n’existe plus de guérison :
L’un sans l’autre rien n’est possible,
L’un sans l’autre tout est inaccessible.
La force de leur amour
Nécessiterait de trop long discours
Mais pour faire un simple résumé :
Ils se sont trouvés.
Lun 18 Sep 2006, 00:44 par
joullia sur Parler d'amour
En attendant que la pluie cesse sur Paris
De tes yeux noir et gris,
Comme le ciel couleur de nuit,
Verse toutes mes larmes en pluie,
Dans la poussière et dans le bruit,
La pluie ruisselle sur Paris.
Ici un pécheur est assis,
Au bord de la Seine, contre un arbre blotti
Il écoute les péniches endormies,
Rouler tranquillement leurs clapotis,
Mais toujours ce léger bruit,
La pluie ruisselle sur Paris.
Pas un oiseau dans ce ciel gris,
Sous les gouttières ils sont partis
Se blottir dans leurs nids,
Les gens passent et vaquent à leurs occupations,
Les amants se retrouvent sur les quais de Seine.
Je t’ai attendu 5 heures sur le banc du Jardin des Plantes,
Le téléphone sonne sans réponse.
J’ai espéré te voir arriver, mais je n’ai vu que des amants.
La pluie de mes yeux ruisselle dans ce parc
Le pêcheur regarde la femme qui longe ce quai en désespoir
En attendant que la pluie cesse sur Paris.
Comme le ciel couleur de nuit,
Verse toutes mes larmes en pluie,
Dans la poussière et dans le bruit,
La pluie ruisselle sur Paris.
Ici un pécheur est assis,
Au bord de la Seine, contre un arbre blotti
Il écoute les péniches endormies,
Rouler tranquillement leurs clapotis,
Mais toujours ce léger bruit,
La pluie ruisselle sur Paris.
Pas un oiseau dans ce ciel gris,
Sous les gouttières ils sont partis
Se blottir dans leurs nids,
Les gens passent et vaquent à leurs occupations,
Les amants se retrouvent sur les quais de Seine.
Je t’ai attendu 5 heures sur le banc du Jardin des Plantes,
Le téléphone sonne sans réponse.
J’ai espéré te voir arriver, mais je n’ai vu que des amants.
La pluie de mes yeux ruisselle dans ce parc
Le pêcheur regarde la femme qui longe ce quai en désespoir
En attendant que la pluie cesse sur Paris.
Mar 22 Août 2006, 00:00 par
joullia sur Histoires d'amour
Hâte de te voir
J’ai tellement hâte,
De pouvoir te voir,
Sentir tes lèvres si douces,
Sentir ton être près de moi,
Sentir ton affection et ton amour,
Savoir que tu ne me veux pas de mal...
Je t’attendrais sur un banc du parc du 5 ème ,
Le banc entre le muséum d’histoire naturelle et les serres,
Ou bien sur les marches du muséum,
J’aime cet endroit,
Où les gens se mélangent pour un instant,
Où la nature reprend un peu ses droits sur la ville...
Sur ce banc je regarderais les parisiens vivre à mille à l’heure,
Assise sur ce banc
Je regarderais
Quoi ? On me le dira !
Je vois simplement
Le bonheur des gens
Celui qui me fuit
Celui que je ne vis pas.
Assise sur ce banc
Des larmes au bord du coeur
Je vois ce qu’est le bonheur
Je regarde ces amants
Qui s’aiment en riant
Qui regardent leur avenir
Car à deux, pourquoi fuir ?
Assise sur ce banc
Je ferme très fort les yeux
Car leur bonheur est douloureux
Je revois leurs précieux moments
Quand ils riaient de l’avenir
Quand rien ne semblait pire
Que de se quitter quelque instants
Sur ce banc
Je rêve de mon amant
Qui ne devrait plus tarder à venir,
Je t’attends,
Mon doux prince.
De pouvoir te voir,
Sentir tes lèvres si douces,
Sentir ton être près de moi,
Sentir ton affection et ton amour,
Savoir que tu ne me veux pas de mal...
Je t’attendrais sur un banc du parc du 5 ème ,
Le banc entre le muséum d’histoire naturelle et les serres,
Ou bien sur les marches du muséum,
J’aime cet endroit,
Où les gens se mélangent pour un instant,
Où la nature reprend un peu ses droits sur la ville...
Sur ce banc je regarderais les parisiens vivre à mille à l’heure,
Assise sur ce banc
Je regarderais
Quoi ? On me le dira !
Je vois simplement
Le bonheur des gens
Celui qui me fuit
Celui que je ne vis pas.
Assise sur ce banc
Des larmes au bord du coeur
Je vois ce qu’est le bonheur
Je regarde ces amants
Qui s’aiment en riant
Qui regardent leur avenir
Car à deux, pourquoi fuir ?
Assise sur ce banc
Je ferme très fort les yeux
Car leur bonheur est douloureux
Je revois leurs précieux moments
Quand ils riaient de l’avenir
Quand rien ne semblait pire
Que de se quitter quelque instants
Sur ce banc
Je rêve de mon amant
Qui ne devrait plus tarder à venir,
Je t’attends,
Mon doux prince.
Mer 09 Août 2006, 10:09 par
joullia sur L'amour en vrac
Oh mon prince
Oh mon prince du désert,
Oh mon amour,
Seras tu là à mon rendez-vous ?
Dans ce parc où les amants et pompiers se partagent le terrain,
Oh mon homme à la semelle de vent,
Oh mon Touareg,
Me laisseras-tu seule dans ce parc avec mon désespoir ?
Me laisseras-tu finir mon programme de la journée seule,
Me laisseras-tu repartir par le train qui me conduira là où
Je ne veux pas aller ?
Oh mon amour,
Seras tu là à mon rendez-vous ?
Dans ce parc où les amants et pompiers se partagent le terrain,
Oh mon homme à la semelle de vent,
Oh mon Touareg,
Me laisseras-tu seule dans ce parc avec mon désespoir ?
Me laisseras-tu finir mon programme de la journée seule,
Me laisseras-tu repartir par le train qui me conduira là où
Je ne veux pas aller ?
Mar 08 Août 2006, 11:28 par
joullia sur Parler d'amour
Parfum envoutant
Je sais que c’est l’heure des amants
Je sais que c’est plus que tu attends
Alors je me glisse au plus chaud
Au velour de ta peau
Au plus profond de ton coeur.
La nuit nous appartient
Mon corps sera le tien
Jusqu’au brumes du matin
Nous sommes deux innocents
Deux egares consentants
Le temps n’a plus de temps
Ni la pluie ni le vent
Jusqu’apres tes doigts, j’aurais froid
je n’irais jamais plus que la
Le bonheur a chaque fois
je n’irais jamais plus que la
Au plus chaud de ton corps
Au parfum envoutant de ta peau
Je sais que c’est plus que tu attends
Alors je me glisse au plus chaud
Au velour de ta peau
Au plus profond de ton coeur.
La nuit nous appartient
Mon corps sera le tien
Jusqu’au brumes du matin
Nous sommes deux innocents
Deux egares consentants
Le temps n’a plus de temps
Ni la pluie ni le vent
Jusqu’apres tes doigts, j’aurais froid
je n’irais jamais plus que la
Le bonheur a chaque fois
je n’irais jamais plus que la
Au plus chaud de ton corps
Au parfum envoutant de ta peau
Ven 04 Août 2006, 00:43 par
joullia sur Parler d'amour
Pacte avec l'araignée
IL existe sur terre
Une toute petite araignée
Tres repoussante de son allure,
Mais parfois bien utile,
Son métier c’est de tisser des toiles,
Mais celle-si sont particulières,
Elle capture les échos de l’amour.
Pour vivre cette araignée,
Passe des contrats avec les jeunes amants,
Elle tisse des toiles dans leurs coeurs,
Afin qu’ils puissent saisirent cet amour,
Mais en contrepartie,
Elle élut domicile à vie dans leur coeur,
Si les toiles ne reçoivent pas ou plus d’amour
Elles ne se détruisent plus
L’amour fait brûler les toiles au fur et à mesure du temps,
Ce qui fait battre le coeur des feux de la passion,
Sans Amour, les toiles deviennent de plus en plus épaisses,
Et fond arrêter le coeur.
L’histoire est cruelle si l’amour s’enfuit, mais si merveilleux s’il reste.
J’ai mis du temps à appeler cette araignée...
Il y a quelques jours, j’ai signé avec elle,
Je voulais attraper cet écho si doux,
Aujourd’hui l’amour est parti
Et je sens déjà les toiles qui ralentissent mon coeur
Combien de temps vais je tenir j’n’en ai aucune idée,
J’attends qu’une chose s’est d’entendre a nouveau l’écho,
l’écho de cet homme dans mon coeur, pour ne pas mourir...
Une toute petite araignée
Tres repoussante de son allure,
Mais parfois bien utile,
Son métier c’est de tisser des toiles,
Mais celle-si sont particulières,
Elle capture les échos de l’amour.
Pour vivre cette araignée,
Passe des contrats avec les jeunes amants,
Elle tisse des toiles dans leurs coeurs,
Afin qu’ils puissent saisirent cet amour,
Mais en contrepartie,
Elle élut domicile à vie dans leur coeur,
Si les toiles ne reçoivent pas ou plus d’amour
Elles ne se détruisent plus
L’amour fait brûler les toiles au fur et à mesure du temps,
Ce qui fait battre le coeur des feux de la passion,
Sans Amour, les toiles deviennent de plus en plus épaisses,
Et fond arrêter le coeur.
L’histoire est cruelle si l’amour s’enfuit, mais si merveilleux s’il reste.
J’ai mis du temps à appeler cette araignée...
Il y a quelques jours, j’ai signé avec elle,
Je voulais attraper cet écho si doux,
Aujourd’hui l’amour est parti
Et je sens déjà les toiles qui ralentissent mon coeur
Combien de temps vais je tenir j’n’en ai aucune idée,
J’attends qu’une chose s’est d’entendre a nouveau l’écho,
l’écho de cet homme dans mon coeur, pour ne pas mourir...
Mer 02 Août 2006, 12:07 par
kylliane sur L'amour en vrac
Ecrire sur amants
Pour elle, Histoires d'eaux..., Histoire d'un monde où..., Un monde parfait..., Souvenirs, Marquise de la chaussée Lunaire, Tapis rouge, Les âmes., Toi ( 7 )..., Ils se sont trouvés, En attendant que la pluie cesse sur Paris, Hâte de te voir, Oh mon prince, Parfum envoutant, Pacte avec l'araignée,Il y a 74 textes utilisant le mot amants. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
Derniers textes
Le Dim 08 Août 2021, 15:15 par martin
Le Jeu 05 Août 2021, 14:40 par martin- A la poursuite de milou
Le Dim 01 Août 2021, 14:52 par martin - Noel
Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
Livres recommandables
Tes désirs sont des ordres J'ai lu | |
Le bandeau J'ai lu | |
Homo erectus Gallimard | |
Récits coquins des plaisirs défendus J'ai lu | |
La femme de papier | |
Libérer son écriture et enrichir son style Editions Victoires | |
Proposition perverse | |
Le baton et la carotte La Musardine | |
Dictionnaire des idées suggérées par les mots : trouver le mot juste Le Livre de Poche | |
Exercices de style Gallimard |
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres
La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
Qui est en ligne ?
- Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
- La date/heure actuelle est Jeu 21 Nov 2024, 19:41
- Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
Nous avons 1234 membres enregistrés
L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher - Il y a en tout 330 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 330 Invités et 0 Bots [ Administrateur ] [ Modérateur ]
- Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 357 le Jeu 21 Nov 2024, 19:25
- Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
Bots : Aucun - Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes