Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur aimer - Page 18 sur 19
La solitude
Cette nuit là je dormais chez toi …
Tu avais tout éteint dans l’appartement. Tu t’es couché près de moi, je faisais semblant de dormir. Timidement tu passas ta main sur mon dos avant de te retourner.
Ta présence me manque parfois (je soupire). Ton silence me fait souffrir mais surtout ton passé me fait souffrir, le manque de confiance que tu portes aux femmes te rend méfiant.
A l’intérieur de toi, il y a quelque chose qui est mort et que je ne peux pas réanimer. Tu ne veux plus aimer, tu ne veux pas m’aimer ! De peur d’avoir mal.
Je ne peux pas t’aider, parce que la porte est fermée. Le passé compte-t-il pour toi tellement plus que le présent et le futur ? C’est si facile de renoncer par nostalgie, quelle formidable douleur passive, quelle admirable mort lente.
Aux premiers jours de notre rencontre tu me racontais tes rêves, tes envies, j’ai cru que tu m’appelais, je suis venue et toi tu es resté prisonnier de ta peur, de l’amour que tu appelles solitude.
Que faire pour que tu m’aimes, te dire que mon amour pour toi est infini, que je t’aimerai pour la vie, que tu es l’homme avec qui je veux avoir des enfants…
Je te fais de la peine à ce point là ?
Beaucoup plus. Il n’est de pire solitude que celle que l’on éprouve quand on est deux. J’ai voulu te quitter alors que je t’aime, quelle incroyable incohérence!
…
Que faut-il faire ? Laisser faire les choses ? Je ne sais pas, je ne sais même plus si j’en ai envie.
Seul Dieu le sait !!!!
muse
Tu avais tout éteint dans l’appartement. Tu t’es couché près de moi, je faisais semblant de dormir. Timidement tu passas ta main sur mon dos avant de te retourner.
Ta présence me manque parfois (je soupire). Ton silence me fait souffrir mais surtout ton passé me fait souffrir, le manque de confiance que tu portes aux femmes te rend méfiant.
A l’intérieur de toi, il y a quelque chose qui est mort et que je ne peux pas réanimer. Tu ne veux plus aimer, tu ne veux pas m’aimer ! De peur d’avoir mal.
Je ne peux pas t’aider, parce que la porte est fermée. Le passé compte-t-il pour toi tellement plus que le présent et le futur ? C’est si facile de renoncer par nostalgie, quelle formidable douleur passive, quelle admirable mort lente.
Aux premiers jours de notre rencontre tu me racontais tes rêves, tes envies, j’ai cru que tu m’appelais, je suis venue et toi tu es resté prisonnier de ta peur, de l’amour que tu appelles solitude.
Que faire pour que tu m’aimes, te dire que mon amour pour toi est infini, que je t’aimerai pour la vie, que tu es l’homme avec qui je veux avoir des enfants…
Je te fais de la peine à ce point là ?
Beaucoup plus. Il n’est de pire solitude que celle que l’on éprouve quand on est deux. J’ai voulu te quitter alors que je t’aime, quelle incroyable incohérence!
…
Que faut-il faire ? Laisser faire les choses ? Je ne sais pas, je ne sais même plus si j’en ai envie.
Seul Dieu le sait !!!!
muse
Sam 06 Mars 2004, 10:23 par
Muse sur L'amour en vrac
Traverser
A ces innombrables visages, ces amours, ces amis,
A ceux là avec qui on a bouffé un peu notre vie,
A celles là qui ont partagé un peu notre lit,
A tous ceux qui ont traversé notre vie !
A cet ami d’enfance, parti on ne sait quand à l’adolescence,
A ce copain d’armée, on ne sait déja plus où il est,
A cet ami de fac, qui prend la route des perdus à jamais.
Comme tout les autres, tristement oubliés.
A cette amie, cette amante, la première,
A cette autre, qui nous a repeché lorsqu’on se noyait,
A celle ci même qui vient déja de nous quitter.
Comme toutes les autres, amérement oubliées.
A ce fidéle toutou, qu’il fallut un jour condamner,
A cet amour de matou, qu’il fallut aussi "liberer",
A cet innocent qui compris à la fin ce qu’etait le mot aimer.
Comme à tout les autres, pardon, pardon, pardon !
A ceux là avec qui on a bouffé un peu notre vie,
A celles là qui ont partagé un peu notre lit,
A tous ceux qui ont traversé notre vie !
A cet ami d’enfance, parti on ne sait quand à l’adolescence,
A ce copain d’armée, on ne sait déja plus où il est,
A cet ami de fac, qui prend la route des perdus à jamais.
Comme tout les autres, tristement oubliés.
A cette amie, cette amante, la première,
A cette autre, qui nous a repeché lorsqu’on se noyait,
A celle ci même qui vient déja de nous quitter.
Comme toutes les autres, amérement oubliées.
A ce fidéle toutou, qu’il fallut un jour condamner,
A cet amour de matou, qu’il fallut aussi "liberer",
A cet innocent qui compris à la fin ce qu’etait le mot aimer.
Comme à tout les autres, pardon, pardon, pardon !
Jeu 04 Mars 2004, 23:17 par
PetitPrince sur L'amour en vrac
Cet univers...
Le fond du coeur,
peut-être sont-ce les autres qui déterminent où sont ses limites...
Mais, le fond du coeur,
peut-être sont-ce nos craintes qui en limitent les profondeurs...
Peut-être de passions se nourissant, toujours repoussera-t-il ses frontières,
le fond du coeur...
peut-être sont-ce les autres qui déterminent où sont ses limites...
Mais, le fond du coeur,
peut-être sont-ce nos craintes qui en limitent les profondeurs...
- Le fond du coeur,
peut-être de grands espaces est-il infini?
Et, le fond du coeur,
peut-être d’aimer aimer, ne verra-t-il jamais son fond?
Peut-être de passions se nourissant, toujours repoussera-t-il ses frontières,
le fond du coeur...
- De guerres non lasses alors, il se verra toujours être conquérant de guerres d’amour,
le fond du coeur, c’est unis vers.
Jeu 04 Mars 2004, 22:29 par
Ri1kedesBêtises sur Citations
le grand cirque
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs
Bienvenue au spectacle dont vous êtes les acteurs !...
Acrobate, passer les obstacles en souplesse
En toute occasion faire preuve d’adresse
En contorsions de l’esprit, dépasser ses faiblesses
Plier ses malheurs en 4, se pencher vers la tendresse
Troubadour, avoir dans son sac suffisamment de tours
Pour se jouer de la vie comme d’un mauvais public
Jongler avec des coeurs épris, aimer sans détours
Sentir dans sa main que viendra bientôt le déclic
Clown , sourire rayonnant sur la piste aux étoiles
Seul dans les coulisses, la souffrance se dévoile
Derrière un nez rouge cacher aux autres son intérieur
Ce monde dont ils ne soupçonnent pas la lourdeur
Dompteur, de pensées agressives, d’envies carnassières
Maîtriser ses passions, résister à la folie meurtrière
Dominer sa peur et cet instinct de tueur
Pour ne voir dans ces yeux qu’une douce lueur
Trapéziste de l’amour, s’envoyer en l’air, s’effleurer
S’envoler, se lacher pour mieux se rattraper
Se faire peur en défiant le vide ...ô misère !
Parfois se rater...s’écraser, chagrin contre terre
Equilibriste des sentiments, jouant sur la corde raide
Maudire son âme, à son coeur demander de l’aide
Aux vertiges des sens, opposer les lois de la gravité
Mais nous finirons plus bas que nous avons commencé...
La tulipe noire ...9 juin 2003
Bienvenue au spectacle dont vous êtes les acteurs !...
Acrobate, passer les obstacles en souplesse
En toute occasion faire preuve d’adresse
En contorsions de l’esprit, dépasser ses faiblesses
Plier ses malheurs en 4, se pencher vers la tendresse
Troubadour, avoir dans son sac suffisamment de tours
Pour se jouer de la vie comme d’un mauvais public
Jongler avec des coeurs épris, aimer sans détours
Sentir dans sa main que viendra bientôt le déclic
Clown , sourire rayonnant sur la piste aux étoiles
Seul dans les coulisses, la souffrance se dévoile
Derrière un nez rouge cacher aux autres son intérieur
Ce monde dont ils ne soupçonnent pas la lourdeur
Dompteur, de pensées agressives, d’envies carnassières
Maîtriser ses passions, résister à la folie meurtrière
Dominer sa peur et cet instinct de tueur
Pour ne voir dans ces yeux qu’une douce lueur
Trapéziste de l’amour, s’envoyer en l’air, s’effleurer
S’envoler, se lacher pour mieux se rattraper
Se faire peur en défiant le vide ...ô misère !
Parfois se rater...s’écraser, chagrin contre terre
Equilibriste des sentiments, jouant sur la corde raide
Maudire son âme, à son coeur demander de l’aide
Aux vertiges des sens, opposer les lois de la gravité
Mais nous finirons plus bas que nous avons commencé...
La tulipe noire ...9 juin 2003
Dim 29 Fév 2004, 14:22 par
la_tulipe_noire sur L'amour en vrac
Le plus vieux sentiment ...
pyjama a écrit: |
Salut... Le coeur en vrac les idées à l’envers, je reviens vers vous. Et oui j’y ai encore cru. Ca faisait plusieurs années que je le connaissais et vlan en fait j’ai cru le connaitre. Enfin bon. Finalement c’est pas si mal que ça le célibat puisque j’ai l’ impression que l’amour est devenu un produit de consommation, on prend on jette. Quel dommage!! Bisous et à bientôt |
"Ça fait p’t’être mal au bide, mais c’est bon pour la gueule", disait Renaud.
Comme quoi, il est parfois souhaitable de seulement se promener en amour. Cette phrase "se promener en amour" est celle que l’on propose à ceux qui accordent une bien trop grande importance à la relation qu’ils vivent.
Et pourtant, le coeur déchiré, les yeux noyés, la gorge nouée, tous ses maux mille fois maudits, ne sont-ils pas la preuve que tu es vraiment vivante, que tu as vraiment vécu, et vraiment aimé... L’inerte seul ne semble pas réagir. Aimer, c’est ça. Aimer, c’est risquer de souffrir, comme tu souffres.
Aimer. Il parait que c’est le plus vieux sentiment de l’homme.
Alors, pleure, crie, perd toi, maudit ce jour ou l’echeveau t’as piqué, jure qu’on ne t’y reprendras jamais ... et demain, quand tu seras à nouveau guérie, aime encore !
Ven 20 Fév 2004, 21:02 par
PetitPrince sur Amour internet
helen rowland
La Marquise a écrit: |
est-ce vraiment indispensable de comprendre et de connaitre l’autre totalement pour pouvoir l’aimer? |
Est-ce que comprendre quelqu’un va aider à le connaître?
Est ce que connaître quelqu’un va aider à le comprendre?
Ma Chère Marquise, je ne vous connais pas et je ne suis pas sûr de vous comprendre tout le temps , tant vous avez l’air de vouloir brouiller les pistes,
mais est ce que cela m’enpêche de vous aimer?
Aimer et connaître...
la marquise de sade a écrit: |
Est-ce vraiment indispensable de comprendre et de connaître l’autre totalement pour pouvoir l’aimer? |
Sabine Azéma ferait écho à ta question avec une réplique dans "Huit jours en juin", quand elle lance le fameux "L’important c’est pas de se connaître, c’est de se rencontrer"
D’un coté je trouve cet aphorisme d’une telle beauté, d’une telle vérité que je serai tenté de m’y vouer tout entier , et d’un autre côté, vous aurez senti comme moi le danger d’une telle doctrine.
Dans une autre approche, je me suis rendu compte que c’est bien souvent en voulant approfondir sa connaissance de l’autre, que l’amour s’estompait. Et en mon for intérieur, la maxime "Pour aimer les gens, il vaut mieux ne pas les connaître" s’est lentement sédimentée, et se révèle raisonnable.
Entretenir le mystère, et par là même le désir ne reste-il pas un moteur de la relation ?
Si on s’était tout dit, on aurait peut être plus rien à se dire , alors il faudrait peut-être que je me taise pour laisser parler les autres !
D’accord, mais avant, pour te répondre marquise, je te dirais "Non, il n’est pas du tout nécessaire de connaître quelqu’un pour l’aimer". En fait, je ne pense pas que ce soit nécessairement lié : tu peux tout d’un coup aimer quelqu’un que tu croises dans la rue, et par là même l’aimer sans le connaître. Et d’un autre coté, tu peux au fur et à mesure que tu connais et comprends quelqu’un d’anodin sentir un sentiment d’amour qui monte, qui monte, qui monte ...
Lun 16 Fév 2004, 12:39 par
PetitPrince sur Citations
Re: le jeu de la vérité : question 4 ...
la marquise de sade a écrit: |
"Qu’est-ce qui chez vous peut déclencher un élan de tendresse que vous ne pouvez réfreiner?" |
Que d’attendrissement dans le regard d’un enfant triste, lui sourire, des yeux, du cœur. Peut-être ces quelques secondes où l’on croise son regard, de tendresse à retransmettre lui faire oublier qu’il était triste. Que renaisse alors sur son visage ce sourire si attendrissant qu’il donne envie de le prendre dans vos bras et le dévorer de baisers.
Que d’attendrissement face aux multitudes de spectacles féerique que dame nature nous donne à apprécier.
Que d’attendrissement face au regard malicieux de mon aimé, face à ses sourires provocateurs, face à ce qu’il est et qui fait qu’il est mon aimé.
Que d’attendrissement face à la maladie, l’envie de protéger, de rassurer, de soutenir, d’aider à ne pas se laisser sombrer devant la douleur.
Que d’attendrissement dont est pleine cette vie, l’envie de la vivre, l’envie de ne pas oublier que tout n’y est pas moche, l’envie d’y croire. S’attendrir de tout et de rien, aimer cet attendrissement, de le donner mais aussi de le recevoir de la vie.
Sam 14 Fév 2004, 22:51 par
Ri1kedesBêtises sur La séduction
Recette gastronomique: l'Homme
Prenez un Homme très tendre, plongez-le dans la Mer, pas n’importe laquelle, une de celles salées à point avec beaucoup d’iode pour parfumer le bain, laissez-le tremper un bon quart d’heure, le ressortir et sans l’égoutter, le déguster. Goût subtil d’huître, d’océan et d’Homme...
Un petit muscadet sur cette recette, bien frais, c’est à se pâmer...
Si la température extérieure est trop forte voici une version plus épicée de la recette:
Enduire l’Homme d’une huile de monoï parfumée à la fleur de tiaré, le goût est plus affirmé plus exotique...
Cette dernière s’accompagne d’un punch coco.
Essayez et dites-moi ce que vous en pensez! :o)
Bisous
Isabel
"Si vous jugez les gens, vous n’avez pas le temps de les aimer"
( Mère Thérésa )
Un petit muscadet sur cette recette, bien frais, c’est à se pâmer...
Si la température extérieure est trop forte voici une version plus épicée de la recette:
Enduire l’Homme d’une huile de monoï parfumée à la fleur de tiaré, le goût est plus affirmé plus exotique...
Cette dernière s’accompagne d’un punch coco.
Essayez et dites-moi ce que vous en pensez! :o)
Bisous
Isabel
"Si vous jugez les gens, vous n’avez pas le temps de les aimer"
( Mère Thérésa )
Sam 07 Fév 2004, 23:41 par
Isabel sur Le grimoire d'amour
Re: le jeu de la verité ... question 3 ??
la marquise de sade a écrit: |
.... Quel endroit inattendu a été le théâtre de vos ébats amoureux? La marquise ... Dupont d’occas ... |
- Madame la "Maîtresse" on est obligé d’avoir UN endroit uniquement?
- Il suffit, élève Ri1keneke!!! n’essayez pas de vous rendre interressante plus qu’il ne faut!
- Mais M’dame "Dupond", ca n’est pas ma faute, du moins ça n’était pas ma faute, mais celle de l’occasion qui a fait le larron, comme qui dirait.
- On ne vous demande pas de vous étaler, juste de nous raconter UNE FOIS, celle qui est sur la plus haute marche, celle qui vous fait encore frissonner aujourd’hui lorsque vous y pensez, celle qui vous fait rougir parce que si audacieuse.
- Cela va être dur alors de choisir Marquise, si j’étais aujourd’hui encore toute jeune, ces souvenirs qui s’appelleraient peut être alors fantasmes, me feraient, en bon nombre ROUGIR, tant je ne me serais crue capable... de tant d’audace... mais qui n’a d’audace ne sait ce qu’il perd...
Au coeur de ce bouquet d’arbrisseaux, sur ce rond point de centre ville, jamais je n’aurais cru un jour me retrouver, aux heures de pointe, à aller au delà d’un seul baiser...
Nos pas n’auraient pu nous dire qu’ils nous auraient menés ce jour en ce lieu parisien ou aucun indigeant n’aurait idée de s’introduire. Beau quartier et digicode, fous d’amour en errance que nous étions, ce lieu pétillant du 16ème arrondissement nous a vu nous aimer...
Dans les silences de la nuit, sous les ronflements ambiants d’une pièces hébergeant des provinciaux sans lieux d’arrivage, qu’il est difficile de faire faire silence à ses plaisirs...
En ce lieu qui était géole et qui éveilla l’insurrection de notre révolution mère, au rythme infernal des machines d’un bateau lavoir, les murs en retrait donnent de l’audace à l’attente et à l’impatience.
Géole dans le temps, quais d’arrivées et de départs dans d’autres temps, théatre de spectacle que ces lieux sont devenus, d’un opéra dans ses préparatifs nos ébats ont vécus le rythme...
Si haut dans cette montagne, devant ce spectacle "carte postale", bien au dessus du niveau de cette eau, nous nous sommes électrisés...
De navigation nos ébats sont devenus houleux,
de kilomètrages autoroutiers nous aurions pu cumuler les miles,
sur les rails les trains de nuit nous ont inspirés bien plus qu’endormis,
les parking, et les asenceurs, nous n’avons pas oublié de saluer de nos plaisirs,
occupés à nous aimer que nous étions, nous n’avons pas pour autant oubliés les films et les salles obscures qui nous ont acceuillis alors.
...
Audace, jeu, tentation, envie, risque, danger, besoin, désir,
des ingrédients en nombre, qui peuvent alors composer une recette si fine qu’il aurait été stupide de ne pas céder à la tentation d’y gouter.
Passée cette jeunesse où j’aurais pu rougir de tant d’audace,
les ans étant, des doux souvenirs demeureront toujours la force et le bonheur d’avoir vécu ces instant de grands plaisirs.
Mer 28 Jan 2004, 02:34 par
Ri1kedesBêtises sur La séduction
You ain't the first, you've been the worst
Je n’avais pas encore écrit dans cette rubrique ...et bien voilà qui est fait...comme dirait didier barbelivien "à toutes les femmes que j’ai aimé avant....pom pom....pompom" bon allez la suite est moins drôle mais on s’accroche hein
Eve et les autres
A réver, vous m’avez aidé
A murmurer, vous m’avez troublé
A écouter, vous m’avez initié
A aimer, vous m’avez résigné
A regretter, vous m’avez fragilisé
A oublier, vous m’avez apaisé
A pleurer, vous m’avez forcé
A un autre ...vous m’avez préféré
Vos influences, vous m’avez réveillé
Vos évidences, vous m’avez subjugué
Vos impertinences, vous m’avez agacé
Vos apparences, vous m’avez trompé
Vos différences, vous m’avez charmé
Vos confidences, vous m’avez livré
Vos défaillances, vous m’avez avoué
Vos absences ....vous m’avez blessé
Ma méfiance, vous avez dépassée
Ma peur, vous avez combattue
Ma présence, vous avez appréciée
Ma douleur, vous avez soignée
Ma confiance, vous avez obtenue
Mon coeur, vous avez décroché
Mon innocence, vous avez enterré
Mon bonheur ...vous n’obtiendrez jamais
De la vie, vous m’avez tout appris
Du respect? vous le méritez
De la tendresse ? voulez vous que je vous blesse ?
De l’amitié ? offrez-moi votre complicité !
De l’amour ? je fuis et crie au secours
De la passion, vous vouloir à la déraison
De l’amertume, jusqu’à ce que je me consume
De la fidélité ...tout ça pourrait durer
Eve et les autres
A réver, vous m’avez aidé
A murmurer, vous m’avez troublé
A écouter, vous m’avez initié
A aimer, vous m’avez résigné
A regretter, vous m’avez fragilisé
A oublier, vous m’avez apaisé
A pleurer, vous m’avez forcé
A un autre ...vous m’avez préféré
Vos influences, vous m’avez réveillé
Vos évidences, vous m’avez subjugué
Vos impertinences, vous m’avez agacé
Vos apparences, vous m’avez trompé
Vos différences, vous m’avez charmé
Vos confidences, vous m’avez livré
Vos défaillances, vous m’avez avoué
Vos absences ....vous m’avez blessé
Ma méfiance, vous avez dépassée
Ma peur, vous avez combattue
Ma présence, vous avez appréciée
Ma douleur, vous avez soignée
Ma confiance, vous avez obtenue
Mon coeur, vous avez décroché
Mon innocence, vous avez enterré
Mon bonheur ...vous n’obtiendrez jamais
De la vie, vous m’avez tout appris
Du respect? vous le méritez
De la tendresse ? voulez vous que je vous blesse ?
De l’amitié ? offrez-moi votre complicité !
De l’amour ? je fuis et crie au secours
De la passion, vous vouloir à la déraison
De l’amertume, jusqu’à ce que je me consume
De la fidélité ...tout ça pourrait durer
Mar 20 Jan 2004, 09:51 par
la_tulipe_noire sur L'amour en vrac
Retour à la vie
Ennemie de soi-même, comment aimer les autres
Etranger à soi-même, étranger pour les autres
Qui réduit au silence, le fracas de l’enfance
Et avance masqué, en attendant sa chance
Et sous les apparences, le prix du vêtement
Personne ne voit les plaies et le sang de celui qui survit
Mais quand demain se lèvera, ah, je serai libre, retour à toi
Quand demain se lèvera, ah, je serai libre, retour à moi
Etienne daho - retour à toi
Etranger à soi-même, étranger pour les autres
Qui réduit au silence, le fracas de l’enfance
Et avance masqué, en attendant sa chance
Et sous les apparences, le prix du vêtement
Personne ne voit les plaies et le sang de celui qui survit
Mais quand demain se lèvera, ah, je serai libre, retour à toi
Quand demain se lèvera, ah, je serai libre, retour à moi
Etienne daho - retour à toi
Ven 16 Jan 2004, 09:40 par
la_tulipe_noire sur Citations
Le verbe "aimer"
Je ne trouve pas que le verbe "aimer" soit si difficile à conjuguer. Seule la première personne du pluriel semble poser problème. "Je", "tu", "il", "vous" et "ils" sont faciles à manier quel que soit le temps... C’est le "nous" qui complique les choses.
La tulipe noire... Bescherelle sur pattes
La tulipe noire... Bescherelle sur pattes
Mar 09 Déc 2003, 16:30 par
la_tulipe_noire sur Citations
Re: Jean Cocteau - Le verbe aimer
PetitPrince a écrit: |
Le verbe aimer est un des plus difficile à conjuguer : son passé n’est pas simple, son présent n’est qu’indicatif et son futur est toujours conditionnel. Jean Cocteau |
Son passé était composé, quelque fois imparfait, son présent est quant à lui impératif, et son futur je l’espère sera simple et parfait !
Mar 09 Déc 2003, 14:16 par
PetitPrince sur Citations
La première fois (et la dernière) ....
... que je lui ais dit que je l’aimais.
"Coeur de papier"
Les mots satins, les mots velours
Ceux qui vous touchent
Et ceux qu’on ose à peine toucher
De peur qu’ils en disent trop
Même à demi-mot,
Parfois à contre temps
L’encre sauvage dicte sa loi en noir,
La blancheur éblouit
Sans commentaire,
Mais qui peut ignorer les nuances ?
Aux portes de l’intimité, l’encre vacille
Le papier accueille autant la lumière
Que l’ombre des sentiments
Et ces mots qui se plient dans l’amertume des pensées
Eux seuls savent qu’ils peuvent dire autre chose
Mais le saura-t-elle ?
Une feuille qui se remplit
et mon âme qui se vide
de cet amour qui m’a planté là, pétrifié
moi qui croyait qu’aimer c’était voler
Je lui écris ...
au bout de mes doigts une plume à l’encre noire
ou mon coeur aux larmes rouge sang
qui pleure sur un océan blanc ?
Noir, blanc, rouge
les couleurs de l’amour
un étendard porté avec fierté
avant une bataille perdue d’avance
Elle ne veut pas se battre avec moi
Nous ferions de si beaux ennemis
Et j’écris encore...
Je souille cette surface immaculée
de ma noirceur intérieure
je voudrais que mes mots
au fer rouge marque son derme
sa douce fleur de peau
Mais le sait-elle ?
Un bout de papier plié en quatre,
Quelle ironie,
tant de sentiments ainsi cloitrés !
Une lettre jetée vers un aller sans retour
avec l’envie d’ainsi se débarasser
d’un bout de sa chair laissé aux vautours
d’un bout de sa vie perdue de trop aimer
Ce n’est pas une déclaration,
plutôt un exorcisme
les pensées égarées, les souffrances endurées
ce temps passé à cet amour endiablé
à regret , il fallait que je l’enterre,
d’un coup d’épistolaire ...
Mais le savait-elle ?
La tulipe noire ....noire
"Coeur de papier"
Les mots satins, les mots velours
Ceux qui vous touchent
Et ceux qu’on ose à peine toucher
De peur qu’ils en disent trop
Même à demi-mot,
Parfois à contre temps
L’encre sauvage dicte sa loi en noir,
La blancheur éblouit
Sans commentaire,
Mais qui peut ignorer les nuances ?
Aux portes de l’intimité, l’encre vacille
Le papier accueille autant la lumière
Que l’ombre des sentiments
Et ces mots qui se plient dans l’amertume des pensées
Eux seuls savent qu’ils peuvent dire autre chose
Mais le saura-t-elle ?
Une feuille qui se remplit
et mon âme qui se vide
de cet amour qui m’a planté là, pétrifié
moi qui croyait qu’aimer c’était voler
Je lui écris ...
au bout de mes doigts une plume à l’encre noire
ou mon coeur aux larmes rouge sang
qui pleure sur un océan blanc ?
Noir, blanc, rouge
les couleurs de l’amour
un étendard porté avec fierté
avant une bataille perdue d’avance
Elle ne veut pas se battre avec moi
Nous ferions de si beaux ennemis
Et j’écris encore...
Je souille cette surface immaculée
de ma noirceur intérieure
je voudrais que mes mots
au fer rouge marque son derme
sa douce fleur de peau
Mais le sait-elle ?
Un bout de papier plié en quatre,
Quelle ironie,
tant de sentiments ainsi cloitrés !
Une lettre jetée vers un aller sans retour
avec l’envie d’ainsi se débarasser
d’un bout de sa chair laissé aux vautours
d’un bout de sa vie perdue de trop aimer
Ce n’est pas une déclaration,
plutôt un exorcisme
les pensées égarées, les souffrances endurées
ce temps passé à cet amour endiablé
à regret , il fallait que je l’enterre,
d’un coup d’épistolaire ...
Mais le savait-elle ?
La tulipe noire ....noire
Dim 07 Déc 2003, 10:56 par
la_tulipe_noire sur La première fois
Ecrire sur aimer
La solitude, Traverser, Cet univers..., le grand cirque, Le plus vieux sentiment ..., helen rowland, Aimer et connaître..., Re: le jeu de la vérité : question 4 ..., Recette gastronomique: l'Homme, Re: le jeu de la verité ... question 3 ??, You ain't the first, you've been the worst, Retour à la vie, Le verbe "aimer", Re: Jean Cocteau - Le verbe aimer, La première fois (et la dernière) ....,Il y a 276 textes utilisant le mot aimer. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
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Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
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