Apprivoise- moi

Laisse la cage ouverte
Et je viendrai à toi
Comme il se doit
Libre et offerte
Pour que tu m’apprivoises doucement
Laisse moi juste un peu de temps
Pour voler de mes propres
Fais moi la cour, mon troubadour
De tes regards brillants
De tes envies d’être près de moi
Une belle parade, ode à l’amour
Par petites touches...
Si tu ne m’effarouches...
Je te laisserai m’approcher
Et serai même tentée d’accepter
Un de tes tendres baisers.
La tête me tourne un peu
Je me sens si bien avec toi
Tes doux chants m’envoutent
Je n’ai plus aucun doute
Nous ferons la même route
Roucoulons encore ,
Je n’ai plus peur .
Mar 29 Mars 2011, 15:22 par caressedesyeux sur Mille choses

La chaleur d'un murmure

la chaleur d’un murmure...

Tant de temps et pourtant demeure
Ton murmure, que j’entends encore
Il me semble qu’il n’a jamais quitté cet abri
Qu’il s’est fabriqué dans mon esprit.
Il a fait soudainement très chaud,
Et je me suis baignée dans ta chaleur
J’en ai oublié ma peine et mes maux.
S’éloigne la solitude et son horreur
Car mon cœur devenait triste et froid
Mais il aura suffit d’une petite étincelle,
D’une toute petite parcelle d’émoi
Pour que la joie envahisse tous mes sens.
Jaillissant impérieuse pour embellir ma vie
Faisant exploser toutes les barrières,
Et libérant aussi ces larmes amères
Qui ont inondé tant de mes nuits.,
Je viens avec précaution me brûler à ton feu
Et m’abriter sous tes grandes
Tes où je me sens si bien
En m’entourant de ton réconfort
La douceur de ton corps
Et de ta tendresse...
Dim 13 Mars 2011, 11:24 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Longtemps j’ai rêvé…

Longtemps j’ai cru en toi et en ta vision de la chose, le silence de ta beauté insolente, tes cries de désobéissance, ton parfait sourire, ton impatiente, je me suis longtemps noyé dans tes rêves et ta folie grandissante et chacun de tes gestes que j’ai voulu apprivoiser, des mots écrits dans l’ombre, ont vu naitre des phrases brulantes, noir sur noir qu’à peine on pouvait comprendre, souvent j’ai voulu partir, demeurer sans ta présence, ne plus croire en ton existence, traverser des terres désemplis de ton odeur, retrouver le chemin du bonheur, je délire, je devrais me remettre à écrire, sur les sables de la plage abandonnée, j’ai laissé quelques larmes éparpillées, l’amour mentionné, pur mais affamé, je devrais revenir, te dire à travers quelques paroles, que la vie sans toi est loin d’être drôle, attends moi, j’arrive, je cours, je traverse le parcours, entends-tu les pas, mon cœur qui bat, près de ta résidence j’ai oublié la souffrance, je revois ton visage, je tremble, je t’écoute me dire des mots étranges, je songe, la ou tu te trouve, la haut dans le ciel, dessine moi des et laisse moi t’offrir l’amour éternel.
Jeu 17 Fév 2011, 13:55 par Radski sur La déclaration d'amour

En intraveineuse

La mécanique des sentiments
Fait oublier les statistiques
De coeurs épuisés lentement
Cadencés, lassés en musique

Le coeur ne s’use pas, il oblique
Il est au repos, il attend
L’amour qui fuse, c’est mécanique
La mécanique des sentiments

Pour une brune ou une blonde
Ton corps s’enflamme, pousse en avant
Vole sur la piste, pour une ronde
L’amour décolle, il était temps

Le coeur ne s’use pas, il oblique
Il est au repos, il attend
L’amour qui fuse, c’est mécanique
Une mécanique des sentiments

C’est elle qui est, pas de doute
Ta muse, c’est sur, pour longtemps
Tu t’amuse sans faute et tu goûte
Vos fusionnent au printemps

Le coeur ne s’use pas, il oblique
Il est au repos, il attend
L’amour qui fuse, c’est mécanique
La mécanique des sentiments

Tes enfants glissent sur le portique
La vie est lisse, et pourtant
Ton coeur bat vite, c’est mécanique
C’est un délice, c’est évident

Tu compte les ans, c’est magnifique
Les statistiques mentent tout le temps
Nous sommes deux, tout est magique
C’est féerique les sentiments

C’est comme de la physique quantique
La mécanique des sentiments

Http://humanoide.biz
Lun 07 Fév 2011, 20:29 par humanoide sur Histoires d'amour

Songe



Songe

Songe d’une nuit sans fin,
Ou il n’y a plus de matin.
Mes insomnies m’emmènent bien loin.
A la rencontre de ces papillons qui ont perdu la raison,
A se brûler les , attirer par cette étrange lumière artificielle
Les voila virevoltants, fragiles , graciles et sans défenses
Qui dansent... Attendez moi, je veux moi aussi passer de l’autre coté
Du côté de tes rêves, de tes rêves en jachère
Je veux moissonner tes vents du désir
Récolter sur ta peau, l’ivresse d’un frisson
Boire jusqu’à la lie le suc de tes baisers.
Je veux me vêtir de la douceur de tes
M’habiller de soie et de dentelles
Partir avec toi au royaume des nues
Me fondre encore et encore au ciel de ton ombre

©Jane
Ven 21 Jan 2011, 23:29 par Jane sur Mille choses

Songe


Songe d’une nuit sans fin,
Ou il n’y a plus de matin.
Mes insomnies m’emmènent bien loin.
A la rencontre de ces papillons qui ont perdu la raison,
A se bruler les ,
Attirer par cette étrange lumière artificielle.
Les voila virevoltants, fragiles , graciles et sans défenses
Qui dansent...
Attendez moi, je veux moi aussi passer de l’autre coté
Pour retrouver un bien aimé.
Celui qui m’a murmuré des mots si doux
Celui qui m’a fait vibrer
Et dont mon corps en réclame encore.
De baisers enfiévrés
De réconfort inachevés
Et dont mon cœur en perd la raison...
Ses belles paroles, ont la saveur, d’un saule pleureur,
Dont j’en inonde, ce" monde".
Ce monde, qui parfois n’est plus le mien.
J’attendrai la renaissance avec patience
Celle qui me permettra de m’en sortir.....

caressedesyeux
Ven 21 Jan 2011, 13:14 par caressedesyeux sur Mille choses

Triste poésie

Le regard triste et le visage amaigri,
Dissimulant par des sourires, ce qui ronge sa vie,
Emprisonnée d’un amour tyrannique sans limite,
Vivant dans le déni de ce que chaque jour, elle subit,
Le moindre coup dur, tour à tour la détruit.
Ses rêves et ses joies ne sont plus que des miettes,
Enterrés par les actes de ce type qui la maltraite,
Bafouant les lois, son esprit et son corps il meurtrit,
Elle qui croyait en lui, son amour il a trahit.
Le miroir ne reflète que le teint de sa mine blafarde,
Epuisée par la haine et la rage dont il la bombarde,
Ses mots sont des armes auxquelles elle répond par les larmes,
Ses coups de trop sont des couteaux qui déchirent sa peau,
Ennivrant son corps d’un breuvage passionnel,
Qui n’a rien de charnel.
Drôle de dame que cette femme éprise d’amour pour un fou,
Cet homme sans âme ni charme qui la met à genou.
Elle se complaît sans répit dans ce drame qu’est sa vie,
Malgré les souffrances que lui valent sa dépendance,
Portant sa passion destructrice à l’apogée du vice,
Elle prône le silence qui la mène vers sa dernière danse,
Où un air mélodieux la berce en pleine utopie.
Il lui construit un avenir bien digne d’une chimère,
Un monde tant convoité où elle pourrait être mère,
Et lui, prendrait la place de ce père éphémère,
Il le lui a promis, il n’y aura point d’adultère.
Prisonnière d’une tour de verre et d’un amour bien amère,
Elle songe enfin à s’échapper vers un autre univers,
Ne supportant plus le poids des actes de son infidèle,
Elle ne s’y méprend plus, il lui a brûlé les .
La flamme de son coeur à petit feu se meurt,
Plus de place pour la peur et encore moins pour les pleurs,
La passion laissant place à des cendres endiablées,
Des sentiments de glaces, aucun meuble à sauver,
C’est sans le moindre regret, ni même se retourner,
Qu’un beau matin d’été, loin de lui elle s’en est allée.
Sam 08 Jan 2011, 23:51 par Atina sur L'amour en vrac

Je voudrais voler loin de toi

Je ne m’enfuies pas
De toi je ne pourrais pas
Je voulais voler
Un peu loin de toi
Tu m’as donné des
J’ai découvert le ciel
A travers toi
Avec toi je faisais des voyages
Je ne connaissais pas les naufrages
Avec toi j’ai parcourut des plages
Aussi découvert de beaux paysages
A travers toi
A mes yeux il n’y avait que toi
Je remplissais ma tête de toi
J’appréciais les choses
A travers toi
Je veux grimpers des sommets
Comme tu as appris
Je ne vais pas tomber
Je n’ai plus de vertiges
Je ne suis plus cette fragile tige
Je sais que je vais te manquer
Toi aussi mais laisse moi
Voler loin de toi
Je peux le faire sans toi
N’aie pas peur pour moi
Et prends soin de toi
Je ne veux pas avoir de peine
Je ne te quitte pas
Je veux voler loin de toi
Voire les choses sans toi…
je voudrais voler loin de toi

BEAUDLAIRIENNE
Jeu 07 Oct 2010, 20:12 par assouma23 sur L'amour en vrac

Attendre et te voir


Comme une évidence, cela devait se passer comme cela.
Toi phénix, aux brulantes
Tu te consumes, et renais à chaque fois.
Et pour moi c’est une grande joie
Je veillerai sur toi.
Petite boule de tendresse,
Petit ange , je déposerai mes près de toi,
Et je ne sentirai plus ce grand froid me gagner
Car tu es arrivé...
Je te donnerai tous ces mots , et les partagerai
Au plus profond de mon âme.
Je rêve un jour de quitter mon ciel,
Pour déposer ma caresse des yeux dans les tiens
Pour partager de tendre moment
Pour te protéger délicatement
Comme une amie qui t’aime aussi.


caressedesyeux
Sam 21 Août 2010, 15:53 par caressedesyeux sur Mille choses

Rêve(s) ? morphée, emporte tes enfants dans tes tendres bras

« Peut-être parce qu’encore/en corps, elle n’est pas-toute, elle donnerait ce...à celui pour lequel elle ressent de l’Amour? »

Peut-être en corps, elle n’était pas prête. Pourtant, cet homme lui a donné des . Quand la chimère d’un Autre accapare l’esprit d’une éternelle rêveuse, elle finit par se dire que c’est son propre souhait. Peut-être avait-elle envie de donner pour recevoir une joie qu’elle avait perdue, un toucher qu’elle avait oublié. En effet, au final, cette offrande n’a jamais existé car il n’eut personne pour la recevoir. Entrer dans le rêve d’un autre n’est pas créé un rêve ensemble. Maintenant que Morphée l’a rejetée brutalement, elle se sent encore/en corps plus fragile. Dorénavant, elle ne veut plus faire confiance aux hommes. Elle ne veut plus rêver avec quelqu’un. Maintenant, elle fuit, de rêve en rêve. Combien de rêves a-t-elle élaboré pour ne pas s’ennuyer ? Elle ne sait plus. Elle souhaitait juste faire de beaux rêves. Un beau rêve est une construction imaginaire où deux êtres fondent un univers original à partir de leur propre univers. Ce rêve possède ses codes particuliers et ses clés. Cet univers unique se perpétue grâce à l’amour de chacun, dans cette croyance en l’existence de ce monde. Si l’un deux perd sa foi, cet univers parfait s’effrite pour ne laisser que des décombres. Balayer les ruines d’un monde mort est un supplice de Tantale. Celui qui croit encore en cet univers, continue à bâtir seul. Mais les fondations pourries détruisent ces nouveaux gratte-ciels, élevés à la gloire d’un Monde Parfait. Il tente de faire de nouvelles fondations où des ruines demeurent. Toutefois, le sol reste pourri. Il essaye de fertiliser la terre. Elle se refuse à lui. Il la violente, l’épuise pour qu’elle daigne rendre des fruits. Il ne veut pas croire que cet univers est mort et il n’est plus que le seul à rêver.

Mais à quoi rêve l’Autre ? Fais-je partie d’un de ses rêves où notre fin se poursuit dans un rêve alternatif ? Suis-je la seule à avoir souffert d’avoir été trop faible pour m’affirmer dans un rêve commun ? Que croire de toutes ses paroles ? Un mensonge ou une vérité fixée dans un temps enfui, trop loin du présent ?
Que d’hypothèses sans réponse où le pardon est le seul remède à la libération du cœur.

Malheureusement, il est parti. Sans mot.
Jeu 19 Août 2010, 01:33 par Solina sur Les liaisons sulfureuses

Etre ta cigale

Cigale je viens jusqu’à’ a toi
Me poser sur le rebord de ta fenêtre ouverte
Égayer quelques unes de tes journées
Dans ton quartier pourri, comme tu le dis...
Taquine moi un peu les ,
Caresse moi délicatement
je ne m’arrêterai plus de chanter.
Tu me traiteras de "casse-pied".
Approche- toi d’un peu plus près
Où je me nicherai dans le creux de ton cou.
Je fermerai mes yeux
Pour que tu me berces un peu

caressedesyeux
Mar 03 Août 2010, 21:25 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Petite lettre ...

A mon bel ange,

J’ai envie de pleurer. Je vois le travail de mes mots sur ta personne. Je pleure de ne pouvoir pas ralentir le processus de ta destruction. Je pleure les blessures que je t’inflige. J’ai envie de te prendre dans mes bras mais ton corps ne veut plus de mon toucher. Que faire ? Désemparée, je te regarde perdre tes et t’enfoncer dans les océans de la colère. Si seulement tu me laissais panser tes blessures pour t’aider à guérir et te voir voler ! Si seulement …
Mar 06 Juil 2010, 04:13 par Solina sur Mille choses

Ton murmure, je l’entends encore

Ton murmure, je l’entends encore
Il semble qu’il n’est jamais quitté mon esprit.
Il a fait soudainement chaud,et je me suis baignée dans ta chaleur.
Car mon cœur devenait froid
Pas si froid d’ailleurscar il a suffit juste d’allumer le bout.
Et tous s’est mis à jaillir
Tous à exploser, et mes larmes aussi
Je viens avec parcimonie me bruler à tes
Tes ou je me sens si bien
En m’entourant de ton réconfort et de ta tendresse...

caressedesyeux
Mer 23 Juin 2010, 11:41 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Valse

Elsa, Elsa, ton petit cul très pâle et ta petit bouche très vive, tes petits saignements de nez et des flaques un peu partout, et ce soleil qui n’est plus rond, une nuit versée dans les bocaux, aux poches trouées, aux rebords des paupières, sur la peau de fruits mûrs, dans tes mains, là on l’on vient se noyer, et des larmes soudain, comme notes de musique fânées, tombées d’ de corbeaux qui croissaient au dessus d’un champ immense,
Très noir,
Très grand,
Où l’on perd sa paille et ses nielles, et ses sonnailles tressées,
Ou l’on contemple l’enchevêtrement des mains fermes,
Rêches,
Où l’on danse pauvrement, pour ce soleil qui n’est plus rond, pour un homme qui ne sait plus chanter,
Et pour une voix qui ne sais plus de chansons.

Elsa, on pourra danser sur des feux indiens, et verser les appétits crépusculaires dans l’aube, où tout rougit, et te réclame, où tout a faim.
Et je ne pourrais pas dormir, parce que j’ai des nuits dissoutes dans un verre d’eau. Alors on a joué a qui tutoie le soleil naissant ;
Et les plaines sans vie, et la neige en manteau,
Ont ôté leurs prépuces à l’herbe et l’hymen aux ruisseaux.
On est retournés dans ces champs,
Ces champs immenses bercés de blés, avec les murmures de rousseur jusqu’au bout des cressons. Et je marchais, je marchais a revers de pieds ; Je te tenais à bout de bras, mes mains vidées,
moites,
Avec des souvenirs de toi placardés au front.
Mes yeux ne peuvent plus voir, Elsa, mes yeux ne peuvent plus voir mes yeux ne te voient plus, et j’ai des petits orages aux mains creusés.

On danse, on valse, on change de mesure, et on change de pied, parce qu’Elsa est morte.
Tu es morte. Et tu es M comme du sable, et tu t’évapores lentement parce qu’Elsa merde tu es morte, tu es morte, je ne te reverrais plus je ne t’embrasserais plus, et on ira plus faire l’amour dans les lauzes et tu es morte, O de rien du tout, d’un grand drap vide qui ne cache plus rien, R du coup de fusil aux épaules, T de la mitraille, et de l’orage qui ne viens pas, E de rien, de merde de rien, tu es morte bordel, tu es morte merde, il faut vite aller arracher les des oiseaux, il faut vite aller éventrer les petits tonnerres, il faut vite aller briser les barrages, boucher les éviers, disperser un peu de suie dans chaque œil, un peu de plomb dans chaque pas, un peu de haine dans chaque joue.

On danse, parce qu’il faut danser.
Je déchire les mesures. Et les sels. Et les poivrières se fanent, terrifiées. Les cosses se brises, les lits se déplient, des familles entières courent vers l’avenue, le ciel noir, un glaviot d’église sur les trottoirs. Je t’aime je crois. Ton cachemire porte ton sexe ; j’ai les yeux bouclés. Alors j’irais près de la mer, les poumons ouverts aux falaises, arracher une a une les lèvres des rochers.
Dim 13 Juin 2010, 10:12 par Boris K sur Parler d'amour

Ma demoiselle



Appelez-moi « Mademoiselle »

Faites pousser les

De mon imagination

Et de l’abstraction

Pariez au hasard

Sans cet air couard

Coloriez mon ciel


Appelez-moi « Mademoiselle »

Faites preuve de courage

Sans chercher mon âge

Un peu d’ambition

Dans cette communication

Sans faire les beaux-arts

Sans cet air bizarre

Halte à la grève de zèle


Appelez-moi Ma demoiselle ...
Mer 02 Juin 2010, 08:22 par jardinsecret sur La séduction
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